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Titre : Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture. Partie 3 / , par M. l'abbé du Bos... 4e édition revue, corrigée et augmentée...

Auteur : Dubos, Jean-Baptiste (1670-1742). Auteur du texte

Éditeur : P.-J. Mariette (Paris)

Date d'édition : 1740

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30360217d

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb162468642

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 3 vol. ([VIII]-488-[4], [VI]-566, [IV]-339-[73] p.) ; in-12

Format : Nombre total de vues : 444

Description : [Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture (français)]

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6544468q

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Y-452

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 30/09/2013

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tiens, dont les paiiages qui regardent la danse des choeurs, n'avoient pas encore été entendus, comme nous venons : de les expliquer.

Lulli faiibit une si grande attention sur les ballets dont il s'agit ici, qu'il se • servoit, pour les composer, d'un maî;tre de danie particulier, nomméd'Oli1 vet. Ce fut lui, & non pas des Broilès IOU Beauchamps, dont Lulli se servoit pour les ballets ordinaires, qui composa les ballets de la pompe funèbre de Pfyiché&de celle d'Alcefle. Ce fut encore d'Olivet qui fit le ballet des vieillards de Thesée, des longes funestes d'Atys 1 & des trembleurs d' Isis. Ce dernier étoit composé uniquement des gestes & des démonstrations de gens que le froid saisit. Il n'y entroit point un seul pas de notre danse ordinaire. On remarquera encore que ces ballets qui plurent dans le tems, étoient exécutez par des Danfeurs très-novices dans le métier que Lulli leur faisoit faire. Je reviens à mon sujet.