contrepoint, en leur enseignant ta manière de composer correctement toute espèce de masi. que, Paris, Leduc, 1786, deux volumes ln-8°, l'un de texte, l'autre d'exemptes. C'est un ou. vrage médiocre, où les exemple* sont faiblement conçus et mal écrits. Choron en a donné une édition plus commode, dans laquelle il a inter- calé les exemples au milieu du texte; Paris, 1 824, ira toi, ln-4*.
AZPILÇlJETA. (Martin n'), surnommé JVawnrtu, jurisconsulte fameux, prêtre et chanoine régulier de l'ordre de Saint- Augustin, de la congrégation de Roncevaux, naquit à Verasoin, dans la Navarre, en 1491, et mourut à Rome en 1686, Parmi ses nombreux écrits est un traite De vntsica et canlu figurato, qu'on trouve dans les deux éditions de ses œuvres Imprimées à Lyon, 1597, et Venise, 1602, six vol. in-fol. On a aussi réimprimé à Rome, en 1783 un petit ouvrage de sa composition intitulé t USUemio necessario neU'allare, net
coroedaUH luoghi,ove ai eantânoi divini vffttii.
AZZARITI {•), professeur de musique à Naples, s'est fait connaître par on ouvrage intitulé Mementi praltct dt mnstca, Naples, Tranl,!8l9, in-8".
AZZIA (Alexandre d'), né à Naples, vers 1705, fut attaché en qualité de poète traducteur de librettl au théâtre italien établi à Paris, en l'an ix, par Vf* Montansier. On a de lui Sur le rétablissement du théâtre Bouffon italien à Paris, Paris ,1801, deux feuilles in-8*. D'Azzia est mort à Paris en 1804. C'est Inl qui était allé en Italie pour y rassembler la troupe qui produisit une si vive sensation daasle MalrinumioStfreto de Cimaro» on y remarquait M"* Strinasacchi, Nozzari et Raflanelli, alors le meilleur bouffe de l'Italie.
AZZOLINO BERNARDINO DELLA CIAJA. VoyesCIAJA (AztoiJHO-BERNABMW, chevalier dgua).