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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ne, Bermann, 4° 12 LaendUr pour deux gai*tare», op. 4 Vienne, Diahelli.

BARETA ( Bodbmno), musicien de la ca- thédrale de Crémone, naquit dans cette Tille en I5S1. Il a publié: 1" Il primo libro de maâritjall aclnquevoci; Venise, iet&.i^0.– i" Il Beion<lolibro;ilnt}., laii,in-4°.

UARETTI ( Jowra), littérateur et poète du (Ih -huitième siècle, naquit à Turin le n mari 1716. Après avoir voyagé pendant quelques an.née» en ttalle. Il se rendit à tondre* au mois de janvier 1751 avec le projet d'y être directeur de l'Opéra italien, et mourut dans celte ville le & mai 1789. Il a publié Account of ihe mannen and eustom of ïluly; Londres, 1768, in-8"; on y trouve des détails sur l'Opéra séria et l'Opéra Ouf/a. Cet ouvrage a été traduit en français par Fréville sot» ce titre Les Italiens, ou Mœurs et coutumes d'Halte; Paris, I775,in-12» JI y en a aussi ose traduction allemande Intitulée. i Betchrelbung der SUten und Gebrœuchenin Italien; i parties ln-8", Bredau 1781. Le frère de Baretti, professeur de musique, vécut à Tu- rie, et a publié six duos pour violoncelle, qui ont été gravés à Paris, .vers 1770.

BA&GAtiUA (Scipion), violoniste ou plutôt violiste napolitain, dont parie Cerroto, et qui vivait dans la seconde moitié du seizième siècle. On a de lui un œuvre de musique instrumentale intitulé Trattmlmenti ossia diverti. menti da suonare; Venise 1687. C'est dans cet ouvrage qu'on trouve pour la première fois remploi du mot concerto, dans le sens de pièce iwiir un imtroraent principal.

BARGES( Antoine), maître de chapelle alla Casa grande de Venise, a publié primo Ubro de villole a quattro vocl, con un allro caitson delta Satinas Venise, 1650, ln-4*. C'est un recueil curieux pour le style des airs de ce temps. On trouve dana le Catalogue de Butscli ( Augsbourg, 1846 in-8' ) lin ouvrage de cet au. teur intitulé II primo Hbro di Violette a 4 mei, etc. Cest celui dont le titre est ci-dessus avec une fonte d'Impression VWtofeestcliangé un Yiolella.

BARGNANI (Omvio) né à Brescia, vers le milieu da seixième siècle fut organiste de l'église principale de Salo. On a Imprimé les ouvrages de sa composition dont les titres suivent l* Ganzonette a quattro e otlo vocl; Venise, I50S. Modidtl a 1, 2, 3, 4; VetHM.premo BarloloroeoMagni,l697. Madrlgall a cin- que voel Venise, îooi.

BA.BILL1 (Lomé), bouffe chantant qui a eu beaucoup de célébrité à Paris, naquit à Modène, en 1767, suivant certains rotueigneiuents blogra.

phiques, ou à Naplcs en t7O4 si l'on en croit j d'autres venions qui paraissent plu vraisern- blables. On ne Mit rien concernant l'époque de | débuts, ni sur les théâtres où il parut avant d'arriver à Paris les almonachs de théâtres de l'Italie ne m'ont non fourni à co sujet. Ce fut le 19 août 1805 qu'il joua pour la première fois à la salle de la rue de Louvois, dans la Locanditra 1 do Farinelli, où il était chargé du Me du comte i Cosmopoli. Doué de naturel et de verve comique, il y eut un brillant sucées qui ne tut que le prélude de ceux qu'il obtint plus tard dans le per.sonnage du musicien Bwejalo des Cantatrice villane, et daM celui de Betlarosa des Virtuoii ambulanii, quoiqu'il fat médiocre musicien et que sa voix eut de la lourdeur. C'est au talent de comédien original qu'il y déploya, que ces deux ouvrages de Floravati dorent la vogue dont ils jouirent à cette époque. Pendant plus de dix-huit ans, Barilli eut le privilège de (aire rire tes di- lettanti parisiens, quoique son organe eût perdu de sa sonorité dans les dernières années. Devenu un des quatre administrateurs de 1*0» péra italien, au théâtre del'Odéon, en 1809, il y perdit beaucoup d'argent et se vit plus tard obligé d'accepter de médiocres appointements, lorsque Mine Catalan! eut obtenu le privllége de cette entreprise dramatique. La mort de sa femme ( Voyez l'article suivant), et celle de trois fils qu'elle lui avait donnés, vinrent successivement combler la mesare de ses chagrins. Ayant été désigné, en 1820, pour remplir la ptaee de réglssenr de l'opéra Italien, H déploya beaucoup d'activité dans ces nouvelles fonctions mais ses malheursavaient affaibli sa santé, et pour comble d'infortune, U se cassa la jambe en 1«24. A peine convalescent de cet accident, il fut frappé d'apoplexie, le 26 mai suivant, et cessa de vivre sans proférer une parole. La probité, le désinté- ressement de cet excellent acteur lui avaient fait beaucoup d'amis, qui furent obligés de so cotiser pour payer la frab de ses funérailles et qui lui (irent élever un tombeau près de celui de sa femme, dans le cimetière de l'est.

BARILLI (Marie-Anne), dont le nom de famille était fiandinl, femme du précédent et cantatrice distinguée, naquit à Dresde le t8 octobre 1780, de parents originaires de Bologne, lesquels étaient attachés au service de l'électeur de Saxe. Pius tard, son père se chargea de l'en- treprise du théâtre italien de Prague. Ruiné par un incendie qui consuma le théâtre et les magasins, il prit le parti de retourner en Italie où il espérait trouver des ressources pour rétablir ses affaires mais il mourut dans le trajet, et sa famille, réduite à la situation la plus pénible, ne parvint