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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1939-03-12

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 12 mars 1939

Description : 1939/03/12 (Numéro 22656).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6836063

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

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LE CONFUT PRAGUE

Que sortira- 1- il

des événements

dramatiques

de Tchéco-SlDvaquie ? L'UNIT!

DE LA RÉPUBLIQUE EST EN JEU

Praguer Il mara.

D'UV Il:8. WOB COBBBBfj pAÊTICULIBR* L'acte d'én*^» du gouvernement de Prague, décidant hier matin de dissoudre le gouvernement slovaque» et Tes événements dramatiques qui ont suivi lionnent d'aboutir 4 la constitution d'un nouveau gouvernement slovaque.

La question posée à l'origine de ew faits récents est d'uns importance capitale non seulement pour L'Etat, mai* pour la confï* gurntion politique de l'Europe orientale.

Il ne s'agit de rien de moins que de 1'unit,5 ou de la dislocation de la République tchécoslovaque telle qu'elle eat sortie de l'accord de Munich et de Vienne, telle quelle a'e&t définie elle-mdme par les nouvelles lois constitutionnelles ymmulguées en octobre et nnvem6re.

On sait que cotte nouvelle est une répuWayant chacun deur Parlevtsfit et leur conseil des •ministres, fliaà ayant un seul préaident de la République, un seui minittre de la Guerre et uno aeu2e armée, un seul ministère des j Affaires étrangdres.

Cette situation drée au gouver̃ flsmsni central de où la Slovaquie est représentée d titre permanent pur le ministre slova- que S1dorj de redoutables difficultés. D'uno part, en effet, le gouvernement est responsable vis-àvia des puissances signataires des accord8 de Munich et de Vienne du maintien de l'ordre tant aux frontières que sur tout le territoire de la République d'autre part, il est loin d'avoir les coudéea franches vis-à-vis des gouvernements slovaque et ukrainien, très jaloux et comme enivrés de leur antonomie récemment conQu'on ajoute à cela le fait que la Bohême, l'Ukraine et la, Slovaqute viennent, chacune, d'étre désorganisées dans leur structure par de terribles amputations territoriales que Yon sange et la pression violenta que exerce sur la Bohéme pour lui faire accepter un régime politique autoritaire où le ,jeu de toutes les institutions démocratiques est suspendu que l'on en souvienne que la population de Slovaquie et, a fortiori, celle de T'Ukraine corpathique n'ont aucune maturité pvlitique et offrent une proie lacile aux agitateurs locaux comme aux influences étrangères, on Comprendra tvut Ie tragique de la Situation devanf laquelle ae central, actuellement présidé par M. Beran.

Ne considérons maintenanf que le problème slovaque. Les redations de la Slovaquie avec la Bo- hdme aont définiea par une décla- ration commune ladte d zilina {Slovaquie) le 6 octobre 1938, déclaration proclamant la volonté des Slovaques et des Tchèques de vivre en bon accord, et par la loi d'autonomie slovaque votée par le Parlement de Prague.

Lorsque oett& doi fut promu!. M. Sokol, président de la Diète slovaque, proclama que cette toi satisfaisait awx aspirations du peuple slovaque, répondait à la pensée de kfgr l3linJca} anima' teur du mouvement autonomiste, et mettait fin à jamais à la discorde des Tchèques et des SlovaSulte page 3

le contre de Madrid LES EORCES DE MIAJA ont dégagé la rue cTAlcala. mais du nord de la ville les troupes 1 communistes ont développé une violente contre-offensive entre le corps d'armée rappal6 du front par UT junte MtajaCasado et les forces dirigée. par les communistes.

Les troupes du comité national de défense paraissant avoir réussi à dégager la rue d'Alcaia, artère primipaJe de la vlHe. Canon», tanks, mitrailleuses, avions ont pris part à l'action. Les immeubles occupés par les communiste* ont été nettoyés à coups de bombes Incendiaires, ï/«dïfice du Conseil provincial a été la proie des flammes, avec ses En revanche, dans les quartiers nord et nord-est de Madrid, lea rebelles ont déclenché une violente contre-offensive, ayant pour but de faire pression sur le centre. Dans la *olr6e le brait de la bataille sa rapprochait de la Dmn Via qui débouche dand la rue Alcate, ce qui indiquât une progression des communistes dans cette direction. L'hôtel des Postes, les ministères de la Guerre et de la Marine, la Banque d'Espagne sont toujours au pouvoir de la junte qui, pour les protéger, lait fortifier la rtw Alcata jusqu'à son cMâftnient avec la Gr&n. Via. La paoeo âd Prado, où ne trouvent le célèbre musée et les granda hôtels, est complètement désert jusqu'à la xnre d'Atxha. Le Conseil national de défense, s'il sa sent débordé, compte faire appel à de nouveaux renforts.

I recevra; la tiare des mains du cardinal doyen

aujourd'hui i à 13 h. 30 X LE CARDINAL MAGLIONE secrétaire;^ D'ETAT

Rome, 11 mars,

pe kotrb entotS

Demain #ittti*i v& se dérouler '̃a, cérémonie du de Pie XII. Tout eat prêt pour cette grandiose et pompeuse cérémonie. Déjà le service l'ordre, en préVisio» d'une xffluence énorme, a fait disposer ians les artères qui débauchent \ur Ja place Saint-Pierre des bar'iéres de bois.

Hcrr» VITOUX

Surf» page 3

L'ESPAGNE rouvre

sa frontière aux réfugiés RAPATRIES

CHAQUE JOUR:

6.000 à 8.000

M. Georgea .Bonnet, ministre dea Affaires étrangères, a reçu, hier matin, M. Qumonw de Lean. M. Georges Bonnet avait insisté très vivement, à plusieurs reprises, au nom du gouvernement français pour demander la réouverture de la fronttêre espagnole aux réfugiés.

M. Quidones de Lean est venu apporter hier matin la réponse du gouvernement espagnol. L*a autorités espagnoles ont pris des mesures pour que. désormais, la frontière soit ouverte au rapatriement des réfugiés espagnols. Le nombre de ceux qui pourront rentrer sera sensiblement égal à celui des rapatriê'g des premiers jours, c'est-à-dire de 6.000 à S.OOtî par vingt-quatre heures.

Le ministre de l'Intérieur a immédiatement communiqué cette décision aux préfets des département.§ intéreasés et notamment à celui des Pyrénées Orient^leg pour organiser sur-le-champ les convois de départ.

réfugiés est déjà constitué en prévision de cette reprise des ra- patriements.

LES HEURES ATR Voir ps

Le voyage de M. Lebrun

à LONDRES Caîais, 11 mars [fi. Petit Parisien) L'organisation d'un voyage présidentiel n'est pas u«ie petite affaire. Parmi les paquebots qui fréquentent le port de CaJ&i*, le navire appartenant la S. A. G. A. Cea initialea désignent la Société anonyme de gérance et d'armement.

Le est bien coûbu des habltués de traversée du détroit. Avec la et le Oanterbury il assure les relations ̃entr-e Calais et Douvres et vice versa.

Sifff* pag* 3

Le décret

de convocation de l'Assemblée nationale

parait ce matin 1'{(Officiel»

Ce matin parait cm Journal officiel le décret convoquant ]e tee en Assamblée nationale le mercredi S avril prochain, à 14 heur. pour procéder l'Al*c*tîoa du Présidant de la Repuclique.

Rappelons à ce propos que !• chai de l'Etat doit toujours être élu à la mejoriié absolu*.

OCES DE MADRID ,g«3 c

Le procès WEIDMANN

2'journée) 1

r De

Lesobre.

La guerre au crime LE NOUVEAU

SLOGAN

DES ÉTATS-UNIS

Voir page 5

Ce que l'on trbuve annuellement dans ias. poubelles parisiennes 1 1.200 TONNES DE FER-BLANC D TONNES D'ÉTAIN Voir page 5

disque qui se joue

1 au mois de mars

TRES NUAGEUX tre après une faib1e baisse ment et assez fortement. L'anticyclone recouvrira la France et une grande partie du continent. Une perturbation qui passera sur le nord de l'Eiiropft effleurera notre pays. Le ciel sera devenu très nuageux dveC quelques passa.gères ondées.

Le beau temps régnera cependant sur le Sud et le Sud-Est. Les vents scront faibles et sur la vallée du Ehânc le mistral deviendra moins fort. La température restera stationnaire.

ETRANGE audience et qui lui animée presque entièrement par le bâtonnier Pianty, obstiné, sarcastïque et mystérieux.

Excepté Weidmziw, qui dut se tever quelquefois potii consentir, d'une voix éteinte, à ceux qui le quelques tépoDS*s mono^3yllabique&, les accuse^, et et dialiul\&, avoir été coaVies, comme les joies, la cour et à à un« curieu» cantrorarst entre les détensaurs d» deux vxtimes et ceux dun assassin, Etrange, en effet, cette situation d'un qui roco/inaît pable de cinq meurtres el qui, pour deux d'enlre eux, *o voit ooùi#*(*r g*s aveux par ses avocats.

Weidaiaiîti. procJam* M1 Pîaaty C«nir£rfeineWeiti«jif aoufenu par M" de Moio-Giaiïeri dont les silences mêmes ont de Vèloqu&iK*}, Weidnsftn s'obstine à vous dire qu'il c rué le nujlh^ureaji Lesokre et l'infortuné Fiommer. Nous sommes (ondég à croire qu'il prend à son compte deux forfaits clone il est innocent. La justice et la police et rétiii pour J&5 autre* ctîjiuft des pteuvva définitive*, mais ces deux-Jà n^ sont établis que tut les du soi- disait S'il Jui advenait de se j^lrarter, il mettrait l'accusation dans l'impossibilité D'établir la preuve.

Mais il ne se réfroete pa».F obmtve doucejuvnt /arûcaî de la Ripu. ta deuil da son mari assassiné. Luette Tynaiie adjure celui qui sait et- tait de livrai le nom de /'inconnu qui tua M. latobiq. Les de l'autre partie çivile se joignent à elle pour conncâtm l'autre îacainufau méroe qui tua Ff&mmei.

Et Wâidiaaiin de murmurer sans conviction

Cet iodi C'est fcoi l

Sur quoi M* Planty so dretse, *'empor# de «f aweaiiawnf pour con- le. jurés qu'il le faut interpréter comme une dénégation 1. L* secret de son client sfeigue Topprease; il voudrait ftbfftilir de lui Je droft de j'en délivrai.

Ainsi Je personnage, invisible et sans nom, qui et été introduit par la défonae ou début du proeê* ra-t-U occuper pi*aqv« fout* Ja mXrado audience. Hier il étaJi dans ia villa la Vauîzit endormi dan* un. fermée de/, el Weidmarui. avait hrûlé le' carfouchu de son itrolrtr poux J'éveilïer.

Il 11 appâtait presque- et prend corps: ̃̃zrgtmt Choqvei l'a vu en compagnie de Lesobie. mais ne l'a pas dévisagé. Weidinaun n'était pas le seul à s'informer de villas à foyer dan* la légion, Les correspondances adressées au nom de Kantr n'étaient pas foule» poux Weidmann[. que lui s* tcrisai'/lJ'l1t. Clppélet )fan*r J. Enfin ce n'sst par Weid. manxi le repris dit Jujfice dont la pauvre Froauaer avouer à son onete hx périlteuœ Celui qu'il avait conau en prison en JÏJJ«ncgn*.» c'était Siegtiied Sauerbray.

Maintenant le personnage n'est, presque plu» Jariiffcfo piérqua plus ûJiOnyrti*

Et l'oit discute «rn* étvbîii *f WeidmaTui s'était fit pamr pour eu si le vrai Sttu&btuy était pas en chair et en os de, rière Weidmtmn, s'il, n'empruntait pas. lui aussi de3 patadtmyaas pour commerire des crimes, s'il aa serait peur, pour deux ode* au. znoJnr îm d«uo o* machina de l'atroce drame en tableaux,

Etitiage audience, *n vérité Et caniuM. Et pénible aussi en de frop longs mstonta, lorsque défilèrent les témùins d. moralité, dm* vietfatm Car 7es victimes ou tomhàvu durent sm défendre a« prifoin, Dans /ear baxr Miilioar Jean Bîaacr Colette ï/ftw «àjraieflt''tai débat8 avec que]que.ennui: Weidmaan paraissait attentif pu, le geste du garde républhaln qui. d'un» main sur TépauJe, 1. faisait le, ou Rasseoir lorsqu'un* lui était posée.

Le président tœmJé accélérait autant qu'il se pouvaft !sa taierroQatoiiQS,

Voulez-roui dire à œessieuzs Jet Juré* cela M'mmt passé ? 11 s'agit de mort de Frommer. L'crcett*â, d'un; signe ̃ de tête, » retas* à faire le lécït ttagique.

~.W«t? Vous ae voûtez pas?, 7ai-h vous ssalex pn* Ja fort»? Alors Tvctiiiez m je commet j un* erïçtir. Et le présidera laomlé relate le nreartra, dortna chUIre du bénéfice tioi? cents fiaaea et une paire de chaussures trop éfreites qui you* ool-Ant janl aux Pieds quand voua are^ t«jJu Um porter.™

Suite page 7 Louis ROUBAUD

Mm. Lesobre, M. Lesobre père.KT'Couffy Photo p, f.

LA TERREUR au camp d'Argelès Perpignan, Il mara (dépêche Petit Pariaiw,}

Un réfugié espagnol vient d'être assassiné av camp d'Argelfes dans des conditions atroces.. Deux offiders espagnols, le commandant Alcaraz et le capitaine ï^ardo. aperçurent, mardi soir, au bord de la mer, à E« limite dfes campa 4 et 5, une douzaine d'hommes qui en regard aient un autre se débattre dans l'eau. Ohaque fols que ce malheureux ae rapprode la rive, un membre du groupe se jetait sur lui et, à coupa de poing et de pied, le repoussait dans la mer.

Sulie page 3

Le troisième fils de Fex- Kaiser

est arrivé hier soir fi Paris


LA BRILLANTE CARRIERE DU CARDINAL MAGLIONE

Ivô cardinal Maglione est né il un petit village des envide Nftplca, le 2 jasais 1STÏ. It commença, ses études au séminaire de Cerreto-Sanlta et les termina à au collège dee Jésuites. Ses grades universitaires conquis, il su rendit à Rome pour sa préparer au sacerdoce et entra au célèbre collège Caprantaa, Il suivit, à la itnëme époque, les cour- de philosophie et -de thoologic à l'université grégorienne, où Il se distingua par la solidité de son esprit et se vit confier la charge de préfet des cercles académiques.

Louis Mariions était ordonné prêtre le juillet 1901. Il tint cependant à consacrer deux nonVaries années à l'étude du droit à la faculté de l'Apollinaire. Il entrait a l'académie ecclésiastique en pour ae préparer la carrière Il n y fit ses débuts en qualité de secrétaire de la délégation apostolique, en 1908. à Costa-Rica, Il fut bien vite rappelé à Rome pour y devenir ̃m.in.ulantç à la «cTétairerie d'Etat pour les affaires ecclési astique Il devait occuper ce poste jusqu'au février 1918, date à laquelle il «ueeéda à Berne, à titre extraordinaire, au cardjnal M&rchettlSelvag-gianf.

Pendant cas dix armées de secré taii-eris d'Etat, il Eut mé!é non seulement il la vie laborieuse du Vatican, mais encore, il professa le droit canonique public à l'académie ecclésiastique.

Qttaûd, le 18 mare 1918, Mgr Ma. gitane arriva à Berne, les relations officielles n'étaient pas encore rétablies entre la Suisse et le SaintSiège. Son prédécesseur pe réaldant à Berne qu'à titre- offleietrx surtout de. questions touchant l'assigtanca rus victimes de la g^ierre. Mgr Hagiioné continua cette œuvre avec beaucoup de taet et de dévouement. Ces qualïtéa lui valurent du Conseil fédéral et c'est on influence per-

floancile qui contribua au rétablissement de la nonciature de Berne, dont il devint le premier titulaire le X"T septembre 1920, après quar-ante-sept aas d'iûterruptlon. Le même jour, le Pape le nommait archevêque de Césarée, en Une. Le 2ti septembre 1920, le cardinal Gasparri le sacrait à Rome, dans l'église Sainte Marie du Au mois de mai Il succéda, au cardinal Cerrôttit à la nonciature apostolique de Paris. Le choix du cardinal Maglione pour la nonciature de Paria fut considéré comme une faveur apéciale du Saint-Slège. La nonciature de Berne tenait, en effet, dana la diplomatie pontificale une place de tout premier rang par l'importanca des négociations qui lui étalent conûèïa. La Pape n'étant p&a représenté à la Société des nations et ne pouvant rester étranger à ses travaux, c'est au nonce de Berne qu'il appartenait d'être rôle fut rempli par Mgr Maglltme avec une discrétion parfaite qui permit au Pape absent de Genève sur les travaux de la D, N. Cee grandes qualités de diplomate, cotte grande autorité personnelle due à son amabilité tempérée de réserve sa profonde des affaires, Mgr Maglione sut le faire apprécier égaEn juin 1931, M, Doumergue lui conférait 2a grand* croix de la Légion d'honneur et. apr&s neuf anniées d'une brillante nonciature. Mgn- Ma-sHoue Ata.il élevé, en même temps que Mgr Baudrillart, il. la dignité cardinalice Le lA le nouveau cardinal recevait la barrette de^ mairm du Président de la République- Peu après, Mgr Maglionc regagnait Konve, emportant la profonde reconnaissance des catholiques français, ftiln d'assumer les hautes fonction^ de préfet dc la Sacré Congrégation du Concile-

René BOULANGER,

Les juifs expulsés d'Italie se présentent en masse àla frontière française

Nice, 11 mars itiëp. F, Parisien.) Il y a quelque temps. on décidait, en ltalie, d'expulser tous lesIftes étrangers qui s'étaient installés dana le pays après 1919. Un délai leur était imparti. Tous ces indésirables Roumains, Tutcs, Polonais, Tabécoelo vaques ou AU&ritoire italien avant le 12 mars, On leur facilita cet exode en leur demandant vera quelle frontière ils untandaietit se diriger. La majeure Tjitrtifi de ces exilés demanda à être dirigée vers notre frontière d'aucune voulurent obtenir de la part des autorités consulaires françaises en Italie des visas qui ̃leur furent refusés et ils se virent interdire l'accès da notre territoire. En arrivant :il. la frontière, comme les autorités fasciste^ leur donna.ient l'ordre de ne plue séjourne en terre italienne, ces hommes, ces femmes et ces enfants «poussés ee réfugier sur la terre hoapitalière entre toutes et. ne pouvant entrer en France par les postes frontières, ita résolurent d'y pénétrer par des voiea détûurnéâs-

Jja trouvèrent alors des Indlvlle© situations, avaient organisé un guides, on pouvait entrer en de douane, en suivant des aentier-s escarpés dana la montagne et, iL une véritable invasion de ces indésirables dans notre département; à telle enseigne que, à Nice, un comité s'est formé pour venir en aide a cea nomades, à qui l'on donne nourriture et hébergamant. Mais cela ne fait pas l'affaire des autorités et le service de surveillance de la Jrontière a été renforcé. On parvient tefffuler pas mal de ces indésirables et ceux eer «ntre Iw mailles du cordon policier, on les arrête et on les défère au parque^ sûUû l'inculpatian d'infraction a un décreWoidu 2 mai 1D38, qui punit l'immtgtttion clandestine mais les juge» n'admettent pas cette thèse, ils se refusprtt à considérer ces genS comme d<ï$ tmmÊgréfl clandastluK. La «it nation devient donc fort complexe et elle va atteindre un réel caractère d'acuité, du fait de l'expiration du délai imparti aux

italien. On prétend, en effet, qu'il y en a encore près de einq mille qui attendent pour faire irruption en France. Des lors, le problème se complique étrftfleemettt

UN DÉPART A LA ROCHELLE La Il mars idêp. P. P.) 250 juifs des deux sexes, presque tous jeunes, venant surtout d/Alse sont embarqués auà à la Rochelle, à bord du rendre i la Havane, ou. ên Bolivie, OU au CMli.

M. LE^BEAU

chevalier du "Tastevin" Oîjon, Il mars lAép. Petit Paria.) M. Georges Le Beau, gouverneur généra! de été reçu ce soir chevalier du Tarte vin, au cours d'an dîner à Nuita-SaintGeorgea pliaieura de ses collaboratçui-fl oiit partagé avec lui les honneura de cette inveatàtwe à de Iaqu*Ue le gouverneup général, qu'avait salué M. Georgw Faiveley, £r*nd-cnaitre de la confrérie, ainsi que M. Georgea Rozet, de la a prononcé un discours qu'il a conclu ainsi

Je vous demande à voua, Bourguignons qui de ré-' clamer à va. «*u# et aux pouvoirspublic» la de cette « é conomie impériale de- laquelle je vois pour ma part le salut du paye, Les Als;ériena vous remercient et vous saluent. !la voiis donnenit 'l'assurance que si certains avaient le désir de venir en Algérie, ils verront un paya où le génie français a tout transformé il! seront accueillis à hras ouverts avec cette cordiale fraternité qui dodt unir plus que jamais tous ceux qui communient dans un même désir de collaboration intellectuelle, essence du génie frs.ne.aia.

Le maréchal G«ehng sur la Côte d'Azur

Menton, Il marB.

Le marechal qui eoactuellement 'à San-Rftmoi s'agt rendu par la. route à MonteCarlo et è. Nice où Il a passé quelques heures.

Une conférence de M. Devèze, ministre d'Etat de Belgique, sur la position internationale de, son pays.

Lille, 11 mûiTS (.dêp. P. Parisien.) M. Albert Devèïe, ministre d'Etat de Belgique, répondant à l'invitation des Amitiés francobelges, est arrivé à Lille. Le bâtonnier des avocats de Bruxelles de commerce. Dans la il i pronoivcè, à la Société industrielle, un nombreux public, une ou« ». Apres lait l'historique d2 la. politique extérieure de son pxy& depuis la fondation de l'Ewt belge jusqu'à la Gr&nd$ Guerre, 'le briltant arateur passa en revu* tralité. II parla des années d'après guerre et montra les graves raisons qui ont déterminé notre voi- cine à modifier sa politique exièrieure traditionnelle.

M. Devèze énuméra lea mesures prises par la Belgique pourtir son territoire contre tout^. inet poursuivit

Avant tont, quel est lé devoir de Ia Belgique ? Elle doit faire que son territoire ne puisse âamaia être utilisé contre 1'une quelconque de a es voisines comme couloir d'invasion, qu'il ne puisse servir «le base militaire ni de basa navale ou aérienne. Et c'est pourquoi eUe a porté 'la défense mi!itaire au maximum. La résistance est préparée en permanence, De nouvelle 3 fortifications ont è-té I édifiées à la frontière.

Et l'orateur cite les abrîe du Limbourg, le guêpier du Luxembourg, le centre fortifié du plateau de Hervé, la mise en état des trou.pas de réserve.

.Dès le moment où la Belgique se que peuvent demander les nations amies? Peut.on lui demander d'être mante ou alliée raticas franco-an pi aiae du 24 avril l9S7t prenant acte de notre déterminatian de défendre avec toutes forces les Irontièrf» belges contre l'invasion, d'empêcher que le territoire puisse être utilisé contre Un autre Etat, comme passage ou base d'opérations par terre, par mer on dans les airs et d'organiser cet effet la défense de spn terriEn conséquence, la France et l'Angleterre maintiennent teur engagement à la Belgique. Jj'Allema^ne a fait à la Belune déclaration identique, mais elle ajoute que cette ffa.ra.ntie cesse si nous prenans part à une action militaire dirigée qpntre l'Allemagne, Pourquoi l'Allemagne a-t-elle fait cette déclaration ? se demande M. Devèze. Pour ne pas avoir à craindre une invasion à le le territoire belge, si elle agit l'Est, et non pour faire, vis-à-via de ia France et de l'Angleiatve, un geste d-apaiacm»iit. Dune, at la fielgique ne doit pas préjugiir de l'hypocrisie de J'AH&magne, elle ne-doit cependant ni retardes1, ni diminuer la. mise en état de déf&nae militaire, car 1a leçon de 19J4 ne doit pas être oublHer La Belgique déclare, en' outre, qu'il ne peut y avoir sur sop territo-ire de paeaafififl de. troupes étrange re^ sans .en consentement, sous peine dTatt«ïiter p. saraineté.

Aspect sentimental du problème: la Belgique garde bon amitié aux nations qui mêlèrent 1e sang de leurs enfants à celui des siens, à .1a France, à l'Aàgleterre, à l'Italie, mais elle a conservé ausai la notion la plus élevée de sa dignité de peuple libre, aouctoux de sa liberté souveraine.

Le public a fait un chaleureux accueil au brillant Qui fut souvent interrompu par les applaudissements.

Dans l'état major général de l'armée

Le Journal officiel publie ce matin un important mouvement de mutations dans l'état-major général de l'armée.

Parmi ces mutations, nous raievons les suivantea

Le général de Frère, commandant la 5' région, est nommé au commandant de la 10"

Le général de division Montagne. commandant la 18. région, nommé au commandant de la région de Paria.

Le général de division Rochard, commandant la division de Constafitlae, nommé au commandement de la l* région.

Le général de division de Fornel de la Laurencie, commandant la première division de cavalerie, nommé au commandement de la régïon. Le général d« division Loize&u, commandant îa 12* divid'jnfanterlej nommé gouverrieur militaire de Metz, commandent la région,

LES SIX JOURS 1 disque que l'on Joue au mois de mars,

ejs Six Jourd durent depuis dix I mï'He jours. en France, mencé. Je ne vais rue N<*bton que pour .eux. chaque année. Toujours je les retrouve à sombiabks, ces Six Jours et leurs hommes à hicydette. Lfes roiies tourrjfirt. La ronde va. Mais, en fait, ce mouvement constant ce inâni, sans but. qui desskie la forme d'un œuf, t'est lui qui représente rïmmobiUté Et de sont les apectsteurs, toris impliqués dans les respopiabiJïtés et }es âventuftj de: la vie, qui sont ctuportés par un* de déplacement. Et c'est le monde humain tout entier, à l'extérieur du vélcjdtûme, qui tournoie dans l'inquiétude. Les champions « blancs >/ « vert, wlcrette blanche jaûiK » ou « blanc à pois rouges de saison en saison- dans le &ï&en.<x et la souplesse de leut course, La la perj>etuité mécanique d'une dcmooah-atioû désormais traditionnelle qui permet eux gens qui retournent la. riflinder de se deder si \e spectacle qui se déroule sous \eiiTs yeux n'est pas daté de 1934 on de 1925.

Les Six Joutw. un disque que l'on joue au .mois de mars un dii- que bizarre, plein de hurtenwflts et de coupe de pistolt dans- 1'atmo- aphère. dans la musique duquel n'importe qui peut pénétrer pûuf y tenir un petit t&t en commandant, par eaemplt, un bock à l'un des cafés de la pelouse. C'est un disque bien que J'on aime sans doute pour sa rengaine, à la fois actuel et ancien. Quand il tourne, oe disque sonore et visuel. on oublie m peu le présent tant les codeurs, la pou«ière, Ié»|

tutfc dans Iea traces îafaeées à la méLes types Six }vu&, dont chacun et le moteur bien huilé de la machine qui te porte. 5' appellent ou s'appelèrent Guioibs-etière ou Lapébie Pijiwnburg ou BrpcartJo» WajQÎifit ^pu Laoquehay, iouéfc! aux !yiv« oowleurs glissant sur -l'éraMe poli. Les, vives, et le païKjue-t déclive est touAilleurs, Sa guerre d'Espagne saditve. Eux, lia pédalent. d'Espagne battait son plefau Eux, ils pédalaient,

!1 a deœï ans, la Belgique apiparaissajt fort troublée par k* vidssitud&S de sa pdlitique. Eux, il. pédalaient.

Le Sénat français était agité paf des discutions importantes et graves. A BâJe. un >oumaiHst« Etait enlevé. Eux, les fameux £cunu&>. ils comme de£ laspinis. L'affaire Stavisky apparut avec ses odeurs de faisandage et ses commissions d'Enquête où la dignité de la paroŒe humaine fut mise à rude épreuve. Au Wîadrou», Si pédalaiÉîit.

En 1933, la politwiu* iateraationaJe suscite à la Chambre de vastes débats. En I932f 1931, 1930, l'apresguerre, 1925, 1924, ils peda^atwit, ils pêdabieDt, iis pédalaient.

Es pêdsHeat encore au fracaa monotone des proies pour l'agrément des populaires et aussi des vedettes du théâtre et du cinéma, toujours fidèles à la gloire de patronner des embafeges comme on disait au i Jecqiîes

UN PRIX UTTERA1RE

MARQUAIT HIER L'OUVERTURE DE LA SEMAINE DE BONTÉ Il m. été décerné à la poéteita Marie Noël

Placé sous l'égide malleh, qui fut ]Tincompa.raible zélade ce 1 1 6 maiiïfe*tati<m annuelle dont le r&tentiasementeist devenu si considérable, ce prix, d'une de francs, a pfnar dessein de Couronner une œuvre qui exalte les plus nobles sentiments do générosité et d'humanité.

A les membres du jury, réunid sou* la présidence de jean Vi^naud. prêaldent de la Société .des gêna de lettres, et papniî lesquels -se: trouvaient MM. Atael Bonnard. H^cry Bordeaux, et de TAcadéruifl f £4iKal«L Mmea C a i» U e Jla-rbo, Marcelle Adam, Isabelle Sajidy MM. Maurice Boufdftt, Paul Brulat, T Pierre André Délacour et Andï-é Dumas, Mlle Marie Noël; résidant Auxerre. Leur chbix aéra, dtmtflna pas ratifia par tous. Marie et]. grand poète ea.thollqu*, n's «aeé dans divers livre*: les. Chanjsons et les Heures, le Rosaire dea les Chants de la Merci; d'exprimer l'une des pl^s 'purtfi tendf<3*sea qu'on puisse porter Aux âmes et a leurs miseras.

En de» etrophoa qui évoquent souvent la cadence elle a chanté aa foi et. sa piété et elle est devenue à toua les titres ootte k rosé mystique > d'Auxçrre dont a parte eymod Eaûbûlier. Mais Marte Noël ne s'est pas contentée do dire il. de Dieu et des humbles. Elle a mis sa poésio an action. Sa bonté est celle Il est heureus. que le prix qui vient de lui être décerné consacre à la fois un grand écrivain et un grand cceur.

LA SESSION

DU CONSEIL MUNICIPAL S'WVRIRA LE 15 MARS Le pr&fet de la Seiae vient pw &r- de Psi-la pour as pr«nî*ro se»afon de le iflerorfrdi 15 tb&ts.

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Mort de Fernanâ Yanderem On annonce décès survenu eon domicile, 19, rue de le Trémoille, du dramaturge, romancier disparaît à l'âge de soixante-seize ans.

M. Fernand Vanderem, dont 3es Française «t dana différents théàr ttea pariaLsna, a écrit aussi de nombreux romans, La Centtre, le te velours, ïe Calice, les Fresnays-, sont de ses œuvrea que J'on cite le plus souvent. Suivant de très près le mouvement littéraire de notre époque, Fertwftd tenait. d'une plume alerte et souvent incisive, âifférentea chroniques dans divers quotidiens et hebdomadaires, et on lui doit encore de pénétrantes études critiques.

Une exposition

des artistes yougoslaves de Paris

Sous le haut patronage du prince résent Paul de Yougofrl&vle, alavie à Paris, et Huïaman, direcartiste* de Pari*, peintres, sculpteurs et architectes,' vont inaugurer leur exposition annuelle oui aura lieu du 13 au 24 mara a la galeria Bernhfilra jeune et Cie, S3, rue du FaubourgSain t-Honoriè.

Le vernissage de l'exposition aura lieu demain à 15 heures. A la recherche des bijoux de Mme Felïowes

La police judiciaire a continué eea recherchas, afin de retrouver les 6 millions de bijoux dérobés, rue Saint- James, Neuilly-aurSeine, à Mme ReglnaM Fel1owee. Dès les premières heurte de la matinée, hier. vlngt-cinq ïnepecteura ont commencé à fouiller minutieusement l'Intérieur du cqnfortable hôtel. Il. commencèrent par l'endroit même où le voi été effectué, soit dans une salle de bains et dans le living-room attenant les bijoux sa trouvant d&pOfléfl dans Tune de ces deux pièces. Avec méthode, les soixante pièces de la maison furent via ces, les tiroirs vidés, les tapis aotitevég, 1es dallages et plancher.% sondés, l'âxtérieur dea fendtrea examitic. Ces opérations ne donnèrent aucun résultat.

Le g polie ien$ viai tarent ensuite, avec le même soin, le jardin. Le Roche«. chet de la brigade spéciale, dirigeant peraonneïlement Iea opération*. Dan» le jatdln, on rechercha non seulement si lea fameux bijoux n'avalent pas été enterras, mais encore Ni des tracée de pas, restées eue ta terre humide ou le gra,se dea atfees, ne permettraient pas de trouver une ptote.

M. Antonin PL AN TIN chevalier de la Légion d'honneur! Nous apprenons avec plaisir la nomination, au grade de chevalier de la Légion d'honneur de' IL Antonïn Plantin, da 1a publicité ¥ManUn, de Lyon, et reprâ sentant tom- mçrcïe.1 du Petit Parisien depuis février

Mobilisé 18 5 caporal, au'54* territorial de Besah* çon au. front le 2 neveanïïte 1914, aut acquérir l'estime dfi ses chefs et un avancement rapide îe trouve avec une proposition 'Se aoua-Iieutenaat lorsqu'il fut blessé, le ]0 novembre if 15,

Kendu à, la vie civile en., 19.1-8. son activité s'exerce non seule-

ment dans le domaine de la pùbttcité, où il occupe une situation prépondérante, m ai également dana Je commerce lyonnais, ou ses qualité appréciées n'ont; d'égales que son dévouement.

Fondateur du Syndicat lyonnais de la publicité en président de l'Union régionale de la- publicité, membre du conseil d'adminisde la Fédération française de 1a puibHcité, a été proposé pour la Légion d'honneur à la suite d'un voeu du Syndicat lyonnais de la pu&lcité en 1933 et da la Fédération française de la publicité Juge au tribunal de comniercé de Lyon depuis janvier 1935. Noua applaudissons à cette juste et et sommes heurpux d'offrir à notre dévoua collaborateur nos bien vives félicitation! A l'Académie des beaux-arts Ij' Académie des beaux-arto su cours d-e sa avance d'hier l'aLlrlbution de plusieure pria, importautâ. C« sont la prix &9rn3ef qui été ùinai ï-6]xirti â-âres A MM. Fleuriot de Langleh G. Cordeyr Jean Ro-birçuct. Jacques Diipor[-et et E. MÉchei 3.00& francs à M. de Cul-aon 500 fraticH à MM. Hlcaud, Eour^fiJi et Fcdgal le prix Mar~mottan. de 9.000 francs, qui a été partagé entre M. Dumesnil le. auteurs d'une Importante hlatoire de l'âi-t le prix CAtsn*cd. de 3.600 fr., qui été voté à H. Bru net pour travaux à té^Upe te prix d' illustrât ton quo tAgrent Mit Atubroseill (1.B00 Brouille!' (1500 francs) et Aufort fl.SOO frajica) 1e prix de a.eOft francs, qié. échoit à M. Haut»^cœur la prix Eailly, de franca, qui a été attribué k VL Labro et, fwiftn. le prix. RtcMexibergK'; Qui Il été aocord^ P. W*t/ J. de Màilîy- a^anl. ?.J. Guth, H. Meyrfl, Sajohç et Jerotcl pour entrer en îogp en vue des de Rome Enfin, «lia. a entendu le compte rendu ppr If. David Wèàll d'uiY voyage qu'il vient de faire h G-erftvE en vue de visiter -Ira d'objets d'wt en du Prado. Il a siçnaie notn/nmeut le parfait État des espagnoles dont l'tmbâLïa^« et le transport ont été Purveiiîléa avec un aoln tout particulier, Puis 1] 81 rendu hfliïiamge aux p«rle^ trAaOTS eejïH.£n«l5 et qui ont ensuite wia les meaurea peur en assurer la protection au p&laifl de la S- D, N.

Enfin, il a «xprimi le rau de voir jsrwliBiiienwnt s'ouvrir en France expoallion où le public pourrait admirer les nrincinaux otwfo d'oeu\wt sauvés du désastre.

A L'ORDRE DE LA NATION A-titre posthume, ost cité à i'ordre de 1a nation

M. Azig&BM, adjoint des services civils de Majd&g&scari détaché en trouvé la mort, le 27 février, dans un naufrage sur le fleuve Maxoni, au cours diïqTiel il r sacrifié aon existence an salut du chef de la Colonies et de ses autres compagnons de voyage.

Manifestation de sympathie Au csmm d'une réiuiion. p^idiéft le pewjomnwi du ootmnissu** d* Coet qui exerçait dfeptJl* vingt ans les fonctlcdis de aerrétaire auppléam..

BOUT DE L'AN

IL Y a UN AN qu'un monde exquis a cessé d'être. Je pense h. mes amis d'Autriche bien souvent. J'y pense aujourd'hui davantage. Ilâ étaien2 gais. < La vie. est un Jeu :il disaieiïi-lls. Ils «valent bien que non, qu'tEe. est- un dur Combat, qu'ele était devenue pour eux un sombre drame. Mais ils feignaient 51 ^enfienent de l'ignorer I La bonne éducation ne consiate-t-tile paa à cacher Je a angoissçâ qu'on jâses amis t le revois Reinhairft à Saiibourg. Il espérait sauver [Autriche en établi de merveilléux programmes. Mais ceux-ci comportaient une grosMe mise de fond*, et î'Autriche, depuis longtemps, était ruiace. Reinhardt, alors, s'était tourné vers la généreust Amérique. Il avait réussi à attirer à Salïboutg et A logeait superbement dans son château de Leopodskroa un roi de l'acier qùil ï'appîiquait à éblouir. En l'hovneur de cet hâte utile, lui offrit un dlnef grandiose où figurait tout ce que D'Autriche comptait de plus brillant et de plus aimable l'archevêque de SaSrAourg. le mifiis- tre SeipeB, le prince de Bad«-Bade, l'écrivain dramatique Molnar, et 1m plus belle* aristocrates. les mieux titrée*.

Tout se passe admirablement RcinfaaKit déjà touche, en pensé», le cUque royal qui assurera la bonne mar^l* de la Grande Saison. Oa paMt dana Je p^jx baigné de lune où joue un invisible et mervÊiftettx OKheatr* ̃– QueUe splendeur! Queflïe magniftcerice î 5écrie rAraéricain trana- porté. QufcFle merveille Je n'at jamais rien- vu de pareil Ce Reinhardt qui .est doucement approché de lui. Vous avez dîné. crùy*2-vous. avec le ministre SeipeL archevêque de Salzbourg et de. altcusej myalea ? Tî n>n qui, magnifiquement grimés et animés par le génie incomparable de îîeichardt ont joué pour voua, ce soir, les rôles de et!! p«K>nnagex i2lustrls. Moî-mê*nçr le ne suis pas Molnar. Je auïs un acteur de la troupe, spécialisé dam les r6les dt composition. On dit que je l'imite très bien. L'Américain devient écarlate. On l'a dupé. Il ne reattfa pas une .?\ minute de plus chez ces bateleurs. Il monte à son appartement, commande sa voiture et fait 6ouder ses malles,

Cependant Reiohardt, afertt, lui dépêche son secrétaire, qui a'appii<?ue aie le reteair, lui jure qu'ïî s'agit là d une mauvaise plaisanterie» que tous les inviter sont rigoureusement authentiques* L'Américain Ht croit plu* rien. lil partira Le secrétaire, heureusement a une idée

11 existe un moyen, dit-il, de vous en convaincre vous-même, L'archevêque dit demain matin sa mesx au Dfime. Atleï-y et vous vetm bien à qui vous avez affaire.

Le lendemain, l'Américain court à 4 cathédrale, assiste la grand* messe et, naturellement, tout s'arrange. Une visite lIa la sacristie le soulage de ses derniers doutes, Il envoie aussitôt ses excuses à Reinhardt et verae au comité des fêtes un chèque de 100.000 dollars.

Reïnhardt, cependant, a eu chaud Le chèque a bien failli 1.1 paurr devant le ne.;¡; La Grande Saison a bien risqué d'être, sans recours. compromise. Mais Reinhardt n'en veut pas une seconde Mdtoar* Ga plaisanterie était très drble et en rit de tout son cceur. La vie est un jeu! Pauvre Autriche?

Paid GERALDY.

La du Souvenir aéra ravivé* par l'U. N. C.. sections du XVIDiTes, d'Aulnoia-Besny-Vivalae et tion des A. C. non pensionne* de Saiût-Omer et environs Union des officiera honoraire:! -et officier* en i-etraita de Bétfrune Amicale du 40S* H. 1.

Rx]K>*Uloa* Un de décorations et de récompena-ea françaises, nusAç de la. Monnaie, 11, Quai Conti. 13 h. à ïe heures. Six: ou sept leatarbçs. De la pbûto et du ci- nerïm, Prtc des expositions, ports peintren et aculpt*un. 44., rua. La C£i-AiDoiiie reil(fieo*B A A La mémoire des mérta dea 37e, H. X- et îï* ït. X- V-, 9 h. 4£, SaJnt-F&nïiBflad Cjjtttenftlf* de¡¡ Arwîeou, du lycée li îi. 15. lycée Louis-le-Grand,

sociale, 14 h. 30. Srvrtaonne. Ventes de charité r Œuvres rellgleu- sps et. sociale» de la-Croix de heures h 19 heures, i, rua Bon Foyer de BeU«rlU&, 14 h.r 8. G»l» de bienfaisance pour la zone, 14 h. théâtre lut de l'Orient.

Théàtr* dci La ChûsB-5 aux lions i, h. 30 et 15 h. 45. jiKlin du

Elections La r-in- des HaUos. ,21 h 1&. du Poiït-N^uf, pric^déa d'un banque* à Ifl h. $>. DE- 3a reine tflce des frprïçaLaes. SI h. Maglc-City.

B^uoivoa Combatt£.nt3 de main. de vingt ans, h. 30, 100, rue de Richelieu. Fédération deareufa de France, ̃ r\iç Mantpensier. Lea Picards de Paria (çnîuDe Gamard), 14 hh, 7, place combattante, J0 n., 35, rue Boiaay-d'An&laa.

Banquols les Combattants de moins de i.vlnst 3$ h. 30, 10G, rue de Union nationale des combattants (aectlOQ du II- arrondissement). 12 h, 3Û, pavillon Dauen boutique de Paris et dû sa banlieue. 19 n, ^0, Ariégeoi!! de Paria, 12 h,, ne, rue d'Aléâïa. Association amicale des aactem -militaires et combattants des R. 1, et R. J. T.. 12 h., hôtel Moderne;

Co«fercB»i M.dation et synthèse d« l'aclda urlquâ vivants s, 14 il. 30. rue Sajnt-Marttn. M. Deys l'Intervention du la chimie dans ï'iu-t de la parfumerie s-, 15 h. 30. Pilafa de la découverte, M. A. Walder ? les Sources étymolorl-

flues de la ]aû£uê rraacaUe ïl IL. 6. rue Huyrh*os.

F*tes Içï Centres de vacance* en montagne, 14 a., h*tel Lutétia, La Violette. U h., mairie du v VT*. L'Union n!vernai»e, M h. 30, place du Cardinal Ametïe. An- 15 b.. 9. avenue Hocne. Cutnt- nlerit français, 22 h., paleJa d'Orsay. ynton du commerce, 14 h., maidu

Courses i à Auteuil, à 14 heures. M. Daladier a reçu hier matin if. Paul Roynaud, ministre deg Finances.

000

M. Lloyd George séjourna pour plusieurs semaines au Gap d'Autibee.

La municipalité de Paris rece- vra, demain à il heures, le caJif njelloul ben Lakhdar, de la Légion d'honneur, médaillé militaire, grmd chef dea Lafbua,

La comtesse de t»aria et mes fiitlq tiJaJila .ont embarqués, il. B*ulogn&^ur-Mçr, à bord du sighland Ptttriot, pour le Brésil.

000

hier matin à Puis par la gan du Nord.

Nous relevons avec plaisir dana la, pro-matiQJi de La Légion d'honneur des rèsorvss le nom de M. Pi« rre Charbonnier', r, réflieleur principal à l'Office des mutilé* de SeJnt st -Oise, nommé chevalier.

21 heures

GEORGES

BRIQUET

présente

L'HEURE

DES

AMATEURS

DEUXIEME PARTIE

CHAPITRE XXIV (suite)

Où M, Jourdatet

prend une grave résolution

Rlle no mettrait. personne dans la co-nfidetice de *^s inquiétudes. Pour le* ronjurer, ne riie Culture-SaJnte-CattifuinG A faudrait que comme le lui avait suggéré Toriillai^, oWe changeât ^'atelier, au besoin de métier, de manière à dépister complètement ceux qui 14 fjusUaienL Cela ne pouvait se fafre tout de suite. EUe ne î-éossirait pas non. plus à faire du jour au lendemain admettre Ê^tfeve dasis Ja crèche d'une autre paroisse. En conséquence. elle déménagerait, elle quitterait le Marais, tout en évitant de s'nn éloigner, de manièru à pouvoir continuer à travailler rue des TroiGr-Pav*Uona et fuirait toute ooeaaion de aortir soir. Caderousse et Hortenae Solmeider eongeraient à peine à s'en étonner. Le plus dur de se défendre contre les question*, les récrimlD&tioruj d'Adrienne. Calïeci renonça vite à percer le véritable mobïte qui coTitraignait IsabeMû à quitter la rue 'ruse dont elle avait entendu lea eoLats de ynix à travers la. ûJûlâOîi séparant les deux mansardes n'était certainftnent ce départ. La coïncidence de cette vldte et de celle de la chaateuse avait une cause. Actricnno en vçutut Laurentine de ne pat lui dire ie fin mot de tout celaT mali aa discrétion n'était pas moins ombrageuse que aon amitié elle avait toujours deviné un mystère dans l'exiatence de s* volfline elle lui avalt toujours reproché de ne p&A SI:! montrer avec &D.e assez; confiante. C*tte foLa-^à non plus çUe n'insista pas, mais Laurent ine sentit quene lui retirait défiùitivemtnt son amitié. Elle en eut d'autant plu* de paine que les apaoufÉert eiLûemble. ï^ea aouvenlrjt de œisërfl commune qui au raie Et dû lier de façon îttdçBtructihle> c'était plie, hèles, qui se donnait l'air d'y être mridèle. Qu'y faire ? La pudeur de son parte remporta.

Quoi qu'il arrive. dit-eUe à A4rl«nne, ""CùpyrTght by AnrtrS Bill? 1939. Traduction et wpredi[ctii?n interdites en toua paya.

quoi que vous entendiez dire de moi, gardezd'un ton. contraint.

Dès que je le pourrai, je reviendrai vous voir.

Jj'ouvrièro en passementerie a'attendatt que nouveau domicile. L'invitation ne fut pas faite. La fleuriste craignait que, sang le vouloir, Adrienne ae mît ses ennemis eur la voie. Si Ton pense que Laurentine aurait pu montrer molnB réticente, moins prudente, on se dirx en revanche que l'épouvante bien naturelle suscitée en elle par l'avertissement de Tortillard avait obscurci quelque peu son exacte vue dea choses, et que de cela il serait injuste de ne pas l'excuser, d'autant plua que cet excès de précaution ne devait pas tarder à 56 retourner contre eLle.

La lettre de k&urentine bouleversa profondément M. Depuis que la. jeune femme avatt quitté Avignon, il n'avait pas sentimentale et chevalere*qiKi, par l'effet de l'absence aussi et da l'idéalleatUm qu'elle, crée dans certaines âmea. alors que dans d'autres elle n'engendre que l'Indifférence fit roublij il s'était mis à aimer Laursutine maia il De ôlea rendait pas compte, il ne croyait qu'a un alora que ea sensibilité tout entière étaient engagée â tond. 11 n'éprouvait même pas un désir très vif de revolr Laurentine. Au delà du tran-tran monotone ûe ̃ «on existence, il de réalisable. *t c'est pourquoi; bl«n que l'idée lui en fût vflDue souvent, il rie Japiaia décidé à faire le voyage de Paru en cette saison, Un pareil déplacement lui faisait peur, Paris, n'y était venu qu'une fois, dans sa jeunesse, et il n'en avait conservé qu'un souvenir déplaieant de plate, de bruit, de brouillard. EJgoïfltft et casanier, tel était M. Jourdanel, et iE était en mémo temps capable de beaucoup sa, nature a« fondaient pour faire de lui un type de vleu* garçon tout a fait oriffinaJ et Il relut dis fois la lettre da sa lointaine vars Château dea Papea où te ménage habi- tait. M. Jondère occupait les fonction* d'ar-

N' 40. Feuilleton da PETIT PARISIEN. 12 mars 193&

| |* 1^ fi \± GRAND ROMAN DES PAR ̃: t | À | k f André BILLY ̃ ̃ fi A L l C

ciijviate départemental et, à ce titre, était logé proximité du dépôt dont il avait la garde. Une poterne ogivale qu'on remarque à peine au pied de l'énorme rempart, donne ac es dans cette partie du palais. ]De- salles voûtéeaf des conidorar des escaliers qu'on dU. rait «outerraias, tant l'énorme mBS*ô de saar^ QonneriE nù iL, ont été aménagée l'idée d'une montagne, conduisent à. l'appartement et aux bureaux de "&rcîiïv.lata *oùr à travers l'étonnante éRB^asur des ma rai lies, le grand jour de la place du Pa]ai« ne r* unissait à jeter ce jour-là que d'6troits pans de C'était un lieu que M, aimait beaucoup et la plaisir d'en respirer les mystérieux contrastes, l'ombre, la fraîcheur, ne comptait pas pour peu de chose dans les fréquentes vîeitea qu'il faisait à se* amis Joncières, comme lui, un peu tiniiûes± un peu aauvages. comme lui vivant un peu en marge de la société avignonsùse.

Dana un genre tout différent, avec moins d'originalité peut-être, moins de bixarreric, moins de Imaginative, mais aussi plus de sens pratique et réftHaateur, l'archiviste n'&iait pas un homme moins pl&bs&ïit ni moins généreux que le professeur de piano. Ils étaient fait. pour se compléter et pour s'entendre, et ils s'entendaient effectivement très bien, ce qui n'excluait de leurs relations ni les taquineries de la part de T»L Jourdtuisl, ni le* accès de franphise de la part de M. Johetfcr*.

Eh bien, fit le musicien, quTen. peneeavoua

II avait trouvé l'archiviste dans ïoe cabinet à l'extrémité de la salle des archivea et assis dane le vieux fauteuH de velours d'Utreofat qu'on ne prenait même plua $&. peine de lui offrir, attendait que son ami eût fini de lire l'étrange lettre de Laurentine.

Il faut dfre que ceLîe-cl avait été souvent l'objet de disciLselons entra tea deux hommes, discussions auxquelles Mme Joncière prenait part. M. Jourdanôl n'avait rien caché à sM amis de ce qui s'était passé entre Laurentine et lui. Ensemble, Ils s'étaient livrés raille conjectures sur elle, sur le secret de ea vie, sur Sa moralité, sur aon caractère, Après s'ètre montrés des plus circonspects, M. et Mme Joncière, que les lettres de la Jeune femme avaient uni par convaincre de sa sincérité et de son d&s in ter Base ment, étaient maintenant plutôt portée à renohérir sur la haute idée que M. Jourdanel s'était faite Il. auraient voulu que rors&aïst<e àii&t En voir à Paris-; iSa lui reprochaient eon inaction qu'ils attribuatent à 1a peur de prendre des responsabilités trop lourdes, lia ne *e gêmuent -pu pour taxer M. Jourdanel d'ëgoïsme et de manie casanière,

frh bien, J'espère que cette fols vous n'alleï plus recaler devant votre devoir, répondit rarohîvLst* en rendant la lettre au '–> Quel â*volr

Vote. devoir de prendre lmmédia.tera*nt le train pour Paris-

Et qu'y feral-jef Paris ?

Voue aiderez Laurentine de la façon Indiquée par les ci

Je ne vois pas trop ce que je pourrai faire, là-bas, sans. la compromettre. que vous redoutez de compromettre en vous Il ne saurait êtra question de cçla Î Naturellement!

Je mais bien que, s'il n'eût tenu qu'à vous, j'aurais depuis longtemps épousé cette fille et reconnu son mioche dont on ne sait même pas qui est Se père

Saîifl aller jusque-là, vous auriez pu voue rendre compte sur place de 3âe Conditions d'existence et du besoin qu'elle pouvait avoir d'être soutenue, au moins pécuniairement. Je lui ai vingt foie offert de Tardent elle me l'a toujours refusé,

Il eût peut-être été convenable de lui ea envoyer quand même.

C'est bien la première fofg que le m'enL'argent ne compte Pas pour vous, JmrJanel, je le saie. Vous donneriez jusqu'à votre deïtiier Sou, jusqu'à votre dernière chemise pour sauvegarder vntre tranquillité. Je voudrai» voua voir à ma place Je piéf&re la mienne, merci mais vous ne vous y certainement pas. A ce moment. Mme Jond*r§, petite Ar4&- sienne de quarante ans, pétulante et encore mutine sous .ses bandeaux gris, pénétra dans le cabinet de son mari. Le pianiste la prit K&lamm*nt à témoin de ce qu'il y avait d'injuste à dlre qu'il n>ût.pafi été le plue heureux 'les hommes de vivre avec elle.

On rit, puis Mme Jonetère s'enqtilt de ce qui avait amené la. mur ce point déllcat et elle lut A son tour la lettre de Liaurentlne. Ce qu'ayant fait

-SI vous ne partez pas demain pour Paria, Unça-t-elle à M, Jourdanel. je ne vous revote de ma vie Joyrdanel, il faut partir; C'est me Jeter délibérément dans un

Il Il taut partir, Jourdanel

Mals je manque de tout pour voyager. Jourdanel. nous voua prêterons une va. li«

Mais j"a! aussi besoin de linge, de vête-

Vous achèterez k Paris ce qu'il voua faudra.

Mals j'ai mes leçons.

Quand vc-Us êtes allé l'année dernière passer huit jours dans la. Pyrénées, vous avez trouvé le moyen de vous faire Vous le trouverez encore, ce ne sera pas plus dhî- Mais mort rhumatisme me faisait «tmffrlr la semaine dernière. Il peut revenir d'un instant à l'autre

Vous terez comme s*ii ii'était pas rsveaiL Et.puis en voilà assez s'écria Mme Joncièrft. Si ce n'eat pas voua qui partez, ce aéra moi, Jourdanel

Le était vaincu.

Soit, fit-il 1a tite je partirai. Mai« s'il m'arrlvfl il doit être bien entendu que c'est qui voulu.

Et cependant, 4 présent que sanation était prise, un immense appétit d'aven- ture naissait au fond de son vieux cœur resté si jeune malgré la cinquantaine approchante. CHAPITRE XXV

17, rue Amelot

Mademoiselle Laurentine Calranne, vous plait

J« savais qurellfl était aur le point de déménager. Pourriez-vou* m'indiquer sa nouvelle adresse ?

La concierge re£eva ses Lunettes sur tan, front pour examiner l'inconnu. A son accent qui rappelait celui de ]>urentino, à !!la mime. à ses manlères, elle n'eu! pas de peine à reconnaître en lui un provincial

Le Père d'Estève, peut-être ? Pourquoi pas Et qu'est-ce que vous lui vouiez, à Mlle Laurefitlne Cairaone ?

or Ne donnez ma nouvelle adresse peosonne s, avait formellement recommandé Laurentino à ta concierge en la quittant ™ Je roudrnlF la voir, lui parler.

J« m'en doute, mata à quel titre

M. Jourdanel crut qu'il était d'usage à Paris de Justifier aiiprês des concierges le besoin qu'on avait de leurs renseignements.

A titre d'ami.

Soupçonneuse, la bonne femme Contlntla.it de détailler avec inststanec le visiteur Comment vous uppelez-voue ?

f.A suivre.)


IHI e tu m e ̃B SCRVICES TÉLÉGRAPHIQUES ET TELEPHONIQUES SPÉCIAUX DU « PETIT PARISIEN ET oU TOMES Sô

Les dramatiques événements! de Tchécoslovaquie

SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE Le gouvernement slovaque qui fut alors constitué sou.? la prési4«ce deUfyr TisOt un des Prixcipaux collaborateurs de Mgr Hïinka, lut accueilli avec /fliwur par les Tchèques, avec enthousiasme par les Slovaques.

Les choses ne devaient pas tarder A se gâter, Le parti autonomiste avait, dès le lendemain de Munich, enrôlé ses plus jeunes membres dans une association paramilitaire, la garde de fflinka, organisée sur le modèle des ,nilices hitlériennes. Il devint bientdt clair que ces troupes, recrutées sans précaution, seraient d'un maniement difficile. Les pretnières victime* do leursiasme furent les juifs de SlovaQuant aux Tchèques, établi* nombreux en Slovaquie, en génèra4 dans des postes administratifs, ils furent, pour la plupart, plus ou moins brutalement refoulés dans leur pays d'origine. Les nombreuses et propriétés du Sokolqua furent occupées par les gardes de Htinka, certains journaux tchèques furent interdits en Slovaquie, etc. L*a Tchèques furent profondément blessés par ces séries de mesures où ils ne virent qu'ingratitude et mauvaise volonté. Ils boycottèrent par représailles les villes d'eait et les stations qui sont une des seules richesses de la Slovaquie,

La campagne électorale pour les élections à la première Diète slovaque fut largement utilisée par les éléments extrémistes siovaques pour envenimer une situation déjà tendue. En dépit de manifestations officielles de Iraternité, en particulier lors de d'ouvert are de- }a Dièt on sentit dans les milieux dirigeants de Prague de graves inquiétudes. Le gouvernement central tenta donc, au cours de ces dernièreu semaines, de faire une pression amicale sur celui de Bratiàtau?ti, pour clarifier la situation. Un exprofesseur, marryarophile notoire, iU. Tuka, condamné voici quelques années pour atteinte d la sûreté de l'Etat, le chef de la propagande slovaque, M. Mach, et le chef des gardes de Hllnka, M. Morgac, étaient particulièrement désignés comme des extrémistes dangereux et suspects dont les campagnes à"1 excitation antitchèques et les surenchères séparatistes faisaient courir les plus proues dangers au lien fédéra1 de l'Etat.

Que se fHtssa-î-fl exactement ces jours derniers Lea -milieux informés parlent à mots couverte d'un putsch séparatiste préparé par Mach et Tuka.

Dans la presse, les articles o//itwwr accusent M&r Tiso, exprésident du Conseil slovaque, de faiblesse et d'incapacité, soulignant l'état de désordre et de désorganisation économiques où la Slovaquie se débat vainement. D es influencer é trangères irt tervinrEnt~elfes f C'est ce qu'il est encore impossible de préciser. Toujours est-il que, dans la nuit de jeudi à vendredi derniers, après une pacifique délibération à laquelle pour la Slovaquie, MM. Bidor et Teplanxky, le gouvernement centrai de Prague ̃prît une décision radicale et dramatique le président du Conseil slovaque Mgr Tiso fut déposé ainsi que trois de ses collègues et un nouveau. président du Conseil nommé. La radio d'Etat mit à 7 heures du matin la population tlovaque devant le fait accompli.

Cet acte d'autorité ne pouvait réussir qu'accompagné de meêures énergiques. Il le fut déploiement de forces policières, arrestation des opposants probebles, mise en lieu sûr des miniat res dêponêsj précautions rigoucontre les manifestations possibles de ta garde de Illinka, rien ne fut épargné pour maintenir l'ordre à Bratislava et dans le$ principales villes de Slovaquie.

En même temps, let ministres Sidor et Teplançky multipliaient les appels au calme, arguant de leur qualité de leaders du paru de l'abbé Hlinka, pour témoigner que l'on n'avait en vue que- la défense de la Slovaquie: au dedans contre les menées crimid'agitateurs traîtres à leur patrie.

Il ne donc pas à proprement parl&r d'un coup d'Etat, mais du rétablissement ênergique de l'autorité centrale en Slovaquie, Entre deux solutions passibles dont l'une était de se désintéresser de la Slovaquie et de la laisser courir seule à son destin, Vautre de Maintenir à tout pris l'indivisibilité de l'État, le gouvernement de M, B eran a manifesté aver éclat qu'il choi. sismit la seconde.

Nous apprenons en dernière heure que les négociations tnenées à Prague, cette nuit, entre le préaident de la République, le président du gouvernement central, le président et les deux vice~ présidents de la Diète slovaque ont about. à la /or mai! ton d'un nouveau cabinet Ce cebinet est présidé par M. Rider, jusqu'ici ministre slovaque au gouvernement central, et comprend, en particulier, Si. Sokal, jusqu'ici président de 2a Diète slovaque, ainsi que M. Sivak, qui avait été nommé hier président dn Conseil slovaque en remplacement de Mgr Tiso.

La réunion de ces personnalité. connues par leur dans le POUR AVOIR

des cheveux souples, doux vaporisations quotidiennes avec la Brillantine FO RVIL,. Pour redonner Souplesse Brillantine tu RVIL.

versatile et Si facilement égarée Le gouvernement centrai luimême ne devra-t'il pas être modifié et pour répondre à la situation nouvelle f C'est le secret de demain.

Il se pourrait, d'ailleurs, que la clé de la situation ne f&t ni à Bratislava ni à Prague, mais à Berlin. Salon que dont la presse, en dépit de divergences notables, parait obéir une conaigne de réserve, agira en coulisse dans un #en$ ou dans l'autre, les destins s'orienteront vers un avenir différent. La parNe qui se joue actuellement en Slovaquie intéresse une bonne partie de l'Europe.

DEMENTI DE PRAGUE

Prague, Il mars. (.dép. Haras) Le ministère de la Guerre dément Catégoriquement par l'organe de Ja Ceteka Jes nouvelles tancées à l'étranger et selon lesquelles des concentrations de troupes auraient lieu sur la frontière allemande en « Ces nouvelles sont sûrement inventées. Les détachements militaires thèques ne procèdent à aucun déplacement ni en Slovaquie mesures de sûreté militaire qu'à- 1 vaft pria©» l'armée pour assurer calme en Slovaquie ont été restreintes, en plein accord aveu la gouvernement slovaque.

LE GEERAL GAJDA

EST RETABLI

DANS SON GRADE

Il mars (ddp. Petit Paris.) Un communiqué officieux an- nonce que, sur la recommandation du gouvernement de Prague, le président de la République vient de réhabiliter un certain nombre de politique. qui avaient Été. il y a quelques années, condamnées à diverses peines et à la privation de leurs droits cïvi- ques.

ces perso nu alités appartiennent aux milieux politiques d'extrême droite et s'étaient fait signaler par leur opposition violente à la per sonne et a La politique de M. Benèa. La plus connue d'entre elles est 1e fameux général Gajda qui, après avoir joué un rôle de pre- mier plan tors de la campagne de! armés en Rus- avait été privé de son grade à la suite d'une série de proeëe Tetentiseanta qui .s'échelonnèrent de 19Z6 1932. Il vient d'être rétabli dans son titre de ïênéral du cadre de réserve de l'armée. Il est le Iondateur et le chef du parti fasciste Sa réhabilitation accrédite dans le public l'opinion qu'il serait procédé très prochain enient à un temaniement du gouvernement (!.en.. trai de Ptague.

Manifestation allemande à Bratislava

Bratislava, Il mars.

une grande manifestation a été organisée ce soir à Bratlaîava par 1 les Allemande de Slovaquie, à Toc- caeion de l'anniversaire de l'An- schluâe autrichien.

Le Führer du parti allemand, M. Karmazin, protesté contre le_ c mesures illégales prises par ( Prague en Slovaquie. J UN ENTRETIEN

HITLER-VON RIBBENTROP Il II mara (d^p. gavas) Le ministre des Affaires étran- t gèrea du RcJch von Ribbentrop s'est entretenu av ec chancelier Hitler du problème tchéco-alova- que au cours d'une réception au Club des artigteg. t On apprend de source générale- t ment aûie que le chancelier Hit- r ier a convoqué pour demain ma Un une conférence de sen conseil- le'. intimes et qu'un rapport ira- portant est parvenu à Berlin de T. la légation d Allemagne .il. Prague- Lord Halifax a reçu le comte Grandi et M. Corfaïn Il ÎI mars petit) .ci Lord Halifax, .secrétaire d'Et*t aux Affaires étrangères, a reçu reign Office le comte Grandi, am- *i bflsaadeur d'Italie, et M. Corbin, Si ambassadeur de France. Dan» cer- tains milieux, on a'eat plu à découvrir dans ces deux visites l'indication que le gauvernemant hrl- tannique avait pris une Initiative diplomatique tendant, au premier Un do dimanche écrit même, dans sa première édition que les entretiens du Foreign appel de M, Mussolini demandant d à M. Neville Chamberlain d'uti- ï liser «eâ bons offices auprès du ç gouvernement français t.

Noua ignorons le le premier r ministre britannique a reçu .aenv j d blable appel, mais il ne semble d pas, d'aprèe ce qu'on donne eu. tendre dans les milieux bien ln- n forméù, que l'interprétation qu'on d ponde à la réalité. n On indique, ce soir, que celle du début de la semaine et l'ambas- sade d'Italie a d'aillems publié, d cette nuit, un communiqué où elle t dément, lea rumeurs publiées dans n la presse et où elle déclare Affaires étrangères n'avait aucun que ? Quant l'entretien de M, Cor- a bin avec lord Halifax, on ne eau- Il rait lui attribuer, semb-le-t-îî, un ofl.ractére anormal, étant donné que les deux gouvernements français et anglais procèdent quotidiennemenl à des échanges de r vues sur toua les problèmes que pose la sauvegarde de la paix qé- nérale et qui, à ce titre, affectent leurs communs Intérêts.

LE CHANCELIER HITLER EN AUTRICHE Il II mars {d&p. Fountien. chancelier Hitler assiste ra demain aux Fêtes organisées k s l'occaeion de l'Anchluss et 11 doit 1' partir lundi pour un voyage cireu- p laits en Autriche. e

LES FURIEUX COMBATS DE MADRID U^7–^Li

Burgcus, 11 mars.

DS NOTBE ENVOYÉ HPtCJht.

L'horreur d'aucune guerre civile vient d'être déparée par les sanglants événement? de Madrid. Ni l'anttquït^ ni les temps modernes ne noua proposent aucun précédent d'aussi exemplaire abomination. Un journal espagnol donne aujourd'hui pour titre à 6a suite de dépêches pathétiques k La Commune de Madrid, »

Eh bien C'est quelque chose de plus atroce que la Commune parisienne, succédant au siège, qui êe capitale espagnole et singulièrela plaiza Manuel Becera.

En 1871, Paris avait, hélaa J capitulé VeraaiîEes attendait «on heure Paria insurgé bravait Versailles à Madrid, en la ville rfiste investie et, da.na aon enceinte, les factions extrémiste* eont entrésa en lutte avec la junta, ta aorte de directoire qui remplace V gouvernement démembré du docteur rTegrJn.

Or cette lutte Intérieure est la giner, tant par la fureur d&s forces opposées dans une seconde guerre civile auperpoaée à la première que nea dont disposent lea une et lea autres y compris l'avJatïOA. viennent ici nouvellea non officielles, je dois le répéter, mate accepte de les homologuer que le reporter, souffrant par conscience de son devoir de n'être ment de n'avoir pas contemplé da paj-elltai choses.

dont le joli paya natal de Fuentrent daiu ce désespérant conflit de l'un et l'autre côté lee créaturee humaines, toi dont Je génie fut ai pitoyable à la misère des hommes aîore que ton pinceau exprimait impitoyablement Ja fume leci voilà déparée* tes hor-

Une foie de pluar des militaires revenu* du front de Madrid apportant ici des tant6t par l'obeervatEon des poate* de guet, tantôt par let récita des déserteurs dont il «efflbls que le nombre ait beaucoup augmenté. Ainsi conte-t-on que, après un avantage des forces de la junte.

les forces communistes ont réussi k occuper les environs de l'am- basaade de France laquelle n'au- ralt pas été sans souffrir de ces hostilités de surcroît. Les ment 1 Le. enfint! Il y aurait eu ici et là des combats de détail parfaitement hor- ribles ainsi les soldats de Miaja et ]&$ communiâtes se* étripé., êgorgè.3, étranglée jusqu'à peu près l'anéantissement dml deux partis autour d'nn camion de mu- nitions deetiué à ravitailler les volontaire* fommunifites.

Tandis le? combats de r'iee ou de places se développent, lea deux aviations madrilènes tour- billonnent au-dessus de la ville. ajoutant aux ruines. me la distribution de. vivres est parcimonieuse, pour ne pas parler de famine, dans la crainte d'eXsgérer, H y aurait eu de aanglantea disputes pour Fa conquête cette foie de camions d'alimenté divers et de lait concentré destiné aux enfants.

Les enfants Les mères On n'ûae plue eortir des mai- sons. Des qui ont résisté à trente-deux mois d'épou- vante succombent, affolées, à ce surcroît de torture, Pitié pour l'Espagne et pal*- aux homme. de bonne volonté André SALMOK

LA SITUATION A MADRID EN FIN DE SOIREE

Madrid, 11 mare.

Union-Radio, à 19 heures, dit que l'ambassade du Chili eet toujours dans 1a zone par les communiste*, où se déroulent encore des combats. Lïa communietea voulaient s'emparer de l'ambas.de du Chili,

Ils ont braquè 18 canons dans le- quartier de Vantas.

de la Marine et de la Guerre. l'édifice de !s. Banque d'Esp&ffne sont au pouvoir du conseil de d£»fSnsH,

Le paaea de1 Pardo 5ua(lLl'8' la gare d'Atocha, est complètement désert. La rue Aloi. est flomplfetement fortifiée jusqu'à se. croisements avec la Gran Via. Les camtrturtiate* de 1a Casa del Campo cherchent à .'infiltrer dana le secteur du palais 1. national. Le cûJia-eil national de défen««, t s'il est nëceaaflli1*, envisage l'appel de nouveaux renforts.

Aujourd'hui

le Pape Pie XII reçoit la tiare SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE Dès 6 heures du matin, demain, des Romains: privilégiés possee- seurs de cartes arriveront en masse vers la basilique pour voir passer devant leurs yeux la pro- cession papale qui doit Jaire son entrée à 8 h. 30. Ceux qui mont pas d'invitation me borneront revenir plus tard sur la place d'où ils pourront suivre de loin la mtwwtfl émouvante du couron- nement du Pape Pie XII à la loggia centrale quand il recevra la tiare des mains du cardinal doyen. C'est vers 13 h. 30 que ee placera cet instant solennel. Jumelles en mains, tous le.8 spec- tateurg tourneront leurs regards vers le Pontife et t'agenouille,ont dans la poussière pour rece- voir sa bénédiction. L'excitation que suscite cet instant est telle que la nomina- Hon de Mgr Maniions au .fifre de secrétaire d'Etat n'& presque pas été commentée jusqu'ici, Utile nomination d'un prince de PEaU-ie qui a entretenu durant «on .séjour à ta nonciature de Paris tant de relations avec nas dirigeants n'a pas suscité de commentaires dans la presse italienne^ Celle-ci se borne, jus- qu'ici, d rappeler brièvement les grandes dates de la carrière du nouveau secrétaire d'Etat. Pierre VITOUX

Brillante réception i it l'ambassade de France auprès do Saint-Siège Home, 11 mars.

L'ambassadeur de France auprès t du Saint-Siège et Mme Charles- i Roux ont dùnné une brillante ré- ;e>ptîua. Dans l'assistance nombreuse, on remarqualt le cardinal secrétaire l'Etat, Mgr Luigi Maglione, l,<a car- dinaux Gaaparrl, Canal*. Fumaao]j, fl Biondi, Tedeachini, Caccla TJûmi-i lioni, Peîlegrinetti, Pirzardo, Ver- :lier. Liênarc, Suhard, Geilier, Bau drillart, Tiseerant, Tapmim, Villeleuve, Kaspar, NN. SS. Tardini, Mont! Ottavianî, Conatantini, le prince Chigi, le mariiuls PacellL, te le Nice, de Lteïeux. de Monaco, de Lourdes, le marquis Serafini, les l mentale francise pour le couron- F lement, trente parlementaires Iran- Lion du conseil municipal de Paris, linsi que toute la atonie rran^aîse i Rome, dont l'ambassadeur le Quirlnal et Mme François- ri Pontet t Un avion allemand 1 rentrant de Tripoli s'écrase dans la province de Ferrare Rome, il mare, î

Un avtoa de bombardement aile- s mand venant de Tripoli et me dirl- a geant vers Stetttn s'cet écrasé au aol prèe de Dogalo. province de ferrare, faisant cinq victime* A bord de l'avion ee trouvaient j i\x othc\êré et une autre per- 'équipage ont fait usa^e de leur p parachuta et ont touché terre laina et saufs. à

Une affaire de stupéfiants 15 arrtttationt 60 inculpation Un très gros ucandaïe nent le trafic des Stupéfiant* vient Il s'agit, ni plus ni moins, de le. capture d'une bande internationale t qui, depuis plusieurs années, avait réussi à «e soustraire aux recher- thés les plus sérieuses de toutes les polices du monde. Noua pouvons révéler d'ores et déjà que ce aont les autorités de New- York qui ont alerté la sûreté nationale 1 française en lui signalant den exportât ton* clandestines de divers stupéfiante partant de France à 1 M, Mondanel, inspecteur gênerai bayez, Calvez et Taupin de ee mettre à 1a r&oherohe des individus d 9ui lui avaient été Comme r, etant vraisemblablement lei ex- q n L'enquête du commiaaaire Tau- !il pin le rit d'abord aboutir à Mar- a seilte dans un bar situé place Victor-Gelu et ayant appartenu à un v certain, F&tty, disparu depuis un certain temps. Le* recherches aboutirent ensuite à une certaine p Elise Chaoert, âgée de trente^aept b ans, et à en amant, un Chinois g nommé Toran Thu Lam, 6, rue lj Krgrel, à MarseiSle. Un certain r de perquisitions devaient b faire dolng Cette ville une a énorme quantité d'héroïne et de a cocaïne.

Le commissaire Taupin poutuul- i/Jt à Cannes son enquête. Il ah ou- t d'une femme se faisant appeler c Bert hier, trente-cinq ans, dont le p véritable nom est Simone Guér&n; a celle-ci habite &&, boulevard du s Mont'Fleury, à Cannes, et possAJa.it un domicile parisien rue du Dobropol. Cette _dernière se dïgànt infirmière était tout particulière- ment chargée de recruter dea tumeur pour le compte de cer^ --le est en train de rechercher q non point seulement Marseille et n à Cannes, mais aussi à Toulouse. e si Bordeaux, pu à Parie où ies t D'orea et déjà, une quinzaine on été opérée* et inculpations signifiées. c Le D' Marte- démissionne du parti socialiste belge t< Le docteur Martens, qui occupait la sixième place de la liste socla- iistp, vient de notifler son désiste- Dans lettre de démission du il ïaHi gociallcte qu'iï adresse à cette r Comité de la fédération Martena déclare notamment h Malgré ie.i effort. de chefs ? 'prouvés comme le cîiayen Van- )ervel#, le vers le ? soïialJsme netional » se poursuit. Les capitulations devant réaction fie multiplient saue cesse. En plaçant c e citoyen Spaak, qui en maintes *A iccasïons a nié les principes (on- A la itientûtii de notre doctri ne ou t violé lea de nos congrès, d :omme premier eandtdat, le camlté s fédéral 8. méconnu gravement les laines traditions de Jadis et cela au mépris du sentiment des ftffl- « 3os^ de MM. Gros et n£na- Ë eur Bonarohfl, Bwid#t, Pitoia. &ftren- Mi>ureJ. MarErt rt Nachon. titButée, wt- parti* hier de. Manm-m» w>ur 1r TWaroc j>Îi *ll# va âwief^r au A wtupr** du ralsm de table et du Jui t e 1 Il

Suivant les correspondants de la ppçeâe étrangère, les communistei! affliment que le gouvernement Negrin est toujours à son poate. Quant à la presse madrilène, elle est du côté du conseil national de défense,

Lee communistes, qui s'étalent réfugiés dans leur mafciûEi centrale, se sont rendus sans condition» au conseil de e défense. Mal* le feu a été mla à l'tdiflce. Quatorze prisonniers ont été faits par la police. L'incendie a été Immédiatement mal

Près de l'hôtel RitZ, plusieurs prîeonlerji communistes ont été ramenéa à l'arrière dea lignes. Us comprennent 18 femmes, une demidouaaine d~e soldats et de nombreux civils,

LE NOUVEL AMBASSADEUR DE BURGOS A PARIS CONFERE AVEC LE GENERAL JORDANA Burgos. Il mars.

Le poste de Radio- Jaca annonce de Burços que M, Jose-Maria Lequerlca, récemment nommé amdu gouvernement de Xturgos à Paris! a rendu visite aa ministre des Affaires étrangères, général Jordana, avec lequel Il a ,eu une longue conférence avant son prochain départ pour rejoindre son poste à Paria.

Le Conseil fédéral suisse ne croit pas que l'Allemagne ait des inten- tions agressives. Genève, 11 mars,

DR JTOTlï COKSMFONDAHT PABnCULIE» Dans une réunion qu'il a tenue hier, le Conseil fédéral «'eut préoccupé des révélations mensationjnelles publiée* par un. journal parisien et conce.ma.nt les intentions agressives de l'Ail* magTi« à l'éffard de 1a Hollande et de la Suisse.

A la suite de cet examen, II est arrivé à i« conclusion que c*u informations ne concordent en rien avec les renseignements .recueillis à Berne et qui laissent une impression plutôt rassurante quant à l'évolution prochaine de crise européenne.

La conviction dominante dans les milieux du palais fédéral est qu'il n'y a aucune raban pour l'Inetant de mettre en doute les déclarât 3 on formelle. par Ici,.quelle. le chaneelïer Hitler s'est engagé à deux repris*» k respecter la neutralité suisse,

LE VOYAGE

DE M. LEBRUN EN ANGLETERRE SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE Le bâtiment qui, le 21 mars, deviendra pour quelque tempo le navire présidentiel, est amarré quai de la Vistuie. Momentanément il n'assure plus le service avec l'Angleterre: Il 8..été. livré aux spécialistes-

Lea machines ont toutes été visitées, revues et Ell&a fonctionnent de façon Impeccable. Des échafaudages volants ont été jetés sur les flanc* du paquebot. Trente ouvriers y sont juchés et enduisent d'une peinture noire le flanc du navire. Par coquetterie les tanblotfl ant éte cerclés de blanc. Le haut de la coque et les superstructure* ont été, eux aussi, repeints en blanc.

Les boiseries sont nombreuses sur îe pont. Elles ont été revêtues de couleurs où le jeune crème domine. Lea tapi:! de caoutchouc ont été remplacés sur le pont. En un mot, le chef de 1'Eta.t aura l'impression de mettre pied sur un bâtiment neuf.

M. Albert Lebrun occupera un grand salon. Il a été formé par la réunion dp deux cabines dont on a enlevé la cloijsoD qui Ibs sépaLea meubles «eront placés quelqu«a jour. avant le départ. Le Cate-d'Azur quittera lundi ou son point d'amarrage pour entrer en e.le sèche où, durant trois jours, il recevra une visite minutieuse. Après cette inspection, le paquebot effectuera, sous Ira ordres du commandant Bertollotti, une sortie d'esiat exactement COmtne s'il était neuf.

En descendant do son train spécial, le mardi 21 mort, le chef de l'Etat se reposera quelques minutes en gare maritime de Calals et s'embarquera jnir le d'Azur.

Durant aon septennat, M. Albert Lebrun a accepté d'étre le parrain de nombreux enfants de familles nombreuses du Caleisîs. Les parants des filleul* présidentiels ont sollicité l'autorisation l'honneur de prénenter ces filleul* à M. Albert Lebrun, Il appartiendra au protocole de dire si cette prêaen- Sa que le Côte-â'Azur sera ^scorie jusqu'au mMleir détruit par les contre-torpilleur* îVtotnphant, Malin, Indomptable, Audacieux, Terrible, MOgador et Fan- désirant donner un éclat tout particulier & la réception du Présfdent de la République, enverra à sa rencontre une division de destroyers. Selon un bruit, non encore confirmé, mais qui est «.«nez vralle le CôtG-d'Azur resterait outre-Manche jusqu'au 24 mars, date du retour de M. Albert Lc&run Et de as, airif-ç

OSLO. M. Koht. lninl»tr« des Affaire^ étrangères, tel parti pour Pala Sortonne.

LA TERREUR AU CAMP D'ARGELÈS SUITE DE LA PREMIÈRE FACE Les deux officiers voulurent intervenir, mais les assassin^ les iwenar&renL Un des misérables, un jeune homme très brun et très mince, leur dit

J'ai le droit de faire ce que je fais et je «vila en train de châtier un traître. SI vous ne voulez pas qu'on voue en fasse ne.vous-en.

LeB officiera durent s'éloigner. Mais la nuit ils revinrent et déterrèrent d'un amas de sable la vietime de ces brutea. Qui était-ce? Sep bourreaux avaient pris soin de prendre lee papiers du mort, Pourtant un autre témoin du drame assura à son tour qu'il avait entendu le malheureux crier « Làchez-moi, voud m'étouffe% Et Il appelai t constamment un de a 'le nommé Oruz qui avait dû être éloigné par le. meurtriers ou qui e'étajt enfui.

Le docte Faure. légiste^ procéda à l'autopsie du âftvre œlle-el permit d'établir que mort avait été provoquée par une asphyxie survenue durant un évanouissement- plats$ confurent rdevnea sur Ia tête et des empreintes de doigta Indique une tentative de stringnlation.

L'enquête s'efforce de découvrir les aasùs&lns. Ce ne sera guère facile, car il y a plus de 90.000 soldata dans les camp, qui Portent à peu prés tous la même tenue et lA crainte d'une vengeance.

Ajoutons que depuis ce matin le» ianjrue» se délient et qu'on a avisé la polie qu'il y a trois semaines environ, quatre Espagnols auraient été exécutés de même manière et reposeraient sous le sable du camp d'Armel es-su r-Mer, Sur l'affaire d'avant-hier, une trentaine de témoins ont été entendus anjourd'hui.

Voici Isidoro Duaz Fernandez, qui ft vu creuser la foase; il Il vu qu'on y transportait 1a victime, qui grémisaai^ et qu'on l'enterrait vivante. Tout de même, le témoin a eu un sursaut, 11 a esquissé une vague protestation mais l'homme brun, grand et mince, lui a Imposé silence

T.ais-toi et va-t'en Si on fait ça, c'est qu'on en a le droit Ln capitaine, nommé EstèvR Torrès, a vu le drame en son entier, n Il vu l'homme se débattre et lutter un contre dlx contre ses bourreaux. Il a entendu le malheureux supplier, crier, alors qu'on le couchait dans le trou, tout de suite recouvert de sable « A^sez Vous m'étouffez l D'autre* témoins sont venus répéter au juge le. horribles choses qu'ils avaient vues et entendue*. En s'en allant, ils avaient remarqué que deux ou trois hommes creusaient le sable de la plage, pré' parant une foes* longue et étroite. Les deux officiers qui dâoouvrîle le corps ont précisé qu'à la lueur incertaine de leur lampe ils virant deux doigt» humains surgissant du sable. Pour le surplus, ils ne .Avent rien. Aucun n'a voulu founir le signalement du chef des bourreaux, cette dérisoire préoiaîon grand et maigre. En procédant à un nouvel examen du corps, le médecin légiste a remarqué que le mort avait une main plaquée sur la bouche et qu'une de ses jambps était repliée sou» l'Autre.

On a appris que, tous les Jours, des réunions se tiennent» où palabrent des orateurs qui ne ménagent pas les menaces, Ces hommes règnent par la teneur, et tous, méme les officiers, redoutent de le. contrecarrer ou de leur déplaire. Mais on nous a dit, Arg-elès, que depuis que la justice enquête, lea natta du camp mont devenues calmes

Une personnalité éminent. par les fonctions qu'elle occupe et par tout ce qu'elle sait 8. dit:

Au camp d'Argelèa-aur-Mer» il a 8..eu de très nombreuses exé'il Si l'on pouvait creuser le long du rivage une tranchée pas bien profonde, mais assez large, ou vingt cadavres semblables à celui qu'on vient de retrouver.

UNE MISE AU POINT

L'agence Hava.3 communique pris dans les milieux Il 11 apparaît que les nouvelles suivant lesquelles un grand nombre de meurtres avraient été commis au camp d'Argelèjusur-Mfir, ne. reposent sur aucun fait révélé à ce jour. Ces faits sont du ressort de* autorités judiciaire. quivent l'enquête ouverte sur l'aseassinat d'un milicien dont le cadavre a été découvert sur la place. LES MARCHÉS ÉTRANGERS New-York. En dépit des nouvaHe* favorabliM Wall Stre&t. la cote n'a pu fajre aucun pragrdj et imç forte prfgflt&n cantre \<w r cleî > a ewtralné le reste dea compartimenLs.

Li a été lourde sur d« parles aWeisnant 1 drAltir.

titrée ont oliineé de maina. BANQUET

DE LA PHOTOGRAPHIE Jeudi noir, dans *a flalona $ij «entre Marcelin Berthelot, avait Ittu, bous [a présidence de M. Letuyer délègue d* M. G^ntiu. ministre du Commères et ût lJndustrje+ 1p aeiisième grand tianauet annuel de l'Exposition de la photo et du cinéma. Remarqué à la table d'bonneur la. présence d« IL Luc, directeur général de l'En- r*t ]>ei-rierh de de l'Institut de Gig. de la r^dér&ttnn çân^ra.Ee du patronattata de M. fotut. de M. Léon Ganrncint, et des pr£sliî*nts d'hcnnfiir de la chambre nyndicalf ùea induBtrifii du lummi^rre phr,lOsTraphiqiiÊs

M. Tûchon-Lepa^c. président de îs. chambre syndicale île* indt3*triea et du commerce photographique^ aroLr remercié Ifs personnel té j Qui avaient bten roui u honorer de leur présence cette ma.ni*eâtatioTi traditionnelle de La belle exposition de la Porte de VersaillEH. a rappelé élofrançaise, et le il,la la fhambre syndicale dea industries et excellent diaroura a résumé tout ce que le inonde de la photographie et Su cinéma do» .le la personne de Nicpce et de DagUCt-re, de. deux frères Lumière, d'Edouard Belin et de tous ctut. qui Les Ont suivis dan» leurs recherches Inces*antes mAriué€i du Bénie français, applaudissements ont salut la péroraison du président.

La crise peut-elle être vaincue en France, comme en Amérique, par la publicité ?

L'Amériqae est aortïe de la crise. Lea partisans du présidentvelt attribueni ce démarrage au New Deat et à J'équilibre ré.lié entré le. besoins des campagnes et le. exigences de J'industrie. Les fttiftiscîera de Whll Street prétendent <jus gouvernementale a seulement re tardé cet qui devait immanquablement se produire après quelques année. de dore liqu idat km.

Un fait est acquit. I^ir*que les businessmen eurent reconnu que l'on pouvait à nouveau faire de l'argent, la publicité se chargea de remettre en branle en trois moie du pays. En moins de jours, fil. avait rallumé le,1» appétit h dévOranta de la. ronaûnimation. Les chefs d'industrie n'avaient paa attendu que leura affaires «'améliûient pour songer à inveaUr une partie de leurs bénéfices dans des manifestations de prestige- Leur premier geste avait été de mettre leurs fonds diaponibl«s dan» ie plan de campagne publicitaire qui allait leur recruter une nouvelle clientèle.

En France où commencent à se manifester par la hausse des valeur« et le retour dea capitaux les premiers aymptômes d'une confiance longtemps éloignée, pourr loti a- nous demander à la puhllclté, moteur d'entraînement de l'économie nationale, un effort aussi rapide et aussi décisif ?

Les techniciens les plus écoutés ne pensent paa que la publicité telle qu'on ]'emploie chez noua pufsge ae suffire de trois mois pour remettre en mouvement l'ensemble du commerce et de l'industrie. Le démarreur eat encore trop faible, Il,, reconnaissent qu* la publicité est le seul moyen de galvani&er la production, sana doping ni contrainte. Mais ils doutent que notre économie tire d'elle Inatantoute ta puissance qu'elle peut fou frii américaine ne pourrait se reproduire exactement chez nous pour pluaietirs raisons.

Une question psychologique d'abord. Les Américains, peuple jeune et neuf, a des et et des goûts homogènes, La publicité Impose des besoins immédiat.. Il suffit que Ifis la radio, les affiches lumineuflea aient exposé là-baa que le bonheur mençait pour l'homme lorsqu'Il se Sert d'un raaolr électrique, pour que le fermier de l'Alabama, l'inde Detroit, l'homme d'aff&Ires de New-York re3aetïtfi!it l' in aatiaf action de leur existence présente et le besoin de se passer sur le!! jovica une tvndense tournant à toure. Le tempérament français iniividualiste et sceptique est moins sensible aux promesses de l'industrie.

Noua avons conservé longtemps nos barbes, alors que de l'autre côté de la mare aux harengs le Nouveau Monde avait changé de visage pour obéir aux suggestions de» fabricants de lame; de rasoir. Il est vr&wennb table que noua en vlendrona à notre tour à l'épilatien élPct.rlqiiG. Mais Il aura fallu de campagnes menées chu non* par les l'eng-ouement dea snobs, l'inatallatlon d'iialnes françaises, la baisse de8 prix par la production en gérie et la concurrence, enfin l'adoption du nouveau rasoir par l'oncle Paul et le cousin Léon, pour que nova noue décidions à non* faire faire la barbe par le secteur. On ne peut pas compter du jour au lendemain faire vivre 150,000 foyers grâce & la machine. Il faudra de longs mois publicité pour bâtir cette nouvelle Industrie.

La publicité qui veut toucher le Français doit ètre plus subtile, plua savante, plus plaisante que la. démonetratlon pédagogique qui convainc facilement les Américaine

D'autre part, 1a publicité française est «Qumtae un certain complexe d'intériorité. Les producteurs n'ont pas encore tous foi en elle. Ils ne lui consacrent pas unanimement leurs premièressources et leurs dernières cartouches. Cela tient sana doute iL une conception encore artisanale que On dernièree ann^ea, les faillites dévaster

le faubourg Saint-Atitoitta où lej maîtres du meuble de l'ancien avaient lais#é leur. a.teîîer* et traditions. La publicité au service de commerçants plue modernes appelait la foule dee Jeunes ménages vers d'&Dtrei

Pour qu'une branche d'industrie se convertisse chez noua à la réetame rationnelle, il a. fallu chaque fois une initiative publicitaire individuelle couronnée d'un succèa retentissant. Ainsi, par exemple, lea spécialités pbarmatieutiqu^s, les -crème:! d& beauté, lc« apérltlts, les cigarettes ont prie dans l'économie du pays une Importance exceptionnelle. D'autres branches restées silencieuses ont Bouffer! de désaffection. Lea pâte. ont enfoncé les légumes Qui n'avaient pusonne pour les défendre. Mais 1a leçon n'a. pas encore été entendue par tous.

Autre faJ t psychologique bien sîgnificatîf de notre caractère de.! industries qui avaient bàtl leur prospérité sur la publicité ont cru pouvoir ensuit? a'en pmoer. On songe par à à ce produit alimentai! .le chocolat, qui couvrait guerre lea murs de fiei affiches et remplissait les jouenaux de ses annonces. Un goûter d'enfant eût été incomplet s&nl lui Il était al bien entré dans 1e goût du Public qu'il semblait qu'une ne pût s'en passât1, Lee annonces. disparurent, L^e effenta aussi. La banane, S'orange s'Imposèrent per dee campagnes Un producteur peut oublier le aecret de na réussite. Le consommateur oublie eon produit aussi

Au passif encore de la publicité française, il faut porter son inexpérience fréquente. Dans des pey* de moindre culture, où le goût est moins répandu, où le style et l'oaPrit critique ne sont pas comme en :,apanage de chacun, nent volontiers des spécialistes expérimentés le Min de concevoir et de mettre en forme leur publicité, de lui choisir les organes qui lui le le mieux.

Dans notre pays, où la tCCûttique de la publicité eat souvent ignorée, les moins préparés se sentent lenr aise pour rédiger une annonce, discuter une effiehe. pianoter au besoin une musiquette pour la radio. D'où des mécomptes cruçla et de fâcheux découragement:

Par contre, la publicité demanda en France des sommes lnftftim«nt moins considérables qu'elle n'en exige aux Etats-Unis. On a vu des maisons de commerce s'ouvrir à Paris avec un budget de publicité de 10.000 francs par mois et pouvoir, à la fin de L'année, consacrer 20Q.O00 francs par mois à leur propagande, C'est en sacrifiant a la publicité 2 fr. 50 par tonne de riz importé que le gouvernement général de l'Indochine est parvenu en trois ans à porter de 230.000 à G9G.000 tonnes la consommation du riz indochinois par les Français et. ce faisant, à sauver l'Indochine. Aux Etats-Unis, une telle campagne eût été cinq fois plus onéreuse.

L'eipérience américaine, qui peut noua être extrêmement profitable, demande donc, pour se reproduire chez nous, une adaptation.

Elle démontre en tous les cae peut être revigorée en quelques mois par la publicité et porter au degré de prospérité des industries privilégiées, celles qui, durant la crise, n'ont pas craint de confier à la publicité l'entretien de leur euphorie.

Elle prouve que la publicité est productive de riehesset que c'est un gain et non pas une dépense. Qu'elle peut améliorer le sort de chacun, celui du laboureur par une campagne pour le pain, celui du vigneron par une campagne pour le. vin, celui de l'ouvrier comme du commerçant par le réveil de la consommation.

Le moyen est tout prêt qui doît permettre une reprise des affaires et porter la production française il un niveau qu'elle n'a pas connu.

Les juifs allemands

sont exclus de tout service jBÎÏitaire

B«rUn, 11 mars (dép. Kav<ta.) L«4 juifs allemands étalent jusqu1 ici exclus du service mi litalre et du service de travail, mais étaient versée cependant dans la réserve supplémentaire numéro 2. Un décret du chef du commandement suprême des a r méfie allemandes les exclut absolument de tout service militaire actit ou de réserve.

Aux conseils de revialon. les juifs se verront délivrer un x certificat d'exclusion Il. seront traités, dit une note officieuse, comme ceux qui sont exclus du servi ce miïitai rt, pour indigntté

Aucune mention n'est faîte d«? minorités, en particulier du Tchèet des Slovaques incorporés au Reich en octobre 1935.

Scia arhrtnir

IMMEUBLE DE RAPPORT Paument

La Revue bordelaise Sur l'ûnîe-Diio du poste de J'Ile*deFrance, entendront soir, de 21 heures il. 24 heures, la retranwnlssiivn int^gi-ala de la Reme bordelaise pr^eatée actuellement par l'Européen. Frotsgonlates joyéux fantaisistes Tien ad et et Housse au. Orciiçslra Henri FcmàjJffiie.

LA STENO et LA DACTYLO n|>l<ltme.t Ipo méîhodes de quntîtô PIGIER et et 53. rue de Rivoli

19, b. Fouwonniàn». 23, r. d. Tu renne et pri-ncipaisfl villes de PVaace CQtJKS rAK COSKESFOSIJANCC ICrnplora procurés "par f'A^ A, E.

SURALIMENTATION Un jaune d'œuf bien battu dans rendra la force et le muacie.

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du LE PETIT PARISIEN

Il suim d'un rien t

Grâce à la LOTERIE NATIONALE, il suffit d'un rien pour être millionnaire. Mais encore faut-il un billet Prochain tirage (Tranche des Week-End) dans 10 jours


I-AITS DIVERQ

Un homme mort

une femme agonie^nte

d*nï hôtel

Eiint-QuenLiri. lia prirent possession le, le I* natte & onze Hier. A l'heure dite. le garçon frun-pa ÎQlriffuê, û écouta à tïav?l» la ports Sur lu d* nuit w tiwuvalenl trai« lettres deux adressées par aairç de polit*, 1a troisième *cr!Le par 14 fcmine à, 8on mari. Les identités lit] de quarante- quatre «rier tnumrur s. ri*e et fit de. Gttlhrta Tolviet, ans dùmi4ieiée 'ne de Lyon. OUs-tl aouvfl.Lt plaa dorer e* etu'elle prtfftrftil mourir fvN M*p»vi<rt »- HUt? a été dû ton été juge désespéré. La mort é* Titi »

ITiftpiWt de la au i\ avait été s» du du XIII» a-rromiiaisment Titi n^nte par M. Auto 'le police du quartier de VertfoUs. L^roiifift et Oijanoot, a àpr «près *vo>r dittijkeh de sa poche et s'écria Fuisqu'-Ofi tait la paix, autant le m ÎSnKtt V? seate la p*rol«. U bail» du barlMat Mais Si j'avais su que tu Un < feu sur toi 3A n'aurais pu fait ^CfftFt slo.rs qw'int*rvlnt data) itn but «i\ipïuïi*msiit Ifl JoanwUw Robert ve aux mains, il s'empara du reciMoion. disant i Lepl*

Occupe-t<rt de tsa aŒalMfl et m*intart*n.t c aoni debor* on va et *t Lftpfr, rt'un noiip de 1 M.ickjr. ci"»vb i'oelt ae -~<iTiininikiiia.hiurK fin café aortirf-tlt rip. I^Tiif. atteint d'un Map de rauprLt^trt la fuite. Le parfi vletorieui tt^ K4Vftit quoi [aire dir Ws«s4 torafliw tiiffi des acteurs rîn ce iirame protoujaurs Inanimé. soUS tee rouna (Tune taats pŒ-u« t»M. Cf^peïïdant, 1p diauT]*• ma-th^ux <î^aft être fcraaé. ïto* j^arr*tpT à twrepïi. C'est lui !lui tran»jv>rU U à la Pi Lié.

On a arrêté hier Mfr*d Mançla, Mîohfrl I>5n«tJO«d. pOor d'arme nroW-hflB,

La « bâtai Ho nna ir« »

pillait le.

d* la barîJLeue s»d âe Parie étafent victimes de vol» dans leur boase-esur. Cm vols étaient commis principalement A Arcaell. i F&ntûTiay-*UT-Soaça, Buiason et à Paaatfloia. et de très nombreuse a plaintpa avalent été d-ëteur "Da-vt-d, de la police judiciaire, acr*Af rue lia surpro^^Jer 4. une livraison. il portait Sceaux. II s'asrlt.a'uri ancien balalliçOBaire. Marcri Stelzer. trente et un demeurant 35, rut dêjft titulaire de t.i>5is condamnatioaa et actuellement .çO-uml'Sa-iûîl.

Le feu

Xîn commancement d'incendie n'est ^Tabliasemenla Soeur, w, avenue Baveux. Oracâ *ux efforts con.iTiru** dex pompiers tau a pu AtrR msitrie^ asa«! rapïdeiïu»h1. Lea d^eats. qui paraiseent assez In^portanta. n'ont pu ïtre encore #valufs.

Les étrangri*! indésirable»

D*.nx Italiens. I«s Irôrea Ferra sé la. rii«î d'HautçvfUe, Un autoNi. Peut Orainzenelle, de

Pur-tcux, l'un d«s Pro!o, vlngt-trOis ana, 3S1. rue de Crimée, l'obligea à B'arrSt^r, l'injuriant et le frappant, Un rassemblement Jetant des de la. pa.j.x acçouM. Pans, le du quartier. Le frère de l'&çrèflgirur déclara qu'il ne demandait qu'une chose retourner fti Italie SatLafactian doit pouvoir lui fitr» dtin-nêe dans les délai? lea plus brefs.

Requit* 1. volait. De nombreux» plafntos aTR3.*nt été ritpoaéea contre une jeune danseuse de t boltça de nuit n. Paqulta Sun- ehto. qui réuafijeSftJt aJsfrnenl car' elle était très jqiie à capter la confiance â admirât çurs qui n'héaitiient pa» a l'ftmmfner chei eux. Une foJs (Uns )13. place. la jeune femme dérobait tout ce qu'il y avait de précieux, argent, bijoux, etc. Ijeatear? I>ainArl et de la police Judiciaire, put hier h mettre fin aux cxpln^g de t'iTidAltcata artiste qui a ètt>. arrêtée. Blt« se nomme en réalité Georgette Chabilloo, deux ana, demeurant &2, rite û'Orso). îïn bijoutier de la i*ue dea Archives, qui lui achetait les bijoux volés sera paijrflulyî,

Rue de Clichy, un garçon (J« C*(é **t grièvement bt«n«

¿'un coup cQute*q

càns un café, 14, rue de CHchy. pénétrait l'autre nuit, vpts 2 heures. Au ciyniptoi r. Apercçrart de§ appureila de Jeux divers, le oHont voulut faire une partie. Selon les otdrea reCUS du patron, le de V^abUnsemwnt, M. Kaymand iji?belh trente' deux aile. dcin-îiiraM en hôtel, 24. ruR d'AnrstpniaiTi, Ht remarquer au quidam an1 était interdit de se spn-ir de ces apparil* après nne certaine heure dan» la -aoiirêe. Cette réflexl-on ne fut pae du jraût du clle-nt qui Injuria le garçon et fifftt pAr lui dire

Sors avec' m-ol si tu h'rw pas un

petne etait-iî sur le du ot» que l'homme. tiranit de sa poche un couta&u, en porta un coup terrible au garçon, qui, atteint à la trafïpfi. s'écroula. irièvanieilt blessé. PulJ le m&urtiier le de la femme qui était arec lui.

Quelque? passant* relwÈretit le malheureux «t 1e à i l'h^piit-an L.arfbolslère où son état a Le malfaiteur, qui Pu être lû*n- liflé. est ftcUremmit recherché par poil-ce

Le. accidents de la ru*

par une auto boulei'arJ 31. AL^nan G-uénSgc, vingt et un *ns, IB. rue. Ch4rm&. été trenaporté à Sfcetre.

RuA Dpspau. à une auto a heurté un cycliste, M. Louis Quai, vingt *tuî, 44. rue des Jardins, a Chftvtlly-Larje, qui a été légèrement bte»sé ainsi que sa petite Quai, «apt ans. qui ae trousur le ca4rE de la bicyclstto. Avenue a M. Edmond Mkti*l, trente- six êtis, ouvrier 7. Dussau, a ÉW renversé par une auto. A BeauJOn aver une du du crâne.

Des «mbrloleuro mettent à aaç. l'appartement de Mme Jeanne Tricot, 14, rue Soufft-nt. En î'abaeUce de lu propriétaire, actue Elément sut la Cote d'Azur, le montant du vok n'a pu être évalué.

Une partie d'une de la est tombée sur le trottoir. -I^b précftutloriâ d'usage ont été priais,

1 Au Pont au Double Mme Evelyn* Dayat. cinquante -cinq ana, 36, square Montaourln, se jette dans 1<L sa ]ne. Elle est repêchée et ranimée par les pompiers de la caserne de la rue de Foiasy, JiulS admiseUn employé des postes. M. Louis Nouvel, cin-qufl.nte-de.ux ans, âomJcllié en hûted, 116. rue Salnt-DenlB. s' put suldâé en absorba-nt upe doae ma»ilve de stupéfiant.

Un chômeur, W. Alexandre Legrand, aoL?:aiit-s--deux ans, bourg PalAsonnière. fait une chute Place de. l'Opéra. M. Hoyirer Vil- qnMrante ans, s'affaisse pria «le nralaift» A &*oh&t.

du malaise, de Foh- tainritoleau, & Bicfttre, M. Francluco Serre, irentî-clna ans, cimentier. 50, rue Voltaire, à Salnt-Ouell. s'est aJfH'ïsaô sur la et a été trans' riort4 dans un état Sér1*yx ft l'hospice de

Se trouvant dana lea biErea«x d'une de de Salnt-Phl* de été victime d'un piefc^pockflt qui lui dérobé hou porteM. Désiré Sallols, clhflu»ilîe*<Ieu3t an», cantonnier, 4, rue Neuve, il Pendu dam *a chambre.

en un Airérien. Ssnmot b«n Sôuasan T&en MohamFoy, a Até surpriB. rue B*»urasrapa, comme il s'emparait Paquet de Usxu iuf un oamlon. Au d4pfit.

Les fêtes du 150e anniversaire de la Révolution

On a déjà, beaucoup parlé des- année, célébrer le cent tième anmvereair* de la Révolu- lea projets, plusieurs dates n'en On prévoit cinq manifestation* nationales 1e 5 mai, à VftraaiHefl, Parla, évoquëea les grandes dates d* l'été 1789 et l'œuvre de la Révolu- radiophonique de la I>éclaraMon des droits de l'homme le Juil1 !et, dans 1« cadre du Palais de Ohaillot et du Champ de Mars, fête Inspirée de In Fédération de où s'affirmera l'union de toutes les ré&îonri de la F'rance et de le champ de bataille de Vatmy. cérémonie militaire. Le 21 septembre, hommage à la Répuhlique. avec défilé et cérémonie plaç* de la Nation. autour du monument de Dalou.

ne aûn côté, ia Ville de Parie, outre m participation à ces céré12 juillet, dans une fête de Jour et de nuit, l'adoption des trois eoulèars et la iïfarseiJïaise,

Pendant cette même période, qui va donc de mai à septembre, d'autrea <iéréTtioni*.9 plus modâate.1 Je dérouleront sur l'enserable du territoire. Dans les plus petites comtion de cette dite de 1789. Des comités, formés par lea préfet?, susciteront ou coordonneront Vw initiatives dea mairea et dea grouLa Ligue françâisa de renselgne1 ment a élaboré, ;avec: B«i aortes civiques et aportives en partieu* lier, le 18 juin. au Perahing, à VIncenn«j, jeunes sportif* doivent défiler. région pariaienne de la Fédération musicale populaire pris, d'Autre part, l'Initiative d'organiser un festival qui aura lieu le 30 avril prochain. Ce feativa.1 sera répété dans endroit» au cours de l'été, notamment à l'occasion du congrès de la F'. M. P., qui est fixé aux 15 et 16 Juillet et qui coïncide. par conséquent, avec les fêtes du cent cinquantenaire du 14 juillet.

EnÛnr des expositions seront organisées dans plusieurs villes de aenfer les documents oU souvenir* de l'épopée révolutionnaire. L'une

de ces expositions J*ara faite au château da Veraaniflj.

La Marseillaise aura aa part spéciale dans les f«tés on prévoit, en effet, vers le début de Juillet, à Strasbourg, une cérémonie au cour» de laquelle l'hymne sera chanté par un artiste, tel que ïïouget de Haie la fit entendre unes le maire Dletrieh,

L'hymne sera, le même aotr, tram amie par téléphone et diffusé à MajraeiUe d'où l«s de cette ville et CCUï des autras citée et localités que traversèrent les volontaire» en I?92 rapporteront il Parla pour réception par la municipalité au faubourg Saint-Antoine, le 12 Juillet La cérémonie se prolongera, du reste, aur la place de l'Hôtel-de-Ville où aura lieu, en mâme tempa, la tête de l'Adoption des trois couleurs. Enfin, le 16 Juillet la XaTseiTtatef; serti glorifiée de nouveau à armées de la République.

coup. Et, naturellement, les historiena ne seront pas en reste diverses publications sont prévues, D.

BOULEVARD DE MAGENTA Une auto dérape sur la chaussée glissante et heurte le marchepied d'un autobus à l'arrêt TROIS BLESSÉS

La pluie qui avaft rendu la niilt dernière la chaussée de Paris très glleaûntû été cause d'un grève accident à l'angle des boulevards de Magenta, et de Strasbourg. Vera minuit, une auto, conduite par M, Pierre Terras, représentant, boulevard Davout, accompagné par sa belle-aceur, Mme Jeanne Dudicourt, quarante et un ans, rue Pierre, Il Lequesnoy (Nord), 3e disposait a descendre boulevard de Soudain. M, Terras, qui avait aperçu une autre voiture roulant devant lui à faible allure, donna un coup de frein pour l'éviter. Mais les roues de sa voiture pati- nèrent fut déporté vers la droite et alla heurter violemment ïa n* 30 qui se trouait à l'arrêt.

Par m al neuf, plusieurs voy«g-eurs étaient en train dedte et l'un d'eux notamment qui avait déjà quitté le marchepied, M. Léon ans, 5, avenue dea Capucines, il. Ville,neuve-ie-Roi (Selnç^et-Olae) eut la jambe gauche littéralement écra- sée et il a dû ê'.re amputé, Mlle Yvonne Frtzer, qu«.rftrttc^9ept négociante en. chausaurea, 45, rue du Château-d'Eau, qui se trouvait derrière lui, fut assez grièvement blessée également. Elle porte une plaie ouverte h ia jûm&e droite. Ces deux voyageurs ont été transportés à l'hôpital Lariboislère alrLsl que Mme Dudicourt qui sourfre d'une plaie au front et au genou et dont l'état est trouvait près d'eUe au volant et qui a été consigna à la. disposition du commiasaire de poli-ce du quar- tier de la Porte Saint-Denis, il ïdt Indemne..

LA FETE DE LA MUTUELLE DES WAGONS-LITS

Hier, dana les galons du Palals de la mutualité, a eu 'lieu Is grande fête annuelle de la Mutuelle des wagona-llts. Un trèa grand nombre d'invités assistaient au banquet qui était présidé par M. Ouiministère d\i Travail, représentant M. Pomaret, ministre du Travail, avant il. ses côtés MM. Faure, président de la Mutuelle Crêmieux, représentant M. de Monzic, minisf.re des Travaux publics Loth, direûtaur de l'exploitation généM. MapgQt-Nablemaire, directeur président de la Fédération nationale da la mutua- lité îrançaUe Broquelet, sousdirecteur au mintetère du Travail te* principaux directeurs et ehesf de service de la Compagnie. Au groupe du tourisme du Sénat

Le groupe du tourisme du Sénat, réuni soda la présidence de: M. An- toine Borrel, après a-voir entendu M. Rolland commissaire général au tourisme, s'est livré à un examen approfondi de î'orgamiaatîoa du tourisme en France et des méthodes de propagande em- ployés dana le* pays étrangers.

L'IMMIGRATION ETRANGERE dans les campagnes de France Bien qu'elle soulève de nombreux problèmes ella demeure bienfaisante

9oH3 ce titre Documents pour àeriïir d des étrangers dans l'agriculture /landaise (U, MM. Albert Demangeoa, profeaaeur à la Borboane, et Georges Mauco, docteur è* lettres, viennent de publi«r les résultat* d'une remarquable enque entre priée pour le conseil universitaire de la recherche sociale.

Cette étude se présente aoue ta forme d'un fort volume de quelque a50 pagea, et dont l'importance est Justifiée par le nombre desmente reoueillia. L'enquête de MM. Demangeon et Mauco est, en effet, à la fois la synthèse et Ja conclusion de plue d'un millier de réponses reçues de toutes les de la France, à un questionnaire dressé par eux sur les divers aspect* du problème de* étrangera dans notre agriculture.

Il ne saurait être question ici de passer en revue, même brièvement, ces dlvera aapecta l'un sions eflaentie]]G& qui touchent plus directement l'opinion publique. Quant à ceux qui, à un titré profeaaeura, étudiants, etc. a'Sntêrea&ent à la sociologie, à la dé- mîquiea ou même aux varlétés de ront se reporter avec grand profit à l'ouvrage lui-même.

Déjà, avant la guerre. Depuis bien avant Sa guerre, de.. ouvriers agricole* étranger* vement comme < saisonniers Mats feur nombre s'est considérablemant accru, particulièrement celui des travailleurs fixes, tandis que le nombra des saisonniers diminuait. De plus, des répons qui, autrefois, recouraient fort peu à la main-d'œuvre agricole étrangère surtout notrq Sud-Ouest comptent maintenant d'importanUn recensement fait en 1931 In- dlquait comme chiffre total dans ragrl culture. Or, depuis cettn époque, leur nombre n'a cessé de croitre. Es il. 1937f la population étrangère dans le Sud-Ouest a du quart, et, danstaina départements, de près du tiers. Le Gers, qui n'en comptait pas 5.000 en 1921, en avait 13.533 en 1930 et en La Lotet-Garonne. G.238 en en 1931 et 30.000 en

Deux causes à eetto vêrltabtè invasion. D'abord, la désertion dea campafïnM françaises par ceux ces la pénurie de m&Jït-îTçeuYre et raccroiaBemeat des terres Incultes- Ensuite, le* étrangera menacés de chômage dans l&a usines et lu minas se rabattent vere l^avaux agricoles pour éviter le trlement.

Cette mainMï'œuvre étrangère partais moine payée et la plupart du tempe moins exigeante pour la nourfitnre et le logement donc accrue, d'année en année, grâce à de nouveaux arrivants. Puis une bonne portion d'entre eux, ayant réalise des écwiomîea, les IL consacrées à prandre une ferma et, quelque temps piu« tard, à acquérir un petit domaine ahandonné. Si bien que la proportion

CYNODROME DE COURBEVOtE

COURSES DE LEVIERS

RESULTATS

-PRIX DE GAVAlLNlfi (puppies, chiens). Tatem*tJ<itiaa. 4.000 fr. Handicap, Distance SIS mètres. Première éliminatoire 1, Poker, ga«naiït, 48 tr. placé, lï It. H) 2. Bas Bleu, plswé, il fr. 50 3. lïfdi, 152 fr.: couplés tr-, 171 fr., XÛ5 fr.

De\iïi*me «iminatùire 1. Pista1 ahe. gn^nan*. 7 fr. pd&câ, 6 tr. 50: 2. RooroY. place, 12 rr. &0 3. Pur»- 40 rr.

Finale 1. Hocroy, gagnant. 98 il.: fr. 50 2. Bas Bleu. placé. 8 fr. 3. Coilomlbo. pl*«ê, 11 fr. cfe, BE ïr.. &3 fr.. SU tr.

PRIX DU CARLITTB dlcap, DiHtajww 533 m&tires. 1. Surtax. erapnant, 3S fr. pUuoê, 14 fr.; 2. Amadou, placè. 12 fr. 3. Tçwnmy, rtïao*. 20 ir. 50 couplé gagnant, 108 k couplés placés, tr.. 70 tr.. 133 fr.

PRJX D'ARMAGNAC (puppi* ehtetia). Iflteimfttianail. rraiics. ̃ Haïklioftp. fiiatance mWrea, gt»nt. fr. placé, 8 Ir. Poftite, pUcé, 9 fr. K) 3. T. S. F., placé.

cDUpHée pûacêa. fr.. 22 fr., fr. XteuxL&ne ALmiiiatoirâ C»9.ra, gagnant, « fr. 60 placé. 1& fr. 2, Mipwmar, pla0é, 10 fr. 3. Rêverie, placé. 19 Ir. 50 rompHê gagnant fr.

Finale 1. Mirantar, çafiûàûi, 32 (p,; ptaat. 8 fr. 2. Coton, 10 Ir. 50 gnant, tr. pîacéa, 31 fr., 14 fr.. 23 fr.

PRIX DE L'HERAm-T (pupplea, ohieaa). ïn:lernat louai. francs, Fiiwrfii ffagmaat, fr. placé, 7 ir. 2. O-rey Beaflifin pla^ê. couplé gagnait, 126 ft1. couplas pflaPROGRAMME POITB AUJOURD'HUI Fronoslius

3âû mètres. Première éliminât olre Ali Baba. Dusty,

Deuxième éliminatoire Corail, Fa-

PRIX DE LA 3AONÊ. Handicap. 518 mitres. Première éliminatoire Noe, Coquin.

Deuxième éliminatoire Bayard, Soutra.

PRIX DU RHONE. Handicap. 66S mètres. Première éliminatoire Reflet, Rivage.

Deuxième élimin»tfiïre Ortlll, Salo mon.

LES CONGRES Les anciens enfant» Av tnnipo Za trentième cortgrifl annuel de l'À^aoc.iai.ïfn mîlltaifraa (-anciens enfants de troupes) tçnq hier aprfes-Tiiiidl i la Eorbonne, sous la. présidence du lieutt"ont et* adoptés, relatifs à l'Instruction donnée dans lea écoles militairfeap&rato4Tes et aux avantages à réa4rver ayx chf&nta de trouas.

Au qui suivît, l'on rem*rauait parmi ]en invitSa H. Penancier, ancien ministre, prtala«nt de la V>ncennot?e le le général Botte, pré- aident de la la Saint- MalxCTitûisè s le général Matter les généraux Stehlé et Cornet lez représentants des grandes Acolfla mJHtalres le- commandants des miilt^irflsi préparatoires lea délégués des groupes de perfftfrUon.

Au dessert, !e colonel préatd«Tit du grmi(w de Paris, eialta élèvm dans les divers concours d'adimlaaion, citant particulièrement l'entrée à FoJytMhniflue de tr&is enfants de troupe», un k l'Eco3« de. mmea. vînfit-deux A Sïint-Cyr, au totel snixaiitc-dix ancien? élèves dans les jrandei! *col«. 11 stenala rebellent résultat des épreuves du lwc lauréat à VfXOli dAutun où cin-quant*Quatre élèves furent reçus sur cin(juaïite-aix présentée.

Le préaidpnt général de l'Aseociatton, M. Viscroze, malheureusement empêché ftt lire son lîtsemira au il mit en relief l'action déaint^eaaée des A. S. T-

des colops étrangers Cptoprtétal- tes. fermiét* «t métayers) qui était, en 1927, évaluée à 27.0w, était paaeée, en 1930, à

On peut ptâ<m(ner que 'leur nombre s'est encore accru dépuis cette époque.

La présence de ces étrangers ent utite

présence de ces étranger* fixés est-elle utile ?. Oui, certes, car aa.ua eux de véritables étendues, abandonnées ou vendues par leurs poâfieAâeurA parti. vera lea villes, resteraient Incultes. Ils con- tribuent ain*i au ma.intlen, voire au réveil du l'activité dans maints petits villages. Et toutes les réponsefl recueillies par l'enquête de MM. Donnftngeon et Mauco, touchant les CDafléqucnce3 pour notre agriculture d'un départ éventuel sur ce polât ce départ serait déa&atreux. Terros en friche, ferme* abandoQnà*e, baisse de valeur des terres dont la production ne pourrait plus être assurée et. en revanche, haUEee général. des pris des produits du sol.

Autre aspect du problème que pose pour nous la préeence de ces éléments étrangera sur notre sol. Si, du point de vue pratique, ils sont utUea et méme indiepen&ablés »" na r^uëub-jls pas de constituer un danger, soit pour le paya en ces de' conflit extérieur, soit restant ré±ractaii"*B ?,n Autrement dit, peut-on ea parer lee voir s'a&aimiler, an réaorbftr peu à peu daas la nation français^ ?

Les réponses ici sont variable & mais, dans leur enëemble, positives et Sans douta on peut remarquer que les groupes ethniques les moins rapprochés du nôtre {Polonais, Russes et Tchèques) s'acclimatent et s'assimilent plus difficilement. Par contre, lea travailleurs agricoles â"orf£One belge, fixent généralement dans le. réRions proches de leur pays d'or1g;ne, s'y adaptent très facilement. s'assimileraient plus rapidement al leur gouvernement ne combattaU cette tendance par tout un ensemble de mesures destinées 3 maintenir en eux « l'Uallanïté s. Malgré ces ef forte, on remarqua que la proportion des jeunes Italiens au conseil de révision cet souvent très élevée.

Dans le Var, par exemple, 83 fil. sur 150 Inscrits à Kyères; à Solliès-Pont, 23 sur 3fl à Cuers, 15 .et 40. Et l'enquête permet pourtant de remarquer que lu naturalisations d'étrangers sont bien molns nombreuses dans les campagnes que dans les grandea villes, les travailleurs agricoles étant moins renseignés sur les clémarrties à faire et la constitution d'un dossier.

Des considérations

rassurantes

Nous ne saurions mieux faire, pour conclure notre trop bief examen de l'enquête sur les étrangers dans l'agriculture que de citer ces rassurantes considérationtf de M. Georges Mauco étrangère, devenue néfaste- dans Un centres et dans les activités arbainea, demeure bienfaisante dans le. campagnes Françaisea. Sans doute eouïève-t-elle bien des problème. qui devraient attirer davantage l'attention des pouvoirs publics. Mais il reste que, de tous les éléments étrangers qui a'ïnet&Hent en France, ceux des campagnes ont à la fois les plus utiles et lea plua asaimi labiée, Venus en gén6ral des paya voisins, proches parents du nôtre par le genre de vie et par la I an gaie, ils s'adaptent aisément. îl en est même, tel. 1es Belfies, lea Ib^liena du Nord, les Suisses romands, le.. Basques et les Catalans qui se fondent instantanément dans nos populations paysannes.

S'il est vrai que, pour participer pleinement d'une nation et se bien pénétrer de aon âme il faut avoir connu la vie de ta terre, on tout au moins y pulser sta origines, les étrangers qui cultivent le sel de France sont mieux placés que tous autres pour sentir 1'ata.visme franOn peut dire d'eux, en reprenant de mot de Fustel de Coulangea, « loin qu'ils s'emparent de la terre, c'est la terre qui s'empara d'eux ». Par là encore, les étrangers, dans ne. campagnes-, s'apposent aux étrangers des grandes villea, qui, trop souvent. agisaent directement sur les centres nçrveux du pays avant mëm* de s'être suffisamment pénétrés de sa sensibilité et de ses qualités profondes.

Franz GRAVER EAU.

U) Hermann et Cie. éditeurs, S rue de la Sorbonne. Paria iV*),

Au Petit Palais tiènM groupe des Artistes de ce C'est une suite un peu triste. mais oit Cheval des Boréi de mer d'une grande finesse de coloris, RouSSinfib faisant penseril. GrpraaîM, et c> Rouault prouve des dons indisoù l'acerbe Roger Wiltl voisine avec Ihcrmétique Broussardh qui manque de simplicité, ou Gcrmatne Labaye charme avec un poli paravent et où, surtout, s'impose Brandel avec des paysages %pontadépouillés, pleins dc poésie et d'une imposante sensibilité.

Plusieurs statuaires. céramistes {Sébastien est deux et réalise sa sfimbliers. décorateurs et relïeuni complètent cette exposition dont enfin. fait encore partie un exploreleur, Fred Matter, qui a envoyé des souvenirs, phot- et des documents vraiment^ palpitants d'un voyage le long de 13 haute Amaione. VaNDërpyl. Au comité

France-Belgique-Luxembourg Le comité France BelgiqueLuxembourg- a offert hier, ne l'honneur de M, L* Tellier, nouvel Nmbaaeadeur de Belgique en France, un déjeuner que ï>ré»idaît M. Leftbvt* du Prey, sénateur. ancien minlati'c.

Parmi les persunnalités présentes on remarquait Mgr Valeria Valeri, nonce apostolique, doyen du corps diplomatique; MM. Paul Marchandeau, Anatole de Motiaie et Farnand Gentin: membres du gouvernement les g:ën«raux Gamelin, chef d'étatmajor général de l'armée; Nollet, grand chancelier de la Légion d'honneur;lHûJre de Paria; MM. Barbet on, ambaasatifl^r de France Bruxelles; Henry Bérengcr; Milan, sénateur, président de la caisse autonome d'amortissement; Faui-Emile Jangan et le baron Pûncelet. Des discours furent prononcés par MM. Lefebvre du Prey, FaulEmilê Janaon, ministre d'Etat Dernières nouvelles sportives POUR LA DIXIEME FOIS LES BASKETTEURS PARISIENS BATTENT LE NORD

An Stade de Cûiibertin pour la ris de baaJtet-balil se sont affrontait hier soir- Un millier de jrpèctart &ura fêtaient dépîaoée. A la mitempa l'âqulpe de Paris cwnptau un En deuxième mi:temps. Paria retrouva toute sa cohésion et domina îp N^irl de tfèa loin rfttïLportant îlIubi «r. dixième victoire Par 45 pis à 23. AU CENTRAL s. C.

Hier soir, au Central S. C., nor^n a. vaînwi Je&n Beslay aux pointa t point»,

La médecine a fait

beaucoup de recherches. pour tenter la rln l'asthme. Les ronnSdea sont nombreux, pae fou- remMB par excellence de in cria* d'asthme. Un médecfn prouve iftur efficacité absolue en écrivant t DéMAIRE. 1. n'Ai lolres BSCOUFLAIRE, M. Grande.

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LA HERNIE

VA-T-ELLE DISPARAITRE ? NdutcIIb méthoda d'un Docteur l'appliquant chez «oir «an« {rail Nos lecteurs he mieux seront beureux d'apprendre qu'un médecin de la Faculté de Paria a trouvé 1. moyen de vaîacre cette infirmité aatie leur Imposer ni déplacement et traitement ni arrêta de du Docteur ï*lvet-GarfRue, basée sur un nouveau principe d'une efficacité remarquable, permettant d'abandonner tous let anciens peacodés. Notant plus obligea- de supporter la gène de leurs bandagea. des par milliers ont déjà adopté cette méthode sana opération. Four la faire connaître & tous, elle dût a Expédiés gratuitement aux personnes qui enverront cet article avec leur. et adresse à l'Institut Orthopédique da Paris (Servies 10), rue Eugène" Carrière, T bis, à. Parla.

"Pour lancer ^zzz jl UNE AFFAIRE Le "ciel

DKtJXIEME PARTIE

L'OISEAU D'OR

CHAPXTRE ITI (suite)

Jalousie

Mais l'orpheline ne aonge pas A tout cela. Un* révolte misérable la soulève. La vie lui est haïssable elle détesta Lolita farouche- ment. Quant à Bob. quels genttmenta l'animent k l'endroit de celui qu'elle adorait naguère enaorô ? La petite MurcelÉne ne le sait ps,«, elle a trop mat clip croit entendra le nom de Robert murmuré par la belle star. Ce nom que Mrs Hooligan modulait tùut à 1'heure dans un élan de f«rveur amoureuse, il semble à la petite que ses lèvres jamais plus ne pourront le prononcer. Un fosse que rifin né comblera s'est creusé entre eux. Les sensations déferlent en elle comme des vaEUM furipuses elle garnit, telle une suppli.Elle souffre trop. Et la mer est lâ qui ondule mollement la mer .69t là qui t'apAlors, Marceline n'y tient plus le déswpoir La pousse qux épaules. Elle s'avanct vers le penche, elle '"B sauter.

pt voit l'inconnu s.its yeux de velours, pleins Û^une diuteur ténébrtuae. Elle veut échapper. mata l'autre ta. maintient sana pITûri-. Il interroge d'une vol^ cÂUne -̃ Petit? fille. Qu'ai liez-voua faire

Elle âér,ourne la t&te. Sa douleur crève dans un sanglot.

Laissez-moi Lalaaez-moi Je suis trop Trop A âge ü n'y » pas de chagrins éternels. Dans un mois. dans huit loura pftut-eire, vous vous éveillerez guêrïi? At voua vous d'avoir tant pleuré pour une contrariété dérisoire. Il parle longtemps encore, Su voix est lèçère comme une cares&et il semble à Mar* c-flline que «s peine s'endort, borcée par une Copyright Ir.y Jos^ Oermaln 1935. et et reproduction interdit en t<mu p*y&.

musique très douce. Cât homme exerça sur contre lequel il serait vain de lutter, Elle ne entre lui at la lettre anonyme glissée quelque;¡¡ heures plus tôt aoua sa porte. La lettre! Il y a longtampu qu'eue n'y pense plUB, son esprit et son cœur untquement mipila de la Robert s'est ouverte.

Sanchez Cardeno poursuit le discours préparé d'avance. n parle de fart, du succès, de auasî rjelle* ?

L'aventurier continue, et Marceline 3'*tonne de sftitlr qu'il la persuade. Les tarcea toutes puissantes de la jeunesse a'jnsurgeint contre l'Idée horrible du néant. Mourir- le veut-elle encore ? Le pourrait-elle ? Son ftme oacille que le tentateur lui gllaa* a l'oreille Ecoutez-moi Laissez-mai prendre Min de votre avenir. Avant trois molr, J'aurai fait de vous une vedette aussi célèbre que Lolita Alvarez!

Le trait a porté. Marceline frissonne une flamme brille a travera aes larme*.

Ausei célèbre que Lolita Alvarez ? ré^fitB-t-elle d'une volx haletante.

n'hésite pas à affirmer

Bien ptue célèbre encore! A côté de vous, elle n'existera pas.. AlUm«. vous dites oui, n'est-ce pas, petite flH* ?

Il plonge iee regards les yeux clairs. Une force it-réfuatlhle émane de lui. Quelque? secondes enûore. Marcellina mata, déjà. toute volonté t'abandonne, elle est il. bout de résistance. 8a tête s'incline. D'une pauvre d'enfant battue, elle OuL-

Dana l« courant d» \1. matinée, on arriva en vue de Rio. Spe^Ude la naie creusait son in», bordée de maisons &îanchea surgies de la mer scintillante. En avant, ]e « Pain dç ancre l'immense roc pareil a un Titan métamorphosé en fffftatt dreasalt soleil, 11 pasa< du bleu au violqt, da Jocr*

N- 31. Feuilleton du PETIT PARISIEN. 12 mars t939

GRAND ROMAN Par José GERMAIN

au pourpre l'océan le baignait de ses flots pailletés de lumière. La réalité s'abolissait Ce voyage qui s'achevait En apothéose, ce n'est pas seulement dans l'espace qu'on a.vajt la sensation de le poursuivre, mais aussi dans le temps. Cette ville magique, qui aeen*blaJt construite par un enchanteur de conte: bleus, était-ce une cité moderne ou bien le. capitale d'un empire dlspaiii depuis des aiècles ? Les passagers qui faisaient le trajet pour la première fois et qui. écrasés d'admiration* contemplaient cette merveille, se le demandaient iratmctivâmâat.

A tous les. étage» du paquebot, on 0'afTai:rail, on courait, on bouclait des valisas, où n'interpellait. Des gêna, qui avaient passé p!us de quinze joura ensemble sans a'adrea- ser la parole, fraie misaient eoudain dans j Cependant, notre ami Mat demeurait par- laitemeat ealme. Ce n'était pas la première foi8 que lea hasards de sa vie errante t'ame.aient au Brésil. Aussi, la hale de ftJo et 6e* le ialasalent-ilb indifférent. Enfermé dans ea eatitne, »on orùie- gueule au bec, la visage Il 11 Faisait l'inventaire de son portefeuiiîe dea pièces d'Identité surchargées de visas le gonflaient, mata il ne s'y trouvait en revanche que tort peu de bllleu de banque. Chose toute naturelle, puisqu'au moment d'embarquer sur la

yacht de Jonsjt, Olaf Jorgenaen était à bout de ressourcée, et qu'il n'avait, et pour cause, point touché sa solda à bord du Sot Ever,

Sans doute, le service rendu à Mra H&oIlgan lui donnait-il le droit de penser que celleci ne l'abandonnerait point, une foie arrivée 0; terre, Mais Olaf se défiait dea femmes «t i'espé rience l'avait Tondu méfiant. Il savait que, pour beaucoup d'humains. la reconnaissance n'âat pas le désir âe s'acquitter d'un bienfait reçu, mais bleu plutôt le sentiment qu'on peut avoir besoin une seconde fois de celui qui nous a obligés. Au&si envisageai t'i] l'avenir Immédiat avec une méfiance hargrneuae.

Soudain, on frappa. Jorgeasen ouvrit la porta et recula, stupéfait, 19 vue de Marc&lin* qui vtnt s'abattre dans ses h ma, le corps aecoué de «anglota convulslfs. eh bien! petite, qu'eat-ce qu'il iL de eayse ? s'ecria-t-U, toul ému la la vue du pâ.uv£e vls&e inonde de larmes.

En quelques mots, Marceline retraça ta «cène qu'elle avatt surprise dans !e causant de ta nuit. puta révéla les prapoaitïone que lut avait faliea Sn-nchez Cardeno et qu'elle avait acceptées. Elle omit de parler de la Olat V^cou tait avec surprise

Après tout, qu'Ast-ce que C* peut te

faire? Il faut bien que Jeunesse se paaaç. Tu n'as pas chargée de venter sur la vertu de ton frère, tout de même

Presque malgré elle, L'orpheline laissa échapper 3'On secret

Robert n'est paç mon frère-.

Olaf retira sa pipe de sa bouche et se gratta. le crâne longuement

Ah le comprends. Tu l'aimes, a'est-ce pas?

Elle eut un sursaut de tout son être: Lul ? Je ie déteste

C'est la mêora chose. Ouï, petits, puisque c'est comme çe. tu as raison. Vaut mieux que tu t'en ailles sans lui. D'ailleurs, il ne m'a Jamais rien dit de bon. ton Robert un marin à la manque.

Ce n'est pas vrnl cria l'orpbeiine^ toute prète à défendre celui qu'elle accablait un instant plus tôt

Mais Ol&f poursuivait. en tapant sa pipe à petits coupa contre «on talon,, pour en rairâ tomber la cendre

Oui, oui, c&ia vaut Et puis, aprèa tout, c'eat vrai' que tu dois devenir une grande artiste. J'en a1 vu daïl3«r, nadlr daae les quatre coins du monde, qui ne t'arrivaient pas a la cheville.

Le temps d'un un peu d'âapoir briUo dans t'âme de l'orpheline lea rêvés dé gloire recommencent à battre de ]ra.iïe. Puis tout s'abolit de nouveau, submerg* par une houle de chagrin.

Oiaf avait empoché sa pipe. Il reprit sente n ci etiaement

Ce type qui t'a parte, t1 diiig* un théâtre

Le plus grand mu*ic-hall de P-ïo, t ce qu'il m'a dit.

C'est à voir rumtna le eoi«se. AVEC ces Il 11 faut toujours jja métier. Enfin, nous verrons bien. Je ne te quitte pas,

Vous viendriez avec mol ?

Parbleu! J'ai aasez, roulé sur toutes les mers du mande. Un petit sur la terre ne me fera pu de mal- au contraire. Sans compter que \q cherchais une situation. Elle me tombe du ciel grâce toi ton nouveau patron trouvera bien i ta' occuper danj sa botte.

Mais 11 ne voudra pu.

Qui ça ?

Olaf haussa lea é punies

Il voudra si tu Du artistea comme toi, ça ne se trouve pas au coin de tout 6* 1ea rires, Et d'ailleurs, s'il n'est pas content, j« pourrai toujours lui aplatir le nez.

Ce n'est pas ce qui arrangerait le* choses, fit Marceline avec un faible sOUrtre. Avec ça Un bon Coup de poing en pleine figure évite bien des parlotes inutile*. Il réfléchit quelques secondas puis, changeant de ton

Ecoute, petite, je ne pense pas Que tu tiennes à revoir ton Robert ?

Non Oh! non! de- un aan> giot

Et l'autre t» kolfta.? Pas davantage, hein'! C'est bien ce que fe pensais. AJorsf voici ce que tu vas (aire tu vu retourner bien gentiment dans ta cabine, chercher t- affair&Ss et tu reviendras Ici, puis noua irons ensemble trOUv*r ton C&rdéttO et n<ms expliquer avec lui.

Ainsi fut fait. La- jeune fille regagna sa cabine sans éveiller Lolita. qui dormait pro- fondément. Elle prit la petite va4is« que lut avait donnée une pfiâBB-gèr« elle y jeta la peu de linge et de véUmentB qu'elle ptisaédait.

Dans son trouble, la pauvre Marceline oublia complètement la rameuse env-eloppô que lui avait confiée Mrs Hooligan lour même dû ailes avaient été recueillies par la Gascogne, Craignant de perdre ce précieux dépôt si elle le conaervait toujours sur elîek l'orphAllne avait décou&u la toile qui doublait le fond de la valise d avait gtusé luenve- loppe Jaune, scellée de cire rouge. Puis eU. avait pecoueu la toile avec soin.

Mata le drame qui se ]0U3Jl dans «an cœur empêchait la petite de songer autre cUms* Elle rejoignit Qlaf avec «on bagage et, comme on ap-p roc hait de Rio et que le grand navire d'à veillai L ils se rendirent auprès de Sançhes Cardano.

que ce dernier fut particulièrement ravi à l'Idée d'engager Oiaf serait fort exagéré. Mais Se hrave Jorgensen ne lui laissa pas rembarras du choix

Ou tous les deux, ou personne déclarer t-11 énergiquement.

<A cuivre.)


tSS SERVICES TÉLÉGRAPHIQUES ET TÉLÉPHONIQUES SPÉCIAUX DU « PETIT PARISIEN ET DU « TIMES E3B

L'exposition

des chefs-d'œuvre

du Prado Pans

Genève et Londres Verrons-nous à Parla l'exposition des chûfs-d'reuvre du Prado actuellement déposés dans le pa- peut l'espérer.

En réponde à une question de M. Gflorgts-PTade, 1e préfet de la jrîon.3 suivantes

Dca renaRlçnementd qui ont été fournis par le président du conseil des musées nationaux, il résulte qu'il a été constitué un comité international où, 5, litre privé, dea amateurs français, anet hoïla-ndeis sont intervenus pour aàsurar le sauvetage dea chefsd'œuvre du Prado et des autres œuvres qui ont passé la frontière cessaires pour apurer ce sauveteure français qui ont tait ainsi dé leur mieux d-r.s l'intérêt de la

Cette œuvre terminée, un nouveau comité aéra, formé, cette fois officiel le nient, par des trustées dea musées anglais. le coîweU das munationaux français et les administrateurs officiels des muaéee de G*nlve.

Ce comité prendra, à sa charge l'inventaire officiel dea trèe nombreu=He Qui sont actuellement déposées dans le palais de la Société des nations et fera conatuer par des experts âc plusieurs peintures et dts objsta d'art. dispèûs&ble faite aux traia du comité des expositions qu'il sera avec r&ssentîment du secrétaire de la Société dû» nations et dus autorités espagnoles.

L'inventaire, qui doit commencer dans quelques jours, demandera plusieurs semaines. Dès qu'il eei'a terminé et après accord pre.aja.Die avec le gouvernement on peut espérer qua les musée nationaux, a Paris comme à Genive et à tondtes, seront en meaure de présenter une série d'expositions où fleureraient tout au moins le.s chefs-d'ocuvre du Prado Le colonel espagnol Lister résidera dans le Loiret Orléans, 11 mars ld. P. Pariaient Ce matin est arrivé à Gien, par le train de 10 h. 10, venant de Paris, le colonel Enrlque Lister, accompagné du lieutenant-colonel Castra Delgado et de leura remmes. Ces réiugïês politiques capadan le

D'autre part, le docteur Cavaïltère de la Sa-sté publique, a visité, cet aprfefr-mldî les trois centrai d'hébergement d'Orléans et les atrvicea hospitaliers,

LES CONFERENCES

DE M. GEORGES CLAUDE Sollicité de toutes parts, M. Georges Claude, membre de l'Institut, fera pour la huitième fois et sana ha;bitude, sa conférence publique 14 mars, 31 àauréa, au tlwâtre riences sur l'air Itquide et projection du film de i'auteur sur l'énergie thermique des mer*. Un cheval .français Talk », gagne brillamment la première place aux courtes de Hurst Park. 3U>n<Stw, 11 mars (d. Petit Paria.), Les courses d'obstacles qui ont eu lieu cet après-midi Hurst triomphe d'un cheval français Qrey Talk.

Dans l'épreuve du Triumph, qui sa court sur une distance de métrés et est doté* de la coquette somme de 1.000 Hvr&a, le crack français qui appartient à M. Henneasy et auquel .;ses nomtamment celle, toute récente, de Nice, où il eitleya le Grand Prix de Monte-Carlo, ont assuré une brillante rèputation s'eut encora mirpaBsê,

aisance chacun dea obstacles, il n'a et à dominer son prinçlpa.1 rival Carton- qui a commis d'uillmiTs une tante irréparable a u dernier obstacle. Grey Talk a passé le potueurs sur Carton, cependant que Quartier Sfaîîve, autre cheval franAnglaise, Mrs Bendir, s'est assure li troiui&me place.

Au grand désappointement de français. Mitsouko connu lui auaei pûur ses magnifique* succe-s en France et notamment à Pau, la 12 janvier, et à Cannes, le jan vier et le 12 février, n'est arrivé nombra de* favoris de la course, peloton et avait m«n« un train auperbe.

Le banquet

de la Saône- et- Loire à Paris Sous la présidence de M. Nuipblot, président de l'académie d'agriculture, maire de Bourjr-laXteine, la Saâne-et-Lohe à Paria, une des plus ancienne* mutuelle d« France elle date âe i$81 donnait Mer soir, â9, rue d'Alésia, son banquet annuel, le B&F depuis la fondation de l'amicale,

De nombreux sociétaires avalent répandu & l'appel du président de la. commission des Tètes, M. GeorA la table d'honneur avaient pria société MM. NÊcobier et Meuniiv, vice-pré«ident3 Lâur*auti et Morel, aecrêtaivea Brillât, avocat à la cour Girod, Burtin, l'aa qui réalisa premier raid Parls-Madagénéral de la confédération des vatoire, etc.

M. Georges Lecomte, de VAcaiémiB frar+salaç, et la Dr Dupré, honoraire!, s'étaient fait excuser.

REFLEXION FAITE. « Mlle Cotillon

n'est pas ma fille!» proclame le prince Louis-Charles de Bourbon

lropK-atrlce du Cercle d'Iéaa », soi-disant aile 7 Et comment l'auainsi que son ctHUPère Dubolg rdia-js connue ?

se plaienit à le répéter en cor- Mlle Cotillon a coaSs, dans ce rectionnelle Mlle Cotillon ne rè. tournoi, la défense de ses nobles vait que no&lesM et ETanSeur. intérêts a M» Alt>ert Gautrat, qui AU3li sans doute inspirée par le s'étonnera. a juste titre, du revlfaux duc de Saint-Simon, lui-même rement du prince. et sana doute déjà poursuivi et condamné pour le. dialogue des deux avocat» «n usurpation de titre et port illégal revalera-t-iï savoureux. d'uniforme, n'a-t-eile pas hésité, Comment n en irwt-il pas de ta lorsque s'ett présentée- l'mcMlon, sorte. c »' ici un Proï6s pour à te faire attribuer une royale or!- rtre, un P«=*^ comme on les aime. gioe. Le 3 mai 1S37. le jour même sans "talim., sana menace de où elle célébrait son trente-qaa- condamnation, un procèa fait «!̃Charles de Bourbon lï reronnai» P°f noua 4erWer et rappeler naît ofnciellement comme sa JUli. la joie de vivre.

Mlle CotiUon était née, en effet, Eugène QUINCHB de père inconnu et, bruBquement, FranS« et la Navarre, quYlt. v«- ¡. AU CONGRES DE L US ON naît de père et de L manège corsé de eoneUlabiiaM m- cret3r de Sa Majesté » par-e^ de

c Son Aïtewe > par-lfe, et d'un La politique de »«i dmCTant* répertoire SUraBûé des opérettes, ̃ eBt Approuvée mais qui se révWart, .#n congrès de l'Union dw syn.renet, d'une force cftmique irreala dicats de la ^gion parisienne s'est Que s'est-il pajutê en réalité ? c'est-à-dire hter en an de jourM' René Floriat aura l'occasion, née. Pour y parvenir, les déléguas mardi, de l'exposer .il. là pre- s'attardèrent moins à l'étude dea mlère chambre du tribunal, ce qui autres questions figurant à l'ornoua vaudra le pLus étonnant, le dre du jour qu'ils a'^t aient attarpiua n s'eat passé dég It discuter le apport moral, tout bonnement que te prince Tout ayant été dit son sujet. de Bourbon, descen- au cours des deux précédentes dant du cordonnier allemand journées, :Le congrès put, dèa hier Naundorf, .le trouvait, à l'époque, matin, ae prononcer sur la gasdans la région Aes Ternes et du tlun du bureau. Le vote ne Ût que Parc-Monceau, dans une situation confirmer nmprçggion très nette !e lui reprocher ? à battra mon- tante des syndicats présente dans Mile Cotillon d'autre part avait majorité favorables la poUtifait une rapide aScenilân Sociale que. du bureau str.cte^ent comoublie ce retent saant Imbroglio. aJLiL sanction de prinç pe. et év0 te il ne futMais MUe Cotillon était lancés. cute, le rapporteur ayant pria la On avait tînt pan. d'elle qu': lu. précaution d'indiquer que l'on en coûtait de retomber dsna ou- avait déjà pris des dispositions Ni. et «est alnol qu'elle fut acné- en vue d'une réduction des dénée à adopter » oon pauvrB père, pannes. Sur trente employés, Quoi de p1ue nature)'!) Il apportait d<mM ont été licencié, et ronenle titre OU. apportait l'argent visagerait d'autres rcslriction! sous forme de rente ou. plu» exac- si elles s'avéraient nécessaires.: tement. de pension. Le S mal Devant ces bonnes dispositions le prince, par-devant M. le malre, \u critiques se turent et 11 n'y Quel beau jour ce fut la.! Mlle quelques abstentions Cotillon prenait pied dans la haute Suprême approbation de la posociâté. Elle apparut transfigurée, litiijae suivie, le bureau fut réélu discrète, presque dietingnée. Elle tout entier à, main levée rougissait comme une Deasion- Elle fut très félicitée, très entourée de 1 Union des syndicats ne pas l'être lorsqu'on descend en de l'alimentation en grue droite ligne de Louis XVI ? L'Union de. syndicats de i'alipas été r«Wé Le grince ne tentation en gros de » retira de sa paternité tardive à célèbre BOn cinquantenaire en un peu prèm aucun dea avantages banquet présidé par M. Gentin. eaoomptea il lui suffisait, à elle, ministre du Commerce, de sorts qu'elle lalma. royalement oblige s'îc.oompagnait de charintermèdes ,-««™ et veut pas être dupe de l'aventure M. Lecomte, président de l'Union, et c'est pourquoi il réclame» en rappela l'oeuvre accomplie par le vertu de l'ar telle du code civil, gouvernement députa sa fondala nullité de cette reconnaiaeance, non en Isgg ar M Hartmann. ^ft"^ d'honneur. tant Ici que d'ingratitude.. discours ministre répondit par un Pour convaincre le tribvnal, le discours fort documenté sur les pan retardés, de l'Impossibilité de commerce de produits alimensa paternité. Mlle Cotillon, en et. lalrea et sur ;M poasibllitêa nonfet, est née te S mal MM, et il veUe8 sont ouverte, par prendront mieux Que leurs petites <^lier par l'application du froid, aile», que le demandeur puisse UN MEURTRIER ANTISEMITE de- 1M2" Rien CONDAMNE A MORT Car, aoupire-t-îl désabusé, je Oran. 11 mars. ne rat jamais vue, cette dame, et La cour criminelle a condamné je n'ai jamais entendu parler à mort Hachera La.houari Ould pie J'ai été légionnaire au Ton- 1&37 l'Israélite Choukroua. en kîn de 39OJ à 1ÎKJ2, et j'&J aéjoiittié 3'écrlant II faut que je tue cû Algérie da 1H02 à 1004. Où tous les juifs a.

£a ûuœMa au

NftW-Tork, mars.

OU HùTEÏ tOSIREBPÛHDiKt PABTICin.TB5

LES Etats-Un L3 ont, aux yeux de l'étranger, été mauvais ïfarçùns. Réputation exagérée. SatlS doute ont-tls, au vocabulaire du crime, fourial dea expressions qui, par le trnch&m*nt du cinéma et des histoires de détectives, sont devenue* internationales kidnappera, gangsters, racketeera. De là à généraiifler, il n'y avait qu'un pas Il fut franchi. fiJala Il semble que ces temps soient pusés. Crime does nat pûy (le crime ne paie pas) est devenu un slogan courant, et l'Amerique appa' rait résolue k pouaaer les bandit. d&ns leurs dei1niera retraccheniBcits. Venant à la suite de nombreuses et effectives offensives, ta récente condamnation de Hiines en est une nouvelle preuve. Longtemps les gangaters. racketeere et autres gibiers de prison avaient appuyé leur pouvoir sur de myAtérleuaft* alliances avec des politiciens vénaux. Le graft (pot-da-vin) était monnaie courante dans nombre de cités eL d'admintstrationa. Et certaines éminents grisés, par l'autorité dont ellea jouissaient, la crainte qu'elles suscitaient, la aussi, qui entourait leur. maïiceuvrea. semblaient difflciles à atteindre. Tout le monde attirait de IoUCÏWb manigances; personne n'osait les attaquer. Le juge Seabiïry fut le preil il y quelque, années, à porter le fer rouge clans ces plaies, et la démission forcée du maire de New-York, Jameâ Walker, en résulta, premier trophée de cette campagne d'honnêteté. Son succcsaçur, l'impétueux La Gwardla, dont l'Jntéjfrité est inattaquable, tut le courage de co-ntinuer le nettoyage nécessaire 1es jours glorieux étaient pas&éa pour les mauvais garçona.

Avec un cran, une ténacité qui l«i valent l'admiI ration de tous les honnêtes gens, le procureur général Thomas Dewey poursuit aujourd'hui cette tAtyhe difficile- Il a rt^à fait rendre gorge nombre de cacketeers, s'eat attaqué au trafic du vice,' aux ventes de stupéâarjts, aux maisons -de jeu;, Mata une citadelle regtaît à enlever, qui semblait imprenable, défendue par les ûls barbelés d'une politique extrêmement pu Usante, Tammany HaJU Ce groupe déottiM&te, aorte de franc-maçonnerie riche, aytotiUlre, avait fréquemment usé de son influence pour soutenir, moyen-

nant considérables redevances, des bandits de haute cl&f&e- Hines en était le plu* bel ûrnemectr ['un des bobs les plus importants, diepensatÉtira de souriras, de tapea daûfl le dw. et aussi de aacours et de prébendea» Son garçoe, politicien dana ï'âjne, entrepreneur de campagnes électorales, gënéreiis avec ses partisans, féroce avec ses adversaires, totalement dépourvu de scrupules, il distribuait aux bien pensants de fructueuses asBlettfts au beurre; ICI;1, pouvoir était tel qu'il était considéré au-dessus des loix. Mats Il avait eu i imprudence de a'acoquiner avec quel^uôa redoutables malfaiteurs, organisateurs d'u^e aorte d'illicite loterie quotidienne dont les bénéfices fie cbiffraient par millions- tenant certains juges à aa discrétion, il assurait aux bandits l'Impunité. moyeanant dollars par semaine. Ce«t il ce gibier de choix que Thomajs Dewey a eu le courage de s'attaquer il Va vaincu. Hines est condamne et une autre forteresse du crime l'est écroulée.

Une conséquence inattendue de cette victoire de la 101 est une popularité grandissante du procureur général Dewey. Certes Il n'eat que normal que les Honnêtes citoyens témoignent leur reconnaissance celui dont le courage a fait triompher l'ordre et l'honnêteté. Mais la politique «u«sl interviMit. Thomas De%v«y e-t républicain; il fut, en novembre dernier, l'adversaire de Herbert Lehmac lors de du gouverneur de 1'Etat de New-Tork^a. défaite fut fort honorable, et ohAcun, alors, s'accordait pour dire que sa carrière n'était pas terminée. Mais aujourd'hui, les pronostics Si!) précisent, et sa victoire le place au premier plan dw espoirs républicains pour la campagne dentlÉlle de 1940. Les républicains n'ont pas, Jtisqu'ici, de candidat marquant: beaucoup tournent donc leurs regarda vers Thomae Dewey, Il aérait assez singulier que la ténacité intelligente dont Il temolgna daae la poursuit. du crime lé menât au pouvoir suprême.

Dewey eat jeune il n'a que trente-six ans ̃neut-ëtre un peu trop jeune même pour les rea-?ûnsaï}iIHéa pesant sur les épaules du premier magistrat des Etats-Unis. Et bien des ëvénèmenta peuvent se produjre d'ici les étections présidentieUea. Mais c'est un nom à retenir. Du prétoire à la Maison Blajacheh un joli tîjtro pour l'histoire d'un grand honnête homme.

Raymond LANGE.

Les réservistes doivent obligatoirement déclarer leur changement de domicile Le ml niât ère de la Guerre communique

It est rappelé suit réservistes (y comprïs les exemptés et les réformés appartenant à des clsases non d'ublisatrons militaires ) qu'ils 9ont dans j'ûbtîgade déclarer leur ebangement &e domicile ou de r&ald&nca dans le délai d'un mois.

enter, porteurs de leurs HvreU Individuel%, à la brigade de la. gendarmerie de leur nouveau domicile ou au commissariat po11 Ce ou à la mairie de leur localité si elle n'est pas siège d'une brigade de gendarmerie^

Dana les villes de plus de habitants, ils doivent également, s'ils changent d'adresse, eu faire la déclaration,

Les réservistes qui s'absentent dé leur domicile pendant plus de quatre mois, doivent avant de partir faire viser leur livret individuel par la gendarmerie de leur 'fixer à l'éfranger, Ils doivent en outre, à l'arrivée^ prév&nir l'agent de France le plus volsin.

L inobservation de ces prescriptions peut entraîner, de un à huit jours de prison.

IYautre part, le changement de rs&idence ou de domicile peut cet. respoedre à un changement de faeclcule de et et ,don.Or drott en cas de mobilisation ou de rappel aoos les drapeaux à des d&laïs Supplémentaires pour rejoindre, calculés d'après la distance à parcourir Les réservistes qui, au contraire, ne se eont p&A mis en règle risquent d'être dé. clarés insoumis et d'encourir les peines prévues au code de Jus- tice militaire.

LE SÉJOUR EN FRANCE DU CHEIK BEN SANA

M. Alhert Sarraut e reçu, hier matin, en audience une délégation de la société) les « Amis de la France conduite par le cheik E] Arab Boua:ZÎ2 be.n Sana.

à a évoqué les aspiration* Indigènes en ce qui concerne l'enietïible du problème éeoaomique et A 18 heuira, U délégation «peet rendue à J'Arc de Triomphe où elle a ranimé le flamme sur la tombe de l'Inconnu.

Demai-n; elle se rendra il LiHe, sur l'invitation de M. Carles, préfet du Nord, et visitera la «Itiotl, La Loterie nationale et les Comédiens combattants C'eat Fcrûniid Charpln, membre de l'Aaaactatjon des comédiens combat- par Jes comédiens combattants.

UN VILL\GE HISTORIQUE

A une. quinzaine de kilomètres au BUd de Paria se trouve Verpetite commune agricole. On y cultiva la vigne. puis la violette, puis la remplacée aujourd'hui pa.r des cultures m a rai chères.

Louis XIV y flt construire un château pour La Vallière et demanda, paraît-il, le parc à Le Nôtre. Le château fut acheté en 1S13 par Philippe-André Lévêque de Vilmorin qui y installa ses tions, et notamment sa précieuse collection de pommes de terre de Parmentier.

Ces collections s'agrrandirent

de premier ordre permettant l'ana- lyse biologique de nombreuses plantes et 1& recherche de leurs possibilitéa écononjfques ou ornementales par une Sélection judicieuse.

Citons 2hQ00 variétés de blés, 400 d'avoines, 300 d'orges, 200 variétéa de pois et autant de pommes de terre, 400 d'Iris, 200 de frai^iere et de g-laïeuïa. 400 de bitte raves, cultivées annuellement en vue de t'obtention de racea nouvelles. matériel vivant que les connaîasances génétiques présentes permettent d'uttîlser au mieux

Pour parfaire cet éouipement, un musée contenant 15.000 khan. tillons B€C3r un herbier de 80.000 plantes, un arboretum et un Jardin alpin riche de plus de 2.000 espèces. A ce matériel d* documentation et d'expérience, sont adjoints des laboratoires de chimie et de btolofiie parfaitement aménagés. C'est aveo tout ce matériel de travail que la maison Vilmorin maintient a l'état pur les variétés les plus Intéressantes et entreprend la recherche de races toujours plus perfectionnées.

Un restaurateur parisien tué dans un accident d'auto. près d'Aunerre

TVoii de *&̃ compagnon! tant Mené*

Cet après-midi, M. Jean Sander, quarante-huit ans, gérant du reat autant de TKcu de France, peèe de la gare de à à Paris, se ren'lait à Chablis pour affaires, accompagné de em experts, MM. Legendre, 15, rue Parchgrot, à Paris: Alfred GTQ33, a, square La-Fonet Georges T-iêtard, 5. avenus Colbert, à Joinvilïe*le-Pont. Les voyageurs, sur une auto, abordaient à l'heure la toute nationale Paris-Nice, entre Appoisny et Baesou, sur laquelle sont en cours des travaux d'élargiasement une benne chargée de 26 tonnes de terre, conduite par M. pierre Vivier, doublait un rouleau à vapeur. M. Sander crut n'avoir paspace auffls&nt pour pajÎBsr et donna un violent coup de frein. La voiture dérapa sur la bordure de ciment la pneu de la roue arrière droit, perforé depuis plusieurs kilomètres, se dégonfla, rendant vains ies efforts du conducteur pour redr&saer la direction. L'auto heurt* viùîemimpnt l'arrière d! la benne. Trois des voyageurs furent proJetés sur la chaussée. M. S&nder, resté à son volant, avait la poitrine défoncé

Les blessé. turent transportés dans une clinique d'Auxerre où M. 3ander a succombé. Ses compagnort.3 sont RttBintfl de fractures aux jambes et da graves eontu-

Un nouveau marcln couvert à Aubervlllien

Construit en un temps record, la nouveau marobé couvert des <t Quatre Routes », à Aubervilîïera, a été inauguré hier matin en présence du maire, M, FouIon, de la municipalité, du conseil municipal, des représentants des sociétés locales et de toutes les notabilités.

A 8,,heures, tandis que rêsonnait la cloehç d'ouverture, Mme Foulon coupa le ruban symbolique qui barrait l'entrée principale, et ce fut la ruée dea acheteurs.

Les meilleurs étalagea furent primés par un jury spécial com- posé de commerçants.

LE BANQUET

DES ANCIENS MARINS S L'Association amicale et phï;&nthropique les anciens marina et inscrits maritimes « la F!t>tte » a fêté hier le réuggiç. M. de Chappede laine, ministre de la Marine marchande, ,!j'était fait repfâaeater par le directeur de son cabinet, M. Muaso.

Deg aljKDUrs furent frûiUmcéa par MM. L. Compère, président de la Flotte Teurtroy, préaident des Ancien» élèves des écoles de méettnl<'k-n3 de la tafirin* G. Maison, au nom dea ajiaoaiationii de marine et d'anciâûa marina qui, aux applaudiede tous. annonça la procbifne recOlïnalsâaûc-e par Iea pouvoirs publics de le Qualité de combattant aux marins du commerce qui rtav!guérent pendant la guerre Muiao, qui exalta l'œuvrf- de Il flotte et remit 1a croix de chevalier du mérite jjociaJ à M. MaqueL Un bal trÈ» anlm6 termina la îo^ée.

LE GALA DES PROVINCES à la mairie du Ve arrondissement sous la présidence du cbcf de l'Etat

TRAITEMENT NATUREL TUBERCULOSE AU PREMIER ET *U SECOND DCORÊS

par u RHEASTAR

Tout *st dans biochurs L» uoit, avec p^uvas à I appui, attaqué? sur tous ies ooinls Le Sou lapement ûgpafStt, la toux s'arrête, les expectorai ions deviennent l'an naisse et la

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Les "richesses" des poubelles pa risiennes A l'instar de ce qui est réalisé en Allemagne. M. Georges-Pradç, conseiller mualcipat, a ric*»roeat proposé que, sa vue de récupérer l'étaln des boites de conserves, tubea. etc.. mêléfl aux ordures, on demande aux ménagères de dépose, ces objets de.. des 3 fêûiplenta

La qneation. à vrai dire, expliquet-on la préfecture de la Seine. est déjà résolue.

De? quantités étain sont récupérées par les chiffonnier.:).

Le ramassage séparé dea objets d'étain exigerait de la part du publie une collaboration, active qu'il ne serait pas possible d'obte:r dans une mesure suffisante en labaencc d'une nécessité impérieuse ou d'uce législation spéciale appllquée rigoureuse ment.

Les objets en étain deviennent d'ailleurs de plus en plus rares bouteilles, « pa- briques le plus sauvent avec de la feuiile d'aluminium.

En ce qui concerne le. boites de conserves, bien que les progrès dans la fabrication du ferblanc aient permit de réduire fortement l'épaisseur de la couche d'étain, des quantités importantes retirées des ordures au cours de la manutention sont rassemblées dans le' usines d'Incinération et vendues à des industriels spécialistes qui en retirent l'étain. On peut évaluer à 1.200 tonnez par an 1a quantité de f#r»Wanc ainsi recueillie à Paris ta quantité d'étain (environ 20 tonnes) qui en est retirée est ainsi conservée pour l'économie nationale. Au profit de!! colon les de vacances des Aml9 de 11 banîîeue. mercredi prochain, la. 21 h. à à la plclne de l'Etoile. ru» de Ttljttt. bal d8 la. ml -car* me, « cfrnuftnts an^ de sport On trouva des billets chez la princesse Amélie de Broglie. iL avenue Fodi.

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ont ces étude*, ces recherches qui ont permis le mise au pain* par de rrotb«*e de Tiri* d'un apparpfl Invisible qui tient *êul dtm t'oieilJê et ne nécèiilta ni cordon, ni pi Je, ni accus.

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Ea disant cela, Maurice Baudouin, TBdatfe de Club Olympique d'Aubervillfere. ne cierebe pc il Be donner un inytièra. Pour lui. c'est tout simple. Sou équipe est la plus forte.

Baudouin n'™< pas Jousur. S'il J'était. de ses ccéqiupion- El de fait, réguij» ce présent» de la meilleure façqfl. luges-eu: «ne première trip/etts avec mal f Hein Et une dauiièrae avec flatte, Gcuzy et Caliiono. Prs mai non plus Derrière ces six hommw. courra pour tes appuyé* ou pour J« exciter. la robustesse d'un Arnold et te J«une andJOion d'un fijeajzs.

Sur fe papiw, AunorvilIieM ne doit pus tire battu. II ne le sera sans doute pas si, répondant air désir de dueîïement et apport* toutes sos forces au cfeuset commua.

LE PARCOURS

L» dîstftpre du Natiwial îera,

c*tte anné*. de k.ImnHi** et

< ne dlvlneia d* l» façon autvante

1 départ e* m»e boucle de 4 hUo-

1 mètres à couvrir trois fait Cha-

que tnur de «Hp boucle tsmpof-

barrière. 6.

Kmtne ds 1.500 mètye*, « 4«i évitera tfut eintooute:liÉKe.

i d*a orianisftteura, a fnvtmté un

Je* sp^itateuTB fieront tan&agn&B

1 kilomètre par kilomètre.

Le pareouxi des JanlnK wr» de

7 kilomètres <ane P*«t* t«e»*

et an« grande boutât et celui

de 3 kilomètre» (nae

»

établi des bUIeti *Uer «t »tt>nr

t 7 Ir. MI.

Horaire du "National" JUNIORS

14 h. pr^senUititn (fos JunJon. 14 h- 15 départ d«H junior»,

h. ^n*H«.ge luit14 h. arrivée du National des junior*.

19 h. présentation du NattaQÉll.

l.ï h- ta départ du Katlfrdàl.

1j h. devant W tribunes 3 tfli-

h. 38 putage d«Yttlt tribtmei après 7 un.

li. 31 p^MinsP après 11 km. 16 h. 5 «rivé* da Natlanftl, FEMININ

16 h. 15 •- présentation des ««uipes

A6 H. 45 arrivée ùu championnat ftfnljhi.il.

Disciplinés. Téquipe îTAuharviiJïers devrait donc l'emporter* Mais, à Ja moindre faute, les de ou Maiocmiia de BeMort pourraieqt renverser la situation. A Montiùzianà, J'équipe eat moins riche en indiriduaJilés. Il a a jboj|W de vedettes, mais la cofaéxioa est parfaite et ïJ ne îriendiaii à ridée de personne tfenireÏBdfe les inifrurtion* données par C'eai une force ça Et El FranqueneWe Compte beaucoup là-dessus car, si sa coniiûaca n'est pas ébranlée, il saif cependant qu'il ejf sDuvenf drfiicf7e de conserver un titra.

I4f sont cinq

voyez vous-même

Et tmô force atiasî que les Marocains de Bdfari. avec El Ghaxy* Bouaxza, Aîssa, Benaïsœ, Bvujnuj et auties Abd-ol-Kader. Leur entraîneur, l'adjudant chef Pattlnalo, ancien champion militaire de 110 mètres haies et de saut en hauteur, pointait bien fairt coup double à es Nafïonal en enie^ Ttin^ avec EJ Ghazy. la première place du individuel et aussi la première place par équipes. La cboî« n'est paa j'mpo$wi"/e,

Si la Par équipes ne doit échapper à l'un des trois Clubs cidessus, il est tout aufrenMnl pour la victoire individuelle. Sur les ISO coureur* guf au départ on note une trentaine d'jjnematiojiaui.

EN MARGE DU NATIONAL

Un fameux quatuor chez les JUNIORS SI le Natwttft», aree «*>n lot relevé de partlftpantB, i#tte aunée,:

(Quatre junior» de vateur tlat**«e- t termff poor le titre. Ce «ont le. Nant»>s Erl*ftfiP vAÎTiqHf/ar du cr&s» de» jeunes à Salnt-Clwnfl, «*, ^nfin, TlMmas, grande révf]atl»n du champion*»* de Paris Jujiiorsj qui pAUiratt araïr Iu;it«ment

Duel Paris Marseille chez les CROSSWOMEN elle au! il wpniiBser l*»»*ant de riraies rrdciutahle*.

14]le Brun, invaincue «tt* maison, ps-rait la plus qotUBée pour lai céder

fWftb U y aura également la M»ftuellfrmpnt en Erinfl*- luîrae, sont de catiiir nn# inrpiliw. Andr^ AtîflINET.

dont 23 de de Par ordre aJpIiabétJqtio, notons; une douzaine de coureurs euKtpiiblea de gagner Aie], Amioizcii*, fiaudoùln, £1 Ghaxy, Guiomar, Mohamed, iaJanne, Eeriwerancf, ieyaues, LonJas, Sicard et Wattiav. Et comment ne pas spngei cniiii au.- Glotl^n/, Lachaud, Gaillet. LahiHe, labon, Laforge, HéjroJIe, Tl- pard1, eïc. bien large, dires* vous, et qui n'engage pas beaucoup son autour. Soif- Réduisons donc cr neuf Je nombre de* proijables Afcei AmroucJ'ïe, BaudauJi], El £a- lanne, Lefjweiaud, Moiacred b*n Loalas et Sicaid. Tous sont des c moîit* de a. Baudouin, Lalaime, Lûtiaseratid et El Gkaxy ont gagné le, différentes épreuves privées de la Saison. Ahel est en progrès constants et fait figure cf oafsider Mohamed fcen Luxbi est vainqueur de de l'Afrique du Nord et ancien champion de France. Quant Sicmd et tonJaa, ce sont deux modèles de Ne retenons pourtant que cinq noms El Ghmy, iaJannç, Baudouin, Lotisserand et Amroviche.

Pourquoi ezsayQi de réduire encore Je nombre de rcrinquetirA po*aîhJ95. La. viefoire pourra dépendre non seulement de la valeur du nommer mais aussi de, contlîfions ctimosphérique* et également des lactiques de cours* employéea par les différentes équiper. Rabert MARCHAND.

fsn^q ruysse^biuiet atWtdé4

Vfajtnpnt, ce afîlt des oîiampions bien sympathiques ces deux A B. Ils ont tout ce qu'1i faut pour conquérir les foules la elaaae, la régularité et le brio. Au demeurant, ce sont des garçons qui font preuve d'une chaT- mante tuurtûisie. ilg pourraient, s'il leur en prenait la fajitai«ier appuyer .sur l'accélérateur et jrjmer la peloton. Mais ils sont trop pour faire de la peiné à le. ComparEÉâ.

Aussi Chaque Soir quand sonne ;'heure Ces s'arrangentils pour Laiâaet revenir sur leurs talons leurs victime. de la de, nière, algarade. On n'en vaut pour preuve que cette dérisoire avance de quelques centaines de mètres qu'ils COnasrverlt SruS jamais AntOBr des rings vient de c»nicctuid combat de Dcurniau* dan» En i?c«nde rencontre on vens aux prtfiei le« moyen» FanlioTiafc et CUviïle.

Ce AlienundE Lauk et et Hcomft ne t eh*-lapîi>tin*t d'Etirnpe poiJ* [Aurda. Au rvur« de 1b m^me pSunlaù, VbI#ii>tin Angelmiinn serm si p pus* i Krnut Wrin.

ooo

l>olh«jn, à rK*pasiii>l Jûîf Martin eet déflttltlrflinfcit fi^ au mars, Le« deux b»-i*»rs devront b* nrÉBPJitcr à un kilo au-d-essa» de la des

000

Cet aprèB-mldl, an Central Sporting Club, le pflkli mi-mo^en Temer sera opposé à AI, D«)tïan1v. fir alIÏMis le

MICRO PARTOUT. Le mlct-o du Petit Parieiefi et da Miroir fîna Bp^rts sera aujourl'antenne du Poste Parislûn. x H h. 5M tA Coupe Natioh»1ç rad1tdiffiiAè« du FiK Prin^p» par de Labot1et .Jean

A 1& Jt. 4» <* mi-temps de la Cfliipp Natlanai«> i le k Kmti«nal de cniiMoiair r retUtngml» de Maison m-ÏMt fit t«, rarls.

chercher à l'accroître, Cette lmpression, d'autrea l'ont également éprouvée au campement des coureurs.

-Si les trois groèaes équipes lisez Buysse-Billet, LApébifr-Ign&t et Pelïenaars- Bouchard ne mettaient paa tact de complaisance il. bler, élira amaient maintenant vingt tours nous a dit Et il n'exagérait certainement Pas car la supériorité de Euyase- Billlet mur le reste du lot est actuellement aillai évldente que cette de Roger Lapê-bie sur toua les Frac ça La.

L'absence de sprinters se fait sentir Aprè« î'^no«c^ de Ce. vérités premières, il reste peu de choses à dire eur ces Six qui compte,ont parmi lei plus ternes que l'on ait vue.

Ijes attractions sont cette année réduite* au strict minimum, A part quelques exceptions, lae chasses sont assez molles,

il reste bien les primes pour rompre la monotonie de la ronde,

Mali il n'y a paa plus de trois coureurs pour oie les disputer efficacement.

Lee c-hafiseurs de prîmes qui assurèrent longtempe 3e succès des Six. Jour* ont disparu. On cherche dans le peloton les sueœeaeurfl de Pecqueua, de Coupry, de Van Kern peD, de Linarl et de Lemoine.

Quand Albert Buysse veut sprînter, il remonte tout le monde de Diot et Morett6 doivent se contenter de Tam&aoer les miettes, maie on ne voit plus de toure boucha en 15 second».

Ledacq fait une sort» discrète. Après l'abandon d'Aimar, qui retira au début de l'après-midi, Bertoçco fut couplé à Leduc:q, le médecin de service ayant la viteFernand Wambat à regagner ses foyers vers 20 hetirea.

La nouvelle équipe BertoccoLeducq fil des pied. et des mains pour combler leur lourd handicap sans hn 30, !>ducq disparaissait de la piste, abandonnant sans tambour ni trompette.

Roger COULBOrS.

LE CLASSEMENT

A 2 HEURES DU MATIN 1. Buy«»t-BlUlet. ™' pnrniH h un We(i(l*r, à t)uaire 1ouri ï- 333* t n tinn taon 9. Girard-Oiviifun, Ï13; k m pi tour* 10+ Ntej-e-Hwmra, S7â; à §#i*e tours U. Clem«nR-H*J£rii!, £43 i vlnEt tours lî. Bertooco, *wul, 333.

DEUX VIEILLES CONNAISSANCES.

SI LES DOGUES BA 7'7ENT SETE A LILLE

Le peut étire en tête de la division nationale ce soir EN DIVISION Il, Reims fait un périlleux voyage à Boulogne

les e Dogues » lillois, chez eux. battent Sète aujourd'hui, le Boeing sera on tête avec on point d'avance, à condition, bien entendu, qu'il l'emporte à Colombes sur t'A. S. Cannes.

A vrni dite, malgré toute la voiUiuice dont feront preuve les footbaUeurs des Hespérides, nous ne pensons p»s que les « Pin. pauliHl j> poissent être battus. Il» ne voudront p&a mtmqner cette occasion d'acquérir deux points très précleni wt Ils s'emploieront d+aatant plus qu'llm savent bien qiills n'auront pan une tâche de tout repos devant un adversftlrn qui Peut eneer à orajndre» lui aussi» la relésatlon.

Une défaite sè+ohe à ülle Nous ne pensons paa non plus qu'au atade Vlctor-Jftoiicqfter, tefl « Dauphin' » connaissent la défaite. Mal* nous estimons qulte peuvent fort bien être twins en échec SI, en effet, leur défense est à nifmfi de bwrer la route à hïih attaque lilloise qui est très Incomplète, Iftura épronveront la même dtfftonlté à franchir un barrage qui est de toute première force, on le salt. Mais ta où réussi le Hircin dernier. le F, C. Sête peut, lui ausst- triompher. En tout cas, la lutte sera chaude et vaudra le déplacement.

liUe, qui n'a que quatre points de retard sur Sète. se défenan ûproment, &oyez-en asBurés. Dans le bas du tableau Passons maintenant il la tache des derniers.

SI Antlbes bat Lent, «n FortCarré, il ne se trouvera pins di- rectement menacé de la relêgatloo. D'après leurs trois derni&res sortie on pent taire crédit aux Jtotjhaii, <t lanterne rouge s, teCevtVL Metz. Il nous étonnerait qu'il h'enreg&trât pas une noudéfet.

Straftbonff attend un ndTcrsalre capable du meilleur comme du pire raxoelrioi. Décidé à fuira une effort de redressement le club de 1a MeLnau peut gagner. Soohaux s'est bien temonté. Il parait avoir retrouvé une très brillante forme. Rouen qui peine, nette année, n'a pas ,grand eSpofr de ramener le moindre point du atade de 18 Forge.

En résumé, la situation des dernier* pourrait être, oe uoïr. la suivante Rouen et Sto-asbourg, 16 points; Antlbes Cannes et ]'Excel»Ior, 15 pointa; Bonbatx, 10 pointa.

On voit combien serait tragique la Bltuotfan du club roubeJsien.

Reste deux matchen aasex « ouverts n. Marseille reçoit FlveL Troisième avec 'U points, 1O. M,, éliminé de la Coupe, n'a pas perdu tout espoir en championnat. S'il perd aujourd'hui, il ne devra plus songer au titre. se nndra au Havre et aura du mal & y vaincre.

Reims en danger

En H, la la plus rude sera pour fteL-ms qui se rend à avec une équipe Incomplète un moral atteint. Reims peut connaître aujourd'hui une nouvelle défaite qui compromettrait grandement ses Chances.

Bennes recevra Ch&rlevllle. un rival qul a progressé. T*» Bregagneront sans nul doute. Le Ked Star m» déplacera à Montpellier. Il peut y être tenn en éebec Toulouse, à Nim*3, Vancy qui reçoit Hantmont, ColntAr qd attend Trnyfw ajoutefont sans doute deux points leur total.

On peut prévoir aussi les vititalreu de sur les Girondin» et de i.ongwy sur Tourcoing.Plus serrés seront les matches Arras*Mulhoiue et DunkerqiloValenciennea,

Mario BRUN.

LA JOURNÉE BOXE. A 14 h. îl. au ce.tral, réunion dominicale.

CROSS-COUNTRY. M.1. .TQns-Latfitte, champ de courges; i 14 h. 15. Critérium national das juaiûrg; W h. i5h Nsliûféminin: il li., &u stade Per(F. 3. G. T

A 15 heures, à. Malun, prix

CYCLISME. Au Vélf i'ffiv». SI):: Jours. A la piste mimidpile, h 14 h. rémnlOfl de RïïOli Sportif. FOOTBALL. A Criombes, à équipes réserves h 15 au Btaâe de Parla..Red Champl&nnat de Parla amateur à 15 h., à la U.S, Métro-ffin^hl&n-Ermont; à. VLy, E. S. Juvlay-Stade de h Mon treuil, A. MontrftuflStade Français: & AiiberrtiHIera. C. 0- Autiêrvillïe*-3-S. O. Est; C. O, EHJanCûurt.

POIDS ET HALTERES A h. au stad*- de Coubertin, eiiamoJoanat de France.

RCCBV. A 1S h., au Porv de!! Princfis. finale de Ja Coupe nationale Pjr^n5e«-Câte Ba*que.

TENNIS. Au SpOrtJïg (tub du

La Coupe Davis

Max Dsciigis

directeur technique

de l'équipe de France

tion irrnncsîne un réun tîpr pu lin li'apr&a-mtdl sa slige 1a Fédént^oB, A Prl» dlAiportente défiiïi«nv. a tout d'nbord dc*ig"< cependant qu'il d^slfftialt le rlnn Jnncnra KiiivjintB comme la dans grand» cnmn^tUinDs interaat louais et dam I- felliz», Y. Petra.

On a formé l'équipe

de Hongrie

qui rencontrera la France Budapest, 11 mars.

La fédération hongroise a ainsi constitua l'équipe appelée à. ren. contrer la France le 16 mars, à Parts.

y«»bo JHoBgaria) Kormu^i <PlieBire I,axar Balog <VJi)«t> 3r,ftntn <Ch«mIuotA de SnUai^k), Csfih i'HoTitjB.riB), HoUsth Héler von i P&îs&r Adam (CJp«tt), RLMai UJjiMt), Voici l'équipe de Hollande qui rencontrera la Belgique Amaferdnra, 11 mari.

p« kotbe La Hé^riaiidatBe n'a ap- Van Mata (f^yeDtfoUD RIomTiiet Stara (V. C.), Aaierlenen <AJiix), SphubeT* <Ajav>; DragiF (D. W, S.K V«n der V*w» (Herarles) Tente (Feyen««d), Smit dfaaT^ni>, neharder iV. V. C). t. KKAMEB. Les équipes pour Colombe» Coup ÎS A«ure*

RACÏNG inDEN tHÎPUlG, DIAGîîE ZABAtO. JORDAN, BAUX en OÏKNNK ASTON, HKISSEKRH, KOLtlKH^ VEINANTE. MATlïE. CANNES TFIOT IIAKON, GL'K- BIN MOBI, KOVACS, CLKBC PKKflCV. CAHPORCIKTICI, FBAN- CfcSCHETTI, MAIISNKB, KKICH. OOO

g Vnlftl tt tonna tîon de lérinlp* Au et, Blonde). Siabo. AndT^, Feàler, OOO

̃ t%ntrc B<irdê4uv et ChaiUrUle, »SbI ^iano L, Villr. Hédad: ««ntallier, et Randin M**gtre,

LES MATCHES D'AUJOURD'HUI Coup d'envoi: 15 heures

DIVISION I >m£NNE9-Ch*ri«vllle.

•Lf He-9KTE. -BOULOt) NE- |t«lmi,

"H. A. C.-St-Ptt*Bii*, *Ntme«-TOCLUUSE-

*COIJMAR.T»ïM1 1i h. 15. .L*S,-METZ, iî" h. 1», •PTAHCir.H.nhnwt. » b. 30. ̃AntibcB'I^hn. *»ICE-Gir4ndlnt.

*STJtASBOUB*ï-KïMl«&r- *ï>ïKFPE-AMs.

DIVISION II •DaBkçrque-VALENCr^NNBS.

-HnntpDlllef-BFD STAR. •LOWGWT-Twfl*e»ln|[.

Afo# -favori. ont ex majuscule*

La "cavalerie" basque vaincra t- elle

l' infanterie pyrénéenne ? .et cette f inale de Coupe Nationale doit être le plus beau match "à quinze"' de Vannée

Cet après-midi, c'est la grande fête j du rugby parisien. Pour la première fois de la saison et sans doute la d'&illeïies le ballon avale prendra possession du cadre grandiose du Pare des Princes.

Le spectacle en vaudra la peine, d'ailleurs. Et le, récriminations de nos provinces méridionales, qui au* raient voulu se voir confier l'organi- satian de ce très grand match qu'est la finale de la coupe nationale, n'empêchent pas que la Fédération de rugby a eu raison de désigner Paris comme cadre cette; parti-. Ce qu'ett l'épreuve

L'épreuve, on la la îà Prance est d<V»ëe en huit régions. dont chacune désigne, choisis à travers les clubs de son ressort, les joueurs qui auront mission de la représentet, Et ainsi, ce sont de eèrU tables dont certaines ne .sont peut-être méme pas intérieures à l'équipe de ,France tUe-mêmer qui s'atfrùntent.

Voici comment V épreuve se dé- roula cette année

QuArti de flunta rne bat Paris- Atlantique, par 11 à 0; vence star 9 à S; dît* Baaque-Béara bat Guyenne-Gascogne par 22 i>at Centre-Limousin, par 21 à 7. t

Lyonnais- Bourgogne, par 3 il 0; C6te Basquft-BiafH bat LaDgilédOC-EfitlBÉlllon, par 10 b s.

Une

Voici donc aux prises, pour la finale, la Côte Basque et les Pyrénées, Ce sont précisément ces deux équipes qui furent finalistes l'an der- nier, et les Pyrénéens triomphèrent des Basques par H à 10.

C'est donc à ane grande revanche que nous atlons assister Grande revanche surtout parce que, depuis que da Coupe existe, depuis trois ans, les B&sco Béarnais ont toujours été finalistes, mais n'ont jamais gagné l'épreuve!

Jeu brillant contre jeu n>ltrft C'est peut-être vouloir par trop synthétiser que de parler du jeu brillant des trois^quarta basques, avec, comme gros adversaire, le jeu solide des avant. pyrénéens.

Si, effectivement, la cavalerie > basque jouit d'un prestige ètincelant et parfaitement mérité dü à ses spectaculaires attaquants, les Celhay. Lsssalle, Malagarie. Elissalde il ne faut pas oubliee qce ses avants sont c un peu là > aussi, avec les internationaux Lefort, Aincl&rt, De- guerre et les futurs comme Lasxrrc. D'un autre côté, si Ici Pyrénées t sont surtout célèbres par leur prestiffieitse « infanterie *i avec. comme chef de file, le célèbre avait international, Toulousain Delquê, appuyé de l'antre international Qa* rac et de Méret, Brandan, Dutrey. il pa, oublief non plus que les attaquants pyrénéens comptent les internationaux LibaroSj Gaussent et les « révélations s comme les ailiets Tourte. Champagne et surtout le jeune arrière albigeois Mutuel. Un pronottk ?

Ne nous y rûgnotu pas

Aussi nous ne nous risquerons pas au moindre pronostic. Chacune des équipes peut fort bien battre l'autre avec ses propres srtn&à. c'est-à-dire les Pyrênées le- B&sques en lignes arrières et les avants basques imposer leur toi aux blancs Pyré* néens.

je je pense que le!! fraisquarts basques, au maillot azur, seront plus brillants et donneront au public te spectacle de ces envolées

menf le jeu vêts lei buta basques, où il sera bien di f ficile d'endiguer leurs qtstuc pourvu que Ie jeu soit de haute qualité le rugby en ^tfçtti1 au cœor dejf Parisiens.

Je*n MONKST.

Voici quelles seront les équipes en présence

PTBKNJSËS BIGOEBI (ÏSaUlot blanc)

Arrière Manrel (Albl).

Trofe-tin&Tla U, CrajHpAçtte (Fflll) Dunif (o) GtaïKdf (B- T»«IdusbK (m) S« Peyrilade Cgtado Tw Avmatm H, CImtmc (St-Glroml t. Datrtiy ir. C. Lvurd<4>; S, DaTUit dïo (F. C. T.anr4M) 2, Deauy (Et.d'ouverture, Boit: o." Dnv(Bii«nx, dn Bt»de ïouloti*wnr tandis que rivant lnnFdiia D»aut d*Frl de m£lé* artc te n» ft, tandis que COTE BASQ0E

(Maillot uur>

Arrière ffijet fBuwrïU^Oljiii- ;̃̃- BiyûtiTiil*) El, Celhap (Arlnm B«f nD* y ïiemli (0) le. E. Elln*»liï« (Avi- (St-Jean-de-I<at>.

Avwtt 8. 8, Bond»» (AviTttn Baj-on- n*U>; 1, ï,»K«lt le 48 A. Mih!*4bj; S, LiQf-f-rrti (Seattan PhIoIb^) Lefort (Btairtii OU; 4. Snld*flu1 (S. Pa- IoIm); Dajrnerre (BlarrlU Ol.> lr Alnelart (Avlrim}; 2. Ooine (Biatrits ritii,

m«»tr la « seconde ligne > L*rort-&alt·Arirva, et TarJitfl, du Bouhu, .'ne Le mntvh «i:t* Arbitré par M. i] débutera à ÏS ht>-vte* iô Irutv {A fr, pont h* mvtHfifl.) 000

l'Irlande «1 du Pay6 de fiftdts a'ert 7 potot» lHuid«

A la m1-t«m0B. aucune tfec éqnlp«« n'irait r^u»ftl à maïqneir va point.

Après le championnat la meurtrière Coupe de France

Le rugby 13, aujourd'hui, dé*laisse sort championnat pour entamer la Coupe de France. Cette France de football» est l'épreuve meurtrière par excellence, puisqu'une équipe battue est Irrémédiablement éliminée.

On bait que la coupe est ouverte à tous le» clubs de la Ligue, amateur& ou professionnels. Elle est commencée depuis belle lurette. mais 180 journée d'aujourd'hui tire son relief du tait de l'entrée des « pros dans la danee- Le» ama- feur* se sont éliminés entre eux et il n'en reste que deux qui sont

jugés dignes de participer au concert tlnal Ce sont Saint-Gsudeps et Courbevoia-

Courbevoie tombe lur Bordeaux et âaint-Gaudens sur Careaaaonn^ c'est ditr^ que nom « purs L'ont que bien peu de chances de survivre 1 Par ailleurs, les « pro« » entre eux ont dea matchea où l'on peut Indiquer un net favori (Catalans, Toulouse, Villeneuve, Côte Basque), sauf pour la partie Lyon-Villeurbanne contre Albf, qui sera terriblement députée Cela ne veut pu dire que les autres favori* ne trébucheront pas. J. M-

fait ett

Bruxelles, 11 mats. ç

M NûTBH CORREBPOttQANr PART1CDLJEB I âaint-Trond sera demain Je rendez-vous des routiers belges qui 1 disputeront la première épreuve d« la eaison te classique*: Tour du LJmbourg », qui compte pmir la

qualification de. « projs » au. championnat de Belgique.

Ii'épreuve qui ni coiApotte 220 kilomètre» d'un parcours relativement plat n'e8t pas trop dure. C'eet sans doute pour cette raison qu'elle recueille chaque un

UN PIEU.

i.e Critérium de la TiUe de Cm- ne», orçnniflé &&r TEtaHe an parc&Un A* 180 VildAlttra VoEd (i-neltiaes rrfettes de cette rea Va* Scli*ndetT le.. Sulasei LitsVlcttv, ttalttuu, Oianello, Baj"ï*I Hockey sur gazon

Les Bordelftl»e» de U Vili» Vfbaront Ici du F- C. de Ljoil sur le stR.de, de U V. G. A. Natation

Ton» 1e mtmde Cftmiait l'œuvre Admiiftbi* ftctnmplie en fnvtvt de quVnna Mme Dom«n ett i, l'hon^jeun«r amical qui sa H*it u

ildent 4d de Ja nn»u« sportive remettra k U diri Etante de« neur.

Tennis

P«rrj-, radd avoir vériUlrlenienl déborde, de pat Jitmili dnminer In ̃itoatioa et dnt subir CGntlimeUettttPt rattcendimt de »o& «iveriairc. Poids et haltères

aujourd'hui, ad «t&dc Pierrede France,

développé à deux 1jt»b, fctrftÉ&é à deux bru, epuulé «t jeté 1 deux br&* £*r- nuixJrrmm. I*» Jl» athlètes «njrnjr*» vont exffentrr ̃«̃» faouT^inrnt* »VeC la Basket

A la Bnehellc ^t à VHIcfrDntk^tiirdisputée» te* dRinl[^ailnLn de qui ^pt>y*ron.t fl'ane part, le* Unitet» de Ssint-Waur, tenantes du titre, au C. S. Bnrftehla. et Ni«-Sport« nu H«« A- C.

coureurs la considérant un peu, avec Anvera-Cand, cpmme un entraînemEnt idéal en vue dea classiques Tour de Flandres et ;?ariaRoubaiX.

Plus de 100 coureurs en renom prendront le départ. Parmi ceuxci il convient de retenir Marcel Kint, S- Maes, Somere, Massan. Neuville, D e 1 o 0 r. Va. Te^raache, Muist Vervaeclïe, Vkgers et Bracckeveîdt,. Les Hollandais qui ont de plus en plus tendance à faire de la. route Ct à w air s'entraîner en Belgique. seront pennincits, Vanlentijn. de Ko^ver, Gysen, tiommera, Joosen, Ttieunlo et Syen, Enfin, il y aura le Fran- çais Legrand et le Suisse Pédroli. Fernand Daxiïiut,

A LA « CfPALE »

La réunion de cet après-midi au Vélodrome du bois de Vincen- Des sera organisée par Rivoli Sportif.

Talle Poirier Baroux, Pédr&li-VladiBolo. SupperBavauy, lPujd-Siég;el, etc.r participeront à l'itmé-ricainfl.

sniît pngagéa .dans les courues dû vitesse.

LE GRAND PRIX

DES TRAVAILLISTES

Ce matin, la r. S. G. T. fera disputer sur '«s itinéraires Pana- J Meaux et Pai-w-Mantee )6b éllmt- natoires de son grand prix cy- '̃ ciiste.

Le. départs seront donnes A 8 h. 3D, à Montreull et Nanterre, après un diftlé dans Paris.


SI l'on s'en était tenu l'ordre chronologique, il eût f*Jki passer non de Lesobre

à Ftomnaer, mais de From-

mer à. Lesobre le réfugié allemana a été tué une Semaine avant l'agent de location de Mai* ces deux affairei, les deux en. data, restant liées. Non pu en fait, peut-être, ni m&me en droit. Elles restent liées par laa péripéties de l'enquête c'est l'oncle de Frommer, M. Scbott. qui a permis de retrouver l'assis«in de Leaorbi-t.

Il y a -d'aitlaur* autre «show. Ces d*ux crimes ont été commis, al J'on «'en tient au dossier, comme aussi aux déclarations du monstre, par Weidmaim seul: Million séjournait alûr* iL Nantua. Un étonnante malchance veut que la défense a'obatine il prétendra ]<̃ contraire. M" de Mcro-Giafferri n'écriait encore

Il voua dit oui et mol js pense non. Vous n'avez pour le condamner que* sa propre parole. S'U niait, voua n'apporteriez oontre lui aucuns preuve

Voira FrOmmer a été enterré dans la cave de la Voulue et l'an a retrouvé dans la villa de la le trousseau de clén et le portefeuille de Leao-bre. N'&st-oe pas suffisant ? Non Les fl.voc0.t3 du principal accusa répondent:

Ce n'est pas lui, c'est l'autre! Et l'autre, quel nom a-t-il ? Vendredi soir, il s'appelait Mystère, Il fantôme. Tl dormait dans la VoiïULe déserte et sautait par ifla fÊaêUefl sans tes ouvrir. Il était l'ami inséparable. Insolite, et jamais vu par personne. Il était toujours !il. et toujours «vus la chaque inatant et 11 restai insaisissable

Hier, tout a changé

t^&oriïiaîfl, en effet, noue te» lions ce complice, Il n'a pts une identité seulement, mais deux. D'aprea lea uns» il serait Sauerbrecht et d'après le» autre* E&uèrsuite, av. point de vue linguistique que Sauerbreûht tient c'est un mot allemand. Sauerbray, ni allemand ni français, semble avoir été façonné par un inculte. C'eat pourtant Sauerbray qui semble devoir l'emporter

Et comment ce complice a-t-11 il' découvert? C'est très simple. Wetè-mann s'est présenté à chadifférent Pour Jean de Koven, t1 a été M. Gunthert pour le chauffeur Couffy, il a été M. Dickson pour Jeannîne Keller, il a été été M. Sauei'ûrecht, gui demandait qu'a. Paria on l'appelât toujours Karrer.

Or il se trouve qu'à. la prison de Freungesheim, à Francfort, ou séjournèrent simultanément Weidmann, Million et Jean Blanc. se trouvait auflsi enfermé un malfaitevr international qui était Sauerbrsoht ou. Sauerbray. Et la défense d'indiquer, à mots à peine voilés, que cet individu eet venu lui aiiesi en France, qu'il a retrouvé le sire de la Voulzie, aon obligé depui* longtempa, qu'ils ont partagé ae logis et qu'ils partaWeldmarin, &e Karrer et de Sauerbray, aéaria notamment M* Planty. J'établirai que Weidmann est un homme, que Ssnerbray en est un autre et que la nom de Karrer leur a servi de Voilà qui est déjà mieux agencé, plus susceptible en tout cas de séduire l'imagination et da retenir

l'Intérêt. Seulement cela ne tient pas Roger Million, Jean Bïanc et la passive Colette Trdcot n'ont connu qu'un Weidmann. On n'a jamais aperçu qu'un Wektnvann la Ce Ile-Sain t-douid. Et ce Weîdmajin unique a avoué le* six qui lui sont reproché*. Alors, que cherche- t-on 7

Evidemment, il faut bien plaider quelque Chose Mai.9 on préférerait que Ce ne fût pM une mystlfl-catioDn Et si le verbe et la a précautions oratoires d'un M oro-Gi atterri rendent l'équivoque supportable, l'Insistance moins parée d'un Planty n'a fait que créer et entretenir un malaise. LrBs jurés, c'eat visfble, détestent les confusions si artificiellement provoquées et tolèrent mal des ofrensea aua^i catégoriques au bon aeaa. Ifs ont mieux à Faire qUe d'écouter Jongler avee d'tnvraisemblables hypothèses Et puis, il faut relever une autre faîbleeee, autre défaillance. M. Leao-bre, lorsqu'il fut attiré dans le guet-apetla de la villa Mon Plaisir, vivait momentanément eéparé de sa femme, pour rai3on de santé. M* Plant a tiré de cette circonstance des déductions désolaites et qui ne cadrent en rien avec l'intervention s! aléatoire de l'inopportun Saucrbray, Il faut n'est pas We Butane, soit Maie si affaire un rôle prépondérant, ce quoi donc. par conséquent, «servait-fl de l'inventer ?

Une e insurmontable triatesse» hier, a peu à peu gagné toute l'assistance; c'en est. il est vrai, décidément trop Le malheur d'être aasasainé par Weidjnann ne suffit donc pu ?

LA FIN DE LESOBRE

Si l'on pouvait comparer une audiance à une pièce de théâtre, la critique des débats d'hier aérait bientôt faite Le début du prẽ ml er acte s 'avé ra aussi passionnant que pc&sible. Le reste se traina. non flftns intérêt, ma.L9 comme privé de grand relief. Il eut vrai qu'U s'agit, en Homme, tout Amplement de- prouver. qui ne laisse aucune marge à l'Imprévu.

Ijesobre, commence le président Laemlé. Voules-vc-ua parler, Weidmann, ou p referez- voua que Je voua Interroge ?

Il reste comme tS'habitutS» plus muselé que muat, le* traita crispés, et iea orbites pLeines d'une ombre inquiétants. A quoi gon#et-il, au bord de sa tribune, debout et si lointain ? ïl&paaae-t-Ll ses aanglauts souvenirs ? Il faut le secouer, le réveiller pour en tirer simplement un oui ou un npn Le novembre, il se présentait avec assurance à l'agence Pinguet et demandait à louer une ployée, Mlle Andrée Vanglefsen et l'on y pouvait lire Arthur Scfcott, de Strasbourg, Or une earte identique a été trouvée par la suite à la Voulzie.

Etonnant oubli* «'exclame M. Laemlé. Commentun homme aussi avisé que vous l'ètee a-t-il pu commcttre cet impair ? Pas de réponse.

Vous ne gavez paa ?

Il ne pipe mot. Le aurlendemain, Il appelait M..Lesobre par téléphone et prenait rendez-vous la gare de SaLnt-CLoud, il 14 h. Le directeur d« l'agence alla l'attendre en voiture et le conduisit tout droit, avenue de Lorvgehamp, la. villa Mon Plaisir »,

Je tiene à préciser, interrompt à ce moment M* Fl&flty, que la défense ne suit pas Weidmann dans sas aveux et resta convaincue qu'U ttv£St pas coupable de ce ballons pas Il s'agit pour le moment d'un simple exposé.

Lae deiu hommes qui visitaient le pavliioD à louer arrivèrent au sous-sol. Que se passa-t-ll ?

Weidmann. ? Non ? Vous préférez qut ce soit mol? Eh bien! vous av&z saisi votre pistolet automatique, le même dont vous vous étiez abattu ^'infortuné Leaobre d'un coup de feu la nuque, Le cadaaien frontale. vous n'avez au-

(.:une objection à formuler ? Non ? Une foid Lesobre tombé, voufl lui briquet et son porte-monnaie, et vous êtes rentré à la Voulzie en vous aervant de aa voiture. Voua avez alors peyé votre propriétaire souffrance. Ensuite voua avez entrepris de maquiller la carte grise de votre victime &n substituant au nom de Lsaobre le nom de Karrer.

On reg-arde la jolie veuve du directeur commercial elle demeure affaissée, bouleversée, mais sans larmes, On eutend alors rappeler les diverse* phajea de l'enquête et l'on en arrive à l'arrestation. On a satet à ta Voulzie lea objets volés et voua avez avoué Immédiatement, disant a J'ai tué L*aobre. mats pas Frommer! » Le lendemain, voua avez avoué et Le sobre et Frommer, alnji que Leblond. Mais vous n'avez pM parié de Million et de Colette. tué Lrôsobre ?

Il s'incline d'un geste rapide Oui

M1 Planty, luï, Mo refuse admettre une aussi cruelle évidence.

J'ai la certitude, reprend-H, que Weidmann n'est pal l'auteur da cet assassinat. Il songe, dans un intérêt suprême, à dea tiers qui lui sont oher», et Je me sens tlralîlé entre le respect de la vérité et le devoir de respecter mon secret professionnel. MM. les Jurés Atlas: la partie civile, Mf Luclle Ttnayre, dans une Intervention pathétique, parvientd'Indescriptible émotion

E&outea- m o i, Weidmann, s'écrle-t-elte superbe d'indication, la famille Le;sobre- a le irait de tout savoir. Je vous adjure encore une fois, au nom de tant de douleur, de révéler ce qui s'est passé. C'est maintenant qu faut parler C'eat maintenant qu'il faut tout élucider

Le président s'associ-e A cet appel 1ai 8- laisse l'accusé lnaensolennité da cette minute. THjh. il s'était *s»l». IL *e relève.. Il prononce

C'est moi qui ai tué Le*obre. Et de nouveau il se mure dans son hargneux ellcnce- Le cartel, au-dewu* de aa têt marque 13 h. 45. Cet. interrogatoire s'est DrolonjE^ exactement, qulnz* minutes. Et rien n'y manque

LES TEMOINS

Le Commissaire PrimJïorgiie ouvu le défilé des témoins et relate le» différentes phaaee dea recherches policières. Il commença par téléphoner à Strasbourg où la brigad* mobile- de cette villa interro.gea M, Schott qui supposa que la tarte de visite avait été emportée par aon neveu Frommert habitant en hôtel :Pari.. A l'adresse

Indiquée, on apprit que Frommûr, lui aussi,, avait disparu, mais qu'il M. Weber. Ost M. Weber qui donna l'indication décisive te jeune homme recherché rencontrait parfois un certain SAUferbray. voleur connu et qui se cachait (ttuti le nom de Kntrfir dana une villa fôrtetiè» aux environ* de

Paris. On Identifia sans peine la Voulzle et l'on. alla. interroger Un juré demande si ce pavillon est Isolé. Il A peu près ït lut es-m répondu, et M- de Moro-Giafferri de tout aussitôt, en caa de conteatation> un transport de justice à la Celle-Saint-ClûiKÎ il assure que la VouIzLê est située AU milieu d'une agglomération. Comment s'en sortir ? Par une formule transactionnelle, celle-ci: « Maison p-i-oûhoe. » Ce qui nous épargne un majestueux pèlerinage

M- Planty, bien entendu, revient & la trilogie Wçldmann-Sauerbraymais sans plus de rëaultat^, et l'agent Choquet est appelé. Il accompliesait san service la gare de 3a!nt-Cloud lorsque I^esofere y alla quérir son c cîïertt ». Il a vu il. deux hommes en conversation, mal? les a peu observée. Et il ne reconnaît pas Weidmann.

Que voulez-vous? marque-t-11.

;te n'al pas prêté grande attention a cet inconnu,

nal, d'un étranger pour le moin* bizarre.

Eh I oui, répond le témoin, mais Il a passé très vite et l'on peut Stre bizarre sang êtrereux

Bref, l'agent Choquet ne reconn.ait pas l'assassin. Mais il ne peut pas non plus affirmer que ce n'etatt pas 'Weldmann. Et l'on s'empare, de part et d'autre de la barre, de cette intertitude, laquelle cependant ne prouve rien.

Le docteur Eetis a procédé à l'autopsi*

J'ai tiré le cuir chevelu en arrière, entend-on, et J'ai auwert ;e -crâne à la scie. Je n'ai pas constaté de îa ma- tlère cérébrale.

Pauvre Lesobre! Mais ses amis viennent en cohorte rapporter tout le bien Qu'ils en pensent.

FROMMER ASSASSINE

Arthur Frwnmer tient peu de place dans la liste des victltû&3Sa mort aura été aussi didwrète que su 'le, C'était u.n socialiste réfugié en France et sur qui d'excélJenta renaeignemenu,. ont été recueillis. On lui connaissait toutefois une faiblesse de caraetêre i] se disait trèa à «an ilaë et, totalemeïït impécunieux, ne possédait rien. Ce petit mensonge lui a coûté la vie. IL était représentant en chocolat on a même dit camelot et il cherchait une situation plus avantageuse. C'est ainsi qu'il a rencontré Sauerbra-y sur le boule-. vard. Sauei-bray, qui ae faisait appeler Karrer, se fit connaître comme un interprète à l'Exposition et 18S deux hommes se rencontrèrent à diverses reprises dans un Qaté de la rue du Rocher. Weîtfm&np. annonça qu'il cherchait un secrétaire, ce qui décida son ccmpatriote si dépourvu, le 22 novembre, à effectuer le voyage de Salnt<!loud.

Eh bien J Weidmann, tente de nouveau le président Laernlê, à quelle heure est-il arrivé chez voua ?

Je ne sais plus.

Allons, c'était au début de l'aprèg-midt fi- à MM. lûa jurés une courte relation de ce qui fie passa? Non ? Vous ne voulez pas ? Après tout. peu importe Ce sont les mêmes faits, avec la méme brutalité Voua étiez SGUl?

Oui

Ft vous avez enterré seul le cadavre ?

Le monstre ne bronche pan, comme s'il n'avait pas entendu. Eh bien! voilà, Weidmann! Ce crime vous a rapporté 300 francs, une pair* de chaussures, un porte- clés, un porte-monnaie -et un etylth Et n'est pour ce maïgrç butin que voua avez tué ce malheureux Déjà voicj ïee témoins, mais on svngû encore au deatîrt &i taiftentable de ce proscrit. Le docteur Sannié parle du pistolet automatique toujours le mêm* et le doc. Detix brandit une pièce à conviction. On croît, tout d'abord, mal Mats non, pas de doute Il s'a.gft d'une sorte d'écuason de couleur grlae perforé en son milieu d'un .pétit trou bien net. C'est un morceau du crâne de F-romme-r, découpé à la sete, et qui porte la trace de la balle Infaillible,

12.il droit était également écl*té, ajoute le médecin- légiste. T> projectile a (Jonc traversé la tète de part en part.

Le commiaaairft DelgâY résume en quelques mots la digne exietence de ce réfugié. Un Inspecteur de police, M. Fûurqui er, précise que Frommer a cherché un emploi dana les chemins de fer à titre de manutentionnaire, mais sa qualité d'étranger n'a pas permis de le lui faire obtenir. L'oncle parisien du disparu, M. Hugo Weber, ̃lui aussî sooialdémocrate, chassé de son paya, vient parler en allemand de son neveu. Lorsqu'il comité, précise[-il, qu'il avait rencontré le voleur Sauerbrecht, je Tal sévèrement tancé et lui aï défendu ̃ verfro-

tan 1 de revoir cet individu, AhT .Il m'avait écouté. mais 11 fallait bien qu'il vécùt I1 A son oncle, IFrommer avait pré- cUé qua ce Sauerbrecht s'était fixé à Et le président Laernlé de s'écrier

En avex-vaus entendu parler, de Moro-GiafTerri

Cette ooïncidence fait sourire le défenseur, mais d'un sourire bref. M. Hugo Weber ajoute qu'on lui avait rapporté, au début, que Frommer «"tait « prûbatilÊDient » en prison, ce qui ['avait fort étonné. Maia enfin c'était une ex- pliuttion et il n'a paa inaieté. Tout de suite oepeindairt, lorsque Weidmaim fut arrêté. il penaa qu'on retrouverait le cadavre dana la Enfin, Jntf quelques questions

des etlin« Ijtnï, partie civlî*, une jeune qui a été J'amte et la conftdente d'Arthur Frommer, parle eQie auasi d« Sauorbray et commente J'en puis restée stupéfait*, car Je M comprenais pas oomment cet individu, à peine aorti pu M tioa en France, J'aj eu peur qu'il s'oglsu d'un nouveau Stavieky. SJ «e n'avait été tpi* ça MeJs m n'4t*tt ni kandru ai Stavl«kyf dont l'ombre vient ainsi tour à tour d'avoir été projetée- sur te d4bat, e'étatt Weidmann, et fo petite fiancée est reat-èe âolitalre. ÇUINCHE

WEIDMANN SE PLAINT de n'avoir pas reçu quelques mots de sa mère

Après le moment de fièvre qu'avait provoqué avant ses début, le procèû Weiâmann, Qn peut dire que l'Allemand à aucun moment n'a suscité le moindre in térêt parmi un public clairsemé par un service d'ardre de. plus rigoureux Cette (première criminelle ne pouvait en rien *e comparer aux audiences où trônait. Il y a dixsept ans, Té nigma tiqué Ij&fidxu. L'aÉslatanca était alon composée d'un publie de cheix et chaque jour on voyait à il. tout ce que Parla comptait comme personnalités. Là voisinaient les étoiles de théitm. le. habitués du expositions de peintura et du turf et les vedettes les plus cotéee de J'époque qui arboraient à cette oncagïon leurs toilettes Ies plus osées. Le cran du air. de Gambaia faisait et et 363 réponses au président G-uilbett étaient reclarquées.

Le Il tueur de la Voulzie malgré tout ce qu'on a prétendu, n'est pas de la même « clause que celui qui le précédait dans cette celIule n° 3 de la prison Saint-Pierre, et à aucun moment 11 n'est apparu vendredi, ceux qui ee pressaient dans la salle, comme un être inte;ligent et raffiné.

Sans énergie, les yeux morues, J'allure effacée, on ne pouvait concevoir que c'était là celui qui, doué d'une sorte de magnétisme incompréhenaiblej avait pu tourner la tête à certaines femmes.

Lu quinze mois de détention qu'il a subis mont-ils pour quelque chose dans cette attitude passive ? Certaine disent, Son Il lieuteîiant », Roger Million., Il plus de tenue, et il est curieux de constater que jamais le regard An pra. mjer ne ae dirigea celui qui fut son confident de toute* les heures et *on complice. Pas un instant, au cours de Jeur t acheminement à à travers les longs couloirs qui les conduisent l'un et l'autre de leur* cellule. aux boxes de la cour le. deua hommea n'échangent la moindre parole su le Plus Petit geste. Weldmann n'a plus aucune réac'̃ ion. Ses défenseurs l'ont trouvé, _iu aoir de la première audience, complètement èàsempare. il sait fort bien qu'il ne peut rien àUec* dre de ceux qui ont pria place devant lui, ees douze jugea populaires dont il n'œs soutenir lac regarda.

La nuit a été fort mauvaLsa pour Weidmann. Ses deux compagnon* de ce^ule, pauvres diables pur-

geant un minime déllt, n'ont pas manqué de constater qu'à diverse* eur sa paillasse- A chaque fois que le sommeil venait appesantir ses paupière., de. vïsiaus tragiques faisaient «unsauter le prisonnier, Auael, au matin, les garâlËng ne furent peint longs à constater que celui dont on attendait des révelatjona faisait piètre figure. Comme la veille au soir. Il ne voulut pas goûter à aa #am&lle, et ce n'eet que grâce a, aee défenRaoul qu'il voulut bien s'alimenter. A ceux qui venaient le visiter, Il se plaignit amèrement qu'aucune lettre ne lui fût parvenue de ees parenia. « Avant de supporter, ditil, l'épreuve que je dois subir tous ces joure-ci, il me semble que quel*quea mois de ma mère m'auraient fait grand bien et je SUia certain que j'aurais eu. beaucoup plus de courage pour me défendre. » Se défendre De quoi? 1 ne parle point et se contente d'acPar quelques signes de tête.

Le fila de famille Jean Bl&nc» ce commanditaire de 1a bande, lui, a l'air complètement étranger à ce qui se paase autour de lui. Ses yeux de myope, placés derrière de gros verrea, errent à travers toute cette Meenibléa qui se presse aUtour de lui, On aent que son esprit est ailleurs et que rien ne l'interesae,

Peut être songe-t-Il, cette heure, à quelque exploitation forestière, là-baa, en quelque point du Gabon où il lui aera probablement loisible d'aller dans quelque tempâ afin de se refaire une vie.

Le. brune Colette Tricot, qui eut maintes faveurs pour le précédée apparaît pleine de confiance dans l'idsue de la malheureuse aventure qui l'amène là, sur ce banc d'infamie.

C'est ainsi qu'après avoir regagné, vendredi soir, l'établissement pénitentiaire de l'avenue de Paris, où, députa quinze m o i a elle s'occupe k des travaux de grosse confection, elle confia à rune deaea compagnes d'Infortune

J'étala un peu ennuyée que cette affaire débute un vendredi. Ce jour-14 est néf&âte pour les uns, mais je le' crois exempt d'ennui pour les autres. Aujuurd'hut, ça n'a paa « mal marché s. Et. à vrai dire, Je ne me plains pu, car «f les. débats «'étalent ouverts lundi prochain J'aurais redouté plug que tout cette date-

du 13. EUe ne m'a jainal» têxiBoi, Ces mots Indiquent eufflsaio< la vamp de la Voûtée » est

peu fertile et n'accommode avec événements.

reu&e, qu'à Ce qui se présente à ses regards. £11» regarde Un |>eu LuirreM bondée.

Déjà bien avant midi, une fll^

Important. personne* watt -f? rièru blanchea accédant au tm- tîbulo d'entrée du palais de 3u»PB.Memmeat, chacun atten- dait. Vers Xi haurea, Ce fut la ruée. Mais beaucoup de ces Curieux rebroussèrent chemin, C*f met t'entrée de la. salit d'audience. Alors que les privilégiés, muni» d'un petit carton vert acc^daiont à la tribuns t>f le « populaire >. à l'inverse des salles de Bpçcéaclea, s entassait dans le box a « Monsieur Toat-le-Monde Et, sïïôt que cette vague, eut déferlé, une eouvelle se forma, et, sans espoir- de pénétrer jusqu'à rintérieur de l'édifice, foute cette multitude, atoïque, attendit. Quoi? Personne n'aurait pu le dire. Maie pour chacun c'était déjà comme une aorte de contentement d'tvoîr perdu son temps il espérer une chose que, d'avance, on savait î.tol]]ématique.

J>e tempa en temps, le gflrdiefl de la pais chargé du meevice d'ordre proclamait à haute voix Allons; deux personnes! · Une bousculade, un puis, lorsque le calme s'était rétevles conversations entre vnts.n»f interrijKipues pendant un Imitant, leur cnllrs.

A l'intérieur, c'était toujours même affairement des photographea et des télÉphoni-stea qui, «ana répit. ae pressaient à l'eiitqur des natiinee réservé*

que l'administration dea p. T. T., en quelque* jours un véritable tout' cabines confortable et quarante appareiiB muraux et de table ont été mis à la disposition de la presse. Cet effort des technieleot du bureau extra-muroB a permis la diffusion immédiate en France ses de c* procès, et cela eana la plus petite erreur, sana que rien ne vienne entraver 1a mission des représentants de tous lea journaux d'Europe et d'Amérique.

On doit également louer :a parfaite organisation du service ries audiencBfl quJ Mt assuré par troll huisslera, il* iJouthlers, celui-là même qui « officia» à îa eatlsiaction de toue durant le procèa Lnndru, et par &*a deux collègue*, à ee& trerta collabora. leurs de justice, il na *& produit jamais la mioiiMÏre friction et, même AUX matants où 'règne une certaine effervescence dana le pUbHc, comme hier au moment de l'évocation du meurtre de M, Leaobie, le. mouvements divers -«ont réprimés avec une fermeté tem- par une amabilité souriante, amabilité qui est d'ailleurs partagée par cduj qu'on pourrait nommer le oC grand maitra des cerémoises a, le aubatitut Monçuillan.

A propos du cag Lenofar*, il est PJaysii1, cette vaste demalira 'lui s'érkge en un coin charmant des coteaux de Saint-'Cfoud et dans la cave de laquelle fut abattu l'n-gent de location, a'est toujours point loupe. L*s visiteurs sont .pourtant Chaque jour nombreux et il faut se demander chacun de cfti amateurs c*iemhe éxng la visite de ce logis une propriété à forte émotion a ce rappel ne la tragique acène du 29 novembre 1&37, ce jour où la splendide villa vit le trépas de la. dernière vietime.

Auguste DUPAU


Le succès de la Citadelle au cinéma des Champs-Elysées

Le film a&etro-G-oldwyn-Mayer, la Citadelle, avec Robert Bonn-t et Ro&alind Rivsself, pou-rsw.it sa brticarrière au cinéma lies uù. ii àst «titré f'- âan$ sa cinquième semaine d6 Le roman si puissant et si comrageux de A- J. Cronin Il été ptiissamment m« Bn images par Kiftj} Tidor qui a réalisé IA un cheffFopttvre. Le grand, acteur anglais Robert Dtmat y réussit, dans le rôle du jeune docteur épris de sa

profession, la plus belle création de sa brillante A A Ses avec perfection, la compagne r.Q-met forte, qui ne peut souffrir de voir déchoir cetui qu'elle aime autant polir son idéal qiie pour

La Cita-Selle, par la beauté de aon svfet, Vampleur de sa r&alisàtion et la. force de son interpréta^ tionj est un film qui mérite bien d'avoir été classé par la critique il, la toute première place.

A FAIT, Lui AUSSI SON TOUR DWIIE

On ne sait jamais quand Duvatlès plaisante et quand il est séJe l'ignore moi-m^me, m'assU" rait-il Vautre après-midi.

Je me demandai donc ai je d#* Vais rire ou non quand l'amusant fantaisiste me qu'il était f un type dans- le genre du président Dnïadier ».

Voyant mon embarras, il éclaira pourtant sa lanterne

Oui, )'ai fait moi aussi man tout d'Empire et je vau., garantis que l'accueil des Tunisiens et des Algériens profondément touché,

à mon arrivée £ Tunis, arrivée qui ae le de nuit,- j'eus quelque émotion. Un homme jeutie, dU. regard dur, m'avait pria enUttitre, venait par moments me regarder sous le nez. Nou& avons jew_. un véritable film ensemble. Je le à tous tes de ruo et U me retrouvait vingt *»condes après. Cela devenait du cauchemar. Finalement, je pensai cet homme a des revendications a formuler 4 mon égard. C'est tria à la made aujourd'hui. Je vais en discuter avec Jwi et nous finirons peut-être par nous entendre. Je ne voulais pas demander À M. Chamberlain d'intervenir, L'homme en. question avait eu certainement comme moi ï-'id^c d'en finir, car il m'aborda Jrnnchement cette fois, me regardaencore xous te nez, sortit une peNte photo de sa poche, me la montra et fit Ç'a c'est toi, du cinéma t

Il s'agissait en efeft de mato. Un sourire rita&u-ré lui répondit, Ators il embrassa la photo, me la donna et s'en fut en déclarant « Mot content

Donc enchanté de votre visite impériale f

On le serait d moine. J'en

suis revenu officier. Oui, du Nichan. lia ont fait plus un chosut a été composé par les étudiants -on honneur. La rejroin consistait en ces mots « Bravo Duva. Bravo Duval. Bravo Duvallèv r Je me croyais transformé en apéritif réputé.

Si nous parlions de vo& pra~ Impossible. Je suis si superstitieux. Tout ce que je puis vous dire c'est que mon rêve est enfin sur de point do Je r^aïtser«

ILES SPECTACLES

Pierre MAGNIER sera utte des vedettes de "la Règle du jeu" Le metteur en icène Jean Renoir vient de confier un très beau rôle, dans aon film la Règle du jeu, à l'excellent et sympathique artiste Pierre Magnier, qui tiendra le rôle très lmportant d'un général. On se rappelle la saisissante création de cet artiste dans r Bureau ainst que le rôle de Cyrano de Bergerac qu'il interpréta plus d'un millier de foi. à la. Fo r t e-âai nt-M a rt i

Félicitons le sympathique Jean Renoir de ce choix Pierre Magnier ne décevra pae la confiance qu'il a mis* en lui.

Jean Renoir

tourne en Sologne Jean Renoir et toute son équipe artistique et technique aont parti* en Sologne depuis une aenltine, où de splendidcï scènes d'extérieur ont été tournées pour le film la Règle du jeu.

Le séjour dU metteur en scène et de se troupe dans ce Pays doit se prolonger encore pendant une dizaine de jour.

Ensuit^ ce sera le retour aux studios de JoinviUe où l'on monte actuellement sur trois plateaux des décors représentant l'intérieur d'un somptueux château.

Leurs Majestés le roi et la reine d'Angleterre demandent à voir Toute la ville danse. »et « la Citadelle ».

De Londres, on annonce que Leurs Majestés le roi et la reine d'Angleterre ont demandé que leur soient présentés, à Sandrinpham, les deux ûima Metro-GoMwynSJayer, Toute la viile dansa, réalisé par Julien r>uvivterj avec Luue Rainer, Fernand Gravey et Miliza Korjus, et la Citadelle, réaPisé par King Vidor, avec Robert Dgnat et Rosaltnd Russetl. Petit rôle. grande vedette Betty DauBStnond. qui fut l'interprétë de tous les maîtres du théâtre contemporain, de Sacha Guitry Il Henry EataJJls et de Jacques Devsi à Edouard Bourde!. n'a. dans Noix de de soubrette

M&te> dl»it l'autre Jour la charplains pas J'ai peu de c'est vrai, mais eJîea tout ptrti« d'un beau film

Hiiinim» niiiuii4 -(,' CXPÙCINaS. Le Revenant de Michel Dulud, avec Gfna t<aprenfen Sylva) ne. Vidal. F&bert. Aujourd' hut matinée.

£«4 Mmeauté* THEATRE MOGADOR Billie et son équipe" opérette à grand spectacle, en 2 actes et 10 tableaux

Praticiens du thé&tre, MM. Motieîy-Eon et WiUemetZ mettent à profit îa vogue des sports pour nous conter cette histoire où le football le dispute à l'amour. Une équipe parienne. étant venue matcher à Edimbourg. s'installe dans S'hâiel où une Famille écossaise fête les noces de ]'aïraaWe Billie. Cette jeune p*rsûnn*. très décidée, n'hésite pas à Jeter sa couronne de Heurs d'oranger pour S'enfuir avec les fûolbaHtiirs. Naturellement, le mari. un benêt, s'élance, flanqué de son oncle, autre fantoche, à la poursuite de .sa femme. Cela nous vaut un pit- toresque voyage en Hongrie. Apres dlverses péripéties, la pièce se dénoue au Parc des Princes où, Pour

3ïIIie s'improvise gardien de but isiure la victoire de l'équipe dont elle épousera le capitaine.

Pour cette intrigue sang prétention, trois compositeurs ont écrit dix-sept Facile. Huit émanent de M. MidieJ Enwr huit de M. Jean Sautreuït Mais c'est le dix-septième, l'unique nues.

De la distribution, deux artistes 5e détachent avec netteté Mme Cecilia Navarre, qui prête sa Verve à Billie. et M. Urban, lequzl détaille avec beaucoup d'art la spirituelle satire du polka française. > MM, Arnaudy et Kerien, comiques espêrirtlentés, s'acMM. Fzlix Paquet et Jean Claveau, novices dans le genre de l 'opérette; font de leur mieux. Les petits emploi sont ternis à nwrveill* par de fort jolies femmes, comme MHe Louly Obolenskah et plusieurs jeunes acleurs de talent. MM. J; Auberr, Las«rre+ etc. M. Sylvio Massé enlève t'orchestre avec soù élégante virtuosité,

Quant à M. Maurice Lthmann, il de.4 s'il se lot agi de la valeur d Orphée aux Enfers. Le voyage de mouvant qui fait défiler de beaux paysages la brillante fête hongroise dans le pare. le match au Parc des sont des tableaux excellents, de pilaire- La seule qualité de la mise en scène mérite la récompense de Henry Bénazet.

i Jeudi et **m* mardi. Matin<ift« auiour- d'hul et le le Mariage de = Figan samedi. XI« mâtiné* = Le MBmtïnt JMl lu ♦ubTenttoiwéi -o- OPERA. En sc-irét lundi, <,0™' Jeudi, répétition générale de et Dqlita, la Nuittienne samedi, l<t Flûte enchantée. -o- COMEDIE-FRANÇAISE. En ds ffigarù. En matinée ̃ jei*i* Mariage de Figar" samedi. XI' matinée puétiqu* Victor Hngù, -o^ ÛPEItA-COMTQUE. En antSehicchi vendredi. Gargantua tinée dimanohe, le sevt.

-1)- ODEON. En soirée lundi. Barberine, l'Amour médecin mardi, vendredi et &*mt4\, la Dame de ches Maxim dimanche, l'Abbi Constantin. En matJné* jeutti. l'Abbé Maxim.

-O- PALAIS DE CïTAILLOT. En matinée jeudi, It Cid, les dimanchi1.

-o- CHATELET, AuJ.t à 14 h. précise*, mat., it Coffrc-foH vivant,

L'Opéra reprôseutef "te Chartreuse de, Parie"

Le 16 mars, l'Opéra présentera la Parme, musique d'Henri Sauguet, livret d'Armand Lunel, d'après le roman de Stendhal-

Henri Sauguet ? Né à fiordeaux et 1901. Ami de Jean Cocteau,

drame lyrique c'est-à-dire un opéra où Léo chanteur?, comme ils le doivent, chantent, mais dont l'action est articulée et qui n'eat pas une .simple présentation de vocalises, sur l'époque qui, tout ni Se sentiment ni le romanesque,

d'Erik Satie. En 1924, un opéra fort comique, la Plumet du cofonet Pubs le Ballet roaes, Ûtuni des décora de Marie Laurencin. Pulg le Ballet de la chatte, dansé par Liïfar. La Contrebasse. La Nuit. Fastes. Du centaine* de mélodies, de nombreuses œuvrse de musique de chRmbre et des orchestrations scéniquefl, notamment pour Irma, de Roger Ferdinand, et pour le Retour de t'enfant prodigue, d'André bientôt. La musique de Saufuet, bientôt, Accompagnera de Jeandoux, et Un amour du Tttien. de Max Jacoh.

Comment l'Idée de tirer un opéra de la Chartreuse de Parme de ce StBE'iZsal dont la réputation n'est ni mueicale ni même lyrique, mais telle d'un- analyste cruel disposant d'une prose sans ornements, vintelle à Henri Saugnet ? Il nous l'expliqua Û&.ÏIM ion- « atudlo » piano, peintures, téléphone au aixième étage d'une maison grifie aux abords de ]a place Clichy. En 1927r il. Monte-Ou-lq, pendnnt les répétitions de îa Chatte Iwec Serge de Diag-hUew. je confiai à Armant] Lunel, trfea savoureux écrivain, mon dégir d'écrire un

Lune! m'encouragea et m'apporta, bientôt, un livret dépouillé de tout ce qui, dans 1.est ni le sentiment, ni le romanesque, le, poésie. JTai travaillé oh d'une iaçàn fort discontinue pendent diTC années à cet opéra. Il comporte dix tableaux et reapacte l'Évolution psychologique clos personnages de Stendhal au fll des épisodes principaux du roman. TjTœVivre. que M. Roucbé accepta des qu'il l'eut entendue, est entrée en répétition depuis un an. Mme Germaine Lubin sera la brillante, l'émouvante Sanseyerina. M. Jobin interprétera 1'im.pétuoaité de Fala tendresse de la rêveuse Clelia. M. Kndrèze sera le subtil Moaca. Quant au rôle à la fois cruel et bouffon du général Conti, c'est M. Huberthy qui en assumera la charge La mise en scène a été composée dans la pure atmosphère 3 tend haItenne, par M. Chéreau. M. Aveline chorégraphies d'al^ra le ballet à la spectacle. Jacques Dupont peint costumes et décors dans la. plus stendalhiennee non moins qu'avec le de ma partition, que M. PhLlippe Gaubert conduira. J'ai voulu, nous dit pour terminer M. Henri un qui fût divertissant Il ne convient pas que les théâtres se bornent à présenter, sur le plan de la musique ou de la littérature, de. étala d'amea toujours «incèraE et parfoîe déchirants et profonds. Il faut que ces symphonies intérieures soient revêtues d'une net ion d'un rythme qui leur permette d'attirer, d'atteindre et de retenir le publie.

LE CONCERT

dirigé par Fausto Magnani a obtenu un vif succès soir 1 la salle f Iryel aa profit du Cercle Français Villon [vuvrni 4'enn'aide r<"T 1M tetetteetaell ef l*« «rtfHles) le plus tèI incc«H. Hornbt-FL**t ncrvonnnliln msIbtalent brillante mKnEI«Kt»»lnn *rtiiitifluP, placée nom le haut patro»»̃;# du Pi^iident de la BépUbUfluC et -doat le pm^ramsie Sixi-f-nif symphonie la Mfr <UTbussy); Siatwielta (Frokcflenfl^ fant-aathjupj le. Prix de Rome (0. HKtpljchï) eu-cuté* par TAMOclation dM «ouverts Pudelnlipl

Le maître Famto Mbfnaoi, l'un de« plut tranilft j-h#fii de rt. tdmpBF êt-mtt su pupitre ci /al JonglreA la Comédie-Française IL Alexandre qui met en ̃ souffert son» Pe+KSfl-Piiate, la nauvfîlle plfK-e de M. RayraL

h)- PAiAIS' ROYAL, -o- MOGADOR. Auj., 14 h, 45, rMat. à prix réduits jeudis et samedis. 10, a.venue rt'I^no. Auj.. h. 30. Kiakey roi &c SflMiboHÎtfl. Un An* plu« arec Mi !̃?(-«. attPflftlflna, conrours Le le du Petit Monde prépare pour jeudi prochain, fête de la ml-car^mP. n grand bail traveati au centre celin E«rthfrlot en matlt«e. Ce aéra le -O- CASINO DE FAftlS. Matinée d« Pari*. Ni ta Raya et artiatea. ALCAZAR de rire

MES AMOURS de iKmtllt

A L'EUROPÉEN: la Revue bordelaise

lie Midi continue d* bouRi-p il monte d Parti. !k »pr ) quoi pas moi » Voici qu'il ïtOUn tu- a TnJaon ici crai Wrd*Ut* ont leur « l'EicadïP du rirrr ». Place ClItrH^. il est devenu: «I* Bévue tmnlflslse Il. Oit une Incon de marqBP il 'origine. La mise en «cène n été laite au; chi- Yt c>*t fort amusant. La lionne ̃ 'évente pm pendant le v»yùte. A mon drUlar à la m*t&ellt*iùc. est part «xcesftivc. Tout Fp 1«o(ç de la rpvu* bordelaise «oui*, pour »ïn«i par- d«suxP fl"t ne se frappe pa* If r\r* Les pl»îi**ntçrle* ne sont pas taiijflni-B et le public rit de at bon rœiir Muii je jn'*pfri;nlfi qa« Je ne timib ̃ FOLIES BERGERE MATINEE

PAR RADIO-CITE

Houee«Hn a. dr l'»tmndan«fl de la ae au bri rat tri:» emttRttnt il rtt plu* trépidant, plui i\ darantasc. ̃te 'ai que dM rompUm«nt* & faire pu imo métier. Hmti Andrée ('(aii-y^ P^liivni. dépendent Lonii LEON-MARTIN

= BRIAN AHEK\E

â HAUAiHE

ji ET StlM CLOCHABU I!

&7 ET SON CUKrtAKD BENNKTT^aB ET SUN CIiOClïARD

A A J«% 5 RU ejM^HBlTfié

THEATRES

Op

Hic 22-70. c«mfldi«-Frinï«Jie, 11 te Maria** de Figam 2l. AsmodÊe, ï>snh 5*-13. od*«n, 14 h. 45. le Grillon du loyar. Un caprice 20 h. #>, la Dame de di-f-z Maiim.

Palais de ChalUot (TrocadAro). 45, le Ëourge&ia gentilhomme 20 M. Gala Gabriel Faurf

Bot 77-71. Antoine, 15 h.. 21 h.. La Fille Elb* (Susy Prim). Wag. 86-03. Art*. 15 h., 21 b., Sur lea marché du palais.

Oïit. Athénée, 16 h., W h, 45. Knoclc.

Oi>é. «7-94. BQuffPftFfli-U,. 15. 21 1.5. Pw«nU terril. (G. Dorziait, G. Dtrraûïl. Opé. M-36. Cmpu^inea, la h., h., le Revenant (Glita Majiès, M. Uib, Ch. de Hoc hf fort, 15 h., 21 h., Troplca (H. HDUtot, f. Fabreh Gut. 02-87. Chitetet, 14 h., h. 30, Coffre-fort vivant (R. Bourdin, Bach). Ope. 64-30. ppqptn, 15 h., h., le Nid (J. de Fénutdy, Je*n Paqui).

Rto. 40-00. Empire, 15 h., 21 h., le Paya du sourire (AJcaïd*).

Tri. Grand -Guixnol, 15 Z1 15. le Cirgo de l'épouvanta (Bengila).

Ai], IF7-O9. Ka-delelne, rtllrhe pour répétitions.

An). 90-00. M*th«rinM-Plt»8ff, 15 h.. 21 ïi.. la Mourtte.

A 11.1. 35-OS. Michel, 15 h., 21 h. 15. l'Ami- d« paMle.

Rie. 30 Tpquj Va.!s*g (Y. PrijUempe, P. Frcanay). ïrl. M»gador, 14 h. 45. h. 30, BUlLe et son équipe. Pro. S2-76. Nouveauté*, 15 h. 21 h.. Vive la revue de Dorin. Tri, Œuvre. 15 h., SI h., l'Homme de nuit Rlc 84-29. Filai H- RoyaL 15 h" 21 h., tCbrtatfane Myne}. Bto, 01-M. PeUt^Monde <Efna>. 14 h. 30. Mlckey. roi de BambûuIJe. Nor. 3T-53. Porte-Sftlfli-Mâftla, 15 h., 21 h., Quand Tri. Bid, de H*a4«., 15 h. 15. 21 h. 15, rfltpyFgvuF, Uarfon» au miH«u. Tni, 63-47. S*tnt-Geftra<>s, 15, 21r Duo (V, Tflagifftr, Baymer, RoUan, Sylvie). Tri. Théâtre de Parl«, 1j H., îl h.. les jours TrL Thé&tre h.. 21 h.. le Marlage de Mlle Beuiemana. Gut. 09-93. Variai, la Reviip des VarWt^g (St-Orantfcr, J, Sotiv*) Lit. M U S I C B A L L

Ort, A, B. C,( njH, 3,, Jean Saljlon, R. Gïeore, Its GaudsnUlh. 12 attr. Pro. 44-37, Alcaar, 15 o.. 21 h,. mwi amour*. Dan. fiS-70. Boblnfl, 15. 2Î. Rpv. BobJno (G-eorsius..France! Girard). Tri. Ca-slno de Paris, 15 h., 11 h,, Anton Oievatier), RtXt. I2-2&. Cirque d'HlTer, 20 b..45, L'Idole de Shanghaï. Mat.r j. a, A. 1. Mar, ïî-3S m,, (Tichad^l et Ron3$**U). fro, 9S-49, 14 h.. 30 h. 45, Madume la Folie, revu«. tMlie-39 r. Grammout), ̃Music-hall perm., 1$, 23 30. Pro. 9M18. H»yulf 21.h.. Beautés auea. auper-revue. Mat.. j. d. 1. Pro. 72-00. FetU -Casino, café-concert, variétés.

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Gab Of fiT Nouveaux Riches, Quatre Homme. ét une prière. Arc «2-9S. Pal. de. Art«. 14 30, 30. Gars du large. Excenl- Ginger Ted. Opè. 34-30 r»r«iM(nint, perm 9 h. 30 it 2 h.. Mon o et mon curé. Out 5ti-70 p, à. 1 h., Remontons l*a Ch.-Blys., Je chant*. Gob JS-jti ?nthé-Or]^BH, U 3ûT 30 M, Mon curé eh, les riche?; c, !K.. Demi.. Gob M-37 St-SIareeU 14 ift. Remoot. tf9 Cll-Elys,; s. 3c, Lyne Vlala. Cért. 83-93. VWfenac, P. 10 à 1 30, Trpia T*laeg (Y. Prlnt&mjw, P. Fresnùyl,

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Verticalement L Rirait) d'Athènes. 2. Machina de guerre; exercice ^aiïrégâe. 3. Un peu plua que d-eux cents; artiste hollandais. i Bipède: époque 5. Oiseaux tibanteurs. Un anglalo; aà cast eat célèbte; deux conainiEes. 7. Deux volflines; «ut deux fameux Jumeaux. 8. G. Hautâur, 9. Changement apporté à un texte. le, Greffes; crochet.

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LÀ"

Au dîner du comité de l'Afrique du Nord, M. Albert Lebrun, préoident de la République, a longue.ment parlé de l'empire.

La France, a-t-il dit, a su gagner l'affection des populations confiées à sa tutelle. par son souci de les rattacher A £a cauae par le cœur plus que par la force, par aon respect de leurs coutumes, de leurs trahit Ion et de leurs croyances, par son déaiT de développer leurs qualités natives au contact de sa propre civilisation, sans attenter à la liberté de leur esprit ou à l'indépendance de leur race, bref par sa volonté de les élever vers une humanité aupérieure oui les attendent dans l'ordre, la justice et la paix plus de bonheur et de digpité.

Pour sasurer plus dignement leur bonheur, ne devons-nous pan 6galement resserrer lea liens économique* qui unissent d'une part l'Afrique du Nord avec la métropole, et d'autre part l'Algérie et nos colonies ?

Déjà le beau train blanc de l'Afrique du Nord, qui vient d'Airé Inauguré mercredi dernier, attend, à la gare Saint-Lazare, le signal du départ pour montrer dans l'ouest de la S^rance tous lea magnifiques produits de noa terrttoires nortf-africaias.

Loin de concurrencer les produits agricoles métropolitaine, fieux d'Algérie, dy Maroc et de Tunisie viennent compléter, en des périodes différentes, les besoins de notre alimentation.

Pour la première fols, des salades d'Afrïque du Nord viennent d apparaître sur nos marchés pariflitna. C'est que les gelées ont été trèa dures pour nos maraîchera, et que Jusqu'en mai et Juin 11 ne faut guère eapérer d'approvisionnements de notre grande banlieue.

Ainai vient Jou&r la aolidartt* impériale, et, grâce à l'Afrique du Nord, les Parisiens ne man·queront pas de légumes verts. Cette solidarité doit s'exercer aimai entre l'Afrique du Nord et nos colonies.

Sous l'impulsion de M. Georges Mandai, ministre dea Colonies, les plates sanarieauies Dakar-Casablanca, Gao-Alger et Alger-Ztoder jB^améliorent pour faciliter les remdements économiques dignes des importantes relations qui doivent exister entre VXlgénè et TAfriqu*-Occiilentale française.

Les exportatlona de l'Algérie eur l'A.-O. F. sont en constante progression.

De 32.750 quintaux en 1BS5, elles sont passées à quintaux en Les vins et le. vinaigres viennent en tête de la liste de ces produits, puis citons anauite l«g clgaf ettss, le tabac en

feuilles, les semoules, les pommes de terre, le crin végétal, le se] marin et les pho&pA&te*.

Cette activité des Algériena est à même de s'exercer non seulement en A.-O. F., mais dans toutes 1ea autrea possessions françaises d'Afrique et d'Aaïe.

Pour l'Afrique- Equatortete française, les exportations algériennes, de 3.759 quintaux en 1935, ont été de 6.305 quintaux en 19&7. Lea exportations de l'Algérie 6.000 quintaux en 1937, par rapport K 1936, augmentation due, pour la plus large part, aux livrai- sons de vins paaséea de 10.083 hec- tolitre en 1936, hl. en 1937.

Les: exportations algériennes ont atteint, en 1935, 13.167 quintaux en 1938, 13.815 qx; en 163T, 1B.1Q2 L'Algérie pourrait envoyer dea

farines à Madagascar où, sur une Importation totale de 32.541 qx, elle n'a rien livré. Elle pourrait livrer des pâtes, des fruits secs, des dattes, des olives.

En ce qui concerne l'Indochine, les exportations algériennes sont en rapide progression.

De 22.489 quintaux en 1&34, ellea sont passées à quintaux en 1937, soit de franc* à franco.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes, et quoique il ne soit possible de donner ici qu'un aperçu des principales exportations algériennea vers les plus Importantes de nos colonies, ces transaotiona doivent se développer de plus en plus et seront facilitées par 1 organisation de lialsons directes, et comme Va dit si justement M. Morard, préaident de la Région économique d'Algérie et du comité Aj£érlÊ-A.-O. F- < Nous sommes a l'aube d'une ère qui sera très belle et, chacun faisant son devoir, nous arriverons à des réoultata gurprenants. »

En resserrant les liens économiquel, nous consoliderons notre empire cl1 outre-mer.

EN MISSION AU CAMEROUN

Le L'Association amicale et philanthropique des anciens spahis « Le Eurnoua», fondée' en fêtera le quarantième anniversaire de se. fondation, le samedi 25 mars, par un Iranquet officiel que présidera M. Champetier de Hibea. ministre dea Anciens combattants et des Pensions, utlsté des délégués des réeldenta généraux à Tunis et à Raba*.

Le banquet aura lieu & la Mateon de. centraux, 8, rue Jea.n»GHjujon, Paris, à heuret.

Tous les anciens spahis, soeîftairea ou non, «ont invités ysUter. Les Inscription* sont recrée Jua-- qu'au 23 mars, chez M, Finn, bis, rue Labié* Paris-XVir.

EN L'HONNEUR DES CORSES D'INDOCHINE La fête annuelle d« Corse* d'Annam et du Tonkïn, qui comporta un banquet et un balr a revêtu, cette ajutée, un éclat par- tioullw. Le gouverneur général Bn4vié le résident supérieur au Tdlikln Chalel; Je général Martin^ conjina-ndenL supérieur des troupes du groupe de l'Indochine, ;t de nombreuses personnalité* de a colonie avaient pria place autour Is M. S*ntoni, président de l'ami- A l'ieeue du banque le président a prononcé un vibrant discours tans lequel, après avoir remercié e général Brivié monument élevé à Napoléon, à Kjaccîo, en août 1938, qui fut l'oc:aâioa d'une manifeatation g;ranilose du natrfotifline corse. Puis Jl. û. Lions des Corées qui, de toua l«a pointa du globe, ont manifesté ipontanèment leur attachement A France, Il s, lu un ordre du Jour >ria, notamment, par l'amicale des torses d'Annam et du TonkSn et e télégramme envoyé au g"ouvarlement Jransais par rintermiliaire du gouverneur général de

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21 h. S, L'HtMir* derde PifTrfc XKPriIJ. 32 h. 10. ReportAjce dn Six Jonrn le CI un 9 3 h-, la auli dern Jèra aux Six Joui-fl^ h. 25. succès de st de M, Yvaln. !il h. 40. mufllc-haU ivec H. ftoy «q ïoti orche«tre JLéo Ha.rla.ne Pli €t Ta.t>et

12 h., fluccè» d'optreues. 13 ti. 15. nqalqu« l^ïèr*. la h. &0, je le Ç&ursjiiFL P, Rogiiet

h. 3J. enxeÉ-iatremenia de Pu.! Robeaan. 20 h. 10, Line Vial&. 20 h. au piano. Cliquet Pieyel ,Efil Canto, tTiêitre de la rose de» venin le rî^nrfrol PifprzJ, ou le« de tVdbeatitH» (A- Jotsn). ho relran3m!a3ioïi du « 'Joli- iemn a; orchestre Tito KenriotU et S. Hildfl et chanson improYisé* ILE-DE-FRANCE m. 6J. 8 h-, toneert fi h. 15. musique 9 h. concert des Il 11 h., eoncert Lorgès. Il h. 20, la troupe tï. Vaysse. avec Llaa Toatl. Jan Lam- E. Pruâ' homme,

12 h. 5, quart d'heur. auvergnat. 13 h. 16, Bervvl et Rateke (sketch). 13 Il. le le chanteur Ph. 3û»\ie!, 14 h.. concert. IL h. 45. I eati val Massenet. la h. 15^ accordéon, 1$ h. $0. jazz. 17 h.T musique trlenn&ise. Extraits «'opérettes, 17 h. M. concerts, 18 n., musique de la flotte. 19 b. 16. extr. de films. IS h. 40, duettistes. 19 h., Tonl Bert chante.

.19 h. 40, quart d'heura gsA. 20 h. S0, A, Marùiîûn chante. 21 h.. rctrAngmlBRAD1O-TOULOUSK (328 m. 6). S h,, retransmiaaioi) dune mesae. Il h. 40, orchestre de Êenri

12 h. 5. marches mlllUirea quart à'heure des auditeur». 12 4. ].le, mède. 17 Il 60. danses. t8 h. 40. orchesLre symph&nifiué. 19 h. S, bal musette:

19 h. 45. concert varift. 30 Ù. 30. concert.- h. 30, bal musette, cauaarie. 22 h" demi-heure des auditeurs. 23 h. 46; tûBiédiea musJcaJeB bal n.tiampatî'e Caveau. b. 30. pots priurrla fl'npfrettea.

LA NAVIGATION FLUVIALE YonHe. 1 m. 78.

JTnMiid pont fis Melun, S m. 69 éalufla de Va.renne, 2 :1'11. 71 écluse de Fortà-r Anglais, 4 m. GS.

Basais 3fit«î. Aystertltz. S m, 1B pont de la 2 2 m. pont Royal. S m. 99; écluse de Sureanes, 5 m. 67; barage de Ctl&tOu (ûltftu-3e>. m. Bit.

Seirtc jlu«iate. ™ Ar.ârégy, 3 m. Mantes, 3 m. M^ ri court., 4 m. 25. tyrand Storin. Pommçuse. 1 mètre. Marne. Ecluses d* Damery 1 m. 30 de Chaitfert, 1 m. 44 de Gnarenton, 2 m. "fë.

Oise. Barrage de Venstte, 3 m. ECHECS Problème ne 115. Gibbm*

Blanc» A

Les blancs jouent et Ont mal Se deux Coupa.

Partie n"

de HolUode

Noirs Batwlnnicb

1. P4D, C3FR 2. P4FD. P3CH 3. C3FD, P4D Cïï'R. F3C F4FR. R&q- 6. 6. P3Rt P4FD 7. D3C. IMT 13. Boq/ C3C U. F5IX T1C: P3TD, P3R 16. FÏF. P3TD J7. CiD a 2R, C2)): C4R. C4R. Parti» nulle.

SOLUTION DU PROBLEME N- 114

LA VIE FINANCIÈRE

La forts reprise A la séance de lundi pouvait faire augurer vité boursière et pourtant, il n'en a marchd retombait dans le marasme et la cati, par la suite, sans abandonner la totalité der pragré» acquit,tait cependant p«» d peu-

On doit, la est vra\r admettra que l'ami iioration da la conjoncture .(ïitermouvement d'envergure les placée de tOMdre* et d'Amaterda?* o*t répondu une i'^stternie aisément, alors que pour Paria le mono-us d'affaires a continué d se le il est incontestable que la situation internationale ̃ évalue dans le Mena favorable e&cùnlptê on constate en effet une certain* détente d Rome, à Tokifr et à Berlin, détente à laquelle ne sont certes pas étrangères les déclarations faites par M. dore gnol, évidem,ift,çnt ë on note un temps d'arrêt d& av- màutàèmeVtt insurrectionnet Qui met en difficaîté te comité militaire remplaçant le Negrin r,t retarde quelque peu la solution espérée cependant, ces èvÈnemtnts ne naîtraient en rien modifier la position du gouvernement dv Burfaâ.

Dana ces coniîiliarut, on n^ Sùurtxit 04'il y n uMélivration. du dlmat international, et c'est ainsi qu'on Amsterdam où ust non monis alertée ow'â Pan* Pourquoi donc Ja de ta clientèle Tente-t+eîlE accusée sur noire pteufe f Pourquoi des capitaux considérables sann emploi Ssrait-ct parce que ««"taincs questions pendante* devant parlement n'ont pas encore TëCit de solution satisfaisante y C'est fart poa-

TûUffl/oi*. il tertiit 3U*te de rer que d& ffros progrès été faits dans la ̃ Voie du rétablissement de notre économie et ds nos finançait et, A cet igavn, les cmffres fournis par notre grand argentier sont si/mptOttlfl' lÂqws le le moifl de ^évWft marqua 4/jalement une amélioration sensible, ve qu'il tmnulent de souligner. SUR DBS PLACES BTKAlTOqBBS NwwrXMK- Ambiance plus natiad'une diminution dans le taux d'acti' vite des aciéries, et la journée de suite dç l'imprestian laissée par de l'£tabliasein&ni taxe progressive l l'exportation du jnétal rtntpe par le OtiH, taxe qui mtQresne. directement plusieurs entreprisesdu plan. Mais, Blanche et quant à ta politique d'apeiteonônitiuô 4bi aetnbie étrE désarmait jtratinuêB. L'attention Un faisait état 4t d'un apaisement prochain en Sspagnë. de la vtrSpccil-Oe d 'une détente internationale comme tuite aux négociation*

du président Roaosevelt, Les valeurs, sèment d'un fonds de stabilisation du dollar de c* pays..

LHB VALBUBB

Fonda d'Etat. Les fonda d'Etal Irancals. dont la îçrrnet* avalt été très nette au début de la semaine, ont àubi par la suite quelques dégagements qui ont légèrement pesé aur les cours. Ajoutona que vendredi la résistance dominait sur nombre d'env perpétuel à contre 83,60. le i <& 19Î7 à 86.55 contre 8Çh0B. le ô ffâr c A s a contre centre W,ZS. < Les emprunts A garantie de change C'eat que le 4 termi.ait a IBO.85 .contre et le a 157,50 contre 155,40. Les bons et obligations G u Trésor ont été bien tenus de- l'ensemble. Leà opérations de ':la. caisse:, d'épargne de Paria du 27 février au 4 :mare ont été lea suivantes veraernsnts, 23.575. 7G2 It. remboursements., S millions 233,138 (r. L.ea fonds d'Etar trançaia achetés il. la demande des déposante faut été pour un capital de 133.815 francs.

Bonne tenue des obligations de la VU. de Paris.

rends d'Etat ont été diversement traitée, &ans grande animation.

Fat-ml les obligations allemandes, on ob.ieri-a.it la résistance du Young 5 1/2 à 344 contre 330. Bonne tetlue du l'emprunt autrichien -5 1/2 1933-1363 h 961, des fonde Peu de mafllfîcatlnns.Hur lea Fonds turcs.

notables.

Au sujet des tante chinoiB, le président de la Shanghaï Hong Kong Banking Cy a notamment déclaré que le gr>u versement chinois, en dépit de sa récente décision de augpendrç le effectué la. paiements prévus et qu# la décision du gouverne nient chinois pourrait bien finalement ne p&a fttre appliqués en dépit des dtiflcuilés a Banques, Le. titre» IrSliç&is du compartiment bancaire ont fait preuve de beaucoup de réilÊ:tJ»icB, Tsunout p*T>d*ftt;t9 pr*mltre Finalement, on retrouvait la Bantre t>.5i6. Parla à L3M contre 1.21D, la Banque de L'Indochine il. contre 4.205, la Banque à a S00, la Banque de rUnîrui Pari&leniit à 490 contre 470, le Crédit Foncier k 3.16S cantre 3.100. la Société Générale S38 contre S2î, le dit Commercial de France à Kfi cantra H&.

Le Comptoir Hstionaî d'Bflcompie de Paris a cl&turé k 871 Le conseil d'administration de cet établissem^t proposera k gênerai* dps <3u 25 avril prothain de fixer lA. répartition pour l'exercirr 1938 a W Jr. par action.

Sur le marché -des b&wiUc» étr»ngfèrns, 1rs tendances ont été fort sntlacerne la Banque Ottoman" qui est Foncier Egyptien à 3,-tlfî Marché plus calme sur la Banque du Mexique qui1- p1 inscrit' en :[et-hier Heu h 180 contra 1S3.

ÈùiiiipB disposition» des valeur* sur un marebedant peu animé.

L-'Union-VIa finit ft 414 contre 411, V Urbaine- Incendia à Eft4 contre B77, priorité il 90. Ti an s perla, Lea actions du Broupî des grands réseaux ferréa français oBt conservé cette semaine une allure floutenue, sauf toutefois pendant dernières séances,

Sur le compartiment des valeurs de le Métropolitain il. 8?6 contre' M4. du Suess qui s'échangeait en fln de semaine & 16.030 contre 15.970. L'action Cànadlan Pacific demeurait calmç à 188 contre

On observera que I«s recettes bru- mois de 1939 se sont chiffrées Par is.896000 douera contre j^.esa.ooo de lars pour la même période de 1938. Electricité eau, (ax. Les valeurs d'électricité ûht Afurâ cette emain- parmi Isa titreç dont les dispositions ont été plua soutenues. Finalement, la Lyonnaise des Eaux tribution à 825 contre 803, rEInctrittidté de lft.eJaa- -a 4QÏ c#tre 3Sd, contre 361, la Compagnie Générale d'Eiectrtctté a 1.4JW contre 1.468, la Thomson -KOUStOB a contre l'Union d'Electricité _Il AH contre 48U, le I^ord-Lumlfrre à M4 contre 890. La coupon n* IS «es oDUfffltlona ral a d'Electricité sera payable h partir du 15 mars 1939, sana Trala, aii prix netr do 33 £r,60 par obilîTatlon nominative, 31 fr, 16 par obligation au porteur, aux guichets des établissements' suivants Crédit Commercial de l^ance. SocJét* Générale, Cr6dit Lyonnais, Comptoir National d'Escompte de Parus.

L'aBsCm&Iee CX tradrdi nuira le. actionnaires de l'Union (TBIcctrlclte, te1 tiufi le 8 m&ra 1939. a donné r*utofl*ation au conseil d'auEmïedter le capital". en une ou plusieurs fois, au mdiimum de 500 B*iU ions de fra-nca.

Au cours de la duscusaioil, le présidant fait connaîtra que le conii«ll 3' administration n avait paa l'intenet.. d'utiliser immédiatement cette autorîsatlOD. II a ajoute, par contre, l'éventualité d'une émission d'obligations n'était pas exclue et que le conseil pourrait être amené a procéder Il une telle opération :!Il lestanc«s permettaient & la société de le faire (Sans dea condition! (aTO/ftbleà* L'émission du nouvel emprunt reculerait évidemment rênhfenee à laquelle il devrait Etre procédé à une au STB entât ion de capital. Bien que le conseil n'ait pas encore été appelé àa, le, compte» reiercice, le président a détïaré les résultats je présenta nt d'une maniére favorable. Le nombre des kwh. vendus «t en augmentation d'environ fi par rapport A l'exercice Dré«MfflU 5 .et fi* 7 dea obli^lOnji 4 1/3% 19S0 du 1" avril 19341 de l'UnEon d-ElBctric]lfi seront atteints par La la Au comptant, l'Energie !ndtutrtelJ6 a fini à 745 contre Hfl. de affectasupérieures ft celles de l'année préc*- dente. le. réaultïla du compte da profits et pertes permettront au conseil Se proposer t4 qui sera nvoquée pour Le 30 mars la distribution d'un dividende de 50 francs par action de francs, te&S a celui distribué en 1537, en m«me Km pb qtt'une nouvelle répartition de 35 fr&ncE par action dfl 500 franna,milUORS de rrancs Il Aat qu'un, acompte de 25 francs a déjà été Il est dans les Intentions du conseil d'administration de propoasr la mlee en du du du du dividende et de la prime, soit' au frases. au3s>iftt du 'de de i'i&n&rffia

cette «nuée. Le nombre deg kilowatts -heures distribuer a dépassé un mllU&j-d «ept cent* mil lions (1.700.000-000) pour la plus grosse partie 4' origine hydraulique, en augmentation de 60 millions. L'Energie, du Le coupon.' n° G6 des oblfeations 6; Se l'Energie Ulectrititie au Sufléchéance du l*T avril 1939 aux taux nets suivant titre» appartenant il des persûnne» phyâlqtiM, au nominatif JO fr. 2ft (impôt 18 et 9 ̃ Ir. Il (impôt '.IM, au porteur 8 fr..46. Titra» appartenant k des personne* au porteur 7 fr. 54. Les ^0 obligetion» sorties au lirage effectué le ai a ru 1939 seront remboursées à partir du 1** avril (cguSon ti» 61 attaché) à rafâon de personnes physiques, au nominatif !96 fr. 50 (tm. pot et et 493 tr. flmpot 27 au.iwrtBijr <93 et. Partûnnes morales aii nominatif 491 fr. 425, au pqrteur 491 fr. 43S. Aux pâleurs à# gaz le Gaz de Parla £.il tait -bonne, 4 30fl centre Il en ^ta de même pour I'ftbU~gallon t qui finalement

Quant à l'action Eclairage. ChauiCaE^ et Force Motrice, elle finissait soutenue contre 780.

ont été cGn»t>ri4ÉB p*t la eat passé d2 i.375 à MOT pour flft,lr il 1.3S5, ScJuiBidïr et Cie de 1,272 audû 1^00 pour-terniiner à 1.270. Forgea Nord et Est de SS9 a 719 pour finir à 708.

Au comptant, lea AtéllÊrt) «fCli»li*le 4e Sn:rtt-Nasalre (Penhoët) clôturent à. 1.-33D contre 1.2m. les Aciéries de la Marine à contre et Je-lHHont contre

En' coulisse. )e« Moteurs Gnome ont tvDÎtfi- entre et 735 pour ftùif

Parmi les v&ieura aautomobiîea, Peugeot B"eEt traité régulièrement a 491 contre du.

En Janvier la production métallurgique française *s1 passif Pour p'eat établie à tonnes contreton't d'ailleurs en-c^ré LtsHflflur* & ceux du même mni-a de l'anné! précédente qui avalent été de S43 000 t ruiun pour la fonte, de tonnei pour l'acier.

Les hauLa fourneau* en activité ont été âe 87 unités cnntr*! M en décembre et 101 en JaïrrîOT lSî9.

Cnarbnnna.|[Mif Le; titras de charïoniwt^s le sent maintenus en hnn- d'échanges rpstreltit et des *r»rti d* cour. peu 1mporti3ta.

A signaler cependant de méUlllquee ont été fermement tenue» en raison de l'alJuro plu3 satisfaisante àta métaux h Londres.

En ce qui concerne le cuivre. On ne les ststfrittquea nouvelle de» etoçh? mondiaux. Ces cependant ne le ïoaflommatlon et on estime qu« ce à peu près rétaWl sur 1e' marché du métal depuis 1a ftxation à sri du autorjat T> ni. Tinta s"eat avancé d<; 2.j<0 1m Mlnfts Et s'ituvrlvant à 2.130 conlr* 1.WÎ.

Pour T'étatn. on persista a considérer le CooiHf aura à opter entre deux solution 5 soit soit augmenter le stock de battement. Les stocka a ftn février s'HÈv^rAienr

calca'&â lea prix de l'or Lus-adr^a tmuvdea de l'a.rt>ltrftffe sur certuni sur la -Rmd Min*? portée de L.K9 «t srur la Crown Mine* gui m à iL 2'.832 contre 2.S1&.

On "Jinsi4êre qu'il n'y a il.. •Tian des minas pour l'wnte *n cours en foIaob des dépense» Importantes devant Ipaqueli&s se trouva placé le .SOLjvffrnemeot sud-airtrain.

Four Hvrier les bénéfices d«s mines exploitant ont été en général mté- rlflui^ à flsujt fie janvier par mile d« ta r*ductïoB du tannage traité qui s entraîné tiïie aiigmetitàtlrîn da frais d' exploitât Ion.

Aux diamant Hère les disposition* ont été très ferme* dur la Ue £Wers ordinaire qui a proereasé de l'un à 1.421 pour revenir ensuite au.4pr*« I.'SIO au plua haut.

Valent! de pitrole, Lfta titfpa de contenance. C'est ainsi qu'au gtûuixb s'est tout d'abord enlevée de pour re«n.[r «TUultft à G.49G et il «,4S3, La Shell de 30lî cAU «tt passée de 7e à 786.

La Ttfeilcan Êflgle a prqtMart & animé Sensiblement Il îâ Haiasé* fur hau4«e< dea prix enregistra* en Houjmanie,

Au groupe français, la ConipaariEs Fntncalof- de» pétroles m retroav- 5 S20. PechElbronn A 365 au lieu de Produit» ehlmlonti, Le cûltlparformé s& tendance ,.Il- des <wrtr*ï groupée locaux. C'et dire que, très bien orienté pendant Ici deuxmlèrpa fanées, il a'e*t montré pliis PéuliiTiey a'ew ivanc* de de 1731 A po Unir à 1.7-40t Hhôo«Poulenc de 813 à 825 pour st retrou- ver i S12, Saint-Gotiain de 1.995 Il 2.03O pour g' Inscrire en dernier Heu dernier 347; Ugîne a touché d'autre part au plua haut 1.56S contre piiur rester l'Air Liquide: ae reîrouve a 1.199 su lieu da 1.1SS; le« Matlftrpa Colorairtea deDcola à l.OSS contre l+0SO

A u compt&nt, Marchevilie Daguln ewt passé de 2-22y à Cotell*- Fouctier ds 525 a

C*nti(chtmC. caoutchouc a fait très bonne cont«nanre à Londres où iL a progressé D'après certaines e3H mations, le contingent autorisé serait fixé po\ir ta à é 65 et pour 1^ quatrième trimestre à 90 La consomma: ion mondiale pourrait atteindre 9Rq .(J(1Q t(Hinee, qui rspréune diminution d^envtron 70. OW wnii^û dans ![• montant des .stocka actuels.

Padang a touené a.u pi os tiaut contre 5?S pour finir & 5*3 et Kuala k 204 contre 1B1 pour se retrouver à 201. EU.

>'al«nri âlverun. Aux iwe-urs ne presse et d'édition», la Librairie Hachette est ferme A r«n&nt de 1.300. Par ailleurs Paptterlea de France aant rectierchâes de 315 à 365. Aux valeurs de grands magasins, le Bon Marché à A 130,50, le* Nouvelles Galeries, à 313 cont ru 29S, !ar.tion Galeries Lafayetie à 26 contre 3&. la part clôturant 18.5D0.

Valeurs d'aJImeatalios Pernod projrrpase de S51 A %B. OJj1b de 2.393 à 2,<00. Nï«!« de 350 à 365. Distillerie de la Suze 3.890. La Compan^lie Sucrlfere. 20 points 5(fe La de de l'Ou«t-Af ri- 1 calta wt bien tràttée à -310 «*tr* SO7.