danse» allemandes et de «aU«s, qui ont paru à Munieb.ehoss Falter. Née WùrtïbotirK en 178i, elle a eu pour maltre de piano et de composition j le mattre de chapelle Sterfcel.
BAVER (*"). conseiller de cour du roi de Prusse, vers 1784, se fit remarquer à cette époque par l'invention de deux piano» d'«spoca particulière, te premier, appelé crescendo, était vertical, déforme pyramidale, et avait huit pied» et demi de hauteur, trois pied» de largeur, dixhuit pouce» d'épaisseur son clavier avait cinq octaves d'étendue, ettroi» pédales servaient à nw difier le son par gradation, et aussi à transposer de deux on trois tons à volonté, en imprimant un mouvement au clavier. Le piano de la seconde apèces'appetaltroya&reweJKto. Il avaitla forme d'un petit piano de quatre piedsde longueur. Des tuyaux de jen de flûte se trouvaient tous une partie du clavier de cet Instrument. Bauer s'est fait aussi de la réputation par ses horloges à mu.sique. Le roi de Prusse lui en acheta une pour le château de fotsdam en 1769, et l'impératrice de Russie eu paja une 3,000 roubles.
BAGER (JteMfrFuéofeuc), virtuose sur le hautbois est né vers 1785 dans le grand-duché de Saxe-Weimar. Juckel, hautboïste de la chapelle du roi de Saxe, lui donua les premières leçons deson Instrument s mais il ne doit son talent qu'à aea propres études. il fut d'abord attaché à l'orchestre de la cour de Casse! puis U entra comme profeasear au conservatoire de Prague, où il se trouvait encore en 1841. Bauer a composé plusieurs chose» pour son instrument; mais il n'a rien publié.
BAUER (énouMin) compositeur allemand fixé à Turin vers t8so, a donné à Caguari, en t836, l'opéra Intttnlé Due VeceM ed un ah bero, et en 1843 CM pi* gwrda mono vede, h Turin; compositions de peu de valeur, oubUées dès leur naissance.
BAUER (Awte), mattre de chapelle à Augsbourg, n6 en Bavière, et actuellement vivant (1854), a'est fait connaître par de nombreux ouvrages de musique d'église, parmi lesquels on remarque: te Messe de requiem à trois voix, orgne et orchestre, op. & Augsbourg, Botune. V Idm àquat* voix et orgue; U*l. – 3» Messe de Koffl à trois voix, orchestre et orgue, op. MSiHd.-4°Me*» pastorale (en ut) à trois on quatre voix, petit orchestre et orgue, op. 17; Ibld. fi* Plusieurs messes allemandes à trois voix, petitorehertreetorgue; ibid – 6» Messe solennelle (en «<) à trois ou quatre voix, petit orchestre et orgue, op. 37; ibid – 7» Messe solennelle (en ré) à trois voix, orchestre et orgue, ityd. <*> 8" Vêpres chorales a deax choeurs avec
orgue ibid. 0" Six petite» messe* de campa, «ne pour trois voix, petit orchestre et orgue, oji, n et 25; ibid. 10" Beaucoup d'offertoires, litanie», Tanlum ergo, etc., à trois on i|»ulre voit, petit orchestre et orgue; ibid. Les œuvres de Bauer appartiennent an genre qu'on nomme musique courante à l'usage de* petite» villes et des villages.
fi&UERSACHS (CoARiesFnÉDtoïc), vir- tuose sur le cor de bassette et sur le violoncelle, naquit à Pegnitz, le 4 juin 1770. La guerre qui éclata en 1790 lui fit perdre une place qu'il occupait dans une petite cour des bords du Rhin, et l'obligea d'entreprendre un voyage dans diverses petite* villes. En 1796 il partit pour Vienne, d'où il alla ensuite en Hongrie et  Venise. Le retour dans sa pairie en 1802, il entra dans un corps de musique militaire, en qualité de haut- boïste. Retiré ensuite à Sommenta, prè» d'Erfurt, Il y mourut, le 14 décembre 1846. il a écrit beau. coup de musique pour le cor de bassette; elle ed restée en manuscrit.
BA.UERSC0M1DT. Il y a eu deux frères de «a nom, qu'on désignait seulement par les dénominations à'aini et de cadet. lAm d'eux fat d'abord maître de chapelle du margrave de Baden-Baden. On croit que c'est le même qui vint à Paris vera 1784, et qui y publia six quatuon pourileurf violons, alto et basse, et, peu de temps aprèt, »i* trios pour harpe, piano et violon. L'autre s'établit en Russie et se trouvait e=M àPélersbourg en 1794. Il parait que depuis low ]| est revenu ea Allemagne, où l'on a imprime* deux ouvragea de sa composition t« Andanle favori varié pour piano; 1797. – 4" VI Ueder mit KlavUrbeglMwo (Six chansons avec accompagnement de clavecin); Hellbroon. On a aussi sous le même nom Sir grandes symphonies; Paris, in-fol. sans date.
BAULDU1N on BALDUIN, on «ri» BAUDOUIN (Nom.), en latin Balduinus, mu< sicien beige, né dans la seconde moitié du quinzième siècle, fat maître de musique de l'église collégiale Notre-Dame à Anvers, depui* 1513 jusqu'en 1618.. On ignore ce qui lui fit quitter cette position, car il ne s'éloigna pat d'Anvers, et il y mourut en t&2». On voit daM les comptes de l'église d'Anvers et des contrériet que Noël BauWuto y est toujours nommé maUn Noël on tnxster iYo», Nouel, Noé, etc.; cepen- dant M. de Borbure a trouvé que dan* l'anwe qui précéda sa nomination demaitre de musique, on l'avait inscrit dans les comptes des chanteur» sous la nom de Balduinw, qui ne lui est donné qu'une seule fois, parce qu'il y avait un autre chantre dans le même temps qui se nonm»"