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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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lité de musicien itu sénat d'Erfurt, à «on père, lorsque celui-ci alla s'établir à Gotha. Il devint aussi par la suite organiato de l'égllso de SaintMichel, et mourut en 1717. JI a laissé quelques compositions pour l'église, conservées dans les archives des Bach, entre antre» le motet à neuf voix en deux chœurs Unser Uben ist ein Schallen, etc., écrit en 1096. ( Voy. le Catalogue de la Bibliothèque de Cl). Pli. Em. Bach, p. 85). ). Le fils aîné de Jean-Egide Bach, nommé JeanChristian, lequel était né en 1640, et mourut en 1082, et leplu» jeunefiUdii même Jean-Egide Bachd'Erfiirt, nomini Jean-Mcoias, en 1663, mort en 1682, furent tous deux musicien* de chapelle, mais ne s'élevèrent pat au-dessus de la médiocrité. La postérité de Jean-Christian ne sortit pas de l'obscurité, et Jean-Nicolas n'eut qu'un fllu, du meme nom que lui, aé eo 1682, et qui mourut sans enfants.

BACH ( CEORCEs-caiusTopnB ) fils atné de Christophe, et petit-fils de Hans Bach naquit à ttisenacli en 1641. Ses études terminées, il obtint la place de chantre et de compositeur à Scliweinfuit, Les archives des Bach contiennent on motet allemand de sa composition, écrit en 1089 sur le texte Siehe, wie /ein und lieblich, etc., pour deux ténors et baise, avec accompagnement d'un violon, trois basses de viole et basse. ( Voy. le Catalogue de la Bibliothèque de Ch. Plu Em. Bach, page 85.) II mourut en 1697, laissant trois Dis, Jean-Valentin, JeanChrétien et Jean-Georges, qui comme artistes, lie paraissent pas s'être élevés au-dessus de la médiocrité. ·

BACH (jean-chmstophe), fils aîné de Henri, fut un des plus grands musiciens que l'Allemagne ait produits'. Il naquit à Arnsladt en 1643. Si l'on s'en rapporte à l'oraison funèbre que J.-G. Olearius fit de Henri Bach, il paratt qu'il ̃ fut le seul maître de ses fils pour tout ce qui concerne la musique. Au reste, Jean-Clirislopbeétu* dia les principes de son art avec la pins constante application jusqu'à l'Age do vingt-deux ans, et développa ses heureuses facultés par le travail le plus obstiné. En 1665, il Ait appelé à Eisenacii pour y occuper la place d'organiste de la cour et de la ville. lien remplit les fonctions Jusqu'à sa mort, qui eut lieu le 3t mars 1703 c'est-à-dire pendant trente-huit ans. Dans cet intervalle il fit do bons musiciens de ses trois Dis, Jean-Nicolas, Jean-Christophe, qui donna des leçons de musique a Erfûrt, à Hambourg, à Rotterdam et enfin en Angleterre vers 1733, et Jean-Frédéric, qui mourut en 1731, à Mullhause, où il était organiste de l'église de Saint-Biaise. Il eut austl un quatrième nlsnomméJean-Michel, qui ourarat jeune.

Les ouvrage* de Jean-Clirislonlie Bach Indi«.tient dans leur auteur un talent de premier or} dm. Original dan» «es mélodies, énergique et pé• nétrant par son harmonie, il est surtout renia rquable dans ses compositions vocales. Les archive» des Bach contiennent un chant de noces a doute voix, qu'il a écrit sur tes naroles •. St | erlmb tic A ein Strell; c'est un morceau de la j plus grande beauté; on n'y aperçoit pas l'em> barras qui semble devoir résulter d'un si grand nombre de voix. Un autre motet, écrit en t684 contient allsal des effets neufs qui lui appartiennent. Reicliardt vit s Hambourg un morceau de musique d'église à cinq voix, de Jean-ClirUtopbe Bach, daté de 1676 it n'en parlait qu'avec admiration. Les autres ouvrages qu'on cite de ce musicien remarquable sont 1* Un motet à vingtdeux voix pour la fête de Saint-Michel.– î° Un motet à huit voix en deux chœurs, écrit en 1673. {UeberBerr Gotl, wecke uns at(f), quise trouve en manuscrit a ta Bibliothèque royale de Berlin. On trouve aussi dans la même bibliothèque 3" Le motet à quatre voix Jck lasse dich nicM. –| Le rootrtà à huit voix Vntres fterzens Freude i hat eln Snde, 5* Le motet à huit voix Ilerr i nun lastest du delnen Dlener. 6* Le motet à cinq voix, avec basse continue, Der GeteicAte Obergleich. Une sarabande pour clavecin, I avec doute variations.– Enfinon connaltanssi de se compositeur tîn motet à quatre voix, composé en 1691. Un autre motet à quatre voix. 16* Un solo d'alto, avec accompagnement d'un violon basses de viole et basse continue. Le chant do noces à douze voix et le chant à vingt-deux vol*,dontil est parlé ci-dessus, étaient dans la collection deCh. Pli. Em. Bach. (Yoy. le catalogue du sa bibliothèque, page 84.) Comme organiste, Jean-Clirialophe Bach était au rang des plus habiles. Su doigts et sa tête avaient une si grande facilité à traiter l'harmo- nie pleine, qu'il ne Jouait guère qu'à cinq parties réelles. Forkel (dans la vie de J.-S. Bach) dit qu'il a vu à Hambourg des pièces d'orgue de Jean- Christophe qui lui ont paru être des modèles de style et de force harmonique. E.-L. Gerber pos- sédait huit morceaux du même compositeur qui consistaient en préludes variés et fugués pour des chorals. Au reste, on trouve en Aliediagne un assez grand nombre de pièces qui portent le nom de Jean-Christophe Bach mais il ne faut pas les attribuer légèrement à celui qui est l'objet de cet article; car beaucoup de membres de cette famille extraordinaire des Bach ont eu les mêmes prénoms outre Jean-Christophe, dia de Christophe et frère jumeau de Jean-Ambroise, il y a en s Jean-CMsiophe, deuxième fils