ponce, Puis, no sachant sur qui sa vengw, il prétendit quo son fils a!né était revenu th, chox lui, à seules Cn~ do faire périr par la sorcellerie l'enfant do sa vioMf ase. B C'était une grande noirceur de la part de ce vieux corsaire, car jamais l'enfant n'avait été mieux portant ni mieux soigné, et le pauvre Sylvain était aussi incapahta d'un mauvais dessein que celui qui vient do na!)re. Guillaume d'Ars en était !a do son récit, qui l'avait conduit jusqu'en vue de Briantes, lorsqu'une espèce de denMMseUe bourgeoise, vêtue de noir, do rouge et de gris, portant la robe troussée et le collet monté, se trouva venir à sa rencontre et approcha de sa botte pour lui faire force révérences.
Hélas 1 monsieur, dit-elle, vous alliez peut-être demander à dtner à mon honoré mattre, io marquis de Bois-Doré! biais vous ne le trouverez point il est à la Motte-SeuiMy pour la journée, nous ayant donné congé jusqu'à !a nuit.
Cette nouvelle contraria beaucoup le jeune d'Ars; mais il était trop bien élevé pour en laisser rien paraître et, prenant son parti tout de suite:
C'est bien, demoiselle Bellinde, dit-il en se découvrant courtoisement; nous irons jusqu'à la Motte-Seuilly. Bonne promenade et bonjour 1
Puis, pour ravaler sa contrariété, il dit à d'Alvimar, en l'invitant à tourner bride avec lui:
N'est-ce pas que voilà une gouvernante tfes-rago~ tante et dont la bonne mine donne une savoureuse idée du logis de ce cher Bois-Doré? Y
Bellinde, qui entendit cette réuexion faite à voix haute et d'un ton jovial, se rengorgea, sourit, et, appelant un petit valet d'écurie dont elle se faisait escorter comme d'an page, elle tifa do ses larges manches deux petits