Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 178 à 178 sur 522

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 522

Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 69%.


venus de l'antiquité. A l'égard de la doctrine e\|wsée par Aristide, koos le rapport de la dlvl- sion da l'échelle musicale, elle est conforme à^, la théorie du nombres de Pytliagore. Je crois donc que le P. Martini s'est trompé sur le sens «les parolea de cet auteur» lorsqu'il a dit qo'A- ristide a divisé dans le premier livre de son ouvrage le ton en deux demi-tons égaux mais qu'il ce conforme à la doctrine de Pytbagore ̃tans le troisième livre (1). Volet le texte grec Aôyov H p>j|u t^v npii «SXXqXoc xor' âotOpôv te<nv. 'AXora Si, «Sv otôeic «eo; m-&* Xô>« •tytatmu. ToO |Uy oîv Sià Twuapwv ioVot eativ initpito;. ToO «uxnsvtt, 4(uôXw«. Tou8è Jiànaoûv, 4 &tt)««Cuv. Tévoç Si, 4 irréf &»<; J'appelle rai.non les rapports qu'ils ont (les intervalles) entre eux selon le nombre. Les (intervalle*) irrationnels sont ceux dont on ne peut rendre raison. C'est ainsi que la quarte est dans le rapport de 3 s 4 ( ratio supertertia );çue celui de la quinte est de 2 3 ( ratio eesquialtera) celui de l'octave, de 1 2 (ratio dopla); et que celui du ton est de 8 9 (ratio superoc- t»va ). Il est évident que te P. Martini n'a pas donné assez d'attention ait sens de ce passage. Il est vrai qu'Aristide Qulntillien ajoute plus loin "Ett4iaùtûvâ|ji»iotiv iptta,5Ôiitt(KTT«. "Aptia yiv, etc tmc Suitçotf (uva 6* ?,ukovmv ml T£vov*inpKtà8r.>tàeU&vtera, <i«alir'éi*<nt;,ele, grnuite il en est (des Intervalles) qui sont pair*, et d'autres impairs, les intervalles pairs sont ceux qui peuvent dire divisés éga* lement, comme le demi-ton et le ton; lu impairs, ceux qui se divisent inégalement > comme tes dièses ternaires, etc. Mais l'auteur a eu en vue, dans ce passage» certaine classification des intervalles plutôt que la loi de leurs proportions. Tout le reste de l'ouvrage prouve d'ailleurs que la doctrine de Pytliagore était celle qu'Aristide avait adoptée. Je ne dois pas oublier de dire qu'Aristide Qulntillien a exposé d'une manière plus claire qu'aucun autre auteur les principes du rhylume de l'ancienne musique grecque. Le texte du traité de musique d'Aristide Quin- tillien a été publié par Meibomius, dans le deuxième volume de sa collection intitulée Anllqum rhusics auctores (Amsterdam, Elïévier, i6iî, a vol. in-4»); il y a joint une version la0) • la qnantoall» domina, o*tln teoriea delta rotule», < obbencb* net primo libto ogll nccla pnrola dalla dhrl« «lont del taon» In due «emltuonl ugaall, « dd dlwU tricotait s qoadnuitaU, toA pun,Meoado 11 •btenn dl AristoMcna, paru delta dlBeren», non gl» ddlo pro. punlonl degl1 IntertalU, d6 non o«laote ml decono > <lc|i* opéra, al llbro teno, juitlando di propodto dcg\" « lnlrr«alll, «gll a' unirorma al abtema nuagorico. » i««rftn(, Uor. dttta muttea, t. m, c. r, p. aie.)

̃ lino et bcaii(«up de iwIks critiques et granmia- · ̃ ttciiteg. te manuscrit dont il Re servit pour celle publication avait appartenu à Joseph Scallgei-, et était ensuite psusé dans la Mbliotlièque de Uytle 1 U lui fut communiqué par Daniel Ilemslus. Meibomius dit dans sa prélare qu'il confronta ce manuscrit avec deux autres l'un de la bibllntbèquedu collége delà Madulaine, a Oxlonl, j l'autre de la Bibliothèque Bodléienne, collationné par Gèrard Langbain; enfin, Sauiuaise lui en. voya de Paris divers pacage» rectifiés, ainsi que j des exemples de notation tirés des manuscrite i 24a&et 8460 in-fol, de la Oibliotlièque du Roi, h Paris, et Allacel lui envoya aussi de Rome les menu» passages et les mcines exemples de nu.tation qu'il avait copiés dan» un manuscrit de la Bibliothèque fiarberimw. L'identité des textes dans les bons manuscrits aurait da éclairer hielbomius «tir la nécessité de les étudier avec soin pour en saisir le sens; mats, arrêté en plus d'un endroit par des difficultés qu'il ne pouvait surmon- ter, il se penuada légèrement que ces passages avaient été corrompus par les copistes, et il leur substitua des corrections qui sont autant d'erreurs. Ces manuscrits (dit-il ) se rappor- · tent de telle sorte l'un à l'autre, qu'il. n'est pas difficile de voir qu'ils découlent tous de la mime source (I). Et dans un autre endroit il dit aussi Tôt» ces manuscrits ne m'ont servi qu'à me prouver que partout où il y a des Joutes, elles sont anciennes (2). Préoccupé de l'Idée de ces fautes prétendues, il a changé le sens de plusieurs phrases importantes, et a substitué & un exemple curieux d'une notation trèiancienne de la musique grecque, les signes plus modernes de la notation d'Alypius. Il fant lire, sur ces altérations do texte d'Aristide QuintiJMen par Meibomius, les mmarques fort savantes que Perne a fait insérer dans le troisième volume de la Revue musicale (p. 481-401 ). Il n'est pas Inutile de relever ici une inadvertance singulière échappée à Clavier dans l'article sur Aristide Quintillion, qu'il a donné dans la Biographie universelle àoMMaoà. Ce savant dit que l'édition da livre de cet écrivain donnée par Melboroius est la meilleure il avait oublié qu'il n'y en a pas d'antre. On assure que M. Vincent, de l'Académie des Inscriptions et belleslettres de l'Institut de France, travaille à une traduction de l'ouvrage d'Aristide Quintillien, qui (i) Qatppe tta loteriacontmiunt, ut ak onooomM ma» mate non dUBcoltw penpldatnr. ( H. Mdbom. la ne tdAriat.Qti!i>t,p.Mt.)

(9 AbbU terne au* ration* non mm» ad)ntt», qoam Otrad au* anetorttttevttcra nUqne monta ont eooflrmarmt(M. V<U>om,tapr<itfa!.kt$orlt*n*oto,i