Rappel de votre demande:

Format de téléchargement: : Texte

Vues 386 à 386 sur 522

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 522

Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 69%.

tlo» artistique de son lifo, l« jeun* Sigfemond, dont te talent précoce a exciio l'étonnement de I toute l'Europe, et dont la fin a été si prématurée. Vers la an de I8J9, le maître et l'élève coinmencèrent à voyager et à se foire entendre dans des concerta, d'abord en Hoagrte, pub en Allemagne et en Italie. Après avoir été quelque tempe à Trieste, ils visitèrent Venue, Padoue, Vicence, Vérone, Mantoue, Crémone, Brescia, Milan, Pavie, Plaisance, Modène et Bologne. Benescb mit à profit ce voyage, qui dora pins d'un an, pour perfectionner son talent et acquérir des connaissances plu étendues dan la musique en général. A Bologne, quelques difficultés survinreulentre lui et la foraillede Praun il s'en sépara et retourna à Trieste, 06 ses mie lui conseille- rentde se fixer; mais lecongrèsdesmonarquesdu Nord à Laybach, qui eouvrit alors, le détermina à se rendre dans cette ville. La connaissance qu'il y fit de quelques personnages puissant» ledé> termina à se rendre à Saint-Pétersbourg, en 1832, en passant par Vienne. Son talent avait alors acquis tout son développement, et Benescli était considéré comme an des premiers violonistes de l'Allemagne, Dans son voyage, il connut à Pesth la fille de l'avocat Proch, en devint amoureux, et renonça à son projet d'émigration pour l'é- pouser. Ce fat 8lora que des propositions lui fu- rent faites pour la place de violon solo et de directeur d'orchestre de la société philharmonique de Leipsick; l'engagement devait être fait pour six années il y souscrivit. Vers la tin de !e 1828, II retourna à Vienne. dans l'espoir d'y trouver un emploi pour le reste de ses jours ;mafe ce ne fut qu'en 1832 qu'il obtint une place dans la chapella impériale, après avoir donné des preuves de son talent dans plusieurs concerto. Benescb est aussi recommandable comme professeur eteororoedirecteur d'orchestre, quecomme exécutant. Il. s'est fait connattre par plusieurs compositions pour le violon, parmi lesquelles on remarque 1" Deux polonaises pour violon principal avec accompagnement de deux violons, alto et baase, «uvres 6 et 1; Vienne, HasiingeretLeidesdorf; – 2* Grandes variations sur un thème original, avec quatuor, œuvre 11; Vienne, Trenlsonsky – 3° Variations sur un chflRiir favori du Crodato avec quatuor, op. 12; Vienne, Arlaria – V Variations concertantes pour piniio et violon Vienne, Leidesdorf; –S* Quatre clmnsons allemandes; ftfayence, Zimmermann. UENEVENTO DI SAN RAFFAELLE ( Le comte), dirwilcur royal des études à Turin et violoniste excellent, s'est fait connaître comme compositeur par six duos de violon, gravés à Londres en 1770, [mis ensuite à Paris, el comme

écrivain par dent Lettres sur la mimique inté- rées dans la Hatcolla degli apaaouli di Alitand, tom. XXVIII et XXIX

BENEVOU (Ho«mr), flis naturel iludnc Albert de Lorraine, célèbre compositeur et contrapuntiste du dix-septième siècle, né a Roue, en teea, eut pour maltre de composition Vincent Ugoltai. Quelques auteora oat dit qu'il devint ensuite élève de Beraard Nanini mais c'est una erreur (I). Après avoir termlnll ses études musicales, Benevoli obtint la place de mattre de cbapelle à Saint Louis-des-Français; ¡ mais il ne la garda pas longtemps, parce qu'il fut appelé au service de l'archiduc d'Autriche. De retour aRome, itreprit ses fonctions de mettre de chapelle à Saint-Louis, Le 23 février 1(46, il passa en qualité de maître de chapelle & Sainte. Marie-Majeuro; mats Il n'y resta pas; car le 7 no- vembre de la même année il succéda & Viigil» Mazxocchi comme maître de la chapelle du Va- tican. Il en remplit les fonctions jusqu'à sa morl, qui eut lieu le 17 juin 1071 Son corps fut ex.posé publiquement, et on l'inhuma à l'église dit Santo-Spirilo in Sauta. Pendant son séjour à Vienne, dans les années 1643, 1644 et lftis, Benevoli publia plusieurs recueils de motet* et d'offertoires mais ses meilleurs ouvrages sont ceux qu'il écrivit après son retour è Rome. Ce qui caractérise le latent de cet habile maltre, c'est l'art d'écrire pour un grand nombre de toi» (t) par une de cet dngnlarttM qat montrent que ta terlvatnt les plu exacts ne «rat pae eiempM d'erreur, t* P. Martini» a dit te premier que Beneroll svott pus* de Mcole dUgotlni dam oeil* da Bernant Maniai (K»ni>l. o Seyplo,lamdam, port. dl 1IOiI" t. H, p. IU)..18 dl~ rautortté «TAollmo libéra», dans ta lettre à Octare Ivr- tapegli 11 a «té c«pW eo cela par Bnnwr (~ 1IfII1I'tf' Hlr.tory of Hutu), t. III. p. s») et par r«bM Bertiol (W«Kon. dtvlucrUt. dtUaimuka) ecpemtom Uteratl, qat donne la plu grand» Omet à Benevotl, dit eiprcnémeot {UtteraaiOUav.perutttgi, p. M, M;, qae es eompadteor fat èlive d'Dgoltol, et que eclol-d eut pour nultre Bernard Hoolni. Vold te pauag* 1 « L'altro twJci» ieolin • e nmwlto di Bernardtoo Nanlol te Vloeeiuo tJgoltal, t uorao dl gnut maeitila neU' Imtgmre allrnt tnnto a • casto, «taanto la modoMone annonlco, corne la tunao 1 fatto vedere moltl mi Molaii, ed In apede Uraw nattt «oonlpote, ed Omlo BeneroH, 11 qualr, avanuada «U proprio macatto, e tout gll attit vlrantl net modo • dlaraonlaiare qtuttro e celcori r«all,e<»olciteltl- « tnento dl qveUI, « «on fordlse, e cou le Iraltailooe de' « ptuierl peltegrinl a non la legatue e «logumenlo 41 eue nlravltllnaj, e cou l'accordo drt droolo Impeac aato, e con le gluita e perbtta rdadonl, e «a le lenb« dite délia eonsonaïua e dluooan» btn eouoeate, coo a l'ogvatllawa délia tndtura, e col porUmento tempte « pli Onldo, aopolloto a gain dl aune, OutmmUmndù; « ed In tomma colla >ua vntft (ma non la »oa potnrt» sollta net gran Tlrtnosl) far tacen t neraW, ed eeelln» < tutti gll allrl profeauri ad Iraltare on non» nel masilet do del upa^e c delf arts, e net nanegglare l'arroool* ccclealuuca grjndlosammtea pli corl aenia pari. •