sont des cas qui ressortent de la juridiction de la Basse-loi.
LE PMNCE DE RaËTOMQOE. On avait institué en France des chambres dites de JR~ongtM qui distribuaient des prix aux auteurs de poésies et de momlités. A Douai, le prince de rhétorique était celui qui avait fait la meilleure pièce de vers en l'honneur de la Vierge, mère de Jésus. La fête se célébrait le 2 février de chaque année, à la suite d'un concours où tous les princes de Rhétorique devaient parodier les sujets qui leur étaient présentés. Les vainqueurs, après avoir reçu les prix qui consistaient en pièces d'orfèvrerie, parcouraient la ville dans un char.
LE BANC POETIQUE DU BARON DE CUINCY. En i670, Antoine de Blondel, seigneur de Cuincy, près de Douai, fonda à son manoir une académie de poésie française, et lors des joutes littéraires qui avaient lieu annuellement, les lauréats venaient en cavalcade parcourir les rues de la ville. ANMYERSAïRE DE LA DÉFENSE DE MËZÏÈRES PAR LE CBEVAUER BAYABD. En i52i, cette place était assiégée par deux corps d'armée campés sur les rives opposées de la Meuse et avait peu d'espoir de se soustraire à une capitulation. Bayard était, il est vrai, dans la ville à la tête d'une no-