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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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met; Venise, ICI9. Ses quatre livres déchantons a quatre voix titrent réimprimés à Venise en 1621. ANTENORI (Okvphrr), né a Padooi), dans la «scande moitié du quinzième siècle, est Indiqué quelquefois dans Jes anciens recueil» sons le nom ffffonophrlut Palavlmu. On connaît de lui quelques chanoons Italienne* à plusieurs voix,. dans le style vénitien, auxquelles on donnait le nom de frottait, et qui furent en usage au qulntlème siècle et an commeneement du «eitlème. Les /rottoles d'Anteoori sont insérées dans tes S-, 0"», 7"" et 8»» «m» de ce» chanson» publiées a Venise,"par Octave Petroeci, depuis 1504 jusqu'en 1608.

ANTES (Jeak), mécanicien anglais, vivait è Londres vers la fin du dhehnitième siècle. En 1801, il construisit un pupitre mécanique pour un quatuor, qni, an moyen de la pression d'une pédate, tournait la pages de la musique. De inventions du même genre mai» différentes par te mécanisme, ont été publiées depuis lors.( Voy. Patltet, Pulroche et Wagner).

ANTIIES (J.-A.), directeur de la société de chant à Escbbach, dans le duché deNassau.appelée Tammt liederkram, vers 1840-1848, s'est (ait connaître commecomposltear de mélodies vocales parlesouvragessuivants: \° 6 Petite Lieder faciles pour volxseoleavec piano, op. 3; Mayence, Schott, –3" 6 Lieder pour deux voix desoprano,oudeux voix d'hommes, avec piano, op. 4; {6.– 3» 6 Lieder avecaec facile, op. &;ibid.– 4° 0 Lieder faciles, op. 6 16 W.– 6» Trois duoa pour voix de femmes ou d'hommes avec piano op. 7; <M< J'ignore si c'est à ce mème M. Anthes ou à quelque, autre membredeea famille qu'on est redevable de deux bons ouvrages publies sous ces titres 1° Die Tonkunst im evangel,Cultus,mit einer GetcMchte der Mrchi, Sluslk (La musique dans le culte érangélique,avec une histoirede la musique d'église), par J.-O. Anthes; Wlesuaden.Friedrich, \m,in-V.–rAHgemeine/asslicJteBemerkun- gtnsur Yerbessenmy desevangel. Kirchengetanget (Remarques générales et faciles à comprendra sur l'amélioration dit chant des églises évangéliques), par le même; ibii. 1847, to-8°. – 3° Anleltung sum Gesang (Introduction an chant, suivie de il chorals et de 67 mélodies à Blwrieurs voix); Wiesbaden, Ritter.

ANTHIPPE, musicien grec, à qui Plndare (in Plut, de Musica) et Pollux (lib. IV, c. to, sect 78) ont attribué l'invention du mode lydien, que d'autres ot donné à Mélanippide (.Yoy. ce nom) et qoelqtws-un» à Torrèbe.

ANTIER (Marie), née à Lyon, en 1687 vint à Paris en 1711 et débuta presque aussitôt a l'Opéra, où elle joua pendant vingt-neuf ans.

C'était, dit-on, une actrice excullente, et l'on vante la manière dont elle jouait les rote» de magicienne dans la opéras de Lolll. Elle mourut à Paris le S décembre 17*7. Ce fut elle qui couronna le maréchal de ViUars, la première foi» qu'il alla è l'Opéra après I» bataille de Denain. ANTIGÉNIDE, Joneur de flûte, naquit a Tlièbes en Béotie. H apprit la musique sons la direction de PhOoxène, poSte-muricien, dont il devint le joueur de flûte ordinaire. Périctès le chargea d'enseigner cet instrument à AldMade. 11 était enthousiaste de son art, moins pour les applaudissements qu'il recueillait, que pour l'art lui-même; car il avait pour le goût de la multitude na mépris qu'il tachait d'inspirer à ses élèves. Il dit un jour à l'un d'eux qui, bien que fort habile, était peu applaudi de l'auditoire Joues pour la Mum et pour «toi. On rapporte a ce sujet l'anecdote suivante i Un joueur de flûte ayant été fort applaudi par le peuple, Antigénfde, qut n'était pas encore sorti de l'hyposcene, dit aussitôt > Pourquoi done tout re « brait ? t Certes il fant qu'il y ait ici quelque « chose de bien mauvais dansée qu'on a entendu; « s'il en était autrement, cet homme n'aurait pas « mérite tant d'applaudissements. » II est bon de remarquer qu'Athénée attribue ce propos à Asopodore de Phllase (Detpnosoph., lib. XIV). Antigénide fit à la flûte des changements utiles, en perfectionna la strnetnro, et augmenta le nombre des troua. Apulée (in Florid., teet. 4), prétend qu'il fut le premier qui trouva le moyen de jouet sur la même flûte dam les cinq modes éolien, ionien, lydien, phrygien et dorien. La supériorité de son talent était bien reconnue, si l'on en juge par ce mot d'Ëpaminondas, qu'on Tonlait effrayer en lui annonçant que tes Athéniens envoyaient contre lui des troupes équipées d'ar. mes de nouvelle invention Antigénide, dit-il, styflige-t-U lorsqu'il voit des jlûtea nouvelles entre les mains de Tellis? P

ANTINORI (Loms),néèBotognevers t697, fat l'un des plus habiles cbanteura du eommencement du dix-huitième acte. n possédait une voix de ténor pare, pénétrante, et joignait a cet avantage une méthode excellente. Il fut engagé pour le théâtre de Londres dirigé par Hamdel, et y débuta avec succès en 1726.

ANTIQUIS ( Jban d'), mattre de chapelle à l'église de Saint-Nicolas,!» Bart,dans le royaume de Naples, florlasait dans la seconde moitié du seizième siècle. On a do lui 1» VUtanettealla NapoUlana, a tre voci di diverslmusicl dl BaH, raccolte da Jo.de Antiquis.con alcune dette sue: Venise, ls74,in-8° obl. Les auteurs dont on trouve des pièces dans ce recueil «ont