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Titre : Les beaux messieurs de Bois-Doré. 1 / George Sand

Auteur : Sand, George (1804-1876). Auteur du texte

Éditeur : [s.n.]

Date d'édition : 1903

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31293266x

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (238, 307 p.) : couv. ill. ; in-16

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Description : Collection : Collection des chefs-d'oeuvre de France

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k66295q

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-21767 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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On se sépara des convies, et le calme se M au manoir deBriantes.

~e marquis se mit atora & Mngcr sériawsement t'éducaMan de son ab. Mais, sti eot été Mwd lui-môme, au milieu des ppeo~apa~ns d'habillement qui prenaient tant de place dans sa vie, son héritier e&t bien pu oublier ce que t'aNtë Anjorrant lui avait appds, pour n'aequMrqMO dea notions ès-s~ences de tailleur, de bottier, d'armurier et de tapissier. Heutettaement LucBio était ia, et a Nat arracher chaque jour quelques heuMS a ces Mveïes Mutences.

Lot a<Nsi, ce tendre ccaar, a M mit a chérir ardemment fenfaat de son amt, et non-se~ement a cause de rami, mais. aussi à cause de t'eMant lui-même, qui, par sa tendre docBité et la clarté de son intelligence, rendait attrayante ta tâche, d'ordinaire si fâcheuse et si maussade, de Mnstitutear.

Cette tache de Lucilio n'était cependant pas facile. n sentait qu'il avait charge d'Ame, et précisément celle d'une âme inaniment précieuse et pore. Il voulait, avant tout, &ïre !t cette jeune conscience une' forteresse de croyances et de convictions contM les orages de t'avenir. On vivait dans un temps si troublé! t

Certes on ne manquait ni de tmnieMS acquises ni d'ox-

eeNentes notions de progrès. C'était l'époque des nouveMtes, dhatt-on: noaveaatës dëteatabïeasabn les uns,

pMvMen<M!esae&<n les autres. La disassiottétaît partout et chez tous et atoN <Mmme a~oord'h~, comme hier, eonmet~ouN,!eva~~desiBte!!i~ce9etoyattten~ deaw&rît~inMMMes.

N~ le monade ~~ï~ avait perdu ~n ~ni~: Les esp~<a!mes etdësintë~ ~er~n~ â~r~ ~}as~cë, tantôt dans un camp, ~mMt dans Pa<~e; et,