Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 12 sur 12

Nombre de pages: 12

Notice complète:

Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1928-03-06

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 06 mars 1928

Description : 1928/03/06 (Numéro 9629).

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6573835

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 03/12/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99%.


Le mouvement ouvrier aux Etats-Unis Où en est la Fédération américaine du travail ?

La Fédération américaine du travail qui groupe, aux Etats-Unis, les forces les plus nombreuses du mouvement ouvrier vient de tenir à Los Angelès, en Californie, sou congrès annuel, sous la présidence de M. W. (ircen qui, en a succédé à Samuel Gompers à la direction de la Fédération. Il ressort des rapports présentés au congrès que, pour l'exercice 1927, les effectifs de la Fédération ont été de membres ce qui constitue une diminution, rame- nant la Fédération à sa force d'avant-guerre, puisque, en 1914, elle comptait 2.700.000 adhérents, tandis qu'en 1920, elle avait atteint le chiffre de 5.100.000 membres. La guerre avait singulièrement augmenté le prestige de la Fédération américaine du travail. C'est ce que constate M. André Philip dans son récent et très intéressant ouvrage sur le Problème ouvrier aux Etats-Unis en raison du manque de main-d'œuvre et de la nécessité d'une production à outrance, fait-il remarquer, la Fédération possédait des avantages stratégiques incontestables; le gouvernement, qui prenait sous sa direction les forces industrielles de la nation, accepta de traiter sur un pied d'égalité avec les organisations ouvrières et de négocier avec elles les salaires et conditions de- travail la Fédération fut représentée dans tous les Comités chargés de la direction économique de la guerre et son président Goinpers, fut nommé membre du Conseil de la défense nationale. Le prestige acquis par le mouvement ouvrier fut consacré |«r le voyage du président Wilson à Buffalo, en novembre 1917, pour ater prononcer le discours d'inauguration de la Convention de la Fédération. 1 Le succès de la Fédération américaine du travail dura encore pendant les premiers mois qui suivirent l'armistice. Mais, lorsque les Etats-Unis durent, eux aussi, subir une crise économique fort grave, tout changea pour la Fédération qui, depuis lors, vit diminuer ses effectifs d'année en ant.ée de membres en ils tombèrent à en 1924, et comme on l'a constaté au récent congrès de Los Angelès, à :.Si2.ooo en 1927.

Malgré la décroissance progressive du nombre de ses adhérents, la Fédération américaine du travail reste toujours très activa, ainsi que l'ont démontré les discussions et résolutions de son dernier congrès. Dans son discours d'ouverture, le président de la Fédération, Ni. W. Green s'est félicité du mouvement de hausse des salaires qui se produit actuellement aux EtatsUnis.

TI déclara ce qui ne saurait surprendre que la Fédération américaine du travail était en faver des hauts salaires et qu'elle s'efforcerait toujours d'assurer une rétribution élevée aux travailleurs d'Amérique.. Pour :'IL Green, ce qui mesure la prospérité d'un pays, c'est avant tout le montant des salaires qui v sont payés aux ouvriers.

Parmi les sujets dont s'est occupé lé congrès de Los Angelès, nous ̃signalerons la question de la Semaine de cinq jours 1 ou des quarante heures de travail par semaine si l'on en croit le rapport du Comité exécutif de la Fédération, le nombre des ouvriers, aux Etats-Unis, rie travaillant que durant cinq jours par semaine, serait voisin de

Après avoir formulé cette affirmatton qui nous semble quelque l'eu exagérée, le rapport ajoute La philosophie sociale qui a guid< notre mouvement dans son effort pour réduire la. durée du travail s'est montrée pleinement justifiée et tout à fait saine. Nous avons évolué de la journée de douze et quatorze heures à la journée de huit heures et à la semaine de cinq jours, grâce à l'activité de notre mouvement syndical, au travail de propagande qu'il a accompli, aux négociations qu'il a entamées et aux conventions qu'il a conclues avec le' patronat. Il n'est plus question de savoir si la semaine (le cinq jours » peut être instituée elle est instituée, elle est un fait accompli et plusieurs des organisations qui constituent la Fédération américaine du travail l'ont établie par voie de négociations amiables avec des employeurs aux vues larges et amis du progrès.

Xous ne discuterons pas, pour le

nouvelle de la semaine de cinq jours dont M. Ford s'est proclamé, il y a peu de temps, le partisan convaincu, l'appliquant dans ses ateliers. Nous constaterons seulement que les efforts de la Fédération américaine visent à la généréalisation de cette mesure.

Pour arriver à ses fitis, la Fédération tient à diminuer autant que possible l'offre de la main-d'oeuvre, de façon que les employeurs amc- ricaines soient amenés à se soumet- tre aux exigences qu'elle veut leui imposer. Et c'est pourquoi la Fé- dération s'est toujours montrée hostile à l'immigration des travailleurs étrangers immigration qui, depuis quelques années, est étroitement limitée.

liais cette limitation, si stricte soit-elle, ne suffit pas encore aux membres de la Fédération américaine, car les congressistes de Los Angelès adoptèrent à l'unanimité une résolution réclamant le vote, par le congrès des Etats-Unis, d'une législation interdisant aux travailleurs asiatiques des -îles Philippirnes d'émigrer aux Etats-Unis, spit par voie directe, soit en passant par le territoire de Hawaî. 1 On ne saurait vraiment trouver plus tenaces partisans du protectionnisme ouvrier!

Enfin, à Los Angelès, on s'est aussi occupé des rapports qtfe la Fédération américaine du travail devrait avoir avec la Fédération syndicale internationale d'Amsterdam qui groupe les syndicats à tendances socialistes, plus ou moins modérées, par opposition à l'Interi nationale syndicale communiste de Moscou.

Jad;s,.as?ant la greire, la Fédération américaine était affiliée à l'Internationale d'Amsterdam et, aujourd'hui, elle consentirait à s'y réaffilier, mais moyennant la réalisation préalable de certaines conditions.

Dans un rapport présenté aux congressistes de Los Angelès, la Commission des relations internationales de la Fédération américaine rappelait qu'à l'époque où la Fédération était affiliée à l'Internationale d'Amsterdam, les statuts de cette dernière stipulaient que toute résolution importante engageant les différents pays adhérents devait, pour devenir effective, être approuvée par l'unanimité des pays intéressés. Après.la guerre, les statuts furent modifiés sur ce point et sur plusieurs autres désormais toutes les questions sont tranchées à la majorité des suffrages en outre, il a été créé un Comité exécutif qui peut agir au nom de l'Internationale dans l'intervalle des congrès. Or, la Fédération américaine n'accepte point ces modifications et tant qu'elles subsisteront, elle ne demandera point sa réaffiliation à l'Internationale d'Amsterdam ainsi en ont décidé, à l'unanimité. les représentants de la Fédération américaine réunis à Los Angelès. On voit donc qu'aux Etats-Unis, le gouvernement n'est pas seul à vouloir demeurer systématiquement à l'écart des organisations internationales dont le siège se trouve fixé en Europe. Les dirigeants du mouvement ouvrier n'ont pas adopté une autre attitude.

Max TURMANN,

Professeur à l'Université

de Fiibourg.

(Photo Hedh Maehme, photographe des Editions de fronce, aïernre Râpp, Parts). HESRI BEUAVD.

l'nuteiiT de Ce crue j'ai vu à Moscou et de = La G**be d'Or •, qui vient de ̃paraître, et ¢Qat nous

Wule vYurid PDiiloi

Le bateau tiuntyien • Salmson », a bord duquel le commandant avialeur Byrd va partir en expédition au Pôle Sud.

=:= SOURIRES =:=u Dans l'intérêt de la santé publique, il est interdit de fumer », déclare le Conseil d'hygiène de la Ville de Paris. Je m'empresse d'ailleurs d'ajouter que cet ordre péremptoire s'adresse, non aux Parisiennes. et aax Parisiens, mais auz. innombrables cheminées qui surmontent la capitale et sa banlieue.

Les cheminées f ument trop, c'est exact, et sans aucun- profit pour l'Etat qui ne prélève pas le moindre centime sur ce plaisir non taxé 1. Elles empoisonnent l'atmosphère en coiffant de leurs nappes cotonneuses les drmées de microbes qui s'élèvent de mille boulevards en furie. t. les odeurs les plus bizarres se mariant aux parfums d'essence dégagés par les automobiles, on nous affirme qu'il n'y a plus moyen de respirer entre la Porte Vincennes et la Porte Maillot.

Ces portes, toujours ouvertes, ne procurent pas, vous le savez, le moindre courant d'air aux victimes nourrie. de miasmes d'un -6out le l'eance à l'autre

Pool nous prouver que le péril est grave an observateur doublé d'un savant ne oientil pas d'établir que les mbres du Bois de

Boulogne meurent après de longues agonies, littéralement étouffés pm des gaz asphyxiants dont Genève se contrefiche Telle est, assure-t-on, la vérité lamentable qui refroidira les touristes provinciaux ou étrangers qui s'aventurent chaque été dans la ville infernale. Gare à eux, s'ils n'emportent pas dans leur valise, avec les faux-cols et les mouchoirs de rigueur, quelques précieux ballons d'oxygène Avouez-le, pour qu'un arbre soit arrêté dans sa croissance et rende le dernier souff le dans ses branches amaigries, il faut que, décidément, l'ait qu'il respire soit un drôle d'air 1.

Plaignons les arbres anémiques et condamnés que le hasard a fait naître loin des forêts maternelles. Si nous comprenions le langage des végétaux, nous entendrions, peut-être en visitant à l'occasion le bois de Boulogne 1 les plaintes du saule pleureur (bien nommé pour une fois) et les imprécations du bouleau, tous deux s'écriant

Ça sent le sapin, ici

Si vous remarquez que, dès le piintemps, ces arbres laissent tomber leurs fevilles, ne vous y trompez pas ;_ce sont des feuilles de protestation I.

Le Petit Crégoire,

iWide World Photo).

Malcolm Campbell, dans sa voiture « 1,'Oiseau bleu avec laquelle il a atteint la vitesse formidable de milles à l'heure.

Les expertises gbzéfiennés commenceront

dans quelques jours

••••m**»»

Les résultats en seront connns dans une quinzaine

Paris, :¡ mars. A l'encontre de ce qui fut annoncé. M. Bayle, chef de l'identité judiciaire à la préfecture de police, n'a point prêté sermeut samedi devant M. Barnaudil, doyen des juges d'instruction. Cette formalité d'usage a lieu cet ,aprèsmidi.

C'est dire que les expertises ne sont point commencées et ne le seront point avant quelques jours, quand M. Bayle aura pris possession des scellés. M. Bayle ne croit pas que les Fradin, s'ils sont des faussaires, ce qui reste à démontrer, aient pu truffor toute une région. .Ni. Bayle est d'avis que, pour être (îétinitif, son jugement devrait porter sur des objets qu'il faudrait j. relever dans le fameux champ des morts, en présence d'une commission impartiale.

M. Bayle s'associe donc à la demandé de M* Campinchi d'une- expertise générale mais on sait que M. Dussaud, pour des raisons inexplicables, a refusé cette expertise.

Les premiers résultats des analyses de M. Bayîe seront sans doute connus dans quinze jours.

UNE CONFÉRENCE MARITIME MONDIALE ?

Washisgtok, 5 mars. Selat des déclaration6 faites par le sénateur Borah, le Sénat américain déciderait avant la fin de In session actuelle de convoquer une conférence mondiale an vue de

La 49e Session du Conseil de la S. D. N.

s'est ouverte hier

••••m*

Genève, 5 mars. Le Conseil de la S. D. X. a tenu ce matin la première séance de sa session. Après avoir arrêté la marche de ses travaux, le Conseil a réglé un certain nombre de questions d'ordre budgétaire et administratif.

Le Conseil a ensuite adopté le rapport de NI. Briand sur le fonctionnement et les résultats de l'Office autonome pour l'établissement des réfugiés grecs.

M. Briand, au nom de ses collègues, a rappelé que le Conseil avait déjà eu l'occasion de féliciter l'Office- pour les brillants résultats obtenus. Enfin., le Conseil a adopté le dernier rapport de la Commission permanente des mandats qui avait trait aux territoires de l'Irak, du Cameroun britannique, du Ruanda Urundi, du Togo, des Iles du Pacifique et du Samoa il a appris avec satisfaction que, d'accord entre les autorités françaises et britanniques, aucune modification importante n'a été jugée nécessaire, des frontières entre le Cameroun britannique et le Cameroun français d'une part, et entre les Togo briotannique et français d'autre part. Le Conseil s'est ajourné à demain matin.

Les mitraillenses hongroises Genève, 5 mars.' Nous croyons savoir que l'affaire des mitrailleuses de Saint-Gotthard ne viendra pas devant le Conseil avant mercredi matin. Les affaires polono-lithuaniennes Genève, 5 mars. Dans une séance secrète, le Conseil 6'est brièvement occupé des affaires polono-lithuanlennes. Le ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas, M. Belaerte van Brbkland, qui fut le rapporteur de l'affaire en décembre, a été prié de faire au coure d'une prochaine séance une communication à ses collègues a ce sujet. Il a accepté, ce .qui prouve qu'il ne se désintéresse aucunement des suites de

LES WAHABITES

MENACENT D'ENVAHIR LE SUD DE L'IRAK

20.000 indigènes bien armés ¡ sont prêts à entrer en campagne ♦iii*iii*(ii*

Londres, ô mar*. 1.11s nouvelles qui arrivent du littoral du golfe Persique deviemnent inquiétantes. (un port situé sur lo golfe Persiqm?. qui sert de base aux force." aériennes britanniques) confirmant que d'importants rassemblements indijjè•if? ont lien dans l'intérieur du • Nejil.

Dec personne» arrivé.* ù Koweït confirment qu'au moins 2U.000 indiglènes bien armés sont prêts. il enuer eu campagne. Dans ces' conditions, les autorités britanniques ne peuvent compter exclusivement sur les esca(trilles d'avions et les tanks dont un diepose sur les lieux et ou annonce qu'un bataillon de ;:urkas indiens est déjà parti comme premier renfort.

Ces temps derniers, Irs furces aériennes 'britannique.; ont opéré arec vigueur contre les rassemblaments indigènes, dont 800, dit-on, auraient péri au cours (le leurs bombardements.

Certaines informât ions disent que Ibn-Saud, roi du Hedjaz et sulta.n des Wahabites, irrité de ces massacres, favorise la rébellion et fournit des armes et des munitions aux Wahataites.

D'antres nouvelles apurent, au contra.ire. qu'il est impuissant, à empêche. le soulèvement qui vise conquérir le territoire de Kowiet et à envahir le sud de l'Irak.

DEUX COLLIERS DE PERLES FINES DISPARAISSENT

Le montant du vol s'élève

à 250.000 francs

PaRIS 5 mars. Le 27 fév,rier dernier, Mme Bertrand de Henseler, fllle de, :\1. Souza Dantas, ancien consul général du Brésil à Paris, inspecteur de6 consulats brésiliens en Europe, demeurant 32, rue Haineliu, 6'était rendue en taxi de son domicile à la place de l'Etoile, de là en métro place Pigalle et enfin de cette dernière place, à pied, jusqu'au 21 de la rite Henri Monnier.

A (Ce moment, Mme Bertrand de Henseler s'apeTçut qu'elle avait perdu ou qu'on lui avait subtilisé deux colliers de perles fines représentant 250.000 francs. Ces deux colliers montés avec d'anciens colliers de famille comprenaient le premier 67 perles avec un fermoir formé de demiperles, l'autre 120 perles plus petites. Mme Bertrand de Henseler a signalé le fait à la police judiciaire. M. Barthélémy, commissaire divisionnaire, a été chargé d'ouvrir une enquête.

« L'OUEST-ÉCLAIR offre à ses lecteurs

deux nouvelles chroniques Une chronique scientifique et une causerie médicale N'Or lecteurs seront heureux d'apprendre que nous publieront désormais chaque semaine, le mardi, soit une Revue scient iflqup. soit une Causerie méflirale.

La chronique scienCittque sera te. nue par M. Jacques Boyer, très connu dans les milieux scientifiques.

Des a sortie de la Sorboune, M. Jacques Boyer Parisien de Pa.ris • cunàacre sa plume alerte j. la vulgarisation des sciences et ne tarda paf à devenir, grâce à la eùreté des informations, un journaliste technique apprécié. Depuis plus d'un quart de siècle, il collaùore à de nombreux périodiques français on étrangers (La Sature, l'Illustration, la Revue scientifique, -la Science et La rie. etc. Attaché a la rédaction du Nouveau Larousse illustré ,il il y a signé d'importants articles sur l»s science exactes. Enfin, parmi ses divers ouvrages, nous signalerons eon Histoire des Mathématiques fréquemment consultée, car on y trouve une foule de renseignements intéreÊèants sur la science 'des Euclide et des Newton. f.e pasé professionnel de notre nouveau collaborateur nous est un sûr garant: que nos lecteurs sauront apprécier ses chroniques scientiflquea bi-mensneilles.

Notre Causerie médicale sera assurée par Mme le doctoresse Suzanna Deju~t, femme de Mme la doctoresse Suzan,ne Dejust, femme de M. L. H. DejikM. (le l'Institut Pasteur. chef de laboratoire à la faculté de médecine. Mm>» la doctoresse Dejust a publiés, de 1913 à se jour, les nombreux trn^ vaux qui l'ont fait justement apprécier du monde savant. Citons notamment ses études sur le métabolisme dans le diabète sucré, sur la tubersur l'évolution On sens atimentaire, sur la transmission des maladies contagieuse*, etc. rtr. Outre cet, travaux médicaux, la doctoresse Dejust a publié quelque* essais purement lifitéraires L'Hôte. du Sauvage » .Le Riche sur l'Escalier • Symphonie domestique •, etc. qiri révèlent un grand talent d'écrivain.

Lire aujourd'hui en page la première chronique scientifique de M. Jacques BOYER.

MANIFESTATION D'AMITIÉ FRANCO-ITALIENNE

Romk, 5 mars. Le départ du détachement de chasseurs alpins français a donné lieu à une émouvante manifpstation en l'honneur de la France. La détachement a été accompagné jusqu'à la gare par une compagnie de grenadiers dont la musique jouait la Mar- seillaise.


SCÈNE DRAMATIQUE AU PROCÈS

DU TRAITRE LAPERRE LA FEMME DE _L'ACCUSÉ' S'ECROULE, EVANOUIE A LA BARRÉ DES TEMOINS Paris, mars. Nous avons pu mesurer aujourd'hui tout à loisir les lpntes dégradation? que la tension. nerveuse, que l'aneotee-p, que la peur peuvent imprimer sur un vitajre d'homme. Depuis samedi, le traître Laperre semble avoir vieilli de dix ans. Les coups dont quinze témoins l'on accablé lui ont laissé un tremblenrent continu des mains, un fré: nussemem rapide des paupières. L'avocat général Pholieu, de la Cour de Bruxelles, qui fut chef du oo«tre-espionnaKe belge pendant la gn«Tre va l'achever cette fois. Après trois témoins accusateurs, il dresse sa silhouette impérieuse à la barre. Pendant vingt minutes, iJ nous conte l'épopée admirable des patriotes passent la frontière par milliers, traques par les «épions allemands et bel26.000 jeunes gens

Viagt-six mille jeunes cens ont pu ainsi rejoindre les armées, d'innom- brnbles agents du contre -espionnage ont pu remplir leurs missions sans trêve Ce sont oes derniers que les AlVinands recherchaient avant tout. C'est pour s'emparer d'eux qu'ils .achetaient «?i cher la dénonciation des organisations chargées du « pasApres M. Pholieu, on entend les temoms à décharge. Quelle malencontreuse idée a eu l'avocat de Laperre de tes faire citer! Leur audition tourne fi la confusion du coupable. Le premier d'entre eux est un gentleman barbu. sanglé dans une jaquette étroite, dont le nom est vraiment trop compliqué pour pouvoir être reiftiu. Ot étrange personnage vient accuser M. Istas, le héros ltelge qui fateatt passer la frontière aux Prisonnim,- due l'avoir dénoncé.

Mais Istas, lui

Le témoin. Je n'ai pas entendu dire que Laperre ait fait arrêter qui que ce soit. Mais Istas. lui, m'a fait aller en prison. Les Allemande me l'ont dit

LE président Wabraik. Vraiment, \'c«g pensez que s'il vous fût dénoncé. les Allemands auraient brûlé aussi naïvement leur indicateur L'AVOCAT GÉNÉRAL GAZIER. Et savezvous, monsieur, qu'Istas a été condamné à 11 ans de travaux forcés par les Allemands ? (Sensation).

Le témoin qui viiait ensuite dissipe l'atmosphère de gêne que oette déposition a fait naltie.

« II a essayé de m'avoir » » Tétais enfermé avec Laperre au c«jnp d'Holtzmindfn. On m'avait prévenu que c'était lui « mouton ». Il a pesayé de m'avoir. mais j'ai été plus malin que l il ne m'a pas eu iJtflarité). Avouez que comme témoi;:nage à décharge, tout ceci est assez réussi! 1

Un brave homme de 68 ans ef=* venu tout exprès du fond du pays flamand pour demander à être entendu à titre de témoin. Il explique son arrestation pendanx la guerre, raconte' une histoire interminable de tramway, d'estaminet que le président, impatiente, coupe brusquement.

LE Président. Qui vous a déroncé T

Lz témoin. Deux Allemands.

LE Président. Connaissez-vous Tjiparrc? Avez-vous entendu parler de lui T

LE témoin. Non 1

Le PRÉSIDENT. Alors, que venezvous faire ici ? (/lires).

Mince et blonde, Mme Laperre Mmoe et blonde, L?s yeux bleus, serrée dans un petit manteau marron une toque marron enfoncée très bas sur le front. Mme Laperre, femme de I'accu&é. est alors appelée. Sa parenté lui interdit d<f prêter serment, elle ne peut être entendue qu'à titre purement indicatif. Laperre a insisté pour qu'elle fût convoquée après tes témoira à décharge. Elle se tourne vers les jurés. ouvre la bouche, demeure un instant immobile. puis vacilK sur elle-même, et roide, figée, s'abat lourdement en arrière, évanouie.

L'émotion l'a foudroyée Tumulte, affolement On crie Un médecin •, on s'empresse. Un garde municipal athlétique la saisit dans ses bras et l'emporte. Cependant, on entend le président qui s'exclame

Up supplice affreux

« Laperre inflige eu ce moment à sa femme un supplice affreux et inutile C'est d'une cruauté sans nom 1 Mme Laperre ne peut apporter aucune lumière- nouvelle aux débats 1 ». Cependant l'accusé, la tête appuyée de tolu son poids sur le bas-flanc, sanglote. comme un enfant qu'écrase un trop lcurd chagrin. Si ses crimes n'ét.-ii Il! de ceux qu'on ne pardonne pas. il ferait pitié; ce n'est plus qu'un ma'h*iireux à bout de forces. L'audience est iev: au milieu d';i>' vive émotion. Mine Laperre spt».t-ells «'ntenvtue deniain tout de uiê- me 7 Oui, oui affirme Laperre à tra- vers ses larmes, Il sent tout ce qu'une scène dramaS<pv peut à nouveau produire sur les nerfs sensibles des jurés.

La «prise est renvoyée à 13 heures. Plaidoirie, verdict, arrêt se suivront coup sur coup.

J. Lefebvbe.

L'ASSASSINAT

DU COURTIER EN DIAMANTS Il y a Truphème et Traphème.PARIS, 5 mars. La police mobile et la police judiciaire continuent dans les milieux diamantaires leurs recherches dans l'espoir de retrouver la piste de l'assacsin de Il. Gaston Truphème.

La police mobile reçoit chaque jour de nombreuses lettres lui signalant diverses pistes qui sont toutes vérifiées.

Ce matin, les policiers ont procédé, dans une banque de la rue Chauchat à l'ouverture du coffre-fort ne 550 appartenant à Mme. Vansseveren et dont Truphème avait la clef.

Cette opération n'a donné aucun résultat. Les quelqu es papiers trouvés à l'intérie/ur n'on pas d intérêt pour l'enquête. Des formalités sont en cours pour obtenir l'ouverture du coffre 656 qui appartient dans la même banque à Truphème lui-même. Dans la matinée, les enquêteurs ont eu une émotion. Il. apprenaieni par téléphone qu'un jeune homme d'une trentaine d'années s'était présenté au commissariat de LevalJois pour demander un passeport à destination de l' Allemagne au nom de Truphème. On pouvatt supposer que l'assassin essayait de gagner l'étranger en utiTisant les papiers de sa victime. Encore que ç eut été de sa part une singulière imprudence, l'inspecteur Lhuillier s'en fut en automobile vérifier cette indication. Et la vérification a encore fait tomber ce semblant de piste.

Le jeune homme au passeport s'a.ppelle bien Truphème. I1 est parfaitement honorable, frère d'un industriel qui habite rue Chevalier, à Levallois. C'est pour ses affaires qu'il veut se rendre en Allemagne.

Les obsèqnes du courtier Pabis, 5 mai1-. Les obsèques du courtier en diamants, Gaston Truphème, ont é1é célébrées cet aprèsmidi au milieu d'une aiTluence considérable. Le cortège s'est mis en marche à 14 h. 30 devant le domicile de la victime, 2, rue de la Bourse. Les restes amenés de l'Institut médico-lé- gal dd.ns un fourgon, furent transférés, en pleine rue, dans le corbillard et bientôt recouverte d'une multitude Le cour* n es et de gerbes offertes par la famille. les camarades du défunt, ees employeurs et le personnel et les Journal i£te«. du Sénat où M. Truphème père occupe Je« fonctions d'huiRsieT. Ces obsèques en plein centre de Paris; à' vingt mètres de là bourse des valeurs, dom la rumeur n'avait pas cessé. à une heure où la circulation est particulièrement in*°n&e, avaient provoqué une telie affluence, qu'un long embouteillage s'en suivit, qui n'avait pas encore pris fin alors que déjà le corbillard se dirigeait vers le cimetibre de Bagnew où aura lieu l'inhumation.

RENSEIGNEMENTS UILITAIBBS Recrutement sursis d'Incorporation rê forme pensions etc. S'adresser è Ramu'. Ooest-Eclalr, Rennes. Joindre t franc en timbres-postp pour la réponse

CHRONIQUE iiiiiiiimiiimiiiiiiiiiiiiiimi

La lutte contre les sauterelles, qui menacent actuellement le Maroc, s'organise de façon scientifique. Comment on pèse la terre. Une école technique ambulante le wagon d'instruction de fa Compagnie d'Orléans. iiiiiniiiiiiiiiiit

Les Criquets pullulent de nouveau dans le, Suri marocain. En nuages serr.;s, ils s'abattent sur le sol africain, mais on cherche à les arrêter mm. qu'ils aient franchi les hauts plateaux de l'Atlas. La lutte contre la vorai'c engeance, dévastatrice des récolles, peut d'ailleurs, s'organiser maintenant de façon rationnelle et scientifique.

L'arme la plus anciennement employée contre les criquets ou Sauterelles est l'appareil cypriote, dont on se sert, lors des grandes invasions, sur de vastes territoires peu peuplés et peu cultivés comme l'Algérie, la République Argentine et le Turkestan, par exemple. Cet engin de capture, dû à Ricardo Mettei, colon italien installé à Chypre, et plus ou moins modifié depuis son invention, se compose de longues pièces de toiles de 60 à 90 centimètres de .largeur, garnies latéralement de toi.le cirée. On déroule ces bandes sur le terrain en tes fixant verticalement au moyen de cordes maintenues par des pieux, de distance en distance. On dispose la bordure en toile cirée en haut et on enterre un peu la bordure inférieure de façon à constituer des barrages en V ouverts aux colonnes de sauterelles que l'on chasse vers la pointe, où une fosse se trouve creusée. Quand les insectes sont tombés en assez grand nombre dans ce trou pour le remplir à peu après, on les piétine. On y ajoute parfois du sulfate de fer ou de la chaux vive que l'on recouvre de terre. A quelque temps, on enlève la masse à la pelle et on peut l'utiliser comme engrais.

Mais la méthode acridicide la plus en vogue actuellement est la destruction des larves par le feu, au moyen de pulvérisateurs portés à dos d'hommes ou sur des véhicule spéciaux. Dans le département d'Alger et au Maroc, on utilise surtout les lance-flammes modèles P 3 ou P 4 de l'armée française. Un genou en terre, l'opérateur balaye le sol non cultivé avec le jet enflammé. Les criquets en marche périssent soit par l'action de la flamme elle-même, soit par suite du rayonnement imméd:at de la chaleur, soit par les produits de la combustion de l'huile lourde de houille. On opère de très bon matin, afin de surprendre les bestioles engourdies par la fraîcheur de là nuit. Avec un appareil contenant une douzaine de litres, un homme expérimenté balaye quotidiennement une surface de 200 mètres carrés environ. D'ordinaire; on met en batterie edmultariément deux ou trois lance-flammes qui cnnrrent ep peu de temps une zone de 1.000 mètres. Malheureuse- ment, on ne peut- guère traiter, de cette manière, que des steppes et des landes stériles.

6.000 milliards de millions de tonnes

D'après M. Paul-R. Heyl, le poids de notre planète est d'environ 6.000 milliards de millions de tonnes.

Plus audacieux qu'Archimède l'érudit métrologiste du Bureau of Standards », des Etats-Unis, se propose de à peser ia Terre au moyen d'une délicate machine qu'il vient d'installer tout bonnement dans son laboratoire de Washington, sans chercher le moindre point d'appui en dehors de notre boule ronde

Après divers savants, tels que Cavendish, Boys, Braun et le baron EotTOS, M. Heyl tente de résoudre ce difficile problème afin d'éliminer autant que pcssible les causes d'erreurs expérimentales de ses devanciers. Son dispositif rappelle, du reste, les balances de Boys et du jésuite bohémien Carl Braun. Son pendule de torsion se compose d'une légère tige d'aluminium suspendue en son centre par un très mince filament de tungstème et portant à chacune de ses extrémités. une petite boule d'or. L'ensemble du système oscillani est enfermé dans une cloche de verre où l'on fait un. vide très parfait afin d'empêcher les courants d'air pendant les pesées. En dehors de ce vase hermétiquement olos, se trouvent deux cylindres d'acier rattachés chacun par trois bras métalliques rigides aux

extrémités du fléau de la balance. On peut approcher ou éloigner ces masses attirantes d« la petite balle d'or et calculer, d'après les. oscillations du pendule de torsion, les forces attra<>,ives correspondantes. Un petit miroir, attaché au fil de suspension, réfléchit les rayons d'une lampe électrique sur une échelle divisée sise à quelque distance de la cloche et faellite les mesures.

M Paul-R. Heyl met actuellement au point son délicat appareil, installé dans une cave située à 35 pieds (10 mètres 66) au-dessous du sol afin d'éviter les perturbations extérieures. Son pendule de aorsion. est, en effet, d'une sensibilité extrême, car la présence d'une personne l'influence à dix mètres. Aussi, dans ce' temple souterrain, la nouvelle machine américaine à peser la Terre sera à l'abri des importuns et elle nous dira dans trn au deux ans si, comme le croit actuellement son savant « conducteur », d'après les premières mesures qu'il a faites, le poids de notre globe atteint bien 6.000 milliards de millions de tonnes », ou s'il dépasse ce nombre colossal, beaucoup trop fort pour dire quelque chose à notre faible entende> ment Loin de nous, d'ailleurs, la pensée de regarder comme vains de tels travaux. Indépendatr. nent de son intérêt astronomique, la détermination de plus en plus exacte de la constante newtonienne de la gravitation nous fournit de très précieux renseignements sur la constitution générale de l'Univers, et sur la composition de l'écorce terrestre. Nos ingénieurs, se servent couramment aujourd'hui de la balance d'Eotvos pour étudier, par exemple, des phénomènes volcaniques, suivre les mouvements de crue d'un fleuve ou prospecter des terrains.

Le wagon du P. O.

La compagnie du chemin de fer de Paris £. Orléans possède un. original wagon d'instruction. Cette école technique ambulante a pour but de compléter les cours par correspondance, organisés pour les chauffeurs, les mécaniciens" les contremaîtres des itcliers de réparations ou autres agents du matériel ou de la traction.

Piloté par un savant technicien, cette roulotte », d'un genre très spécial, se compose d'un wagon ordinaire et d'un fourgon de baguages transformés en vue de leur destination. La première voiture se change tour à tour, en école, en salle de conférence ou en laboratoire de mécanique appliquée aux chemins de fer. Grâce à son remarquable agencement, aux m.odèles, aux organes de.locomotives, aux .tableaux et aux coupes' schématiques qui s'échelonnent des deux côtés, du véhicule ainsi qu'avec l'aide de

pièces plus petites remisées en cours de route dans le fourgon., le professeur initie aisément les diverses catégories d'agents au fonctionnement des machines.

-Pénétrons maintenant à l'intérieur du véhicule et commençons par admirer l'ingéniosité de son constructeur qui. sur une plateforme suspendue au plafond en cours de marche, a installe un chemin de fer lilliputien. Au moyen d'un système de poulies et de 4 câbles d'acier portant des cont.repoids, on. peut descendre, à hauteur d'homme, ces voies ferrées, ces gares, ces postes d'aiguilles et ces bras de sémaphores en miniature.. Aussi chauffeurs, mécaniciens ou contremaîtres confortablement ai=is autour de ces organes de trafic et de signalisation, se rendent compte des rouaees multiples que nécessitent la marche réelle des trains et l'exploitation d'un, réseau. Visitons encore le fourgonannexe, dans lequel or a ménagé une pièce avec bureau-bibliothèque, lit et lavabo pour l'instructeur.

Durant les haltes du convoi, ce « cheminot-professeur apprend aux débutants leur difficile métier ou examine les agents laborieux et intelligent? proposés pour l'avancement. Parfois enfin, on transforme le wagon d'instruction en un petit amphithéâtre où une quarantaine d'auditeurs peuvent venir écouter une eausuie soit sur une nouveauté technique récente, soit sur un sujet d'actualité générale.

Aussi, indépendamment de son bnt pratique et utilitaire, cette école technique am6ulante est une création intéressante au point de vue social, car en fournissant aux employés subalternes de la compagnie les moyens dt s'instruire, elle élèvera forcément leur culture intellectuelle.

Jacques BOYCR..

Le service postal aérien France-Amérique du Sud Le courrier Toolonse-Baenos-Aires eat en panne, croit-on,

entra Agadir et Port-Etienne PARIS, 5 mars. -On a des nouvelles des deux courriers partis l'un, jeudi dernier de Buenos-Ayres à destination de la France, l'autre vendredi dernier de Toulouse ,pour l'Amérique du Sud. On avait cru tout d'abord, par suite d'une confusion de télégrammes, que le lieutenant de vaisseau Pferis pilotznt un hyydravion' et arrive à StLouis-du-Sénégal avait repris samedi le courrier de Toulouse, arrivé luimême à Saint-Louis pour le déposer à Pcrto-Praia (Iles du Cap-Vert) à bord d'un a*iso rapide franchissant l'Atlantique des Iles du Cap-Vert à Natal. Mais les télégrammes avaient confondu hydravion et avion. L'hydravion était bien arrivé à destination, l'avion point.

Le courrier Toulouse-Buenos-Ayres avait, en. effet, quitté Agadir vendredi dernier vers minuit. Depuis on n'en a pas de nouvelles. On suppose que l'aviateur, victime d'une panne, a atterri entre Agadir et Port-Etienne, dans le Rio-de-Oro.

Pour le rechercher, deux avions pi- lc tés par Jo'ly et Dumesnil ont quitté hier Casablanca avec mission d'explorer la côte, d'Agadir à Villa-Cisne- ros (Rio-de-Oro), par le Cap-Juby. et deux autres avions sont partis de Port-Etienne afin de procéder aux recherches entre Port-Etienne et Villa- Cisneros. Ce n'est pas la première fois que le fait se produit depuis que la ligne Casablanca-Dakar est mise en service, mais il prouve les difficultés qui existent dans ce secteur Agadir- Port-Etienne, où le désert côtcle la mer ou sur un parcours de I.VjO kilomètres.

Les stations de dépannage ne sont qu'au nombre de deux, Cap-Juby et Villa-Cisnerps. sur un. sol é;ranger et où il est impossible d'installer des postes radiotélégraphiques. On conçoit donc qu'il serait périlleux pour l'instant de créer un service de voyageurs et que les organisateurs ont bien 'ai; de résister au.: suggestions qui leur ont éié faites à ce sujet. Quant an courrier Buenos-Ayres-Toulouse, il e- actuellement en très bonne voie d'£. heminement. Les sacs postaux partis jeudi dernier de Buenos-Ayres se trouvaient deux jours après à Natal 3.200 km. de Buenos-Ayres, où ont été embarqués sur l'aviso Péronne à destination de Porto-Praia (Iles du Cap-Vert). Là ils seront déposés sur l'hydravton du lieutenant de vaisseau Paris et amenés à St-Louis-du-Sénégal où l'avion les reprendra pour les trans porter jusqu'à Toulouse.

UNE ÉPIDÉMIE D'INFLUENZA FAIT DES VICTIMES AU JAPON Tokio, 5 mars. Une épidémie d'influenza sévit dans la métropole. La moyenne des morts est de 58 par jour. Outre l'empereur qui est alité et sa f:lle qui présente des symptômes de. septicemie, le premier ministre souffre de. refroidissement avec fièvre. L'affaire des mitrailleuses de Saint-Gothard

Paris. 5 mars. Le correspondant d'i lournal des Ddbats à Genève télégraphie

An sujet de l'affaire des mitrailleuses de St-Gothard. on envisage la constitution d'une commission essentiellement technique et composée et! majewre partie de civils qui seraient chargés de faire à St-Go<ha.ri1 l'enquête technique que la contrebande des mitrailleuses parait exiger avant tout. Lps négociations aotuellee porterafent cnr le principe de la création de /rtte- commission qn'H convient encore de faire admettre gêné-' ralement.

ÉPILOGUE JUDICIAIRE

D'UN EMPOISONNEMENT Amik>8. 5 mars. Fn juillet du- nier, un pensionnairn de l'aail* d'aliénés de Dury. M. DenoyeUe* décédait, victime d'un empoisonnement causé par l'absorptian d'un* dose de salicylaie de methyle destinée à un autre malade et pous l'usage externe.

L'enquête avait fait constater de regrettables négligences et notamment l'absence des étiquettes rouges < poison ;ur le· floles contenant des médicaments dangerenix. L'iristruction a abouti à rîn<;ulip;ïtîon d» six personnes le Dr Cartnl. médecin-chef de l'asile M. Sauné, chef du service de la pharmacie Ni, Sterbini, interne en pharrnacie Mlle Marguerite Leconrte, aide pré-, paratrice attachée à la. pharmacie^. MM. Ernest Hellen, strrveîBant priacip al, et Justin Simon, infirmier. L'affaire a été plaide le 20 févrie* devant le tribunal correctionnel. Le jugement a été rendu cet après.midi.

Le tribunal estime que le médecinchef Carrlat, le pharmacien Sauné et l'interne Sberbini n'ont commis aucune faute professionnelle et les acquitte. Toutes les responsabilités vont à la préparatrice. Mille I^ecomta, au surveillant HeUeu Pt à l'infirmier Simon mais, étant* donné les praotiques regrettables en usage à l'asila (inscription des médicaments sur une colonne unique pour l'usage interne ou externe, absence d'étiquettes indiquant les poisons, noms illisible* sur les floles, etc.). il ecriste en leur faveur des circonstances très largement atténuantes.

Finalement, ils sont condamna chacun à 25 francs d'axnnde.

Mme veuve Denoyeille, partie ot»tle, qui réclamait une reme de 1S.000 francs, jugée fort efajéré» par le tribunal, obtient 100 francs de dommages-intérêts.

L'antiquaire allemand volait des tableaux 4

Il est arrêté ainsi que 2 complice* Berlin, 5 mats. Un scandale qui provoquera une vive sensation dans les milieux x artistiques a été découvert par la police criminelle <ie Beiw lin.

Le marchand de tableaux bien con* nu, Friedrich W'iîheîm Lippmann a été arrêté dans un hdtel près de la gare d'Anhalt. sous l'inculpation d'avoir participé au vol de deux ta- bleaux religieux.

Lippmann qui, avant la guerre, à exercé les fonctions d'expert à Londrcs est le file de feu le geheimra* Friedrich Uippmann qui organisa le commerce des eaux-fortes à BerlinLes deux tableaux volés ornaient l'ancienne chapelle du château de Kadolzburg, près, de Furth-en-Bavifera. Ils sont attribués à Lucas Cranach et leur valeur est èsGmée à plusieurs centaines de mille marte.

En même temps que Lippntann, qui a fait des aveux, on a arrêté un anttquaire de Munich, Auguste Me-yer. aimsi qu'un cambrioleur âgé de 29 ans, Hermann Zahn.

LE BEAU-FRERE DE L'EX-KAISER SERAIT BIGAME

Vienne. 5 mars. On mande de Bratislava à la Stunde de Vienne La femme d'un employé d'une usirw hydraulique nommée Zubkow prétend être la sœur du mari de.la princesse Victoria -de Schaumburg-Ltppe. Son frère était voyageur de commerce en Russie, il s'y'était marié si bien que l'alliance avec la princesse Victoria constitue à vrai dire une bigamie le mariage contracté en Russie n'ayant pas été dissous. Il y a quelque jours. la femme Zubkow. de pra. tisvala, reçut de son père de Moscou une coupuB» d'un journal russe reproduisant la photographie de ZufcVcow.

Le père avait reconnu dans cette photographie son fils disparu depuis huit ans.

Contrairement aux affirmations de Zubkow qui dit être le fils d'un baron, la prétendue sœur déclare qua son père est maître-cordonnier. L* police a dressé procès-verbal des de'clarations avec la police berlinoise.

Feuilleton de l'Ouest-Eelatr

du 6 mars 1928 10

LA MARQUISE CHANTAL Par B. NEULLIÈS

CHAPITRE III

Rtchard cherchait en vain un livre, une revue, un Journal. Il ne vit qu'une boite à ouvrage sur la table auprès de lequel c la marquise prit place, le petit Eudes s'aeseyant à sas cotés sur une chaise basse.

Les soirées étant encore très fralches à cette époque de l'année, un léger feu de bois brillait dans la haute cheminée surmontée des armes du mnaqnis du Fresnay que l'on pouvait voir également dans toutes les pièoes du château.

Le comte des Alleux invta le précepteur à prendre place dans le fauteuH qui faisait face au sien près du foyer, et il se Tnit à tisonner tout en causant avec entrain.

Notre éclairage doit vous paraitre bien moyenâgeux, mon cher monsieur, 6'éaria-t-il tout à coup en riant, pour un Parisien comme vous, habitué à l'électricité, c'est plutôt déconcertant. Que voulez-vo» 1 Nous sommes des sauvages, none autres, dans notre vieux château, privé de tout eonfort modem». Il faudrait beaucoup

c'est justement ce qui nous manque le plus 1 conclut le vieillard avec bonhomie.

En ce moment la cloche d'entrée résonna bruyamment.

Ah 1 voilà Monsieur le Curé 1 6'écria le comte des Alleux. ça m'aurait bien étonné qu'il ne soit pab venu ce soir, sachant votre arrivée, ajouta-t-il, en s'adressant à Richard. Il est tellement curieux )

Ne médites pas de notre pasteur, mon père. protesta la marquise c'est le meilleur des hommes et le plus saint prêtre que l'on pufese trouver. Mais c'est mon avis répondit gaiement le vieillard. Cela ne l'empêche pea d'avoir ses petits défauts, lui ausfci.

Je suis snr que M. le comte est en train de dire du mal de moi, selon son habitude. 6'écria soudaim une voix ioyeuse.

Et un prêtre d'une cinquantaine d'années, 'au visage énergieque, hâlé par le grand agir, à la démarche assurée, ayant plutôt l'air d'un soldat que d'un ecclésiastique entra dans la pièce.

M. Richard Moranges, présenta le comte, en désignant le précepteur. Mon viel ami, l'abbé Gransait qui meurt d'envie de vous conn4altre, ajouta-t-11, en riant et en s'adrewant au jeune homme.

Parfftitemeiw répondit le Cnré, au serrant cordialement la maint M.

>etit Eudes m'intéresse profondément. Et J'avoue que j'étais très curieux de voir celui qui va me remplacer auprès de lui. J'espère que nous serons bons amis, cher Monsieur, c,ontinua- t-il, après avoir été présenter !:les hom-'mages à la marq-iise. et venant s'asseoir aux côtés de richard

Je n'en doute pas, M. le Curé, répondit celui-ci, séduit par la figure franchement sympathique du prêtre. Une conversation an:mée s'engagea bientôt entre les trois hommes eg au bout d'une heure. Je nouveau précepteur était au courant de tout ce qui touchait à son élève. D'une. façon. c:laire, avec ce tour d'esprit original qui lui est propre, l'abbé Grandsart avait renseigné M. Moranges sur tout ce qu'il désirait savoir, et oe dernier avait acquis de plus la conviction qu'il avait en ce prêtre un allié et un ami tout à la tois.

Jouez-vous aux échecs T interrogea tout à coup M le Curé.

Ah 1 nous y sommes 1 s'écria le Comte, il y avait longtemps que J'ettendais cette question.

Je ne m'en tire pas trop mal, je crois, répondit gaiement Richard. J'y jouais souvent à IJanoI avec un colonel anglais.

Parfait. déclara l'abbé je vals enfin trouver un partenaire.

Et lies traits mobiles exprimaient une satisfaction si vive que RlcSmrd

J'ai essayé d apprendre ce jeu merveilleux à M. le Comte, continua le prêtre, mais il n'y a jamais rien compris

Eh bien et Chanta) 7

Madame la Marquise, qui est la bonté même, a bien voulu s'astreindre à étudier tous les problèmes de l'échiquier pour me faire plaisir, déclara l'abbé Grandsart, H je lui en suis infiniment reconnaissant. Mais, pour elle, jouer eot plutôt une corvée qu'un agrément, et je sera's ravi de lui épargner cet exercice de pénitence I Ah encore ;m* question, mon cher ami ? continua-t-il tout .à coup. sans prendre garde aux protestations de la châtelaine, à propos du jeu d'échec, chantez-vous

La ça y est il va vous enrôler comme chantre maintenant s'esclaffa le comte en riant aux éclats, Chantal, tu n'auras plus besoin de te fatiguer le» cordes vocales dans le Gloria » ni le Credo

Quel dommage 1 déclara Eudes, d'un ton de regret c'es: si beau quand ma mère chante la Messe. C'est entendu, mon garçon, répondit le prêtre, tu n'es pas le seul de cet avis, car plusieurs de mes pasroissiens m'ent déclaré qu'on se croirait quasiment au ciel quand Madame la Marquise nous fait l'honneur de chanter. Mais il ne faut pas abttrscr des meilleures choees et un peu d'aide no parait P»* de («fus à l'oo-

M. Moranges, que l'idée du prêtre amusait franchement, s'écria, en riant de bon coeur Je crains. M. le Curé, de ne pas être à la hauteur de la tâche. Je vous avoue que je ne me su4s jamais essayé jusqu'ici dans la musique religieuse.

II y a commencement à tout, répliqua tranquillement l'abbé Grandsart. Je vous donnerai des leçons. %la- dame la Marquise aussi. A nous deux, nous arriverons à quelojue chose. SQ- rement, vous devez avoir une belle voix ça ne fait pas .de doute il n'y a qu'à vous entendre parler.

Le reste de la soirée se pa&sa gaiement et lorsque Richard se retira, il était enchanté de ses hôtes, du Curé, de son élève, de tout enfin La vis ne lui était encore jamais apparue sous un aspect aussi plaisant.

CHAPITRE IV

Le déjeuner était fini depuis une heure au chabeau du Frewiay mats Richard Moranges n'était pas remonté à son cabinet de travail. il s'aitardait dans la lecture du journal de la région que le vieux Mathieu venait d'apporter, tandis que son élève restait lui aussi, plongé avec délioe dans les péripéties d'un roman d'aventures que lui avait donné la veille son précepteur.

La msrautoe, qui projetait d'aller «̃ «Mao* #ottar et» t«mn à wmI

famille pauvre qu'elle visitait presqad chaque jour, parut en ce moment sur le seuil, de la porte. Elle était vètue d'une toilette de voile gris très simple, mais qui lu! allait à merveiHe. La petite Monique était avec elle, et Richard, qui les regardai* derrière son journal, fut frappé, plus que ja* ma*, de l'extraordinaire ressembla»^ce qui existait entre la mère et M fille.

Me voilà prête je vous attend» Eudes, dit la marquise, en 6'adressant à son fils.

Tom de suite, ma mère, je flnM: cette page..

Et le garçon, sans lever les yerafc continua sa lecture.

Mon petit, quand Madame vota< mère voue appelle. il faut obéir tu*médiatement. Voilà déjà plusieurs foi* que je vous fais des observations à ce sujet. Si vous, n'en tenez pas comp> te, je «rai obligé de'Toue; punir 6«v*» rement.

(A tutvre.)

ECZEMA Ne d*»e«p«r«i plue, i:* Muffi-K plut. GUERISON ASSUREE DE L'ECZEMA TRAITEMENT NOUVEAU appui"»*1" .par le. m»I»<i» sans ebanfcfl v>n «ronn» dn vip ni e«wr son trsTaU. i S'adresser Dermo-MadRfl, il. rue dia 1 Havre. Paris (P). Jotntfre un tnm M


LES INONDATIONS DANS LE MIDI

Un garde et sa famdle bloqués par les eaux

Moktpeluer, b mais. L'inondation dans l'Hérault durcit sensiblement, mais te temps reste menaçant. A Liguait, le garde de l'ije TabarKa et sa famille, bloquée par. les eaux n'ont pu encore être évacues par les 6apeurs du Génie qui, toutefois, ont pu les ravitailler. Le ckômage dans les aunes Dans les cain)>agiitï> cernées par les eaux, ks travaux agricoles out dû être interrompus. No6 minée sont envahies par les eaux et les ouvriers sont réduits au chômage.

A la Commission d'arbitrage et de sécurité

Genève, 5 mars. La Commission J'arbitrage et de sécurité réunie cet après-midi, sous la présidence de M. Bénès a adopté ie projet de convention général de règlement judiciaire d'arbitrage et de conciliation préparé par son Comité de rédaction, ainsi qu'un certain nombre de résolutions ayant trait, notammen'. aux bons offices du Conseil pour la conclu·ion de traités -prévoyant te règlement pacifique de Tous les différends et pour la conclusion de paotes de sécurité.

Uue autre résolutio a pour but de .'aciliter l'acceptation par le plus jraw) nombre d'Etats possible de la ;lause facultative du statvt de la Àur permanente de justice de la Haye relatif à l'arbitrage obligatoire. A ce propos, Lord Cu?hendum a :ni-, à précser l'attifmlo du Gouver•rment anglais qui n'est pas. a-t-il lit. en étal d'adhérer à la clausp faultaiive à cause de sa situation particulière. Néanmoins, le Gouvernement anglais souhaite que le plus :rand nombre d'E*- ts possible, pour lui la chofe se présente plus simplẽienl. signem la dite clause

\a Comté « diVidé d'inscrive à ordre du jour <U- *(̃ prochaine t.e*lon la suggestion allomaiide ayant îoar but de renforcer les moyens de .révenir ta guerre. M. Rolin Jacquenyncs (Belgique) a été désigné comïio rapporteur au sujet de ces propositions quijjeeront envoyées aux iouverneTnents pour o.b&ervations. Enfln, le Comté a adopté une réiliAion tendant à améliorer les loyens de communication de la D. N. en cas de crise.

Le Comité t-enda-a demain sa séande clôture.

Une no fw elle invention le radiotube

Paris, 5 mars. Une information la New-York relate la découverte d'un 'ouveau •- radiotube » capable d'émetre-des ondes courtes cinquan-e fois lus puissantes que les ondes déjà innues. Ce radiotube, dû aux laboatoires de la General Electric Com«any de Shenectady (Etat de \ew*'ork) dégage une telle chaleur qu'il eut faire frire des oeufs, bouillir 'es pommes de terre, éclairer un tube u Néon avec. pour seul contact, les tains de l'opérateur touchant les nz tubes. Ce radiotube mesure i cm. de lon,: et son diamètre est e 10 cm Il est environné d'un filet nétallique, de condensateurs et d'un ompteur électrique. Il opère sur onles de six mètres et chauffe les opéateurs présent dans la pièce.

LAROUSSE MENSUEL

Sommaire du no 258 Mars 1928 Svante-Auguste Arrhenius, par NI.".sston BOUCHENY. Le nouveau SiillPt de banque, par M. Maximilien iAUTIIIER. Paul Bodin. par M. Pierre JEANNET. Commcnt on parle en français, par M. Albert PAUZAT. Elections (le Scrutin d'arrondissement), par M. Max LBGRAND. Nobel (Prix), par M. Henri NOL[,ET. Politique intérieure et extérieure. par Jules GERBAULT. Pologne, par M. Henri GRAPPIN. Le Rayon vert, par M. Lucien RUDAUX. Papiers intimes et Journal du duc Ae Reichstadt, par M. Claude BAR.TAC. Principales applications du sondage, par M. HEGELBACHER. Le mois littéraire, scientifique, théât.ral et cinématographique, musical et artistique, financier, etc., gravnres, 1 carte. Le numéro. 3 fr. 50. En vente chez tous le« libraires et Librairie Larousse, 'fontparnasse. Paris (6.).

Un cultivateur assassiné

Vienne, mars. M. Silvain Petre ,quin, cultivateur à la Chapelle, a et»1 découvert dans son domicile la gorge tranchée. Ses -nains portent de nombreuses blessures qni semblent avoir été faites avec un rasoir, ce qui lais- présumer qu'il a dû y avoir lutte entre la victime et l'assassin. I^e vol semble être le mobile du crime. Le Parquet de Vienne s'est transporté M. DE FONTENAY,

AMBASSADEUR DE FRANCE AUPRÈS DU SAINT-SIÈGE

Rome, 5 mars. Le gouvernement français a désigné pour surréikr à M. Doulfet, rooini« aflibassacje.ur de la République près du Saini-Sifge, M. <*« Fontenay, ancien ambassadeur Ultami Madrid.

Les délais pour les locataires, commerçants et industriels Le Parlement va être saisi d'an projet

organisant la conciliation

Paris, 5 mars La Cummission du Commerce a autorisé NI.' Puecit à déposer son rapjioit sur le texte reçu du Sénat relatif à l'octroi de délais aux locataw»* commerçants et industriels menacée d'espnkion. Ce texte, amende par la Commis- sion, renferme les dispositions suivantes

1. Tous les locataires de locaux commerciaux ou industriels, dont lec baux sont expirés on arriveront :i expiration avant le 30 ju'n 1928, et menacés d'expulsion, pourront appeler en conciliation leur propriétaire, si le locataire ne se trouve pas dans un des'cas formellement exclus par la loi pour avoir droit à une indemnité. Le magistrat conciliateur devra fixer par provision le chiffre de l'indemnité, laquelle devra être versée- entre les mains du locataire un mois avant son départ.

Si le locataire se trouve dans; un d*s cas formellement exclus par la loi pour avoir droit a une indemnité il sera maintenu dans les lieux loués pour un temps qui nf pourra être inférieur à deux mois.

Les ordonnances rendues seront susceptibles d'opposition et d'appel. Cet appel sera jugé par les Chambres temporaires créées par le décret du 11 décembre 1926

Dans tous les ca.s. le juge des référés pourra accorder d-- délais de grâce snpplémeiitaue* par application de l'article du Code civil. UN INSTITUTEUR

ASSASSINÉ

Les élèves, en arrivant à -récole, découvrent leur maître,

tué à coups de hache

Metz. 5 mars. A Sainte-RuRtae, petite localité située à 7 kilomètres de Menz, les enfants n'ayant pu entrer en classe ce matin, prévinrent les voisins qui ouvrirent la porte de la maison d'école.

Dans la salle de classe, on trouva l'instituteur, M. Osbild, tué à coupe de hache le corps était ligoté à l'aide d'un fil de fer.

L'insUtcrteur était célibataire. On ignore encore dans quelles conditions il a été assassiné.

Le crime dut être commis

dimanche soir

Metz, 5 'mars. L'assassinat de M. Ocbild, instituteur à Sainte-Ruffine, a dû être commit', présiune-t-on, dans la soirée d'hier dimanche.

M. Osbild était rentré chez lui hier vers 20 heures. Le meurtrier s'était sans doute introduit dans la maison d'école où il s'eet tenu caché. La hachette avec laquelle il a fendu le crâne de sa victime a été retrouvée dans un trou de la cheminée. On se s'explique pas comment M. Osbild avait pu avoir les mains liées. Le vol n'a pas été le mobile du crime car le. portefeuille de l'instituteur a été retrouvé sur son lit qui n'était pas défait

L'ASSASSINAT

DU COURTIER EN BIJOUX Une nouvelle piste

PARIS, mars. On annonce que les, policiers ont reçu, cet après-midi, une indication des plus intéressantes concernant une relation de M. Truphème. Cette nouvelle piste, qui est activement suivie, pourrait bien amener très prochainement un dénouement einattendu à mystérieus affaire de l'assassinat du courtier en bijoux. L'ODYSSÉE D'UN BOY-SCOUT PARISIEN

J.r. IJavrf. ciars l'il ¡.scout parisien. Roger Hvrsi o •c: Agé de 12 an=. qiil!ta:t n~ jutirsoi. le domicile dr ses pariTits. habitant dans le lt!° arrondissement, 1;, rue FerdinandFlooon, emportant mu '-̃•mmo de 500 francs iijjparknan-t à s:i famille. Le jeune garrot) se rendait' alors à la giire .Sa.int-l.az ire. prenait le premier train pour I.n Hav où, dès son arrivée. il faisait de grandes promenadps dans Ie pon ''t datif- cité. Il gntfnaJt ensuite llarfleur. achetait daiif. celik ville un bicyclette qu'il payait S3ft francs, puis se riirgeaîi sur Férsmp où il arrivait sans un son Alors le jeune Rnrer .'ssa\.a de vendre sa mai'hiiif Il l'offrit pour francs à M. garagiste. Ci,lui-fi trouvant la propo?-i;i< n nar trop avantageuse, en informa les gendarmes uni rejognirent je gamin et l'interrotrèrent. Apre- ses aveux, il a cW remis 8<ix maip^ de r-a mère qui avait tk mandée par la police.

LA GUERRE EN CHINE Londres, mars: Selon le correspondant du Times à Changhaï Chang Kaï Chen a démenti que les armées sudistes aient teiiiê de négocier avec 1'1.in. Il a ajouté que l'offensive contre l.rs Nordistes serait déclenché*

LES CONTINENTS

SE DEPLACENT-ILS 1 Les résultats de l'opération des longitudes mondiales Paris, 5 mars. U' général Ferrié a communiqué cet après-midi à l'Académie des Science. let recul-.tats d'ensemble de l'opération des longitudes mondiales, dont il avait présenté le projet en 1919 et qui a été exécutée en octobre et novembre l'J2b par les suin, d'une comlnission internationale dont il est le président. Cinquante-deux observatoire, ré partie sur toute la terre et apparte1 liant à trente nation., différentes, ont pris part à cette opération.

Trente et une émissions radiotélégraphiques spéciale étaient faites chaque jour par neuf posUï diffémnts. Les résultats actuellement connus ont une baute précision et les ̃position», géographiques des points considérés ont été déterminées avec une approximation de 1 à 2 centièmes de seconde de temps. L'eréeur sur chaque position est donc infé- rieure à 5 ou 6 mètres.

En recommençant l'opération dans quelques années, il sera donc également possible de vérifier si les continente se déplacent les uns par rap- port aux autres comme le pensent certains géologues.

Les Elections polonaises Varsovie, 5 mars. Les résultats des élections connus à six heures du matin accusent le succès général de la liste de collaboration gouvernemPntale dans les arrondissements centraux Pt orientaux.

Le succès de la liste de collaboration Rouvernementale est particulièrement à noter dans les vqïvodies orientales où la plupart des minorités avaient réalisé le front unique. L'INCINERATION

DU ROI DU CAMBODGE Pnom-Penh, mars. Les cérémonies précédant l'incinération du corps du Roi Sisowath ont commencé vertdredi par la translat.ion de la dépouille du souverain.

UN DiSCOURS PESSIMISTE DU COMTE BETHLEN

Debreczen, 5 mats. Le comte Bethlen, président du Conseil, a pronooeé un discours après avoir insinué que la Petite Entente est un obstacle à la paix, il a dit

La paix européenne n'est pas assurée définitivement par les traités actuels.

· Les Etats vaincus ne peuvent pas accepter de pactes de garanties qui stabilisent des frontières injustes. La Hongrie ne peut pas se joindre à un bloc économique ou à une confédiératuiam du Danube, parce que cela signifierait l'abandon de ses intérêts économiques. On n'a pas favorisé le développement d'urbe atmosphère pacifique en enflant des incidents du genre de celui du Saint-Gotthard. L'accusation portée contre nous d'avoir fait disparattre le corps du délit est sans fondement. >

UN COMPLOT

CONTRE LE PRESIDENT GALLES ET LE GENERAL OBREGON Mexicc, 6 mars. Un nouveau complot contre la vie du président Galles et celle du général Obregon a été découvert.

LES RAIDS AÉRIENS Costes et Le Brix sont arrivés à Chicago

CHICAGO, 5 mars. Les aviateurs Costes et Le Brix ont atterri à 14 h. à l'aérodrome municipal.

Chicago, 5 mars. une nombreuse foule attendait Costes et Lebrix il l'aéroport. Le représentant du maire, le consul de France et le personnel du consulat étaient présents. La foule a fait un accueil chaleureux eux deux aviateurs. Une réception pubrique a eu l:eu ce soir au consulat. L'avion conrrier Amérique du Sud est retrouvé

PARIS, 5 mars. L'avion-courrier Amérique du Sud, forcé par la brume d'atterrir en route, est arrivé à Villacisneros, ce matin, à 11 h. 20, repartant aussrtôt pour Saint-Louis. D'autre part, l'avion remontant, parti de Buenos-Aires, jeudi matin, est arrivé à 'Pernambouc, samedi aprèsmidi et le courrier a pris, à 17 h. 10, l'aviso spécial, à destination de Por: Io-Praya.

LES FAITS DU JOUR

1 heure, un à bnrd du • Béarn Toulon, âgé de 22 ans, Henri Gillot, qui se trouvait en permission chez sa gran'mère habitant Dijon, a été frappé d'un coup de couteau, au moment oÙ il sortait «l'un brr, par le nommé Girard, âgé de 17 ans, bisruitjw, habitant Dijon. Le marin, blessé au côté, a été transporté à l'Hôpital où il

Deux assassins condamnés à mort. MpNi'BRisoN, 6 mars.- Jacques Montagrtbn et Joseph Allier ont été condamnés à la peine' de mort, par la Cour d'Assises de la Loire, pour assassinat. On sait que Jacques Montagnon assassina son oncle, avec son complice, dans l'intention de le voler. Ce meurtre ne ra'nnortii aux criminels qu'une somme insignifiante.

Fugue de lycéens. LE HAVRe, 5 mars. Deux internée du Lycée Louis Le Grand, ir Paris, âgés de 18 et 16 ans. qui étaient sortit du Lycée. ce matin, à 9 heures, ont pris Le train à la. gare Saint-Lazare. Ils sont arrive* ¡ au Havre à 11 h. 2U, u'ayant plus que quelques sou^ en poche. Un agent les a conduits au commiceariat de police. On ignore la raison de leur fugue. Incidente à'Vienne.- Vienne, 5 mars. Une bagarre s'est produite dans un faubourg de Vienne, enire ninuifesfiius cormiiiuiisits et la police. Il y a eu des blessés. 7 arrestations ont. été opérées.

Le krcnprinz en Italie. Il 5 mare. Selon les journaux, l'exkronprinz, d'une nom r breu.;e suite, séjourne incognito à Torre-Anniin'ziata, près de captes. où il restera un mois à la Villa FiInngert.

Le maréchal pétain fêté en Italie. Rome, 5 mars. Le Roi a offert hier un déjeuner en l'honneur du marachat Pétain, du mari'diiil Cornez da Costa et du général belge du Bois. M. Mussolini assistait à ce déjeuner Condamnations capitales en Soviétie. Moscou, 5 mars. Le tribunal de 'l'iraspol, jugeant l'affaire des Roumains accusés d'espionnage, a prononcé six condamnations à mort et 19 à des peintes d'emprisonnement. Collision d'aéros cinq tués. SA!) Diego (Californie), 5 mars. Un avion voulant éviter une collision avec un autre aéroplane sur le point d'atterrir à l'aérodrome, a viré brusquement et est tombé. Il v a cini| tués. Le Légionnaire. BERLtn, mars. Depuis quelques jours un joue, dans un grand cinéma de Sertit), un film intitulé « Le Légionnaire qui dépeint, souf des c'ouleurs d'exngérations aussi romanesques que fa.ntaisistes, les souffrances d'un Allemand 'engagé dans la légion étrangère français.

La situation en Egypte. LE Caire. 5 mars. la situation politique est des plus incertaines. Lord Lloyd, haut commissaire d'Angleterre, a conféré ce matin avec le roi Fouad, mais ce dernier n'a encore convoqué aucun homme politique égyptien. A la réunion Miterai qui doit se tenir oe soir, les libéraux décideront rrobahlement de se retirer de la coalition.

EN QUELQUES LIGNES PARIS. Certains bruits inexacts ont couru sur l'état de sainte de M. Caillaux. En réalité, l'ancien président du Conseil a été légèrement souffrant de la grippe. Il est maintenant complètement rétabli.

PARis. le Sa.int-Siège vient de donner son agrément à la nomination de M. de Fontenay, au poste d'ambassadeur près le Vatican. PARIS. Le président de la République a visité, oe matin, l'exposition de peinture et de sculpture organisée par Je Cercle artistique et littéraire. Lyon. Ce matin, M. Herriot, maire de Lyon, ministre de l'Instruction publique et M. Bokanoweki, ministre du Commerce, ont présidé l'ouverture de la foire de Lyon, qui se tiendra du 5 au 19 mars.

LYON. Le Congrès national des bois et de leurs dérives' a tenu sa première séance sou.' Il présidence de M. Le Trocquer

Chalons-sur-Marne, 6 mars. On annonce que M. Mayriseh, président du cartel de l'acier, à Luxembourg, a été tué dans un accident d'automobille.

Boulogne-sur-Mer. M. Seymour Smith, sujet britannique, a été tué dans un accident d'automobile^ Fifalake (Saskatchewan). Une ferme a été détruite par un incendi. Six enfants ont été carbonisés. Rom«:. Contrairement à certaines nouvelles répandues à l'étranger, l'état de D'Annunzio n'inspire plus aucune inquiétude. Le poète a passé une nuit parfaitement calme.

Rome. Le marchai Pétait» s'est nendu, matin, sur la tombe du Soldat inconnu.

Le Temps oïl fait' Aujourd'hui 6 mars Sainte Colette Soleit. Lever 6 h. coucher 17 h. 40 Lime. Lever 17 h. coucher 1 h. M P»ri.< à mars Situation probable le 6 mars, Une bai5s» de in mb? couvrira les parages Su<1 de la Baltique, s'étendant sur Norvège. Danemark. Nord Tehèra-Slovaquie. Nord Pologne –6 à –7. Une autre baisse de -5 à –7. s'établira sur l'Ouest de l'Islande, tandis qu'une bau9î« de +5 à +7 recouvrira le Nord de la Scandinavie. Partout ailleurs, les varia.tions seront faible^ ou nulles. En France en l'absence de toute perturbation. amti lioration, du moins momentanée, sur nos régions Sud-Est et partout ailleurs conti nuation de la période de beau temps. Probabilités pour le 6 mara

Prévisions valables jwqu'au 6 au soir. Température' En toutes réglons stattonnaire. Paris maximum

Sont

Il 90 IL 19 6 b. 15 Brest. 16 h. 30 3 h. 55 16 h. U Vannes. 6 3h.M

La DObllcM* 0e VOuttt-Betair est la

UN CONSEIL A SUIVRE

Par ces temps de froid et d'humidité, le grog est le plus sûr préventif contre la grippe, mais il n'est efficace qualité c'est pourquoi le Negrita s'impose.

Une lotion, un narfnni.qal einl»e1lisM<Mit la %-le. et qui rendent séduisantes celles qul les adoptent. t* llève d'or" embaume tonte» les nuits et t«o« les jours des femmes aimée* et coquettes.

LTPIVEIt PARIS

qui seront distribués du 1" Janvier 1928. au 31 Décembre 1928.

Conservez les images que vous trouverez dans les paquets de nos divers produits (Lune, Milanaises» Pâtes de Savoie. Tapioca B. V., Petites Savoyardes, Petits Génois).

#̃> Procurez-vous un album soit chez votre fournisseur soit à notre siège social, 52, Avenue Daumesnil, Paris (12e). Envoi franco contre 4fr.75. Pas d'envoi contre remboursement.

Classez sans Ies coller les 56 images de numéros différents dans les cases numérotées correspondantes de votre album. Ne vous occupez pas de la lettre. de Série A ou B le numéro seul de 1 à 56 compte. Echangez celles de vos images qui font double emploi, avec d'autres consommateurs. Ni nos agents r ni nous mêmes ne pouvons le faire

Dès qu'il sera complet envoyez-nous votre album par poste comme imprimé recommandé: 52, Avenue Daumesnil. Paris. Dans votre intérêt. ne joignez pas de lettre mais annoncez cet envoi par, lettre séparée.

Les envois sont reçus à partir da 1" Janvier 1928. La distribution se faisant jusqu'à concurrence des 50.000 cadeaux ne pourra dépasser la date du 31 Décembre 1928.

Nous vous renverrons votre collection estampillée en y joignant gratuitement un cahier supplémentaire au cas où vous désireriez constituer une deuxième. troisième ou quatrième série.

Même si vous désirez en constituer plusieurs, envoyeznous chaque série sitôt terminée afin de prendre rang et de ne pas arriver trop tard.

Les cadeaux seront mis à la disposition des intéressés à notre siège social. Les envois non confor* mes ne seront pas retournés mais resteront au siège à la disposition des expéditeurs.

Notre bonne foi ne pouvant être mise en doute. nous n'accepterons aucune'réclamation et trancherons en toute équité les cas douteux.

Découpez et conservez cette annonce et si vous avez besoin de renseignements supplémentaires Ecricez-nous..

LA BELLE ENDORMIE, nouvelle Inédite. Contes et légendes, par Gabriel Borde. Prtx à tr. 50. Il a été tiré 00 exem. platres de luxe sur velin pur chiffon du Maràls, numérotés de à

En vente t la librairie de I'OumC Eclafr. Envoi franco de port sur commande adresMe au directeur de la rit Hcnnant,

RSNSBiaSEMSSTS UARITIUBS

Pour tous renseignements maritimes, s'adrcsser a Louis d'Armor. OuestBelinr, Renbes Jolndrt ̃} francs en timbres-poses pour la reponje.

Lee sans-nitstes possèdent un JoM»jl complet. documentA et Intéressant, ta s*> ni la Peut Badlo, Du an trônât.


LA TRAGEDIE DE CAR TRAVERS

IL Y EUT UN HORRIBLE COMPLOT

LA Hirmoye, 5 mars [de notre envoyé spécial). Depuis l'arrestation et surtout depuis les aveux de Théodore Pochon, les inspecteurs d% la brigade mobile et la gendarmene ont concentré leurs efforts sur un point unique Quel fut le rôle exact joué dans l'affaire par ces individus que tout le monde sonnait et que nous nous sommes contentés de désigner jusqu'ici sous le nom de conûdents.

Question tragique autant qu'épineuse. car on se rappelle que Theodore pochon à rencontre de bien des 'coupable,- toujours empressés à rejeter sur des comparses presque toujours imaginaires. la plus grosse part de la faute commise semble vouloir endosser la totalité de la responsabilité dans les Jourdes charges qui pèsent sur sa tête. Pourquoi cette attitude et ces déclarations que semblent jusqu'ici infirmer toutes les parties de l'eDquêtp ? Noué le saurons peut-être avant peu. Quant à nous qui suivons inlassablement et méthodiquement cette affaire, nous sommes en mesure aujourd'hui d'apporter ici une graVe affirmation.

Nous avons dit jusqu'ici Il v y avait des gens qui savaient que Maria Guillaume avait été assasstnée Aujourd'hui, nous ne craignons pans de dire Ces mêmes gens savatént que Maria Guillaume ALLAIT ETRE ASSASSINEE..

Le août, 8 heures du soir environ

rcans une. maison de La Harmoye, que nous ne désignerons pas autrement, le maître du logis cause avec animation avec deux autres hommes. l'un est Théodore Pochon, l'aut.re un cultivateur dom nous n'avons pas enrore parlé et qui habite un village ,le la commune du HaiM-Corlay. Pochon. arrivé tout à l'heure, se plaint, se lamente riaria me r<*nd fout je suis désespéré elle me ,cra (<ic)'nie suicider il faut que je rn'en débarrasse Les deux autres ̃pi-nent fin bonnet.

Ce n'esi pu*, lu reste la première •tic, que la <]wi>stioti s été agitée de>ant eux. ils ne «-Ont pas gens à s'effrayer d'une détermination crimirieûe et d'ailleurs ils ne sont pas fâchés de voir Théodore lié à eux par un secret terrible. Pochon est riche, très riche, et dans l'aveniT ils l'auront toujours sous la main. (Et nous montrerons plus loin que le malheu'eux. excédé, affolé par la présence et peut-être par les (sollicitations de ceux qui le tenaient, a voulu quitter le pays et s'établir à l'étranger.) Un conseil se tint

Le débat continue. Chacun dit son mot.

Qu'attends-tn pour la balancer Elle reviendra.

Je lui donnerai de l'argent.

Tu lui en as déjà donné, elle en vaudra d'autre encore, la g. Allons, un peu de poigne 1

Et dans une dernière imprécation Théodore s'écrie Hé bien, tant pis, je vais la faire disparaître 1

Un visiteur troubla la réunion Mais un nouveau personnage est entré en scène depuis quelques secondes. ^>eux phrases lancées lui ont fait- comprendre le dramatique de la situation.

Qu'allez-vous faire, malheureux s'écrie-«-il. Et il leur fait voir tout l'odieux, toute la lâcheté de l'acte qu'ils vont commettre.

Le trio ne semble pas se rendre aux observations indignées du visiteur ils ont l'air dc se calmer toutefois mais on sent que l'abominable résolution est prise. Et il nous suffira .le répéter la parole du très honnête homme habitant à une vingtaine de kilomètres de Cartràvers et qui fut ie témoin involontaire d'une partie d'un complot précédant un crime qu'il ne pouvait pas croire possible en rentrant chez lui.

Dea têtes d'assassins

Quelques jours plus tard, apprenan: la disparition de Maria Guillaume. \1. X. déclara Quand je les ai quittés ils avaient tous les trois des TETES /)' ASSASSINS

Et le crime décidé on convient de ne pas en différer l'exécution. On règle ies derniers détails de l'action. En passant par Cartravers on heurte à la porte d'un habitant du village encore un confident, celui-18. L'homme, qui sait de quoi il s'agit. fait la sourde oreille.

Lève4oi ou je démolie, ta croisée et tes carreaux! crie-t-on du dehors Et l'homme se leva et sortit

Quand. samedi dernier, nous ra contions !a scène du crime selon ia première version donnée par Théodore Pochon lui-même, nous laissons à dessein de côte le rôle joué par des individus dont la présence sur le lieu de 1'sssasKinat semble Incompréhensible, à moins que l'on admette ;a complicité et la solidarité rie tons crs hommes.

Quelle fut la part de chacun dans '"accomplissement du hideux forfait D'une manière exacte et positive on ne le saura sans rtouie jamais. mam ce que nous savon*, nous. et. que non*, cirions de toutes nos forces Théo- dore Pochon ri'pst pas le wnl coup* ble dans le meurtre de *n maîtres^, il a été conseillé encniira-jp et aide par un sroupp d* bandit*

Le long de la voie ferrée

Qu'allaient-ils tatrr ce» hommes qui. dans l'ombre, suivaient !e couple lf Ions dr la vole ferrée et qui hâtaient te pa* à mesurf que Ton Et quand Mar; fut pnf* au pipi: •«lt l'étouffer, qui a prêté main-forte

au criminel pour l'aider à parachever son œuvre de mort T

Celui-là est connu, montré au doigt et ne se souvieni-il pas d'avoir dit a !.on complice pendam que la victime se soulevait dans les spasmes de l'agonie Tire, maiô tire donc, je crois qu'elle respire encore La fin de la' nuit fatale

Et quelques instants plus tard, .quand 1e forfait fut consommé, le groupe sinistre se sépara. Ces hommes osant peine se regarder scellérent leur pacte dans une dernière potnée de main et prirent différents chemins. Rentrés chez eux ils dormirent peut-être.

-,ils arrêterons-là notre récit pour revenir sur l'explication donnée par Pochon, concernant la fin de la nuit, étrange explication dont nous avons déjà parlé dans nos comptes rendues précédents.

• Je me suis rendu à La Harmoye, déclara l'assassin. Je me suis fait faire un lit improvisé chez mon excellent ami Mathurin Guillemot, et j'y suis resté jusqu'au matin Ce seul fait dott provoquer l'éronnement de lui s'y arrête tant soit peu. Pochon se t'ouve en ce moment, à 150 mètres à peine de chez lui. Il va lui falloir faire près de quatre kilomètres pour remonter à la maison Guillermot.

Il craint de réveiller les soupçons do sa famiUe en rentrant si tard ». nous fait-on remarquer.

Et nous Il negnait donc pas d'éveiller les soupçons de M. Guillermot, qui ne devait rien connaître.

Une démarche significative, de Pochon

Le temps passait. Malgré l'impunité première, dont il semblait jouir, Théodore Pochon, qui n'ignorait pas, ce qui dans certains groupes se murmurait sur son passage, voulait à tout prix quitipr cette région, où toile lui rappelait la ou:: fatalp. L lui était odk i.\ Je rencontrer presque journellement ceur.-la qui savaient et qui, d'un serrement de main imperceptible, protecteur, mais combien terrible cependant, l'engageaient îi la discrétion.

Or. vers la mi-octobre, M. Henri Grégoire, directeur-du Centra! Garage, place Duguesclin. vit entrer dans son bureau un jeune homme qui. après lui avoir demandé quelques renseignements, concernant la location et la vente des antomobiles, lui fit part de son désir de quitter la France pour demeurer désormais aux colonies Maroc ou Tunisie; le jeune visiteur n'était pas absolument fixé sur le choix définitif de sa résidence à venir.

La conversation se poursuivit Et au coure de celle-ci, M. Grégoire apprit que celui qui lui rendait visite était M. Théodore Pochon, âgé de 27 ans, propriétaire-éleveur Saint-Martin-des-Prés Et celui-ci -emi2 au garagiste, en le priant d'intervenir auprès des notabilités qu':1 pouvait connaître, un acte de naissance, un certificat de bonne vie et mœurs, etc.. ,tous papiers rui lui avaient été donnés par M. le Maire de SaintMartin et qui se trouvent encore actuellement entre les mains de M GréEt Pochon ajouta N'ayant plus l'intention de revenir en France, je vendrai avant mon départ quelquesunes des propriétés que je tiens de mon père. Ce à quoi 'M Grégoire répliqua • t Qu'avfez-vcus Jiesoin de réaliser une pareille vente 1 Vous obtiendrez facilement une concession làbas •

Le jeun* homme ficha la tête, partit et n* revint plus.

Aussi quelle t e fut pas la stupéfaction da M. Henri Grégoire quand, jeudi dernier, il aperçu' pnchalné, maintenu par les gendarmes et descendant d'un taxi automobile le jeune inconnu qui, tu moi> d'octobre. lui avait confié «es beaux projets d'avenir colonial

Certes. Pochon et ceux qu, le conseillèrent et l'attelèrent (mettons encore jusqu'ici de. leur présence), se croyaient bien sûrs de l'impunité. On se l'était juré dans la nuit du août nul d'entre eux ne parlerait. encon mnins la. terre complice Ces homme? ne croyaient pas aux fantômes, et ils étaient bien a&sur-5* que la malheureuse Maria ne sortirait jamais de sa tombe anonyme, où. comme »a animal abatte. ils l'avaieiM enfouie.

se trompaient

(i IAPORTE. Les personnes qui souff -Mit .les dou leurs atroces causé*- par les hémorroïdes retrouveront une setisiti.in :le hiunfHre et un -ornnieil nui* N'e par remploi de la Pommade rarlum. qui !eur nnvnirvra r.n «oulitifPiiienl ininioiint Bien des «ouffranepe <ont évitées en employant U>(np? >a PoinriHtdP Oi'iiim -.inf» I'p-itn\K. les '•ontonCi daru.es. gale, éruptions, écor-'huiv-. hPiiiorruMps. or))'rairp. rroOtPt. tofene. r!ai(H

^TOWÊf AMERICAINE «^des

Remède exclusivement végétal Toujours sans nvai pour guérir les affections l de/ Estomac, duFoie,de/'ln!estin complet, 'uimenU et lmens6aDt. U»aent la Ptttl tdlo. un au franc».

UN CRIME MYSTERIEUX A LALLEU (llle-et-Vilaine) EN PLEINE NUIT, SUR UNE ROUTE,

UN HOMME EST TUÉ DE DEUX BALLES DANS LA TÊTE

SON CADAVRE EST RETROUVÉ AU PETIT JOUR PAR DES CULTIVATEURS

Laijleu, 5 mars. (De notre envoyé don serait-il appelé à devenir l'arrondissamênt des causes célèbres. On serait tenté de le croire. Le crime de la mère meurtrière de Bain et l'assassinat de Redon dont l'auteur Bébin comparai6sait devant les jurés, lors de la dernière session des Assises, sont encore présents dans toutes les mémoires, qu'un crime mystérieux défraie à nouveau la chronique de la région.

Les quelques lignee que nous avons publiées dès lundi matin, pour annoncer le drame de Lalleu ce suffisent oertes pas pour traduire l'émotion considérable qui s'est répandue dans la région, dès que fut connue la nouvelle.. Lalleu. petite commune 'si.tuée au carrefour des routes du Selde-Bretapne. du Theil. d'Ercé et de Maure; Lallen. calme village où chacun vivait tranquille la vie .simple .t rude des travailleurs de la terre, Lalleu est en révolution.

La victime

Un homme a été tué, en pleine nuit, à quelques centaines de mètres du bourg, et personne n'a rien vu, rien entendu.. c'est ;e mystère.

Maintenant, la victime repose dans une maisonnette dont les volets clos. malgré le soleil qui inonde les façades, attirent les tegards des pnssant6. sur la place face à la Mairie. La victime, un homme ^n pleine jeunesse; un menuisier du Theil, Pierre Goude. Marié depuis 7 mois à peine Il' ma!hpnr-us a été rué au moment on il s'apprêtait à bien faire sa vie alor? an? no-:1- ;iiiMa]lor a «'m çomp i?. il vouait de Mir» démônager pour les transporter au Theil, les d2rniers meubles gui demeuraient dans sa. première maison, à Ercé.

Sur la place, entre l'église et la mairie, à coté de M. Thuawlt, juge de paix de Bain. qui dirigea la première enquête. les gendarmes vont et viennent, attendant le Parnupt. il y a là le chef de brigade du Se). M. Malet qii'acconnincnent se, subordonnas "MM. Barthélémy et Dufresne. Il y a là aussi, M. Chevrel, gendarme, à Ralnde-Bretagne, qui dès les premières heures de la. matinê'é'dè dimanche, est venu apporter à ses collègues le concours le plus dévoué et la plus éclairé. Les recherches

Mais, les premières recherchés furent vaines Les trendarmee n'ont fu consiatfr que les faits et, malgré une °nquê4e active et diligente, ils n'ont nu encore obtenir le moindre renseignement sur le meurtrier.

D'un geste, lit nous indiquent qu'ile ne savent rien ou plutôt que s'ils ont <1fts présomptions. celles-ci ne sont étayé>= sur aucune preuve. « Autant vaut ne rien dire •. conclut le chef de brigade Malet qui s'esquive dans une maison.'

La porte ne Fe ferme pas derrière lui. nous le suivons. Snr le Feuil, un homme nnns reçoit. affable et cordial c'est M. Pierre Pilard. maire de la commnne.. On n'entre pas, nous dit M. Pilard tout au moins dans toutes les pièces Venez donc par ici

Et M. Pilard nous fait entrer dans la irrandp salle de son débit « .A coté, poursnit NI. le Maire. !fw gendarme» travaillent •. Ils sont rnmme rhpz eux Pt nersonne n'ira les déranger là. tandis qu'ici, nous «nmnwf chez nous et si je puis vous ̃Mrp (lp quelque utilité »

Volontiers, qtte 6'es<-tl passé T. Vnfla. Dimanche matin, au petit lotir, le fus réveillé par un cnltivatpnr du PAray. M. Boûrzine. • Monsieur Pilard. qu'il criait eoiw mps fenêtres, ie viens de trouver sur la route le corps :i'un homme A coté, il v a du sans, beaucoup de sane. Ci, doit dtrr un crime V?nP7 donc. Ia découverte du crime

«Je m'habillai en hâte et après avoir alerté par téléphone la gendarmerie du Sp], il' m'en fus sur les lieux avec 'If Bourgine Quel triste apectacle m'attendait.. Sur la route de la (ouyère. à quelque trois cents mètres d*v dernières maisons du bourg, un hnmmr' élait étendu sur le milieu de la route, le corps plié en deux sur une blcyrl" dont il tenait encore le euidon dan* sa main gauche crispép Autour de !ni. une flaque de sang et derrière la tête. Deux trous. tout petits, d'oit s'échappait encore un mince fllet ronce.. L'homme était mort

Tout A c6tP de lui. deux petits objet* qui brillaient attireront mon attPnt!on deux douilles de revolver. sans nul doute Ifs douilles des balle* qui. en entrant dans le crâne du malheureux, avaient fait ceç deux trous noirs et sanguinolents que l'oh apercevait snr le derrière de la tête.. L'homme avait été tué

« Au- reste. NI. le docteur Guihard. du Sel. que iava's mande par téléplinne. venait de constater le fiéoè* » L'aube pointait et il faisait déjà assez clair pour que 'on puisse examiner le cadavre. Son visage m'étai,. inconnu et aucune des personnes accourues notre suite sur les lieux ne le connaissaient Ce n'était pas un gan= de '-hez nouF Mais, d'ofi était-il» Comment «e trouvait-il la. les mernhrrc lejà roiiii* nar la mort l'avait tué

Dans le village, ce fut dans toutes les demeures la même ̃(qoéfaa-

tion. Pourtant, quelqu'un crut reconnaître le corps. ce doit être, disait-on, le menuisier du Theil. Pierre Goude. Cependant, es gendarmes arrivalent. Après avoir procédé aux premières constatations, ils firent transporter le cadavre dans la petite maison où il repose aujourd'hui. Puis il se mirent au travail. Ils acquirent rapidement un premier point: la coufirmation de l'identité de la victime. C'était bien, comme on-l'avait dit, le menuisjer du Theil, un jeune et ro buste gars de 27 ans, que ce brave M. Bourgine avait trouvé assassine sur la- route de La Couyère. Pour mùi mon bon monsieur, termine l'affabw maire de La.lleu, c'est tout ce que je sais. L'enquête des gendarmes, voue comprenez, ça ce n est pas de mon ressort. Voyez-les.

Mais les gendarmes sont trop occupés. Av reste, le Parquet arrive. D'une robuste limousine, desœndent M. Devrez, procureur de la République; M. Poret, juge d'instruction; le docteur Millardet, médecin légiste, et NI, Vallerie, greffier Le premier geste de Ni. le procureur de la République est d'écarter les curieux. et les journalistes tout particulièrement. Nous nous inclinons devant cette discrétion et nous laissons )ei magistrats prendre contact avec les gendarmes et 6'informer des premiers résultats de J'enquête en toute tranquillité

Bien nous en prend car cela nous vaut de nous rencontrer avec le beaufrère de la victime, M Clavier, dont ia soeur, la propre femme de Pierre Goude, est gardée à vue par un gendarme, depuis la veille, dans cette pièce de la maison du maire où e*i entré justement tout à. l'heure le chef (le. brigade Mallet.

La femme de la victime gardée à we 1 pourquoi donc 7

La dernière jmanée de la victime Avec M. Clavier, nous allons revivre la dernière journée 'Ce Pierre Goude. nous allions dire jusqu'à sa dernière heure. Mais, non, M. Clavier ne nous entraine pas jusque là.. Bornons-nous donc à transcrire fidèlement ses déclarations.

Pierre Goude, qui, le 24 août le.7.- avait épousé Mlle Germaine Clavier, s^était-établi oomme menuisier à Ercéen-Lamée. Le 2 février dernier, il quitta ce village pour vearlr s'installer au Theil. Samedi matin, vers 5 heures, il partit de chez lui rour aller à Ercé chercher les derniers meubles laissés par lui dans son premier Iogement Il était à bicyclette. un charretier, M. Martin, au service d'un marchan 1 de bois du pays. l'accompagnait avec un chariot attelé de trois chevaux pour ramener les meubles.

A l'aller. rien d'anormal. Pierre Goude fut rejnint par sa femme qnr ailait 1\ Bain, chr2 ses parents JN =erai de retour vers 5 heures, lu* il; il, en la quittant A une hifur.a'ir-Ti. attends-moi Il la maison.

Mme Goude s'en fut vers Rain.. Pierre Goude et !e charretier Martin prirent la route d'Ercé.

A Erré. on retrouve encore le pas sage due Pierre Goude jusqu'à 19 heu res. D'abord dans son logement où il se querella avec son propriétaire, parce qu'il voulait déménager sans acquitter le reliquat de son loyer ensuite dans divers débits où, ayant bu plus que de raison, il eut encore quelques difficultés avec différents consommateurs. Mais, rien de grave. A 19 heures, les meubles étaient chargée dans le rharriot.. Pars devant, dit Pierre Goude au charretier je te rejoindrai, en bicyclette. Le charretier obéit.. Pierre Goud* ne devait pas le rejoindre.

Le charretier arriva senT'an Theil, vers minuit. Pierre Goude était alors étendu sur la route, Il la sortie du village de Lalleu, en haut de la ciMp qui mène à La Cou"rf Quelrrir'iin qui i avait suivi on qu! l'attendait là, auelau'un qui le connaissait, sans aurtm route. l'avait abnr<1° en-.ret endrott. dans la nuit, rîeu-t détonations avalent retenti qui n'avn'ent rnéme oa« troublé le som meil des habitants de I/Slleu. Pierre Goude. franpé par derrière, A bout nnrtant c'^tp'1 A-rn!> t"£ net La-bas, dans la petite mAtson du Theil. où il avai: voulu transporter son fover «• ieune femme l'atten drait en vain.

Dimanche matin à l'aube, le cadavre de Pierre Goude était retrouvé sur la route

,Une impressionnante scène Les gendarmes allalent poursuivre leur enquête lorsqu'on vint les prévenir que la. femme de Pierre Goude traversait le bourg de Lalleu en bicyrlette Que'que? seconde. plus tard. Mme Goude é:ait rejointe.

Vous cherchez votre mari t »Iai6 oui, i: n'est pas rentré depuis hier. je vats à Erce..

Avec ménagement, les gendarmes du Sel firent omprendre à la jeune veuve ti!lf- n'a que 19 aus qu'il était inutil* qu'elle poursuive son chemin. que son mari était là dans cette petite maison de la place de Lalleu ,mort.assassiné.

Aujourd'hui, Mme Goude nous semble bien touchée.. Toute menue, dana un ample manteau marron. dont le col et les manches sont orr'- ••'̃̃••'»ttement de fourrures blan ;!n »!'p est affaissée sur une çha^^ • -:i ilote perdre haleine Le chagrin La conscience de la gravité du pon «ci a peté sur sa téta t. Cette

jeune femme été gara.' à vue par les gendarni ̃« avec uéfdke de parler a qui que ce soit, avait i arrivât du Parquet. Une journée entière, une nuit, puis encore une jourii-ee, elle est restee ainsi suus la garde d uu gendarme. dont l'aitabiliie serviabit n. pouvait lui faire oublier le rôle. Et puis, le Parquet est arrive. Apres sou frère, Mine uoudt a eu lon^u«niem intenoget par le juge d'niMruction. Brisée .par la fatigue et l'emotrou, elle.est sortie de cet interrogatoire pour et Jeter daiié le» Dra.- de sa belle-mère qui venait d'arriver à Laileu Et. touiti deux. la mère et l'épouse, libérée enfin de toute contrain.te, se sont réunis pour aller prier près de la bière dans laquelle, après l'autopsie, le corps de Pierre Goude venait d'être dépose.

Toujours le mystère!

L'autopoie du cadavre il laquelle a procédé M. le docteur Millardei n'a fait que confirmer les dctaiib de l'enquête. Pierre Goude a été tue de deux baltes de revolver tirées Dout portant, derrière la tête. L'une de ces balles a pu être extraite; elle est du calibre 6 naill. iï. La seconde, qui s'est logoe dans les os du nez, n'a pu être dégagée

Après s'être rendu eur l»s lieux du cnme et après avoir interrogé les membres de ta famille de Pierre Goude et tout particulièrement le beau-frere et la femme de la victime, le Parquet a regagné Rennes. On ignore tout du nubile et dé la personnalité du meurtrier. L'enquête se poursuit. Le mystère du crime de [,alleu n'est pas éclairci

On chuchote bien sous le manteau des cheminées que le ménage de Pierre Goude n'était pas des plus unis. Beau garçon, Pierre Goude aima·t parader auprès des femmes. Et la jeun,e Madeleine Clavier, sa femme légitime, n'aurait pas réussi à ie retenir chez lui. Un mois même après le mariage elle était retournée chez ses parents. Et puis le calme était revenu au foyer. les jeunes époux s'étaient à nouveau réunis. Le dra me de Lalle-u les sépare à jamais au moment où l'un et l'autre paraissaient décidés à réédifier ensemble leur bonheur.

Drame de la vengeant Ouit sans doute, puisque le malheureux fut me sans lutte l'ordre parfait de se* vêtements e prouve par quelqu'un qui n'en voulait pas a sa bourse on a retrouvé sur lui rie l'argent et des bijoux.

Alors. qui donc avait à se venger de Pierre Goude ?

Dans la réponse à cette question réside toute la clef du mystère. Mais il faut y répondre-

Jehan Tholomé.

LES DATES

DU CONCOURS GENERAL DES LYCÉES ET COLLÈGES PARIS. 6 mars. Par arrêté du mi- nistre de l'Instruction publique et les Beaux-Arts, les dates de compositions du concours général des lycées et collèges (Paris. départements et colonies), sont fixées ainsi qu'il suit pour l'année

Lundi U mai composition française (classe de 1re); mercredi 16 mai version grecque (classe de 1™); mathématiques (classe de mathématiques) vendredi 18 mai version latine (cl. de de lundi 21 mai mathématique* Ici. de \n); mercredi 23 mai histoire ou géographie (cl. de 1™); vendredi 25 mai (histoire ou iréocrapnie (ci. de philrvs-.>phie et de math/matiaiK'?!. thème latin (classe de vendredi 1er juin (philosophie iin>> a> pb.ilosoph.je, physique et rla^i- de mathématiques); ;.a.medi 2 juin dessin iclasje de 1« de philosophie M de mathématiques). Un décret du ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Afts stipule que des bourses penvenit être accordées sans examen à des pupilles de la Nation âgés de moins de 20 ans, s'ils sont pourvus de,la première partie du baccalauréat ou du diplôme de fin d'études secondaires et à des pupilles d-e la Nation de moins fie 21 ans, s'ils sont bacheliers complet. LES revendications! ELECTORALES

DES EMPLOYÉS

Paris. mars. Le Conseil professionnel (Union Fédérale des Employés) a adopté le programme mintmum de réformes, législatives qu'il entend soumettre aux candidats aux prochaine élections par l'intermédiaire des Syndicats d'Employés afftCe programme est ainsi fixé Vote d'une loi instituant une procédure obligatoire de conciliation dans les confins du travail et Ses Comités de conciliation paritaires et permanents.

Réglementation légale du délai congé, fixant un préavis et une indemnité de licenciement proportionnels a la durée et à l'importan?? des ser vices

3" Réforme de la législation prudhomale comportant notamment a) ^Le relèvement à franc* du chiffre de ia compétence en dernier ressort b) la création de tribunaux d'appel prud'homaux e) l'extension de la juridiction prud'homale tous les salariés

4° Réglementation de l'appnentiscaste et orsranisation de l'eirieignement techn'que par l'application in'é- grale et obligatoire sur tout le territoire rie la loi du juillet le)19 (loi Astler).

5° Interdiction de toutes clauses de nnn concurrence dans les contrats de travail.

des ieii>fi>r"pn^Bi« contre maa

L'étrange décès

d'une cultivatrice

S'AGIT-IL D'UN CRIME OU D'UN SUICIDE ? Quimper, 5 mars. -De notretion quimpéroise ) Samedi dernier S mars. Mme Pennée, née Louis La Grand, 37 ans. cultivatrice au village de Cr^ach-Kernaval. en Edern. décédait subitement dartè de- circonstances pour le moins douteuses l* mairp de' la commune, M Lannuzel. averti par la rumeur publique. reft*« if permis d'inhumer, et le docteur Moré, de Briec. qui constata le décès, conclut à unp mnrt par empoisonnement

Iratprrogé longuement par ie chet de brigade de ^enrlarmerie Guillemot, assisté du gendarme Balay, le mari de la décodée. Roland-Her-Jé Pennée. 40 ans. ne put d'abord dir» s'il y avait pu accident ou suicide et. fois-*lement, Ternit un billet qu'il aurait trouvé après le départ du docteur. fur la table de nnit Sur ce bout de papier était portée l'inscription suivante « J'ai fait mnn incident Isiey moi-même, ne Marnez per?0Ti.n<- Le maire d'Edern ti qui on communiqua ce billet ne fut pa- convain- cn et demanda nue l'enquête fût poursuivie c'est pourquoi 1» Parquet de Onimper. composé ,1e MM. L'Héritier, procureur dr> la République Lp Srie-llnnr. inpe d'instruction Chirart. irrpffipr. ef Oonlaonic. intprprète, s'est rendu, aujourd'hui at1 villa^p île Oeach-Kernaval ou le âne.ter Renault, médecin Wtri«tp. l'a bientôt rejoint

I.p riorteur Mo'é saisit dans chambre deux flacons crmtennnt un liquide «usp^ct ainsi que le contenu d'un \wr» nui fh trouvait «nr la tab!e rle nuit

La question du bil:et

C'est. avons-nous dit. après Ip. départ du médecin que Pennée découvrit derridre un bol de lait, sur la table de nuit, le binet qui aurait été écrit par Mme ppnnac avant sa mort, et qui ferait croire au suicide. Deux témoins corroborent !en déciarafTrvne; dn mari de la moTté. coneprnan' la trn?iva1]|p rir hnuT .1p papier.

Ce sont Mme Tuerut. 63 ans, journalière au bourg d'Edern, et Mme Le Noach. 41 ans, cultivatrice, qui, appelées par M. Pennée, vnrent, vers 22 heures, faire la toilette de la défunte. Ce billet a-t-ii été écrit de la main de Mme Pennée- nu de eeHo d'une autre personne î C'est c que l'enquêtp établira sans doute.

Quoi qu'il en soit, il semble Apremière vue assez singulier que Pennec n'ait découvert que vers heures ce billet révélateur sur une taNe de nuit où, près de trois heure» auparavant, le doctetxr More avait déjà saisi un verre suspect.

L'autopsie

Le docteur Renault, médecin légiste à Quimper, a pratiqué l'ajatopsie du cadavre dans une des granaes de la ferme. Il n'a rien trouvé d'anormal dans la constitution de la femme. Le crâne. en particulier, était intact. Son avis est que la mort est probablement due A un empnisonnement. Les viscères de la victime ont été enlevés par le praticien et amenés à Quimper Leur examen seul permettra de connaître la cause exacte de la mort rie la cultivatrice.

A Créa'-h-Kernaval. la ferme est située A :¡on mètres de la route qui mène à Gouézec. C'est une tenue de V* hectares environ, fort bien agencée. aux bâtiments bien entretenus. Fiole est la propriété de Roland-Hervé Pennée Vécurent-il* depuis leur mara<*p dans une parfaite concorde d'esprit et de cœur est permis d'en douter et il semblerait. au contraire. qu'une certaine mé5entent<> t\ r^zner dès le début de leur mariasre. mésentente oui aurait pris un caractère aigu, Il y a environ cinn ans. On chuchote mème que la nré=ence d'une certaine domestique dans la ferme n'aurait nas été étranrê'» A ro» tint d'esprit. Le loir tragique

Cette mésentente entre les deux époux était-elle parvenue au point d'expliquer soit un suicide de la part de la victime, soit un assassinat par empoisonnement de la part de son mari ? Mystère qu'i! anpartiendra a la justice d'approfondir. Bornons-nous aujourd'hui 3 relater les faits dans leur nudité

Que dit le mari ? Interrogé par ie« magistrats il a déclaré « Samedi. vers 17 h. 30. im voisin (qui n'a pas encore été interrogé, d'ailleurs.) est venu me demander à acheter des pommés de terre de semence No'H avone.bu un coup de ,-iflre A la maison et ensuite noue somme? sort2s en lapant sur 'a table la bouteille avec un restant de liquide Après avoir accompagne cp voisin au qrenier nù nous avons .vu lés nommes de torr» >e me suis rendu aux chamo's avec mo, domestique Main Kéli^rné .'i?é .le 16 ans fi peine éfions-nou.; arriva au terrain, vers 's heure.: aup mon petit car('on vint en courant mp trouver • » \*ipn« vite. nana maman va mourir'-

mon arrvée. ma femme était an "t- rlRn* la ''hamrre -lu premier étace: • l'ai bu. m Hf-elle <iu»'qn9 rhoss d" mauvais.

• Comme »ll° »ani|«vt souffrir beaucoup ''envoya'' mon domextiain- o'i'nn médecin ip Rrjpc rarrivp? r1n rioptPti»* Mnré. mienne* twi-

Lp docteur dtatmo^tifns me mort nnr ernooiçonnement consécutive il l'ineiinritation fie cidre mélangé '71 rtpciniction des taup»« et des r»*«

nBVSKIf.NIÇVFXT' IlIRlniQUES

l'nntcntl»' iimrp- irtatrw. liTlï1eua«i, EciT.l dn ren.^lgnemfnt" contre ma» d»t de 5 tr. 50 aOrtÊSé


M. Poincaré préside

le banquet des Amis du Mont-Saint-Miche) ?

PARIE. niarv. l.e du Consei!. accompa^np -le Mme Raymond PoJncaré. a présidé ce soir le banquet de la Fk>ciéié de6 \niis du Mont Saim-Micti-el. Ite immbreusos personnalités a^Msiakmt ce banquet. Au dessert. M l.evaioi< président (le la Société, s rappelé que le Mont StMlehpJ éî.it do plus rii plus s'>us la menace de l'ensablement et Il a souligné que ceue menace pourrait être facilement dissipée si le Min'stère des Finances. potisentaH à ce que les crédits nécessaires qui sont relativement peu élevés, fussent inscrtts au bndpet.

Puis il a demandé instamment au président du Conseil de donner son assentiment au protêt élaboré depuis de lonsw». aonéet en accord avec l'administration <te* Beaux-Arts et dont la réalisation sauvera de !a ruine ce pur iovau qu'est le Mont SI\fiche!.

prenant à son tour la parole. M. Poincaré. fréquemment interrompu par 1<v ;irplandissement enthousiastes de tous les convivps. tà brièvement retracé les oripiines do la Société du Mont Saint-Michel pt rappelé. en terme* élosleux. le? effort incessant* qu'elle poursuit depuis seize ans pour atteindre au noble but si ékHjiiemment exposé par son président

Le président du Conseil a conclu en donnant l'assurance au comité de l'Association que le Ministère des Finances apporterait son loyal concours à l'œuvre entreprise et que le gouvernement ferait le nécessaire pour que le Mont Saint-Michel reste une île et que le danger d'ensablement soit désormais écarté.

UNE CAMIONNETTE CAPOTE

Quatorze blessés

Brest, 6 mans. (De notre corresponlant particulier)

La camionnetne il CV qui effectuaii .e service de transport en commun -ntre PlabenDec et Brest, conduis par M. Jean Tynevez. 2i ans, de Plaiitiinec, avait quitté le Pllier-Rouyv hier apres midi pour regagner Pla fennec Dix-huit voyageurs et voyageuses avaient pris place dans la voi. ture dont deux a l'avant, près dn ̃Imuffeur, et 16 femmes a !'intérieur Dix minutes plus tard. alons que la camionnette roulait à environ kilo mètres à l'heure sur la route de Gouesnou. et se trouvait à Menez l'aul, le pneu de ta roue droite arrière éclata. Le chauffeur arrêta sa vo;ture sur vinet-cinq mètree, mais celle.ci 6e renversa sur le côté et se plaça en travers de la route. M. Tunevez, blessé au front et Il bras par les éclats de verre du pure-brise, réussit à se dégager rapidement et, sans per dre son sang-froid. il arrêta son moteur pour éviter un incendie Après quoi il s'employa de son mieux pres ,le ses voyageurs.

Treize de ceux-ci étaient blessés, 'tant douze femmes qui se trouvaient i l'intérieur Mme Kermorgant. cultivatrice à Piabennec, qui était la plus itteinte, avait un bras fracturé M. Toullec et Mme Guével. du BoursîBlanc: MIT1PS Gouez et Deniel, de Plabennec: Miles le Guen, Pervès, Trexuer, Péran, Ségalen et Omnès, de Piabennec: Mme Le Roch. de Saint- Pierre-Quilbifrnon. F; Ml'.e Thépaus. ie Kerfraradee, ont été plus ou moins sérieusement blessés au sisage et aux mains par des Mais rte vitre- « ontusionn-es* par la violence du choc.

Le docteur Farvacqne, prévenu aus-itôt, a prodiprué ses -oins aux blessés. Ceux-ci ont été transportés a

leur domicUe par une voiture automobile. La ^aniionneut- a subi de se'Ic-llX .ic«àl.i

L. ouiuniiËsaire de police a l.uinbezelUc. a procède dans l'aprèsmidi il uue enquête sur les circons"JHiicë* dan- leMiuelies s'est produit uri accident (|in aurait pu avoir det finies exirèiiiemetu graves.

L'Agriculture

la Foire-Exposition de Brest Sur les divers terrains de l'activité nationale, la Bretagne est sans conteste l'une des provinces françaises dont les eflorts se traduisent par les plus remarquables progrès; la FoireExposition dont les portes s'ouvrfront i Brest au mots de mai prochain en 'l'iirnlra l'éclatante démonstration Mettre Il l'honneur et récompenser ie labeur fécond de notre région tel est le but que se proposent les orga nisatMir* de cette importante mantfestation, et leurs Intention? appn ••aiPsent d;ms le texte mame d'un rèzlement dont le premier article à la portée d'un programme économique La Foire Exposition de Bre« a Pour but de mettre en valeur les produit' les plu« variés, de leur créer des débouchés nouveaux, de favoriser l'expansion de rinriti<itrie. du commerce, de la marine et de ̃ l'aericultnre de 11 réRton et de la métropole, de développer les rela,lions d'une façon spéciale, avec » nos -is<> scions d'outre-mer. de pm• voqtier des échanges entre la Fran ce et les autres nnttons et d'inten• Gifler le tourisme et les Beaux-Art" • dans notre région. >

A

L'agriculture occupe la majeure partie de la population bretonne elle ne pouvait ftn» absente de la Foire ^position de Brest

t.e temps est loin où les friches, les roches et de maigres taillis occunai>nt presque seuls In presqu'île ar

mnricaine.

Et cependant, sous sa parure mo •1eme. la Bretagne n'a rien perdu du charme pittoresqup qui. ;es beaux jours venus, attire vers elle les voyageur* du monde entier

Tout sèra prêt pour tes recevoir a Rrest cet été ils v constateront que notre pavs ne oo«sMp pas la seule Hche«e de ses sites et de ses cotes, et que se habitant contribuent pour une large part à la vie économique de la dation.

Ces concours, fixéq su début d" juin .•onstitueront la première manifestation de la Foire-Exposition l'Agri culture recevra de la sorte un hommage dont nous sommes reconnaissants.

La réussite d'une exposition de ce senre nécessite la triple collaboration des orpanisateurs des exposants et du public.

Nous avons résumé les intentions •les premiers.

Nou* adressons aux exposants un ̃haîeureux appel Usiniers de la ma chine. industriels transformateurs de nos r*coltes tous auxiliaires indls pensables de la culture, venus de loin souvent. et peut-être de l'étran2Pr. approvisionneront des stands devant lesquels ils peuvent en être snrs Il,- agriculteurs s'arrêteront nomhreux.

Les producteurs, cultivateurs et éleveurs feront eux aussi l'effort nécessaire; je le leur demande d'une façon très pressante.

Le public enfin doit être sollicité nçriculteurs. venez nombreux à la roule il importe que celle des cultivateurs se presse autour des diverses manifestations agricoles de cet', exliihition. Elle y trouvera intérêt et "iiselgnernent; et Je souhaite que les ?traiifrers puissent mesurer Il Brest. -et été, ¡'intérêt passionné que porte !n population bretonne aux choses <1c la trrre.

Signé Hervé DE GUEBIUANT. Président de la Chambre d'Apriculture du Finistère et de t'Unie) des Syndicats Agricoles du Fi- nistère et des Côtes-du-.Nord.

AU TRIBUNAL CIVIL Installation du nouveau président Lundi. à 13 h. 30, a tu lieu à la première Chambre du Tribunal Ci%il il l'installation de M. !e président ,le la Hrjize, nomme en remplacerneut de M. Villeminot, appelé à Nanle:

M. Guillaumin. vkx-prt'.sidont du l'riiiunal Civil. présidait entouré de MM. Le Lepvrier. président honoraire Jenvrin. iuc- Honoraire Donni« n Porée, juges V»-slrucvioii et J^'s iiembrts du Tribunal.

M. le lrocureur de :a République :»éprez. assiste de MM. Urouurd et iiémy, suDstnuis. rrquieri ririst:illadon du nouveau préèident. M. Guillaumin délègue MM. Porée et Leroyer. juges au sièt:e pour introduire M. de la Broize, et M. le prwureur Deprez délègup M. Druuard. substitut A l'entrée du nouvp^u président, M. Robin. greffier, ilnnne lecture du décret nommant M. de la Broize. an cieii préiidcni dll Tribunal Civil du Finistère. section de Brest. chevalier de la Légion d'honneur, président du Tribunal Civil de Rennes. Il est procédé immédiatement au cérémonial d'usage.

On remarquait dans ia nombreux' assistance NI Chauveau. doyen de la Faculté de Droit lieutenant-colonel Charon. commissaire du Couver* nement près le Tribunal rle- Pensions commandant de gendarmerie Gilbert capitaine de ^-ndarmerie Tanguy, M. Le Bihan. commissaire centrai ie barreau et con bâtonnier. Me Gouèry !a Chambra des avoues la Chambre (le- huissiers et son svndir- Mc Dupont fer iiiiic-sierc-audien ciers Lcfeuvre. Travers TVihoux. Va rln.

Nous iftiouveioii- m>t d HtD venue à M. le Président de la

LE THEATRE DE RENNES DANS LE DEPARTEMENT La troupe d'opérette, qui a fait di manche ses adieux au public rennaitdevait une salle bondée et avec un âiiccè*- triomphal, ira donner cettt semaine une dernière représentation dane lea villes' suivantes Montfort. mardi 6 mars.

Janzé mercredi 7 mars

La Guerche. jeudi mars.

Redon, vendredi 9 mart.

avec la populaire opérette l.cs Soltimbanqves. troupe complet*- et orchestre symphonique. avec fier, at- traction sensationnelle, qu: donnr l.o()0 franco à qui prouvera qu'il n'enlève pa.s lo chemise et te gilet j'un spertntevT de bonne volonté. ians lui retirer çon vestort Partout. la troupe de Rennes est attendue avec imnatience. et Jouera devant des 'aile»; combles

LES CONFERENCES DE L'OUEST

Mgr Freppel,

par Mgr Rumeau, évoque d'Angers Le Comité des Confértnces a l'hoi. aeur <U> faire -avoir que. dans le fui de ne pa' nuire au de la soirée de zale organisé* par la so ciété de la Légion d'bormtur, il a décidé de ne pas mainte.ntr pour cette "ûtiférence la date du 12 mars précé l'inm.-nt annoncée.

La conférence do Mgr Rnmeav est ̃i'O"rt'V au lendemain mardi 13 murs-. aIU *era lotinse fi la salle les fêtée .l'j '-ol *c •Joint V1n vnt ft -?f) h L'Ou, Edair publie cûa-jue Jour des ANNONCES CLASSt.es pumiaunt

A L'HARMONIE DES CHEMINS DE FER DE L'ETAT

Lundi soir, au Théâtre, dont le fumoir avait été orne de plaines vertes. l'Harmonie des Chemine de Ker de l'Etat offrait à ses membres bienfailent-- et honoraires sou concert aitnuel.

Kilt avait pour la circonstance fait appel a de? artistes parisiens. La partie iniisirale était assurée par l'Harmonie elle-inéiiie. m>iis la direction de suu clicf, M Boûardet, et cinq des musiciens de l'orchestre du i·iréàtre.

La salle était pleine. C'est due le succe5 qu'eut cene soirée. Les applaudissentents ne furent pas menagée à M Max Izard, ténor du Trianon-Lyrique Mite Ginette Gangloff, gracieuse divetje*; à M Maurice Uharlay, qui, avec Mlle Céaile Gilbert, dans ses chansons et la reteur, nous prouva que Montmartre n'avait pas été rase par les Américains et que Paris étan toujours le Paris du Chat-Noir à NI. Pol Bar, comique inénarrable dans ses imitations musicales.

On remarquait dans l'assistance. fleurie comme un jardin d'hiver par les toilette* des dames M. Bahon, maire de Rennes M. Chevreau, chef d'arrondissement président de l'Harmonie NI.NI. Ladam, conseili-r municipal, et Braud, Inspecteur, viceprésidentes de l'Harmonie M. Delàcaisse, ingénieur à Tours, ancien président M. Tilloy, chef d'arrondissement MM. Vaux et Ponchon.

chefs d'arrondissement MM. Souchon et Galland. soue-chefs d'arrondissement M. Bayé, inspecteur MM. Saulnier et Teinturier, Inspecteurs; M. Cornu, chef de gare princinal M. Dupont. etc., etc.

La soirée a répondu aux promesses du programme elle fut parfaite. Nos compliments aux organisateurs et que l'année soit profitable à l'Harmonie des Chemins de Fer, belle et courageuse phalange.

LE NOUVEL ANNUAIRE

On peut se procurer le

Nouvel Annuaire d'Ille-et-Vilaine pour 1928

un fort volume. grand format, de 984 pages, sur deux colonnes de texte serré. à la librairie de l'OuestEclair, 38. rue du Pré-Botté. et dans les bureaux Je tabacs.

Prix 15 franu; franco par poste recommandée 17 fr. 50. LES CONFERENCES DE SAINT-VINCENT Albert de Mun et son action

('est ce soir, a 20 h. 30, que M. Geoffroy de Gramlmaison, ancien sectétaire du comte Albert de Mun, et préMiPUi île l'Académie d'éduration et d'entr'aide sociales, parlera sur. anert de Mui< et non action. L'entrée de la salle Jes fêtes du Collège est MATINÉES & SOIRÉES

Théâtre municipal

Ce soir à 20 u. 45. dernière représentation de comédie de la saison par la tournée Le Drazal, avec le grand succès du théâtre de la Renaissance Le Fauteuil 47. du célèbre auteur Louts Verneull. dont le succès au cinéma a été ausst grand qu'au théatre. Le "autentl comédie exressiv.Ment gale avec un brin de eaulolserte Iéçère et irnvolse sans aucune çrossiêreté pouvant être vue et entendue par tour le monde La compagnie Le Draznl va terminer se, rowésentattons sur un succès ta location commencera tout le iour de heures midi et de 13 h. 30 à 17 hP.nes Té!éphone 5O-37

Jeudi prochain. mar* gala des Belle. tAansonj de France avec le plus populaire des chansonniers 'René de Bvxeuil et I une pléiade d artlstes réputés d'établtasenionts parisiens. Une revue d actualités, avec attraction Ae l'Olympia, le tout for mant nn programme varie et çal .LocaHon rnem.redi malin.

de Variétés

m MANON A L'ECOLE SAINT VIUXNT-DE-PUL. Concert spirituel. i;n concert spirit.uel sera donne le dimanche il mars, a 10 h. 30. dans la chapelle de l'Ecole St-Vincent. Des n.oleti de grands maîtres pour chœurs â 4 voix mixtes avec accompagnement d'orgue t't d'orche-tre a corde>. seront exécutés au cours du concert et Au salut ire3 solennel. Ce concert sera rehaussé par la présence de MM. Rimalson, ténor de l'Opora, soliste des concert? -ptrltuel» de la Madeleine et Cabelller. haryton et soliste de concert. NI. l'nbbe Inry organiste de la cathédrale, tiendra l'orgue. L'entrée sera gratuite, mais on pourra faire retenir ses places à la conciergerie de Saint-Vincent.

Une quête ;era faite au profit de la chapelle.

1 A la Tour-d'Auvergne N'oublicius H'»^ que' aujuin-d'hui niarji que b'uiwre la location pour celui reprcH-iiUiiion sensationnelle qui xra Juiineâ, diinanclie prochain il mars, pu, l'excellente troupe d amateurs de la T. A. Si on en Juge par les nombreuse, demandes de place» deja faite-?, il y aura foule i>oiir ai>plai;dii- aux exploits et aux lieriiHMief le bebert et htidtllr te> iléus hfiu> de têtu- pièce.

si voua voulez tue bien piu<* adre» stz-vuuf. de- aujourd'hui, aux bureaux de location wivert* à cet effet Librairie Juuln. rue de Brilhac. ou aux bureaux de IT. E R passase du CoueOfc. Prix ordinaires des places 1 3 :.S0 et 1,60,

Pour touer par téléphone, demande? te 3n-K.

La soirée de la S.S.B.M. à l'Excelalor Le 8 mars prochain, en soirée sera re présenté, pour la seconde fois i lunnes avec l'Ane et le Hutsseav de Musset, une pièce en quatre actes de Jean vanot, La Betle de Haaveiwu. créée d'abor' par la troupe de la Chimère et reprise ensuite au vieux Colombier.

C'est une complainte une vieille coin. plainte d'Alsace dant chaque couplet s'Illustre d'une scène une chanson mise au théâtre.

Le sujet en eet simple un soudard qui aime celle qui ne l'aime pas et sur ce thème. vieux pomme le monde et tou Jours nouveau. Jean Varlot a composH quatre tableaux dont chacun est un mo- ment de l'action Traitée selon la formule du drame In tégral, tel que Shakespeare en a fourni les meilleurs exemples la pièce débutb par trou actes de comédie fantat-tsto pour tourner court, subitement, et deve nir, au dernier, d'un tragique émou vant. Le tout est écrit en une langue qolido et drue qui abnnde en trouvaille* verbales. en cncasserles, en verro. en poésie que ne banalise aucune fauw senti mentallté Nul doute que le public ne Tasse à cette oeuvre I neeneil chaleureux qu'elle a déjà connu et qu'elle mérite N.-B. rous rappetons que la location est dès présent, ouverte à l'Excelslor.

SYNDICATS & SOCIÉTÉS Le CONCOIIR8 DE PECHE D6 U LlCUl DE D6PENSE Des DBO1TS Du CITOYEN. La ligue des Droits du Citoyen a l'honneur d'informer les autres sociétés de Rennes qu'elle retient la date du 8 juillet pour son con courl de pêche annuel, qui aura lieu CTiartres-de-Bretagne.

LF!s Trompettes Rennaises. Mardi, a •20 h. pour les premières, premières deuxièmes et batterie.

Mercredi, à la même heure, pour les seconde», secondes deuxièmes, altos et basses.

Jeudi, également ta même heure, répétition générale.

En raison de services prochains trfts Importants, la présence de tous est ab solumient indispensable.

A Lt FK4TERXHU Mnsioui Ce soir répétition générale à 9o h 30 La présence de tous les musicien, tambours et clairons est absolument indispensable en vue de la mise au point des service* de la Mi-Carême.

A u SOCIETE PnnTOKftAPBIQCE es RENDS. La prochaine rt-union mensuelle aura lieu an si^ge social, i. rue La ClttlotaL". le vendredi 9 courant, à h 30.

Présentation de nouveaux membres. Or. ganisation de la soirée du t-s mars. Communications diverses Projections. Les amateurs de photographie désireux de faire partie de la Société sont lnvités à se présenter à cette réuninn.

La causerie-conférence sur la composttion qui devait avoir lien le dim-rrhe Il courant, est reportée au dimanche 18 courant. Rendez-vous à 10 heures, place Salnt-Melalne à l'entrée du Thabor Se mifnir d'appnrell pt de plaque* Harmome L'IMKPBint-Vrg. Ce. soir i -̃• h -le inipoi .<n-f ix-pé-'ltlon. Prière à tons tes sociétaires de bien vouloir y asstster,

MOUVEMENT GENERAL DE LA POPULATION DE LA VILLE DE RF.N NES PENDANT LE MOIS DE F EVRIER 1928. Décès. Garçons, 35; hommes mariés, 33: veufs. divorcé. 1; ..oral pour le sexe rnatculin. 89. Fillos, femmes mariées, veuves, 49; divorcée, 1; total pour le sexe féminin, 108.

Enfants mort-nés 9.

Total Kéneral 20R.

ùaizsances. Enfants légitimes 57 garçon, fi6 filles; enfants naturels reconnus 3 garçons. 2 filles; enfants MatnieU non reconnus 7 garçons, ̃> filles. Total

Mariages. Total 55.

IHvnrre. 1.

ECHOS DU BANQUET DE L'U\!ON DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE. Nous avons dit hier je succès remporté par la manifestation de l'U. CL. Si commerçants et industriels avaient boudé pour la con-férence de la v«i:e, dimanche ils étaient venus nombreux au banquet. entraînés d'ailleurs par l'exemple, car la table li'honn, ur. aux cotés de M. Simon et des parlemeniaires. nous avions remarqué entre autres personalités, MM. Jacquart. vice-i'résideut; \ie.\andre, ancien président; Marion, ̃te.

Félicitons les dirigeants de l'U.C.I. v cette cordiale et réconfortante réuon.

POUR LA FAMILLE jREIMBOLD. .nous avons remis, dimanche dernier. a Mme Reimbold, le montant de la souscription <>uven<; en sa faveur dans notre journal et qui s'éleva s francs. Nous lui avons remis en outre deux paquots déposés à nos bureaux ces jours derniers.

Celte somme de 659 fraiKt va servir à payer le loyer échu de Noël et les notos d'un on deux fournisseurs Les vêtements et le linge contenus dans les paquets seront soigneusement utilisés.

Encure une fois, merci aux charitables lecteurs qui ont bien voulu s'intéresser à cette pauvre famille ils sont assurés de sa plus vive reconnaissance..

Voici un futur adT6aire de CamptK'll l de Franlz Lockiart qui s'entraîne, •n vue de battre \e '.•̃vord de vitesse en auto, sur !a piste en eintent. d- s jardins sur la Vilaine.

C'est un petit

[tonnais, le fils de \I. Gaspninard. bij-'utier. que nous espérons bien re1 l'Oliver parmi les engagée de la prochaine Coupe Florio.

x

Photo Ouctt-Sclair.

AVIS D'ENQUETE Une enquête de commode vel incominudo est ouverte à la Mairie de Rennes (l»r bureau), sur la demande et le dossier présentes, au nom au département, par M Rosiig'iol, entrepreneur d'é ;••! trilleation générale (réseau de repolir l'obtention de la ser vitude sur un terrain privé, en .-«̃ «lui i-niiforrie la ligne d'pneririe eliv iriquo HT. dite du Poiirtoin <l^ Hi'niios », terrain appartenant a M coque tM -ilué riiainp d-? la lusme. a Rennes.

A cet effet, la detnirriiie ut U? dos*ier visés ri-^tT'Mit pen dam huit jour' du 5 au W mars 19-»< incliiMviiTfcMit. à In Mairie de Rennobure-iti) où chacun pourra en prendre connaissance de <t heures à miili et -le il 16 heures

Un procès-verbal d'enquête est ouvert la Mairie pour recevoir le. rf clamutions et déclarations qui seront faites pendant la durée de l'enquête.

ETAT-CIVIL DE RENNES

NtlSSANCEi

5 mars. Marguerite Antona-Traversl rue Le Bâtard, il: Marcel Ttionia-, rue St-'Malo. André Jouan. rue de Nantes 63; Louis Chotard, rue St-Malo. f1: Jean Gilardeau. rue de Lorlent (Jardin» ouvriers); André Rétif. rue du Van-SaintGermain. 3; Loulsette Javaudin, Hôtel Dieu; Irène Dhuy, rue de hantea, 210. Guy de Sallier Dupin. rue Motte-Fable!. 2. DECES

5 mars. Veuve Remet. née Chopin. ans. boul de Strasbourg. 71 Suzanne Rlaut, 2 ans, bout, Tour-d'Auvergne, .lean Berthelot, manœuvre, marié. 00 ans,. Pontchaillou; Marguerite Delanoè. empl. de comm.. celld., M ans, rue Alfreil-deMus-et. 8; veuve Lebreton. née K.ihinlaux "S ans. Hôtel-Dieu; Félix Douabln. s. p.. n.arlê. 66 ans. Pontchaillon: Jean Rousselin, s. p.. marie, ans, Ponichaillou Louis Bassard, entrepreneur. veuf. 73 ans, rue Jean-Macé: veuve Huzé. née Rehel. 78 ans. rue de Paris. 108: Anse Pral-nel. s. p., veuf, 75 ans, rue de Paris, veuve Gautier, née Deschanips. S3 ans, rue du Mail. 6.

Uonvois mortuaires

du mardi 6 mars tws

9 heures Mme Beillet, bout. de Strasbourg. 71; .leanne d'Arc: Nord.

8 heure» Mme Drouyer, rue de Brest. 33; St-Etlenne Nord.

heures Enfant Riant, boul. de Latour-d'Auvergne, 69; Tous-ains; Nord. 2 heures Mme Lebreton; Hôtel-Dieu Est.

Janzé

COLLISION D'AUTOS. Vendredi l'auto de NI, Albert fils est entrée en collision avec une autre auto venant en sens inverse sur la route de Cesson à Noyai Le choc a été violent et \cf deux voitures ont subi de graves dégâts matériels. Il n'y a pas eu d'accident de personnes.

UNE S^IHtE DE GALA, C'est miirdi prochain. 13 mars, que doit avoir neii la soirée de gala organisée par ,e -loupe Musita. avec le iimcour» de l'orphéon La Fraterl'elle des sol.sies de l'Harmonie Kou^eraisr. de chanteurs et du groupe théâtral.

Nous donnerons très prochainement un exposé, du programme détaillé de ̃ ette soirée qui 6'annonce bien. Mais que. dès maintenant, on prenne da.te

TAPAGE NOCTURNE. Joseph Royer, rie la rue de'Lavàl qui, dans la nul; de samedi à dimanche chantait et faisait du tapage en passant rue des Prés .'est vu dresser procèsverbal. pour tapage nocturne. EUGENIE LEGRIS SE GRISE. La femme Eugénie Legris, nomade qui, vendredi après-midi, place dambetta, fu trouvée., grirt par un agent, dut aller bon gré mal gré passer le reste de ;a journée ef. la nuit au violon. Elle fut rendue à la liberté le lendemain quand elle eut recouvré ses sens et un peu pi.. de raison. Procès-verbal lui a été dressé pour ivresse publique et manifeste

QUELQU'UN QUI L'A RISQUE BELLE C'est M. larraud fils, du collège de Fougères, qui, descendant

lundi matin vers 9 h. en automobile. ie boulevard de Rennes, est allé heurter un poteau télégraphique du bord de la route.

Le choc a été violent mais heureusement ni le conducteur ni les trois autres personnes qui épient dans la voiture n'ont été blessées. Des dégàts matériels seulement à la voiture .et au poteau

Il parait que l'accident e question aurait été causé par la faute d'un autre chautm ur, qui n'aurait pas observé, comme il faut, le code de la route. Une i.nmiète est ouverte. A LA LIGUE PATRIOTIQUE DES FRANÇAISES. Au cours d'une réui.-iou organisée dimanche soir, salle dès fêtes de la rue Rallier, par la Ligue patriotique des Françaises, Mlle Kre-sn#ui. déléguée civique d'Ille et-Vilainc. prit la parole et parla de l'organisation de la Ligue, de l'Union et de l'Entraide.

Après élit-, le R. P. Viollet, aumônier diocésain de la Ligue dans la Sarthe. développa les buts de la Lisni* et ses moyens s'unir pour réagir.

Autour de la présidente. Mme d'Avetiel. du Comité: de M. l'abt>£ finilloux. aumônier de la Ligue, près de ?0 personnes avaient répondu à l'appe-1 lancé par le Comité local.

OBSÈQUES

RENNES. Vous Mes prié d'assister au convoi et à la tueuse d'enterrement de Madame veuve GAUTIER

Sée Mnrte IWïCUAMPS

décédée a Rennes. 6. rue Ou Mail, dans sa 83· année, qui aurnnt lieir le morcredi 7 mars lïWfl à lo heures du matin. en léRllse (le Saint E:ennc. On se réunira à la maison mortuaire à 9 h. L'inhumation aura lieu au Cimetière du Nord.

De la part de XI. et Mme %filon. ses neven et nièce; M. et Mme Chartes Linge lier. NI. et Mme Charles Priour. NI. et .%fine Alfred nu!>ois. Ni. et Mme Rouer Gantier ses petits neveux et (iet ile~-i>iêces; Mlle Anne-Marie Mtriais. sa fidèle errante.

Le présent avis tient lieu de faire-part. JOS5FTJN BR^ST-REIWES. M nu*t.-)VP TirxlPt contn'ileur (lo tru classe de l'Administration de la marine. en retraite. officier de la lésion (l'honneur: Mlle Thérèse Bodet. Mme Olivier De Lnnni>- Mme Denis Kortet et $e« enfant»; NI. et Mme Emmanuel Bolet et leurs enfants; NI. et Mme l.oni* Bodet et leur? enfants: le Docteur et Mme Henri Roitet et leur» enfan's: Mme Armand le Gall et ses enfant* Mlle Marie nodel; MIIp Olive IV [.tune: le Docteur et Mme Charli'* Fevfinl M. et Mme Le Rerd et leur» onfrints: Mme Picard: NI et Mme de Massot de Lnf^ni: SI. et Mme Edouard Janvier et le-urs entant' M. et %fine An suste Janvier et lem fille: M et Mme l.o viconl rt leur? enfants

Ont l'honneur de vous faire part de la perte douloureuse (iii'lls viennent d'épron ver en la personne de

Madame Gustave BODET

Me Mari? DE USOK

leur épouse, mère, nulle sœur, nlt^ce. tante et couine pieusement décédée Josselin. le mars. dans sa 7r année. ntunie des sacrements de l'Eglise

Et vous prient d assister a la cérémonie religieuse qui aurd lieu le Jeudi 8 mars, à 10 h. M, à la Basilique (If N.-D. du Roncier [.'Inhumation se fera au cimetière de Josselin.

Ni Heurs ni cnironnes

Lr. présent aris lient «eu île lettres dt tenrt paît.

SAINT SERV AN SUR MER v™, (Mes prie il'i^sister au jeivic* et à l'inhumation de

Monsieur Jean-Louis ILLIET

clécadé à l'Hôpital du Rosaire, qui auront Ileu le mercredi mars. à 3 heures rrécises en la Chapelle de l'Hôpital. De la part de Mme liliet. sa veuve: des ramilles Illiel R.iymond. Leet

Le présent avis tient leu de f-iire-part. T" T Vous êtes prié d'assister aiit ohseques de

Monsieur Louis LOUAISIL

décédé A Craffnult le mars, dans sa 16' année. muni de» Sacrt-ments de l'Eglise qui auront lieu l'Iéilran le' jeudi R mars à 10 heures.

[le la p-'ti ne Mfn»* f.o«in *il «on éiiouse dt-s enfants 'le la famille.

NANTES Vnus ftcs prlé d,a5sister Madame Edmond CANAC

Nte Dentse OIHST'U.tU

décédée tirasse, le mars ltt». a l'âge de ans. qui auront lieu le mercredi 1 mars. Il 9 h. 3b, en la Basilique SaintVi CT'Uv on re demi .e réunira

De la part du D' Einiond Canne. son mari. Michèle Canac. sa fille: M. et Mine Gabriel Uuist'haii. ses père ei mère; M ci Mme Henrt Cuist hau et leurs enfants: M et Mme Raymond Gulst'hau et leur* en fants M et Mme Marrer (lulst'hau: Mlle Odette îiulst'haii ses frères iceur. belle» smurs neveux et mèces. M et Mme Cas ton ranac ses beaux -parents: M et Mme François Canac et leurs enfants Mme Vve A,t*n Cminc < ordier et ^a fille: ses t.eaux frères. t>ellc-« sieurs neveux et nièces, ei des familles liuiat'tiHii. ozuux Picheret Mal.sonneuve. Pounlanc et Lelhvre Inhumation cimetière Miséricorde. Le prtMfll dois ttmt Uni de tair+part.

ANTRAIN S' COUESNON- vous êtes prié d'assister au convoi et à la (iKsse d'enterremeut qui aurom lieu la mercredi 7 mars, il heures, en l'Eells» d'Antrain-sur Couestion pour le repos et salut éternel de l'anie de

Monsieur Louis BASSARD

Ancien Entrepreneur de travaux public. pieusement décède, dans sa année muni des sacrements de l'Eglise.

Ue la part de NI. et Mme Auguste Bassarcl. ses enfants; XI. et Mme J.-B. Courtais. ses enfants; M. Jean Bassard, M. Augusle K:i.->artl, ses peiila-eiifants.

Et de t-ute la famille.

SAINT-MALO SAINT-COULOMB., W.-us ètts prie d'assister au\: convoi et nies-No dVnterrerïiont de

Madame veuve TREHEL

\t'e Marte-Louise (ALBERT

décAJœ en son domicile. Chemin-Pavé, Saiut-Maio. dans M année, qui auront lieu le mercredi 7 mars 19-ii à 9 h. 30 en l'enlisé de Rocabej.

Le mnroi tartira de la m.iliîon mortuaire rue Jules-FVrry. à 9 h. 15.

L'inhumation aura lieu au cimetière de Saint-Coulomb.

De Profundis 1

De la part de M. et ]fine Olivier Tréhei. )t. Crfjorecj; Tt·éhel N. et Mme UUvault Et leurs enfants et de toute :a tamiille. Le présent avis tiendra lieu de fairepa rt.

DINARD SAINT-ENOGAT. Vous ètes prie 'd'assisier aux convoi et à la messe d't-nterrenit?nt de

Monsieur Auguste DAGORNE

Menuisier

décédé ilan-s -a année. Les obsèques auront lieu le mercredi 7 mars, a 10 heure- en l'église de Saint-Enogat. On se n'unirai 9 la maison mortuaire S0. rue da Saint-Knosat :i ;> h. 45.

De la part. des iamilles Dagorue. Le.erand et Catnu».

Le présent avis tient lieu de faire-parti PLEURTUIT- Vous «e» prié d'»*- sister au convoi et à la messe d'enten*ment d"

Madame LESAICHELLE

itécédée à la Liuudais. en Pleurtuit, dans sa anné«\ qui auronl 2u le mercredi 7 mars, à tu h. i/ï ju matin. en l'église de l'leurtuit. On se réunira A la maison mortuaire à 10 mires. L'inhumation aura lieu au cimetière de Pleurtuit.

I» la part de M. Marie-Ange Lesaichelle son époux; de ses enfanta, et des familles l'uxault. Losaichelle.

Le présent avis tient lieu de faire-part. REMERCIEMENTS

RENNES. Les familles Auvr-.iy Hapdy. Briand Bai H y. More). ti*s touchées des temoignaRes de sympathie reçus a l'occasion de leur deuil, prient les personnes nui ;es leur ont donné de recevoir leurs vif% remerciements.

RENNFS. Les ramilles Piégais et Cdjrrfl remercient bien sincèrement tontes les fersonnes qui leur ont témoigne de la sympathie a l'orcasion de la perta de leur cher petit

ROBERT

CORPS-NUDS- Mme Vve Charpenlier, NI. et %fine Lucas et la fa,uiilie remercient les personnes qui leur ont témoigne de la sympathie l'occasion de la perte cruelle de

Robert LUCAS

leur petit-fils et fll?.

CHATEAUBOURG ST-BRICE-ENCOGLÊS- Les familles Chois}-. AddeSt remercient bien sincèrement les personnes qui leur ont leur sympathie a l'occasion du décès de

Madame Veuve ADDES

Me Marie LEHODET

NANTES AriRAY- Les famines nienef Durand Aiihlneau Huertn BrosMrcl Bernard Kourhard Foreet et Marnllv renvercipni bien virement les penonnes nul ieur ont ténn>iirne tant de st«hMadame Georges BIQUET


LA DKRMK..E D' • UN DIVORCE •. Pour la troisième et dernière fois dimanche soir, le groupe artistique des œuvre* sociales catholiques donnait au Tht-àtre municipal « Un Di• vorct de l'an! notu-fiet et André C.uIl ne tau |KÉim ia^str passer l'occasion de faire encore i .e fois des compliments aux artistes amateurs Miles Y. Baliii. Thomas, L. Fontaiwe, M Thierry, et la petite MarieThérèse Chrétien; MM. A. Corvaisier, C. Chrétien. F.. Hacot et J. Gaudiche, ils les ont bien mérités. Et maintenant. au plaisir de If-s revoir et de les entendre a nouveau biemot BAZOUGES LA-PEROUSE

UN CYCLISTE RENVERSÉ PAR UNE AUTO

Jeudi apr<V-iiiidi. vits 17 h. 30, une collision Vest produite au carrefour de Vaugamy enttv l'automobile du docteur I.esoue;. île Renne*, qui se rendait à Ri mou et NI. Provosi, bourtvlier à Razouges. qui venait en «=ns inverse à bicyclette.

v choc fut violent et le cycliste 1-rojeté sur la chaussée fut ivlevé'sa.ns connaist-anr. Sur place. If docteur lui prodigua 1rs premier-, soins et le fit r^conduir'1 .'i son domicile; zon t-tai n'est heureusement pas grave. L'nutomonili-te déclare avoir actionné son avertisseur, mais 1- cycliste prétend qu'il n'a rien entendu. La voiture n été quelque peu abiMire, le v>'ki aussi. I. 'enquête continue UNE REUNION ELECTORALE. Bazouges-la-Pérouse est, après Fougères, l'une des plus important agglomérations de 1 arrondissement L'annonce d'une îOunion t.enue sous les halles par M. I.ffas. député, avait attiré un trî-t crand nombre d'auditeur. comme on en vit rarement à Gazouge>.

L'orateur parla elonuemmem de la situation financière que le cartel des gauche-: avait fin deux ans si grandettutu compromis Pt qui. jrrâce à M. l'oinoaré et à sa majorité d'union naConale, est en bonne voie de redre^setnfn:. Il montra aux électeurs présents. ire« attentifs ,"i son exposé, que !.s impi'i's actueU avaient &<' votés île* 19K par Ip bloc des gauches, ce rrisine cartel qui avait promis en l'abolition .lu chiffre d'affaires et qui

TIMBHES en CAOUTCHOUC et en CUIVRE PLAQUES GRAVÉES et EMAILLÉES AMONET, Graveur

rue d'Estrées (2' Et.), RENNES ~la~véKte DES PRODUITS SAVANNAH est exclusivement réservée

à RENNES aux

ÏGKS DU MÉNAGE

Place de la Poissonnerie

Boîte N 3 1. 10

Boîte N° 5 1.80

I DAMES et ]MESSIEURS ̃ FRANCIS GÉRARD

COIFFEUR-SALONXÎER

39, Rue Saint-Georges, RENNES.

M E N AG E av*° 2 enfants dem. à louer de suite 1 Du 2 pièces. S'adr. Agence Havas. RENNES, n* demandé pour faire marrclifo. Références S'adresser Agence Havas. REN'XES. n'°

A LOUER de saiie MAGASIN libre n LOUER Pas-de-porte. s'adr. Agence Havas, RENNES, n*

LEÇONS DE COIFFURE Coup» Ondnlation Mise en pils BOIS8IERE. Professeur de Paris

1. rue Dupont des Loge» (rez-de-chaussée). A vendre à Rennes, canton S-E. MAISON 4 pièces, cave. greukr. puits w.-c.. 300 naij. jardin niltivé '.liante. Très bonne ocras, S'adresser Agence Havas. Rennes. 6B2 v rue des Krancs-Bourgeois. RENNES. LAVAGE DE TETE 1 FRANC Cheveux longs ou courts, même prix. roupe fr. ondulation durable. 3 fr. Boiulere, g, r. Iïupont-des-Loges (r.decli.l

n-a pa= réalisé cette suppression, d'ailleurs impossible dans les circonstances actuelles. C'est, au contraire, NI. Poincaté, dit-il, qui a commencé et poursuit la réforme de cet Impôt. La partie du discours relatif aux questions agricoles, aux baux à long terme, aux indemnités aux fermière sortants, toutes questions dont M. Ltlas s'est beaucoup occupé à la Chambre, intéressèrent particulièrement l'auditoire présent et il termina en donnant les grandes lignes de son programme la paix dans l'union et la liberté, véritables sauvegardes d'une RPpublique 'ligne de ce nom. L'orateur fut très applaudi: aucun contradicteur ne se présenta.

De l'avis de tous Us auditeurs, cette réunion fut une des plus intéressantes nui aient été tenues depuis longtemps a Bazouges-ia-Pérousf.

Noyal-sous-Bazeuges

AVANT LES ELECTIONS. Il y avait grande affluence au bourg, ̃dimanche midi, pour entendre l'exposé de NI. Lefas, député, sur son mandat législatif et la alle fut tron petite pour contenir les électeurs venus là. Plusieurs questions lui furent posées, notamment sur les pensions des anciens combattants et la crise financière. Il y répondit de la façon la plus précise et. en ce qui concerne la panique de 19?6. montra qu'elle fut le fait du Cartel radical et socialiste et des manmuvres de certains pays étrangers.

M. Lefas fut acclamé e. la réunion prit fin dans une atmosphère d'absolue rorrtialité.

Maroillé-Raoul

LA REUNION DE DIMANCHE DERNIER. On nous apprend que dimanche matin, M. Lefas, député, fit une conférence à Marcillé. Il y rendit ompte de son mandat et définit snn programme. La presque totalité des érecteurs assistaient a la réunion. Saint-Brice en Cogles

AUTOUR DUN LARCIN. Mlle Angèle Jégot. domestique de ferme. prés de Saint-Brice, a constaté ia disparition de quelque menue monnaie que contenait son sa' ;1 main, dépose dans une armoire. Son pa- tron, M. Lepennetier. s'est également aperçu de certaines disparitionc, sacs grande valeur d'ailleurs. Tous les deux ont prévenu la gendarmer -Au cours de on a interrogé un jenne homme qui nie être l'auteur de ces menus larcins. L'affaire en est là.

Les sans finîtes possèdent un journal complM, documenté et intéressant tis lisent e Petit Radio. Un an 25 francs.

DANS LA- FOURRURE Les travaux d'aménagement des locaux loués par la ville à NI. Louaisel, rue de la Mariais. vont être termines à très bref délai. Lundi prochain, si nos renseignements. sont exacts, la fabrique commencera à fonctionner avec 30 ouvriers et ouvrières Le lundi suivant il en sera embauché 20 autres, le lundi après 20 autres et ainsi de suite. jusqu'à concurrence de 100.

La fabrique Sabourel occupe déjà ime dizaine d'employés et ce nombr^ sera triplé et mème quadruplé quand les travaux d'aménagement actuellement en cours seront terminés.

LE CHIEN ETAIT ENRAGÉ \ou.s avions signale qu'un chien venant d'Antrain qui, le le' mate, errait à travers nos rues, avait été conduit à la fourrière et que le médecin vétérinaire l'avait ntis en observation, ayant estimé qu'il présentait certains signes d'hydrophobie. L'animal est mort le 2 et une note de M le commissaire de police nous apprend que « les signes cliniques observés du vivant de l'animal et l'autopsie, ont établi que le chien était enNous nous attendions un peu à ces conclusions. Quand on veut tuer son chien, ne. dit-on pas qu'il est malade Mais ne peut-on penser que la pauvre bête est devenue enragée précisément pour avoir été muselée ou tenue en laisse pendant des mois et des mois

En tous cas, le maire fait également savoir qu'à la demande de Ni. le commissaire de police» et à partir d'aujourd'hui, l'arrêté préfectoral du février prescrivant de tenir ,es chiens en laisse, devra étire scrupuleusement observé.

Il faut donc s'attendre sous peu à des contraventions et aussi. de, nouveaux cas de rage qui démontreront., l'utilité de l'arrêté préfectoral Etrelles

aUTOUR D'UN ACCIDENT. ConIriii'vinent i ce que nous écrivions dimanche. \fine Berhault, de la MotteG'Tard, commun* d'Etrelles, n'est •heuîvusement pas décédée des suitcs de sos brûlures.

LA NOUVELLE

FORD

est à l'avant-garde du progrès

Venez la voir

MARDI 6 et MERCREDI 7 MARS (à partir de 9 h.) chez

LECLAIR, GUENEL & LADAM Garage Paris-Brest

48, Avenue du Mail

R. C. B. 30 RENNES Tél. 20.36 A VITRÉ

les Jeudi 8 et Vendredi 9 Mars, 3 VITRÉ-6ARA6E MESDAMES

Faites-'vous faire des maintenant une

INDEFRISABLE Chez ERNEST et MAURICE, Coiffeurs, Rennes, 3, rue Volvire et vous serez encore parfaitement ondulée t.out l'été.

OCCASION UNIQUE ACTUELLEMENT MISE EN VENTE | PAPIER A LETTRE sans onvelop- PAPIER A LETTRE blanc. format:: S pes blanc et couleur (hors for- régulier. vendu en ramette. 5 S mat) vendu au poids. t La ramette' de 200 feuilles 6 fr. S ENVELOPPES COMMERCIALES Bulle, soldées à 8 fr. le mille SENSATIONNEL BLOCS-LETTRES 100 feuilles papier surfin bleu, æ SENSATIONNEL lilas, vendus au prix de fabrique, 4 fr. 25 l'un. = OUVERTURE DE CE RAYN de 9 heures heures El S et de 14 heures à 17 heures S 5 louï ces articles sont vendus au comptant sans reprise ni échange. æ S II n'est fait aucune expédition, s | Bibliothèque de l' « Ouest-Eclair », 38, Rue du Pré-Botté |

DOCKS DU iv. EN AGE, PI. de la Poissonnerie, RENNES MARDI 8 ET MERCREDI 7 MARS

Un let couteaux de table acier garanti Savon Bath Soap rond. qualité extra. Savon marbra rouge, le morceau. manche noir ou palllssanrtre. garanti pâte pure. au lieu de 1.80. 1.S0 Les dix Valeur 1.70 1.1S Savon extra pâte pui-p rlélicieusoment Savon blanc extra 76 Marseille. Couteaua d'office très belle (jualité, parfumée A l'Eau de Cologne. Pour ces I.e morceau manche palissandre Réclame. O.U deux jours seulement, le pain, au lieu Le carton rie 16 morceaux 2J. SANS LENDEMAIN de 2 fr. 1.4S Huile de table arachides rufisque extra Un lot trou jolie toile de solo de tarare La boite de trois .• J.M garantie pure. Pour ces deux jours dite soi/x?ttc largeur S0 teintes dtver- Savon vert extra, aux Huiles de Palme. seulement, le litre ses. quant* exceptionnelle, pour lin- LES DEUX PAINS 1.S0 Crème Eolipse, le Il' 3. pour ces deux *erie fine, le mètre, valeur réelle V. or Savonnette* réclame bonne qualité, pâte jours. 1.' Ces deux jours i.b0 fine, tous 0.96 VENTE ABSOLUMENT EN CONFIANCE. Un lot éponKM de toilette 0J0 et.. 0.60 Savonnette! réclame, bonne qualité. O.«S LIVRAISON A DOMICILE. Les Jeudi 8, Vendredi 9 et Samedi 10, GRANDE VENTE SENSATIONNELLE DE PRODUITS DU LION NOIR )) PRIX NOUVEAUX sans concurrence. PRIMES INCROYABLES.

Comment l'accident est-il arrivé? La malade a raconté que se trouvant prés du !eu, et tenant dans ses bras un enfant de deux ans, elle s'était aperçue que sa jupe Uambait. Elle déposa l'enfant dans son berceau et sortit pour appeler au secoure, mais les flammes l'enveloppaient et elle ne dut la vie qu'au secours immédiat de se, voisins,

IFFENDIC

UN VIOLENT INCENDIE 200.000 francs de dégâts

Dans la nuit de samedi a dimanche vers h. du matin, un incendie s'est déclaré chez NI. de Saint-Gilles, proprié'aire à la Ville-Carré. en Iffencîic

L'alarme aussitôt donnée. Mm* de Saint-Gilles qui était seule avec sa domestique n'eut que le temps de sauver ses enfants Quand un* demiheure après, les pompiers île la commune arrivèrent, ü était déjà trop tard pour enrayer les progrès du feu. Tout l'immeuble a été détruit avcc les objets qu'il contenait.

Les dégâts sont évalués à francs et assurés.

La came de cet incendie est purement accidentelle Le feu aurait pris naissance dans la chambre de la bonne ou dans le grenier au-dessus de la chambre déclare- la domestique. Cell--ci avait l'habitude de s'éclairer avec une lampe à essence.

CERCLE ORPHEON1QUE DE REDON. Après le brillant succès des deux représentations de l'Arlésienne, le comité du Cercle Orphéonique tient à remercier tous ceux qui contribuèrent à donner de l'éclat à nos représentations. Il remercie d'abord d'une façon toute particulière les lalentueux interprètes de l'Artésienne, dont la renommée a franchi bien loin les limites de notre cité, attirant même des auditeurs de grandes villes voisines, ce qui est fort flatteur. Merci à MM. les membres de l'orchestre, brillants professeurs du, Conservatoire de Rennes et amateurs réputés de Redon. placés tous sous la baguette de M. Journe, le sympathique directeur de notre Cercle, qui les dirigea avec brio.

A nos choriste*, au directeur des chœurs, merci pour leur dévouement et pour la bonne exécution de la partie qui leur incombait elle fut fort goûtée du public.

Nous remercions aussi vivement les autorités qui prouvèrent par leur présence que nos efforts étaient compris et nous apportèrent ainsi une bien vive marque de sympathie. A la Presse qui accueillit toujours d'une façon charmante nos cominuniquoe, nous exprimons nos mailleurs sentiments de reconnaissance, ainsi qu'à toutes les personnes san^ exception qui nous prètèrent d'une façon quelconque leur précieux concours pour l'organisation matérielle d'un tel spectacle.

Compliments à NI. le Chef du Secteur électrique qui ne négligea rien pour transformer en véritable féerie l'éclairage de la scène et de la salle. Noue terminerons en disant au pu blic combien les organisateurs fu rent touenés de l'enthousiastne avec 1 quel il envahit littéralement notre salle des» fêtes, nous nous excusons d'avoir été oblijé de bloquer un peu les places, mais n us fûmes débordés par les demandée et nous désirions malgré tout ne refuser personnel. Merci donc à tous.

Dès ce jour, nous prenons l'engagement de continuer de travailler plus activement encore à la décentralisation musicale et artistique, but de notre société, afin de maintenir à la ville ne Redon le bon Tenom qu'elle s conquis dans un rayon fort éloigné. C'est le but seul des organisateurs, rien ne nous fera dévier de cette voie que toutes les bonnes volontés viennent à nous, elles seront toujours bien accueillies. Le Comité.

Sixtsur-Aff

SEANCE RECREATIVE. Dimanche dernier à 3 heures, les jeunes filles de Sixt donnèrent une grande représentation théâtrale qui obtint tout le succès mérité.

Nous ne pouvons que louanger les actrices et les principaux organisa teurs de cette agréable soirée. .On nous annonce que les jeunes gens du patronage ont l'intention de préparer une séance pour Pâques. Vu le succès remporté par les jeunes filles, il n'est pas douteux que cette nouvelle ait un accueil favorable.

A LA COUR D'APPEL Un énergumène

Herbin Georgés-Paul, 23 ans, actuellement garçon-épicier à Levallois. 18, rue Anatole-France, avait été rencontré par les gendarmes, le 19 septembre dernier, alors qu'il roulait, la nuit, sur une bicyclette non éclairée. C'était à Pleurtuit, près de la Ville-èsMonnier. Herbin habitait à Dinard, à ta Badinais.

Interpellé par 1es gendarmes, il donna un faux nom Deloge, sans descendre de sa bicyclette. Les agents de l'autorité insistant, il reprit Je me nomme Desgros, boulevard Féart, à Dinard et brusquement il décocha un coup de poing formidable dans la figure du gendarme Pestel. Le gendarme Simon subit le même sort et roula à terre avec son agresseur. Alertés par le bruit, des voisins acccururent avec des cordes et c'est ficelé comme un dément qu'il fut déposé dans la chambre de sûreté,

Le 30 octobre le Tribunal de Saint-Malo le condamna à un an de prison avec sursis et 200 francs d'amende pour coups et blessures à des sganls de l'autorité dans l'exercice de

leurs fonctions et déclaration de faux'état-civil.

Herbiu fit appel, mais il était à Paris. Ce fut par défaut qu'il fut condamne à six mois de prison et w0U tr. d'amende. Opposition.

Lo Cour confirme purement et simpleuent son arrêt du 20 décembre

LA SAINTE-OUI.NE. La populai- se eti honneur à l'occasion du pardon des Ttrreneuvas s'est clôturée dimajicha soir.

Favorisée par le beau temps, elle a obteuu cette année un succes cosiplet. Le. forains qui nous quittent ont fait de bonnes affaires, se promettant pour la plupart de revenir à où le meilleur accueil leur est réservé.

Les amateurs d'attractions foraines devront maintenait attendre l'ouver- turc de la Saint-Servan, place Màréchal-Foch, dont quelques semaines seulement nous séparent.

CHEZ LES OFFICIERS DE RESERVE. L'Association des Officiers de Réserve de la subdivision de SamiMalo clôturera la série de ses réunions d'hiver par une dernière matinée dansante qui aura lieu le dimanche Il mars de lô heures a iO htures. dans les salons de l'hôtel de France et de Chateaubriand à SaintMalo. Il sera perçu à l'entrée, 5 fr. par persouue (vestiaire compris). Aucune lettre d'invitation ne sera adressée. Les personnes en ayant reçue lors des séances précédentes sont priées de se considérer comme étant invitée.s; il leur. suffira de se présenter au contrôle. Quant aux autres qui en désireront, elles en trouveront comme d'habitude soit cha NI. Avice de Uellevue, à Saint-Sfrvan, soit chez NI. Bolifraud. a Saint-Malo.

SOCIETE DE SECOURS MUTUELS ENTRE LES MARINS EMPLOYES A LA PECHE A LA MORUE. Un grand nombre de marins négligent de verser leur cotisation au moment du passage de ia revue d'armement ou tout au moins avant le départ! de leur navire pour la campagne de grande pêche.

Le Conseil d'administration de la société appelle l'attention de ces ma- rins ou de leur famille sur la néces- sité que cette cotisation doit être acquittée pour permettre de verser le secours immédiat en cas de décès ou de disparition.

Ces cotisations peuvent être reçues par le syndic des gens de mer à StMalo lors du passage de la revue, dans les syndicats dépendant de ce quartier ou dans les banques Leherpeur et Gilbert.

LE PRIX DU GAZ. En raison des travaux considérables faits à l'usine à gaz par la Compagnie Le Bon, le Conseil municipal l'a autorisée à augmenter le prix du mètre cube de gaz de 0 fr. 03 pendant deux anc. LA QUESTION DU SABLE. Nous avons publié récemment une lettre du Svndicat d'Initiative, demandant de faire cesser les enlèvement de sasble sur la grève.

Souhaitons qu'il en soit désormais de même sur les terrains situés en bordure de l'avenue Louis Martin, où les enlèvements déjà pratiqués, ont creusé un trou qu'il est inutile d'approfondir.

Ce n'était pas la peine de combler il y a trois ans le trou nauséabond qui existait à cet endroit, si on doit en refaire un autre.

Dinard

OFFICE DE PLACEMENT GRATUIT. L'Office de placement gratuit installé au Château de SaintMalo (téléphone signale à MM. les Employeurs et Employée, qu'ils peuvent s'adresser ;V la mairie pour y faire leurs demandes ou offres d'emplois. Des fiches sont à leur disposition.

L'intéressé ayant rempli une de ces fiches cet prié d'en demander la transmission à l'Office de St-Malo par les soins de la mairie.

L'Office s'occupe du placement des domestiques, employés et ouvriers des deux sexes de toutes proférions. (Voir note affichée à la mairie.) Ce communiqué est valable pour lee communes du canton Pleurtuit, St-Briac. St-Lunaire, La Richardais, Le Minihic-s'ur-Rance et Dinard. PERDU lundi matin Roue de secours entre l'hôtel du Commerce (gare),. rue Gardiner, St-Enogat. St-Lunaire et St-Briac; la rapporter Maison Oiain, mercerie en gros, St-Malo. Récomp.

Roz-Landrieux

CHIFFRE D'AFFAIRES. L'impJt sur le chiffre d'affaires et les meublés, et la taxe d'abatage seront perçus à la mairie de Roz-Landrieux de main, mercredi 7 marc, de 9 heures à 10 heures.

Mont-Dol

CHIFFRE D'AFFAIRES. L'impôt sur le chiffre d'affaires et les eublés et la Taxe d'abatage seront perçus à. la mairie de Mont-Do], demain mercredi 7 mars, de li heures 15 heures.

Cancale

AUX OSTREICULTEURS. L«s détenteurs d'établissements de pèche qui auraient des observations à faire au sujet de la redevance des concessions (concernant ts taises) font priés d'en faire part à M l'Administrateur de l'Inscription mariMnr. à Cancale, avant le 3eud 9 ma.rs

Saint-Méloir-dea Ondes

CiRAXD CONCOURS nE TIR. L grand concours dp tir eut organisé riiez NI, Sauvage, Aux Portes, n StMéloir-aes-Ondc* pour le dimanche 11 mars prochain. Nombreux prix, dont une bicyclette. Le concours commencera à 8 heures du matin. NOS CHASSEURS. Le chasseurs de la commune <*<? Saint-Méloir-d«.Ondecs sont invitas à se rendre il!manche prCH-hatn, chez Mtno Vve Bézier, à lit heurts Il,1 matin, pour s'entendré relativement eu repeuplement. Iimportantes décisions à prendre.

REVUE. L'équipage du 3-màJS Stella-Marie, capitaine M. Jean Noslier, amateur M. Théophile Lemaltre, passeta la rev-e d'armement 1° la marine de Car^ale, le mercredi 7 courant, à 10 h. 30: le jeudi 8, à 10 heures, à Saint-Brieuc et le même jour à Dinar, à 14 heures.

A PROPOS DU PARDON DES TERRENEUVAS. Plusieurs lecteurs se demandent pourquoi la musique mu

nicipale, rétribuéè par tous les gens du pays, s'absti.ndrait-elle de partioiper à cette fète de nos marins, Les Cancalaiô se plaignent de ne pas l'avoir entendue au cours de la saison hivernale.

UN CYCLISTE BLESSÉ PAR UNE AUTO

Dimanche 6oir, M. Jaflrain, demeurant a Langueux, rentrait a son domicile, monté sur sa bicycistie et 6aivait la grande route d'Yftiniac. Derrière lui venait une automobile conduite par \t. Métairie, négociant Il Saint-Brieuc, dont le cycliste ne sut pas se garer à temps. M. Jaffrain fut renversé sur la chaussée et eut l'épaule fracturée. Le «blessé a été transporté chez lui et a reçu les soins de NI. le docteur Lafon.

LE MOUVEMENT SOCIAL

CATHOLIQUE

Toua les ans, l'Académie d'éducation et dentr'aide sociales, qui a pour président Ni.or Baudnllard, de l'Académie Française; pour vice-président. M. Gwrges Ooyaii, de l'Académie Française p.1ur secrétaire. M. Jean LeroUt-, président du jfccrùtariat social de Paris, organise une tournée de conférences dans une des régions de la France.

C'est ia Bretagne qui en bénéficie ectta année.

\t. Geoffroy de Grandmaison, après avoir parlé successivement à Rennes, Vitré et Dinard, fera une série de conférence fur « le mouvement social catho. iique au xtx« siècle.

Le vendredi 9 mars, à 16 h. à l'Hôtel de Ville da Saint-Brieuc le samedi 10, à 16 heures, a Quintin le dimanche 11. à 20 h. 3û, ealle Charte» de Blois à Guingamp le lundi 12 a Ltinnion.

M. Geoffroy de Grandmaison, président de la Sxiété Bibliographique, a été pendant plus de trente ans le lideL; collaborateur de Ni. de Mun il est particulièretnent désigné pour parler du mouvement social chrétien.

SYNDICAT DEPARTEMENTAL DE LA BOUCHERIE ET CHARCUTERIE DES COTES-DU-NORD MM. les Bouchers et Charcutiers du départ-ement des Côtes-du-Nord tont ayis^s que la prochaine assemblée générale du syndicat se tiendra à Saint-Brieuc le dimanche 11 mars à 10 heures précisée, dans la salle des fête» de l'Hôtel de Ville.

Le banquet annuel auquel sont con.viés tous les parlementai ree du département aura lieu à l'issue de la réunion (12 h. 30), dans les salons de l'Hôtel de France, sous la présidence de Ni. le Préfet des Côtes-du-Nord. I.e prix du banquet ee-t de 20 franco par per-onne. Lfs rollègue; désireux de s'inxrire sont priés de s'adrerwr avant le 5 mars, à M. HiJlion Ilis. boucher à Saint-Brieuc. Les dans sont spécialement invitées. De nombreuses surprises seront distribuées à la fin du banquet.

Cett2 réunion exclusivement corporative promet d'être des plus réusLe bureau du Syndicat invita donc instamment tous ses adhérents à il assister nombreux à l'assembla générale et à s'inscrire au pluô tôt au ba.nquet Il espère sincèremem que son appel sera entendu et concoursde sa présence si précieuse pour la; défense des intérêts communs.

Lamballe

NOURRISSONS. Nous apprenons avec plaisir qu'un service gratuit de pesées de nourrissons est organise à la Mairie de i.ambal:e, sous la présidence de Mme L. Goure!. assistée de Mmes Grovalet. Bourgault, Labbé, Auffray. Boin.t. Pascal, Puel. Paillard, Àurière, Denis et de Mlle Delisle.

Ces dames invitent instajnment les maman» à amener leurs bébés à la pe?ée qui aura lieu dans une salle de la Mairie., tous les premier et troisième lundis de chaque mois.

A LA CIPALE. Le Conseil mnru- cipal a accordé une généreuse rtiovention pour aider à couvrir les frais du déplacement de la Société à Sain¡,Nazaire au concours internatimal. Merci au Conseil. municipal.

Cette somme ne suffisant pas, on* souscription donnait le droit au idrage d'une tombola gratuite va être lancée. Le prix minimum (reçu nu. méroté) est de 1 franc.

Le Comité espère que tous les Dinanna's voudront aider dans la circonstance nos musiciens. Si chaque auditeur des concerts d'été fan le geste amical, les billets lancés seront vite vendus

Les sociétaires actifs sont priés do» réitarani d'être assidus aux répéta»! tions. Du travail est nécessaire pour la mise au .point des morceaux chofc» sis et imposés, d'autant que les concurrentn sont nombreux dans la divi. «inn nn est classée notre Ci-pale.

I.»> Comité compte sur la bonne vo* lomé de 1011; Le Comité.

MILITANTS ET SYMPATHISANTS DEMOCRATES. Rendez vous il! Guingamp les samedi 10 et dimanche il mars.

Retenez cette date. Prene- vos die- positions pour être libres et venir nombreux aux journée' démocratie ques le Guingamp

Questions importantes à l'ordre du. jour

Lire le programme du Congrès cul chronique de Saint-Brieuc.

SOCIETE DES COURSES. La So- ciété des Courses de Dinan a tenu dernièrement sa assemblée René» rale sous la présidence de Ni. Darré» son président.

La parole est donnée à M. Loin* I.atouche, secrétaire-trésorier, qui rend compte de la situation ftman-< cière de la Société au 31 décembre 1H37.

En 'caisse au 31 décembre fr. 84. recettes 19Vd. 92.302 Jt. 5%


total, 133.050 fr. 3H dépenses et prix de courses, 90.323 fr. ou caisse au 31 décembre fr. 62.

Noire société est eu progrès constant puisque l'avoir est supérieur eh&qi*? aimée, malgré lis dépends plus edeveee et j'augmentation des prix de courscs.

De vives félicitations sont adressées à M. Latouche pour le dévouement inlassable qu'il apporte à 6es absorbantes et délicates [onctions, qui n'a d'égal que son désintéressement. M. Darre remercie également MM. du Pontavice, de l.angJe, Gastel, Goi'pillot et le commissaire militaue, les dévoués commissaires qui rendent de si grands services à notre société Le colonel commandant la Place, les officiers, le capitaine Guérin, toujours si dévoué, et à la garni/¡on tout. entière.

Il remercie également M. le Maire et les wnseillers municipaux de Dinan, le Maire de Quévert et toute :*s personnes qui viennent apporter leur concours. Enfin, la presse, à laquelle la Société ne fait jamais apped en vain

M. Darré adresse un eouvenir ému a la mèmoie de M. le général Labit, membre du Comité.

M. Pierre Hervé est nommé membre du Comité,

Il est décidé qu'un nouveau prix de 4.500 francs sera accordé pour upe nouvelle course plate qui recevra le :itre d« « Prix Corlay

Comité. Les courses sont fixées au dimanche 5 août et au lundi 6 août

Sont nommés commissaires pour MM. le comte du Pontavice, compte CI. de Langie, Gasiel commissaire adjoint. M. Goupillot.

Le programme n>t définitivement arrêté et comporté une course au trot, cinq couix-s plates, trois sjeeple-chase», deux mihtaries 2e et sé•ie et un militarv de 3' série.

Plédéliac

UN'ION NATIONALE DES COMBAT1 ANTS. Nous recevons la commuucation suivante

Dernièrement, a eu lieu une belle -éunion pour la création de la secnon d'U. N C. de Plédéliac. Ni. de Bellevue a présenté M. Garnier, présilent départemental du groupe des Côtes-du-Nord qui, dans un discours ·nergique et très documenté, a explilué les raisons et les buts de l'Assoiation Sa conférence, pleine de cœur ̃t de patriotisme a été comprise et :rès applaudie à plusieurs reprises ;iar tous les Poilus. Ni. Garnier a prõédé ensuite à la nomination du bu,(,au dont les membres ont été élus "«us il l'unanimité.

Président d'honneur. M de Belleue président, NI. du Poniavice vi e-président, M. le dorteur Samson ecrétaire. M. l'abbé Rouault, vicaie trésorier. M Joseph AvriL

Sur les deux cents assistants à la •éunion. cent au moins sont <Jéjà nembres actifs. Cette section promet ffnr d'Ptre une des plus nombreusestes C6ies-du-Ncrd. Il faut njontfr nup es croix de guerre rt les médailles ̃nilitaires n'étauni pas rares dans l'assemblée Quant aux citations du 'ront, c'est par douzaines qu'il faudrait les inscrire.

Honneur et prospérité à la section -le l'U. N. C. de Plédéliac

C'n Témoin Poilu.

Lancieux

NOS ROUTES. La roui? qui de la are de Ploufralay va au bourg de Lan'ieux est dans un- état pitoyable; lee :iutomobi!i?t'-s ne s'y engagent ou'avec l-prreur, les essieux et ;es ressorte de ,purs voitures y courent les plue grands Quant au chemin vi.-jna! qui de la gare le Lancieux se rend à la plage, il est ihsolument impraticable et devra être refait de fond en comble avant la saison. Les riverain*, ne peuvent. plus ;ortir de chez eux

LE PONT LANCIELX-SAINT-BRIAC. Les travaux de cet important ou%*rage sont menés avec la plus iouable activité, et tout fait prévoir qu'en juillet prochain, véhicules et piétons pourront en user pour se rendre de Lancienx a Sainl-Briac.

Il serait peut-êtie utile, sage, urgent, m'a cette époque. la route Fv!oubalayl.ancieux. soit sérieusement réparée si ,lie ne peut être absolument refnite. Il v va du hon renom du Département des

UNE GRAVE COLLISION Dimanche, vers 18 heures, deux automobiles se sont rencontrées à l'intersection du boulevard de Tours et de la rue du Mans. L'une était conduite par -Ni. René Mézière, instituteur au Genest, l'autre par un chauffeur de la maisr Lainé, dont la prudence est très appréciée de nos concitoyens. Le choc fut violent. Dans le taxi se trouvait la famille Lerosier-Donval, de l'hôtel SaintPierre.

Atteinte par des éclats de verre, la jeune Marie Donvai. âgée de 5 ,ans, a eu deux doigte entièrement seclionnés. Mme Donval fut aussi blessée à la tête. Seule, Mlle Madeleine Donval, âgée de 7 ans, en fut quitte pour des contusions.

Mme Donval et sa nièce ont été adm;ses d'urgence à la clinique de NI. le docteur Paul Nier.

L'enfant a du subir une douloureuse opération.

ETAT-CIVIL

du dimanche 5 marr \0i>

Décïs. Jules Trtboudeau. 4s ans boulanjrer s. rue de losepb Paille* ans retraité des chemin» 0e fer. 39. de Marie-Lniiite Ooderand 7? ans. s. p à la rvxvmniexe: Alexis Papouln veuf de Vlotorine Chevron 1. T7 ans s. o. rue de Bretaamr.

CARENTAN

Encore un accident causé paries phares d'auto

M. Paul Retoux, boucher à Carentan, revenait de Mommartin-en-Graignes en automobile, lorsqu'il croisa une voiture automobile dont les phares n'avaient pas été mis en veil- leuse il fut ébloni, et en continuant sa route, il cuibuta un cycliste, M. Fernand Poitevint. âgé de 28 ans, maçon, qui revenait de Saint-Pellerin, sur son vélo non éclairé. M. Poitevint a eu la cuissp et une épaule fracturées. L'auto de Ni. Retoux a été légèrement endommagée. La gendarmerie a ouvert une enquête.

Ni. Poitevnt a été transporté à son domicile par NI. Ferré, directeur de la laiterie des Veys. Le blessé a reçu les soins de M. le docteur Simon.

UNE BONNE SE BLESSE AVEC UN REVOLVER Un touriett <]- passage à Ciranville où il était descendu au Grand-Hôtel, se rendait dimanche en auto au Mont-Saintlfichel. lorsqu'arnvé a Saint-Pair; il »p?rçut qu'il avait oublié son revolver dans le tiroir de la table de nuit de 6a chambre il rebroussa chemin aussitôt, mais, en arrivant à ]'Hôtel. il apprit qu'un accident était survenu une jeune bobne. Mlle Raoul. âgée de 20 ans, en faisant la chambre, trouva le revolver et en l'examinant, car elle ne-savait pas rp qu<= c'était, appuya &\ir la gâchette un- 'détonation retentit. La balle lui en!ra dans le côté gauche. Transportée l'hôpital. elle ne put être interrogée sur ]r moment.

A la derniei-e heuiv, l'état de la blessé est satisfaisant. On lui extraira la halle demain

Com d'Assises

de la Loire Jnférieme

LA JALOUSIE AU VILLAGE Anne-Marie Choblet, femme Biguet, 36 ans. cultivatrice à Beaumom en Plessé, est inculpée de complicité d'incendie volontaire.

Anne-Marie Biguet est une petite paysanne sèche, sévèrement et proprement vêtue de noir, les cheveux tirés sous la coiffe endeuillée et dont le coup d'oeil n'est pas affable. Le., renseignements de gendarmerie la représentent comme une fervente de la boisson. Son aspect n'est cependant pas celui d'une pocharde. Elle répond avec beaucoup de présence d'esprit aux questions du président qu; expose les faits reprochés à l'accusée.

Le le. août 1927, vers 13 h, 30, la femme Biguet appela son fil.: Michel, âgé de 7 ans, lui mit dans la main une botte d'allumettes et lui ordonna d'aller mettre le feu à une meule de foin de 25.000 kilos appartenant à NI. François Lhommeau. son voisin. L'enfant, docile et peut-être content de voir un spectacle inédU pour lui, accomplit scrupuleusement sa mission et après deux ou trois tentatives infructueuses, la meule de foin flamba enfin et fut complètement détruite. La femme Biguet eut alors l'audace de donner l'alarme la première. On put heureusement préserver les bâtiments voisins.

L'interrogatoire

Quel mobile avait fait agir la prévenue T Elle répondra qu'elle était ivre ce jour-là et ne savait pas ce qu'elle faisait. Mais l'accusation dira que Anne-Marie Choblet était dans la misère et ne pouvait sentir ses voirins qui eux, travailleurs acharnés. avaient une situation plus prospère. Pourtant, François Lhommeau, le propriétaire de la meule incendiée, accueillait la femme Biguet avec bonté et lui donnait souvent à boire et à manger.

A l'instruction, la femme Biguet a déclaré que le jour du crime, elle n'avait pas bu ni avant ni après! 'incendie. A l'audience, elle affirme, au contraire, qu'elle était ivre.

Une question de responsabilité mentale te posera, en raison des habitudes d'intempérance de l'accusée et du fait que son père, qui était aussi alcoolique, s'était suicidé.

Les témoins

.NI. Lhommeau vient dire comment il constata l'anéantissement de sa meule de foin, ce qui lui causait une perte de 8.000 francs.

Le témoin avait employé le mari de l'accusée comme ouvrier agricole, mais s'apercevant que la femme buvait ot que le ma-i étai' assez paresseux, il en vint à se priver de ses services.

Ce congé, joint à quelques discussions à propos d un .droit de passage et surtout aggravé par le caractère envieux de la femme Biguet. devait provoquer, chez celle-ci, des projets de vengeance qu'elle ne tarda pas à mettre t exécution.

Sur une question du défenseur de la prévenue, NI' Pichonneau, on apprendra d'ailleurs ijuc l'incendie ayant t'e aliumé, la femme Biguet. qui favsait semblait t travailler dans le. chiimps vint contribuer à éteindre le feu. Mais il n'apparalt point que ce fut par regret de son acte.

L'auteur' principal

Michel Biquet est aussi: cité comme témoin. C'est un garçcn de 7 ans, aux joues rouges, à l'allure décidée. Il reconnp.r, sans hésitation, qu'il mit lE' feu à l'instigation de sa mère. Mais il déclare qn'il prit lui-même les allumettes sur H chèmr.ée.

Vous avez l'air tout à fait dégourdi, déclare le président au «petit gars, mais i' faidra employer votre intelligence d'autres occupations. Mi'-nel reconnatt aussi qu'il avait

lui-même menecé Lho-nmeau de met*re le feu â soi pailler. Menacés d'enfant inconscient, sans doute, mais dont il eut été prudent de tenir compMiche] Bigut aprè= I arrestation de l'accusée, écrivit au Parquet que sa nr.ère était innocente et, après e'ètre déclaré coupable il se mettait à la dispositiou du Tribunal Cette lettre, visiblement, lt,i fu: dictée par quelqu'un qu'il ne veut pas désigner. Et le vilaii. petit gars va s'asseoir au banc dcs témoins et se croise les bras, point intiral-'é, l'.ur têtu. Une charge'accablante

̃je brtgadiu de gendarmerie donne les plus mauvuir renseignements sur l'accusée. Il donne même ce renseignement fort intéressant et qui date du matin même

Le jeune Lr-omuiean. le fils du cinietré. a entendis son camarade Michel dirt ai/'nvRi • l'inixi; lie, • Mme Biguet avait mis du pétrole au pied de la meule.

Le jeune Biguot. rar^eié à la barre, affirme, en effet que sa mère avait, préalablement, arrosé le foin avec du pétrole.

Ce n'est pas vrai, aposte l'accusée.

D, Mais c'est votre fils qui le dit. R Il mert. Ce n'est pas vrai. Le mari vient ait secours de sa femme A ce moment un homme, dans la salle, demande 'a parole. C'est le mari de l'accusée. On l'interroge. Il déclare que sa femme était depuis quelque temps atteinte de neurasthénie à la suite de la perte d'un enfant. Il ajoute qu'elle ne pouvait pas être responsable de ses actes.

C'était mon devoir de dire cela, ,ajoute Biguet, et je le dirai jusqu'au bout.

M. Paul Gouriaud; médecin alléniste, a examiné l'incendiaire au point de vue mental. Il a constaté des signes d'apathie et conclut à une certaine faiblesse de volonté et un manque de résistance à ses instincts. Elle est anormale, mais pas folle? Sa responsabilité doit être légèrement attén uée.

Le réquisitoire

Pour M. GavalJa, qui occupe le siège du ministère public, la culpabilité de l'accusée ne fait aucun doute. M. Gavalda rappellera même l'intention de la femme Biguet, manifestée à son mari il y a déjà quelques années, de mettre le feu chez ses voisins. Elle a choisi son heure pour accotnplir son acte. Elle a choisi le moment où son nnri était absent. Elle a choisi le mois d'août après la récolte. Son attitude avant et pendant le crime et pendant l'instruction montre une présence d'esprit qui, de l'avis de M. Gavaîda, établit la responsabilité. C'est la femme Biguet qui a mis le feu. l'enfant n'ayant été entre ses mains qu'un instrument inconscient.

Le motif de l'acte reproché à la femme Diguet, c'est en réalité l'envie, la jalousie. la différence d* situation sociale. Le mobile c'est la vengeance.

La femme Digiiet n'a pas su résister à ses mauvais instincts. Elle peut être considérée comme très légèrement irrfsponsahlf1.

Le ministère public ne s'opposera pas à des circonstances atténuantes mais- il rfcminde une peine de prison qtie la Cour aura toute latitude de lira. ter.

La défense

NI, Pichonneau aret très habilement en doute les déclarations d'un enfant qui constituent les principales char11 ne voit ras pourquoi la ftmme Dicurt aurait éprouvé des sentiments de vensreancp à l'égard de son voisin, mais elle est fillp d'alcoolique et alcooliqu- elle-même. Elle n'est pa.s normale En s'appuyant sur le rapport médiça!. %Il Pichonneau rappelle que le médecin admettait une responsabilité a'témiée. Ou ne peut condamner une t^moif qui n'est pas en possession de sa parfaite lucidifé d'esprit et de copscieDce.

M* Pirhionnea'j ronclut en demandant sinon un verdict d'acquittement, tout au moins de très larges circonstance? atténuantes.

Au bout d'une demi-heure de délibération. le iury revient avec un verdict affirmatif sur les trois questions posée-

M' Pichonneau. faisant alors valoir l'état psychique et la situation de

famille de l'accusée, demande le mi.nimum de la peine et le bénéfice de la loi de sursis Mais la Cour. tout ni accordant l'indulgence en ce qui concerne la peine, refuse d'aller jusqu'au sursis et. condamne Anne-Marie Diguet à 2 ans de,prison.

UN AUTOBUS

ECRASE UN CYCLISTE A DOULON

Dimanche, à 18 h. 45, revenait de Touaré ie dernier autobus du service supplémentaire organise les dimanches et les jours de fête entre Thouaré et Doulon.

Les deux phares étaient allumé6 et la iourde machine, les témoignages semblent l'avoir établi de façon incoatestable. roulait 'parfaitement à sa drotte.

A un certain endroit, entre le VLeux-Douion et le Grand-Blottereau, un cycliste survint en sens inverse et vint heurter violemment l'aile gauche de l'automohile, le cycliste est M Pierre Anger. 50 ans, employé à la gare de Nantes Paris-Orléans, demeuLe choc fut si brutal que !e niaiheureux fut tué sur le coup. Sa femme qui le suivait à bicyclette put elle. éviter le camion, mais elle ne put même pas recueillir le dernier soupir du pauvrr homme.

Le service des Pompée Funèbres est venu chercher le corps pour le transporter à son domicile.

L'enquête de police, afin d'»«iblir les responsabilités est menée par M. le commissaire Barreau, de t'crmanence ce soir-là.

Les auditions radiotéléphoniqaes RADIO RENNES P.T.T.

(L. 9S0 m. P. t kw 5)

19 h 30. Informations

M heures. ReJab des P.T.T. de Paris (cours d'anglais et concert).

RADIO-PARIS

m P. i kw.

8 heures. Informations Revue de la paresse.

t.' fi ». Intormations et cours. Dix mirai*, d> musique.

h oO. Radio-concert par l'orchestre Albert Locatelli

l'eux Turinai Romance (Souciioni i Anlar. ballet (G. Dupont) 4. La B(51fj.««'e le la Reine Pedauque IC. Levarteo 5 Solo de violoncelle Lucien.ne Radisse 6. Symphonie en sol mineur (Mozarti 7. Le Festin de l'araignée Rousse:; • 8 \ax étoiles orAlude (nu-

oar^.j g. Le roi la dit, ouverture 'Léo Delibesi. Au cours du concert Informations de presse.

iô h. iô RajioHarts concert

1. Ouverture des Soces de Jeannette rVict->r >la*é) orchestre 2. Romance en fa ^eetnovon) vu>ion Jenny .Joly 3. Pai-ane G. Fauré), orchestre 4. a) ̃Vocrb'nr IJ Bournay) b) Pièces espagnoles l'edro Seras) pian') Marcel Brlclôt s (Jne pull nt Lisbonne (Saint Saens) a. ionat» ^Francis C'asadesçusl. violoncelle Lucienne Radts<e 7. Fîtes foraines Edouard Mignanl. orchestre. ̃?0 h. 30. Radio-concert

t L'amour médecin (Molière), présentatiun de NI. Cbarles Dullin musique de Lulli. 2. Introduction et allegro ,'Ravel), harpe, flûte, clarinette et le quatuor Kret tly. 3. Les sérénades d'opéra, présentation par Il. Guy de Téramond al Don Juan .Mozart). MéphiHo (Berlioz). MéphU. to Goiinodl, Don Quichotte (SaintSaên?) Othello (Verdi) NI. Sellier b L'amant jaloux (Grëtry). Le page de Roméo (Counod). Le panant (Maseenet! Mme LauteRrun.' de l'Opéra c! La Jtitre IHalévy). Le Barbier de Sévllle (Rossini). Le bravo (Salvayre) M. Génin. 4. Deux danses (Debussy), harpe contrebasse et le (quatuor Krettley. Au cours des entr'actes informations de prese.

TOUR EIFFEL

•630 m P. H Irw.

t7 h. 45 à t9 h. 10. Lt journal parlé par T.S.F., avec tous 'es collaborateurs. Mme la doctoresse Fabre secrétaire générale de la Ltîrue Franco-Américaine con tre le cancer T.a lutte contre le cancer; M Dermce Le,' livres à lire.

19 h. 30. Concert, avec le concours de M. Deny (han)peau. ba^e chantante T'ivertiïseinerit -*wr des chansons rvtse* (Rabauil' Le Grand Troupea i IG. Soudry) M. Daiiy Cbampeau Suite bretonne Cadou) Jlnrls Godounow. air de Boris (Moussorerski) M Dany Champeau

a) Fragment lyrique (J. Arnoy), bi Beruuia (H. Dftctt.se). violon Mite Hélene Arnitz. 1" prix du Conservatoire Le Corbeau et le Renard (G. Solz) n. Dany Champeau. accompagné par 1'auteur Scènes pyrt- néennes a) Aubade. b1 Pastorale. c) lêto béarnaise (René Chauvet).

h. 30 à heures. Université pops, [aire par T.S.F.

'Ni. Desdoruaine-Hugon ta vie aux Etats-Unis M. Gras .tfu-uri des peupla M. Maigret -Choses d'AIrh/ue.

PARIS-P.T.T.

4M m P. w.

8 heures. Informations de la nuit. Transmission de t'heure.

9 h. i5. Signaux horaires internatlonaux. Bultetin -météorologique.

heures, Radio-Concert organise pas l'Association Générale des Auditeurs de T. S. F., avec le concours deb Etablissements S.îi.A.P. membres bienfaiteur^ de l'Association 1. Les Noces de Figaro, ouverture 'Mozart): 2. Menuet !Manus SUva); 3. Le Jongleur de Notre-Dame Masseneti- 4. Valse Irtste (Berger); 5. ïérénade Florentine !B. (Jodard> 6. 6. Divertissement (Lalol.

16 heures. Diffusion du cours donné au Collège de France, par M. Gido, sur • Les communautés coopératives ̃.

17 heures. Diffusion du cours donné au Collége de France, par M Ed. Leroy, membre de l'Institut, sur l'évolution dg l'intelligence

18 heures. Emission du Radio-Journal de France, donnée sous les auspices de l'A G. des Auditeurs de T. S. F.

heures. Cours de langue anglaisa. par les professeur-, de l'écofe Berlnz. Ci heures. Soirée de gala donnée par 1 Association Générale des Auditeurs de T. S. F., avec le concours du journal Au Studio. 63. rue de Saintonge. à Paris 13'); de l'orchestre symphonique (direction Pierre Gouat) Nille Claire Galeron des grandes auditions de France: \fine Céleste Mayeur. des concerts Touche- Mite Gerruaine Filliat. des concerta Colonne M. Prot. des concerts Colonne

t. Ouverture de Melu.iine 'Mendebsoiin) par l'orchestre: Sélection sur Myrlalde'. conte lyrique en 5 actes et 6 table d'après La Petite Sirène. d'Andersoli; poème et musique de Léon Moreau avec e concours de Mlle Claire (ialeron (rôle de Myrialdei. Mme «!e*t« Majeur Irole de Mala. princesse d'Astri). Mlle Germaine Filliat (rôle de uoranche sorcière de la mer). M. Frot (rôle de Béryl, prince d'Annor).

heures. Causerie. La semaine ettertenre par M. Petavy de Fauxères directeur des Services de l'étranger à l'agence économique Radio.

A l'Issue du gala, information, de la dernière heure transmissions de l'heure et du bulletin météorologique.

LONDRES

361 m. 4. P. 3 Itw.

Daventry (S xxl. m. P. s kw. Chelmsford sw). m P. tw. Il heure- Quintette Parkington et Wlnified Browne. piano (Daventry seulement;.

heures. Quintette Daphne Bettger. soprano Robert Poole, baryton.

t3 heures. Musique de danse Orchestre Sidney Firman Gwen Mawdesley, comique.

14 h. 30. Str Walford Davies. Causerie sur la musique.

15 h. 15 Intermède musical.

16 heures. Orchestre du Marble Arcfe Pavillon.

16 h. 30 Orchestre du Marble Arch Pavillon.

t8 heures. Récital de gramophone.h. Marches n" et 3 (Beethol'en), jouées au piano par Dorothy Fûlkard et Mûrie) Warne

19 h. 45. Octette Harold Moss Alice I.illey. soprano Les joyeuses lommère* hongroise (Sarasate1. solo de piano par de K'inasor. ouverture [Nlcolaï) Danse IL Mos* Fin septembre (Barlai) Le joli petit laboureur (Grim.-haw; Feu follet (Sprossi Au bord de la mer, Idylle (Dua.kler) Carmen, faataLie (Bizet; Je pense rI vous (Haydn-\Voo"l! Chante. merle (Montagne Phillips) Tout d coup, le vent t'adoucit (Burr) Dans la forêt, entr'acte (Landon Rouald) Mélodie norvégienne (Ole BuJH Le merle sétection irlandaise (Moss-Maachap).

heures â 20 h X Causerie dit Mrs Mary Adam?, sur l'hérédité 'Daventry seulement).

'20 h. se. Récital d'orgue, par E. T. Cook Relais de Soïithwark Cathedral Fugue brève en sol mineur (Bach) Choral n' 3 en ta mineur .Franck! Le petit berger (Debussy) t Introduction et toccata (Walnndl.

2t h. 40. La servante maîtresse fPer?olèsei Serpina (Gaby Vallel XTberta fFoster-BIchardson). Orchestre dirigé par Arthur Bliss.

?î h. V> heures. Musique <*• danse (orchestre de I'Hote! Oecil).

LA BELLE ENDORMIE, nouvelle inédite. Contes et légendes, par Gabriel Bords. Prix 3 fr. 5n Il a été tiré exemplaire· de luxe sur vean pur chiffon du Marais, numérotés de

En vente à la librairie de VOiir't Eclair. Envol franco de port sur,commandè adressée au directeur de lh Tic Rennaise, Rennes.

BOURSE DE PARIS P«kis, le 5 mars. Le marché a fait preuve aujourd'hui d'une réelle fermeté et les prugrès enregistrés sur bon nombr» de valeurs sont substantiel Le compartiment des Banques Français est bien tenu Banque de France termine a contre 16.100, le Lyonnais a 2.875 contre 2.820 les (:hemins de fer français 6'inscrivent aux environs de leurs couns antérieurrs. mais le P.-L.AJ. e=t ferme a 1.275 et l'Est au cours rond d- 1.000 francs.

MaJfché actif en Suez a

Les valeur^ de charbonnages paraissent être bien orientées aux produits chimiques on est un peu plus cairn.. sur Kuhlmann. mais ferme sur Péehmey Hausse du Rio a 5.650. Azote est un peu plus calme en clôture En coulisse. VEagle atteint, a un moment. le coure de 16ft pour terminer a 156.50 en !n?er progrès sur hier les autres valent* de pétrole sont sans changement la Royal Dutch est en recul il

Reprises de Mexico el Oro a Huanehaca, que nous laissions samedi a S49, s'ui6cnt en dernière heure 825. Les valeurs dW caoutchoucs f)erderit •)uelque6 points, mais le fond du marché ?6t résidant peu de changement èur la de Bc%. très légères variation» eux \fines d'or la Tuhize est ramené* en r.lôture a 1 511 après avoir débuté Il 1.540.

Aux Fonds 'l'état étrangers, le Russe pst sans chanqement, le Serbe "st plus fenne. l*« fond» ottoman» mieux. tx?ellentf tenue de n"6 rentes

O>nlini!Hiit ins pr£M<inn6. Kanlnis du Finistère poursuivinl leur mnreh. •vtrogmde en s'in^nvant a ♦32. ce qui fait l.Vi 'rnnr- v.if hai>se depuis un mens.

PARQUET Fonds garantis par l'Etat Actions MARCHÉ EN BANQUE i AMORTISS. 77 75' 7735 BANQUE INDO-CHINE.. 7550 Terme

Pr Jour. 4 74 30 EST CAPITAL n' 9S0 n CAOUTCHOUCS 387 »l Mfl » S Z. PERPETUEL 35 R7 Rfl 74 45! 74 30 MIDI CAPITAL 1275 Il CHARTERED 185 »I185 B BANQUE DE FRANCE.. «RS n 6 *MOnT «O- 106 OUEST CAPITAL 670 ni 671 n CONCORDIA 223 Il BANC UNIOM PARIS IBM l ïfiR» OBLIOAT. 6 <ï, 1927 491 » AIR COMPRIMÉ »>3Rfln » CROWN MINES 441 C- ALCERIENNE 1669 IÎorI S « V S 19M 1" • 5M »1 S2S CABLES TELECRAPH. 660 Il' 6511 » DEBEERSORDIN n COMPT' DESCOMPTË" iTtl 'llï?» l I ? 6 19M SEPT. »l 535 Il EL- C** DU NORD 620 n1 620 EASTBRN RUBBER 245 » CFEDIT COMMERCIAL Un! imn l 2Éi5<*19M AM. M9 ,,I6W n ENERCIE INDUSTRIEL. iV n' 238 Il ESTRELLAS 230 J 233 50 CREDIT FONCIER \iZ A™ Il 'Ï5ÎSS »l 562 S î?! L0NGWV •- 1230 n FRANCO wyOMINC 600 ïl 6OT CREDIT LYONNAIS M?n n 565 n 565 ACIERIES MARINE 700 •>' 691 OEJULD 510 il 506 n CREDIT LYONNAIS. i"' vi?m n j! S LOTS 5flO » 499 ACIERIES MICHEVILLE 1015 »!1P4O Il COLDFIELOS 358 t)' RENTE FONCIERE iVf «03 l 5 r 6 1921 A LOTS 525 » OH ANTIERS S« NAZAIRE 5e5 >5R<) Il HARTMANN 232 »l 231 » «U%i 6 "-r FEVRIER 5(m q CHATILL. COMMENT Il 3000 HOTCHKISS 1935.D1P48 Il Lv5Îl CAP UÎ- •£•? ÏH, 6% JUILLET 1922. 5M “• 514 COMM.FOURCHAMB. 122q n HUANCHACA M9 *»l MS LYON CAP 1?4 -275 » e«/ 6 », 1933 1- L0T> 506 "l507 OENAINANZIN tRM 1s55 n JACERSFONTEIN ni 426 » SANTA FE -ctl. l.rl n Z 6 1923 V LOTS. 517 n 517 FIVESLILLE 1580 » JOKANNESBURC 306 S<1! METRO i.WiWrVo.V" Âl'c «aÎ 6^1924 A LOTS. 518 B 518 '1 METAUX 2160 i|:j1Sfl LENA » OISTRIB. O'ELECTRIC. 151' 1S01 I DECENNALES 1P19-Ï9 09 mfl SCHNEIDER n!i425 t LIANOSOFF 550 I) ELEC"OnOIVES «no Il CHARB OU TONKIN 151B1 V1S250 1 MALTZOFF 277 »I275 » FORCES ou N..E. « cî« ii Obligations harles 69g MEXICAN eacle obd. im »» isS 50 TflEFIL OU HAVRE 3.V VA « .£ <' 3 1910 »l 235 V|COICNE et NrEUX 7S0 MEXICO EL ORO si 314 a COURRIERES W » =i 5» 1919 408 "l 40B » M°rKT», E,L "VL',0^" *™ MONTECATIMI 330 J lit 50 !?!••̃̃• i°' • • » r f foncich mi 28n Il ,îï T'l?,«i Msn '>"w«0 » «o.«th caucasian fin m 50 PENARROVA -in, ,.«i1fl gi COMMUNALES 1906 Tifi ,,«7 » SOIE GIVET finnn leçon OAOANG xuhlmann Rac mi n S I ONCIER 3 1913 326 v «e ï *UCR- BRESILIENNES 0!^oo n l'ND MINE^ 439 nI 434 « C.FSt 10V • S f nOMMUNAleS 1920 417 ÏjJ?g D GIMENTS ^u."0. S""n nUSS1»N OIL PROD CHIM O'ALAIS.. «m" ,,i»n'O » o COMMUN. 6 • 1921 4M « âlï l POLIET rt CHAUSSON i3ef\ SHANSI 94 75 92 Il CHARGEURS REUNIS W. 1"Î7 » EST ANCIEN GALERIES LAFAYETTE. t,' 180 ^LVA PLANA »l 142 Il VOITURES A PARIS .<«•> EST 19261941 l "JRISMARO- 144 ni 140 TABACS ORIENT 1M IM » O.OUTCH INOOCHINC r"" «T™ EST S6?* 1M2 TERRES POUCES 7M ni 46.1; » OROSO. BACH \n ̃• IVx m lyON 7 i 19K 1941 494 n' 494 OhAPAL ,,I4S1O » THARSIS 404 ?.°HECINEM. i.ul-. fi« wî n S M^Sr 3 ANCIEN 50R î S'P*°ES "*NC*'S «1S •«« » TRANSVAAl » Capital 7«. 1 T»2 m n 3 '1\ ANCIEN. 311 » JOB l COMPTEURS C.AZ 900 1 TURER SO8NOWI0E 30S UN.ON EUROPEENNE.. HAn l NORD 3 ANCIEN » ÏO«NOWICE 1175 "O 0 VERM.NCK 15! .H57 » russe cons 1- -1 r J nord 6 ̃* 435 48S » Fonds étrangers Comptant n ;s ? ssv»; u&ir-: 449 ni 44810 i S • BANQUE OTTOMANE 1<W LENS 6 H 4M JAPONAIS 4 0;. 1905 ni 468 OMNIJM INT. PETROL. 374 CREDIT -ONC EGYPT tT*t .'4T60 » û Oi. O" ELECT. 6 »i 510 » JAPONAIS 438 » ARÉAS 257 n WACONSLIT CRO .) THOMSON 6 V "!517 » JAPONAIS 4 1910 341 346 ̃> ETABL. CEOROET FILS. 307 n 395 1 CENTRAI MtNINC j 24JC1 M?» J IONCWV 6 1 1 505 MAROC 5 1910 187.1 )I185O » MAIN REËF p RIO T NTO i 5-J« i S«sn OIVES 6 n » MEXIOUE 4 OR 1910 HUTCHINSON ORD 2655 ̃>

Informations financières

Emprunts Brésiliens. A la suite des signatures échangées le 25 février entre le ministre des Affaires étrangères brésilien et le chargé d'affaires français à Rio, le compromis d'arbitrage est entré en vigueur et la Cour Internationale de La Haye va pouvoir être saisie du dtflérend.

Comprtgnte Générale des Eaux. Cette Compagnie vient de participer à la constitution d'une société pour l'étude des modalités d'exécution des projets d'alimentation de Paris en eau, avec le conconrs de srroupes tndvstrieis français et allemands.

Locks et Entrep6ts de Marseille. La Conseil proposera à l'assemblée du f9 avril, le maintien du dividende tr. dont 7.50 déjà payés. A l'avenir, Il ne sera plu- distribué d'acomp:e de dividende La répartition sera payée en une soulô fois le premier mal

Le bilan au 31 décembre qui doit être soumis à l'a-semblée ordinaire du 13 mars, fait ressortir un bénéfice net de 13.330.73i contre Le Core-eil proposera le n.atntlen du dividende Il francs brut par action de capital et à 5O francs par action de Jouissance.

Tour Eiffel. Les prodults bruts de l'exercice t9-27 sont de 3.5S3.394 francs contre 3 précédemment. Le bénéfice net est de francs contre précédemment. Le Conseil proposera à l'assemblée du 9 mars. un dividende brut de trs. aux actions et aux parts contre "t l'an passé.

Raffinerie François. Le Coasell pkv» posera à la prochaine a-semblée. la distribution d'un dividende de t0 francs par action s'appliquant au capital augmenté et de 3(1 francs par part de fondateur. Papeteries de San Rafaël r Annexas. ret> compagnie déclare un acompte de 3-pesos. égal au précédent L'assemblé* ordinaire se tiendra le 23 maxi. à MeUea.


hnpressions de lendemain Puas. 3 mars. La victoire de Roger Pelé dans le championnat de France de cross-country pourrait peut-être faire époque 81 elle avait et* acquise sur le vétita ble terrain des courses à travers la campagne. Certes, le tract • la française fait sans trop de difficultés, à l'hlppodro.me de Vlnrennes. Aonna lieu à un admirable ïpectacle car il nul montent Ie· spectateurs niasses dans les tribunes du champ de eourse, ne quittèrent de vue le@ leaders et assistèrent soft avec leurs yeux, «oit Il l'a!de de Jumelles aux détachements successifs du ooyart capital, comme un comité qui dans l'espace perd ses chevaux un à un. Le trot simple de tous ces hommes vafllants, mais de valeurs Inégales Imprimait au décor une sorte de mouvement perpétuel de haut en bas et de nus en haut et tes couleurs chatoyaient flans une limpidité aérienne excessivement rare dans une lumière splendide devant laquelle un Claude Mo-

net se tflt extasié.

Mais nne fou encore, ceci est le spectacle On serait donc bien venu apré* avoir organisé le national sur le vrai terrain spnrttf de le rééditer «nos une forme qui pourrait etr» un handicap dans le cadre dm l'hippodrome a vinrenne* ci du champ il* conr« de Malwis-T.affitte. car il n'est pas pronvê que Roerr Peié dont la victoire hter fut magnifique, eut autre part que mr le plat. conquis et armjls la première place. Sem-t-ll aussi heureux an rross international, le vrais en*» des Cino Vation* 'Angleterre. Ecosse. Franc*1. Tr lande. Pays de Galles) avant lien Il Edimbourg a la fin de ce mois lorsqu'il fandra naactmTir la dislance de t<? V kilomètres snr tm tracé Il & l'anglaise • avec secobstacle* naturels antrenvnt difficiles cihc lw petite* hâtes d'hier ? Ne lui chicanons nas cependant la Valeur de, son superbe exploit parte mie .tout de même. Il a ciwrert les derniers 3 klm. >z> a la moyenne de. 1S kim. 9no a Mettre et «rne mftlsrê il <1 termina 1'arrivér • nrrMfio poorralt-on avancer, r'est-a-dire. une arrlrfte a pptHe* nllnre. au pas.

Ce BDind coureur, erand par la valeur et par la taille,, est &jré de ans. T1 fnt champion de Franre et détenteur du report des 1 V» métrés II fnt vaCnrineur rette année an CTullenire Tacaffuer a Lyon et remporta «^on Interrérionsle. au Oeiisot dans nn stvle Impressionnant. lA': font était de «avoir s'il soutiendrait le mont dit. Rertrtari dans son 1«i accéléra nen i peu et progressivement l'.illnre f"m me nn» locrrnnlive on la pression est r.onne. fass* normalement sa.ns heurt de ta t]1p*v rie m à 1M kilomètres. C'pet la -Pille tsctlane gril lni donne IVsnérajir» 'le la vidoiT» Sur un r>aw<virs • a l'anslalse •. le crois fnrt one V^lcérien parisien eflt ̃DBié Mer. Snr le tracé • la française Il ne mit nprdre Ia crande rhevplTir* Pelé. T# Mr>ntferrai<1ais rénnndlt tonloi>'= aux vHfs** nrngrfffiTt< r*e 'a r^"tlfp in.comntive sortait de se« l»mne< de ses t*mi moT« et de snn crr>nr. %fais a t*h ii»w= rï* r--rr1vée font. chanîTPa. ri'nhord avant encore forcé 1p train sans nnp fie mMrr« laissant P»1^ «♦ T/erlerc Il,11' lui Mais tnnt a cour ic rrand champion rlirnarre. lui cnm-"r •in»- lfvnmntlve élwtr'nne. ran1^" c«. Tl fortri <nr tni nn t,rl"411,11 <'m pArnenT rlnmns pt fl cI' secnnôV* r^lff^Hrn fii?n ^î«p oirMare. médn»^. n'ah^'1^ q -en r»ni rrfiArf -se* -wiix Pus miand il nnnJus ni, sortllf-ce. Pelé était'loin. PMrtnri ♦(mta l'impnssiMe mais ses forces aiiTt'iei l«t Il fit .iptk»i tin« miffuti» tron iar<1 'p trahiront. T/'clrrc qni avait vu et comprlrapidement la mw. se mlfS Ia nmirsnite <1n leader. M»'S l'antre, en excellente for me. n'avait plus rien à n-iin<1-"e II avait ̃ en • T^M'i'iri il était Tictnrienx. Vimport* On «v» couripndra lnnsrtftmn« or'entre les n rrr. et Ipe Viln. de l'épreuve Pelé r">1i?a une nmvenne tinralre (!<̃ ts k'1 W). Et e''& le nins l>ean «npctscle. par le calcul de, "T^vennes quMI nous a étfl donné de voir hier.

On a In nn> le Stade nordelais n'avpit •ias nr's nhrp flans le ri.isçpment <1ps ^fm1r-e«. C'r^i nue r.ntrnirPTipit rut rsr. '̃nlaire-: ni1n1rtfrip"e« ̃•apTvliV's «éeern ment Pt nar lesnnelle» o«t Interdit aux clnhs et fédfration= de fn're arme' en viip d*s c1i»mnlnTina1«: rirîic -mr TTiilItfltrP' n^Ti r.rofessioTinPÏ* *on« les «Irappauv, le Ptarip rtnrdelais a fuit rmHr «M<1at fnné 11 eu a cuit an rlïi'i *1p r.ordnaii'1" 1"i nlnc rien ait rhamp*"nnat de Franrp alors nup «'<u? rir-né il ont prol>r-M^iPnt nhfPnn la S' nn R* pince TI rn cuira a» soldat Ttnné nui pent c'aiterdre <niPln"e« **rans nni,r avoir di^héi anx ordres tpnr tifq militaires hle« fine champion dé France Ifp l'armée.

LE FOOTBKLI PAS CHOWÉ HIER

C'est, avec une certaine ^irnrisp qu'on »VPTis eme le Stnie Français a presque Normandie, par 6 h'its contre î et due la P.astidienne a pn enlever la victoire snr les Belfortains rhamninnc de l'Est pn' t bnt a fl. Tl ne faut pas oenspr que le dn mois 1e Stade Francal* rencontre a l'aris le valnquonr-du Surt-TM car hier le matrh St-Ranhaé-F <~ Sétc a «In «tre remis à plus tard. le terraln ranhasioit étant Inondé par le* pluies. Comme Ai manrbe prochain «e 1nne le match France Snlcse. a T.an«anne Pt qu'a lieu à Tunis la rencontre France n-Tnniste. Il est p"i prn l'ahle irue SHe pu1«se rp*ronvpr St-Panhaél sur on terratn se, dimanche prochain, ifin de savnir si SMp vainqueur rpneontrera Montnellier en narra?* nn fl. hatlti. il laHv Montnellier libre 1e dispnter le !J à paris nn match de chainnlonnai arec le Stade Français Oh ma tPte 1

Oa r«iit donc penser fnie le C. (le Paris et l'Olympique T.illol* disputeront tranquillement leur ma:rh lA relouer) le ̃ Hmanche 19. il Rnffalo finvrm nrtKM A PROPOS DE CROSS LA CRITIQUE EST FACILE

I)ans yOuest-Eclair t-amerll. mon contrère et ancien collèeue Robert-Guérin «met quelques critiques sur la Fédération Française d'Athlétisme et «a commission technique Etant -le cenx qui luttent en réunion et ne savent pas dire Amen, le suis d'autant plns à l'aise pour défendre no* bénévoles roUéeues et dire Robert Gnérln qu'il est trop facile d'émettre d* critiques quand on n'e«t plus dans le bain • et que I'nn volt les rhoses du haut d'une tril'nne il 'e «ait bien, lut qui fut (Hrieeam il v a ̃>:< ans et que les difficultés rebutérpn- («ligule nous ne l'avons Plus rev» 1aT" lurons 'itération.

no reproche A ta F F. A. d'avoir adopté les i>ir arnener le public et ita'^ir ainsi n^i-licé les coureurs. faudrait s'-ntendr» -oniment vulgariser si on n'a pas le tmhlic Comment recruter fi on ne fait pas rolr d'abord Le pu blic n>*t pa« sfiilfment Une question recette «-'m 'inp question prnpa eande

Au point A<- if -echnique. les tatts par leiit c'est ipiiii- eu* ta F. F. A. a adopte les parmtir- •><-iue!^ qu'elle est lmbattue au Cross de- Six Nations t

Qaut à la critique faite t la FédéraMb dtattr ttcam ans jaartaax venu

1 aider, elle est savoureuse dans les colonres de l'Ouett-Bclair, sans qui bien des éireuves régionales n'exl««ralent pas avec l'éclat qu'elles ont. Ce sont les puissants du jour qui doivent aider le Sport avec un grand S celui pour lequel on cibre et non pas celui dont on vit; la presse <-st une puissance et quand eile aide le Sport, elle fait œuvre utile. bonne et belle.

C est quand on veut asservlr ou démolir une organisation de gens bénévoles et sincères qu'on fait œuvre mauvalse. Croyez-mot Robert-Guérin, dans l'OutstFdalr. descendez un peu des hauteurs où vous planez et rappelez-vous les difficultés de V.VX qui existent encore pour beaucoup et sachez que lorsqu'on est pauvre ce n'est pas parce qu'on le veut bien, c'est farce que ni la veine ni la mode n'ont fait de nous des « parvenus C'est un sportif amateur qui vous le dit est toute cordialité. J. Goum. 0

L'EQUIPE DE FRANCE

P»his. 5 mars. La Commission de sélection de la Fédération française de foot.baü a désigné ce soir l'équipe qui Jouera dimanche prochain à Lausanne avec l'équipe de Suisse.

En voici la composition

But Thépot (Levallo f arrléres Waltet (Amiens) et WiM (Stade Fiançais): drmis Chantrel (Red Stari. Domençue (Red Star) et Villaplane (NImès); avant» Dewaquez (Marseille' Bardot 'Cannes), Nicolas (Red Star). Seyler (Strasbourg) et Gallay (Marseille*.

Remplaçants Frlesse (Strasbourg), Cantbelou (Rouen). Lieb (Mulhouse) et Auvray tC. A. Paris).

Il semble que ce soit la meilleure équipe qu'on puisse mettre en ligne pour le moment.

L'EQUIPE SUISSE

Paris. 5 mars. Voici la composition de l'équipe de Suisse qui jouera dimanche. à Lausanne, avec celle de France Bill: ̃. Sechevaye (Genève); arrière» Dubouchet (Genève) et Romseyer (Berne); dtmis Nicole (Lausanne); Weiller (ZuTich) et Weine (Bâle); avants Afflerbach Balel; Jaeggi (Genève); R.omberg (Aarau); Abegglen (Zurich) et Finck (Lugano). MATCHES OFFICIELS CHAMPIONNAT DE LA L.O.F.A. DRAPEAU ET QUIMPER

font match nul 2 à 2

FoucniES. a mars. Bien que régulièrement joué, le match Qulmper-I)rar*au nous a déçu. Après le match, un ex-as de Bretagne nous confiait qu'aucune des deux équipes en présence ne serait champion de rOue»t 19-J7-19S8 et Il ajoutai Il ne faut pas avoir assisté à la dernière rencontre Olympique Llllois-Basiidlenne pour dire que Qmmperoia et Fougerats pratiquent un excellent football Juré sur la partie d'hier ce postulant peut être tenu pour exact mais on dira. Il y a toujours des mars si nous ne pouvons discuter en ce qui concerne le Stade Quimpérols. nous pouvons quant au Drapeau dire qu'au cours de l'actuelle fai^on. Il a fonni:. et fréquemment, meilleure Impression qu'hier Nous estimons que J'absence de L. Gnillerm et de TalIlitDdier se Ht lourdement sentir.

La partit

Devant 3.000 personnes, M. Clément, arbitre fédéral donne le coup d'envol à x h. 45 aux équipes

Stade Oulmpêrott

Lanauzei

Le Gall Gourdin

Leroy R. Legrand Tanguy

Seznec M. Lesiand Leroux L. tegraDd Le fversos

0

Le Marchai J. Dominique Samoel Lebras [Serrand

Gulllerm ChemIn Bénie

Vallé Corné

Drapeau

Les Quimpérols ont l'avantage du soleil, le Drapeau profite d'une légère brise. Les visiteurs, profitai)! de leur rapidité sur la balle et aussi d'nn avantage physique Indiscutable, prennent franchement 4 commandement. On a même l'impression que la partie ne peut leur échapper. Ce n't qu'une impression, car tes. rouges. en ont vu d'autres et le jeu a tendance a s'équilibrer Les fautes sont as>ez fréquentes et Clément ne mamjue pas de les siffler. On sent d'ailleurs que l'arbitre a bien le contrôle des opérations. On note de beaux arrêts de Berthelot et de Lannu/el II s'en faut d'ailleurs de peu que Serrand ne marque. 3 b. Le Drapeau accentue sa pression la lutte se poursuit dans tes t8 mètres quimpérols Main de Légal!. Coup de sifflet, penalty. J. Dominique marque d'une façon imparable.

Drapeau t but Quimper. u

Le« Quimpérois rentonteut le terrain et les deux arrière, blanc, souttennent l'attaque. Mauvaise méthode, car -I. Domintque. en possession de la balte dribble un adversaire et passe en profondeur a son allier CemaréchaJ qui, en bonne posture. se bauve

3 h Il Les arriérer qulmpêtois se lancent a la poursuite de Lemaréchal. Il est trop tard. Le brillant ailler fougerais. en pleine vitesse, shoote au but. l.-iunnzel est Drapeau. buts viimpcr, 0.

Avec courage, les visiteurs forcent l'alittre C'est au tnur de Renhelnt de faire bonne garde.

3 h 13. Le camp fumerais est envahi. Vallé veut degager de la tête mais la balle, mal contrôlée, va rouler tranquillement au fond des filets de Berthelot Drapeau. ° buts Quimper 1

Le (eu reprend très actit Le Drapeau xmble éprouver des difficultés i endiguer les attaques qulnipéroises Heureusement pour les Fougerais, s..1. Dominique loae brfllamment et Il faut toute la tùreie de Larinnzel nnur arrêter un shoot de ce Joueur

La nii-teinp!. survient su e resultat. La seuiniie partie sera nettement à l'availlant d^« Qjinu>*fOl- I>es la Il Benh-lot est a l'ouvrage il le i-era fréquemment, les dm\ arrières foncerais commettant in faute de plac*r leur balle au lieu de dégauft longuement. \falgré l'avanidce de Stade 4iilm|ié«-ol! le score ne se trouve pas mixlifié du fait que les tvant» oiaiic* ne snnt des réalisateurs. iliffcrepttî reiiri«es ils sont en excellente pou i fou liait tif ti.arviennent pas 1 tromper Bertnelot

heui*s. Tout a une Un et la jeile de.tenx du itoa1 foujrerai., ne peut r'1"' contre une tentative i|ulmpérols«

Drapeau i buts ̃ Quimper 2 buts S en est fini de la belle résistance du Draoeau chemin >as.~e arrière au lieu et place le callé qui iou* demi rentre Mauvais- sien? dit on que im>« mutatlnna en cours i' partie Ft de lait les rouse* ont l.irLf»-mpr,t îoiiiiups 'ii-.ic*1 < Ferthelot la pattt^ <f it'nine V»t un maU-h nul. Crtnsitierirt »»> \.r ^tad*1 vuiniiief'lf por*ed* uno helle irf* athlétique, et très rapide Aucun Joueur n'émerge. Par contre. le Jeu pratiqué n'est pas de» pin* claiiriawi Nous critiquons Um cocu» de t».

l'autre. Juge. sur cette partie. Landeméens et Concarnois nous paraissent très près les uns des autres, et si la victoire, très régulière d'ailleurs, a souri aux gâs de la Lune, ce ne fut certes pas sans peine. En effet, les Concarnois dominèrent le plus souvent pendant ta première mi-temps, mais leurs e&sais aux buts landernéens lurent assez malheureux Par contre, les gas de la Lune trouvèrent d'une façon assez heureuse le chemin des filets pour le premier but, et par la suite, surent mettre à profit la faibles des arriéree concarnois, qui doivent supponer le plus grand poids de la défaite de leur club.

Complimentions la Landernéenne pour leur succès et souhaitons-leur bonne chance dans les matches à venir pour leur ascension en division d'honneur.

La partie

Landerneau a le coup d'envol. Concarneau intercepte et descend en 6 mètres. Le jeu se déplace avec rapidité et les deux équipes descendent chacune leur tour. Un corner est tiré contre Landerneau sans résultat. Une tentative de percée de Pcrtunis est magistralement annihilée par Sivienne. Concarneau presse un moment la défense de Landerneau. mais un hors jeu dégage le camp des gas de la Lune, qui viennent rendre visite au portier adverse. Landerneau bénéficie d'un coup franc à s mètres des buts. Morvan pare, mais dégage de la main dans Kérouanton, qui a suivi et sous le choc La balle pénètre à l'intérieur des mets. Landerneau, i but

Plusteurs descentes concarnolsej restent sans résultat. Un bel e*eal de Hougay est magistralement p^ré par Morvan, qui dégage longuement. SauLan réceptionne et, filant entre les arrléres landernéens, égalise à bout portant.

Landerneau. 1 Concarneau 1.

Coup franc de part et d'autre. Concarneau obtient un corner tiré sans résultat. Sur service de Jack, 1 aile gauche landerneenne descend. Hougay. dernier possesseur de la balle, met a profit une mésentente des arrières concarnois et marque un second but.

Landerneau, 2 Concarneau, 1.

Descente de part et d'autre, un corner contre Landerneau et le repos est atteint. Le début de la reprise voit les équipes descendre chacune leur tour et faire de nombreux essais. Concarneau concède un corner, tiré sans résultat. Les Landernéens s'emploient activement

Le jeu se porte un Instant vers le camp de Landerneau, mais Jack lance Autret, qui marque le 3' but dans le coin. Landerneau, 3 Concarneau, 1.

Un coup franc est sifflé contre Landerneau Par la gauche, Concarneau descend à deux reprises et se fait concéder corner. Landeineau prend un moment la direction du jeu et pousse à fond. Pour un Insf la balle va dans le camp landernéen, obllS«mt Dlralsou de sauver une belle tête de l'inter-droit concarnois. Après plusieurs essais au but de Concarneao. un corner est accordé à Landerneau. Concarneau, se reprend et Jusqu'à la fin essaie d'ajouter & la marque, mais ses efforts restent vains. et La tin est siffiflée sur le score de 3 à 1 en faveur de Landemeau.

Les meilleurs à Landerneau Jacq\ Gulvarch, Hougay Miry, Autret.

A Ccmcarueau Morvan. Robin en première mi-temps. Sauban, Perthiiis, Cottin. Bon arbitrage de M. Le Coënt. 8 COUPE FOLLIARD

E. U. S. Combourgeoise (1)

bat E. S. Castine (1) par 3 à 1 Cette partie jouée dimanche à Combourg tut très intéressante suivre. L'Etoile ouvrit la ntarque, mais alors que les Combourgeois réunissaient 3 bu<» avant le coup de sifflet final. lés Oa.rtins ne pouvaient augmenter leur marque. Au repos. l'E. U. S. C. menait par 3 a 1. score qui resta inchangé.

Les deux équipes sont à féliciter. Excellent arbitrage. 78 A.S. Vltréenne (2) et

Cercle Paul-Bert (2)

font match nul 0 à 0

Viiec, 5 mars. Cette ultime rencontre de Coupe Folllard ne présentait qu'un Intérêt tout & fait relatli puisque le champion était déjà connu en l'occurence J'A.S.V.

Malgré l'absence de quatre de ses meil-' lurs equipiers. Messes, l'équipe locale à tenu ne pas ternir son joli palmarès et de conquérir de haute lutte le titre de champion sans avoir connu une seule fois la défaite.

La partie, très' amicale, fut surtout Intéressante par l'ardeur déployée par les jouteurs.

En première mi-U'tniis, les jeunes rouge et or marquèrent un léger avantage sur lenrs adversaires qui. en second mi-temps, dominèrent quelque peu à leur tour. A Renne*, sont signaler, le goal, un arrière et le demi-centre.

A Vitré, l'ab'senco des quatre titulaires se fit lourdeuwi>t sentir malgré le courage et la bnnne volonté des remplaçants. Les plus en évidence furent GuérLnel, qui fit une partie splendide. mais qui devra ménager se'' expressions Drouyer. Leniotn et Métairie.

Mise en confiance par ses succès flatteurs, l'A.S.V, [i) doit bien se comporter contre le vainqueur de second groupe. Cette fmale présentera le plus grand intéet et pas un Vitréen, nous on sommes sûr, ne voudra manquer ce jour-là le Aéplacement du Stade Municipal. 5 8 AVANT-CARDE DE FOUGERES bat A.S. VITREENNE 4 buts à 2 FocotEs, 5 mars. Disputée en lever de rideau du match Qnltnper-Drapeau. sur le pan1 du boulevard Edmond-Boussin. cette [Ortie de championnat ne manqua pas- d'attrait File a confirmé ce que nous pension?, c'est que, jouant au complet. les • Amlralistes » devaient prendre le meilleur sur les ̃ rouge et or de l'A. S. V. D'entrée, de Simone part il. fond, mais sa tentative échoue en six mètres. Le jeu tratiqué est très vite et sur hésitation de la défense visiteuse. Lebreton qui a surgi tnarque hout portant L'A. S V. réasrit sot ipusement, ésralise d'abord par son aile gauche, puis. sur faute de N'nblet qui gène «en portier score une seconde fois. La mi-temps en atteinte sur ce résultat. A la reprise, les violets repartent franchement à t'attaque mais les rouges se défendent vaillamment être n'est qu'au hniit de vingt minutes que de Simone parvient d écaliser le rheinin des filets est enfin trouvé Bnriin rentre un troisième but. île Simone en ajoute un attire,. profitant il'nni- fnrlieti«o inspiration de Coéffe. A Vitré l'équipe sans Individualité rnarqmntes forme un bloc homoaène Velllard-Duchesne en furent les meilleures unités. Coffré, est inférieur.9 Germain qui se morfondait sur la tnuche.

[.'Avant-Garde a fourni une meilleure exhibition que précédemment. Elle peut encore beaucoup mieux, en faisant preuve d'un bon esprit il'équipe. Dauguet dans les buts eut de? "irrets magnifiques. Les demis soutinrent bien l'offensive mauve, superbement emmenée par de Simone qui est d'une classe indéniable quoi qu'en disent certains esprits chagrins.

M Droinneau siffla la fin de la partie sept minutes avant le temps réglementatre et c'est évidemment très regrettable. 58 Henni tage Olub

et Club Sportif Mc-ntfortals

tont match nui 1 à 1

La première mi-tempt est à l'avantage de l'Hermitage 'lui ne profite pas de deux penaltls qui lui sont accordés. La deuxième mi-temps est plus «sala, chaque «quiDe nuxvMot un bat.

A l'Hermitage, toute l'fquipe est & féliciter et en particulier les frères Jagol'et. A Montfort, le goal n'a rien à -e reprocher Tinter droite et l'extren.e sont à féliciter. Très bon arbitrage de M. Régent.

De ce fait, l'Avenir de St-Meen devient cbampion du groupe. S MATCHES AMICAUX N.-D. de Bain et

Avant-Garde de La Guerche

font match nul 2 à 2

But. h mars. La rencontre fut chaudement disputée et le résultat nul tndlque bien la physionomie de la partie. En première mi-temps Bain marqua le premier but par son demi-centre. Le repos arriva à l'avantage de Bain par 1 à 0.

En seconde mi-temps, La Guerche. par son capitaine, mit les équipes a égalité par un but imparable. L'Avant-Garde enconragé par son capitaine attaque dangereusement et sur un beau shoot de celui-ci. La Guerche marqua un deuxième but. Enfin ta dernière minute, sur cafouillage devant les buts le^tr^me droit Balnnais mit len équipes à égalité. A remarquer U- iieinu < i de la Guerche. q1!i fnt I» niellleiit h.")ine sur le terrain et le demi-centre Balnnais. Arbitrage eacellent 3«i Stade Oinannai» (1), bat U.S.S. (2) par 6 but* à 2

Dems, 5 mars. Par un temps superbc et devant une galerie assez restreinte, le Stade Dinannais .a eu raison de 1 équipe deuxième Ue l'U. S. S. par le score très net de 6 buts à Les Servannals qui. à par >ngot qui manquait, etatent les méi!iC3 qui gagnèrent par 8 buts à 1 au matcb aller, nous ont déçu quelque peu. Avec ur. retard d'une demi-heure sur l'horaire, la partie commence tout d'abord avec acharnement. Cinq minutes à peine sont écouléee que J. Conq marque à -S mètres un but fort applaudi. Puis Quéré pare un shoot de Benoist mais la balle lui échappa et rentre dans les filets. Dix mir.utes plus tard, un shoot plongeant est sur le point de battre a nouveau Quéré, mais Le Bastard dégage avec la main d'où penalty que Conq transforme. Louis rentrera un quatrième but et Selbett sauvera l'honneur de son club. La seconde mitemps est décousus et nullement injéressante. Dinan portera la marque à 6 et l'U. S. S 2.

De cet;e partie, on peut conclure que Conq et Franck mis à part, les Stadistes sent loin d'avoir trouvé la bonne carburation. Morel nous a semble se réserver pour la place Duguesclin. Levavasseur r.'était pas sûr et chancelait souvent. Rolland et Benoist ont paru fatigués et leur grande mobilité s'est rarement révélée. Quant à Lebreton toujours agrlcheur et courageux. Louis, Lamiré. Bu.-nel et Viot, ils ont fourni leur partie habituelle. A St-Servan. l'équipe bonne fut. Selhert excepté, inefficace. Signalons en terminant que le public applaudit chaudement Conq et Frank qui se distinguèrent l'un par son jeu clair et l'autre par ses arrêts sûrs et impeccables. i8 Résultats divers

Saini-Msgloire (21 bat Olympic de la Côte par 3 buts i 'i-

U. S. Collège de Dinan bat SaintMagloire (3) par 4 buts i 0.

Saint-Magloire Repos.

MATCHES OFFICIELS LE CRITERIUM DE RUCBY ANCEVIN REVIENT A L'U. A. I.

U.A.I. {l), bat S.C.O. (V-, par 11 à 3 U.A.I. bat 8,C.O. par 14 à 0 Angers, j 5 mars. Ce fut une belle journée du sport du ballon ovale qu'organisait le S. C. 0. Sur le Stade du Crédit de l'Ouest, en opposant son équipe premiére à celle des Arts qui fit match nul avec le S.N.U.C. champion de l'Ulan tfque.

Une (Lssistance choisie et nombreuse st pressait dans le Stade et s-'enthou-Masma aux belles envolée* des 3/s, aux fortes percées des avant, Le rugby, hier par une journée favorable, a gagné un stade vers le succès, il fut une excellente démonstration de jeu sobre, mais clair et rapide, même fait pour értuquer le profane que maints laïus, aussi c'est avec plaisir que les supporters du rugby angevin voient te public venir de plu* en ptus grand nombre.

Le: Arts gagnèrent par un score moins grand qu'il était généralement admis et encore les troib e>sais marques le furent à la suite de bons départs, mais grâce à l'inefficacité lie l'arrière angevin tur l'homme.

Les Arts attaquèrent je plus souvent. mais leurs départs classiques, sans variantes, étaient voués l'insuccès devant la défense formiilable (les avants et scottes.

Les Art», plus aguerrais avec tes grandes équipes, mieux en (orme jouèrent avec une cohésion parfaite.

.Au S. C. o., on se contenta do se mettre en mélèe mais à part deux ou trots, on ne poussa pas assez et les Arts obtinrent le ballon 9 fois snr 10 Los avants se rachetèrent à la touche et dans le jeu ouvert.

Les lignes arrière* du S. V. O. tsqulssèrent quelques honc départs sur mèléo ou en contre-attaque, malheureusement leurs 3!; étaient mal placés ou la passe était trop tardive.

Dans I ensemble, ieu ,erré. correct e. courtois, preuve irréfutable que le match amical sera toujours d'uno exhibition supérieure aux matebes de championnat. Le seul reproche, oh pas mérhant, s'adresse à l'arbitre qui dirigea la rencontre avec beaucoup d'autorité. mais trop de sévérité, arrêtant trop souvent le jeu, les contre-attaques qui font la beauté de ce sport.

La première mi-tr-nips serait 'eu égal si on se reporte au score, toutefois, les Arts menacèrent piu: souvent Hien n'est marqué.

La deuxième mi-temps est. par contre de jeu plus égal, mais là les Arts, sur échappées de Lacrotx. mal arrêté et de l'ailier gauche, marquent trois essais dont un transformé.

Le S. C. 0. échoue deux fou très prés et sauve l'honneur par un coup franc bien botté pnr Labanhie.

Airx Arts, lps avants jouèrent avec beaucoup de cohésion. T.es lignes arrières, très adroites- amorcèrent de belles ouvertures: se sont distingués ̃ Lacroix. Baraka, l'allier gauche; l'arrière de l'éqai- pe seconde, qui tenait le poste en premlè re ne fit pas une faute sur le ballon. Au S. C. 0.. tout le monde loua avec cran. Le; avants, battus on mêlée, ff montrèrent meilleurs à la touche Ariuf. Geiormlnl. Mlchaurt. Labanhie Naléî. firent un gros travaU. Ulllac. derrière une mêlée battue, ne put faire que de la dé feuse: en 'i"i. Bonneau Ressou Creuiat Forgeron, à l'arrière ne fit aucune fin te sur le ballon, mais mr l'homme Il y en a deux gravai qui sont 1m taure* de

CINQUIÈME RELAIS

DE- L\< OUEST-ECLAIR » organisé avec le concours

de la L. B. A.

LE DIMANCHE 25 MARS qui. aYrés entente avec la Direction d* lOuesl-Eciair sera couru sur l'itinéralr* choisi a Rennes.

Aussi olen, dès aujourd'hui, M. Cernait et notre rédacteur sportif seront sur U, route pour jeter les premiers Jalons 0e> 1 organisation qui étant donné le peu de temps rtui reste avant la liate de l'épreuve devra être menée rondement

Des maintenant, nous avons les engagements de principe des Cheminots Rennais (vainqueurs de 19271 et l'U. S. dur des Cadets de Kretagne.

du S. Rennais U. C..

de lu. S. Saint-Miche) d'Avranches, du S. Briochin (très probablement). Que les clubs qui désirent prendre pet au ;i' Relais de VOuesl-Eclair n'attendent pas nous envoyer leur engagement de principe Ils faciliteront notre tâche. Nous leur demandons, en outre, de hlao vouloir nous dire s'ils préfèrent vo(r l'épreuve courue en ou en u étapes. II va sans dire que dans le T cas. les étapes seratent moins longues et que cette formule nous parait devoir être Il meilleure. m L'EQUIPE DE FRANCE

Paris, 5 mars. L'équipe de France, qui doit disputer, en Ecosse, lq a mars, le chan.pionnat des Cinq Nations, est en principe, composée de Roger Pelé (Clermont-Forrandi, Leclerc, (ParL); Boué, IBordeaux); Cbapuls, (Montceau-les-Mines) Denis, ;Angers); picotas. (Nancy); Beddari, (Paris); Rérolle (Vichy) et oranier ¡Paris). On sait que dans cette épreuve. les six premiers de chaque équipe participent au ctas-emtnt général.

L'an dernier, la France remporta la championnat disputé au Pays de Galles. Beddarl se classa deuxième

APRES LE « NATIONAL

Nous avons demandé au président de la L B. A.. retour du National, comment nos coureurs s'y étaient comporta;, et il nous a répondu

« J'ai suivi quatre homme- Denis. Perrichot, Loger et Angeard. mais surtout les deux premiers. -J'avAi;* bien vu Boltard au départ, mais j'avais la convie. tion que c'était trop long et, effectivement, je ne sais à quel moment orée! il a al'amlouué.

Au départ Denis et i'errichut etatent de suite dans le pelôron de tête. Au premier passage. Denis terminalt le peloton do tête, soit -J0"; Perrichot était 73e. Léger et Aiwearrl étant légèrement devant: au second tour. Denis suivait toujours le pelotun de Mie. il etait ,<•. alors que Perrtihot semblait en difficultés étant w et que Léser se détachait d'Angeanl. Au dernier inssage. Dent, collait toujours au peloton de tête. c'est-à-<liie 60 et Perrichot senihlait mieux a i->n aise en position. L'arrivée voyait Denis :'8. frais. Léser-»* Angearrl ea* et Perrichot Poor notre champion, ce fut une excellente course, car vo'is :avez que nous non, attelons a lui faire un morai de • lutteur 8. ce qui e^t difficile chez un athlète à qui la victoire sourit souvent chez lui. Perrichot commence à se sentir la cla?5e nationale et il doit arriver: il n'est pas normal de le voir si loin derrière Lèeer et st Angeanl l'a battu c'est que le Manceav travaille dans une amMame différente et a déjà rencontré des athlètes de classe nationale Denis fut étourdissait et cet homme est un défl il la vieHIesse et a l'acre.

D'autre part. MancMtix travaillent aver plus de méthode. 113 disputent les challenges ou épreuves qui sont dans le proeramme de leur entraînement tanrlis qu';i Rennes aussi bien Stade que Cheminot* ou Cadet. on a une tendance manquée s'entraîner en vue d'une épreuve ir.iener. il faudra que nous arrivions à faire romnrenrtre que les Chatlenges sont un stimulant et non un but. T'ajoute uue les Manceaux furent de Dons camarades pour le champion de Bretale président de la T.. B. A. nous parle du

LE DERNIER

DES DERNIERS MATCHES

FRANCE-AUSTRALIE

AnEuiur, j 3 mars. Hopman bat Boussus. 6-3, 6-0: Borotra bat Patterson, 6-°, Btuçon-Bous>us battent Crawfort-Hopman. fi-3.

Résultat tinal. France. 5 victoires Australie. '• victoires

Nous apprenons que les Chambres Syndicales du Cycle, an cours d'une réunion récente, ont constaté que la haïsse qui vient de se produire sur les matières premières, ne permet plus de maintenir, pour lee bicyclettes, les prix de vente actuels.ne ce fait, les fabricants de cycles se voient dans l'obligation d'appliquer, à partir du tu mars, une hausse de °A- Malgré rette majoration, les bicyclettes sont, en réalité, moitié moins cher qu'arant 1x guerrf puisque leur prix ne représente pas trois fois celui de 19U. tandis qne le coefficient du coût de la vie et celui des matières premières est d'environ 6. DANS LES PATRONAGES BASKKT-B.iLL

Espérance St-Hélier bat

Caduta de Bretagne (')

par points à 8

Cette partie, toute amicale, jouée sur le terrain de St-Hélier. fut agréable à ahivre. Les deux équipes pratiquant la passe nous firent assister à de belles combinaisons de part et d'autre salnUléher domina plus souvent son adversaire et menait a la ml-teinps par 9 à î. A la reprise, les Cadets se défendlrent courageusement, mais les verts concréthèrent leur avantage et la fin Nt sifflée sur le résultat de Salnt-Hélier points: Ca\ux rartets se firent remarquer Boucard et Lenorm.ind. A St Hélter. toute l'équipe est i féliciter, pour sa belle partie. prometteur pour les prochalnt matchs de championnat.

Son «titras» <M M. EtnauM- •


OONCOURS DE POULAIN8

A PLABENNÂC

Le concours annuel de pouiains de trait de 1 an rt de 3 ans. aura lieu a plaheanec. le veudredi 3U mars, à 9 heures, pour les poulains d'.uu an et a t3 heures pour ceux de 9 ans.

Les engagement!- seront reçus a la mal.rie de Plabennec jusqu'au mars inclusivement. passé ce délai, il sera perçu un droit supplémentaire de 10 fr. par animal déclare en retard et présenté au concours.

Ceux yui ne se seratent pas fait inscrire sur la liste de la société, a Lesneven. avant le -Xi mars et n'auraient pas payé leur cotisation a cette date. devront, pour être aflnii» a concourir, payer un droit fiu de Su fr par animal, quels que soient le nombre et l'age des animaux qu-ils présentent.

Les M>ciétatres ne paieront que S fr. par animai présenté.

LA TENTATIVE PARIS-CANNES A CHEVAL

PARU, S mars Il est Impossible de ne pai admettre le caractère *portlt de réprouve tentée par les concurrentes de Parts-Cannes. Le scepticisme de beaucoup de personne*, au départ s'est tran&fornie presqu'en certitude de succès. Le vétértnoire accrédite, commissaire général de l'épreuve nt cache pas son étohnement devaat l'endurance et la régularité de, choraux.

La position des concurrentes est 1a sui- vante Miss Oalatry a traversé Avignon a 8 h. ce matin, se dirigeant vers Ui-*n-Pmrenre; silie Gro>fl arrêtée hier Par ta Commission et repartie de Cren. a minuit 15 et compte arriver ce soir a Avignon, alnès une étape de ion kilomèIres. Miss Cody arrivée hier »otr A Crest on est repartie ce matin enfin Mme Le nolr a quitté Vienne 5 heure? et comp- te coucher a Cre^t C- soir Sa jument. En- re-Sef. est en meilleur état que lama!* COURSES A ENGHIEN

Résultats

Ewhidi, 5 mars. Quoique le programme fût dfj phtv modestes, le public était venu astez nombreux, attiré aan. doute par la perspeclive d'une belle après.midi t la campagne, autant que par les courtes elle^mêmes. Le prix de la Gironde, qui avait réuni concurrents, fut ga- ané par Le Gouverneur, après une lutie sévère sur tout le parcoure, avec fppécourt et ce n'est que sur le plat, qu'il put prendre une petite lougueur.

Dans les courses au trot, Art en. Ciel Il trotta Je kilomètre en et Valent* en r 1/S.

P«ix du Mtooc isteeple-chase. a vendre aux enchères. 7.sno Ir.. m.). 8 par Jants. 1 Péril fJ. Biarrotte). A. Urbain réfarion (F Gaudlnet). Beau >-ims 3. Pcrle d'Et/iatine iX.l G Prop per i. Pervenche il (H. Semblât). M. de hatplikTron.

Son placés Lady Kineratg (J. Tea«Ialel, nmnytus (J. Luc». DelLy (J.-B. Las- .-us;. Adrattvs (B. Boita)

PRIX BU Lor (haies 12.000 tr. 3.R00 m.l, Il partants, 1. Propre ,Tt Vayer). E. Hélloponloi; 1. Rteh Vetn (J Lue). Mme M. Vajrliano; 3. Entrechat (A. Cérei\ Stern; Banc <P Michel). J. Gouhier.

Non placés Oronle (L. Loiseatu. Le Bf'iflon fG. Foucaud)

Pry de la Gironde (haies, handicap. i réclamer 1 non T S.O00 m.)., 14 par lama I" Le Gowternrur (F Gandlne", Comre de Pengny • s» Tppécoutt lA, Kalleyi e Ctamon S Brandelyt 'C. Vewoi. Baronne de tssaverdens Dont Lvai U. 1/ègen. M. Gntfenhelm.

!lieu placés Svrya a!-B. Lassnsi ToiU tout (J. r, nostadoatll OUI n*o IL Loi. sera) LUml fp. Serre) Benewrille- H. febotti Dtchrr 'FruhtndioltH Gao (Suc); Obernai R Oho) Saturne (R. Bagnlard): UM'. C. Jolner). tombée.

Prix Catcon Il 'ste«.]*-chase handicap, ir. 3.600 m.) 6 partants. ,or Bab't Vow ;A Kalley) Sydney Platf «• La Ma Son placé le Caprice (F. GaudtneD tombé

Pria KcHamey fhales. SO.000 fr.. m.) partants. Movtvminvr Belelotip) coîntesse P. de .tumtihac 9e Prt' har (L. Barré) J. Schwon T VeriHtqve (G. r,est»r) Mleu Lcebl Smetala (C. [agate) ̃I. A. Fernandez.

Non plates L'Emtlte Il <J Dafflon) nMotevr VIII (R. Petitl.

Péfx Géni'rnl (trot a'.telé. to.ooo francs. mètre*,), 10 partants, 1.' Arcrn-Ctel.li (V. Devreesei. Haras de, tiiboii- !*er. Avbtrtve (&nuln). A. Cet: r Briti Ît (L. Forcinall. Duc d Audlffret-Pasjuter: Awius-ir (Verdie). p. Chaînon .NI. pi.. Palnis-Ttoval >BakkerV BaAlnerelie (L. Prins) Saint Anârf. lA. Butfl) ne.fl (p. Noeï!

PrlT de I.tshonne ftrot mnnté. lnf*nia- tinjial handicap limite lonno frsnci. îino mètreM 8 partants. t*r valence îC-nnridol. L. Prins « Bai-tff LaiM-11 il Vottier). G. Delpent: S' VppermotT (Chr^ tien). T. Comhot-. 4* Ala&tri 'A. Porcins!) docteur Arnanit

N. pi Af-itujn'tr (G Pentwate) Vert**W (Grosieanl Relle-KMant-C (H Cé••a-MallIard). BnHurlU 'E Picard).

Pari Mutuel

P P P 9

P

P C, P 13 50

Le P 30 50 Il 50

P P Bridge P P P

COURSES A COMPItONE

Partants probables

Prtz del'Ortille !haies. à réclamer ou» fr. 2.SÛ0 m.j. ttwoi'in (Biarrette), Ritarol Il (Hae*). vieux-Fort (Theiy). Coilevutette iBonaventure). Uroveillrusc ((;audlnet), La Faribute Il IAndre Ben.so). ee^tS«tf>« tA. Bensoni. Ftjtr (Hartreld). Janit/aire (I-«ate Sarella Il (Férat), n'aller (Le&caile).

Steeple-rhase de la So. i*i# du DemiSans (cli de -elle, u m et 1. ̃<̃> fr 4X100 m.V Acteur Il fCoAartoat ). Vrne (M. de Saint-Mtreli. Yaieria (Storcki. Artltleur (Noireî). Ami Uugei. HaUvernt il (Hanveld). Batatlleme III 'MUlie). Bellede-Nuit (M. d'ld«TilIe). Croquemlt III (Hieyte). *on Petlol (X.;

Pris de Chamnlieu j" prix de la Société de. St«ples (haies is.000 franc». ru 1 Hoteioup et ,Ve<l)«ft (F Gaudinet, ïaliiiirt .Bonaienturel. *'»Jtoion(e (Cereij. é'ilvai-li/ ̃K*-Ubnu=e). CaiWrru. iAn dre Ben..on Ircliti Siiudoti.

Prix du Vieux-Moalin et de la aocieU Sa ablnsk N*HrSh*i tCrtnrtmsU.

Lhani-Habtis (Harnœon). (Bucb). Capucine Il! (M de Salnt-Mtreli. Spadr (Niaaot), GoHttn-Oriole (Bénsohj, Pardaitlan (Lescalle). Porte-Joie (Bonaven- tu re

Prix de la Société du Demi-Sang latœlé francs, e.800 mètre»). Bois-Ho- berl (Blancart), BtUone IV (Bréeer), B(lrai |R. C. Simonard Vlrtçut et Boulangère (Derresw). Belitant et Coyctn-porett (Vercniysse), Cé'iDatatre (Vigneaux). Brichamhtau (Sourroubilleî. Acajou (Pain;, Lvas V (Dtirreull). Bleeille II et Beauhar nais (Tardivon). rateneiennes II (Maurice) Batmno (Simonard), l(p*re 1/ (Morvlllers I:rllff)OTde II !Forcioal). irgfntfna (V»n- denbers). Âlzrtte (Baudrr). Brillante (Deveauxi. Bella-Dora (Glttoh)

Prix des Amateurs du Trottine (monté ou attelé mixte i.OM francs. 7..VO mèt"es). Bralter (Bourgeois). Blaynmnt et Brillante (Deveaux), Acalou (X) intonlne (Rrégerl, Balouala (MorcAii). Brlne-<tr-Mai (Brunten. Thaon (Salriat Bidatton 'X). F.fllone IV fx). Belitane et Coye-la tortft g*re IX). L, Snlmmy (Hénocijue), Cherille et rtp^re II (Morvillers). Aviateur fBuf- fard), rentre VIII fVan Pyrk).. Varilmopt (Rlan^-artv Panne et UlritjiLc (fTrAs,)ean), Alzette (Bandry) Virage (M. Gyptean VfjOWie fSotichc.n fils), Vtqie IV (Hamell B'tle Poule TI (A Gnrt'au). Ff.tfon TIr et Argentlna IPrlnrl. Bel-Air (Cousin). Pronostic*

1" course Roquenttn.

f course Toréador. Urne.

3' conr'e Rotelovp. Archer.

<• course Jack O'Lauthern Capvctve. S» courfe RetleqaTâe-U Beauharnalt. 6' course Shimmy. Vision.

INFORMATIONS

8URETt GENERALE

1 POlire municipale

Commissaire» central et de police hors classe, y echeton. présente* pour la hnrsclaase. 1" échelon M. Le Bris, charjré de? délégations Judiciaires a Nantes

Commissaire rentrai de police commts!aire de police hors clause 3 échelon, présentes pour la hors-classe 2' échelon M Passet. à Nantes.

Commissaire de police de clase présenté pour la classe exceptionnelle M. Mérot. à Brest.

Commissaire de police de ? ela«e. pr* «ente pour la classe M Morlet. Douarnenei.

Police spécial*

Commissaires spécial» de pertire acV loints. hors classe 3' échelon, présentés pour la hors^ciasse. 9' échelon MM. Le Roux, a Brest: Prévôt a Lorlent.

CommlFsa're spécial de police adlotnt de classe excertl^nnelle. i>ré«»nte r"ur la hor> -classe 3' échelon M. r.TdmrT. Ror'l.efort.

TIRAGES FINANCIERS VILLE DE PARtS -î-e numéro So.9!)3 est remboursé par tr. Le numéro tSB.60* est remboursé par V1.000 fr.

Les i numéros, suivants sont reml-iursés chacun par 10.000 fr.

Les numéros suivants sont rembourses chacun par S .000 fr. ÎS1.705, M.KA. 60:S03.

numéros sont remboursas par

tr.

Î.1 OSS S9.7Î6 6Î.5» 78.W8 lOi.TÎI 1O3.S99 t«8.09« 17T5"» 2W54-? 5/7.ÎP7 Ï35.'W Î78.3R7 SS6.77S SQ6.3Ô9 1W.516 W.TÎXi 412.8il 'B.Sl» S1S.314 S.TÏ.S1S 4S3.Î95 4W.788 i.O.a0O «681?i* 4PV7H8 •sS.F'rt R3S.699 fit. H0 091.1H

numéros remboursables au pair. FONCIERES Le numéro S3.59S CM remboursé par 100.000 fr.

le numéro est remboursé par 10POOU fr.

le numéro 65.599 est remboursé par •».0O0 fr.

les 9 numéro: suivants snnt remtmursé* par chacun 10000 fr. I.59S.4Ï1 Les 5 numéros suivants sont remboursés rhîirun par 6.000 fr.

90 n'iniérûs sont rhacun nar

30P.11A K.Jii Î79.08S 47A.K5 ifUSi Îî7.3!'i iit.76! :«i.39S "<: 160 412.R85 Wl-t» "iO9()46 W8.S5.1 6iî.18ô fBI.853 <R.t9\ BTî.nr* B7().4fl7 6B9.3-3.1. S06 375 "05 4«i 7Î.Î.8T7 78V8M 83S.111 837.4S5 KF.fdril 6W.941 9M.07S SM.713 963.0W 970.3J5 I 031.714 1.0.M.2W I 0;->i.&=7 1 108.no 1.IS0.387 l.lfil.Si" l.lB8.7«.i 1 1S6.S5B 1 VVi.riM I.W.HÎ f.fiTl.MI 1.S78.0J2 t.W9..TO> l»?3 8ï« t.311.131 1.615.369 l.lrt).<77 1.O1.17* I74C.M6 I.75S.063 numéros sont remboursables au tair.

FONCIERES Le numéro 9I9.ÎS9 e-t remboursé par franc*

Le numéro est remboursé fr franco.

Les 6 numéros suivants sont remlimirsés chacun par S.OOft francs

389.S30 885.SOS 45 numéros sont remboursé» chacun par

t.nno franc;-

IM-.30U U3.005 IW.S44 170. '.82 173 «H IPI.d'S IW.639 S-».i:* M. OU JM 478 V».eK i.'B.JOS S.T3.890 «J3 972 470.24-3 .\51 .5=W 9ôi âO0.34r.)9S.05i nlb 4W «CW.ilt «6-2 T72 71à.2O7 719.79S ;ô7..V» 8i2.034 *43.O-?« H'VK)3 &̃'<$ 4*S gfa.gJW Ml fifli «3.^ <*»4 7-V. OdAfiSl

FONCIERES 1909. Le numéro 36&.098 est remboursé par francs.

Le numéro est rembourse par 10.000 francs.

Lh numéros -uirant» sont remboursés chacun par franc»

»1.5I4 54.8.V9 ̃ iiO.6«4 9K.692 48».»8O «OÔ-10.1 S70.233 6n numlros sont remhour-és chacun par V» franco

FONCIERES Wia Le n' est rembourse par -francs. Le n' es! remboursé par 9A.O0O Les deux numéros suivant» sont remboursés par 5.O00 francs l/9.St^ tr;o.800. Cinquante n.un'éros sont remboursés cha

cun par 1/>oo francs

32.»»t ;7.i>« -7.8ii I.VUV! M' 7!7 t51«3 l"819 19S 10' li«417 »6«I3 ÎR5 -Ai ̃̃'̃.H.Vi ."«6.34<i -Vi.r.' ll?.«î »i4.5TO v,7.ri! r;nr-t» im.i«8 vxii-n M9W6 576.S03 SBS.iitl 38B.il 4 *J9.V>: B.iÇ.137 B79 680 «81.IS1 ÎOÎ.234 7».2M 740.T71 Î.T0 3O5 77S.OSO 7a"v696 792 8W 7M.4» WB.Sfr? H86 80" SÎ3.847

CoQ-.enueni. procès, «rtatre» l'tli(ifurf- baux, loyers, raecealoos. Imputa, Me. tfaA-4* *<«. M sitnMé-4 tOnmUiHHr.

DE TRIBORD A BABORD Une requête en fadenr des marins de carrière

1, Association des o//ic.«r<î'marjniers, quartien-maUrcs, marins en retraite et veuves, dont le tièye est à rue Hîppolyte-Dupiut, nous 4 prié de bien voutoir publier cette autre leure

Notre flotte de guerre est à l'heure actuelle en oléine reconstruction et donnera à noue payé, lorsque son ,programme naval sera activé, un enn«inble de navires qui, bien utilisés, feront encore bonne figure parmi les fioit-es mondiales.

Mais si les navires ont été soignés dans leurs détails par les ingénieurs qui en ont dressé les plans et les exécuteurs qui ont mené a bien leur construction, on ne J'est nullement préoccupé des « utilisateur.; ». Ceux qui, dans une très large mesure, donneront la la puissance à ces niasses métallique* remplies d'engins -compliqués et de puissants mécanismes, sont oubliés. En un mot, on ne pense pas aux marins, tout au moins au point de vue valeur profeationnelle ».

Pour le nombre, on l'atteint toujours. De superbes affiches illustrées, ainsi que des tournées de propagande, appellent les jeunes gens vers te métier de la mer, et si l'on est fier en haut lieu de montrer les chlffres indiquant le nombre d'engagements souscrits chaque année, 1 en omet généralement de publier à côté le nombre de résilmions survenues ptwlaw la même période.

Ces engagements, favorisé, la plupart du tempe, par des crises de chômage dans les grande centres industriels et le*- grandes villes, ou provoqués par une fatisee idée du métier de marin, n'apportent pas à la marine l'élément qui lui convient essentiellement le marin de carrière. La -presque totalité des engagés. ainsi que les appelés du contingent annuel, font dans la marine un petit tour et puis 3'en vont comme les mariannei-tes de la chanson. Avec la loi d'un an, la situation eera plus critique encore. La marine dépense des sommes très importantes pour le fonctionnement de ses écoles de spécialités. On ne fait pas un marin spécialisé comme on fait nn soldat, pt si rien ne retient ce spécialiste dans la marine au delà •riil irniDR de son service -lésai, l'Etat n'aura retiré des connaissances données a te marin qu'un très maigre profit en comparaison des frais occaejonnés pour son instruction. La marine a donc le plue grand intérêt à conserver les marjtis de carrière qui, liés à son service pour de nombreuses années, constitueront pour elle cet encadrement, cette armature, qui lui permettra, malgré le service à court terme,. de donner son plein rendement.

Mais pour constituer et conserver ces cadres, que faut-il faire ? Pae grand chose. Le personnel militaire (non officier) d2 la marine a été. jusqu'à présent, trop «vérifié moralement et matériellement surtout. Parce qu'il n'a jamais rien dit, et pour cause (il appartient à la grande nruefle), on a cru qu'il était satisfait de son sort. Il a .souffert en silence de cet état de choses, maie ce silence ne saurait durer.

l'Association des officiers-mariniers, qvartiers-maitres, marins en retrafte et veuves s'est constituée pour être le porté-parole de ceux qui ne-peuvent. faire entendre leurs voix. Elle réclame aux pouvoirs publics le rétablissement, au profit du personnel militaire (non officier) de ln marine, du niveau qui existait autrefois pour les soldes et le« retraites entre ce personnel et celui de gestion et d'exécution qui lui était assimilé. Lorsque cela leur Fera accordé, nos camarades, satisfaits de leur sort, resteront au service de la marine. Ils la serviront avec pla< d'entrain et de gaieté de coeur, ils favoriseront !e recrutement par la propagande qu'ils feront eux-mêmes et ne se considéreront plus comme des « paria» au stfn de la grande famille maritime. On ne fera iamats assez de propagande au profit des. marins de rnrrUtre dont notre flotte a tant he.toin, et nous félicitons chaleureusement relie association d'anciens serviteurs d'avoir pris en mains la défense des interftt de leitrt cadets.

A la dernière heure, on nous informe que les nouveaux tarffs de solde des équipages ne tarderont pas à parallre. Mais si nous sommes bien renseigné, le rappel de solde ne sera pdyè qu'à pa.rtfr dit 1" janvier 1îr?8. Louis d'ARMOR.

FLOTT.E

Les mal in* Aercidt et Jueasel appa reiUeût pour Alexandrie la 3.

L'aviso Casslopie appareille pour Wol UDi.toQ te 3.

L'aviso du Coueâic tst arrivé à Tanger le 5.

Le pétrolier l'ordogut appareille pour Vnllailelpble le 5.

1-k 2' flottille est arrivée & Quiberon le

Le sarcle pêche Ksia/ttle appareille de D'iiikcriiile le b. 1-e transport Forfait est arrivé Tou.lon le 5

PROMOTIONS

Active

CORPS DES OFFICIERS DE ArtRISE. Ont été promus dans le corp* des officier» de marine An grade de capitaine de uat*feaii M le capitaine de frégate Taroi en rempl du cap de vaisseau Carrel, retraité

Au grade de capitaine de trtgntc le cap. dé cornue nenl. de RWofre. en rempl. du cap de frég Glraud promu le cap. de corr. Pérot. en rempl. du eau. de frégate Lecomte. retraité.

An grade de capitaine de eorrette H" tour ancienneté' NI le lieutenant de vais seau de Kermovean eo rert.pl du cap. de coït Denl» de ItiToyre. i»romu: tour rhoiV. le' Kent de 'aitteau Maten. en rempl. du vp. de corvette Perol, promu. Au ,rade de lieutenant de valsic/tu R"

de pre-m. ci Oro6."elin. en rempl. du [lent de vais-eau Roben. promu i3* tour, chou l'eu, de vais» ae prem Bataille, en' rèmpl. du Hieut de valts. Michaud. Réserve

GENIE MARITIME. Ont été promu? dans la réserve de l'armée de mer au grade d'ingénieur gênerai ̃ M. de MetzNoblai. lngén. de preln. cI. du génle ma rltlme de riwrve M Vincent, tng. de prem. ci du génie maritime de réserve. COMMANDEMENT

Le capitaine de corvette le Courtois du Mxnolr. du port de Cherbourg, a été nommé au commandement du torpilleur d'es cadre L'Alcyon.

OFFICIERS MARINIERS. Désignation. Roy-, second mattre manœuvre, Toulon: Thomas, second maître de tnariceuvre • T.ebon. seconde maltre fourrier, Cherbourg Créach, premier maître fusiller, Toulon. NOUVELLES DIVERSE.

TiEMANDE DE PERSONNEL. Apents terhntques des construction* navales. Le ministre prie de lui faire connaître le plus t6t possible tes noms des agents techniques des constructions natale* désireux de l'ontlnuer leur» servtces à l'arsenal de Sillon en remplacement dé M. Manfrédt. Le cawlidat a Jéslgneir ?era rhargé à Sa!gon dVs motiveinenls généraux. Il devra donc être bien ait courant de ce Renre de service et avoir les aptitudes pour_ procéder éventuellement A l'organisation" de te service sous forme d'entrepri>e autonome. les demandes devront être accompagnées rte l'avl» des directeurs sur la tnanf^re de servir des candidats L'agent technique désigné partira pour Saison dans les derniers jours d'avril prochain. PROFESSEUR D'ELECTRICITE A I.'ECOLE NAVALE. t"n emploi Ae professeur d'électricité générale .era vacant à l'école navale de Breçt à la fin de l'année scolaire eu cours.

t«t> professeurs agrégés de physique -candidats à cet emploi devront faire parvenir au tptnfstfre de la Marine, avant le mai 1<W. une demande mentionnant lénrs titres (brevets diplômes, travaux, récompenses), accompagnée d'un relevé de leurs services donnant droit Il pension. Ils devront s'engager Il servir an moins quatre annoes l'érnie navale.

f.cs titres des candidats seront soumis à l'examen du conseil de perfectionnement do< écoles de la marlne le ministre procédera il la .nomination au vu des proposttioni de ce conseil.

Les traitements des professeurs à l'ecnte navale sont les ntfme? au» ceux, des professeurs azrégé* des lycées de Paris: ils t2uvent avancer d'un échelon tnus les quatre ans dans le cadre des professeurs de l'école navale.

Les professeurs de l'école navale peu•'•̃nt. en dehors de leur service norin.il. êtrt. chargés dans tes mêmes contWHnii'- le% les officier* profe-seur, A .le fajre.de> l'onférence* ou de faire .snhii ,lrinterrogations dans les écoies d'officiers de mariue et d'élèves officiers installées à Brest.

DAVS LES PORTS MILITAIRES.– CmR•ourg. 5 mars Le capitaine de vaisseau Bonne))) a pris ses fonctions de directeur de mniivpmmts du port.

Le 2 'maître .laouen, du 2' dApôt passe ait centre d'aviation de Cherbourlf. Six hydravions Goliath, sous le commaji(Jement du commandant Chanceux, sont partls et arrivés à Brest. Trois Goliath de BreM sont arrivés à Cherbourg

LES EOOLES DE NAVIGATION MARITIME A L'ORDRE DE L'ARMEE. Les éco- les de navigation maritime, y compris no- tre. école nationale de navigation de Paiïn- pol. viennent d'être citées A l'ordre de l'armée avec le motif sni-vanV:

ont fourni fie- !>on>m-oux d'officiers de réserve et de marins, dont l'esprit de devoir et de sacrifice s'est hautement manifesté au conrs de la guerr» int t-1018. tant h bord des navires de la flotte de guerre, particulièrement dans le .wvice périlleux des patrouille», et des dragages de mines soit bord des bâtiments de commerce assurant le ravitaillement du pays, en d^pit de, risques Inhérents a la guerre senis-marioe.

AVIS AUX OFFICIERS DE RESERVE. Les officiers de réserve ee la marine dé-trant effectuer une période d'exercices det 15 Jours en 1928. pendant une interruption de navigation, pourront être envoyé^ en esrndre A Toulon.

Le': demandes devront être adressée* à NI. .le vice-amlraJ commandant la 38 escadre Il Lord du • Condorcet ».

.GARDES MARITIMES

RADIATIO\ DANS LE PERSON\EL DES GARDES MARITIMES. Est ra|> imitée la nuiiiiiiation a l'emploi de srarde-marltlme stagiaire à Ragea (quartier de Port-Vendresl de Ni.. ̃ Brocliard. ex-adludant du K- régiment d'infanterie- M. Ërochard est maintenu sur la liste de classement.

NOMINATIONS DANS LM PERSONNEL DES OARMKS MARITIMES. Sont nommé» a l'emploi de o<rrvje mnrilime Plagiaire, pour compter du jour de leur prite de fonnlocé et .iffectés aux |KV*te« riapré» désignés 30 tour. iwrutement nor mai à Barire» inufl"'l*>r ,le Por' Vfr'drp-1!. en runpl de M. Brochard non «oceutant. M. Le Giieri serond-m.T'ire r-inonuiei- en activité le, tour. eni"!<M "é-prvé 'loi itti Janvier A Moruat (quartier de Camareti. en renitil. du carde maritime Jan plnc» ,'ir s.i demnnilp dans la posi- tion de Le Doarê. ex matelot dn ?̃ lénnt des de la fiot'é: a* :our. enipl->ls réservé*, toi du ̃JuiMpt !<>-?l Tnrferet fqn-irHer iJe.Chorbourff). en r^mpt. de M. Olivier, non acceptant M. Le FrancoR m. torplll. à la tr· èsca.1. Ae- sou«-:narin=: V tour recru lemfnt normal à a Canavl-Mnrlica iqitar lier dé" Past:aV en rcmrt de M Colotnl'ant non acceptant M te foz. ex-sécond MISE EN ntSPOMBlLITE DTN CAR DE MARITIME PRINTIPAL. M Jan. gardé maritime principal, en «ervlce a Morgiit 'quartier de CnmareO. est plaré, sur sa demande, dan- la position de disponibilité pour une période de vingt sept moins. à compter du premier mars 1OT8.

PERMUTATION. ilnsc.rlptton manu me). Sont autorisés à permuter de re fcidence pour convenances' personnelles MM. Cohuain. couinii» principal de i' rla»<e de l'Indriiaiou .maritime en service a ilarseille et Oéhan. commis de 1" clause de l'Inscription niaritlnw chargé du préposât de Cannes.. La présente permutation n'entralnerA pas l'attribution d'Indemnité pour frais de déplacement. M. Colmatn sera mis en route Pour Cannes dans les délais réglementaires et M. Dthan Quittera Cannes dès que M. Colmafo y aura rrls son service.

DECISION Vteltion rapportant uns noininuiwn. ilnicrlption .WarHtmei. Est rapportée en-ce qui concerne M. Cote, eeoood-maltre fourriez. ln»erlt soir la «• de ttKmmmt aux «malais titerM*.

la décision du 15 février portant noiiunauoa daus le personnel d ajiniuinmLion Je !u^criptioii Maiiiunc M. f^t maintenu ?ur 1a ii^ie du candidats tUafet iKMr 1 emploi de commis de clause de l'Iuscriptiun Maritime

EMPLOIS RESERVES. Sont uoinmês à l'emploi de garde maritime ïiamaire 1" tour •"iiifiols reserves, toi du 3w janvier t<H3i a Morpat quartier de Uaroaivt en rempl tceineiii du ^arde maritime -'an-, piacé sut .a ik-mar.de <laii5 ia io-itivn de di?|.<ooibillte. M Le iMare. ex-matelo) du 2' deuôt de? ?quii>ages de la flotte • î« tour t.p|j|.ii~ réterves lot du u inlilet t»»») a Canert-t (inanier de Cherbourg; en remplacement de M Uilvier non acceptant. M. Le Frapi,ois Louis, maître lorpll,.ni A 1a W escadrille de sou^-oianns. HOU V ELLES »n LK!>t.~

cherboURA. 5 mars. V America, de l'f'niteri Stafe" Une-qui fut en partie détruit par un Incendie va rentrer en service le il mars. TRAFIC DU PORT DE CASABLANCA mots de février;. navire: tonnage brut K7.1-23 tonne.- net tonnes.

Sorties 4M navines. tonnage brut ( 3iêî7S tonnes: net tonnes. Importation! tonnes.

Exportations tonnes.

AVIS AUX ARMATEURS ET PATRONSi'KCHElTRS. CmHarkt. h mars. Par dé|.oche du 16 février, le ministre fait connaître qu'une nouvelle instruction médicale vient d'être mise en service A compter de. '-e jour, elle est obligatoire et doit rempiacer celle se trouvant dans les cofftvs à les armatenrs dotcent se la procurer, soit directement à l'Imprimerie Nationale. soit chez un Il,lirairc. Il en est de même du Code dise; piinalre et pénal et du Code du travail maritime.

«VIS AUX NAVIGATEUR

EPAVE. Batsr, 5 cars. La bouée à fuseau n' 3. point* en vert, signalant l'épave du vapeur l.ak»-Momiln <o"i<v ̃> l'<-«t. du rocher Le Chat. prés du Château de Bettheaunie. en rade de Brest, va être enlevée Incessamment, l'épave étant derasée. NAVIRES DIVERS

PASSES OU SIGNALES. A Gibraltar, 5. e.uynnc. ail. d'Alger à Nantis; i, l'ichelbronn, ail. d'Abadan à Dunkerque: Briére, ven. de Gènes: Gutlharu. yen. de Marseille: à Périm. 5. Andrt-Lebon. au. de Marseille A ïokohama.

4 Land's End. 5. P.-L.-W.-X. ail de Caronte Il Barry. •. s

SIGNALES P\R T. S. F. An Poste d'Ooewant. 5. P. L. M. Flandre. France. Louis Mercier, Mérope. MacorU Rabelais Kentgan, Paul-Emlle-Jarary, Etes. Aln*Ho.

~r,<r »"-<i. «<r il->'t qnitter Saison. lp fi à Marseille, le 8 a 11 hf :̃(- du matin.

TOithks. Lus Palmas, Bloit. Tell.de Tenéiiffe Co\n- i.r. ̃ Atlen. ail. de Dunlcrqtie à Hai|'h"ni.

PAQUEBOTS E7 VAPEURS LONGS-COURfilERS

ARRIVES.- A Sydney. 5. Vtlle-d' Amiens, de Dunkerque: à Saimt-Nazaire. ft, SaintJean, de Bordeaux: Il Suez. 5. GénéralDuchetne, ait. de Maurice à Marseille 4. Bourbonnais, ail. de Dlego-Suarez au Havre.

A Rotterdam, 4. Dakar Anvers. 4. Amtrnl-Nietly 5. Moselia à Harnbourg. 4. Ceulan Buenofr-Ayres. 3. Fort-de-Douaumont A New-York. Ttochamhean à Anvens, 4. Montana il Changhaï. -1. Portftos à Montevideo. 3. Groii à Satsrnn. -2. Génèral-Uetzlnl'i. ail. A Marseille.

A Bordeiux. 5. P'yclie d»s Canaries; vers^ h Ca?ahlanca. 4, Dotilthata, de Marseille- au Havre 4 Sennerille, de C. O. A.

PARTIS De Casablanca. 4. DoukUala, p D*kar- du Havre 4. Monjland. p. Dunkerque: de Marseille Cheltua. p. Pnrt-de-Bouc: 4b«l<i. n- Casablanra: Hallfripa, •>. N*w-ïmk.

De la Réunion. 3, Gêiiirat-Yoyron, p. Marseille: De la Palliée. J. Commandant Maqey p. lUIphoii! De HaïiihonR. 3. Pei-Bn \t. Dunkorqiie; ne Djibouti. 9. Meinain. p. Dunketqve: ne Colombo 6. Aden. D'Anveis. r.. Forban: DeBahia 3, Llpari p Rio-de-JaneUo; rv Point* à-Pitre. 3. Pelle.rin-delMloiu-he p. Le Havre, ria Plymonth: ne Colivn. jera' D'Anvers 3 AlasKa: De Vnlparaifo 3, .Wfssljjlpi p. Mantua: De Yokohama Spliinr p. Marwille; Dp De SaïjWn. !>. Ambolse p. Haïphonc. l- 4 PEURS CAHOTEUR1*

ARRIVF.S .\u Lég:ié* 3. Cherbourg, de Morlaix, Il Honlogne, Vllle-dcCaen, du Havre; il St-Nazaire. 6. Iafoulludi 'Je P.i-Kijes de Lorieut; Umiuhk, .le Borry; au PI- i, 'T.nlvt: a BoMeiux, J, Volubilh, de Ca^ib'an.-i. )*< ne Rol'enlam: IHvatlr, de' l'arJu'f Bartur, 'le im.i!;en|ue :Araon ne. le Ppnarlli; de Donge? -iv l*:lne Itot'.erdvn. à Ouetl-Yiiiitnt. de Kenlt.ra llebia: 0 Mieliel-Mateita. d'Orar.. Ualila. de Mo*ta|faneni; à Rouen, s. irtoii, de Londres; Plansivorlli, (le Tyne; Fredar·ole. de Sw.nisea: Moncowl, dp Snnderland. Uoigltolm, d'O>lo: Sirift. de LondTes: ail Havre '<. t.eoillle, de Rotterdam; i. La durie, de Ilumbourg. niUtrs. rt'Anver»; à UranviUe i Bllhnin. de Porl-Talbot: 3 Marseille, i. Vente, de Sfax, Otud-r.rou. de Kenitra ;• Eu*eiijne-M ̃•Sl-Gtrritit'ui de Tafna et G. (J. La/erritie. d'Orun: G, G Grenu, de Tunis: Corle il, de Ra-tia Sahara..l'Alicame; à Bre-t. Xeiirille, de ranliff. à Cacu. 3. Danai. <\t Swansea; de Roiterdam ̃. Srlilesmli], lie Newpiii-i

PARTIS. Uu Légué. Cherbourg, 1'. Le Havre- (le Boulogne. 5: Lu seine, p te LPgnê: rie S!-Naraire. 5. (lûtinais, p. Nantes; Petic.hiUe-iu. p. La Pallice: d'Alexandrie. 3. Champollion. p. Mar>eille: du Pirée. i. Théophile-Gautier, li. Marseille: tle Lelxoè-, 3. Rnirnn, p. Lonai-e:. de Morlai* I. Cherhmirij, p. le Légué 'If Ro:rteatix. 'i^iiemi-Ptl- mer. P. le Havre: de Rouen, s. £«rnicorlh p Sunderland: Morwond. p. Sunderland: Schlaftino. p. Oran: >(ire, p. Anvers- Swnlloir. p Londres; de Cranville Tarnicatcr. de Marseille, s. Liomone. p. Pioiulàito; Depulc-Vlievillon. p. Tuni>: Ln Mnrsa Il. p. Tunis; EugènePtrelre, p Rone: de Brest, i. Pomérol. p. Rouen: Madeleine, |i I.r>;ient: RobeInli, p. Riuen; Sorthdale. p Charlpston, île r.ien. 1. Louise-Ro.'e, p. Newcastle r.leeuhrfiofk. p. Londres: VllltnriUe, p. te HavTp: Gotfium, p. Rotterdam r«rt»crn-/l6t)'u, p. Tnminden; Danat, p. Rotterdam. De Mrwtaganem Guyane p. Algésiras; d Oran, 3..«alnl-Fértol p. Alger; Solnte-.tfn.rime p. Alger.

CA BOTEURS

ARRIVES. A Lisbonne. 1»' mur».¡le, d'Erquy: mn Légué Porta/en, de au 14pâ& 3. CorbUru,

de Palmpol: a Boulogne. 5.. D~ixi, d. Havre.

A Morlaix, l, Robinaon de Brnt: T<ili.«/;«i». de Brect: à Brest. 5 Jlenri. du Havre.

PARTIS. nu Légué. 3. Cotblères. n. Saint- Malo: de" Boulogne. fouette, ». Le Légué.

UN PÊTROLIE* AMERICAIN

A LA DÉRIVE

LaMiKËS, s mari. Le Daily EXprett |f(»Qf> a perdu son hélice et va à la dérive ven la cote prés di: Cap Hatteras.

PARTIS De Fécamp, 5. chalutier Il capitaine Terrier, p. Terr*> Du lia vie A. Vranut (chalutier), p: Terre-Neuve

KNPËDIF.s S*r«T-MALo, mars. P.X!iédlé» i la Marine en vue de lenr départ nourries halles 4e Terre-Neuve Triii.«-niats BtmjûH, cap. Ballot, arm. M. nslacour (St-Servan). avec 29 hommes d'P(julpaïe

Trolf-mAts La-Tour-du IHn. cap. Dubois, arm. M. t.ivsard. ^ver 56 homme, (partira le T marM

Trois-niats Pffcador, cap. Esnault. arm SI. Lessard, avpc :fl hommes (partira le 9 mars*. ,• rap. am MT Coupeaux, avec 3t hommes. Le 4-niâts ropilaUte-Gvuomant déj» Mpnalé expédié, a pris -la mer hier aprt»midi )un'!).

Marché de Paris

Paris, 5 mata.. De notre correspondant spécial-

Cours du 4 mars. Marche bien approvisionné Vente assez active. Hausse sur le bar. ie homard, le merlan et la sde: baisse sur le colin et la raie..

Marce-Lnislaces. On cote au kilo (cours extréirie») barbue*. 8 i bars. a carrelets. 1 a colius décapités, 9 colins entiers. 3 à Il; congre*. 1 il 7: crevettes grises. il erevettes rouges grosses. à crevettes rouges petites. t5 à daurades de Franco. 5 il 6: harengs français. homards vlvant.1 30 à 38; langoustes v ivantes, 2S 36; langoustes Mauritanie vivantes. à •Ï2- langoustines. 7 limandes, lài liinandis-soles. 6 à N; maquereaux français iietit;. il i 7:maqner«!au!t Saint-Jeande-l.uz. 10 il il: merlan., brillants. iL merlans .>rdina>i-es.i é. S: mulets, a raies entières. 1.50 A 3.50: rouget-barbets. 10 à ffl; rougets-grondins, 3 à 6; soles françaises grosses. a soles françaises petites. 8 à turbots, à On cote au cent..

Sardines matées moyennes. 30 à sardine» salé»» petites. là i B

Moules et coquillages. On cote ao» 100 kilos moules diverses, i 80. On cote au cent coquilles Saint-Jaeques. 30 à huttres de Marennes. t05 t. t80; huitre.s a'At-cachon. 13 à huttrn portugaises, n à huîtres de Claire. S8

on- cote au sac coques ou hemon. i.b» à

Poisson d'eau douce On cottaa *S= lo ablettes 4 a 5; à 9i>; aBKuilles mortes. 8 à barbWaw» brèmes. 3 à i; brochets morts. 1H carpes vivantes, 5 à 8; carpes mortes. 4 s s, eperlans, 1 a -i: goujons. lî a ps^ ches, saumon français. e5 à 33; ••• mnn petit 3-'i a 38. saumon frigorifié. A < tanches vivaute*. 8 à 10; tanches mortes. 5 a truites saumonées argentée*. a io: truites de pisciculture. 10 il le: truftes de rivière, de 100 à lîs'gr.. » 30; au-deviis 1i à

Arrlva*e.s marée. i57."iOO kilcs; eau dôme ;>t.iioo kilos; coquillage*. 'iO.îOO kilos, déposé au fngorithrue. kilos té niUe< en vente, rà.000 kilos; quantitM hai^iPS le 3, 1 klJ*

̃ Marché de Concarneau

CiiXCARNEAU. ï mars. Une ii'lajant.-iin^ de chaluliprs avaient. samedi matin, cinle letfr pêche à la criée municipale. (•-nr* ronsidiriibleiiient par les courante, les capture* n'étnleit pas Importantes. Les langoustines étalent de IkII? qualité et cote-»s de a 10 fr le "kilo suivant grotNMur. Ces ̃.•nur» n'étant pn< abordables pour la k a.-rmniation lurnle. Ifs mareyeurs et les. viviers toncarnots ont acliete la totalité (les arrivages. tln cotait au détail, iL la pi;i-et>t suivant grosseur plies. l.âO à 7: !̃«*. i a ]-̃ taie* ptlltes. à raies a IV raie» .urosses. 2? à 3i: ailiiillpttes. o.7."i a ou cpteanx, la mutile. n.Cfl a 1; nréti-eaux. la douzaine, CSO à merlans et nierlm-hons. la pièce; O.nv 1 n.80; grondin? ^rris glacés. f i. U&. n n radies nu petites loties d/capItéVs, S à !.v chat.- de mer 1 à petits txcots, 0.S5 n 0.7."i: petltp» llm.in.lp» â \<n. srrosse» lioiamlp* '< à 6

Sur le marché wux crevette», peu d'an^ rua'ion Le? om- désarmé en rro.-«e partie, les pèches étant deveftoes iMsi'jnitiantPs depuis quelques Jours, tm lotart 1i fr le kilo tout venant cher feto in.ifpyenr* et aux vivter!<. Au chalut. peilip iiVesqup nulle en crevettes, t à kilos par hargne. Cours A l'achat en gros, le ioln s fr La crevette au chalut est acl,i,.n»n'pnt aussi grosse que- la crevette au rnftrr et le« nérlieur» ne s'pxpliquent pas I miriiiiiil il exi«le une différencp aussi !en«th!e tur le prix du kilo 16 fr.?.

I:n poissons de ligne et de trémail. éUlii^e» ins-^niflfuits. Aux viviers, les arriVa- i.le iroi rrustarés étaient peu lnvpnHnii'1-. un cote à l'achat en gros honiiirv à ̃& 4aii(;ou-tes rouges et notre». • il. crabes-tourteaux et araignées. le.Vir.il.r( l'élévation des cours. In vente <J <•:« nés ,-i'tivp s.ur le< variétés de cousoniMatlon locale

LA SARDINE

SAINT JKA.N-UE LLZ. 6 mari. Les bateuux sardruiers continuent » sortir la -anime est toujours. peu près du mema moule de Tu a tîo au kilo, et le prix dé a francs le mille Le t" mars, l'aprort a été d* 8'O.0O0 et les maquereau* de kilos au prix moyen de 8 francs kilo le l'apport Me la sardine a été de onnooi»

Les premier! maquereaux

5 mars Le dundee Opère en-Dteu. patron Jean-Baptiste UuUlon. <iui avait quitté Douarnen.u il y a une huitaine de jour», est rentré le mars avec les premiers maquereaux de dérrte i-20 poisson» qui ont été vendus tumriyeurs. 1\ raison de francs i« «– aiiïÂsci'iv* vwr<i vtHui»4if<

Pour lou» reii!*i»tieiueiit* manunKtj s'adresser a Uuls d'Armer Ouett-teUtr. Rennes. Joindre 9 francs en Um&TB»#«É» kpour U »


P»R'«. mars. lie notre roiretpan tant o|«-«-»«']

BEl'URES. Vente peu active; rour, teudat.ce faillie.

On cote au kitti

i'eutrtiAiiet Normandie is-Jo. ,preta ̃Suc, lu- Charente t'uiiuu «MJ.8U.- Tnu rame. m-£i. divei!>. i^ *i

Marchand* Normandie, li-i B#ta çne, ]0-?1 ..vu. centres divors dlverfetits beurres Normandie choix, 17 lîi.TO: Bretagne choix divers 16 19.4U.

heurre, en Itvrt de terme Ueuncr niln ou fimtlut. u.'o-K-i. heur res argciiiuis si. australien».

Arrivage? du lotir Beurres" français. «4.IW6 kilos vérité- du Jour TOSô mottes: resserre nu irmr HOO moite*.

.OEUFS Vente lisiez active, eonrs s»a îionnati-e»

("ours /«i/ rr»/l* 4r mille trvfx rcour- extrêmes! t'iraplie extra Picardie choix. ftfid # Normandie e^tni. Normandie c'-liuix..v^t-SKi- Virmamlie or dlnairti tou-viu. Hreiagiu- rhoix. «8O-54U Bretagne ordinaire. ïiOi'u.. Brie, Beauce. Poitou choix Poitou or dinaixe i<o-570; Touralne choix vsorvi

Touralne ordinaire, i'ifl f>70: Midi choix, Midi ordinaire V?u canes. ano-6.vi flu inur i-in colis: ventes du leur. 1091 colis, resserre du jour, B46 FROMACES fixe? n.olles vente ar tlve. hm&e de 10 a Vï tranrf. sur les camemhens l'aies sèches vente artive. hausse de so francs sur le port-salut. Prix ail rrnt ̃. rnn>e«nhert- Normandie. •T0-39O: divers l«o-£to Llsleux bottes. ̃JOO-âSO; vrac. SOu-.vw (înurna». inO 16/1 NeaehAtel l'ont l'EvAqne 'ftn-wn- chèvre. rf) T.W

Prtr n m dizaine Brie moyen mnale. 130-200: laitier

AUx itl0 kilo Port-Saint, Gruyère. l?00-1l'«; Comté, ionO-1400: Holland, liwc-inso

Arrivaïe» pâtes mollie, kilos: nâtes sèche» î «RS kilos

VIANDES Vente calme

On entt an Mit, rn'i> rvti-pmeM

Bœut ynnn derneie non irait* 1" Tuai.. ̃* quai :.9O: V quai M.90: quart devant I Vi 4 .vi. aloyau s-ii: irain entier. «m paleron 3-.V9O; navette Venu Hati'oe de 90 à francs sur toute, le, qualité.

Entier ou demi in- qnal 13-H: y quai, «viiion mai \ïi(i« non* rulvéon •arrP. Ifi hnss*. fmt'i '/•̃«* io-i-j il» 7 9'.>n clant IJ 18. cir ré. « -i épaule ii.se agneau de lait 11-15.R0

Porc. Demi I» quai.. 10 1(1.70: -•» Tirai.. 7-9 <*i attire 9-il.; reins 6-1O.3O jambon. S-Uso- lard, «1.50

Arrivaie» du tour îfiOonn kilo». VOLAH.l.r.s *n-lvaires Importants vente Peu active; h*is-e de 7V a <w Ti-ancs sur 1«< laiiini- saunai» ?.S francs sur l'aimeau rie lait. W) franco -air les pou lets nataic matinal» et Oiarentes On francs sur le, nouiez mortps

On .cote m< kilo rmtra evtr(Htie-i ça nards rouennais ?n ?9 canard' le-?9 agneaux de lait. 6-9.W 2io» agneaux S 1î.S0: «lindps fïatirals et Ton- raine, cons. «nv. noulps dlnde> Midi, poules. Innihs GStinais lapin- illvws 010 oie« én nean. fi-iî: po-iipis Vantni» r..itln:iK tn- ̃^ï: |K>tilpi< Jîpp^«p. ?n-?r»: nonlpf. drc rha rentes. '9-?-? :>f) t»oii1pTw conspies p-tr.in ?ers. 13-IP poule», dp r.rptrtsrnp. il 1. Oi rnte A lu pièce rour« Pxtr^me-1 Pigeon, jrrns ei t«ptits < ti.V) pintade» On coté on i;tln 'cour* extrêmes) ra nards, Pu 'r»|iln- pnulctc inn nés, 1?-iB: noiiip» ^t coq. vieux. 10-13. Arrivâtes flfl "«i kilo?

GIBIER -On rnrr 6 fil plfre (cour« extrên.es* hècTcin" ti canard- s;ii^^2-p- t? ^v- lafiin* ilp ^aipn ne. 5>.9.wi- t.iii"« « n; sarcelles «S: ran ne^ux. ? .v> 3 7.i

Arrlvaups ?on i<ito^

LEODMFS LP n.a'cf.p f-t faiblement approv'fiioniiè et la rente est active Hausse oc en frnnr* -air ie« choux Pt ipponimp* <Fp fprrp m>uvp||p- d"AI'.r^Tie la, k nO fr;in^e *nr le' »*hnu\ flcnr»- breton* %la .-air le. < houx fleur» de On ente nui ton i.o« » ail. un- MO: clmottes de \|*nn\ i-Q.uin fhPvipu«p an *v- Vantes Sulh soi-n cerrenil va -on champl!rnnri< couche pt'th W"fi 1^.00 moyens wn tioti;' conserve 7-Minpn rhirn rAe Vante- iiriean» '0n-3fl0 amitlioèp" 'nn.^10: îo-ltn enrni rhons- ?Rn->n pno;irpc trji-.ino èplnard-

Haricots vri-rs flPmttPînpnt'- 100 ifino lentille-. machp» >n «m nm»n rilns ey- :'0 ni}' ot ?nons *ii *rr.iin« vvi--?^: ospiitp 3no-ino- natatec. i«0?3n:' (ipr-il wm-i-?flO: pissenlit de Vendée t?n-înn Pari.. son-;nn pois verts Midi wootion maneetont ..«.vt7V>: casses, itn-VJ) notirnn- îan-ivi: tnnlnnm hours^fio fioînme» dp tprr*> nouvelle» Hollande commune VI 70: Ilosa. 6f. nr.: jaune ronde "!0 (•?-. snnrls»e roree "in fin: hlnnrhe commune. TR-ts On rnl, nu mu artichaut» Midi 17V. diver-, f.n-is<i :iuhrrïtnc~. I3M7". rhlcorep Pirl» Rn i.vi rhnux vert. Pari» ^fl-150: brocoli» *)-«!

Choux npiir- r.!>"«t»nr '"tierhnnre. 17V~.V»- Anier». ̃2Vl-'inft: Rf.«r,on 100-MW: choux fleur* St Mnlo 3«V.BnO laitue» Nsnte» On fwfr ijnr imi hnttr< harbr de rapn rln, fononjl y<\ mn poireaux WW 1?S: radl» \nnto- oi^an- ;n lîn

On cote jiiir ̃?«! hottes r,B cnn !.n isn On cote V1 hniie poiritp» d'a*-rierce» carrrte» nmivp'Vs v^nip- Orlesn» navets nout-piu-; vinfp» i vi thym n.Tr, t.îS: »al<!fU "il^nn». Pari-, On cnlr lu pitre cardons, • FRCITS Vente «-aime

On cote mu ipo •;ilo« chatalime» •Ij* ro-'imiees -î«O-a9n: fleup« "vm vin »Prhe» VW vo-vv orances -??n-i*-o [•nlres chou. (wm.ofKvv comn.une» t'i.?5n rnmiwi choix, ;on '«' commnnp*. sn-IROtomaU-» Msprie en «on

On fofp nu kiff! pruneaux. T« nii rrnl': hinane- de« nu régi tne bananes de» rafiarlev.

Puas, le 5 mars. Temps ensoienllé pelées blanches le matin mats temp» chaud le Jour; ce qui rend Impossible h placement des bas morceaux.

U «Hto a «U rendue très facile, pu

dgit une moyenne de .j sou~ par llvrr très peu de beaux animaux par faits dont le cour? est alli vers i.HO » 9C pour les siiiet, exceptionnel*

On cote n In Uvre de ntatiiie nette BfEI.'FS Normands extra t.?r. a ̃ (55 bon- Normands. 3.9b S ).3O ordinaires. :>.T'. a .'OP.. Limousins 'hnrenta« Pén gourdin» !>orarhonr e_xtra i,:i5 i bons animaux. à ordinaire- 1.9i a Cbarollais. Nivernais Bourbon,n.ils Berrichons npnreulirnnn- entra- ordinaires !.8n a '10 Saler» du rentre •Hi de Charente et rouiie- divers •̃̃ira '(̃6Ti a ^i..T> bons brr>if» rouée.. à ir1i"alre.« ï 95 t, 3. m in-is de l'f'iiesi Vendéens. Parth^rni» dp Sar th». Mayenne, rholetai» Vantai- extra 3Bn h (.flsr; bon» animaux 3. 3b n .irttnair».» 3.fti a i «• hop- Bretons a 195 nnlinntres ? -?On A 3«i pn?nf» du Midi. -?.Ni a 3.75 h'viif» communs de ton te- r*?rp-. 3.RS a rî.40

VACHES Genlsse-, extra Limousine? rhareniaifes Charol!at-e> (,4s extra. l.'JS à i.75 routics ex tra. 3.6; Manrelles rholetais.» ex tra. à I.'S: Brptonnes extra a 'i.ort ffpn1»»e. ordinaire» dp toutes races i..V> à iS5: bnnnes vaches a « 15 va cher ordinaires. a mè dincre» -?.5O • vlandi- 1 sancis»on TAIREvr^ Taureaux lunes de fer me. 3 n 3.'i5 eros ?.5O a 3.10 • Breton- eMras I.a'i

lenir un,, iietite plu- value

Les veaux de sorte extrades meilleures provenances ont été vendus ail détail, la Uvre nette 7 1«. 7.<io et 8 bons Gagnât* Eiire-et l,olr BlésoL- Eure des rayons df Nnnnncoiirt et [>nnivl|ie «65 a 7.15 or-11 li"U Sainte Maure fi 55 a 7.15 • T'tiran ireaux dp '"binon I nndtin 1/ichp- *&> •H."i champenois veaux A rob< hlanrhp 5.5fl a 6fO Mameaux d'Kcom tnoy. Maypt.,l.e Lmle CTiatean du-|j>lr ̃ autre» bon» «nrthoi.irs :i fi.w r1 Orne dp rayon» flp t.iiirlp on f.acp r.ten rînurna\ Manche Vpn d^e. rieux-Sèvres. à r.90 Breton vpjnix ? :o a 3.80. :le défendre les prix et II y i en beaucoup le «iraee en mouton- spcondalres et en hiéhis.

Sauf Indication contraire, les cours ri pont nnimanx en laine.

AONE^FX Le» asneanx extra South down ont valu R.50 a 9.10* croi«*s. Rin 1 9: Dlshley» Mérinos de Beance. Ile-de Loiret R.io s R.sfl rharmois tin *>- Nivernais ̃i 8«>. Breiops Marairliln» 7 an a 8.10 Marthe -Mayenne. V>nd*p 7.?0 a 7,0 lîmirintîmons. rhamppnnls t, 8*0 mMU. B.5n 7«0

MorTONS ce. |ie-d»-FranVp i 7 vi • t.oirpt fi*1 1 7.10- Nivprrni» lîniirlMn"1-. .̃' ".m rii'rricîion» Br-ptont n.rn «arT^e MavpoTip \*endêe ri.«o c.fin fholpni» f. fi T-n i 7 T.or-r-ln» 5.S0 riBcnriln». ».iv<o-t.ic f. n A r, ro Alhiïpol» fi ft, n 7- métis <<̃ 1 nso BRFBIS tondues P.pance llc-de-Fran NIvPrmIs0* Mirn'c^ine»

'p- mai ffn l'Ole nn l;tlu nf porcs nvi'!Tt('s ex ira 7.3n a '/i- bon» per^s de pny= mnisi*s a 7.T": »iai!rrp- ordinaire- et pe |>ori-<- nn il U Ï0. rr»*-pi:\ a 7 'fi ^"endéP "7 ".fin- i k:«

Arrivages par département rnlrninn m hneufs reinx -(I norc-

no porcs r'iarente 30 tKpnfs fin vachp« -O tau reanx. ̃ rtetir-Sfirreit KO iKPUf» -» vache». '28 faiii"aux

Eure on Ixrut» I',o veaiix ?s:i mtMi to'i» m T>oic-i.

13 t.:nl f^tix **io *><̃>(, veaux

Or»r f. vptiix

<nrthr 'in tvruN. 30 ̃virhc» 3 tan t'fniter fcrpau\

v Vienne rpnnx f^ 30

Couru nffici"1*

t

Le, .-liifTre. « ent-nilent .|p la manière -̃irvante .irnrné- invendus I" ?• pi 3* qinliip- p\tn-

llTllf» -? !l"!l 1OU..•< fi 70 5 ̃yi 9 10. Vie!»»

Ttmpmut t*ri •'̃̃ fi '<o fi ̃̃.y- "70 vraux i m: 13 -m tt W) tr..ro. Mouton» i6 6nfi Vfl: t.i R0 ic îo in.ra 17.on.

Porc» 10. r* rou->. anproTim.itif nti 'tan polit* r'f «tliv^rtr HrpilN 1 HP. )fiC, "(T. 5«1

Vacher

i 81 i.1S

Vpanx 8 31 6.6t 9 3fi

Montons

Porc. 7.S0.

irninir>TTc Contentieux, proeè». affaires Htl»!»i– baux loyerv snccestlom. impôt» etc. Envol dee renseignement* contre man 'tilt.. ta. «»««Maé 4 VOmnt wmtr.

BOURSE DE PARIS

Ouverture

r'tRih i tr.irs. BLES tendance fer ne le liquidation, cou r*ul, if» i'Iiiî, value 11 ou. payé. procua.rj, 1b0 -io. puis rviior» i -i.iô î 50- le mars. :60 j0 plus iev»rt. •2 .;>j .->a>ês mai-Juin plus rel*iri !̃ à payés • de mai dIu> rn*or' -l.lo. tiaye.

F\RI\ES Tendance sanr affaires Ba>r le n,uidation iU courant. XH. uum t.rothaln uom.. « de mars. ̃205 n>n. mal-Juin. Ma. achet. ̃ de MAI Hcnet

AVOINES. Solrct tendance ferme. ta.- or '.lguWation. courant pius-vanif paye prochain plus repon payé mai juin. 118, plus repon • >•) ath<« « Je mal H8 puis re pon 5 achrt. AV')i\r"S Mvcries Tendance sans adai ea. Base de liquidation. 117 courant. i plus-value .2. nom prochain. plu-. re|x>i't i 'iom i de mars. plus-value 4 nom. mai-juin i«. pins report «Vi -.om. 4 de mal Il jIl» »pon nom.

SKI. /LES tendance soutenue Base de liquidation. noura.nl. 130 nom. pr<»on un *M payé ̃ mai juin 130. re pnr* • ;ji • de mal nom ORC.rs Tendance sans affaires Base le liquidation l«0 courant. achet. ^ro'-niin inii nom. de mars 140, report Dom mat Juin. uo. report î.5t». iiu'i.. • it liai isn report 3 nom. HUILES De Nn lendance sans afNurei, :M!> mentes

ST( Kb> lendHiice ferme. Courant, -ji) '0 pr>H-nain aîi.si' ̃ mal -Kî 50 .i d avr-, ïV2 5ii-iM .3 de mai a', 50 3 liiin 3 de Juin, «i.SO£•> a i <Kt..bre. -239-239.50 3 de novemnre 3.1U-3SO

ALCWLS Libres tendance soutenu;, m. nui I MO. payé; aVrll pay». T.ai i.wc pavé; juin :.I9O, payé* •1» mu luiliet anrtt. incoté Clôture

BLES, Tendance lourde Disponible cote officielle i.Vi.Vi i \h<M ha»ç de IL qnidatiln fin.», courant 160.50 plus va lue \.£r' payé prochain ifiu.i0 iilus re i de. niar- ltio.50 plu» re P'«rt '.in1

FAltl.NKS Tenilanoe «an» affaire-. Ba se de liquidation jii courant :«5 ache leur piuchaln -206 à 5<r7 5 de mars S0î; acheteur' uni juin ?08 acheteur 4 de niai -xk aihetetir.

AVOINES \nlres Tendance sanf affaires. Base de ̃Iquidation courant i 118. plus value 5 acheteur: prochain 1H< plus report 3 acheteur de marins. plus repon 1 arhetenr mai-juin 118. plus rpport ».r.fl acheteur- t de mal Plu» report 5 acheteur

D'rerie* Tendance soutenue. Ba«e o> liquidation 117- courant 117 plu» value ? acheteur, prochain 117 pins report 3 acheteur: de nnr» 117 pin. report 4 pnyé mnijhln 117. plus repon 150 nn minai'- 1 de mai 117 plu» report 5 no minai.

SRini.ES Tendance sans araires. Ba fal prochain ro nominal i de marnominal ni.tMi'io reimrt ? pave de mai 'do acheteur

rkn/FÇ Ten'1nnc( «in nffiiM» Ra»< •̃r.hain 'in. report acheteur. S dp mar. ;ït rpnnrt nomit-al niai inin fV\ rei-ori 'J) nominal: < de» mal lin repart ̃: no "Vinal.

UTILES Hé Un et île rnlzn San» af r.-i i tn»s ̃ ton» inrotés

si'CRES Tenant t ferme Courani -i .*i(> •' d'avril 3. île luii 3 .ip novem ln-e -i-.ri fofp of^cip'tp 1 oe-1

M.ffKH s LIBRES Tendance caltm- rniiram '-?0n payé- avril incoré niai In

(•«orTrnoprs rrf'pes first latex et f -uill"» fiMiiee. raufrées mar* Ifi vi aclie 'enr avril 17.5<i vendeur mat 17. sn no aont 17.50 novem '•- e 'S fli payé

R17 Courant avril mal-tuln* 1 et. mil »<ii- iTT» rnminati'

Brisure* ̃ ̃ Courant 1W1 nvril mai imn MARCHÉ DU HAVFE

Clôture

LE M»TRf r. mars cotons Temlance souteiiue Ven'es M»r< 613: avril «H mai 611; févr'er 'i9-

("VFKS Ventps 5 50" -acs M:ir» Mîl.5: av'n nni '̃!« novenibre H!VK< TPHil.incp filme Mar- |H*> avril 1 *«n mai 1 SfiO- juin t »«o- tu i Met t 8'.o sorti i.rïo.

BOURSE nE MARSEILLE

Clôture

HTILKS nlh!e. i<»:. de coprin». dt-i'onihl»v • dp palme hlnjirhp irti

arnchlrle» neu T.rali<Âe- dé-(.i|ori»ée- ViO-VW rilflsiiue- snpé- 'pure ".sn-015 ordinaires n'offre une» pr'se- an ipon lin -ipvan' Tunl-Ie r* prp«-ion --«»<i iir?;i- pression M y-rip -nrfiiie Rso Rio Roria» extr.i^ •?-.I5 •XL" ïttr-iXr. -îirflne •̃ftVvii".

MARCHÉS ETRANGERS

COTONS

Chiugo. 5 mars S1 avis mal «ytol.re 17.7« i'hii-»!-) > mars clftture • MairtS.îJ. ̃̃x-i.

VtwfiRicms. o mars Mars. mal. 17.08 r.90: Juillet. 17 8f>. oct. r.«S •2" avis Mars. Incoté; mît. 18.15; Juillet t8M oct.. 17.70.

NIW'Orua»s, 5 mars. Clôture DiSi< tî.«8-. mar-. 18.-?7; mal, Juillet. «I.oe-'O; OCt. 17 77-78; déc.. lanv., r..7S-77.

Ne» York, ô mars. Clôtiire • dlsp mars, avril, 18.M; n.ai,SA; Juin. juillet, août, X.30; sept., U-lt; oct.. nov, tS.06; d«C.,

CEREALES

New-Tork mnr, nie roiu d'hiver n° 1. di>p t«3 f*«r, î.v. 3/4; bigarréDurum. 144 3;4: mal.» bigarre pour l'exportation 7/8'

CHtc»co. mar» Ouvepluie Mal. M t.îfi juillet 1-8

l mc*oo mars Ble dm d'hiter n- dlsp: lil: <]• i. t39. sur nu»rs 137 l'S- sur mai. Juillet, 136 t/8; mnU M Qnrrt no 2. disp.. Incote, niar-. 94 sis mai, 97 IIS; jmllei, 10U 3'8. arômes mars 1/2; Juillet, 53 1/t. «fffllej n1 disp., incoté: mars. 118: mal. il; juillet. 111 WiSMP'u. mar-. Blet, snt mai ttt-iM juillet octobre avoine* cnr mai 67 Juillet tetqie* sur mai M. octobre 104 or<7P.« sur mai 94 112, lui]. let 9! l"2.

Liverpool. â mars Clôture Hies Tendance calme niar» toit l'î- mai i Juiliet un UaU Tendance soutenue mars 8/1: avril 9 La Plata C V F.l, mars-avril 38 avril-mal 35/3: maljuin 3414 Il'1

CAFÉS

New- York, ô mars. Dlsp. J6 31\. mars 15.95. mai juillet Il.53, septembre l*,15. décembre 13.'JU. janvier mars t»?9 ventes approximatives SUCRES

I/OOTibes, 5 mars. Marché à terme. calme; mars v., tsl4 1/2 a.; avril Clôture. Sucre blanc granulé tendance v. a.: mai 31. v., 15/9 a.: août t6 314 v., 16, a octobre-décembre, 1613 3,6 v 1!4 a

NEW York 5 mars Ouverture. Sucre, centrifuges Cuba a terme sur mars K4: mal -261.. tuilier 7!3: septembre décembre 289

BAUD. 3 mai* On cote aux 100 ki. los

Farine. qualilé, MO a 215; céréales blé, 138 à seigle 100 4 avoine 10(i son. 90 à fourrage» paille à'f.'O; foin.

Tendance son- chan?emeni Vente loti j'.urs et p.t 1*11 de iransaWions su- le.- céréale. I.e- sont plut ri mandé-, mais les iiualites ,-«>nt nluliil me BiFiif» a 3 le kilo. vaches i M Il •2.80 le kilo; veaux, s.'jo à la livre pores (fias a le kilo; porcs mar près. 6 a 8.30 le kilo: r».i-< de fait lin V) la pièce: mouton-. 1 a :• U kilo (îeuire en sr-vs a i 1', "ki le ïi|n- -Il détail !>! ( le le kilo rul- à .111 Cour.1 st.-itioiinaires Manhé hlen approles a-ufs ont tendance à la baisse.

Cidre. 90 a 110 la bar:!iiue

Marché bien approvisionné, En général. tes transactions, *>nt lentes plu» narticuliéreineut cependant sur les fourrages et le* nommes de terre.

QUESTEMBERT. 5 mars. On rote aux kilos farine, il, iiualité. de îHi à blé. de I4ft à i;6 de ina a s»rr:i>ln, de à avoine, de à 112 son, de J0 il les UO0 kilo» paitle, de à foin, de KiO Il 'r00 Même cours pour les céréale* et toujours peu de transactions. Ferme» pour les fourrages

Barufs. amenés 1881. vendus de 3 Il 3.40 le kilo vaches amenées vendues de a le kilo à t. 400 fr.; veaux amenés vendus rie à A le le kilo moutons tic a a j poix» gras amené» vendu- tlt- fi.5fi 7 le kilo porcs nI.11cres amené.- Si.'veudus -le p. à 6."i0 le kilo -de !ait nntenés 175. vendus de ITtfl à la pièce

Beaucoup de -oéte» à cornes et le thnnip de a été insiif'i«urit pour les conte- nir roules. Le» twenr- sr:i- maintiennent leur (.'ours le- Ins-uf- de travail, trè» imnbreuv ont éîe rech* rché*. et lestions entre • cultivateur- nnl été intéres- santes et revendue- ilaii1- le cour.- de 1h foire. L^s vache, atnonillantes le» vache* et Je*- ir^nis-e- :ilr>ii»ps ont été il^'imn •d^e- ei ^e sont t>:e:i vendues le» .nitres *-• vendent 11U1» difncilpiin>nl BaK-p -tir tonles iiorcs partii'iè|-<1ineni sur le- moven- et le- norc- tic lait sur c'1» der nier* nn une baisse de ur^» ci., 100 fr nar nùve. l.e^ veaux nomnurnieni et* beaucoup ninin- cliers »nn» la de, nnt-ch-ind- b-'iuiM'î-- rie Vrinte.- et lïennp- 'pii pn n-»T envoyé u'ie îjrrni'lr 'ni.intité riar camions

Poulnin». df- !oo à -ï W ̃ chevaux de 3 a 5 an», dp •? W fi ">O0 chevaux de servii-e ci,, ?.5fln à mo

Foire. hien apnrn-i-ionnée" en chevaux p- presque ont élé acîietr» ou échan srés pn ilMi'i rif i", n Ifi ip kî.rt n*it*iir

vr-nt *r*« ?îii»n,ï-"it par r^n tpnu1* fiiiin. chnpfrp'«ont haut !pc T*'if- f f iîï ÎT.in«.p vir If, nrwilpu pn rat «on du On *"o'p 1^ le i'p j|#> •?* loc: i-lPtiv ft !•> rnnnip tA î A"< iil'Cn ^(|r Jr»« la «r»t<rtn CI, Ai^cnN. 4 mar Le marche aux bes1 le? 113 ̃ N'îi'^rpnT sont les animais ex |»o?é n.als sur Tnii*. le* prnrtntt? une Les jeune- pour Hcrliape. l'i 18 mot:v 1W frnnrt par mois a!r>r!- titi à la folle «le r^viier, le prix Ptal de HW 1 in franc- i»a r moi d "Age I.C? varhe« fr.'itrhpv dr vf^au ou nriMui Hautes, ^ont re»"tÉerrhetv». mats surtout celle* ayant Ia mamelle bien rte>|-en(iuè fil la veine laitiè re bteù formée. Il v a aussi une .baisse même tre· en^ihle -?.?*X) a î r>no alw que 1 rerériemmen.. ede» étalent paye.es pr^c de 3L(tno et (Tuet'iiip.- une? am1e>sus. Le> animaux dp tK.uchcrie ont aiiMl -ubl une roelle t»aiw Hœufs. à 4 le le kilo tIT; taureanx O.Vi de mofn? par kiln; vache? zras.ses. 1 fr de mninc par kilo Les chevaux. Beaucoup de proilutts. mais le marché heures matin lundi), ne fait qu'ouvrir. Il y avait quelques chevaux hter soir, maïs pgu de tran-ae- rions. Les produits exposés, sont en partie ceux qui n'ont pas été venrtns lor* de la foire de février.

Les vendeurs veulent tenir Ix priz haut, et le.. acheteurs sont portés A la

difiii a M<wW!pla Lt vendreiii. journée rêserree la vente de» hovins. maliçre le mauvais ttmp» de la ̃mu et d une ifertie de i» iiatipee et- aussi malirre le» ooiiïlireux jenats raite dan» les feinte, de la rcirt'on l.i veine Deux nian.tiands ont eux -enls exiguë Imi *:in m- ,]f bestiaux. I. approyisionnenieni etalt très iniporum et i i 30 heure ou la foire hattati «n plein, le fîno aii.maMX ou 'toute- le» cate sroriej. de la race hovine etaien.t représentée- 0e ,m lva:ct| réunis <i|| H ^^l'>^f̃ -1'J Château toutefois, on y vovaii neu d'à m iiiillanie- niais en revnnche r » tvail beaucoup de vaches d herbage.

̃il iss<»7 -i-tive niincipalemcnt imui- les bêles de qualité lesouelle- iriuvaient fa cileiiic.ii preneur» et dt-,« i.r'< r.- .(. ment as»« -levée Les vache> d'hei'iaiu- *e vendaient mieux qu'aux derniei-e- f 1 r» reffionale.s tnen varié. Les nete» grasses bonnes >our la b.>ni.herie êîaiem trps rt-cherche** Seuls .es ?enis-on« et principalement ie. petits Dreuf» t-taient lêlals*es et e'est dan» cette dernle.it catégorie |tip la relève !><( surtout manifp-tpe. En r*sume. vente ferme pont ^mouillantes et let- béte. irras»es facile iiour 'e.» herhaffpres dp honne

P-ix approximatif» Bptp.» -nonne, pour la hoi«-herle .7S. rarement 2 franco la Uvre sm imtl ̃ vac.ne* amoiniiant/-s 2 0OH à -2Sr<i fr suivant aire et il,la..Ite va 'ne. d'herbage lennes t 90n îfto fr 50I1 de « i..v> la livre -iir pied /leilif» i-achps 60n fi l.nnfi irenl»»^ a faire saillir l.'iiKi a -2 non rénissons <r. ne de 1 '*< --ancs li mois ,rnee: taureaux d 'in ^n en rwmlire re«trptn»i. 1 ?nn l.pn fr ̃ taureaux pour la bon chérie 'M I y) la livre >iir pied Le samedi in comptait environ "0;pon lain<, d- ->a t tns une quinzaine de chevaux •(*• mouton- on lireMs Tielnup» piétons et isr- por«» de lait Vente i««»7 act'v<- riOiir le- moutons en le- poulain», calme -vu* les porcs nn cotait de travail 2. fin A 3.8nn ̃ poulain- do un an i.*m t i&m fr le deux ans soft a 2.8OC ir m .ut.ins s g R francs le :illn vif hieMs pleines, Ir • pwtnn» la pi*e 300 1 im ̃ porcs de lait MO a 'snn francs

Les pommiers a planter se vendaient, suivant la qualité du sufeT. de 10 à 4P fr piftre i|neli|ii«v. sillet» de chnlx ~n m» me iti*»int i: fr ma'- la nonne movpnne a vendu* aux ijpnrour» de ?f> a -3S 'r. »• ma' -np a' ..̃'visionnemem au-des »n- de 'a mryt.ipe sauf i»our la vnla:tlp. laquelle A -ette de l'année est toujours en umnhre restreint Les cours restent sensiblement tel. mPme» qn« la maine lernlere sauf nnnr le» volailles Pn hau-<f -•> a f rranc» couple noi'r \f ,nenrre en nat>«e de franc par kilo la la ̃ounlp -̃̃ f. • poules ifw caiia-ds. ̃ oi<-« la pièie. i9-M la.pin» IÎ-4 miK'rèaux i^ benrlr. ie ki!o 19.S0 »i francs œufs 5 A s.55 ta dou rame {Ile.pniitiifjUon Interdite) A C.

AURAT, 5 mars. Taureaux, amenés •>. vendus 1, il le kilo. vache*, amenées vendues |<8 de t»y la pièce; veaux, amenés 19 vendu. 18. de 'i a le le kilo: moulons, amené* vendu* environ le kilo: porcs de lait, amené» :«w vendu. 3.S de VA à 'on la vendus de '-on il la |>lfre

le 9 à 9.<iiJa livre; œufs, 4 à la douzaine; poWlets. • 18 à f0 la couple

("plie fuite aux v;u:lies était normaleine'it :i(Mirovi-ionnép mai- la vente a eie di A cause de leur mauvaise Qual;té. <"(.iii-s -tationcau-es -ur es porcnioyens et de lait: le. norcs trra- m' -ont vendu- rie ̃» à 6. tu le kilu: la vonie a "te plu- active sur ce» dernier-, qu'à la fnirp f.r«'é»lpnte. TP-m'nnce de surtes beurres et le» ipufs.

Porc» aras enlevé» par camion» pour le» directions de Nantes et rôtes du S'nrd: de nombreux ti.upeaii'i (le vaches vanne» et ï.ocminé.

A. C.

VITHE r. mar». On coie aux '00 kilos: f:inne son. ;t0: hlé. r.">: «arrazin, US; avoine lui: .irce. t'f> fn-n les W11 kilos, .î!) ;t lie il

et vend' f». 5 le kilo sur il 4 veaux. à 3 porcsaras S-ï à 6.riO: 3nO petits porcs, la pièce lieiirre. le kilo en ^ros 16 a au d<-tail. -Ai -.M-, la douziiine en çms. .»:. :i'.i il r>. imiiiets, la cmiplv,

• 'i-liv la twri-ique. 100 à liiâ

ciMisiatvr la pénurie il'ieul- Par suite tie lie les aiipurtrr.

l'.le les 100 kilos, IV»: seiislf les 10u kilu. H'-i; farine Hument, Im HKi kilos. lai lue de k's H»* l.i.» iifO: .-un le? liki kilos, ifv.iinc les i'Jii Kil .s i-.1:. lieurre. le kilo. W a il' u?ufs la dtiii- vani IM111I-. 'Ip a £>: iaptiis. la fiite ïlliva. D'M.ls. ât 'J

RMN nui'?. Iliflll: auitir s 130 1 eiulils .< -J.Ai le kllv. \,1 dit» au'etifA-s à 1 \cihIiios mi a i.bOu Ir la picci veaux animes i. :l vei-iln- unis la livic. i;iull tniia Hineiic 1 '.e:i'iti de '1Ï1 ia- -ô in livre uuiv!. de lait vi'iiuii; fil,, -i IWi a 19n fr pie.r. i«irc- ni.JM-iis a moues •'̃» IX) rendus •-̃/(.; Bvirres *-7-i la livf: œufs !a l'iuzaint-

Ij> uiarhp étal! ncu important i! n'y les différentes il il a fait un te'.np- tnervt'i'lPUX 'lui esl pent etn> la eau-* de c-> ppft mai-ch'1 cultivateurs préfè rem rester a iraval'lei "lie/ eux q"e de venir vo'i- les

I** hrpuf; tt'ptnient point nnmurpur II n'v av-.i' pa-; iipa'icodp ̃i':i-h''tei'rs Ip» cour- re-tent -a»-» chanKPnient Le» v-iM.iii» tiur le» b'^ii' na»1 t'eanc^nn t1'ni>> t<>nrs. elles se troiir.Vem en nia.lorlt"> en roi»<. iî« en vpndent autant Vhez hit «pie »ur le marché.

Lp- veaux ne »nffl»aipnt pas aux 1>p soins la boiirhprîe pt la v nte dp ce- a''irpa"Y .1 f* -.»«"t a-'t'v. '1 nVr- t>ii pat far'i ronr V->ris.

Li dp» montons e?t tprininée il» sont chers..

nombreux la vente, a étf meilleure avec -hiu«sp de to a ts franc» par tMe.. t^> 'uni-0 rn ha!c»p pf lps mu'< eprorr davaptac^.

rOMROVROt mars. On cotp aits kilos

Farina» Mé, t4S à sarrasin, ns avoine, «10 4 «Qj -org». à 11* «on. 08 à MO.

I fournige- paille. 160 à 180; foin, '260 S francs.

Prix fermes: tendance A la hausse sur les [:erealfs et lourra^res.

Veaux. I a 3.10 la livre; porc3 gras, 3 la livre; porc'- maigres, ?*ôO 1 ii) la pièce; pon-s de lait 160 1 190 la \eiiie sssez calme sur les porc,. moyens, plu.- ariive -ur les petits les cours, tout en étant statloniiaires. auraient ilutôt une leiidanc^1 a la hausse

Beurre eu gros à 8,âo la en détail. Il 9 la livre: oeufs T> francs la douzaine.

Œuf-, >an» changement: Pabse de o.jO par- livr*1 tîp iK-urre

'L;i 7olaii;e a Pté vendue aux prix suiujiï (>.iulets. la de 36: les vieilles de 28 a M)

Très bon dpprovt-'onnenient en plante d arbr< fruitiers: même cours qu'au derniei les beaux plant? de potnmirr» ont vahl ii et plants de pépi- nière- .!? I" a !b le lljii

Cidre W à 95 la barrique

Marché ordinaire, bon coniinercp sur le? I>or('s. hnn approvisionnement en plants et lémime*

BAl'iif! "1 mars. On cote aus k. inin \"i0 i ;7;: paille. iV); aux 100 ki.os farine nié. I5.V. -eigle. Hfl; one. semence, tin; avoine semence. iCâ; vPH-e !Il): raverass îSO a 300: haricots. d0 le le kilo. Il à ll.r-0-, noules. S); canards. piaei'iis la couple. 8 10: beurre, le kilo. ?i.5O

M porcelets, le kilo vif. à t: COQrards .pufs la douzaine. 5.

MORTAISE Beurre. 17 à le kfl»: cents h.S' à 6 tram la douzaine poulets, le a V> flancs la cnnnle.

LES POMMES DE TERRE

FUtfit. mars. On cote les pummes de terre. 2i a 30 fr. les ion kilus.

R»tD. 5 mats. On cote le- pommer- de terre 18 4 -.«! fr les 100 kilos

D}i*R'F\tz s mars On cote les nomme» de lerre au\ .V kilos hollande '3: -auriye. li.:«li- liUnrhes H-1*t0. RM iv mars i>n ,-(.!•. es de lerre X à francs le- ion kilos Comboitrc, 5 mars. On cote les pomme» de terre !i -X franc- le- ion kilo». VITRE. 5 mars On cote les pomme. de terre. 40 fr. le, ICO kilos.

QtT-TEMBEHT..s mars On cote le» pomme» d.- f-i-e. K francs l»« '<*• kilos. mars On ot»- les pomnie- *:e terre ft'i 1 T') fr fit .lonble hecto. litre

PrKTB- mars On a>it- le- l>ommes de terre li à 14 fr- le buiasean S«\t-P(il-oe [.Eu% 5 mars. On (,(..le aux ion kilo» la Blanche iTiptodate). fr. Il Blanche ronde de à .V. fr la HoKlande iaunp. franc,.

LES CHOUX-FLEURS

Smi il, >f. Liov m:ir* Le:, irrivaiit-s au marche de "e 'our ori: de de oifiyi. nt !mp"riamf euvirmi v*; «^itura» de choux Menr.» r»nt été aim-nii.- -ur la f'îare île 'le. Iran-actions ont été Ires active*. les cours ont une légère tendance a la hausse.

On a payé :les petits choux destinés l'exportation Outre-Manche. de à la tc;e suivant qualité les moyen», de 1RS à 3 la télé, le tout venant et quivant qualité les extra!. de 3.9T. à ta tête quelques charretée- ont même été vendue» î raison de 4 fr. la têt* CHERBot'RC. 5 mars. Nous voici en pleine «<iU«n de chonx-flenrs du Val-deSaire. cir on sait Que tes gelëPs ont Il'que i-omp'ètetnent ntiné 'ta réco!te de Tou-rlacille. Ce« loiirs-ci les choux-fleur» de Barfleur et de la région se vendaient de tin •>» franc» le les petit*, moins cliers étant destiné» A l'exportation veri l'\nïieterre. Ip- beaux à l'expédition sur Paris et le» marché- intérieurs

nnil ¡duvet, aussi bien sur les bras qt.e sur ia nuyue. le ,.¡sage nu même les jmnbes travers 'es bas fins Tnutc IV ni 1 K'jt nlc sai;. iela, ci le sait aussi • i e pou; enii-ve ILS pois et duvets ·up t'Mus ii n'y a (|uc ia merveilleuse r!é oircitc 1 Tai.y c?tlc crème pariuniéc s'enitt!frrj'tn< e! e ou elle sort du tube. cn]r\ccn .*> miiiuies, n'importe ou, le p il. rt l'uvc's d 1 lis e une peau bli-iv'iie et lisse s. us un point noir; r pui di.ssous jusqu à la racine.s'affaihlit t lit) t '.ouvt-nt par disparaître tout à fait. l.c'l -Ay maniueun nro^rê extr.ori.iuaiie tir Il- as:.ir qri êt-orche, donne, des liout.ms et ,le. poiuts noirs, et sut es vieu-. dépilatoi es c impliqués et mt'ludor. nJs.

NO" Le TaK» br-v? é S.G.O.O et' -n v nte partout ou envoi f-^n-a cotitr- SCi lui La-ioratulres Cn. !*og»r, J«-t.ï» r* H*»- •̃>• sur S* ne. Vous tous qui souffrez l'Oppression» KiTive/. M. ESC0UrLAlRE,4 Graude-Ru*. A B418IEUX (Nord) Vmis recevrez sratuiteinnnt Pt. fl-Mtro w BOITE d'ESSil d« et CI6AREnF8 ESCOUFIAIRE avrc nomLES AFFECTIONS STOMACALES

REBELLES

lisparai.,rnt dan, la plupart des cas Vvnnt un traitement rationnel par la »fn(tncsie Bt>mtlrrr. [-ne ni.ila.1ie <l'esto',lier qui devient clironiqiip entrât^ finube iligeslir. l'our apporter un soulafreni'iit il e>l nécessaire d isoler la amqueusa nflammée par le suc gastrique hyperacid» les aliments frrnientôA. La Magnésie Bis.nurée nnn seulement assure cette protee» ion meis neutralise égraleAienC tout excès I aciilt- stonmcal. ̃ Donc pour les 'maux i estomne les plus rel^lle* il n'v Il rien ni égale la Magnésie Pi»mnree (marqn* epo-np) qui se trouve en vente 4MB outes les pharmacies.


Feuilleton de lOveu-Eçlaw

db 6 mars 1928

EN SURVOLANT L'ATLANTIQUE Par Norbert SEVESTRE

CHAPITRE X

VIVRE

Il 6'étaLt pris dans ses rets et, non contenta de le tenir, de le berner, d'obtenir de lui plus qu'elle ne souhaitait, son dévouement comme son amour, jusqu'à l'oubli du code de l'honneur, fatiguée sans doute de cette amusette, elle l'avait sacrifié & ses misérables calcul? d'intrigante et Je contrebandière

Et dans quelles conditione atroces 1 Avec quel sauvage mépris des précepteç humains et divins, quelle implacaole cruauté 1 Se pouvait-il qu'une femme, quelque dénaturée fût-elle et quelque bas tombée, eût conçu un plan si démoniaque T

Orli se débattait autant contre cette affreuse évidence que contre l'élément liquide qui ne le portait, eût-on, dit, que pour mieux l'englouîlr en fin de compte. Le torpillage de la Quun Mary n'était pas dû à un accident fortuit. Quelqu'un l'avait prdparé et ordonné. Que les forbans de ̃l'X-Y, lie des mère écumée on ne sait '•ù, fussent prêts à tout, capables de

tout, des pires forfaits, des pires atrocités, il s'en doutait déjà. Mais elle 1 Non 1 non il n'aurait pas cru cela d'elle. Avait-elle bien trempé dans, le monstrueux attentat, qu'il tendait à lui impuier ? Pourquoi *c-e guetapens ? Quel intérêt y avait-elle T Qu'est-ce .fui l'y eût engagée t Un moment, il trembla de trouver réponse à ces questions.

e Elle a laissé partir Cérame sous condition, se dit-il. Est-ce qu'il nous aurait 4naii,iué de parole involontairement 7 N'a-t-ilpu s'empêcher de dire ce qui est arrivé, l'a-t-elFe appris et s'en est-elle vengée sur moi ? » L'hypothèse ne le satisfit pas. Trop de points demeuraient obscurs. Dans l'affirmative, en effet, miss Evelyn eu: commencé par lui jeter à la figure le manquement de Gérôme. EUe n'aurait pas envoyé Bob et Jim à la mort' avec lui. ils ne l'avaient pas trahie, eux. Elle n'avait rien à leur reprocher. Et leur immolation ne s'imposait nullement. Il leur eût été si facile de se défaire d'Orïis sur un mot d'elle. Enfin, le torpillage même de la Queen Mary n'était-il pas superflu t « Je n'y suis pas •, en vint-il à se Et puis, il ne «penta plus à rien. Il avait trop pensé et à trop de choses. A Gérôme, victorieusement parvenu au terme de son magnifique raid, ayamt ainsi réalisé, malgré tous Les obstacles, leur grandiose rêve commun, mais que sa disparition, à lui, pouvait mettre en fâcheuse posture.

A la France où le succès da l'Alpha aaait eu tant de, retentissement, mais où les cœurs devaient se serrer à la pensée de son sort demeure profondément mystérieux. A cette énigmatique^niss Clair-de-Lune qui, comme .paiwBnch-anttinent, avait pris tant de. place dans sa. vie et qui, coupable ou innocente, Allait être cause de sa mort. Penser 1 Il s'agissait bien de cela. Se tenir il flot. voilà ce qu'il fallait. Il- n'avait plus d'autre but ni d'autre idée. Nagerl Flotter Opposer ce qui lui restait de volonté et de vigueur aux forces Inexorables, la légèreté spécifique de l'eau, son pro1>!v poids contre lesquelles il 6'épuisait depuis un temps dont il n'avait aucune idée précise, un temps qui 6e mesurait peut-être par des heures, peut-être par des minutes, qui semblait en tout cas n'avoir jamais eu de commencement et ne devoir jamais prendre ün.

Derechef, tout le reste eç brouillait lions son oerveau, comme tout était brouillé dans la nuit sourde qw lui ma,.aquatt des drames identiques à celui de- sa lente' agonie. Une fatigue écrasante tendait à l'ankyloser, et la température de .l'eau, après n'avoir transi 'que 6es membres, l'engomrdissait progressivement jusqu'au coeur. Vertiges et étûouissements s'en mêlaient. Il ne savait plus quelle» position prendre pour échàpper aux crampes qui lui tordaient muscles et nerfs. Sa nage devenait intermittente et saccadée. Faisait-Il la planche? Le

défaut de mouvement achevait <te le glaepr et il Se sentait impuissant à rester -en position, car ses jambes s tnfonçaiejw invinciblement, comme s'il avait en aux pieds Tune de ces lourdes gueuses de fonte dont on lestnit le sac mortuaire des faux contrebandier» démasqués par les tenants du Moonstiine. Sa tête aussi s'alourf-issait terriblement, à la croire enchapée elle-même de plomb. Trop pesante pour son pauvre cou paralyse, < n vain s'efforçait-il dq la soulever. Elle retombait et se ajpfonçait sur le froid oreiller aqueux, plus mou que la plume, crfmrrv si des mains fluides l'avaient tirée en arrière.

Chaque ondulation un peu plus forte recouvrait maintenant orlis. Il donnait un coup de reins et serrait convulsivement les dents, mais son corps réagissait mal et la suffocation, une quinte de toux ou de hoquets, l'obligeait à rouvrir trop tôt la bouche. Il buvait et se débattait à nouveau et à nouveau c'étaient les afffes tragiques de la noyade. Dans l'horreur de cette nuit sans clarté et sans fin, le naufragé redevenait épave et n'était soutenu que par les suprêmes révoltes de l'instinct.

Et la lutte continua pourtant, avec ses remous et ses glouglous, ses spasmes et ses nausées, les yeux qui se désorbitent. les tympans qui sifflent et qui sonnent, la luetie qui se convulsé douloureusement. Entre l'homme et l'eau l'homme si pétrit, si faible, si impuissant: l'eau si grande, si

forte, si irrésistible, qui le cerne, l'enlace, 1e presse, le couvre. le roule le'duel se prolongea assez pour que le petit jour se fit avant que l'abîme ii'eût sa prole. Des lueurs blafardes rosirent et s'épanouirent au levant. Elles dissipaient la brume de mer dont l'effet grossissant déformait fantaMàqupment tout ce qu'elles laibsuent entrevoir. Ainsi put être sauvé Orlis. in canot était là, errant dans ijette ouate vaporeuse, en quête du nageur qu'il entendait y barboter. Ce canot le repéra enfin. Son moteur ronfla, il fendit l-'onde comme un squale et, bien dirigé, frôla le corps inerte, qui se fût définitivement enfoncé, si un croc ne J'avait happé et ramené contre le bordage.

On i- hissa dans l'embarcatjon et il y eut un bref colloque entre les hommes qui occupaient celle-ci et dont l'un ruisselait lui-même encore d'une immersion récente.

• Le Frenchman 1.

Frictionnez-le.

Il faudrait une goutte de rhum. Tenez, Jim. Et n'allez plus dire que le booze ne sert à rien, parce que vous ne l'aimez pas, espèce d'abstème. •

C'était Jim, en effet, le Jim de miss Evelyn, et son sauveteur Pat O'Brien. Au moment de la catastrophe, l'Irlandais avait bien failli aller par le fond avec la Qween-Mary, sa contrebande est son équipage de bootleggers, Mais, entendant la torpille, il s'en était earé <\e son mfoMix. D'une vie-

lente poussée, il avait écarté son canot iIp la malh'Oureuse j:oàleit«, que l'tngin, quelque», secoades plus tard. frappait de plein fouet, presque à l'endroit qu'il venait de quitter. Mais déjà le moteur de la léger? embarcation était.lancé Elle filan éperdument et échappait au tourbillon fatal, com- me aux effets directs dp l'explosion.Une pluie de débris pouvait retomber sur ta nvr Pat était hors de la zone dampereu?*.

Non plns qu'Orlis. l'Irlandais ne s'expliqttait pas bien d'ailleurs la cause de cette féroce attaque. Il était certain que la torpille provenait do l'X-Y, dont Il avait observé l'approche, après la projection de la fuséesignal. Certain aussi que l'engin était destiné à la goélette, puisque tiré comme à la cible d'une distance maxima de deux ou trois encablures. Et s'U avait eu un doute à cet égard. oe doute se "Tilt dissipé en voyant le submersible plonger eitrtt son coup fait.

(A suivre.)

i LA NEURASTHÉNIE, maladie 9 des faibles, est vaincue par la I TONITRINE | Les sans-fllistes possèdent on tournai cvmplet. document* et intéressant lis il. vn- le n.nt t/trfio t'n on V- franco.

LAISSEZ CETTE NOUVELLE CIRE i EXTRAITE DE FLEURS

BLANCHIR VOTRE PEAU

et les défectuosités de la pean qu'elle rend aussi rose

et blanche que celle d'an bébé.

Voici, pour presque toutes les femmes, m moyen nouveau, facile et sùr, de reonner en dix jours, à leur visage, l'exression de la jeunesse et d'obtenir un tint éclatant de fraleheur et de beauté. iette nouvelle cire, blanche, onctueuse, xtraite des fleurs au cours de la Cabriation des parfums, est la plus grande écouverte faite depuis 1.OC0 ans qui uisse rendre la beauté et la jeunesse a me peau vieillie, fanée. Pendant toagemps on a cm que cette cire n'avait aunae valeur spéciale, mais, depuis qu'on .reconnu ses propriétés extraordinaires, est difficile d'en obtenir suffisamment. CUe blanchit la peau un peu à la façon lu bien qui donne au linge un blanc «latant, tout en étant absolument sans langer. C'est la seule chose inoffensive, annue, qui donnera aux femmes dont es cheveux sont coupés un joli cou blane [ue leur envieront et qu'admireront tones leutrs amies. Elle pénètre directement tans une au rêche. rugueuse, et l'attenIrit de telle façon que la couche externe le l'épiderme durci se détache gra(uellement par fragments minuscules oreque vous vous laver, le visage chaque natin. Ceci permet d'obtenir un teint •oœposé entièrement d'une nouvelle peau Eratche aussi douce et aussi délicate que es pétales de la rose, aussi délicieusenent rose et blanche que la peau d'un >ébé. Les taches de rousseur, les vilaias points noirs et les défectuosités du teint iisparaissent comme par enchantement ?t une transformation des plus extraordinaires se produit. Une femme de 40 ans peut facilement en paraître 30 ou même moins. Elle nettoie aussi les pores comme le savon souvent ne peut le faire et, de'ce fait, empêche et combat leur dilatation. Les femmes la nomment la

Cire merveilleuse son nom scientifique est Cire Aseptine. On peut- la trouver dans les pharmacies et presque toutes les parfumerip#

IMPORTANT. Ne faites usage de la Cire Aseptine pour votre teint que si vous désirez également blanchir votre i pean. Ayez soin aussi de l'employer en même temps pour le visage et le cou, autrement la différencie qui existerait entre les deux nuances de peau pourrait attirer l'attention. Elle ne fait pas pousser le moindre dnyet. Par nptre Spécialiste de Beauté.

Tube d "Essai. Pour apprécier vousmême la valeur de la Cire Aseptine, envoyez-nous un franc de timbres, et un ample é,chantillon vous sera envoyé immédiatement. Adresse Cire Aseptise. Service 25 C rue Auber, 7, Paris.

A VENDRE, LE JOLI PETIT

DOMAINE DE MONTERTREAU A PAKIGNÉ-LE-POLIH (Sprthe)

CHATEAU RENAISSANCE Tout confort. Vue superbe. Parc très boisé. Etang

3 FERMES. Contenance totale hectares. LIBRE

Pour 'renseignements et traiter, s'adresser a KM. WORMSER, 10i, avenue de Villiers (Paris. (Téléphone Galvani 27-92 ou Wagram 19 inter.)

Nos annonces classée* paraissent tons les ours.

La ligne, Aont le prix est indiqué à haque rubrique, comprend environ 5 mots. La mention s'adresser au journal a ^u « s'adreuer Agence Havas, Rennes a coûte 3 franc:. Nos annonce* classées sont navables d'avance.

Désonnais, les textes encadré* et les cliché* nè seront plus acceptés dans cette catégorie.

Immeubles à Vendre on à Louer a fr. la ligne

BELLE PROPRIÉTÉ

située & CAEN, composée de trois maisons a usage d'hffbitatloo. remise», hangars, Jardins, quatre herbages dont un plante de pommiers en pletn rapport. Conviendrait à une Industrie ou à une exploitation agricole Contenance totale de la propriété « hectares M ares 78 centiares. Pour tous renseignement-, s'adresser a !or GRANDIS', huiss.. pi St-Marttn. a Caen. ON CHERCHE LOUER (iRAKDB MAISON 10 pièces, Aien »ltjiw. .t. LEROLLE. 10, aT. Vlllars. PARts ri Vente au Parlais, le mars IBM. 2 heures 1°' FERME' cnmrmme o> rAnCnnCO .jn hectares «6 ares H cent. Bail 6. li ans du t" mal 1R26. Fermage i.ooo tr., plus tmp6ts et subsides. Mlw h prix franc*.

'le ROUESSÉ-VASSÉ «"T1 TORCE-EN-CHARNIE Contenance :e h*<tares ares M cent., moltté rtepifl. Olonat partlalre. Ml** a prix i 1*0.000 'rance. S'adresser A M" DUPONT, avoué. 18. avenue Victoria; BOKN1N. BTiAf ft SIMETTE. axones ESTIESTNE, notaire. Asnlères, et LE BAIL, afcUtcct*. 8. bi», place «ai JaoeMaa, an

dépend. Conditions très avantageuses. Gd choix d'autres propriétés tous prix MAfrtNOURY, 17, r. Touloux, St-MALO. A LOUER FERMES NUES

i0, 50, 80 et 80 hectares. Terre t" choix. Nombreuses fermes à reprendre près Paris. Thuiilitr, OS. rue St-Lazare, PARIS. ON UCmnnUZ quartier central un appartement pièces ou gentille mal- 1 son, et un appartement de 5 pièces. Ecrire < Agence Hava; q\EN, n' »M(g.

A ENLEVER DORDOGNE j Dans chef-lieu de canton très Important MAGNIFIQUE PPTIT CHATEAU, style et confort modernes. Parc, arbres centen&ires.^2 heot. 30. Affaire unique. 1TO.000 fr. 3 km. ch!f-lieu de canton très itqportant. m. bourg, bord de route. PROPRIETE RAPPORT ET AGREMENT. 18 hectares. Maison de maîtres, bâtiments exploitation. Cheptel mon et atf très important. Exceptionnel, d snuir, fr. GENTIL MANOIR, tir siècle. 15 pières, vastes communs ? métairie.' 180 hectares. asn.O0i> francs

TRES BELLE PROPRIETE RAPPORT ET AGREMENT. 60 hectares Ma,lson de nialtre. s plèees. Bâtiments colons et exploitation. Cheptel mort trft* important. Prextt. francs.

GENTIL MOULIN. ? chmes d'eau. hectare terrafn. Affaire vniijtie. fr. PROPRIETP RAPPORT ET AGREMENT 33 hectares 10 km. Périgueux. Maison de mattre. 6 pièces. Bâtiment* colons et exploitation Cheptel mort très Important. Prix francs.

PROPRIETE CULTURE ET ELEVAGE. 18 hectare*. Maison 9 tvtees, Brantre, hanirar. etc. etc. Priv iî.nofi francs. ffrnvf choir rapport et ff.Fr' "t«f terme. châteaux. Toue prix. ̃ FT'A'KST CR0U7EI. LA

'̃ truei. Consultez son répertr.;i rr fr.).

Cessions de Fonds di Commerce fr. la tigre

Cond. nTantag Vad St-Malo. mod. f. gare, an. diT. (Occ.); Calé-limon. 80o f. par V. s frais, av. 80.000 f.: Café- llm. 140 t. p. J av. 35.000 f.; Chapellerie- pasaa., o concur.. avec tr. UTOUfUUWX. Ueattona, LAVAI.

PETITJEAN»= CAPITAUX,INDUSTRIES BÊÛRI^sTœÛFS FROMAGES Affaires sérieuses, tout.'import. A CEDER. Paris banlieue province. Renseignements gratuits. BORE, ti, rne Turhlgo PARIS. Agencée de Mme NERVAGAULT, 16, rue Ville Pépin, SALNT-SERVAiN A V EN DR F cause de décès' excellent Fatence* et Verreries très bien placé, sans concurrence. Prix avantageux. PRESSE. INDUSTRIFS

a fr. la ligne

Etude de M* HCBLOT, notaire à Landivy A CEDER DE SUITE

BON FONDS DE GARAGISTE S'adresser au notaire.

OFFRES D'EMPLOIS e tr. la ligne

PREMIER VENDEUR «J£vendeuse en chaussures demandés par GODFHOY, chausseur, m, rue des i Carmes.. ROEN. Place libre de suite. Bons | appointements. Débutants s'abstenir. LINOTYPISTES sont demandés A l'O.-Eclalr. Service de nuit. S'y adresser Gre* gain* mensuels dans vos loisirs,, écritures, couture, trav. d'Intérieur ou d'ester, au choix. 2 sexes partout. Etablis. .lab. B 6, rue Jouffroy. 55, Paris. Joindre enveloppe avec votre adresse. TBjyi man. fac. ch. sol, s. étoffes, b. payé aux piec. Envoi essais. s. demande. CLEMENT à Cro»lay (S.-et-0.) REPRESENTANTI;rtrêasurrrant, fixe et commissions, est demandé par les Etablissements FORTIN, Bayeux (Calvados). Agents des marques Penhard. Peugeot, Donnet. Unie, Fiat, Ford. Soolitt Métallurgique de Normandie » Mondovltle, près Caen, recherche pour *Z4S2T DESSINATEUR sortant des Arts et Métiers ou possédant s connaissances analogues. Ecrire en (garnissant références.

Marine Marchande trouveront place officler mécanicien dans grande Cie de Navigarton. Pour renseignements, s'adresser Bureaux dn journal. W796-D REPRÉSENTANT spiritueux. Importante maison importation, Ecrire Havas, SAINT-NAZAIRE, n'

hrràrtïlON le prcctikln concoure £p|)tucnd (>uui kilt BELLE CARRIÈRE CIVILE* DE L'ÊTAI ians les bureaux militaires (agents mil.)que L'ÉTAT OFFRE t Paris et depart. en grand nombre aux hom Lgés de !i à 30 ans ou plus (s<" mil™') Imtructior rimair* «ulflt. Aucun. diplôme. D^but envirop 2.U00 fr. Rens. grat. par l'Ecole SpécicJe l'AdnaniatratiOE, 4, rue Férrm Pa-în !€•) UL.U1 r\n UL. fleurlste potager, la femme tous travaux Intérieur p' entretenir et garder propriété au bord de la mer. 8.e00 f. l'an Ecr. et donner tous renseignements Il \f. RUET, K>, r. du Rocher. PARIS ONS OUVRIERS PEINTRES demandés. It. LIGNEflL, à PERROSGUIREC (Côtes-du-Nord) Téléphone mandée aux Ateliers de Bruz (Ule-et-Vi laine/, place stable, vacant*. Beaux appointements a.«'siiirés après mise à fessai d'un mois. Débutante s'abstenir. Ecrire avec références.

'Au demande, libres suite UN MENAGE w SERIECX. le mari charretier. la femme p. vacherie et porch. UN BOUVIER célibataire. Ecrire avec références M. PICARD, régisseur, à SF.VYY-LEROÎ (Indre-et-Loire).

me non occupée, non nourrt. très beau logement meublé. Bonnes référence» demandées. CARTIER-PRFRSON. Clinchamp-sur-Orne icalvados).

gee Ae dômes. IquM A Lons Races. M.VRIE l'-tt.PT m me St-fTnnur» PARIS f" M AIC AU tissus elî gros demande VOYAGEUR et EMPLOYE.

Références exigées, ue pas se présenter. Ecrire Boite pntale. RENDES, n' ON OUVRIER connaissant à OUVRIER pour cycles et motos. HINARX», I.ITTRi' (Calvados^

AU nCMÀlinP MECANICIENS pour Ecrire en, Joignant certificats à la été Aon. du OarrHrM de OHCf fait CT«ad4*4.

v/umrinouL dé Bntrtprltt 0E. BRUN et BRIOT, à Franeavlll^Plag* par MERVTLLE (Calvados).

JEUNE HOMME DE 15 A 18 ANS présenté par ses parents, est demandé p' travaille bureau, par les Etablissements LUCA8, 8-10. r. Edouard-Turquety, Renne*. MÉNAGES sont demandés par Eta'pour tenir SUCCURSALES. Ne pas écrire. Se présenter le lundi au Siège, rue du Moulin. 8t-Malo proximité de la gare). DEM, VOYAGEUR sér. ay. auto et déj. cartes voul. s'adj. col. et lais, sur pL si pos. p. volum. forte com. Haras, RJENNES. Urgent.

automobile et voiture attelée. M.OTHEL, carrossier, D1NAN.

TRANSPORTS LE MOAL GXJINGAMP demande OUVRIER connaissant à fond la réparation automobile et la mise au point. entretien matértel de transports.

1 fWifl Ir. par mols fixe vente huile pour I autos marque Auréole •. Etabllssem. D. GOMEZ, 9alon (B.-du-R.) BELLE SITUATION estTu^ HOMME Intelligent, sérieux, travailleur et TRES ACTIF, S'adresser an bureau dn journal. T. P. R. _l*^5 U Clfl fin lit- caution pour café. TIEZEVENT, 18, Allée des Ibis, LA BAULE.BONNE SITUATION Edition* d'Art Edg. PALISSON, 131, rte de Paris, LE HAVRE. à AOENTS locaux, actifs et bien introduits pour la BasseNormandle.

Ecrire Hôtel de la poste, DOMFRoyr..

Références premier ordre exigées. Ecrire: « DAMES DE FRANCE LE MANS. PEINTRES EN BATIMENT sont demandé«. Ecr. Arragon, Fler*-do-l'Orne. Importante Société Capitalisation désirant 1 Courtière» bon gain. Pour rensetgn.: LEBIAN 18, rue du Château. BREST. SOUCY. 13. rue de la Barillerie. Le Mana M' PEAN. notaire à Prunay-le-Gtllon (Eure-et-Loir), canton sud de Chartres DEMANDE COMME PRINCIPAL

CLERC AUX INVENTAIRES ET LIQUIDATIONS

PHARMACIEN ou MEDECIN demandé chef-lieu canton. Situation exceptionnelle. S'adr. à l'Ouest-Eclalr. e06

DE. tissage, est dem. HOTEL DE PARIS, LAVAL. APPRENTI CUISINIER est dem. a 1 Holfcl de la Car», a Pontivy. On dem. Bonne i t. loir» dans villa Il la campagne. 30 km. Paris. RM. sér. bons gage» Du Wast, place Boïeldieu, oarie. ON DEM. REPRESENTANT sérieux pour envois de fruits, légumes, salades et primeurs & commission. Envois directs invités. Référ. principaux transitaires. Ecrire Joseph JUNR., Spltalllelds Market. Londres Angleterre.

bourgeoise. Très pressé. S adresser au bureau du journal. • 24502-D InOI • VaUUV. 5.7 ans lnst piano, soins mat., aimer j. f. monde. Sér. référ. F CH A M BR E cath.. b. santé, coût. DE VILLARMOIS, «tréniigon, Combourg JE CHERCHE ÏESTÎ.^ touftes dans la clientèle campagne. Conv.' Il voyageur en épicerie ou mfrcerie. Aff. sérieuse et d'un bon rapport. Ecrire ̃\grence Havas. AXf.ERS. n^S40«. REPRÉSENTANTS

dépositaires visitant garagistes, demandés dans tous les départements piur placer phare code Intégral breveté.

Ecrire ),!ARCHAL et G17ILLOT, 61, rue (le Tamil!. BORDEAUX.

IMPORTANTE MAISON LAINAGES. SOIRIES et FOURNITURES pour Maison de Couture, demande de suite VOYAGEUR très actif, si possible déjà introduit dans :\faisons Haute et Moyenne Couture de Normandie et Bretagne. Bcr. COT'RTY, n' Mi, r. Vlvlenne, 15 à PARIS. MIERE pour le rayon de Modes et UN BON VENDEUR pour IR rayon d'ameuble ment.

LINGÈRE capable diriger rayon lmLAYETTE •. Situation aseurée. Indiquer références et prétention% a ̃ D»MB» DB FRANCE1 LE MANS.

r\o d»m. une VENDEUSE au courant du rne de Bohfcn. RENNES.

Au nCM&UnP FEMME DE 0HAM- ou. H«t*4 «ta OoatBKTM, CtAteatitHaot.

MANUFACTURE JOLIVET rue de la Verrerie, DARI8

Vente, directe de la fabrique aux particuliers par abonnement même prix qu'au comptant.

CHRONOMETRE PLAQUE OR 10 ANS fr. à la commande.

Mouvement garanti 10 ans. < 25 fr. à la livraison.

mois à îi fr

CARILLON WESTMINSTER 1» fr. à la livraison.

12 mots à 40 fr.

( w fr. à la commande.

CYCLES DE LUXE MERCOR fr. à la livraison.

Route (Homme) ( lî moiq à 40 fr.

i 70 fr. à la commande.

CtOLEB DE LUXE MERCOR • ~f M tr. à la livraison.

(Modèle Dame) il) mois à 40 francs.

(Modèles spéciaux pour

garçonnets et fillettes)

POSTES T. S. F. 5 LAMPES, complets i 100 fr. à la commande. en ordre de marche j fr. à la livraison.

̃' 18 mois à ito fr.

• i 100 fr. à la commande.

MACHINE A COUDRE [r. à la livraison.

DEMANDEZ CATALOGUE No 16 (Renseignements Gratuits). WW avec 5.000 francs espèces ou titre. E. PICARD ET Cie, Remisiers accrédités, 48, Rue Oondorcet, t^ARIS (9-)

HOTEt demande pour saison 1 insère,, HOTEL oai^i, parlant anglais, valet de chambre4 un ouvrier pour entretien. Références exigées. Ecrire VERLOT, Onest-EclalT, RENDES.

taire ou marié. Ne pas écrire, se présenter muni de bonnes références. Entrepôt BERTAUX, BAYECX.

IMPORTANTE MAISON de NOUVEAUTES de CABN. faisant actuellement travaux d'agrandissements, demande nombreux personnel. Ecrire et adresser références et prétentions de salaires. Agence Havas. CABN. n' Les demandes seront reçues Jusqu'au V) mars inclus pour classement définitif.

tabilité, présentée par ses j«arents. S'adr. le jeudi de 9 heures à Il heures, Maison Brulard, 10, rue Carnot, DINAS.

rC*-LCI CniC. Bien intridujt Bretagne est demandé par importante fabrique lapins lustrés.

Ecrire avec détails à COMTANT. rue Vivienne. t5, PARIS.

BON SALAIRES ss. qult. empl.. pers. 2 ° sexes, trav d'art, tac. Timb. p. rép. Et CAVOR. 36 bis. r. Ballu, PARIS. OFFRE SITUATION ?«£*£ contrat (sur régions non encore concédées; à bons vendeurs débrouillards, enthousiastes, capables développer vente Tiroir»Caisse de Sûret6 AMAX » brev. S.G.D.G. (Plus du 5u.000 en service. Références et attestations de i" ordre. Succès sans précédent actuel, à la FOIRE DE LÏON. Gr. 38 St. Conviendrait ptrtic. à cendeurs d'aspirateurs. balancés automatidues, appareils modernes, etc., pouvant justifier chiffre. Ecr. André RAY. Constr. Spécial.. 39, rue Tbomsssin. LYON, ou venir traiter sur place après rendei-vous axe. DEMANDES D'EMPLOIS 4 fr. la ligne

Chauffeur Mécanicien rentrant du serv ire militaire et connaissant toutes voitures et camions. réparation. demande place. Libre de suite. Bonnes références. S'adresser au bureau du Journal ̃ H933 jeune homme, i7 ans, sortant Ecole Sui périeure Commerce cherche place commerce ou Industrie. S'adresser Agence Havas. Rennes. Chauffeur céBb-, sér.. anc. perm., trés bonnes référ.. demande place. Léon. 10. rue Cllsson, Lorient. Une ANNONCE Clan. 1 OUEST-ECLAIR vous ter* Irouver

at l'EMPLOVE que vous dealrai

AUTOMOBILES

8 fr. la ligne

SUIS ACHETEUR

CABRIOLET et CONDUITE INTER. de 5 à Il CV. Palem compt. Ecrire toiis détatls, MARCEL, 9, rue dJKjy^en!_PAWS_(1001_ ne M A 1 1 1 T • OV., 3 plaças trèfle, état nr.HHUL.1 neut, à vendre. !l'adret;. VILLARD. 2'7, rue Cencerde. PINARD. RENAULT U CV, limousine 6 pi. t/2 taxe, parf, et. mar., conv. hôtel p' serv. gare, vovag. cmn. ou chauff. p' taxt B. occ. Fac. paiem. Ducaln, 143. r. des Sab!ons, Le Mana rosserie. A vendre cause double, emploi.

,A VENDRE mable en camionnette, revisé, bon état de marche. S'ad. Cochery, a St-Cast (C.dJi.) Pipi ARC » HP et Cim.,600 kgs FORO ensemble fr. Urgent. S'adresser Agence Havas. REN?«*ES, il. 49CT.

n »L-"«riti CITROEN B-5. une voiture UNio HP. essai volonté. S'adr. Aimé POISSON. PUmet iQotes-du-Xordi A EN LEVER de suite 7 CV AMILCAR »-"•->- »s-n contl lntér., sortie en. Juillet lion état général, bons pneu* confort. S'ad. Ag. Hava., RENNES. A VENDRE m,^r places 19iB> parfait état. excellente affaire. S'adr. Agence Havas, RBVNES. n'

CARPi kilos. parfait état. pnena état neuf. carros. neav». Capote pllaonte. forme auto-car, pow. sarv. p' voyag. ou march. Perrussel. Vire. 15 CV RENAULT

Luxe, juillet Weyman li'orixisa, kilomètres. état neuf. Affaire trtf séduisante. Ecrtre pour tous renseignem. à l'Agence Havas, Rennes. V. P.

CHEVAUX et VOITURES 8 fr. la ligne

f

DEMI-SANG vendre. Pressé. Prix avantageux. Marchands s'abstenir. S'adr.. Agence Havas. Rennes, ".903.

CAPITAUX

12 fr. la ligne

JE PRÊTE A 7 NET

commerçants ou industriels solvabléa sur marchandises ou matériel restant entre leurs matns. Duré maximum UN AIL Adresser renMlgnements et références à BERTHIER, 9 bis, rue Voltaire, LEVAIV I.O1S-PF.RRBT fs<>lnp).

ALIMENTATION

fr. la ligne

BOUGES. ROSÉS ET BLANCS DE L« Société des Fermes Françaises Livraisons demi-gros et détail

par barrique et'1/2 barrique

DépSt Caves de Bretagne

3. Rae Meuris. NANTES

ON ACEPTE DES AGOJITS PERDU ET TROUVE PfRDU une mallette jaune contMva.^ « BAS et OHAOSSETTES. Efrlre 4 Httit pulmint PLOERtfBL. RacompftiW


CONCOURS

des

5 Cherchez te proverbe ou la locution proverbiale se rapportant à ce dessin et vous pourrez gagner une petite fortune

'Voir le règlement du concours paru Jans ce journal le ao Février. on le demander à la Maison P. THIBAÙD & Cie Ruede Marignan, PARIS-VIII', qui l'enverra-contre o fr. 6o en timbres_poste.

1.100 PRIX aw valeur totale d« 225.000 francs ===s

chaque fois que vous avez k *v"«

dès que vous êtes pris d'éternuements, de picotements dans la gorge, d'oppression; si vous sentez venir le Rhume. une Pastille VALDA m dont les vapeurs balsamiques et antiseptiques fortifieront, cuirasseront, préserveront /otre GORGE, vos BRONCHES, vos PO0MON8- AYEZ TOUJOURS SOUS LA MAIN DES PASTILLES VALDA JB mais surtout n'employes que L'occasion passe,

la laisserez-vous fuir?

:i^gUgez Jamais de lira nos annonces. Il y a 7-s à parier qu'un jour ou l'autre, peut-être aujuunl nul même, l'une d'eues vous offrira un

avantage dont vous pourrez faire votre profit. Noe

petites amonces fourmillent d'occasions qu'il faut

saisir au bond, car tues ne se renouvellent pas. Notre publicité oontient une foule de renseignements précieux pour vous ou vos amis. car nos annonceurs ont toujours quelque chose d'intéressant

à vous proposer.

Il faut lire nos annonces. elles voue t4endront

au courant de la vie commerciale et vous offriront .»

souvent des occasions que vous avez lntérét à

connaître.

SAVON LA BRANCHE MARSEILLE Caisses 100 morcx de .500 gr. 120 fp. la caiss. Caisses 18 mon de 500 gr. 23 tr. la cais. franco gare destinat. contre rembt. BARTHE, Rue de la République, M.oRSEILLE.

^Ér^EPTIQÙrSï Combat toutes Affections nerveuses C'est dans les cas les plus graves qu'il trouve ses plus I éclatants succès. AVIS DIVERS

8 fr. la ligne

30 mètres à transformer en YACHT genre THONNIER ou COELETTE PAIMPOLAISE. On exige construction récente. Ecrire Agence Havas. 5-tO3, MARSEILLE.

LE 23 MARS 192S. à ll»Jieures, 11. sera procédé à la Mairie de Salnt-QuayPortrieux, à l'ADJUDICATION par soumissions cachetées, des DROITS DE PLA. CES de ladite commune. La mise à prix est de francs.

Pépinières fit Horticulture réputées, Charles CAILLÉ Aîné, 106, r. de Paris, à Nantes, fondées en Poiriers formés, superbes pommiers à cidre. Vignes table et vignobles. Asperges, framboisiers, eto. Calilogues franco. ACHETEZ VOS LAINES tricoter à fr. le- kilo. VADURET, à LILLE 'Nord) Emertitioni gBrantlM FOINS, LUZERNES, PAILLES BETTERAVES, TOPINAMBOURS

RUTABAGAS. Consommation. Emballage. Maison fondée en Tél. 13.

L. CIRET. au* Pont? (le Ce 'M -et-L.) LAPINS DE RACE PURE M6lsa Géant» blancs de Vendée adultes disponibles. Prix modéré. T. P. R. BEUCHEfilE. ELEVAGE DES HELIANTES Saint-Jacques-de-la-Lande (I.-ot-V). TOLES ONDULÉES

Galvanisées et nptres.

i. LE FOURNIS. fabricant

Uslne St-Sauveur, GUINGAMP. Tél. 1.54. A VENDRE Appareil Clno, prise de vues et project. passant film normal. Le Greveeae, 10. f Matburin-Le Gai. LoNent. AUX PORTEURS DE

VALEURS A LOTS

Des lots en quantités formidables ne sont Jamais réclamés et de ce fait sont perdus poúr leurs avants droit. Ne courrez pas ce risque, surveillez les tirages, Il n'en coûte que dix francs par an pour race-voir deux fois par mois les llstes complètes V. de Parts. C' Foncier. C' National, Panama. Congo, etc., et disposer de notre service de vérification de titres. Essai gratult nn mois sur demande aux Annale* das Tirage», M bis. r. Poissy, PARIS PU UT\ Hfltel Moderne, Cameret-s'-Mer. SOLDEURS. Faire offre LE COQ et HAQUI sont ta. etMte Le

RÉVÉLATION DUSECRETde! L'INFLUENCE PERSONNELLE Une méthode simple que ohaoM peut employer pour le développement de la volonté, de la mémoire et de l'autorité Personnelle. Distributlon gratuite d'un merveilleux livre. La merveilleuse puissance de l'influence et de l'autorité personnellcs peut être sûrement acquise par quiconque possède une intelligence moyenne et quels que soient ses dons naturels et le peu de' succès obtenu jusqu'alors », dit M. Elmer E. Knowles, auteur du nouveau Livre intitulé a La Clef du Développemen' des Forces intérieures ». Ce livre dévoile' des faits aussi nombreux qu'étonnants concernant les pratiques des Yogis Hindous et expose un système unique en son genre pour le développement du Magnétisme Personnel des puissances Hypnotiques et Télépathiques, de la Mémoire, de la Concentration, de la Force de volonté, et pour la correction d'habitudes indésirables, au moyen de la merveilleuse science de la Suggestion.

Mlle Simone Maure

Mlle Simone Maître (reine de Paris en 1926) déclare que par le développement du Magnétisme personnel, les personnes les moins douées peuvent devenir celles qui inspirent le plus de sympathie et qu'elle-méme,' a acquis le charme personnel grâce au système décrit dans le livre en question. Ce livre, répandu gratuitement sur une vaste échelle, est riche en reproductions photographiques, démontrant comment ces forces invisibles sont utilisées dans le monde entier et comment des milliers de personnes ont développé certains pouvoirs,- de la possession desquels Ils étaient loin de se douter.

Dix mille exemplaires de cet Intéressant livre ont été imprimés pour distribution gratuite et un exemplaire sera envové franco à quiconque er fera la demande. Si vous voulez vous pouvez joindre 3 francs français en timbresposte de votre pays pour payer les frais d'affranchissement, etc. Toutes les demandes doivent être adressées à « Psychology Foundation S. A.. Distribution gratuite (Dépt K° 18, rue de Londres, Bruxelles (Belgique). Mentionnez simplement que vous désirez un exemplaire de « La Clef du Développement de l'influence Personnelle ». Assurezvous que votre lettre est suffisamment affranchie. L'affranchissement pour la Belgique est de Fr.

Pour oaerfr go

CONSTIPATION et toutes les affections dont elle est la source ficreté du sang, maladie» de peau (dartres, acnés, eczémas, boutons. furoncles, pelade, etc.) arlérloéeléroscorthrlle», varices, hémor.roide. maladie dololc; pour faire disparaître migraine*, mauvaise dL gestion, etc.. Rejetez les purgatifs ordjnaires, surtout ceux qui délalent et entrainent les matières en Irritant les intestins, votre mal ne tarderait pas^à renaître plus fort et plus tenace.

Les Pliâtes SOUVERAINES de* Moines de' l'Abbaye da Bondon purgatives et HépnrtUrn

composées avec le suc de plantes fraîches, condensé et stabillsé par le procédé Poitevin, ont un pouvoir laxatif immédiat et d'une extrême douceur. Elles suérlssentdénnHIvementlaconstlpailon et ses suites, m'orne les cas anciens et rebelles, parce que, seules, elles touillent et rendent la vitalité aux muscles des Intestins et à ceux de la paroi abdominale. En refit* «.sottaptafwili» OU aui Moratoires PMTË>li,48, Bid farte» PARI» LES OXYURES

sont des vers très petits (5 à 10 millimètres de long) habitant surtout la région anale où Ils occasionnent des démangeaisons intolérables qui fatitiguent et finissent par anémier les enfants. Le traitement local est insufilsant, les oxyures remontant l'intestin ce n'est que par un traitement interne çue l'on pourra les atteindre. Le Vermifuge YONO a fait ses preuves à ce sujet, essayez-le, vous serez surpris du résultat.

marque Baltic. contenance 5 litres. S'adr. Agence Havas. RBNiN'ES, n' 4972.

8 ko'. Ecr. an Journal^ Lmprimerte de rotiBST gCLtlR,

38. Rue du Pré-Botte. Ranpw.

Le Gérant FJL RALLIER.

|Ofr.25| JOURNAL HEBDOMADAIRE DES FILLETTES

commence, dans son numéro mis en vente le mercredi 7 WM ub roman-film inédit amusant et passionnant

Linette et son vieux Bredalne (suite de Llnette et Son Poilu, qui avait eu tant de succès).

Texte par H. -3. BABIN, dessins par MAITREJEAIH. SPÉCIMEN FRAX'CO CONTRE 0 FR. 5O

ABONNEMENTS D'UN AN 12 francs.; Belgique 22 fr. 50 (francs belges); Suisse: 6 francs suisses; Union postale: 25 fr. 50; autres pays: 30 francs. BUREAUX 1. RUE GAZAN. PAR1S-X1V3.

MACHINES AGRIlS-AUTOMOBILES-C0LOniES

AVANT LA HAUSSE PROFITEZ DE NOTRE STOCK IMPORTANT QUE

Toute la famille est bien portante grâce à la

TONITRINE

t'état de la famille est toujours

la TONTTRINE cet ai»

M tonique reconstituant très efficace

M en même temps qu'un fébrifuge actif

Elle aide, les adolescents à devenir

des hommes, son emploi est recom-

mandé aux leunes filles au moment de

la formation: pour les grandes personnes

c'est sous ta forme d'un apéritif excellent la

une assurance eontre les maladies

La XONITRINE présent ci

combat ta fatigue et l'usure dues au surmenage son goût délicieux en fait une gourmandise Le flacon de Tonitrine dont oous mélangerez te contenu litre de bon cin est en oente chej cotre pharmacien, prix 6 fr. (impôts compris), défaut écrire

M u&omtQire SIIHT-ms S1IIT-BBIEDC (C.-dD-l.)

iiim -̃̃h-jBT-J'UlI^SBI

PAPIERS PEINTS VENTE DIRECTE PAR LA MANUFACTURE E. SAINTJEAN

68, rue de Château-Landon, PARIS

Album nouveautés franco sur demande

LES BISCUITS

sont bons

PRETS D'ARGENT, Vous qui désires avec ou sans garantie hypothécyrd

GOUTTE

Buvezdu BON VIN en vous adressant an pays vignoble.

Demancfer. tarlf à la vieille maison

j. VINONES, à NARBONNE. Sérieuse «aranUB»