Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 113 à 113 sur 339

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Légendes morales de l'Inde empruntées au Bhāgavata Purâna et au Mahâbhâ rata. 1 / traduites du sanscrit par A. Roussel

Éditeur : Maisonneuve et Larose (Paris)

Date d'édition : 1900

Contributeur : Roussel, Alfred (1849-1921). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb433896079

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33451008h

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vols. ; in-18

Format : Nombre total de vues : 339

Description : Collection : Les littératures populaires de toutes les nations ; 38, 39

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k682569

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-1549 (38)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 83%.


aucune idée de déshonneur ne s'attachait au métier d'espion; toutefois, comme, en général, ceux qui le pratiquent ne pèchent pas par excès de scrupule,. ni de loyauté, ce n'était qu'à force de libéralités que le prince se les assurait, d'autant plus qu'ils se vendaient souvent au dernier enchérisseur.

6. La discrétion est une vertu particulièrement nécessaire au prince dont toutes les paroles ont une portée considérable.

On lui recommande aussi de s'entretenir volontiers des mérites d'autrui, de faire valoir les qualités et les services du prochain, mais de se taire sur ses propres vertus, « ce qui ferait sourire les auditeurs, » observe la glose. Il laissera aax autres le soin dë le louer, et certes jamais roi, de mémoire de courtisans~ ne manqua de thuriféraires, de sorte qu'il peujt=fort bien se dispende balancer lui-même l'encensoir devant sa propre personne.

L'appui des méchants est la canne de roseau dont parle l'Ecriture, qui se brise et perce la main appuyée sur elle (t). Toutefois, le.monarque ne pouvant se passer de soutien.ni de conseil, se retournera vers les gens de bien, aux dépens de qui le poète lui prescrit de ne~point s'eartc~M', lui donnant à entendre qu'il peut fort légitimement le faire, au détriment des méchants.

(~) tstttt, xxxvt, 6.