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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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étranger. Toutefois, ses talents vinrent la tirer dVmbnrwt. Kllft ilopua des leçons de «liant ¡ tt finit par s'attacher à une famille riche en qualité d'institutrice. Le chef de cette famille était un des principaux agents de la Compagnie des Indes; «es affaires J'oliligèivnl a aller n'é- tablir à Bombay, et Nina d'Aublgny l'y accom- pagna. On ignore eu qu'elle et devenue depuis lor». Ou a sous le nom de cette artiste t° Aira allemands, italiens et français, Augsbourg, 170/. Ueber daa leben und >lcn Characln des Pompeo Sales (Sur lu vie et le caractère de Pompeo Sales) dans la 2"1" année de la Gazette musicale de Uipsick, pas. 377-Î8*. Veber die Aufmerksamkelt die Jeder dem Saenger sehttldig ist (Sur l'attention qu'on doit au chanteur), ), dans (a méme Gazette mutinale, 3me année, pag. 752. 4* Mein Ueblingneort, Piano (Mon mot favori, Piano), Ma., pag. 800. – 5» Brie/ an Natallaûberden Oesang,als Befarderutig der hœusUchen Glûckseligkeil des geselligen Yerfjmïgens. BU Handbuch fur Freunde îles Gesanges die *lcn selbst, oder farMiii* 1er und Srzieherinncn, die ihreZeeglinge ftïr /lie Kunst bllden wallen ( Lettres à Nataiie sur le chant, considéré comme véhicule du bonheur domestique, etc. ), Leipsick Vos» 1803, «r. fn-8° avec & planches de musique. Ces let. tres, écrites d'un rtyle fort agréable, sont au nombre de 31 elles contiennent d'excellentes observations. On en a publié une seconde édition améliorée à leipsick', en t824, gr. ln-8\ AUBINS DE SEZANNE, poète et minidot français, vivait vers 1260. On trouve deux chansons notées de sa composition dans deux manuscrits de la Bibliothèque impériale de Paris, n- et» et 66, fonds de Cangé.

ACDEBERT(Pjesbe) chantre à dédiant I conlrapunti&te ) de la chapelle de Jean d'Orléans depuis 1465 jusqu'en 1407 aux appointements de 24 liv. tournois ( t40 francs 88 centimes ), suçant un compte de la maison do ce prince (Manuscrit de l&Bibl. du Roi, F. 540, «appl.)

AUDEFROI LE BATARD, trouvère artésien du treizième siècle, dont on trouve une chanson notée dans un manuscrit de la Bibliothèque impériale, à Parte, nD 06, fonds de Cangé, et tiéfcse romances dans an autre manuscrit, coté 7222. AUD1BEBT(. ),mattrede musiquedel'A. cadémiedu Roi, & Lyon, naquit à Aix en Provence, au coromenceroeatdn dix-hnitlèmesiècle. II apprit les éléments de la musique comme enfant «lecteur au chapitre deSaint-Saoveor de sa ville natale, et fut,dans cette école,le condisciple de l'abbé Blaocliard. Son éducation finie, il allas'éta-

lilir h ToiiUui oit il fut pensionné du Concert. 11 paratt qu'il na quitta cette ville que pour prendra possession de sa place de maître de musique d. l'Académie. Dans une lettre qu'il écrivit au ministre d'Argonscn, en 1740, on. voit qu'il avait sept est.fants.nuu l'aîné do ses (ils, âgé de diwcpt ans était musicien, et <jne lui-même faisait subsister sa famillo au moyeu des leçons qu'il donnait. Dans un mémoire, dont il sera parlé font & l'heure et qui est joint & la lettre déjà citée, il dit aussi qu'il est connu par différents ouvrages m plusieurs genres qu'il a do»nés au public dans les provinces. Ces ouvrages sont depuis long. temps toiubAi dans l'oubli, et le nom il* Audibort serait aujourd'hui parfaitement inconnu, si les recherches de l'autour de co Dictionnaire ne luiavaient fait découvrir un faitqui recommande ce musicien à l'atteation dos historiens de l'art musical. Dans un recueil manuscrit qui se trnnre à la Bibliothèque impériale do Paris, parmi les livres Imprimés, sous le numéro V, 1 840, sont uonUiiius une lettre tkrite par Audibert au ministre des affaires étrangères, au mots de février 1746, et un mémoire surun chiffre musical de son iavention pour l'usage de la diplomatie. Selon lui, ce chiffre, dont il donne un exemple rions un morceau de quinze pariées, devait être à l'abri de toute explication par ceux qui n'en posséderaient pas le ceuret; néanmoins wn exemple ayant été soumis a t'analyse dans les bureaux des affaires étrangères, fut déclliitrd avec facilité, et les éléments de son chiffre furent dégagés méUiodlquementpar l'employé chargé de ce travail. Sans lui avouer que son secret n'en était plus un, le ministre lui répondit qu'il possédait déjà plu. sieurs cliitfret du même genre, que ces chiffres ne pouvaient être considérés que «somme des choses curieuses, et qu'on n'en pouvait faire usage dans tes expéditions habituelles, Dans le fait, le grand inconvénient de l'invention d'Auclibert consistait en ce que chaque signe ne ra.priteitait qu'une lettre de l'alphabet, ce qui rendait l'opération do la traduction fort longue. L'analyse de ce chiffre musical a été donnée dans le 20* numéro de la cinquième année de la Hevtie musicale.

AUDIFFRET ( Pinme- Uvacinutb J*o QUEâ-JEAN-BxrasTE), u<S & Avignon le 7 no- vembre 1773, fit ses études chez les doctrinaires de cette ville et dans la maison du mente ordre, à Marseille. Dès son enfance il avait appris la musique. II mêla la culture de cet art à ses travaux littéraires jusqu'à la lin de sa vie. Atteint par la réquisition, en 1792, il lit, comme musicien de régiment, les campagne* de 1794 et 1705