il est très faible, les caractères de son invasion ne sont presque pas marqués. Lorsque est plus intense, ilyairisson, chaleur, douleur de lapartie; en deux ou trois jours elle prend un caractère particulier de pulsation; quelquefois on ne reconnaît pas cette dernière au toucher, et d'autres Ibis elle tient à Faction plus grande des artères sous -}acentes. En même temps il survient un gonflement d'autant plus marqué que l'on est plus près de l'état de la maladie. Cette tuméiaction doit être considérée sous deux rapports à la partie moyenne, elle est plus rouge, et tient à l'inflammation proprement dite; à la circonférence, l'engorgement est bien moins inflammatoire; c'est plutôt un empâtement. La tumeur va toujours en augmentant. observons qu'it n'est aucun tissu susceptible de gonflement si ce n'est le tissu cellulaire. D'autres caractères distinguent son inflammation, tels que la pulsation et la chaleur. La rougeur ne disparaît point sous le doigt, comme dans l'erysipèïe. Quant aux symptômes généraux, ils sont communs à toutes les inflammations, et l'on n'y doit faire qu'une attention secondaire. Souvent il y a des symptômes gastriques et une fièvre plus ou moins forte. A l'égard des exhalations et des
sécrétions, il varie singulièrement, de même que Fêtât des forces. La durée de ces phénomènes est extrêmement incertaine; elle tient, comme on