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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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die Fràge 06 die Mtuih beydem Gottesdientt su dulden oder mcW? (Dissertation sur cette question La musique- peut-elle être tolérée dans le service divin?); Berlin, 1704, in-V\ 4 feuilles. –6" Venuch etner AbhaniHung con der Vrsa- ehen de* Hasses^ weleàti eitttgen Menschen gtgen die Mmik von sich Hickentasmn (Dis- sertation sur la cause de l'aversion que montrent certains homme* contre laninsiquc) Frakenhau- «en, 176i, in-4". Ce tielit écrit est sou* la forme «l'une lettre adressée) à Clm'-Uen-Goltlicb Schroeter. on attribue « Albrecht un pamphlet anonjme concernant la discussion de Marpurg et de Sorga j (foye; ces noms) sur les bases de la science dcriiarmanie;cc(iaifi|ililetap{)iirtitre: Gedanken eines Thvringische 'J'onkunslers ùberdle Forei- tigkeiten iwlschen Sorge und Murpwys (idées d'un musicien de la Thminge sur les déçussions entre Sorge et Marptirg); Atemandburg (nulle part), sans date, In-»0. Il ne faut pas confondre j cet opuscule avec le jugement sur cette discus- sion Inséré par Marpurg dans le cinquième vo. lume de «es essais histori<|ues et critiques sur la musique. Au surplus, Albrecht n'entendait pas mieux que les autres maîtres pris pour juges par Marpurg ces questions de théorie de l'harmonie j dans lesquelles Sorge était plus près de la vérité que ses antagonistes ce sujet était trop nouveau pouretre compris alor*.Albrc<;htaét6Téâileurdes j deux ouvrages d'Adlung Musica mecha.,7ica or. ganardt, et Siebengestirn ( voij. Adlung) il a joint une préface au premier, avec une notice sur la vie d'Adlung. Ses compositions consistent en 1° Cantates pour le vingt-quatrième dimanche après la Pentecôte, poésie et musique d'Albrecht, 1758. – 2* Passion selon les évangélistes; Mut- j liausen, 1759, in-8°. 3° MusikalUche Au/- munlerung fur die Anfœnger des Klaviers (Encouragement musical pour les clavecinistes commençants); Augsbourg, i703,in-8°– b°Mu- slkatlsche Au/munlening 1n klelnen Klavier j StUcken und Oden (Encouragement musical consistant en petites pièces et odes pour clave- cin)ï Berlin, 17f.3, in-4°.

ALBREGHTSBERGER ( jRAN-GeoncEs), savant harmoniste et organiste habile, né a Klos- teroeubonrg, petite ville de la basse Autriche, le 3 février 1730 entra fort jeune au chapitre de ci: lieu comme enfant de chœur. De là il passa à l'abbaye de Mœlk on 11 fut chargé de la direc- tion d'âne école gratuite. Monn, organiste de la cour, lui enseigna l'accompagnement et le contre- point. Devenu lui-même profond organiste, après plusieurs années d'un travail assidu, il fut appelé en cette qualité à Raab, puis 5 Mnria-Taferl et enfln à Moelle où il demeura pendant douze ans.

Lea ouvrages qu'il publia dans cet intervalle ayant propagé «4 réputation et la place d'orga. •»»*tc de ta cour do Vlenno étant devenue vacante, il f»t désigné, en I77î,ponr en remplir lesTotto tkmo. Vingt ans après, on le nomma maître do chaiielle d« l'église ea«t«itrate de Saint-ÊHenne. L'académie musicale de Vienne l'admit ait nombre de ses membres en 1793, et celle de Stockholm en 1798. Ce savant homme est mort à Vienne le 7 man l«09, et non en 1803, comme on l'a écrit dans le Dictionnaire historique dm Musicien» (Paris, 1810). Alhreehtsberger avait épousé, en 1708, Rosalie Weiss, tille de Bernard Weiss sculpteur, et en avait eu quinte enfants, neuf fils et six filles. De ces quinze enfants, douaa sont morts en bas âge. Ses tneilleorn élèves sont i" Beethoven; 2» Jo*. Eyblcr, premier maître de chapelle de la cour de Vienne 3° Jean Fusa, mort à l'esth te 0 mars ISIO; 4° Gœnsbaclier (Jean), qui a succédé à Preindl dans la place de maître de chapelle de Saint-Etienne; 5" J. li. Hummet, mattru de chapelle dn due de Saxe-Weimar; 0* le Iwron Nicolas do Krattl, mort à Vienne le 18 avril 1818; V Jos. Preindl, maître de chapelle de Saint-ÉUenne et de Saint-Pierre, mort a Vienne le 26 octobre 1823 8° le chevalier Ignace de Seyfried, mettre de chapelle et directeur de l'Opéra de Vienne; 9° et enfin Joseph Welgl, compositeur et directeur do l'Opéra de Vienne. Haydn, Beethoven et tous les grand* musiciens de l'Allemagne avaient la plu» haute estime pour Albrechtsberger, qullltait également recommandable comme écrivain didactique, comme organiste et comme compositeur de musique sacrée et Instrumentale.

Le nombre des ouvrages sortis de sa plume est immense. Le prince Nicolas Esterhasty-GaInntlia possèdeen manuscrit les suivants s I ° Vingtsix messes, dont dix-neuf sont avec accompagnement d'orchestre, une avec orgue, et six à quatre voix, a cnpelia.-2° Quaranto-trois graduels, 3* Trente-quatre offertoires. – 4° Cinq vêpres complète».– 6* Quatre litanies 6° Quatre psau- me*. 7° Quatre Te Deam. – 8» Deux Val Sancle Spiritus. 9° Six motets. io° Cinq Salve Regina.– il» Six Ave Regina– 12° Cinq Alma Bedentptorls.– 13° Deux Tantum Brgo. W Dix-lrait hymnes. – 16» Un Alleluia. 10° Dix morceaux tels que de Profundls, In- traits, leçons des Ténèbres et répons.– 17" Ora- torios les Pèlerins de Golgotha; l'Invention de la Croix la Naissance du Christ Applmuus mu. siens; De NalivilateJesu; Depaulone Chrlstl. i8nNenf cantiques.– Vf Un petit opéra allemand. – 20» Quarante quatuors fiiguén, «uvres