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Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1927-02-27

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 27 février 1927

Description : 1927/02/27 (Numéro 9258).

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k657010p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/12/2008

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M. Poincaré

ET LE

scrutin d'arrondissement

Ce n'est pas encore tout de suite. mais seulement après la discussion des lois militaires, que la Chambre sera saisie des propositions et projets de loi tendant au rétablissement du scrutin d'arrondissement. Dès lors, les partisans de ce système absurde, surtout favorable aux nouveaux riches, et qui livrerait le suffrage universel aux pires entreprises de corruption, s'inquiètent et s'agitent.

Les radicaux du Sénat, contrairement aux traditions parlementaires qui, jusqu'ici, consacraient pour chacune des deux Chambres le libre choix de leur mode d'élection, ont imaginé, s'il faut en croire le Temps, d intervenir auprès du Gouvernement et de lui demander, sous menace d'interpellation, d'imposer aux députés le vote d'urgence du retour à la « petite mare On ne sait pas exactement de quel poids cette démarche pèsera sur tes résolutions encore hesitantes de M. Poincaré. L'on ne sait même pas ce que, dans son for intérieur, M. Poincaré pense du scrutin d'arrondissement.

Le Gouvernement, nous assuret-on, ne posera pas la question de confiance. Soit 1 Mais M. Sarraut, ministre de l'Intérieur, la poserat-il ?. S'il la posait et si la Cham- bre passait outre, la démission de M. Sarraut s'ensuivrait nécessairement, entrainant avec elle un remaniement ministériel et peut-être une dislocation complète. Si nous envisageons cette éventualité, c'est qu'on en a parlé dans les couloirs et qu'elle n'est nullement invraisemblable. M. Poincaré laissera-t-il M^Sarraut, interprète des exigences du Midi, user de ce procédé de chantage et mettre la majorité en demeure de choisir entre le scrutin d'arrondissement et le risque d'une crise ministérielle ?. On voudrait avoir la certitude que le nrésident du Conseil est incapable de tolérer une telle manœuvre. Le Gouvernement, en effet, Ti'a pu vivre et ne pourra durer qu'en écartant de son chemin toutes les causes de dissociation de sa majorité. L'une de ces causes, et non pas la moins active, c'est la question du mode de scrutin. Ceux que l'on désigne en bloc sous le nom de « républicains nationaux » savent très bien qu'en s'acharnant au rétablissement du scrutin d'arrondissement, les cartellistes impénitents de la Chambre et leurs alliés du Sénat n'ont d'autre objectif que de les empêcher d'être réélus. En conséquence, les « républicains nationaux », si 11i. Poincaré cède à la pression de leurs adversaires, ne pourront faire autrement que de lui fausser compagnie. Faudra-t-il les en blâmer?. Ne faudra-t-il pas, avec beaucoup plus de raison, blâmer M. Poincaré lui-même de les avoir acculés à cette décision par une maladresse inexcusable et, n'hésitons pas à le dire, par un « lâchage » et une sorte de trahisan dont il serait la première victime ?

M. Poincaré est une grande in- telligence. M. Poincaré est un grand travailleur. M. Poincaré a assez de lucidité d'esprit, il est assez informé et clairvoyant pour concevoir un plap politique de restauration financière et pour en régler techniquement la mise en train. Mais estil, d'autre part, assez dépouillé de certains parti-pris, a-t-il assez de largeur d'esprit, un caractère à la fois assez généreux et assez ferme pour achever courageusement ce qu'il a commencé et pour pousser jusqu'au bout, contre les passions politiciennes et contre ses propres préjugés d' « homme de gauche », une entreprise que toute une partie de cette même « gauche n dont il est féru menace, à chaque instant, de compromettre ?

Ce sont des points d'interrogation qu'il est difficile de ne pas se poser, quand on se souvient de l'sffaire de la Ruhr et de sa conclusion victorieuse, aussitôt gâchée par un manque de décision auquel on était bien loin de s'attendre de la part d'un homme dont la réputation d'énergie lorraine était jusque-là presque indiscutée. Quelques mois plus tard, une déception nouvelle entamait plus profondément encore la confiance des esprits réfléchis qui avaient accordé a M. Poincaré un si large crédit. Pour assurer à sa politique la continuité, M. Poincare devait, de toute évidence, s'employer, autant qu'il était en lui, à maintenir au pouvoir la majorité qui l'avait si fidèlement soutenu. On sait comment, se désintéressant des contre-coups de la politique intérieure et de 1 ardente

propagande du cartel des gauches, il conduisit cette majorité au désastre du Onze Mai.

Par une étonnante fortune et après deux ans d'une expérience ruineuse pour le pays, M. Poincaré a été rappelé. Il a pris la tête d'un ministère d'union nationale et, pour la seconde fois, son intelligence, sa science des affaires, son extraordinaire puissance de travail ont rétabli la confiance et réveillé, dans le pays, les espérances d'un prochain relèvement. Mais ces espérances, à quoi tiennent-elles ? A la fidélité de la majorité parlementaire sans laquelle M. Poincaré, malgré toutes les qualités qu'on lui reconnaît, ne pourrait rien. Que cette majorité se disloque, et c'est la chute. La chute de M. Poincaré d'abord et, dans les 48 heures, la chute du franc. Il est impossible que M. Poincaré ne voie pas cela. S'il s'en rend compte, va-t-il recommencer l'erreur de 1924 ?. Vat-il livrer de nouveau les hommes dont le concours désintéressé lui permet d'accomplir sa tâche, aux intrigues hostiles du cartel ? S'il se prête aux manœuvres qui ont pour objet de remettre en vigueur le scrutin d'arrondissement et si, au contraire, il n'use pas de toute son autorité pour les dépister et les faire échouer, autant dire qu'il a la vocation du suicide.

Les bons comptes font les bons amis. Entre M. Poincaré et les « républicains nationaux » qui forment la partie la plus solide et la plus disciplinée de sa majorité, il y a un compte à régler dont les considérations ci-dessus constituent le principal élément. Tour le président du Conseil lui-même, pour l'œuvre de salut à laquelle il se consacre, mais surtout pour le pays menacé d'une nouvelle tourmente, il importe que l'on sache si, oui ou non, la leçon de 1924 a été comprise, ou si M. Poincaré, entrevoyant un nouvel échec électoral de sa politique, s'en console déjà en songeant que, peut-être, en 1930 ou 1932, on ira le chercher une troisième fois. quand nous serons en pleine banqueroute.

Emmanuel DESGREES DU LOU.

=:= SOURIRES

Dans un banquet de sourds, le savant Edison a joué les prophètes de façon très heureuse.

Dans cent ans, a-t-il dit, tous les Américains seront sourds. Ils subiront les tristes conséquences du bruit infernal qui saa la caractéristique de la cité future.

Après quoi, le célèbre inventeur qui est, assure-t-on, plus que dur d'oreille, a vanté L. bienfaits de la surdité.

N'oublions pas qu'Edison est un des principaux responsables du boucan diaholique dont il se plaint. Si d phonographes hurlent dans les appartements, les cafés et les salles de spectacle, c'est à lui que doit aller notre reconnaissance. Ajoutez le chambard de la T. S. F. et de ses haut-parleur, les sifflements des locomotives, les colères des claksons et des cornes d'autos, les cris aigus des sirènes dans les usines tenez compte des glapissements des belles-mires, des effets de voix des chanteurs des rues et des appels puissants de nos orateurs déchainé3 mêlez à tout cela les ronflements des moteurs, les gémissements des machines auxquels se mêlent parfois les chants de {'Internationale et de la Marseillaise et vous aurez une vague, très vague idée du potin monstrueux qui s'élève des cités modernes. Et je glisse intentionnellement sur les vociférations du canon qui couvrent, à l'occasion, tout le reste.

Que M. Edison est donc aimable d'avoir pitié de nos tympan. et de s'inquiéter, à l'idée des supplices que le progrès infligera à nos successeurs 1. Il est évident qu'à moins de se boucher les oreilles, il sera impossible de vivre à la ville en l'an 2027.

Mais. Dieu merci, nos petits-enfants, voués à la surdité, récolteront quelques bénéfices.

Ils ne s'écouteront pas parler quelle chance 1 et les bavards professaionnels plieront bagage faute d'auditeurs. Leurs leaders, leun tribuns, leurs avocats se résigneront à travailler enfin en silence. Et, à la Chambre oui, à la Chambre, 600 cornets acoustiques relieront les sièges à la tribune.

Bienheureux les sourds 1. Ils n'entendent pas les âneries, ils ne se nourrissent pas de « son. Leur intelligence est intacte.

Le Petit armoire.

LA MODE A CANNES

(Wide World Photo).

Quelques toilettes printanières sur la Rlviera

IIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Le Conseil 'des Ministres apporte des modifications aux promotions

dans la Légion d'honneur PARIS, 26 février. Au cours du Conseil des ministres tenu ce matin, sous la présidence de M. Doumergue, M. Briand a fait l'exposé des affaires de Chine. M. Barthou a fait signer un projet tendant à modifier les conditions des promotions dans la Légion d'honneur.

Les délais seront dorénavant de huit ans pour passer de chevalier à officier, cinq ans d'officier à commandeur, 3 ans de commandeur à grand officier, ou de grand officier à grand croix. En ce qui concerne les services exceptionnels, qurl que soit le grade, l'avis favorable du Conseil de l'Ordre devra réunir les voix des deux tiers des membres présents et les décrets pourtant les promotions seront signés en Conseil des Ministres.

Le projet sera déposé sur le bureau du Sénat.

Un Conseil des ministres aura lieu mardi.

Paris, 26 février. Au cours de la séance du Conseil de ce matin, M. Raymond Poincaré a rendu compte aux membres du gouvernement des déclarations qu'il avaient faites hier devant la Commission d£s finances de la Chambre.

APRÈS LE NAUFRAGE DU SARREBOURG )) Le feu de Corn-Carhaix

était éteint, en effet,

mais les navigateurs en furent informés

Nous avons reproduit hier la déclaration du capitaine du Sarrebourg, recueillie par notre envoyé spécial et mentionnant que les navigateurs n'avaient pas été informés de l'extinction du feu de Corn-Carhaix. Or, les services de la Marine en étaient prévenus le 14 janvier et l'Ouest-Eclair l'annonçait le lendemain dans les « Avis aux navigateurs.

Que le capitaine du Sarrebourg n'en fût pas avisé, cela est fort possible, mais la responsabilité des bureaux de la marine ne saurait être mise en cause.

Les Cantonais aux portes de Changhai

ILS AURAIENT PRIS

SUNKIANG, DERNIER POINT STRATEGIQUE

LONDRES, 26 février. Une dépêche de Changhaï annonce que Sun-Kiang aurait été prise par les Cantonais. Sun-Kiang est la dernière forteresse avant Changhaï. Les troupes internationales ont occupé hier les limites de leur zone, prêtes à toute éventualité. Ajoutons que cette nouvelle n'a reçu aucune confirmation.

Les troupes arrivent à Changhaï Changhaï, 26 février. Des trains transportant des troupes arrivent sans arrêt. Deux trains de munitions sont attendus. Le général Sun Chuan Fang et son état-major doivent arriver ce soir. La situation est cailme dans la concession.

Hait brigades d'Ou Pei Fou font défection

Pékin, 26 février. Les trompes d'Ou Pei Fou sont entrées en contact dans le Honan avec celles de Moukden. 3 brigades d'Ou Pei Fou se sont rendues, 5 autres ont été désarmées.

Hankeou, 26 février. Les nationalistes se sont emparés de plusieurs bateaux marchands appartenant à divers pays étrangers. Ces bateaux ont été immédiatement utilisés par les nationalistes à des transports sur le Yang Tsé.

Les mines de la Sarre, pour amener une baisse des prix des charbons, décident une diminution des salaires ouvriers SaKrebruck, 56 février. Dans le but de pouvoir réaliser à la date du V mars, une sérieuse baisse du prix de vente de leurs charbons, les mines domaniales de la Sarre ont fait connaître à leurs ouvriers l'intention de diminuer les salaires.

Des négociations avec les syndicats ont eu lieu les 24 et 25 février et n'ont pas permis d'aboutir à un accord. Dans ces conditions, les Mines afficheront. à la date du 28 février, le nouveau tarif des salaires, qui comporte une diminution de 10 environ sur les tarifs actuels et qui prendra effet le 16 mars.

De son côté. comme on le sait, le syndicat patronal de l'industrie sarroise poursuit avec les représentants ouvriers, di's négociations ayant également pour but une baisse des salaires dans les industries du territoire de la Sarre.

TROIS AGPINS SURPRIS

PAR UNE AVALANCHE

Chamberv, 26 février. Ce matin, un détachement du 13° chasseur alpins, hivernant à 1'urraz, descendait au ravitaillement dans le bourg, lorsqu'il fut surpris par une avalanche. Trois soldats ont disparu les travaux de sauvetage sont poursuivis activement.

Prochainement

L'organisation des cultivateurs cultivants son succès et les causes de son développement rapide par J. Grindorge.

A Rouen, s'est déroulée, ces jours derniers, une cérémonie qui marquera dans Les anales de la grande cité.

A l'église Saint-Hilaire, en méme temps que L'on tétait les cent ans de Aime Vve Petit, née à La Feuillée (Seine-Inférieure), le 22 février 1827, on cé.léhrait les noces d'or de sa fille et de son gendre.

Ses trois filles, ses sept pelits-eniants et ses vingt-six arrière pelits-en[ant* entouraient la vénérable aïeule. tt W. époux Jubilaire*.

La Coupe Florio, grande course internationale automobile, qui sera courue à Saint-Brieuc, le 17 Juillet prochain, est dotée des prix suivants

Au vainqueur général LA coups FLORIO, objet d'art d'une valeur de 100.000 FRANCS, et 50.000 FRANCS en espèces.

Au vainqueur de la 2« catégorie 10.000 francs en espèces.

Au vainqueur de la 3* catégorie 10.000 FRANCS en espèces.

Au vainqueur de la 4* catégorie 10.000 FRANCS en espèces.

Au vainqueur de la 5. catégorie 10.000 francs en espèces.

Parmi les donateurs de prix de 10.000 FRANCS figurent actuellement La Ville de Saint-Brieuc.

La Plage de 8ablM-d'Or-le«-Pina. Le* Ctdnot de Dinard.

Le chevalier Florio, nous l'avons dit, dote la course d'un prix de 20.000 fhancs. Les conditions d'attribution de ce prix restent à fixer. Signalons aussi que les sommes dont l'indication suit ont été mises à la disposition du comité d'organisation afin de contribuer au succès de l'entreprise »

par l'Hôtel Royal, de Dinard 2.000 Ir.

par la ville de Dinan 1.000 fr, par le Véloce-Club Briochin 1.000 fr. par la Fédération des Syndi-

cats d'initiative de Bretagne 1.000 fr, Ces derniers concours, non solli- cités, n'en ont que plue de valeur à nos yeux.

Un journal ] « Il Popolo di Roma »',•

organise une excursion

en Bretagne J

Nous annoncions récemment qu< des excursions seraient organisées au départ de Southampton et Jersey, le 17 Juillet afin de permettre à de nombreux amateurs anglais d'assister à la course. Voici que nous apprenons l'initiative d'un grande journal italien Il Popolo di Roma qui, en col. laboration avec la grande agence in.ternationale de voyages. s Ex ptin.ter met au point, en ce moment, pour ceux de ses lecteurs que la chose intéressera Un voyage en Bretagne à l'occasion de la Coupe Florio •. Nous remercions vivement notre confrère romain d'avoir eu la pensée de venir nous faire visite la 17 Juillet prochain. Il peut Atre as. suré que nos compatriotes réserveront à ses lecteurs un accueil em.pressé.

LA RENAISSANCE DE LA MARINE FRANÇAISE M. Leygues, ministre ae la Marine,

expose ses projets et montre que nous pouvons avoir, pleine confiance en l'avenir ^Jix-

Paris, 26 février. La sous-commission de la Marine et la commission plénière de la Marine réunie sous la présidenoe de M. Le Bail, a entendu M. Georges Leygues. L'audition, commencée à 2 h. 30 devant la soue-commission et continuée après 4 h. 30 devant la commission plénière, s'est terminée à 6 heures et demie.

Le ministre, dans un large exposé appuyé sur des faits, des textes et des chiffres précis, a fait connattre La situation générale de la Marine au commencement de 1927 il a ensuite montré ce qu'elle serait à la fin de l'exécution du statut naval, Il a passe en revue toutes les bran. ches de son administration.

L'aéronautique

Il s'est étendu longuement sur l'aé ronautique. Il a expliqué la réforme de ce service qu'il a réalisée en juil. let 1926 pour faire disparaître les dé. faute que l'expérience avait révélés dans la liaison du sous-secrétariat d'Etat avec les département» militai. res, défauts inévitables dans la première organisation des services relatifs il une arme nouvelle.

La réforme réalisée de la Marine a eu pour but et pour résultat de faire disparaître l'écran qui était interposé entre les services utilisateurs et les fournisseurs, d'obtenir entre eux, et avec le service DKhniqJu chargé des command'es, une collabo. ration plus étroite, plus sounle et un meilleur rendement.

La réforme porte sur la prévision des commandes, le choix des prototypes, les essais des prototypes. la rédaction et la passation des marchés de matériel aéronautique de toute nature

Le service utilisateur aura désormais dans la commission de réception, la présidence et la majorité. Le ministre a fait connaître les commandes importantes d'hydravions et de moteurs qu'il a faites en 1926 et en janvier 1927.

Les diveirs moteurs que la Marine emploiera sont de premier ordre. Ils ont fait leurs preuves, ainsi que les coques qui ont été adoptées.

En ce qui concerne le personnel, des mesures importantes ont été prises pour assurer un large recrutement primée de vol, création du certificat de pilote supérieur, emploi de civils dans les services non navi. gants.

lil a souligné l'étroite collaboration qui existait entre la Marine, la Ouerra et l'Aviation, commercial

Le ministre a ensuitr tracé le tableau des constructions neuves.

Ces constructions, poursuivies aveg méthode et solon des directives constuantes par larges céries homogènes, nous ont donné des unités légères croiteurs, contre-torpilleurs, torpilleurs et sous-marins, qui soutiennent avantageusement la comparaison avec les types similaires les meilleurs det marines étrangères.

I1 a expliqué les retards qu'on i eu à regretter. Ces retards proviennent dn fait que les constructions ont été interrompues pendant près de dix ans, que le? divers personneli dans les arsenaux et chantiers privés, depuis les ingénieurs du Génie maritime jusqu'aux ouvriers, en pas. sant par les agents techniques, ont été désorganisa ou décimés par lai gucrre et qu'aïs ne sont pas encore reconstitués, que la crise des changes et la crise monétaire, et les votes tardifs des budgets ont créé d'énormes difficultés et que la nécessité d'adopter au lendemain de la guerre des types de hatimente tout à fait nouveaux, passant d'un seul coup, par exempte pour les croiseurs, de M.OOO cihevaux a 110.000 chevaux et de 2;S àr 't nœuds (du Renan au Duquesne), posait des problèmes d'une extrême difficulté qui ont nécessité de très longues études.

Vers l'avenir

Ces retards s'atténuent très sensiblement pour les plus grosses uiwtês en constructions ils ne dépasseront pas quatre ou cinq awiti.

il a rappelé l'utilité et les remarquable* résultats des croisières effectuées en Baltique et dans l'Atlantique Sud. Cette nouvelle marine est indispensable à la France pour défendre son empire d'outre^roer, ses lignes de oouranunicatiions et ses ri4 vagee métropolitains et coloniaux. M. Leygues a rappeté que la Fran· ce, par la longueur des routes maritimes. occupe le deuxième rang dang le monde, avec 58.000 kilomètres quand. L'Angleterre en a 120.000, lea Etats-Unis 30-ON, le Japon 10.000 et V'ItaUe, 8.000. Nos colonies occupent le deuxième rang pour l'importance et la richesse dans le monde.

M. Leygues a ensuite fait connaltre le nombre des unités nouvelles qu'il va mettre en chantier le l«r ma-s et le projet de loi qu'il va déposer avant le 15 mars, comportant la cou» truction d'un(! tranohe nouvelle.

l.e Ministre s'est déclaré apposé

A i'élév«#on da la fcffiiif» (J'»W du

amiraux membres du Conseil stiperieur de la marine. Le motif invo<prt était que le» amiraux devraient rester «u moins 3 4ns au Conseil su penewr. Or, il, y passent tons 3 ans ou plus et la plupart y rastani 4, j, 6. et 7 ans, oe qui est plus que sumoD'autre-pa.rt, tous tes projeta destinés à rajeunu, réorganiser et adap ter aux exigences nouvelles poliuques et navales sont votés ou dépo'ws. M. Langues ayant déposé luimême la loi du recrutement, la lo: des cadres et ayant réalisé le statut de l'a.eroaautiique, la réforme des écoles l'augmentation des soldes Méthodiquement, tûrement

le Mmisre a ajouté Nous rf sommes pas au bout de notre effort. Le bu; que nous poursuivons n'est Pas encore atteint, mais Uouî mous quemenl et sûrement et uous a vous franchi le* étapes les pius pénibles et les plus difficiles.

Quant à l'esprit .l*s officiers tt des équipage il 6'e.st trai-sfonné profondément et heureusement Far tout le goût de la mer. la foi en l'avenir de da marine et l'entrain à servir se sont réveillés. Dans les arsenaux on consiste, le même mouvement..

Le personnel ouvriers

M. Leygues a également Iraité la question des Syndicats ouvrier. Tous les syndicats, pourvu qu'ils Mtent régulièrement oonsiitu. et aient des statuts conformes à la lui sont reconnus. Le statut ouvrier établi -en 191> à la marine a assuré aux' ouvriers les moyens de '.̃ollaborer directement, par l'entremise des délégués qu'ils désignent, à l'étude de toutes les questions touchant à lpurs intérêts professionnels. Ces délégués, quand ils sont régulièrement désignés, sont reçus, quel que suit le syndicat auquel Ils appartiennent. Cet «pwé a produit sur .lia Commission l'impression la plus favorable.

LES RAIDS AÉRIENS Rabat, 26 févtier. Les hydravion espagnols qui avaient quitté Casablanca ce matin sont arrivés à Mclilla à 11 h. 55.

Le tout des Arnéetiquea

L'escadrille américaine d'avionssniphi&ies. comprenant douze aviateurs ayant {Comme chef le commandant aviateurs Herbert A. Largue, vient d'accomplir la moitié de sa grande randonntie autonr des AmEriques du nord et du sud, en arrivant Balua-Blanca (République Argentine) à MO kilomètrcb environ de Hueno»- Aires.

Les aviateurs venant de WaMivia port cuilten sur le Pacifique, ont ™>*ni la Cordillère des Andes à 3AW00 mètres d'altitude et fait escale à Neuquen avant daterrir à Bahia.BJanca,

Ils sont arrivés ce matin à Mar-délPitla. Les aviateurs partiront demain pour Buenos-Aires, à 9 heurtes du matin.

Bueno$-Aires-New-York

BUESoB-AiRr*. 36 fivricr. Deux aviateurs argentins, Georges Fariott« et Nefior Peyrano vout tenter prochainement un vol Bi*enos-Airos-Ni>wYork, sur un Bréguet de 300 CV. Les aviateurs traverseront les Andes par la Bolivie, suivront la côte du Pacifique l'Amérique centrale, Washington et New-York, suivant au retour le même trajet, sauf gue la faverxBc des Andes se tera à Mendoza.

Un employé indélicat se constitue prisonnier Doum, 26 février. Hier soir, s'est piéeenté au commissariat de police de Douai le nommé Admond Heraly âgé de 32 ans, employé de banque a Bruxelles, parti de cette ville après avoir effectué un encaissement de 211.000 francs à la Banque de Bruxvlkes pour le compte de sa banquet. En se constituant prisonnier, il a déclaré être passé par Anvers, puis par Lille. Il ne possédait en poche eue 55 fraucs, mais il était habillé de neuf. Il a avoué avoir pris seulement 10.000 francs.

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LE CHOMAGE

DANS L'INDUSTRIE DU BOIS Paris, 26 février. M. Cirod, déforestier, s'est rendu auprès de M. Pofncaré pour lui exposer la situalion critique de l'mdustrie des bois dans 1ps Tétions boisées de J'Est et du SudKst ou le cliômape commence foiro sentir ses effets.

la réponse à la question posép par MM. Glrod et Bonvet sera donnée la semaine prochaine.

Ee?iedeji Presse Après la condamnation

de l' « Action Française » .Pari6, ?6 té\Ti<:r. La Croix an- tionce, d'après une dépêche de Rome, que le cardinal Dubois a qultté Rome le 26 au soir, etnportant les plus réconfortantes impressions de son eéJour et particulièrement des deux au- "Uiencts du Souverain Pontife. Dans 6on audience de congé, com- me dans la première, il a pu consta- ter l'imperturbable égaillé d'âme qui paisiblement, surnaturellemenl, se rendant parfaitement compte de la sinuationprésente est toujours <-n éveil pour tcmoijrner de la fuçon la plus efficace eon attachement il. notr' pays. La Croix ajoute que le Pape a reçu une adresse collective signée de totus ils évêque, français.

LA REFORME ELECTORALE Les socialistes se rallieraient au scmtii i arrondissement Pam8, 26 février. Les délégués des Fédérations socialistes (S. F. I. O.) ont été convoquée pour demain en Conseil national, qui se tiendra boulevard Blanqui.

La question de la réforme électorâle y 'Sera discutée. C'est d'après oe débat que le parti déterminera -l'attitude de ses représentants. Le dernier Congrès national de Grenoble 'se prononça, à la presque unanimité 2.143 voix contre 511 pour la représentation propprtionnelle, condamna le scrtitln actuel et décida que si la R. P. ne pouvait être admise, les députés socialistes devraient voler pour le scrutin d'arrondissement.

Des pointées faits jusqu'ici, il semble acquis que la majorité des délégués se portera, en effet, sur le scrutin d'arrondissement.

D'autre part, M. Albert Sarraut, ministre de l'Intérieur, a indiqué que le projet de réforme électorale serait examiné par les ministres dans le courant de la séance du Conseil de Cabinet prévue pour jeudi prochain. Si le scrutin d'arrondissement est rétabli..

Paris, 26 février. Si les anciennes circonscriptions de 1914, c'est-àdire les arrondissements étaient rétablis, un souci inexorable et assez immédiat viendrait s'ajouter dans l'esprit des déput6s à leurs prépecupauons parlementaires habituelles le choix d'un arrondissement les deux législatures de 1B10 et de 1924, issues du mode de scrutin actuel, ont en effet bouleversé la géographie électorale des départements.

Sans nier que le cadre de l'arrondissement ait souvent été observé pour l'établissement des listes, il faut reconnaître qu'il reste à la Chambre .un h très faible proportion de dtputés doit le mandat législatif a survécu en 1919 au nouveau mode de scrutin. A Paris, par exemple, dix députés sur quarante retrouveraient leur arrondissement et dans la banlieue trois seulement sur quatorze. Il en est de méme dans la plupart des départements.

Nous avons eu.la curiosité de faire des statistiques. Déjà nous trouvons sur les 823 circonscriptions comprises de l'Ain à l'Indre-et-Loire 41 doputés seulement ayant leur arrondissement de 19H. On le voit. c'est pru. La question a son intérêt.

AVIS AUX PROPRIÉTAIRES ET LOCATAIRES

On rappelle, qu>n vertu de l'BTtil'administration de l'Enregistrena«nt n'envoie plus d'avettiasements pour le paiement des dmits dus cur les baux pour lesquels l'impôt est versé par périodes. Les ̃parties doivent, de leur propre initiative et sans attendre aucun avertissement, acquitter les droits au bureau de l'Enregistivinent, dans les trois premiers tuoib de chaquo période, à peine d'un droit en sus égal au droit simple et soumis aux décimes.

Par conséquent, les droits d'enregistrement des baux dont une nouvelle, période a commencé le 25 décembre 1925, devront être acquittés avant le 25 mars 1927.

DE NICE A LA SANTÉ Paris, SI) février. Au mois de novembre den-ier, comparaissaient devant la Cour, d'aRsites de la Seine 13 individus accusés d'avoir falsifié et négocié pour millions de Bons de la Défense nationale. Un des inculpés, dont la bonne foi avait semblé étabhe au coure de l'enquête avait échappé aux poursuites, Henri d'isles, dit marquis de Beaucliène, qui. pour sa part, avait négocié pour 120.000 francs de ces faux bons. A la suite d'une enquéte récente, il a été établi que quelques jours avant les dbats en Cour d'assises, Il avait vendu pour 50.000 francs de ces faux titres. Ce matin, sur mandat de M. Décante, il a été arrêté à la gare de Lyon au moment où il descendait du train de rice et écroué à la prison ee la Santé.

LA SITUATION ;,J

LES NOUVEAUX TARIFS DES DOUANES

Nous avons eu, il y a bien des mois, à déplorer les lenteurs de la Commission des Douanes, d'ailleurs mal serv ie par les diverses administrations qui devaient la documenter en vne de la révision des tarifs. M: HaVdos, qui présidait la Commission de la Chambre, avant d'être élu eénateur, s'«st souvent plaint des divergences entre le Commerce et l'AgricuLture. Il ne peut pourtant pas s'agir, après le grand ébranlement de la guerre, de supprimer la protection dont doivent jouir encore les produits français. Mais on peut s'aoheminer vers le système des traités de commerce et le régime de la réciprocité.

L»ï retards apportés à la révision des tarifs nous ont été préjudiciables quand nous avons discuté les accords commerciaux franco-allemands. 11 n'est que temps que tout le monde soit fixé. Mi Bokanowski a communiqué aux Commissione de la Chambre et du Sénat le texte du projet de loi aur la révision des tarifs des doua.nes. Ce projet réalité la refonte du régime instauré en 1832, remis au point, vaille que vaille, en 1919. Il maintient le système du double tarif, général et minimum, mais il l'entoure des garanties de stabilité que réclame l'économie nationale et qui sont nécessaires pour pouvoir contracter avec l'étranger.

Le projet conserve ce qu'on appelle l'incidence des tarifs, c'est-à-dire la proportion existant à l'origine entre le taux des droits et la valeur des produits. On a adopté, comme mesure du régime des prix, l'indice général des prix de gros comme les rectifications ne pourraient intervenir trop souvent sans bouleverser les transactions, le rétablissement de l'incidence des droits n'est envisagé que par périodes trimestrielles, quand la hausse ou la baissc des prix aura atteint 20

Pour Us accoids commerciaux, le projet cherche à assnrrr aux états contractants, trois garanties l'égaLté avec leurs concurrents etrangers., un nS'iiiif" stable exempt d'arbi.traire 1 1 une tarification modérée qui n'opposera pas de barrière trop haute au développement des couvrants commer. riaux permanents. Le projet prévoit enfin que les droits seront perçus au poids, au nombre ou la mesure. Seules, quelques catégories, les produits chimiques, par exemple, seront soumises à des droits ad valorem. Il est souhaitable que le projet puisse venir -en. discussion avant la fin de la session, mais nous n'y pouvons pas compter.

P.O. DotBEBI.

GREFFEZ vo> >rlirM *t vignes, gué- issu leurs plaies avec le

MASTIC LHOMNE-LEFORT onottMui ou liquide. Détruisez les in5ecles av*T la GLU LHOMME-LEFORT. Usine a. rue des Alouettu, PARIS (19*). Les déclarations de revenus Plusieurs de nos lecteurs nous ont demandé de préciser s'ils sont dans l'obligation ne dtclarer leurs revenus, même dans Il' cas mk le montant de ceux-ci en ]9?6 n'atteint pas le minimum Imposable: 7.OW majore, s'il y a lieu, de 3.000 francs par enfant, ou 2.000 francs par ascendant à charge.

Un contribuable qui te trouve dans cette situation n'est pas obligé de faire de déclaration au contrôleur, à moins qu'il n'ait perçu, en loge, plus de 1.500 francs de rentes mobilières ou foncières, ou qu'il ait payé l'impôt sur les traitement% sur les bénéfices agricoles, ou qu'il ait payé l'impôt sur les bénéfices commerciaux sur uno base de 1.500 francs au moins. Dans ces conditions, la déclaration doit être faite sur la 4» page de l'imprimé mis ù la disposition des contribuablcs.

LE TRAFIC CLANDESTIN D'OUVRIERS MAROCAINS CutCAssoim, 26 février. Le parqnet de Carcaesonne a fait arrêter, gers, le capitaine du voilier Afriaue, arrive à La Nouvelle (Aude) avec Marocains hâves, déguenillés et dans un état de misère physique lamentable, qu'il avait embarqués moyennant 500 à 1.000 frs. pour chacun sans passeports nL pièces d'identité. Le capitaine les avait mis à fond de cale au milieu du charbon, aucun n'avait mangé depuis le départ d'Alger. Les premiers débarqués sont partis dans les environs et ne tarderont pas à être retrouvés, 28 ont été hospitalisés l'Hôtel-Dieu de Narbonne. Les résultats de la politique de Locamo

PAAIS, 26 février. Interviewé, M Briand, ministre des Aflaires étrangères, s'est félictté des résultats de la politique de Locarno. Il a constate qu'en dehors de la modification profonde de l'esprit public en France et en Allemagne, déterminée par les accords de Locarno, ceux-ci avaient fait du traité de Versailles, que la Ilekh déclarait subir comme un instrument de haine imposé par les vainqueur, une convention librement consentie. M. Briand a ajouté qu'il était indéniable que cette politique avait fait comprendre à l'Allomagne que son véritable intérêt était de s'entendre avec les alliés, notamment avec la France.

En ce qui concerne la compagne menée par la presse allemande en faveur d'une évacuation anticipée du la Hhénanle, M. Briand a constaté .que les Allemands étaient dans leur rôle, mais que cette campagne ne pouvait en rien modifier les stipulations de l'article 431 du traité de Versailles.

En concluant, Ic ministre des Affaires étrangères a proclamé la nécessité pour la France victorieuse de sa.voir organiser fllle-méme son armAe et la sécurité de ses frontières, sans pour cela perdre de vue son idéal ce paix.

UNE ÉPIDÉMIE DE CRIMES EN ALLEMAGNE

BERLIN. 26 février. Un boucher de Stuttgart a tué, à coups de revolver, sa be!le-mër<>, snn beau-frère <>t ra belle-Meur. Le meurtrier s'est ensuite suicidé.

Près de Gratidenz, un apprenti jardinifr a tué à coups d» hache six pensonnet», dont trois enfants. DAHTzrç, 26 février. Un jeune homme domicilié à Gross Graben a assassiné son père, sa mère, sa grandmère, son frère et sa sœur qui, tous, jeune flllo du village.

UN OUVRIER TCHECO-SLOYAQOE AURAIT ENLEYE

DES PLANS DE TORPILLES A TOULON Toulon, 26 février. La gendarmerie a arrêté, a la Londe-!cs-Maures, Hersik Zarel, 25 ans, Tchéco-Slovaque. Cet individu est accusé d'espionnage. Employé comme tourneur dans uua usine métallurgique, il y aurait enlevé des plans de torpilles. LA COMÉDIE FRANÇAISE A BERLIN

PAnis, 26 février. On avait démenti que la Comédie-Française dut aller jouer à Berlin. Aujourd'hui, on annonce qu'il est bien exact qu'un certain nombre d'artistes de la Cnmedie-Française vont se rendre à titre prive dans la capitale allemande, où ils donneront quelques représentations de Tartufe, du Duel, du Marquis de Priola et de L'Ami des Femmes.

DES CAMBRIOLEURS' FONT FEU SUR DES AGENTS QUI RIPOSTENT

PARIS, 26 février. A 5 heures ce matin, deux gardiens de la paix 4u 8« arrondissement qui faisaient uns ronde me Alfred-de-Vigny, aperce- vaient au numéro 16 àe cette rue, deux individus Gaston Baralis, 31 ans et Maurice Patuchon, demeurant 11, rue Gramme qui étaient en train de passer, par la fenêtre du premier étage sur je trottoir, des ballots remLes deux cambrioleurs venaient de visiter l'appartement de M. Jobert Sommé de se rendre, l'un Udes malfaiteurs, iMimrlce Patuchon sortit nn revolver qu'il braqua dans la direction des gardiens dn la Paix- l'un des agents. Joseph Mouille*, fit alors uiaga de son arme et tira quatre balles, bleaant Patuchon ait genou droit et son complice au sein gauche.

f.cs deux cambrioleurs ont été conduits à Beaujon où ils ont reçu ùes soins et ont été consignés à la dispo5ition du commissaire de police. Une série de cambriolages

d'églises

Pànis. 26 février. 5 individus j ont pénétré dans le séminaire d'Issy- lesMoulLneaux, cetto nuit, ont brisa las vitraux io la chape)lo et ont derobe dans la sacristie des objets du cudte d'une valeur de 100.000 francs.

Paris, 26 février. Ce matin, vent 4 houreô, des cambrioleurs se sont introduils dans l'éRliso Notrfi-Danw» rlo Lourdes, file Pellcport. ils ont fracturé une vinglaluo de trmcs. Le montnnt du vol ne dupasse pas 2oO fruiK-s.

Des cambrioleurs ont tenté rHtn nuit sans succès de s'introduire dnns l'éfflise. de la Trinité. Déranges dans leur travail, ils wit dû s'enfuir sans réussir à dérober quoi que ce soit. Cambriolé pendant son séjour au dépôt

Vebsuu.es, ?6 février. Lr; ¡::en.darmee de Bougival apercevraient hier, fur le quai de la garp, di-nx jeunes gens étrangers à la localité et. porteurs du volumineux paquets.

Un rapide examen fit découvrir quantité d'objets de toute nature dont le montant s'élève à environ ïO.OOi) francs. Les deux individus Albers Leroy, monteur, et Albert Maitre ont reconnu qu'ils venaient de cambriofer une villa appartenant à M. Lévy. nctuellenvriit tatoué à Versailles, soùs l'inculpation d'homicide volontaire. On se souvient que dimanche o>;rnror. MU» Gnilion, ami" de M. Lêvv, fut tuée dans si chambre, d'un* balU de revolver dans la répion du cœur et qne M. Levy. soupçonné d'étr» l'auteur dc ce meunre, avaix été a.r- rèté.

TANGER *•

Le gouvernement espagnol

examine I» réponse française

Maiirip. ';fi février. L'n commitniqué officieux annonce que le général Primo de Rivera a examiné avec le plm grand soin la réponse ilu gouvernement française au mémorandum espagnol relatif à Tanger. La réponse française ne peut être ni plus raisonnée ni plus cordialf» sans que cela signifie que le gouvernelnent espagnol ne la discutera pas. UN DÉRAILLEMENT

Versailles, 26 février. Ce matin, vers cinq heures, par suite d'un af- faiseement de la voie ferrée, entre le passage-à-niveau de la grille d'Or- léans et du Pont-Noir à St-Cloud, sept i wagons d'un train de marchandises venant rle Versailles-Chantiers ont dé. rallie. Il n'y a pas eu d'accident de personne. La voie a été obstruée et les trains de Versailles et de Marly subirent d'importants retards.

A NOS ABONNÉS

Tout changement d'adresse nécessite l'envol de 1 franc pour frais de nouvelle bande.

Feuilleton de l'OveelEclair

du 27 février 19?7 i

AIME.ET TU RENAITRAS! Par Mathilde ALANIC

PREMIERE PARUE

1

Affairé, important, mugissant CI plein tuyau, le petit train d'intérêt local venait de traverser la Loire,, sur le pont de Chalonues, et le lan- çait maintenant, d'un élan coura- geux, par la fraîche et riante cam- pagne, encore parée de couleurs printanières. L'odeur exquise des herbes fleuries, abattues par les faucheuses, montait des vastes plaines, où s'aligneient de minces peupliers. Le ciel nacré, le grand fleuve indolent, les prairies, les vergers, les haies ce ro.ses, les maison» blanches festonnées de vignes, les enfants même accouru* sur frs portes. tout respirait la doacettr angevine, la quiétude heureuae d'une terre prospère

Les deux )«iitih femmes, afeists atix angles oppoaés d'un même compartiment, semblaient aussi attentive* à ces plaisants tableaux qu'indifférentes l'une il l'autre. Cependant, quoiqu'elle. voulussent s'ignorer.

elles avaient dû quand ut2me exercer mutuellement cette faculté féminine qui permet, en' uu seul coup d'œill, de relever un signalement complct. La brune fille en deuil, qui peuchait a la portière de l'ouest une figure îrreguliéic nuis piquante, aux yeux noirs pétillants, aux frisures capricieuses, edjevuleos par la brise, noin sc-ulemeut avait étudié d'un regard furtif la toilette de foulard bleu à ramages défraîchie, le toquet hérissé de plumes blanches, le profil délicat un peu court, la bouche rougie à la fraise, les longs cils palpitants sur une joue nacrée, les bandeaux cuivrés de sa compagne d'occasion mais elle conjecturait déjà, il. voir la tnain nerveuse tourmenter la courroie de la glnce, le petit pied battre le tapis, les deuts mordeuses ronger la lèvre charnue, que l'inconnue comprlmüt une violente agitation morale.

Et rassemblant ces indices, l'esprit agile de Thérésine Jouvenet s'exerçait au petit jeu des questions Parisienne 1 Etrangère ? Actrioe 1 Procài t Divorce T En tout cas des papillons noirs 1

Le train s'immobilisait, à une halte, pour détacher du convoi quel- ques wagons chargés de fonte et de ferraille. Ceux-ci furent aiguillés sur une voie étroite, qui filait vers les hautes cheminées dont les cylindres rougeâtre. dépaasaient les cimes des.

bois, à l'horizon. Plus proches, au milieu des prés, quelques maisonnettes symétriques, encadrées de jardinets, indiquaient une colonie ouvrière en formation.

De l'autre coté de la station, attendant que la barrière du passage Il niveau fût ouverte, se pressait une foule nombreuse et endimanchée, les hommes, vêtus de drap fin, un melon ou un haut-de-forme sur la tète, les femmes portant le chapeau à fleurs, 3a coiffe angevine en éventatl ou le bonnet plissé des Saumuroises, et tenant contre leurs jupes des enfants au mines atfriolees. Derrière ces piétons, un encombrement, à chaque aeconde accru, de véhicult* de tous modèles et de tous calibres, autos, victorias, carrioles ou tilburys.

Une effervescence joyeuse animait cette cohue d'où montent de joviales exclamation il. l'adresse des cheminots.

Hé là-bas Accélérez le mouvement t La collation est servie à l'usine 1

Les mariés viennent trinquer avec noue. Ça serait déshonnête de les faire attendre 1

La voyageuse au plumet blanc p.vrut brusquement s'éveiller aux l'ho. ses réelles. Elle se tourna d'un sursaut vers sa compagne. Pour la première tcis, leurs yeux se rencontrèrent.

Quel est le mariage dont parlent ces gens ?

Interpellée avec ce sans-façon, Thérésino Jouvenet ne se sentit guère disposa à l'aménité. Sans s'occuper de satisfaire cette curiosité impérieuse, file punit B'aUentionncr à rassembler ses menus colis sur la banquette. L'inconnue reprenait, en modérant, cette fois, l'âpreté de son accent

Je devais justemnt assister à un mariage à SaintlPLerre-du-Layon celui de M. Serge Guérard et de Mlle. Aflle Hélène Marescaux, acheva charitablement Thcrôsinc, prenant cetu; hésitation pour une défaillance de mémoire. Eh bien 1 c'est celui-là même qui vient de se célébrer. Comment tout eat fini 1 Dear me 1

La dame au plumet blanc se soulevaft en jetant ce cri, Même. ses prunelles claires, couleur de topaze, noircies tout à coup. Mais sous le re- gard étonné de sa compagne, elle maîtrisa ce trouble et murmura, avec un haussement d'epaaies

Tant pis 1. Il y a eu erreur do date 1 Je croyais que c'était pour domain. Et la cérémonie s'eet faite sans mol. le regrette

Probablement une chanteuse qui devait prêter son concours à la messe 1 pensa Thérésine. Et compatissant au débolre, elle dit gentiment. en manière de consolation

J'ai lHo mui-meme privée du plaisir de voir le mariage et de participcr aux réjouissances étant obligûc de nie rendre aux obsèques d'un parem.

L'étrangère toisa d'un coup d'oeil la jeune fille qui 60 tenait debout au milieu du wagon, svelte, presquu maigre, désinvolte comme une nymphe de Jean Goujon sous sa très simple robe noire.

Vous connaissiez M. Guérard demanda-t-elle, revenant, sans 6'en douter, au ton incisif et autoritaire qui choquait Thérûsin».

Je le connais lit celle-ci, sans plus de détails, ses impressions an- tipathiques réveillées.

Alors, il prend pied dans ce pays, tout à fait 1 il y habitera ? On l'espère.

Sans doute, les nouveaux époux font un voyage de noces ?

Cette fois, Thêrfeine, excédée, coupa court à d'interrogatoire. Le train sifflait, annonçant l'approche de la station. La jeune fille se rapprocha de la portière et se disposa à l'ouvrir.

Qu'est-ce que c'est 1 Où sommesnous donc ?

Il était difficile de refuser ce renseignement.

A Saint-Pierre-du-Layon, articula Mlle Jouvenet, tout sec.

Saiut-Pierre-du-Layon 1 répéta la jeune femme entre tes dent». La

maia crispée sur la poignée de :a valise de cuiT, elle parut balancer, les paupières battantes et les lèvre» serrées. i Théresino s'élançait du marchepied. L'Inconnue subitement se •Jrfssa

Atlons 1 Quand même On vrrcience certainement qu'elle parlait haut. Et un Bond félin la porta sur le trottoir près de Mlle Jouvenet. Mais celle-ci ne songeait plus à elîs, dans le saisissement d'une surprise joyeuse. Rêvait-elle Cctte barbe blanche, épanouie par un jotèrire de flne bonhomie, ces yeux si vifs, pmbusqués sous des sourcils neigeux, ce feutre cabossé entoncé sur la en*- velure argentée, ce pardessue jeté sur les épauiles, manches ballantes, c'était bien lui, Le vieil et incompa- rable ami 1 Mais que faisait-il là, la sédentaire, qui, si difficilement, quit- tait les Watteau et les Tiepolo de son cher (Musée 7

Thérésine fondait sur le vieillard. Cher bon maitre, vous ici l Quelle merveille 1

(A suivre.)

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APRÈS LE NAUFRAGE DE PORT-SALL

Le feu de Corn-Carhaix

est vraiment trop perfectionné Brest, 26 féviier. (De notre ri-darlion brcsLoise). Vingt-quatre lieures se sont écoulées depuis la dis paruinn du vapeur « S-arrebour^ » devant Port-Sall, mais avant do par lrr des re^pyiifabililês il faut résuu dre la question du lou de Corn-Carliaix. Le capitaine du navire sinistré. M. Lévèque, nous affirma qu'il était éteint et que c'est son extinction qui occasionna la perte de son bateau.

« Les avis aux navigateurs auraient dû en faire mention » nous déclarait-il avant-hier à l'Aberwraoh. Or, il appert de l'enquête à laquelle nous nous sommes livrés, tant n. Portsall, où M. Corolleur était (harpe de son entretien, qu'auprès de M. C:uyne, ingénieur on chef des Poni» et Chaussées et de ses service*, que le feu de Corn-Carha,ix fut signalé dans li-s avls aux navigatours une première fui-, éteint le 20 décembre. On te ralluma le 31. On le Mfrnaîa à nouveau éteint le 8 janvier. Il fut rallumé trois jours plus lard, mais il s'éteignit encore le 13 janvier.

Les avis aux navigateurs en informèrent les pilotes le 14 (voir 0. S. du Le mauvais temps qui régnait -mit mer à cette époque et aa grosse houle de fond, n'ont pas permis d'accoster les rochers sur lesquels est édifié le feu de Corn-Cnrhaix avant le 15 février. A cette date, il fut ruemis en marcho, mais il s'éteignit quelques heures 'plus lanl.

On attend la tircrn Li're emboWie pour démonter complètement l'apparail qui est en avarie et qu'on n'avait pu faire fonctionner jusque là, qu'en exposant pluficurs fois fut iir.l- vcment le personnd. 1.

Car ce feu de Corn-Carhaix, d'im portance sei-ondairc, d'ailleurs, no' a-t-on déclaré au >orvice des balises, est un signal très perfectionné. Il possède une particularité très curieuse il se met on veilleuse dès que 1,8 soleil apparaît est lorsque Phœhus se cache le fcu s'allunre.

On en voulait propager l'usage. Mais il faudrait iiul au moins qu'il fonctionnât avec régularité.

Le personnel des l'onts et Chansses va donc le démonter dès que le temps le permettra.

PRIX LITTERAIRES 7AR1S, 96 février. Ce soir, au cours du dîner traditionnel, le prix • Mincrva » a été décerne au jreinior lourde scrutin, a Mme Charlotte C.haliricr, pour son roman Les Itantildes; le deuxième prix, à Mme Jean Mqura, La Martre \nirr: le troisième prix Mme Jeanne Maivig (Sous le Vent des SOUS L'AVALANCHE Ciivvur.RY, -2>i février. Deux sûl- datf, qui ont été surpris par une avalanche, ont été retrouvés indemnes Le cadavre du troisième a été découvert t-ous 10 mètres de neige. Ce solda; t>c nomme s-allut et est originaire <lu Cantal.

QUE SE PASSE-T-IL

AU MAROC ESPAGNOL ? mr ir canon ilnnp loutc la zone espagnole du Hin vois, la région des I.tnma; au nord de Sker Taounal ci Médiiuna. Les soldats espagnols on retraite se réfugiant vers les postes fiançais. La situation pardii grave. LA REPONSE DE MOSCOU

A LA NOTE ANGLAISE

Moscou, 96 février. L'Agence Tass «I prend que V gouvernement. a \e-r rie la réponse <[ui a été remise an jourd'hui au cliargc d'altolies britiin nique.

PINEDO, PARTI DE BAHIA, ATTEINT RIO-DE- JANEIRO, couvrant 1.300 kilomètre Babia, 2fi février. L'aviateur de Pinedo est parti ce matin à 7 h. 5 (heure brésilienne) pour Rio de Janeiro.

Rio-de-Janeiro, °6 février. L'aviateur de Pinedo est arrivé à 15 heures.

(La distance de Bahia à Rio-de-Janeiro est de 1.300 kilomètres environ à vol d'oiseau).

Le tour des Amériques

BlENos-AiBBS. L'escadrille américaine a amerri avec succès, à Buenos Aires. Elle est repartie pour Palma.

L'avion New-York, portant les aviateurs Darques et Withead. qui se font sauvés en parachute, a heurté l'avion Détroit, portant les aviateurs Wolsey et Benton, qui se cent tués.

Les victimes de l'hydravion Paris, 27 février. On connaît la perte de l'hydravion maritime le Goliath-301, tombé en flammes au large de Bizerte. Voici les noms des victimes

Passagers le quartier-maitre mécanicien Deloupy, blessé l'aspirant de réserve Venet, décédé le second. mattre radiotélégraphiste Jouan, décédé le quartier-maître pilote Ca- 7illat, décédé le quartier-maître arrimeur Le Floch, décédé.

L'épave de l'hydravion Gel. a été retrouver et remorquée à Bizerte. Un seul corps, celui du quartier-maitre Le Flooh, a été découvert.

L'état du quartier-maitre DeOoiipy, seul rescapé de l'accident, est considéré comme sérieux.

QUE PRÉPARE L'ITALIE? Les révélations d'un journal anglais sur la concentration des forces italiennes à la

frontière française

Londres, 26 février. De notre correspondant parti.culier). Le Référée, qui a déjà publié un article sur les préparatifs militaires de l'Italie, continue ses révélations dans un second article qui concerne plus particulièrement la France.

Le journal affirme que, du côté de la frontière frança.ise, l'Italie actuelle renforce de plus en plus ses unités militaires entre Aoste et Vintimille. Le nombre des soldats italiens entre ces deux villes, est d'environ quinze mille, très bien équipés. Derrière eux, est l'armée régulière. Ces troupes sont disposées en 6ept divisions établies "!iime 6uit Aosto, .Modane, Alexanlr.\ Pavone. Port Maurice, Vintimille. Chaque division est équip ée avec .les mitrailleuses, de l'artillerie, des gaz. des lance-flammes et de» seclions de tank5. chacune sont attachés 10.000 aivlitti ou troupes d'aîT-ique. Cette force est accrue journelleme.nl.

L'œuvre de préparation ne cesse pas. Les vallées d'Aoste et de Lanzo :nnt le théâtre d'une grande activité, car ce sont les <1cux plus importantes lignes d'avance.

(L'autour prétend que la menace italienne (,si dirigée contre la région industrielle qui compre.nd St-Etienne ct Lyon.)

SUZANNE LENQLEN SE DEROBE

Paris, 26 février. Mlle Suzanne l.cnglen, qui était attendue ce soir à Paris à la gare Saint^Lazare, n'était pas dans le train transatlantique de 19 h. 25: Elle a quitté Le Havre en automobile et est rentrée directement à Paris par la route, craignant cerininos manifestation?.

«0 An% de Susctl PLAIDS VARIOVBVSES POMMADE AROAGH T– Ph– tf A Poc/irr. 3. rut Chutait HENNES LES FONCTIONNAIRES

VICTIMES DE LA GUERRE Paris, 26 février. La séance du i rongrés de la Fédération des Fonctionnaires victime de la guerre, s'est ouverte cet après-midi, sous la présidence df Ni. \ovnro Kinance.-K avec. o.imme assesseurs. Mme Avoline (préfecture de la Seine); NI. Vinoe et NI. tiuilfaut (commis de la Marine, Cherhourg).

La guerre et la responsable de l'Allemagne

Bf.ri.in, Î6 février. Dans une rrvue intitulée Au service de la Vérité devant paraitre prochainemeni, |p président Hindenbourg.. le chancelier Marx et NI. Slresemann s'expriment au sujet de la publication rar \o ministre allemand des Affaires étrangèrec-, do documents relatifs à la grande guerre et tondant à dégeger la responsabilité de l'Allemagne Af. Briand reçoit le nonce Paris; 96 février. NI. A. Briand a rreu ce soir Mgr Maglione, nonce apostolique.

UN BEL ESCROC

SOUS LES VERROUS Il s'agit encore

d'une affaire de porcherle Paris, 26 février. Sur mandat de M. Genty, juge d'instruction, on vient d'arrêter NI. Jean Comtesse, demeurant au \'ésinet, directeur d'une entreprise financière de l'avenue des Chajnps-Elysées: Il avait fondé, en octobre 1923. une société anonyme bancaire au capital de 2 millions, qui était en réalité fictive. Aucun capital n'a jamais été versé. En octobre 192J, la société se transforma, irrégulière- ment, en société ayant pour but l'engraissement des porcs.

Quelques animaux furent mis dans des fermes, notamment près de Dax, mais des plaintes ne tardèrent pas ,à être déposées. Une enquête fut ouverte. Elle établit bientôt qu'au lieu des 5.:>00 porcs accusés, il y en avait à peine 1.500.

Bien que la situation de la société tilt déficltaire, Comtesse n'en continua pas moins l'envoi en province de circulaires et même de démarcheurs chargés de recueillir le plus de fonds poesible.

A des circulaires était jointe une note confidentielle sur la personnalité de Comtesse. Dans cette note, il était dit notamment qu'il était fils de Georges Comtesse, littérateur et armateur et qu'il avait épousé MHe de la Châtre, fille du duc décédé, mariage qui l'apparentait à une vieille famille bretonne. (La famillo der ducs de la Châtre est éteinte depuis longtemps et A notre connaissance ni le nom ni le titre n'ont été relevés.)

Comtesse était, en outre très répandu dans les milieux financiers, où il aurait réalisé des affaires dont le chiffre atteindrait, dit-on, 500 millions. Comtesse se disait d'ailleurs collaborateur d'une grosse entreprise bancaire.

L'ne perquisition a été opérée au f-iège de la société, avenue des Champs-Elysées, où le loyer était de 30.000 francs. Elle a amené la décou. verte d'un volumineux dossier dont l'examen a révélé déjà des charges contre l'inculpé.

l'no perquisition a été également opérée au Veelnet dans la villa que Comtesse occupait avec la duchesse de la Chatre •, sa belle-mère rien de suspect n'a été découvert.

Comtesse était d'ailleurs séparé de biens d'avec sa femme.

L'inculpé a été écroué à la Santé sous l'inculpation d'infraction à 'a loi sur les sociétés et d'escroqueries. Le passif de la société serait d'environ 2 millions.

ON ARRÊTE DES VOLEURS D'EGLISE

Paris, 2G février. L' « OuestEclair annonce que des valeurs ont pillé la chapelle du Grand Séminaire Issy-les-Moulineaux, où ils ont, notamment, fracturé le tabernacla et fait main-basse sur plusieurs ciboires, ostensoirs et autres objets du culte.

Cet «près-midi, la. police a surpris deux de- cambrioleurs au moment où ils achevaient d'enfouir les objets dérobés dans le champ d'aviation d'Issy-les-Moulineaux. Au cours d'une rafle opérée dans des établissements suspects des environs, deux autres complices étaient à leur tour appréhendés.

Les volrur, ont reconnu être les auteurs do plusieurs cambriolages. Une bousculade tragique I.ORIENT, 26 février. L'ouvriers Louis Hezequel, âgé de 20 ans, s'é-'tant pris de querelle avec son père, âgé de 44 ans, usinier à Hennebont, ce dernier a cherché à le frapper, mais le jeune homme repoussa son père qui, pris de boisson, vint s'abattre sur des bouteilles cassées dont un éclat ]ni coupa la gorge. La victime a succombe peu après.

M. Henry B0P.DEAUX, de l'Aeadé- mii» Française, vient de faire l'acquisition d'une bicyclette Peugeot; il a été séduit par les perfectionnements des nouveaux modèles Peugeot 1927, qui comportent tous des rayons inoxydables, une roue libre rectifiée, des moyeux bain d'huile indéréglables, une chaîne il haut.e résistance, et, enfin, un cadre et une fourche Il fourrure intérieure.

UN JEUNE ASSASSIN II voulait reproduire un film C\uis, 26 février. Ce matin, on décousrait, assassiné dans ea maison, un contremaitre de broderie, M. Auguste Krapf, qui avait été étouffé avec une couverture et assommé. L'aseassin, un jeune homme de 16 ans, Alphonse Tirmunt. a déclaré avoir voulu reproduire quelques cpidodes d'un film qu'il vu.

PETITES NOUVELLES Paris L'Académie des Beaux Arts a appris cet apiè->-midi que NI. Jacques Durand venait de faire don à chu» compagnie d'une somme de imi.000 francs, dont les revenus servirout il constituer un prix trienn* destiné, il. l'auteur d'une symphonie ou de musique de chambre.

PARIS, Le nouvel hôtel de la Chambre de Commerce Internationale, 38, cours Albert-11". a été Inauguré hier après-midi, en présence de Ni. Doumergr.o et de M. Raymond Poin- caré, qui a prononcé un discours.

L'AIDE AUX CHOMEURS La rédaction des tarifs

de transport

PARIS, 26 février. Le ministre des Travaux publics fait connaitre qu'en vue de remédier à la crise du chômage et. de venir en aide aux chôuu'iirs, les mesurée suivantes ont été priées

Pour. les chOmeurs placés hors de leur résidence pur les soins des offices publics de placement, les grande réèeaux ont consenti à rétablir temporairement jusqu'au 30 juin 1927 le régime qui avait été appliqué de 19'21 à 1924. Ce régime comporte de la part des réseaux l'abandon de 25 des frais de transport 25 étant remboursables par l'Etat et 50 restant it la charge des chômeurs. Les mêmes dispositions seront appliquées jusqu'à la même date aux chômeurs des villes rapatriés sur leurs communes d'origine par lfé soins des offices publics de placement pour être occupés aux travaux agricoles..

La réduction sera étendue aux prix de transport de la famille et du mobilier.

Le ministre des Travaux publics. a demandé, d'autre part, aux réseaux, de consentir à porter à 50 leur participation dans les réductions visées plus haut.

En vue de faciliter le rapatriement des chômeurs étrangers, les grandes administrations de chemins de fer ont consenti à accorder jusqu'au 30 juin, aux ouvriers étrangers rapatriés par suite de chômage, la réduction du demi-tarif sur leurs lignes, l'autre moitié étant remboursée aux réseaux par le Ministère du Travail. Ces mesures ont été étendues aux travailleurs algériens.

Les avantages de circulation accordés antérieurement aux ouvriers introduits en France par les soins du département du Travail seront, d'autre part et comme contre-partie d<>s dispositions rappelées ci-dessus, suspendus pendant la même période. DERNIÈRES NOUVELLES SPORTIVES

FOOTBALL RUGBY

MATCHES INTERNATIONAUX Le Paye de dalle* bat la france par 28 pointe à 7

Swansea, 26 février. Le match International de football-rugby entre la France et le Pays de Galles s'est disputé cet aprèsmidi. A la mi-temps, le Pays de Galles menait par Il points (2 essais) à 3 points il essai). Les 2 essais furent marqués, pour le Pays de Galles, par Andrews et Rowor Hardtng. L'essai pour la France fut marQué par l'avant Prévost.

Finalement, le Pays de Galles battait la France par 2:, points à 7. 0 A la reprise du Jeu, C«rbonne et Verger font Due belle Foluippéfl, mais leur attaque est arrêtée par l'ônergique défense des Gallois. Balllette est touché A l'épaule et obllB* de quitter le terrain. Les avants gallois portant le jeu tout près des lignes fnançalses. Un essai est marqué mnis n'est pa-; converti. Ensuite Rowe Ilarding fait une échappée mais il est arrêté par Raymond. Une minute plus tard, Monran va marquer le 6* essai pour le Pays de Galles, MaJe convertit.

A la sortie d'une mNée, Robert» s'empate du hnllon et réussit marquer un nouvol essai nue Maie convertit. Le ternain «M lourd et les Français Jouant à U. ils font cependant des attairiCb répétées porla-tit le Jeu Jusque dans les 2-2 mètres des Gallois mais Us sont iliaque fois repoussés. Cependant âpre? deux méltes près de la ligne des buts gallois Crjule réussit dans les dernières minutes un drop-gooJ. La fin e«t sifflée, les Gallois sont victorieux Dar essais, dont 2 candertss à 1 essai et 1 drop-goal (23 points a 7).

L'Irlande bat l'Ecosse par 6 p. à 0 DCH.IN. ?6 février. Le match international entre l'Ecosse et l'Irlande s'est terminé par la victoire de l'Irlande par points à 0. Résultat acquis a la nil-teinns, CROSS-COUNTRY

L'INTERREGIONALE

DE CROSS-COUNTRY

DE SAINT-BRIEUC

C'est à H h. a0. au Parc municipal des Sports, route de Cesson, que sera donné le signal du départ aux cent meilleurs coureurs de cross-eountry de Bretagne, de .Normandie et de Beauce-et-Malne, qui participeront l'Interréglonale, prélude Immédiat du championnat de France. Les équipes renommées qui se sont qualifiées au cours de leur» championnats riépartanontanx et réctonaux se préparent avec ardeur a la lutte. Un pronostic est assez difficile a établir en raison du manque d'éléments de comparaison entre ci.les. Mais ce dont on peut être sar, c'est que la lutte sera émouvante aussi bien pour le classement par équipes Que pour le classement individuel.

Les Briochtns ne regretteront certainement pas leur déplacement, car Ils assisteront à on spectacle de sport pur et passionnant. Les autorités civiles et militairee ont bien voulu promettre d'honorer de leur présence cette belle manifestation qui marquera dans les annales briochines. Le prix des placm est à la portée de toutes les bourses, la Ligue de Bretapnc d'athletl.Mni>. qui organise la réunion. tcnant essentiellement à faire de la vinlftarisatlon. Tribunes 3 fr. pourtour fr. Pronostics

La rencontre est pleine d'intérêt car les concurrents ne se sont jamais trouvés aux prises. Essayons un pronostic cependant. Individuellement, trois hommes se détachent le champion de Beauce-et-Mainc Ferret. celui de Basse-Normandie de Cherbourg et le Breton Hllhiou. Ce dernier nnu, a produit au Régional breton une Impression énorme, et le président de la L. Il .A. déclarait n'avoir JanwN en un tel homme dans la région. Sa tactique de iourte e>t vralmont trop rudlinentalre. niais on peut penser que bien stylé et docile, il '.aura adopter une tactique nette, et nous pensons que. une fois de plus, c'est un Breton, le Rospordlnols Illlhiou, poses GE.M£N & BOUR6 du AU LYI DE PAQUEl

u, Ru* de sèvres, PARIS. Catal. franco

qui sera le vainqueur et pourra montrer au National que la Bretagne a des hommee. Par équipes, trois clubs se détachent Lisieux, Chartres et Le Mans, auxquels Il faut ajouter Evreux, qui fut privé de ses «rois meilleurs hommes à son Régional et que la Commission fédérale a qualifié d'office. Nous pensons que la victoire reviendra a Evreux ou Lisieux et que Le Mans prendra sa revanche sur Chartres. Mais ces deux pronostics sont fragiles, car la course est très ouverte. 0 BIPPISMS

LE CONCOURS HIPPIQUE

DE St-BRIEUO N'AURA PAS LIEU Le Conseil municipal de Saint-Brieuc ayant refusé cette année de prendre à sa charge les frais d'installation du concours hippique des Côtes-du-Nord, la subvention habituelle, cette société fait connaître qu'elle supprime pour 1927 la grande réunion hippique existant depuis plus d'un demi-siècle et constituant toujours une attraction de choix.

OFFRES DE 8ALUES GRATUITES Certains propriétaires ont bien voulu mettre i la disposition des membres de la Société du cheval anglo-normand des cartes de saillies gratuites des étalons sttdvants Alcantara. Dancourt, Enoch, Kentucku. Klcm, Molière, Ogotai Khan, Pacha, Pro Patrla, Quo Vadls, Ravageur, floms^j IDassonvllle), Ramsts (LepLatre), Salam, Tapis Vert. Têlêmaour. Upm, Ultimatun, Urt As. Un arack, Upsilon V, Urlel V, VaIcntlno.

Le tirage au tort de ces cartes aura Lteu 1 Arfrenres le jeudi \0 mars. Les demandes d'inscription devront, être adressées avant le 9 mars a M. CaMel. secretalrtadlolnt et trésorier, Argences.

OOURSES A ENQHIEN

Résultat*

ESGHint, 26 février. Malgré un temps douteux, l'assistance était venue assez nombreuse et le programme n'était pas désagréable malgré pas mal d'abstentions. C'est ainsi que six partants seulement se sont présentés dans l'épreuve importante de la journée, la course de nales de 4 ans, dotée de 30.000 francs de prix; Le Hle qui, précédemment avait bien couru, l'a emporté facilement; facilement aussi l'a emporté U lusse, dans le prix Intermède, l'une des épreuves de trot qui terminait le programme de la Journée. Mn l'absence de Va'sal, le cheval de M. Comhot, dont nous avons fait cl souvent l'élouo et qne nous Indiquions, a eu raiso.i ,le o.i|<il.\ non sans lutte U est vrai. Ulysse a trotté le kilomètre en 1' 27" 3/40.

Prlx de Ponthleu. (Steeple-chase, à vendre aux enchères, 7.500 francs, 3.500 mètres) 6 partants. 1»' Le Délier (R. Petit), A. Pesaube) 2- Corolles (.T. Biarrotti), Ed. Sayag 3- Chérif (C. Nervo), J. Fribourg 4' UlnUlerial (P. Miche) Mlle Y. Nègre.

Non placées. Estrut'at rE. l'aron) Noisetier (F. Hervé.)

Prix du Boulonnais Bales 10.000 frs, 3.000 mètres 7 partant. l" Gabelon (H. Cawes), L. Lfteller 3* Bleu de Francs (P. Sentier). S. Lanzenberg 3' te Menleur (A. Cdrez), J. Fribourg 4* Son Premter 'R. BaU), L. Roederor.

Non placés. Prince Charmant (A. Ralley Jlenandro (S. Bush) lloialius il-. Rovella.)

Course de haies de 4 ans. 30.000 frs, 2.800 mètres 6 Partants. fer Le Hic (A. Cerez), F'. Chipault 2' Grand Cour (G. Lester). A. Leautcy 3' Eminence (F. Hervé) 4' Aubade Il (Fruhuisholtz) J. Beauvois.

Non placés Le Caprice fîid. Hies) Mcrrœur (Bedeloup.

) Prix Mctibce. {Steeplc-cha«e, handicap 20.000 frs, 3.100 mètres, 4 parlants. 1« Cariisn Il (R. Bairuinrd, il. Pantnll 3* The Vlplomat (G. Truster) A. Werthciner 3' La Marisa (Fruhiitsholu, n. Brauvois i" Sarouard IV (J. Faucon), marquis de Tuquerville.

Prtx Shiridan. Haies handicap, «i.OOO frs e.800 mètres, 8 partants. 1" Plumet (Ed. Haes), R. Kahn •» Alexandroshène (P. Sentier H. S. Gray 3' Partner (A. Nalley). Baron d'Ideville 4' Etelfay A. Atkinson). E. Thibaux.

Non Placés. florimel fi. Légwr) Triton (U. Rail): Mcneder (J. Luc iaiiitPatrick (P. Itiolfo.

Prix Intermède. Trot monté t.VOOO fr. £100 mètres, 7 partants. ]"̃ Ulyist* L. Pottier. Y. Combot s. Saplte, A. Forcinal, J. Jarlel 3. VtMtnr». rhréttcn, A. Bourra» s. Torpille, A. Sourroubtlle, A. Souroubille.

\on placés. Unann, Cnudde'; Semcndla, Gougeon Azalée, E. Picard. Prix Général. Trot attelé. 10.000 Ir., 2.I00 mètres. 14 partants. 1. Soin(-.4)[dré, Buttl. A. Butti 2. Anita-lV, P. Gitton, P. Godet Batisbonne. Choisselet. A. VarUJon 4. Vancouver, l.eboucher. P. Choffiu.

Non placés. Une Etoile, J. Vandenberghe Sauve qui Peut, Bttiiker Trêves, Souchon Tultane, Maucci Vichnou, A. Sourroubille Urdax. A. Tamberi The Pompon, Vercruysse Alnton-lll (G, Pentecote Un As, A. Choisselet AudomaroU11, C. de Waiières.

Aialon-lll, distancé de la ne place pour avoir passé le poteau au galop.

Pari-mutuel

G. r. si. P. 1950 9 Carotte (dead P. 50 9 M 8

19 Il Le Menteur 18 650 Grand Cour P. 7.

P. li G. 6a 50 10 P. 31 P. Sapile P. 13 P.

°i 30

COURSES A AUTEUIL

Partante probable»

PRIX DU Bois. Speetatmr (André Benson) The Moki (Nlnudot), Ausone (Hervé). Chevalier Serrant 'Hafts). Vieux Fort (Blarrotte), Midi-Minuit (Nervo), Fêcamp (Rodhatn). tïrandgoujon (Delfargulel), Le Nénuphar 'Petit).

Prix CEseas. Spectateur (André Benson' Saladtn (Haèsi. Sahara (Barré), Argentin ,'Bedrtoup). Lannilis 'Cérez) Poslillon (Hervé). La Medonex (Bacnlard), Vaula?*fond iLeniairc', Telêgram (Nervo), Chalusset (Faucon), Abner iKelley).

Prix BïticvoT. Boabdll (H«!eloup), Lomondtide (I/Oiseau), Avant-Coureur (Haès\ /(ni des Ribauds (Hervé), Destruction (Lester).

PRIX Robert HPixisst. Tht Ace (Du!fnure). Ingrandes (Bagnlard), Unral (Hnvi-es), Couponne (Jufte), Le Balancier 'Hervè). Maauelonne (Bed«loup).

Prix Rifleha*. Destruction (Lester). Le Cambodqp. (Glgant\ Dlcker JSentler), Lt Gouverneur (Cérez).

PRIX iïtsto*. Ariane Il[ (SlndirV Dauphine (Cristobal). Adulte "M. de la Forest). Princier (Luc). Vas-y Voir Il (KalleyS. Haïti 111 (Bwrharay). Assaut 11 (Juge). Ar- tilleur (Blarrotte), Armistice IV (Joseph). Prenoetloc

1™ course The MoM.

course

A' course Tht Ace, Ingrandes.

.V course Dicker, Destruction.

6' eourse Ariane Assaut Il,

Les aadiNons radiotiléphoniqes RADIO-PARIS

1.750 m. P. a m».

Il benrea 1 Musique spirituelle et eau.nerte religieuse. Chœurs par la Canton» sous la direction de M. Jules Meunier. la h. t&. Radio-concert organise par La Parisienne Edition 1. Et BaUarin, paso doble (Pedro Seras) 2. David* d'lfor, boston (Dos Santos) 3. Les Cloches de Cornevtlle sélection (Plan.quette) 4. Prélude de Yaamina, poème symphonique, extrait de la suite arabe tin ïasmina, de G. Smet à. Les Cloches en folie (De Buxeull) Les Panttns (Léojac), chanté par Ri.vière 3. Conte de Pharaon, poème tyr.iphoniirue (L. Léo) 7. CantUine au Crépuscule, extrait de la suite arabe de Yasmina de G. Smet & L'Artésienne, sélection (Blzet) 9. !<•-• gende, scène (Marcucci) 10. En donnant des fleurs one step (Mario.

16 h. 45 Radio-concert par le Radio Jazz Symphonie 1. Et ChiquiUo, paso doble (Pedro Seras) 2. After Dinner boston (De Berrie) 3. Génie fina, tango (Pedro Seras) 4. Butuest of the Blues, blues 'Tom Waltham) 5. La Milonga, tango (G. Smet) 6. Partout, partout, fox-trot (Léojac) 7. Princesa, tango (Plzarro) 8. C'est toujours Parts (De Buxeuil) 9. Samba de Carnaval, samba (< Smet) to. La douce Chanson d'amour fCourtloux).

V> h. 30 Radto-concort organisé par l'Association des Radio-Amateurs Français Les Trompettes des Balles (président M. Moncarrat) a) Le» bords du Rhin: b) Devant Verdun (M. Prodhomme) 2. Lettre d'amour (Géraldy), adaptation musicale de Marthe Rey récitant MauriceLandeau 3. Chansons en patois du Nord a) L'habit de m'a rin Grand-Père (Desrourseaux) b' N'te mari point Bapttche Jean d'Doua) chantées par M. Jean Bataille Fit i>le.n

terre Juan de Dioz 'Peza). M.v ̃ I.andoau 5. Chants bibliques (Dvorak!. Mlle Blanche Dufour 6. Fragment de Le Plaisir de rompre (Jules Renard). Mme Suzanne Huborval, Maurice Landeau.

•21 h. t:. nndlivroncert par Mario Car es et son orchestre.

TOUR EIFFEL

2.630 m. P. 13 kw.

18 heures Le Journal parlé par T. S. F. M. H. Contenot, conseiller municipal de Paris.

10 h. -20 • Radio-concert 1. Sur la mer lointaine, poème sympboniqtie (Léon Moreau), par l'orchestre des Amis de la Tout s. Yicillr? chansons irlandaises. Mme Anna El-Tour, cantatrice 3. violoniste, premier du Conservatoire 4. Chacone de Vltall MUe titane Arnlti. violoniste, premier prix du Conservatoire 1. Atjntis Dei (Mozart), Mme Anna ElTour, cantatrice 5. recolla de Gossec, par l'orctestre 6. i\ Triste et te steepe (Gretchaninoff): b) Gopack (Moussory>ky;. Mme Anna El-Tour cantatrice 7. <Jd° (Tcharepi ine). Mlle Madeleine de (iiiipoënia. violoncelliste S. Zoclurve extrait du 2" quatuor Borodine) Ulles Arnitz, Gauthier I3ertrand, do Campoènia.

90 h. 15 Université et éducation na» tionale par T. S. F. M Paul Vorin. architecte en chef des mnnuments his;oriques L'évolution de l architecture de la Renaissance t1 nos jours M. H«snry Coulant l.'Aniou ma province. SI. Andi'é Saglelr. président cl.> la Commission, de la Propriété Artt>tto.uo de la Bijouterie CnmiHCMt prévenir ta r.nntrefaçon, tirs modèles M. l'ierre Ariam Interview devant le tnlcro NI. Christian Duvent Ingénieur ."içrononip Lc froid in* duclrlrt et l'alimentation.

LONDRES

361 m. i. P 3 kw.

t:> h. "i Récital Wagner. Oureriura des ilaitns Chanteurs /haut prime Tannhauscr, Venusbrra ,-Cha nt d'amour de Slegmund Ouverture de Faust Murmurrt de La Farn, chant de Slca/rieit forgeant son épee Crépuscule des Dl'ux: Voyage de Sieedlol Marche de mort», de Siegfried.

17 h. l.ï Testament.

"0 heures Service de la Cathédrale de Shefneld.

20 h. 10 Service religieux.

20 h. 55 une œuvre,

21 heures Météorologie.

21h. t5 Musique militaire. Ouverture de Rosamunde (Schubert) Sélections de Schèhêrazade (Rimsky-K orsakoftv Chant, sourano hallet de Ilia.atha (ColcndgeTaylo); chant r impromptu en la bémol (Choptnl Préludc (Jarnetelt) Tiapradia n' 1 (Liszt.)

DAVENTRY

1.600 m. P. sa kw.

10 h. 30 Signaux horaires, Metéorol» gie (chaque jour).

15 h. 30 Programme de Londres.

que jour.

ont h. 15 Programme de Londres.

Une question bien réglée Il n'est plus contesté maintenant que la fabrication et la vente de l'absinthe demeurent intenlltes en France. Les quelques bruits tendancieux qui avalent circule un moment à ce sujet ont cessé.

Mais une opinion générale dans le public s'est affermie c'est que do tous les apéritifs anisés, le meilleur et le plus demandé reste l'inimitable CRESSONNEE.

Une importante méthode pour combattre les hernies offerte gratuitementaux lecteurs Afin d'être agréable aux lecteurs atteints de cette infirmité, l'exposé de la doouverte du Docteur LIVET-GARI- QUE, de la Faculté de Médecine dg Paris, sera expédié gratuitement et franco, discrètement empaqueté, aux lecteurs qui enverront cette semaine leur nom et leur adresse A l'INSTITUT ORTHOPEDIQUE DE PARIS (Division 5t), rue F.UKène-Carriére. 7 bis, a PARIS. Cette offre étant absolument gratuite, n'hésitez pas à en profiter Immédiatement, car il s'agit d'une découverte importante qui permet de combattre les hernies, sans obliger le hernieux à supporter la gène habituelle des bandages ou à se faire opérer. Dans l'intérêt de votre santé, écrivez aujourd'hui même.

LE DIMANCHE A RENNES ••nrtoe ph*rmae*uth|ue «mui*intntlii 8'7 février par la pharmaet* CORT&6I, 9, rue de Nttnour*.

e à Algue en mtttffue, audttion dt V C.4. CeUtn.

S heures .• à Sain t- A iwin met»* pour la morlf du «i« et su» d'Infanterie, avec le concoiirt de la t'rùtfrncUe Uutlcaie et te la CJtoraie paroissiale.

9 h. 30 Championnat de Crost Cyclo-PtAttire départ rue Satnt-Utlter.

il h. 30 A SainUEticnne meut btsst en musique; a Sof«t-Gmn<un mttst fiais* en riiuijui.

10 h., Dans* J. OAT1N, Hôt. OontlnvnUI Jwhjum des Ancteni du 'il-,et du Ml' <Hn Hmlertn.

tA lirurrt-, au TMàlrt La Dans* de» il bu mus.

Au Bois de Vaux, près det Gayeullet Démonstration de piégeant.

H A. 30 ou Part ttt Sports 17. S. Servannattt contre s. B. L'. C.

Selon» Gazt Maltnie du UrM.

A VEcolt primaire tvfterievre, S, me Jean-Mact mtttnt* rint Ein-tt. 18 heures au falromje Saint H ^Kn matlxéV rérràatUii.

Salle des Sacret-C'viirs Cinéma, 9, 10, 17, SI h. cours Oan»e BOUOOUIN 16 h. 30 salle Au ri»(:m'j.»r fini, i; heures salle Jet H<i:ic-Ari: Ctnftreuce. île M. Brevet sur la • Forme HuSi h. 30 au 'h-.Atre 'ta IOi'?.frii • i( In Revue. »

98 h. 3C Pal i/uwu* AJUlton des Itecs, croc le concours de ''inliij^nliW'e. Matlntct et s-t'rtcs d'mt !̃•« iK'.fwat.

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Maison «eaufleard, KAREL, iucnm'. Après l'explosion

de la rue de la Borderie M. l'abbé Trochu 6'txouM de ne pouvofr répondre è touê lae témoli'ii.iC^s de sympathie qui lui ont été exprimas* l'occasion du stuplde atten.•ai commis Il son domicile et dont !t> «meurt, certains jeunes exaltée. ►•fniftlent avoir fait leur la triste devise Par tous les moyens.

.NI. l'abbé Trochu prie ses nombreux amis connus et inconnu* de trouver .̃ l'expieaEion de les remerciements les plus vifs et les plus sincère*. THEATRE MUNICIPAL DE RENNES

8emaine de clôture

Mi'.di Gras let mars La Veuve joyeuse.

Jeudi 3 mars Carmen, avec Mlle G. Qtjviève vix, de l'Opéra.

Samedi 5 Mignon,

Dimanche 6 (matinée) Les Saltfm tmnqiict.

DUnuuche 6 fnoirée) Mireille et cavallerla Rutticana.

Clôture de la ealson lyrique.

Port! Démocrate Populaire Le Congrès départemental du 6 mars

Nous rappelions & nos lecteurs et aux membres dés sections du P.D.P. d'Ille-et-Vilalne que le Congrès départemental annuel se tiendrai à SatntServan-sur-Mer le dimanche 6 mars prochain, c'esi-à-dlre dans huit Jours. Une sftanco d'études aura lieu ù 10 heures: On y parlera de l'activité du paru, de bon organisation et de la propagande.

A midi banquet à l'Hôtel Victoria. A 14 heures, salle de la Mairie, discours de Robert Cornilteau, directeur du Petit Démocrate, et de Champe»tier de Ribes, député des Basses-Py- renées et membre ,de la Comtnission des Finances. Le premie; exposera le programme du parti, le second nous parlera de la situation financière. Peut-on revaloriser le franc Peut,on le stabiliser t

La veua au soir, pamedl 5 mars, grande réunion avec le? deux mêmes orateurs au Théltre municipal de Saint-Malo.

LA 6* FOIRE-EXPOSITION de la treUgne

et de la Région de l'Ouest

aura U«u à

RENNES

Do 23 Arril an 2 Mai 1027 (Inclut)

Renseignements 4, Plaça de Gare, RÉHHKS Tél. 7-08.

Une belle Mirée

au patronage Saint-Etienne Comme VOveu-Eclatr t'avait annoncé, le groupe théâtral du patronage Saint. Etienne donnait hier soir, dans la salle de la rue Papu, une séance au profit des chômeurs.

Au programme Le Portrait de mon Oncle et Madame eat très mal. L'intertalion fnt admirablement rendue par lcs artistes amateurs qui promettent bien.

brio par la « Lyre Rennaise sous la- haute direction de son chef, M. Macé. A l'eiitr'acte. Ni. Grimault, le dévoua secrétaire de l'Union locale des Syndicala Chfétlpns, m un Vibrent appel A là générosité des spectateurs pour venir en aide aux familles des chômeurs. et nous ne douions pas qu'il ait été entendu.

Bref. ce fut une belle folrfe pour tous ceux qui étalent venus là et une bonne foires miêsi pour la caisse de secours aux chômeurs.

LES CONFERENCES DE CENT. La conférence d'Emile Bnumann sur saint François d'Assl^es qu'un communiqué que nous avons re produit hier annonçait pour hitr tolr, a lieu, en réalité, lundi soii\

LE. FAIMS BU COMMERCE L'AILE OUEST

Nous avons poursuivi notre enquête sur 1'affdetation du rez-dectiausste et des étages de l'aile Ouest du Palais du Commerce, actuellement occupée par le service des po6tes et la trésorerie et dont an réparé en ce moment les dégâts causés par l'incendie de 1911.

Il eut été prématuré de vouloir donnor plus tot de* précisions puisque à la tin du janvier, tout était loin d'ltre arrêté entre la ville et les administrations qui 3a promettent d'y loger.

On ne possède d'ailleurs naus l'avons dit dernièrement les fonds nécessaires il l'achèvement de l'extérieur. Et puis, les. services pouvaient difficilement louer d'une façon définitive avant de prévoir les loyers, de s'être entendu et, avec la municipalité et entre elles sur le choix d,es emplacements possibles, voisins et difficiles à délimiter, I.ea besoina de ces services peuvent d'ailleurs vaconstance* et le reste, avant l'achè- vement.

Il importait cependant qu'avant do commencer les travaux de la disposition intérieure, l'architecte connut les besoins des futurs occupants, qu'il s'entendît avec chaque service sur le nombre de pièces nécessaires, l'affectation de chacune, etc. Ausai, après bien des pourparlers, bien des échangea de cûrrôsipondan•ces On aboutit récemment à la réun:on d'un Conseil, présidé par le Pr<?f*t, et compose d'une part de M. Banon, malr* de Rennes, assisté de M. Le Ray, l'architecte de la ville; d'autre part, le président de la Chambre de Commerce et du direc.teur des Domaines, assisté des directeurs des administrations intéressées: Trésorerie. Enregistrement et Contributions Directes.

Où seront logées la Bourse

et la Chambre de Commerça ? La Chembre de Commerce ne songeait jadis à occuper le Palais qu'en tant que Chambre de commerce, avec le bureau de ton président, et qiielones autres piffes.

Mats, dans la suite, tous certaines pressions, et notamment à la demande des marchands de grains, on décida d'y adjoindre une « Bourse du Commerce. »

C'e»t eu ret-dfi-chaussé«, don» l'nile le long de la patrie, et dans la partie la ipliis proche du pavillon central que la Bourse.

Elle occupera d:»x grandes plu.ces l'une affectée IL la Bourse proprement dite l'entra d la suite, sera 1m Balle des Criées

Le président de la Chambre de Commerce aura ;on bureau au pre-

mier étape, communiquant avec une autre (pièce. A l'entresol sept ou huit pièces eeront à l'usage des services de la Chambre.

La Trésorerie

La Trésorerie restera dans te pavillon ouest, mats en s'étendant. EU» prendra, dans ce pavillon, au re«-d#chaussée, Ja place bccupée par la Poste derrière le café de la Paix. Elle aura des bureaux au premier étage et & l'«ntresol.

Les Contributions directes, l'Enraglatrement et les Perceptions, occuperont des autres étages du pavillon et déborderont dans l'aile.

Il reste à la municipalité à fixer le prix de la location a chaque service. Elle n'aura d'ailleurs à traiter sident de la Chambre de Commerce. d'une part de l'autre, la direction des Domaines, représentant tous les services des finances.

Nous croyons pouvoir affirmer que dana une très prochaine séance du Conaelt municipal, M. Bahon présen- tera il l'approbntion du Conseil un projet de location.

Pas de salle des fêtes ?

On n'agitera pas, pensons-nous, à cette séance, la question du pavillon central. Mais il est bien probable que l'unique salle, surmontant le passag>? et qu'on avait d'abord projeté de faire luxueuse, comme Salle des Fétes, aura une toute âutrn destination.

Paul-Louis Bonna.

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DE LA FÊTE DES FLEURS Sur ta demande de la majorité des membres du comité de la Fête des Fleure, une réunion do ce Comité aura re?, dans une salle du Palais Saint Georges. Présence indispensable. LA CO>!FEnENCE DK M. THF.LO- HAN. L'abondance dee matières nous oblige a remettre iY dmnaln la Mille du compte rendu do 1a confé- rence, de M. Thélohan sur le budget

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Un forçat de 26 ans

Jean Le Roy, ag4 de 26 ans, est un dévoyé dont les exploits ne se compIl comparait l'audience, luxueusement vêtu, guêtre, cheveux calamistrés, monocle l'œil, îmii-g de même au'iL sa précédente comparution' il déclara qu'il fait défaut. Que lui importe en effet, une condamnation de plus ou de moins puisqu'à cout&nces il fut condamné à huit ans de réclusion et dix ans d'interdiction de séjour et, en 1926, à Ca«n, à 20 ans de travaux forcés pour vol qualifié.

Leroy a à répondrp aujourd'hui d'un nouveau vol qualifié commis à Sjaint-jacques-d-e-lft-Ûaniic, dans la maison momentanément dése.rte des époux Tatart, auxquels Il vola toutes leurs économie*, toit 1.200 franc*. Au juge d'in-oiruction qui l'Interrogeait, Lsroy répondit « Cette histoire n'a aucune importance. C'est une gaminerie d'étudiant. •

On conçoit que le jeune forçat n'ait aucune envie de faire le voyage de Cayenne il ftait que la peine qu'il encourt se confondra avec les précédentes aussi entend-il sans sourciller sa condamnation à cinq ans de prison.

Jugement purement théorique, mais qu'exige la loi.

Le Roy, dès le prononcé du jugement remet son teutre qu'un gendarme l'obli ge h ôter. Puis, monocle a. l'œil, l'air arrogant, mats les lourdes menottes aux mains, il suit ses gardiens. Il cogne fort

Lune), loueur de voitures, rue de Paris, est très mal considéré. On l'appelle « La Terreur dans sen quartier. Sous le prétexte que son voisin Michel le narguait de loin en le traitanl de fainéant Il a a frappé celui-et d'un coup de corde très violent, puisque Mi- chel s'est évanoui.

Lunel nia toute violence grav» « Je La cause est entendue et le Joueur brutal est condamné a un mots de prison.

1 Henri LA8NIER, Chirurg.-Dentiste ̃ Dentier* perfectionné* et garantie i, quai E.-ZoU, Renn** • T«l. 4.56 | DISPENSAIRE ANTITUBERCULEUX. Les consultations des Dtcpensairet antituberculeux de la rue Kléber et de la rue de la Cochardière n'auront pas lieu mardi prochain lu mars.

LA TEMPETE. Il a plu a. Rennes hier toute la journée; le vent a soufflé et la Vilaine a grossi. On signale, d'ailleurs. une tempête pareille dans toute la région.

Savon Cadum de3fr.8à ^fcs LF MAUDrôlTÂs A La'mÂTKÎiJ. Conformément A l'usage, Ire buresux de 1a Mairie ocront fei-nn»» le 1" mers, A l'occasion du Maitll-Gras.

EN PASSANT. A quand l'ouverture du Jardin Saint' Georges ?

Toujours au sujet du jardin SaintGeorges « Un pire de [,¡mile grande ami des que. :oùrement livrer à la destruction le magnifique jardin si on l'ouvre au public. qw les enfants auront vite fait de mettre à f«o corbeilles de fleurs et gazon. qu'un gardien, lui-mcnio, n'y pourrait rien empêcher et il conclut qu'on laissa fermées les grilles au travers des- quetles les passant pourront l'admirer suffisamment r

Mais pourtant, un jardin puNia appartient au public et le public, c'est tout le monde grande* personnes et entants. si donc on interdit l'entr"e, qu'on nous dise plutôt qu'il a été créé pour le seul agrément des habitants du l 'niais SolnKîeorg<?:$.

Non, nous avons le bonheur de pô»- sfrlor k R on nos cet admirable jardin de demi-saison evposc lu mtdi et *sn* ombre l'été. Qu'un t'ouvre vlte pour « que nom puissions en profiter des ce • printemps. Ce serait vraiment dommage de nous en priver.

Mais alors, pour le conserver dans son état actuel, qu'on y mette un gardien au besoin e. surtout qu'on demiinde aux grandes personnes de s'y bien conduire, et aux mnnrnns de surveiUer leur progéniture.

Et vous verrez qu A co moment tout le monde sera content, ceux qui veulent l'ouverture des grilles et ceux qui les vou iraient voir toujours fermées. De la pluie et du vent

Dans la vie faut pas s'Cn (air, parait-il; prenons donc les choses du bon côté, et rions-en tout ue 6Uit« pour n'avoir pas à pleurer.

Aujourd'hui, il pleuvrait à Rennes. le tait n'est pas extraordinaire é\1demment, et on y est un peu habitué déjà. A cela rien de nouveau. Malt Il ventait en même temps très fort. oe qui n'est gui>i< plus drôle, puis- qu'on risque à chaque pn#, de recevoir une tulle sur le chef. ou tout simplement une ardoise.

Jusqu'Ici rien. de bten t rigolo comme on dit.

Mais les deux éléments, pluie il vent décliatnés, nous montrent parfois, comme aujourd'hui, des scèncs de rue ûs&ei. pittoresques.

En plus des Rennais qui avaient besoin da sortir, il y avait Ici denombreux étrangers vernis au maiché qui. à cauee du mauvais temps, ne pouvaient tout de même pas s'enfermer toute la journse, danà un caté ou un magasin.

Et que faire dehors quand Il pleut t s'abriter sous un parapluie. Mais quand il vente en même temps. 1 le fermer.

Ceux qui voulaient, malgté tout, protéger leur chapeau, leur toilette e: le reste. luttaient désespérément contre la bourrasque, braquant la pauvre objet, à droite, il gauche, en naut, en bas, tel un bouclier, jusqu'1 oe qu'un coup de vent plue fort le re.tournât. Et c'était dnMff alors d« voix tout il coup réapparaître la tète rm du propriétaire. qui en faisait. une tété devant tous les passants amusés. Vouiez-vous rire ? Sortez' par un* journée comme celte-la, mais sans parapluie, et vous m'en (lire» de3 nouvelles.

LE Piéton DE bKRVia.

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Rennes, samedi 12, jusqu'à 3 h., Hôtel de l'Univers, 0, ru-n Lanjuinais. Redon, lundi Ii, jusqu'à 3 h. :i0, Hôtel de Bretagne, en face la gare. La Querche-de-Bretagne, mardl 15, Hôtel du Soleil d'Or.

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D'autre part, M. Beneck Julien, rue Gouin-d«-Beauol!êne, Saint-Malo, éfialement sociétaire de LA FRANÇAISECAPITALISATION, s'est vu n-mbotirser son titrt K3. capital de 2.500 fr., sorti ,iu tirage du K> janvier liernier.

Ces roiiihoiifseinfiiits ont été cttfvtins tKir Mme BERTONNIÊRE, drinoura'nt boulevard Rochebonne, SI.MALO, agent de cette société dans notre ville.

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•jbe celui obtenu par La Veuve Joyeu1e, ̃o méme auteur; le soir de cette créa. tien sur notre scène, elle obtint le succès le plue mérité, succès que la fin de sal«on ne permet 1-as île prolonger. Cette dernière de La Danse des Libelllules va perliimre aux habitués des matinées d'appré.cier cette Joyeuse 0|>érette. dont la mise en «cène est somptueuse, les costumes fort lieaux et les toilettes luxueuses. L'interprolaxtan est rwurée par la divette Urrrne Jorit, le baryton Parenty, le désopilant comtque Beavger, les cnaiiteuses Nandy j-rla. L. Lcbrcton, les amubajit) GuUtiem, Durtal. uavelly, etc. etc. Deux grands balleti relies par Mlle Biaise et la gracleuse Java avec son éclalrage sensattonnel et a* pittoresque présentation. orchestre et choeurs sous la direction de il. Baymond tayoL

Ce soir. A 90 h. 30 dernière lrrevi-canle de la Grande Revue Locala de M. Pitrre Rigaud,. dont ce sera la 4e et dernière représentation. Toule la presse a fait l'éloge de cette Revue qui est uue joie pour les yeux et les oreilles, où l'auteur fait défiler des personnalités rennaise* ti'>s nombreuses, que l'on viendra applaudir encore une lais Si le texte et la musique sont fort Koutès, la mise en s;tne et .s costtmes contribuent égaloment au succès de la Re Tue, Le décor de a place de la Mairie est très exact. le fliabor également, quant au panorama dA Rennes la nuit, c'est une vl -,ion féerique; Le Ballet des Roses aux n ches costumes, le grand Divertissement si gracieux et enfin l'amusante er. Ironique opposition des danses modernes et anciennes sont un grand succès pour les dames du Ballet. Toute la troupe d'opére'-tc participe à l'interprétation; par sa traité, les }'elles vols la rcwcniblance frappanto de typos > l^aux. La Itcnte cst un triomphe pour tous les lni*r|irt'tos <iui seront HCclaini^ ̃•<• wlr par une salle lonihle. Le S)ectncle commencera îo h. M pruoise» trar La Vannlua. chaînée lwr hllle Sonia Ilasumny, MM. de courcellcs et G, lltcard.

Orchestre complet sous la direction de .V. Maurice Hendértck.

Le bureau de location est ouvert sant interruption le dimanche de 10 heures à 17 heures. Téléphone Ojn.

Mardi-Gras. 1" mars dernière représentation de La Veine Joyeuse. Location lundi malin.

SELECT-PALACE LE MIRACLE DES LOUPS Séances supplémentaires Lundi 2» Février, «cirée; Mardi 1" Mars, matinée et soirée.

Adaptation musicale spéciale

avec grand orchestre.

BAL DE L'IKDEPENDAKTt. Ce sor; à 20 h. 30, l'Harmonie 1'Indépendante donne son bal annuel au Pavillon des Lices.

La date traditionnelle du dlmanclie gras la sympathie qui accompagne toutes les productions d2 cet,'(. ex, cliente société et aussi ses 'mérites personnes sont autant d'éléments de succès.

Ce soir, il en sera eneglstré un nouveau.

Prix d'entrée uiijue 3 frac;*

Cercle Orphiosique Resnais. Le second gala organisé par le Cercle Orphêonique Rennais aura lieu Le mardi 15 mars prochain à 20 heures 30. au Théâtre Municipal.

Nous donnerons prochainement des renseignements sur cette Intéressante sulrée.

Salu du COLOMBIER, rue de Plélo. Quel vilain temps l I)c la pluie, du venU Adieu, la promenade Pour tromper la longueur de l'après-midi, pour voyager sans craindre de se mouiller, venez au-

OBSÈQUES

RENNES. Vous êtes prié d'assister ai miiiui. et Inhumation qui auront lieu le lundi SS février 1SK7. à 10 lieuiv>, en la chapelle de Pontctiaillou. pour le ivpos et le salut éternel de rame do Madame Veuve JAMET

Ace Françoise DUPUtt

divélce Il Pontchaillou, le S5 février. dans .Ni 7.1 année. L'inhumation aura lieu au cimetière du Nord.

De la part de M. et !lime Henri Jamet, sis enfant" de Suzanne et Henri Janwt, srs petits-onfants, et de toute la fanaiue. Le présent avis tient lieu de faire-pan RENNES Vous êtes prié d'assister aux convoi, service vt inhumation, qui ;iiii-oni Hou le lundi '8 février tn-J7, 10 h. 15 du matin, en l'église des Sacrést'uMirs, |K>iir le repos et le salut éternel de l'aille de

Monsieur Armand MAINGUENt

dôrôdé chez s^n frère, à Rennes. rue Guinp.iené, n. 138, le 2i février, dans sa 68' année, mani des sacrements de l'Eglise. on se réunira la maison mortuaire à 10 heures.

).'inhumation aura lieu au cimetière du De Ia part de M. et Mme Francis MainKiitMii'. Mme Julien Mainguené, %fille Bernnrd Mainguené, Mme Alexandre Mainiine.no, son frère et ses belles-sœurs de m'S neveux et nièces, cousins et cousines, et de toute la famille.

RENNES Vous êtes prié d'assister au convoi et Il la me>be d'euterrement de Madame Veuve Pierre BESNIER liée Anne-MarleFrançolse BMA.VD

(livédee chez M. Texler (son neveu) au l'i^enn Blanc, route de Tantes, dans sa fi<c aime,. munie des sacrements de l'Et'iiie, qui auront lieu le lundi •» février ir>7, a 10 heure du matin, en l'église de N'irc Daine de Rennes,

On se réunira a la maison mortuaire à t> heure* 1/4.

L'inhumation aura lieu au cimetière de l'Est.

De la part de :time t've Louls Besnlor, sa heile wrur; NI. et Mme Gtiiuebcrt. M. rt Mme Jean Btsnior, 'Fine Texier, M. Pierre Bosnier. M. et Mme Bébin, ses neveux et nièce?; cousins et cousines et de toute la famille.

lA! pre>ent avis tient lieu de faire-part RENNES-CHATEAUROUX. vous Mes prié d'assister aux convoi et service nul auront lieu le mardi 1" mars, à 10 h. 10 du matin, en l'Eglise de Tous>alnts. pour le repo- et le salut éternel de Famé de

Monsieur Albert-J.-B. LABERGÈRE l'rofcssni;

àl'F.cole Normale d' Instituteurs de Rennes Officier de l'Instruction publique

décédé en sa demetii. Renne*, rue Dupont-des-Loges. Il. le -u février, dans sa Or année. munie des Sacrements de t'élise.

On se réunira 4 la maison mortuaire & 10 henres.

L'inhumation aur.i lieu Il Chatcauroux. dans le caveau Je famille.

Ur rrofundls I

ne lu parti» de Mme a. J.-B. Labergère, directrice honnraire d'Ecole Normale d institutrices, son épouse: MM. Jean et Louis Labergère. anciens élèves de l'Ecole Polytechnique, ses fil-

De toute la famillf Ae M. le Directeur et de MM. le% Professeurs de l'Ecole \ormale d'Instituteurs

Le présent avis tien¡ lieu de faire part, LIFFRE- vous etc.- prié d'a=Mster au convoi et à la messe d'enterrement de Madame veuve DIVET

nc'c Anne-ilarie COUVE

dérêdée .1 Serine, en Liffrê. le ?5 février 19C^. dans sa 7!" année, munie des Sacrements de l'Eglise, qui auront lieu le mercredi 2 mars 1927. si 10 h. dû du matm en l'i-glisc paroissiale de Llffré.

On so réunira a la maison mortuaire a De la part de M. et Mme Henri Dlvet, M et :\fille Victor Olvet. M. tt ViJ'e Che%aller, M .et Mme Do'vssiii M. et '%Fille Juif» Drouln. M et *•̃<̃» l'érotl V. et Mme nouharnu. ses enfants, do tes potits-enfants. de son heau-frère et de sa belle-sœur, de ses neveux et nièces. couUns et cousines et de toute la tamllie. Le présent avis tient lieu de faire-part BETTON- Vous êtes prié d'assister au convoi et à la messe d'enterrement qui auront lieu le mardi 1' mars 1957. à 10 heures du matin. en l'église paroissiale de Betton, pour le repos et le salut éternel de rame de

Mademoitelle Perrine SAUVÉE

décédée Il la Levée, en Iletton. le 3S février 19-37. dans ».i w année, munie des «acremejits de l'Eglise.

De la part de ses neveux et nléces et de Wute la ramille.

Le présent avis tient lieu de faire-part. DINARTVSAmT-ENnr-AT. Vous (,les prié d'assister au service -cllglcujc qui s.-ra céiéiiré le lundi « février 1 ̃} îipures en l'église de Salnt-Enoijat, n •ui'molre de

.dame Auguste LEMEUR

̃ • i D»rt de M. Auguste l.onn-nr. d"1 <nLé Muur et des iainilles lA

DINARD-SAINT-ENOGAT. vous êtes prié d'assister aus convoi e: messe d'enterrement de

M. Charles RENAULT

Retraite d'Octroi

décédé villa des Lianes, rue de Salnt-Lnnairc, qui auront lieu le lundi 38 février, Il D h. 4J. en l'église de Saiut-Enogat De la part de Mme Renault, sou epùux; des lamllles Uuerlacas. Lcnlant et do toute la famille.

Le présent avu tient Ileu de fatre-part. SAINT-LUNAIRE- Vous êtes prié d'assister aui convoi, service et messe d'enterrement qui auront lieu le mardi 1" mars Ui-J7 à Saint-Lunaire, pour le repos et salut éternel de l'ante de

Monsieur Pierre TOUCHET

Capitaine au lonij-cuurs

Adjoint ai maire de aaint-Lunatre en suit vitant veuf de Mme Jeanne BAH dccédé en sa demeure, villa Les rlots, duns sa M année, muni des Sacrements de l'Eglise. On se réuntra la maiïou mortuaire, Il 10 liture: ptéclscs.

De la part de bille Marie Touchet sa fille. et de toute la famille.

Le présent avis tient lieu de faire-part. "SAINT SERV AN SUR MER vous êtes prié d'assister aux convoi, service et inhumation de

Madame veuve HUS

liée Marie Ul'VAL

décédêe chez son fils, rue Georges V, le ?t> févrici tu-27, dans sa 8P année, munie des Sacrements de l'Eglise.

Le convoi partira de la maison mortuaire, le lundi 28 lévrier, à 14 h. 30 très précises, pour se rendre à l'église paroissiale et de là au cimetière du Lorette où se fera l'Inhumation.

De Prolundis 1

De la part de M. et Mme Alain H us; M. et Mme Jean Hus, ses enfants; de ses petits-eufants, ariière-petit-enlant et de toute la famille.

Le présent avis tient lieu de faire-part. CORPSNUDS- Vous êtes prié d'assister au convoi et à la messe d'enterrelucnt de

Madame LEBRUN

noe llmalie NALHt.lKLD

dtctdéc au bourg do Corps-Xuds, le Si filvrier l'J- dans sa àie année, munie des sacrements de l'Eglise, qui auront lieu le lundi -38 février a 10 heures du matin en paroissiale de Corps-Xuds. On se réunira à la maison mortuaire à 9 heures 3/4.

De la part de M. J.-B. Lebrun. son époux- M. et Mme Martin, négociants en grains, son gendre et ta fille; Mlle Renée et M. Marcel Martin, ses iietits-enfants et de toute la famille.

Le présent avis tient Mm de falre-pirt. NANTES. vous êtes prié d'assister Monsieur Paul PERdELINE

Chevalier de la Légion d'Uonneur. dtembre

de la Chambre de Commerce de Nantes décédé subitement dans sa 68- année, en son domicile. rue de la Bourdonnasse, n' 23. où le deuil se réunira la lundi 28 février, 9 heures 30

Offices. Eglise Sainte-Anne. Inhumation. Cimetière de la Bouteillerie.

De la part de M. Jules Pergellne, snn frère, et des familles Pergeline. Aumaltre, Mestaycr

Le présent avis tient lieu de faire-part. NANTES- V(>"S êtes prié d'assister au convoi, service et enterrement de Madame Germaine DUFILHOL

Veuve de Monsieur

Charles ROUSSEAU.DUMARCET pieusement dêcèdée à Nantes, le 95 févricr 19-37. A l'âge de «7 ans. Le deuil se réunira le lundi -28 février, à 9 heures 45. en i'église-cathêdraie. où les offices seront célébrés.

Inhumation, cimetière Miséricorde. De la part de Mlles Paulette et Monique ses filles, et des familles Dufilhol. Gaillard et RousseauDumarcet.

NI fleurs ni couronnes.

Le présent avis tient lieu de faire-part. REMERCIEMENTS

SAINT -MELOIR-nES-ONnER. Mme Vve Gilbert, au Portail. en SaintMéiolr-des-Ondes, xs enfants et la fatnille, remercient bien sincèrement les Personnes put leur ont témoigné do la sympathie a l'occasion du dérés de

Monsieur Joseph GILBERT

ERCfi PRÈS LTTTRfi. M. et Mme Touffet et leur familie, dans l'imposslbllité de répondre aux nombreuses marques de sympathie qui leur ont été témoignées lors de la perte cruelle qu'ils ont éprouvée en la personne de leur fils

Jean TOUFFET

soldat au L. O. A.

prlent tons leur- amis 62 trouver tcl ['*expression de leui «i&tttude.

DINARD- Le-- familles Touzeau. Hannelals et Bochard remercient bien sincèrement le? personne» qui lenr ont témoigné de la sympathie à l'occasion de la mort de

Madame veuve Joseph HANNELAI8 NANTER. M et Mme Achille Morto, M Louis Mnrlo remercient sincèrement les personnes qui leur ont exprimé leur «ympathle A l'occasion du décès de leur soeur.

Mademoiselle Emllie MORIO

Jourd'hnl. à t6.heures 30, i la Satie du Colombier où l'on vous transportera sans fatigue de l'italte d l'Equateur. Vous entendrez mème sa,rrs crainte de naufrage. La Voix de la tempête? Enfla, pour vous dérider et vous 'épanoulr en un bon et la'rg> rire i;a gaze Ça gaze

En somme, belle séance de cinéma en perspective. La l'oix de. la tempête un particulier est un film captivant au possible. Il a a des scènes émouvantes daata le cadre toujours si grandiose de la mer.

Billets fr. 50, 2 fr. et t fr. 50. On em. trouvera à la porte de la sallc à, 13 h, 3o. CETTE SEMAINE

PLEIN LES BOTTES TITT^

Suxe DES SacrCs-Cœurs, Bile Bernar'dPallisij. Le nombreux public qui se pressait hier soir à la salle d'oiuvrcs paroissiale n'a pas dû "regretter son dépla- cement, car la projection du magnifique film La Terre prowftc a montre à tous uue des meilleures réalisations cinématographiques.

Ajoutons qu'une nouvelle séance sera donnée aujourd'hui à 16 heures précises.' La séance se terminera par un film des plus comiques Lit drame chez Pollior. Location ouverte, ce matin de 9 à 12. heures et l'aprûs-midi à la porto de la salle.

EXCELSIOR

Deux grands film»

SA SŒUR DE PARIS

MATADOR, avec Rioardo Cortez SUR LA SCÈNE

Les gagnants du Concours

de Charleston

danseront devant le public

en matinée et soirée

Matinée DES Anciens Elevés DE l'Ecole PRINAIRE Siperieube. L'Association des Anciennes élèves de l'Ecole Primaire Supérieure donne aujourdlml à il. h. 30. une mattnéo récréative dans la salle des fêtes do l'Ecolo, 2, rue Jean-Macé. Au programme, interprétation de l'opôrelié en un acte d'Oftenbach Le Mariage aux lanternes et concert.

Les billets, au prix de 3 fr. seront délivrés à l'entrée de la salle.

Les sociétaires bônêficlent d'une réduction de 50 p. 100.

LA MATINEE ENFANTINE DES ANCIENS ET AMIS DU Conservatoire. Ia matinée travestie tiri- dltioiuiello que les Anciens et Amls du Coiisorvatulrc iloivcront mardi prochain (Lans les Salons Uaze, sera un succès de pius à l'actif de Cette soc et

Outre un programme iniislr.i- copieux où no llguroiLt fus moins de. Go nrllotes en herbe. des divcrtissunir/its variés seront exécutés par u'iiabiles danseurs, pour lo plus grande joie les spectateurs.

efforts d'ingéniosité qu'elles auront faits pour costumer leurs bâtions 5 seront récompensés par l'H-.trib'.ition de nombreux prix qui seront dis;.ribués. Un conco 1rs individuel, un concours de couples et un concour. de ;.roupe sont en eftet prévue. Indcpeudanunent des prix donnés au concours, il sera fait uns ample disuibutien de friandises et souvenirs.

Jtols le pius toaiu souvenir que chacun pourra conserver de celte fête de famlll» ce sera una superbe plictoçfraphic faite sur place, par an almao!e prolessioraiel, avec l'autoriuti;)i de M. Ga<e

Les sociéutres et les Invitée trouveront comme, d'usage, des carte; à l'entrée des Salons.

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MARDI GRAS(Mat. et Soirée) et Jours suivants

LE FILS DU CHEIK nvt-0, VALENTINO

SON DERNIER FILM

l CIIAPF.VU DE PAILLE D'ITALIE » AU PA. tkon\ce SdNT-lUXItR. C'est la sallo des l'êtes du boulevard Lafii.C qui doit rece-voir à 16 heures précises toute une jnyeuse noce où tous les parents, amis des marié.s s'acharnent à courir après uu chapeau. Les scènes d'un coniinue achevé derident Jes sectateurs les plus enclins à la mélancolie.

Billets en vente à la porte de la salle à partir do 11 heures.

LA LYRE Hennaise. La T.yro Ronnai?e nnianis» un grand bal de nuit. le Mardi «ras dams les Salons de l'Hôtel Continental. Un brillant orchestre prêtera son concours. Entrée 3 francs.

LE VOYAGE DES beiuxrons », A U ToL-R d'Al'vercne. Nous avons déjà annoncé 1es spectacles qui devaient se dérouler très prochainement.

Voilà le dimanche 13 mars 1W7, à li hcures 30. la troupe d'artistes amateurs de la Tour d'Auvergne donnera la premlèru représentation d'une pièce qui remportera le succès qu'elle mérite. Le Voyage des Bcrlurous est une comédie vaudeville eu 4 actes. d'Ordoneau-Grenel nancourl-Keruel. Tous les Rennais viendrons applaudir les artistes de notre grand iiatronagc dont la réputation n'est plus à faire.

Vous en reparlerons d'ici peu. (ComSYNDICATS & SOCIÉTÉS

Union DE défense Professionnelle DES Ciieminois (Ormijte de Rennes). Les camarades de l'Union nationale de défende professionnelle des cheminots du groupe de Hennés sont instamment prié» d'assister à la réunion qui aura l'eu le mercredi -.i mars 1027, à 20 heures très précises, au Palais Saint-Georges.

Ordre du Jour renouvellement du Bureau lecture de la correspondance rapport moral: envoi de délégués à Paris à l'occasion du Congrès.

En raison de l'Importance toute spéciale do cette réunion, nous Invitons panicullèreinont tnu. les camarades a y assister. la carte syndicale .·era rlgoureuîcnietu evigéo à l'entree.

Amiens Mmiins nss EomMors w. M Ftonï. Lo banquet annuel de la Société des antiens marins (les Equipages de la Flotm aura lieu le dimanche 6 mars, à midi, dans une des salles du restaurant flartby, rue d'Antraln. Tous les ancien* marins, sociétaires ou non, sont priés de vouloir bien y assister.

Pour la première fois depuis la fonda-' tion de la Société, les dames et les enfants y seront admis.

Le prix par personne est fixé à 15 francs !6 francs par enfant au-dessous de ans) et devra être remis à l'ancien cafc'Libiol, rue Beauinanolr, te mercredi mars, jusqu'à -31 heures, dernier délai. Qu'on se le dise

Chez LES OrvmtRES rT Ouvriers Coirfeirs. Les ouvrières et ouvriers coif fenrs sont invités à la réunion corporative qui aura lieu 4fl lundi 28 février. à 2Vh. M précises, salle du Palais Saln-tfieorges. l.es questions corporatives sont à l'ordre du jour. l'résence Indispensable. Le Bureau provisoire.

Avis DU ClRHPIMrNT PllIUTÉLIorE DE FmvE. I*s jxiciélalres sont priés d'assl*i«r Il. réunion mensuelle qui aura li<ni le niRr<-io.lt 2 mairr. de 17 heures à 18 h. 30, eue Martenot, 9..

'ordre ûu'iour^: 1° remtse aux sociétaires, de ^piruualileatioos ou nouveautés ve naittdu siège central 2' 'Communications diverses 3° causerie sur les timbres de Tunisie 4' étude sair les vieux timbres des colonies françaises par M. Gérard 5* référendum au sujet dit changement éventuel de l'heure des réunions que plusieurs sociétaires voudraient à iO h. 30. Les sociétaires dans riinpoxslbUlto de venir le mars ont priés de faire savoir leurs desiderata avant cette date. AVIS IMPORTANT

Nous ayons l'honneur de prévenir MM. lès Annonceur* qu'en raison des fêtes du Mardi-Oras, la publicité a paraître' dans notre numéro du mercredi 2 mars devra être remise avant 10 heures le mardi 1" mars, DERNIER DÉLAI, a nos bureaux ou ceux de l'AGENCE HAVAS, 3 et 6, Rue Le Bastard Rennes.

CONCOURS ENTRE APPRENTIS IMt'RIiYLEUHS DE RENNES. Sur l'initiative de M. le ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, des concours auront lieu le 14 mars 1927 entre les apprentis travaillant dans les imprimeries de Rennes. Ces concours sont dotés de prix eu espèces.

Les apprentis concourront par spécialités de catégories duus lots condilions d'après

1» Compositeurs typographes. ]'• catégorie ai>prejitis éwnt dans leur 2« année d'apprentissasu au 31 dérembri1 1926 la catégorie, apprentis étant dans leur 3o année d'apprentissage au 31 décembre Il,)-26 3° catégorie, apprentis étant dans leur 40 année d'apprentissage au 31 décembre 1926.

2° Intprimeurs typographes. 3 catégories dans les mêmes conditions de durée d'apprentissage que pour les compositeurs.

30 Trartsportcurs lithographes. Trois catégories dans les même? conditions de durée d'apprentissage que pour les compositeurs.

4° Graveurs lithographes. Trois catégories dans les mêmes conditions de durée d'apprentissage que pour les compositeurs.

5» Photograveurs.– Apprentis sans limitation de durée de l'apprentissage.

Les candidats devront sp faire in-.crire à. la Préfecture d'IIle-et-Vilaino (l« nivjsion), de 9 heures à midi et de 14 liPtires à 18 heures (17 heures le samedi), du :?il février au 5 mars inclus et produire, au moment du dépôt de leur d.iande, un certificat de leur patron indiquant leur spécialité et la durée de l«mr appreniU. 1 sage au 31 décembre 1926.

ETAT-CIVIL DE RENNES

NAISSANCES

Tvetto MarcadA. rue Saint- Malo, 75; Monique Vlaréchal, rue Kléber 7; M.11^celle Renault, rue Porcou de la Barblnais, 4 Irène Dianceau, rue de la Visitation, 17 Henri Touchais Hotel-DIeu Pierre David, rue Danton, Ile Sablon. nière.

Mariages

Charles Provost. clerc de notaire, li- cencié en droit, rue Voltaire, 7, et Jean ne Gouriclion, s. pr., rue Alaln-Boucbart; Michel Krembsor, nfarchand forain. Il Dinan, Et .Madeleine Cbérie-Dupont, s. pr., à Dinan.

Jean Lomet, caporal au «8e régiment d'iiif., à Guinganip (Côtes-du-Nora), et Berthe Morel, s. pr., rue de Lorient, 71. Jcan Roussel, menuisier, à tiennes, et Anne Avice, s. pr" a Rennes.

François Tlicz*. cultivateur, à Oulchen, et Kose Danet, s. pr., rue d'Antrain, 16n.

Maxime rouassier. cnmmis de j<ercpfion, à Paris fisc), et Jeanne Brune!, dame employée des Postes, boulevard Masemi, i.">.

Simon Goldin, voyasrur de commerce, boulevara Beaumout. 6. et Anne Gilles. infirmière, rue de Brest, 19.

Joseph Guémas, cordonnier, rne d'E chance, 7, et Geneviève I.efeuvro, fem mo de chambre, rue DuhamJ, il. DFCÏS

COURONNES MORTUAIRES, RENNES BROSSAULT, cirier, rue de Montfort André Esla.n, 1 jour, rue Jean-lacé; Auguste Lesné, s. pr., veuf. 73 ans, rue do Paris. va Veuve Coupel, née Marie Loisel, 65 ans. rue Gerbier, 8 Francis Berthelot. maçon, marié. 53 ans, HôtelDieu Victor Saudrais, s. pr., veuf, 7-2 ans, rue de Paris 108 Alexandre Chaperon 10 moins. IJotel-Dicu.

Janzé

ETAT CIVIL. Katssanccs. Lcdoux Germaine. route des Trois Sapins Laclre Kogor. il Meniuelande Gaultier Rosalle, à -1'Fpine Blandiot André, au Mesail.

Publications de mariage. Honoré Ifriidc, taupier..1 i et otariematl, cultivatrice. à Janzé Kiné Beau' driT, charpentier, à Anianlis, et Joséphino Paris, ~pailleuse de chaises, à Janzé Julien Leprètre, commerçant, à Piré, et Ainbroisinc Féty, commerçante, à Janze.

Mariages. Victor Even. retraité des chemins ae fer, a Vern-sur-Seiche, et Marie Ilaslé. épicier, à Janzé Jean Texier, cultivateur, à Janzé, et Rosalie Gendrot, cultivatrice, A Janzé Jean Chevrel. cliarron, a Janzé, ut Rosalie Geslin, s. pr.. Janzé.

Décès. Jamier Estelle, veuve Lepré choux, 7î ans. à l'Hospice Rouesn6 Rosalie, veuve Chedemail. 72 ans, boulevard Pasteur Plslard Marie, veuvo Rotianx, 78 ans. à l'Hospice Lunel Louis, marié. 4t ans, à la Touche-.Ni.colle.

AUJOURD'HUI

De S h. 30 à Il heures, au Stand SLiintEtlèniie séance de tir de l'Union. A i0 lieuTes, au café Tliéaudm, rue de Reancs r*i:»inion de la classe 190S. A 14 h. 30, au Sévigiié Palace Cinéma matinée.

Phannacion de service M. Hamonouyrue Poterie.

L'ANNUAIRE D'ILLE-ET-VILAIXE pour 1927 est fn vente au Dépôt central de l' Ouest-Eclair rue de Paris. C'est le plus complet et le mieux .fait des annuaires. Son prix est de 15 francs.

JEUNESSE CATHOLIQUE. Le groupe de la Jeunesse cathollqua de Vitré donnera aujourd'hui sa séance annuelle dont le programme est très intéressant.

OBSEQUES. Hier matin à 9 h. J0 Alexandre Thomas, percepteur à Be-

MM. Bougot, instituteur public Guruier, ancien 'négociant Levèque, commis principal des Hypothèques, et Scipion, caissier de la Canisse d'Epargne. tenaient les cordons du poèit. Dans la très 'nombreuse assistance qui suivait le convoi funèbre, nous «vous remarque MM. Ctnititclot, adjoint au niutrc do. leur Martinnis Dudos, magistrat eu retraite Quentln, notaire Murdele, propriétaire Brunel. conseiller municipal; Aloitals, Juge de paiix honoraire P>rrault, receveur principal des Contributions indirectes en retraite Touze, directeur particulier d'ossunini-es Gillcs, rédacteur à la maigrie Hubert, greffier de paix; Raintbauft fils, Aittin, négociant; Estrade, offlcier en letraite Pinot, Boulais Fouillet, Briand, Grlmoux,' Hervagault, S. Martin, Groult, Bernard Louin, ChapeLais, etc.. etc.

Après le sen-ice funèbre à SaintAlartin, l'inhumation a eu lieu au cimetière de Vitré.

Nous renouvelons a Mme Veuve Thomas, à ses enfants ainsi qu'a toute la famille. l'expression de nos bien vives et bien sincères condoléances.

ETAT-CIVIL

baissantes. Marie rire d'F.rnre Raymond PoulKiuen, rue du Collège Loulso Boutn, pronicn.ido du %il André Fuuvol. mute de Laval Paul Llgnel, jut de la Trémollle.

Mar talle, François Gallon, couvreur, boulevard des Jacobins, et Vlrtorue Pcrru->ol, trlcotcuse, rue de Sévlgné. Décès. Anne-Marie Tricot, tricoteuse, ans, rue Pasteur, U Jules Hudin, ouvrier agricole, 6d ans. rue Pasteur 13 Jean-Marte Groulet. journalier. 66 ans. au village du Mêe Raymond Pouliquen, 3 jours, rue du Collège.

La Guerche-de-Bretagne

AUJOURD'HUI. Pharmacie do ocr vice Ruaux rue de Raniid'.

A 14 heures Réunion de la Société do ïdraurs Mulnrls.

A 20 heures 30: Concert de l'Union Philharmonique.

ETAT CIVIL, Aaf.anccj. Paule Lemée, La (Jucrche Emile Adam, La Guerclte,

1 Mariage. Louts Thôhot, représentant do commerce à Angers (\iaine-etLoire), et Marie Thérèse Masson. s. pr., faubourg de Remues, La Guerche. Publications de i.criage. Guillaume For, mécanicien, rue Duguesclin, et Amélie Le (iuillon, couturii'i'O, rue Leni'Tcier, Puutoise liené lK'll.ingcr cultivateur, Lt Congrier, et Marthe liouv» cultivatrlco Jean-Mavlo Lcfi'uvre, chiffonnier, à La Gurrche, et Marie Muvcl, s. pr., à Dais Joseph Mazurais, cantonnier nimilcliial, à La (juerclic, et Marie llotiriii, coiuurlére, à la RuO I.uIkI D.il Roiiiu, manœuvre, et Célcstlno Ilriand, ouvrière, à Drouges.

Décès. Léopol Brossais, maître d'iiOtel avenue do la Gare Emmanuel Certenais, s. pr., place du Champ de Foire Jeanne Gueultier journalière, à Vlssel che Jean Pierre, journalier, faubourg de Rennes Marguerite Guibourg, s. pr.. Champ de Foire.

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Chauffards dangereux et violents Le 8 août dernier nous avons rappelé les faite il y a peu de jours deux automobilistes, Louis Kolland, âgé de ;G ans, courtier à Paris, et Marcel Lecoq, âgé de 23 au«, sommelier à Paris, traversaient, dans la soirce, Saini-Méen-lo-lirand, toutes lumières cleintos.

Ils fallircnt écraser pluslcuiv personnes parmi lesquelles -Ni. Leinuiiie, notaire.

Aux observations qui leur fuirent adressées, ils répondirent par des injures et des menaces

« C'est tle la lumière qu'il voue faut, dit Kolland, je vaia vous en donner » Et joignait lu ge^te à la parùle, il frappa son interlocuteur. Lecoq, qui avait, dit-il, bu un pou plus que de raison, se livra lut aus>i à des violences sur M. Lemoine. Puis, en matière de bravade, l'un il^s deux jeunes gens tira en l'air plusieurs coups de revolver.

C'est en raison de ce dernier fait que M. le substitut Urouard demanda, il y a quinze jours, le renvoi de cette affaire.

A cette audience, Lecoq comparait seul, son camarade faisant défaut. Il a la mauvaise idée de nier les faits qu'on lui reproche et Le n'e~i qu'après le très «sévère réquisitoire du ministère public qu'il se décide a avouer sa part de culpabilité, ce sur les conseils do son défenseur. C'est un peu tard, lui fait remarquer Ni. le président Ciiiillauniiti, Le tribunal se retire pour délibircr et revient avec le jugement suivant Louir Rolland, 4 mois dc prison Marcel Lecoq, 2 moio de prison. %SA

A L'U. N. C. Dimanche G mais, l'Union nationale des Combattantes donnera une matinie li salle des fêtes avec le concours de la r'éderation centrale d'amateure et de la société La Tour-d'Auvcrgne de Rennes.

Ou jouera une amusante comédie en 4 actes Aux crmhets d'uit gen- dre. Pendant les entr'actes, un excellent. chanteur comique de Rennes, M. Lemesle, divertira l'assistance. Rideau à 2 heures.

LA nEDOXNAISE. Aujourd'hui 27 février, de 9 h. :>0 à 11 h. 3(1. au *land de la rue Saint-Pierre, continuation du tir-surprise h la carabine, A l'issue du tir, distribution des primes et clôture drs séances de tir de la saison 1926-1927.

ETAT-CIVIL

Satssance. Besnard Pierre, à Beauregard.

Mariage. Duval Léon, cultiv. et Fontaine Félicité, s. p.. célib.

Décès. Bouestard Jeanne. 8. ans, veuve Bouillant, hOpital-h^pIcc: Hubert Jean Marie, ̃>} an», culliv., rue de Talentac, él>uu.\ de iieliamy Annu-Maric.

Montauban

VIOLENCES LEGERES, au cours d'une discussion à propos de de son Ills, le sieur Muii'ïiiy a et* bousculé par le noiiiiiit: lilauchet et se plaint d'uvoir rci.u un coup de poing au visage.

Lu scène s* pa-ssalt le 22 courant. au village de .Moiitaubun, dans lit demeuru de M. Blanchit, bur plaint* de Mainguy, la-gendarmerie enquête. Les Iffs

UN LARCIN. Tandis qu'U était absent, M. Morin, demeurant à la Toutenais, cuinmune des Iffs, a eu d«ux paires de bas et deux paires de chaussettes enlevées de sur la haie de son jardin. Il a porté plainte contre inconnu.

AUJOURD'HUI

Pharmacie ouverte M. Sarzaud. Grande Hue.

Boulangerie ouverte M. De·prés, rue Notre-Daiiu1.

A 1 h. M et -m h. ;;0, matinée et soirée a l'ArtWIr. t'inini.i.

A 16 heures. suanco rùcréutlvo salle SU Conwolon.

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Une jeune fraudeuse. Léontine Leconimaiidoux, âgée de dix-neuf axis, de bixt-sur-Aff, comparait devan: le tribunal correctionnel sous 1 inculpation de fraude de beurre.

Elle avait', en effet, vendu, à deux reprises il M. Dalard, épicier, des mottes de beurre de un Kilo contenant environ un tiers de saindoux.

A l'audience, la jtuue lltle avoue la fraude. Klle d'H-lare qu'elle a transigé avec M. Dalard, pour la tomuio de 60 francs.

Cela n'empêche pas les poursuites pour la fraude, dit M. le substitut Drouard.

La jeune Lecommandoux est condamnée à Vj Jours de prison, 100 fr. d'amende, et aux frais, plus deux insertions du jugeniPiit dam l'OuestEclair et le Nuiiiellisie.

Propriétaire ni locataire. t'n* journalière, Antin Desint, âgée da trente-six ans, de Mnxciit, vivait vr\ très mauvais termo> aveu s;l ptopriétairi', Mme Vve I.er>ii\.

Le 3 décembre dernier, 11110 querelle s'élova eiucû les deux fcnims, un sujet de trois groscillers qui; lu jardinier de Mme Vve Leroux avait cuu. pés dans le jardin de la locataire. Vve Leroux

Des coups suivirent N la propriotaire fut blessée ù. la tête

La journalière pixteud n'avoir fait que se détendre.

Le tribunal condamne la femme Destot à io jours de prison.

Sainte Mougij aime le s bijoux. La femme de ménage qui répond au patronyme de Sainte, a soustrait en 1926 une b.'gue à Mme Renouvel. Les soupçons qui s'étaient porté» sur elle dès le début furent coutirnu-s par les déclarations d'un horloger île Ssalnl-Gi'i'inaiii-de-Hivcl qui iTcuiinut la montre riia.ssariJ, montre trouvée dans les mains de la.

nière et plutôt pour cetu- raison, jo tribunal se montre sévèro et indigo à Sainte Mougy doux mois de prison. Domestique, indrlicnt. Mme Le avait a .-en service depuis rjnvlquf.s Jours u:i8 femme de Journée, l.ëoiil--1 Il,houx. A vrai dire. Mme Le Calice n'avait pas une absolue confiance «l:ins 1» probité df ?a domosiiqur.

Le 8 février dernier, •Ile cnnstaia la disparition d'une bouteille 11» rhum que l'on retrouva au e*irs ne l'enquête au domicile de L-ouTe Desliou.v.

L'inculpée nio If vo! 0: son nttitmjt lut vaut 15 jours de prison sans sur- sis.

Bourg-des-Comptes

RETOUR D'LV SOLDAT MCHT AU MAROC. Le 23 février ont eu lieu les obsèqufs de M. Victor Letrot, caporal au 6C résiment. île tirailleur* marocains, mort pour la France à Me-knès le 26 octobre 19iO, à l'ùge de li ans.

La messe de Ueqitiem a é;é dite par M. l'abbé Le Gall et M. Delanoë, recteur île la paroisse, donna l'absoute. De nombreux amis ont tenu par leur présence à témoigner leur sympathie à Mme Lelrot, si éprouvée par Soulagement immédiat, -tuti son parte- Globules Rébaad tais Surprenants mêm%. Le Klac. 13.80 Imp. comp. De:o. notlc» >UX,]7,r. Vletor-Hato. 8OIS-COtO«6tS(S»ln«J L IVROGNERIE

r.e biiveur Inretere peut êir« guéri un 3 jours s'il y coa«:it. lui peut au>si le guérir a boa ln>u. Uie Toi* ifuert. c'est pone la vie. Le moyen e»t doux, iurréahle, et tout -1 fsit Inoflenslt. Que ce so:t un tort nuveur ou non. au '11 le soit dapals peu

ou depuis fort longtemps, cela n'a a pas d'Importance. C'est un traitement qu'on fait elle7 soi. approuve par le corps médical et dont ̃"•^•Vaclie est prouvée par des lésions d'attestattnnx Brochures et renselgnemrnts sont envoyés i:ratl> et franco. Kcrlvei i-nnfMenilellPment A E .1. WOOC» Ltd 167, Strand 33 D.X., Londres W. C. 2.

Un Livre Pratique LE VÉTÉRINAIRE POPULAIRE Beau volume de 5% pages. avec 1S5 Itou, «M. E.GOMBAULT, U-VMritun de. HintJtfnnct ..au' i'lr|eit de U SodtM des igricolteori de Frac@ Cet ouvrage décrit les MALADIES

des CHEVAUX, du BETAIL et des CHIENS avec leurs eau. diven de ferrures et les formules des médicaments 1.. plus tu de

la perte de ton Uls et à toute la faaiiue.

Al. Le FIul'Ii, auii ti-e NI. Victor Letrot, l'L'pt'taciiiail i'Liiioii nationale uo Combattante avec lu drapeau de la secuoii u liie-el-Vilaine.

Apre» tes dernières prières, il reUU'.a eu quelque;) mots émus la vie du jouuc MilUiil. Il redit également Icuuuni, l'tmliousiuMiie uu juuiu: \uluiitairc partant juyeitum.nl puur, uu pays du lui inconnu, uit ralicnilun.nl lunt du fatigues ci, u la Un, la inoiL

Guichen

VOL. Jeudi dernier, veis ij jil-ules, Mlle Mine lire-ssaull, dont ia meie est diartutièiu au bourg, delai.s.-ait quelques instants son magasin puur Uoiuitr un renseignement à sa nièie, restée daus la chambre. Mil*" liiosbiiuli a. an laissé sur le buffet du magasin un pone-uiounaie (;onu uam environ 3jo fiance, destinés a l'uyn- toit chiffre d'affaires.

Oueique3 niuiuti's plus lard, sur les ni>pels de Al. Alphonse Gruel, de la H'iuviais, elle revenait au magasin; uue femme inconnue s'y trouvait avec M. (jrutl elle demanda le prix du làté et punit. M. Gruel, qui était atrive après cette femme au inaKaMli, demanda un service à Mlle Brossault it quiua à soi) tour la maison. l.a jeune fille, regardant alors dans son porte-monnaie, s'aperçut qu'sil qu'il était vide seul, un billet de S liane» dissimulé dans uu compartiment était resté.

Connaissant fort bien M Gruel, la jeune lille apprit de ce dernier que la femme inconnue se trouvait sou arrivée au magasin et en donna un signalement.

La gendarmerie, saisie de la plainte de la commerçante, se mit en cam liURiie ausitôt. Elle fit diligence et réussit u retrouver la trace de la Oiniiie en noir, qui fut inierpellCo Mir le chemin vicinal du la Rouvrais, ver» 18 heures.

Cette femme refusa de donner son nom et declara tout d'abord qu'elle n'était entrée dans aucune charcuterie. Mise en présence de M. Gruel, c? dernier la reconnut foinn'IK'nicir Enfin, après hicn d<s hésitations, elle, décliua son état civil c'était un» r»;nme Cheval; de ld Renaudière, en (iiiignen. Comme on lui demandait pourquoi elle n'avait pas quitté le hourg par la direction qu'elle aurait dû prendre, (,!le ne répondit rien. Elle s'offrit être fouillée et présenta nu polio-monnaie loiiniii'it i:ne somme de 503 fr. 30 en deux compuriiinoiiis d'rJains «les billet. à leurs plis, furent reconnus par Mme l!i'O!-saull, mais la femme en noir nia ;cs avoir pris.

Cette femme avait été à l'étude de .NI-, Le Cornée, huissier, avant de passer chez Mme Brossault. Elle devait donner une certaine somme et déclara à l'Iuiss:er qu'elle ne le pouvait pas, n'ayant pas l'argent. Ensuite, dans une autre charcuterie, chez M. Lecoq, elle avait demandé du pâté, mais comme il n'y en avait plus, elle se dirigera alors vers la charcuterie lîrnssnult.

Comme on le voit, 1«5 charges contre la femme Cheval s'accumulent, et cependant elle nte toujours avoir volé. L'enquête se poursuit.

Combourg

SECOURS MUTUEL, Les membres du bureau de la société du Se.-l'iirs Mutuel de Combourg, prient MM. les sociétaires qui sont en retard a verger leurs cotisations, de bien vouloir s'acquitter de cette mission pour le 10 mars. sous peine de Se voir faire l'application du l«r paragraphe de l'article 10 des statuts. f.e président compte sur la bonne xulonté des mutualistes.

UN VOL IMPORTANT. Dans la soirée de lundi dernier, NI. Lenorniand, commerçant au bourg de lioniicinain, ust allé dans la soirée chez son voisin, NI. Valet, débitant, pour y écliauger un billet de 50 fr., qu'il prit daus son portefeuille, lequel contenait environ 10 billets de 100 francs.

Le lendemain matin, il en a constaté la perte et malgré ses recher(lies, aucun indice Cependant, après deux jours de surveillance, M. Lenormund apprit qu'un remouleur ambulant, séjournant dans le bourg de Uoniiemain, se livrait à do* libations peu Il rapport avec sa situation. Il on tu part a la gendarmerie de Conihourg.

Notre chef de brigade, accompagné d'un de ses gendarmes, se rendit sur les lieux il. après une minutieuse enquête, le rémouleur fut interrogé. Pressé de questions, ce dernier finit par avoner avoir trouvé le portefeuille sons une table au débit de M. Valet, et le sortant de sa poche il le présenta aux agents de l'autorité, mais lit-las il était vide. Une perquisition dans sa roulotte a fait découvrir une somme de 515 frnucs qui a été \(i~ée NI, Lenormiind.

Ce rémouleiii ambulant qui se nomme Thun! MiihPl. de 35 ans, a été mis il la disposition de 1\1 1,' Procureur de la République à St-Malo.

Marche -le Paris

PtRIs, ÎC lévrier. Marche Insuffisam- ment approviMoiuié. Vente |teu active. Uaiv m' sur la dauiade. le liarcnu, la lanpousie. et le merlan brillant hausse sur la bar- Imr, la soie, le turbot et le colin.

Marie Au kilo flarbues .s Il 16 Bar5 12 fi 30 Carrelets 2 à 4.7O chiens de tuer décapités il à colins décarelié-. G a 9: colins entiers ? </i0 congres 3 à 6: crerettes irrls**s 5.;jO a ~i: crevettes tances âu'n GO: moyenne* 23 a -E>; lietiles 1.1 à -m- Daurades de France à à B; Homards vivants Jft a •̃»: langoustes vivantes sa à '9 langoustines à a 1-.1: lifil-1- ijuereaux franrais î.rroç 7 a 9: merlans brillants 4 a G: ordinaires l.ao à 4 niuleis s il entières 4 harbetj 8 01 rciUBCIs-ijroudiris 3 à fi: voles françaises «rosées i 1 90 soles tninc aises |ioiHi'« I? à 16: turbots 10 a 1": saunions tiainalf -il 4 08; fiiso Montez ri Au cent 1 a. ]cui(1r> 0 ^:iint-.liiic|lies ;.O a !?̃.

Ain io<) kilo, Moules on a "i

Ail «.<l 0 ."i.jO.

Au rcut Ilunrr5 Mareinies m» 4 r.;> Krr\togn MarC" i?i.vn kilo« Lau éouce lioo kilos Coquillages w.soo.

DU HAUT DE LA TRIBUNE Encore et toujours la D.H. Les quelques articles que nous avons consacrés la Division d'honneur noue ont valu plusieurs lettres, traitant de la question qui Intéresse au premier chef les clubs actuellement en Division d'honneur, ceux qui travaillent pour y accéder ainsi que le public, ce bon public grâce auquel il ne faut pas l'oublier. le sport vit.

Pour ie moment, nous nous contenterons, au cours de quelques courts papiers que nous consacrerons à la Division d'honneur, de dire ce qu'en pensent joueurs, dirigeants ou spectateurs Lorsque nous aurons ainsi exposé les idées de chacun, nous essayerons d'en tirer une conclusion. pensonnelle.

D'une longue lettre que nous envoie un vieux sportif rennais, nous extrayons ces quelques idées partagées par bon nombre de personnes. C'est très joli d'avoir beaucoup de clubs et à cet égard la Ligue de l'Ouest a droit à des élogee, mais elle a perdu toute autorité parce qu'elle n'a pas su, en même temps. maintenir sa place parmi l'élite. c'est toute l'histoire de l'égalité par en ba. On a amené les petits clubs à l'assaut des grands et l'on s'étonne aujourd'hui de ne plus trouver que des ruines.

Si P-Triî. qui compte plus de 3.000.000 d'habitants, qui fascine et retient tout le monde, on arrive difficilement à compter plus de dix clubs vraiment dignes du nom, comment veut-on qu'à Rennes, à Saint-Servan, à Quimper, à Angers, et à plus forte raison à Laval. Vitré. Pinan, etc. on pufe?e former assez d'équipes sérieuses pour gonfler la n. H. ju rang qu'elle occupe. C'est foLe pure. La politique de la Ligue de l'Ouest eut dû être de s'appuyer sur 3 ou i grands clubs (1 à Saint-Servan, 1 à Angers, 1 à Brest ou à Quimper, 1 à Renn«), dont elle aurait facilité le recrutement, où 1 s bons joueurs auraient fait un stage de un ou deux ans. et sur le terrain solide pris comme base, développer partout !e goût du football.

Nous continuerons dans un très prochain article, publier des extraits de cette première lettre remplie d'idées que nous ne faisons pas toutes nôtres, maie qui néanmoins méritent d'être citées.

J. Morin.

LE RELAIS

DEL' « OUEST-ÉCLAIR » (4- Année)

Vitré Fougères ̃ Rennes SERA COURU LE 3 AVRIL Les durs désireux de prendre pnrt rctte épreuve peuvent rl^< maintenant Acmnniier tons renseignements 1 M. Ocmnin, Liberté, Rennes.

MATCHES INTERNATIONAUX L'Ecosse bat l'Irlande par 2 buts 0 0 Beltasi, OU Marier. l.e malrli inter de a vu ces derniers battus par buts 0. A la mi-temps 1'Lcosse menait par l a, 0.

MATCHES OFFICIELS MATCHES OFFICIELS SE DISPUTANT SUR LE TERRITOIRE DE LA L.O.F.A. le dimanche 27 février 1927

Dlïislon d'Ilonorur Objet d'art offert par M. Uucrault Conseiller lït'iiOral U'tllc-et-VIlaine

Armoricaine de llrest contre Stade nrloclan U.C.. à nrest rirblire, M. Thos. Smde Kennnls U.C. iniitro L'.S. Servanvanniilse. à Rennes urbitre, M. Clément. La Me)linet contre Club Sportif Jean Bouin, à Nantes: arbitre. M. Le Coent. Challenger de la L.O.F.A.

Equipes deiiTlrmcs

A« Sp. Iire&loi-e contre Armoricaine. a Brest: arbitre, M. l.e (juiquis.

l.s. servannalse contre Stade Rennais; arbitre, M. Dclarue.

H'inlprt troisièmes

Club Sp..ïoan P-oulu c-nitrc l»r;i|K'nu de h CliateauhHant, terrain des Voltigeurs Caslrlhrlanttils arbitre M. Delniulre.

Ei/M'i»1; nimlrlimen

U.S. Surviinnalse contre AS. Cheminots !!• riii.ii?. à sa'ut-Mnlo arbitre. M. Lal'orie.

Interdistricts

l'remitrc Setlc Hquipes I.

Rioile Dinardaisc contre Stade I.e>nc rien, a liinani arbitre. M. Vallrv. a Anneis .irliine. M Albert.

Coupe E.-J. FoUlard

Saint Méen arbitre. M. Haniel.

freene. à Servou arbitre, M. Drninneaii.il CHAMPIONNAT DE LA L.O.F.A. Drapeau de Fougères (3)

contre C. S. Jean Bouin (3)

Aujourd'hui, a Ut'<li>n, nous aurons le p)ai-ir de voir ces deux clubs 'affronter sur le terrain dt*> Voltiseur*. Nous ne «IImn» rien sur l'Intérêt spmtlf ciue nrfxMite cette reni"onti*c ces deux clubs ayant déjà élé aux prises, à Chàieiiuhrlant. La partie sera nrlilti-ec par M. lielondie. de M va

En lever de rideau, nous assisterons il l'amiiiulle renrnnti-e rte nos deux rluli" |i«aux le S A. ravtclprtani.i^ il) et les Wiltljreur;. rast'lbManials II' Nmi? ne b.i- Mrdernns aucun pronoslir, i-haniiR é<|uM« toire.

U.S. SERVANNAISE contre

STADE RENNAIS U.C. Aujourd'hui, aa Parc des Sports daSJt.U.C.

Nous rappelons que c'est aujourd'hui, à fi h. 30, que M. Clément, arbitre fédéral sifflera le coup d'envol de cette partie, qui doit compter comme une des plus Intéressantes que le S. R. U. C. aura à disputer cette saison. Nous avons dit quel était l'enjeu de la partie pour le vainqueur, la participation à la poule finale; pour le vaincu, l'obligation de disputer avec le C. S. J. B. et l'Armoricaine, la quatrième place de cette poule finale.

Chacun des adversaires mettra tout en oeuvre pour faire triompher ses couleurs aussi, pouvons-nous affirmer que la partie sera des plus Intéressantes. La rivalité existant entre lès deux clubs éliminés de la Coupe de France, où ils pouvaient avoir quelque- espoir, est celle que nous avons toujours connue.

Quel est le meilleur des deux clubs T Telle est la question. Bien malin qui pourrait répondre à coup sûr. Pour nous, nous souhaitons qu'après avoir fait appel à tous leurs moyens. les meilleurs gagnent.

L'organisation

Les portes du Stade seront ouverte à partlr de 13 h. 30. Le.coup d'envoi sera sIfflé à li h. 30, par M. Clément, arbitre fé- déral.

Le prix des places est ainsi fixé tribu- nee, 6 Ir.; dames aux tribunes. 4 fr.; pourtour et bntte, i fr.; scolaires et militaires non grades 2 fr. 50.

Un service de tramways Mairle-Port-Cahours fonctionnera à partir de 13 ncures. Les tickets sont on vente au Café de l'Eurojic et au Bar Angélus, place de la MaiAujourd'hui à Dinard

Etoile Dinardaise c. Stade Lemevien C'est aujourd'hui a heures que le public tlinardais est convié à ce match qui promeut d'étre satisfaisant.

Le Stade Lesnevien, par son brillant passé, peut prétendre beaucoup, Parait-il, dans le football breton. C'est la premiere fois qu'il vient sur ta Côte d'Emeraude; sans aucun doute, les sportifs, stellistes ou non, seront la pour applaudir les deux adversaires.

L'Etoile, qui a pu nous faire croire à un déclin de forme, est aujourd'hui prête A affronter la lutte qul s'annonce sévère nuits courtoise, soyons-en convaincus. Voici la composition du ̃ onze de l'Etoile.

Holvln Doussnrd lîrarrt Marcel Rallty Lascabcs J. Faouen (cap.) Boscombes (ou A. 1'aoucn)

Haquin Etesse

Despers 7-8

MATCHES AMICAUX Stade Lavallois contre S. A, 0. Ij> S. A. Castelbrlantals recevra aujourd'hui S7 février, sur ,on terrain de la Ville-en-Bols le Stade Lavailols. Pour ceUe fin. de saison, uous assisterons à une partie sensationnelle, vu la valeur de lùqulpe visiteuse. De. son cOté, le Sc A. C, qui possède de brillantes qualité", il l'a montré dernièrement avec le (;allia S|>ort Un \antes, fera son posMblc pour éviter une trop grande défaite. Lis amateurs du halIon ovale seront nombreux sur les tournes. Tribune), couvertes, en cas de mauvais temps.. Coup d'envoi à l'i h. 30. 58 BASKET-RALL

CHAMPIONNAT DES PATRONAGES Subdivision de Rennes

Comme .l'an dernier. l'Unionle dA Bretagne organise un Championnat de basfcet-ball.

En ce 'fui concerne la subdivision de Rennes la clt'lurc îles engagements est fixée au lô mars. Ils devront cire adressés à M t'h. Heauclii-. 9. place Saint-MIrho.l, Riiines, et accomitagnos d'un drolt ̃l'engagement de 0 fr. par équipe. 8

SOCIÉTÉ RENNAISE D'ESCRIME Les poules mensuelles

de fleuret et d'épée

Les routes mensuelles do fleuret et d'épée du Challenge des Jeuius se sont tirées le mercredi â:i- et vendredi i."> février à la Salle EIM, Tue ltalller. Nombreux étalent les tireurs qui ont pris part à ces épreuves.

Classement fleuret. I. Itloch Muhu'zicr j. M. Dclaforest 6. M. Laumoimier M. Chevallier.

Membres du jury M. Urain. président, de NI.NI. liubois. Punanlioat, des maîtres VM<- et Jainet.

Claifcmeni epéc. Sept tireurs ont pris part au tournui MM. Ijubois, renanhoat et Réwinlac ayant déjà class-és dans (le, championnats, le résultat lut le suivant

I M île J.ïcquolot Ni. Maluuier 3. Membres du jury M. llunlez. président, assiste de Ni.Ni. l'rndlionnne. Turln. lîaoul et du maître .laniei. s

LA REUNION UU C.N. RENNAIS La réunion organisée hier par le C. N. 11.. à la plscliH> innnlciiKilc, a oIhimiii titi u\:s grand succès.

Les epreuve» ilu vitesse Inscrites au programme. icvliiKMit, pour la ait club Nautique Hrc-tol". qui lirésentalt lait irruupe de iiiiiielirs de classe. Duns le inalch cune peine à battre leurs adversaires bres- par j buts a

M. de I.niymau. apolie de la natation. tration de plongée et de liage. qui obtint prés il il public, titi Il Il nous lit assister à «lifléreiits- exercices qui son.levèrent, dans la foule, d'enthousiastes applaudis-ements. Manger J'eau. battro la mesure pendant <|ûe l'orchestrn joue un morceau, répondre aux questions qui lui sont |)on<;cs des tribunes, etr. n'est pour lui. qu'un Jeu. Il nou, prouva en somme, que dans IVau. on peut se tirer aussi bien que sur ierr>?. et, comme Il nous uvalt fait, avaiitson enlvee dans, le bassin, une cau-rrtc sur les bienfaits do la n.-nallnn et les socnnrd/iH'll y avait :i api'orier ans noyés que nciiis eil"ns Irop enclins à considérer connue perdus après une Immersion de inôtns d'unenctire. non, inclinons à penlier que son -voyage a Rennes et que ta dc-

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Le Spécialiste éminent et honnête des Etablissements A. CLAVERIE vous attend, de 9 h. à 4 h., dans les villes suivantes

Loudéac, dimanche 27 février, Hôtel de France.

Redon, lundi 28 févr., Hôt. de France. Rennes, mardi 1" mars. Hôtel de France (rue de la Monnaie).

Dot-de-Bretagne, mercredi 2. Grand Hôtel (Buffet de la Gare).

Lamballe, jeudi 3, Hôtel d'Angleterre et du Commerce.

Montfort-sur-Meu, vendredi 4 mars, Hôtel Joly.

Fougères, sam. 5, Hôtel des Voyageurs.

Vitré, dim. 6, Hôtel des Voyageurs. Pontivy, lundi 7 mars, Hôtel Grosset. Ploërmel, mardi 8, Hôtel de Bretagne (face la gare).

Quimpe-, mercredi 9. Hôtel de l'Epée. ChAteaulin, jeudi 10, Hôtel de la Grand'Maison.

Quimperlé, vendredi Il, Hôtel du Lion d'Or.

Vannes, samedi 12, Hôtel du Commerce et de l'Epée.

Lorient, dim. 13, Hôtel de Bretagne. Brest, lundi 14, Hôtel Continental. Morlaix, mardi 15. Hôtel de l'Europe. Landivisiau, merer. 16, Hôtel du Commerce.

Un éminent Spéolaliste Collaborateur recevra également, de 9 h. à 4 h., il

Bonnétable, mardi 1" mars, Hôtel du Lion d'Or.

81116-le-Guillaume, mercredi 2, Hôtel de Bretagne.

St-Calais, jeudi 3, Hôtel du Commerce. Le Mans, vendredi 4 et vendredi 11, Hôtel de Paris.

Château-du-Loir, samedi 5. Hôtel de France.

La Suze, dim. G. Hôtel du Commerce. Sablé, lundi 7, Hôtel Saint-Martin. Ecommoy, mardi 8, Hôtel du Commerce (jusqu'il 2 It.).

La Flèche, mcrcr. 9, Hôtel de l'Image. Le Lude, jeudi 10. Hôtel de la Boule d'Or.

Fresnay-sur-Sarthe, samedi 12, Hôtel Chevalier.

La Fe.-té-Bernard, dimanche il, Hôtel du Chapeau Rouge.

Mamers, lundi li, Hôtel d'Espagne. Un éminent Spécialiste Collaborateur recevra également, de 9 h. Il i Il., à

Dives, mardi 1" mars, Hôtel de Normandie et du Commerce.

Lisieux, mercr. 2, Hôtel de Normandie. Llvarot, jeudi 3 mars. Hôtel de Paris. Vimoutiers, vendredi 4, Hôtel du Soleil d'Or.

Mortagne, samedi 5. Hôtel de l'Ouest (Leclerc) (en face Ia gare)

Alençon, dimanche C. Hôtel de France. Domfroht, lundi 7, Hôtel -dea Voyageurs (Meneut) (face .la gare).. Argentan, mardi 8. Hôtel de France. Flers, rn> tvr. 9, Hôtel du Gros Chêne. La Ferté-Macé, jeudi 10, Hôtel du Cheval Noir.

Laigle, vendredi 11, Hôtel de l'Aigle d'Or.

Sées, sûmedi 12, Hôt. du Cheval Blanc Avranches, sam. 19, Hôtel de France et de Londres.

Granville, dimanche 20. Hôtel du Nord. Coutances, lundi 21. Hôtel de l'Ouest. Un éminent Spécialiste Collaboraleur recevra également, de 9 h. à Angers, vendredi 1 1 et snmHî 12 mars. Hôtel de France (en face la gare Saint-Laud).

8egré, ni'TCiT<li 1G, Hôtel de la Boule d'Or (J. Midi).

Cholet, jeudi 17, Hôtel de la Poste. St-Nazalre, vendr. 1 il, Hôtel des Messageries (rue Villiî-è-Martin). Nantes, samedi 19 et dimanche 20, Hôtel Oholet (10, rue Gresset). CEINTURES PERFECTIONNÉES contre les Affections de la matrice et de l'estomac, Rein mobile, Ptose abdominale, Obésité, etc., les plus efQcaces, les plus légères, les plus agréahles porter.

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monstration il la piscine, aura servi utilement la cause de la natation dans noire Dans la tribune officielle, nous avions noté la présence de nombreuses petsonnalite* lesquels MM. Baudet, qui preM-niâ M. Lalyman. M. lleleusine-Iliitin. etc. 8

CHAMPIONNAT

DE CROSS CYCLO-PEDESTRE D'ILLE-ET-VILAINE

C'est ce matin, à a h. M. que sera donné le départ de cette course, au carrefour de la rue St-lléller et du boulevard ljiennec. Los coureurs passeront par le, routes de lés buttes Ut1 Plneepoehe, Tesson. Baud,vue sur l'avenue du Mall-d'Uiigi'S, en faco le café Macù.

Les pronostics sont très difficiles A éta1)ltt,, car plusieurs concurrents envlent très sérieusement le titre de champion d'IU<>et-Vilaine. titre qui leur permettra d'aller, le 5î mars, à Paris, disputer le champnnnat national. La lutte sera sévère entre les Drouet frùfes, Rault, Deneuville, Bly Krnost, Navarre et ce vieux Nogues, qui est toujours à redouter.

La distribution des dossards aura lieu au Café de l'Europe, à 9 heures, ainsi que le potntago des licences.

Voici la liste des engagés, ajfec leurs numéros de dossards

71. Drouet Aristide, do Rennes; 7Î. Samson, de Hennés; j3. Oréal, de Rennes; 74. liault. do Bretcll: 75. (le Rennes 16. Drouet Francis; 77. RoMc; 78. (Jtilnton; -n. •Deneuville; m. Gllardeau; 81. Bouêtel; .s? Aubrée. lous do Rennes; 83. Juinel, de Plèlân; SI. Flamcnt. de Fougère»; 8.V Peprérmls. do Fougères; 86. Folsmartfl, de Fou(rere,i: 87. Lwannler, de Fougères; M. Goupil, de Rennes; 89. Bly Ernest, de- Dol;

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UO. Jamin, de St-'Servan: 9t. Bunonf. de Stservan; M. Letourneau René, de St-Servan-, 93. Letourneau Eugène, de St-Servan; »S. Navarre Isidore, de Rennes. 8 CONVOCATIONS

Jongleurs de lu Guerehe. I.et deux équipes Joueront aujourd'hui contre les éq lipcs de 1301-Air sur le termtn de ces derniers.

En conséquence, les jouenrs devront se trouver a li h. 15 -précises place de la Mairie pour le déplacement. •£ Boxlng Club neunais. La réunion qui devait avoir lieu mardi, est reportée à jeudi prochain. 8 U. S. Haïtienne. sont convoques, ponr entraînement, aujourd'hui, au Stade de la Piclionnais, a 1 il. 30. les joueurs dont les nomv.siiirem MM. Marchand Jules et Edmand: Bodard Jh., Carré Jean. Coudray I, llivpt It., l'nurnter .1., Puverger P.. Ilàllerev P., Lountnls, Hurlot Il., Martinnls, (Oiilnton. llauffet Ch.. Fauchet frore*. Tolller P., Chfttel L., Besnler F.. Segretain p., Guéro Alexis. 58 Cercle Paut Vert. Natation Les nageurs sont priés de Tenir signer ou renouveler leurs licences dans le plus bref délai sous petne de se voir refuser l'ontrée de la piscBnie le jour d'entraînement.

SOCIÉTÉ DES COURSES

DE 8AINT-MttN-LB-QRAND

La Société des Courses de Salnt-Méen-lo Grand a tenu son assemblée RénéiTUe samedi dnr?ier à 4 heures, à la mairie, sous la présidence do M. de MonLgermont Une grande partie des tnembres fondateurs et des membres du Comité «talent présents.

La président «ores aroir déclare la «tan-

ce ouverte, adressa tout d'abord res r». merciements à toutes les personnes qui s'étalent dévouées pour le succès des courses de l'année écoutée et spéctalement à SEM. les Commissaires qui s'acquittèrent si bien de leur mission; pui< il donna lecture de» compte* de l'evercire îiwtf. approuvés à l'un-juimiié.

U insulte do ces comptes, que de la calSî-o de la société est tra satlsfalsart étant donne le immlireux matériel qui éto acheté et i|iii forme un sérieux actif. On pasa ensilte la nomination de» commissaires pour l'année 1927 et tes ni,mes comniissjiires furent élus à l"unaninitté.

Ce sont MM. du Boispéon. de Saisy et de Boyr.es et M5t. Delou:rme et Rivière,; commissaires-adjoints.

Puis enfin on aborda le pro.eramnir. di» la, réunion de 13-27 qui aura, lieu le dl< manche îl aoilt.

nos leoteut-3 que eu programme sera dmt de près de 17.0M) franc* de prix, sans compter Icu entrées, et comprendra six joHm oaursi's dont uino course au trot monte et trot attelé i«>ur le cn.ntou (le Salnt-Méen et le cannon* limitrophes, une courte plnta au pUop. nue rourse .u trot attelé un» course au galop pour les chevaux de demtsang, un steeplo-chase militaire V série, et un steeple-extase ordinaire.

Ce programme dépassera de près de 3 000 francs, celui de l'an dernier, c'est dire v» la société fait tons ses efforts pour qm ia Journée du îl août soit une belle Journée sportive CULTIVATEURS 1 j ELEVEURS

MARCHANDS 1

avant de conclure voa marchés, lisez noa a DÉPÊCHES COMMERCIALES ET AGRICOLES spécialement de la < VILLETTE les tt FOMES ET MARCHÉS DE LA REGION les c HALLES OENTRALES de Par.

Propos terriens

DE HUE A DIA En vertu de la loi du 13 Juillet 1925, il a été institué, \>u\v la taxe mit le chiffre u'oii'air.v. une taxe dite d'abatage due par tout ceux qui tuent aes animaux dans le but de vendie la viande.

Or, on nous signale le fait suivant il arrive qu'un cultivateur, menacé de perdre une tète de UJlail. soit t<>nu de l'abattre, et estais ^'atténuer la perte en vciiaaut lu vinnrti' en caniVagnr, lOinn.'p cela se pratique partout. Unvia-t-il payer la taxe d'abatlafre ̃? Oui, répond le législateur. l.'appliratiun du cette mesure va décidément, il l'encontre de l'encouragement à l'élevage, est ne répond plus au bu; poursuivi par la loi qui est de remplacer la taxe sur le chiffre d'affaire des bouchers par une taxe HOmclie. On ignore danc que si un lout Dcvra-t-il payer la taxe d'abatre une vaclic, il ne tirets de la vente de lu viande il peine la mui. tic de la valeur de la litMe. On nous « itc !<̃ eus d'une vache de isoo francs, abattue ù la suite d'un accident, et dont le propriétaire n'a pu retirer que ?iO francs U'O francs pour la vente de la viande. 120 francs pour le cuir. Av moment où la vente du bétail «-ur les marché? et-t si difficile, oit l'agriculture subit les fâcheux effets 0' la mévente. il était intéressant de >i^r!jalûr ce qu'il y a de vexatoire dans cette mesure.

ICI quand on songe aux pertes de initiaux auxquelles sont exposés nos «jrrirultpiirs, on ne peut que protestcr contre unc luxe qui vient encore iiccroitre leur malheur 1

A. LECLAIR

Paris, «s terrier. De notre correapondit rpédal

BEURRES. Vente plus attire. dans 1'ensemble; cours moins tenus sauf sur les extra-ffiis qui maintiennent leurs Ci'iirs avcc difficulté.

On cote au kilo

Brttrre* en mottes Fermiers Isigny, 'W-77 Centrifuges Normandie 22--J7 lirrtas^ie. 52-50 Charente-Poitou 22-Î7; mrers, SO-ii Marchand» Normandie, 1W..5O Bretagne. JG-23.80 divers, 16-23. Beurre étrangers Sl.ao-'J6.8O.

Arrivages du jour 2.7S3 colla pour 31.7S-J kilos.

ŒUFS. Vante active, cours soutenus.

AieuiuurQ leuiuuiuc.

Cours par colis de mille œufs t Normandie extra. 700-7â0 choix 640-690 Uretagne, choix, 600-630 ordlnatre 500:uo Poitou, choix 680-730 TouraU». choix. 680-730.

Arrivages du jour 720 Colis pour 01.2*0 kilos.

FROMAGES, Pâtes molles Tente calme; baisse de 10 20 fraDCS dans l'ensemble. Ptes sùches vente calme. Cours difficilement maintenus,

Prix au cent

Caawnberu Normandie, 900-*» divtr*. 1S0-S4O I.i«1nix bottes, *00-6» 'trac noo« PoDt-rEvèque 800-S90 chèvre. MPrix à 1» dizaine

Brk* moyen moule 400 1*0 lattlor, 50130

Aux 100 kilos

Port-Salut. 600-1350 Gruyère. 1Î0O-H0O; Comté, T00-13C0 Hollande 900-1030. Arrivages pâtes molles, i.480 colis pour 73.968 kilos. Pâtes sèches 3i4 colis pour 13.615 kUos.

VIANDES. Marché calme.

Bœuf quart derrière non traité Haus.se de 20 à 30 franr- sur la base. Premlère Qualité, 8-9 deuxième qualité. 7-7.90 troisième qualité. 3.50-6.00. Veau entier ou demi baisse de M frs scr lu première qualité et 30 francs sur les deuxième et troisième qualités. Première qualité, 11.Ï0-1S.80 deuxième qualité, S.20 11.10 troisième qualité, 4.&08.10.

Mouton entier baisse de 50 francs sur toutes les qualités.

Première qualité 15-14 deuxième qualit, 10-11.90 troisième qualité, 6-9.90. Porc demi sans changement.

Première qualité 10.60-ïl.sO deuxième qualité, 8.50-10.50 lard, 8-10.

Arrivages approximatifs 310.000 kilos. VOLAILLES, Arrivages assez Important:. Vente assez acive saut sur les dln-

des qui baissent de 50 francs et les pou- lets Nantais, Otlnais, Tou raina qui bals►ont de _5 francs. Unisse à cause aes prix relativement élevés. Hausse de 55 francs sur les agneaux et les Jeunes poulets vivants W francs sur les lapins morts: 15 francs sur les vivants 50 frs sur les poulets morts. La hausse et la baisse ne concernent due les prix moyen* tats. 30-38 Je ferme, fi-18 lapio CSàti- nais, 10-10.10 dirers, 9.Ii-10.S"> oies en ix"aii, îo.M-u |.oulels Nantais (Jâtinais et Touraiiie i"i'>l!).7i tuarente, 17-30 Iioiiles do Bretagne. lïjO-15.75 dindes <iatlnais et Tourainc coq. 10-13.50 poule, poule l'MG.SO flmiuauv. S- 10.

A lu pièce

Pigeons (cours 'extrême») «.30-11 pin- (a 'les I :>••».

Votailles virantes, au kilo

Canards l-Ml lapins. 8.10-9 .SS oies, S!) poulets jeunes 13-16 poulets et coqs vi'ux. IMi dlndvs, li-tS.

Arrivages 110.400 kilos.

OIBIEBS. la pièce Bécasses, 14*3 tu'cussines 3.10-6.00 canards sauvages, 16--J8 garennes. 5.3D-1O.&0 pilets S-Ï3 sarcelles, 5-10 vajHieaux, 3-5

Au kilo marcassins, 15 cerf, 13 sangliers, 1I-1J.

I.EO.UMES. Marché bitn approvisionné. Il i molnt de choux-Heurs bretons, «unis plut ue verdures (oreille, éplnnrd). Vente nctUv. Bulssc Oc 40 t .1» (murs sur l'epin.nrd 100 h 1 '̃*) fiancs sur l'oseille hausse oe 10 & SO francs ,«ur l'endive 5 à ,10 francs sur les choux* fleurs bretons 25 à :!•"> francs sur le:,poireau.v 100 francs sur les pois d'Espasne (5OO-6OU.)

On cote aux 100 ktlos

Ail, 200-300; carottes de • Meaux. 70MO Chevreuse, 100-2W» Nantcs, Sully, mono cerfeuil, eoosoo champignons rouchs extra, l.00n-l.6cxi moyens. 1.000t.20o conserve 850-1.300 culcorée. îoo3W choux de Bruxelles, au-SOO raves ou rutabagas. W-Wi crosnes, «r>0-700 éclialotrs-oignons 80-130; er.Jivcs, ï.">c-3J0 éplnards, 360-370 escaroles, jOO-300. Haricots vrrls Espagne 050-l'K>0 ;ecs. t7O-<-M laitue, 2MWO0 lentilles, 280-350 mâches. «00-750 navets FUns et Vlarmes, 3C-100 Meaux £890 oignons eu grains, OO-180 oseille 610-7CO patates. 200-300 persil 350-450 pissenlits de Vendée, "50300 Paris 450-800 Meaux, 850-950 pois verts 300-800 mange-tout. 750*50 cassés, 440-480 potirons, 130-160 topinambours, 7090.

Pommes de terre Nouvelle Algérie !SI).Hollande commune, 110-130 rosa, 130-150 jaune ronde, 90-95 saucisse rouge 105-llS Esterllnj, 120130 SaintMalo, 100-110 Blanche comnlune, 80-90; On cot« an cent

Artichauts Midi 75-200 divers, 70-300 aubergines, 1*0- 'J00 chicorée 430-175 choux P4vrls, 30-80 rouges 30-100 brocolis. 30-:0.

Choux-fleurs Anjrers, 1.5-600 Eoscoff, 139-270 courgettes, 70-460 escaroles, 10017Ô laitues 15-120.

On cote aux 100 bottes

Barbe de Capucin. 120-140 fenouille, 280-350 panais, «0-140 poireaux, 2S5-350; Radis Nantes. Orléans. 70-150,

On cote aux 216 bottes

Cresson, 8M33.

On cote à la botte

AsnArlra* rtivftrsps £<MA0 • nnlntpft ri'n'

perges 6.50-7.50 carottes nouvelles, Nantes Orlftans, 9-6 i.avcts nouveaux Nantes i-l salstns Orléans, 33.60 paris, 2.2.3.75.

On cote à la pièce

Céleri-rave. 0.40-2.

Au kilo Truffes, 50-î0.

FRUITS. Vente calme.

On cote aux 100 kilos

Amandes sèches, 700-1.000 dattes, 400- 700 ligues sèches. 2SO-1.O00 marrons 200-350 noisette» sèches, 800-1.000 noix sèches SOO-t 000 oranges, 160-30 poires choix 600-1. 100; contmunes, 150-300; pommes choix 400-1.900 communes. 1S'V sso raistn Chasselas Motssac, 7OX.000; tomate% Algérie, «O-lXK>.

On cote au kilo 1

Pruneaux 3.50*

Au cent bananes des Antilles, 55-M. Au régime bananes des Canaries, too180.

MARCHÉ DE PARIS La Ltùnt

Pabis, 20 février. (Dc noire correspondant speital). Le marché inten.-iaUottal de la laine se raffermit de plus en plus. Les dernières enchères, tant en Australie qu'en Angleterre, ont marqué une nouvelle bau^e et les acheteurs des divers pays, Antérique comprise, montrent une activité croissante.

Le marché transis des laines ne manquera pas de se raffermir également par sympathie, d'autant plus qu'à nos portes l'Afrique du Nord ue pourra pas fournir de grandes quantités de laine cette année, le cheptel ovin avant subi en Algérie et en Tuntsle une mortalité oonsidérjblo rt se trouvant rédult d'etwlron M Il. 100 do

son effectif, Il y a là. on le voit, une cause sérieuse de tenue!

Vins et alcool,

Pahis, ç« flvrler. (De notre correspon- du» spécial)

Le mnrché des Tins demeure très calme comme transactions et très ferme comme prix. La situation, ou le sait, reste haua. siere pour la simple raison que la consommation" ne trouvera bientôt plus grand chose (le disponible, si elle se maintient an taux actuel et l'on se dcmande quelles utesures prendra le gouvernement tour combler le déficit ou pour éviter un» nuu.velle hausse de cette boisson de toute lirelitière

En tous cas. Il est évldcnt qu'en ïïa de campagne, lus stocks en propriété et dans lo négoce seront très redulu et sans duute nn y niera la ron-oin.imtlon Cul un mois, alors ttuo les années précédentes, les stocks commerciaux te reconstituaient. En outre, on forcera les achai* de vins uouveaux d'Algérie, dès qu'Us seront pressés. On pourra ainsi gagner environ deux mois de consommation, mois qui se î-e- percuteront sur la prochaine csmpagne. En attendant, les acheteurs sc.!tt pen actifs et la demande restera très modique aussi longtemps que 1'on no sajra pas comment le gouvernement résundr-'i le problème du déficit.

A Bercy, Charenton on cote de gros à fros, a l'hecto nu, garo ou entrepôt, tous rais en Sus fini rouges ontlnatret 8' Vins Oliincs ordinaires 8' 935 a ÎIO 0» à le, 260 à SOô Il* 265 à 2!5; 12* S8i k 310. Marché des engrais

Putis. 2C février. <D« noire correspondant spécial). ENGRAIS AZOTES. Le 7iitrate d: milite est très terme et vaut 103 en disponible niinkerque et 161 sur mars. Le suttnle d'atnmntiituiitc conserve son cours officiel, ntais Ies revendears offrent un peu au-dessous dans tnu< le Xord-KM et dans le Nord-Ouest. Cyatiamtdc suis modltl cation.

ENGRAIS PHOSPHATE. Aucun changement.

ENTRAIS POTASSIQUES, Pas de D10dincatlon.

PRODUITS ANTICRTPTOGAM1QUES. Le sultate de cuivre reste fermement tenu, mais Il y a un peu de battement pour le soufre, dont les prix ne sont pas très assures.

SUUUROPHOSPIIATES. On expédie les ordres reçus. Importants commandes. On cote actuellement les 100 kilos ou sirs perdus rendus franco jsare grand réseau, suivant région

11 acide pliusphorlquc, 2P.Î3 h 33. 16 acide phosphorique, M.00 3G.i>- is o, acide phosphorique, 36.0-1 à TJt.80. 20 aride plrosphorlque, 37.63 4 43.ÎO. 22 acide phosphorique, 43.-M à ia.90.

BOURSE DE PARIS

clôture

PARIS, 20 février.

BLES, Tendance lourde. Dl?ponibte cote officielle, 173-175, liase de liquidation 173, courant 168.75 payé; prochain 1G6.50 paré; mars-avril 160.95 payé, 4 de mars 168.50 vend.; mal-juin 166 payé.

FARINES Tendance sans affaire;. Base de liqi idation «30; courant 230; pro-'chain -0; mars-avril 230; 4 de mail 930; ni&i-luin m. tous neminaux.

AVOINES NOIRES. Tendance soutenue. Base d« liquidation 110; courant 108. paye: prochain 110, report 1 vendeur: mars avril 110. report 1.45 l>ayé; » de mars 110. report S.75 payé; mal-Juin 110, report «.M à 4.75 vci.rVur.

AVOINES DIVERSES. Tendance san affaires. Base de liquidation 106; courant 106 nominal; prochain 106 nominal; mars. avril 106. report 1 nominal; 4 de mars 106. rtpi'i't 2 nominai; mai-juin 106, report 4 nominal.

SEIGLES. Tendant sams affaire». Base de liquidation 143; courant 147; prochain 142; iiiais-a.ril 142, 1 de mars 143; mai juin 142, tous nominaux.

ORGES. Tendance sans affaires. Rnse de liquidation 1*7 courant U7 vend.; prochain 121 vend.: nuirs-avill, H7 nom.; 4 de mars 127 achet.; mal-juin la' vend. HUILE DE LIN. Tendance sans affaires Disponible IncOté; coura.nt incoté; prochain 43à-»45; mars-avril 435-445; 4 de mai 43O-440.

COLZA. Tendance sans affaires. Tous tncoteb.

SUCRES. Tendance lourde. Courant 30s; prochain 308.50; avril 310; 3 de mars incoté J d'avril lncoté; 3 de mal 313.50; 3 d'octobre U77 3 de novembre lncoté. Cote officielle 304. 50.

ALCOOLS LIBRES. Tendance sans affaire*. Courant Incoté: mars 1.W0-1. 3Tû; avril i.jjO-1.375; mal-Juin 1. 365-1.3*0. CAOUTCHOUCS. Crêpes Art latex et feuilles tuhnes, gaufrées. Février inarj «MO vend.; à d'avril '34 vend.; mai 23.60 ̃«; de Juillet «.ftMS; août 2'50-:5; 3 d'octobre 25.40-2*; novembre 25.50-x. RIZ. Courant, hi^ts. tOj nominaux mars-avril ;90 nominal; de mars et 4 de mal 193 nominaux.

BRISl'KES. Aux mêmes dates tous 160 nominaux.

METAUX. A r«cqultt«, le* 100 kilos Cuivre. Kn lingots et plaques de laminage livrables an Havre ou à Rouen, Rouen 8-4) en llnguts propres au laiton livrables au Itavro ou t Rouen 8J0 en caihotlci livrables au Havre ou à Rouen Elaln. Banka, livrable au Havre ou Il Farts l'N [)étroits, livrnble au Havre i-i-u Auglals, Cornuuallles, livrables il. pari» 4070.

Plomb. Marques ordinaires, livrable au Havre ou à Rouen 304 marques ordinaires, livrabla au Havre on à Paris 30i. Ziuc. De bonnes marques, livrables au Havre ou il Paris 415 extra pur, livraWe au Havre ou IL Paris *?.

Aluminium s 1330.

MAROHI 01» HAVRE

clôture

T.t luvm, M février. COTONS. Tondance souteniir, ventes IM billes février lui; mars 46D avril lut mal 19 juin 480; Juillet 190 août 500; septembre 003; oclobrs W6; novembre 51o décembre SU; Janvier an.

CAFES. Tendance IL peine soutenue vente 9.050 sacs février 471.25; mars 460.5; avril 465.25 mal 4">1.0 Juin 415.50 juillet 433.'?5 août -131.75 septembre WO oclohie 117.50 novembre 415.50 décembre 410.50.

LAINES. Tendance calme février IBUO mars 1600; avril le». mal l*«0; Juin 1690: Juillet 1600; tous les autres mois sont lncotOs,

BOURSE DE MARSEILLE

Clôture

Marseille, 26 février.

HUILES. Arachides ci fabrique disponible 585-, de coprahs, disponible 485: Il, palmiste. disponible <85; de paimc blanche 415; Daitomey (caf) Marseille 215.

De grainrs comestible) arechlrtes neufraliîées désodorisées 6B à (Ci; Ituflsqucs supérieures (510 à 650; ordinaires 0::0 a 6iO. WUliies de pays, nues prises ma moulin, suivant région 1.130 a 1.250; Tunisie extra 1" pression 1.235 à i.aeo-, S" pression 1.133 i M»; Algérie surfine. 1.140 a 1.180; liorjas extra 310 a 320; Andalousie extra MARCHÉS ETRANGERS

OOTONS

New-Ori.ea.ns, 26 février. Ouverture mars 11.03 11.0t. mai juillet ll.JS, octobre 11.10-14.41.

28 février. Clôture. Disponible 14.1.1, mars niai 14.23-25, juillet 11.77-38, octobre 14,50, décembre li,«i, Janvier 11,66.

LIverpool. 96 février. Cotons américains. Clôture: Février, 7.43; mars, 7.43; avril, 7.51; mal, 7.5V; juin, 7.63; juillet, 7.6.1); août, 7.71; septembre. 7.73; octobre, 7. novembre, 7.77; décembre, 7.80; janvier, 7.S2 et février 19-2S, 7.83.

Cotons Snkellaridis. clôture Février. 13.36; mars, avril, 13.3-.1: mal, juin. 13.31; juillet, 13.36; août, 13.37: septembre, 13.16; octobre, 13.48. Ventes, 12.000 balles.

Cotons llatilt-Kgypte. Clôture FNvrier. to.Vi; mars, 10.4-j; avril, to.lî; mal. 10.60; juin, 10.66: juillet, 10.7i!; août, 10.71 1 M-ptomlbrp, 10.87. lmportMloMs, ti.311 bol.les.

New-York. février. Disponible 11,40: févrler, incotê, mars 1s.08, avril 14,14, mal 11,90-21, Juin 14,30, juillet 11.40-11 août ti.M, septembre li,5S, octobre 14.60*3, noiembre Si,70, décembre 14.80, janvier Il,83. CCRftALE»

Chicago, 26 février. Clôture blé dur d'Mver numéro 2, disponible 138 1/1 bt( dur d'Iiirer numéro disponible lncoté. mai tau 1,2, Juillet 133 3/8, septembre 131; mais bigarré numéro 2, dispollible Incite, mal 70 718, juillet 81 1/4; septembre si t/i; avoines, mat 15, juillet 45 38, Jflf/I" numéro 2, disponible tncnlé, mai 105 il..). juillet 103 t/2, septembre 9S I '• Winnipb;, 20 février. Clôture. Blés mai 1M 1-1, juillet 137 1-2, octobre 138 1-4; «l'olncj mal 57 5-8. juillet r* 7-8; sautes mal 103 1-2. Juillet 102 7-8; ornes mal 71 7-8, Juillet 70 1-8.

New-York, 26 février. Clôture. Blés roux nlver n, 2, disponible 147 3-8; blés durs htrer n' 2. disponible. 153 3-8: bigarrt iurum n' i. disponible Incoté: maia Mgarri, pour l'exportation, 86 3-8. LlvtltPooi.. 2fi février iClfiture). Blis Ivmlancc soutwme. Mars ii>-0 a-8; moi 10- juillet 10-3. .Wiiù .̃ wiadanco calme. Fé-

nier 6- La Plata teaf) Janvier-février 88-9; février-mars •̃«; avril-mai incoté. BVISos-Ayrui, >» février (Clôturai. JIM' sur msrs 10.90; mal 11.4a; ventes en tonnes 10.080. .Unis mit mars .VJO: vîmes en tonne* 1.001). Avulnes sur 1 février 0.(5; rentes en tonne» nulles. ùrgtt di»p. 7.50.

RosARio. 25 février (Ctùtur!. Blti sur mars 11.05. Maâs sur mars 5M. SUCRES

New.Tork, 26 février (Ouverture). Sumars mai 3-X; juillet 331; septembre ;tiO; décembre U30

FOIRES DE LA SEMAINE

Manche. Lundi îs Confinées (fuire à chevaux du lundi gras), -JOO chevaux. 150 moutons: Saint-James.

Mardi 1" mare Huais.

Mercredi 2 La (lesdres, 300 bovins; St Pierre Rglise (les Cendres), une rentalne de hovins. Vendredi 4 Mormln, MK> bovin», une cen. talne de chevaux ('i Jours),

Samedi CI nnvrtin, 100 bovins; Montebourg (les samedi de Carême), a00 bovins. lt.LB-ET-Vlt.AINE. Lundi a« lévrier Vllié, Uêclierel.

Mardi t', mars Bennet, Anlraln. Mcn-retll 2 mars Uirf.. Slrl.

Jeudi 3 murs. Le Urand-t'ongerau. ltomlllé.

Vendredi 1 mars Loinlgnédu Disert. LOIRE-INFERIEURE. 2 mars CM, tcaubrtant.

mars Ancenls.

-4 mars: cttssoii.

M0UH1HAN. Mardi Il? mars Lan gnlitle.

Mercredi 2 mars 1 lénueree.

Jeudi u mars Giiémenc Stortt, Locml n,- Mateslrolt

Vendredi .i mars Plnuay.

Samedi 5 mars Vannes.

RENNES. 2S février. lA nmrvlir. quoique normalement approvislunné pour I;t sa>s'>n) a été cunti-ario pir le mauvais tenu». La tendauco deb cours eSL assez va.rlabla.

lA bourre semble s'orienter quclinir peu vers la baisse; samedi dernier, le cours était do lu 75 à H. cette semaine, le cuirs moyen était de 10.50 Il francs. La bai^e nui était prévue, cl. que ii'ius avions annoncée (lepaS 15 jours, s'es* fait sontir fortement sur la vei/te des tuufs de i.M il S francs, le cour» est tombe de 6.25 à a.jo.

Cours Inchang&s pour les volailles, et les .i/arc/it! aux grains. I/assIstancc étalt peu niimlircMisc à la réunion de ce Jour et. de ce fait, les affaires ont clé l'Intôt res trolntes. il faut attendre la luire «le mardi pour avoir des indications nettes bur la tlndance des cours.

On note la fermeté pour les rours du Mé, 172 It 173 fr. en culture; un fléchissement sur les cours des farines, le» fr. les 100 kilos suns. 112 à Il:' fr Le« 017/rs, atiofïîcs, stirrd2in sont sans changement. FOUC.IMŒS. 26 février. On cote au\ 1100 kilos farine, 330 a 2::5 blé. 1G5 à 170 sélRle, l.'V) A lia sarrasin, tio 14."> avoine, 115 à l« orge. 105 A 110; son, 100 105 aux HOO kilus: paille, I3&; il foin. 330 A S.'iO.

Iitvufs, ;i,uo 4.10 le kilo vache*, .1,75 A le kilo: veaux. 8 k «25 la livre porcs gras, 0,30 & il.» la llvic porcs de lait. ft> à 110 pièce.

Haïsse sur les veaux et les pores. Ueurre, en Rros, 22.50 A '3 le kilo en détail. 6 a 6.-33 la douzaine.

Baisse sur les oeufs. hausse sur le beur- re, par le peu d'arrivage.

Cidre, 100 i 110 la barrique.

Un assez grand nomlnro de bétail, t'en de transactions importantes. Les vaches grasses se vendaient ass»ï bien, mais les vaches inaisrcs n'avaient pas de valeur. cote, aux MO kilos Faillie, V30 a \'Xi lilé, lrj à 173; sarrasin, Ii8 15f>: avoine, 1-35 a 127; orge, 120 il 122: son. 1011 IL 108: pnlllr-. 1X1 il 115 les 5«0 kilos; foin de prairie, 2:tO à '?1O les 5Cfl kilos; foin de luzerne, 310 à 3W les 500 kilos.

Boeufs vendus sur pied fpour Iti boucherie). 4 à 1.50 le kilo; vache, 3.80 ;1 4 In I;ilo; veau, 3 à 330 la livre; porc gras, 7.50 à 8 le kilo.

Beurre en gros, C0.>0 à 21.50 le kilo; en détail. 10.50 a Il la livre; œufs. 6.0 à 6.7*. la douz.

Cours du beurre =tationnalre; diminution du prix des œufs (1 fr. par doux.). Pouleis. la couple, 30 à '.0.

Cidre, de 140 A 115 la barrique.

CHAIITHES, le -.li fi:vr!l-r. file, IC5 165; avoine. M iL 100; farine, 3ï5; fourrages. 460 à 4M: puilles. 110 a VJ).

LES POMMES DE TERRE

Ilevvcs, te revrler. La tendance des cours est de nouveau à la fermeté, qu'il s'açi&e de La pomme de terre de s>'nonce ou de consoinmatlon. Sur toutes le* variétés, les cours sont en haus--e. Et ce'a provient >1u fait que la marcliandlse commence a deventr plus rare. On prévoit que la campazne sera terminée beaucoup plus tut que les années précédente». Aussi 1a raréfaction des nrnrtnlt* Jointe à la il. ninn.lc tis>cz i::ipsrun;« maintient les ̃•ours très

On cote aux too t!lc:- en culture Beaurais (lllc-tt-vualna et MorMh.iD). 90 fr. ((.ùtes-du-Norai. :r. saurhse. »O 4 83 fr. romle j««m«. •* fr.: Matrktr. 65 rr. jtticne. On rr. cnaritonim, 70 fr. rnrly roir. 100 ,1 110 fr. Cette variété sem.hlf (ireMiup épuisée.

Dot, se février. On cote les |x>mmes de terre. 44 a 46 fr. les 50 kilos.

l'ufuïRts, ia 26 février. on i-ot<* las pommes de terre HO à 100 fr. les t00 Kilos. LES CHOUX-FLEURS

Smm-Poi.-iif.-Ij: ». 3rt février. Le marché d'aujourd'hui a encore été mlen.c aprovWonne 'lue celui d'Iiler, plus il» 1.200 cliarrplto» ont étp amenées sur les plaies tle la ville. Les ont ci* assez actives. Les cours ou subi fin Irger flri'hi!>si>niont.

On Il p:iyi» le» linm choux, de 1 fr. » t fr. :Y> ln tel* le tout tenant et siilvitiit (ItialMi: le» pi'iltfi. tcics devîntes A purtallnn cn Aiuileten-e, oui été vendues de O.ÏO à 0.6i.

LES OIGNONS ET ECHALOTES

Sai\t-I"oi. df. Lir.N, -3C ftvrier. fin c-i'e les oienons. lrt> fr les (le G-i à 70 fr. Cours stationnaires.

LES AULX

SuxT-1'ni-K-I.toN. îc février. l.'r.ti «<t payé<' de lin à 150 franco les iw kilos: est peu ilcmaiwlô..

INFORMATIONS

Justices do Paix

Sont nommés juges (Je pulx de rc; illlect Vilaine) caiitini sud etdti-Cnrmier, M. Lucas, juge rlo paix (la atignou. Sonrdcval (Matuliri. m n.nfili.uin. il il Ji.'Sr de puis- de ( LO. Tincîiebray (urne), sur sa rtenmn'l* M. MotirliT. Juge de paix clo Creullly 0» LES ELECTIONS AU CONSEIL

SUPERIEUR DU TRAVAIL

l'ims, 25 février. Le wlnlMure du Travail la ii'ite suivante Ue, Plertinus ont lieu ceue anliée pour le renouvellement tirs membres du Conseil suik'rieur du travail. En te nui concerne les syndicats ouvriers, les listes des syndicats admis à prendre part à i'clecli'in de leurs sont établies ilans thaiiuu dcparU^ncnt par If' nrofels ct ilép«>èrs dans prili'iturr mi les intér^-i'5 in-uvont lu consulter il partir du 10 mars.

L'eiiM'iublo des est en outre tenu sur pliter la lion (les interew'1^ nu inlni^li're titi Travail (Direction du Travail, l'f liiire.iii. 80. rue •- de Vareniic). l.i> synillrats t|ilt auruient .» ï-résentor (les rêclHîuations, rclativcmcr:t aux fcnoiiciallons cuulrnuos dans les 1i51es électorales on au classement dis syndicats d.Mis les groupes professionnels, doivent formuler leurs protestations pr^'s ,le, pi-3- rets. du 11r au 15 mars. date extrême.

GUÉRISON DE PLAIES

Jo dunito à loutos lc< souffrant tic maux d* Jembos, ulcère» va-iqueux, plaie* de toutes natures, maladiee de peau, eczéma, dartres, clr. le inuycn île si; (.'uénr ruiiiunlcment en peu de temps par un Imîtonienl facile cl peu coûteux..Je répondrai gratuitement et (lisui-ôluni>Mit à toute le Un: affranchie. M. A. PASSE-

Feuilleton de l'Ouest Ectatr

du 27 février 1927 £6

L'AMOUR VEILLAIT Par Louis DERTHAL

CHAPITRE Vlll

Petit bob

Aussi, n'en pouvant plus, un wr.ir. la jeune fille secoua cjye tur- \><iur et descendit jusqu à /egliâe uû là, dans le frais silence du sanc::mire, elle se reprit. faisant appel à toute son cuergie pour chasser celte indécision «jui la plongeait da.a une sorte de veulerie dépnttiante.

Elle en ressortit un peu plus torte, et qnand elle fut hors du bourg, elle la pas pour mieux embrasser du tegurd l'Immensité du ciel Avcc complaisance, ses yeux se pos-Oi-piu d'uteitl sur le sombre moulotuienieiit des buis de l'Ecuron, ur les sinuosités de la rivière et plus particulièrement encore, sur le toit pointu et de la Croi- bette.

Le soOeil demandait à l'horizon, mais avaut reflucer derrière les £pili^M.•5 furies du château, il éparpilln.it sur la route la lumière dorée de ses rayons déclinants.

I.'utr Hait calme et le ciel clair. On auralt pu compter les saules ran. gti le long des patuiagca. Plus loin,

venant de la route de Chézola, ut troupeau rentrait, uu peu bouscule par les chiens; et là, plus près, sur la grosse tour do la Croisette, des pigeons avec un bruissement d'ailes venaient délicatement se poser. Rien n'était plus simple il. voir mais une chaleur douce envahissait aussitôt le coeur de Denise en même temps que montait en son ftmo un brusque attendrissement. La nature sensitive de la jeune fllle souffrait à l'avance en songeant qu'un jour !1 lui faudrait quitter la grâce pittoresque de cette propriété que les rayons obliques du soleil criblaient de flèches roses.

Ah vivre là. toujours avec Pierre. 1 Admirer ensemble ce même horizon. Rêver à deux .tous les feuillées du parc. et s'aimer avec passion, simplement, dans le calme reposant da cette campagne berrichonne.

D'un geste nerveux, Denise passa lP3 doigts sur son front, comme pour chasser l'obsédante et chimérique rève rie.

Près du perron, étendue sur une chaise longue, Geneviève était distraitement occupée à un délicat ouvrage de broderie. Le cerne bleuâtre de ses yeux s'était atténué ainsi que la pâleur morbide de son teint. Depuis que Mlle Darcourt l'avait conquisse. Mlle de Pontcharnin semblait reprendre goût à la vie. Quand Denise apparut à la grille de la Crolsett*. Gentvlèv* répondit

par un sourire au salut amical de la jeune Hile.

–Eh bien 1 demanda celle-ci affectucuee, comment avez-vous passé la soirée T

Très bien, et je vous avoue que je me sens de mieux én miuux. Denise lui avait pris la irain Effectivement, vous u':w^z plus de lièvre et le pense déjà au jour où jo vous emmènerai promener avec moi.

Une ombre triste passa dans les yeux de Geneviève tandis qu'elle répondit en secouant la tète

N'y comptez guère; m'y déciderai-je jamais 1

Alfle Darcourt leva vers elle des yeux étonnés et interrogateurs. Je vous parais fantasque, n'est-ce pas, reprit Geneviève d'une voix lente, et peut-être dans votre for intérleur me traitez-vous de déséquillbrée Y

Cette pensée malveillante 110 m'est point venue, ma chére tiencviève, mais je sens que je frôle un mystère et J'en suis légèrement intriguée, sinon Inquiète.

Ne cherchez pas, répondit mollement bille de Poutcharnln, plus rien ne m'intéresse, voilà tout 1

Mais avec mot, Geneviève, vous prendriez au moins quelque Intérêt à la promenade. Voyons, il n'est pas possible que vous me refusez cette jatlsfucllon. ne serait-ce qu'une fols t Je vous en prie, n'insistez pas. Hors de la Croisette, j'ai peur. ré-

pondit la jeune fille 6&couec d'un frisson nerveux.

De plus en plus étonnée, Denise se demandait si elle pouvait, sans indiscrétion, provoquer une réponse plus claire, mais Geneviève regar- dant NI. de Pontcharnin descendre le perron, reprenait d'une voix rail- leuse

Pauvre père, est-il sottement i°- quiet

Et pourquoi t demanda Denise. Mon Dieu tout simplement parce que sa chère femme est en retard pour le dîner.

Cela ne lui arrive donc Jamais T Si, mais d'ordinaire, elle le prdvient. Aujourd'hui, elle est partie sans utême l'avertir. Et vous voyez dans quel état il se met, le pauvre homme, termina la jeune fille dans un rire silencieux.

Geneviève, dit Denise d'une voix triste, c'est cruet de se moquer ainsi: il souffre, cet homme.

Tant mienx 1 J'ai bien souffert, moi, lança-t-elle d'une voix brève. Denise, qui était assise près de Nille de Pontcharnin. se pencha, vers sa compagne

Ne vous faites-vous pas plus méchante que vous ne l'êtes réellement, dit-elle avec douceur; sans doute, ne pensez-vous pas ce que vous venez de dire 1

Oh t si, s'exclama la Jeune fille d'un air farouche.

Alors, c'est bien mal et je conv maintenant pourquoi vous

avez tant souffert, l.a haine, voyezvous, c'est la pire des souffrance». Ah! pourquoi lui en tenir encore ri gueur 1 Geneviève. c'est votre pète. J'ai tant souffert par sa faute. répondit-elle douloureusement.

Le temps efface tout; pardonnez et vous oublierez.

Je le voudrais certes, mais le mc le puis. En tout cas, je ne pardonnerai jamais à cette vilalno l'iciiiuie. Denise comprit fort bien qu'il s'agissait de Jacqueline, mais ne se choquant pas de l'expression

Geneviève, il faudra aussi lui pardonner. proiriettez-le moi, repritelle d'une voix douce.

Jamais Ah Denise, reprit amèrement Mlle de Pontcharnin, si vous saviez. vous n'insisteriez pas. Mlle Daroouit n'osait pas, en effet. mais en aurait-uilc eu le désir que l'arrivée il bicyclette d'un nouveau personnage, l'en fût c'était un Jeuno paysan qui bondit plutôt qu'il n'arrêta près des deux Jeunes fliles

Je viens chercher NI. et Mme de Pontcharnin, Robert est bien malade. s'écria le jeune homme.

Vivement, Denise se leva pour aller à M. de Pontcharnin qui s'approchait tremblant et paie. En voyant le jpuue Félix, le fils de la nourrice de Bob. aussitôt, le vieux gentilhomme pensa qu'un malheur était su 'venu 1\ son enfant, mais il ne put articuler une seul* pal oit.

Je vous en ui dit Denise compatissante, ne vous faites pxs tant de peine avant do savoir, Robert n'est sans doute pas très malade. D'ailleurs, je vais aller moi-même à Nouun, Autoine va m'y conduire.

Et taudis que son beau-frèregnait pour donner des ordres. la jeune tllle se rapprochait de Félix pour lui demander quelques détails bur ce mal soudain

Il souffle heaucoup (le la tête. Mademoiselle Il crie et il se plaint sans cesse.

Le docteur est près de Bob, le suppose 7

M. Ci-,lutte n'était pa«v chez iui. Mademoiselle, mais je vais y repas.ser en m'en retournait.

Alors, je ne vous retiens plus allez vite A sa recherche, dit nerveusement Donise qui. déjà, flairait une rrulninBit<\

Quand FMx SI' tnt flolsn*. tient'viève miirnnirn d'un ton sentencieux 1.0 châtiment commence, vous Voyez. (A mitre.) Cest pour vous Madame, ]

pour vous Mademoiselle, quo la TONITRINE est en

vente chez votre pharma-

cien. »

BOURSE DE PARIS Paws. 86 février. Maxch« le On de semaine et d'approche de 1ft1imii>dation. A fT aires calmes. Aussi M «o*istta«-t-on pu d'écarts importante sur les principales valeurs de la cote.

On enregistre une réolle fermait sur les Banques française*. De grûa achats en Décennales 1919-29.

Aux Fonds d'Etats étrangers on est mieux sur »e« Russes et les Serbea légère amétioration des Ottomans. Le Suez et Je Rto s'Inscrivent en progrès, mais aux Banques étrangères on constate un peu de flottement. Vaieurs et Produits chimiepes ilrt^Ulièrcs.

Les Caoutchoucs perdent quelques points, sans faire preuve Ae taiblecse. Les Pétrolifères subissent l'ambiaflce généra'*». La De Beera oseille un peu au-dessus de ses cours d'hier. Les Mines d'Or sont calmes.

La clôture n'apporte pas de modifications dana les tendances on termine dans un calme absolu Ls transactions sont encore plus rares qu'en cours de séance, c'est dire qu'elles sont réduites ait strict minimum.

iniiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiunniiiiiiimmiiiimiiiiniimiii

MARCHÉ DES CHANGES

60 suède 491 se 75 Pu rapport. la sterling. la franc vaut

rjUOJUElS tphm «MANm par urrA» banom ̃̃ MaN«i. 15900 .iwmb fe l â I «U '*•* 8 K S S •}*̃•̃'«̃>̃• •»•»«* .« M JH » BALIA 110 t tii

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