ses qui se M~Hg~H~ <~M qui ne se mangent pas sont ~PH!&~&/M.
(t5) Il s'agit ici principalement du feu sacré, dans lequel on verse te AoMM, la libation sainte de beurre clarine.
(t6) ~t'Mt~<! signifie littéralement ici <fM~H'flandes qui n'en sont plus, c'est-dire des gah'landes de fleurs fanées, débris de sacrifices offerts par d'autres personnes et ramassés par ces misérables Çvapacas.
(17) Le poète voulant montrer tout à la fçris la détresse de Viçvâmitra et la pauvreté des'Çvapacas, n'imagine rien de mieux-que cette ~KCMe de c~HCH, à laquelle il fait jouer un rôle dont l'importance nous semblé passablement ridicule, bien qu'il la regarde comme toute naturelle. Pour bien juger les œuvres littéraires des Hindous, il convient de nous placér à leur point de vue, non au nôtre, nous ne devons pas l'oublier. (18) Ce ~o&<! et le précédent appartiennent à la Çruti, c'est-à-dire aux Livres saints. Viçvâmitra se les remémore pour se former là conscience et se convaincre que l'acte qu'il se dispose à faire n'est pas illégal. On voit que, dans le cas de détresse, lorsqu'on est contraint de recourir au vol pour ne pas-môurir de faim, la législation brahmanique ordonne de commencer par voler les pauvres CandâlàSr avant de s'attaquer aux WeA~ Brahmanes.
(to) 1~ CjHtdAtss n~ét~ient pas habitues, non