Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 12 sur 12

Nombre de pages: 12

Notice complète:

Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1926-05-20

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 20 mai 1926

Description : 1926/05/20 (Numéro 8978).

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k656727k

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/12/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99%.


LE ROLE DE LA FINANCE INTERNATIONALE ] Les coulisses de la diplomatie riffaine

Les pourparlers d'Oudjda ont été rompus et la parole rendue au canon. Jamais, cependant, je l'affirme, la paix ne fut aussi proche. Je m'en explique en résumant les raisons dont chacune mériterait un grand développement. Lcs précisions que j'apporte constitueront une sorte de catéchisme à l'usage du public, pour la question riffaine.

10 Dans quel but Abd-el-Krim nous a-t-il attaqués T

Il faut chercher l'origine des attaques riffaines uniquement dans la volonté d'Abd-el-Krirn de faire reconnaitre par la France et l'Espagne un état indépendant dans lequel lui et sa tribu pourraient agir sans contrôle surtout au point de vue économique. Depuis plus de trente ans, la famille d'Abd-el-Krim s'est orientée vers la question économique et, pour la résoudre, vers l'étranger.

Le père de l'Abd-ol-Krim actuel qui était Cadi, c'est-à-dire jure, chez les Béni Ouriaghels, entra en relation avec des Allemands dont les plus célèbres étaient les frères Manesmann. Ceux-ci firent entendre au vieux berbère quel avenir ils pouvaient, les uns et les autres, ttrer des richesses riffaines. Une entente première fut établie entre les frères Manesmann et la famille d'Abd-elKrim. Le cadi, pour nous bien montrer combien son intention était nette et son orientation définitive, envoya son fils Si Mahmet, frère de l'Abd-elKrim actuel, à l'école des mines de Madrid d'où le riffain sortit en très bon rang. Ayant, ainsi un spécialiste dans la famille, Abd-el-Krim entra en relation avec d'autres étrangers pour monnayer les mines abondantes des tribus Béni Ouriaghels. Béni Touzine et Ghomuras.

Lea Allemands tamoniés

îl traita surtout avec les Manet,mann qui devinrent les maîtres financiers du Riff. La guerre étant survenue et rendant les affaires délicates pour des sujets allemands, les Manesmam se camouflèrent en sociétés espagnoles, norvégiennes, danoises, et surtout hollandaises.

D'ailleurs, les noms des principaux propriétaires actuels des mines riffaines ne laissent aucun doute sur la nationalité des posédants. On trouve des Millier tant qu'on veut.

A cette même époque, Abd-el-Krim entrait également en relations avec des Anglais qui créèrent la Morocco Minerais Synd. Lted », compagnie possédant plus de 5.000 hectares, et une société espagnole, la « Sindicato Minera del Nordeste de Marruecos •, qui est en réalité internationale et qui possède plus de 7.000 hectares. Les propriétaires miniers à qui Abd-el-Krim avait vendu, contre de l'argent, des armes et des munitions, les richesses de son pays, eurent, par cela, leur sort lié à celui des armes riffaines. D'un autre côté, Abd-elKrim devenait leur agent, leur jouet, leur esclave.

On devine l'intérêt primordial pour ces propriétaires internationaux de voir Abd-el-Krim à la tête d'un état riffain.

Ces constatations éclairent d'un jour nouveau, aussi bien la déclaration de guerre contre la France, que la marche des pourparlers de paix. Onijda

S» Pourquoi les Riffains ont-ils accepté de parler avec nos délégués, à Oudjda T

Uniquement, croyez-le bien, parce qu'ils se sentaient perdus. Abd-elKrim constatait la désaffection des tribus, la lassitude de ses guerriers les plus ardents et surtout l'impossibilité où il était de continuer la contrebande des armes par suite des mesures énergiques prises enfin par l'Espagne.

Ne pouvant plus vaincre militairement, les étrangers amis d'Abd-elKrim, et Gordon Cnnnlng tut le premier, le poussèrent à demander la paix <"t l'autonomie du Riff. Après tout, ce qui leur Importait, ce n'était pas la supréniiiiic religieuse du Sultan. ni le désarmement des guerriers, ni même la rive gauche de l'Ouergha Le but essentiel à faire accepter par les puissances étrangères, était uniquemen» la reconnaissance de la souveraineté économique d'Abd-el-Krim et uuiquement cela.

A la rigueur, on aurait accepté 1'éloignement d'Abd-el-Krim, s'il avait dû être remplacé par un membre de sa famille et si l'indépendance de quatre ou cinq tribus ipus plus) avait été reconnue.

Ainsi dnnc, il importait peu aux délégué» riffains d'avoir d'immenses

territoires, ils auraient volontiers abandonné les Djeballas. les Beni Zérouals, les Sénadjas, à la seule condition de garder le cœur du Flifl les mines.

L'essentiel

3» Pourquoi les délégués riffains se sont-ils montrés si intransigeants ? On le sait maintenant. La base des négociations était cette question de mines. Les journaux communistes écrivent certainement pour les naïfs quand ils nous représentent les délégués riffains luttant avec acharnement pour l'indépendance des tribus et pour les principes wilsonniens. Ils ont lutté pour une indépendance économique, dans un but de lucre et dans le seul espoir d'être les co-propriétaires des richesses de leur pays. A la rigueur, ils accepteraient toutes nos conditions sauf l'éloignement d'Abd-el-Krim et de sa famille. Nous nous sommes trouvés à Oudjda, en face, non seulement des riffains, mais encore et surtout en face des financiers internationaux qui, dans la coulisse, soufflaient à Azerkane ses réponses et ses attitudes. La sagesse franco-espagnole l'a emporté. Nos délégués ont vu, éclairés par nos experts, de quoi il s'agissait. Nous avons fait preuve de bonne volonté et nous sommes allés à la conférence en disant « Nous accordons l'autonomie aux tribus. Mais l'autonomie sans Abd-el-Krim. Tandis que les Riffains arrivaient avec cette consigne « Faites des tribus ce que vous voudrez, mais laissez-nous la jouissance de nos richesses •. On ne pouvait guère s'entendre sur ces bases puisque nos délégués plaidaient la cause de la justice marocaine et de la paix, tandis que les Riffains plaidaient la cause des financiers Internationaux qui. tfepnis deux ans, sont cause de l'effusion du sang, qui ont, jusqu'lices derniers temps, ravitaillé les insurgées en armes modernes et en munitions. M. Briand, lorsqu'il donna la Chambre les motifs de son refus de pourparlers avec Gordon Canning, trouva le véritable mot de la situation quand il affirma à la tribune, que • derrière tout cela, il y a une question de mines ».

N'est-ce pas que tout s'explique Pierre DUMAS.

L'AFFAIRE SEZNEC L'enquête est terminée à Morlaix

Une récente photographie

de Mme Se;nec

Morlaix, 19 mai. (Oc nntre envoyé spécial) NI. le Commissaire VidaÏ a quitté Morlaix ce matin, sa mission ayant pris fin.

Il a regagné Paris pour entendre les différentes personnes susceptibles de l'éclairer sur la mystérieuse intervention de Mme Petit en faveur de Seznec.

Cette intervention est bien le seul fait intéressant que la nouvelle enquête de MM. Vidal et Labouërie a «Pirmls de retenir.

Aussi, une confrontntion entre Mme Feznec et Mme Petit aura lieu Prochainement, il Paris ou il Aforlaix. UNE BALEINE VENDUE A LA HALLE

DE BOULOGNE-SUR-MER Bouiog\e-sub-Mer, 19 mai. Hier a été vendue à la halle, une jeune baleine pesant SOO kilos, capturée par l'équipage du bateau Jeannette, sur les côtes d'Irlande, au cours de la pêche des maquereaux. Pris dans les filets, le baleineau ne put opposer dé défense aux pêcheurs boulonnais qui le hissèrent à bord au moyen d'un treuil, après avoir passé une amarre a la queue du cétacé-

LA CHUTE DU FRANC VA PROVOQUER

UN GRAND DÉBAT AU PARLEMENT

PARIS, i9 mai. La livre sterling cotée hier officiellement 168.40 en clôture et 172 hors bourse, a débuté ce matin 176 pour finir en clôture 1î0.80.

Le dollar, coté hier 34.X est aujourd'hui à 35.15.

A

Paris, 19 mai. Une demande d'interpellation vient d'être déposée par M. Nogaro, député radical-socialiste des Hautes-Pyrénées. Elle vise la crise des changes et les mesures que le Gouvernement compte prendre pour assurer la stabilisation du franc.

D'autres demandes d'interpellation, visant le même objet, seront sans doute déposées d'ici le 27, date de la rentrée des Chambres. On peut donc prévoir d'ores et déjà un grand débat flnancire.

La thèse de M. Nogaro est qu'il faut stabiliser rapidement le franc et employer pour cela, s'il est nécessaire, les ressources en or et les devises étrangères que nous possédona. Une conférence ministérielle PARIS, 19 mai. M. Briand a conféré ce matin avec le ministre de l'Agriculture au sujet des exportations de denrées alimentaires. Ils ont envisagé les mesures à prendre pour que le marché français ne 'subisse pas les conséquences de la hausse de la livre et de l'exportation qu'elle pourrait favoriser.

LA SITUATION

La révision

et les contradictions du Cartel »&.

Dans le même journal carfeljiste, M. Ponsot, radical-socialiste, considére comme de dangereux conspirateurs et ennemis de la République ceux qui veulent réviser la Constitution, alors que M. Renaudel, socialiste, convient que, pour avoir trop longtemps servi, la chaussure constitutionnele est un peu éculée.

C'est M. Renaudel qui est dans la tradition républicaine. C'est M. Ponsot qui est dans la tradition réactionnaire. Quand fut votée la Constitution de 1875, résultat d'une série de compromis, les républicains modérés et avancés se résignèrent, mais en faisant le serment de reviser un texte préparé par des monarchistes, dans l'espoir de restaurer la monarchie. Par la suite, les Gambetta, les Jules Ferry, les Floquet essayèrent de réviser la Constitution par petits coups et réussirent à en améliorer quelques détails. Mais la révision plus importante réclamée par les Tony Révilton, les Henry blaret, les DouvilleMaillefeu, les Madler de Montjau, ré- vision qui allait jusqu'à la suppression du Sénat, a été toujours ajournée.

Admirons aujourd'hui la sagesse du parti radical, qui ne veut ni d'une grande, ni d'une petite révision de la Constitution.

Les radicaux-socialistes sont devenus les véritables conservateurs d'une Constitution justement considérée comme trop monarchiste. A vrai dire, quand la Constitution les gène, ils la violent, comme cela est arrivé à la bande de politiciens que MM. Herriot, Blum et Painlevé menèrent contre l'Elysée en juin 1924.

M. Renaudel plaisante les radicaux qui considèrent qu'une révision constitutionnelle ne peut être qu'une entreprise fasciste. En vérité, fascistes blancs ou rouges ne demandent qu'à supprimer la Constitution, ce qui est une révision vraiment trop radicale. Comment des républicains, qui seraient en majorHé immense à l'Assemblée Nationale de Versailles, peu.vent-ils craindre que la révision soit faite en faveur de la réaction ou même de la révolution ?

La terreur des radicaux-socialistes est a'ussi absurde qu'est complète leur ignorance des précédents historiques. P.-O. DOUERT. Tram contre auto-car Lille, 19 mai. Un auto-car dans lequel avaient pris place de nombreux ouvriers est entré en collision avec un tramway. 25 personnes ont été blessées, dont plusieurs grièvement.

UNE IMPORTANTE OFFENSIVE EST DÉCLANCHÉE PAR NOS TROUPES SUR LE FRONT RIFFMN ELLES ONT DÉJÀ AVANCÉ DE 10 KILOMÈTRES SUR UN FRONT DE 30 KILOMÈTRES

iwiae noria rnoioi

Un groupe de tanks dtssimu lés dans un repli de terrain

en attendant une prochaine attaque

Fez. 19 mal. Cette nuit et aux premières heures de la matinée, une importante offensive a été déclanchée dans tout le secteur du groupement du général Marty.

Les premiers renseignements parvenus indiquent que partout nos troupes progressent favorablement. L'agitateur Khamlichi a été blessé par lis bombes d'avion

Fez, 19 mai. Selon des renseignements émanant de différentes sources, le fameux agitateur et chef religieux ritrain nommé Khamlichi, a été blessé au cours d'un récent bombardement effectué par l'escadrille de goliaths sur sa maison des environs de .Taroulst.•̃,

Communiqué officiel

Fez, 19 mai. La journée d'hier et la matinée d'aujourd'hui ont été calmes sur le tront du groupement général Dutneux. On signale que l'ennemi se renforce sans cesse dans la région d Ouelez Chezmnr, développant ses retranchements et faisant occuper ses différents Sur le front drv groupement dit général es troupes françaises, en liaison avec les troupes espagnoles, ont commencé cette nuit une vaste opération depuis le Uaul-Ouergha jusqu'au.x nouvelles positions conquises L'occupalion du Souk-el-Arba de Taourirt, hier, par les Espagnols et ceHe du Djebel-Bou-Alima par la troisième division française, nous permet de tenir la haute vnllée du Nekor dans laquelle il est possible de prévoir une prochaine jonction avec les troupes ilspagnoles du secteur d'Ajdir.

=:= SOURIRES =:= Le Havre Athlétic Club vient de mettre aux prises, en un curieux match de rugby, des mariés contre des célibataires.

Le rugby jouissait déjà d'une vogue extraordinaire. Je suis persuadé que demain, grâce à cette innovation, il ne rencontrera plus d'indif férents.

Est-ce que par hasard Le Havre serait troublé par des rivalités extra-conjugales pour que l'on se décide àg organiser des parties de jeu qui ressemblenf à s méprendre à des duels collectils ?. En tous cas, c'est ainsi que j'aime la guéguerre sociale une série de luttes sportives et publiques, tout à fail à l'image de la vie.

Autour de nous, ce ne sont, d'ailleurs, que matches sociaux avoués ou soumois. Les neveux s'acharnent sur les oncles, les belles-mères mènent un inlassable combat contre les gendres et les belles-filles, les lemmes délaissées poursuivent les Don juan volages.

Si toutefois les partenaires ne s'envoyaient que dea ballons dans les Jambes. mai: ils usent la plupart du temps, et sans avertir l'adversaire que la partie ua commencer, de balles meurtrières 1. Le Havre ne veut plus de luttes dans les coins. C'est au grand jour que les diverses catégories sociales s affronteront. Nous attendons maintenant les communiqués du lundi annonçant qu'à Marseille le Stade des Consommateurs a battu le Mercanti Club et qu'à Paris le Piéton Athlétic Séquanais a triomphé de l'Union des Chauffard3.

Je ne connais pas les résultats du H«ore, mais je sais que depuis longtemps les célibataires jouent et gagnent contre les pères de famille sur le terrain législalif. Cela va-t-il changer ?

lt Petil Crêgolr».

vtmporianies forces a aviation, ont participé dés l'aube à l'opération, couurant la marche de nos troupes par ae puissants bombardements.

Les premiers renseignements qui sont parvenus à Fes indiquent que la situation éuolue très favorablement pour nous. Il convient de signaler l'excellent moral de nos troupes et le véritable enthousiasme marque par certaines unités.

Une avance de dix kilomètres FEZ, 19 mai. Les premiers renseignements parvenus sur l'attaque genérale déclenchée ce matin sur le front de la première division marol'aine indiquent que nos troupes ont progressé de .plus de 10 kilomètres sur une largeur de 30 kilomètres. Nous avons occupé le fameux Djebel Bou Bakbi..grand eeutre de résis- tance, riffain, ainsi que l,e Djebel Bou. Zineb, surprenant partout l'ennemi par la rapidité de notre manœuvre. Nos partisans ont occupé le territoire des Béni Abbou à l'est des Béni Amret. Notre progression continue en direction de Targuis!. Devant la kelaa des Boni Knceeui, nos partisans et des iteoumis ont échangé des coups de feu.

Sur le front espagnol. on signale un mouvement de s<>liinis.sion chez les Tensamane. D'autre part, les troupes espagnoles du secteur de Melilla ont progressé dans la direction d'Ancunl qu'elles ont occupé. On se rappelle que les Espagnols avaient perdu cette position en 1921.

Les opérations continuent et se développent partout dans les meilleures conditions.

Sur le front espagnol Madrid, 19 mai. Dans la région de Tétouan, les colonnes espagnoles ont. infligé à l'ennemi un sérieux châtiment à Heuimadan dont les postes de première ligne avaient été attaqués ces jours derniers par l'ennemi. Nos troupes ont encerclé les rebelles qui avaient dû subir auparavant ttn violent bombardement par l'artillerie et l'aviation. L'ennemi a abandonné 23 tués avec leur armement et 16 prisonniers.

M. RAOUL PÉRET

EST DE RETOUR A PARIS PARIS, 19 mai. Ni. Raoul Péret, qui avait quitté Londres ce matin, à neuf heures est arrivé cet après-midi fi Paris.

{Voir en Dernière Heure, tes déclarations une lions a faites le ministre des Finances).

SI VOUS VOULEZ VIVRE VIEUX, HABITEZ MALESTROIT MALESTnoiT, 19 mai (de notre correspondant particulier) SU" les 1.886 habitants représentant la population municipale de Mnlestroit (Morbihan), d'nprès le rlernlfcr recensernent il existe 37 octoénaires qui se reparussent par fige ainsi qu'il suit

2 femmes Agées de 90 ans, un homme âgé de 89 ans, une femme âgée de 88 nns, une femme aeée de 87 ans, 3 femmes et 2 hommes Agés de 83 ans, 2 femmes Agées de 81 ans, 7 femmes et un homme figés de 86 ans, une femme âgée de 83 ans. 7 femmes âgées de 82 ans, 4 femmes Agées de 81 ans, un homme et 4 femmes Agés le 80 ans, soit en tout 5 hommes et 32 femmes dont le nombre total des années atteint le chiffre de 3.10R ans.

Sur les 32 femmes. 18 se sont mariées et ont eu des enfants.

On vit longtemps Il Malestrolt, aussi avons-nous constaté une augmentation de la population lors du dernier reoensanieni.

LES CONDITIONS

)E NOTRE RELÈVEMENT MATÉRIEL ET MORAL PARIS, 19 mai. Je reçois d'un de nos lecteurs de Rennes, une lettre dont l'ensemble est juste, mais dont les conclusions me paraissent un peu trop pessimistes, et du reste contradictoires.

Notre honorable correspondant ac.cuse d'abord la guerre et la mauvaise paix de nous avoir écrasés, ce qui est incontestable. Puis il rend les politiciens tous les politiciens ceux du centre et de la droite comme ceux de gauche, responsables de l'aggravation de nette mal et de la situation désespérée qui nous accable. Il parait, au surplus, que nous n'exposons pas dans nos journaux l'état (la nos finances, de notre économie nationale et de uotre politique tel qu'il est réellement. 11 faut que la France touche le fond de l'abime pour que, dans un sursaut de dignité, elle chasse les marchands du temple, écarte violemment les politiciens et impose la révision de la Constitution.

Chasser les politiciens et les marchands du temple î Mais n'est-ce pas la besogne que nous présentuns chaque jour comme nécessaire et urgente 7 Ne disons-nous pas qu'ils nous ont fait une législation mortelle pour l'industrie, le commerce et l'épargne ? T Ne disons-nous pas qu'ils nous ont imposé une fiscalité de classe et que leur présence est une perpétuelle me- iiuce de conflseatiou ? Ne disons-nous pas que le pouvoir exécutif est tout occupé à fuir ses responsabilités Alors, de quels journaux notre correspondant parle-t-il 1 il faudrait tout de même spécifier. Oh, j'entends bien Il L'on souhaiterait que nous mettions dans le même sac comme on dit couramment, les modérai et le Cartel des gauches. Nous ne cuiumettruns pas cette injustice. Le Bloc national a certainement commis des fautes, et l'on peut voir que nous ne passons pas notre temps à faire son éloge. Mais tout de même, si notre correspondant avait assisté depuis deux ans aux débats parlementaires, s'il avait pu suivre, ,par exemple, la discussion de la récente loi de finances, il aurait constaté avec quelle conscience, avec quel discernement et avec quelle énergie les députés du centre défendaient pied il pied, dans chaque article, la raison contre la démagogie, et le crédit de l'Etat contre le gaspillage.

Une faut pas oublier que la majurité du 1B novembre avait cunsiticrar bleutent diminué le déficit, budgétaire, et qu'elle a été battue pour avoir vota les seuls impôts qui pouvaient aider a notre redressement. Le Cartel, lui, a fait de l'inilatiou.

Tous les économistes, tous les spé.cialistes de la législation hiiaiicieru, tous les liuinmes qui, bien au-dessui des partis, étudient la maladie qui nous luiiye, se voient obliges (le cuucturu que cette maladie n'a nullement pour cause la politique anté¡-¡cure a i'Jil, niais bien celle du Cartel des gauches. Il sufiit du reste d'observer, depuis deux ans, les manœuvres purement radicale» et radicales- socianstes qui se développent autou* du pouvoir il suffit de voir et d'en*tendre les reuresL'iilunts plus ou moins qualilies des clubs politiques appurter dans les commissions mémts et dans les couloirs de la Chambre leurs passions et leurs urdres il suffit de jeter les yeux sur ce bouillonnement perpétuel des exploiteurs de la République, pour conclure de la façon la plus strictement équitable, que le souci du bien commun ne les anime nullement. Ils ue songent qu'au paru. La déliquescence politique • dont on nous parle, et la chute de nutre monnaie nationale qui en est lu conséquence, ont pour origine l'aveuglement, l'esprit de classe, ou la lâcheté électorale des fameux vainqueurs du 11 mai.

Je persiste donc à penser et à dire que la politique symbolisée par NI. Herriot z'a favorisé que les partisan» du gaspillage et du moindre effort, qui ont considéré ce pays comme une terre conquise dont les moissons ne devaient remplir que les greniers du Cartel. Mais je persiste à répéter aussi que la France, que le peuple français, agriculteurs, ouvriers, coutmerçants, intellectuels, producteurs do toute classe, que le sol français, la race, la vitalité françaises sont loin d'être épuisés.

Un redressement moral et matériel est possible. La révision de la Constitution en est un élément, mals elle ne saurait suffire. Il faut que les citoyens eux-mêmes écartent du pouvoir la foule des politiciens que notre correspondant maudit avec raison. Nous lui demandons seulement do chercher avec impartialité de quel côté se trouvent plus nombreux les ravageurs de la Patrie. L.-A.


POURSUIVI POUR ATTEINTE AU CRÉDIT DE L'ÉTAT,

M. GEORGES VALOIS

EST ACQUITTÉ

Paris, 19 mai. Vers le 15 juillet 1325, Ni. Georges Valois. qui sVta.il déjà séparé des éternels bluffeurs et prometteurs de lune de YAriion Francaisr, «Mail poursuivi à la requête du Parquet de la Seine pour avoir, le 2 jnilld, (Vril dans son journal Le S'ouveau Siècle un article intitulé Le Franc assassine où l'on pouvait lire et'Ue phrase « Nous sommes à la veille de la cflln^trophc. M. Votais attaquait surtout l'inllation. L'affaire traîna. M. dotaux, qui avait tu la mnlencnntroiise de- poursuites, parut se rondrp rnmnpte de son erreur ot le gouvernement ne poussa pas la mise en juprment.

Cependant, la justice elnnt saisie, il fallait hier) Hniiii-W ce procès puéril, et l'affaire est venue lundi à l'audience. L'on a entendu, parmi les témoins à décharge, des maîtres de la science financière, connue Achille Mestre et Lucien notnier qui, en substance, ont dit ceci

M. RoMiEn. Je n'apporte pas ici une opinion, mais un témoignage. J'ai consutté la courhe des changes. Le 15 juin 19-25. la livrc était à 100 francs: entre le 15 et le 25, paratt dans la presse l'annonce officieuse des projets financiers du gouvernement, la livre est à 1(15 le £6, elle est à 106 le 30, à 108. le 2 juiJlet parait l'article de Ni. Valois elle est Il 108.

Le lendemain 3, elle tombe à 103 Ie 16, le franc atteint son maximum la livre Pst A 102. Je n'apporte pas une opinion juridique dans 1 atfaire Valois, niais je crois conclure en économiste que l'ertlclc de M. Valois n'a eu aucun effet sur le crédit public, ou que cet effet a été favorable.

La pression sor l'opinion

« Comme directeur de journal, j'estime qu'il est dangereux, sous un régime démocratique surtout de vouloir restreindre tes droits de la presse. Le gouvernement lui-même fait, par la presse, pression sur l'opinion. C'est ainsi qu'à la tribune, certain ministre a déclaré avoir distribué six millions à la presse. Chacun sait, d'autre part, que les grands établissements financiers dépensent des millions en publicité de presse. J'estime donc, en regard, danpereux de vouloir brider la critique en matière économique et financière.

M. MESTRE. Tout le monde est du môme avis. L'inflation nuit au crédit public. la c'est M. Valois qui, avec la spiruilne de la monnaie a commencé mo nimpnpne contre l'inflation. Il a, «i effet, une doctrine monétaire saine. qui est d'ailleurs oeHe qu'on enseigne a la Faculté de droit, que tous les profes. seurs sauf peut-être M. Nogaro qui a mal tourné et qui est devenu parlementaire (Rires) approuveraient. C'est, en effet, la base de l'économie politique, le B A B A de cette science.

Quant à M. Gerces Valois, il a dé- claré, en [cariant de catastrophe

• Je n'ai' foll- qu'une prophétie très simple. L'inlIaUon est une cause de dépréciation de la monnaie Or, six milliards d'inflation ayant été votés, je pouvais dire qu'on était au début d'une catastrophe, et pour cela appliquer les principes les plus élémentaires des finances.

Je disais aussi que la signature de l'Etat n'était rien. C'est encore là une toi élémentaire. L'Etat ne fait qu'ap- poser une signature, car il n'est pas producteur, il ne crée pas la mon•îale. Quand un billet ne sort qu'avec une signature comme contre-partie, t'est de l'inflation (moyen moderne d'altération des monnaies) cette dé(inition est de M. François-Marsal. Or, l'inflation crée un Trouble social, pi j'ai toujours voulu lutter contre elle..

M. le substitut Siramy a requis avec modération et avec suhtilité, s'efforrant de démontrer que M Valois, même si son intention était louable, portait atteinte au crédit de I'rtat. Les avoaats, MM Lamour et Marx, ont prouvé que les éléments juridiques du délit n'étaient point établis, nt ont constaté, avec tous les hommes le bon sens que le jour on la livre dépassait ifiO francs, il était singulièrement injuste de reprocher il M. Valois de s'être montré bon prophète et d'avoir crié au danger.

Le jugement

Le jugement a été rendu cet aprèsmidi.

M. Georees Valois a été acquitté. Le tribunal a estimé que l'article pourluivi ne faisait que traduire une situation financière plus ou moins exacte, et que la vivacité de l'article ne dépassait pns les limites tracées par la liberté de la presse.

M. Bernard de Vésins est condamné c En même temps que M. Valois, M. Bernard de Vesins, président de la Ligue d'Action Française, était poursuivi devant la même Chambre en vertu de la même loi, à raison d'une affiche apposée en novembre dernier sur les tnurs de Paris. Il a été condamné à 5.000 francs d'amende. Le jugement a relevé l'extrême vivacité du ton de l'affiche qui avait pour titre la République, c'est la banqueroute a.

En outre, le tribunal a relevé une Intention coupable dans le fait que M. de Vesins avait eu recours a I affichage pour exposer certaines idées, ce qui indique un but différent de telui poursuivi dans un article publié par un journal.

LA 4» EXPOSITION

PROFESSIONNELLE

DES APPRENTIS ET JEUNES OUVRIERS DE FRANCE

L'Association des Industriels et Commerçants pour la protection et l'Education professionnelle de la jeunesse française organise pour le mois de décembre prochain, sa quatrième exposition professionnelle. Nous ne reviendrons pas sur le succès remporté par cette belle manifestation du travail lors de la 3« exposition qui eut lieu à Paris dans les

vastes locaux de la confédération générale de l'Artisanat Français, du 19 au 27 décembre dernier cependant, il nous est agréable de signaler que notre ville tut dignement représentée par un grand nombre de nos apprentis et jeunes ouvriers.

Il convient de citer en particulier François Pasquier et André Peyrusson, apprentis horlogers Fougères, bronze J. Subrenat, 18 ans, dessinateur, et J. Thouault, 16 ans, lithographe à Rennes, la médaille de bronze.

La crise de l'apprentissage dont souffre l'industrie est grave, il est donc nécessaire de lutter contre cet état de chose en s'intéressant d'une façon active à l'apprenti, au jeune ouvrler, en lui donnant les moyens de développer ses conceptions professionnelles. Cette exposition en stimulant son ardeur, le signalera à l'attention de son patron ou tous autres industriels à la recherche d'ouvriers actifs, habiles et consciencieux. Ces apprentis, ces ouvriers, ne deviendront-ils pas, dans l'avenir, de précieux collaborateurs pour ceux qui auront remarqué leur capacité professlonnelle T

Les apprentis et jeunes ouvriers des deux sexes désireux de prendre part à ce concours peuvent s'adresser au siège de l'Association, 16, place Dauphine; à Paris, qui leur enverra, par retour, tous les renseignements nécessaires.

Le Cabinet Marx se. présente au Reichstag

Berlin. 19 mai. Le chancelier a donné lecture cet après-midi au Reichstag de la déclaration ministérielle. Après avoir remercié l'exchancelier Luther pour son activité au service du Reich, M. Marx poursuit

Le-nouveau cabinet continuera la politique extérieure qui a débuté par le règlement de la question des réparations à Londres et qui devait trouver sa conclusion dans la signature des traités de Locarno.

« Le traité récemment conclu entre l'Allemagne et le gouvernement des Soviets est l'expression des relations amicales entre les deux pays et constitue un élément nouveau dans la liste des traités destinés servir la paix et la stabilisation de l'Europe.. Sur la politique intérieure, M.Mnrx déclare qu'en co qui concerne les couleurs nationales, le nouveau gouvernement suivra la voie tracée par le président d'Empire dans sa lettre au chancelier Luther en vue d'aboutir au but désiré.

Dans la question du plébiscite sur l'expropriation des anciennes tamil. les régnantes, le nouveau gouvernement maintient le point de vue exprimé par l'ancien cabinet.

Au coers des débats, le socialiste Vfuller déclare que son parti soutienira le gouvernement autant qu'il :ontinuera la politique exposée par Marx.

Le ministre de l'intérieur fait une léclaraiion en sa qualité de ministre iitét-imalre de la Reichswehr nur les révélations produites ces jours derliers la diète prussienne conceriant les relations de la Reichswehr tvec les associations de droite. Il re;onnait qu'à l'occasion de l'engagenent de nouveaux soldats à la Reichswehr, les renseignements sur a qualité des 'candidats ont été denandés au chef d'une association iportiye de droite. Ces faits sont nadmisslbles et seront sévèrement 1 mnis. i Le Reichstag adopte a. une grande ) najorite un ordre W jour déposé par I es partis gouvernementaux. Les par- is gouvernementaux et les socialistes >nt voté pour les communistes et es racistes contre les nationalistes e sont abstenus, i

L'agitation en Allemagne Berlin, 19 mal. Les autorités civiles et militaires prennent d'importantes mesures de précaution en vue de prévenir un putsch préparé par les communistes pour la Pentecôte.

D'autre part, le député Hellniann aurait dénoncé il. la Dicte prussienne l'étroite collaboration qui existerait entre les commandants de nombreuses garnisons de la retchswehr et les organisations nationalistes dans le but de déclancher prochainement un mouvement insurrectionnel.

LES ACCIDENTS D'AUTO Strasbourg, 19 mai. Une automobile, revenant la nuit à Strasbourg, s'est jetée, près de Cronenbourg, sur un arbre et a été démolte.

Le chauffeur a succombé peu après son admission dans une clinique. Sur quatre voyageurs, trois ont des lésions et des 'ramures sujet desquelles les médecins n'osent se prononcer.

PARIS, 19 mai. Rite des Meuniers, une automobile a renversé M. Lucien Mussaud, qui est décédé à l'iiôpital Saint-Antoine.

L'auteur de l'accident a pris la fuite.

L'AFFAIRE DES FLAGELLANTS DE BOMBON

Une nouvelle expertise

PARIS, 19 mai. La Chambre des mises en accusation vient d'ordonner une nouvelle expertise médicale, 1 conformément à la demande des dé- fenseurs de l'abbé Desnoyers, curé 1 de Bombon et de sa servante, dans l'affaire des flagellants de Bombon, Le juge d'instruction de Melun 1 avait, on s'en souvient, rendu une ordonnance de non-lieu en faveur 1 des deux flagellants Froger et l.our- 1 din, en se basant sur le rapport des experts, qui avaient conclu à l'alié- nation de ces deux personnages. 1

La limitation des armements à la Contèrent de Genève Vers me trmusctioa

Gbœve, 19 mal. Au début de la séance de ce matin, M. Paul Boncour et Lord Cecil dans leur controverse sur le potentiel de guerre, sont tombés à peu près d'accord sur le principe suivant, pour lequel une formule sera recherchée.

Prenant en considération, l'impos- sibilité actuelle de limiter les armements de guerre éventuels d'un pays la Commission préparatoire estime que la réduction et la limitation dep armements ne peuvent viser utilement que les armements de paix, mais que dans l'estimation de cellesci, il y aura lieu de tenir compte 1° Des facilités oue dcinent cour Ips nrmements éventuels de guerre, les éléments visés dans la question n° 1;

2° De l'étendue et de la rapidité des secours qui pourraient venir ultérieurement à un pays attaqué. Après quoi, des observation* furent échangées entre quelques orateurs. peu empressés à ©rendre la parole et oui pourtant Rnirent car on met•̃-• ri'p -envi nonr décider que la ('on.férence continuera en première lecture l'examen du questionnaire. A la séance de 1 après-midi. M. de Brouckère, délégué de la Belgique, dans un discours éloquent qui a fait impression sur la conférence, montre rétrr'L. et nécessaire relation entre un désarmement même régional et les garanties de sécurité. Après avoir décrit les horreurs d'une évsntiuUe nouvelle guerre il a affirmé que le sdul moyen d en prévenir le retour résidait dans la publicité et le contrôle des armements, ou, pour le moins, dans une généralisation des accords particuliers. La discussion continuera demain.

BYRD AURAIT L'INTENTION DE SURVOLER LE POLE SUD OSLO, 19 mai. On mande du Spitzberg au journal Afteh Posien que l'expédition Byrd quittera la Baie du Roi jeudi, à destination de Londres. On croit savoir que l'explorateur Byrd projette une expédition antarctique aussitôt que possible en vue de survoler le pôle Sud.

Violents incidents

au Théâtre Sarah Bernhardt testant contre la participation des peintrcs surréalistes \fax Ernst et Jean Miro ont troublé la première représentation des ballets russes au Théâtre Sarah Bernhardt.

Des coups ont été échangés. La police a dO intervenir et procéder a une vingLaine d'arrestations.

L'anniversaire

le « la plus grande famille »

PAms, 19 mal. Le banquet organise en l'honneur du dixième anniversatre de la fondation de « la plus grande Famille a eu lieu aujourd'hui sous la port moral. T,c-s mrtnbres de l'Associatinrt sont aujourd'hui au nombre de 7.000. réunissant ensemble plus de 00.000 enfants.

Dans son allocution, NI. Isaac a montré que la famille est la base de l'Etat. Il a mis en rehef le mérite de la femme française, et c'est à elle qu'il a reporté l'honneur du renouveau qui peut se constater depuis la guerre d.ins le relèvement des naissances en Frai ire. Il a émis le vœu que des rapports de plus en plus étroits s'établissent entre les pères de famille fortunes et ceux qui se déhattent dnns les difficultés de la vie. « La. a-t-il dit, se trouve le (secret de la solution de la question sociule.. M. ALEXANDRE VARENNE RENTRERAIT BIENTOT EN FRANCE

Paius, 10 maJ. L'Avenir signale qu'au cours d'une réunion socialiste récemment tenue Clermont-Ferrand, le député Albert Paulin a nnnoncé que M. Alwiti'lre Vnrcnnc!» rentrerait définitivement en France dans le courant du mois d'août prochain.

UN OFFICE SPÉCIAL

DES CHANGES EN ITALIE Rome, 19 mai. On annonce officiellement la création près de la direction générale du Trésor d'un service s'occupant spctalement des questions intéressant les changes.

RENSEIGNEMENTS MILITAIRES

Engagements. sursis, permutations, retraites, soutien» de tamtlle. etc. Ecrire RAMUS, à l'Ouesl-hclalr. Joindra 0 tr. 50 en timbre-poste.

UN SERVICE A LA MÉMOIRE DES MORTS DE LA GUERRE Paris, 19 mal. Le Souvenir Français a fait célébrer ce matin, à la basilique métropolitaine de NotreDame de Paris un service solennel à la mémoire des officiers et sous-officiers des armées de terre et de mer et des soldats et marins morts pour la France.

Mar Dubois qui présidait & donné l'absoute. Le Président de la République s'était fait représenter à ce service par le colonel Audlbert, de sa maison militaire. Les ministres de la guerre, des colonies et de la marine

et les maréchaux de. France étaient présents ou »rç»ésentés.

pans l'assistance, on remarquait le général Gouraud, gouverneur mili- taire de Paris, le général DubaiL grand chevalier de la Légion d'honneur et de* nombreux officiers, généraux 'et supérieurs.

L'Ecole funèbre des défunts a été prononcé par le R. P. Lhande. AVANT LE CONGRÈS SOCIALISTE

Beauvais, 19 mai. La Fédération socialiste de l'Oise s'est prononcée à l'unanimité pour la motion Blum, c'est-a-dire contre la participation et pour une politique de soutien avec réserves.

EN SYRIE

LES HOTABLES DE SOUEIDA FONT LEUR SOUMISSJOH Beyhoi;th, 19 mai. Une grande par. tie des anciens notables de Sotfeida sont venus otfrir leur soumission. Ils se trouvent en ce moment à Soueida où Us attendent le retour du général Andréa. La vie a repris d'une façon comnlètement normale dans le Liban-Sud. Les habitants rentrent dans ces villages et s'occupent de reconstruire celles de leurs demeures qui ont été détruites au cours des opérations militaires.

Des brigands entrent à Baalbeck Beyrouth, 19 Mal. Une bande de brigands est entrée Baalbek. Les brigands ont tnts le feu au sérail et à divers bâtiments privés.

LES TROUBLES DE POLOGNE Vers uni solution d'union

nationale ?

VAnsoviE, 19 mal. Le Gouvernement a fait faire une démarche auprès des représentants des partis bourgeois de Posnanie pour qu'ils constituent une délégation qui viendrait conférer à Varsovie avec le président Voucierchewski, le maréchal de la Diète. M. Rataj, faisant fonction de président, et les anaiens membres du cabinet Witos, dans le but d'envisager une solution^ d'union na.tionale.

Dix-neuf généraux internés sont relaxés

On mande de Varsovie Dix-neuf Cenéraux internés seraient incessamment relaxés. Les défenseurs du Belvédère, au nombre de 2.230, commandés par le général Pedzeeski et entourés de troupes pilsuriskistes, resteront cantonnés près de Vilanow jusqu'à l'élection du nouveau président.

Les réginieiiis' poméraniens arrivés après la prise du Belvédère et qui n'ont pas combattu, ont rejoint lentement leurs garnisons respectives.

M. DOUMERGUE RÉDUIT LA PEINE D'UN DES BANDITS DE CORMEILLES

Versailles, 19 mai. Le président de la Républiquo a commuté on quinze années de travaux forcés la peine des travaux forcés iL perpétuité qui avait été prononcée le vingt novembre der- nier contre Vannier, l'un des auteurs de l'attentat du bureau de poste de Cormeilles-en-Parisis.

UNE TORNADE

DÉVASTE L'ILLINOIS LONDRES, 19 mai. On mande de Chicago à l' « Exchange Tclegraph qu une tornade a dévasté le nord de 1 état de l'IUinois pendant la nuit dernière, et a causé d'énormes dégâts dans un des faubourgs de Chicago. Un avion piloté par M. Ross Kitch Patrick a été pris dans la tornade et le pilote a été tué.

UN VOL DE 900.000 FRANCS DE BIJOUX

Nous avons annoncé hier dans nos dernières éditions, que dans le rapide de Vintimille, 9CO.OO0 francs de bijoux et 15.000 francs de monnaie, avaient été volés iL une voyageuse, Mme Zenorzinski, habitant Paris, qui les avaient enfermés dans un sac de cuir rouge.

Les deux voyageurs suspectés n'auraient pas

trempé dans cette affaire

Paris, 19 mai. Ce matin, il. sept heures, trois plombiers de la Compagnie P.-L.-M.. qui étaient chargés de réparer des tuyauteries des water-closets du quai A, découvraient enfoncée dans le syphon d'une des cuvettes la mallette de Mme Jeilorzinski.

Ce petit sac de cuir rouge avait été éventré. Il contenait encore divers objets dont Mme Jeslorzynskl avait donné la liste un trousseau de clefs un flacon de parfum, un face a main en or et un stylo, et des papiers d'identité qui ne permettaient aucun doute.

La trouvaille laisse donc supposer j que, son coup fait, le malfaiteur est resté à Paris et qu'il n'y a aucune corrélation entre lui et les deux voyageurs suspects arrêtés il. Laroche. Ceux-ci ne sont donc accusés aour le moment que d'infraction à la po.lice des chemines de fer.

Pendant le sommeil

de son maître

le domestique fait son choix PARIS, 19 mal. M. Levy, qui occupe au numéro 33 de l'avenue Hoche, un vaste appartement, avait engagé il y a six jours, un domestique présenté sous le nom de Roger Bonnet, par un bureau de placement. Ce matin, Roger Bonnet vint prendre son service une heure plus, tôt que d'habitude. Tandis que ses mal.tres étaient encore couchés, il s'empara d'une valise dans laquelle il entassa les objets de valeur qu'il mit trouver deux colliers de perles de 200.000 frs. chacun; un brillant de 20.000 frs.; une paire de boutons de manchettes de 20.000 frs., et un service en argenterie d'une grande valeur. Il prit encore le portefeuille de M. Levy, qui contenait 10.000 francs d'argent liquide.

Avant de partir, le voleur revêtit un manteau de vison d'une valeur de 50.000 francs.

A son réveil. M. Gaston Levy constata le vol, Pt téléphona au con-ii.i-. sartat de police.

LE MAUVAIS TEMPS Inondations dans la Nièvre NEVERS, 19 mai. Les pluies continuelles provoquent uno crue importante des rivières et en plusieurs points du département les eaux envahissent la campagne. Une tempête de neige s'est Mattue sur la région de Moulins-EngWbert, recouvrant le sol d'une couche épaisse.

Les récoltes suassent de graves dommages et les dégâts sont importants. La Livre est en crue et déborde. Les habitations riveraines sont envahies. A Clamecy, l'Yonne et le Beuvron sont en crue et les quartiers bas dt la ville sont recouverts par tes eaux. dévastant les jardins et mondant les maisons. Emporté par le cnurant

Un habitarut de Dorntcy, qui était monte dans un tombereau en compagnie de deux hommes pour sauver le Bétail, a été emporté par Ip courant. Le cadavre n'a pu être retarouvé.

La banlieue de Reims inondée Reims, 19 mai, La nuit dernière il Fismes, une crue subite de l'Ardro et de la Veste provoquée par des philos torrentielles, a envahi un quartier de la ville, inondant les usi. nes de tréfllerlo pt diverses exploitations agricoles qui ont été submergéea par 1 m. 50 d'eau, rendant l'ac.cès Impossible aux ouvriers de Cour- ville, de Serzy et de Prin, qui se trouvent isolés.

La circulation en chemin de fer, dans la banlieue de Reims a été interrompue. Les routes sont couDées.' et des dégâts très importants ont été causés aux jardins et champs. A Reims, la crue du Rouillat, affluent de la Vesle, a inondé la rue Ledru-Rollin qui, de ce fait, est inaccessible aux piétons. Les Immeubles et les Jardins de la ville sont lnondés. et les dégâts paraissent Importants.

La crue du Cher

Bourres, 19 mai. La crue du Cher a atteint cette nuit la ville de Vierzon inondant plusieurs bas-quartiers. Les pompielrs ont aidé au déinénaQement et au sauvetage des sinistrés. De graves débats sont signalé. Ce matin, à 8 henrcs, la crue paraissait. étale. On n'avait pas pnreçistré à Vierzon une crue aussi importante depuis de longues années.

LES AUDITIONS

HADIOTÉLÉPHONIQUES D'AUJOURD'HUI

TOUR EIFFEL

S.650 m. P. 5.000 w,

18 h. 30 à 19 h. *i Journal parlé par T. S. F. M. de Jesson, secrétaire de la rédaction du Temps Le Danemark, iju'it faut connaître. M. Georges Delamare Propos en L'air. M. André Fournel Le fait-divers et la vit. M. Alex Surcharnus La vie provtnclale Le Midi, M. Paul Campsrgue Reportage parisien. M. Marc l'rayaslnet La situation polltlque. M. A%dré Tinchant Le cinéma ou la lampe merveilleuse. M. Paul Perniée Petit courrier littéraire. M. Marcat S6rano La journée judiciaire. M. Jeun Scherrer, Ingénieur Un remarquable haut-parleur. M. Plwro Descarcs La situation internationale. Scène d'une pièce "nouvelle Joué il Parts, par Mme G.T. Franconl et Ni. Marcel Roma. La lournde financière. Lei dernières ncu.vclles,

S.740 m. P. 5.000 w.

21 h 10 23 heures Radio-concert Pièces en concert (.Rameau!; Sonate en m! bémol (Mozart), par M. Mauric Schwa.il> et Mlle Ruoî/o. Ephémérides Notices et auditions sur le compositeur Phllldor lit le pianiste Ravina: Fragments de Maître Wollren (Iteger), anniversaire de la première représentation, par M. Vlannenc, de l'Opêra-Coinlque. Véronique (Messager); La Pettte Bohème (Hirschmann); Madame Favart (Ofîenbach), far l'orchestre des Amis de la Tour. RADIO-PARIS

t.750 m. P. 1.500 w.

12 h. 30 Radio-concert Lucien Parts 1. Défilé des Athlètes, marche (A. Nicot). a Value nuptiale {R. Soler-A. Bose); 3. Romance en fa, solo de violon (Beethoven); 4. Au bord du Danube (M.-E. Amirian Snoek); 5. ldylle (L. Louet-J. J. Bulsson); Il. Berceuse, solo do vloloncelle (André Pascal); 7. Youchka, fox-trot (H. Ackermans-J. Mevans): 8. Le Prophète, trioyerbeer); 9. Pifteraro, solo de flûte (Ciar di) Mme Lucy Dragon, l" PRIX du Conservatoire; 10. Eipliàlerte (L. Ter6b); il. Rondlno sur ten thème de BeetAnren (Krelssler), solo de violon; Il?. Evocation (H. Panellal; 13. Nice ilorning (Eug. Lantni); i«. solvelg son! solo de vloloncelle (Ed. Grlea): 15. Intermezzo (Claude FIevet); 18. Rêve d'aïeule (J. Roudlère); 17. Le Printemps (Félice Caréna); 18. Un rien fox-trot (WUly Stones).

is h. a L'heure enfantine, par le Théâtre du Petit-Monde.

w heures Radfo-oommuntau« (W« leçon), par M. A. Veyrenc, professeur de la Ville de Paru.

IL eo Badio-coocert, orgaal»* par

1 le tonnai lA Journat a) I del); b) O Bergère (Buononclnl); el ra totn fSchumann); •}. a) Je me suu embarqué (G. Faurè b) Blalttne (D. de c) Mélodie grecque (Ravel) Mme d8 liontant) 3. invocation des Perses (X. IAroax), note solo Mme Lucy Dragon; 4. Mt'ndtes Mile Belles: 5. Poèmts d'amour (A. Georges, r6citatlon, et orchestre totu la direction de M. de ville».

RADIO-TOULOUSE

430 m. P. «.000 w.

12 h. 45 L'orchestre loue Granadn. paso doble (Covela-Salabert); Sonate au clair dt lune (Beethoven); Glroflé.Olrotta, fantaisie tLecoca), solo de cella: La t.-Hlf» (Schubert); La Fllrlane de Mignon fAmbrolse Thomas), solo de violon; NlatHn, danses russes (Barchl: Alon coeur soupir» (Mozart); Marche militaire française (St.Saêns).

20 h. 45 Concert Instrumental de pila offert par le Casino municipal de Palan.les-Flots (Hérault), direction Bourel. l'orchestre joue Légfons d'amours, marcha (Marchetti); Mariage d'amour, valse (von Ramer): Crépuscule d Venise ISudessi); Ta bouche, fantaisie (Christiné), solo de cMlo; Arlette, ouverture f.Tane Vleu). eolo de TloInn: Menuet du pfinlcmp* (Beethoven)- La Pérlcholc. fantaisie (Offenbach); Marche américaine (Sonsa). Durant le concert, audition de divers artistes.

LONDRES

3hS m. P. 3.M0 w.

13 Il heures Signaux horaires. Gramophone.

15 h. 15 Pour les écoles Les hénfnei de Shakespeare Portla.

16 heures Signaux horaires. r.et livret d lire.

l* h. 15 Concert du Trncadéro.

17 Il, i* pnur les enfants.

1« he-iros Musique de danse.

is h. M Cours du marché pour les agrtctUteurs.

10 heures Signaux horaires, mttto et nouvelle:

10 h. 95 Récital 1.lszt Etuâêi ne 7 (Héroïque), et n' il (Harmonie» du aolr). 19 h. M) Str John Laveru.

80 heures Concert.

90 h..m Conrort villageois.

CI h. 30 Signaux horaires. -nétéo at nouvelles.

22 heures Concert.

"9 h.n à heures Musique ;le d.iPM du Savoy.

DAVENTRY

1 «0 m. P. îi.000 w.

10 h. 30 Signaux horaires et météo. Il heure- Il heures Quatuor radio. 19 h. 10 Causerie.

tt> heures Concert varié, relayé de Cai>- diff.

Il. 40 Causerie.

Il. Prévisions maritimes.

92 hfures Suites musicales.

Aux antres heures mêmes programma* Le Temps fait Aujourd'hui, 20 mai, Saint Btrnardln Soleil: lever s h Os coucher 90 h. » Lune. lever 0 h. Si Coucher h. le. Situation générale te 19 mal d 7 heurtt. La dépression de Bothnie est détruit» + 10 et + 8 à Dantzig. avec haussé à peu près générale Europe, saur 9 lr:lande. Bretagne Paris, ?et. Maximum, 765 Espagne, 767 Laponie. Minimum. TC6 Irlande.

Les vents seront faibles de l'est Pas-deCalais, sud Normandie, sud-ouest Bret»gne-Océan, nord-ouest modérés Méditerranée.

les maxima de la vrille ont été, de 12' Paris, BMUTal>; i.i Orléans. Dijon; 14 Bres-t, Cherbourg. Argentan; 1" Toulouse; 16 NMc- 17 Perplonan, Marseille.; 11 Chartrès. Lyon; 10 Met»; 9 Nancy; 8 StrasBourg.

Minima de Paris.. Argentan Orléans, Toulouse; 8 Nice, Cherbourg; 9 Marseille, 10 Brest. Perpiçnan; 8 Bourges, Chartree; 5 Bordeaux. Beauvais: 2 Dijon, Strasboutg; 1 Nancy. Mulhouse, Lyon.

Pluies 7 heures 3 mm. Parls. Argen1-au: 9 Lorient: il Poltler»; 2 BourRes. Mul. house; 1 Orléans: traces A Chartres Beanvnis. Le Havre. Ouessant, Nancy, Dijon. Lyon.

Ce matin, pluie en Brctaïnc- et Normandie. Beau ou nuageux ailleurs.

4 Granville 1 1 fréter 0 lit O 23 Uorlaix (entrée rivière) 0 or, il 17 il 54 il 012 :oncarneau Il 07 Il 47 11 16 cannes il 0 28 2 28 iablesd'Olonne it 38 1147

BIBLIOGRAPHIE

On nous prie d'Insérer

Les Editions de la Bretagne Tourlsti(pin viennent de mettre au inonda, un livre nouveau Le Grotesque. comMle symbolique cn vers, précédée de nom.breux et délicats poèmes.

Le Groteaquc, c'est une comédie symbolique et lyrique: c'est une idylle amoureuse qu'éclaire un rayon de lune: c'est un drame dont l'action se noue et se dénoii" sous les regards du monstre qui personnifie 'our à tour la conscience, le remords. 1» destin.

I,'ouvrage Illustre par M. Daubé et tiré a un potlt nombro d'exemplaires, pour la grand honheur des bibliophiles, est en vente aux édttfons ne la «Bretagne- Touristique, 28, rue Saint-Guillaume, a StBrieue,

Sur alpha. 8 fr.; sur slmlli-japon, li fr.t sur Madagascar, 30 tr.

Jean D0.1AT, pseudonyme de Jean Benoît. professeur à l'Instttutton Notre-Dame, à Valenciennas

LE BERCEAU

Evocation enthousiaste d'une province. la Bretagne, dont le sol dur est l'imag» de la vie qu'on v mène, mats si féconde en sentiments élevés, si riche de beautés naturelles, de légendes cruelles; chanta d'une Jeunesse que torture la disparition des êtres aimés, d'une adolescence remplie des Joins et des peines de la vie d* collège: échos de l'appel aux armtt: tristétées de la petite patrie endoillllée. Rien de morose malgré la plainte: seille la force de l'Ame transparaît dans les strophes, leçons superbes et tendres d'es- polr, d'énergie et de devoir

Poèmes u fr,

En souscription aux Editions d'Ail Radot ̃, Paris. RENSEIGNEMENTS MILITAIRES

Engagements, sursis permutations, f- trotte' soutien, de famille, etc. Ecrira RAMUS. l'Oiiest-cclalr. joindra 0 fr. M en tlmbre-posta.


UN ENTRETIEN AVEC M. RAOUL PÉRET LE MINISTRE DES FINANCES NOUS FAIT PART DE SES IMPRESSIONS AU SUJET DE LA CHUTE DU FRANC ET NOUS REND COMPTE DES NEGOCIATIONS

QU'IL A ENGAGPES A LONDRES

PARIS, 19 mal. M. Raonl Péret nous a reçus ce soir au Ministère les Finances, et voici ce qu'il nous i déclaré

< Je viens de m'entretenir de la baisse soudaine du franc avec M. te ''résident du Conseil, le Gouverneur If la Banque de France et ses colla/orateurs. h'ous avons analysé Les •auses de cet événement et nous tous sommes mis d'accord sur Les nesures a renforcer ou à mettre en eu pour défendre notre devise. l'ous comprenez que la plupart de ces meures doivent demeurer secrètes puui 'instant, et qu'il ne convient pas l'enlever notre intervention Le caractère inopiné qu'elle doit avoir. le dois tous dire qu'en Angleerre, on ne s'explique latelle chute du franc. On déciare que lien ne la justifi", on la déplore. et es hommes politlquea que j'ai t;us n'ont même fait observer que leur mys n'a rien d y gagner. De moins 'n moins, les élranjcrs se rendent 'Il Angleterre, où les prix sont vrainent prohibitifs.

Votre dette à l'Angleterre

En ce qui concerre le règlement les dettes, Les conversations sont implemcni suspendues, et ]•: retourierai très pruchainemenl à Londres, tous avons cherche, avec la plus fronde cordialité de part et d'autre, t rapprocher les points de vue, et toua y sommes parvereus dans une nesure fort appréciable.

Et. Churchill, Af. Chamberlain et ous les membres du Cabinet britanliquj ont montré les meilleures dispositions à notre égard.

Donc, si la négociation doit être aborieuse encure, ses préliminaires tous donnent l'espoir d'arriver à une onciliation. Les pourparlers seront neut être Longs et répétés: mais nous ic pressons rien nous n'y avons lucnii intérêt.

La clause de sauvegarde, la clau;c de transfert, Le moiutotre, et par fessus tout la question de l'or actuelemeat détenu par nos voisins ont 'ait l'objet de nos conversations très (égaillée;. Le règlement de la dette contractée par la ltanque de France i la Banque d'Angleterre nous a par'iculUrenteiu occupes. il. liarnaud et es représentants de la Banque de rrance sont restés à Londres pour r)réciser encore quelques points d'orIre technique.

Le bruit a couru hier, me dit on, lue j'avais engage dxs puurpurlers ivec des lanques anglaises pour des ouvertures de crédit. C'est absolument inc.ract. Je n'ai nullement ibordé ce sujet, c'. il n'est pas ques- lion de demander à nos voisins des avances quelconques. »

En termiuant, M. Iiaoul Péret nous a laissé entendre que le Conseil des minisires de demain serait particulièrement important. la préoccupation capital du Gouvernement étant la défense du franc. Nous avons l'impression que M. Péret croit avoir les moyens d'entreprendre efficacement cette défense, et il parait plus rassuré sur ce point que sur le caractère satisfaisant pour nous dos stipulations à venir touchant le taux et la cadence de nos paiements à Londres.

L.-A. P.

M. Doumergue consulte

Pakis, 19 mai. Le Président de la République est rentré cl:: Rambouillet

cette après-midi À hcures et demie. Il Il reçu il 5 heures M. Briand et M. üaoul Péret qui lui a rendu compte de son voyage à Londres.

A 6 heures M. Doumergue a reçu les membres du Conseil de régence et le gouverneur de la Banque de France. Il a eu avec eux un entretien qui s'est prolongé jusqu'à 8 heures et auquel ont assislé MM. Briand et Péret. La convocation anticipée

da Parlement ?

P3fi:\ 19 mai. On nous communique la note suivante

Au nom du groupe sorialisle qui lors de la séparation des Chambres avait proposé de fixer au 11 mai la rentrée du Parlement, MM. Vincent-Auriol, Léon lilum, Kcnaudel et Voilin se sont rendus à ln présidence du Conseil. Ils n'ont pas rencontré V. Uriand qui se trouvait en conférence ù l'F.lysée. Ils ont avisé M. Daniélou, sous-secrétaire rl'Klat de leur intention de demander au président du Conseil s'il ne jugeait pus utile une convocation anticipée des Chambres.

La Caisse d'amortissement M. Briand promet des garanties aux souscripteurs

de la contribution volontaire PARIS, 19 mai. Le président du Conseil a reçu ce matin la délégation permanente du Comité nalional de la Contribution volontaire qui a appelé son attention sur la nécessité de donner toutes garanties aux souscripteurs sur l'autonomie entière df In riisse d'nmortissement et sur l'nffeclntion exclusive de la souscription p l'amortissement. Le Comité a remis en outre une note indiquant les mesures d'ordre législatif et réglementaire qu'il serait à son avis nécessaire de prendre pour donner ces satisfactions aux souscript.eurs. NI. Aristi'le Briand a déclaré It la delésntion qu'il était entièrement d'accord avec elle sur l'autonomie nécessaire de la caisse d'amortissement et il lui a promis de soumettre au prochain conseil des ministres les mesures proposées. LE REGIME DES PASSEPORTS Genève, 19 mai La ronférrri'pour les passeports vient de se tertniner. Dans ses couclusions. elle n'a pas cru devoir recommander pour le moment la suppression des passeports niais elle a voté des recommandations qui tendelt à simplifier le régime existant.

M. Ricard est élu

à l'Académie d'Agriculture Paris, 19 mai. L'Académie d'Agriculture a procédé cet eprès-midi à l'élection d'un membre titulaire dans la section d'éconowie stati. que te législation agricoles.

Au 1« tour de scrutin M. J. Pinard a été élu par :!6 voix sur 38 volants.

Le nouvel académicien est né à Bouccal (Gironde), le 3 mai 1880. Ancien Ministre de l'Agriculture, da.ns les cabinets Millerand et I.eygues en 1tr20, il présida la confédération na. tionalité des associati):us nrticoles, groupement qui fut tOù auprès la guerre sur son initiative.

L'OFFENSIVE DU MAROC EST MENÉE BRILLAMMENT Nos troupes ont dépassé leurs objectifs

Frz, 19 mal. Tes. renseignements qui parviennent d'heure en heure confirment les résultats heureux signalés dans la matinée, Partout, les troupes françaises ont déplissé largement les objectifs de la journée, l'ennemi opposant seulement quelque résistance sur la gauche de notre dispositif dans la région du Djebel Ferouat, sur le front de la 1ro division.

Les observateurs en avions voient progresser les colonnes franco-esparnoles dans toutes les directions convergeant sur l'Oued Nokor.

Des fractions des Béni Arous et des Béni Bou Kef ont demandé à entrer en pourparlers de soumission. Sur les pistes allant vers le nord, on constate un grand exode de dissidents emmenant leurs troupeaux.

Beraber, qui fut longtemps un poste important de commandement ennemi, est prise et largement dépassée. La température fraîche rond facile le mouvement des troupes françaises. En résumé, les opérations se dérou!ent dans les meilleures conditions· faisant le plus grand honneur aux états-majors alliés et à leurs admirables troupes.

DEBUT DE SAISON Saint-Malo. Nous croyons savoir que le Casino Municipal de Saint-Malo ouvrira ses portes samedi prochain 22 mal. Un grand bal d'inauguration nst paratt-il prévu pour cette date, indépendamment des jeux q-.i îonctinnnent normalement dès l'ouverture. LE CONFLIT MINIER ANGLAIS

Londres, 19 mai. Le Comité exécutif des mineurs a eu une longue entrevue avec M. Baldw'in à la Chambre des Communes hier soir.

On croit savoir que NI. Baldwin reste inébranlable sur ses conditions. Les mineurs devront accepter le principe d'une réduction de salaires avant qu'on aborde la question de la réorganisation technique et administrative des charbonnages.

Les mineurs, de leur côté, continuent à réclamer un procédé en sens inverse.

On voit donc que l'Assemblée nationale des délégués qui se réunit demain n'aura d'autre alternative que de décider de soumettre à un referendum qui prendra pas mal de temps la question d'accepter ou de rolctpr les hases proposées par Je gouvernement.

UN ECHO DE L'ASSASSINAT DU SIRDAR EN EGYPTE

Un condamné à mort

LE Caire, 19 mai. Le jugement des sept inculpés de meurtres et attentats portiques commis de 19£2 à 192», y compris l'assassinat du sirdar, sir Léo Stack, s'est tertniné aujourd'hui. Mohamed F'alimy Ali, seul, a été condamné il mort.

Les autres soutenues seront annoncers le 2." mai.

LE CONGRÈS

DE LA FÉDÉRATION POSTALE UNITAIRE

PARIB, 19 mal. Le Congrès de la Fédération yustalc unitaire des travailleurs des postes, télégraphes et téléphones s'est ouvert ce matin. Les congressistes ont voté une motion rie sympathie aux travailleurs anglais. n KXSKIGSEMKSTS MILITAIRES Engagements, Mir.sls, permutations, retraites, soutiens fie famille, etc. Ecrire KA.MUS, a yiiiiest-k'clatr. Joindre 0 fr. 50 en timbres-ponte.

LA POLOGNE REVIENDRAIT AU CALME

Une mite au point

du gouvernement

Paihs, 19 mai. L'agence polonaise de presse communique une note démentant les informations suivant lesquelles un contre-gouvernement aurait été constitue à Poznan visnnt d s'opposer par tous les moyens, au gouvernement nI' la République, présidé par M. Bartel, et qij aurait entrepris une attaque militaire contre Varsovie.

Le pays étant rentré dnns le .5*1me, ajoute la note, la divergence •!>* vues politiques ne murait se manifes- ter désormais quo sur le terrain censlllutionnel et par les méthodes compltibles avec l'ordre légal.

a La réunion prochaine de l'Assembide nationale, tout en assurant l'expression normale des forces et des sentimenls politiques permettra une appréciation plus juste et plus confor:ne à la réalité des événements En atten.dant, la plus grande réserve s'impose au sujet des nouvelles de Pologne, qui provenant souvent de '.ourcos mal renseignées ou hostiles à la Pologne, contribuent a semer la confusion et à fausser le véritable aspect des choses.

UN AVION RUSSE S'ABAT Deux morts et deux blessés Moscou, 19 mai. Un avion de la ligne Moscou-Tifiis "st tombé d'une faible hauteur, près de Kharkov. Deux passagers, dont un collaborateu,r de la Pravda, ont été tuéK le pilote et le mécanicien ont été grièvement blessés.

L'aviateur Kirkpatrick se tue

Summit (Illinois), 19 mais L'aviateur Kirkpatrik. qui tenta le premier la randonnée aérienne dn NewYork Nome (Alaska), en IMi), s'est tué aujourd'hui au cours d'une chute d'avion pendant uue tempête. UN RADEAU COULE 19 NOYÉS Moscou, 19 mai. Un radeau a coul au milieu de la rivière Sollak, près de Makhatchkala (ancien l'.itrovsk) 19 personnes ont péri 11 ont été sauvées.

PETITES NOUVELLES Paris. La Fédération internationale du la Laiterie a donné le banquet de clôture, de son congrès. Houkn. 200 corps de prisonniers de guerre, de prisonniers civils et d'otages français décodés en captivité en Allemagne vont être rapatriés par voie de nier à Rouen. Nancy. Un incendie a fait 150 mille francs de dégâts dans une fabrique d'appareils de chauffage. Mulhouse. Poursuivant son voyage d'études en Alsace. M. Lava). ministre de la Justice, est arrivé il Mulhouse.

Berlin. Le Reichstag s'est ajourné au 7 Juin.

HOME. Le cercueil du prince Victor-Napoléon enveloppé de drapeaux français et italiens ;i été translmrté A la basilique de Superga, où il a été inlwmé.

Awers. L'Administrateur délégué et le directeur de la Banque du Crédit Populaire qui a cessé ses payements depuis une quinzaine de jours ont été arrêtés sous l'inculpation de graves irrégularités.

DANS L'ARMÉE

DESIGNATION POUR LES T.O.E. Sont désigiés pour servir 10 Au 'la.roc Le chef de bataillon Duchateau, du I3i" lnt.; le capitaine Théhant, du 71» tuf. 2" l:n Syrie Le capitaine Ga:avel, dn 1 117» lnf.; tc capitaine Cnardcnot. du lt7" Mnf.

DERNIÈRES NOUVELLES SPORTIVES

CYCLISME

OUVERTURE

DE LA SAISON CYCLISTE

DU STADE LAMBALLAIS

Nous rapiielons que c'est dimanche et lundi que le Stade Lamballals ouvre la série de ses belles réunions c.iclisies sur la piste, qui, lion? ne l'Ignorons pas auront les suais des années précédente- et le Comité a mis tout on rouvre pour donner un programme susceptible de conten- ter les plus exigeant!). les mnuiiifluiirs |irlx i|til y (lirurent en sont les plus surs garants. En effet le grand prix de vitesse est doté do 6on fr. de prix, ainsi que les courses de fond et l'américain'1 qui réunissent plus de 1.2oo francs, et de nombreuses primes sont déjà reçues, entre autre une prime de 70 fr. est offerte à l'équipe première qui rlouhlnni ses enneurreuts. Nnus sommes di'Ja assurés de Il présence de plusieurs vedettes régionales dont nous donnerons les noms sur un prochain numéro.

La magnifique piste que les coureurs et sportifs ont déjà admirée a subi de nouveaux ainénaceme"t« définitifs qui étaient nécessaires après les tassements qui eu lieu, aussi en ce moment elle est dans un ctat oarfait.

BOXE

A LA SALLE WACRAM

PARIS 19 mal. Un match de poids lourds constituait le coinhat princinal de la réunion pugilistique de la salle Wagram. Lc matrh a mis en présence le champion hollandais de la catégorie Van de Voero et lo Marseillais Tlarrlk. Le combat conclu Pour 10 reprises alla Il],. qu'à la limite et se termina par un match En 6 reprises. Slranowskl est vainquenr de Grisolle- aux points: llnrrl Dlek. vainqueur de Forceon par knok out au ̃J« rount; Henri, vainqueur de Issler par abandon à la 3' reprise; Soya. vainqueur de Dovaux, aux points.

HaXSEIGXEUENTS JVUIDIQVBS

Lot sur les loyers, Affaires litigieuses Contentieux, Procès, etc.. etc. Envol de.- renselgnements contre mandat de S fr. 3n arfressé A Vflur.st-F.rlntr. Servlre tnrMiniip

INFORMATIONS

AVIS AUX CANDIDATS AC CONCOURS nu CONTROl.EL'R-ADJOIXT DES DOUANES. Les Jeunes gens susceptibles de se présenter au concours (le contrôleur. adjoint des Douanes, auraient tout tntérét, avant de se déterminer définitivement à se renseigner auprès du Syndicat des Douanes Sédentaires. 5, rue de Poitiers, Paris (VIle), sur la véritable situation qut leur serait faite dans la carrière douanière.

P.T.T.

Liste générale par départements et par ordre de mérite des pn,tulant, reconnus, admissibles à l'emploi de facteur-receveur des postes, des télégraphes et des téléphones, à la suite de l'examen du -27 février

Cites-du-Nord. Jacqnes P.-)f.. tacteur rural a Lognvy-PlotiKra* (C.-du-N.): G. Alexandre, facteur à Parls-H Ttauilouard E., facteur, Imprimés, à ParKX) .lagou- del J.I., facteur de ville à Morlalx Ilaudie .T.-M.. chargeur iL la ¡¡arc du Nord; Furet Y. facteur ,VP.irlvi7: Le Grand IL, gardien de bureau iL Dax Kusiec A., facteur Il Lninnalle Pcnaull Y.. facteur A Par)-): P.

Loire lnt«rlouro. Héligon, facteur rural Plechûtel (I.-ct V.i

Maine M-Loire Chalsson. facteur rn.nay rural à T.iré.

Morbihan Abantret. facteur des postes li Paris-R. P.; lîranrhoiix. facteur de ville Fougères Dernnes. facteur de ville à FoiiRêrcs Panier, facteur de ville, a Fougères.

Dans la liste <1es postulants rernnnn» admissibles à l'emplit de courrier convoyeur et -entreposeur des postes, à 1k suite de l'examen du i mars 1O^«. nous relevons '.es nnms suivants nc in. Moreaii de Hennés t?. Le Guen, de Rennes 30, Poirier, de Rennes.

Le prix le plus bas au kilomètre parcouru nvoc une camionnette de qualité Rochet-Schneider o. Essaie aux Dsines. 57. ch. Feuillat. Lyon, et chez les Agents régionaux.

UN BOTANISTE DISTINGUÉ Un botaniste distingué, l'adbé Hamon, a écrit un livre dans lequel il expose sa méthode. Il y prouve que de simples tisanes, composées selon le cas, sont capables de guérir les maladies dues incurables Diabète. AIbuniinune. Rhumatismes, Rhume, roux. Asthme, Bronchite, Constipation, Entérite, Héinorroides. f;stomac, Nerfs, Anémie, Paludisme, Malaria, Cœur. Reins. Foie, Vessie. Artériosclérose, Maladies féminines. Retour d'a&e. Plates variqueuses, etc. Envoi gratis et franco de ce livre. Laboratoires llntaniques ;Dép<"it 31). Boulevard feebasiopol. 89. PARIS <2"). Métro Rënuuiur.

L'ASSOCIATION FONCIÈRE

ET IMMOBILIÈRE

5, rue Bourdaloue, PARIS; SocifM.j ^'occupant exclusivement 'l'opération* immobilières par achats directes, donnera tous renseignements '1 propriétaires de titres et capitalistes dùsireti* ilo participer dans acquisitions imnin-" hiliiM'os soucieux tie garantit leur lotit en augmentant leurs revenus fans aucun risque. Ecrire ou s'inlt'csscr A. F. 1., 6, rue Bourdaloue, PARIS, ou Agences Régionales ROUEN, 37. rue Thiers. NANTES, 19, rue en'billon.

Le Journal des Mutilés et Réfor més >, 20. Chaussée d'Antin. Paris 12 francs par an.

Feuilleton de l'UuesiLclaiT

du 20 mai 1926 5

TANTE LA CAPUCINE Par Marie GASQUET

IV

Notre Seigneur, en allant au Calvaire, n'a pas protesté une seule tois.

riais les Apôtres ont été de fières andouilles de le laisser emmenerl riposta le marquis.

Saint Pierre fit bien une tentative, mais l'oreille de Malchus, NotreSeigneur l'a recoliée.

Evidemment, et le n'incrimine ni les victimes ni le commissaire qui a présidé l'expulsion. Ce sont les gens du siècle qui me font bouillir. les gens qui s'en lavent les mains sans voir où leur apathie bien pensante nous mène

Faut.1l que tu sois sûr d'avoir raison pour te passionner de la sorte 1 dit Simon souria* à Verneuü obstinément silencieux.

Sûr d'avoir raison ? Je te crois que j'en suis sûr 1 La vérité, mon cher, ça s'apprend et ça s'hérite Je suis un féodal qui sait son catéchisme.

Madame est servie. jeta la servante correct

Le couvert était mis avec guût. Des le debut de la prospérité, fine avait acheté de l'argenterie et du linge. Dans les magasins les meilleurs de la ville, ou connaissait son entrée en matière Je viens chercher ceci, cela et surtout, pus de rafataille (1). »

Evidemment, il n'y avait pas de rafataille sur la nappe damassée où le chiffre du boulanger était brodé au plumetis.

Monseigneur, ait Iltlf'ne, voulez-vous réciter le UeneiiUiir 7 Nais, les paupières baissées, fit le signe de la croix, Joignit les mains et s'inclina au point que la dentelle de son bonnet effleura le bord de table. C'est ainsi qu'el'e ne vit pae que seul, Closange avait tracé aufsl Inrcpment qu'elle le signe réderipteur.

Le consommé blondissant le fond des assiettes filetées d'or n'était pas de la rafataille. lui non lus, et le prélat, assis à la droite de la vieille Mine Brrnud. crut devoir l'en féliciter m soupirant

Quel velours 1 Voilà qui reviendrait un moi' 1

Fine entendit 'à peine et, sans temercier d'un si bel éloge, s'écria, tournée vers sa sœur-

Qu'est ce qui te prend, Nais, de rfstpr plantée, les mains jointes devant ta soupe 1

(i) Pacoi

Ma bonne sœur, j'ai recoujiu l'udeur du pot-au-feu.

Alors Y

Alors, il y a cinquante-quatre ans que j'ai fait vœu vle manger maigre, sauf maladie, et je me porte, Dieu merci, connue une mauvaise herbe 1

Bien, mais tes voeux, il me semble qu'ils sont restés là-bas, tes vœux, puisque tu es sortie.

Pardon, on m'a fait sortir, ma volonté n'y est pour rien.

Dis plutôt que tu veux te laisser mourir de faim chez moi 1 Est-ce que c'est ma faute si Dieu a créé le poulet en même temps que les pois-ohlches 7 Et d'abord, tu l'insultes. Dieu, le vrai bon Dieu, celui qui fait les bonnes chcEes, pour qu'on puisse te les offrir. N'est-ce pas, monseigneur? Que vous répondrais-Je, mada.me, après avoir redemandé du consommé T.

Le poulet sauté eut le même sort, même sort aussi le filet de bœuf, un filet de bœuf, dit Fine, a si tellement il point qu'on en pouvait sucer le lue comme une sève. Nats dlic ')•̃> quelques feuilles de salade qu'elle mangea du bout des doigts, Mme Béraud ayant refusé de lui laisser échanger sa fourchette d argent contre une cuillère de '>ois.

La renie, cependant, permettait l'usage du vin. En souvenir du repas de la Cène, ce n'est pas à l'impure viande mais au rouge sang de la

terre qne les Capucine demandent ta force de chanter pieds nus l'office de nuit.

Deux doigts seuleiiv it, mon neveu, avait.dit Nais.

Le bourgogne était d'un grand cru.

Oh ma Mère Marie, murmura Nats, surprise par la chaleur troublant ses veines et sa vue, n'abandonnez pas votre fille dans la Concupiscence et dans la Gourmandise Faites-moi place dans la maison de Nazareth, une toute petite place entre l'évier et le rouet. Saint Joseph, quand vous quitterez le rabot pour venir manger votre soupe, je me ferai plus petite encore et me contenterai de quelques miettes sous la table. Quelques miettes du pain de Jésus. Jésus vous avez dit Malheur aux riches Qu'attendezvous de moi dans cette maison ouatée de tapis, où les convives ont quatre verres et oublient de réciter les Grâces pour vous remercier de ce festin. »

V

Ayant dit adieu à Simon qui, à l'aube, emmenait Verneull en excurslon, Hélène frappa à la porte de Tante la Capucine. Ne recevant pas de réponse, elle ouvrit doucement et. stupéfaite, aperçut Naïs étendue il terre, dormant tout habillée près de son lit intact.

Laudes c'est Laudes cria la religieuse s'éveillant en sursaut.

IltMnnc l'aida à se relever. Tante la Capucine, montraut le lit, mit un doigt sur ses lèvres et gaiineut demanda

Déjà debout, ma nièce ? Quelle heurt' est-il douc

l'rès de cinq heures.

J'ai honte d'avoir tant dormi. Hélène tira les rideaux, ouvrit les persiennes. A pleines fenêtres, l'éclataut matin pénétra dans la chambre et, devant l'aiirore qui rosissait la ville d'Aix, Naïs agenouillée dissipa dans une courte oraison les brunies du somnteil dont elle était sortie avec la terreur d'une faute.

(irand'mère a donné ordre à ta servante de vous accompagner à la messe qui vues conviendrait. Me pardonnerpz-vous d'avoir pensé que vous choisiriez la plus matinale et préféreriez la compagnie de votre nièce

Dans. dans. ce costume T s'effara Naïs, la respiration coupée et laissant choir la brosse avec laquelle elle s'apprêtait ù brosser 6a jupe.

Rassurez-vous, ma tante, dit Hélène, jetant un regard amusé à ses bras frais et à la chute de dentelles qui ornait son peignoir largement échancré je cours m'hahiller. Vous aussi, d'ailleurs, vous avez votre toilette à taire.

Quand, un moment après, la jeune femme reparut en feutre mou et en

tailleur. vais crut devoir s'excuser Je ne suis qu'une pauvre sotte dit-elle humblement mais tout est si nouveau pour moi Je n'avais pas idfp, voyez-vous, qu'une femme puisse être en mbe de soie le lever du soleil. Je ne comprends rien ;t rien. (:e chapeau, par exemple, n'est-ce pas celui que Simon avait hier ?. Vous riez ? C'est une sottise encore que je viens de dire, n'est-ce pas ? Riez, ma petite Hélène, ne craignez pas de vous moquer de l'ignorante que je suis. Il est bon que le siérle humilie celle qui, hier soir, a failli le maudire.

Chère, chèrp tante murmura Hélène entourant de ses b Ls les épaules de la Capucine.

Déconcertée par cette émotion. Nais défit l'étreinte rt riant a son tour demanda, crevant ingénument ne rien montrer de sa détresse Suis-je présentable, an moins?. C'est que. si man bonnet n'est pas d'aplomb, gare à la semonce de Fine.

Hélène défroissa les ruches, rectifia le nœud dos brides, mit le volant en auréole et dit en montrant le miroir

Je gagerais que vous ne l'avez pas consulte.

Hélas répondit Nais le front courbé et ses joue; ridées toutes rouges, je n'ai pas eu le courage de cette mortification.

(4 suivre.)


Avant le Grand Prix d'endurance

Une visite technique au circuit permanent de la Sarthe

soit écouJé, c'est-à-dire le 12 juin ce paysage de sapins et de landes aujour- veut toujours pas sourrre l'été tout proche, retentira du vrombissement de monteurs animant, vers la conquête de la vitesse dans l'endurance, de rapides au- tomobiles que leurs constructeurs pré- parent en ce moment-ci pour l'exploit annuel, qui, souhaitons-le, confirmera encore une fois le renom universel de notre grande industrie française. Ces 17 kilomètres de route qui recevront, le mois prochain, la visite de quelques 50.000 personnes, l'Automobile Club de l'Ouest, qui les entretient en par. lie et les soigne avec une paternelle sollicitude, les a fait parcourir aujourd'hui a de nombreux Invités qui, préalablement, avaient été ses hôtes aux tables élégamment servies du maltre-queue Rousseau, dans le cadre verdoyant des bords de l'Huisne, 6 Pontlieue.

On a pu noter la présence de MM. Marcel Bernard, préfet de la Sarthe; Le Feuvre, maire de la ville du Mans; Coquille, administraleur-dir&cteur de la société anonyme des roues détachnhles Rudge Whitworlh: Singher, président de 1 A. C. O.: docteur Moreau. Jamin, vice-présidents de l'A. C. 0 G. Durand. secrétaire général de l'A. C. O.: J. Bariller. trésorier de l'A.C.O.; Omit, tnembre du Comité de direction de l'A.C.O.: Panott du Rey, A. Bollée. Bretillard. Ch. Fredouêt. secrétaire général de l'OuestEclair: marquis de Formigny, Gueffier, Hardv, Janvier, LanceJin, Lnsne, Le Marié, Mislche, H. Naveau, Colono!. Nouton, Rohin, A. Salmon. membres du Conseil d'administration de l'A. C. O.: Famechon. directeur du Service central des examens pour la conduite des automohiles: Maudet, ingénieur des Ponts et Chaussées du département de la Sarthe Le Tynéwz. ingéndeur des Travaux publics de l'Etal: Coqme. aeenl-voyer inspecteur: Lacroix <?t Bigot, agentsvoyers; Boillot et Wacncr. du Service des courses de la maison Peugeot; Guillaume, directeur de la société Le Vialit;Lfébdin, ingénieur au Vialit: Sellier, directeur de la société Le Silicate: Charpentier, secrétaire général de la Société anonyme des roues détachables Rudge Whitworth; Frantz Beichel, président du Syndicat de la presse sportive et touristique Cousfn et Violette, vice-présidents du Syndicat de la presse sportive et touristique; Ch. Faroux. président de l'Association des Journalistes sportifs: Geo Lcfèvre. Pol Rnvigneau. Paut Rousseau et A. Charlenu. commissaires sportifs; les représentants de la presse paririenne; les représentants de la presse régionale I.a Sarlhe (Le Mans), l'Ouest. Eclair, Le Phare de la Loire (tantes). L'Ouest (Angers).

Le Circuit permanent de la Sarthe a ceci de particulier qu'il est un nhemp d'expériences où l'on cherche it déterminer, pour la réfection du routes de France, le meilleur procédé de revêtement.

Et c'est une excellente leçon de choses qu'a prise, avec M. Georges Durand, secrétaire général de l'A.C. O. et avec plusieurs techniciens toute la caravane des visiteurs attentive à s'initier aux avantages etmme aux inconvénients des produits d'agrégation employés sur le Ctreu^t goudron, silicate, et « vialit » (émulsion bitumeuse) sont les trois agglomérants qui, appliqués avec méthode, font des routes du circuit lequel est exactement un triangle des chaussées admirables, de véritables pistes qui sernblent d'ores et déjà convier aux plus grandes vitesses les concurrents du grand prix.

Ce ne sont point là d'ailleurs les seuls produits dnns Iesquels l'A.C.O comme les Ponts ot Chaussées de la Sarthe, recherchent la solution de l'ardu problème que constitue la ré- fection économique et durable de nos grandes voies de circulation. A côté du vialit », il est de bonne justice dî citer le • Bitumuls qui. expéri. n'enté dans le département par les Ponts et Chaussées, promet d'excellents résultats et retient l'attention des techniciens.

La caravane a nu voir comment nn réparait une « flâche 'lisez une déchirée du revêtement) avec une espèce dp magma composté de goudron et de gravillon. Elle a assisté il plusieurs de ces opérations de rha.billage. fi celle pose de pièce. 1. pourrait-on dire, qui rendent prep que Instantanément il la route une surface uniforme c-f nette Elle a vu l'épandage du « vlalit sur une por lion de changée décampée et elle n appris de techniciens les rartlculnrités qui recommandent l'emplni de 'el revêtement au lieu de tel autre Puis elle s'est arrêtée aux tribunes immenses qu'on édifie, en bordure de la route de Laigné f.a rnnutnie- 'ion géantp cst presque achevée Il n'y manquera rien au gré des snec'ateurs innombrables qui bientôt l'emploieront. Fi la presse n pu se rendre compte du fourt qu'ont ap.nrrt* les organisateurs ft lui Tnclllter «s besogne

Encore quelques lotir* et l'entraînement rommenrera sur le circuit Puis, le 12 1uin. ce sera !a grnnrtr "onde de S< heures qui fournira. nnr> .ois de plus. 1p vainqueur d'nnp de- nlns belles épreuves automiblles ne l'année

Puise la Fortune sourire à nos -culeurs.

Louis Osm

La TONITRINE r»enn*tltniint M* 'ttt on vent' eher voir» Phnrmnc UILITAIKKI

EnuaL'tni'ni* »iir*l» n»r'nniatinn> traites, snutlfni Ae fimllle. etf. Krrlrr KAilUS. à luueniclair. Jolndrt 0 Ir. 80

UNE GRAVE AFFAIRE DE SEQUESTRATION Dinaji, 19 mal. (De notre correspondant particulier.) Ce n'est point sans quelque hésitation que nous parlons d'une affaire de séquestration dont le Parquet de Dinan est, en ce moment, saisi. Elle est à la fois juridiquement délicate et moralement déplorable.

Nos confrères ayant attaché le grelot, nous devons bien les suivre. En 1915, un jeune homme de Plouêr partait vers le front, il avait une fiancée.

En 1916, cette fiancée mettait au monde à Saint-Brieuc, un enfant fort bien constitué, en ce moment âgé de 10 ans et quelques mois. Et le fiancé avait été tué là-bas sur le front, avec tant d'autres.

Très flàr. la famUl de la fiancée nt mener à cette dernière une vie très dure qui la rendit folle.

Et il fallut la ramener vers Saint.Brieuc dans un asile d'aliénées. Mais l'internement d'une folle coûte cher, et la malheureuse jeune mère fut ramenée à La Chiennals. A 70 mètres de la maison où elle était née, il existait un petit bâtiment elle y fut internée dans des conditions vraiment cruelles, pendant plusieurs années.

Cette situation déplorable était connue, mais personne n'osait parler. Cela s'explique si l'on connatt bien l'esprit de nos populations campagnardes.

Malgré tout, quelqu'un s'est décidé à faire son devoir :a terrible séquestration qui durait depuis des années a été portée à la connaissance du Parquet, la gendarmerie est intervenue

Et dans ce bâtiment, fermant du dehors, construit en granit, couvert en ardoises, les fenêtres sans vitres, mais obstruées par des planches solides, on a trouvé la malheureuse Cécile Letort, âgée de 31 ans. dans un état difficile à décrire, mais tel que son transfert à l'hôpital de Dinan s'est imposé

Dans son état de folle, la malheureuse faisait un accueil calme et poli

aux gendarmes et ensuite à MM. les membres du Parquet. Par contre, la vue de ses parents l'irritait. Dans le bâtiment prison, véritable m pace, 11 n'existait qu'un lit en planches, sans la moindre couche, sans draps, u le vent y circulait à son aise. Une saleté répugnante régnait dans cet infect taudis, et les membres de la séquestrée étaient ce point ankylosés que les genoux étaient fixés m haut ds sa poitrine. Elle était d'une maigreur squelettlque, et l'on se demande s'il sera pos- sible de la ramener a la vie normale; à 31 ans 1

La famille prétend avoir appelé des docteurs auprès d'alle. Hélas, l'un est mort 11 n'exerçait plus depuis longtemps quant à l'autre ses visites doivent remonter à plusieurs années, et il habite bien loin Nous devons citer ces faits sans en ttrer des conclusions qui sont du domaine de la Justice

Avant d'insistet sur cette affaire. nous attendrons l'avis des médecins qui ont reçu mission d'examiner la séquestrée en ce moment soignée à l'hospice de Dinan.

UN PÈRE DE TREIZE ENFANTS ÉCRASÉ

SOUS UN BLOC DE GRANIT S.\iNT-MicHïL-DE-MoirnoiE. 19 mal 1026 (Pe noire correspondant particulter.) Samedi soir, vers 6 h. 114, M. Emile Lechevalier, 52 ans, Jemeurant à la Lertière, en Cham p-du-Boult ((Calvados), et le jeune Letué Ttarcel. 17 ans, demeurant au bourg de la même coinmune employés tous les deux a la carrière du BnisNormand, en SaintMichel-de-MontiJole, étaient occupés a dégager un bloc de granit pesant au moins 6.000 kilos, lorsque ceelul-ci qui était placé sur des rouleaux de bois, avança brusquement, quitta les rouleaux et se renversa sur M. Lechevalier, qui eut la colonne vertébrale brisée et mourut sur le coup en poussant un grand cri.

Lechevalipr était père de 13 enfants dont l'un, âgé de 17 ans, travaillait 4 mètres de lui lorsque ce terrible accldent s'est produit.

Le Conseil municipal refu pour le graud concours de 12 conseillers mnnicipaax sur ont enlevé ce voti

Le Conseil Municipal s'est réuni mercredi soir sous la présidence de M. Bahon, maire de Rennes.

2i conseillers seulement étaient pré sents lorsqu'à l'heure annoncée le fait est tellement rare qu'il mérite d'être signalé la séance fut ou. verte

On remarquait tout particulière. ment l'absence de MM. Malapert, Quessot et Porée, adjoints au maire; Riellan, Gonnon, Rouget.

La place de M. Aubry est vide: elle le sera longtemps encore. Son habi- tuel occupant ne vogue-t-il pas, en effet, vers les terres de l'Indo-Chine que gouverne le camarade Varenne. M. Commeurec arrivera avec quel. ques vingt minutes de retard. Après la lecture du procès-verbal do la séance précédente, procès-verbal qui sera approuvé sans discussion, M. le Maire, avant d'aborder les questions inscrites iL l'ordre du jour, donne communication à ses collègue» de plusieurs lettres reçues par lui. C'est d'abord une lettre de remercie. ments adressée à la Ville par la Société Pomologique de Bretagne à qui la municipalité rennaise a accordé une subvention de 3.000 francs. C'est ensuite une lettre do M. An. jubault. préfet. d'Ille-ei-VIlaine, qui ayant visité l'Ecole Régionale des Beaux-Arts, prie le Conseil Afunicipxl de Rennes de transmettre au directeur aux professeurs et aux élèves de cette école, lis félicitations qu'ils mé- ritent pour leur ardeur au travail, leur belle et saine compréhension do l'Art est leurs communs efforts pour que très loin et très haut soit portée la renommée de l'Ecole Régionale de Rennes.

Ces deux communications ayant été faites, M. le Maire aborde les ques>- tions à l'ordre du jour.

Questions diverse*

L'ordre du jour est très chargé; i1 ne comprend, on effet, pas moins de 43 questions telle que des liquidations de pensions, des demandes de bourses et de secours des communlcatiens du Maire relatives à des travaux de comptabilité qui sont toutes adoptées sans discussion par le Conseil Municipal.

Signalons parmi toutes ces questions, les plus intéressantes Les comptes d'administration et de gestion de l'exercice 19°5 du service d'Assistance gratuite se soldent par nu reliquat de 4.879 fr. 57 le budget supplémentaire de 1925 de l'office public d'Habitations à bon marché de la ville, accuse un excédent de recettes de 122.202 fr. 11. La Société Armoricaine chargée d'assurer le service de l'ambulance municipale automobile voit sa sub vention portée de 2.0no Il 4.000 fr. En outre le prix de la course qui était de 12 francs est élevé 16 francs. l.e Conseil itiunicipnl autorise M. le maire à passer avec le président dr l'Office national des mutilés un nvenunt par lequel la municipalité s'engage a continuer de mettre il la disposition de cet Ottke l'Ecole Jean Jnrjvior, située place Saint-Melalne. et destinée i, devenir une. école de p.v-flucation pour tes mutilés du travail.

ise le Champ de Mars gymnastique du 12 juillet 36 que compte l'Assemblée e par surprise

Les tarifs des bains-douches

sont augmentés

Le Conseil décide encore l'augt mentation des tarifs en vigueur dans l'Oiablissement des bains-douches de la rue Thiers. Voici quel sera le nouveau tarif Bain, 1 franc serviette, 0 fr. 30, etc..

La construction du Laboratoire de la Faculté de« Sciences

NI. Leroux lit son rapport sur la mise en adjudication des travaux nécessités par l'installation du chauffage central, la pose de stores et l'installation de l'écla.irage électrique dans je laboratoire de chimie industrielle dont la construction a été décidée au cours d'une précédente séance.

.NI. Boulot, qui n'a jamais vu d'un bon œil la construction de ce laboraioire, intervient.

NI. BOUZOT. M. le Maire, vous nous soumettez aujourd'hui en séanco publique un rapport sur une af.faire dont nous n'avons jamais pu examiner le dossier. Et pourtant, la construction de ce laboratoire ne date pas d'aujourd'hui. Il y a bientôt un an que le projet existe et moi Charles Bougpt, adjoint aux Travaux Publics, je n'ai pas pu avoir connaissance du dossier.

M. LE Maire. Il n'y a aucune surprise. La question a longuement été débattue déiA. La construction de ce laboratoire qui doit servir aux tra.vaux de 52 étudiants est iiccessairs et ne saurait être retardée.

.NI. Boi-GûT et Ni. Commeurec. Mais non, il n'y a en tout quo 1 élèves à qui servira ce Jaboratoire.

NI. LE Maire. Messieurs, j'ai sous les yeux, des renselgnements qui m'ont été fournis par le Doyen de la Faculté des Sciences, NI. Moreau. Et sur ces note» il est bien dit que .;>2 étudiants feront usage de ce la.boratoire. vous ne sauriez mettre en doute la parole de NI. le Doyen. M. Bariiet. La question ayant été discutée, je ne comprends pas l'intervention du collègue Bougot. MM. Bougot et Commeurec continucnt d'exposer leurs doléances; le rapport de M. le Maire n'en Cst pas moins adopt-5 et la mise en adjudicati n d travaux est décidée. Le concours de gymnastique du 18 juillet

L'ordre du jour est épuisé M. Bahon s'apprête à lever la séance lorsque NI. Troufflard demande la pa. rôle.

M. TnouiTURn. Mes chers collègues, le 18 juillet, doit avoir lieu à Hennés un grand concours interrégional de gymnastique. Les organisateurs de ce concours ont demandé 6 M. le Diaire de Rennes de bien vouloir mettre le Champ-de-Mars à leur disposition, moyennant la rétribution qui serait fix e. Ils estiment eu effet niclpal est trop exigu et ne pourrait contenir les quelques 5.000 gymnastes qui dolvent évoluer. Je vous demande, Monsieur le hlalra, de bien vouloir nous dire si vous avez examtné cette demande et, si vous avez répondu, quel a été le sens de votre réponse.

Si votre réponse n'est pas encore fixée, je vous prie d'examiuer favora.blement cette demande et d'y donner satisfaction.

M. LE Mairk. Cette question a été étudiée par le Conseil municipal à qui j'ai cru devoir la soumettre. Le Conseil en a délibéré en séance pri.vée un vote a été acquis dans la soirée du 17 courant. Ce vote dicte la teneur de la réponse qui sera faite aux organisateurs du coûe-– s. M. TnouFFLAHD. J'espère que la vote a été favorable à la demande. M. le. MAIRE. Encore une fois, mon cher collègue, un vote a été acquis en séance privée. Pourquoi ouvrir sur ce point, en séance publique. uno nouvelle discussion.

M. Troufflard. Pourquoi î. Mais c'est que la chose est d'importance. Je n'assistais pas à la séance privée la question n'ayant pas été inscrite à l'ordre du jour.

M. Fritz. Il semble que notre collègue Troufflard désire prendre position dans le débat. Pourquoi ne pas accepter la discussion. Le Conseil municipal, dans sa séance du 17 courant, a refusé de mettre le Champde-Mars à la disposition des organisateurs de ce concours. Nous n'avons aucune raison de cacher ce refus qui sera bientôt connu de toute la ville. Le colltgue Troufflard n'est pas de notre avis, il a tort. Nous sommes ici les élus du Cartel dos gauches et nous irions faciliter une manifestation organisée par des réactionnaires ? Allons donc. La municipalité rennaise s'est montrée jusqu'ici trop libérale ses adversaires se moqueraient d'elle si elle continuait dans cette voie.

M. Troufflard. Le conemirs du 18 juillet n'est pas une manif»sta.tlon de politique. Il s'agit d'unc manifestation purement sportive qui doit, par l'affluence qu'elle attirera à Rennes, être une source de revenus pour la Ville. Je regrette que cette question, n'ayant pas été inscrite à l'ordre du jour de Ja séance, n'ait pu être discutée devant l'assemblée mu.nicipale tout entière.

M. BAHON [qui se croit tous les Lice,\1. Camarade Troufflard, cette question ne pouvait être discutée qu'en séance privée.

M. LADAM. Il est regrettable que le Conseil ait crû devoir refuser de prèter le Champ de Mars aux organisateurs du concours. Pour ma part, si j'avais assisté à la séance privée et j'y serais venu si j'avais su que ce point devait y être débattu j'au- rais voté pour que les organisateurs du concours obtiennent sati faction. M. BREVET. Je m'associe aux dé- clarations de mon collègue Ladam. Il n'y aura jamais assez de fêtes à Rennes et c'est commettre une grosse bêtise que d'en entraver la réussite. M. BARDET (qut décidément fait une cour .empressée à M. le Maire). Je ne comprends pas que cette question soit è nouveau discutée. M. le Maire, qui, de lui-même, pouvait prêter ou refuser le Champ de Mars, a bien voulu nous consulter, nous avons donné notre réponse. Pourquoi revenir « là-dessus > (sic).

M. Bou&ot. Pour ma part, moi qui suis pour Ja liberté, j'accorderais le Champ de Mars. Un socialiste ne doit pas rencontrer et heurter ses adversaires sur le terrain des sports C'est sur le terrain social qu'il les affronte.

M. Fritz. Pourquoi ne pas reprendre la discussion ?

M. ipoux. Ce n'est pas la peine. M. Bahox. Le vote de lundi dernier est-il acquis, oui ou non Je vais faire procéder au vote sur ce point.

On vote le scrutin du 17 courant est declaré acquis par 12 voix contre 8 et quatre abstention-.

Ont voté pour que le Champ de Mars soit mis à disposition des organisateurs MM. Bougot, Brevet Ladam Troufflard, Galesne, Lemaltre, iLemoux, Levavasscur.

Douze de nos édiles, soit le tiers de notre tJDn.seil, viennent donc de se signaler à la fbpulation par un de ces gestes symboliques dont les carlallistes sont friands, mais qui n'ajoutera pas à leur gloire.

En refusant par sectarisme holitique le Champ de Mars au grand concours interrégional de gymnastique qui verra évoluer 5.000 gymnastes, ces douze pucs viennent de prendre une mesure qui sent unanimement désapprouvée par l'opinion publique.

Nos concitoyens n'admettront pas ce vota acquis par escamotage ni cette brimade injusliiJée à des organisations purement sportives étrangères d'ailleurs à nos disputes de clocher et à qui la municipalité aurait dil accorder l'hospitalité la plus large pour le bon renom de notre ville.

Certes, M. le Maire était géné pour entamer la discussion publique Il sait très bien quo cet ostracisme n'est pas reluisant.

Mais comme l'ont dit excellemment MM. Troufllard, Ladam, Brevet et Bougot cette exhibition sportive qui dépassera en importance toutes les manifestations de ce genre sera l'occasion d'une animation exceptionnelle pour notre cité, de légitimes profits pour nos commerçants et de revenus pour la ville.

De nombreux étrangers seront nos hôtes et c'est manquer aux devoirs de l'hospitalité accueillante que de montrer par avance une figure rébarbative. L'émotion ne peut être que très pt'ofonde en notre ville où les réjouissances populaires ne sont d'ailleurs pas si nombreuses et où le sectarisme politique est franchement déteslé. Aussi osons-nous espérer que devant cette réprobation publique, devant la protestation des conseillers absents qui se refuseront à avaliser une exclusive aussi injustifiée prononcée par le tiers du Conseil, nos édiles conscients de tous les intérêts dont ils ont la charge, reviendront Il une plus saine compréhension de leur devoir et rapporteront un^ masure préjudiciable IL nos connloyeas et contrainre aux traditions IIWraies de notre cité.

LES COSAQUES DJIGUITES AU PARC DES SPORTS Tout le monde voudra assister à la .fête magnifique et grandiose organisée par le Stade Rennais U. C. sous le patronage de l'« Ouest-Eclair »

SAMEDI, DIMANCHE ET LUNDI, EN MATINÉE, A L'OCCASION DÉS FETES DE LA PENTECOTE

Trois jours seulement nous séparent de la « grande première.. qui amènera sur le magnifique terrain du Stade Rennais la belle et éton.nante phalange des Cosaques Djiguites.

C'est en effet samedi après-midi que ces cavaliers extraordinaires, qui ont fait courir et frissonner les foules de toute l'Europe, apparattront sur le ground de la route de Lorient et donneront le premier epectacle de leurs incroyables et audacieuses acrobaties équestres.

Trois jours. c'est bien peu, .et c'est encore beaucoup pour ceux qui attendent impatiemment ce spectacle grandiose qui leur sera offert par le Stade Rennais Université Club, sous le patronage de X Ouest-Eclair. Cet après-midi, les Djiguites seront dans nos murs l'un d'eux était hier défà parmi nous, venu en éclaireur, pour assurer le logement de la troupe et des chevaux.

rous sommes heureux de pouvoir aujourd'hui publier le programme de ces trois journées sportives qui s'unnoncent comme devant connaître un brillant succès.

1. La Parade, Salut à la France 2. Sauts sur un coté du cheval 3. Sauts sur les deux côtés du cheval

4. Exercices avec la lame 5. ^.Jto Mortale (le Cosaque exécute sur son cheval une série de sauts, qui font passer dans la foule des spectateur des frissons d'angoisse et d'admiration).

Entr-acte

6° Exercices avec le sabre.

7" Pyramides équestres.

8° Pyramides équestres renverséet 9o Charge debout.

10» Le Djighite blessé. L'ambulance Djiguite.

ll« Salto Mortale avec sabre entra les dents.

Entracte

12» Fantasia Djiguite.

13° Chants et danses Djiguites.

li° L'écharpe insaisissable a. 15- La charge à travers la foujfc naise.

16» Grande Pyramide

17» Parade flnale.

Ajoutons que deux musiques prêteront leur concours à la fête. ce sont la Lyre Rennaise et ta Nouba du 41* tirailleurs, si souvent applaudies. Nous donnerons demain tous le» renseignements nécessaires concernant cette manifestation dont le succès est assuré car qui n'a pas vu les Cosaques Djiguites veut les voir et qui les a vus, veut les revoir.

CONFERENCE-AUDITION

par Marc Pincherle

.NI. Pincherle, en février dernier, en nous présentant l'incomparable guitariste Ségovia, nous avait déjà paru très érudit, très documenté mais, comme il le disait, d'ailleurs, hier lui-même, il est vrai que le public était impatient de constater autrement que de auditu si tout cela n'était pas quelque peu exagéré, feégovla était là allions-nous enfin l'entendre

On sait que nous ne fûmes pas t'éçus. Le nom de Scgovia ne peut j.lm jour nous, être séparé 'lu nom ci-1 '.elui qi-i nous a procuré uve p.'iiUe jouissance artistique.

Mardi le cas n'était plus te :•.( nie qt nous avons pu concentrer toute firie attention sur la confér:i:e 'le f.i .-inchorle, qui aux qualités dé.'à ce. rtia'ô- en ajoute bien A son savoir, il joint une grande modestie qui le rend extrêmement sympathique, il s'exprime avec beaucoup de clarté et sa causerie fut très intéressante.

Saviez-vons que le vinlon, ce merveilleux chanteur, qui nous fait vibrer d'enthousiasme, mais aussi nous émeut parfois jusqu'aux larmes par sa douceur, que ce roi de l'orchestre fût longtemps discutée it sou apparition chez nous vers la fin du XVI» siècle 1 On lui trouvait les sons durs, criards, désagréables. Ce ne pouvait tre la fnbrication qui en était défectueuse, c'était l'époque des grands luthiers les Amati. les Gasparo da Saln et tant d'autres qui n'ont pas été surpassés.

Mail' il arriva ce qui devait arriver et le violon triompha enfin de cet ostracisme.

Le conférencier est alors amené à nous parler des vieux auteurs fran. Cais qui ont écrit les premiers pour le violon et l'intérêt se trouve alors doublé par les nombreux exemples que NI. Plncharlo interprète lui-même, Go révélant, excellent violoniste. La conférence se termina par une audition remarquable de deux concertos pour violon, l'un do Jacques Aubert (173o), l'autre de J.-M. Lccliiir (1736).

Le violon solo était M. Magad.ui accompagné par quelques demoiselles et jeunes gens, tous élèves du Conservatoire. M. Pincherle, au pupitre. C'était merveilleux d'ensemble. d« nuances, de sonorité. NI. Magadur a beaucoup de talent; que le jeune maître reçoive nos plus sincères féli- citations ainsi que toute sa jeune compagnie. C'était vraiment impeccable.

Mais puisque nos vieux auteurs français ont fait d'aussi jolie musique, pourquoi le Cercle Mozart ne s'attacherait-il pas à nous la faire connaître ? Voilà un programme pro posé à son activité; NI. Pincherle. qui est un peu Rennais, l'y aiderait, nous en sommes persuadé, et nos jeunes musiciens, leur maestro en tête, ne se déroberaient pas non plus. On pourrait appeler ces concerts les Concerts Pinchcrle, du nom de leur fondateur, comme il y a les concerts Colonne ou Touche.

Testis.

UN CONCERT AU THABOR La « Fratorneile Musicale donner concert au Thabor le jeudi 27 mai, à 20 h. 30.

Programme 1. If la France. allegro (Romsbe.rg); 3. Proclda, ouverture (Andriett); 3. Célèbre l^irgo, andante (Hnendel); 4. Sous !e Charme, valse (Allier); 5. Marqulielte, mentK't (Andrleu); 6. Le Voyane en Chine fantaisie (Ba&in Bau- donck); 7. Le Profitait de la Pair, défilé, avec tambours, clairons, trompettes (Miilol).

Le directeur Lombt.

LE COMPTABLE INDELICAT A ÉTÉ ECROUÉ

A LA MAISON D'ARRÉT

Nous avons annonce hier l'arrestation de Joseph Chouinard. qui, abusant de la confiance qu'avait en lui son patron, avait profité de cette circonstance pour puiser dans la caisse et disparaître. Nous annoncions que Chouinard avait été gardé à la disposition du Parquet. L'indexent personnage a été à nouveau entendu hier matin par M. Poret, juge d'instruction, qui. lorsqu'il eut termina son interrogatoire, le fit écrouer à la maison d'arrêt sous l'inculpation d'abus de confiance et de vol.

Joseph Chouinard n'est pas un malfaiteur de profession; garçon intelligent et travailleur jusqu'au mois de décembre 1925, il n'avait jamais cessé d'être jusque là un bon mari, un bon père de famille. Au mois de décembre 1925, il délaissa son épouse pour une autre femme avec qui il avait des rendez-voua fréquents. Ce fut sa porte. Chouinard abandonna son foyer pour se livrer Il une vie de débauches qui devait le conduire au vol.

Lorsqu'il se fut emparé de la somme qu'on lui reproche aujourd'hui d'avoir volée. Chouinard prit le train pour Paris où il espérait retrouver une de ses anciennes maîtresses. Quatre jours après, le malheureux revenait Rennes. Sur les 1.3K) on 1.500 francs qu'il avait emportés, Il ne lui restait plus que 10 francs. LA PREMIÈRE A RENNES DU CIRQUE PÉRIÉ

Edifié sitôt arrivé, selon les méthodes américaines mises en valeut par Barnum et Buffalo Bill, le cirque l'en* permettait, des deux heu· res l'apres-midi, a la foule accourue, de se répandre daus son annexe, la ménagerte, où il nous a été donn3 u'adnurer de magnifiques spécimens de fauves ours blanc: loups d'Abyssinie et de Perse, hyènes tachetees d'Afrique, leopards et panthè- rcs aux yeux d'or, au mufle humide, qui débattaient dans leur cage, comme le font de jeunes chats, tandis qu'un mâle, au repos, et de fort méchan le humeur sans doute, lançait des coups de patte à ses congénères en miaulant furieusement.

Un hippopotame. tiré sans soa consentement du fleuve africain otl, il vit le jour, semblait par ses haillements nous adresser une protestation au sujet de l'étroite baignoire ou il languit.

Lions et tigres s'étiraient en dos poses sculpturales dans l'espoir d'urt repas prochain. Les dépliante tiraient sur leurs chaînes en adressant aux visiteurs l'imploration de leurs troutpes, avides do petits pains, sucreries, carottes. Les chameaux dormaient, sans doute pour ne pas entamer leur réserve. Les singes gambillaient à l'instar de nos mod.ernes danseurs.

Mais bientôt les accents de l'orchestre informèrent le,% « artistes que, pour eux, allait venir le moment de paraître en scène tout comme leurs camarades humains.

Tournant vers la piste des yeu^ inquiets et farouches, lions, tigres, panthères, loups, ours blancs, éléphants, chameaux, hippopotame, dé. montrèrent alors leurs Inquiétudes quotidiennes, aussi bien que tes acteurs les plus célèbres montrent leur nervosité au moment de paraître sur lo plateau.

Le programme dont nous donnons ci-dessus le compto rendu fut parfaitement exécuté par la troupe de choix qu'a su réunir le directeur du cirque, NI Perlé.

l.«s clowns y sont divertissants, et celn pour un cirque à une importance prépondérants. 11 y a parmi eut,


le nain Mariai, de qui la verve, la bonne humeur, ics luzzis dont il ponctue ses improvisations, l'assimi1ent aux grandi, maîtres du genre les loolii, le3 Cushmoie. les Fratellini.

Après Louis d'Or, cheval en liberte. merveilleusement dressé, il nous tut .agréable d'apprécier les Carlos Volé dans leurs travaux sur J'érhrtlo libre, les « Mesclii » t'owns musicaux; • LUliet perchiste; les Frank Home dans leur très intéressant numéro de souplesse. les Za. netti, acrobates de premier ordre. La partie de dressage est particulièrement intéressante, surtout en ce qui concerne la présentation de l'hippopotame et des lions du dompteur « Fernando ».

Apres l'intermède très goûté, fourni par les clowns • Dario-Bario •, Mlle Mihy Vore exécuta le saut périlleux en automobile.

Gros succès pour le cirque Périé, dont le programmn initial fait présager de très agréables soirées. P. A.

Achat Bijoux, mr.oi lot, 22. Pi. Malllr-r, HENNES (Face Grand Bazar). LES RECOMPENSES

AUX APPRENTIS DU LIVRE (Concours de 1926, Rennes)

La proclamation des résultats des concours des apprentis de l'Industrie du Livre, organisés par le Syndicat des MaitrcR-Imprimeurs de Rennes et la Chambre syndicale des Ouvriers du Livre do Rennes, aura lieu îiuîourd'hui. 20 mal, dans :a .ille da 1 rcnV des Beaux-Arts, rue Hoche, n. 17 h. 45. fous la présidence de M. Louis Gril]et inspecteur du travail daas l'in. dustrie, président du 1u-y.

Les organisateurs seraient heureux que Ifs personnalités q-ii t'ipt^re^jeni au développement de renseignement technique et qui n'auraient pas reçu de convocation, veuillent bien assister cette cérémonie.

CROIX-ROUGE FRANÇAISE UNION DES FEMMES

DE FRANCE

A l'approche de li période d'été, pendant laquelle la conservation du Init cil particulièrement, diflicile, le Comité de l'union des Femmes de l'rance rappelle a:i\ jeunes mères qui sont dans l'impossibilité <]c nourrir leur enfant. ou qui ont à à l'allnilement mix̃. que la Goutte de Lait de la rue de

OBSÈQUES

RENNES vous êtes prit d'aàsister au convoi it enterrement de

Paillette LE BARATOUX

docédec » le 10 mal rue SIMalo, «1, dans sa i« année, qui auront heu le -21 niai a t. heure», en l'église de ^ulnl-Auliiii.

On se réunir» il la maison mortuaire 1 heure 3*.

Vtnliumalu>n aura lieu au cimetière du Nord.

De la part de Ni. et Mme Le Baratoux, > :̃» père et mère; Mlle Jeanne f.e Itararoux, sa sœur; de ses graud-pere et i:rand'mére, oncle» et tantes, couslns, cousines ct toute la famlllC.

Le présent avis tient lieu de faire-port. RENNES, Vous ('le, prie d'assister au a convoi ci la mii-ïh: il 'enterrement de Madame LEMUR

Ace MAIS

dpcéilce à Rennes, rue Papu. I;, dans sa 6' anneo, iiui auront lieu le vendredi -1 Iiiai. a s licuies du nuit.n. eu de >alut-Eiicnne On -c réunira à la maison mortuaire a 7 heures *•.

L'Itiliuniaiiuu aura lieu au cimetière du Nord

De la pari de M. AK.\anclrc Lcmur, :-¡)Il é|><-ux il. Iterriard I.niuli;illc. son pctlt-uif: de >e» irêrcs. sœui^, neveux et nièces et de loulc la famille.

Le prewm avis tient lieu de fatrc-part. SÂINTMALO M. et Mme Pat% mort de leur fil,

Henri PATY

décédo à l'Age de 46 mois, liiez ses pa- mnta. place Jacques-Cartier, et vous prient d'assister à lenterieiuciu ijui aura !icu demain vendredi :.Il uiui. à lô il. JQ, a la cathédrale.

De la part (-paiement de la famille Paly et de Mme Martiaux, ta grand'iucrc. Le privent avis tient lieu de faire-part. NANTES Vous êtes prie d'assister aux chsC'iucs de

Monsieur Emile JOLIE père

ijecéoc, muni des sacrements de l'Eglise, le 19 mai, dans sa du' .mute, en son domicrie, 1, rue da Jat-Jin des Plantes, où le deuil sc réunira le 21 courant, à 9 heures prrcls.

Offices *Flise Saint-Clement: Inhumafion cimetière Bnutelllcrle.

De la part do Vlle Jolie. NI. et Mme Joseph Jo.ic ?t leurs cillants. M. et Mme Emile lolle et leurs enfants, des ahhe> Kupcnc Joilo Ct Joseph l'inis. et dos famille Jolie. Denis, Doniicl. Cliubot et Uoualln.

Le présent avis tient lieu do taire-part. REMERCIEMENTS

RENNES Mlle Dlanchandln et sa famille remercient les persnunes qui leur ont thntoigné de la sympathie à l'occasion du décès de

Madame BLANCHANDIN

RENNES Mme Portier, sa tille et sa (amille touchées des ttmoli.'imf;i-'s de sympathie qu'elles ont reçus Il l'occasion du di-ccs de

Monsieur René PORTIER

prient leurs amis d'accepter ici l'expresslon de leur viv. çifulluilc.

"RENNES-MORLAIX- Mme Emlle Cloarec et ses enfants; NI. et Mme Ed-mond rrnrthomme et leur enfant* remercient M«n sincèrement le? personnes çul leur ont témoigné de la sympathie à l'occasion de la mort de

Madame Paul SWIN2Y

leur mère et granrt'mero.

DINARD LA richard ais~~mTnaine veuve Inn et ses enfants remerrient bien MnnMeinrnt le* personnes qui leur ont irnimgn* de la sympathie 1 l'uocasion de il de

Monsieur L'on VION

Hot'tltr

Fougères fournit, au prix de revient, dcs biberons de luit stérilise CL dosé suivant l'ùge de l'enfant.

Un porte a domicile.

l'our tous renseignements, s'adresser il la Goutte de Lait, de l'Union des Femmes de France, 3, rue de Kougôres.

Nous apprenons qu'il l'Exposition internationule de qui s'est tenue A Anvers en octobre dernier, le Comité de l'Union des Femmes de France de Rennes a obtenu un diplôme d>- médaille d'argent pour l'ensemble de ses de l'enfance.

Nos tclicilations.

Jeudi 20 Mai seulement

J'ach. très cher, même brio. et sans or VIEUX DENTIERS

Bijoux, Or, Argent. Maison Alexandre, Hôtel de France, Rennes.

EN PASSANT. Retenu par mes fonctions noctur- nrs le Piuon de Service que je cumule, depuis quelques jours, avec celles de directeur tfOrphéon, je n'ai pu donner aux lecteurs de 10. mu collaboration habituelle.

.Nous voulons, avons-nous dit. don ner ù la bonne ville de Itennes, un attrait »quel les habitants de la cite voudront sans doute me pas se montrer insensibles.

Les nuits sont tristes, mornes, déisolé-es.

Mais notre système qui a obte.nu l'agrément, sinon de la municipalité, tout au moins de nos nombreux amis, va transformer Rennes en une veuist comme ont souvent rêvé de la voir ceux que le cours du change relient hélas au rivage malodorant de la Vilaine, nos gondoliers ne peuvent encore y faire apprécisr leurs barcarolles et leurs se renades .Vissi avons-nous crée un corps de gondoliers terrestres, si j'use ainsi m'exprimer.

A Vent. il suffit d'arrêter sa barque devant Je quartier de In « Juiiie ca uu celui du Lido» cn raclant sur la mandoline l'air immortel de Tosclli « I i<"ns, le soir descend. • pour qu'au->itôt la laborieuse population, ton: le jour employée à nourrir les pif-'oons de la place SaintMure, s'endorme dans des rêves d'or. A Rennes, la difficulté est beaucoup plus grande. Il faut, en effet, approprier le» sérénades au caractère du quartier, aux tendances politiques, aux uspiratlons de nos compatriotes.

Nou.; avons essayé de mettre sur pied un programme d'inauguialion pour notre Chorale cI/dormeuse Devaut les calés des Arcades nous donnerons une audition des • liende:-ro»s » pièce un vieillotte mais à la page quand nif;me Les rendez-vous de noble compusnie se donnent tous en ce charmant séjour ».

Devant Pillais l'air du Itnilli des Cloches de Curucvillc •, suivi de l'air du Curt des • Huguenots ». Nous continuerons par une berceuse celle de Jocelyn, sous les fenêtres de notre hygiénique maire A!. I ne t'éveille pas,encor •

• Gloire immortelle de nos aïeux. de l'ami s'impose devant le (juartler général, mats la Chorale mienne.' Leva cette œuvre -couche close puur son intérêt personnel d'abord, pour celui de la paix ensuite.

Place Toussaims, devant le percepteur, notre orphéon fera entendre le « Pif, patf, poufl, frappons-le des Huguenots.

J'attends beaucoup de ce numéro du programme qui semble particulièrement au point, surtout IL la roprise Qu'il pleure 1 qu'il meure etc.. »

'Le grand air df> dalathè' ̃ Ah verse verse 1 verse encor sera chanté devant, ]> palais préfectoral. Nous tenons en réserve, pour les débitants tardivement ouverts à notre harmonieuse cohorte, l'air d'Haintel Le vin dissipe la tristesse. » Place du Champ-Jacquet, nous donnerons l'air du Petit Duc « Pas de femmes

Et, si nos chanteurs n'ont pas encore reçu sur la tMe aucun des projectiles oubliés pendant la grèv? des boueux, notre joyeuse cohorte transportera devant le Palais du Commerce, pour y falre entendre une vieille chanson « Tout dou. tout dou. tout doucement Puis on verra il remettre ça si Rennes la Vénitienne dort d'un sommeil plus calme sous la nuit étoilée.

Le Piéton de Service rd' nuit). MATINÉES & SOIRÉES

PRiMtnosE. Ce solr, au Théâtre, A 8 h. 3n, • Primerose il n'y a plus de place en locatlon, Il sera délivré aux bureaux, à 8 heures, les quelques places libres.

SELECT-PALACE fm^é LE PLUS GRAND AMOUR Grande comédie dramatique

L'ESPIONNE AUX YEUX NOIRS Lundi 24 Mai, Matinée et Soirée EXCELSIOR"" Un grantl filin français

avec JEAN ANGELO,

I Charles Vanel Nilda Ouplessy BAROCCO SANS FAMILLE (Fin)

OMXI.V Cette semaine Une leniine it'allulrrf, comédie Interprétée par \'lola Dana: elle renferme des scènes d'un comiquc réel d'observations et situations extrêmement plaisantes. Viola Dana, comme toujours, est une artiste aux exprcssions ingénues et malicieuses et son enjouement, sa verve priniesautlerc doiiucnt a cette ceuvre une allure vivante et joyeuse. L'Amazone, comédie dramatique, permet *t la remarquable artiste qu'est Manon Darles, de donner la pleine mesure de son talent, elle Joue avec bcaucoup de naturel et de sentiment un rôle Inirrat d'orpheline laide, et dis ce e tllm nous Initie 5 la -vie monotone et triste d'un orphelinat et aux Jeux et malices qu'lnventont les orphellns pour rompre la monotonie de leur existence souvent pénible. T"n l'utile Jour- 7,(Il particulièrement, intéressant accompagne ce programme.

Etude de M» Jean OL'ERIN notaire à Hennés, rue Victor-Hugo. 9.

.1 VEXIME A l.'AMI.XHU:

FERME DES FREUX

Noyal-sur-Seiche 10 hectares .> ares SB cemiarcs. Rous liât i meut s. Bonnes terres bien plantées et boisées.

Libre en l'.iiS.

Etudes de M« LAI'TIER, avoué,

et M« Di;v.\L notatre, Montfort. ADlUlHr.ATlOS JUUK IAIUE

En l'étude du notalre, le MAI deux heures ville de Montlort, rue S.iini-Nicnla>.

PROPRIETE

de f pièces, grenier. jardin, superficie :̃ arts le, Libre au ̃> juin prochain. Mise prix SS.<«0 francs.

S'adosser a M- 1.AUT1EH ou .1 M« Etude de %le TUOUSSEL.

notaire A Bedée tlllc-et-Vllalne).

A VENDRF A L'AMIABLE En cas ilot/rcs sulllsantes. en bloc, par iota ou en tiélail.

1' LA FERME DE LA MARESXNSSUAIItE, commune de Clayea. contenant 17 hectares t4.

S" LA FERME DES PRKCATTIERES. commune de Uevczc. contenant i h. M, 30. 3' LA FEK.M1C DU CiHAND CALVKUVRE commune de ttciiuii, coiuuuant tu liectaiei b'J ares VU centiares.

♦ LA ftUME UES CHAMPS ULANCS. commune de lJurtheuay, contenant g hectares Uô ares 45 cuntlares.

S* LA FEKMK DE LA SEPELA1S. commune de Melessc, contenant Si hectares. 04 ares 15 centiares.

e' LA FEKMli DE LA HAUTE-POTERNE conunune de ïalnt-Gilles, contenant 7 hectares 3 ares 30 centiares.

Pour tous renseignements, s'adresser au notaire.

Elude de M' LEROVEli. notaire a Hcdou A ytxonn a i.Asiiuu.K

KNSHMIII.K VI'

DEUX BRIQUETERIES en fonctionnement, situées

L'une .1 AUCiElt. commune de Rleux, A 5 kilomètres de Redon

Et l'autre A LANGON, près la gare de Beslé

Comprenant chacune MAISON d'hahlla lion et dépendances, bâtiments industriels, matériel complet.

TERRAIN a Aucfer d'envlron 9.<î?0 mq, et A l-an^on d'environ 4 hectares. Jouis sanre immédiate.

Pour tous renseignements, visiter et i tralter, s'adresser A M» LEUOYER notaire.

Quelle est la meilleure Bicyclette? (La vérité est faite d'etnérlence) M. Morlinge, cycle*, h Pontivy, noues iVrit Mon choix est fait. C'est la marquc ROOLD que Je placc auilesstis de toutes les autres. s'agit évidemment de la /érilable. marque ROOLD. celle que je conseille a tous mrs clirnts, parcc que je la juge irréprochable. La plaque de direction Unit porter l'écureuil.

T. S. F.

Montage, vente et 1ns- postes récept" \cce--olref principales marque» Auditions sur demande M. BOSSA RD. Spécialiste. 3^ Porte*-Mor'1clal>e» Il'' *n«e). Rennes. LEÇONS D'AUTOS permettant un apprentissage rapide Avec VOITURES MODERNES P4RAGE DU CHAMP-DR-MARS 16, me d'Isly, RENNES Tél. 1.53 VOULEZ-VOUS GUÉRIR

RAPII1EMEM1 r'.T SUREMENT de BlennorrhoRit, Eeoulementt anciens ou récents. Goutte mllltalr* Clltlto. ·te. EMPLOYEZ LE

TRAITEMENT SPECIAL A. BOURGEOIS qui réussit là ou tout a échoué.

GRANDE PHARMACIE OE LA GARE, 1. Avenuo Janvier, RENNES.

Economique et bon marché DU 18 AU 26 MAI

Exposition de 12 MODtLES CHAPEAUX PAPIER Imitation parfaite 1 .lu tis~u uni et fantaisie.

Grand choix de oolorie Ce*- ivimers sont en vente à la 1 PAPETERIE DE !OUEST-ECLAIR Sa. rue du Pré-Botté RENNES

CHEMISERIE Au SPORT 1, Rue Lebastard, RENNES

Les plus jolies NOUVEAUTÉS p' hommes viennent de paraître Chemises en tous genres Pyjamas Cois Craoates haute fantaisie Pull-ouers dernier cri Ceintures Bas Sports, etc. Demandez la chaussette INTERWOVEN

Rayon spécial de Sweaters et Pull-overs pour dames MAISON DE CONFIANOI

SYNDICATS ET SOCIÉTÉS SCOUTS DE Fk.we. Campement de la Pentecôte Il' Orgcrcs. Départ de ]tonnes lu samedi >2 mai 1') eu tramway (Croix de la Mission), ;f 10 Il. Ti ligne du Cirand t'ougeray iViarmcsi, l<i h. 41 .chapelle Bobyj, 16 h. 4à arrivée a Or. gères, 11 h. 47. Ceux qui ne peuvent pas venir en tram- way le samedi soir, pourront partir dimanche matin A 6 h 3i «are de Vlarmes. Prix du billet aller et retour. 0.5Ô a 6 francs.

Apporter des vivres pour le samedi soir, puis beurre sucre et irraisse pour les autres jours. Ne pas oublier les bâtons scouts.

Prix du campement environ, 5,30 par jour, train en plus.

LA FlUTtnxr.UJ! MrsiriLE. Tous les scclclalrcs sont priés d'assister ce soir Jeudi la répétition générale il ùi Il. 30k l'école du boulevard de la Liberté. Présence indispensable de tous en vue des concerts des 2" et ;f0 mat.

Le srcré'.alrt

AMICALE DE» A\CtD,'S EUTES DE L'EcoLt OlNopstrii; DF Rexnes. La réunion générale do la SoclCté aura lieu samedi prochain, S3 courant., a R heures du soir, ft l'Ecole. Tous les anciens (%lève% (sociétaires ou non) font invités a y assister.

CONFERENCES A L'ErOU NORMU.E D'INStlUN iïurs DE RDists. La prochaine conférence sera doimée Le Jeudi 27 mai courant, à 10 h. 30. par NI. Louln. professeur à l'Ecole normala d'instituteurs de Rennes. qui traitera le sujet suivant

Une heure de biologie au sujet de la faune d'un ruisseau. (La conférence sera arnimpagnée de projections cinématographiques!.

LYRE Rennuse. Tous les musiciens sont priés d'assister à la répétition qui aura lieu jeudi mal, a 90 h. 30, Maison du Peuple. Concl'rts dimanche et lundi de la Pentecôte. Paie de;. Sports. Présence absolument indispensable.

Société Rennaise DE T. S. F. Réunion des membres de 1a Société, nu social, Lcole Jean-Janvler, samedi prochain. 2°.' mal, à 20 Il, 30.

UNE FARCE MACABRE. Hier paraissait l'avis de convoi d'un NI. Louis Ronger, couvreur, décédé en sa demeure ai, rue Suint-Mulo, dont lcs obsèques seraient célébrées le jeudi 20 mai, il lu heures du matin. Stupeur do ses amis il l'uiuioncc du cette mort inuttondue.

Stupeur plus grande encore de ces mêmes amis, quand après avoir lu l';tvis de convoi, ils virent NI. Ronger bien vivant et rlant à gorge déployée. C'était lui qui avait fait annoncer sa mort. pour plaisanter.

Drôle de plaisanterie

ETAT-CIVIL DE RENNES

r«tlss'*CE9

19 mai. Renée I'rodault. ruo d'Antrain, 15t. Simonne l-«tord. avenue Gros-Malhon. 3-2 bis. Laisnf. rue Jean-Macé. Jean Moiivoimii, rue de Cartage, -3. Bernard Esuault, rue Salut-Malo, 18.

DdEs

COURONNES MORTUAIRES, RENNES BROSSAULT, cliier. rue de Monlfort Du 19 mal. Paillette Le naratnux, 6 airs, rue Salnt-Malo, M. Joui .louault. ancien cultivateur, veuf. Si ans, ruo Ednuard-Tuniupty, 7. Mme I.enmr, née Mac*. 07 ans. rue Papu. 17. Henri Rcssîilrc, rinballi'iir, veuf. M rite de l'aris, 1(18. Henri Tester, mouleur, veuf, 60 ans, Hôtcl-Dleu.

U entre Vcdn et Rennes, t cortnL'u lis c«nl< ̃-• rhoinisr.s. Priéro dr rapporter a M. Sylvestre, ;i YEZIN, réconipen?e.

"VÉRITABLE CAIiVATtOS DE LA VALLEE l.U'l.E

Prix s. concurr. A quai, êiialf Tabac Bar anfle r. Stllêller et b. La.'ii.nee Renn«. ATIS

Le Comptoir Général de l'Ameublement, Maison Qripon, Rennes, informe son aimable clientèle que, pendant tes travaux d'agrandisse. ments de ses magasin', l'entrée se fera rue Lanjulnals, n° B.

2, Rue de Toulouse, RENNES du JEUDI 20 au

SAMEDI 22 MAI

Grande Vente spéciale des NOUVEAUTES D'ÉTÉ Occasions spéciales en

COSTUMES ENSEMBLE MANTEAUX-VAREUSES ROBES BLOUSES

3 JOURS SEULEMENT!

Convoi* mortuaire»

du m Mal vjK

8 h:: M. Uoutfeard, rue Motto -Fablet, i, ^li»« Nuire Uaine, tiniellere de l'Est. 10 11. M. Juua..1t, rue Edouard-iuripie[y. i. egliMi 1 cluictiero de .Micu. 10 h.: il. Uoisbcl. tlôtel-Uleu, cimetière le l'Est.

2 If.: Enfant Dlban. avenue du 0116-de. liauil, 16, église Noire-Dame, clnwtlcie de ̃j b.: Enfant I-anslois. passage du CoucIle. Touisalnls, Gare Etat. .land ETAT-CIVIL. xausaneei. Marie Launay, ruo il.) la Mayenno; Tlicrêse l'haussée, ruo d'Angers; Uodlulcr, rue de Pire: Robert Leroux, i la Lando des l'lanchcs.

Publtntllous de mariages. André Garnier, cultivateur a Salnt-Scolasso (Orne), et Mariu Pannctlcr, comptable a Janzé; lamllle Berthelot. instituteur à Chourle, et Marguerite Froger, institutrice à Janle: Louis Geslln, cultivateur à Rétiers, et Marie Lofeuvre culllvatrici, à Janzô. Décès. François Arthur, veut. 72 ans, s. p. rue du Point -du-Jour; Marte Dutll, fentme Alexandre Kchudé. ans. cultivutrlce a l'Epine; Dcr-lro Martin. O ans, charron, A la Lande.

LES COURSES DE VITRÉ

Nous rappelons que les courses de Vitre aurumtteu le dimanche 30 mai 1MH sur l'iiippudrouiL' 6uinl-Etieiinu. Nous invitons nos concitoyens a en assurer le succès en s'y rendant en jjiand nombre. Du plus en plus appréciées, elles sont assurées d'altiier un nombreux public.

Pour donner a culte fûte le plus d'iciat possible, le Comité des Courses invite luslumnv.'nt les habitants à pavoiser, particulièrement aux abords de la gare et sur tout le parmurs que les vuitures et piétons suivent puur se rendre a. l'hippodrome. Le Comité des Courses de Vitre a l'honneur de prévenir le public que pour faciliter la délivrance des cartes et éviter autant que possible l'encumbrement aux abords do l'hippodrome, des cartes d'entrée pour Tribunes, pelouse, pesage, etc., sont mises à la disposition du publie dès maintenant, sans augmentation de frais, il Vitré, lin voici les prix Pu sape hommes, lô fr. pesage dames, 10 fr. tribunes, 5 fr. pelouse, 2 fr.; autos. Kl fr. voitures attelées, 5 fr. On trouvera ces cartes

Chez M. Laillet, imprimeur, place de la Gare Mme Beauliou, débitante de tabacs, rno de la Liberté M. Co- que-mont, débitant de tabac* rue bitant de tabacs, rue de Paris M. Bnsnol. débitant de tabacs, rue Dugursclin.

Il rappelle iju'il ne sera éclinnyp anoiinf carte ni dans les bureaux, ni IVnlrép rie l'hlppodiome.

Les invitations il la tribune d'honnpur dnnnrnt droit au porteur de se rli* ?n famille, n la cnnrlition ou'il? snioiit oiix-mr-mos porteurs d'une cartr de tribune nu' de pesnee. « f.e passace rlp l;i pplousc aux tribunes sera ricnurouspnipnt interdit n tntitp pprsonne non munie d'tinp rarlp rlr tribune.

MM. les propiiélairps de rhevatix sont prévenus que le Pndrlork de Paint-Ktifnne a été considérablement ncrranrli et donnera toute satisfaction.

Lp pari-nititiiol fnnptlnnncrn aux 10?fi nvpo dpti- bureaux. l'un, pr^s dps tribunes. l'a'ilrp sur !a pplnuie. I.ps pprsnnnps a'ti fiésir^iit sp faire inscrire rnninio niPmbrPs sociétnirps W rue- nu'ati lundi Si mai inclus dernier i-l'ni. Pa^sé rpttp rlnfp il np sera plti^ arlmïs anctinp inscription comme

Ln pot'sritinn rp=tp fixée à la sontme de 12 francs.

AU THEATnn.– Vpnrlrpdi. a S heu- res 30 du soir, nu Théâtre Municipal. Ctlestln fait des gaffes, par la Tour née Jacquet.

VACCINATION. Le Maire de Ia commune de Vitré a l'honneur d'informer ses administrés que le méda,-la vaccinateur de lu cnconscripiijii vaccinera gratuitement à la Mairie, le 16 mai 1D26, iL 11 heures (heure légale). Il rappelle aux parents ou tuleurs des enfants qui auraient été vaccinés ou revaccines, soit à leurs trais, par le médecin ou la sage-feih. me de leur choix, soit gratuitement, qu'ils doivent déposer à la Mairie, au plus tard lors du passage du vaccinateur, le certificat do vaccination ou de revaccination qui aura été délivra Il ceux-ci.

nECIî.NSEMENT DES CHEVAUX. Le Vtaire de Vitré a l'honneur d'informer ses administrés que par décision ministérielle il n'y aura pas cette année de recensement de dit),vaux.

PUUR LA CONTRIBUTION VOLONTAIRE. Le Conseil d'Administration de la Caisse d Epargue de Vitré réuni mardi après-midi sous la présidence de NI. Carreau, maire, a, sur 1» proposition de son président, voté une souscription do tl.noo francs à titre de contribution volontaire.

Médreac

COUPS. Mme Dtihnis, cullivntrir-e 8 la Potlnnis, en Médrénc, n porté plainte contre sa. voisine la dame P*mny, qu'elle accuse de lui avoir pnrta dPs priups de tronc de choux et de sab.it sur la tôte, lui occasionnant au visas* une pplitc blessure clui a nécp?sitc los soin- dp \1. 1p dn^lpiir I.^febvre.

Mme Dpmay nie avoir frappé Pt prA. (pnd que la plaignante s'est blcsséo en tombant.

I.a gendarmerie de Monlauban ennuôle.

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Amraix. Défaut de carnet. Henri Barreteau, 3ô uns, typographe, originaire do tantes, rencontré rua de Paris sans carnet anthropométrique (t en flagrant délit, do vagabondage, MovriHULT. J.-M. Vallet, fti jn3, terrassirr, originaire de la Chapi'llesur-Enlre (Loire-Inférieure;, condamne déjà une quinzaine de fois. a oté rencontré au Pont-Cheval, sans carnet anthropométrique et en flagrant délit de mendicité. 1:, jours de prison. COUPS. Une discussion a éclaté samedi dernier, dans un restaurant près de la gare, entre MM- Morillon, de la Bataillére, en le Cbâtel- Ui.t, et Jules Huart, do la Boutonneati. en Mello. Ce dernier a porié plaint», car il aurait, dit-il, reçu des coups.

Saint-Jean sur-Couésnon

VIOLENCES LEOKRES. A. \'1vier, journalier 4 la Cotbinais, porta plainte contre Joseph Thual. de la Sertais.

Vivier r.irnntp qu'il a été battu p| jeté dans un fr>s>é ploin d'eau. Thual a affirmé qu'il n'a pas vu Vivier ce soir-là.

Antrain-sur-Couësnon

Thomas, rue de Part* Jean T roche ri', ru» fie Pontorson.

AU COMITE DES FETES CANC.V LAI-SES. Demain vendredi 21 mai, réunion des membres du bureau de la Société des Fêtes, à 8 h. 3r> du .soir, chez NI. Félix Fauchon, rue du Port. vice-président de la Société. Ordre du jour Mise au point d» la fétc du 30 mai prochain et questions diverses d'organisation. Un* sera pas envoyé do convocation, le présent avis en tenant lieu.

MAISON MOUELE ClKlK 1 0, rue de Toulouse et 2, rue Rallier

RENNES (près le Bazar) JEUDI 20, VENDREDI 21, SAMEDI 22 VENTE m PRIMES'

MEUBLEZ-VOUS EN CONFIANCE A RENNES AU COMPTANT ET A CRÉDIT

Chez CLEMENT-MARGAT CHAMBRES ? COUCHER aveo literie depuls 1.348, 1.480, 1.600 et 1.7BO, chêne massif.

SALLES A MANGER depuis 990, 1.246, etc.

Exposition permanente de LITS ACIER depuis 1BB fr. avec sommier. fabrique de literie, fabrication garantie

LIVRAISON FRANCO


douin, (limitante au bourg de SaintSuliao. >Vpt plaint? à la jrtndarmein-, qu'on lui avuit volé deux poules Kilo soupçonne de ce méfait une voisine chez laquelle une de ses poules 1\ été retrouvée blessée, mais la voisine nie.

Mécê

1,*NE FEMME PEU COMMODE Frédéric Joiib.sfiin, 43 ans, cultivatcur à ia R.'illoliere, eu Mécé, est un mari malheureux. £a femme Lucie Sourdain, àyée de 4j an,, le frappe n coup; de sabot, il coups de pied et de point;. Tout dernièrement elle lui «iraolia une partie de la moustache parce qu'il prenait un morceau de pain.

Cette fois il a porté plainte.

Dol-de-Bretagne

GYMNASTIQUE. Ce soir, à 20 hcures, t.éanee de gymnastique au Patronage skiint-Saniàon (adultes et ARRIVEE D'UN CIRQUE- le cirqiie-niéiiaKeiie Péri,- doniuia une rcil Il Mol, piaoe du Chnmn a ilo 20 Il. 45. nuivredi prochain Ï6 mal, CHJFFRE r> AI I -AIRES. Lcs rumineryoïitg wiidaui du lait, du café. du tile et de la charcuterie, sont avisés qu'ils peuvent obtenir la révision de loiir forfait en adressant irnrgen-rj une demande par écrit au lleccvcur des Contributions indirecle.; de rue du Moulin.

Pour tous renseieneinents, les intriwsés voudront bien s'adresser au liTeau. ancien Hôtel Notre-Dame, de 0 heures ;ï lo heures tous les matins t't le samedi de 9 heures à midi.

Combourg

BR.V'">. LA FRATERNELLE On ̃ .îr/e d'insfrer Le grand buco&» ̃ ̃!̃* por la foie du 16 mal a «Hé. iiu ̃• grande partie au concours de l'exoe: ..te socliHù la Fraternelle .le Rennes, qui venue au grand complet s'est dcpensi-e sans -compter et qui a enthousiasme la population tant pendant le défilé qu'au brillant concert qui a suivi et à la retraite.

Nous adressons donc nos remercie- thiquc chef, Lo-.net, ninsi qu'à tous sas musiciens, en leur disant à la prochaine. Le Comité.

RESULTATS DES COURSES CYCLISTES. Cantonale, parcours 32 kll., 2 tours de circuit rr, Dubost (3 Iongueurs au sprint), sur Jeanne d'Arc. Réaionalc, parcours 55 ki! 3 tours de circuit au 1"- tour, prime enlevée par Dubost: au 2° tour, Fontenay et Dubost enlèvent les primes: au 3° tour. Fonte.nay termine à d'arrivée avec 300 mètres d'avance.

l«r. Fonlcnay: 2'. Nopies: 3', Chilonp; i'. Chauvin; ces <1ru.\ avec minutes de îflard sur Je 1*

Nous remercions nos sympathiques organisateurs. MAI. VergO et fiulhafd. ainsi que M. Duval. qui n offert uno prtne de .îO francs aux plus méritants <1e la Récionnle. Service d'oivhc parfHitement organise par la brigade de gcn- dàrmcrie.

Le Comité.

Saint-Méloir-des-Ondes

SEAXCES RECREATIVES La Mélorienne donnera une séance récréative te toir. 20, à 8 heures, et diman- che 23, a 4 heures.

Au programme Fils de France. drame en 3 actes Sapoléon vwnte en l'air, comédie en un acte.

DE TRIBORD A BABORD La Marine a toujours cu le souci dc la saut,: de ses Uoin'ucs Il qui elle a voulu assurer une uliiucutaiinu saine ci abondante.

Le but a atteindre est double t'a.lier iattmiiiluttou et assurer la foui, uttuit de daitcen de qualité irrcpro'/table il eu quantité suffisante. Or, l'un n'a jamais niymilc cet vain au de- //ai tentent que lu latiuit du manu cta.it insuffisante. Chaque luis que ce mol lut pruiiuitcé par les autorités maritimes, une anielioratiùii a été réalisée

Muta il est difficile de reconnaître qu'une talion est suffisante ou irtsuf. L'et réalité ces mots ont un sens tout relatif car ce qui est suffi. salit pour un homme ne l'est pas pour son voisin, It puis, la quantité n'est pns luut. Il faut varier les menus, c'est le bu: principal il poursuivre. Si dans 1 ancienne Marine on s'acenntodait fuit bien de la monotonie de ceux-ci, chez le marin moderne, U tant de la varicU.

Du reste, autrefois, les traversées étaient longues et incertaines elles duraient quelquefois plusieurs mois ̃.ans eicalcs aujourd'hui, il faut relâcher fiiqueiumnu pour embar- •ftftr du cuntbustiblt.

l.'nn a donc finirent ioreafinn d'embarquer des vivres frais. C'est fort heureiu; car le besoin de bien-itre se répand partout.

Par la force des choses, le matelot ti'auinurd'hui a d'autre* habitudes que !fs marins du temps des Tourt'ille et des Suffren.

Le pêcheur d'autrefois se trouvait miivr. novrri au lui on sur son turre-neuvas. C'était à ses veux le confortable. Aujourd'hui, ïinga'jé volontaire nu l'homme du recrutement n'est plus ébloui par le drn'i-litre (l>" vin réglementai) de la ration d'i marin.

Pour l'attirer et surtout pour le retenir au service, il faut user d'autmt moyens de séduction. Il y en a deux qui me viennent à l'esprit une bonne nourrifure et. si nous le pouions. une mcillcuie solde, car il faut bien l'aiover. le personnel est encore mal, très mal paye.

FLOTTE

IA transport K'ilja est airivé à Cherbourg, venant de Dantzig.

Le le llrumalre, V Ailette, sont sortis de Cherbourg pour exercices. L'Ancre s appareille de Oleppe, pour continuer sa tournée de pilotage. lAI sémapho-e (le la JlnpiK- signale, Il 15 milles le passage de deux culrassés hollandais type Jacoblleemsch. Le Narrai rnntinuciii si casais de Jjlontr^f. vendredi.

Iji Smailr est arrivée à Lorlent, le 18 et a apparHIir1 tour HrfM, ir m le fuitniiv-ltooscrelt, appareille de Glingnnfl. le 19.

La Vordounc cst arrivée à Dlrerte. le t-'Arnoi ort arrivé A Tlong-Eong, te 18. L'Altatr est arrivé à Newcliang, le 18. BîzntTT, 19 mat. Le rroiseur-cuirasfé Jrantie-d'Arc. le hatean-Crole (tes aspirants de la marine nationale, quittera Hlzerte le 51 mal.

C»sABMsr». 10 mai. X.r transport Du,narta rst parti pour Mogador.

CORPS DES INGENIEURS

MECANIOIENS

ET DES OFFICIERS DES EQUIPAGES DE LA FLOTTE

Ont été placés dans la position d'offlcter honoraire. par application de l'art. 2, paragraphe 1" dE. la loi du il avril 1917. pour compter da 1mir de leur radiation des cadres dc la réserve ]*Ingénieur mécaniclen principal de réserve Allaln, l'ingénieur rijAcanicleD de t'. classe de réserve Bournlcard, l'ofncler 6e 2' classe des équipages u> a flotte de réserve Ml̃râmùn.

CORPS DES INGENIEURS

DU CENIE MARITIME

DEMISSIONS. A Ht acreptée pour compter du 7 mal |O?O. la di-mlsslon de son grade otTrne par M. Rimbert, tngénleur de 1r clnsse du génie maritime, Cet officier a été nommé 9 la même date avec son iriacJ^ dans la réserve de l'arm'e de mrr et arïtcté au port de

CORPS DES OFFICIERS DE MARINE PROMOThiNS Ont rir pi'f<mi!S dans la r»scri« rU arrnee ie. mer

Au grade ieiiteiyne de taisstau de

l" clause • le-, enseignes de vaisseau de ;• daste de réserve Peyrussan, Brin- tues. Durand Robert, Le Tallec, Dodo, tomber. Ducheane, trament. Chardon, Le Botes. Mathieu db Mariini:uu Roy, Juteau. Ces offluieis de marine de réserve resteront ailettes aux port" aux.«uel» iL étaient idttachés antérieurement. DEMISSIONS. La dcm^slon de son gradu offerte par le lieutenant de vais- teau AnUuio Fans, du port de Lorient, x été acceptée; ce. olucier a été nommé avec son graa» dan-. ̃« reserve de l'armée de mer, sur sa den.iLUe et sera rayé des contrées de l'activité pour compter du W mai I92r. et restera affecté au port de Lorient.

La démission de son grade offerte par le lieutenant de val-seau Dueom, du port de Rochefort. en congé sans soldo et hors cadre, a été acceptée; cet officier a été nommé avec son praôe dans la réserve de l'armee dl mer sur ta demande et fera rayé des contrùles de l'activité pour comp- ter du 20 Juin i.M et restera affecté au port de Rochcf'irt.

DESTINATION. Sont destinés Les capitaines de trégate De Carné, dési¡¡nation pour le cours de la C. E. P. A. c a Toulon annulce,

Les capitaines de corieltc Zirgler, commandant, C. A. M. Palyvestre, 5 juin I9-36, cri remplacement de Marie Carlin, en instruction cours de la commission d études pratiques d'artillerie de côte de Toulun, 1- Juin l{><26 l'itous, adjoint commandant, fie escadre de sous-marins i Blzeite. sera ml» en route dans les de. lais réglementaires, en remplacement' de M. Fahrner De La Forfst Divonne, autorl>-û a servir temporairement s Toulon à son débarquement du Jean Bart. les Wutenants de vaisseau Totivet second, rraonne, division navale d'Extréme Orient. rejoindra par le paquebot Cltambora. quittant Marseille le 18 juin 1536. à destination de Saigon failllbote. I' escadrille de drapa^-e Il Cherbourg. il 1 expiration de sa corvée au groupe des recrues, en rcrrrlacement (le Harhier Masson. second. Kat»/le. a nreft. à l'espiration de sa corvée au crouoo drs re 'rues, en remiilacement de Le Conte Bary, Oueyrttm. il Brc-t. A l'expiratinn de Fa rorvé* au grnnnr des reenvs, en remplarrment de Souheyranrt Yan. serond. nageot dr la Tnticl", a Brest. J'expira,tien de sa rorvp> au groupe des roenie*. en rempla.-ement de Durthaler Anhert. second, centre rt'.i^rnMaflon Ar Ouers Plerrefeu, a rexniration.de Fa corvfe au croupe des rerruc. rn rcfnpiaremenf (le rinrhe Martellieresrt. Lorraine, a Ton- Ion. a l'evniratlon de sa rorvéo an ernupe des rprrues. en remnl^fcmen> Ar .laulard Bénac Jean P.arl. s Toulon, à l'expiration dé sa rnrv^e an errtupr des recrues, en remplacement de T.a Forent Divnnne Papillon, 'econrt. «nus-marin Andromanur, » Tnnlnn en remnlarement de rte Fcraurty I.nras-, Vtrtar-Tliiqo. en réserve, a Toulon Immhdiatement en roninli'mfnt Delalpe. «erond, «ous-nmrln Gnrarmr h Brest 'rtioM IniméiHatennfnt Pn remplacement de Cnssec nequln. r. A, M. Hourtin sans df lal«. sera détaché il Cazaux Lacroix, adjoint an commandant aéronautique rln *• arrondissement h Rorhcfort. délais rf- (rlcmentalres A l'exnlration de sn per- mission, en remplarenient rt^ No^l. Les enseignes de valwan (le Il* classe Gérardin secono'. -ous-mnrin nenrt-Fmirnier. Toulon. Immédiatement, en remplacPment de M. Papillon: Vlel. Rageot de Lntouche. A P-i-ït. à l'expiration de 1 ta corvée au grour^ de? recrues, pn mm-

placement (le M. Chaplaln; EMeouet. sont, marin Ttaphni. Il Brest. l'expiration (le sa corvée au grnnpe drs reern' rn rem placement de Vlel: Marti. Manalnt, à Toulon, 1 l'evpiration oe sa corvée ait cronr» des recrues, en remplacement de de Fresse de Rnniano. Tramontane, à Toulon, a l'expiration' de sa corvée ait groupa des recrues, en complémrnt: Flamant. Tramontane, même destinatton Que Ro'iano Coûtes. Caprtrleiitf, riiv. nnv. du Levant. une date qui sera fixée ultérieurement, en remplacement rie JouannL" Hillv, Lassiguy, forces navales détachées au M<i-oc. sera dlrigé sur Oran dans les délais réglementaires, en remplacement de Pénil

Les inainleuTr mécaniciens en rhrf de i" classe i Quenrt, maintenu pour un(, nouvelle période ne icux années dans ses fonctions actuelles, IL cnmpter du os Juin IMC; Q'jcgulner déMgné pour suivre les travaux de montage du torpilleur La. Palma. IL :-¡Antes; Euvrle, sous-marln Laorange, IL Toulon, th^lx. Il son débarquement du Gucydcn. en remplacement de Le Teurner Hervé, marine IL Dakar (tour colonial), rejoint par le paquebot Orotr qui doit quitter La Rochelle à destination de D»kir..

L'otHcter de 2' classe Penpnul, m*rlne. Il Dakar rejoindra par le paquebot Asie qui dot qulttei Bordeaux le 8 Juin l9r?G, à destination de Dakar.

Le maltre principal timonier Rlehomme a été désigné pour exercer le commandement du Ramier, remnrqueur à Cher- bourg, et 10 mattre principal pilote Pouloti a étfê nommé .in commandement de la sentlnell: garrto-pêche annexe du Quen- tin-noosevelt. 3c la statlon de la Mer du Nord.

CORPS DES AGENTS TECHNIQUES REINTEGRATIONS. M. Denardou, i agent techn'que de 1" clas-e des cons- | tructions navales cn congé sans solde et 1 liors cad.es, r.t réintégré les ait. E 1res cadres des atents lecliuiriucs rlfs r continu tlons navales du port de Lorlrnt, d pour compter du 7 mai t9i6, en remplace-

j ment numérique de M. Lainé, nommé Ingénieur' des directions de travaux de P cdassa Il la même date. Cet agent prendra rang sur l'annuaire ent.e MM. les agents Arms, de 3* classe. Le guern et Rrocard M. Donardou est affecté au port de Lorient. qu'il devra rejoindre le plus tôtt possible. Il sera pris en solde A partir du Jour où il se sera présenté Il la direction des constructions navales de ce port.

CORPS DES COMMIS D'INTENDANCE ET DE 8ANTt

DESIGNATION. M le commis de i" classe des Services d'Intendance et do Santé Serée de Kocn, du port de Toulon. est désigné, par application de l'article 1" de l'arrête du noveinnre lOOi, pour continuer ses service* au service de l'Intendance maritime a Alger, en remplacement or M. lp commis prlnclpal de I" classe Bardot, en instance de congé de convalescence et qul sera réaffecté au port de Rochefort; M Serré de Koch sera mis en route pour rejoindre sa destination par le premier paquecot quittant Marseille après le iû Juin,

DESIGNATIONS D'OFFICIERS MARINIERS

Le Bras Guillaume, prcmler-mallre radio-marine, Casablanca Hamoii. maitre de manœuvre Le Bot, maître de manœuvre et Qulntnc, S' maître charpentier. pour le • Lapérousse • lioarant, V mal.tre canonnier, pour le C&sslopée • Leroy. 3' maître mécanicien, • Dédaigneuse » Ansquer, S" maitre mécanicien, Bellatrlx » et Lejart. 2' maitre fourrier, B. S. Marseille, pour Diana A Bizerte Bessou Pierre premier-maître mécanicien, centre flottille, 2* arrondissement Brest.

INDEMNITÉ DE MUTATION

POUR LE8 OFFICIERS MARINIERS Les officiers mariniers envoyés en dbponibilité J'« catégorie reçoivent a l'aller et au retour quand Ils reviennent au port d'où ils sont partis pour aller en disponibilité, une indemnité de mutation réduite à l'égale ancienne indemnité de mutation réduite égale à l'ancienne Indemnité de changement de résidence. Ils reçoivent cette indemnité de mutation réduite l'aller seulement; quant au retour d» disponibilité, Ils rejoignent un autre port. Le retour donne lieu alors a allocatiou de l'Indemnité de mutation Intégrale. Cette méme Indemnité est également 1,3)'Ce aux oftlclers mariniers allant passer leur disponibilité dans un port où ils reçoivent une affectation, lorsqu'ils sont rappelés do disponibilité.

PROPOSITION EXTRAORDINAIRE POUR LA LEGION D'HONNEUR Cne proposition extraordinaire pour la croix de chevalier ce la Legion d'honneur a Me accorde^ au second-maître chauffeur Calcez Jean. Brest. ïi.un, du iluUiuiae. pour le motif suivant Sujet d'élite. ble:-sé en service .:ninmandé. a tait preuve d'un grand courage IL d'une leruieie morale remarquable.

LA VISITE DU MINISTRE A TOULON Dans la matinée du 18. NI. Georges Lcy'gues, ministre de la Marine, s'est rendu a bord du cul.atsé Bretagne, où il a été reçu par le vice-amiral Violette commandant en chef de l'escadre de la Méditerranée. Après avoir visité le cuirassé, le Ministre, dans une brève allo.cution aux marins et aux officiers, a rappelé le idle glorieux de la Marine et nous a dit la nécessité de porter au plus haut le travail et le sentiment du devoir pour donner au pays les forces navales que lui sont indispensables. Le Ministre a ensuite vislté le 7'lore, l'Amt- ral-ïenès et le porte-avlons Btarn. Puia il. Gcorees Lcynues a offert un déjeuner à hoid du Bretagne, au chef de l'escadre, aux commandants des cuirassée croiseurs et des escadrilles. Répondant à un toast de l'amiral violette, Il a dit le profond attachement du pays pour sa marine, dont le rôle ne fera que grandir et qul est dans la paix comme dans ta guerre, un élément essentiel de sou prestige et de a sécurlté.

Dans l'après-midi, le Ministre a visité les ateliers de constructions des torpilles, ainsi que le centre d'aviation du Palyvestre.

LES ESSAIS A TOUTE PUISSANCE DU DESTROYER i JAGUAR i Lobient, 19 mai. Les essals du nonveau torpilleur d'escadre Jaguar, ont eu lieu t.ous la présldenco de l'ingénieur genei.it Fertraud.

Cette épreuve a été considérée comme trés satisfaisante. Les appareils, ont font,.'tonné Jia^nlfi.; jcmeut. La durée de l'essai était de 10 heures. Pendant 8 heures, le Jaguar a réalisé la vitesse de 34 noeuds 8'1O. A la 90 heure, à toute puis- same, les résultats obteuus furent de 33 noeuds 6; mais le bâtiment avait pu réalise: un Instant la vitesse de 36 nceuds 1, dépassant ainsi les clauses du cahler dcy :harges

Les machines développèrent .vj.r.00 cheraux. Ce bâtiment munl de turbines Ra· eau, qui proviennent de l'Etablissement National û Indrct. I-es appareils évapo- ratolrcs ont été fournis par les Chan:iers de la Gironde. Le torpilleur d'escadre Jaguar ne tar- fera pas a quitter Lorient pour rejoln. Ire une des forces navales de notre

DESIGNATIONS POUR CAMPAGNE En vue de réduire les frai, de transport et d'assurer une plus grande stabilité du personnel en campagne, le ministre a décidé Que les quartiers-maîtres et matélots a de.'tlner aux bâtiments des stations navales du Pacifique et de l'Océan Indien, aux forces navales d'Extrême-Orient, ainsi qu'a Ja marine en Imln-Chine devront avoir au moins V) rn^t de seriflce & ne.complir au moment île leur désignation. OEMANDE D'ENSEIGNES

POUR LA ( CA8SIOPÉE t

Le Ministre demande dé lui signaler avant le premier Juin, les noms des enseignes de ruisseau première classe, désireux de s embarquer sur Cassiopèe, dans Stattcn Pacifique. L'Officier des) gné Oui sra chargé des observations magnétiques effectuera, avant son départ, un stage au Serviceque et rejoindra sa destination dans le courant d'août prochain.

APPLICATION DE L'ARTICLE 78 DE LA LOI DU 14 AVRIL 1924 SUR LES PENSIONS CIVILES ET MILITAIRES

Aux termes de l'article 76 de la lo] du 14 avril 19-74, la faculté d'option pour le régime commun aux fonctionnaires civils n'a été prévue q,ue pour les seuls fonc ttonnalres et employés assujettis il la léglslation des pensions i forme militaire, nommés antérieurement au 17 avril 1091. Il s'ensuit qin tous les fonctionnaire; et employé- appartenant aux catlgorles du personnel placées sous le régime des pensions a forme militaire et nommés postérieurement au 17 avril 19?4. se trouvent de droit, placés sous le récrimo des >v t i'* 'Il' In 'lue lot

Mais le premier alinéa de l'article 74 de la loi. offrant le druit aux pensions il forme militaire il ceux de ces fonctionnaires qui figuraient au 17 avril 1924 sur les listes de classement ou d'admlsslhl- Ilté à un emplol, donnant droit & une pension de cette espèce. Il apparttent aux Intéressés, lors de leur nomination a cet emploi, rie faire vnlolr leurs droits a ce nênéflce dans le délai «l'un an. a paitir tu jour de leur nomination. Dès- lore, tout fonctionnaire qui figu-

rait sur les listes d'admissibilité on de classement antérieures au 17 avrU iW devra, dans le délai précité, taire connat. tre s 11- désire être admis au régime des Pensions forme militaire de l'article i< de la dite lot

Ceux qui ont déjà été nommé» depuis le n avril 1924. devront également et dès maintenant établir leur demande qul sera adressée au Département, sous le timbre de la Direction centrale Intéressée. Il en era pris note à leur matriTous.ceux qui n'auront pas usé de cette faculté d option dans le délai voulu, seront considérés comme ne désirant' pas lire admis au bénéfice des pensions mlIltaires, tel qu't1 est défini par l'article • de la loi du ii avril 1934 et les règles prévues pour le régime commun à tous les fonctionnaires civil§.

NOUVELLES DIVERSES Lancement du yacht « Marc-Pourpre RiiSCoff. is mal. Un Joli yacht, construit par 'il. J.-M. Sibiri!, de Carantec. vient d'être lame. Il sera à la fois bateau de plaisance et bateau de pèche et portera le nom dt l'aviateur Marc-Pour\>rr., tué dans la somme en 1917. Récompenses pour faite de sauvetage ArniERNE, 18 niai. Les récompenses suivantes ont été accordées aux person- lies désignées cl-ap:ès qui. le ii février 10:!6, se sont portées, par mer démontée. au secours des deux gardiens de phare de la Vieille lesquels, bloqués depuis près de deux moins, par la tempête, se trouvalent épuisés de privations et de fait.gue. (Décision minlstérielle du 0 mars Coquet Clet-Henri, patron de pèche, médaille en argent de •:» classe: Coquet Pierre-Vfarie, marin-pécheur, médaille en ar- gent de l"> classe: Thomas André, matelot. médaille en bronze; Thomas JeanYves, matelot, médaille en bronze; Kernlnon .Jean-Noël, gardien de phare, méuallle en bronze; Plouhlnec Pierre, matelot, médaille en bronze; Thomas André, matelot, médaille cn bronze.

Blessé à bord

Le Havre. 10 mal. Le matelot Eugène Ilernard qui, à bord du Lozère, s'est hles·é au genou, en sautant du navire sur Il quai, a él6 admis il l'hôpital.

Trlbunal maritime

Le HAVRE, il) mal. Le Tribunal maritirnl commercial du Havre a condamné. hier, le. matllot Fai-geas. aide-cuisinier à bord de VAmiral-Troude. il 10 jours de prison, t6 francs d'amende avec sursis pour voles de fait sur la personne du cuisinier Le Goat.

Echos de la tempête du 46 mai CoNCAR.\r»u. 10 mai. Nous avons relaté dans notro numéro de mercredi sous la rubrique « mardi» au poisson que plusieurs chalutier, avalent subi dans la journée du dimanche 10 mai, aU>rs qu'ils se trouvaient très au large de graves avaries. Nous tenons à slgualer que t'une du ces barques. C. •(. n* 1.3!i3, patron I.éor Scacr. ape.-dn son chstut -avec- fuDes et pattes le tout estimé à U.flOO francs environ.

Ce malheureux accident va contraindre 1e patron Scaér cesser ce genre de pêche, car la saison de la p«c.lie au c.halut s'avance et Il seralt presque inutile d'engager de nouveaux frals pour une campagne qui touche 1\ sa fin. L'équipage de ce chalutier va «"tre malheureusement contrant au rhAmase pendant quelques semaines

Un sloop sombre

Roscotr, 18 mal. Le sloop non, avec son patron, Jean Goasduff, et le matelot Ives Menant, tous deux de Hloiigueriicau. quittaient l'lie il.? natz ;i 17 heures, quand, à que:que distance de la tourelle I-e Cordonner. le bateau snmbra. Le Christian, capitaine Lonls Prigent, et. la Fille, capitaine Michel Ellou, se portèrcnt au. secours (les deux hnmmes en perdition et réussirent à les eni- barquer.

vos félicitations aux courageux sauveleurs.

DÉPARTS PROBABLES

Messageries maritimes

Alexandrie. Beyrout.li.

pour Naples, Le Plrce, l'onstantinople, fa. Alexandrie.

Chili, de Marseille, e Juin. p. Alexandrie, Jaffa, Beyrouth. Sniyrne. Cunstantinoplc. Le Plrée, Naples.

Paul-Lecat. de Marseille. 4 Juin, pour Port-Saïd, Djibouti, Colombo, Singapore, Saigon. llong-Kong, Shanghai, Uobé, ïo- konama.

Pointe-à-PItre. Fort-de-France, Crlstobal, Papecte, Suva, Nouméa.

sine, Diego-buarez, Tamatavé, La Uéuiuoii Maurice.

Vl-llo, de Dunkerqu»? 09 mal, fin Havre xandrie. Pn"t safcl, Suig.'ii'Oie, Saigon, Touraiif!, H.ii|ilicng.

Chargeurs Réunis et S'jdOtlantique Halle, dn Havre, i Juin: de la i:"cliel!c 6 Juin, pour rlilbao, UiviN l'uk.ii- Iliode-Janeiro. 5antos, MontvvUlèo. l;ueriu*- Uorhellc-Pallke n'embarque que des va*sagers.

Amiral Trniidc. de Hunkeniue, .S mal; du Havre 1" juin: de. IloMi-aux • Juin. levidéo. Buctio>-Alros (.Wenskm en trans-

Pisbomip, Rlo-de-Jaaiciro. Santos, .Moinevidéo, Hiienos-Alres.

Mosclla. de Bordeaux. 21 mal. pour La Corogne. Lelxoés. Posbonne, Dakar, Pernambuco, Baliia, Rio-de-Janeiro, Santos, Montevideo, Buenos-Aires (Ascenclon et Rosario de. Santa-Fé en transbordement). ¡(.de, de Bordeaux. 8 Juin, pour Dakar, Conakry, Tabou, Crand-TJassani, Lomé, Cotonou, Suuellaba, Llbrevtlle, Port-Gentil Pointe-Noire, Banave. Borna, Matadl. t'asamarne, de Bordeaux, 2-2 mai. p. Ténériffe, Port-Etienne, Dakar. Tabou, Douala. Libreville. Port-Oentll, Pointe-Noire. Cap Padaran, du Havre 23 mal; de BOrdeaux. 98 mai; de Marseille. iO Juin. ;i. Port-Saïd. Colombo, Singapore, Satgon, Tourane. Halphong.

Banqtioh, de Dunkerque, 14 Juin: «lit Havre. 20 Juin; de Bordeaux, îî Juin; de Colombo. Singapore, Saigon, Tourano, Haiplioni;.

Compagnie Générale Transatlantique C'n/cui/t.. ilu Hane et mal. Pour New- York (ne prendra aucun passager au Ha- vre pour ce départ seulement, mais aura U faiulté fie prenor" du fret).

fjanec, du Havre 90 mal, p. Is'ew-Iurk. 1

De Crasse, du E-ivre 29 mal, p. New York.

Paru du Havre, juin, p. New-York. Suffren du Havre 9 juin. p. New-York. nouiSillo». de Bordeaux :il! mal, p. NcwYork.

Xlagort*, du Havre 1" juin, p. Vigo, Lelxoès. Canaries La Havane, Houston. Pologne, du liane 22 mal, p. Gaynla. Pellertn-de-ld-Tcuche, du Havre -3i mat, Je Bordeaux 27 niai. p. Pointe-a-Pitre, Basse-Terre Fort-de-France, Trlnidad, Carupano. La Guayra, Curaçao. Puer'.o-CoIcmiba. Crisfobal :En transbordement pour 10 Pac.ifiq'je

Flgula, de Bordeaux 26 mal, p. Casablanca.

VoIudiHj. de Bordeaux 2 juin. p. Casablanca.

NAVIRES ATTENDUS

DANS LES PORTS FRANÇAIS Lamartine, Tenant d'Egypte, attendu à .Niai-seille le ?u u^ai.

Mnboi^e. yen de Chine et Japon, att. à Marseille le si. mai.

Angers, ven. de Chine et Japon, att. à Marseille le 12 Juin,

Amazone, ven. de Cnine et Japon, att. à Maronne le :6 juin.

ù'Artagnun, ven. de Chine et Japon, att. a Marseille le 10 juillet.

AiiOKor, ven. de Chine tt Japon, att. u le a Juillct.

Chanllllu, \'en, aiudoctilne, att à Maisrljle le 1* juin.

Fontainebleau, ven. d'Indo::iine. att Marseille le 18 juin.

Comptègne, .-en, d'Indochine, att. a Marseille le tg Juillet.

Chambard, ven. de l'Océan |i il en. ait. à Marseille le 2i mat.

Roland-Garros, ven. de idrtan Indien, att. à Marseille le 9 Juin.

bxplorateur-Grantlldlcr. rien. le I'Cctau Indien, attendu à Marseille le 20 Juin. Gcnèral-Duclwsvr /en. de l'Océan Indien, att. Marseille le 1" juillet. GinCral-Toyron. ven. de l'Océan Indien, att à Marseille !• iô juillet.

Adcn. ven de Singapore. att. à Marseille le i. Juin.

Amlrai-Sallandrouze de la Mornaix, ven. de Montevideo att. a Dunkerque le à juin. Banpkok, ven. de Bucnos-Alres, attendu au tiavrj le -2.. mai.

Dalay, ven de Bienos-Alres, attendu à Anvers le, î1 mil.

Groix. ven. dp Rio de Janeiro, att. au Havre I' ma;

naveiucar (affréte), ven. de Bahia, att. au Havre 1. ?-2 mat.

itassllla. ven. un Santos, attendu à Bordeux i-> 53 mai.

Meduant- ven. de Santos, attendu à Boraenux k 3r mal.

ne Gra.'sf, %-en. de New-York, att. au Havre le W ma!

Franc ven. de New-York, attendu au H.rro e 5: mal.

su/rreh, %-en. de Xew-Tork. attendu au Havre le 5 juin.

Paris ven de New-York, attendu au Havre la M mal.

La Saiole, ver de New-York, attendu au Havre le IG y.la.

NAVIRFS DIVERS

SIGNALES par T. S. F.. au pn·te de le 19 mal llmt-iiomix, BoisRote, C. I. P., Ciirbct. Atrxanilrinr ùcta"Ir, ne orastc, nues-curtler, P. L. V. t;. Caiiltaine-Luigl A Valence, 18. Omphalr. ail. oe PortArthur à runkerque; (..•;> de I'oruArthur. A Gioraltar, IS, Salnt-Dld'er, de Brc-f Sainl-Cyrille. ail. d.Mger à Rouen. Casablanca, t'i mai le navire hôpital Arcanic cst parti pour Alger.

CAGtIEBU-ti fi VAHEUHS LONGS ( tillHMFRS

ARRIVES. A Manille. 18, Anta, de Casablanca Pierre Loti, de Uastia Ouoloi, de Mogador Moulouya, d'Alger IJ 4 Umt^dui, LliumjHjlIlon et Jérusalem, de. Boyi'Outh (le Casablanca Mlllinia 1 1 flllejebune, d'Algcrie a Casablanca 19 Michel Mazrlla, d'Oran Maréchal Luautcu. de .Marseille au Havre 19 Halut-Jeaii de Yalporalfo fi«.«.«e Terre des Antilles Ltpari. de La Plata Santés, de la Cote d'Afrique Mlsslssipl, d'Anvers à Saigon 19, AntiHop, allant de Marseille a Yokohama Dalren 19, langhc. de Tieu-Tsin ,'i Madcira 19, Groix, allant de lifiinos-Ayres .i Hambourg A Halphong 1: Commandant Manrs. à Duiikcrqiie i, Halifax- IS. Laboiirdonnais allant de Bordeaux i New-York.; à Ténérlfte t:i, Blots. de lioideaux A Mobile 1 ?*. Maryhmd, allant du Havre a Cilavrs'oii a Callao i8. Tc.ras. allant de Talcahuano a Anvers ,i Cadix 18. allant de Mnrsrllle ft Bueà Suez IS. i hantltlij, allant :le il Marseille • ,i PointeApitre lô. Ylrqinie. du Havre ,i LaCos 11. Amiral fifinleaumf. de Hambourg; il Port-Saïd IR. Tettan. allant rie Marseille :i Maurice a Dirgos'iarei; ifi, 41'la'fHr Roland Garros, allant de Manne il Marsfille il I.ihpcville tfl. Kuroif. de Bordeaux.

PARTIS. ne Marseille. 17. Aminil\iclht. P. le Havre; tï.fï Tlrman, p. Tunis; Ï8. Forlll, p. fotonon; Sphinx, p. Ileyrnuth; G. G. Jonvarl p. Alger; Hoqaar, de desain. M: Mger, de Cotonou, i; Vnlillvia, de Ruenos-Aires 16 toits pour Marseille; tiu Havre. 19, La fatale, p. New-York; du Port-Louis, lf, Exptoratcur-iïraiidt(lier. p. la Réunion; de Gibraltar. 15, Guéd-Seboii II, de Marseille; CapitaineLediabat, .le Sfax; Orttsitn, an. de Durikerque à Alger; de Perini. 18. Ambohr, ail. de Yokohama à Marseille: de Daqar. il, Saint-Sazalre, ait de Kœnigsberg au Gabon: de Sagres. is, Ville de Cetlr, de Benifaf Chrf-Méùaiilcien Armandl'lanc, all. d'Amers il Alger: CapltalneUalprcchl, ail. fie Dunkerque à Tanger: fie Péniche, IS, Strnlas-Touffatnt. ail. de Dunkerqiie h Casabl.niiiM; de Horta, 16. ail. rio Lihrevlllr il liordeaux: de Fort-ilr-france, l.\ Mariait, p. Le Hane: de. Vaua-Tf. \>. r>.ilren: de l>akar. t.\ Mbit, ail rlr M.itaill k Bordeaux: SU, p Marseille: lïe Uathur.-t. ii' Madonna. p. Mni*i:M<1 de Konakry, tT. Vnhomeij, ail. lie Hainhoiirg a Ralliuri': de Pointe à Pltir. I •Vti< l'rirnux. p. Mar.-ellle: de r.Vomlin t«. Villr tï.xmfns. ail. de à a Brl>l'fïni»; de hum. ail. îl'Anvers à Vaurouvcr: (le |S. Mcinain, ,i;i. de Iiiinkerquc a VAPEUB* CABOTEURS

ARRIVES. A flrcst. 10. T.fthj. dr < pleblrc: A Rouen. li>. larron, rie |Vri cnBesvIn: YorHolcu. dc Lfocillr, de Ilonleauv: à rinulogno. v> Tmllrtrr. de Brest: Vlllr .IrCarn. de Carn: ft Casablanca, t! Sulnt-Frrréol, ail. de Graullr à Bordeaux: Il. de Marseille: au Havre. 19. Cantenac, de Nantes; Gand. d'Anvers; à Granville. 19, Allée. de Poncaron.

PARTtS. De Brest, IO. Câlinait, p. Rouen; AnaouUme, p. Rouen: MorannJones, p. la tue de Rouen. 19. Theniïs, p. Anvers; Sadn, p Rotterdam: VorktiUn, p. Rocliester; Li'ovUIk. p boulonne: SuUia/ield, p. Purt-Arthiir: Gongerrolf. li Oslo; (le Boulogno. 19. Vllle-ile-Chii- loiis. p. le Havre: du Havre, tn. SicAdresse, ji. Rotterdam: Lislrac. p. Rot.terdam: La Mallleraue. et. Boulogne pomtrol, p. Cacn; Morlatx, p. Morlalx; faucille, p. Leningrad.

vnti.iBR* kaboteurs ARRIVES. A C.ranvlllo, t7. I.es-Ju- ruelles, de Boulogne; a Brest. la SI- André. de l'Ile de Sein: Saint-François, d'Audierné S/i/iy/ix. d'Audlerne lire- fagne, de Coneaincau: Dauphin, de Poit- Launay. PARTIS r><" nouliiinc, 19. lrilun, 1 p, bt-Malo; /ris, p. Tréguier.. c

ARRIVES. A SalntPlerre-et-Ml.iuelon, 19. a de Situbal; .4crtie, de Ci.-on.

PARTIS. De Lisbonne, 10, Egla.'iin.e.

Mouvements des Bancs

pendant le mois d'avril 1829

SA!\r-PiutRE-sr-Mi(n.EU«, ou avril. EnSans |-Cclic ramené à Saint-Pierre. rùqulpaze. du morutier Stella. Maluttna, coulf sur les lianes, par voie d'eau. J9 avril chat. Locurno. i-apit. t'allln, ̃2.:>iM morues. 9rw quintaux: Fleur-AeFionce, calitt. Bigaid, sans pèi-lit. venu déposer un homme Messe. Jambe broyée (ce navire a, son boni cumme passager, M. Guet, administrateur de i' ci. de la marine).

Sorttri sa avril chat. Pacltlque; 26 cbal. Maroc-, -.«y Tout -dn-i'm.

Entrées des longs-iourners. 27 avril rhiiîs. Marguerite Kmilte. rapit. Le lan.îec, ven, de Lrsbonne avec sel; carso Mulhouse, cap. Lebounlals. ven. de StMalo, avec divers et 7j passagers. C«" hattau a nilit -29 Jour'- de traversée ayant en dt> avarias, notannueni sun gouvernail enlevé par le mauvais temps.

Navire liô|iital *ainte-Jcanne-d Irr. cppi. Moumiizeau. venant du Havre. arec i'j passagers.

Sorti'» des longf-courrleif. Néant. Malades admis à l'hôpital. -29 avril Lemoiinixr Jean-Marie, du morutier fleur. de-France, inscrit à Dinan n8 -AS. Nouvelles des bancs

par la < Sainte-Jeanne-d'Arc >

Manli 18 mal position ne navire-luV pital, lat. Nord. '• î.v. i«ing. Olle^t ds l'nils.>• |3" Veut bonne brise S.s.O. Mer agitee, Ouest; ciel, brume épnis-e. Baromètre it mnli. 7.'i8 înui.; température à midi, a l'ombre, +

Navire visité cote SaintCANCur, 19 niai. M. Mathurln Victor, armateur à Cancale. a reçu les nouvelle» suivantes de. ses navires

l.leulenanl-Fontiiu, capitaine Verdier, 900 quintaux: .Im.c de Bretagne, capitaine Champdobeau..W0 quintaux- LézatrtVrrt, capitaine Renard. -100 quintaux; tons D'autre part, M. Julien, armateur, a également reçu de sr.n capitaine les nonN'elle. suivantes Amlral-Grrcals, capltaille Lafoiid. tous bien Il bord, te navire avait mis ;o Jours de traversée.

Marché de Paris

IMRi. 19 mai. Marche bien approvisionne. Veum as-ez actne. luis. mit la plupart des espe-cs. Hausse sur le merlait brillant et la sole.

Marcecrustaces. Au kilo barbue». 0-Ki; bars. 7-3Û: carrelets. ̃̃ chiens de n;er décapites. 0-4; colins décapités. c Uns entier-, 3-j; con?rcs. h-7: crevei:t% grimes. 6 7: rouires ci-osses. 7n-m>: moyenne:, .'>0-60: tietites. -0-.V.; daurades de France, 3-7; harengs français, j-ki; hom:i:ils vivants. 1:2-17; morts, ft-ifi-, -,la! ritanie vivantes. 7-18: lainroustine- Ilréaux français lloulnine «raillais petits. 7S..i() do Bretagne.Ai: a la itenc. ^C: merlans brillants, B-ni; ordinaires, ?. mulet", raies entier*», dins, 3-7; s'ilfs française* grosses. 18--î> ;>etlifs. tfl-iii; turbiits, »•!̃?.

cent in fin: moyennes. 10: petites. 10-»; fraN-hes. Moules et coquillages. Aux 100 kilos moulrs. 5iSi.

Au sac coipiep.

Arrivage? marée. -il"i.-3(v> kilos; eau douce, :9OO ',il 0:0': roquillagrs. \\«nposé au frigorifique. SS.orHi kilns.

Marché de Douarnenez

noi'ARMvrz. IS mai. t.r man-hé de p» matin s'est ouvert plus tard que les autres jours. Les quantnés mises en vente ont aussi >ti' de moindre iinfortame, tout en etant toujours de tres grand* fraîcheur.

f.o> l'.l'eurs locaux ont cependant .m !<s«i.re" le ravitaillement de la popula- tion ct lis péchrtirs in'bouli-trs ont aU_l'orti linéiques pièces de belles tailles. en liens, taicts et longivs.

Le merlan est toujours de petite tait- ii1. in.i.: i. se vend très bien.

Enfin, les revendeuses4 d'Audierné ont Pli jeter sur le marché quelques c.iiss«s de vieilles, tacots, licus et plusieurs panlers rie

l,e. pecheurs de maquereaux ont donné les plus gros apports.

.Maigre la. pénurie relntivr du marrhé. Les cours n'ont pas été excessifs. Voiel li-s prix pi-dtiiiues pour les diverses ct'S

la pièce Maquereau. 0.8n à i; tarot. à a 1.75; Meus, gros. 11 à moyens, 3.< à i; merlans, petits, la douz moyens, o.6ii a fl.c;. pièce; vieille, à il 7 carrelet. ̃> ;> :i; plie. I.A à l.fl: turbot, 4 à Sole. touplr. :i.ûo à 7: petite rate. 1 il .̃0: crabe-araignée. 1.30 à 1 75; crabe tourteau 1 :5 à i.X).

Au kilo Orosse raie. à 3; congre. ̃1: au- petit lot. 3..v); chat de nier. :.S0 rcu^e. ;^j ti lanirouste \er- le. lioniard, a -S; cirvettes. 1. à 1*. Marche de Concarneau

Cgm'aknlu:, iti mal. <!ros anivagr d« lii.inn. inerrredi..1 la niuulcipale. 25 ihaluiiei-» étaient .1 la veutr avec une moyenne de ^r*. à -i-O kilos l'Iiaoïin. t'es apports parvenaient du large de l'archipel dfs G'cnans. ou ces lié» nbondants. mais (le plus inetlioi i-«' quahié 'juc i'cu\ <les banc? de vase, lie.- I ̃'iiieiture du marche, ;i 1 heures ce iii;-tln. les cours fuient CtaMij I raison de ? a 10 le lot de c'esta-diro le kilo nurchaiiil et la grosse triée. 3.7"1 \o le kilo. Vêts 9 lien- la moitié tle> l'nniucs environ av.-ilent vendu leur itét-ho ^f on signalait ce ni"nknt une l>ii-sc nwi sensllile. le lot -le l>et.tes ne valant i>ttis quu i> :t 7. il seinl'!e «loue que l'iV-nilmirnt deviendra dlffl.'lîi1 ->ii- il (\< fin m-irrhp.

I.rî* «i>|H»pts «li> ni.irre rttu^ tels crue so- les, turdols et rntisiM-^barbc'ts étaient Insi|ilfi,int-. niais li poisson de con«>min»l'on ior.iic et.vt ah.-M.laui. On r-otait I» l'h lien. 2-18; merlan» 1« chalut..1 ̃n-n.Sil l.t iloiizalu": merlan» brillants, l'^ce: nlie-, 1.4V3S0; congres, 3.&0-K: irabe-, araignée- l-î: chèvres, Il douzaine.

Le fKiisson de dérive ^rait très rare, X part queliiu-'s l^>t< de t'etile ni.Tiueivau' vemliis à un cours élevé, h-Xi francs le cent.

A l'heure où non» éïahllssnn* c» liu'letin. on n'a pas encore signalé d'antiM irrivapes de poissons de dérive

Les alsrnillettes grosses ipit avalentparu pendant que.liruf"= Joui"! dn marché viennent de rf-apparaltre. On cotait a la pièct», î.sfl-t suivant grosseur.

l'n équipage de chalutier s'e«t dltliré en ramlonnette automobile sur Ouimtiep avec un« quantité Importante de lauirou«tines. cet équip.y.'e e-ri^re obtenir -!Un% rettc. vitle un prix plus rémunérateur. En trônerai, irros aprvovl-loiineincnt d« laniroii'-tine». mais vente a<si7 difriiile <nr la fin du marché. Arvrpvi*tan?»rni.*t't i"*p- niai rn i'o|w»,vi« de consonnnatlon !̃-<•• pt. éc nilemcnt fa,- le ef rapide d<- t.^ii'»* les -arièiés Ba:s>c légère fur toutes M catégories.


PARIS-CALAIS A LA MARCHE L, F. 1. M. a désigne les concurrents «yioribes a prendre part a la conipctiuoii qu'elle ortfauite avec le concours de luvoiiialniie i» -M, *3 et •)', mai, sut le parcours de Calais iL l'an». Voiu le uow do cuncurrents

chevalier champion du Xord: Douyer, Baguant de • Routn-Le Havre (P. (;. H' Pnuslay (C. S. F.); \'Ialette (A. M.1; M. Germain (C. ?il. S. F. Picard i. M. Haétligcr (C. S. F); Saint-Omer (A. M.), auxquels viendra s'ajouter le champion de suisse de grand fond Jean Llndcr. Le parcours ii'csnre ;j.K> kilom. Le contr6le >tra exercé par les olflclels de la 1'. F. M. llmj automobile* suivront les concurrents.

L'Iliuernire passera par Bouloene-surMer, Miimrtm] Mii-.Mtr, Milievlllc, Amiens Rrctcull, Beau vais Mcru, Poulolso et Pari» iPorte-Mallloti.

Mi.000 rimics. de prix et Indemnités sont affectes il celle marche qui Qualifiera ses vainqueurs pour le • Paris-Strasbourg Il du l'élit Pauitcn.

AUX CADETS DE BRETAGNE Ce soir, a 8 h. 30, ouverture des cours de culture physique

au Parc de Montabité

L saison de (oot-liall pour toutes nos équipes cr»t ( Iwse officiellement. Les souliers a f rampons, préalablement graisse- sont enfouis au plus profond d'une armoire d'où ils ne soitiront que pour la saison prochaine et, actuellement, les foui bal h -i-s {.'oùleut un repos bien gagné. Le repus est unie, voire mfcnie.,aire. Mais il ne doit pas se prolonger durant tout l't'tc. No-, iiium.Ii leu doivent pas rester si] s'enroher d'une couche graisseuse qui serait bien gename au début de la saison prochaine.

Nos orgatiLs, après avoir travaillé à plein durant la saison hivernait', ne dnt. vent pas s'assoupir dans un doux farniente.

Il faut 1rs entretenir clans cet ttat d'équilibre phyMol.igicjiK- que. seul, procure un entraînement physique rationnel. C'o»t pourquoi nous nous adressons aux jeunes qui fréquentent Toutcs-Uràtes et aux footballcrs en particulier. Inscnvcj-vous tous au groupement de culture physique qui demain va recom- mencer :i fonctionner.

La culture physique est nécessaire tous. ( 'est par elle que vous aurez cet cquilibr^ moral et physique qui fait l'homme ('est par elle que vous obtiendrez le lit harmonieux de vr>t iv corps. C'ost elle qui vous donnera re qui est le but de;, pratiques sportives la santé.

Paire dr 1a cilniro physique n'implique pas que l'on doive se lancer dans Ics cinpclitirii» mais on ne pourra pratiquer avec Mines Jcs sports de comi>etltentes tans s adonner il. la culture physiqiir.

Notre sec! ion (l'athlétisme qui s'annonce naître un resain d'activité rt nul doute que les meilleures équipes régionales de\io".l compter avec elle.

Donc a t«us. cultiiristru et athlètes, non» (lisons ;'i re soir. à S 11..V. en te niK- an terrain des (artets. I.a réunion nura lieu n'iel que srill. le trmps.' r» 'era il'ailleurs un plaisir (le nous retrouver dans le rartrf (le' m.trr Toutes-i •rares et ri'v entretenir 1rs Urn» de bonne camaraderie et de franclip «nniié (pu font le charme de notre grand patronage.

CHAMPIONNATS DES PATRONAGES Lundi prochain,

au Stade Courtemanche

Critérium de l'Union Régionale de Bretagne

Lundi prochain, ̃?'. mai. an Stade C>urtemnehr. irai ieii.'rinciit mis .1 la déposition de IX. n. Il.. s» déroulera un i r;térium ('cite rénimn ra •!<̃> represintants des mnirc (imparteinents. Cnifs-du-Nni-rt, Morbilian. T.r.istrre et llle-et-Vilaine. iliaque flépaiteimnt alignera uu nu deux dans chaque (preuve, suiv.mt qui laMon de res départements jugera que le» 'afhlétos envoyés pour les Teprfse'iter «uni capables (le rli.iiupUin i'Ii nnn, Si le 1ot des athlèies n'tst pas r.o-ii-

bi-eux. Toutefois cc sera un lot choisi puisque nous n'aurons ine .es u-eilleurs. Les épreuves sont les suivantes 100, *H). 400. 600. 1.Ô00. 3.000 mètres hauteur, :On- gueur. avec et sans élan. l:i>r.-?r il javelot, disque, poids, grenade, marteau, triple saut, saut à la perc'ie.

Nous reviendrons -ur r»'te' Inir-or'ante et li t< restante (lui ne man.in-; ra pas d'amener <u stade du touuvard dr Meli un eau nombre des SjiectaConvocation Les "atron:ipes de Renne= sont priés d'envoyer denx ricléeués à la réunion de la C. Il. •JUliKtisine. qui aura lieu denilln vendredi .i -0 n. m, Salnt-Vlneent Ordre c'ti lour Critérium du lundi de la Pentecôte.

Le secrétaire £ Bicot

CONVOCATIONS

Calets de Bretagne. Tous les coureur» de, Cadets. ainsi que les Jeunes gens pratiquant ou dési.ant pratiquer l'athlétiMuc. sont ce soir, a 3 ,heure-, au slése de la Société 8 Cercle des Sagcurs Rennais. Aujourd'hui Jeudi 2u mal. OU h. «5 Kcuulon du Comité au C. N. R.

Ordre du Jour Organisation de l'entraînement; déplacements de Dluan et de St-Nazaire.

f Le secrétaire J. DE L.vRL'E. Tin

LE CONCOURS

DE LA • DUQUESCLIN »

Les 13. 11, li et 10 mai se tirait au stand des oayeulies le concours de la Dugucscliu.

Cette fête de tir, à juste titre renomnnee, attire chaque annce au stand ICI'nais; l'élite dcs tias guidons français et Elle n'a pas failli sa réputation cene anuée encore. Tout ce que ['a.ris compte de hns carabiniers, tom ceux tlui oui porté, portent ou prieront le Iltre si envie de champion de France ainsi que le champion olympique de LisJe, luimême, ctaieut présents c'est qu'il s'agis. ,ait de designer l'équipe qui porterait les milieu» françaises a l'International de Home, cet effet, l'ccole nationale d.'s matches organisait une rencontre par équipe de trois tireurs, à la distance de 300 mètres.

sollicites par les organisateurs, (rois de nos concitoyens. MM. l.cven. de la Démocrate. Foulon et l.hostK de la Brettolse. ne crurent, pas pouvoir refuser l'honneur de représenter Brest dans cette compétition. Si la quatorzième équipe ainsi constituée nVut pas a proprement f.irlé les honneurs de la journée, elle n'er décrocha pas moins la cinquième place au classement général. Au passage, ellr enlevait avec une avance de I! points sur sa suivante Immédiate, la :re place dans la position couchée, où Ni. I.ho^tis se classait 1" du classement général avec un total de 90 points sur 100.

Ce résultat fait le plus srand donneur à nos représentants qui. nrW a l'Improvites. Ti'étalent lia» préparé* a nar-elllp î-enronfp. Us se nromettent de fairr mlcux l'an ,prochain. 8 MATCHES AMICAUX sélection ouvrière

contre Cadets de Bretagne (2) Samedi mai. a ̃: heures pre.lscs, an Parc des Sports de Montabizé, une selecton ouvrière de Rennes Jouera en match amical contre la deuxième équipe des Cade)'- de Bretagne et si la sélection ouvrièrc veut gagner, il faudra toute la science de ses joueurs qui font partie de grands clubs rennais.

Sélection ouvrière Mandon. Poulain, Lemichelet, X. Spmpé, .nouvipr. Ciaillard, Aui'iuel, Marochin, uralant, Bourges, Helleu. S RESSE1GSEUESTS 1VHID1QVF.S

I.ot sur les loyers, Affaires litigieuses, contentieux, rrocés. etc. etr. Envol des renseignements contre mandat de s fr. 50 adresse à VOueft.Celair, Service juridique

BOXE

LE PROCHAIN MATCH

GEORGES CARPENTIER

NEw-YORK, 19 mal, Georges Carpentler et le boxeur américain Saylor Hoffmann te rencontreront en dix reprises- a MaJison, le 21 mai. 0

UNE REUNION DE GALA

AU VELODROME DE RENNES La prochaine réunion sur piste qui aura lieu le 3o mal prochain sera, si nous, en croyons les renseignements déj;1' recueillis, un nouveau gala cycliste et le temps al.dant un nouveau triomphe pour l'actif comité du Viilocc-Club.

Nous aurons l'occasion de revenir sur ce programme de choix. Cependant des indiscrétions nous permettent d'annoncer des maintenant que, en outre du champlonnat départemental de vitesse qui opposera les meilleurs pistard;, la réunion comprendra un grand match Omnium avec lb concours d'as réputés.

Dè5 maintenant nous pouvons affirmer que bien Inspirés seront ceux qui réserveront au V. C. R-, leur soirée du 30 courant.

La Commission des courses d'IJle-et-Vilaine nous communique

La Commission des Courses d'Ille-ot-Vllaine a désigné pour participer au Cham- pionnat départemental vitesse, organisé le 30 mai. par le Veloce Cluh nennais. Ics coureurs Rault (champion IMJ), Deneuville. Nogues, Charruel, Drouet Francis, no-pretz, .faudoln.

La Commisaion des Courses leur rappelle que conformément au règlement, les coureurs déng:.és sout tenus de participer au Championnat. •* SPAKTIWO

TRIOMPHE A COUERON

où, malgré une bourrasque Intente, DENEUVILLE enlève la première place de la nationale-vitesse devant Sprauel, Itou.cherie, et.c. II.' partants).

L'américaine de uu tours est également gagnée par l'équipe SPnAL"EL-DEN EU- VILLE avec deux tours ('avance sur la seconde équipe.

ET AUSSI A CUEMENEPENFAO où la première réunion de la saison marque ur. tns srros succès, la nationale.viie-'c cs' enlevée par Deneuvllle devant Sprauel et Brégeon en finale, course très di-putée. Denenville ne battant Sprauel qu» d'une demi-roue 19 partants!, L'américaine revient à l'équipe SprauelDeneuville devant Hréeeon-1'HPln. puis Il un tour Bouclerie-Calgnard, NauleauI ertage, Ptc.

DENF.rVTl.LE montait vne blcvclet:e SF-A-XtTIIffGr

LE BON VELO

Agent* BOUROEAIS. à Gi émené-Penfao LUCAS, à Couëron.

BREVET MILITAIRE

DES 50 KILOMtTRE8

A SAINT-SERVAN

Chaque Jour, do nouveaux coureurs s'engagent pour cette épreuve, (*,tint l'or. BRiilshtniii a élo contlc» au Véio-Cluh Servannals.

Les débutants déclarent vouloir démontrer leurs qualités et menrr la ,'le' dure il leurs aînés tandis que ces derniers ont confiance dans lcur ut leurs moyens, si bien que la lutte sera chaude sur tout le parcours.

Rappelons que de nombreux pvix svint affectés à cettr c;:reuve et fine Ir. engaï( inents sont reous par M. Tourairic. '<crétaire du N'. C. S., villa Sablonla, Sillon. Saint-Malo.

T.r Vélo Club veut mettre (léddé.iiK>nt les bouchers et orga.nlse. pour le dimanche 'M> mai .me grande course ryr.liste à dispute" sur un circuit <le 18n ki'omètres. De nombreux prix seront également donnés, dont le 1". de •») francs. Iles le, engagements le. président du V. C. S., villa la Chau-

AUTOMOBILISTE LE MEETING DE LA PENTECOTE DE L'A.C.O.

Le. meeting de la Pentecôte organise chaque année par l'Automoblle-Club de l'Ouest aura lieu en îs-tt à Poitiers avec le programme suivant

l' course de Cùte des Dunes (500 m départ arrêté) avec deux épreuve» consé- cutive comptant pour le classement, les temps étant additionnés.

2' Gynilsana avec épreuves suivantes concours de braquage, épreuve de la bascule, course aux quilles. concours-surpi-be. 3" 'Prix des Dames (mêmes épreuves que ci dessus).

Ce meetln" qui a lieu depuis quatre années consécutives remporte toujours un éclatant succès H n'est pas douteux qu'U n'en soit de mlme cette anuée

Pour renseignements et engagements, s adresser dans les bureaux de l'A. C. O et notamment à ceux de Poitiers, 20. rue ('arnot (tél. 3-47): Tours, ̃>. rue Victor Hugo ttel. 10-19) Angers, 10. rue de la Préfecture (tél. tO-22): Paris, 16, rue «VAthènes (tél. Louvie

COURSES DU MONT-SAINT-MICHEL PONTORSON

Les premières lisies d engagements parvenues M Dela: jut, commissaire des courses du Mont-Saint-Michel-Pontoi;on, laissent prévoi° un succès sans précedeut aux i-sunions des 23 et -2i mai.

Sont inscrits pour le premier jour, dimarœne -.M mal

3' course Grand Prix de la Ville de Pontoi-sun -i.ROu francs course p ate. mixte, 1.300 mètres environ. La llulta (Louis Aine). Soiuat iflcrre Brelan). Sparte (Pierre B:ohan), Barrow Util (9 00) (ceinte J. lie Castellan;. Urechrlrn (René Deveaux.. La Chartreuse (Keiiè Deveaux). Voodear Ih'ijjrc, a.OOO) (Kene Dupuis). Mademoiselle de l" Picliotserle (Henry damier), Aiiiunttini .Ni. Henry Lepante). llelgr. (Louis Hlnau.\), Holy-M'au n'ointe Claude Jc Langlcl Lifoneicuse i6 00J) 'comte Claude de Langle), Feuille dc nouct (9.000) tElnuard de LannurieiH. Ln((/H6 IV (prince Ch. de la Tour-d'Auvci'Eiic). Mrnedara (Charles Lombart). Vertex iB.OOJ) (Uaston de Montfort). llau les Uoscs iFerdinana' Moussay, Paramt (Ferdinand Moussay>>onfrcîlHO (Chartes Philippe) hclu de .Vbit Il (Charles Philippe). Acctid [Lucien Uatti), Scopolo (Lurien Rail,). ii lii'velolte. (Lucien Ratti). Frlvula" (Ueorses Roue))):), (0.CO0! 'Victor Tliuau). Soit au total iù produits engagés

.v course. Pria de la Société des steeplc-chaî-es de France. i.BM fr.. steeple chasc- distance, u.tuo mètres environ. la llnlia (Louis Aine). UnlnpnU 1/ (Ciuy l'astre), Scddtil buhr «iuy Pastre). l'eneus (prince de la Tour-d'Auvergne). La Vipère (Victor Thiiaul, Moteatel (Victor Tliuaul. Xcré.1 .Mcnnte Joseph de Langle). Allicua (comte Claude de Langle). Monsieur roulot (Lucien Ratti;. Sropolo (Lucien Ratti), nercren'te (Lucien Ratti), Barroirlllll (comte de Caïtcllan). B(*eau (A. Tinel). Brlboiillie (r>. Mrohan). Vnporf.««leur P. Brohîinl.ficwfl/I/! /lame (Ch. Lombard), ralhurli Il iDe Bohinnec). Castel. neau (baron Chttstln), Vtindenmfe (M. Le Baro-i), Intrtg ;.l.-i'. Isclln). Cntlnbe :Ch. Philippe), Eu toiii •> engagements. G' course Steeplf-ctiase rrosscountry Interrégional de I.. Société Sportive d'Encouragement, 3.W0 francs; distance. 3. "00 mètres environ pHrccurs de cross en trrraln varié Ultra Il', 6 ans (vicomte L. de Pengtillly) VUtortti, 5 ans (comte de Casteltan). Ânltcfte III. ans ;conne rie rastellau). \tircttt. i ans Jean Drappler), Vendetta Il. 3 .ins (Léon Tacquet). Ver ri mi XIV, ans iR. rte la Moissorinière). Tiomtre Ill. 7 ans J.oiiis Hinaux). Vive. ans il.. Helar.). Espérance X. 5 ans ÍA. Latouche!. AVtinen V. i ans (l'onstaut Morcau). Venu* V i> ans (Consiant Moreau). V'Pask 6 an,; (Constant Moreau). Alerte Il. i ans Constant Moreau). Illo ans (cnmte 'iuv la C.onidec). Aphrodite il, 4 ans IJ.-P. Isellnl. soit au total f.ngaffemenis reçus pour la deuxième journée, lundi 2!- mal

̃:• course. Prix dr la Société d'Encouragement, hors série ne .-> ihandicapl. -i.SOo francs: distance, î.Oft) métres: publication des poids, .ld si.medl ir> mai. à midl.

:a Hotta (Louis. Alrlc.i. Paramt (F. Moût- at), Grande Dadlche (vicomte Jean du louëxlc), Sparte (Pierre Broban), Nlobé Il Pierre Brohan!, Quecn's Way (Léon Srolsant), Agrattiant (M. Henry I.opaniei, lelpa (Loul* Hioaux). Feuille de Itnnce E. de Lannurlen). Unique. IV (prince de a Tour d'Auvergne), Roi de t'Or (prince le la l'our d'Auvergne). Vautour Il (Chares Lombard;, Gentille Dame (Charles .ombard). l'erlex (Oistor de Montfort). tstnatta (Bernard de Montlgny), Scopolo Lucien Ratti), La Dtvelntte (Lucien nattt) vrivclanl tGeorgcs Rouche), Haulet-Roscs F.. Moussay) tn tout 19 produits enïagés.

6* coi.'se Steeple-Phase de la Société lu Demi-Sang, o 050 francs ichevaux de sella, poids moyens et lourds. 4.000 mètres. Va Vile. 5 jus (vicomte L. de Penituilly). Vermoulu 111 (F. de Kerjesru), Verdun \IV, L ans (R. de la Molssonnlêro). Chtcotfe, 0 ans Pollet-Ternynck). Varsan. 5 ans IR ne la Moissonnlère). Vanupteds. 5 ans (Léun Tacquel), Vntume, ans (Léon Tacquet). Veto 11, j 5 ans (Léon Tacquet), Victoria, b ans (comte (le Castellan), Anttque li, ans (Constant Moreau). V'Pack, 6 ans (Constant Moreau), Aiitlnea V, 4 ans (Constant Moreau), Ater,e 11, 't ans ifonstant Moreau), Vire, ans iL. Helaryi. Espérance X. 5 ans (A Latiuche). Rerv.ler. b ans (Mlle E. Ooulpoa.ui. VU Argent 11, "> ans (Drohler). Valley, ie IL, 0 an^ (Le Doblnnec). Illo. 5 ans (comto Guy le Gonlrtec). Vent Vfcl [Il. ans (J.-P. Iselln). /Iplirnrfife Il. ans (J.-I>. iscUn), soit au total 51 engasements. 0 LES COURSES DE SAVENAY

Nous rappelons que les courses de Sa- venay aurout lieu dimanche prochain 23 mai, dotées dé -is.Ooo francs de prix. La réunion promet d'étre superbe, si l'on en juge par le programme et le; engagements suivaats

il, course. bouebaud. Avocat; Labarre. Athui VI; Marchegay. Ujcrkls-, Mol'eau, Alet te Il Annette; Renaud, Anltouclic; de Guillé, Alerte Il'.

i' course. Te-sier, Albratil: Berjonneau. Vatleda IV-, de Pontlevuye, Arellue: tie M'iussac. Aubtpine: cjoubet, Uri: Delaunav, Velleda 11; Harand, Vendôme Jean Cliupin, L'rhutn Boussaud. VigtliinU- Cochais Vainquent il Garreau, vaubuu 11, Australienne: Moyan, Vullet; nurgaud, Albert-Le'jon: Mme G. Rousselot. Utile.

J' course. Brohan, Sparte, A'ioWe Il: Corbe, Peut-litre; Labarre. Poulet Léau tey, ïnilc-ilaitrt.iie. Stradivarius-, de l'agne, Mue: Philippe, Orgères: Piau..Mcda, Fidi-.ie de Roodeubeke. Rosc-Blanchc Rouche, La JOtiette; Thubé. Chant du Cygne; du Verne, Mont-Verdun.

V courir. le Plain. BiacliU: Seguineau, Bouton d'Or; Vrignonneau, Buçi- pliale-, M. V Babin, Bégonia: Carreau, delle Bretonne N'asseau, Bamboula Il Noyor., 'Juronn' Il.

y course Leautay, Stradivarius: Boucet, Itomance v,; Piau. La f'ensw,- PLilippe, CroU d'On'au, Marine.

«• course. Boto Steglla, Ccscau; Nédélec. Heine d'AmU Dcsgrée. Perruche 11; La N^nsan. Tourllquel; Dillgèart, Tampon: Masure Espoir: rie Bellairig, Poilu-, Crihali et, SrlIUas Baillât, Maure Blanchard, Toscane, Butor, TaHleme Le t'irurif, Craonuc; Chasles. Eglnntlne '£NI; (leffloi, Mniirettf.. Vnutian; Durct, Allnt; I.afaille. Vcrdmon, Xénephon: Hélène, Pdquerelle: Charpentier, Lutécc-, Le Maître, MirandJ.

course. Slneubeuf et fi!=. Romto. de Moussac TartHI: Pinson, .Irialo».- Gouhet 1 ri: nelauriay. Velleda Il; I.ellèvre. Vlnelte: La;artre, Vanille Il Gravouil. Ai>ine il; Bou?sm;rl, Vlrgtlante-. Nellier. AnUr-maquc; Coch.iis, Vainqueur Il: Blin, Artlsiin Il: Mme c,, Rouselnt, Utile. La Soriéf Philharmonique de Savenay prêtera son concours et exécutera le soir, de 9 Heures A 10 h-urrs. un concert qui sera suivi tie la traditionnelle retraite aux flambeau-

A l'issue, (In la retraite, grand bal 1 la salle des fWcs. e 1S618 COURSES AU TREMBLAY

Cette petite société a toujours un pré gramme, intéressant tel celui d'aujourd'hui. Nombreux partants dans presque toutes les épreuves sauf pourtant dans le Prix NoeilP nut était l'épreuve Importante de la journée. Quatre concurrents seule ment s'y sont présentés sous les ordres du starter, ("orymhe que nous Indiquions a rendu trés facilement le poids à ses ca dets. Il a pris la tête <1è* 1P slL'nnl et l'a conservée facilement jusqu'à la fin. Prix Rnnzl. (A réclamer. B.000 fr.. t. ooo mètres, P. D.) t-2 partants. 1 Vert rinx (Shar-io) Il M. T.It • i. Clotiamtr Il '̃lennlnss) a M. H Count 3. Gnduine (Fer- ré! à M. V .Tosse ̃ 4 Le Oran/t Ile ISem blat). N P. Vnn Désir Marner) le lietnerau (E Chancelier) Kiimrif (A. E, ling) Harpie (R. Rrethes) rertdrillon 11 M. Allemand) La Xt/mphe Il (A I.nquet) De lolln IR. Dubourg» Heure 'Ki* 'M nrethes).

Prix Légitime, (8.000 fr.. Î.ISO mètres. a. P.) 10 partants. 1 Si Tchun (Sharpe). A M. H Teruynck 9. Edite (E.illnu) h M. N. de Rothschild 3. Fanfreluche (Garaier) a M. G. Brossette 4. Faucheuse iSemblat) à M. NI. Lazard. N P. Pliable (J. J-ninings). Gtmons (J. Claj) La Slaladetta ;F Gaudlnet). La Bombt IR. Ferr») ErmcUnc (Mac Gee), Albâtre Il CE, Gardner).

Prix Partlet, (50.000 fr.. 1.100 mltret, P. D.). 9 partants t. Judlc III (W. Lister), à NI. J. Prat 2. Ratlade (Damier) à SI. X. Bolll 3. Edwlna (Semblât M. C. w. Blrkln Punch (Esllni) à Mme Edmond-Blanc. N. P Aubaite II (C. nerhert). Aobot (S. Nymphl PHxbour/1 (J. Jennlngs), Yroise (Sharpe), Ramavana (H. Pantal).

Prit don Carlos C8O00 fr.. 5tM m. G. P.J il partants. 1. LUtle JacH (Semblât) t .NI L. Mantacheff -2. Cipertlnn (Ellrinl A Ni. G. Beauvols 3. ilontrejeau (Allemand) 4. Kremlin (Sharpe) à NI. A. Deteau. N. P. Anacreon (E Chanreller); Erebm (tt Alsnppi Uwison River (Q. Vatardl Fleury Il m. Pantall) Cons. table IF. Hervé' Paltcare (C. Bouillon): Cesareen (M. Amosse).

Prix Noëlle. (50.000 fr.. 3.000 mètres P. P.). 5 partants. 1 Corumhe (Esllnsrt M. 0. riumherff 5. Prtneeirtna (Jénnlnes) a M. H W. Coulon 3. Wovtierf'il (Semblât) a Mme L. Doucet. N. P. t SyUvcinneur (R. Luquet).

Prix Patriarche, inandlrap 8000 fr. 1.600 mètres. P. P. ) u parlants t. Nehlnutt (Bretbes) A Mme F. Cnlpault 2. Sara- ffo«.«f (Bouillon) à M. G. Belck 3. BcHoqabnle iVatard) Ni il. Botten 4. FIa.mlnno (Esllnir) A M r.ord Derby. N. P nrtquet IR. Feré) Gabellne tM. Amos«el Combien lE, Chancelier) Sea Oueen iwinfle.ld). Banaor lA, Rahhe)..Wa::f»i IF. Wlnder) Rnwena (M. Brethes) Raluon 'I. Lee) Jnarhim (Begulrlstaln) Saintraire (M. Daire). Sylphe III (Brasîelet).

Pari-mutuel

G.

P. P. G. SI 50

P. P. G. P. 17

SI ;;0 P. 7

P. G. la.

P. 10 G.

P.

COUR8ES A LONGCHAMP

Prix de Neuilly. Thuya (G. Garner): tloquenlin (F. Hervé): Saur Pose (R. Ferré); Robin II ood (A Sharpe): .Béchamel lE. Chancelier); Gorlnl (E. Bottèquln) Messidor (M. Amosté); Esblandlan (M. Brcihcs): Chanteloup iC. Bouillon).

Prix de Mai. Grandcour (G. Stern): Clhxon (J. Jennlngs); Hotcliklss (G. Garner) Prinlania (F. Gaudinet): Cardinal Itlchelteu ni. Allemand): Felibre ID Torterolo); [radio (D. Torterolo): Cosqner i\V. Li,teri; Ces' Jeune lA, Rabbe); Maurita- nie (F. Keogn): Mm) Sans Gtnt (F. Hervé): Gerboise (Cb. Semblât); La Tintbreitve (C. Bouillon); La Sourts (X.).

Prix La Hachette (pouliches). La Paix Voile: (Ch. Semblat): Louvlère (C. Herbert); Baltique Il IF. Keogh): FoJmara (G. Garnerl; La Délurée (H. Pantall); Ceruela (M. Mac Geel: Alut tA. Eallnï); Kalookan (E. Gardner).

Prix du Printemps Scamandre (D. Torterolo): Oauntlcl (R. I.uquetb laeer.tain (Ch. Semblat): Heurt de Navarre iG. Vatard); Sapalou (F. Wlnder): Slrtmn IF. Marris); llhadamanle (X.) Altay (M. AI. lemand.

Prix f.a Rochette (poulains). Ranttar IG. Slein); Klnq Arthur lA. Snarpe); lléijalon (D'Englanderi: Scarabée (U. Garner): Falrbank* (Ch Semblât); Petit Palapon (H. Pantall): Mali Jonq rA. Esllnirl; Itclftrnr (.Ni. Mac Géc) Salnt-lloch lE. Oanlner); Euphratei (F. Keogh) Bot! Joxsetyn (W Lister); Irteeitaln (X.. Prix de Vlroflay. Carotard (F. Hervé): War Mask (A. Esllnci; Hlrtatgne' lA, Sliarpe): Tirelartno lE, Chancelier): Monsieur d'l'pres (M. Ainossé*: llunlernlale (E. Gardner): Kept Amarante (Ch Semblatl: Vide Poches (C. Herbert): Le Fil* de la Lunt (F. Wtnrterl; Gorlnl (X..); 7onelta (M. negulrlsfain): h'inor (G. Vatard); Xtxcctte (C. Andrews). • Pronostics

HIPPISME a I" course: flohln Iload, Roquenlln.

5* cou'ta COf'iuer, llotcktss.

3' ccurse Cerulvi, Valmara.

i* course Ganntlett. Camandre.

V course Bellfrnr. Banstnr.

6' ceiirso Wa' Musk. Sauntlctt. "•

BOURSE DE PARIS Le marché s'est montré aujourd'hui assez nerveux, ce qui n'e=t pas surprniant. ciant données les cascades des devises. I.a livre a débuté ce matin extrêmement Orme, pour brusquement plisser de 10 points dans l'espace d'une heure. Elle se ressaisit légèrement |>ar la suite. La ̃spéculation ne s'CT'.gupc donc pas et les cours se sont même inscris aujourd'hui en lo- Rfre réaction. I.e $uez icrmitie à I4Ï&1 le H/o est fermé A 6120. de môme que la laiigmniika et la Monteentivi qui trouve encore aujourd'hui un élément de hausse dans ta reprise assez vive de la devise italienne. Aux fonds d'état p'traiij.'tfrs. le Con- par IJriifté il. Pi. 20 5 "t> à 6t.95. Les Mericains sont plus indécis.

F.es rom;inrtiinentsi ries pétrolifères parait nuinurrl'hui acsez affecté. Réaction de la .S/ira, de la de In \l<itn[iïilsl;a p\ trf-s ffnne 'i l'ouverture, revient aux environs de ses cours d'hier.

Les valeurs dp enouichnue fnntiriiifnt A être réalisées, la Podang pfrd 40 points à 1645.

Les Banques françaises font preuve df résistance. Vif redressement de l'avion Palht à 377.

La. de Ueers e;t ferme.

Un peu de tassement sur les mines d'or.

fUXQrJE RENE LOYER

Marché des Changes

170 80 New Y ork BelRiaue 511 133 ni 76! suisse 676 Vienne

Comptant Actions MARCHÉ EN BANQUE

PARQUET FONDS GARANTIS PAR L'ETAT BANQUE DE FRANCE.. 11500 11600 n ̃ m V. PERPETUEL. 44 75 44 20 OR. OOM. DE FRANCE.. 588 »I588 n

3SS1! ^e^ccr5d,t- Si1 S: Il Ter'me Terme Z9 Çg fï 52 midi 661 n 660 n caoutchoucs 436 ni 433 » 4 1925 OR. 93 30 93 30 "ORD "30 n CHARTERED 205 »l 205 Il

COURS 482 501481 » OUEST 431 1)1425 » cOLOMBIA 475 D 452 n V5 192-. AM 435 nl 470 QAZ Du NORD b26 »l 530 Il 0E BEERS OROIN 519 Il 514 BANQUE DE PARIS 11217 «11220 » c |q1q A LOTS.. 320 ni 300 n METAUX 123[) »H285 D EASTERN RUBBER 300 Il' 290 n UNION parisienne. 796 »786 » J ( f ? ÏWO î LOTS «n S 305 S t"ns»V»NTI0 •>•« 127 «5 » ESTRELLA8 261 501 262 » COMPT' O ESCOMPTE 878 1)1885 Il 5| 6 S FEVRIER 19Î5 M7 485 25 n»<LW«VS ELECTR 665 »! » CEDULDO .̃ 630 ni 670 s CREDIT LvONNAIS 1600 ,,|1B25 » l S 2 ) c? "aLET W1 463 »! 465 «ORNOVICE «50 ,,1073 Il OOLOFIELOS. 8S1 ni 226 » SOCIETE CENER*LE 829 » 828 Il 31g j S?« )) RAMOUE INOOTMiME 4260 «4210 Il CULA 335 »l 3.15 I) RENTE 1750 »!1725 )) nrnFumiEK mio -c uni n m AOfa ne LONCWV 730 730 )) HUANCHACA ,i !»10 D1 S07 METROPOLITAIN 492 «1495 Il l ̃" «S M *O PC MIKurviLLE 565 Il. /1 Il JACERSFOUNTf IN fiflO »lfifl« Il WACON8.LITS ORO 1579 «11550 » MO n -AR.S-OOTREAU 1025 ,,11010 IOHANNESBURO «2 ni 3'5 » OISTR CMI O'ELECT 928 Il! 938 Il TUNIS 3 1902-1907 1 233 )ll 230 » nM rI AT g,.NAr»tRÏ » »| 375 lena 100 »l 95 11 C- r.eNFRAiF ELECT ifi"i »I16S8 11 Obligations fiHATiLL.-noMMFNT 1380 »|139O Il LIAN080FF MO »i 531 n CONGO Od» LACS 630 ni C20 '1 nOMM -FOUROHAMB.. 870 ni 860 Il MALAnfîA 5'fi ni 5'0 x THOMSON HOUSTON 330 ni 324 » 156 ..1156 D "vfs LILLE 1260 1)11252 Il MALTIOFF 3.1.1 al MO » FLEOTRO-OIVES 1320 «11310 Il = n 5 X 1919 Il »l n Il tniERIF* MARINE 465 Il 460 » MEXIRAN EAOLE »1« ni 911 FORCES OU N. et I. 250 ni 250 » 5 5 3'4 °s. 1921 385 »1 386 Il ocnain»nzin 1485 nl1480 » mfxic« ri ORO 252 B| 244 n O«RROWA 506 »' 481 O' FONCIER 1883 19S B «S sa «""WeiDER 1000 Il'1000 n MODDE.1FONTEIN 17S ni 178 p COURRIERES' 6M ni B« » £\fONCIEH i" 1906 205 1 117 Il » ""»̃"». DU TONKIN 9BC0 »I9800 Il MONTBnATINI 271 »I2S2 Il LENS 1 31-4 «1317 » OOMMUNALES 1912 115 50 1« SfJ »»»ZIN 1050 »'1O7O Il MtLOPOLSKA 671! »!6.17 Il BOLEO 255 »I253 Il ° FONOIER 3 1 "> 1913 Jir Jîs » n»Rvm 915 » mopth CAUCASIAN B8 ni « 2* PENARROYA 1225 «11293 11:. COMMUNALES HIO îql » ÎM ï »'»'«•" «' NJÏUX.. 501 »' 50S PADANO 1RM »I1B« » PETROUTS PREMIER 375 » 350 n -*30 325 n *AiNT-OnRAIN 3600 Bt3700 Il PHOSPX TUNIS 1T* «I S«4 n RAF«A 938 » 945 n <'{ "T .3 *N°'e"' ^eg ̃ «M » "NE8 R"ON« 497 494 oumiAN OIL 59 «I ni 3'4 Il PROO CHIM. O'ALAIS 1225 ,,11260 » £ V f J- »J ,8*N.CltN l** » J»5 » «UOR BRESILIENNES 500 » Il. SMANSI 71751 71 7* «MARIEUR* RtUNI* 533 »' 515 » Ullh!? Tu^r; Î2Ï eS r'MENT8 FRANÇAIS 3760 »!3875 Il LVA 20.1 »' 1«<1 » nnt»»N Fii«nP"«1NE 1299 n11277 )) oJMIDI 6 ANCIEN 294 » 275 50 poliet et CHAUSSON 1300 n'1295 » «toiF TUBIZ PRIV 40s nl «»1 « vniTURFS a PARIS.. 909 H1 905 n 1 MID'3 *N9iî^ Î21 » »"re H»vm HR« «'1WS » Il, gSKV ̃;» 50' 55 AIR LIOIIIDE 380 ni 3116 Il S NORD 6 H, ANCIEN 290 »l 316 rhapal 3650 »I37«O n ??4 »l î*1 n nAOU'.CH 1NDOCH 1335 » 1926 Il NORD 3 ANCIEN 218 I) Il Il CIRAGES FRANOAIft n »|10fl2 TANO ANYIK A. 407 n'aKl r PATHE-RINCMA 410 1)1418 l> \OnLBANS 3 t ANC 218 » 204 )) CALE' Et LAPAYETTE 149 »! 208 Il TCRRES ROUGES 1«9n ,1701 11 RUSSE O. 1" «t r 21 161 21 » CleO ELEO 8* 1" 424 »l 413 Il PARIB-MAROO 80 »! 79 n TUBES SO&KOWICI 1»« ni 1«1 n «t'il 1909 .«s-. 14 401 14 26 LONRWV 6 1/2 X 448 » 448 n BRESIL 4 1889 393 396 D Comptant TURC UNIFIÉ 93 ni 94 20 S OIVES 6 411 » » ÏUEN.-AVRES 4 ♦ 1909 »1 Il Il TURB8%1914 64 »l 64 J METAUX 6* 495 Il CHINE 4 OR 1895. 565 Il' 565 » ROUMAIN S « «03 92 ni 2520 BANOUE OTTOMANE 11180 n11t77 n i 5 CARMAUX 6 X 418 Il Il ITALIEN 3 V2 86 90 » StRASH»fi.5U»»PoTi «2 I "S Il rr»dit fono. ECYPT 4780 ,4745 S LENS 6 X 388 n> 3*0 n JAPONAIS 4 X 1905. 623 »l 629 n "NinN ESPAO. PARTS 7A9 » M'T"ATE RAILWAV ,^40 » 1945 lnU«;MZA 6 1'2 »' 4M JAPONAIS 5 1907. 565 Ri Il 1) *HB.LL. -o'.w 778 "1 794 » central mininC 2C10 »'26OO » =/«L.-CHiM 6 1/2 374 «1373 n JAPONAIS a d 1910. 476 » 486 RnoSNVl «"*••••••• D Il Il. » RIOTINTO 6060 »6120 SlPOULENO B X » MAROC 5 1910 Il Il » OMN.UM PETROLEI » » 450 AZOTE ^ORVCCE» 1745 ,,1735 » -f RA.NTOOBAIN 5 X Il 410 » MEX 4 OR 1904 Il »! » Il •TBÎU.* .•«u'WBii mon nll LAUTARO nitrate 784 Il! 779 n PU MAROC 6 315 ni 310 » 4 <* OR 1910 1 185 ni 188 n ""7.° 2720 Il,27!5 Il ORIENTAL carpet 653 ni 661 CIR. FRANO. 6 'r. 436 ni 429 50 ««««S J ««S 116 114 "^A^.utbÙ «UnnSÎTnnflï «UOR. O'EOVPT. ORO j1125 »[1117 n LILLE.BONN. g S » •«̃̃«8*1«IS 112 ni 106 5M00 » 57000 » TAIA08 OTTOMAN» 649 1 e60 WaI. MAB. 6 .J • «i » •♦ (50 il SU » MKÎÏ «««H4««"« • « Il.

VALEURS RÉGIONALES Nous sommes acheteurs de

IOM actions Ustmio» I.nvrr fi Flenry. lin da t25 tnner. t»

80 Fonr« j) chaux de Lor-

mundltre au mleu*

un mleu*

300 Blanrhl«wrt# rf Tein-

tnrerte de Bretâsn»

an mleu»

-0 parts Terri– Ri<fr!>rf.ilT»». nr*S

«̃t Kaolins da Fini*

tère au mtcvs

tno oWls. s» ">M Economique dé

Rennes S°*

Nous sommes vendeurs de

*(*rt(*rtie du Ma!ne-An-

lin 3SS

î A. SIS C« Cycles Etnltt frttiett

17 Rr»t.l'» "ÏD (ÎO A -tour»' et P»»h<niT«

RAnnl" Prl-r /l ,W>.

de Fi-

Ittnr* #♦ d« Tilntnre

rie d» laine* a" mlf"

( 11 «m S FtiMU vnrmfind Iftinf

A V»nne« nt»#t;«

M pri? PnWit

leitne K Vinn»« 50B

A r«|ni>< di «««i»» *nieiil V»» Ranone d'Tll» et Tllatn* nu mttum

il Rnrttle d'Illeetrilnlne

nu mtmT

<li 7 X Fnnrf.-t». pt atelier*

de fOne«t A "•

T Pirr»« Mnlrire» d»

|-p;il» <t" tii^m*

$ ~m 5 x M|r>*r«t« *1e Pnnf-

p«an. ?» «*rl* «»' m'

Cannue René Lom.

RENTES VIAGÈRES

Nou!< «lomnies tmiiours schet'iir», ivpc gnr«nti<>F hypother«lr# d» <"»P'* toux ou d'Immeubles en rentes vi** gdres » des taux très annUgeux.


PARIS, Je 19 mal. (De notre correspondant tpccial)

BEURRES. Vente assez active, cours plus faibles.

On cote au kilo Beurres en mottes Kennle.s Isiguy 15 «.SO Centriluge» .Normandie U.jO à n Bretagne 15 4 16.40; Charente-Poitou 14.80 à 17.50 Divers 14.su 16.30 Marchands Normandie 14 a 16 90 Bretagne 13 à 10 Divers 10 a 15. Arrivages du jour 3.884 colis pour 4. «68 kilos.

OEUFS. Marché actif. Cours très soutenw.

Cours par colis de mille oeufs Normandie extra 56o à 630 choix 50o a 500 Bretagne choix 1-0 à S10 ordinaire t-20 A MO Poitou choix J50 à 600 'l'ou l'aine, choix 560 à 610.

Arrivages du jour 66.?25 kilos pour 883 colis.

FROMAGES, Pâtes molles, vente as tez active, cours moins soutenus; Pâtes séches, vente assez bonne. Cours tenues sur les groupes.

Prix au cent Camemberts Noimandle 180 310 divers 100 à 830 Llsieux, bottes 900 6J0 vrac 150 a 630 Poiit-l'Eveque ijO à S50 Chèvre 40 à «i.

Prix à la dizaine Brie moyen moule 160 à 2if> laitiers 1-20 IL .'00 petit moule '.00 l.OXI

Au» 100 kilos Port-Salut 700 à l.OJO Gruyère 1.300 à 1.150 Comté 1.000 à 1.350. Arrivages pâtes moUes 5.046 colis pour T6.ïi4 kilos pâtes bêche!. iCû colis pour ̃J.»S kilos.

VIANDES. Marche calme.

de -X a 30 fr. »ur la basse.

Il or ni quart derrière non traité baisse in qualité 10 à Il i> yualite t» à U.9u 2» qualité 7 à 8.«0.

l'eau entier ou demi baisse de 20 tr. *ur Ir' et 2e qualité et W Ir. sur 34 qualité. Vente calme.

in qualité 1-J.âo A 13.80 0« qualité 10.M à Il,10 o« qualité 9 à 10. iO.

Mouton entier sans changement lr« qualité Il,50 à 13.:0 2» qualité D,50 il 11.40 o" qualité à à 9.:o.

Porc demi sans changement.

ire qualité l.bO à 13.20 2e qualité 10 .i Il,.0 Lard s.ao à Ij.JO.

Arrivages approximatifs 200.000 kilos. VOLAILLES. Arrivages moyens, vente peu active, hais:-c de •• ïr. sur les poulet. de Bresse Si tr, sur Ic.->1 apins morts "i fr. sur les canards nantais 10 Ir. sur les chevreaux de ïouralne et 16 fr. sur les laplns. vivants.

Au kilo Canard nantais 15 à 17 de ferme 10 à 13 Lapin gâtinal» 10.50 a il; divers 10 à 10,60 Oies nouvelles Il à 13.50; Poulets nantais 28 a 31 Poulets gatlnals ̃xi à s* Charente 24 a S7.5O Poules de Bretagne 14 à 18

A la pléce Canard rouennais 28 à 34; Pigenns (cours extrêmes) 4.M à 11 Plnta Volailles vivantes au kilo Canards 10 a 12 Lapins 8 25 Il Il Poulets jeunes i". iL 21 Poulets et coqs vieux 11. 00 à Arrivages M.OOO kilos.

Au kilo Agncauv (le lait Incoté» DI vers 8.50 12 Chevreaux t sans tète 12; 1'ouralnc s.'j & OVo Divers i 0. A la iiière Gros poussins 3.10 Petits poussins i.i'ô à 2.M Canetons 2 à 8 oisons 6 à 18 Garennes 7 IL 9.

LEGUMES. Marché un peu moins ap provisionné, vente calme. Mouvement de hat- sur quantité de produits saut sur Oignon soc. poireau et cerises Baisse de •M à 2i fr. dans l'artichaut dr 20 00 fr. dans ta carotte nouvelle de Nantes de ̃Xi a 50 fr. dans le pois nantais ;to à .'O tr dam le haricot vert, hausse de 20 à 40 fr clans l'oignon bec.

Aux 100 kilos Ail 40o Il 6>X) Haricot! mts 180 à 310 Oignons en grains .180 il Pommes de terre nouvelle Midi 19C n 390 Hollande 70 a Si jaune 58 n 62 Nantisse rouge 70 Il Si chair blanclie 5Z Au cent Artichaut? divers ',0 a 1?5 bretons :,0 a 100 rhciivflcuni. Harflcui Cherbourg inroté Angers 125 à 400. Aux 100 kilos: Asperges en vrac :>o 1 T00 Carottes nouvelles, Nantes. Saumui 4 830 Cerfeuil 100 a 200 tt-pes l.Boî à î.ooo i Chicorée de Nantes. Orléans 3.x à ;no Crhal'itc* oignons i:.i> a -.TiO Epi ntrd» de Paris J-10 à 9-iO Haricots verf ;nn il S 000 nenrre 400 à .ViO Laitue de xantex Satnniir 3(NI 4011 Navels de NanIr. f00 à xo Oseille de Paiis ct départe monts tn0 à 110 Persil des départements 500 à 700 Pois vertu Nantes 2RO à 320 Pomnws de terre nouvelles d'Espagne lyi à 1 -ni d'Algérie 140 a ?on Notrmoutiers 180 à 190 Palmpol et Cherbourg 140 à y» Pnis manjre-tout son à 5.V).

La hotte Pointes .Yîin a 6.WI: Carottes nouvelles Nantes et Orléans 3 a 'vo Navets nouveaux de N'antes Pt de Paris 1.75 à 3 Oignons Jc Nancts à Aux ,or, Lottes Poireaux '.00 n '00. Iji pièce CMerl raves O..M> a 4.V).

An cent Choux nouveaux. Hnrdour. fherbiurî 1 9n a 1.60 I.alluc de Paris .0 A 110 romaine» .V) A WO

FRUITS. naisse .de 100 a 3M fr. Aans la fralK de Saumiir de Ï00 à 400 fr. dans la fratse du midi hausse de 50 -à •.W fr. dans la cerise et le bicarreau en billots et cazettes de 100 a MO fr. Aans la cerise et le bigarreau en coroclllos.

Aux 100 kilos Abricots 300 A 800 Cerises 500 à 1.9flfl RUrarreanx son A 800 Fraises du midi 700 A 1.400 Fraises de Saumur 900 à 1.000 Prunes d'Algérie 400

Le plateau Fraises de Paris 6 A M f-amhols<-s nue serre S."> 45

A la plére Melons •» a 100 péehes In: prunes 4 A t.

Aux 1m 3M A «no cnmmunes 110 A W>.

An rént Bananes des Antilles fil A M. Au régime nananes des Canaries 100 à 1W.

MARCHÉ DE PARIS

POMMES DE TERRE P»«|R. 19 niai. Mnrrht Il, lnnoreuli. :l)e notre ror/f.<j<o»ifn»f agricole.) La campagne est à peu prv» terminée pour le» vieilles pommes de U-tc. La marehan dise étant n peu pn's épuisée. Il n'y a plus que des fort espacées pnur des quantités Inslirnlft.intos. Aussi, en l'ahsence de marchandise, tes prix se maintiennent très fermes.

t la réunion de ce jnur, l'assistance a (-le pif sipip nulle, pas mémo le quart des fl *>«t répondant traité quelques aflai*« en •"turlsi.r ruitQt (1u ï^oiret entre 80 «i vrne rIAparl. et les tauettntt ̃lit Pmi',11 de 78 à PO Ir.-inr». Aucune offre ,'i-v anir En ronde jaune., on a itTort «Ii-iiv lot* de la Uautp-Vlenne à 0<> Pt «.'̃ fi- flM>art. Pas dp nrniiviis 'jur le marche Ile Industrie i'AHutc csi tenue 'le Il a ki. et la H'ohltmann Alsarc 37 à 39 fr.

En ncuvelle, on rslt la Pofmpn; l.'fl lopé <1ép»ri. n Ion aliend maintpnant des nftrès de Saint Malo qui ne sauraient plus Itxdtr.

La Hollande nouvelle de Vauduse se tient IL 14S logé départ, et la blanche du Midi 140.

Quant Il la rouée Espagne, dite Valencla, on la tait 125 départ Cette.

BoKNETtiu, 18 mal. Les pommes de terre valent 40 IL 60 tr. les 100 kilos. HALLE AUX BLÉS

Paris, 13 mal (de notre corrcspondiiitt agricole). Le mauvais temps a été général, ces derniers Jours. On a vu partout des pluies surabondantes remplacées par de la neige en maintes réglons de l'Est, du Centre, du Sud-Ouest, même du Midi, en dehors des montagnes devenues impraticables et de très nombreuses rivières ont largement Inondé les plaines. Avec cela, le froid a été assez vit pour causer de nouveaux dégâts aux cultures viticoles et maraîchères dans toutes les réglons. Dans l'Ouest et aussi ailleurs, on se plalnt de l'arrêt de croissance de l'herbe, tandis que les céréales elles-mêmes cummencent a souffrir de l'excès d'humidité et du froid. La situation cullurale générale est dunc bien médiocre.

BLES ET FARINES, Le marché du blv est plus ferme que Jamais. Les offres de la culture sont très restreintes, parce que le mauvais temps ne permet pas lu bauage des meule), tandis que, d'autre le.91*1, le* u.-cni's s'épuisent tluns bien des centres producteurs et que le peu de grain qui devient disponible va aussitôt au in- lin voisin. tl reste donc bien peu de niai- chandise pour couvrir les gros hetolns •̃••̃ meunlfis du Nord, do l'Est, et en gêiiA-.l de tous les grands centres de consomma tion. d'où le raffermissement continu prix.

Le marché du blé est en plein désarroi (Levant les fluctuations fantastique'' d"s changes, la livre ayant fait 175 pour tom ber vers 169 et recommencer son ascension en cascades.

Les prix dJ blé s'établissent difficilement, mais il est devenu difficile de trouver du blé en 74 kilos, au-dessous de 170. Les affaires sont naturellement aussi ns- treintes que posslble

Au marché libre, on a traité aujourd'hui en blés 71-75 kilos par quintal départ gr. in>seaux blé Beauce, Orléanais, Blésois. 170 171; Touralne, 170 IL 171; Poitou. Vendée, Charente, 170 il 172; Indre, Cher. fièvre, 171 il ni; Allier, Auvergne, 172 a 17J; Aisn.e, Oise, Somme, 170 à 173; Nord, Pas-de-Calais. Normandie, ni a 173; Brel.lsno. tOU A 170.

farlnei en commerce très terme, 218 a départ usines.

Sons fermes, gros ou fin, 89 et 70. CEREALES SECONDAIRES. Arolnet très fermes. On cote aux 100 kilos, départ uiolnc» grlus de printemps Brie. Beauce, liure, Ils i lïi); grises d'hiver Centre. Poitou, 114 i 113; noire* Centre. Poitou, 117 a 119; Est Brie, il!! il 100: Bretagne. 116 a 117; bigarrées Bretagne, 13 il 115; jaunes de la région Nord 118 il 119; blanches. Est. Brie, Nord, H9 à 130; Llgowo rayon pari.sien, IX» il 121.

idoles fermes Allier, Cler, 130 à 131; ncauee, Champagne, 129 il 13"; Mayenne. Sai-hc. 128 il I»: Bretagne, 126 IL 127. Orges de brasserie, très soutenuea Auvergne. Bourbonnais nerry. 118 il 120; ('.A- unals, Dcnui'C, Touralne. 117 IL 118; Mayenur, sarlhc, 116 a 117; Champagne, llô à 110.

KteoiirQtonr fermes r.cnure, Champagne. Touratne. Il. il il- Somme. Aisne. Oise. M.i IL 116: Sarthe, Mayenne, 113 a 114; liretamip. 111 à 112.

Orne mouline, 110 il 112.

Sarrafln termr. Limousin, llû nominal: Normandie Ili A 11' 5: llretairne llî il 113. Mol» terme. Plala jaune disponible. 123 121, départ Duintcrque; 154 à 12Ô Rouen. PAILLES & FOURRAGES Puh«. 19 mal (De noire eorrfjponliant fMirlIri/lIrTJ

Marché libre. Les pnl1le" pressées Rf>nt calmes et les fourrages soutenus I.uwrne en hausse.

On cote pour balle! pressées haute densité aux 100 kilos départ Ccntre. Ouest. Nord rallie de bit 15.40 A 15.50 d'Acotne d'orge d'escourgeon 1? SO à 13. 10 Foin 12 10 A 12 50 Luzerne 33 A 3i Tre/le 25 Il 10. à à

VINS ET ALCOOLS

nrzinis. 18 mil. Marrlié Uè» animé. Hausse dcs vins ronces S a 10*, 73 V<: in à il", 1KÎ A IOr.: le degré. 9 à 9,»; l.lane de hlnnr. Il iL 10

Alcools très Icrmev l-«prll 3.6 rl/> vin a RC#, 710: alcool rectifié dp 05 97', fino les 100 desrés-, marc 2 .">}•. '.or> a 410 l'heeto. l'eu O'om-rs: le» agriculteurs attendent une nouvelle hausse.

MARCHÉ DES ENGRAIS sri.i-TniiPIIOSPHATKS. l.rs commande- pour l'automne arrlvrnt dèjA nombreuses. nn cote Jusque fin juln. les 100 kilos en sacs perdus rendus trnnco gare craml rideau suivant région aride phosphonque Il ÎS.30 A Î6.5O; 16 07..10 à ̃.n IV.: il SO 31.75 IL

BOURSE DE PARIS

Ouverture

Bl.ES Tendance sint- affaire». hase de liquidation I7î.i.>, roiiMni 177.i5 plusvaJue 2, prochain 17l.i pli^ report 3. juillet-août 177.Î5 plus report 7.V>. 4 derniers 177.25 plus report 4.50 (tous ache. teurs).

FA1UNES. Tendance sans affaires, hase de liquidation V15, courant 915, prochain 315 plus report 1, Juillet-août 9!C plus report 3. 4 derniers '15, tous nominaux).

AVOINES noires. Tendance sans affai.res, base de liquidation liu. courant 120 plus-value 3. prodialn 120 plus report 3, jutjletaoût lîo |/lus rnport 7.50. 4 derniers 120 plus report 4.W (tous acheteurs). Avoines diverses. Tendance n.ims allai.res, bnse do liquidation 1111, courant il-.1 nominal, prochain 119, plus report 3 no.minal, Juillet-août 119 plus report 7.û0 acheteur, 4 derniers 110 plus icnort 5.50 acheteur.

SEIGLE! Tendance sans affaires, hase de liquidation 134, courant 134, proclaln 130. Juillet-août I2(i. 4 derniers 132 [tous nominaux).

SLTKES. Tendance li régulière, cou.rant 280 2*7 288 2K9. prochain ii'.U !»1 Ï90.W. Juillet Î92.50-SB2, août 294-294.50. septembre »J4 TO3.50 *.I3. :i d'octobre 274.50. 271-27:1.50. 3 de novvnilire (tous payés).

HUILES dt tin. Tendance sans affaires, disponible Incoté, courant 66:), pTochain .')Ce. juillet-août r««o, i derniers 550 'tous nominaux). Col:« tendance sans fairfs • disponible tncot*. courant son nnprorhaln Tsn. Inillet août ".80, derniers -,m (tour acbeteurb).

ALCOOLS LIBRES. Tendance sans affaires, courant 900 vendeur, prochain 900 nominal. Juillet-août 923 vendeur, septembre 850 nominal.

Clôture

BLES, Disponible, cote officielle t:5,75 à 177,25, tendance soutenue base de liQuidation 177.25, courant 177,25 plus value 2 payé, prochain 177,25 plus report 3 payé, juillet-août l~>,25 plus report 7,50 payé, 4 derniers 177,25 plus report 6,50 acheteur. FARINES. Tendance sans affaires base de liquidation 215, courant 215, prochain -215 plus report 1, juillet-août 215 plus report 3. 4 derniers 215, tour nominaux.

AVOINES noires. Tendance sans affaires base de liquidation 120. courant 1M plus value S, prgchain 120 plus report 3, Juillet-août 120 pi "s report 7,50, 4 derniers 120 plus report 4.50, tous acheteurs. Avoines Tendance sans affaires base de liquidation 119, courant 119 nominal, prochaii: 119 pius report 3 acheteur, Juillet-août 119 plus report 7,50 nominal, 4 derniers 119 plus report 4.50 nominal.

SEIOI.iT. Tendance sans affaires base de liquidation 134, courant 13t nominal, prochain t30 nominal. Juillet-août 120 nominal, 4 derniers i:a acheteur. SUCRES. Tendance faible ? courant 5R1-J83.50, prochain 280286,50, juillet 589.50SS9, août 28i.ri0î9i, septembre Î89.50, 3 d'octobre 573,50-273, 3 de novembre ̃Ï3,K», tous payés. Cote officielle, 5,84 à 833. HUILES, De lin, tendance sans affaires disponible Ineoté, courant 570. prochain 570, Juillet-août 570. 4 derniers 570. tous vendeurs. rol:n, tendance sans affaires disponible nroté, courant 800 nominai. prochain 8*> acheteur. Juilletaoût SCO acheteur, 4 derniers 780 nominal. ALCOOLS LIBRES. Tendance sans affaires courant 890 à 900, prochain 890 acheteur., Juillet-août 910 à 020, septembre 850 acheteur.

MARCHE OU HAVRE

Clôture

COTONS. Tendance Irrégulière, ventes 6..VJ0 balles; janvier (1927) 812, février SM, mars 831, avril 853, mai (1656) 851, Juin 8.0. juillet 8îO, août SI¡' septembre 649. octobre 819, novembre 847. décentbre 839.

CAFES. Tendance faible, ventes 9.500 sacs Janvier (liW!) 810. février 798.50, mars 708 avril 796, mai (l(tt<3) 8*0. juin 869,50, Juillet 868, août 88?, septembre 838, octobre 805, novembre SI. décembre 817. VI. LAINES. Tendance ferme de mai A novembre. S.OjO.

BOURSE DE MAR9lILLE

Ouverture

MARsnii.i, le 19 mat

HUILES, Arachides à fabrique disponible 700: de coprahs 700 de patmistes. 700 de palmé blanche 630 Dahomey (cat.) Marseille "niiO.

De graines comestibles arachides neutralisées désodorisée» 800 A 820 BuQsques supérieures 810 A 830 ordinaires 800 a 8-20 sésames alimentaires désodorisées 8.V1.

D'Ollve de pays, nues, prises au moulin, suivant région ORO il. 1.045 Tunisie extra Ineoté l« pression f025 A 1090 2' pression M3 Il 905 Aiqérle surfine 050 à nso norJnB extra ao à 990 Andalousie extra 215, -'40.

Clôture

HUILES. Arachides fabrique disponibé. 715; de coprahs, dlsponibLc, 7-K,:«: de palntl'tc», dl&mnlhl». 7K.M-, de palmo blanche, 6'0; Dahomey (caf) Marseille, 00. Dp emlnc. comestible» arachides neutralisées désod., SJO; ruflsques sup.. 800; ordinaires, R.v>; stf»am«s alimentaires désoD'olive ds pays, nue. prises au moulin, suivant région, tno il î.nvi; Tunisie evtra Incoté; i« prc.«!on, 1 035 a 1.100; 2" pression. &:̃, A 1.005: Algérie surfine. 9G0 900; Borlas evra, -580 à 290; Andalousie extra, a» 1 240.

MARCHÉS ETRANGERS

COTONS. NKW-ORUMXR. 19 mal. Ouverture. Mal 18.13, Juillet 17.6M7.45, octobre décembre 17.23-17.26. 9« avis Mal, 1S.05; Juillet. 17,57; octoClôture Qisp., 1S; mal, 13 octobre, 17.12.

LIVERPOOL, 19 mal. Colon» américains Clôture Mal 9.78 juin 9.66 Juillet 9.58 août 9.43 septembre 0.33: octobre 9.24 novembre 9.16 décembre 9.16 janvier 9.12; février 9.12; mars 9.14 avril 9.13 mai '1927) 9.12.

Sakellarldls. Clôture. 'tfal 15.60 juin 15.25 juillet t5.t0 août 15.10 sep((ombre 14.95 octobre 14.85 novembre 14.75; décembre, 14.65: Janvier, 14.60. /foule Kgui'te. clôture Mal. 11.05: Juin. 11.05: juillet, 1t.95: août, ll.!>r>: septembre. 11.110: octobre, Il,8: novembre, Il.8. décembre, 11 80.

Nfw-York. 19 mai. Disponible. 1R.75; mai. 18.38: juin, 18.23 à IS.Îi; Juillet. 17.S0: août, 17.68; septembre, 17:58 à 17.60; octobre, I7.o5; novembre, 17.52 A 17.51; décembre. 17.4: janvier, 17.tg; février. 17.52 mars, Incoté.

CEREALES. Bircsos-AlRES 18 mal. mt> sur Juin I3,t. juillet 13.20. Vente en tonnes, 3.000. Mnïn sur juin 6.80; juillet 6.70. ventes en tnnn.es, 3 non. Arolnrt sur Juin 7.w. Ventes en tonnee, nulles. Orner disponible» G,

CHictGO, 19 mai. Ouverture, Klét Juillet, 131 .1/1 135 l/l. septembre 131 1/8. CiitrAOo, 19 mal. Clôture. Bits durs dhlrrr, n* 2, disp., 16". 5I8: n* 3. disp., ineoté: mal, 160 Il': Juillet. 1SI 1/V: septembre, 131. Maïs htgarrt n' 2, disp.. incoté; ntai. 68 S/8; juillet. 73 1/8: septembre. 77 3;8. Avoine» 1 mal. 38 3/4: Juillet, ',0 3/1; septembre, fil. Seigles n* 2, disp., 82 7/8; mai, 81 1/8; Juillet. 83 1/2; septembre. 85 7/8.

RosAnm, 18 mai (clôture). Blés sur Juin in. 75. Jf«>.« sur juin 6.55.

LivraroOL, 19 tuai. Ouverture. Bits, tendance calme mal menté. Juillet 1113 1/5, octobre tncotd. Maïs, Incoté. I.lvWOOL 19 m,i|. Clôture. Bits, trndnnce facile mal 11/5 11?. Juillet 11/1 1/<. octobre 10/4 3'4. Mais La l'iata (caf). mal-Juin 27/9.

Nt:w-YoRK. 19 niai. Clôture. Bits roux d'hiver n' 2, disp., 184 1/4; dur d'hiver n' disp., 178 1/4: bigarré dumm Il. 2, disp., 119 1/i. Mais bigarré exportait Ion, 81 5/8.

Winnipco. 19 mnt. Clôture. Bits mal, 1(9 7/8 Juillet. 1%7 5'S octobre. l.'M 5/8. Avoines mai. 47 3/4 Juillet, 4R Ô/8. Seigles mal. 80 518; juillet, 82 5/8. GO 3/8; juillet, 61 Sl'CRES. I/iNDItts. in ntAl (clôture). Marché à terme. Sucre blanc granulé, tendance facile: mni 14: août 14.6 3-f; décemhve 11.11 t-i: mars 15.3 (tons payé»!. LONDRES, 19 niai. Marché a terme (clôture).- Sucre blanc granulé, tendance calme. mai t4 3/1. Il; août un il:, lits "1; 'octftbre, is/10 1/2. ii'9 .vi; décem- bre, 14/n 1/4 payé, mars, 15/3 ;/4, 14/3.

Les marché de café» et sucres et Neioïork seront clos les lamedi» des mois de Juin, juillet, août et septembre.

New- York, 18 mai icJôiurc). Sticrrs Cuba prompte livraison 408-, à terme sur mal 310; sur juillet 249; sur septembre 260; sur décembre 370; sur janvier 271; sur mars 269.

New-York. 19 mil. Ouverture. Sucrea centrifuge Cuba 408. à ternie sur mal 237, jumet 249, septembre 360, décembre 271. Janvier 272.

JANZÊ,: 19 mai. Vaches amenées, s à 10, vendues la moitié, de 800 iL 1.800 fr. la pièce: veaux amenés. 45 à 50, tous vendus, de 3.50 A 3.80 la livre; porcs de lait amenés, 20 a Q5, vendus 4/5, de 180 A 250 fr. la pièce; porcs moyens amenés, 150 iL 160, rendus 3/4. de 300 à Mo fr. i-êie. Beurre, de 5.75 à 6 la Itvre; a-afs, 5 A 6.25 la douzaine.

Cidre, 110 A 115 fr. la barrique.

On cote aux 100 kllos farine, 1" qualité. roll à 219; ble, 151 iL K«; méteil, 120 123: seigle, 120 A 1«: sarrasin, 10 j il 103; avoine. 10e A 105; orge, 102 à 10b; son 8: A Si; paille, 25 à 26: foin, 30 A 3<. f>hl/.<fono»ife du marché, Petit mar.ché très ordinàtre, le temps toujours Incertain, quelques averses froides.

Les vaches n'étaient pas bien représentées; la vente r. été lente et ditnclle, la marchandise n'était pas bonne en général. Les veaux se .ont vendus très rapidement, la demande étant active. La présonce sur le marché de quelques bouchers de la Uayenno et du Maine-et-Loire a permis aux cultivateurs de relever les prix de 2 sous par livre. Il n'y en avait pas de bons A signaler.

Les porcs, petits et moyens, se vendent cher toujours; la vente des gras étant boune à Paris, 'es cultivateurs en achètent malgré les prix élevés et la nourri ture rare.

LA GUERCIIE-UE-BRETAONE. 18 mal. Vaches ameutes, 8 à 10, vendues 3/4, prix, de 1000 à 1800 fr. la pièce veaux amenés, .5 A 50, vendus tous au cours de 3,50 il J.75 la livre porcs de lait amenés, 2«0 300, vendus 9/10, prix, de 200 il 260 fr. la pièce porcs moyens amenés, 25 ,1 30, vendus 4/5, prix, de 280 A 500 fr. la pièce.

Bourre, de 5.50 à la livre oeufs, de 5 5.̃ la douzaine.

Cldre, 110 Ir. la barrique.

On cote aux 100 Kilogs farines 1re qualité, 220 il *2ô 2« qualité, 210 a 215 blé, 155 méteil, 130 A 13C seigle. 120 sarrasin, 120 à 130 avoine, 110 à 115 orge, 190 il 125 son, 40 à 42 fourrages paille, 120 A 122..

Physionomie du marché, Marché tiè? ordinaire favorisé par le beau ternis. Les vaches n'étaient pas nl?n représentées, il y en avait plusieurs Qui (talent accompagnées (le n-.i's ve.iux, .1ftés (le 7 à 8 lours la vente t clé lmte lt ditficile sans grande liuis<3.

Les veaux étaient assez nomlirci x. la vente a été moins active Mais on no ncut cependant pas dire que la baisse se soit aecentuce. Les gros, au nombre dune vingtaine so.it partis pour Paris et le< autres poui les bouchcrs qui fréquentent le marché de La ouerche, habituellement, Lava-], Mayenne, %'tiré et les euvirons.

Les porcs petits et moyens se vendent toujours cher, la vente de Paris hit r étant bonne sur les porcs gras. ANTP.AIN, 18 mit. On cote aux 101 kilos farine, t" qualité. 215 A 918; blé. 160; sarrasin, OS à 100; avoine, 10: orge. 95 A IOO; son, 8. paille, 23; foin, 40. Beurre en gros, il: eu détail. le kilo; reuts, 5 Il', la douzaine.

Cidre, 75 fr. la barrique.

POSTOnsON, 19 mai. On cote aux 100 kilos:

Farines I" qunlitt, 217 21S: céréales blé. a 1 •<: sarrasin. 100 A 103; très difficile A trouver: avoine, 104 à 108; orge, 99 A 102: son. m 4 Si.

Aux 1.000 kilos

Fourrages paille. J00 il 250; foin, 270 A 310 francs.

Tendance le blé augmente depuis quelques semalnrs A ration de par ·ac, il cst nrtnollemp.it acheté à A 156, prr<quc toujours en échange de son, ce dernier reste coté 80 Il 11'1, Hausse rie 10 a 12 pur sac pour la posson et les remoulages, I'eu d'échange en fourrages, les trèfles à mançer donnrnt en abondance.

Bestiaux approvisionnement facile. Bœufs. i.3O » 4 m le kilo: agneau pré sale, 2 à 3 mois, de 7,so A 9,10 le kilo; de 6 mois, 5.70 à 6.30 le kilo; vachjcs. de belle qualité. 3.90 4,40; veaux', O.SO a 7.20; porcs maigre5, amenés, une trentaine, beaucoup de disponibilités rUez les marchands, vendus de 7.50 à 9.R0 le kilo; porcs de lait, amenés, 22 cages, vendus de 180 A 300 la pièce, Echange très actifs pour le bétail en bon Mat, susceptible d'un prompt engraissement. SI lo temps lo permet te bétail va rester constamment dans les champet les offres devenant plus rares. les rnurs vont augmente-. Spécialité du pays, niniitnn pré salé de la baie du Mont Salnt-.MIchel.

iieiirre en gros, ii.ro il le. klln:

en détail, 15,25 à' 15,75; oeufs, 5,05 à 5,50 la douzaine.

Le beurre a augmenté de 0.50 tir livre environ, beaucoup do particulier 1 1 rovisionnent pour l'hiver; hausse do 0.5 par douzaine pour les oeufs.

Approvisionnement plus largo en [.cmntes de terre nouvelles du pays ?n provenance de la côte sableuse de Chjoriu'lx. Bon marché, suffisamment approu-on né de beurre et d'oeufs, demandes tus .•1etives pour les volallles et les légumfs Il'' produits de toutes sortes, la via vlo île porc et de veau sont emportas par it; 'e. vendeurs de oranvlllc, Avran-.acs. r-.naereq, SaintMalo, Cancale Et la la'i ne tonne.

POMMES DE TERRE

LA Guerchï, 18 mal. On cote les pontmes de terre 40 fr. les 100 kilos. Pontorson, 19 ma'. On cote les pontmes de terre. 26 a 28 francs ies 50 kilos. Astrajx. 10 mai. On rote les pommes de terre, 7j francs les IOO kilos. Janze, 19 mai. On cote le» pommes de terre, 30 à 32 francs tes 50 kilos. H FtEtitt. 19 mal. On cote tes pommes dc terre, 40 à "5 francs tes 100 kllos.

argentan 18 mal. On cote les pommes de terre 18 et 25 fr, le denil-hoctolitre. BEBZKviuK. t8 mal. On Cote le» nommes de te.re 60 à 05 fr. les 100 kilos. PRIMEURS

POMMES DE TERRE NOUVELLES Sunt-Malo, 19 mal. La bal.'fe que nous signalions hler s'est fortement accentuée ce matin sur le marché de ltoeabey.

Peu de demandes et un tonnage réduit pour les expéditions sur l'Angleterre. Les M kilos ont débuté à 65 tr., prix pratiqué une partie de la matinée. Le prix s est relevé A 70 fr. et dans l'après-mldl A 7.' et même 75 fr. Le prix moyen de la Journée peut être fixé à 70 fr.

Hier, il était arrivé 6.720 paniers de 50 kilos; aujourd'hui, les arrivages ont été sensiblemem moindres.

Rocadeï, l'J mal. On note aujourd'hui une hausse nouvelle. Les 50 kilos déhutent ce matin A 6J fr., montent A 7o, prlx moyen de la Journée. Dans l'apresmidi, ou a payù 7.' et même 75. Saint-I'ol-de-Leom. t'.i mal. Ce matin, les pommes de ierre nouvelles ont été cotées de Ou à 67 francs les 50 kilos. LES CHEVEUX COURTS sont-ils la cause de la calvitie? Les cheveux courts, particulièrement ceux taillés à la garçonne, ont une tendance à devenir éros et railles. Malheureusement en suivant cette mode on est obliges de porter les chapeaux qui serrent étroitement la tète, ce qui gène la circulation du sang aux racines des cheveux et empèche l'air d'arriver au cuir chevelu; de là les pellicules, l'anémie des racines voire même la calvitie. Pour vaincre ces désordres il n'y a rien de meilleur que la Lotion Lavona. C'est un merveilleux tonique contenant des ingrédients qui tonifient la racine des cheveux et il enraye également cette tendance qu'ont les cheveux courts à devenir durs et raides. Achetez aujourd'hui un flacon de Lotion Lu voua, et remarquez au bout de quelques jours la souplesse et la beauté de vos cheveux.

SOMMES ACHETEURS TOUTES PROPRIÉTÉS L'A. F. 1., ."i. rue Bourdaloue, Paris, recherche en Bretagne et Anjou grnndes Propriétés avec Fermes, Terrains et, T'sines. Discrélion absolue. Faire offres nu Directeur Immobilier, 19, rue Grc'hillon. Nantes.

Paimpol, 19 mal. Les pommes de ter*» nouvelles sont venues 65 à 70 francs les 50 kilos.

LES ARTICHAUTS

Sim-roL-re-Lnox, m mai. Aujourd'hui, les artichauts ont été cotés de 90 à trancs les 50 kilos.

62' CONCOURS AGRICOLE

DEPARTEMENTAL)

Le Samedi 12 Juin 1926

A l'occasion de la « Poire-Exposition d'Angers, la Société Industrielle et Agriavec le concours de l'office Départemental de Malneet-Loire, organisera le Concours airrlcole départemental annuel de Maine ctf.olrc qui. habituellement, avait lieu ait mois de septembre. Ce Concours aura lieu le samedi 1-2 Juin, avenue Jeannc-J'Arc.

Le Concours sera .comnio d'habitude. léservé aux animaux présentés par les eltveurs du département de Malnr-ct-Loire. Nous engageons vivement les éleveurs de la race Maine-Anjou à y amener leurs sujet- de qu'il Importe de plus en plus de faire connaître au grand publie, dont l'aftlucnce seni considérable.

Pour tnus renseignements, s'adresser nn Siège de la Société Induttriello. et Agrtcole. 7. rue SalntHlaUe. ou les feuilles de déclarations de participation an l'on.cours devront parvenir avant le juin Contre l'Asthme

POUORE dABiSSINIEI

EXIBAIRD

Effloaclté Certaine.

Soulagement Immédiat.

SS, Rue de Richelieu, Paris.

Etes-vous sûre d'avoir

tout essayé ?

« llien ne m'a soulage et, rependant, j'ai tout pris I Réllexlon doYouragp'e de pauvres malades qui, effeclivement. ont ahsnrho en vain tous les médk'ampiils qu'on leur a recommandés, mais n'ont jamais pensé oui plus souvent encore, n'ont jamais voulu prendre tel médicament, parce qu'on eu parle dans les journaux. Cependant, quand on parle d'un médirament depuis trente ans, comme c'est te cas pour les Pilules Pink, il faut vraiment que ce médicament ait fait ses preuves. C'est pourquoi les malades atteints d'une affection consécutive a l'appauvrissement du sanir un a l'all'aiblissement, du système

Illl VUU. IIK JICU-.vent pas dire qu'Usent tout essayé s'ils

n'ont "pas essayé les Pilules Pitik. Voici qui le prouve

Jr vien»

avec: plaisir écrit Mme Ber- taux, demeurant Bcaurharmoy par Bourlionne-les-

Bains (Haute- Marne), témoigner des rrmarquables résultats que j'al

mu i- uriiTM-v ohtenus avec les Mite O.BEU FAIX Pilules Pink chez ma fille Genrgette, âgée de quinze anémique, tnss faible. Je lui avais fait tout prendre, du moins. je le croyait cH rien ne lui avait réussi. On désespérait de la guérir. J'ai eu l'Idée de lui faire prendre des Piluies Pink et aujourd'hui, ma 1111e fait ma joie tant elle est bien portante et forte. Les Pilules Pink sont toujours effleaei'ment employées contre l'anémie, la chlorose, la neurasthénie, l'affaitilis,,('ment général, les troubles de la croissance et du retour d'âge, Ira maux d'estomac, maux do tête. irrégularité des époques.

Eu vcnlo dans toutes les pharmacies. Dépôt Pharmacie 1'. Barret, •>'J fr. les C lioiti-s, plus 0 fr. ~i de timbre-taxe par boite.


LES CARACTERISTIQUES

v«£ LA FAMILLE FRANÇAISE (4) L'Intimité

'unité familiale si grande jadis et aujourd'hui encore, se fond, chez nous, dans les douceurs d'une tout aimable intimité. Intimité faite de charme, de simplicité, de joie. La fem-

me en est 1 artisan principal si son sourire manque, si elle n est plus là, le foyer n'a plus ni chaleur, ni lumière; l'tme en est partie, d'où 1 importance, en éducation, de façonner nos filles à la bonne humeur et plus encore, a l'égalité d'humeur.

Théoriquement, humble servante de son man, la femme na eu et n'a guère encore de droites pratiquement, il.n'est pas une d'entre nous pour nier, si elle saft s'y prendre, qu'elle les exerce tous étiez elle de par ses qualités naturelles et la délégation implicite du mari. Elle règne si bien son foyer que la crainte de le compromettre empoche, à tort, il me semble, nombre de femmes de France, de réclamer davantage du côté civique et politique.

Courtoise, douce, souriante, fine, polie par l'éducation chrétienne même si elle ne pratique plus, elle en garde la frappe lointaine et forte la française honnête femme (je ne parte que de celles-là, une grande majorité, heureusement) en son intérieur, se montre très gaie, vive, alerte, aimable et simple, en même temps qu'énergique et décidbe, mais sans abuser de son pouvoir sur l'homme. Celui-ci, humain de par nature, se laisse faire. mais à la condition de ne pas le paraître, comme nulle de nous ne l'ignore. Même aux U.tnps sévères, il 6'est toujours montré moins excessif qu'ailleurs dans le plein exercice de son autorité.

Les enfants, tout en observant sous la discipline ancienne, un strict respect et une profonde révérence, déjà participaient à la vie de famille ils y sont aujourd'hui étroitement mêlés. On connaît au siècle solennel l'anecdote de

notre le prince ttacme reiu&am. ae umer depuis huit jours il n'a vu sa femme et ses six enfants et qu'ils se font une fête de manger avec lui une belle carpe ». Un siècle avant lui, l'ambassadeur d'Espagne, introduit chez notre Henri IV, le trouva;t il. genoux. par terre, jouant avec ses enfant, tel que l'a depuis représenté Ingres. Un siècle après Racine, Chardin nous révèle la quiète et pénétrante atmosphère de la maison, et Debucourt, Saint-Aubin, Canot, Moreau le Jeune popularisent les joies de la [amttle.

Scènes familières autant que lamfliales ou, comme aujoundhiri, on s'amuse franchement selon les circonstances que la vie amène. Ainsi nous le prouvent de Debucourt « la fête de la grand'-mère » où l'élan et la spontanéité d'une jolie fillette sont les mêmes chez nos petits enfants d'aujourd'hui. Aussi du même Debucourt tes plaisirs paternels », d'actualité aigué en un pays où le père est, à l'occasion, très simplement attentionné comme une mère où il se montre surtout le premier et le plus sur ami de ses fils où enfin l'ouvrier, même s'il boit quelque peu le samedi, aime à s'en aller le lendemain, avec sa femme et ses mioches endimanchés, prendre l'air à la campagne. Promenade familiale du dimanche que nos provinces conservent presque religjeusement et qui contribue, dans la détente de tous, à rapprocher parents et entants.

Ailleurs, ce sont les fêtes qui jalonnent la vie du foyer. Moreau le jeune a consacré une série de flnes gouaches au mariage, puis 4 la naissance de l'héritier les précautions, l'attente, les craintes et la joie du père, «c'est un fils, Monsieur sont scènes toutes spontanées et vraies, enlevées à la française. Voici les petits parrains dignes en leurs grands atours à paniers, comme le sont chaque jour lantj de soeurs ou de frère aînés. Aussi traditionnelle est restée la première communion, mê.me lorsque les parents ne croient guère. Le petit peuple des grandes villes, tout le premier y tient beaucoup. Et rsris, qui n'est pas rétréci à la ville de plaisirs de certains, mais qui est la ville du travail et du bien, beaucoup plus qu'on ne le croit, Paris sount d'attendrissement chaque mois de mai en voyant passer les violettes printanières et les blanches mousselines des premières communiantes, fierté de la famille.

Puis, ce sont les anniversaires ou les fêtes de chacun qui réunissent petits et grands, monde joyeux autour de la table commune le retour des fêtes de l'Eglise, telle la scène renouvelée à cha- que Epiphanie que nous donne Canot dans le gâteau des rois et à la survivance de laquelle s'attachent mêmes des incrédules.

Enfin c'est intimité quotidienne dans un cadre qui peut varier mais que, même dans la chaumière ou la mansarde on veut heureusement de plus en plus, élégant de bon goùt et de propreté, si ce ne peut être de richesse. Le Françaisapprécie par-dessus tout le plaisir d'être chez soi. & l'aise, dans un décor qui lui plaise et qu'il importe à la femme de faire agréable, afin de retenir le mari an foyer. Si peu ait-il, l'homme goûte, oralement le plaisir de posséder; et l'on peut constater que l'ouvrier doté aux «ortes d'une grande ville, d'une maison•ieite et d'un jardinet, entrainé par ces «lien saines remplit mieux ses devoirs familiaux.

En vérité, gardons bien, avec les sortes closes de nos foyers, les douceurs de l'intimité, en famille cpmaoe nous le disons souvent avec amour. ARME.

EN UN TOUR DE MAIN, vous démontez le nettoyeur Lustryl, le Balai français antl-poùssière dont la frange ne comporte aucune partie métallique, aucun lacet. Aveo le minimum de Mme. »eîre Lustryl est donc toujours

CHRONIQUE MUSICALE

Adolphe MAHIEUX

Il brmae sur la Dune (1)

(Chant et piano)

Quelle évocation plus expressive, plus éloquente que ce morceau d un auteur uont la modestie égale le taLent et qui mérite cependaut de trouver parmi les contcmporains la place Qui lui est dure.

M. Aloipht Mahieux, breton de naissance et résidant à Brest, .nous donne un tableau saisissant de la Bretagne mélancolique avec son ciel brumeux, ses l'oohcio fantastiques, sa grande voix qui monte de la mer, et uui la-bas, domine toutes les autres. Le froid s'insinue doucement comrne une tristesse trés Lasse. dit le te. 11 me semble éprouver ce fristexte. Il me semble éprouver ce frisson que communlque à la terre, le contact de la brume pénétrante qui confond tous les éléments et les enveloDDe d'un voile impondérable. C'est toute l'âme de la Bretagne, pays de rêve et de légendes qui s'exhale de cette œuvre émouvante par son charme nostalgique et la vérité de ses accents.

Tandis que la mélodie s'élè\ô lentement. tristement, des accords arpégés rappellent à la basse, le grondement sourd et régulier de la vague qui déferle. Quel autre accompagnement pouvait mieux que celui-ci trouver ici sa place. Un chant très doux. très harmonieux qu'interrompent, par instants, les brusques rafales de vent, succède à la première partie, et apporte une note de calme et d'apaisement sur laquelle se termine le morceau.

L'auteur manifeste un louable et heureux effort pour se dégager des contingences et affirmer sa personnalité. Il s'oriente vers les idées nouvelles, sans, toutefois y apporter le désir d'extravagance qui a pu entrai.ner au-delà de la vérité et de la lo!Õque certains esprits imbus de fausses théories. Adolphe Mahieux a le sens du pittoresque et de la couleur. Autour des /eua de la Saint-Jean est une suite de danses caractéristiques pour piano, inspirées peut-être de thèmes populaires. L'originalité du rythme, les accents tontoues témolenent de son origine et lui donnent une saveur particuüère. Sans connaître l'oeuvre entière de M. Adolphe Mahieux serait-ce téméraire de le classer, pour le moment du moins, parmi les impressionistes doués d'une sensibilité délicate jointe à un sentiment profond de la nature t Mme Couiant-Sainz.

(1) Maurice sduxt, «dit., 30, rue du Dragon, Paris.

ANEODOTES

AH CES MAR8E11XAIS A. Tijunpeu dine chez des amis les convives font tous montre d'un magnitique appétit et bientôt les langues déliées vont leur train, et les exagéirdtions twssi. A. Tijunpeu, Marseillais authentique et pas toc, .ue cesse de surenchérir et de bluffer pour épater les auditeurs se pâment d'admiration au récit de tes prouesses imaginaires. Mais voici que l'on parle maisons de campagne et chacun de décrire sur le mode dithyrambique sa résidence estivale l'amphitryon lui-mmêe vante sa modeste villa qui, entre nous, est quelque peu délabrée.

A. Tijunpeu ne possède qu'un petit logement de deux pièces, sa maison est encore à construire. Il ne s'en fait pas pour si peu. « Eh 1 bien moi, s'écrie-t-il, je possède un château, et même un château avec des tours.

Hélas il a compté sans Je terrible Thucher-Thucher Un château 1 », s'esclaffa celui-ci, et qui plus est avec des tours. ah 1 iih ah laissez-moi rire.. Puis sévèrement Eh bien 1 J'irai le voir dans huit « jours votre chAteau, et surtout montrez-m'en les tours. A. Tijunpeu est fort ennuyé car Thucher-Tnucner est homme de parole certainement il viendra comme il l'a dit. Heureusement en une semaine, le Marseillais aura trouvé quelque chose. En effet, lorsque huit jours plus tard, le visiteur se présente A la porte du bluffeur Tenez, lui dit celui-ci, je ne veux point vous faire lanpulr Comment nommez-vous cette bête-là î Et de présenter à Thucher-Thucher une cage contenant un gros oiseau de proie, dont la tête et le cou sont tout à fait dénudas. Vautour e, répond snns hésiter le contradicteur du dlner. A. Tijunpeu ne possède qu'un petit puis partit d'un éclat de rire satisfait.

CHEZ LE COIFFEUR

Le petit Henri, âgé de six ans, arrive et s'installe dans le fauteuil. Le coiffeur. Mon petit ami, comment voulez-vous que je vous coupe les cheveux 7

Henri, sans hésiter. Comme papa, avec une grande place vide au milieu.

DEVINETTES

D. Qu'atme-t-on à entendre chanter toujours T

R. Ses propres louanges.

D. Pouiquoi un usurier n'apprend-t-il pas la musique T

R. Parce qu'il ne veut connaltre qu'une note la banknote.

D. Ecrivez souricière vivante avec quatre lettres.

R. Chai.

CHAPEAUX DE LA BELLE SAISON Avec le mois de mai, et malgré le vilain temps de ces derniers jours, les chapeaux de paille ont fait non pas une timide mais une victorieuse apparition tant pis si le soleil boude, il devrait faire beau et nos élégantes revêtent les toilettes et coiffent les chapeaux qu'elles auraient mis si la saison avait été meilleure d'ailleurs un rayon de soleil apparalt si vite et transforme si vite un jour froid et maussade en radieuse aprèsmidi de printemps.

Vous aussi, petites amies, vous allez suivre la mode et arborer le gai chapeau qui parle de la saison d'été. Comment le choisirez-vous ce chapeau t De paille très probablement, et de paille souple comme on l'aime maintenant, de paille do soie, de crin ou de paille dentelle, ou bien encore de paille feutrée comme notre charmant modèle I. Sa calotte assez haute et arrondie est garnie d'une assez

large bande de paille travaillée en nid d'abeille qui donne au chapeau énormément de chic. Un tout petit bord arrondi fait le tour du chapeau et encadre le visage d'une manière charmante. Un ruban de velours cons. titue toute la garniture. Pour choisir la nuance de ce chapeau, comme de tout autre, vous vous préoccuperez de la teinte de l'ensemble que vous devez porter avec le chapeau celui-ci devra toujours être dans la gamme de ton du costume et de préférence plus foncé, très légèrement.

En paille, on fait aussi beaucoup cette année, en joli fagal souple, le chapeau dont la calotte se renfle vers le haut en une sorte de béret de petits bords cloche ombragent la figure, un simple ruban forme passe, une épingle fantaisie orne le devant. En jolie paille dentelle, on voit beaucoup la haute calotte formant un pli derrière, le bord qui se relève derrière pour s'abaisser devant sur les yeux, le velours large de trois doigts qui forme passe l'ensemble est très nouveau et jeune.

Les chapeaux de gros grain sont également très en vogue encore pour cet été. Voyez notre modèle II c'est un amusant béret très jeune de forme. Il est entièrement constitué de rubans de gros grains reliés les uns

aux autres. La calotte, btrolto au somment, s'évase en son centre, se resserre vers le bord, celui-ci se relève de. vant en un mouvement gracieux. Une fantaisie de ruban dépasse k droite du chaoeau et le garnit d'une manière amusante. Le ruban se prêtre d'ailleurs à mille fantaisies charmantes, fantaisies que chacune de vous adaptera à son visage.

Voilà donc quelques charmants modèles proposés à votre choix, petites amies, choisissez celui qui, à tous points de vue, vous convient le mieux et je suis sûre que vos doigts de petite fée habile sauront certes très vite le réaliser.

ANNIE.

LE CODE MONDAIN

Le ton et L'accent. De très bonne heure, une jeune fille doit se surveiller, car la moindre note fausse dans son attitude ou sr. façon de parler choque énormément. La jeune fille doit parler distinctement, sans sécheresse ni hauteur, et ne pas rechercher les tonalité» Il ef.fet. SI elle a un accent, elle doit faire effort pour qu'il disparaisse, mais per. sonne ne pourra lui en vouloir st elle n'y parvient pas tout Il fait. L'Important pour la jeune fille est de savoir moduler le ton. selon les gens auxquels elle s'adresse et selon les sujets dont elle parle. Un ton calme conviendra aux sujets sérieux, une voix âpre, tranchante, saccadée est toujours à bannir, car elle dénonce une Sme Inaccessible à la dou- ceur. A des personnes dans la peine, Il, des personnes modestes, la faut s'adresser avec douceur, c'est une question de tact de s'adapter par la voix et l'attitude t'état d'âme de ceux auxquels on s'adresse. Vis-à-vis des messieurs, la Jeune fille conservera un malnllen sim·ple elle parlera sans arrogance et sans timidité et ne laissée» deviner ni une anttpaTTile marquée, nt un Intérêt trop vif. La réserve et la mesura seront toujours le mot d'ordre do la Jeun* 011e,

L'ALBUM

Gantt. Certes, jamais on ne songe, en gllasant la main dans le long et souple gant IL crispin si cher IL notre mode, qu'il est tout simplement le frère du rigide gantelet des preux du Moyen-Age. Dans la mode, comme dans l'art dont elle fait d'ailleurs partie, tout n'est que recommencement. Le gant, qui, au premier abord, semble une création un peu moderne, remonte, au contraire, a la plus haute antiquité. Il fut tout d'abord en honneur dans les pays froids tout particulièrement, mais c'était alors le grossier sac de cuir dont tous les doigts, à l'exception du pouce, étaient réunls en un seul. Vers le XII* siècle seulement apparut le gant tel que nous le concevons et, bientôt, il lut l'un des compléments les plus gracieusement oa richement ornés du costume masculin et féminin. Bien vite, dès le XIII' siècle, les gants, qu'ils tussent de grue cuir ou de peau ptus souplo, de velours ou de sole, connurent le grand crispin. Tout d'abord très simple, ce Crispin fut bientôt ouvré de mille laçons; le bord se découpa, de gracieuses broderies le couvrirent. Les piqûres du dos de la main étalent souvent remplacées par des broderles dessinant aes chiffres ou des rosettes de passementerie comme dans les gants dits à fraise Sous Louis XIV, de longues franges bordent souvent les gardes des gants d'homme ou de femmes. A travers les siècles, le gant s'adapta à la toilette et fut l'objet de bien des solns, car, quoi de plus gracieux qu'une main joliment gainée?

Et nos gants modernes rivalisent avec leurs frères d'autrefois; broderies, soutaches, peau travaillée et peinture même les parent en s'inspiraut du passé; ainsi toujours, l'antique tradition renatt et puis meurt pour vivre à nouveau sans Jamais sombrer dans l'oubli.

LE LIVRE

Louls BOUQUOTE L'Epopée Blanche (ID £r.). Un très beau livre, qui conte l'œuvre accomplie depuis un siècle par des religieux français, les Oblats de Marie. dans l'ouest glacé du Canada. Rien n'est plus prenant que ces notes écrites par un voyageux qui est en même temps

un écrivain et uu artiste. Les pionniers du christianisme, dont il dépeint les efforts admirables, le devouemeut absolu et persevérant, le désintéressement et la pureté de coeur, ces hommes sont des prêtres catholiques de France. M. Rouquette a bien voulu les montrer dans leur tache ina&rnlfiuue. mata ohs-

cure, en disant France, ces hommes sont pétris du limon de ta terre, vois ce qu'ils ont fait pour le rayonnement de ta pensée civilisatrice. Toi, qu'as-tu tait pour eux ? Non seulement on ne fait rien pour eux, mais, ce qui est pire, l'esprit de parti, toujours aveugle, compromet leur œuvre, en empêchant leur recrute- ment. Hélas 1 M. Rouquette est allé, avec quelques Français porter la croix de la Légion d'Honneur, dans l'Athabaska, à Mgr Grouard.. Venu au Canada, en 18G0. dit la cltattoa, U y a toujours résidé depuis, prêtre zélé, missionnaire Infatiga- ble, navigateur, géographe, bâtisseur de villes, architecte, peintre, compositeur, agriculteur, écrivain, il est, 6. 85 ans, le pionnier Intrépide du Grand Nord. « M. Rouquette a vu a l'oeuvre les Grouard, les Falher, les Blanchln, les Serraud il les a entendu raconter l'oeuvre de ceux qui les ont précédés et qui sont morts à la tàche. De plus. M. Rouquette sait voir et sait écrire. U a donc brisé la conjuratton au silence que le monde, ponmiuo ou autre, toujours mesquin ou ferme aux grandes choses, a élevée autour de ces pionniers. Il les raconte, il les évoque, en une série de tableaux dont le fond est de neige immaculée. Cela se lit comme un roman et on a la satisfaction de savoir que cela est vrai.

petites amis, parmi tous les livres que le vous signale chaque semaine, J'ai parfois bien de la peine à trouver quelque chose à en dire, et J'hésite à vous dire d'acheter. ici, je dis Non seulement lisez, mais acheté* ce livre pour le relire, le déguster, l'avoir sous la main, le faire- lire autour de vous. Parmi mille, parmi dix mille, celui-ci doit être choisi, aimé, gardé.

Jean Baux Le Goéland (9 fr.). Ce roman est d'une trame serrée, bien écrit, captivant. Un enfant abandonné est recueilli et élevé par une famille de Decheurs du bassin oïArcachon. Un jeune prêtre malade essaie de gagner le Jeune homme, devenu marin, l'acceptation chrétienne et à la beauté des Lettres. Mais une crise morale éclate il part. U veut vivre avec la mûre qui l'avait abat%.donnée. Mais ces deux âmes ne peuvent ce comprendre. Il revient, comme Io gocland, a la plage qui abrita son nid d'adoption. Il y retrouve la petite compagne, fllle de ses parents adoptits il la comprend, il l'aime, et il l'épousera.LA CORBEILLE

Pour 'garnir la lablc. C'est vous certainement, petites amies, qui êtes chargées, las Jours de réception et peutposer la table aux heures des repas. Quoi de plus agréable qu'une table non seulement chargée de mets appétissants, mais ornée de gais napperons. Voici une amu-

sante aecoration que vous confectionnerez rapidement et sans peine. Découpez dans un tissu comme de l'étamine des feuilles de vigne ou de lierre vous ferez tes unes en tissu rouge, les autres en élamine de teinte bise. Vous borderez

les feuilles rouge; d'un point de leston bis et vous exécuterez les nervures avec le même coton nis. Pour les feuilles de teintes écrue3, vous les festonnerez et les garnirez de rouge. Disposées sur la table en guise de dessous de bouteille, de dessous de salière, ou simplement placées comme garniture sur une nappe bien blanche, ces feuilles sont d'un charmant effet décoratif. Les jours où vous aurez à votre disposition quelques fleurs, vous Itn poserez tout simplement sur ces feuilles qui auront le double avantage de fatre ressortir les fleurs et do protéger la nappe du contact des fleurs.

Anmk.

ENTRE NOUS. Employée en onctions ou frictions, l'Emaolne de la Parfumerie Ninon, SI, rue du ^Septembre, entraîne une diminution de l'embonpoint. Les Dentlfrloes des Bénédlotlns du Ment Majella (Elixir, poudre et pâte) augmentent l'éclat de la dentition (E. 8enet, M, rue dru A*8*etfimkc* e«d«l»

PELE-MELE (sttite)

Nettoyage des tapis. Les tapis sont des pièces encombrantes et difficiles à manipuler, recélant une énorme quantité de saletés, aux teintes parfois peu solides.

Pour le nettoyage usuel, on commence par dépoussiérer complètement, soit par battage à l'air, soit, mieux encore, avec un appareil à aspiration. On nettoie ensuite à la benzine.

Pour les tapis par trop tachés, on fait suivre le benzinage d'un lavage à l'eau. Etendez à l'envers sur un sol propre carrelé et bétonné arrosez copieusement à l'eau froide, en brossant vigoureusement. Retournez ensuite côté poil en dessus, et renouvelez le traitement toujours avec beaucoup d'eau, de façon à entraîner les impuretés détachées avec la brosse. Finalement, brossez encore avec une décoction bien mousseuse d'une plante à saponine jusqu'à ce que la mousse, après frottement, reste bien blanche. Il suffit alors de rincer à l'eau claire, puis d'aviver les teintes avec de l'acide acétique -très dilué. Etendez le tapis pour sécher, l'envers à 1% lumière de façon à ne pas altérer les couleurs de l'endroit.

Autre procédé. Procurez-vous un fiel de bœuf bien Irais et crevez-le dans un seau bien propre en additionnant de 6 à 8 litres d'eau tiède. Après avoir soigneusement époussieré le tapis et enlevé les taches par les procédés ordinaires pour chacune, prenez un linge grossier que vous tremperez dans l'eau au fiel de boeuf et frottez vigoureusement le linge sur le tapis, mais sur une petite surface que vous repasserez immédiatement avec un linge sec. Procédez ainsi, par nettoyage graduel, sur tout le tapis. Si vous vous trouvez en présence de portions décolorées, vous ferez bien d'y passer un peu d'eau de pluie tiède additionnée de quelques gouttes de carbonate d'ammoniaaue.

Sctiojiaue des tapis de voiture. S'ils suut en caoutchouc, nettoyez-les avec une brosse trempée dans la benzine s'ils sont en moquette, avec de la farine que vous laisserez en contact un certain temps, puis que vous enlèverez en brossant, secouant ou aspirant avec un appareil à nettoyage par le vide. Quand les taches sont vieilles, humectez-les de benzine avant de saupoudrer avec la farine.

1,'ettoyage des pierres. Procédés divers 1» Faites dissoudre dans de l'eau de pluie une forte proportion de savon noir et frottez la pierre ) 1 puis versez dessus de l'Eau de Javel. Essuyez.

2» Préparez de l'eau chlorurée (environ 60 gr. de chlorure de chaux par litre d'eau) étendez cette solution à la brosse et abandonnez-la à l'action de l'air. Au bout d'une heure ou deux, lavez à l'eau claire. On peut, au besoin, recommencer une seconde fois l'opération.

3» Faites dissoudre de l'acide p.xalique du commerce, dans la proportion de 35 gr. environ par litre d'eau. Frottez à la brosse, en ayant soin de faire ensuite un grand lavage à l'eau. Les mêmes résultats peuvent être obtenus par l'emploi de l'acide chlorhydriaue, 30 centimètres cubes par litre d'eau.

40 Préparez une poudre à nettoyer, en mélangeant intimement

Sable fin 80 gr. Savon en poudre. 15 gr. Soude Solvay 5 gr<.

Saupoudrez la surface a nettoyer, frottez avec une brosse dure, humide, et rincez.

Escaliers en pierre. Le premier procédé ci-dessus, employé dalle par dalle, donne des résultats excellents. Pour blanchir les dallages. Après avoir recouvert d'une couche légère d'eau ordinaire les pierres dures à blanchir, étendez sur cette eau environ son dixième d'acide sulfurique frottez fortement avec une brosse en chiendent lavez A. grande eau et épongez. Les instrumente, brosse, éponge ou torchon doivent être rincés très largement après l'usage. Nettoyage des objets d'art en pier- re. Faites une pâte caustique avec de la soude et de la chaux mélangées par moitié, en ajoutant de l'eau jusqu'à ce que cette pâte n'ait plus que la consistance d'un sirop. Ajoutez un centièmo en poids de perchlorure de chaux ou de perchlorure île fer. Enduisez la pierre a nettoyer de ce mélange et laissez agir pendant 2 ou 3 heures. Enlevez alors l'enduit, par moitié, recouvrez-en toutes les re préparation n'a eu pour but que de rendre la pierre attaquable parles acides.

Ensuite, ayant mélangé de l'acide chlorhydrique et do l'acide sulfurique car moitié, recouvrez-en toutes les parties badigeonnées avec le premier mélange et laissez en place pendant 2 ou 3 heures. Rincez avec un jet d'eau claire.

LES REOETTES

Crème sans ceufs. Mélanger un demi litre de lait, 5 grammes de goémon. Faire bouillir un demi litre de lait, mettre quel-

ques morceaux de sucre et parfumer au chncolat. Cuire les 5 grammes de goémon dans le lait parfumé et ancré- cuisson, 5 minutes. Passer le tout au tamis et mettre la crème dsnr une Jatte elle prend en refroidissant.

petits fours. Tourner en crtme 9T> grammes de beurre ajouter un quart de sucre tamisé. grimmes do farine, quelques amandes coup'eg très finement, t blancs battus en nel^e terme. Bien mélanger le tout. Remplir de cette pâte des

Aile. Si vous étes certaine de n'avoir aucun ennui en agissant de la sorte, le n'y vois pas d'inconvénient et vous écrirai si J'ai quetque chose pour vous. Merci du Sois.venir, qui certes fera plaisir; bon courage, vous verrez que vos espoirs se réaliseront, 1 essaierai de trouver pour vous ce que vous déstrcz et vous enverrai alors un mot au*sitôt, mais cela peut être très difficile. Toujours confiante en Annie. A votre place, je choisirais un papier lui auuf trix clair, soit dans les teintes Champagne, soit un papier à très larges rayures gris et cerise, si ces teintes peuvent s'accontmoder avec les tentures et les meubles. De toutes façons, pour une chambre, picnes un papier gai, un peu neutre, aux dessin» pas trop précis ou encore, genre très différent, mais qui a son charme aussi, prenez un papier qui tmile une jolie cretonne moderne c'est gai, pratique et très amusant à l'œil. Vous pourrez assortir Les tentures en cretonne semblable, chez lei boni marchands de papier, on ilolt tous indiquer ou trouver la cretonne allant avec le papier choisi.

Myrlam. D'habitude, l'indique toujours l'odorono qui jusqu'il présent n'avait pas occastonné les troubles dont vous me partez. IL ne faut certes plus l'employer dans votre cas. Les dessous de bras ont le gro» tort de provoquer ta transpiration. La mteux est de s'arranger pour doubler ou tripler, avec le tissu de la robe, la partit qui se trouve sous le bras la robe est ainsi protégée et rien n'est venu provoquer une transpiration plus abondant» vous pouvez au besoin mettre entre Les épaisseurs de tissu un léger morceau de flanelle. de vous conseille également de vous &vtler a l'aide d'un crème quelconque ta transptratioit en sera enormément dtmtnuée.

CeUe qui volt tout en noir. Voilà un pseudunyme qui révéLe un triste état d'tliiu tout d lait défendu. J'ai tu attentivement votre Longue lettre, et véritablement, croyez-mot, il n'i/ a pas Id mature d vous faire tant de souci et surtout à croire que la guerison tte viendra pas. Certes, je comprends que votre état qui dure depuis longtemps vous lasse perdre patience. Pourquot n'avoir pas encore porte le corset indiqué par le médecin dans un cal comme le vôtre, le seul lait d'avoir l'estomac maintenu peut dejd suppruner presqut tous vos maux. IL me semble eu y a danl votre cas uue grande part nerveuse tt ne faut pas tous dire sans cesse que la gué- mon ne viendra pas, tt faut au contraire vous distraire, essayer d'oublier votre mal, et, surtout occuper votre esprit d l'heure des repas afin de lie pus vous dire d'avance que vous ne garderez pas les aliments; vous vous suggestionnez et c'est ainsi que La chose arrive. SI un jour vous voute: venir consulter d Paris, écrivez-le mol. i* pourrai peut-être vous indiquer une bonne adresse. Nats essayez au préalable un re-

gime pas trop sévère, mais sans imprudences cependant .• essayez de porter U corset acheté, essayez d'avoir un meilleur, moral et tous venez que tout ira mieux, Bon courage et confiance.

Paquerellie. pits sur place, le ne puis, d mon grand reuict vous donner L'adresse que voux ne croyezvous pas qu'un bon livre ne pourrait suilire. Lorsque L'on a déjà les premières nolions, une bonne recette importe seute t avec les explicattons, on arrive toujours a bien la réaliser.

Une fidèle lectrice. Au sujet de votre fourrure, vous dite: bientôt lire dan» L'Ouest-Eclair, d La rubrique Enseigne,ment ménager », La façon d'entretenir et de tiat'Ultler la fourrure pour ucolr un bon patron pour faire le coltet qui toiu intéresse, ecncei uu secrétariat du Petit Echo de la -Mode, 1, rue CJa:an. Paris, et on vous enverra ce Patron contre remboursement. Je ne sais où cous habitez, et U m'est bien diflictle de vous indiquer un» maison sérieuse danx cotre rèuton. Je croîs que voux pouvez tous udresser d n'import* quelle bonne teinturerie en exigeant du garanties Quant d ta tache d'hune d'aulo. il aurait fallu la faire partir, quand eU* était toute fraîche, avec du beurre et ensotte. enlever d ta benaine la tache de yrutssc. Essayez ce procédé maintenant, mais le crains que vous n'ayez pas grand- résultat. L'idée d'opposition de teinte» dans la fourrure est bonne, l'effet sera certainement joli.

Une fidèle lectrice d'Annie. Le mieus» pour J'orange est de l'epelucher entièreritent et de la séparer quartier par quar» tier en tvltant de l'écraser ce qui sattratl Les doigts. Si vous ayez couteau et fourchette, vous pouvea peler L'orange en coupant en haut et en bas une rondelle a. peau. Vous pose. ensuite l'orange à ptat et enfonçant la fourchette dedans vous La pelez de haut en bas d L'aide du couteau, vous la dégustez ensuite acec couteau et fourchette. Enfin, si vous tenez ci ne part la peler, coupez-la en 8 petits Quartiers au moins de laçon Il ne porter chaqu», quartier qu'une fois Il la bouche. J. M. Annie. Je vous répondrai pan lettre au sujet de lu «uestlon que vous ma pose:, car tt ??le faut prendre de reiu«t» finement. Ucrcl de la longue lettre que le suis heureuse dc la bonne nom elle qu'elj le rn'a apportée. Vous voyez qu'il ne faut jamais se désespérer et jumuis douter dé la Providence voux atte: pouvoir ternit,ner avec tranquillité d'esprit tes jours qui vous reattnt encore d faire. Pour le beau voyage projeté, peut-être pourrez-vous M faire il vaudrait mieux en profiter maintenant oti il constituerait une bien moins grosse dépense d t'heure actuelle c'est appréciable Tous mes «cria de santé pou* La chère malade, remise déjd et de bonne» pensées.

Admirant sincèrement A. L'adr«»s« de sorbier est rue Lafayette n' Paria ix:

Bruyère de Bretagne. Je suis incon*.pélenlc en matière militaire. Les secteur» postaux sont pour les armées en campagne ou en occupation. Le secteur dont vous parlez doit être en Uhénunle ou au Haro» ou en Syrie. Assurez-vous près du rédacleur militaire de i'O.-E. ainsi que pour les fonctions du soldat en question. Votre écriture est agréable Il lire et timotane d'u* caractère a la fois tendre et décidé. Annie demande qu'on tut indique, pouf) quetqu'un ci qui elle s'intéresse, des situit. lions de dames de compagnie près de peursonnes, dames, jeunes filles, malades on non. ANMI.

BONS MOTS

L'homme de l'ascenseur

C'est drôle, monsieur John, quand vous n'êtes pas à l'ascenseur, on vous voit toujours entre une théière et ua cigare.

C'est toute ma vie. mon thé et des cendres (monter et descendre). Qa ne se fait pas

Vous semblez furieux, docteur T Il y a de quoi, monsieur I Ea mon absence, mon remplaçant n's> t-il pas guéri trente tncurables oyt J'a^ala oonAês à ses soin^ X «


Feuillefm ip ivi.i Celait

du 20 mai 1926 37

Par Guy CHANTEPLEURE PREMIERE PARTIE

XIV

On me l'a dit souvent, selon mes Impressions ou, simplement, les jeux de la lumière, la nuance de mes yeux se modifie assez sensiblement. Un Jour, Guy s'est avisé de ce caméléonisme de mon regard

Tu as des yeux bruns. et puis tu as des yeux verts. et puis tu as des yeux d'or. Lull, qu'est-ce qui fait cela î

J'ai répondu

C'est le temps, Guy. Regardez le ciel. il change de couleur aussi. Et depuis réminiscence des beaux récits tant de fois écoutés Guy a trouvé pour moi, ce joli nom de conte « Lull aux yeux couleur du temps

Guy, mon petit Guy, bientôt nous ne nous verrons plus. Et je vous aimais. autour de vous, de moi, j'aimais des choses. Je vais partir. et le poète a raison Partir, c'est mourir un peu. •

Mon petit Guy, vous dites bien.

j'ai mes yeux gris, mes yeux de pluie. Il apeuré dans la cieL Malencontre, 28 Janvier.

La vie nous mène, Ion Ion laire, La vie nous tire, ion Ion la.

Vile en avant, vloc en arrière.

Fin qul sait où le mènera.

C'est le refrain d'une chanson qui me reste du temps où J'étais petite. De cette chanson, la vieille bonne de ma tante ne connaissait précisément que ce refrain et, sans doute, en appliquait-elle la philosophie à la fréussite de -nos dîners si j'en crois la conviction qu'elle apportait à le clamer devant le fourneau, en remuant ses casseroles.

Il y a bien des années que la vieille bonne de ma tante est morte et que je n'ai plus entendu sa chanson, mais le refrain familier s'est logé dans un coin reculé de ma mémoire et, parfois, il en sort, il me revient avec une vision de cuivres éclatants et un bruit de casseroles secouées qui lui interdit, d'ailleurs, tout aussitôt de me paraître mélancolique.

La vie nous mène, Ion Ion latre, La vie nous tire, Ion Ion la.

Hier, comme j'entrais dans la • chambre des !ées un flot de notes vibrantes monta, grandit, s'élargit, se précipitu, me submergea toute, et, saisie, je m'arrêtai debout dans la ¡pièce déserte, écoutant.

La porte de l'oratoire était .ouverCe, C'était là qu'on louait.

J'avais reconnu l'organe plein et profond du violon de M- de Malencontre, mais' je ne retrouvais plus trace des fautes de rythme ou de mesure, des hésitations pénibles, des lenteurs insolites bu des agitations inopportunes, de l'exécution inégale, vacillante qui quelque temps auparavant m'avaient rendu si difficile et si désagréable ma tache d'accompagnatrice.

Une main nerveuse, passionnée, mais qu'on sentait sûre d'elle-même et de son geste comme le vent d'Ecir semble silr de sa course, conduisait l'archet, guidait le torrent des ondes musicales qui s'épandaient avec la violence ivre et donloureuse,-tour à tour débordante ou concentrée, d'une force vivante, tour à tour déchaînée ou contenue. j. A une certaine incohérence des thèmes, à un défaut de proportion, une absence évidente'de préparation, de logique dans la composition, à quelques vagues réminiscences tronquées, modifiées ou développées de telle ou telle œuvre entendue, je compris qu'au hasard de ses impressions, de ses idées ou de ses souvenirs, le musicien improvisait.

C'était comme un récit sans commencement ni fin, une confession sans but. sans auditeur et qui n'attendait ni absolution ni réponse. Je ne pouvais la traduire avec des mots,

je ne pouvais deviner quelle misère elle confiait au vide indifférent qui palpitait d'elle, je ne savais si elle parlait d'amour, de folle, de désespoir ou de mort. Il me parut qu'elle m'emportait au fond d'un abîme et que c'était celui des douleurs humaines.

J'écoutais, j'écoutais. retenant mon 'souffle. Ce grand chant solitaire 'était beau et poignant et il était vrai. Une telle angoisse, une si profonde et si décliirante angoisse de chair et d'Amo y criait, que j'eus Une pitié intense, troublante comme un vertige, me bouleversa. Je ne sais, il me semble que je tendis les bras vers toutes ces souffrances inconnues. puis je me souvins Je me souvins que cette plainte mâle et tragique où sanglotait l'écho de la 'détresse universelle, émanait d'un seul coeur, qu'elle n'était qu'une dou- leur, la pauvre douleur secrète et étouffée d'un homme. Je me sentis triste, j'eus peur d'avoir été dure et méchante. Et, soudain, d'admiration émue, de compassion, de regret, que sais-je. d'énervement, peut-être, moi aussi, je me mis à pleurer tout haut comme une petite fille.

Alors, brusquement, le violon se tut et, tandis que, honteuse, j'essuyais mes stupides larmes, NI. de Malencontre parut sur le seuil de l'oratoire et, tout de suite, vint à moi.

Vous étiez-là. vous pleuriez T Maintenant je souriais de tout mon visage mouillé.

Je vous demande pardon d'avoir été là, dis-je, mais si j'ai pleuré, c'est votre faute. vous jouiez trop bien. et vous jouiez trop triste. Ah, je ne savais pas. vous avez un grand, grand talent

M. de Malencontre secoua la tête.. Un grand talent t Ne vous moquez pas de moi, je vous prie, mademoiselle, dit-il de sa voix lasse. Je suis un ignorant qui aime et comprend la musique. et je possède un instrument merveilleux, voilà tout mon talent Autrefois, on me reconnaissait certaines aptitudes. j'ai joué beaucoup, à tort et à travers. mais j'ai très peu travaillé.

J'imagine que, pour certaines natures de musiciens, la musique doit être avant tout un moyen d'expression. murmurai-je, une manière de se raconter, de goûter sans confident, la douceur des confidences, de dire, de son cœur et de soi, l'indicible. sans redouter jamais, l'amertume de n'être pas compris. ou l'humiliation d'être méconru.

Peut-étre.

Vous improvisiez, n'est-ce pas J'improvisais. et mon improvisation n'était pas même originale. Elle était très belle. et très émouvante. C'était l'inspiration d'un

ttv mu i960

artiste admirablement doué, je M répète, j'en suis sûre. mais.

J'hésitai, un momeilt, puis, presque malgré moi

C'était celle d'un homme très malheureux, achevai-je. et c'est aus. si pour cela, que j'ai pleuré.

Vraiment 7. vous avez pleur* sur moi ?

Vous avez l'air d'en douter. otf d'en être étonné, monsieur. C'est sans doute parce que.

Parce que T

Parce que J'ai été quelquefois, je crois, très injuste pour vous. et m6 me très méchante.

NI. de Malencontre eut un sourire triste, ce sourire des lèvres auquel ses yeux n'ont jamais de part et qui fait parattre ses joues plus maigres. -Méchante Il ne me semble pat que vous ayez dû jamais vous, monrer méchante ni même injuste ponr persnnne. et, pour moi, vous avez été au contraire, très bonne. et très pitoyable.

(A suivre.)

ReprmUittlon autorui* uar la Uattom Calmann-Lécv-

ESTOMAC GASTRITES DYSPEPSIES VOMISSEMENTS [«TER TES AIGREURS INDIGESTIONS Que do personnes traitent il. la légère une maladie d'estomac et attendent, au milieu pourtant de plaintes répétées, que le temps la dissipe 1 C'est une profonde erreur qui peut amener les

suites les plus fa-

cheuses. Une maladie d'estomao assombrit l'existence, jette la tristesse dans tout un foyer, compromet ou même ruine la sané. Combien de cas ne connaissonsnous pas ?

II n'y a pas de santé possible, pas de vie heureuse avec un estomac qui digère mal.

tomac mérite, dès lors, la plus sérieuse attention. C'est au début du mal qu'il faut aussitôt opposer le remède, mais un remède qui guérit et qui ne donne pas seulement une satisfaction passagère, provisoire. Pobt digérer quel alimcnt, pour éviter la lourdeur, l'oppression après les repas, neutraliser l'acidité stomacale, supprimer les migraines dues aux mauvaises digestions, désinfecter l'intestin, il sufflt de prendre, à chaque repas, des Poudres de Cock.

Les Tou.'res de Cock sont particulièrement indiquées dans les cas de gastrites, dyspepsie, entérites, dilataions, vomissements, brûlures, indigestions, ballonnements, aigreurs. Les résultats sont merveilleux.

Une boite suffit pour démontrer leqr efflcacité, 7 fr. 50 lajb,o!te dans toutes les pharmacies et aux laboratoires de Jeumont (Nord).

BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE 1>E LA TOURISTIQUE DU 1:, MAI 19*i. L'AUtntlde, par Pierm Guéguen; Josselln, NotreDame du Roncier, par Claude Derven; Custave Gcf/rou, par Michel Gesidœrfer; La Duchrf.se de Rohan, par Yvonne Sarcey et Edouard Beau fil Le porteur de bannière, par Henry Maisoiincuve; Le Couronnement de la Duchesse de Bretagne par X. L'èqltsc de Plcdfltat-, par Ni. le vicomte Frotticr de la Messellère; Kertanij. les-Pipis, par G. Pernet; chez les Artistes BrMoiu le Peintre de Bellay, par L. Aurenche et Ernest Guérin, par Maurice Facy Le Mercure Breton le Florilège, par O. L. A.; En Bretagne, etc., ets.

Comme toujours, ce numéro est illustré de dessins de Garin, Daubé, Le Bayon. et de tuneecs photographies. Prix du numéro, S fr. M. Abonnement Bretagne, •> fr. LA CHIMUE. par A. ClIAPUT, Ingénieurchimiste. Aux yeux mêmes des Ignorany, la guerre de 1314-1918 a fait éclater la toute-puissance de la science, dont lu applications on, en quelque sorte, dirigé les événement:», et. en particulier, de la chimie.

C'est la chimie, en effet. avec ses pou- dre», avec ses gaz », avec ses « ersatz de toute nature, qui a permis à l'Allemagne de prolonger pendant quatre ans une lutte sans précédent au cours de l'htstoire.

Un volume in-16 de la Bibliothèque (les Merveille», illustré de 91 gravures; broclié. T fr. 50; relié percaline, tête rouge, 10 fr. M. LLbralrle Hachette.

Immeubles àïendre on à Louer A ("Ml CD de suite MAISON bourcave, garage, dépendances et jardin enclos. sise au bourg de Pleine-Fougères. S'adr. GILLET, PORNIC (LÔÏRE-INFÉR.) A VENDRE DE SUITE

I Beau CHALET r.1 pièce*. Tennis, parc. ̃:̃ Entreprise de PEINTURE Excel, aft Renseignements SELLIER, PORNIC. NOMBREUSES LOCATION».

Etude de M* E. viu.ALON, notaire à Avranches

♦Successeur de M* E. BARILLET). A VENDRE UN" PROPRIETE slttfée aux abords d'Avranches, convenant à commerçant ou industriel, notamment a garagiste.

Pour tous renseignements, s'adresser à M- VILLALOX. notaire,

Etude de M' MORICE. notaire a

Salnt-Aublri-d'Aubtgna.

d VENDRE

au bo'jrg de Melesee

MAISON propre Il tout commerce, slmniovn tuee place ne l'Egm,, jeuisstnee immédiate.

Dordogne et Sud-Ouest A vendre Propriétés rapport et agrément, château», fermsi, toutes contenances, tous prix. S'ad. DHUMERELL-E, 43, r. Neuve. Bergerac. VE.HL/ni. très bel H6tei ]Ong bail. Ecrire n' 21836. Agence Haras. ANGERS, qui transmettra.

l'Eglise, jolie propriété. Maison 14 plèces, dépendances confort, élert., jard. d'agrément, fruitier, possible garage, etc. Visiter G. JALOU, CESSON (Côtes-du-Nord). A RETENIR dans IMMEUBLE à construire à RENNEB, près Gare de Viarmes

TRÈS BEAUX APPARTEMENTS MODERNES de 4, 5 ou 6 pièces, salle de bains, mansarde, cave, buanderie. Construction à planchers insonores, exempte d'impôt foncier pendant 15 ans. 'Grandes facilités de paiement en 5 ou 1U ans.

S'adr. f LE TOIT BRETON i, Société anonyme au capital de 500.00 fr. R. C. Rennes 288 B. Siège social 8, rue HlppolyteLuoas à Rennes, ou à M. POIRIER, architecte, même adresse, tél. 8-31 Etude de il» DAIGRE, notaire à Vannes. VBNTTB

PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE Le MERCREDI S JUIN 19» a 2 heures de l'après-midi, en l'étude dudit M» DAIsituée à Vannes, rue Porte-Poterne, n' 1*, ayant magasin. 2 pièces, cave, grenier, grand atelier.

Mise à prix Q5.OM francs.

Jouissance immédiate.

Pour tous renseignements s'adresser à M» DAIGRE, notaire à Vannes.

VIAGER, Achèterais lmmeuble ou terme en rentes viagères. Pourrai laisser jouissance, Ecr..4g. Haras, Rennes, 22781. FERME belle 35 hect. labour, louer tirés Tours. PENANHOAT prop. RENNES. Cessions de Fonds de Commerce langerie 90 sacs, seule campagne. Boulangerie 150 sacs, tout fantaisie. sans frais Grandes facilités de paiement, Charbon, ville, 40.000 nets avec 00.000. Hôtel neuf face gare, maladie. Commerce pour dame, avec 15.000. Cinima, 10.0» nets, avec l.-).noo fr.

LETOURNEUX, Location, LAVAL.

BELLE SITUATION Il ménage sérieux pour la gérance d'un des prln. cipaux café de Chartres, Il faut dl^.oser de 30.000 fr. mlnlma comme garantie, possibilité d'achat par la suite. Ecrire ROBEUT. 10 et 12, place Marceau, CHARTRES A CEDER Immédiatement tiennes. n cause liquidation, fonds commerce accessoires cycles, Importante clientèle, conditions avantageuses. S'adr. R. (; Oiiest-Ec.Utr.

A CEDER bon tonds de contmerce avec atelier et magasin pour machines agrlcnles dans chef-eleu de canton. S'adr. au bur. du jour. 71&K-O A CEDER, NANTES, Excellent 4 commerce CHAUSSURES, plein centre, gros liénéflres. S'adr. A. DENIS, 23 place Bourse, NANTES.

FONDS DE COMMERCE* INDUSTRIES -IMMEUBLES f Bretagne et Normandie)

VENTE et ACHAT

CABINET

>ANJOUetFLEURY 40.Rue Couroye

GRANVILLE

HOTEL CAFE-TABAC RE9T. BILLARD gde ville touriste, 8 chamb. meupl. Tenu 10 ans. Après fortune. Px 160.000. Facilités. HOTEL-CAFE-REST. 21 cham., rec. 175.000 150000 à doubler, fortune assurée. Pour f traiter et marcher Il faut 100.000 fr. t TRANSPORTS DEMENAGEMENTS. Affat res 160.000 fr. Mater, tract. mécaniq. 1 Prix l.V>000 fr. Facilités. I Crand Choix de Cafés et tout commerce». î AGENCE PERRINIAUX Rue de Dinan, SAINT-MALO.

r uiuivu uuiiiuvi pour cause mariage, Cattltestaitrant avec ou sans Immeuble. Agence Villeneuve, PERROS. t

A vendre d. im. s. préf. S. O. Î5.000 habit. ,MAISON CONFECTIONS p' lioni. et dam. Ec. y>308 Hava., Limoge» A CEDER A NANTES Alimentation prosp. b. située log' Int. Px 18.000. S'adr. Nantrs-Campagne-Plages, li, p. Pommeraye, NANTES. de l'Ouest. BLAND1N. St-Malo, rue de Toulouse, 2.

A CEDER arrondi f seine ni de Palmbœuf Excellent Fonds de Boulangerie Long bail.

S'adresser au Journal. 34.233 neroe de Débit de boissons (94 années l'exlstance) dans grand bourg situé près ;rande station balnéaire. Eau. électricité. .lbre de suite. S'adr. l'O. -Eclair. 7nC8-D ^^r!F^FR ̃ Affaire except. s. con• nals. sj>6c, sér. et ucrat. d. ville taurist. balné. et comm. iap. net 50.000 fr. Prix 146.000 fr. Vend. ,est. met au courant. Ecrire Agence Ha'as, RENNES, n' 58120.

CABINET POUVEREAU place du Sanltat, NANTES (Tél. 3î-flfl) 1 CEDER ARTICLE MENAGE. Arc, re. vrfent. &nti.

INDUSTRIES

comprenant Machine à vapeur 140 CV. avec génératrice, moteurs électriques, 1 scie à ruban Gulllet, scies circulaires, transporteur et élévateur sciure, chevaux, camion automobile. Pour tous renseignements s'adr. Sortilt. d'Exploitation et de Traitement des Bois. 6, rue Volney, PARIS.

OCCASION EXCEPTIONNELLE FERME LAITERIf

reprendre de suite, près Paris, cause de maladie. La cession comprend 14 vaches lattières, t cheval, voitures et tout le matériel, tout 1e lait est vendu d'avance a i.SO le litre, en location 6 hectares, facilité d'en louer davanlage. 11 suffit de 40.000 francs pour traiter. Ecrire à

M. LAGELIN

58, Rue des Petites-Ecurles, PARIS. Emplois. Demandes et Offres Rue du Quatre-6eptembre, LE MAN&

abattage sapins en grumes et bols de mtnes. HERLENVAUX, Agent Sté CharbounierA Est et Nord, CAR3OUOES. Orne._ Dont Ouvrier» peintre» demand6a. S'adr. ° MOREL, rue Pintcrle, 75. Fougère§. GARÇON BOUCHER 15 il 18 ans GAUTRAIN, place de la Préfecture. Lavat. COMPTABLE d«nli»nde Par ''Usin« à Gaz de Coutances. Inutile sans rèfér. professlonn. sérteuses. ON DEMANDE un sortant cutstprentissage. S'adres. Restaurant CHUCHE, Satnl-Mulo. 71S4O-D BONNE P°ur service de table est deA Stllà-le-Gulllaume (Sarthe). \9fflS valller. S'ad. Ouest-Eclalr, St-Palr. 29074 M" TARDIF, notaire il Caen, demande CLERC connaissant tous actes courants, commençant à liquider.

Inscription premier libre.

SERRURIER-MÉCANICIEN demandé à la Chocolaterie de l'Abbaye de Tlnehebray (Orne). logement acsuré. ÉBÉNISTES, CHAISIERS, PAILI.EUSES DE CHAISES sont demandés« S'adresser FABRIQUE DE MEUBLES. I, rue du Olorloux, Satnt^ervan. 71837

ÉTABL. J. topol. Paris, demandent commIs éplctert^ hommes manutentionnaires, nourris, couchés.

Bon Conducteur de moulin est demandé envir. de Rennes. Havas, Rennes. 193* HOTEL DE LA PAIX, St-Quay-Portrieu»DEMANDE CUISINIÈRE

pour Juillet et août. 71849-P D™ OUVRIER TAPISSIER S'adtesser au Journal. 71851-D EUBLES ANDRE d'Anger» demandent EBENISTEO et TAPISSIERS. Trayait assuré a l'année. Bons salaires. 50131 PERSONNE sérieuse ayant, habitude élsver bébé, référ. exigées, est demandée. Maison QUE.RU, Coiffeur. DINARD. S9067 On demande Ouvrier» sérieux connatssant parfaltement l'AUTOMOBILE. Ecrire: GARAGE VIALLECOT, MAYENNE.

fines. S'adr. Agence Havas, Rennes. 906 VERNHET Frère». Vlne et Spirlt. PReNTIONAN (Héraultl, dem. Représentant* sérieux visitant demi-gros et détail, 39098 CUISINIER! et PEMME DE CHAMBRt sxh. bien coudre demandées. SMITH, 5, rue Berteaux^Dumas, Neullty-PvMi


let o« domotique» & bons nages. MARIE "̃AlXKl '31. r SI- Honore. PARIS Il' MESSIEURS puKtaani A tond le sens des aftaires et

une très grande activité sont recherchés par importante firme mondiale pour la vente de se» produits bien introduits en France pour réglons de l'Ouest. Inutile Un» être absolument bien qualifié et bien doué Les rapports sont en considération des qualités exigée». Aucune connaissance spéciale nécessaire. Ecrire DUMONT. abonné P. O. P.. 32. rue Etienne-Marcel. PVKIS. Ne pas Joindre timbre ~QUINCAILLERIE BENOIT, a ORBEC DEMANDE EMPLOYE

^•STMECANICIENS Tek s»dr« oaiuoe HdlîUUSSE. rue Neo mle-hamsrd, LAVAL, »E! r\ÏJ~nCM ANrtP tr«s urgeut. un «on voiture» «itelces. 3N trnncs par Jour. Ecrire Agence limas ANGERS, o' sW». qui transmettra.

chez sol. Ecr. M. ̃M k i I F 1 1 il 1 J I GABRIEL. P. 6.

Evreua [Eure.. ON ron charpentier ,un> uru^t xuioll agrlc. JEU» HOMME marie actif et adroit. Bon logt. pliu-e ,la nle et ter. Adr Bur du Tournai asiSO-C ,9 eau Parle \ti IS1 a.) Tel Nord 7* fc 0N DEMANDE 00 PREMIER \'EN dame), ayant connalssances spéciales en papeterie, Jouets, maroquinerie. bons ap.olntements. S'adresser Ua<><£™ ram-France. SAI.NT-BR1EUC. 6906» cuisinière et Miel toutes mains. S'adr. au bureau du Journal. Witj-u GAGNEZ 2.000 P PAR MOIS en trav av nous 3 Heure» le soit dans ad par eorretp sans capital Dem. renseignement» lira' A/mir«» et Publicité, P*ry*. DEMANDE UN CLERC au eourani -<= la proceduro

N DEM REPRESENTANT ^i^ir^leruger^roEme',rneil.rg^f cnPICTP <*« Tramporls en Commun demande Rececturs ai-

bérés service militaire. âgés moins 40 ans! Se présenter ou écr. pour wnÇlgnemeni», il$ rue du Mont-Cenl». PARIS (1»«). ON DEMANDE ensemble ou séparément env. Rennea, cuUinlere et ménage, homme conn parIait. culture légumes. femme petile basse-cour aidant JaraVRéf. exigées. Adr. bureau lournal. «OSP-C GROSSE SITUATION assurance, région net Kœ Fougéindustriel.» Bretagne. Conv. même ouvriers dtsp. qq heures par Jour. Mise au Courant sur place dans les jours CARRIERS& MANŒUVRES sont demandés aux Fours a Chaux de rnautetonas <M.-et-L.\ travail assuré. Bon salaire. Logements cantine. Ecrire a 14 Direction. VSIKa kilomètres Nantes, Bons gages. Droguet, oenetAin, REXE fLoli^-Inférieirre). ON DEMANDE bonne pr énlants 6 Il 8 ans, très ser. av. référ de M ans. très bons gages, voyagn payé. Err. 4 Mb» «air, 13. M. du Temple. PARIS.

CHAUFFEUR-LIVREUR marié est aemandc. Logé, chauffe. Indi- Trtoltfrsur-Mer MorbiUan). 71&43-D BONNE A TOUT FAIRE campagne ou MENAGE jardinier-cuisl.nlère demandé. Adresse Journal. 71S45-D >• OUVRIER CHARRON est de- "-• BON FORGERON connaissant airkolc. A. BOHUON, machines agricoles a. LA OUERGHE DE BRETAGNE ,l.-et-V.> bons salaires S'adr. O.-E. iJATAIRC Gros chef-lieu de canton nUI Ain- Perche (sur paris-Bor-

deaux Etat" dcm. CLERC-COMPTABLE. Prewé Bureau du Journal. 3M« ~«^ SCIEUR AFFUTEUR a ruban, osi demandé, place stable, s«rleuses références exigées. LE DALLIC Bois, PLOUAY (Morbihan). "M ON DEMANDE une oonne cuismiert ex pérlmentée et une lemme de chambre expérimentée, couture et serv. de table. B. réf née, b. gages S'ad. à Mme Lyne.Evans. Clos Margot. Dnnvllle-les-Baln« Si.) COU PEUSE CONFECTION 1>AME, est demandée, bord de

la mer. Dieu payée Ecrire n- SO03*. 4e ON DEMANDE bon ouvrier pitlltHer, place stable. S'adresser P1NV1DIC. St-RENAN (Finistère). »<»°

LE GARAGE MODERNE

Alltaume et Orlon, La Fertt-Bcrnara BONS MECANICIENS

CHARRONS & FRAPPEUR sont demandé» places assurées Carros» série ROUSSEAU. VIHIKRS iM.-et-L.). tomme de ahambret MENAGE ou séparément sont demandés, très bons gages si capacités et réflr sér. L'O.-Eclalr. 71806-D u,rieri rréeanloltnc conn. vélo, moto, moteur sont dem, place iiable. logés et blanc Bons app. Réf, ter. L'O.-E. 5800* DOUM H STATION BALNEAIRE, ouvrier, peintre* en Odttmentt sont demandés. Prendre adresse au Journal 1\«M-O ON DEMANDE une employés tante, eour comptabilité de préférence. S'adresser COMPTOIR-BIIETON. hmiievara Solférlno RENNES 7181SD CONTREMAITRES MOULEURS, ouvrters mouleurs susceptible» de deventr des contremaîtres sont demandés aux Etabllssemenu SIMON Frères, CHERBOURG S't adresser en Indiquant réfé. renres et prétentions 7184&-D OlINTREt SN BATIMINT sont dem. r cner M LEMO1NE. peintre, A VIRE. t.. riante >•»<» i »u»omouiic> rei r*> entant 'ireiiner^ narjues liEM-iNDB SOUS-AGENTS m*$Xl "stu* Q t du journal 'WOW-ft ON DEMANDE BONNE pour malUN son bourgeois*,

•erieu»*» rMnncft OECHT. vire 'Calvadosi. liiti-Ù Voyageur ou ni SI ans, très bon ven.deur, eonnalwance» mécanlq. électr., demande place maison auto accon.. é1eo.trtdW ou autre firme métallurgique. S'aiîr. Agence Hara». Rennes N* b.375. Or* fr. par mois ous. Not. contre .') HJ <)o vCT-iro ro.-KclalT Anp-r«. ON DEM. buonn TOUPILLEUR sobre. actif, cavahlf de diriger important outillage mécanique, très sérleut. Se préfenter Chéries LEFEVKE. 1. avenue ToUTTUle, CAEN. au

IN apport pour Ira alimentation. Situation d'avenir. adr. au bur. du Journal. 718JO-D ,mande ouvriers famille nombreuse caable travifiller pour travaux faciles. )N DEMANDE un électricien connaistant l'équipement automobile. S'ad. vblictti Centrale, Il, r. Rohan. RENNES. \y DE ANDE très bon chautleur UCÎTmilUtpr Ilvraison men-

les, très sérieuses rétérences exigée. ,'adresser Maison CUUPON. 19. rue de L Clialotal». RBNNE8.

3N DEMANDE mécanicien susceptible de faire un monteur pr installation dlarlbuteur d'essence dans la région. S adr. Economique, 37. av. Mall-d'Onges. Rennes ÎHEF CUISINIER est demandé, ONTINENTAL, RENNES. Inutile se préenter sans références,

IN DEMANDE POUR BANLIEUE PARIS BONNE A TOUT FAIRE onnalssant cuisine simple, lavage petit nge et ménage, de préférence ayant déjà Brvl. Excellents gages, Voyage embonrse après 6 mois de présence. Bones référencea. S'adr. au Journal. 75.000 ies, télépb. 1.&3, demande UN MANŒUVRZ pour quelques Jours.

f^ARÇON D'ECURIE, sérieuses références, est demandé chez M. Pierre LERAY, g, me de Nantes, RENNES. Pressé. mUnlLUno neurSi raboteurs, aiaudronnlers (cutvre et fer). chauffeurs le locomotives, chefs de manceuTre» de ̃hemln de fer, poseurs alde-macblnlste le moteurs à gaz maçons, manœuvres robustes pouvant se spécialiser rapidement, sont demandés par SocltUUfUMvrgllue de Normandie a MONDEVILLE Près CAEN (Calvados). Facilités de pension. Ecrire. place stable. S'adr. Ouest-Eclair. M08t bre pour hôtel, bonnes référlnces, place stable. S'adr. Oueet-Eclair. 29°85 AtIMOND, mécanicien, Salnt-L6. B9Q01 InCO BONNE rare et confection Dame, ayant au moins 30juis est demandé aux 100.000 PALETOTS, Saint-Lô. Se présenter avec très sérieuses références. Bons appointements. 71848-D On dem. bon Ouvrier Bourrelier. Sad. Leloup, rue Gambetta. Villedieu IM-). EBINI8TIS, contremaître et ouTrtersi NIE» sent demandé» par Manufaolur. T.B.F. ARTIt, nae Luit). It-BRIEUC Inutilo en présenter sans sérieuses références, p.aces stables. Bons salaires. MONSIEUR sérieux. 42 a., connalss» confecttons hommes, dames et tissus. Hétér. le, ordre, actuellement gérant de ville ouest, s'occ aussi partie admt. et comm. cher. a1tuat. analogue et sérieuse. Ecrire Agence Havaa, RENNES. «9». DEUX FEMME6 DE OHAMBRB demandent emploi pour satson. Sérieuses rétérences. S'adr. au Journal à BRUT. BON JARDINIER DEMANDE PLACE. S'adr. l'Ouest-iEclatr, VANNES. 39070 Bonne Oulslnitre, 40 a., dem. place hôtel p' salspn balnéaire. Ecr. l'O.-Eel. 4488 MONSIEUR, In ans, marié, ay. Beaucoup voyagé p» export. France et Belgique, cherche situation dans firme lmp. comme voyageur. Sér. référ. Ecr. POURBIAS, 1.M, rue de la Madeleine. ANGERS. DADfE veuve avec un enfant, très expérlmentée sachant faire cuisine et tlend. lntér., dem. place. S'adr. O.-E. 28088-C AUTOMOBILES

A VENDRE

CONDUITE 1NTEU1EUUE ford, i places. Occasion. carrosserie française, très basx, ayant peu servie ou échanger contre petite voiture ou camionnette Ford bon UNE BELLE occasion, 9 cv, enroen 3 places sorti en Juin U, a encore ses t premiers pneus, à vendre cause de deBiCAM%SNNETTB FORD UNE TONNE, châssis révisé, carrosserie Carde, toute neuve, roues Michelin à l'arrière. pneus presque tous neufs bas prix, A vendre cause de changement de situation. PIERCE ARROW 5 tonnes, revisé entiè- rement Bandages neufs. carrosserie d'orlglne Camion venant des armées, vendu orée la garantie de 6 mois.

CHARRUE MOLINE 9 épaules pour tracteur ForAson, neuve, ayant servle

2 heures. A vendre l.aoo fr. de moins BALLON CARDE tout neuf pour Frégoll 12 BONS BANDAGES PIERCE ARROW 5 tonnes, occasion, à vendre 350 pièce. Se presser.

PLATEAU BASCULAI pour châssis Ford une tonne avec tous tes accessoires pour montage de tracteur Fordson sur le plateau, convient a Agence Ford. Baa TORPEDO FORD. TOUTE NEUVE. n'ayant jamais roulé, dernier modèle, à vendre prix du gros, cause de départ. S'nrtrewer Agence Havan. Rennes n' MOM Belle *e«. Oond. lntér. neuve U CV. Px (téb. Rebours ̃. r. J.^l.-Romxau Manm état de marche. S'adr. DAVID, Hôtel du Commerce, QUINTIN. 71661-D io chevaux Bon état S'ad. H. LAVALLEY tt; rue Tanciéde, COUTAVCES. 71SO4-D A VENDRE, cause double empiel Très bon Prix Intêrlbant S'adres COUDRAIS, propriétaire. Chadoux. par Chateaubourg, THM-D

QUADRILETTE PEUGEOT conduite Intérieure, a vendre cause départ. BERTSCKÏ, Loudèac Ç0069 SUPERBE CAMIONNETTE Normande Berllet, 70o k., éci. dém. électr., phares, lanternes, radiateurs nickelés, comme neuve, 8.400. 6'adr. Si. rue de Vaucelles, CAEN

VtnUnt, 12 HP ,500 itii., très bon état. S'adr. l'O.-Eclalr. Vannes. -29960

OCCASION BXCHPTIONNEIXE

TORPEDO PEIUGEOT sport, marche parfaite garantie, 15.000 fr. Essais. S'adresser au Journal. 7jtj^-a A VENDRE pour cause double empM TORPED010 CV. RENAULT révision complète, peinture neuve, éclair, et démar. électrique. Docteur EON, rut Kltchcner. DINAN. MOI* Somme» AelMttur» Auto» de b I li HN Cl» Induit de Constr M bd Grenelle Patla


̃̃i^M En U N DD^TDP •'•• par l'envoi d'une brochure et attestai ions un remède particulièrement efficace ̃ dans les MAUX D'ESTOMAC uloèras, oonatlpation, gastrite, gastralgie. ̃ vomleeementa, glaires, vertiges, gonflements, ato. Ecrire 4 M. l'abbé f- ASQUET curé de Villagongia par Levroux (Indre).

OUINTOSÉRUM amin^mm Toute» Pharmacies et

Laboratoire F. HAMON, Pharmacien 'Finistère) UUUU L L U Ull E Franco cnntre mandat de 10 franco

OCCASIONS DISPONIBLES DE SUITE

Saut vente carie l'intervalle des Demandes 1 lorpeou oAgRE, lu CV, lun, 4 places, rouie v.Ubu km., en excellent état. I Torpeaa humtu, iv iu.o, places, éclairage *i ueuiarrage électriques. I Torpeot, CLEMfcNI-BnlAHu, lu CV, t p 1 Torunoo kknauLT, lu CV, t place», éclairant! ci acumi mfce eitcuiijuea. 1 Terpede LI0N-80LLCI le Cv, o plut», • wiapuuliHs lace a la route. Ecl. cJec. 1 Camionnette j cv, loouocyjludr. ZEBRE 1 Traouur LATIL x. P.. avec benne bas- cuiauie.

I Remorque* 7 ton., a bennes basculantes. 1 Camion UEWALD, 7 tonnes, avec benne Basculante

GARAGE CHAMP DE MARS, 16. rue Uialy, KE.VNiA. TélépU.. I.M.

Camionnette oommerciale pari. état. 7 CV VJii. b'adr Ag. Havas. Kennes. l!)3l CLEMENT-BAtA%0 modele 18, 800 kilos. Excellent état.

TALbOT l'orpeuo, 7 placer, modèle récent. PuKD, Genre *rlgoli.

CAmioN M.» DES) al, j s l., rcuus a neuf. A vend camionnette 6ellanger part. état. Garage Robert, La Ciiierche-rte-Bretanne. en très bon état. S'adr

Léon Bonneeojur. a Tlnohebray (Orne). RENAULT 6 CV. en parfait état S'adresser M. UAftEL. 2, rue Brlzfux. SAINT-BRIEI'C ~I8<I-D A VENDRE CITROEN places. CODn dutte intérieure, par. fait état. peu roulé, cause double emploi. Conduise Intérieure, 10 HP. D. F. P. places, excellent état vente garantie, cause double emploi. S'Adr. PAPETERIE, 8, rue Je»n->anrp«. RENDES.

^ITEOEN cond. Int. 3 pl., très peu roulé, v nomb. acres., état génér. part. Prix très Us*, e. «part. O.-E., Cherbourg. 3SO87

état, prix Intéressant. S adr. Garage Houdmte, rue Noémle-Hamard. LAVAL. A iknuitL bon étant, 6 places pneus neufs. S'adr. Garage Pnnagel et Thnrnnu FOl'fiERES. 57:83 PITROFN places trèfle îflîS. par- "v/i-ii fJ|t etat prix 1O50O TAN.

Qt.ERAY et LELION. vttlcûteu (Manche). Téléph. 35.

ALIMENTATION

La ROSÉt "mplace le CIDRe REBTIAUX. Sa. rue Nationale PARI» e de régie, Echantil. gratis, Mme Berthe REY, NARBONNE. ) H. LONG, Imporlnto-ii- de fruits et pommes de terre, NEWPORT, Ile de Wiqht. Commission et comptant. Pour tous renseignements, F s'adresser télégraphiquement via e Southampton.

LE CHAMPAGNE MASSE PtRE ET FILS se trouve à RILLY, près REIMS, depuis 1853.

Tarif sur demande

SEL PRADEL

Détruit u CONSTIPATION Le tube pour fy«.

lOpurgations 0s40 FRANCO Lab. Debruèrea, 26, rue du Four, Plrle |T^ÎNTV0U««»jiRÎl«2n I N'HESITEZ PaS demahderau Laboratoire I doSud-Eil. »Salnt-Priesl(Iiere)leipreo.Tta I iiratultetda la gaérlionO» l'EPILEPSIE et t MALADlESNERVEUSESmeinedtSMpértss. Demande? A votre DharmacleD m et cbets

D'ASTHMOSINE

le P. PHILIPPE, pharmacien. palmpol Soulagement Immodlat

Prix de la boite, tontes pliannarle» Adulte* 1 tr is. Enfants • tr. a0. Soignez-lei de la mime POMMADE ARDAOH, adoucissante, action raptde: Tube 4 fr., part. 6 fr. Ttes Pharm. et 3, rue Chalafs, Rsnnes. USINE A MORTEAU iDaubtl.

CHEVAUX & VOITURES couverte, charge 1.000 kg. à vendre pour cause double emploi. S'adresser M. DEKMEK, SEES (Orne).

CAPITAUX

ON DEMANDE {Tréfa^rtur première hypotlieque w.ODO FRANCS. Intermédiaires s'abstenir. Ecrire à M' CARREÏ. notatre a Sées (Orne). CAPITAUX pour commerçants, PRET$ sur hy'pothèques,

sur nantissements.

ACHAT de bllletb do Fonds,

ACHAT Usines, Industries.

Fonds de Commerce,

Immeubles, Domaines. UNION FINANCIERE et COMMERCIALE, t7, boulevard SàinlMaHlh, PARIS. LE CABINET BARB1EH

18, rue de la Chalotais, RENNES

DISPOSE .DE CAPITAUY A PLACER sur Hypothèque dans tout l'Ouest AVIS DIVERS

Délicieux séjour, cuisine exqulse par Maltreiae de Maison. Site merveilleux. Foret, jolie plage. Pension complète. Pour renseignements LECOMTE, Villa de la Montagne, MOROAT (Finistère). |J I D Moteur Chapuls-Dornler 6 CV UiMilli ét neuf, 3 places. Prix ,nlel. S'ad, J'Ouest-Eclair, N' 7d6j, LE MANS A VENDRE NE OROCHAT, état neuf, monocylindrlque à essence. Dynamo Thocison sur socle, tableau de distribution avec rhéostat 6 CV, 110 volts. Px 4.000 f. vlslb. villa Les Mouettes, St-Urlac UNE FORTUNE EST CACHÉE dans le Véritable Trésor des Campagnes. Mille moyens d|j gagner de l'argent. Indispensable à tous. fco 7 fr. M. LEPRIOL, i. rue Franklin, NANTES.

A VENDRE la construite « BEGIXA », en 1899. Longueur 22 m. 86, largeur 6 m. 92, hauteur 3 m., jauge nette 77 tonnes 60, portée en lourd t4:, tonnes. Ce navire est en cours de réparations et sera en parfait état. Il sera livré avec voiles et agrès, S'adresser pour le visiter et traiter i Monsieur GLOIRE, il SaintMarUn-dc-Rp. 71858-f> FPOI F Industrielle de Saumur préECOLE pare aux arts et métiers et aux carrières industrielles. DELIVRE LE DIPLOME DE SOUS-INGENIEUR. MEGA41CIEN ELECTRICIEN.

Acheteurs de Bateaux da peohe demandez LISTE BATEAUX A VENDRE

I.AMM" «'onrlier Sabie.«rl'0lnnn«. A VENDRE Pétrin mécanique. neuf, me camionneur fo^d 14 KP Prix Intéres- i ;ant. Moulin; St Georges, ,VANNES. j MACHINES A TRICOTER toute» largeur: tl langes PRIX DK FA- JRIQUE TYavaU assuré. Catal. Apprentms gratuit. LA LABORIEUSE, 10, quai d fil' éans NANTES Mlle rHUINARD. 41. rue St-Melaine RENNES

IIUILE Olive Méllora 1-X le postal de 101. 1. HUILE de table 95 » HUILE Blanche Cble. » » • • SAVON blanc 70 58 le postal de 10 k. b. d Mlle MAURIN. MARSEILLE. Chèque postal. 50 91. STAMP, Charbons, SAINT BRIIUC. nuiuun pauvre, état neuf, visible a n marche. A VENDRE. S'adresser a L'OUEST-ECLAIR S» 70». LE MANS. i/_PANf>p6 Kaimlie trois personne- oestre trouver pour ultlet PENSION dan-i hôtel situé A la la ampatrne Mte pittoresque, a proxlmlif l'une rivlpre Fnlrf offres •' indiquer con lltinn» t fî 1. *Mr*« Rpnne« PAPIERS PEINTS n communtcatlin LA DECORATION 1ODEPNE. (xi rue tumarck. PARU. I VF N DR F mnuvement 1 t'apeur v> i wunuiik. ,.nev(l,,x Très bon état. i'adr. Agence Havat, RENNES, 0685. t CONSULTEZ L'IMPRIMERIE

?F L'OUERT-ÏÎCLAIR » POUR TOUS VOS IMPRIMÉS

l'INDIQUE GRATUITEMENT II remiie qui BOUIRON. 1 0r. Albert 1-, MARSEILLE Ne Manquez pas l'Ocoasion de Gagner UN MILLION 'n achetant une Obligation Crédit Natloial 1919 garantie par l'Etat, remboursable tu minimum à Six Conte frano», rapporant 3 d'Intérdts nets d'imijots et pariclpant a quatre tirages par an qui donlent:

•.T.) chances de gagner Un Million. Î75 500.000 fr. 1.375 100.000 fr. 5.750 50.000 fr. Cette obligation est vendue conformônent la loi du 1-2 mars 1900 par un verement de dix francs et le solde en 17 nensualltés de 30 francs ou au choix & le M fr.

Dès le premier versement vous êtes enièrement propriétaire du titre comme si ̃ous l'aviez payé comptant et vous avez Iroit A l'intégralité du lot gagné. Hâtai-vout, le nombre des titres étant Imité, en adressant de suite dix franc* u Directeur général de la Banque Fran.aise privée, t7, rue du Colisée, Parle (8*). Prochain tirage 1" juin 1936.

(Liste après tirage).

rERVEUX. NEURASTHÉNIE SURMENAGE. Hystérie. Mêlante Ht. F«ti»u« cérébrale. Inlommic. NeTtmlgiu, Sciatique. Palpitations. TttmUtmtnlt. Surdité. Guériuez-Tons par l'EPINE UR ul supprime Douleur et Souffrance

La ̃ 21. 1. Delâijt. Antera Fi. 10.S0 wmm f 13.SO. Notice

l'Oiiest-Eclalr fit rprnpas* par une équipé fouvrlett ivndtqutt

Imprimerie de ronSST ECLAIR

81 rue du Pré-Botte. Rennes. Lt Gérant, Fb. Bauju. 4

MALADIES DE LA FEMME LA MÉTRITE

'Foute femme dont tes restes sont irrégulières et douloureuses, accompagnées de Coliques, Maux de reins, douleurs dans le bas-ventre; i-elle qui est sujette aux Pertes blanches, aux Hémorragies, aux Maux d'estomac, Vomissements, Renvois, Aigreurs, Manque d'appétit, aux idées noires, doit craindre la Métrite.

Pour faire disparaître la Métrite et les mala- dies qui l'accompagnent, La femme fera usage de la

JOUVENCE DE L'ABBE SOURY Le remède est infaillible à la condition qu'il soit employé tout le temps nécessaire.

La JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY fait merveille contre la Métrite. parce qu'elle est composée de plantes spéciales, eyant la propriété de faire circuler le sang, de décongestionner lvs organes malades en même temps qu'elle les cicatrise.

La JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY est le régulateur des règles par excellence, et toutes les femmes doivent en faire usage intervalles réguliers pour prévenir et supprimer Tumeurs, Fibromes, Mauvaises suites de couches, Hémorragies. Pertes blanches, Varices, Hémorroïdes. Phlébites, Faiblesse, Neurasthénie, contre les accidents du Retour d'Age, Chaleurs. Vapeurs. Etouffements, etc. Il est bon de faire chaque jour des injections avec

l'HYQIENITINE DES DAMES. La boite, 4 fr. 50.

La JOUVENCE Det l'ABBt 8OURV, préparée à la Pharmacie Mag DUMONTIER, il Rouen, ae trouve dans toutes les pharmacies, le flacon 7 fr. 7L..

doit porter le portrait de l'Abbé SOURY et la signature Maq. DUMOKTIER en rouge.