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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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bfl»), imermWe, fdeœ, 1799.– Il* Rtd-Crou Kntghta (les Chevalier» de la Croix-Rouge), HayMarket, $79»,XV S. David") day (te Jour de Saint-David), farce, 1800, 13* True Fritnd» ( l«« vrab Amis), à Cotent-Gardon 1800. Outre ces ouvrages,. AUviood. « composé ptaskws «euvres de sonates pour piano et des levons progressives pour cet Instrument qui ont été gravées cbes Clemeotl à Londres. Il a écrit aussi heaueotip de musique d'église pour le service «le la chapelle royale, et notamment l'antienne avec chœur et orchwlrepour le couronnement du ni Georges IV qui est d'une beauté remarquable. Attweod te distingue entre les musiciens anglais par un style plein de goût et de pureté sa musique a de la force, de l'expres- sion et de l'effet. Il est fâcheux que le sol de l'Angleterre soit si peu favorable à la musique, qu'un artiste si distingué soit obligé de renoncer à la carrière de gloire qu'il aurait pu parcourir, pour se livrer uniquemeat à l'enseignement. ATYS, ou A1ÏS ( .), créole, né à SaintDomingue, vers 1715, suivant La Borde (Butai sur la Mutique t. III, p. 493), fut un Dû. tisto distingué qui se fixa en France. Une affaire (ju'fl eut en Autriche l'obligea de se battre; ¡ tl reçut une baue dans la menton et cet acci* dent altéra sensibteraeBl son erobouclmre. De retour à Paris, il s'y livra à l'enseignement, et composa beaucoup de sonates duos, trios et quatuor» peur la Dote, On trouve de lui, en manuscrit, & la Bibliothèque impériale de Paris, un cwivre de ste tonatct pour deux flà/es, en form de conversation. Suivant M. Ber- roann (Oe$(err«lch. Blagraph. Uxlkon, t. I, |i. 287 ), la date précise de la naissance d'Atis gérait le 1* avril 1715; il aurait été à Vienne en 1700; et il serait mort le S sont 1784. M. Berntann ait les dates d'une manière effrayante. ATZE (Fhédèuc), musicien né en Alle«aRne, était organiste à Bresiau vers 1816 i depiii* lors il a quitté cette ville pour aller en Russie, il était encore en 1833. Alae est un artiste distingué comme organiste et comme pis» ntsto; H a fait admirer partout la délicatesse et la précision de son jeu. On a de lui t* Polonaise pour te piano, telpsick, Hofmeisler. –V Duo pour piano et violon, «uvre 2. – 3* Po- lonaise pour le piano, came 9, Berlin, Forster. –4* Grande polonaise, dédiée à M"* Anaalîe Ko. refpa, Breslau, Forster et Hotfman» œuvre 10. –&• Pot-pourri pour le piano, œuvre 11, laid, AUBER ( DMUKb-r'tuutçau-Ksmt), né à Caen, le 29 janvier 1782(1) dans un voyage que (O Cette date m'a «M donnte m mo par le pé««> du ci- Ittre «ompcnluur, i l'é|Kiquo da mer premlire* «ïluw-

sfs parents firent en telle vide, m t fris d'an tnar» cbanti d'estampes de l'aris, «tout la situation était aisée. Sa famille était originaire de la Normandie. Doué des plu heureuses dispositions pow la musique, Auber étudia d'abord cet art comme un objet d'agrément. Apres avoir appris à jouer da piano soux la direction de Ladurner, II fut envoyé à Londres pour y apprendre la profession du commeree; mais bientôt, dégoûté d'un élat pour lequel Il ne se sentait point né, il revint a Paris, Accueilli dans le monde avec plaisir a cause de «on talent et de son esprit, il commença à se faire connaître par de petit« compositions telles que des romances quelques-unes de celles- ci eurent nn succèa de vogue. Un trio ponr piano, violon et violoncelle, qu'il publia vente même temps à Paris, At voir qu'il pouvait traiter avec talent la mnslqno instrumentale. D'autrea ouvrages plus considérables vinrent bientôt aug- menter sa réputation parmi les artistes. Il était liéd'amitiéaveete célèbre violoncelliste laroare. Gslot-d avait un style tout particulier dans sa manière déjouer de la baae, et il désirait le pro.pager par un genre dpnrosiquequi lui fût propre; mais, par nnesingolarité qu'il serait difficile dupliquer, il devait pu une Idée mélodique ni un trait dans ta tète qu'on pot employer dans un morceau de musique. A m prière, Auber écrivit tous les concertos de basse qui ont paru tous te nom de ce virtuose, et même quelques autres qnt mal restés en manuscrit. Le publie croyait que ce* contertoa étaient doLamare mais tous les artistes savaient qu'ils étaient dus au talent d'Auber. Le caractère original de cette musique produisit une assez vive sensation dans le monde, et l'on prévit dès tors que W jeune compositeur à qui on la devait se ferait un jour une brillante réputation. Vers le même templl, Auber écrivit un concerto de violon qui lut exécuté au Conservatoire de musique de Paris par Mbm», et qui obtint un brillant succès.

Le désir de travailler pour le théâtre lui avait déjà fait remettre en musique l'ancien opéra comique toUtelé Julie, avec accompagnement de deus violons, deux altos, violoncelle et contrebasse. Cet ouvrage, qui renfermait plusieurs morceauxehannants, (Ut représenté surun théâtre d'amateurs à Paris, et reçut beaucoup d'applaudissements. Peu de temps après, Auber écrivit pour le peUt théâtre de M. de Caraman, prlaee de Chimay, un autre opéra avec orchestre complet, dont il a «ré depuis lora plusieurs morceaux pour ses autres ouvrages.

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