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Titre : Légendes morales de l'Inde empruntées au Bhāgavata Purâna et au Mahâbhâ rata. 1 / traduites du sanscrit par A. Roussel

Éditeur : Maisonneuve et Larose (Paris)

Date d'édition : 1900

Contributeur : Roussel, Alfred (1849-1921). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb433896079

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33451008h

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vols. ; in-18

Format : Nombre total de vues : 339

Description : Collection : Les littératures populaires de toutes les nations ; 38, 39

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k682569

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-1549 (38)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ses qui se M~Hg~H~ <~M qui ne se mangent pas sont ~PH!&~&/M.

(t5) Il s'agit ici principalement du feu sacré, dans lequel on verse te AoMM, la libation sainte de beurre clarine.

(t6) ~t'Mt~<! signifie littéralement ici <fM~H'flandes qui n'en sont plus, c'est-dire des gah'landes de fleurs fanées, débris de sacrifices offerts par d'autres personnes et ramassés par ces misérables Çvapacas.

(17) Le poète voulant montrer tout à la fçris la détresse de Viçvâmitra et la pauvreté des'Çvapacas, n'imagine rien de mieux-que cette ~KCMe de c~HCH, à laquelle il fait jouer un rôle dont l'importance nous semblé passablement ridicule, bien qu'il la regarde comme toute naturelle. Pour bien juger les œuvres littéraires des Hindous, il convient de nous placér à leur point de vue, non au nôtre, nous ne devons pas l'oublier. (18) Ce ~o&<! et le précédent appartiennent à la Çruti, c'est-à-dire aux Livres saints. Viçvâmitra se les remémore pour se former là conscience et se convaincre que l'acte qu'il se dispose à faire n'est pas illégal. On voit que, dans le cas de détresse, lorsqu'on est contraint de recourir au vol pour ne pas-môurir de faim, la législation brahmanique ordonne de commencer par voler les pauvres CandâlàSr avant de s'attaquer aux WeA~ Brahmanes.

(to) 1~ CjHtdAtss n~ét~ient pas habitues, non