PROLOGUE
L'escalier.
Aux'plus longs jours de l'été, je montais l'avenue de la Grande-Armée, sous la pénombre du crépuscule, quand je fus arrêté tout à coup par les gestes déhanchés d'un grand monsieur titubant qui ne me paraissait pas jouir de toutson calme et de son entière sérénité. C'était mon ami Poivrier) en tenue hétéroclite,
frac, gilet blanc, pantalon noir et cravate fan-
fl.c1 .gi~et"bla~c" ,p~l)talonnoir,et o,ravate',fnn-
taisiste un simple melon couvrait son chef,
notablement repoussé en arrière et bosselé d'un vague renfoncement.
Eh bien! Poivrier,, lui dis-je, c'est poivrot qu'il faudrait te nommer ce soir.A quelles Folies-Bergère, à quel Skating~ à quel Bal des vaches te rends'tu, en cet accoutrement peu
classique v
Folies-Borgero, répliqua-t-il, d'u~ ? aviné, Skating. T}al dos vaches. t~ t'en~Ms
mouMr, Hm VteiUe, Je me rends de ce pa~~ 1~
-grando soirée dô M~lc'coMtti. du.'Nanitj! y:.
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