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Titre : Revue mensuelle / Touring-club de France

Auteur : Touring-Club de France. Auteur du texte

Éditeur : Touring-club de France (Neuilly-sur-Seine)

Éditeur : Touring-club de FranceTouring-club de France (Paris)

Date d'édition : 1913-12-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34350057f

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34350057f/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 14670

Description : 15 décembre 1913

Description : 1913/12/15 (A23)-1913/12/20.

Description : Collection numérique : Musée national du sport.

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : BvdPrs001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6508424p

Source : Ville de Paris / Bibliothèque du Tourisme et des Voyages, 2012-362146

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 31/07/2013

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\::J I,J REVUE MENSUELLE Paraissant du 15 au 20

23e ANNÉE DÉCEMBRE 191'n

———————————— r V SOMMAIRE I kj——* v®b Assemblée gériéralu 530 *< Circulation : Routes, Chemins de fer, Douanes. 545 I.e Pont du Gard (H. D.).,. 536 f Notes d'un touriste en Indo-Chine en 1913 (Maurice Comité de Tourisme en Montagne. 536 | J ROXDET-SAINT) 548 Halte à l'octroi ! (H. D.). 537 I Autour du pneu (suite) (Dr R. BOMMIER)., 552 Comité de Tourisme Nautique. 538 1 Exposition de IYyon : Création d'un service de touPour les Parcs Nationaux de France et des Colonies fi [ risme sur le Rhône (A. B.) 555 (Henry DEFERT). 538 Le nouveau paquebot Gallia de la Compagnie Sud- 555 Comité de Tourisme Aérien. 540 I Atlantique (A. B.). 555 Au Mont-Sàint-Michel (H. D.). 540 I Concours d'ameublement de la « Chambre de l'hôte ». 556 I.e Concours de la Gare fleurie 193.:. 541 L'Aurs à bicyclette (Edouard et Georges HERMENT). 556 Hôtels : 21 Concours du Bon Hôtelier (3e séne). 543 Conseil d'administration. 563 —— PAIEMENT DE LA COTISATION (Voir page 529)


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Paiement de la Cotisation de 1914

Nous rappelons ci-dessous les dispositions de l'article 6 des statuts (Règlement intérieur) concernant le paiement de la cotisation : « ART. 6. — Tout sociétaire est tenu d'adresser avant le 15 janvier, au trésorier du T. C. F., un bon ou un mandat de poste (de 5 francs Pour la France et les Colonies, de 6 francs pour l'Etranger) montant e sa cotisation. A tous ceux qui n'ont pas effectué ce paiement avant le 15, il est fait présenter à la date du 31 janvier, par les soins du trésorier, un reçu de 5 fr. 50 ou de 6 fr. 50, représentant le montant de la cotisation, augmenté des frais d'encaissement.

« La radiation pour cause de non-paiement pourra être prononcée Contre le sociétaire qui laissera ce reçu impayé.

« Tout membre du Club, qui n'a pas notifié sa démission par lettre Pressée au Président avant le 1er décembre, reste débiteur de sa cotisation pour l'année suivante. »

Dès à présent, et afin de faciliter le travail considérable de l'encaissement, nous recevons la cotisation de 1914.

Donner exactement : Nom et prénoms, numéro de la carte et domicile actuel en rappelant le précédent en cas de changement.

Adresser à M. Jules Berthelot, trésorier, 65, avenue de la Grande-Armée, Paris, un mandat de 5 francs pour les sociétaires habitant la France et les colonies, et un mandat de 6 francs pour les sociétaires résidant à l'étranger.

Les sociétaires qui enverront le montant de leur cotisation Par mandat-carte ou mandat-lettre (mandats payés à domicile) sont priés de vouloir bien inscrire sur le talon de correspondance les indications ci-dessus et la mention : lettre suit, s'ils écrivent en même temps.

Ces renseignements sont absolument nécessaires pour éviter toute erreur ; beaucoup de cotisations envoyées par mandatcarte ou mandat-lettre ne peuvent être appliquées et, par COnséquent, les quittances ne peuvent être adressées à l'envoyeur faute de la transcription, sur les talons réservés à la correspondance, des renseignements demandés ci-dessus, les indications portées sur la partie « mandat » restant entre les mains de la poste.

Nous recommandons l'emploi du mandat-carte de préférence au mandat-lettre et même au mandat-poste.

s PARIS. — Les membres du T. C. F. appartenant aux administrations ci-après o °it priés de verser leur cotisation 1914 entre les mains de leur délégué : t. Ministère des Colonies. - M. Eugène Colin, délégué, chef du 4" Bureau (3" Direcion, comptabilité et caisse).

eréfecture de la Seine. - m. Marius Peltier, délégué, commis principal, Direction Il Personnel.

Caisse des Dépôts et Consignations. - M. Louis Gardet, délégué, sous-chef au r Bureau de la 41 Division.

V Banque de France. - M. Hennegrave, délégué, service des ordres de Bourse à Ventadour (à, partir du 20 décembre).

Comptoir National d'Escompte de Pans. M. JMqUInot, délégué, bureau du Ottefenille, guichet des Impayés, 14, rue Bergère.

Crédit Foncier de France. — M. Siméon, délégué, sous-chef au service du Contrôle 19, rue des Capucines.

Crédit Lyonnais Central.- M. Michel Bousendorfer, délégué, bureau des Impayés, 6, rue Ménars.

Société du Gaz de Paris. — M. Piétri, délégué au Contentieux, 6, rue Condorcet.

Magasins de la Belle Jardinière. — M. E. Perdrix, délégué.

Magasins du Bon Marché. — M. G. Dorn, délégué, Caisse-Détails.

Magasins du Louvre. — M. Joseph Arrighi, délégué, service du « Crédit-Paris », au Louvre.

Est. — M. Mérillon, délégué, Liquidation des Titres.

Nord. — M. Gendrin, délégué, à la Comptabilité centrale.

P.-L.-M. Central. — M. F. Missotte, délégué, chef de section, 88, rue SaintLazare.

P.-L.-M. Exploitation, matériel, traction et voie. — M. de Komarnicki, délégué chef de bureau au service central de l'exploitation, 212, rue de Bercy.

Lyon, Marseille : Les sociétaires habitant ces villes et leurs environs pourront verser leur cotisation 1914 aux adresses ci-après : Pour Lyon : au siège social du Syndicat d'Initiative (local du Touring-Club), 19, place Bellecour.

Pour Marseille, au siège social du Syndicat d'Initiative de Provence, 2, rue Paradis.

Les reçus, contenant le timbre au millésime de 1914, leur seront remis immédiatement sur présentation de la carte de sociétaire.

Colonies françaises : La poste acceptant maintenant le recouvrement des cotisations dans les Colonies françaises, les reçus ne seront plus, comme précédemment, remis aux délégués pour l'encaissement.

Nos camarades sont priés d'envoyer directement au siège social leur cotisation de cinq francs ; les cotisations qui ne nous seraient pas parvenues au 31 janvier seront recouvrées par les soins de la poste au domicile connu de nous.

Étranger : Les sociétaires habitant les pays ci-dessous peuvent s'adresser, pour le paiement de la cotisation 1914, aux délégués dont les noms et adresses suivent et qui ont en mains les quittances qu'ils remettront immédiatement : ESPAGNE : M. Michaud, délégué principal, directeur du Crédit Lyonnais, 3, plaza de Colon, Madrid.

Il est fait exception pour les villes dont les noms suivent : Barcelone. - S'adresser à M. Jaquemin, 103, Rambla Cataluna 2° 1», qui fera encaisser la cotisation 1914 par les soins du Crédit Lyonnais.

Figueras. — S'adresser à M. J. Llonch, délégué, 13, placeta Palau.

Gijon. — S'adresser à M. F. Menendez, délégué, Corrida, 69, 2° Et.

Province de Guipuzcoa. — S'adresser à M. le Dr Ch. Vie, 5, Calle de Los Fueros, à San Sébastian.

GRANDE-BRETAGNE : Londres. — Les membres du T. C. F. habitant Londres et les environs, ou de passage dans cette ville, peuvent verser leur cotisation 1914 entre les mains de notre délégué, M. Stenson Cooke, secretary of the Automobile Association and Motor Union, Fanum House Whitcomb Street (Coventry Street), London, W.

Prière de se munir de sa carte d'identité, le numéro d'inscription étant indispensable.

Ile de Jersey. — S'adresser à M. A. R. Lesueur, Ebeneser Villa, Stapford, Road Jersey.

RUSSIE : Saint-Pétersbourg. — S'adresser à M. Bénézé, délégué principal, secrétaire de la section du Touring-Club à Saint-Pétersbourg, 27, Grande-Rue des Ecuries, Banque russe du Commerce et de l'Industrie, guichet 5.

Moscou. — S'adresser à M. Morel, délégué (Maison Veuve Guérin et fils).

Dombrowa. — S'adresser à M. Dauphin, Société L.-J. Borkowski.

URUGUAY : Montevideo. — S'adresser à M. Supervielle, banquier, délégué, calle 25 de Mayo 232-234.

Belgique : Pour les sociétaires habitant la Belgique, les quittances 1914 seront remises à notre délégué principal à Bruxelles, M. Bossut, 30, rue du Pélican, qui les fera encaisser à domicile par les soins de la poste à partir du 1er janvier 1914.

Jusqu'au 25 décembre 1913, adresser la cotisation directement au siège social, a Paris.


ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

L'Assemblée générale statutaire de 1913 s'est tenue, le dimanche 7 décembre, dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, sous la présidence de M. Fernand David, ancien Ministre de l'Agriculture.

Avaient pris place au bureau : M. Fernand David ; M. Abel Ballif, président ; M. Henry Defert, vice-président ; M. Jules Berthelot, trésorier ; M. le commandant Menettrier, officier supérieur de l'État-Major de l'Armée, représentant M. le Ministre de la Guerre ; M. le lieutenant de vaisseau Richard, représentant M. le Ministre de la Marine ; M. L.

Bonnard, secrétaire-archiviste ; M. le colonel E. Anus, commandant le 59e régiment d'artillerie, président de la Commission technique des Automobiles ; MM. le Dr M. Briand, Ed. Chaix, Dr Deschamps, A. Descubes, G. Famechon, Ch. Gariel, A. Glandaz, F. Guillain, membres du Conseil d'Administration.

Sur l'estrade : MM. H. de Coppet et Marcel Viollette, conseillers honoraires ; A. Saucier, G. Leredu, P. Dupuich, membres du Comité de Contentieux ; Lucien Périssé, membre du Comité Technique ; M. RondetSaint, vice-président du Comité Nautique ; le contreamiral Richard d'Abnour, P. Cloarec, P. Planque, membres du Comité Nautique ; L. Dabat, directeur général des Eaux et Forêts, Henri Laffillée, architecte en chef des Monuments historiques, Onésime Reclus, membres du Comité des Sites et Monuments pittoresques ; P. Dumesnil, Gaston Gouget, D. Recopé, administrateur honoraire des Eaux et Forêts, membres de la Commission des Pelouses et Forêts ; A. Hamel, membre du Comité de Tourisme Scolaire ; L. Tignol, membre du Comité de Tourisme Colonial ; L. Baudry de Saunier, G. Casella, Dr Gorodiche, J. Hollande, F. Lequime, Ed. Lorieux, directeur de l'Office national du Tourisme, A. Mahieu, directeur du personnel au Ministère des Travaux publics, membres du Comité de Tourisme en Montagne ; Ed. Sauvage, président, Gaston Berge, président honoraire du Club Alpin Français ; A. Mézières, de l'Académie Française; E.- N. Demellette, président du Syndicat général de l'Industrie hôtelière ; Ch. Arnaud, architecte du gouvernement, délégué à Clermont-Ferrand ; commandant Communal ; Jacques Ballif, secrétaire général.

M. Fernand David ouvre la séance et donne la parole à M. A. Ballif, président, pour lecture de son rapport sur la situation morale de l'Association.

Messieurs, Par suite des circonstances, M. Clémentel n'a pas pu venir présider cette réunion et il a bien voulu nous en exprimer ses regrets. Dans ces conditions, j'ai prié M. Fernand David, qui nous a présidé l'an dernier, de nous faire de nouveau cet honneur et celui-ci, très

gracieusement, a accepté cette invitation de la dernière heure.

En votre nom, Messieurs, j'adresse à M. Fernand David tous nos remerciements de cette nouvelle marque d'intérêt. (Applaudissements).

Rapport sur la situation morale Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs et chers camarades, Cette année a été marquée par une perte cruelle.

Notre Président d'honneur, le Docteur Lucas-Championnière, est décédé subitement en pleine séance de l'Académie de Médecine, en lisant un rapport qu'il devait présenter à l'Institut: mort ainsi, peut-on dire, au champ d'honneur.

Lucas-Championnière avait été un des précurseurs, un des plus ardents apôtres du cyclisme. Dès nos débuts, il était venu à nous et nous avions été heureux de placer nos premiers pas sous sa protection.

En qualité de Président de notre Commission d'Hy- gièrie, il avait pris une part des plus actives à nos campagnes pour l'assainissement des vieux hôtels, la chambre hygiénique, la pureté des eaux de table, etc.

Les services qu'il nous a rendus - avec cette modestie, cette discrétion qui étaient des traits de son caractère — ne se comptent pas.

A ses obsèques, nous avons fait entendre, au nom de l'Association, la voix des sentiments d'inaltérable fidélité que nous gardons à sa mémoire ; vous vous associerez, Messieurs, au nouvel hommage que, solennellement, nous lui adressons aujourd'hui. (Vils applaudissements).

Messieurs, Au nom du Conseil, j'ai le plaisir de vous apporter une fois de plus le témoignage de la marche ascendante de notre Association.

L'an dernier, à pareille époque, nous étions 132.000, nous voici 137.000.

C'est un gain de 5.000 membres, constant depuis plusieurs années. Tout nous autorise à prédire un égal accroissement en 1914 et ainsi nous nous acheminons, par étapes régulières, vers ce chiffre de 150.000 membres prévu pour notre grande majorité, nos vingt-cinq ans, lesquels seront révolus en 1915.

Nos services ont suivi une marche parallèlement ascendante : le Secrétariat général a enregistré cette année 97.000 lettres ; le Service des Renseignement a reçu plus de 44.000 visiteurs ; celui de la Bibliothèque, plus de 42.000 ; nos Services des Routes, des Sites: des Hôtels ont accompli une tâche des plus laborieuseS, notre Service des Douanes a délivré 5.180 tryptiq1165 pour le libre passage des automobiles — on sait <IU® depuis nombre d'années les membres du Touring-Clu jouissent de semblables facilités pour leurs bicyclette — et il en a été de même de tous nos autres services


dont on a baptisé l'ensemble — moitié plaisamment, Moitié sérieusement - du nom de Ministère du Tourisme.

Quant à nos Comités, je ne 'saurais vraiment entreprendre, sans vous fatiguer, Messieurs, l'énumération de leurs travaux ; notre Comité de Contentieux — leur doyen — ceux des Sites et Monuments, du Tourisme en Montagne, du Tourisme Nautique, du Tourisme Colonial, ont fait efforts sur efforts. Pour ne citer que quelquesuns de ces travaux, la manifestation de Nantes organisée par le Comité Nautique, l'inauguration du Chalet Blonay-Dufour organisée par le Comité du Tourisme en Montagne, et le Congrès Forestier, œuvre de la Commission des Pelouses et Forêts, laisseront dans l'esprit de tous ceux qui y ont pris part un souvenir ineffaçable.

La Revue mensuelle a rendu compte de ces manifestations, nous ne les rappelons que pour montrer combien de dévouements gravitent autour de notre Association ; à tous nos appels ils répondent en nombre, plus grand même qu'il ne faut. C'est que nos efforts apparaissent manifestement à tous ce qu'ils sont en réalité : généreux, désintéressés, n'ayant d'autre objectif que le bien du pays.

Le Refuge de Blonay-Dufour, notamment, est un témoignage éloquent de ces sentiments. Il manquait à la Tournette, cette belle montagne qui se reflète dans le bleu du lac d'Annecy, un refuge où l'on pût passer la nuit avant de faire l'ascension. L'un de nos camarades, M. de Blonay, nous a remis, de la main à la main, 35.000 francs pour supprimer cette lacune ; il Savait que cet argent serait bien employé et sa confiance n'a pas été déçue. Le Chalet-Hôtel auquel nous avons donné son nom est un modèle du genre, il fait honneur à notre Association comme au libéral donateur.

Dans le même ordre d'idées, nous sommes heureux de citer également le don généreux fait, au nom d'un Comité de souscription, par M. Jacmart, membre du Club, d'une somme de 9.000 francs destinée à l'aménagement d'un Chalet-Abri aux abords du lac d'Orédon, dans les Hautes-Pyrénées.

De tels exemples montrent, mieux que bien des discours, l'esprit de généreuse solidarité qui unit les membres de notre Association.

Le Congrès Forestier a été le fait capital de cette année.

700 participants, 27 Gouvernements représentés, la discussion et l'adoption de 250 rapports et vœux, le vote d'une loi en faveur des forêts, l'espoir d'un crédit de un million, la création d'une Commission permanente et d'un Office de renseignements pratiques : tel est, en quelques mots, le bilan de cette manifestation.

Elle fut - je puis le dire sans rien ôter au mérite de ses collaborateurs — l'œuvre de notre vice-président, M. Henry Defert, lequel, ce faisant, a vraiment bien mérité de l'Association. (Applaudissements).

Je me hâte d'ajouter — et je m'excuse de n'avoir pas Commencé par là — que cette œuvre fut aussi, dans ses 0rigines, celle de M. Fernand David, lequel a attaché

son nom aux lois récentes ayant pour objet le reboisement et la protection des terrains en montagne.

Puisqu'il nous fait, aujourd'hui, ce nouvel honneur de venir présider cette Assemblée, qu'il me permette de lui exprimer publiquement toute notre reconnaissance du précieux service que, dans cette occasion, il a rendu au tourisme. (Applaudissements).

* * *

Sous la vigoureuse impulsion également de notre vice-président, le Comité des Sites et Monuments a vaillamment défendu les beautés naturelles et artistiques de notre pays, toujours et partout menacées par l'avidité des paysans, et, plus terrible encore, l'avidité des spéculateurs.

Tout ce qui est beau dans la nature et dans l'art, tout ce qui témoigne de l'amour du beau dans le passé, tout cela est traqué, violé, arraché au sol et livré à l'étranger.

Il est grand temps qu'une autorité forte intervienne pour protéger nos sites et sauver ce qui reste des beautés nationales.

Et ici, Messieurs, je demande la permission d'ouvrir une parenthèse : Comme tous les congrès, le Congrès Forestier, dont je parlais tout à l'heure, s'est terminé par un banquet : le banquet de rigueur ! Or, la traditionnelle chaleur communicative aidant, votre Président a risqué — à l'heure des toasts — cette opinion que le caractère esthétique de la forêt eût dû, à son avis, occuper le premier rang dans les préoccupations du Congrès, même avant son caractère utilitaire 1 L'idée de beauté n'est-elle pas, en effet, la source de nos joies les plus élevées. N'est-ce pas la beauté répandue dans toute la nature qui rend aimable notre séjour icibas. et le Président du Touring-Club a conclu en réclamant une protection plus efficace des beautés de notre pays et l'institution, à cet effet, d'un « Ministère de la Beauté publique ».

On a souri, donc l'idée n'est pas si mauvaise.

Permettez-moi d'y revenir un instant.

Nous nous honorons, Messieurs, d'être les héritiers des traditions de l'antiquité grecque et latine et le culte des Beaux-Arts, toujours florissant en notre doux pays, occupe dans le cœur de chacun de nous une place de choix.

Or, les Beaux-Arts sont protégés, — et c'est justice — et la Nature ne l'est pas, et c'est là une injustice et une erreur!

N'est-ce pas dans la nature, en effet, que les artistes vont chercher leurs modèles, n'est-ce pas à elle qu'ils demandent leurs plus heureuses inspirations?

Ecoutez ce que disait, il y a quelques années, le Ministre des Beaux-Arts à la distribution des récompenses du Salon de la Société des Artistes Français 3 « Enseignez à la foule empressée des commençants qu'il « faut admirer l'antique et respecter l'École, mais que « l'antique n'a été beau et que l'École n'a été grande que


« parce que l'École et l'antique se sont inspirés de la « nature. »

Messieurs, ce Ministre portait un nom devant lequel nous nous inclinons tous, c'était M. Raymond Poincaré !

( Vifs applaudissements.) Puisque donc la nature est le modèle, qu'on la protège et qu'on la protège d'abord !

Nous avons actuellement un Sous-Secrétariat d'État des Beaux-Arts adjoint au Ministère de l'Instruction publique dont il est, en quelque sorte, une annexe.

Ne serait-il pas possible d'en faire un vrai Ministère chargé, avant tout et par-dessus tout, de défendre contre tout venant la beauté de la France ?

Si c'est possible, si c'est faisable, qu'on le fasse au plus tôt et que cet indispensable Ministère soit largement doté.

Qui veut la fin veut les moyens ! (Applaudissements.) * * *

L'activité de notre Comité des Sites ne s'est pas limitée à des œuvres de protection, elle s'est donnée libre cours dans une œuvre de propagande par excellence : celle des Conférences avec projections.

On sait comment fonctionne ce service : nous avons fait rédiger et imprimer les textes de vingt-quatre conférences consacrées aux régions les plus pittoresques de notre pays ; textes et clichés sont mis gratuitement à la disposition de conférenciers locaux de bonne volonté qui n'ont à supporter aucun frais.

Au cours de cette année, nous avons ainsi fait donner près de 600 conférences tant en France qu'à l'étranger, lesquelles ont réuni 70.000 auditeurs.

C'est là une œuvre d'une portée considérable.

Pénétrés de son utilité, nous la développerons le plus qu'il nous sera possible.

L'œuvre de notre Comité de Tourisme en Montagne, dirigé avec tant d'activité et de dévouement par notre collègue M. Léon Auscher, n'a pas été moins féconde : vous l'avez appris, mois par mois, en parcourant la Revue ; je n'y reviendrai pas.

C'est également à notre dévoué collègue que nous devons l'ampleur prise par notre Comité du Bon Hôtelier et du Tourisme gastronomique. Depuis plusieurs années, Y Annuaire mentionne, en regard du nom de nombreuses villes et bourgades, les mets et les crus de la région. Le Comité a considérablement développé ce service, il s'est attaché à encourager la conservation des traditions de la bonne cuisine française et, à cet effet, il décerne des prix en argent ou en nature, accompagnés de médailles et de mentions dans l'Annuaire, aux hôteliers reconnus dignes de ces encouragements.

A cette œuvre originale non moins que très utile dont nos sociétaires et, en général, tous les voyageurs recueilleront le profit, une somme de 30.000 francs a déjà été consacrée.

Nous avons continué, cette année, l'appui que nous donnions depuis plus de treize ans aux Syndicats d'Ini-

tiative, que nous considérons un peu comme des filiales du Touring-Club; à l'heure actuelle, nous avons subventionné 169 de ces groupements pour une somme totale de 125.000 francs ; nous leur avons donné, d'autre part, l'appui de notre publicité, et, par nos soins, plus de 120.000 exemplaires des brochures et guides qu'ils éditent ont été distribués dans nos bureaux ou expédies par la poste ; nous avons également subventionné de nombreux services de transports en commun automobiles, services du plus haut intérêt pour le développe* ment du tourisme.

* * *

Messieurs, je me borne là, j'en ai assez dit pour montrer quelle tâche a été accomplie avec la modeste pièce de cent sous que chaque année chacun de vous nous apporte, et surtout avec le concours dévoué que chacun s'efforce de nous donner.

Tous ces efforts, cette propagande, cette campagne incessante menée depuis près de vingt-cinq ans, ces appels lancés chaque mois dans notre Revue, dont 150.000 exemplaires vont, partout, semer une généreuse émulation, ont fait du tourisme, cette chose inconnue hier, l'objet de l'intérêt général.

De toutes parts surgissent des initiatives, des groupes naissent, des sociétés se créent pour développer les in' dustries nouvelles nées du tourisme.

Enfin — fait vraiment significatif — nous avons vu, cette année, le premier magistrat de la République faisant officiellement, pour la première fois, un voyage de tourisme. Heureuse inspiration saluée par les acclamations des régions visitées, par l'attente et les vœu" de celles dont ce sera le tour les autres années. (Appleiti' dissements)

Notre Association, désireuse de témoigner à M. le Président de la République sa reconnaissance du haut service ainsi rendu à la cause du tourisme en France' lui a décerné notre grande médaille, hommage auque celui-ci a fait l'accueil aimable et souriant par lequel les respectueuses sympathies de tous ceux qui l'approchent lui sont acquises. (Applaudissements).

M. le Président de la République a bien voulu nos assurer de l'intérêt qu'il porte à nos efforts. Nul témOIgnage ne pouvait nous être plus précieux. (Vifs appW dissements.) Ces heureux fruits, lointains ou proches, d'une-oeuvr6 dont elle a été l'instigatrice, notre Association les accueille avec joie ; de tout ce mouvement qui n'es encore qu'à son début, le pays tout entier profitera.

Plus on visitera la France, plus on la connaîtra, en effet, plus sa réputation grandira dans le mono et plus on y viendra de partout..

Nous l'avons déjà dit sans doute, mais pourqu nous refuser la joie de le redire : nulle part autan que chez nous l'on ne trouve réunis, en un équité j aussi parfait, la mer, la montagne, la forêt, un climat s: doux, des sites si variés, des routes meilleures ; nulle par


la table n'est plus abondante, les mets plus délicats, les vins plus généreux.

Et si nous abordons un ordre d'idées plus élevé, & chaque pas, dirons-nous, se rencontrent dans notre vieux pays des monuments témoins du passé, de belles et vénérables ruines, des curiosités archéologiques que vingt siècles d'art et d'histoire y ont accumulés, partout enfin où dans notre glorieux pays de France on Pose le pied résonne aussitôt l'écho de quelque haut fait, souvenirs de batailles, souvenirs d'événements historiques dont le voyageur aime à évoquer l'image dans les lieux mêmes où ils se sont accomplis. (Applaudissements.) Avec de tels éléments, notre pays doit devenir la terre de prédilection du tourisme. Nous y travaillons ensemble depuis bientôt un quart de siècle. Le mouvement maintenant est lancé, il ne s'arrêtera plus.

Et ce sera pour nous une joie, Messieurs, et un légitime orgueil de pouvoir dire un jour : « La bataille est gagnée, nous y étions ! » (Longs applaudissements. )

M. Fernand David donne la parole à M. J. Berthelot, trésorier, pour lecture du rapport financier.

Rapport sur la situation financière.

Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, En exécution de l'article 8 des statuts, j'ai l'honneur de vous présenter mon rapport sur la situation financière de l'Association.

Nos recettes se sont élevées cette année au chilîre total de. 1.405.452 fr. 95 C'est le chiffre le plus élevé que flous ayons encore atteint.

Nos dépenses se sont élevées à.. 1.095.397 fr. 70 laissant net un solde en caisse, le 30 septembre, de. - 310.055 fr. 25

Une situation détaillée de toutes les recettes et dépenses par articles, a été publiée dans notre numéro de novembre dernier. Je me bornerai donc à appeler Votre attention sur les chapitres les plus importants.

Celui des Cotisations est en augmentation de 24.278 francs sur celui de l'an dernier. La perte à l'encaissement des cotisations diminue d'année en année. C'est ainsi qu'ayant atteint 14.56 en 1898, elle est tombée successivement à 9.27 en 1903, à 7.92 en 1910 et à 7.64 cette année.

Il est à craindre que cette proportion ne puisse plus être abaissée sensiblement, en raison des cotisations Irrécouvrables à l'étranger, lesquelles atteignent la très forte proportion de 27.03 - -

Parmi les différents postes de recettes en progression llous pouvons citer la Revue Mensuelle, qui passe <~e. 175.054fr.05 à de.. ;;;;; 184-851 f r. 25

Celui des Arrérages et intérêts du compte-courant qui s'élève de. 24.002 fr. 20 à 33.983 fr. 05 Celui des droits de Délivrance des triptyques qui progresse de 29.338 fr. 80 à 37.328 fr. 60 Parmi les différents postes de dépenses, la Revue Mensuelle s'élève, en raison de l'augmentation du chiffre des sociétaires, de. 313.325 fr. 35 à 317.593 fr. 90

- - -. - -.

Dans ce chiffre, les frais d impression et de clichés figurent pour 227,868 fr. 20, ceux de poste et de distribution pour 57.899 fr. 35, ceux de rédaction pour 4.950 francs.

Défalcation faite des recettes, la Revue revient exactement à un franc par sociétaire et par an.

Les autres postes sont tous en proportions parallèles aux recettes.

Notre réserve atteint le chiffre de. 693.688 fr. 10 contre 649.391 fr. 65 l'an dernier.

Enfin, le bilan fait ressortir un actif net de 1.042.049 fr. 50, dans lequel notre hôtel de l'avenue de la Grande-Armée ne figure que pour 450.000 francs, son prix d'achat, alors que sa valeur réelle est sensiblement plus élevée.

Tous ces chiffres figurent d'ailleurs aux comptes publiés dans le dernier numéro de la Revue Mensuelle, qui est actuellement entre vos mains.

- -

En ce qui concerne nos prévisions budgétaires, elles atteignent le chiffre de 1.454.608 fr. 55 en recettes, contre 1.192.000 fr. »

en dépenses, laissant ainsi un excédent de recettes de. 262.608 fr. 55

Ces chiffres n'appellent aucune observation. Ils ont été établis d'après les recettes et dépenses de l'an dernier et justifieront très certainement nos prévisions.

La Caisse de Secours aux Cantonniers, laquelle a délivré à l'heure actuelle 9.212 secours s'élevant ensemble à 221.276 fr. 35, clôt ses opérations au 30 septembre avec un en-caisse de 24.540 fr. 55, après avoir distribué, dans le cours de cet exercice, 14.288 fr. 50 de secours.

Elle a reçu de ses membres fondateurs et souscripteurs une somme de 7.467 fr. 10, à laquelle il convient d'ajouter 9.854 fr. 25, produit des petites annonces de la Revue Mensuelle.

Cette institution, qui rend modestement et sans bruit de très utiles services, ne contribue pas peu à la popularité du Touring-Club parmi la classe si méritante des cantonniers et ouvriers de la route. (Applaudissements).

En présence d'une situation aussi prospère, nous croyons pouvoir vous proposer, Messieurs, d'inscrire à notre réserve une somme de 25.000 francs, ce qui en portera le total espèces à 268.688 fr. 10.

Tous les livres, écritures et pièces de comptabilité ont été, comme chaque année, revus avec la plus grande attention par un expert-comptable dont le rapport a été soumis ensuite à notre Commission des Comptes et du Budget. Ils ont été reconnus parfaitement réguliers.


Nous avons l'honneur, en conséquence, Messieurs, de proposer à votre approbation les comptes de l'exercice et le projet de budget. (Applaudissements).

* * *

Le Président met aux voix :

1° L'approbation des comptes ; 20 Le vote du budget ; 3° La réélection des membres sortants du Conseil d'Administration : MM. L. Auscher, J. Berthelot, Ed.

Chaix, H. Defert, Dr Deschamps, Ch. Gariel.

Ces propositions sont approuvées à l'unanimité.

Les votes par correspondance ont donné les résultats suivants : Votes approbatifs. 3.446 Votes divers. 7 Votes irréguliers. 11 Total. 3.464

**♦ M. Fernand David prononce ensuite le discours suivant :

Discours de M. Fernand David Messieurs, Vous me permettrez, d'abord, de m'associer aux regrets qu'a, tout à l'heure, exprimés M. Ballif et de déplorer avec lui l'absence de mon ami M. Clémentel.

Il était, certes, beaucoup plus désigné que moi pour présider votre Assemblée générale.

Toutefois, je me réjouis, par une pensée purement égoïste, que les circonstances actuelles m'aient amené à nouveau à m'asseoir dans ce fauteuil puisque je me trouve ainsi appelé, une fois de plus, à vous donner un témoignage de ma très constante et très fidèle amitié.

(Applaudissements. )

Ce témoignage, d'ailleurs, Messieurs, je n'ai aucun mérite à vous l'apporter, car bien d'autres que moi pensent de la même façon et agissent de même sorte.

Tous ceux, en effet, qui ont, à quelque degré que ce soit, le souci des intérêts publics, de l'avenir de ce pays, ne peuvent qu'applaudir aux efforts de la grande association que vous êtes, se féliciter de sa prospérité et faire des vœux ardents pour que cette prospérité s'agrandisse encore.

Aujourd'hui, cette grande question du tourisme que vous représentez est au premier plan des préoccupations de la nation, et vous en avez eu l'affirmation lorsque, récemment, les États Généraux du Tourisme ont groupé à Paris les délégués venus de tous les coins de la province.

C'était comme une représentation en petit de la France désireuse de penser en commun, d'agir en commun et de procéder en commun à la recherche des solutions conformes à ses intérêts.

Et, Messieurs, si l'on va ainsi, à plein cœur, et d'un si facile effort vers cette attraction nouvelle qu'est l'étude des questions relatives au tourisme : c'est parce que, réellement, il y a là quelque chose qui est en concordance avec les nécessités de l'équilibre même de la nation.

La poussée moderne tend à dépeupler nos campagnes, elle tend à rejeter vers la ville des masses d'hommes qui y sont attirés, soit par la perspective d'y trouver un travail facile ou plus rémunérateur, soit par la perspective d'y trouver du plaisir.

Et si ce mouvement s'accentuait sans contrepoids, nous arriverions à voir, petit à petit, la vie se retirer des extrémités de la nation alors qu'un engorgement réel, une pléthore déplorable se produirait dans les grands centres urbains.

Contre ce mal, qui peut devenir un fléau redoutable, il se trouve que, tout de même, il existe un remède, et l'on peut dire que ce remède est né du mal lui-même.

Dans l'atmosphère viciée des villes, la vie matérielle devient parfois pénible et la santé est compromise, Si bien que, pour les uns et les autres, grands et petits, du haut en bas de l'échelle sociale, s'impose à tous l'obligation de fuir les cités pour s'en aller respirer Ie grand air pur des solitudes.

Et puis, il y a autre chose encore : ce que, tout à l'heure, vous signalait si bien votre Président, avec l'autorité de l'éminent homme d'État qui a la charge des destinées de la France, — de M. Raymond Poincaré, il y a cette conséquence de la civilisation qui, affinant les intelligences, pousse les cerveaux cultivés à s'orienter vers la recherche de la beauté. Et, la beauté, elle n'est vraiment que dans la nature. Il est facile de constater, comme le faisait M. Raymond Poincaré, que c'est dans la nature que les plus grands artistes ont puisé leurs plus sublimes inspirations.

Mais alors, vous dites, vous, Messieurs — et votre Président le dit en votre nom — la nature, oui ! mais la vraie nature ! ! celle dont nous sommes les fils, et no11 pas celle que nous aurions la prétention absurde de façonner à notre guise.

La nature, nous la voulons tout entière, nous la voU Ions dans sa beauté absolue et nous ne souffrirons Pqs qu'on nous en apporte je ne sais quelle caricature qui1 déshonorerait. Nous la voulons, non pas seulement dafl ses horizons infinis, dans la pureté de ses lacs, dans les lignes imposantes de ses montagnes, nous la voulo*1 aussi, dans cette couronne de verdure qui vient ajout à tout cela cette parure et cette douceur devant les, quelles, souvent, nous restons en extase. (Applaudit ments.) Et c'est pour cela que, résolument, prenant le Pr blème corps à corps et vous attaquant aux profan:t teurs et aux sacrilèges, votre Commission des Pelouses et Forêts dès 1906, sous la haute direction de votre disy gué vice-président, M. Henry Defert, a offert sa CO le boration aux Pouvoirs publics. Messieurs, j'ai eu très grand honneur et le très grand plaisir, à une plc6 très modeste, à cette époque même, d'aider aux en


accomplis par M. Henry Defert. C'est vous dire quelle a été toute ma satisfaction personnelle, toute la joie d'un amant de la nature, de la forêt et de la montagne, de voir réuni ce Congrès de juin 1913, ce Congrès Forestier International, qui, groupant 700 adhérents, 27 nations, a laissé derrière lui une Commission permanente et a contribué puissamment à nous donner une législation nouvelle puisqu'il a servi à faire voter la loi du 2 juillet 1913. (Applaudissements.) C'est, je le répète, une œuvre immense et qui, à elle seule, suffirait à honorer profondément votre Association. La forêt, vous l'avez compris, ce n'est pas seulement cette source de beauté que j'indiquais, c'est pour ta montagne, une condition même de son existence et Une condition du maintien de la vie dans certaines de nos grandes et hautes vallées.

La vie, Messieurs, est quelque chose d'infiniment restreint et de tout à fait relatif. On en fait l'expérience quand on gravit les hautes cimes. On la voit tout audessous de soi, presque tapie dans le fond des vallées et incapable d'escalader la grande montagne. Tout au moins, elle s'efforce sur les pentes et elle arrive à gagner du terrain. Elle se hausse jusqu'à certaines altitudes.

Notre devoir est de l'y maintenir. Or, la vie des hautes montagnes, elle est dans la forêt. (Applaudissements.) Lorsque le paysan sacrilège massacre la forêt pour avoir le bénéfice du pâturage, ce bénéfice est singulièrement précaire et il ne dure pas longtemps. Les nappes d'eau qui, auparavant, quand l'arbre existait, tombaient sur les branches, s'émiettaient dans les racines et descendaient lentement en larges ondées le long des pentes, ces nappes d'eau se transforment soudain en torrents dévastateurs ; sur les flancs ravinés, le pâturage disparaît ; le roc est dénudé ; la plante a fui ; l'animal la suit et, bientôt, c'est l'homme à son tour qui, obligé d'abandonner son hameau, de quitter son village, s'en va vers les cités lointaines et déserte le foyer natal. (Vils applaudissements.) C'est contre cette émigration que vous réagissez en vous attachant à maintenir toutes choses dans l'ordre la nature l'a voulu. L'homme a parfois la prétention de se hausser au-dessus des lois naturelles, mais il ne Peut vraiment les gouverner que quand il arrive à les bien connaître, à les discipliner et à s'en servir ; et si, Un jour, il veut les heurter de front, il est balayé comme Une plume par cette poussée irrésistible de laquelle nous sommes tous sortis. Messieurs, l'œuvre de votre Association conservera à notre pays la place que nous voulons tai garder toujours. Elle donnera à nos beautés touristiques tout le relief, toute la valeur que nous admirons.

l'orée des bois nous pourrons asseoir ces hôtels à la fois confortables et simples que nous réclamons, à la création desquels vous vous efforcez d'apporter votre contribution morale et parfois pécuniaire, et sous leurs ombrages, dans les taillis et sous les futaies, nos enfants iront chercher une fois de plus le réconfort qui leur est nécessaire ; Ul*e fois de plus également la santé de la race se retrempera dans la vigueur du sol nourricier. (Applaudisseécrits.)

C'est là, Messieurs, votre but, je le répète. Tous ceux qui ont quelque souci des choses de notre pays doivent y applaudir.

Vous avez d'ailleurs obtenu la plus haute récompense que, je le sais, vous ayez ambitionnée, puisque vous avez fait naître partout autour de vous des collaborateurs désintéressés, dévoués, généreux, comme ceux dont vous citiez tout à l'heure quelques noms, ! Monsieur le Président, puisque ce grand effort du relèvement de notre pays dans tous les domaines est, pour une partie, votre œuvre.

Vous avez, Messieurs, dans cette assemblée même, à l'heure où je parle, soyez-en convaincus, — vous avez autour de vous et en vous la pensée vivante et agissante de la nation ! (Applaudissements prolongés.) M. Fernand David déclare l'Assemblée close.

Le Président de l'Assemblée, Fernand DAVID.

Le Président du Touring-Club, Le Secrétaire de séance, A. BALLIF. L. BONNARD.

* * *

Au cours de cette solennité, la musique de la 19e brigade d'artillerie a fait entendre les morceaux ci-dessous :

La Marseillaise. ROUGET DE L'ISLE Sigurd (Fantaisie) REYER Oùverture de Phèdre.. , , , ., MASSENET Ballet de Sylvia (Pizzicati et valse lente) DELIBES Marche Héroïque.,. SAINT-SAENS

Nous ne saurions trop remercier M. le général de division Vérand, commandant la place de Paris, de la gracieuseté dont il a fait preuve à l'égard de notre Association, en mettant à notre disposition cette excellente musique.

La conférence de M. Raoul Blanchard qui suivit l'Assemblée a obtenu le même succès que l'an dernier ; c'est dire qu'elle a fait le plus grand plaisir et qu'elle a été couverte d'applaudissements.

La Corse est un sujet inépuisable d'observations pour le touriste et M. Blanchard en avait fait une ample provision qu'il a su traduire avec esprit, humour et entrain, qualités essentielles du conférencier.

Nous publierons cette conférence dans notre prochain numéro (1).

Après la conférence, un film cinématographique de la maison Pathé a fait défiler devant l'Assemblée les principaux épisodes du voyage touristique de M. le Président de la République en Limousin. Film très animé et qui fut très applaudi.

(1) A cette occasion, un de nos anciens sociétaires, le peintre Camille Boiry, nous prie d'annoncer qu'il exposera Galerie Vivien, 41. rue la Boétie, jusqu'au 24 décembre, une suite de tableaux ayant précisément pour objet les sites les plus remarquables de la Corse.

Cette exposition sera ouverte tous les jours de 10 heures à G heures.


LE PONT DU GARD S'il y a en France des préfets inertes que le souci de nos richesses d'art laisse indifférents, il en est d'autres

(Cl. des « Sites et Monuments ».)

LE PONT DU GARD.

fort heureusement qui savent à l'occasion faire le geste nécessaire pour les défendre.

Témoin M. le Préfet du Gard qui, d'un froncement de sourcils, vient de faire rentrer sous terre je ne sais quel Tartarin des bords du Gardon qui ne parlait de rien moins que de faire sauter cette merveille d'architecture

qu'est le Pont du Gard, si l'administration des BeauxArts ne lui achetait pas au poids de l'or les quelques mètres de terrain qu'il possède sur l'une des rives.

Il a suffi de l'envoi de deux gendarmes, et zou ! à la seule vue de leurs bicornes, notre Tartarin de rengainer

ses menaces avec sa dynamite de carton-pâte !

Et le Pont du Gard est toujours debout.

Et, pour comble d'ironie, M. le Préfet a mis les rieurs de son côté!

Bravo, M. le Préfet!

H. D.

COMITÉ

DE

TOURISME EN MONTAGNE

Séance du 20 novembre 1913, Présents : MM. Chailc, Dr Meillon, vice-présidents, Barrère, Borrel, Dumesnil, Helbronner, Raffard, Re' gaud, H. Vallot, J. Vallot et Viollette.

La séance est ouverte sous la présidence de M. ChaixLecture est donnée d'une lettre par laquelle le Ministre du Commerce, de l'Indus' trie, des Postes et Télégraphes, fait connaître dans quelles conditions son aduli' nistration pourrait éveW tuellement participer à l'ins tallation du téléphone dans certains refuges du TouringClub.

En ce qui concerne spé cialement l'établissement d11 téléphone dans les refuges Péclet-Polset et des Evettes, il est compris dans un pro' jet dont le conseil gépél?j de la Savoie poursuit 111 réalisation..

Enfin, l'Administration des Postes et Télégraphe étudie, de concert avec e - _tB

Département de la Guerre, l'ouverture au public du p téléphonique militaire existant au refuge du Col d'izoard.

— Le Comité estime que l'indemnité à allouer aux gares assermentés chargés de la surveillance des refuges sera fi e; non pas d'après un taux uniforme, mais d'après l'importance).

des services demandés à chaque garde. Cette indemnité sera


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déterminée dans chaque cas particulier d'après les propositions présentées au Comité par le délégué, lequel devra, dans l'établissement de ces propositions, tenir compte notamment de l'éloignement du refuge et conséquemment de la difficulté que présente sa surveillance.

— Le Comité renvoie avec avis très favorable à l'Association des Parcs Nationaux de France une demande formulée Par M. le maire de Laveissière (Cantal), en vue de la création d'un parc national au Lioran.

— Le Comité désigne MM. Baudry de Saunier, Dr Gorodiche et Hollande pour le représenter au sein de la Commission mixte créée par l'Automobile-Club de France pour étudier les règlements des Concours de traîneaux-automobiles et de freinage sur longue distance.

— Sur la proposition de M. le Dr Meillon, le Comité décide, en principe, d'augmenter le nombre des couchettes des refuges Russel et Wallon.

- Le Comité vote une subvention de 500 francs pour contribution à l'édification d'un garage au refuge que l'Admi-

nistration a l'intention de construire au Col de Vars.

- Le Comité désigne MM. le Dr Meillon, Chaix, Borrel, Famechon et Raffard pour faire partie d'une Commission chargée de l'étude de la construction et de l'aménagement du refuge du Col du Bonhomme.

*** Inauguration du refuge du Rouge-Gazon (Vosges). — Le 11 novembre a été inauguré, sous la présidence de M. Iwan Imbert, délégué du Touring-Club, maire de Ramonchamp, le refuge du Rouge-Gazon, nouvellement construit par notre Association etsituésur la commune de Saint-Mauricesur-Moselle, dans le Massif du Ballon d'Alsace.

A cette fête assistaient : MM. Gaston Raffard, Membre du Comité de Tourisme en Montagne; Schlumberger, conservateur des Eaux' et Forêts ; Noisette, inspecteur des Eaux et Forêts; Marc, garde général; Demouy, délégué à Remiremont; Kœnig, délégué à Ranspach, représentant nos sociétaires d'Alsace ; Georgel, délégué à Saulxures ; Lesvêque, propriétaire du terrain sur lequel a été construit notre refuge; Boulangé, ancien garde général, etc.

M. Iwan Imbert souhaite à tous la bienvenue et fait à l'assistance les honneurs du refuge.

REFUGE DU ROUGE-GAZON (Vosges). — Massif du Ballon d'Alsace.

M. Raffard remercie M. Iwan Imbert de l'aide précieuse qu'il a apportée une fois de plus au Touring-Club, et le félicite de l'intelligente disposition du refuge, si heureusement situé.

Il remet ensuite, au nom du Touring-Club, médailles, insignes et sacs de montagne à MM. Schlumberger, Noisette, Marc, Boulangé, Grandemange et Huin en remerciement de leur concours dévoué.

Les touristes, après une ascension à la Tête-de-Perche, d'où l'on jouit d'une vue superbe sur l'Alsace, se sont séparés, emportant le souvenir d'un de nos beaux sites de France.

Cartes des Routes de l'Algérie au 400.000e -dressées par ordre de M. JONNART, ancien Gouverneur général Département de Constantine — d'Alger — d'Oran PRIX DE CHAQUE CARTE : La feuille sur papier : 2 fr. 75 (franco 3 fr. 50).

La même entoilée et pliée: 4 fr. 50 (franco 4 fr. 75).

Halte à l'Octroi l

Automobilistes, stoppez ! Ainsi le veut la loi. Mais mettez-vous en garde et défendez vos droits.

Nombre de villes ont imaginé depuis quelque temps de percevoir un droit de 0 fr. 10, 0 fr. 20, voire 0 fr. 25 pour l'essence en service dans les réservoirs de vos voitures. L'employé municipal vous tend, avec ou sans le sourire, un ticket détaché d'un carnet à souche ; il vous réclame quelques sous en échange, et vous pouvez à ce prix continuer votre route jusqu'à la prochaine ville où l'on vous rançonnera de la même façon.

Ces perceptions faites au nom de l'octroi par un employé de l'octroi n'ont de l'octroi que le nom qui leur

sert de prétexte et de couverture. Ce sont, à proprement parler, des péages que l'on est en train de rétablir sur votre dos, parce qu'on vous considère comme taillables à merci, étant donné votre désir d'être arrêtés le moins possible en cours de route et votre prédisposition à tout accepter les yeux fermés pour qu'on vous laisse le champ libre.

Il faut au contraire ouvrir l'œil, — et le bon !

Votre droit devant le petit ticket à deux sous est tout d'abord de vérifier si l'essence figure dans la nomenclature des denrées sujettes à l'octroi, et la liste de ces denrées doit être affichée à l'extérieur et à l'intérieur du bureau.

C'est ensuite de refuser le versement qu'on vous demande. En matière d'octroi il n'y a pas de taxe forfaitaire. Toute perception inscrite au tarif est assise sur la nature et la quantité de la marchandise introduite dans le lieu sujet. En d'autres termes, le ticket inventé dans la circonstance par les municipalités représente une


taxe illégitime qui fait de ceux qui l'ordonnent et de ceux qui la perçoivent ni plus ni moins que des concussionnaires passibles des peines d'emprisonnement et d'amende prévues par l'article 174 du Code pénal.

C'est enfin le droit d'exiger le jaugeage de votre réservoir, au besoin même le dépotage pour mesurer le liquide par transvasion dans des vases officiellement poinçonnés, sauf à payer ensuite les droits sur la quantité constatée, et à vous faire délivrer un permis ou bon de sortie qui vous permettra, parvenus à l'autre bout de la ville, d'exiger le remboursement des droits payés, sous déduction de la quantité consommée dans le parcours d'un bureau à l'autre ; ce qui implique, à la sortie, les mêmes opérations qu'à l'entrée : jaugeage, dépotage, mesurage, etc., etc.

Sans doute, l'exercice de chacun de ces droits n'ira pas pour vous sans quelque retard et quelque désagrément ; mais il faut savoir faire quelques sacrifices pour le triomphe du droit qui se confond dans la circonstance avec celui de la liberté. Et puis, pour quelque ennui que vous en éprouverez, que d'arias pour les municipalités !

Que de tracas pour l'octroi! Quelles harkas d'employés à équiper de pied en cap pour l'accomplissement de toutes les formalités de vérification! Que d'écritures pour la perception des droits à l'entrée et les restitutions dues à la sortie!

Automobilistes, mes frères, essayez un peu pour voir, — et avant qu'il soit longtemps les municipalités auront renoncé à leurs dangereuses fantaisies fiscales, — dangereuses surtout pour elles et leurs employés, — et vous recommencerez à rouler librement devant l'octroi sans autre gêne que la déclaration d'usage, et sans avoir de rançon à payer.

— C'est la résistance que vous nous prêchez!

— Sans doute, mais une résistance légale, nécessaire pour appuyer les démarches que nous faisons en haut lieu, et mettre un terme à la mendicité des villes, mendicité qui ressemble fort à une exaction !

H. D.

COMITÉ DE TOURISME NAUTIQUE

Séance du 21 novembre 1913.

Présents : MM. Glandaz, président; amiral d'Abnour, Bonnard, Boulade, Cloarec, Dupont, Ferrand, Flouest, amiral Gervais, Grenouillet, Lavaud, Leroy, Lestonnat, Martin, Monnot, Rondet-Saint.

Signalisation des barrages. — Le Comité adopte comme procédé de signalisation des barrages dangereux un disque rouge portant le mot « Danger ».

Transport des canots par chemins de fer. — Le Comité suit très attentivemert cette importante question.

Lac d'Annecy. - Le Comité prend connaissance d'un projet de construction d'appontements à Talloires et à Saint-Jorioz.

Ces projets, dressés par M. Lambert, conducteur des ponts et chaussées à Annecy, et transmis par M. Ruphy, délégué nautique, sont approuvés et l'exécution des travaux, qui entraîneront une dépense de 825 francs, est décidée.

Le Comité enregistre la proposition faite par M. Sautereau' propriétaire à Lathuile, de mettre son ponton à la disposition des yachtmen et lui vote des remerciements. Une plaque et e pavillon du Touring-Club signaleront l'existence de ce ponton.

Saint-Pierre-du-Vauvray. — Le Comité prend connaissance des plan et devis de l'appontement qui doit être installé a Saint-Pierre-du-Vauvray (Eure). Il porte à 940 francs le cré i précédemment voté pour cette installation.

Barrage de Bezons. — Le Comité décide de mettre à l'étude l'établissement d'un travail permettant de passer du bras éclusé dans le bras vif, à la pointe de l'île Saint-Martini immédiatement en aval du barrage de Bezons.

Oissel. — Le Comité vote une subvention de 500 francs pour contribution à la construction d'un débarcadère à Oissel. t Meaux. — M. Martin annonce au Comité que le passe-cano s de Meaux est terminé. Le Comité adresse ses remerciements a M. Martin qui a bien voulu se charger de suivre et de diriger l'exécution des travaux.

* * * M. le Sous-Secrétaire d'Etat de la Marine marchande a alloué à notre Association une subvention de 9.000 francs prélevée sur les fonds des primes à la marine marchande. éComme celles qui nous ont été accordées les années préc dentes par MM. les Ministres de la Marine et du Commerce, cette subvention sera employée par le Comité Nautique a l'établissement, en eaux maritimes, de débarcadères pour les bateaux de plaisance.

Nous renouvelons ici à M. le Sous-Secrétaire d'Etat nos plus sincères remerciements pour cette précieuse marque d'intére donnée à notre Association et à l'œuvre du Comité de Tourisme Nautique.

Pour les Parcs Nationaux DE FRANCE ET DES COLONIES

Le Congrès Forestier international du mois de juin dernier a émis un vœu favorable à la création de Parcs Nationaux dans tous les pays, c'est-à-dire de réserve territoriales de grande étendue pour la conservation de la flore et de la faune.

Au lendemain de ce vœu, le Touring-Club a résol d'entrer immédiatement dans la voie des réalisatIon en fondant une association pour la création et l'entfe tien de Parcs Nationaux en France et aux Coloie Au même moment, une occasion s'est présentée lui de créer le premier Parc National français. de Par l'initiative de notre très distingué camara M. Mathey, alors conservateur des Eaux et Forets Grenoble, l'Administration forestière venait d'être saisie d'un projet d'acquisition de 4.248 hectares r terrains en montagne avec location du parcours s 8.714 hectares de terrains contigus. Ce proj et, apuYI par le Touring-Club auprès du directeur génert M. Dabat, a reçu de ce dernier un accueil favorable, et le noyau de notre premier Parc National s'est troU 11 ainsi constitué, avec adjonction éventuelle dans Ili, avenir prochain de plusieurs autres milliers d'hectar


qui porteront la superficie totale à plus de 25.000 hectares.

Cette première réserve est située dans l'Oisans, au cœur même de nos Alpes dauphinoises; elle embrasse tout le vaste cirque de la Bérarde en attendant qu'elle s'étende jusqu'au Pelvoux.

L'excursion dans le Dauphiné qui a suivi le Congrès nous a permis de faire une visite avant la lettre au parc projeté et de nous rendre compte sur place de l'intérêt considérable qui s'attache à cette création.

Depuis, l'auteur du projet et le négociateur habile qui a su obtenir la cession des terrains nécessaires à son exécution, M. Mathey, a bien voulu, à notre demande, exposer l'œuvre à accomplir dans une grande conférence organisée par le Touring-Club, dans un but de propagande en faveur de l'idée et de l'association qui se chargerait de la réaliser.

Sa chaude parole a fait merveille, sa foi d'apôtre a entraîné l'assistance, et l'Association des Parcs Nationaux de France et des Colonies, née au sein du Congrès, a reçu là sa consécration définitive.

Le but immédiat qu'elle poursuit est d'assurer d'abord l'entretien du Parc de la Bérarde.

Si l'Administration a pu trouver sur ses crédits les fonds nécessaires à l'achat et à la location des terrains à mettre en réserve, il est tout à fait impossible, dans l'état actuel des finances publiques, de demander l'inscription au budget des forêts de nouveaux crédits pour faire face aux dépenses de surveillance, de clôture, d'aménagement de sentiers de promenade et autres, qu'entraîne l'organisation de ce parc.

C'est donc à l'initiative privée, au concours de tous ceux que la question est susceptible d'intéresser à divers titres qu'il faut s'adresser pour se procurer les ressources indispensables.

Mais l'Association poursuit en même temps un autre but, et ce n'est pas au seul Parc de la Bérarde qu'elle entend borner son activité.

Ce premier parc se présente sous l'aspect d'un territoire pauvre, dénudé, sans vie animale ni végétale ou presque, résultat des exploitations abusives de l'homme. C'est un champ d'expérience où la nature, désormais laissée à elle-même, accomplira avec le temps son œuvre réparatrice. C'est un laboratoire d'études où le savant fera d'amples moissons d'observations biologiques du plus haut intérêt, en même temps qu'un centre de régénération naturelle, de reconstitution de la flore et de la faune qui offrira aux générations présentes et futures le spectacle de beautés en formation.

Il y a, par ailleurs, d'autres territoires riches en beautés naturelles déjà existantes qu'il serait intéressant de mettre à l'abri de toute atteinte. L'Association se Propose de faire à leur égard œuvre de conservation en les érigeant, dès que faire se pourra, en Parcs Nationaux, étroitement surveillés et défendus contre toute exploitation utilitaire.

Or, pour créer des parcs de cette nature, acheter ou louer à long terme les terrains à protéger et en assurer

la sauvegarde, d'importantes ressources sont encore nécessaires qu'on ne saurait demander entièrement à l'État. Un nouvel effort s'impose, plus considérable que celui qu'exigent l'organisation et la surveillance du Parc de la Bérarde.

Et cet effort, on ne peut l'obtenir qu'en multipliant les concours, en faisant de l'œuvre des Parcs Nationaux une œuvre populaire, à l'exemple de ce qui a lieu chez nos voisins, les Suisses, pour leur parc national du Val Cluoza organisé et entretenu par une Commission de protection de la Nature qui, en moins de trois années, a groupé autour d'elle plus de 20.000 cotisants.

Aussi le Touring-Club a-t-il eu soin de mettre l'Association des Parcs Nationaux à la portée de toutes les bourses. La cotisation annuelle varie de 200 francs (membre fondateur) à 1 franc (adhérent).

Nous adressons un pressant appel à tous nos sociétaires pour que chacun, selon ses moyens, nous apporte son concours. Quelles ressources dès la première heure avec un franc seulement ajouté à nos 137.000 cotisations annuelles !

Ils trouveront à cet effet, à la dernière page de la Revue, un bulletin d'adhésion qu'ils n'auront qu'à détacher et à remplir.

Quant à l'envoi des fonds, rien de plus facile. Il leur suffira de les joindre au montant du mandat-carte qu'ils ont l'habitude de nous adresser, à cette époque de l'année, pour le paiement de leurs cotisations de sociétaires et de membres de la Caisse de secours aux cantonniers.

Nous les prions seulement de vouloir bien prendre la peine d'indiquer dans la partie réservée à la correspondance le décompte de la somme totale portée sur le mandat.

C'est à eux que revient l'honneur de figurer parmi les premiers souscripteurs, et nous avons le ferme espoir de les voir s'associer en très grand nombre à une entreprise qui doit avoir pour résultat de rendre la France plus belle, plus admirée et plus aimée.

Henry DEFERT, Vice-Président du T. C. F.

Voici, à titre de renseignement, les clauses essentielles des statuts : ART. 1ER. — L'Association des Parcs Nationaux de France et des Colonies a pour but la création et l'entretien, sous la dénomination commune de Parcs Nationaux : Soit de réserves territoriales de grande étendue, choisies parmi les régions les plus pittoresques, à l'effet d'y laisser évoluer librement la flore et la faune en les défendant contre toutes les atteintes, individuelles ou collectives, de l'homme, et de constituer ainsi, en même temps que des laboratoires d'études, des centres de régénération naturelle; Soit de parcs proprement dits constitués par un ensemble de beautés naturelles déjà existantes, à l'effet d'en assurer la sauvegarde et de protéger la faune et la flore qui s'y trouvent.

ART. 2. — Les moyens d'action de l'Association sont : la publication de rapports annuels sur les résultats obtenus, l'organisation de conférences, de fêtes et autres réjouissances


dans lesquelles les membres de l'Association seront admis sur présentation de leur carte.

ART. 3. — L'Association se compose de membres fondateurs, donateurs, titulaires, souscripteurs et adhérents.

Pour être membre, il faut adresser au Conseil d'administration une demande signée par deux sociétaires ou accompagnée des références d'usage.

Le versement comme membre fondateur est fixé à la somme de 200 francs, une fois payée.

La cotisation annuelle de membre donateur est fixée à 20 francs, celle de membre titulaire à 10 francs, celle de membre souscripteur à 5 francs, celle de membre adhérent à 1 franc.

Le rachat de la cotisation est admis moyennant le versement d'une somme de 100 francs ; il confère la qualité de membre à vie.

L'Association des Parcs Nationaux est une association déclarée de la loi de 1901, en attendant qu'elle soit en mesure d'obtenir la reconnaissance d'utilité publique.

Un exemplaire des statuts complets sera envoyé à tout sociétaire qui en fera la demande.

COMITÉ DE TOURISME AÉRIEN

Séance du 12 novembre 1913

Présents : MM. le Lieutenant-Colonel P. Renard, président; Banet-Rivet, Chassériaud, Kapférer, Passion, Dr E. Reymond.

M. Passion donne lecture de la première partie de son rapport sur la législation nationale aérienne.

L'ordre du jour appelle la discussion de la liberté de l'air.

Le Président fait connaître qu'il a été saisi de cette question par lettre du Président du Touring-Club. Il expose ensuite l'historique de la question laquelle, à l'étude depuis de longues années, ne fut traitée que d'une manière officieuse en 1910, soit sous forme d'articles de revues ou de brochures, soit sous forme de discussions dans les Sociétés aéronautiques ou dans des Congrès internationaux.

En 1910, le Gouvernement français réunit à Paris une conférence internationale, qui se sépara sans avoir abouti. Cette conférence n'est d'ailleurs pas close, et pourrait se réunir si les gouvernements participants le jugeaient utile.

Après la suspension de cette conférence, chaque gouvernement reprit sa liberté d'action; plusieurs songèrent à interdire d'une façon plus ou moins complète la circulation aérienne au-dessus de leur territoire. L'Angleterre, en particulier, prit des mesures très restrictives : aucun aéronef ne peut pénétrer dans ce pays sans en avoir obtenu l'autorisation préalable.

Dans le courant de l'été, la France et l'Allemagne signèrent une convention pour régler la procédure à suivre en cas d'atterrissage d'un aéronef de l'un des deux pays sur le territoire de l'autre. Cette convention stipulait, en particulier, que chacune des parties contractantes pouvait fixer sur son territoire des zones au-dessus desquelles la circulation aérienne serait interdite. En exécution de cette convention, l'Allemagne a publié récemment la désignation des zones prohibées sur son territoire. La France, de son côté, a pris une mesure semblable qui fait l'objet d'un décret du 24 octobre 1913.

Ces interdictions sont évidemment très gênantes pour la circulation aérienne internationale. Au point de vue purement français, la gêne est beaucoup moindre. Toutefois M. Reymond,

sénateur, fait ressortir les entraves que de semblables réglementations vont nécessairement apporter aux progrès de l'aviation, à une époque où les grands voyages aériens ont une tendance manifeste à se multiplier.

A la suite d'une discussion générale, le Comité émet le voeu suivant : « Il est désirable que les autorisations de circuler en aéronef au-dessus des zones interdites prévues par l'article 4 du décret du 24 octobre 1913 soient accordées de la façon la plus large. »

Le Comité prie ensuite M. Chassériaud, qui accepte, de préparer un projet de signalisation des zones interdites.

AU MONT SAINT-MICHEL

Les touristes qui ont été cette année en excursion au Mont Saint-Michel n'en sont pas revenus contents, et il y a de quoi 1

A la descente des trains, il leur fallait d'abord subir l'assaut d'une nuée de pisteurs des deux sexes, se disputant leurs bagages et leurs personnes au milieu de cris assourdissants.

La porte franchie, c'étaient les appels importuns de mercantis sans pudeur, pour qui le visiteur n'est autre chose qu'une proie à happer au passage.

Et pour achever d'indisposer le touriste, dans les hôtels, les jours d'affluence surtout, écorchement dans les grands prix.

Et avec ça? ? ?

Avec ça, toute une série de scandales 1 Scandale, l'attitude des racoleurs et racoleuses de je ne sais quel établissement décoré du nom prétentieux de Musée, injuriant et houspillant à l'envi les agents de l'administration des Beaux-Arts pour avoir le champ libre, poussant l'audace jusqu'à danser autour d'eux la danse du scalpe avant de régler leur compte, au grand ébahissement du public qui ne comprenait pas toujours.

mais qui toujours suivait le plus fort, et prenait docIle: ment le chemin du Musée payant, croyant aller a l'Abbaye gratuite.

Scandale, l'attitude de la gendarmerie nationale assistant à ces scènes grotesques, où les représentant de l'administration étaient quotidiennement bafoues, sans jamais mettre le holà, et poussant même l'inconscience jusqu'à dresser procès-verbaux sur procès-vef baux (il y en eut 57) contre les agents des Beaux-Arts, coupables d'avoir fait leur devoir en indiquant au* visiteurs le chemin de la Merveille, sous prétexte queî ce faisant, ils avaient contrevenu à l'arrêté municipa interdisant le pistage, alors que les autres galonnés leurs acolytes féminins à la solde du Musée déjà nommé se livraient impunément à un raccrochage intefl sif, et cela, sous l'œil paterne et quelque peu narquOIS de M. le lieutenant de gendarmerie, évidemment cou vert dans la circonstance par quelque ordre supérie' Scandale encore, l'attitude des autorités locales ; dtl maire qui se frottait les mains du bon tour joué à l'adl" nistration par son hypocrite arrêté contre les pIS"


teurs; du sous-préfet qui, pendant que les gendarmes verbalisaient à tour de bras, certains de ne pas lui déplaire, faisait des vers ou de la prose, et du Préfet qui ne faisait rien !

Il ne fallut rien moins que l'intervention à la dernière heure du Pouvoir central pour empêcher les agents des Beaux-Arts de passer en simple police sous l'inculpation de pistage illicite !

Tous ces désordres n'ont que trop duré pour le bon renom du célèbre îlot. Il ne faut pas qu'ils se renouvellent.

Il faut que, la saison prochaine, tout rentre au Mont dans l'ordre accoutumé, que chacun y soit remis à sa place.

Il faut que les agents des Beaux-Arts aient le droit d'indiquer aux visiteurs le chemin de l'Abbaye, aussi librement que les autres, celui du Musée, sans injures ni pugilats, en laissant le public libre de suivre qui bon lui semblera.

Il faut que la police du Mont cesse d'être mise au service d'intérêts particuliers et qu'elle rentre dans son rôle de gardienne de l'ordre et de la tranquillité publique.

Sinon, l'autorité centrale interviendra, comme elle en a le droit et le devoir, et comme elle est d'ailleurs résolue à le faire, nous le savons de source sûre, pour mettre tous les perturbateurs à la raison, assurer par les mesures nécessaires la paisible visite des remparts et de l'Abbaye, préserver la physionomie actuelle du Mont par des prescriptions tutélaires sur la hauteur des constructions, établir même, si on la réduit à cette extrémité, un accès direct à l'Abbaye sans passer par l'agglomération montoise, à l'effet d'en finir une bonne fois avec les extravagances dont tant de touristes ont été les témoins attristés, n'en déplaise à M. le maire, à M. le sous-préfet, à M. le préfet et, au-dessus d'eux, au grand maître du Mont Saint-Michel, M. l'exploitant du Musée. H. D.

La Société d'Archéologie d'Avranches et de Mortain a demandé au T. C. F. de s'associer à la demande qu'elle a formée auprès de l'Administration Supérieure pour l'ouverture, à l'Abbaye même, d'un Musée vraiment digne de ce nom, dans lequel seraient exposés les objets découverts dans les familles et les vestiges des temps monastiques pieusement recueillis et conservés. Les démarches que nous avons faites nous permettent d'annoncer que l'initiative de la Société a reçu en haut lieu un accu,il favorable ; ce dont nous la félicitons bien vivement.

ANNUAIRE GÉNÉRAL Villégiatures dans le Midi Ceux de nos camarades qui se préparent à aller excursionner dans le Midi ont tout intérêt à se munir de 1 Annuaire Général (France-Sud); il.-; trouveront dans ce volume d'utiles indications pour le choix des villégiatures et des hôtels, des renseignements sur les curiosités à visiter, les excursions, etc., etc.

Prix : 1 franc, franco.

COMITÉ ALGÉRO-TUNISIEN

On sait que, sous le patronage de notre Association, s'est constitué, il y a trois ans, un Comité Algéro-Tunisien, lequel s'efforce d'appeler l'attention sur les curiosités naturelles de toutes sortes, fort nombreuses et encore peu connues de l'Afrique du Nord.

Le Comité a fait apposer en France et à l'étranger 30.000 exemplaires d'une affiche artistique, a distribué dans le monde entier 200.000 exemplaires d'un guide-album reproduisant des ruines majestueuses, des cités arabes, des grottes sauvages, etc.

Une somme globale de cent mille francs a été consacrée à cette œuvre.

Le Comité s'est réuni le 8 novembre dernier.

Après avoir pris connaissance de la situation financière, il a décidé la continuation de cette propagande; d'autre part des textes de conférences avec projections seront établis et largement répandus.

AVIS TRES IMPORTANT Il sera délivré à chaque Sociétaire, contre paiement de la cotisation de 1914, un reçu de couleur rose, portant un timbre, dont ci-dessous le fac-similé, lequel devra être collé sur la carte de sociétaire à la place réservée à cet effet, et la rendra valable pour la nouvelle année.

FAC-SIMILÉ DU TIMBRE ROSE 1914 QUE PORTE LE REÇU DE LA COTISATION DE 1914 N? .'<A~

(Il est rappelé que les cartes de sociétaires ne sont pas renouvelées chaque année ; les cartes salies ou hors d'usage sont remplacées gratuitement sur simple demande à laquelle devra être jointe la carte à remplacer.)

Le Concours de la Gare fleurie 1913

Le Concours de la Gare Fleurie (4e et dernière série) vient d'être clos. Nous plaçons sous les yeux de nos sociétaires la liste des gares récompensées à ce concours.

Les résultats du concours de 1913 sont des plus satisfaisants; ils dénotent que les chefs de gare ont parfaitement compris l'initiative du Touring-Club et s'efforcent de rendre leur gare aussi attrayante que possible, tant au point de vue de la propreté et de la tenue que de la décoration florale et arbustive.

Le Touring-Club continuera à encourager et récompenser les chefs de gare qui sauront embellir leur gare et ses abords par un décor de verdure et de fleurs, et en assureront particulièrement la bonne tenue.

Gares récompensées : Prix de cent francs offert par le Touring-Club ; Diplôme offert par la Société Nationale d'Horticulture de Fronce, et médaille de vermeil offerte par M. IJurtault, délégué princirul du Touring-Club : JOUY (Eure-et-Loir).


GARE FLEURIE DE JOUY (Eure-et-Loire).

Prix de cent francs offerts par le Touring-Club et diplômes offerts par la Société Nationale d'Horticulture de France : SISTERON (Basses-Alpes). — FONNEUVE (Tarn-et-Garonne).

ARRE-ET-BEZ (Gard). — SAINT-RÉMY-DES-MONTS (Sarthe).

Prix de cent francs offert par le Touring-Club et médaille d'or offerte par la Société d'Horticulture pratique de Nice et des Alpes-Maritimes :

Gares P.-L.-M. comprises dans la section JUAN-LES-PINS-MENTONGARAVAN.

Prix de cinquante francs offert par le Touring-Club et médaille de vermeil offerte par la Société Horticole, Viticole, Forestière et Apicole de la HauteMarne : EURVILLE (Haute-Marne).

Prix de cinquante francs offert par le Touring-Club et médaille d'argent offerte par la Société Horticole, Viticole, Forestière et Apicole de la Haute-Marne : JOISELLE (Marne).

Prix de cinquante francs offerts par le Touring-Club et médailles d'argent offertes par le Cercle Horticole de Roubaix : BAUVIN-PROVIN (Nord).

CASSEL (Nord).

Prix de cinquante francs offerts par le Touring-Club et médailles chargent offertes par la Société d'Horticulture d'Angers et de Maine-et-Loire : LE LION-D'ANGERS (Maine-etLoire). — BOURGNEUF-SAINTECHRISTINE (Maine-et-Loire). —

MONTREPIL-BELFROI (Maine-etLoire).

Prix de cinquante francs offert par le Touring-Club et médaille de vermeil' offerte par la Société Centrale d'Agriculture et d'Acclimatation de Nice : THÉOULE (Alpes-Maritimes).

Prix de cinquante francs offert par le Touring-Club et médaille d'argent offerte par la Société d'Agriculture, de Viticulture, d'Horticulture et d'Acclimatation du Var : LE TRAYAS (Var).

Prix de cinquante francs offert par le Touring-Club et médaille de bronze offerte par la Société d'Agriculture, de Viticulture, d'Horticulture et d'Acclimatation du Var : CARQUEIRANNE (Var).

Prix de cinquante francs offerts par le Touring-Club : ORRY-LA-VILLE (Oise). — BASDE-LA-RIVI ÈRE (Finistère). — LA JAUDONNIÈRE-PAREDS (Vendée).

-BEAUMONT-DE-LOMAGNE (Tarn-et-Garonne). - ARLANC (puyde-Dôme). — JOZE (Puy-de-Dôme).

— MERU (Oise). — LIANCOURTSAINT-PIERRE (Oise). — SAlNTOMER-EN-CHAUSSÉE (Oise). USSAT-LES-BAINS (Ariège). —

GENOLHAC (Gard). — L'ABERWRACH (Finistère). LA MAGISTÈRE (Tarn-et-Garonne).

Chronographe offert par le Touring-Club et médaille de vermeil oye par la Société d'Horticulture de la Charente : REIGNAC-CONDEON (Charente).

Chronographe offert par le Touring-Club et médaille d'argent offerte par la Société d'Horticulture de la Charente : CHADEUIL (Charente).

(CI. PiilUf'OY') GARE FLEURIE DE SISTERON (Basses-Alpes).


Chronographes offerts par le Touring-Club : VIBRAYE (Sarthe). — LOIVRE (Marne). — PLOUENAN (Finistère). — PREAUX-ISNEAUVILLE (Seine-Inférieure). —

SAINTE-GÉGILE-D'ANDORGE (Gard). — SERMAIZE-LES-BAINS (Marne). — CHATEAUNEUF-SUR-CHARENTE (Charente). —

BAIGNES-TOUVERAC (Charente). — MONTMIRAIL (Marne). —

MARENNES (Charente-Inférieure).

Chaque prix est accompagné d'un diplôme offert par le Touring-Club.

Dans notre avant-dernière Revue, nous avons signalé les manœuvres d'un individu se faisant appeler tantôt Durand, tantôt Chevreux, tantôt Ménard, lequel se présente aux hôteliers principalement, porteur de reçus

GARE FLEURIE DE FONNEUVE (Tarn-et-Garonnc).

d'une agence de publicité, et s'efforce d'obtenir d'eux d'une agence de publicité, et s'efforce d'obtenir J'eux le paiement d'annonces à paraître dans le « Guide du Tourinq-Club » D'autre part, nous sommes informe, s qu'un industriel (?) répand un imprimé reproduisant grossièrement le monogramme de notre Association et adresse, sous le titre « A ux membres du Touring-Club », une circulaire Pour placer un article de sa fabrication.

Nous mettons nos sociétaires en garde contre les agissements de ce « Durand », lesquels constituent une Pure tentative d'escroquerie, et, en même temps, nous rappelons qu'il est absolument interdit par les statuts de faire emploi du monogramme du Touring-Club ou de la qualité de membre de l'Association dan;) une affaire quelconque ayant un caractère industriel ou commercial.

HOTELS Comité du Bon Hôtelier et du Tourisme gastronomique 2e Concours du Bon Hôtelier (Zme Série)

Le Comité du Bon Hôtelier et du Tourisme Gastronomique s'est réuni le 6 novembre.

Etaient présents : MM. L. Auscher, président; L. Baudry de Saunier, iceprésident; L. Bonnard, M. Briand, Ed. Chaix, M. Dumolin, Dr G. Poyet, Ed. Richardin.

Le président expose à ses collègues les raisons qui ont déter-

miné le Conseil d administration à étendre les attributions de la Commission du Bon Hôtelier à la conservation des traditions de la vieille cuisine française. Il importe de ne pas laisser perdre les bonnes recettes qui ont fait autrefois la réputation de notre cuisine nationale et de ne pas'laisser s'implanter en France ces plats internationaux que l'on trouve toujours et partout préparés, aux mêmes sauces et dont les touristes les moins difficiles finissent par se fatiguer. Ce sera l'œuvre du Comité.

Après un échange de vues sur les moyens à employer pour arriver à ce but, le Comité décide de mettre à l'étude un projet de questionnaire à l'usage des touristes, dont les grandes lignes sont fixées et qui sera arrêté lors de la prochaine réunion.

Il est ensuite procédé à l'attribution des récompenses affectées au Concours du Bon Hôtelier de 1913.

* * * Le Concours du Bon Hôtelier portait, en 1913, sur les dépar-

tements ci-après, classés par région et désignés par voie de tirage au sort :

NORD-EST NORD-OUEST SUD-EST SUD-OUEST Cher, Calvados, Allier, Aude, Doubs, Côtes-du-Nord, Bouches-du- Haute-Garonne Hte-Saône, Loir-et-Cher, Rhône, Lot, Seine-et-Marne, Seine. Haute-Loire, Tarn, Vosges, Deux-Sèvres, Rhône, Basses-Pyrénées, Yonne. Vienne. Vaucluse.

Nous publions ci-après les résultats de ce concours : Cinquante-cinq hôteliers en sont les lauréats, alors qu'en 1909, époque où le concours portait sur les mêmes départements, trente hôteliers seulement avaient été récompensés. C'est une nouvelle confirmation, s'il en était besoin, des progrès considérables réalisés par l'industrie hôtelière française,


grâce à l'émulation provoquée par ce Concours du Bon Hôtelier.

* * *

La Rourgogne, avec le département de 1' Yonne, occupe la place d'honneur au palmarès. Huit hôtels de ce département enlèvent le grand prix, un premier prix, deux médailles d'or et quatre autres prix. Honneur aux Bourguignons !

Viennent ensuite les Vosges (sept prix), les Côtes-du-Nord (six prix), Seine-et-Marne (quatre prix), le Doubs, le Rhône et le Tarn (trois prix). A l'Est comme à l'Ouest, au Nord comme au Sud, dans toutes nos régions touristiques enfin, nous constatons chez les hôteliers le même désir de bien faire, la même volonté de donner à l'industrie hôtelière française la place qu'elle doit occuper dans le monde ; c'est la meilleure récompense que le Touring-Club de France pouvait ambitionner.

Liste des Lauréats

du Concours du Bon Hôtelier (1913)

PRIX

Grand Prix.

Mille francs offerts par le Touring-Club.

Premiers prix.

Prix de cinq cents francs (annuel) fondé par M. David Weill.

Prix de cinq cents francs fondé par le Comité d'Action pour favoriser les voyages en France.

Prix de trois cents francs offert par le Syndicat général de l'Industrie hôtelière et des Grands Hôtels de Paris.

Prix de trois cents francs offert par les héritiers de MarieBrizard et Roger.

Médailles d'or.

Médaille d'or offerte par M. L.

Auscher.

Médaille d'or offerte par M. Ed.

Rheims.

Médailles de vermeil.

Quatre médailles de vermeil offertes par M. J. Baszanger.

TITULAIRES

M. Ménard, Hôtel de la Ville de Lyon, à Tonnerre (Yonne).

M. Villa, Hôtel des Voyageurs, à Figeac (Lot).

M. Bergerand, Hôtel de l'Etoile, à Chablis (Yonne).

M. Bernis, Hôtel de la Paix, à Pau (Basses-Pyrénées).

M. Courrent, Hôtel de France, à Chalabre (Aude).

M. d'Honneur-Roger, Hôtel de Paris, à Sens (Yonne).

M. Courtois, Hôtel de l'Ecu, à Sens (Yonne).

MM. Guillonneau et Herpin, Hôtel d'Angleterre, à Romorantin (L.-et-Cher).

M. Camille Brouaux, Hôtel du Point-du- Jour, à Sancerre (Cher).

M. F. Elie, Hôtel de Paris, à Livarot (Calvados).

M. Mahu, Hôtel des Parisiens, à Villerville (Calvados).

Chaque prix est accompagné d'un diplôme offert par le T. C. F.

Diplômes et médailles de bronze offerts par le Touring-Club accompagnés de prix offerts par : Le Chocolat Menier (100 francs, en espèces).

MM. AmienxetCie, Nantes-ParisPérigueux (un lot de conserves destiné à récompenser l'hôtelier signalé comme faisant la meilleure cuisine, valeur : 250 francs).

La Maison Moët et Chandon, à Epernay (un panier de 25 bouteilles de Champagne marque « White Star a, valeur : 200 francs).

M. Artru, Hôtel de Provence, à Saint-Rémy-de-Provence (B.du-Rhône).

M. Davout, Hôtel de France et du Cheval-Blanc, à Chauvigny (Vienne).

M. Sidler, Hôtel des Deux-Clefs, à Remiremont (Vosges).

La Maison Martell et Cie, à Cognac (une caisse de 12 bouteilles Cognac Martell « Trois Etoiles » et une caisse de 12 bouteilles fine liqueur Brandy, valeur : 200 francs).

La Confiturerie Maître frères, à Billancourt (un lot de confitures, valeur : 200 francs).

M. A. Guilhou frère aîné, à Bordeaux (deux caisses de 25 bouteilles de vin blanc sec « Graves Cristal » et deux caisses de 25 bouteilles « Sauternes Majestic », valeur : 225 francs).

M. le comte Gabriel d'Hautpoul, à Albi (Tarn) (deux caisses de Gaillac sec et deux caisses de Gaillac mousseux de 25 bouteilles chacune, valeur : 200 francs).

MM. Fortin et Cie, à Tinchebrai (Orne) (un lot de chocolat de l'Abbaye de Tinchebrai, valeur 200 francs).

La Compagnie fermière de la Grande-Chartreuse (cinq caisses de 12 demi-bouteilles de liqueur de Chartreuse, valeur : 250 francs).

La Distillerie de la « Bénédictine », à Fécamp, (quatre caisses de 12 demi-bouteilles de Bénédictine, valeur : 200 fr.)

La Société des Eaux du Verdet, à Castres (Tarn), (trois caisses de 50 bouteilles « Eau du Verdet » et trois médailles de vermeil, valeur : 200 fr.).

M. F. Woltner, 350, rue SaintHonoré) (quatre caisses de 50 bouteilles « Eau Minérale Apollinaris », valeur : 200 fr.).

MM. Cointreau père et fils, à Angers (quatre caisses de Cointreau triple sec, valeur : 200 francs).

M. CI. Morin, 1, place Boïeldieu (dix caisses de 50 bouteilles eau minérale de Vichy-Cusset, source « Saint-Denis », valeur : 200 francs).

M. Tournant, Hôtel de l'Europe, à Contrexéville (Vosges).

M. Henri Valentin, Hôtel d'Alsace-Lorraine, à Gérardmer (Vosges).

M. Cougard, Hôtel Le Mener, à Gouarec (Côtes-du-Nord).

M. P. Mercier, Hôtel du Commerce, à Lamballe (Côtes-duNord).

M. Lacroix, Hôtel de France, à Lamballe (Côtes-du-Nord).

M. Page, Hôtel du Lion-d'Or, à la Chaise-Dieu (Haute-Loire).

M. Aimé Chazalet, Grand-Hôtel, à Avignon (Vaucluse).

M. J. Herpe, Hôtel du GrandRocher, à Saint-Emam (Côtesdu-Nord).

M. Mathès, Hôtel du GrandBalcon, à Toulouse (HauteGaronne).

M. Sénat, Hôtel Sénat, à Cazèressur-Garonne (Haute-Garonne).

MM. Albert et Duc, Hôtel Californie, à Marseille (Bouches-duRhône).

M. Cornier, Hôtel du Commerce, à Dompierre (Allier).

M. Balandier, Hôtel de la FeuLllée-Dorothée, au Val-d'Ajol, (Vosges).

M. Michel, Nouvel-Hôtel, à Varennes-sur-Allier (Allier).

M. Truchet, Hôtel de VEpée, à la Ferté sous-Jouarre (Seineet-Marne).

M. Henri Ravon, Hôtel Ravon, a Eloyes (Vosges).

M. Fourrier, Hôtel de la Poste, à Vagney (Vosges).

M. Crabeil, Hôtel de la Brèche, à Niort (Deux-Sèvres).

M. Gonnard, Hôtel de la FeuÛ letière, à Lamure (Rhône).

M. Pélisson, Hôtel de la poste, a Vaugneray (Rhône).

M. Boujon, Hôtel de Paris, a Gray (Haute-Saône)..

M. Guillaumet-Douénat, Hôtel de la Poste, à Quarré-lesTombes (Yonne).

M. Geste, Hôtel du Dauphin, a Villeneuve-sur-Yonne (Yonne).

M. A. Cardot, Hôtel des Vosges, à Faucogney (Haute-Saône)- t M. Cottet, Hôtel Saint-Hubert, a la Genevraye (Seine-et-Marne)M. Simon, Hôtel Moderne, à Sain Cyr-sur-Morin (Seine-et-MHrne).

M. Pobey, Hôtel Curin, à Plom bières (Vosges). M. Magrin, Hôtel Beau-Site, à Malbuisson (Doubs).

M. Joseph Brouhaud, Hôtel de la Terrasse, à Saint-Hipp lyte (Doubs).

M. Durand, Hôtel du Chapea" Rouge, à Château-Landon l et-Marne).

M. Lefrançois, Hôtel du (toir- d'Or, à Selles-sur-Cher 0 et-Cher). à

M. Dansin, Hôtel de VEtoi e, à Noyers (Yonne).

M. Fou rrey fils, Hôtel de la r rf à Sermizelles (Yonne)


M. E. Requier, à Périgueux, (six caisses de 12 demi-litres de liqueur « La Gauloise », valeur : 216 francs).

M. Fusiès, Hôtel-Central, à Lacaune (Tarn).

M. P. Vivant, Hôtel du Nord, à Castres (Tarn).

MM. Fusiès frères, Grand-Hôtel, à Castres (Tarn).

M. Goujet, Hôtel de la Brioude, à Villechenève (Rhône).

M. Roy, Hôtel des Voyageurs, à Mouthier (Doubs).

M. H. Bonnet, Hôtel de la Poste, à Moulins (Allier).

M. Guyénot, 1, rue du Printemps, à Paris, (deux caisses d'huile « Motoléine » et deux caisses de graisse « Motoléine », valeur : 200 francs).

M. Lavéant, Hôtel de France, à Lannion (Côtes-du-Nord).

M. Gaston Glade, Hôtel de l'Europe, à Lannion (Côtes-duNord).

Prix des Compagnies de Chemins de fer Un permis de circulation gratuite en première classe, offert par cha- cun des grands réseaux, pour un voyage aller et retour au choix du lauréat.

Compagnie de l'Est.

Chemins de fer de l'Etat.

Compagnie du Midi.

Compagnie d'Orléans.

Compagnie P.-L.-M.

M. Sidler, Hôtel des Deux-Clefs, à Remiremont (Vosges).

M. Crabeil, Hôtel de la Brèche, à Niort (Deux-Sèvres).

M. Courrent, Hôtel de France, à Chalabre (Aude).

M. Villa, Hôtel des Voyageurs, à Figeac (Lot).

M. Ménard, Hôtel de la Ville-deLyon, à Tonnerre (Yonne).

T Chaque prix est accompagné d'un diplôme encadré, offert par le Touring-Club, portant le nom de Diplôme de Bon Hôtelier.

* * *

En outre, les hôteliers ci-après, lauréats du Concours de 1909, ont été l'objet d'un rappel de prix : MM. Rieux, Hostellerie du Grand-Saint-Antoine, à Albi (Tarn).

Azaïs, Hôtel Moderne et Hôtel Pigeon, à Limoux (Aude).

Cagnat, Grand Hôtel de Paris, à Moulins (Allier).

Gazeau, Hôtel de la Chaumière, à Aubigny-sur-Nère (Cher).

Rigommier, Central-Hôtel, à la Roche-Posay (Vienne).

Durand, Hôtel Saint-Michel, à Chambord (Loir-et-Cher).

Guillemin, Hôtel des Colonies, 27, rue Paul-Lelong, Paris.

Malé, Hôtel Moderne, à Châtellerault (Vienne).

Ruesche, Grand Hôtel, à Parthenay (Deux-Sèvres).

Bataillon, Hôtel de l'Est, à Saint-Florentin (Yonne).

Hébrard, Grand Hôtel Moderne, à Souillac (Lot).

Tournier, Hôtel Verdier, à Quillan (Aude).

Moulines, Hôtel des Pyrénées, à Quillan (Aude).

Froger, Hôtel Saint-Pierre, à Vire (Calvados).

Molinié, Hôtel des Voyageurs, à Saint-Céré (Lot).

Rogier, Hôtel de la Poste, à Joigny (Yonne).

Royère, Hôtel de France, à Aix-en-Provence (B.-du-Rhône).

Charpentier, Hôtel du Dauphin, à Nangis (Seine-et-Marne).

Richardot, Hôtel de France, à Isigny (Calvados).

Vitrac, Hôtel du Lion-d'Or, à Rocamadour (Lot).

Féraud Hôtel Cendrillon à Cassis (Bouches-du-Rhône).

Tachy Hôtel de la Gare, à Nuits-sous-Ravières (Yonne).

Momège-Pralong, Hôtel Terminus, à la Chaise-Dieu (Haute-Loire).

Jacomella, Hôtel du Raisin-de-Bourgogne * Niort (Deux-Sèvres).

Cadinu,Hôtel Central, à St-Jean-Pied-de-Port (Basses-Pyrénées).

Heur tel, Hôtel Continental, à Etables (Côtes-du-Nord).

Bover, Hôtel du Louvre, à Apt (Vaucluse).

Mme Carrier, Hôtel de la Poste et des Princes, à Orange (Vaucluse).

MM. Brisedou, Hôtel de l'Etoile, à Mail y-la-Ville (Yonne).

Mauroy, Hôtel de l'Europe, à Ville ranche-sur-Saône (Rhône).

Euvrard, Hôtel du Lion-d'Or, à N eu ville-sur-Ba fme (Rhône).

Roth, Hôtel des Peux-Clefs, à Hénonurt (Haute-Saône).

Gérard, Hôtel Gérard, le Tholy (Vosges).

CIRCULATION

ROUTES

Route des Alpes. — Nous avons signalé dans notre dernier numéro les difficultés soulevées par le département des Hautes-Alpes pour l'exécution des engagements pris par lui en ce qui concerne la livraison des terrains nécessaires à l'établissement de la route et fait connaître, qu'à la suite des protestations soulevées à cet égard, le Conseil général avait décidé de se réunir en session extraordinaire.

Nous avons exprimé l'espoir qu'il s'était produit un malentendu et émis le vœu que la question soit examinée de nouveau.

Le Conseil général s'est réuni en session extraordinaire le 29 novembre dernier et a pris la délibération que nous reproduisons ci-dessous : « Le Conseil général affirme qu'il a, dans sa délibération du 20 août 1913, donné une interprétation exacte et loyale de sa décision du 24 septembre 1909 et la maintient.

« Toutefois, en présence de l'interprétation différente donnée par M. le Ministre des Travaux .publics, comme de l'importance, surtout nationale, de la Route des Alpes, le Conseil général, désireux de ne pas entraver la construction, décide de nommer une Commission qui sera chargée, avec le concours de l'Administration des Ponts et Chaussées, de dresser les évaluations exactes des dépenses que comportent les acquisitions des terrains et immeubles.

« Cette Commission examinera subsidiairement les modifications pouvant être demandées au projet proposé, sans qu'il puisse être tiré argument contre le département de la nomination de la nouvelle Commission. »

A la suite de cette délibération sept membres de cette Commission ont été nommés et invités à hâter leurs travaux, de façon que le Conseil puisse statuer à bref délai.

Nous remercions le Conseil général des Hautes-Alpes, persuadés qu'il s'inspirera, dans la décision à prendre, tout à la fois de l'intérêt vraiment national qui s'attache à l'exécution de la Route des Alpes et de l'intérêt particulier du département, appelé, dans une large mesure, à profiter de la nouvelle route.

En ce qui nous concerne, nous ne manquerons pas, dès que la route sera livrée à la circulation, d'appeler d'une façen particulière et réitérée, l'attention des touristes sur les régions incomparablement belles et pittoresques du Briançonnais.

* *

Corrèze. — Rives de la Haute-Dordogne. — Peu de personnes connaissent les sites ravissants des rives de la HauteDordogne, entre Argentat et le pont de Vernéjoux.

Sur 65 kilomètres, la rivière coule en des gorges profondes, d'une beauté impressionnante, mais d'un accès très difficile, faute de voie carrossable.

Depuis plusieurs années, et grâce à un crédit de 6,000 francs voté par le Touring-Club, quelques améliorations ont été apportées au mauvais chemin de rive actuel, dans la partie compr;se entre Spontour et le Chambon. Ces améliorations, qui ont facilité la circulation des piétons, sont tout à fait insuffisantes pour la circulation cycliste et automobile.

Le Touring-Club vient de reprendre l'étude de cette question. Après s'être assuré, tant auprès du Ministre des Travaux publics qu'auprès du Ministre de F Intérieur, des dispositions favorables de l'administration supérieure, il a prié le Préfet de la Corrèze de faire établir un projet de construction d'un chemin carrossable de 4 mètres de largeur. Ce chemin, de


65 kilomètres de développement, partira d'Argentat, longera la rive gauche de la Dordègne jusqu'au pont de Spontour, où il passera sur la rive droite, pour finir à Vernéjoux. De Vernéjoux on gagne Bort par Champagnac.

Le devis s'élève à 137.000 francs, sur lesquels 50.000 sont à la charge du département. Cette somme est lourde pour le budget départemental. Aussi le Conseil, désireux d'aider largement à la mise en valeur des sites admirables de la Haute-Dordogne, a, dans sa dernière séance, voté au département de la Corrèze une subvention de 20.000 francs.

* *

Côte-d'Or. - Le Syndicat d'Initiative de Savigny-lesBeaune, poursuivant son programme de travaux, a projeté l'ouverture de sentiers d'un développement total de 1.200 mètres pour permettre la visite des jolis sites de la vallée

(CI. Vannier, éditeur, Blois.) FOUGÈRES-SUR-BIEVRE (Loir-et-Cher). — Le château, cour intérieure.

du Rhoin dénommés : Combe-à-la-Vieille, La Cave et Tarboïlle.

Par suite du manque de sentiers, les touristes visitant cette pittoresque vallée se contentent de suivre la grande route sans aller voir les combes et gorges du Rhoin, cependant très curieuses.

Dans l'intérêt du tourisme, le Conseil a estimé qu'il y avait lieu de faciliter la réalisation du projet étudié par le Syndicat d'Initiative et il a voté à cet effet une subvention de 100 francs.

* *

Côtes-du-Nord. — Le Conseil a voté, dans sa dernière séance, une subvention de 1.000 francs pour la construction d'une route qui reliera la plage de Trestraou à Perros-Guirec et à la route en corniche actuellement en cours d'exécution, entre l'anse de Perros-Guirec et la plage de Trégastel.

Pour les piétons, la route projetée facilitera l'accès de la pittoresque vallée de Trestraou ; pour les automobilistes,

elle constituera vers Trestraou la voie d'accès que l'on désire depuis longtemps. Pour ceux venant de Lannion, elle remplacera, par une voie commode, la route actuelle qui présente une pente des plus dangereuses et où, chaque année, se produisent des accidents ; — ceux venant de Ploumanach auront de même un chemin facile au lieu de l'ancienne route qui présente un angle très aigu, au milieu d'une montée de 12 %, et"'dont la largeur est insuffisante en raison de ses nombreux tournants.

***

Creuse. — Le site du Verger, dans la vallée de La Mourne, a été, en 1912, classé comme site pittoresque par l'Administration des Beaux-Arts, c'est dire qu'il présente un intérêt touristique évident. ,

De Bourganeuf on n'y accède que par un chemin praticable aux voitures sur une partie seulement de son parcours

et qui vient aboutir au fond de ia vallée. La visite en serait grandement facilitée par la création d'un sentier de piétons qui, s'amorçant sur ce chemin de voitures, remonterait le versant est de la vallée pour aboutir au chemin dit « de Château-Merle ».

La construction de ce sentier entraînera, d'après le devis établi par l'agent-voyer, une dépense de 500 francs à laquelle la ville de Bourganeuf nous a demandé de contribuer.

Sur avis favorable de notre délégué, M. Bonnetblanc, le Conseil a alloué à la ville de Bourganeuf une subvention de 250 francs.

Deux bancs « Touring-Club Il seront en outre placés en bordure du sentier, à des endroits d'où l'on a une très jolie vue sur la vallée et les gorges de la Mourne.

* * *

Loir-et-Cher. - La commune de Fougères-sur-Bièvre a demande au Conseil général et obtenu l'élar

gissement d'un pont étroit situé sur la Bièvre, à l'entrée u bourg de Fougères.

Ce pont, donnant passage au débouché de sept routes, supporte une circulation très active. Il est emprunté par de nombreux touristes qui vont visiter le vieux château e Fougères classé récemment parmi les monuments historiques, La commune est appelée à contribuer à la dépense d'élargissement du pont jusqu'à concurrence de 1.600 francs, somme élevée pour le budget très modeste dont elle dispose C'est pour lui venir en aide que le Conseil a voté, dans se dernière séance, une subvention de 300 francs.

** Seine-et-Oise. — Le réseau de l'État a décidé la reçoit truction du viadac de la ligne Paris-Le Havre, sur le bout vard Gambetta, à Poissy.

Le viaduc actuel a 3 m. 95 de largeur, trottoirs comprls; il supporte cinq voies ; son peu de largeur et sa longueur el


font un véritable tunnel sous lequel les dangers de collision sont d'autant plus à craindre que la circulation touristique y est très importante. Le boulevard Gambetta donne, en effet, passage à tous les véhicules qui, de Paris, de Saint-Germain et de Maisons-Laffitte, se dirigent vers Mantes.

La ville de Poissy a pensé qu'il serait très utile de profiter des travaux exécutés par le réseau de l'Etat pour obtenir l'élargissement, à 12 mètres, du viaduc du boulevard Gambetta. Il en résultera pour la ville une dépense de 108.000francs.

Etant donné l'intérêt touristique que présentera l'amélioration poursuivie par la ville de Poissy, le Conseil, sur la demande de celle-ci, a affecté au projet une subvention de 3.000 francs.

* *

CHEMINS DE FER Etat. — Paris-Londres. — Des services rapides existent entre ces deux villes, via Pontoise (lre et 2me classes) et via Rouen (3 classes). Des billets simples, valables 7 jours, et des billets d'aller et retour, valables un mois, donnent le droit de s'arrêter à toutes les gares situées sur le parcours, ainsi qu'à Brighton.

Pour renseignements, demander le bulletin spécial du Service de Paris à Londres, qui est envoyé franco sur demande affranchie adressée au Secrétariat des Chemins de fer de l'Etat, 20, rue de Rome.

* * *

Orléans. — L'hiver aux plages nantaises. — En vue de faciliter l'hivernage dans les stations comprises entre Pornichet et Le Croisic, la Compagnie délivre, jusqu'au mercredi précédant la fête des Rameaux 1914, aux familles d'au moins trois personnes, des billets d'aller et retour collectifs à prix réduits, dits « Billets d'hivernage », valables deux mois, avec faculté de prolongation d'un mois.

Toutes les gares du réseau délivrent ces billets sous condition d'un parcours d'au moins 150 kilomètres (aller et retour) Paris-Barcelone. — Des billets directs simples et d'aller et retour des trois classes, avec enregistrement direct des bagages, sont délivrés entre Paris-Quai-d'Orsay et Barcelone.

Des trains, comprenant des voitures directes, wagonslits et wagons-restaurant, assurent les relations entre ces deux villes, suivant l'horaire ci-après pour le train de luxe : Par Limoges-Toulouse, départ de Paris, 19 heures ; arrivée à Barcelone, 15 h. 40.

Par Bordeaux, départ de Paris, 12 n. 10 ; arrivée a Barcelone, 7 h. 53.

* * * P.-L.-M. - Sports d'hiver. — La Compagnie émet, jusqu'au ler mars, pour Chamonix et Aix-Ies-Bains-Mont-Revard, des billets d'aller et retour à prix réduits, lre et 2e classes, valables 15 jours, avec faculté de prolongation.

D'autre part, un train express de nuit (pe et 2e classes) est mis en marche, jusqu'au 15 février, entre Paris et Chamonix.

Départ de Paris, 22 h. 15 ; arrivée à Chamonix, 10 h. 47.

Relations avec le littoral. - 1° Côte d'Azur rapide : un train extra-rapide de jour (lre classe, lits-salon et deux restaurants) circule entre Paris et Vintimille et inversement jusqu'au 15 mai, faisant le trajet de Paris à Nice en 13 heures.

20 Train de nuit extra-rapide : ce train, composé de voitures à bogies (1re classe), lits complets, lits-salon, sleeping-

car, wagon-restaurant et couchettes, dessert quotidiennement la Côte d'Azur, sauf le jeudi, jusqu'au 29 avril.

Le nombre de places de ces deux trains est limité; on peut les retenir d'avance moyennant 2 francs par place.

Calais-Méditerranée. — Un train de luxe quotidien, mis en marche jusqu'au 15 mai inclus, permet de faire le trajet Londres-Nice en 23 heures 1/2.

Pour plus amples renseignements, consulter le livret-guidehoraire P.-L.-M.

Algérie-Tunisie, via Marseille. — Un service direct est assuré par des billets simples, valables 15 jours, entre Paris et différents ports d'Algérie et de Tunisie. Ce service permet des arrêts facultatifs sur le réseau P.-L.-M., à toutes les gares de l'itinéraire, et l'enregistrement direct des bagages de Paris aux ports algériens et tunisiens.

Le parcours maritime est assuré par les paquebots de la Compagnie Générale Transatlantique et de la Compagnie de Navigation Mixte (Touache).

On peut se procurer des billets à Paris : dans les bureaux de ces deux Compagnies et à la gare de Paris-P.-L.-M.

Dans notre numéro de mai (Val dIsère, par L. Boulanger, p. 217), nous annoncions l'ouverture prochaine de la ligne de Moutiers à Bourg-Saint-Maurice.

C'est maintenant chose faite : le nouveau tronçon a été inauguré officiellement le 20 novembre dernier.

Les voyageurs qui, les premiers, ont eu le plaisir d'effectuer le parcours, ont admiré les ouvrages d'art nécessités par la construction de la ligne, et l'aspect vraiment pittoresque de cette partie de la vallée de l'Isère, appelée Haute-Tarentaise, qu'encadrent de hautes montagnes recouvertes de neige.

* * DOUANES Triptyques belges. — Nous recommandons de nouveau à ceux de nos sociétaires qui se sont servi de triptyques pour la Belgique, dans le cours de l'année 1913 et pendant les mois de novembre et décembre 1912, de ne pas manquer de faire décharger leur permis avant le. 31 décembre.

La douane belge n'admettant aucune preuve desortie autre que celle du visa apposé par ses propres agents sur la souche du triptyque, les sociétaires qui se trouvent dans l'impossibilité de se rendre à la frontière belge avec leur voiture avant

la fin de l'année devront solliciter du Ministre des Finances de Belgique une prolongation de délai de validité de un, deux ou trois mcis, en exposant les raisons pour lesquelles ils n'ont pu faire décharger leur permis en temps voulu. Cette prolongation leur permettra d'accomplir, à la frontière, durant ce nouveau délai, les formalités nécessaires de constatation de sortie.

Carte des Routes et des Chemins de fer de la Tunisie au 500.000° dressée par la Direction générale des Travaux Publics

Carte en couleurs indiquant les routes carrossables avec chaussée empierrée et non empierrée, pistes principales généralement carrossables, bureaux de poste et télégraphes, phares, caravansérails, points géodésiques, etc.

La feuille sur papier : 2 fr. 75 (franco 3 fr. 50).

La feuille entoilée et pliée : 4 fr. 50 (franco"4 fr.tl5).


HOTELS DE STATIONS HIVERNALES Nous avons, dans la Revue du mois de novembre, donné une 1 ste des hôtels de stations hivernales françaises où se pratiquent les sports d'hiver et possédant le chauffage central. Il y a lieu d'ajouter à cette première liste les hôtels désignés ci-dessous :

PÉRIODES LOCALITÉS HOTELS PÉP.IODES CHAUFFAGE D'OUVERTURE

Vosges Gérardmer. Saut-des-Cuves. Toutl'hiver. Central.

Jura Les Rousses.. De France. Tout l'hiver. Central.

Vivarais La Bastide. Terminus. 15 oct.-lermai. Central.

Alpes Briançon. Terminus P.-L.-M. Tout l'hiver.. Central.

Briançon. Grand HôteL. Tout l'hiver.. Central.

Chamonix. Claret et de Belgique.. Tout l'hiver.. Central.

Chamonix. Carlton- Hôtel. Tout l'hiver.. Central.

Les Contamines Saint-Gervais. De la Bérangère. Tout l'hiver. Central.

Megeve. Grand Hôtel Conseil et du Soleil d'Or Toutl'hiver.. Phares et bois.

Modane. Savoy-Hôtel. Tout l'hiver.. Central.

Modane. Grand Hôtel International Tout l'hiver.. Central.

Monestier-deClermont. Modern-Hôtel Piot. Tout l'hiver.. Central.

Le Revard. Du Mont-Revard Tout l'hiver.. Central.

Le Sappey. Des Tourites. Tout l'hiver.. Central.

Le Sappey. Du Dauphiné. Tout l'hiver.. Central.

Villard-de-Lans De Paris Tout l'hiver.. Central.

Villard-de-Lans Du Parc et Château.. Tout l'hiver.. Central.

Villard-de-Lans De la Poste,.,. Tout l'hiver.. Central.

Pyrénées Les Eaux-Bonnes. ContinentaL.,. Tout l'hiver.. Central.

Carte du Maroc au 500.000e en 11 feuilles en S couleurs héliogravure sur zinc, figuré du terrain en courbes. La feuille : 0 fr. 80 (franco 1 franc).

S'adresser au Siège social.

Notes d'un touriste en Indo-Chine en 1913 « L'Indo-Chine, c'est bien loin, et le touriste ne s'y montrera jamais qu'à l'état d'exception », nous a-t-on objecté de différentes parts, lorsque les travaux de notre Comité colonial ont abordé l'étude de l'aménagement touristique de notre empire jaune.

La première de ces énonciations est indiscutable ; l'Indo-Chine est loin : 24 jours de mer, entre Marseille et Saïgon, et 3 jours en moyenne, de Saigon à Haiphong.

Traversées d'ailleurs tout à fait normales pour les pratiquants du grand tourisme.

La seconde est matériellement erronée. Et je vais le prouver de façon irréfutable : le tourisme, et peut-être plus encore le grand tourisme international, est devenu de nos jours une véritable industrie, ayant son organisation économique et ses statistiques. Dans nombre de pays, celles-ci figurent dans les tableaux généraux dressés par les administrations d'Etat, au même titre que n'importe quelle. marchandise. Ne vous choquez pas de ce rapprochement, ô touristes ! puisque c'est votre valeur économique, etnon le charme de vos personnes, qui vous vaut la sollicitude dont vous entourent, de nos jours, les pouvoirs publics du monde entier.

On sait donc que la moyenne actuelle des visiteurs est, par an : au Japon, de 18 à 20.000, en léger fléchissement ; aux Philippines, de 4.000 ; à Java, de 8.000, en très rapide progression ; aux Indes, de 25.000.

Et en Indo-Chine? demanderez-vous. Eh bien, en Indo-Chine, elle n'atteint pas. 200 !

Autant dire qu'on ne va pas en Indo-Chine. Ou plutôt, qu'on n'y va pas encore. Car on y ira bientôt, cela ne fait pas de doute, puisqu'il s'agit, non de faire venir dans notre grande possession asiatique des voyageurs bénévoles: attirés de l'Ouest-Américain ou de l'Europe, mais. ce qui n'est point du tout la même chose, de puiser dans l'énorme effectif de voyageurs gravitant forcément autour de l'IndoChine, et dont je viens de vous dire les chiffres, quelques centaines d'abord, puis quelques milliers de visiteurs, qu'il importe de canaliser vers notre territoire, dans la sphère duquel ils se trouvent déjà.

Dans le rapport remis à notre Comité colonial sur la question, j'ai indiqué, aussi complètement que possible, les moyens pratiques de publicité, d'aménagement et la méthode à employer pour parvenir à ce résultat. Les limites imparties à un article m'obligent à mentionner seulement la chose sans l'analyser.

Un trait suffira à caractériser les possibilités : depulS cinq ans que le gouvernement général néerlandais de Ja;t s'est attaché à l'exploitation touristique de la grande île de l'Insulinde, l'afflux des touristes, qui était de 500.

a sensiblement doublé chaque année, pour aboutir pu* 8.000 précités. Or. il est permis de le dire sans éveil'01* de susceptibilités, si l'organisation du tourisme à Java est de toute première valeur, et très probr blement ce


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qui existe de mieux au monde dans cet ordre de choses, intrinsèquement Java est. sous le rapport touristique, inférieur à notre Ldo-Chine. au point de ne pas même comporter un instant la comparaison.

* * *

Maintenant que je vous ai résumé, aussi succinctement que possible, l'état actuel de la question, je vais m'efforcer de vous montrer, en quelques rapides données, comment on parcourt l'Indo-Chine en l'an de grâce 1913.

Tout d'abord. il y a deux moyens de gagner l'IndoChine : soit par Suez, le paquebot vous déposant à Saïgon ; soit. par le Transsibérien, Changhaï. Hong-Kong et Haïphong. Une ligne française fonctionne entre ces deux derniers points.

On peut donc, à sa volonté, attaquer ce voyage par le nord ou par le sud.

Fait à noter, et qui comporte son enseignement : loin de nuire aux compagnies maritimes, le Transsibérien les a, au contraire, favorisées en amenant d'Europe en Extrême-Orient nombre de touristes qui n'y fussent pas venus sans lui et qui, évitant de faire deux fois le même trajet, arrivent par le, rail wa y et s'en retournent par le paquebot, ou vice versa. Constatation très platonique, en ce qui nous concerne, au surplus, puisque, comme je vous l'ai dit, notre admirable colonie a tiré jusqu'ici un parti à peu près nul de ce mouvement.

* * *

L'Indo-Chine comporte trois régions touristiques aussi distinctes que possible : Le sud, avec Saigon et ses environs ; Pnom-Penh ; Angkor et ses ruines maintenant célèbres dans le monde entier, mais supérieures encore en réalité à leur réputation universelle. A ce programme, peut s'ajouter une pointe jusqu'à la bien pittoresque et bien curieuse région Moi, des montagnes méridionales d'Annam.

Le centre, avec Tourane, le site si artistiquement joli de ses Montagnes de Marbre, le Col des Nuages ; Hué, sa vieille pagode de Confucius, et l'ensemble de ses tombeaux impériaux, qui est d'une réelle beauté.

Le nord, enfin, avec sa baie d'Along, extraordinaire merveille naturelle, pleine de grandeur, et dont on chercherait en vain l'équivalent ailleurs dans le monde ; Haïphong, le port du nord ; Hanoi, la belle ville coloniale accotée à une grande cité indigène. Enfin, cette autre chose extraordinaire qu'est le chemin de fer du Yunnan, et son objectif Yunnan-Sen, la vieille cité, hier encore mystérieuse, de l'ancien Empire Jaune.

Je m'excuse de tous ces adjectifs qui rappellent un peu le « greatest in the world » cher aux Américains. Mais je ne trouve pas d'autres termes pour désigner telles choses dont, effectivement, l'équivalent en grandeur, en beauté, en intérêt, se chercherait en vain ailleurs sur terre.

Et les quelque 150 à 200 touristes annuels dont je parlais tout à l'heure représentent tout le parti que nous

avons, depuis tant d'années, tiré de ces trésors !. J'aurais. comme Français, mauvaise grâce à insister.

Rien n'est facile, de nos jours, comme le voyage d'Extrême-Orient, par ces beaux paquebots que les Messageries Maritimes et, dans un ordre d'idées un peu différent, les Chargeurs réunis, ont aujourd'hui sur la ligne.

Il ne faudrait donc pas s'imaginer, comme certains seraient tentés de le faire, faute de savoir ou pour s'en être rapportés à des données remontant seulement à quelques années, que le voyage d'Indo-Chine, en 1913, tient de l'exploration, à la condition de limiter le champ d'action aux régions que je viens de mentionner et auxquelles doit se borner naturellement l'organisation touristique, qu'il n'y a aucun intérêt à éparpiller vers des objectifs secondaires.

L'industrie hôtelière, sans être partout égale, est parfaitement en mesure, dès aujourd'hui, dans les trois régions sus indiquées, de répondre aux besoins de la clientèle touristique. Saïgon comporte, entr'autres, un grand hôtel à faire envie à bien des villes de France, voire non bien loin de Paris. Hanoï possède un autre hôtel important, parfaitement à même de se mettre au niveau des besoins du grand tourisme, un peu exigeant, mais qui «paie ». Haiphong est bien doté également. Le bungalow d'Angkor, dont il fut déjà question ici, constitue une parfaite organisation. Hué, Pnom-Penh, les arrêts sur la ligne du Yunnan, ont de bons ou très sortables hôtels également. Point à noter : partout l'industrie hôtelière, qui n'attend que le coup de fouet du tourisme pour se développer et atteindre la prospérité de sa congénère javanaise, s'est conformée, autant quelle l'a pu, aux prescriptions de notre T. C. F.

D'ailleurs, notre Association est représentée là-bas par nombre de membres et quelques délégués, dont certains, tel M. Saint-Pouloff, de Hué, sont arrivés à lui recruter nombre d'adhésions dans la société indigène.

Un syndicat d'initiative, très actif, fonctionne à Saïgon.

Un autre s'organise à Hanoï.

* * *

Dans un pays aussi varié de nature, d'aspect, de climat, comportant autant d'écart dans l'organisation de ses diverses parties, que l'Indo-Chine, les moyens de transport varient à l'extrême. Dans tout le sud, Cochinchine et Cambodge, l'auto dispose d'un superbe réseau de routes excellentes. Aussi le nombre des automobiles, rien qu'à Saïgon, dépasse-t-il déjà 300, dont un certain nombre appartiennent à de riches Chinois de Cholen, le faubourg industriel de Saïgon.

En Annam, le réseau est moins bon et moindre, jusqu'ici. Dans le nord, les routes, quoique représentant un nombre respectable de kilomètres, ont été, pour diverses raisons, assez médiocrement entretenues. Et l'auto, moins favorisé, est d'un usage plus restreint. D'ailleurs en fait, le touriste recourra surtout à l'auto dans le sud, et seulement occasionnellement dans le nord. Guère point, en Annam.


Le réseau des chemins de fer indo-chinois permettra, quand le Transindochinois sera parachevé, d'aller de Saigon à Yunnan-Sen et au delà, au cœur de la Chine méridionale, sans quitter le rail ! On n'en est pas là encore, malheureusement. Tel qu'il est, le réseau ferré d'IndoChine est déjà respectable. En partant du sud, il atteint dès aujourd'huia\environ 400 kilomètres au nord de Saigon. Il est ouvert, de Tourane à Hué et au delà, sur en viron cent kilomètres. Au nord, il part de Vinh, — d'où

(Cl. extrait ile l'Indu-Chine pittoresque et monumentale, par P. Dieule/ils, éditeur, à Hanoi.

1. ANGKOR-VAT. — Cour devant l'escalier monumental (2e étage).

l'on peut gagner Hué en auto — et remonte à Hanoï d'où il est possible de rejoindre Haïphong,d'un côté et, en trois jours, Yunnan-Sen de l'autre ; je ne parle pas, bien entendu, des lignes secondaires se détachant de la grande artère nord.

Les trains sont rapides, pour leur voie d'un mètre, réguliers et confortables.

Après le train et l'auto, le grand moyen de transport est la voie fluviale. Les services des Messageries Fluviales de Cochinchine assurent de façon satisfaisante les communications dans le sud, notamment avec Pnom-Penh et Angkor. L'an prochain, le bateau sera en contact avec la

nouvelle route permettant de gagner dans les conditions les plus confortables le bungalow des Ruines.

Nous voilà loin des conditions du voyage effectué jadis par le Pélerin de M. Pierre Loti.

Le service de la côte, de Saïgon à Haïphong par Tourane et escales, est assuré par la Compagnie des Messageries Maritimes. J'ai, personnellement, conservé excellent souvenir de mes traversées sur ses bateaux.

Enfin, c'est la firme d'armement Roque, de Haïphong,

qui effectue le voyage en baie d'Along. Cette firme possède une flottille d'excellents vapeurs, tenus comme des yachts, au sens absolu du mot, et le séjour à bord de ces unités vraiment parfaites ajoute le plaisir du yachting à la beauté puissante du cadre. De ma vie je n'oublierai ces trop courtes journées passées à bord du Rubi: qui nous transportait.

Sauf un tramway à Hanoi, et les deux tramways Saïgon-Cholen, le mode urbain de locomotion est partout le pousse-pousse. Certains s'en servent pour faire de longues randonnées. On recourt parfois aussi à la simple et banale voilure. Mais ce mode ne convient guère ici au touriste.


Dans l'intérieur on emploie, suivant les cas, la chaise à porteurs ; le cheval, petit mais résistant ; l'éléphant, souvent au Cambodge et au Laos.

Comme vous le voyez, ni le choix ni le cachet ne manquent aux transports indo-chinois.

* * *

Je ne vous ai point parlé du Laos parce que l'accès de ce lointain pays échappe au voyage banal, et, effectué partie en chaloupe, partie en radeau ou en pirogue, il présente assez d'aléas et demande trop de temps pour être accessible à d'autres qu'à des voyageurs très rompus

vt.. A.'bert Durand.) FOUGÈRES. — Tour Nichot (XIIIe siècle), vieilles fortifications et château.

aux grandes randonnées en pays tropical. Il n'est pas près d'être accessible à la masse des touristes.

* * *

En ces quelques lignes, je pense avoir donné un aperçu de cet inégalable pays de tourisme qu'est l'Indo-Chine et montré, par l'exemple de ce qu'ont fait l'Inde, l'Insulinde et le Japon, le parti que notre Empire Jaune peut, bien aménagé, bien connu à son tour, attendre, du tourisme, inépuisable source de richesse répartie sur toutes les classes sociales de chaque pays qu'il adopte.

Notre Association travaillera à réaliser promptement ce voeu, si conforme à l'intérêt général de la Plus Grande France.

Maurice RONDET-SAINT, Secrétaire du Comité de Tourisme Colonial.

SYNDICATS D'INITIATIVE Syndicat d'Initiative de Fougères (Ille-et-Vilaine),M. G. Cordier, délégué du Touring-Club, nous informe que le Syndicat a acheté la tour Nichot, fort jolie tour de 15 mètres de hauteur et de 9 mètres de diamètre, en saillie sur les vieilles fortifications de Fougères et qui remonte au xlIIesiècle.

Le Syndicat a acheté le terrain au pied de la tour et l'immeuble voisin dans lequel elle était engagée. Il a fait démolir cet immeuble et les déplorables constructions modernes qui couronnaient la tour.

Ainsi dégagée et mise en valeur, elle a été classée parmi les monuments historiques.

Le Syndicat se propose de demander à l'Administration des Beaux-Arts l'établissement d'un chemin circulaire découvert à la partie supérieure de la tour, afin que les touristes, auxquels l'accès est librement et gratuitement permis, puissent admirer le superbe panorama de la vallée.

A quelques mètres de la tour Nichot, et toujours sur les vieux remparts, la Société archéologique de Fougères va acheter un superbe porche du xve siècle et une vieille maison du XIIIe siècle pour en assurer la conservation.

Dans la basse ville, un membre du Syndicat d'Initiative vient d'acheter un immeuble du XIIIe siècle en ruines ; il va le restaurer et en demander le classement.

Comme on le voit, un mouvement artistique se dessine très nettement à Fougères pour sauvegarder le pittoresque de cette ville.

Saint-Chamond Excursionniste (Loire). - Cette Société installe actuellement, dnns son nouveau local situé place de


la Liberté, n° 30, un bureau de renseignements touristiques pour le Massif du Pilat et la région Saint-Chamonaise.

Le secrétaire se fera un plaisir de répondre à toutes les demandes de renseignements qui lui seront adressées par correspondance (joindre un timbre de 0 fr. 10).

Saint-Chamond Excursionniste accepte avec plaisir les envois de guides régionaux et affiches illustrées que voudront bien lui adresser les Syndicats d'Initiative, soit pour la distribution, soit pour l'affichage.

Syndicat d'Initiative de Bourg (Ain). - Au moment où, un peu partout en France, les Syndicats d'Initiative et les Sociétés particulières font une campagne en faveur de la conservation des anciennes coutumes et costumes, le Syndicat d'Initiative de Bourg nous informe qu'il ouvre des cours gratuits de vielle, sous la direction de M. Emile Convert. et il invite les jeunes gens à y assister. La vielle est, en effet, un instrument très ancien et dont l'usage remonte fort loin déjà dans les divertissements de la population de l'Ain et des départements environnants. On le nomme également en patois vieille, viola ou vieula, parmi les campagnards bressans.

Déjà, il y a quelques mois, M. Prosper Convert, de Viriat, a monté à Bourg Les Ebaudes, pièce très intéressante et où toutes les coutumes de l'endroit, tous les jolis costumes bressans ont été remis en valeur ainsi que la vielle.

Nous faisons des vœux pour que, dans toutes nos contrées de France, nous assistions bientôt à la renaissance des traditions sous tous leurs aspects.

Fédération des Syndicats d'Initiative du département de Constantine (Algérie). — A la suite d'une réunion tenue à l'hôtel de ville de Constantine le 16 novembre dernier, une Fédération des Syndicats d'Initiative du département de Constantine a été constituée. Celle-ci comprend les Syndicats de Bône, Bougie, Constantine, Sétif et Biskra.

Appel aux Syndicats d'Initiative. — M. J. Patouillet, membre de notre Comité de Tourisme Scolaire, directeur de l'Institut Français de Saint-Pétersbourg, désireux de créer à cet Institut une petite bibliothèque touristique française, fait appel aux Syndicats d'Initiative et les prie de lui envoyer les brochures, guides et publications diverses qu'ils éditent.

Cette propagande en faveur des régions touristiques françaises portera certainement ses fruits parmi les nombreux auditeurs et auditrices de l'Institut, lesquels, bien que russes, sont en très grande majorité des professeurs de français.

Beaucoup sont déjà venus en France et désirent y revenir ; d'autres seraient heureux d'y venir, malheureusement ils ne savent où et à qui s'adresser pour avoir des renseignements.

Envoyer toutes publications à l'Institut Français, 13, rue Gorokhovaïa, Saint-Pétersbourg.

AVIS IMPORTANT Nous prions instamment les Sociétaires qui viennent ou envoient au Siège social chercher un Annuaire, un Guide, une Carte routière ou tout autre objet que nous procurons aux membres de l'Association, de se munir ou démunir leur représentant de leur CARTE DE SOCIÉTAIRE.

C'est seulement sur la présentation de cette carte que ces objets peuvent être délivrés.

Les demandes par correspondance doivent mentionner, indépendamment de l'adresse, le NUMÉRO DE SOCIÉTAIRE que porte la carte d'identité.

autour du pr)eu J (SUllel) ly

Résumé des articles précédentq.- Le pneu, mal nécessaire, sa constitution. — L'union du pneu et de la jante. — Mauvais et bon accrochage. — Le boulon de sécurité. — St's inconvénients et sa disposition. — Le boulon-valve suffit. — Comment il faut gonfler. — La théorie actuelle du gros pneu peu gonflé. — Le rebondissement.

— Les ennemis du pneu : l'eau, les graisses, la rouille, la sécheresse, la lumière.

La tension superficielle. — Le pneu au travail. — Influence du mécanisme sur les pneus. — Non parallélisme des roues avant. — Roue voilée, fusée faussée. — Non parallélisme des essieux. — Les moyens de contrôle.

A côté des causes anormales d'usure prématurée des pneus dues à un défaut dans le mécanisme, il faut faire intervenir la disproportion entre le pneu choisi d'une part, le poids et la puissance réelle d'autre part.

Le jumelage. — Ses inconvénients et ses avantages. — La conséquence du travail normal ou anormal du pneu est l'échauffement, puis l'élévation de la pression interne. — Le choix rationnel des bandages, le gonflement, la sagesse dans la conduite valent beaucoup mieux que l'eau à l'extérieur ou à l'intérieur.

* *

Sommaire. — La route contre le pneu. — Piqûres et contusions, —r Les hernies. — Diagnostic et traitement. — La pharmacie. Appareils et médicaments. Dissolution. - Pastilles. — Comètes.

— Guêtres. — Corsets.. — Vulcanisateur. — Bouteille d'air.

Puisque le Salon d'octobre a interrompu nos Causeries sur le Pneu, il me sera permis de vous rappeler que nous avions étudié le pneu « en soi » (ainsi parlent les philosophes), puis l'influence de la voiture, par son poids ou sa vitesse, sur le pneu et qu'il nous reste à jeter un rapide coup d'œil sur ce qui peut encore influencer le pneu, la route et le chauneur.

VOITURE, ROUTE et CHAUFFEUR, tels sont bien les trois éléments contre lesquels le pneu bataille, bondit, glisse ou s'accroche, résiste ou s'aplatit, se perfore, souffre, éclate et meurt.

Si la VOITURE a contre le pneu deux armes terribles: le poids et la vitesse, que lui réserve.

LA ROUTE?

La route, c'est d'abord te petit silex tranchant qui constelle sa surface d'une foule d'entailles en étoiles qui font ressembler le croissant, lisse jadis, à une fenêtre couverte de givre. Superficielles, elles n'ont pas d'impor tance. Plus profondes, elles entraînent deux désagréments. Si la coupure se produit sur la face latérale du pneu sans intéresser les toiles, il se produit le phénomène suivant :

(1) Voir la Revue de septembre, page 399.


L'épaisseur du caoutchouc diminue naturellement du bord du croissant au talon. De plus, l'aplatissement du pneu sous le poids de la voiture, puis la reprise de sa forme ronde, agissent l'un et l'autre comme une petite pompe en miniature. Quand le pneu est aplati, la crevasse baille et s'ouvre à la poussière ou à la boue de la route, elle se referme aussilôt que cette partie de la circonférence du pneu s'arrondit à nouveau. La crevasse aspire donc cette poussière ou cette boue et, à chaque tour de roue, en déglutit un peu plus. Ces corps étrangers s'infiltrent, sous les mouvements d'aspiration et de compression, décollent la plaque de caoutchouc de la toile sousjacente et il se forme une hernie, hernie parfois assez étendue et très dure.

Le chauffeur novice croit à une hernie véritable, c'est-à-dire à une irruption de la chambre à air par un orifice à travers les tissus, et j'ai vu appliquer un bandage, pardon 1 une guêtre sur cette pseudo-hernie. Or, et le mécanisme l'explique, il y a entre cette tumeur et la hernie véritable la même différence qu'il y aurait chez l'homme entre une tumeur de la peau ou sous-cutanée et la sortie intempestive à travers la paroi abdominale d'une anse intestinale qui serait, en l'occurrence, la chambre à air. Du reste, il est facile de concevoir qu'une chambre à air gonflée à quatre kilogrammes et soutenue seulement par une feuille de caoutchouc sans toile vous permettrait difficilement dix tours de roue sans tonitruante protestation. D'ailleurs, sondons la plaie. Cherchez l'orifice de la poche qui existe toujours, introduisez un stylet crochu, vous tombez dans une cavité bourrée de terre, de graviers.

Traitement. — Ne pas obéir à la tentation de fendre la poche pour la nettoyer, la réparation serait impossible. Videz par l'orifice de remplissage très soigneusement la collection, lavez à l'essence ou à la benzine; vous apercevez les toiles. Passez à quelques minutes d'intervalle (le temps de les laisser sécher) plusieurs couches copieuses de dissolution. Quand la dernière est presque sèche (le caoutchouc se colle à sec, retenez-le), appliquez les deux parois de la cavité, maintenez avec une liga-

ture quelques heures. L'opération est terminée. Seulement je préfère vous dire de suite que « ça ne tiendra pas », parce qu'il est un principe dont je suis imbibé jusqu'à la moelle, c'est que rien ne tient sur les enveloppes qui ne soit vulcanisé. Oh! je sais bien, on réussit parfois sur des voitures légères et lentes, vous pouvez essayer et je vous souhaite, d'ailleurs cela devient le moment, tout ce que vous pouvez désirer.

Il y a d'ailleurs une raison pour laquelle le traitement est délicat, c'est l'humidité constante de la toile qui forme la partie interne de la cavité et, je le répète, le caoutchouc se colle à sec, c'est-à-dire sur pièces non humides et quand son dissolvant est lui-même presque complètement évaporé. Pronostic. — Le pronostic n'est pas grave. Des enveloppes aux formes les plus tourmentées durent longtemps. Cependant, l'humidité pourrit les toiles à la longue, la poussière a une action « émérisante » qui les lime et affaiblit leur résistance.

Diagnostic. — Il ne faut pas confondre la hernie de poussière avec : 1° La hernie de la chambre à air. Cette dernière se charge d'établir rapidement la distinction par éclatement extemporané (mot qui, chez les neveux de Diafoirus, s'applique aux remèdes préparés et administrés sur-le-champ.).

20 La hernie de décollement, c'est-à-dire ces multiples boursouflures qui se produisent au même endroit, sur la bande latérale, quand on a roulé « dégonflé », et qui proviennent du décollement du caoutchouc et de la toile par pincement. Le fait que l'on a roulé « à plat », la disposition et le nombre de ces hernies tout autour de la jante, la consistance très molle des boursouflures suffisent à établir la distinction.

Voilà pour la coupure des faces latérales.

La coupure du croissant, et j'entends par là de façon générale la coupure de la bande de roulement, qu'elle appartienne à l'ordre du croissant ou à un autre, n'est vraiment intéressante pour le médecin du pneu que si elle touche aux toiles de la carcasse. Vous avez bien lu?. C'est qu'en effet certains croissants comportent des bandes de toile destinées à constituer une armature au croissant lui-même, mais n'ont pas de rapport avec la gaîne de soutien proprement dite. Anxieux, on écarte les lèvres de la plaie et sur la tranche on aperçoit des fils et il semble qu'est sectionné aussi celui des jours du pneu. Erreur 1 Sous une épaisseur de gomme, dans le fond, vous apercevez la trame protectrice exposée désormais aux traîtrises de la route et de l'humidité.

Que faire ?

Il faut pour économiser ses enveloppes en panser les blessures un peu sérieuses. Le seul traitement applicable aux blessures de l'enveloppe ce n'est pas le fer rouge, mais c'est la chaleur de la vulcanisation. On a conseillé de bourrer les petites coupures avec de l'ouate imbibée de dissolution. L'ouate formait une armature. C'est incroyable ce qu'il y a de trouvailles exquises et géniales sur le papier. Le vent de la route emporte le papier et la trouvaille. La seule bonne soudure sur le caoutchouc spécial de l'enveloppe, caoutchouc vulcanisé, dur, mélangé à des matières inertes, la seule bonne soudure, vous l'obtenez par la vulcanisation à chaud et avec ces vulcanisateurs que le commerce vous livre actuellement sous une forme très pratique.

Quand une coupure est assez sérieuse, quand une hernie vous chatouille, obturez en vulcanisant. Ceci posé, passons à un autre cas pathologique.

* * *

Après la coupure, suivie ou non de hernie, d'après sa profondeur ou sa situation, après l'instrument piquant ou coupant, voyons l'arme contondante de la route. Cette arme contondante, c'est le gros caillou ou la brique isolée. Il est au silex coupant ce qu'est un coup de poing à un coup de couteau. Le coup de poing rompt quelques


petits vaisseaux sous la peau et provoque cet épanchement de sang qui apparaît en bleu et passe par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel (pour une raison majeure, c'est qu'il n'y en a pas d'autres.). Le coup de caillou rompt un ou plusieurs fils des toiles par suite de la pression énorme et localisée que provoque l'obstacle abordé en vitesse et c'est l'éclatement, soit subit, soit un peu plus lent, mais dont il ne faut pas toujours accuser le créateur. du pneu ! Cet éclatement peut d'ailleurs être amené par l'abordage trop brusque de l'angle d'un trottoir. La similitude des cas me dispense de tout autre développement et de multiples conseils dejprudence. Contre l'éclatement qui menace, la guêtre extérieure, ou ce qui est bien préférable la guêtre interne; le manchon qui s'applique dans l'enveloppe, l'emplâtre dont les bavettes sont prises dans les talons du pneu.

L'empierrement en silex ou en porphyre est une table servie de marteaux et de surins. C'est un plat d'apaches ; le royaume des plaies et des bosses. Mettez-y des formes. Passez en première ou mieux débrayez afin de n'avoir plus de roues motrices. Vous m'entendrez à demimot, car nous avons déjà causé de cela il y a quelques années.

A LA PHARMACIE.

Il est une maxime médicale qui dit : « Naturam morborum curationes ostendunt » et que vous avez déjà traduite : « Les remèdes indiquent la nature delà maladie ». Exemple : une affection que guérit la quinine établirait la nature paludéenne de la maladie. Je pourrais vous citer d'autres faits, vous parler de chiffres, etc., mais restons-en là et passons des remèdes aux maladies : voici de la dissolution et des pastilles biseautées.

Indications. — Coupures courtes ou piqûres de la chambre à air, et encore pour pneus d'avant, mais à l'arrière le collage est inconvenant. Vulcanisez.

Voici des comètes, petites toupies creuses de caoutchouc que l'on introduit dans une piqûre et que l'on gonfle d'une bille poussée au-delà de la paroi de la chambre. Remède d'action rapide et héroïque pour les piqûres de clous. Malheureusement quand on a un clou, dans la nature humaine, on en a souvent plusieurs et en « pathologie pneumatique » quand on a un clou, on a souvent plusieurs piqûres. Mais enfin si vous n'avez qu'une piqûre ou deux, la 'comète illuminera votre ciel.

Voici des guêtres? Un peu vieux jeu. C'était bon du temps d'Hippocrate. Des manchons internes ? Préférables. On roule beaucoup plus longtemps avec un manchon qu'avec une guêtre. La guêtre c'était un cataplasme pour une « jante » de bois.. Avec les jantes métalliques le manchon interne s'impose. Il se moule mieux, ne s'use pas, ne se desserre pas et, les talons le pinçant dans les crochets, il ne peut guère bouger.

Un corset? Oui, monsieur. Vous étiez peut-être plus habitué à voir un corset dans une chambre qu'une chambre dans un corset et pourtant si vous voulez user vos enveloppes jusqu'à la corde sans craindre l'éclatement,

croyez-moi, ne faites jamais rechaper vos enveloppes.

Le rechapage, c'est une seconde cuisson et Souvenez-vous bien Qu'un bon pneu réchauffé ne valut jamais rien— Le rechapage coûte cher, n'est vraiment utilisable que pour les roues avant et ne fait pas le service que l'on pourrait attendre de son prix, surtout si on lui ajoute celui de la chambre à air qui éclate avec lui.

Le corset a des états de service partout, « il soutient les faibles, maintient les forts, ramène les égarés et remplace les absents ». Et si, pour nous et pour nos aimables lectrices, il n'a certainement pas à ramener des égarés, il soutiendra les toiles, maintiendra « l'effort» et remplacera les fils absents.

Le corset emprisonne la chambre à air complètement et supporte seul la pression. L'enveloppe n'a plus qu'à réunir le tout à la roue.

Oui, je vois, vous regardez la contre-enveloppe interne.

C'est à examiner aussi, mais cela soulage moins une faiblesse des talons.

Quant aux contre-enveloppes externes, vous en chercheriez vainement. Cela alourdit considérablement la roue, enlève toute souplesse au pneu, et les infiltrations fatales entre la contre-enveloppe externe et le pneu, par le mécanisme aspirant et foulant de la hernie, font que le pneu du dessous s'use et souffre.

Guêtre, manchon interne, corset ou contre-enveloppe interne, c'est charmant surtout aux roues avant. A l'arrière, la doublure de l'enveloppe fait chauffer le pneu. On doit les considérer comme d'excellents moyens d'user usque ad ossum les vieux serviteurs au poste de demi-repos, mais les chauffeurs doivent, comme les généraux, assurer leurs derrières.

Voici encore un vulcanisaleur à l'alcool, une bouteMe d'air. Un peu de poussière sur la bouteille d'air qui lUI donne l'aspect d'une vieille bouteille. Mais vous savez on a des roues de secours. et puis pourquoi prendre une bouteille pour gonfler dix pneus, quand on a des petits tubes d'acide carbonique pour gonfler un pneu et pas un peu. Oui, je sais, l'acide carbonique traverse le caoutchouc dix-sept fois plus vite que l'air. malS c'est de la médecine d'urgence, c'est le champagne du pneu, cela l'excite pour un temps suffisant et à l'étape vous pomperez. Mais pomper à notre âge. sur le route. évidemment c'est radoter.

Je devrais, pour être tout à fait complet, vous parler des devoirs du chauffeur vis-à-vis du pneu. Mais insister à nouveau sur la nécessité des démarrages doux, des arrêts progressifs, des virages letits, etc., ce serait retomber dans tous les développements de nos Causeries Sur la route, parues ici même.

Ce sont de ces choses qui ne se pardonnent pas.

Mais tranquillisez-vous. Voici l'heure des vœux de bonheur qui va sonner. et je veux contribuer au vôtre par mon silence.

Dr R. BOMMIER.


EXPOSITION DE LYON -"

Création d'un service de tourisme sur le Rhône

Nous avons annoncé les efforts faits par la ville de Lyon en vue d'organiser, sur le Rhône, un service de navigation pour les touristes.

Les laborieux pourparlers auxquels a donné lieu l'étude de cette importante organisation viennent de prendre fin et la ville de Lyon annonce que le service pourra fonctionner à partir du mois de mai 1914.

A cette époque s'ouvrira à Lyon la grande Exposition inter-

(Cl. Marius Bar, Toulon.) LE GALLIA ", NOUVEAU PAQUEBOT DE LA SOCIÉTÉ DE NAVIGATION SUD-ATLANTIQUE.

Nationale qu'elle prépare et qui ne peut manquer d'attirer une affluence considérable de visiteurs et de touristes.

Le mdnîe-ntne pouvait donc être mieux choisi pour une telle entreprise et notre Association, désireuse de contribuer à une œuvre d'un si haut intérêt pour le tourisme, a voté en sa faveur une subvention de 10.000 francs.

La descente du Rhône, évocatrice de tant de souvenirs, de tant de faits mémorables, l'aspect grandiose des paysages, la visite des villes d'un si hauHntérêt artistique et historique Rue baigne le fleuve majestueux et rapide, constitueront une 1 attraction de premier ordre.

Dès à" présent l'initiative prise par M. Herriot, maire de Lyon, est assurée du plus grand succès.

Nous sommes heureux de lui en adresser, par avance, nos très vives félicitations.

A. B.

Le nouveau paquebot ûallia , de la Compagnie Sud-Atlantique

Le paquebot GaWéa vient d'effectuer son premier voyage en Amérique du Sud. Son entrée en service marque un nouveau pas en avant dans la voie du relèvement de notre marine marchande et ne peut manquer de faciliter la venue en France de nombreux touristes sud-américains. -r Construit à la Seyne par la Société des ForgelT et Chantiers de la Méditerranée, le Gallia est un des spéciriiens les plus admirables de ce que l'industrie maritime moderne a su créer.

Rien n'a été négligé,' en çffyt, pour donner pleine satisfaction aux passagers aux points de vue vitesse, luxe, confort et sécurité. Le bâtiment, long de 175 mètres et large de 19 m. 50, a, pour un tirant d'eau de 7 mètres, un déplacement, de 15.000 tonnes. L'appareil moteur, d'une puissance de ;20;000 chevaux, actionne trois hélices et permet une allure'de route de 19 nœuds. ,.

La coque du paquebot est divisée en nombreux cOmYartiments séparés par de solides cloisons étanches, dont -les portes se ferment automatiquement par le simple jeu d'un levier placé sur la passerelle'du commandant.

Un poste de télégraphie sans fil à longue distance permet de communiquer sans cesse avec la terre, tandis que l'évacuation rapide du navire est assurée par dix-huit grandes embarcations et huit radeaux dont la mise à l'eau se fait parles moyens les plus rapides et les plus ingénieux.

Enfin, le confort no le rèdc- en rien à la sécurité et il règne


partout. Cinq ponts, reliés entre eux par des ascenseurs, sont à la disposition des passagers. Les appartements et cabines de luxe, salle à manger, salons de lecture et de musique, fumoir, etc., éclairés non plus par des hublots, mais par des fenêtres, sont meublés et décorés avec le goût le plus sûr.

Les enfants n'ont pas été oubliés : une salle à manger spéciale et une salle de jeux, munie d'un théâtre miniature, sont installées à leur intention.

Un gymnase renferme les appareils les plus perfectionnés s'appliquant à tous les sports, et des cabines ont été transformées en bureaux de travail à l'usage des hommes d'affaires.

Bref, les passagers trouvent à bord le prolongement de leur « home », pour beaucoup plus gai et plus confortable que le leur propre.

Nos très vives félicitations à la Compagnie Sud-Atlantique.

A. B.

Concours d'Ameublement DE LA CHAMBRE DE L'HOTE

ET DES

CHALETS REFUGES DE MONTAGNE Organisé par le Touring-Club de France A plusieurs reprises, le Touring-Club a signalé l'intérêt que présenterait pour les tout petits touristes, artisans ou petits employés, qui ne disposent que de quelques jours et de peu d'argent, la création en de gracieuses campagnes de la « Chambre de l'Hôte ».

Afin d'en préparer la réalisation pratique, notre Association a estimé qu'il y avait lieu de mettre au concours, ainsi que la Revue du mois d'octobre l'annonçait, l'installation de cette « Chambre ».

Dans ce but, il a été constitué une Commission, laquelle a élaboré un règlement dont ci-dessous les principales dispositions : Chaque mobilier doit se composer de : Un lit (0 m. 90 de large) ;— Une table (0 m. 90x0 m. 60) ; — Une autre petite table (0 m. 35x0 m. 35); — Trois chaises en bois (paillées) ; — Une table de toilette ; - Une commode ; — Un vestiaire-penderie avec rideaux.

Ces meubles devront être simples, robustes et établis, autant que possible, suivant le caractère et le mode de construction de chaque région.

Hormis le sapin blanc, lequel est écarté, toute latitude est laissée aux concurrents pour le choix des essences.

Les concurrents seront répartis en trois catégories : 1° Artisans employant moins de 10 ouvriers ; 2° Industriels employant de 10 à 50 ouvriers ; 3° Industriels employant plus de 50 ouvriers.

Pour chaque catégorie, un prix de 300 francs, un prix de 100 francs, une médaille d'argent et une médaille de bronze seront mis à la disposition du jury qui les attribuera, s'il y a lieu.

En outre, le Touring-Club se réserve d'acheter, sur la proposition du jury, les modèles classés premiers dans chaque catégorie.

Le jury, pour l'attribution des récompenses, tiendra compte principalement des qualités suivantes : Solidité ; — Simplicité, élégance ; — Prix d'achat.

En aucun cas, le prix d'achat ne devra dépasser 160 francs pour l'ensemble du mobilier.

Les demandes d'inscription devront être adressées, avantle 20 janvier 1914, au Touring-Club de France (65, avenue de la Grande-Armée, Paris), et les mobiliers devront être envoyés aux frais des concurrents et parvenir avant le 20 mars, à la même adresse.

Le Touring-Club prendra à sa charge les frais de retour.

Pour tous renseignements, s'adresser 65, avenue de la Grande-Armée, Paris.

L'AURÈS A BICYCLETTE

19 mai 1913. — 6 heures du matin. Nous nous arrachons à regret des ruines de Timgad que nous avons visitées hier soir au clair de lune et tout à l'heure au soleil levant. Vision étrange que celle de cette ville romaine déterrée des sables du désert, dressant dans une solitude absolue ses maisons, ses édifices, ses arc, ses mille colonnes dont la pierre patinée par le sole" resplendit d'or au levant et de feu au couchant ; vision féerique que celle de tous ces monuments luisant sous les rayons d'argent de Tanit.

Il est temps de se mettre en selle car l'étape sera dure. Nous reprenons la route de Lambèse qui traverse un véritable désert sans arbres, sans maisons ; seuls quelques campements arabes et caravanes de chameau" coupent la monotonie du trajet.

Il est 7 h. 1/2 lorsque nous mettons pied à terre devant les bureaux de l'Administration à Lambèse. En l'absence de l'administrateur de l'Aurès, nous nous adressons à ses secrétaires pour avoir des renseignements sur le pays que nous nous proposons de traverser.

Nous exposons donc notre projet de nous rendre a Biskra, à bicyclette, par la vallée de l'oued-el-Abiod.

Tout le monde se récrie : « Chose impossible ! » Pensez donc : pas de route entre Arris et Biskra, mais un sentIer muletier souvent impraticable, pas d'hôtel, pas une auberge, pas un café maure et même pas un européen sur les 100 kilomètres qui séparent ces deux villes !

Mais nous insistons, car nous tenons à notre itine; raire ainsi qu'à notre mode de locomotion et, devant notre volonté bien arrêtée, ces messieurs se metten gentiment à notre disposition, nous fournissent tous les renseignements que nous leur demandons et nous donnent une lettre de recommandation pour tous les cheiks de l'Aurès sur notre chemin. Nous n'osions en espérer autant ; qu'il nous soit donc permis de les reflief cier publiquement de leur amabilité.

Après nous être bien restaurés et avoir pris des provisions de bouche, nous enfourchons nos vélos et. en route pour l'Aurès !

Le pays est partout jonché de ruines romaines parfois grandioses comme celles de Lambèse, de MarcoUIla de Timgad; parfois insignifiantes, débris de forts, e ponts, de maisons, mais leur nombre considérable atteste de l'importance de la colonisation romaine e ces parages. Nous voyons rapidement l'ancien camP


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de la 3e Légion Auguste, nous passons devant l'arc de Septime Sévère et montons la côte de Marcouna. En sortant de cette petite agglomération, nous trouvons à droite le magnifique arc construit sous Marc Aurèle, puis la route d'Arris sur laquelle nous nous engageons.

De suite nous nous trouvons dans la montagne et le paysage devient plus riant ; les arbres, d'abord rares, se multiplient et forment bientôt de véritables forêts où dominent l'olivier et le chêne vert ; le sol de la route est bon, mais le tracé en est fort dur, c'est un véritable escalier avec des alternatives de montées très accentuées et de courtes descentes pour passer les « oueds » presque toujours sans eau.

Nous avons cependant l'agréable surprise de trouver une source excellente — l'Aïn-Tinn — en montant la dernière côte au sommet de laquelle le baromètre nous annonce 1,800 mètres.

Nous entrons dans le bassin de l'oued-el-Abiod ; la route nous descend en lacets vers un de ses petits tributaires au-dessus duquel elle nous maintient en corniche.

La nature se fait plus violente ; la vallée que nous suivons, très resserrée, est un véritable canon creusé par le ruisseau torrentueux que nous dominons ; au loin court la chaîne du Djebel-Zellat que termine au nord le pic encore neigeux de Chélia, la plus haute montagne d'Algérie (2,327 m.).

La population devient plus dense et nous passons en vue de plusieurs villages berbères. Toujours pittoresquement accrochées aux croupes de la montagne, ces agglomérations à l'aspect sévère, rébarbatif, étagent leurs maisons cubiques que domine fièrement le minatet de la mosquée. Chaque village est couronné de son « bordj » où se réfugiaient les habitants en cas d'attaque; ce « fort », solidement construit dans l'endroit le plus inaccessible, servait également de magasin commun où chaque famille venait mettre sa réserve de grains à l'abri du pillage.

Aujourd'hui, grâce à l'occupation française, l'ordre règne dans ces vallées; aussi, en bien des endroits les bordjs commencent-ils à tomber en ruines.

On ne peut, certes, mettre en doute les bienfaits de la civilisation, mais pourquoi faut-il qu'elle remorque partout la « monotonie »? Ce massif de l'Aurès si beau, si inédit, sera bientôt sillonné de routes et on verra, hélas 1 des maisons affreuses couvertes de tuiles rouges ou de tôle ondulée remplacer ces constructions berbères, simples, oui, mais dont le style rudimentaire rappelle encore celui des peuples d'origine : Assyriens, Egyptiens.

Nous suivons maintenant l'oued-el-Abiod, mais de haut et de très loin, aussi ne pouvons-nous apercevoir son lit très encaissé. La route n'est empierrée que jusqu'à El Hadjej, mais le tracé continue jusqu'à Arris et nous roulons assez facilement.

Nous sommes au couvent des Pères Blancs d'Arris Vers 5 heures ; le supérieur lui-même nous ouvre et nous offre l'hospitalité.

L'œuvre de ces religieux est digne de tous les éloges.

Perdus dans les montagnes, n'ayant comme trait d'union avec la civilisation que cette route de Lambèse

encore inachevée, ces missionnaires se sont donné comme tâche l'éducation morale et hygiénique des Berbères, desquels ils respectent la religion. Un hôpital indigène de leur création, tenu par les sœurs blanches et auquel est attaché un médecin de colonisation, recueille les malades qui accourent de l'Aurès tout entier.

Cet établissement, que nous visitons en détail, est tenu dans un état de propreté extraordinaire et qui contraste singulièrement dans ce pays où les habitants croupissent dans une épouvantable saleté, source de toutes leurs maladies.

« Pilotés » par un père, nous escaladons le village et rendons visite à un ancien cheik qui, fort honoré de cette attention, nous offre le kaoua ou café à la mode arabe, breuvage exquis. Nous passons devant l'école arabe où des moutards très sales récitent en chœur des versets du Coran ; c'est d'ailleurs en quoi consiste leur instruction, car leur professeur ne se donne pas la peine de leur apprendre à lire ou à écrire. Sait-il luimême?

Le soleil a disparu et nous dégringolons vers le couvent où la cloche sonne le dîner.

Là-haut, sur la terrasse de l'école, le maître appelle maintenant les fidèles à la prière et clame dans le crépuscule, d'une voix aiguë, monotone, triste : « La ilaha illa Allah Mohamed raçoul Allah ! »

« Bénédicité. » commence le supérieur.

* * *

20 mai. — L'Arabe qui doit nous guider jusqu'à Baniane bat le réveil sur nos volets à 2 heures. Nous chargeons sur son mulet nos paniers et sacoches et ainsi délestés nous partons au petit jour.

Dès lors nous roulons sur une piste dont la largeur varie de 40 mètres à 40 centimètres, ici dure, là ensablée, ailleurs remplie de pierres, mais nous roulons !

Le trajet entre Arris et Tighanimine constitue un record comme accidents de terrain : ce n'est pas un chemin, c'est une scie 1 Sur moins de 20 kilomètres, nous trouvons plus de cent ravins au fond desquels coule parfois un filet d'eau. Le sentier descend au niveau de ces oueds par des pentes variant de 15 à 40 p. 100 ; l'élan de la descente nous permet quelquefois de remonter le côté opposé, mais parfois nous sommes obligés d'escalader l'autre berge, le vélo sur l'épaule. Nous dérapons dans le sable, nous heurtons mille pierres, nos freins bloqués grincent sur les jantes, mais nous avançons.

Nous avançons tellement bien que nous lâchons notre guide qui pourtant trotte sur son mulet ; nous laissons sur la gauche le curieux village de Tabentout bâti sur un rocher à pic sur l'oued-el-Abiod et-fièrement dominé de son bordj, et nous arrivons à Tighanimine essoufflés et mourant de soif.

L'eau n'est pourtant pas chose rare, mais elle coule parmi les lauriers roses propagateurs de la fièvre, donc défense d'en boire.

Nous nous arrêtons au premier gourbi du village.


Tout d'abord, fuite générale des habitants ; puis les gamins se hasardent, inspectent nos machines qu'ils baptisent « tomobil » ; à leur tour les parents sortent de leur case et nous en profitons pour leur demander du lait en montrant le pis des chèvres, nous leur faisons même comprendre, au moyen d'une mimique extraordinaire, que nous le désirons chaud. Pour les décider nous montrons quelques sous, aussitôt on se précipite et c'est à qui nous portera lait, dattes, figues, café.

De l'endroit où nous sommes assis, nous apercevons l'entrée des gorges de Tighanimine, qui doit être — nous l'espérons — la porte par laquelle on entre en Afrique. Car il ne faut pas se le dissimuler, cette vallée de l'oued-el-Abiod n'a jusqu'ici rien d'exotique et,

n'étaient les habitants et leurs masures, on pourrait très bien se croire en France, en Corse, en Espagne.

as un palmier, pas de grenades, pas de chameaux ; majs des noyers, des cerisiers, des champs d'orge et, sur la montagne, des pins et cèdres montant à l'assaut.

Au fond le Clîélia avec de la neige — de la vraie ! —

Il est vrai que nous sommes encore à 1,100 mètres.

Notre, guide rejoint enfin et nous repartons. Un chemin tout nouvellement creusé dans le roc permet de s'engager dans les gorges, qui sont fort belles ; l'entrée, monumentale, est formée de rochers [très rapprochés qui s'élancent 400 ou 500 mètres à pic au-dessus de la vallée. L'oued-el-Abiod, qui franchit cet étroit couloir, bondit, écume et fuit en formant mille cascatelles ; le sentier tortille, s'offre un petit tunnel, passe contre une source; l'endroit est ravissant de fraîcheur et plein de majesté. Au bout d'un kilomètre environ, la gorge cesse, le chemin s'infléchit à droite, et alors c'est le

rideau qui se lève, l'Orient qui apparaît, l'Afrique qui se dévoile : c'est le pays du soleil qui commence !

Plus de végétation ridicule sur les sommets, de pins rachitiques, de broussailles inutiles ; la montagne tout à coup splendide de nudité flamboie au soleil de midi; à nos pieds s'élancent, de la vallée très resserrée, mille et mille palmiers dont les panaches font gracieusement fléchir les tiges gigantesques ; en face, un village Taghit sans doute - superpose ses maisons à terrasses ; à l'horizon l'Ahmar-Khaddou estompe sa chaîne.

Du bleu au ciel, du rouge sur la montagne, un serpent vert dans la vallée, le tableau est d'une simplicité extraordinaire, mais d'une grandeur inouïe qui nous arrache des cris d'admiration. Longtemps nous le contemplons.

La piste moins mauvaise maintenant suit de près la rivière toujours bordée d'oasis superbes ; nous passons Taghit, Bounia, Tifilfelt où nous joignons le « trik carrossa », la route carrossable (?) venant de Tkout, allant à Biskra. C'est une piste un peu plus mauvaise que celle que nous laissons, mais nous rattrapons en quantité ce que nous perdons comme qualité : elle atteint souvent cent mètres de largeur.

Après El Aricha, la piste s'éloigne de l'oued qui devient invisible ; les oasis disparaissent, les montagnes russes reprennent et nous nous trouvons bientôt dans un cirque impressionnant. Le sol soulevé, chaviré, forme une infinité de collines minuscules se heurtant pêlemêle, sans ordre ; on dirait une mer démontée dont les lames se seraient tout à coup pétrifiées ; nos vélos nous plongent entre ces vagues et nous projettent sur la crête suivante pour nous replonger à nouveau, telle la barque ballottée par les flots. La terre est parfois blanche comme craie, tantôt d'un rouge criard, la lumière est aveuglante, au loin l'Ahmar élève sa masse sombre.

Et brusquement le temps devient menaçant ; le vent souffle en tempête, des nuages cuivrés accourent de tous côtés, nous encerclent et en un clin d'œil nous sommes en plein orage. Il va certainement tomber une trombe d'eau et pas un trou où nous fourrer, pas une anfractuosité où nous blottir, nous ne sommes pas du tout rassurés et instinctivement nous cherchons des yeux notre guide que nous avons semé. Il arrive au petit trot : « Ouain dar? » « Où y a-t-il une maison ? lui crions-nous. « Macach dar » « Pas de maison. » De larges gouttes commencent à tomber, nous revêtons nos caoutchoucs et nous nous apprêtons à recevoir l'ondée. Mais pas du tout, grand remue-ménage là' haut : on nous a vus. Avec la même rapidité, le vent balaie les nuages qui vont se tasser sur l'Ahmar-KaddoU pour nous voir passer : nous respirons.

Enfin, vers 5 heures, nous rejoignons la rivière et nous apercevons les deux oasis de Baniane. L'arrivée est plutôt difficile, mais notre amour-propre nous commande d'entrer en. ville à bécane et de fait nous débouchons bientôt sur la place. Ebahissement général, jamais pareil phénomène ne s'est vu ; nous sommes entourés, inspectés, ainsi que nos « tomobils » ; leS femmes et jeunes filles elles-mêmes accourent, mais doi'


vent vivement réintégrer le logis sous la menace des matraques. Se montrer à des roumis !

Un gamin va chercher le kébir ou chef du village, grand diable sec comme sa trique et qui s'approche, interrogateur. Nous lui faisons signe que nous voulons boire, manger, dormir et nous ponctuons cette pantomime en lui mettant sous le nez la lettre du bureau. de l'administration. Bien entendu, notre homme ne sait pas lire ; pour l'éclairer nous lui disons : « Carta administratour Lambesa ». Paroles magiques qui provoquent

ARC DE SEPTIME SÉVÈRE A LAMBÈSE.

des ordres brefs, un va-et-vient immédiat et cinq minutes plus tard on nous apporte de quoi nourrir un régiment. Assis à la mode arabe, au milieu de la place, nous nous restaurons.

L'oasis de Baniane est certes la plus belle que nous ayons visitée. C'est un charme sans égal que de se promener à l'ombre de sa puissante végétation ; d'innombrables palmiers géants dressent leurs colonnes autour desquelles s'enroulent d'énormes ceps de vigne qui vont mûrir leurs grappes là-haut sur les panaches ; des abricotiers superbes (nous en avons mesuré qui faisaient 4 mètres de tour) portent à profusion leurs fruits

d'or, petits, mais savoureux; des grenadiers piquent leur feuillage bien vert de leurs fleurs bien rouges; des figuiers, des cactus, poussent çà et là parmi des citronniers, des rosiers, etc. A terre un réseau compliqué de « séguias » ou canaux vivifie chaque arbre, chaque plante en lui apportant l'eau dérivée de l'oued.

L'oued-el-Abiod roule rapidement ses eaux claires contre la falaise à pic qui porte Baniane, dont les maisons bâties en bordure du précipice regardent l'abîme ; là-haut, au sommet de la montagne, le bordj surveille

le pays. L'ensemble forme un tableau saisissant, d'une beauté difficile à surpasser.

Nous rentrons dîner (couscous, œufs, dattes, abricots, etc.) et un notable de l'endroit nous offre une pièce de sa maison pour nous reposer. La terre comme sommier, une natte comme matelas, nos appareils comme oreillers : c'est dur ! Mais nous dormons à poings fermés.

* f f

21 mai. — Il fait déjà grand jour quand nous ouvrons les yeux, aussi nous dépêchons-nous de faire nos prépa-


ratifs. Nous prenons le café en compagnie de notre hôte qui nous accompagne ensuite jusqu'à la sortie du village, pour nous mettre sur la bonne route, car nous n'avons plus de guide. Dernier coup d'oeil à ce coin charmant que nous quittons à regret, remerciements, salutations et. en selle !

La piste très mauvaise s'éloigne à nouveau de la rivière et court dans un pays désolé, monotone et de plus en plus raviné. Après une heure et demie de marche fort pénible, nous atteignons l'oued el Atrouss -affluent de l'Abiod — que nous traversons plusieurs fois et dans le lit duquel nous finissons par nous engager. Tantôt à pied, tantôt à vélo, nous pataugeons dans l'eau parmi un fouillis de lauriers roses et entre deux rives très escarpées : c'est le bout du monde.

Nous trouvons enfin la piste de M'chounèche et nous roulons maintenant sur une route passable et parfois très bonne, le pays lui-même redevient intéressant et peuplé, nous croisons des troupeaux et caravanes, puis tout d'un coup, au sommet d'un mamelon, le désert nous apparaît.

Quel spectacle plus simple et plus émouvant ! Làbas, pas très loin de nous, la montagne cesse brusquement et dès lors se déroule à l'infini la plaine de sable.

Les oasis de Biskra, de Tolga, de Sidi-Okba parsèment de taches vertes ce merveilleux tapis fauve ; de minuscules serpents, à peine visibles à la lorgnette, s'allongent, se replient, se meuvent dans cette immensité, ce sont des caravanes de chameaux partant vers le mystère du Soudan.

Ah ! comme nous voudrions, nous aussi, nous enfoncer

dans cette solitude, aller là-bas au loin, au-delà de cet horizon qui semble la mer, vers les oasis de Ouargla, El Golea, de Touat en une randonnée folle à travers ce Sahara énigmatique.

Un coup de pédale et la féerie disparaît, nous replongeons dans le chaos. Nous passons bientôt en vue de El Habel dont l'oasis est située sur la rive opposée, puis nous nous séparons définitivement de l'oued-elAbiod qui file droit au sud. Nous trouvons bientôt Drauh et enfin la belle palmeraie de Chetma où nous nous reposons tout en cassant la croûte.

Un dernier coup de collier et ça y est, la montagne s'est évanouie, nous roulons en plaine, dans le Sahara, sur la route de Sidi-Okba, une vraie route empierrée celle-là. Nous franchissons les murs de Biskra à midi.

En arrivant à l'hôtel, la première des choses qui frappe nos regards est un écriteau portant cet avertissement : « Messieurs les automobilistes sont prévenus que la « vallée de l'oued-el-Abiod est ouverte au tourisme 0 ironie ! !

Edouard et Georges HERMENT (nos 184.676 et 197.875).

P.-S. — Nous ignorons s'il existe à Biskra un Syndicat d'Initiative, mais il serait charitable de mettre les automobilistes en garde contre ces écriteaux, car il est absolument impossible non seulement aux autos, mais même à une motocyclette de franchir la distance séparant Arris de M'chounèche. Nous avons dû charger nos - vélos sur le dos en plusieurs endroits. -

DB-CI, DE-LA

Nombre des sociétaires au 31 octobre 1 9 t 3 137.273 Candidats de novembre 744 138.017 A déduire ; décès, démissions, radiations 971 Total au 30 novembre 1913. 137.046

* * *

DONS POUR LA BIBLIOTHÈQUE — Collection complète des Cartes l'aride (France et étranger). — Don de A. Taride, éditeur, 18, boulevard Saint-Denis.

— La Grèce de toujours, par Th. Calas. —

Don de l'auteur. — Librairie Fischbacher, 33, rue de Seine.

— A u cœur de l'Afrique équatoriale, par le capitaine Maurice Martin. — Don de la librairie Chapelot, 30, rue Dauphine.

— La Nouvelle voie maritime : le Canal de Panama, par D. Bellet. — Don de E. Guilmoto, éditeur, 6, rue de Mézières.

— L'Œu¡¡re du Club-Alpin Italien. — Don du C. A. I. — Officine grafiche della S. T. E. N.

à Turin.

— Manuel pratique d'automobilisme, par M. Zérolo. — Don de Garnier frères, éditeurs, 6, rue des Saints-Pères.

— Répertoire des marques de fabrique et de commerre, par Ed. Wolf et E. Meignen. — Don dt's auteurs. — Cabinet Lombard-Bonne ville, 11, place de la République.

— Cartes automobiles de New-Jersey, Pensylvan ia, Maryland Middle Western States;

— New- York et Canada; — Southern States — New-England. — Dons du Touring-CluP d'Amérique, New-York.

— Salon de Chambéry en 1913, par J. Cchon. — Don de l'auteur. — Imprimerie généraie savoisienne, 5, rue du Château, Chambéry.

— L'Eclairage électrique des automobiles, par Léo Robida. — Don de la Bibliothèque Omnia, éditeur, 34, rue Pergolèse.

- Monographie générale du canton d'Ar- gueil (Seine- Inférieure), par L. Leroux. Don de l'autpllr. — J. Guillotte fils, éditer » Gournay-en-Bray.

— Essai sur l'alimentation dans les spo par le Dr MauM. — Don de Doïn et fils, éd" teurs, 8, place de l'Odéon.


— Sylviculture, manuel pratique à l'usage des propriétaires, des régisseurs, des reboise un 'l des élèves des écoles d'agriculture. — Don dp tuteur, M. A. Jacquot, inspecteur des Eaux et Forêts. — Berger-Levrault, éditeurs.

- Le Robinier faux-acacia, histoire, desCription, culture, propriétés et utilisations, Par Georges Vaulot, ancien élève de l'École 'orestière de Nancy. — Don des éditeurs : J.-B. Baillière et fils, 19, rue Hautefeuille.

* * *

EXCURSIONS PARISIENNES A BICYCLETTE Du rapport présenté par M. Arnhold, notre dévoué délégué aux Excursions parisiennes à bicyclette, il ressort que, cette année, le développement et la prospérité du groupe ont été constammen t croissants.

31 excursions ont été effectuées du 16 mars au 9 novembre, formant un total de 51 jours de sortie ; 651 touristes y ont pris part, faisant 3.160 kilomètres, soit une moyenne de 61 kilomètres par jour de sortie.

Les chemins de fer ont reçu 3.330 fr. 40 et les hôtels 3.524 fr. 05 ; les dépenses totales se sont élevées à 6.854 fr. 45.

Nous avons adressé, au- nom du Conseil, nos vives félicitations à M. Arnhold et à son dévoué collaborateur, M. Parent, capitaine de route, auquel revient pour une grande part le succès de ces excursions.

* *

A la demande d'un certain nombre de camarades, il sera organisé au mois de janvier Prochain une excursion collective à Chamonix, Permettant d'assister aux grandes épreuves de sports d'hiver, de pratiquer soi-même ces sports et de faire de nombreuses excursions (Argentière, le Planet, les gorges de la Diosaz, glacier des Bossons, etc.), en traîneau et à Pied dans cette région incomparable.

Départ de Paris le 15 janvier, retour le 29 au matin (10 personnes maximum). Dépense totale : 207 francs environ.

Pour plus amples renseignements, s'adresser au délégué.

Le Délégué chargé des excursions, G. ARNHOLD, 74, rue de Rome.

* * *

EXCURSIONS PARISIENNES PÉDESTRES 11 janvier. - Forêt de Fontainebleau. —

Fontainebleau, Mont-Merle, Gorge aux Loups.

Point de vue des Gâtines, Bourron, Marlotte, 'e Long-Rocher, Moret : 27 kilomètres.

Rendez-vous : Gare de Lyon à 6 h. 45. —

Retour à Paris à 19 h. 21. — Dépense approximative : 6 fr. 50.

25 janvier. — Vallée de l'Automne. Coyolles, Moulin de Wallu, Vez, LieuresJauré, le Berval, Pondron, Bonneuil-en-Valois, I)rlenval, Fresnoy-la-Rivière, Béthancourt, Orrouy. 26 kilomètres.

Rendez-vous : gare du Nord à 7 h. 15.

Retour à Paris à 19 h. 5. — Dépense approximative : 6 fr. 10.

Ces excursions ont lieu quel quesoit le temps, elles sont ouvertes aux membres du T. C. F., Porteurs de leur carte de l'année et présents à l' heure fixée pour le r*'nd >z-vous.

Le Délégué chargé des excursions, R. GENDRIN, 52, rue Custine.

* * * Sur la grande route de Paris-Strasbourg, entre Bar-le-Duc et Ligny et en face de la mairie de Saint-Aubin-sur-Airp (Meuse), est érigép depuis peu la statue du général Colson, tUé à Reichshoffen.

Œuvre du statuaire Marqueste, le monu-

ment a fière allure ; il a été inauguré le 28 septembre dernier par le général d'Amade.

Le général Colson était l'oncle de notre éminent collaborateur M. C. Colson, conseiller d'Etat et membre de notre Comité technique.

* * *

Le Groupe Dijonnais vient de renouveler son bureau ; notre délégué, M. le Dr Huot, en a été nommé président d'honneur et M. Nief, président.

Tous les membres du T. C. F. habitant Dijon sont invités à assister aux réunions amicales du vendredi (Café Georges, 8 h. 1/2) ; ils y pourront consulter les guides, cartes, se faire inscrire pour les excursions et bénéficier ainsi du 50 pour les voyages en groupes.

* * *

Le Comité « France- Amérique », présidé par M. Gabriel Hanotaux, nous a signalé l'intérêt que présente la conservation du fort Chambly (Canada), construit en 1605 pendant notre occupation du pays, pour protéger la rivière Richelieu, et doublé d'un second fort en 1709.

Un petit musée, renfermant des armes, des gravures, des documents se rapportant au fort, y a été établi par le gardien qui l'entretient de son mieux.

Néanmoins, des réparations urgentes sont actuellement nécessaires et le Touring-Club a été heureux de s'associer à la conservation de ces ruines françaises, encore imposantes, en votant une somme de 500 francs par moitié avec le Comité « France-Amérique ».

* * *

Le Camping-Club Français expose des types de matériel léger au Salon de l'Aéronautique (Rotonde Champs-Élysérs).

Nous pensons être agréables à nos camarades en leur indiquant cette exposition qui sera certainement pour eux d'un réel intérêt.

* * *

Dans un article : « Dix jours en Auvergne et dans les gorges du Tarn », paru dans notre numéro d'octobre sous la signature d'un de nos sociétaires, il est dit de Riom : « Le guide ne nous ayant rien appris de très intéressant sur cette petite ville, nous prîmes ChâtelGuyon pour première étape. » Dans une lettre qu'il nous adresse, M. Morel, secrétaire général du Syndicat d'Initiative de Riom, proteste contre cette appréciation de touriste trop pressé.

Nombreuses sont, en effet, les curiosités architecturales dont s'enorgueillit à juste titre l'antique Ricomagus, cette vieille ville dont M. André Hallays a pu dire « qu'elle est la plus complète de France au point de vue des spécimens architecturaux du xvie et du XVIIe siècles ». Le palais de justice avec sa sainte chapelle et ses magnifiques tapisseries, le musée Mandet, la tour de l'Horloge, la maison des Consuls, l'église Saint-Amable et surtout celle de Notre-Dame-du-Marthuret, pour ne citer que celles-là, méritent surtout une visite. De nombreuses maisons anciennes, assez bien conservées, viennent encore s'ajouter au patrimoine monumental de Riom, qui est, au premier chef, une ville intéressante pour les amateurs d'archéologie.

* * *

Le projet de loi du Fishing-Club contre les braconniers récidivistes. — La procédure actuelle laisse h latitude aux malhonnêtes g,'ns — et les braconniers sont du nombre — de récolter jusqu'à deux cents condamnations sans que les gendarmes puissent les conduire

en prison ou que le fisc obtienne d'eux le premier centime de leurs amendes.

Le Fishing-Club, ému de cet état de choses, a confié à son Comité de Contentieux, présidé par M. Léon Prieur, assisté de M. le Président Lemercier, le soin de rédiger une proposition de loi contre les braconniers récidivistes.

Ci-dessous ce texte qui sera prochainement déposé à la Chambre des députés par M. Raoul Méquillet : « Tout délinquant en matière de pêche et de chasse faisant l'objet d'un premier procèsverbal pourra être déféré à l'audience des flagrants délits. En cas de second procèsverbal, avant même qu'il ait été définitivement statué sur la première poursuite, cette procédure sera suivie de droit.

Tout condamné par défaut devra être immédiatement recherché, appréhendé et conduit au Parquet pour y remplir les formalités de l'opposition. Il lui sera délivré citation, et il sera statué sur son opposition dans la quinzaine.

En cas d'appel, le délinquant que la Cour aurait condamné par défaut sera de même immédiatement recherché, appréhendé, et conduit au Parquet général pour y remplir les formalités de l'opposition. Il lui sera également délivré citation et il sera statué sur son opposition dans la quinzaine.

En aucun cas la confusion des peines ne pourra être prononcée. »

(Une circulaire ministérielle, ajoute le Fishing-Club, pourrait inviter les Présidents des Tribunaux et des Cours ainsi que le Parquet à hâter la venue de ces affaires à l'audience.) * * *

Le rapport de la Société d'Echange international des élèves pour l'étude des langues étrangères indique qu'à l'heure actuelle il a été réalisé plus de 1.800 échanges de jeunes Français et Françaises en Allemagne, en Angleterre, etc.

Le développement continu de cette œuvre si utile, subventionnée par les Ministères, la Ville de Paris, les Chambres de Commerce de Paris et des départements, prouve l'excellence de son organisation et des garanties dont elle s'entoure. Les notices et questionnaires sont envoyés gratuitement sur demande adressée au siège social, 36, boulevard Magenta, Paris.

* * *

L'Institut marin, fondé en 1903 pour enfants et jeunes gens, vient d'être transféré d'Arromanches-les-Bains au Golfe-Juan.

Cet établissement est dirigé par M. l'abbé Joissant, membre honoraire du Yacht-Club de France, dont la méthode d'éducation donne, assure-t-on, d'excellents résultats.

Tandis que la cure marine fortifie la santé physique des enfants, des répétitions particulières les préparent aux examens, voire à 1'8cole navale, où peut les conduire une vocation puisée dans la pratique des sports marins.

Pour tous les renseignements, s'adresser à M. l'abbé Joissant, au Golfe-Juan (AlpesMaritimes).

* * * Depuis deux ans, le Comité rémois de la Ligue de l'Enseignement organise, pour les enfants des écoles primaires de la ville, de superbes voyages-séjours dans les régions montagneuses de la France.

En 1912, la petite caravane visita les Vosges et l'Alsace ; en 1913, ce fut vers le massif du Mont-Blane, le géant des Alpes, que les organisateurs conduisirent les jeunes écoliers.

La caravane comprenait 16 garçons et


17 filles. Elle était dirigée par M. Gustave Laurent, conseiller municipal de Reims et secrétaire du Comité rémois de la Ligue de l'Enseignement.

Dans cette belle vallée de la Haute-Savoie qui borde au nord le massif du Mont-Blanc les organisateurs avaient trouvé, à Argentière et au hameau du Lavancher, deux très confortables pensions où les enfants, installés en pleine montagne, au grand air, en véritable colonie scolaire, purent jouir, tout à leur

(t'i. L. Frazat).

t- PONT DES BELLES-FONTAINES, A JUVISY-SUR-ORCE (SEINE-ET-OISE).

aise, du spectacle grandiose de la nature, de l'imposant et féerique décor du merveilleux paysage de cette contrée. Pendant huit jours, ils ne cessèrent d'excursionner dans le massif montagneux dont ils visitèrent les sites les plus remarquables.

Toutes nos félicitations à M. Gustave Laurent pour cette heureuse initiative qui ne peut manquer d'avoir les meilleurs résultats.

* * * Dans une de ses dernières séances, notre Comité des Sites et Monuments pittoresques a émis un avis favorable au classement, parmi les monuments historiques, du pont des BellesFontaines, dont nous donnons ci-dessous la reproduction.

Situé à Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise), ce pont, construit par Louis XV, est composé de plusieurs arches juxtaposées et surmonté de deux fontaines, ornées de sculptures, qui portent le nom de Belles-Fontaines.

Le pont supérieur, d'une seule arche de

13 mètres d'ouverture, est à 19 mètres audessus de la rivière de l'Orge. Le pont inté.

rieur est à jour et divisé en sept cintres.

* * * M. Cau-Durban, président du Groupe SaintGironnais, nous prie d'attirer l'attention de nos camarades sur Saint-Girons (Ariège) et nous envoie, à cet effet, une note de M. Del" mas, secrétaire du groupe, dont nous extrayons le passage suivant : « Industrielle et commerçante, cette petits ville, baignée par le torrentueux Salat, ou fourmille l'exquise truite noire, présente, sous quelques aperçus, une véritable ressemblance avec certains centres alpins.

« Les premiers plans du panorama sont, en effet, constitués par de verdoyantes collines s'élevant à 1.300 mètres ; les seconds, par des monts fraîchement habillés jusqu'à leurs sommets de hêtres aux troncs de velours et au feuillage chatoyant ; et enfin, les derniers, frange terminale, domaine des isards et des coqs de bruyère, par des crêtes et des p'c atteignant 3.000 mètres d'altitude ou presque« Sur ces vastes étendues, les promenades les excursions et les ascensions abondent ; 1 y en a pour tous les goûts, tous les âges et toutes les énergies. »

* SIGNALONS : * — La Corse. La nature, les hommes, le présent, l'avenir, par Albert Quantin.

Ce livre arrive à l'heure propice, lorsque tous les efforts se réunissent pour ouvrir aU).

touristes notre admirable « Ile de Beauté JI, ainsi que l'avait baptisée notre regretté collègue, Henri Boland. Livre à lire, documente, plein d'idées neuves, intéressantes, et, ce qui ne gâte rien, écrit d'une façon des plus littéraires.

(Librairie académique Perrin et Cie.) — Le Journal de Médecine et de Chirurgie pratiques, supplément du 25 novembre, d8n lequel ont été réunis de précieux documents sur notre regretté président d'honneur, le Dr Just Lucas-Championnière.

— La Quinzaine Médicale. 1er décembre-^ Les économiseurs d'essence; signé, Dr Bommler, — Le Journal des Transports, 22 novembre — Les nouveaux services automobiles du Doub et du Jurâ et l'extension des services de la Faucille, organisés par le P.-L.-M. pour 1914.

— L'Illustré, 8 novembre. — Sur la l'ollie du Mont-Blanc; signé, Péregrin.

Intéressant article, illustré de clichés pholo- graphiques, sur le petit train de montagne partant de la gare P.-L.-M. , au Fayet, et per mettant de faire l'ascension du Mont-Blaoc: jusqu'aux tunnels des Rognes, point terminu actuel de la ligne.

— Le Code de VHôtelier (2e édition), pa J. Ferré, avocat à la Cour d'appel, publié par le Syndicat général de l'Industrie hôtelière et des Grands Hôtels de Paris. Recueil très comp e de toutes les lois régissant l'industrie n lière, depuis l'installation jusqu'à la cessj0^ de l'établissement; depuis l'arrivée jusqu a départ du voyageur ; depuis les incidents les plus minimes de son séjour jusqu'aux resp0 sabilités les plus graves qui pourraient e être la conséquence.

(Librairie Dalloz.) — La Petite Gironde, 6 décembre. — -P~' quoi ne seriez-cous pas Mtelier'; siiné Jean Lechemineau.

— La Photographie des monuments et d1 œuvres d'art, par F. Martin-Sabon.


Toutes les parties de cette intéressante Question : matériel photographique, éclairage et composition du sujet, temps de pose, etc., sont traitées avec la plus grande compétence, "t font de cet ouvraee un guide utile pour tous

les touristes amateurs de photographie.

(Charles Mendel, éditeur, 118, rue d'Assas.) — Lois et Sports, 15 novembre. —

Les Accidents d'automobile ; signé, Edmond Christophe.

— La Garonne et ses affluents de la rive gauche de la Réole à Bordeaux, par André Rebsomen.

L'auteur, comme il le dit dans son avant- propos, a longuement et attentivement parcouru les 142 communes dont il avait à parler; il a analysé les édifices comme ils étaient en 1911, sans chercher à reconstituer ce qui n'est plus, et les a décrits ainsi qu'il les a vus, ou plutôt tels qu'il a cru les YOlr, car, - comme il l'ajoute très Justement - il est difficile de bien regarder les choses.

Richement illustré de photogravures et édité avec le plus grand soin Par MM. Féret et fils, 9, rue de Grasse, à Bordeaux, cet ouvrage décrit un pays admirable qui mériterait d'être plus connu et plus visité.

— L'Intransigeant, 17 novembre.

--:-- Pour nos paysages. Parcs nationaux; SIgné, Gustave Voulquin.

« C'est à l'extrémité sud-est du département de l'Isèra que le premier Parc national français va être créé, en Oisans. embrassant la vallée du

Haut-Venéon pour atteindre le pied du mont Pelvoux ; ses dimensions seront modestes auprès des parcs nationaux étrangers, mais il comportera encore 5.500 à 6.000 hectares. Une fois constitué légalement, reconnu d'utilité publique, protégé par des ordonnances spéciales, défendu contra toutes les améliorations, contre tous les embellissements

prétendus artistiques, contre toute entreprise commerciale, le parc. national d'Oisans ne dépendra que de la Nature ; l'artiste, le savant, le philosophe, le touriste pourront en paix admirar, étudier les bois, les eaux, les monts,

ENVIRONS DE SAINT-GIRONS. — VALLÉE DU RIBEROT. (Voir page 562.)

les vallées, tels qu'ils sont et resteront dans leur majestueuse splendeur. »

— Le très beau supplément paru dans Le Temps du 20 novembre sous le titre: En Extrême-Orient. Article magistral illustré de belles et nombreuses photogravures'et qui ne peut manquer de servir utilement la cause du

tourisme on Indo-Chine. Nous remercions très vivement le grand journal de l'appui qu'en cette circonstance il prête à nos efforts.

— Le Catalogue général des Automobiles de

tourisme et de poids lourd, contenant la nomenclature complète de tous les châssis 1914 fabriqués ouvendus en France, avec toutes leurs caractéristiques et leurs prix.

Ce catalogue sera adressé gratuitement à ceux de nos camarades qui en feront la demande aux Publications Mortimer-Mégret, 12, avenue de la Grande-Armée, Paris.

CONSEIL D'ADMINISTRATION

Séance du 3 décembre 1913 Présents : MM. A. Ballif, président; H. Defert, vice-président; L. Auscher, Jules Berthelot, L. Bonnard, Dr M. Briand, Ed. Chaix, G. Famechon, A. Glandaz, F. Guillain.

Le Conseil arrête les dernières d'spositions en vue de l'Assemblée Générale du 7 décembre.

Il adopte les vœux émis par le Comité de Tourisme aérien, relatifs à la réglementation de la circulation aérienne. Sur la proposition de M. Guillain, président du Comité de Tourisme Colonial, il nomme membre de ce Comité M. Georges Froment-Guieysse, directeur général du Comité de l'Océanie française, et désigne M. Maurice Rondet-Saint, secrétaire, pour représenter le Comité de Tourisme Colonial au sein du Comité de l'Océanie française.

Il décide de s'associer au Comité en voie de formation pour la défense des intérêts de la circulation automobile et désigne, Pour le représenter au sein de ce comité : MM. Defert, vice-président, Auscher, Famechon, Gariel et Guillain.

Le Conseil nomme membre du Comité de Tourisme en Mon-

tagne : M. F. Vuillaume, attaché au cabinet du Ministre des Finances, secrétaire général du Syndicat d'Initiative « Le Jura Français ->. :

Il prend connaissance du rapport sur les excursions parisiennes à bicyclette faites au cours de la saison 1913, rapport présenté par M. Arnhold, délégué, chargé de leur organisation et de leur direction. Il adresse, à cette occasiort, à M. Arnhold, ainsi qu'à M. W. Parent, capitaine de route, ses très vives félicitations.

* Il vote 20.000 francs, payables en trois annuités, pour l'ouverture d'un chemin carrossable le long des rives de la Dordogne, entre Argentat et le pont de Vernéjoux (Corrèze) ; 3.000 francs pour l'élargissement du pont du boulevard Gambetta, à Poissy (Seine-et-Oise), sur la route de Paris, à Mantes, très suivie par la circulation touristique ; ;.d 1.000 francs pour la construction d'une route devant relier la plage de Trestraou à Perros-Guirec (Côtes-du-Nord) ; 500 francs pour l'amélioration d'un virage dangereux à Gennevilliers (Seine), sur la route de Par's à Enghien; 250 francs pour la construction d'un sentier d'accès au site du Verger, près Bourganeuf (Creuse). Deux bancs « TouringClub » seront placés en bordure de ce sentier ;


150 francs pour la construction d'une passerelle sur le torrent du Fier, au lieu dit « Le Nanoir », commune de DingySaint-Clair (Haute-Savoie) ; 100 francs pour l'ouverture d'un sentier dans la vallée du Rhoin, commune de Savigny-les-Beaune (Côte-d'Or) ; 60 francs pour permettre à la commune de La Salvetat (Hérault) d'installer un garde-corps au sommet d'un rocher qui surplombe la belle cascade dite « Le Saut de Vésoles » ; 50 francs pour l'inscription du Touring-Club en qualité de membre donateur de la société de secours mutuels des gardes et cantonniers de la ville de Paris, dite « du Bois de Boulogne » ; 50 francs pour l'inscription du Touring-Club en qualité de membre honoraire de la « Société de Secours Mutuels des Cantonniers de l'Arrondissement de Pont-l'Evêque » (Calvados); 50 francs pour l'inscription du Touring-Club en qualité de membre donateur de la « Société de Secours Mutuels des Cantonniers et Gardes-Champêtres de la Section d'Arpajon » (Seine-et-Oise) ; 500 francs au Comité d'Hivernage Algérien ; 500 francs au Syndicat d'Initiative de la Savoie en appareils sanitaires destinés à être offerts à des hôtels ; 200 francs au Syndicat d'Initiative du Givet Pittoresque et de l'Ardenne Française, pour subventionner le service touristique de bateaux sur la Meuse, entre Charleville et Laifour; 150 francs au Syndicat d'Initiative du Cantal pour subventionner le service automobile entre Aurillac et Conques (Aveyron) et pour l'édition d'un guide ; 100 francs au service d'auto-cars de Drignac, Argentat, Uzerche ; 100 francs au Syndicat d'Initiative des Sables-d'Olonne.

Il décerne : une médaille de vermeil à M. W. Parent, délégué à Paris; une médaille de bronze à M. D. Fraysse, à Valence (Drôme) ; un insigne d'honneur en or à MM. E. BernardMachin, délégué à Saint-Omer (Pas-de-Calais); M. Bures, délégué à Caen (Calvados); E. Beuvelet, à Creil (Oise); L. Contanseau, à Neuilly-sur-Seine (Seine); J.-B. Peyranère, à Lescun (Pyrénées-Orientales); A. Régny. à Tassin-la-DemiLune (Rhône); R. Royer, à Saint-Omer (Pas-de Calais); en vieil argent, à MM. J. Boussenot, à Lyon, et H. Moreau, à Fontenay-sous-Bois (Seine), en témoignage de remerciement de leur active et fructueuse propagande.

Il décerne une médaille d'honneur à Si Ferdjani ben Caïd Ahmed, cheik de Matmata (Tunisie), pour les facilités accordées aux nombreux touristes qui visitent ce curieux village troglodyte.

Sont nommés : Délégué d'arrondissement : Château-Chinon (Nièvre), M. Fouillet, avoué.

Délégués : Arbresle (L') (Rhône), M. Bruchon, 0, juge de paix.

Avignon (Vaucluse), M. P. Hullot, négociant, 8, rue de la République.

Carpentras (Vaucluse), M. Catlarel, sous-ingénieur des Ponts et Chaussées.

Chapelle-en-Vercors (La) (Drôme), M. le Dr Rechatin.

Confolens (Charente), M. Castex. ingénieur des Ponts et Chaussées.

Couëron (Loire-Inférieure), M. Garance, directeur des Fonderies de Pontgibaud.

Draguignan (Var), M. Lefebure, ingénieur des Ponts et Chaussées.

Ermont (Seine-et-Oise), M. Baquet, 19, rue des Etangs.

Ferté-Vidame (La) (Eure-et-Loir), M. Sylvestre, percepteur.

Geuçay (Vienne), M. le Dr Bregeon.

Lillers (Pas-de-Calais), M. le Dr Lecœuvre.

Mâcon (Saône-et-Loire), M. A. Bernard, 9, boulevard de la Liberté.

Méry-sur-Oise (Seine-et-Oise), M. Raillard, instituteur.

Montignac-Charente (Charente), M. J. Bernard, receveur de F Enregistrement.

Nîmes (Gard), M. Flaugère, inspecteur-adjoint des Eaux et Forêts.

Parthenay (Deux-Sèvres), M. Baufine, notaire.

Perreux (Le) (Seine), M. Rigon, inspecteur-adjoint de l'Enregistrement.

Sancoins (Cher), M. Meunier, conducteur des Ponts et Chaussées.

Saramon (Gers), M. Depruneaux, pharmacien.

Solignac-sur-Loire (Haute-Loire), M. Badiou-Bauzac, mrire.

Vittel (Vosges), M. le Dr Constant, villa Marie-Louise.

Délégués nautiques : Rennes (Ille-et Vilaine), M. le Dr Charles Lefeuvre, viceprésident de la Société des Régates Rennaises.

Saint-Pierre-du-Vauvray (Eure), M. G. Roussel.

Délégués aux Colonies : Grand-Popo (Dahomey), M. Tardieu, receveur des postes et Télégraphes.

Hongay (Tonkin), M. Gollion, directeur de la Société Française des Charbonnages.

Kasbah Tadla (Maroc), M. le lieutenant Brissard, du service des renseignements.

Tourane (Annam), M. Duval, >î«, conducteur des Travaux publics.

Délégués à VEtranger : Bahia (Brésil), M. Henri Martin, directeur de l'exploitation des chemins de fer fédéraux de l'Est-Brésilien.

Christiania (Norvège), M. T. Chauvin, conseiller du Commerce Extérieur de la France.

Coppet (Vaud, Suisse), M. le Dr Mercier.

Delémont (Saisse), M. G. Siegfried, notaire.

Esch-sur-Alzette (Luxembourg), M. Schaak, juge de paixFribourg (Suisse), M. de Saugy, ingérieur à la Direction de l'Instruction publique.

Haarlem (Pays-Bas), M. Joan Rahusen.

Ipswich (Suffolk, Angleterre), M. G. W. Leighton, architecteLenno (Côme, Italie), M. le professeur Angelo Ruspini.

Middelfart (Ile Fyen, Danemark), M. L. Schwensen.

Plymouth (Angleterre), M. Thomas B. P. Wilkinson, « Beaumont-Villa ».

Rio-de-Janeiro (Brésil), M. Labarthe, sous-directeur de la Banque Française et Italienne.

Wiborg (Finlande, Russie), M. E. G. Condopoulos.

Le Président, Le secrétaire, A. BALLIF. L. BONNARD.

COMITE DE CONTENTIEUX

Séance du 10 novembre 1913.

Présents : MM. Defert, Président ; Bonnard, Saucier, Dauvert, Dupuich, Jardot, Leredu et Trystram.

Le Comité prend connaissance de la correspondance parvenue au siège social depuis la dernière séance et donne 9 diverses affaires la suite qu'elles comportent.


Puis il examine diverses décisions judiciaires parmi lesquelles les suivantes peuvent intéresser les sociétaires : I. Tribunal de simple police, Nantua, 30 août 1913.

(Gazette du Palais, 8 novembre 1913.) L'article 15 du décret du 10 mars 1889 réglementant les signaux avertisseurs à employer pour signaler l'approche des voitures automobiles ne doit pas être considéré comme limitatif en indiquant la trompe comme signal avertisseur.

Le klaxon et la sirène doivent être considérés comme des dérivés de la trompe.

A défaut d'un arrêté municipal interdisant l'emploi du klaxon ou de la sirène, ne sauraient être condamnés comme Contrevenants aux prescriptions du décret précité, les automobilistes qui ont fait usage de ces instruments comme signal avertisseur (1).

II. Cour d'Appel de Paris, 12 juillet 1913.

(Gazette du Palais, 15 octobre 1913.) En principe et en dehors de circonstances particulières, le dérapage d'une voiture constitue une faute ; il peut en général être prévu ou évité ; le conducteur dont la voiture dérape et cause un accident engage sa responsabilité.

Il en est ainsi surtout lorsque celle-ci suivait les rails d'un tramway et a dérapé en voulant les quitter.

(1) La jurisprudence varie à cet égard.

III. Tribunal de la Seine, 30 septembre 1913.

(La Loi, 24 octobre 1913.) Lorsqu'une police d'assurance contre les accidents d'automobiles stipule que l'assuré devra payer en cas de résiliation une année de prime, au cas où il supprimerait tout ou partie des objets assurés, cette clause ne vise que la suppression volontaire, et ne saurait s'appliquer à un cas de force majeure, comme l'incendie de la voiture automobile.

IV. Cour d'appel de Riom, 18 juillet 1913.

(Gazette du Palais, 22 octobre 1913.) Le voyageur, qui se prétend volé dans un hôtel, est obligé de fournir la preuve qu'il était en possession des objets dont il se prétend dépouillé ; mais, pour l'admission de la preuve, les tribunaux jouissent d'un pouvoir discrétionnaire; il suffit que le voyageur soit présumé, d'après sa situation et les circonstances de la cause, avoir eu en sa possèssion lesdits objets au moment du vol.

V. Cour de Cassation, 25 juillet 1913.

(Gazette du Palais, 2 novembre 1913.) Un vélocipède attelé d'une voiturette constitue une machine qui doit être revêtue d'autant de plaques qu'elle comporte de places dans toutes ses parties, aussi bien dans la voiturette que sur la motocyclette.

Le Président, Le Secrétaire, H. DEFERT. A. SAUCIER.

OFFRES et DBMAKDBS

Par décision du Conseil d'administration, en date du 30 septembre 1904, le Prix de la ligne est fixé à un franc par ligne de 40 lettres, ponctuation ou fraction de ligne. (Le montant des insertions est versé à la Caisse de secours aux Cantonniers, KdtUier" Gardes Forestiers, Gardes-barrières.) Le nombre des insertions est fixé à quatre par année, à une seule par revue et à un seul objet par annonce ; le texte ne dépassant pas quatre lignes, nom du sociétaire et adresse compris.

IT Les insertions seront limitées aux objets ayant trait directement au tourisme et appartenant en propre au sociétaire ; celles ayant un caractère commercia ne seront pas admises. Les demandes devront mentionner le numéro de la carte de sociétaire et parvenir AU PLUS TARD LE 4 DU MOIS, accompagnées du montant. (Prière de donner très exactement son nom et son adresse et de laisser des instructions chez soi en cas d'absence.)

CYOLES

- Bic. luxe dame, 1913 Eadie, jamais rou é, r. lib.; 2 freins, au plus offrant. - H. Viltard, entrepreneur.

Brienon (Yonne).

— Bic. Boizot, parf. ét., 3 vit., 2 fr., p.-bag., 150 fr.

- Beaulieu, 9, boulevard Châteaudun, Saint-Denis.

- Levo-Terrot dame, 8 vit., gr. luxe, jam. roulé, 175 fr. — Crova, 27, rue Asselin, Cherbourg.

— Bic. fille 7-12 a. b. é., 70 f.- Polti, 7,r.d'Aumale.

- Bie. gr. luxe, 4 vit., torp. éq. à Ilangl., n. acc., ét. neuf, 175 fr. — Lévy, 4, boulevard du Temple.

- Bic. dame Clément, tr. b. état, 90 fr. — Rouyer, 12, r. Théophile-Roussel, Paris (de midi à 5 h.).

- Levo-Terrot, 10 vit., 190 fr. (200 fr.av. f. élast.

hygina). — Meunier ; vis. : Savona, 76, r. Ch.-Midi.

- Bie. dame Terrot retro directe, r. libre, 2 fr.

1.000 km., dével. 5x2,40, très bon état. — Mlle B.

Lalance, Thiaucourt (Meurthe-et-Moselle).

— Bic. dame Terrot, ratro directe, r. libre, 2 fr., 1.000 km., dével. 5x240, très bon état. — Mlle L.

Lalance, Thiaucourt (Meurthe-et-Moselle).

- Bic. occas., bon ét., r. lib , 2 vit., 2 fr., pn. nfs, acc., 70 fr. — Echallier, 21 bis, bd Port-Royal.

- Bic. B. S. A. Bastide, roue libre, freins, bon tat, 115 fr. — Meslier, 7, rue de Malte, Paris.

— Bic. Armor T. d. F. 1913 à boyaux, état neuf, 120 fr. — Delgouffre, 46, rue Saint-Lazare, Paris.

- Bie. Terrot, 6 vit. H. E., 250 fr. — Coulas; vis. : Vibert, 8, rue Desaix, Paris.

— Levo-Terrot, 10 vit., 2 fr., cad. 57, t. b. ét., prix modéré. — Ribard, N.-D.-de-Courson (Calvados).

— Bic. Rochet, r. lib., 2 fr., b. état, 90 fr. — Guim bert, 21, rue La Condamine (le matin).

MOTOCYCLES

— Moto Magnat-Debon, sortie juill. 1913, 3 1/4, ét.

de neuf. — Brun ; visible : 8, rue de Valois.

— Moto F. N, 4 cyl., 1912, débrayage, parf. état.

— Le Calvez, 8, rue de Valois, Paris.

— Moto lég., magn., parf. état, photo, 325 fr. —

Thiébaud, Dampierre-sur-Salon (Haute-Saône).

— Moto Magnat-Debon 2 ch. 1/2, 1910, acc., ph., pan., t. b. ét., 550 fr. — P. Jouanin, 194, b. Péreire.

- Motosacoche en tr. bon état, pneus neufs 225 fr. — Besson, 9, rue Croix-Nivert; visible: chez Dion, 11, rue Croix-Nivert, Paris.

— Moto Magnat-Debon 3 1/4,1913, état neuf, cause achat moto 1914, roulé 1.000 km., 950 fr. — Lieutenant de Briey, aviat. militaire, Reims.

—Moto Griffon 1913, 2 cyl., dern. mod., 2 3/4, ts ac., 800 fr., cause mal.—Ec. : Bellanger, 67, r. Fondary.

- Moto Douglas 1913, 2 3/4, 2 vit., 2 cyl., magn.

Bosch, type T. T., ét. neuf, 850 fr., nomb. acc. —

Ecrire : de Carfort, 38, rue Cardinet, Paris.

— Moto Terrot toute neuve, 2 3/4, 1912, poulie réglable, 800 fr. — R. Jampierre, Suippes (Marne).

— Moto Magn.-Debon 2 1/2, pr. nf.,parf. ét.,magn.

modèle 1911, mais pas fait 1.300 kilomètres. 450 fr.Boissière; vis.: Valence; écrire: château de Maugaray, près Boucieu-le-Roi (Ardèche).

— Moto Lurquin-Coudert, type Gloria 2 3/4 1913, fourche élast., chang. de vitesse au pied, magnéto Bosch, ét. neuf, 875 francs. — A voir chez M. Beylier, 15, rue Morand.

— Moto Humber 3 1/2,2 vit.,déb., ét. nf, mche p. —

Delsart, visib. : gar. Victor, 85, av. de la Grande-Armée.

— Moto Griffon-Zédel 6 ch. Bosch-Claudel, 2 vit., débr. mise mche man., frein pied, ét. mche parfait, 750 fr. - Barbé; vis. : Hambourger, 133, av. Villiers.

— Moto Peugeot 2 cyl., 5 ch., mag., mche p., ace. Le dim. mat., ou écr. : Pétigny, 16, r. Charlemagne.

— Magn. Deb., ét. nf, 450 fr. — Luzy, Paet (Isère).

— Moto angl. gd luxe « Excelsior » 1913, nve, 5 ch.

d. 3 v., c. 2.000, p. 1.250 fr. ; sidecar Fulford, c. 400 fr.

p. 250 fr. - De Beaumercy, 14,b. Barbès, de 9 à 14 h


- Moto sidecar René Gillet 5 ch.,mod. 1913, presque nve, débr., changement de vitesse, peu roulé, 1.500 fr.

— Paragot, théâtre Ambigu-Comique, Paris.

— Moto Peugeot fin 1912 2 1/2, 2 c., g. ét. nf, acc., 450 fr. — P. Drouin, 19, rue Richebourg, Le Mans.

— MotoExcelsior5X,6ch.,parf.ét.,2 v.,déb.trans.

p. chaîne av. sidecar Mills-Fulford, roue élastique, 1.400 fr. — P. Jouve, 145, boul. Murât, Paris.

— Moto Peugeot, achetée en août, 5 ch., nombr.

accessoires, 900 francs. — Peyre, Céret.

— Moto Terrottr. b. état, revue m.dern.,peu roulé, div. access. nouv., 500 fr. •— Dupin, Bésayes (Drôme).

— Sidecar 5 ch. Peugeot, 3 vit., débrayage, place enfant cadre et châssis renforcés, fourche Druid, 2.000 kil., coûté 2.600 fr. ; pour 1.300 fr. — Ruhlmann, 10, rue Maleville, Paris.

— Cyclecar torpédo mod. Bosch-Claudel, chang.

vit., access., 1.100 fr., ou échange pour moto. — Veissière, boulevard Jeanne-d'Arc, Soissons.

— Quadri Victoria-Combination, 2 ch., 2 vit.,2 pl., mche parf., bons pneus, 400 fr. — Delagarde, 8, rue Rouget-de-l'Ile, Asnières.

VOITURES

— Vtte BB, moteur Anzani 1913, 6-8 ch., 50 kil. à

:heure, essais. — Faire offre : Dr Boulay, Charentondu-Cher.

— VtteRenault8 ch., type AX.excel. ét.,tr.p. roulé, capote, access., carross., 2 ou 4 places, pas d'interméd, — Bourgain, 6, square Croisic, Paris.

— Vtte moteur Aster, mono 9 ch., lanternes, parebrise, access., b. état mche, prix très modéré. — Bec.

Villers-sur-Mer (Calvados).

— Vtte Ruby 6 ch., 2 pl., cof. ar., susp. J.M., cap., pare-brise, roues Celer, lant. Dietz, ph. gén. Rushmore, trompe, 2 pn., 2 ch. à air rech., acc., parf. état, 1.200 fr.

— Carpentier, 76, boulevard Péreire, Paris.

— Vtte mot. Aster, 6 1/2, 2 ou 4 p. mono, pn. et ch.

rech., 500 fr. — Lecuivre, Avize (Marne).

— Vtte de Dion Y, b. état, 6 ch., 2 pl., cap. et parebrise, lant., phares, outillage, 1.100 fr. — Maurice, 182, avenue de Versailles, Paris.

— Vtte cyclecar, torp. 2 pl. de Dion, 5 ch. Bozier ; mag. U H Claudel, pneus nfs, marche part., 800 fr. —

Goumas, 19, rue des Cordelières (13e).

— Voiturette Lion Peugeot, 6 ch. 2 baquets, double allumage, pneus neufs, très robuste. - Baujoin fils, Menng-sur-Loire (Loire).

— Renault 1903, 2 cyl., 2 pl., sp. rent., mche parf.

tr. bon ét., 1.200 fr. — Benoist, 21, rue Lamartine.

— Daimler 1911, 4 cyl., 80 x 130, torp. gr., ph., lant., ac. 8 v., dyn., ind. v. et p., tr. autovox, r. am., coff.

m.-pied, p. ét., carr. rem. nf, 7.200 fr., bonne voit.— J. Thollon, b. Chanzy, Montreuil-s.-Bois (T. 901-49).

— Sizaire-Naudin, type course, mon., 1.300 fr.

— De Magnanville, Bussière-Boffy (Haute-Vienne).

— Brasier 1906, 4 cyl., cardan, haute tension, ent.

revue, torpédo avec spider, 3,500 francs. — Vibert, 8, rue Desaix, Paris.

— Grand coupé, carr. neuve, moteur Darracq 85 sur 100, 4 cyl., 1910, marche parfaite, 3.500 fr. — Roux ; s'adresser : garage Mallet, Cherbourg.

- Bédélia 4 ch., mon., parf. ét., août 1913, écl.

électr., acc. — Geoffroy, 124, boul. Champigny, La Varenne-Saint-Hilaire (Seine).

— Bédélia, mon., 4 ch., 2 pl., parf. état, tous ace., sortie mai 1913. — Ecrire : Wiriot, 2, rue CamillePérier, Chatou (Seine-et-Oise).

— De Dion 5-7 ch., 1914, torp. 2 pl., p.-br., cap., joues ailes et marchep., lant. av. et arr., roulé 8 jours, cause départ étranger, 4.300 fr. — Cernay ; visible : garage Cormier, 31, rue d'Anjou, Paris.

— De Dion 6 ch., 3 vit., type Y, Claudel, 2 baquets, coffre, capote, glace, lant., phare, access., bon état.

— Guiguen, 38, rue Amelot.

- Populaire de Dion-Bouton type Q, 6 ch., bon ét., carr. 2 et 4 pl., cap., p.-br., lant., ph. gén., 800 fr.

— G. Ambrois, 7, rue Jules-Dufresne, Cherbourg.

— Renault 6-8 ch., tr. b. ét. marche, bonne occas.

— Facy, 1 bis, rue Hector-Malot, Paris (12e).

— De Dion 4 cyl., 7-10 ch., 1913, torp. gr. luxe 3 pl., phares, lant., access. compl., roulé 2.500 kilom., peinture neuve. — Daligand, Le Creusot.

— T. 2p. 1913 8 c. 2500 f. Gerbaud, 102, r. Pelleport.

— Renault 8 ch., torp., acc., sortie nov. 1912.

— Vis. s. rendez-vous : J. Bochot, 14, rue Tronchet.

— Renault 8 ch. 2 cyl. 1910, 2 baq. parf. état, cap., par.-br., 2.400 fr. — Ecr. : Vincent, 34 f. St-Martin.

— Ruby 8 ch., 4 cyl., torp. 2 pl. modèle 1913, tr.

confortable, 4.000 fr. — Pierre Maillard, 46, avenue de Suffren, Paris.

— De Dion 8 ch., mon., tr. b. ét., mche parf., tonn.

dém., coff. arr., cap., p.-br., lant., ph. acét., r. Céler garn., ts acc., pièces rech., ch. rech., 2 env. nves. —

S'adr. : Delfour, pharmacien, Le Bugue (Dordogne).

— De Dion 8 ch. V., 2-5 pl., revue usine, tr. b. état, cap., ph., outils, pièces rech., 1.100 fr. — Blondeau ; visible: 127, rue Tocqueville, Paris.

— Clément-Bayard 8 ch., 4 cyl., 1912, torp. 2 pl., cap., p.-br., lant., trompe, spider 2 pl. A.R., roue de secours, en bon état, 3.500 fr. — Ed. Hurel, 58, rue de Paris, Asnières.

- Jolie voit. de Dion 8 ch., type V., châssis long, 2 pl., cap., p.-br. Stepney, acc., tr. b. ét., 975 fr. —

Pouplier, 58, rue Greneta, Paris.

— Chenard 8-9 ch., d. ph., 4 pl., cap., gl., r. Stepn., p. roul.,ét.nf, 2.200fr.—Do Villiers, St-Piat (E.-et-L.) - Torp. S. C. A. R., 4 pl., 2 cyl., 8-10 ch., magn.

carb. Zénith, pn. Michel, dont 3 nfs, cap., p.-br., lant.

trompe, 2.800 fr. — Drouhin, 23 r. de la Roquette.

— D. F. P. 8-10 ch., 4 cyl., 65 X 120, sortie fin nov.

1912, torp. luxe, 3 pl., a cté 6.700 fr., cap., p.-br.,2 ph.

gén., 3 lant., r. de sec., sir., tr.,4pn. nfs 760x90, net 4.900 fr., photo. — G. Chemin,La Ferté-Alais (S.-et-O.).

— Clément 8-10 ch., 2 cyl., 4 pl., 1908, mag. Bosch, carb. Claud., r. Stepn., lant., ph., cap., ts acc., bon état. — G. Austiquet, Francastel (Oise).

— Clément-Bayard 8 10 ch., 2 cyl., torp. 2 pl., tout rem. à neuf, cap., p.-br., lant., ace., pn. et ch. rech., 2.400 fr. — Leydié, 3, avenue Trudaine, Paris.

— Prima 9 c., mag. p. ét. m. et ent., r. sec., antid. n., t. acc., ess. vol., 1.500 f. — Chastre, 52, av. Orléans.

— Lion-Peugeot 9 ch., d. phaét., cap., p.-b., r. Step., d. ail., n. ace., pf. ét., 2.000 fr. — Ballet, 32, av. Rapp.

— Delâge 9 ch., mon. Dion 1910, mag. Claud., torp.

phaét. 2 ou 4 pl., pte d. course, cap., lant., tr., p.-br., out., 2.400 fr. ou off. — Mémin, 34, r. des Couronnes.

— Renault 9 ch., 2 cyl., dble phaét., pf. ét., cap. n., 1.500 fr. — Sansot, 9, rue de l'Eperon, Paris.

— De Dion 9 chevaux, type K., tonneau 4 places, moteur et boîte vitesses remis à neuf, carburateur Solex, 850 francs. — Bourdeaux, 173, rue ArmandSylvestre, Courbevoie.

— Delâge 9 ch., mon., type sport luxe, 2 et 3 pl., équipée, comme neuve, 2.200 fr. — Trocmé, rue Charlevoix, Saint-Quentin (Aisne).

— DelAge 9 ch., de Dion, 4 ou 2 pl, av. spid., cap., p.-br., lant., ph. génér., etc., mche et ét. parf., prix avant. — Street, 8, r. Rougemont, Paris.

— Zèbre 10 ch., 1913-14, gar. usine, payée 7.500 fr.

prix 5.800 fr. — Denet, 93, av. de Clichy, Paris.

— Coupé landaulet de ville Panhard 10 ch., 1905, dble ail., mche parf., 2.200 fr. — De Lesparre ; s'adr. :

Bernin, carrossier, r. Victor-Hugo, Tours.

— Unie 10 ch., 1913, torp. 4 pl., cap., p.-br., r. de sec., lan ., ph., amort. J. M., tr. autovox, compt.

Stewart, montre, 5.500 fr. — Drubay, 169, r. CamilleDesmoulins, Saint-Quentin (Aisne).

— Darracq 10 ch., 1911, 4 cyl., cond. int., 4 pl., compt., acc., lant., 3.200 fr. — Bor ; s'adresser : 16, r. de Sèvres, Boulogne-sur-Seine.

— Delaunay-Bellcville coupé 1909, 10 chevaux parfait état. — Sint, 59, rue de Miromesnil, Paris (8e arrond.).

— Darracq 10 ch., 2 cyl., 4 pl., Claudel, Bosch, cap., p.-br., Stepn., acc., pf. ét., 1.800 fr. — Pioche, 69, rue du Château, Boulogne-sur-Seine (le matin).

— De Dion 10 ch., 1913, torp. 2 pl., grand spider.

— Regnery ; écr. : Lemaitre, r. de la Gare, Alençon.

— Delah. t. sp. rent., 10 ch., 2 c., m. Bosch, c. CI., pn. n. — Poilécot s'ad. mat. : Fossey, 7, cité Pelleport.

— Renault 10 ch., 1903, 2 cyl., tonn. dém., 4 pl., p.-br., r. Stepney, lant., outill., 1.200 fr. — Beauvalet, 9, rue des Quatre-Fils, Paris.

— Clément 10 ch., 4 cyl., 2 pl. et spid., méc. ét. nf, acc., out., etc. — Renaudy, Châteaudun.

— Peugeot 10 ch., type 1912, carr. luxe torp. 2 pl..

cond. int., abs. état neuf, roulé 6.000 km., 6.500 fr.

— A. Lanternier, r. Cruveilher, Limoges.

— Delahaye 1912,10 ch., 4 cyl., torp. 2 pl. et spid., pf. ét., vérif. p. usine Delâge ch. mois, av. acc., compl., 5.300 fr — Chedeville, 36, rue de Trévise.

— Panhard 10 ch., 4 cyl., mot. Centaure, c. Claud., m. Bosch, v. 50 km., 1.800 fr. — Koch, Stenay.

Clément-Bayard 1910,10 ch., 4 c., cpé c. int, lu.

pf., 3.600 fr. Masson, 3, pl. de l'Aima (le matin)— Clément-Bayard 10 ch., 4 cyl., 1911, dble phaét-» 4 pl., cap., p.-br., lant., trompe, phares, sirène, roue de secours, en bon état, 3.250 fr. — G. Hurel,58, rue de Paris, Asnières.

— Delâge 10 ch., 1912, carr. torp. 2 pl. spid., P°' Mich. nf., r. Stepn., ph. gén. Bénard à pan., p.-br., ClIP" out., m. pf., 4.500 f. Dumont, f. d'orgues, les AndelYs.

— Bayard-Clément 10 ch., 2 cyl., 4 pl., capote, parebrise, lant., ph., roue de rech., 2.200 fr. — Braun, 5, r.

Renault (square Parmentier), Paris (11e).

— Clément-Bayard 1913,10 ch., torp. 4 pl., état nf, peu roulé, complètement équipée, 4.800 fr. - Diffioth, 17, rue Meslay Tél. 1014-67, Paris.

— Zedel 10 ch., 4 cyl. 1909-1910, j. vtte,2 b. sp. rStepn., c., p.-br., env. rech. — Droubaix, 10, p. Bastille— Torpedo 10-12 ch. Mors, 4 cylindres, 4 places, dernier modèle, capote, pare-brise, accessoires, neuve, prix exceptionnel. — Guyot, 95, avenue de Versailles, Paris — Panhard 10-12 ch., 4 cyl. à chaînes, magn., 4 pl., marche parfaite, accessoires, 1.500 francs. — Martel, 17, rue Satory, Versailles.

— Zédel 10-12 c., 4 v., 1911, torp. 2 pl., écl. B. R. C.i' 5.000 f. — Dumont, 18, r. Oberkampf, Paris, Tél.947-3** — Bayard-Clément 10-12 ch. 1913, torp. 4 places, compl., cap., sirène, phares, le tout état absol. neuf, 4.900 fr. — Tsakiris ; chez Leroy, 162, av. d'Allemagne— Renault 10-14 ch., 2 c. 1907, 2 b., spid. long., gl., cap., ét. parf., 2.300 fr. — Rainfray, 24, rue Pavée.

— Lim. Renault 10-14 ch., t. b. ét., av. car. d'été, dble phaét. — Courtin ; écr. : Gilbert, 3 bis, rue Bleue" — Renault 10-14 ch. déc. 1909, ravissant coupé liJJl., peint, et garn. entièrement neuves, phares, accessoires, compteur O. M., éclair, élect., pneus b. état, 6.000 fr.

— Lapeyre, 49, rue Meslay, Paris.

— Renault 11 ch. 1913, torp. 4 pl., 5 r. dém. FI" nault, 7.000 fr. — J. Pardon, 42, b. Henri-IV, Paris* — Brasier 1910 11 ch., 4 cyl., 4 pl., éq. et. nf, 4.000 faffaire sérieuse. - Cosseron, Epieds (Eure).

— Clément-Bayard 4 c., 11 ch., c. intér. Gir, r. st., ph., lant., ét. n. — Vautherin, 6, r. Charmes, Le Vésinet.

— Brasier 11 ch., 4 cyl., 1911, mche parf., cond. int.

découvrable 3 pl., acét. diss., photo sur demande.

Saillard, 175, rue Tolbiac, Paris.

— Delâge 12 ch. 75 x 120, juil. 1911, torp. 2 pl. sp^' 2 places, cap., pare-brise, ph. B. R. C., lant., am or t Télesco, sirène, roue Michelin, outil, compl., parf. éta 5.900 fr. — Juster, 15, rue de Bourgogne, Paris.

— Peugeot 12 ch. 4 cyl., magn. Bosch, carb. Claude roue Stepney, compètement remise à neuf, marche p»r* faite, 2.600 fr. — Cornet, Grand-Hôtel, Saint-Nazaire sur-Loire.

— Brasier 12 ch. 1909, 4 cyl., pn. 815 x 105, torpo dble phaéton, 4 pl., acc. compl., 4 vit., tr. b.' ét., 4.000 Jr" — Elle Lamy, Louhans (Saône-et-Loire).

— De Dion 12 ch., 4 c., B. H. 1908, d. ph., p.-b-»P" c., pf. ét., 3.000 fr. — Breton, 139, boul. St-Germ!tJn.

— Cottereau dble phaét., entrée latér., 12 eh., 2 cyl" magnéto Bosch, Zénith, Stepney, acc. divers, mche c' régulière, mécan. revu, bon ét., peinture à re-jaire, OCCI sér., 2.000 f. — Dr Guichard,:Paray-le-Monial (S.-et-l"' — Buire 12 ch., 4 cyl., dble ph., 4 p. 2 str., p. ét., 4.000 fr. — Guyot, 11, rue Robert, Lyon.

— Delahaye 12 ch. 2 cyl., type 10 perfect., lim.'Be' Valette, entrée arrière, marche parfaite, 1.500 franc — Écrire : Gibert, 164, rue de Vaugirard, Paris.

— Dion 12 ch. 2 cyl., 4 pl., lant., ph., pare-brise, carb. Zénith, mche parf. — Hozana-Thielly, 10 rue Rouvray, Neuilly.

— Lion-Peugeot 12 ch. 2 cyl., sport, 2 pl. torpe<M ts access., marche parfaite, 2.900 francs nets. — lIeJl Boron, Pont-de-Roide (Doubs).

— Berliet 12 ch., 1911, dble phaét., torp. 4 pl., JJlC pf., cause double emploi, 5.500 fr. — J. Simon, 5ffi gouet, par Bourg-Achard (Eure).

— Buchet 12 ch., 4 cyl. 1911, amort. J. M. aV'f' arr., cond. int. se découvr., 2 pl., strap., ace., 3.000 fl.

Baland, 14, rue de la Pitié. Tél. 830-04. f. tt Chenard 12 ch., fin 1911, t. torp. 4 p., méc. t éq., 3.850 fr. Lavocat, 23, rue des Moines, par — Peugeot 1910,12 ch., 2 cyl., coupé limous.

4 pl. int., c. Boulogne, écL élect., c. Claudel, m. 130sc r. Stepney, compt. nf, peu rlé, pf. ét., vente ap. bO: photos, dem., 5.000 f. — Ec. : Delepière, 15, r. Turtw — Darracq 12 ch., 1913,4 cyl., nve prend, us,. n e , d.

nfs, c. int. 2 p., 4.500 fr. — Guibal,59, Bd. Vaug""a'


De Dion 12 ch. 2 cyl., 1906, land., tr. b. occ., 1.400 f. ou châss. si 1.200 f. Fouilleul, 60, r. Rend.-vous.

- Lor.-Diétrich 12 ch. 1911, torp. 5 pl., ét. neuf, 6.500 fr. — Olida, 17, rue Marengo, Le Mans.

- Lorraine-Diétrich 12 ch., 1912, torp, 4 places, Phares, revue usine 1913. — Gobillard ; visible : garage 106, rue Cardinet.

- Unie 1909, 12 ch., 4 cyl., db. phaét., torp., revue, magn. Bosch, amort. J. M., access., parf. état, essai, photo sur demande, 3.600 fr. — G. Bourlin, 2, place d'Armes, Cognac (Charente).

— Chenard-Walcker 12 ch., 75 x 130, 1912-13, torp.

gr. luxe, 4 pl., état nf, revue complètem., nomb. acc., cause maladie, 4.750 fr. — Ludovic Bonnefoy, industriel, Romans (Drôme).

— Sizaire 12 ch., mon., 2 baq., ét. nf, 65 km. palier, 1.500 fr. — Perret, 39, bd Pasteur, Paris.

— Renault 12 ch., 1911-12, r. acier Rudge, pn. 120, cond. int. 4 pl., extra confort., acét. dissous, autovox, compt. accum., etc., rlé 7.000 km., 8.000 fr. — Bezançon; vis. : 31, r. d'Anjou, agence Cormier.

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— Chen. 1910, 12 ch., 4 cyl., 4 v., 2 pl., cap., p.-br., Ph., lt., ind. v., 3.000. — Godfroy, Ivry-la-Bat. (Eure).

— Chenard 12 ch., mod. 1912, torp. luxe 4 places, tous access., très peu roulé, état neuf, occasion sérieuse.

- Pannier, 28, rue Racine, Paris.

- De Dion, landaul. exc. état, 12 ch., type A. N., 2 cyl., mag. Bosch, ph. et lant., r. Stepney, pièces rechange, 2.500 fr. — Comte des Fossez, 14, rue du Pour, Saint-Maur-des-Fossés (Seine).

— Charron 12 ch., 1911, 4 cyl., db. phaét. torp., ét. parf., 3.600 fr. — Dr Klein, Auxerre.

— Chenard 12 ch., 4 cyl., land. luxe, mod. 1912, acc., état neuf garanti, photo, occ. sér., cause achat forte voit., 5.290 fr. — D'Adhémar, r. Mâcon", Reims.

— Barré 1909, 12 eh., Ballot, d. phaét. torp., cap., p.-br., ph., lant., compt. Joncs, 2.500 fr., photo s.

dem. — Bordes, 6, r. Saint-Quentin, Paris.

— Unie 12-14 ch., 4 cyl., mag. Bosch, dble phaét., 4 pl., p.-br., coff. acaj., cap. cuir, r. Stepn., 1.800 fr.

— Dr Lallement, 150, Grande-Rue, Nogent-s.-Marne.

— Georges Roy 12-14 ch., 1908, 4 cyl., 3 vit., m. db, Ph., cap., p.-br., lant., cotl. à out., t. b. ét. mche, pn..

ch. rech., 2.200 f. — Joly, 45, r. Ybry, Neuilly-s.-Seine.

- Berliet 12-15 ch., mod. 1910, dble phaét., arr.

dém., acc. compl., bon état. — Alaux, notaire, Montauban.

— Bellanger 12-15 ch., 1913, 4 cyl. s.-soup. Daimler, cond. intér., grand luxe, écl. électr., phares, 5 r. dét.

Riley, pn. nf, à enlever fin décembre, 10.000 fr. —

Demathieu; visible : 3, passage du Désir.

— Delahaye 12-16 ch., 1909-1910, 4 cyl., coupé cond.

intérieure, 2 pl., m. Bosch, c. Claudel, pneus 815 x 105, 3 chamb. rech., revue usine, très bon état, 5.500 fr.

Photo sur demande. — Ballif, siège social.

— Peugeot 12-16 ch. 4 cyl. 1911, torpédo 4 pl., remise à neuf par usine, tous accessoires, excellente occasion 6.500 fr. Prost, maire, Aumont (Jura).

- Delahaye 12-16 ch., torpédo conduite intér. 4 pl., Parfait état, peu roulé, prix avec accessoires, 6.800 fr.

- Écrire : Sellier Maurice, Petit-Luxembourg, Bourgla-Reine (Seine). Tél. 5.

— Hotchkiss 1910 12-16 ch., lim. légère, tr. bon état, Peu roulé, marche parfaite, pneus amovibles. — Écrire : Naudin, 2, avenue des Marronniers, Villeneuve-SaintGeorges.

— Hotchkiss fin 1910 12-16 ch., ent. revue usine, Ph. 4 places, cap., lant., phares, roues Stepney, 4.700 f.

- Molla, aviateur, Bue (Seine-et-Oise).

— Delahaye 12-16 ch. 1911, parf. ét., torpédo 4 pl., capote, pare-brise, phares, lanternes, porte-bagages, roues Stepney, accessoires complets. — Blondel, 10, rue de Paris, Paris (après-midi).

- Delahaye 1911, ph. 5 pl., 4 cyl., 12-16 ch., gar.

P. ét., 6.000 fr. — Dr Juilhe, Nérondes (Cher).

— Charron 12-16 ch. fin 1909, 2 baq. spider, jolie car. Pingret, parf. ét. sous tous rap., 4 pns Michelin, état nf, acc., 4.200 fr. — Duchesne, 2 bis, r. Scheffer.

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accessoires, parf. état, très peu roulé. — Écrire Cauvain, 11, rue des Saints-Pères, Paris.

— Chenard et Walcker 14-16 ch. 1909, ét. nf, embr.

Hele-Shaw, dynamo, nombr. access., 3.000 fr. - Petitpas, 3; rue Rameau, Versailles.

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— Ch.-Walker 14-16 ch., tr. b. ét., carross. 2 places spid. 2 pl., cap., pare-brise, phares, lanternes, 1.800 fr.

- Sentier, 108, rue de Richelieu.

— Chenard 14-16 ch., sort. 1910, phaét. 3 pl., ét. nf.

- Écrire : De Woyciékowski, 4, rue Rocroy, Paris.

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— Renault 14-20 ch., b. ét., 4.000 fr., interméd.

s'abstenir. — L. Borrel, 17, rue de Calais, Paris.

— Renault 14-20 ch., j. torp. 2 p., 3.500 fr.- Bauer ; s'ad. : Fashionable-House, 16, b. Montmartre, Paris.

— Renault 14-20 ch., ét. nf, dble ph. 1905, carb.

Claudel, pare-br., porte-bag., sirène, pompe, ph., lant., r. Celer, cap. plate don. à la voit. un aspect mod., 2.500 fr. — S'ad.: M. Armengaud, ing., 23, b. Strasbourg.

— Landaulet 4 pl., Charron 14-20 ch. 1906, magn.

Bosch, carb. Claudel, roue secours, tous access., revu entièrement usine juin 1913, 2.500 fr. — Écrire : Bresson, château « Les Mathurins », Pontoise (S.-et-Oise).

— Renault 14-20 ch. 4 cyl., magn. Bosch, b. ét. de mche, dble phaét., cap., p.-br., compt. O. S., sirène,'pns rechange. — Fournier, 43, rue de Lille, Paris.

— Grégoire 14-24 ch., presq. neuve, torp. luxe 7 pl., p.-br., cap., 5 r. dét. Riley, ph., lant., sir., trompe, nombr. access., photo et essais sur demande, 6.500 fr.

— Filoque, constructeur, Bourgthéroulde (Eure).

- De Dion-Bouton 4 cyl., 15 ch., type A. O., carr.

angl., torp. d. ph., cap.,p.-br. cuiv. dern. mod.,exc. ét.

de m., peint, grise, ail. hte tens., n. acc., 3.500 fr. —

De Beugy, chât. de Bannegon (Cher) (photo sur dem.).

- Delaunay-Belleville 15 ch., 98x122, de 1911, double phaéton n'ayant fait que 20.000 kilomètres.

— S'adresser chez M. J. Dillingham, 50, boulevard Malesherbes, Paris.

— De Dion A. O., 15 ch., 4 cyl., cond. int., land, s'ouvrant à volonté, 2 pl. strapontin spider, tous acc., tr. bon ét., marche parfaite. - Lecomte, 5, avenue Kléber, Nogent-sur-Marne.

-Panhard 15 ch., 1908, 4 cyl., 2 carr., limous.

2 strap., dble phaét., cap. cuir, pare-brise, tendelet, phares, nombreux access., parfait état, 5.000 fr. —

Henry Raymond, 34, avenue Kléber, Paris.

— Barré 15 ch.. 4 cyl., mot. Ballot 1911, belle carr.

double phaéton, état neuf, 4 pl., 2 strap., prix à débatt.

— Pompon, 40, rue Lehot, Asnières (Seine).

- Delaunay-Belleville 15 ch., 6 cyl., sortie usine août 1912, ph. torp. 6 pl., ét. de nf, peint, nve coul.

havane. — S'adr. : Godin, 21, r. Chaptal. T. Gut. 57-49.

- Panhard-Levassor 15 ch., 1907 modifie, landaul., très bon état, 3.000 fr. — Marquis de Casa-Valdès, 28, rue de Lubeck, Paris.

- Lorr.-Diétr. 15 ch., 1909, cpé lim. Driguet tr. b.

ét. — Ec. : Quilliard, La Brie, par Voillecomte (Hte-M.).

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2 pl. et spider à l'arrière, 3.500 francs. — Burgeat, distillateur, Saint-Dizier (Haute-Marne).

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Garage Daffrin, Dieppe.

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Mossier, 4 portes, 2 strap., tte équipée, access., 5.000 fr.

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- Panhard 18 ch., fin 1908, lim. gr. marq., p. roulé, ace., pf. ét., 5.500 fr. — Du Bourg, Perreux-s.-Loire.

— Peugeot 1913, 18 ch., torp., sortie usine 27 mars, état parf., cause double emploi. — De Francony, 26, rue de la Paix, Nice.

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neuf, 4.400 fr. — Le Bertre, 86, av. Wagram, Paris.

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On peut avoir la limousine s'adaptant sur ce châssis.

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— S'adresser : G. Bach, 29, b. Jules-Sandeau, Paris.

— Renault 20 ch., sport, 4 pl., 3,500 fr. — Visible Rouquier, 135, av. de Versailles ; écrire : Jean du Saint, 92, rue du Bac, Paris.

- Landaulet limousine Renault 20 ch., 1908, type extra-long, encombr. châssis 1.680 x 4,435. — Maxime Clair, industriel, Crépy-en-Valois (Oise).

— Cornilleau 20 ch., sort, usine mars 1912, Bosch, Claudel, Eclair, sirène électr., compt. ind. vit., acc., parf., voit. tourisme torp. 5 pl., 5.000 fr., facil. paiem.

— Fournier, 10, rue Frémicourt, Paris.

- Cliarron 20 ch., landaulet, modèle 1901, moteur.

compl. rem. à neuf, avec tous les accessoires, 5.000 fr — De Saint-Martin, 6, avenue de la Liberté, Biarritz (Basses-Pyrénées ).

- Charron 20 ch., torp. Lamplugh janko, acc., ét.

pf. — S'adresser : Clément, 5, rue de Berri.

- Renault 20 ch., 1905, dble phaéton, 2.800 fr. —

Martinon; écr. : Jean du Saint, 92, r. du Bac, Paris.

— Hotchkiss 20-30 ch., 1911, type X., torp. luxe Lamplugh, cap., p.-brise, échappem. libre, roue Stepney, phares générât. Besnard, 8.200 fr. — L. Gardey, 136, faubourg Poissonnière, Paris.

— Berliet 22 ch., 1911, très belle limousine, strapont.

face route, marche et état parfaits, 7.000 fr. — Boilaive, 1, rue Chazelles, Paris.

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— Panhard 24 ch., lim. Mühlbacher b. état, garant., 5.000 fr. — Ayçagner, 1, rue de Rocroy, Paris.

- Bollée 24 ch., 1910, dble 'phaét., cap., p.-br., peu rlé, exc. ét. — Burton, 12, av. Gourgaud.

— Diétrich 24 ch. 1906 garantie comp. remis à neuf, doub. phaét., cap. pare-br., 2 roues Celer et'pneus, phares Blériot, 3.800 francs, marche parfaite. — Écr. :

Clément, 36, rue de Bétheny, Reims.

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LISTE DES CANDIDATS

NOVEMBRE 1913

PARIS

ALIBEGOFF (J.), agronome, 108, boulevard Jourdan.

ALLAIS (H.), employé de banque, 78, avenue Secrétan.

APDIDIÈRE (H ), 13, boulevard Diderot.

BARBIER (P.), employé de banque, 59, rue de Lancry.

BARY (J.), étudiant, 20, rue des Tournelles.

BASTIAN (L.), ►λ, employé à la Compagnie P.-L.-M., 26 bis, boulevard Diderot.

BALLUT (R.), chirurgien-dentiste, 31, rue Saint-Denis.

BELLAMY (A.), Q, §, publiciste, 14, rue de Provence.

Bellune (Mme la vicomtesse J. de), 10, rue Puvis-de-Chavannes.

BERGEROT (P.), négociant, 6, rue Clavel.

BÉTEMPS (J.), employé de commerce, 14, avenue du Père-Lachaise.

BIELBY (R.), 7, rue Faraday.

BIMSENSTEIN (H.), ingénieur, 29, rue Demours.

BIMSENSTEIN (W.), ingénieur, 29, rue Demours.

BIONIER (H.), 3 bis, rue Carducci.

BIORÈS (J.), étudiant, 169, avenue de Wagram.

BLASSEL (E.), étudiant, 9, rue de Naples.

BLIN (E.), 8, rue Dupuis.

BOINET (C.), industriel, 34, rue Sébastien-

iviercier.

BONNELAT, sénateur, 6, rue Froide vaux.

BONNETERRE (V.), commerçant, 358, rue des Pyrénées.

BOUSQUET (E.), 6, rue Roussel.

BouvET (E.), *" , ►[«, capitaine à la garde républicaine, rue Gracieuse.

BOYELLE-MORIN (G.), Q, £ «, q-4, ingénieur, 11, rue Dulong.

BRANCHEREAU (R.), ingénieur, 40, avenue du Bois-de-Boulogne.

BRAULT (G.), 5, rue Truffaut.

BRETAGNE (M.), 54, rue Turbigo.

Brotschy (Mme Vve), 16, rue de Sèvres.

BRUSAFERRI (J.), 16, rue Dupont-desLoges.

BRUYÈRE (G.), étudiant, 126, avenue de Clichy.

CABROL (A.), rédacteur des Postes et Télégraphes, 4, rue Saint-Romain.

CARRE (G.), négociant, 7, boulevard Beaumarchais.

CASANOVA (J.), 79, rue d'Hauteville.

CAVALIÉ (G.), employé de commerce, 22, rue Claude-Pouillet.

CAVOIS (A.), employé à la Compagnie P.-L.-M., 95, avenue d'Italie.

CHABALLIER (A.), 18, rue La Bruyère.

CHABRILLAC (E.), 52, boulevard Diderot.

CHAUMETTE (H.), commerçant, 111, bou- levard Sébastopol.

UIlAUVEAU (Dr), sénateur, 225, boulevard Saint-Germain.

CIlÉROUVRIER (F.), entrepreneur, 97, rue de Bagnolet.

CIlOEL (Ch.), architecte, 29, boulevard de Grenelle.

BORON (C.), secrétaire d'expert, 60, rue de la Folie-Méricourt.

CtERC (P.), 20, rue de Lancry.

Clerc (Mme M.), 20, rue de Lancry.

gOLLOMBET (L.), étudiant, 1, rue Picot.

°NRATH (R.), 22, rue Brochant. CORRELLO (G.), artiste peintre, 39, rue Vieille-du-Temple.

ICOULON (G.), employé à la Compagnie P.-L.-M., 5, rue Parrot.

COULPIER (F.), 77 bis, rue Legendre.

DAMOND (E.), industriel, 28, rue des Annlets.

DANIÈRE (F.), gérant, 9, rue des Pyramides.

DAUBEUF (H.), 6, rue de Trévise.

DELAXOE (G.), 18, rue Etienne-Marcel.

DELATTRE (J.), comptable, 23, rue François-Bonvin.

DESGRANDCHAMPS (E.), commissionnaire en marchandises, 16, rue de Chabrol.

DIÉTRICHS (F.), 51, rue Erlanger.

DIRKS, 15. rue de Bondy.

DOLY :U, 16, villa Saint-Jacques.

DUCAUKNEAU (J.), commis des Postes et Télégraphes ,57 bis, avenue de La MottePicquet.

Duchaufour (Mme Y.), 72, boulevard Sébastopol.

Duquel (Mlle J.), 00, rue de Londres.

DUHAIX-CASSERE (M.), rentier, 51, rue de la Pompe.

DUMTSCHIN (A.), 2, rue de la Chaussécd'Antin.

ECKERT (Ch.), comptable, 89, rue de l'Amiral-Roussin.

FAUCHÉ (E.), sculpteur, 107, rue du Cherche-Midi.

FAUGIER (P.), employé de commerce, 209, avenue Daumesnil.

FERRARI DE VALDES (R. DE), légation du Chili, 60, rue de Prony.

FONTAINE (L.), représentant de commerce, 79, boulevard du Montparnasse.

FONTAINE (A.), 9, rue de l'Arc-ie-Triom-

phe.

FORTÉ (H.), 1, rue Tardieu.

FOURIER (A.), 126, rue du Cherche-Midi.

FRÉREJOUAN DU SAINT (J.), propriétaire, 92, rue du Bac.

FRESTEL (C.), propriétaire, 40, rue GayLussac.

Frinault (Mlle), institutrice, 5 bis, rue de la Fontaine-au-Roi.

FRUGIER (J.), 5, avenue de l'Opéra.

GABRIEL (P.), 19, rue J.-J.-Rousseau.

GARCE (M.), 32, rue de Dunkerque.

GARDET (B.), §, 4, rue Emile-Gilbert.

GAUGRIS (G.), négociant, 202, rue SaintJacques.

GAUTIER (H.), 0. *, I. Q, §,C. »J<, >p, homme de lettres, 56, rue Nicolo.

GERMAIN (G.), 37, rue d'Alleray.

GÉROME (G.), rentier, 48, rue des PetitsChamps. _o..

GHISLAUZONI (A.), 47, rue vivienne.

GONTARD (L.), I. U, employé de banque, 26, rue Singer.

GONZALEZ (E.), étudiant, 1, place de la Sorbonne.

GROSNOEL (M.), 1, rue de l'Amiral-Roussin.

GUÉRIN (M.), artiste peintre, 87, rue de Crimée.

GUERMONT (E.), employé de commerce, 8 rue d'Angoulême.

GUIBERT (E.), commis des P.-T.-T., 18 rue Fagon.

HANDY (L.), Q, O. > p, fondé de pouvoirs, 150, rue du Faubourg-Saint-Denis.

HOUSSEAU (H.),rentier,5, passage Lepic.

ITHIER (H.), dentiste, 5, rue du Havre.

JANET (F.), ingénieur, 31, rue LouisBlanc.

JEANNIN (H.), 16, rue Censier.

JOANNIS (J. DE), employé de commerce, 12, rue Va vin.

JOLLY (H.), 22, rue Saint-Sulpice.

KAFFEUBURGH (A.), 23, boulevard de Clichy.

KEMPEN (E.), 12, rue de Richelieu.

KERAVAL (E.), 1. 9, professeur au lycée Louis-le-Grand, 46, avenue du Maine.

KRIEFF (V.), 11, rue de Montyon.

Labruyère (Mme R.), 8, rue de Madrid.

LACOSTE (P.), I. Y, architecte, 23, boulevard Lefebvre.

LAGRUE (M.), employé de banque, 51, rue Michel-Bizot.

LAMBERT (R.), 14, boulevard BonneNouvelle.

LA SALLE (G. DE), propriétaire, 89, avenue Henri-Martin.

LEBLANC (G.), agent commercial, 10, place des Victoires.

LE BRETON (P.), employé de commerce, 19, rue Louis-Morard.

LECLÈRE (H.), tjt, commis d'agent de change, 7, rue des Trois-Frères.

LEGOUEIX (H.), Compagnie de l'État, 53, rue d'Auteuil.

LEGOUEIX (L.), employé de commerce, 58, rue d'Auteuil.

LEGOUEIX (C.), ancien élève de Polytechnique, 58, rue d'Auteuil.

Lesieur (Mlle L.), 16, rue Piccini.

LIMANTOUR (A.), 51, avenue Marceau.

LoiSEAU (L.), employé de commerce, 17, rue Moret.

LONGE-ÉPÉE (L.),propriétaire, 20, square de La Motte-Picquet.

LORMEAU (l'abbé), 23, rue Chevert.

LOUBET (L.), 5, avenue de l'Opéra.

LUGAND (F.), 52, avenue du Maine.

MARCHAND (H.), 5, avenue de l'Opéra.

Mari (Mlle M. de), 36, rue Pergolèse.

MARINIER (A.), 61, rue des Francs-Bourgeois.

MAUSANG (P.), 51, avenue Gambetta.

MEHRO (N.), 40, rue Saint-Séverin.

MEINRATH (F.), 13, rue Bleue.

Miet (Mlle H.), 28, rue Saint-Sulpice.

MOULIN (C.), 98, rue Montmartre.

MUNTZINGER (C.), 2, rue Saint-Luc.

NIEUTIN (A.), 31, rue de Châteaudun.

NISON (E.), employé de commerce, bou-

levard de Clichy, 130 bis.

NORERO (A.), étudiant, 4, rue EugèneFlacliat.

Oqez (Mlle S.), 33, boulevard des Batignolles.

OLLIÈRE (M.), 48, boulevard de Vaugirard.

PAGNOD (U.), négociant, 7 et 9, rue Xaintrailles.

PAGNOD (A.), étudiant, 7 et 9, rue Xaintrailles.

PAISSAC (A.), entrepreneur, 115, avenue de Clichy.

PELLETIER (U.), avocat à la Cour, 6, avenue de Messine.

PÉMARTIN (L.), industriel, 22, rue Fourcroy.

PÉROT (R.), propriétaire, 70, rue Botzaris.

PLUYETTE (J.), étudiant, 5, villa Mozart.

PIGNÉ (G.), dentiste, 59, rue Ramus.

PIHAN (L.), architecte, 3, rue Franklin.

PUCHEU (A.),commis des P.-T.-T., 43, rue Monsieur-le-Prince.

QUÉTARD (L.), 9, rue d'Abbeville.

QUIOT (G.), commis d'exploitation CLE P.L.-M., 52, avenue Daumesnil.

RABIER (L.), 9, rue Parrot.

REYNAUD, O. *, conseiller d'tat, 86, rue Miromesnil.

ROBERT (P.), 11, rue de Paradis.

ROBERT (J.), étudiant, 11 bis, rue Valentin-Hauy.

ROEINE (R.),industriel, 5, rue Bréguet.

RODANET (H.), 52, rue d'Angoulême.

ROLLAND (J.), *, I. Q, proviseur honoraire, 44, rue de Bruxelles.

ROQUETANIÈRE (E.), négociant, 6, place du Combat.

SCHALTEGGER (S.), 44, rue Pigalle.

SCHMID (G.), 40, r. du Faubourg-St-Denis.

SCHMITT (A.), directeur des Voyages modernes, 4, avenue de l'Opéra.

SCHŒPF (C.), rentier, 55, rue de Maubeuge.

SAINT-HAYAT (A. DE), 11, rue de Montyo.

SICARD (G.), ingénieur des Arts et Manufactures, 4, rue d'Aligre.

SOLIRÈNE (Dr A.), Q, 149, rue de Rennes.

Sourrel (Mme Vve), 72, boulevard de Strasbourg.

STEINKO (J.), 7, rue du Marché-SaintHonoré.

SWAYNE (W.), 39, rue de Prony.

TAVERNIER (E.), représentant de commerce, 5, villa Croix-Nivert.

TEISSÊDRE (L.), 58, rue Jacob.

TEXIER (A.), industriel, 66, r.duSurmelin THAME (W,),86, rue La Fayette.

THIREL (P.), 18, rue Dénoyez.

THIROUX (F.), 138, avenue Parmentier TISON (F.), Q, é, maitre de manège 30, rue Saint-Paul.

TISSIER (J.), 90, rue Bobillot.

TOCHE (P.), étudiant, 17, avenue de Villiers.

TOMASI (R.), 7, rue Nouvelle.

TONONE (V.), 2, rue de la Roquette.

TRIBOUT (C.), 29, rue d'Amsterdam.

VAGANEY (L.), employé de commerce 9, rue des Ternes.

Vaganey (Mme B.), 11, rue des Fermiers VAN BERKEL (C.), ingénieur, 3, rue d'Alexandrie.

VIGNERON (L.), voyageur de commerce, 1, rue Saint-Maur.

VITAL (J.), employé de commerce, 6, rue d'Ouessant.

VIVIEN (F.), 59, rue des Batignolles.

VOURETTE (P.), archite cte, 15, quai S a in t Michel.

W AITT (A.), ingénieur, C° American Express, 7, rue Scribe.

WALCH (J.), TJT, 30, rue de Châteaudun.

WALTHOUR (B.), rue Nélaton, vélodrome d'hiver.

WILHELM (M.), I. U, propriétaire, 32 bis, rue Lacépède.

WOLFF (A.), 33, avenue Henri-Martin.

WOLFSOHN (J.), négociant, 42, rue de Cléry.

WOLKORSKY (B. DE), 3, rue Pergolèse.

ZEBAUNE (J.), 53, rue de Ponthieu.

ZEBAUNE (A.), 53, rue de Ponthieu.

DÉPARTEMENTS

AIN Belley: ACHARD (A.), contrôleur des Contributions directes.


PRÉMILLIEU (P.), négociant, 18, rue de Cordon.

Bourg : THIÉVON (J.), greffier du Tribunal civil.

Ferney-Voltaire : PERRET (A.), employé des Postes. Saint-Rambert : CIBRARIO (J.), chez M.Ramaciotti.

AISNE Seraucourt-le-Grand : DARTEIN (J. DE), agriculteur.

Saint-Gobain : PAGNIER (E.).

ALLIER Le Brethon: LIBAUD (L.), propriétaire.

Lapalisse : LASSERRE (0.), négociant, rue Nationale.

Vichy : LABIESSE (J.), négociant, 8, rue de Paris.

Yzeure: Courroux (Mlle J.).

ALPES (HAUTES-) Agnières : SERRES (J.), négociant.

Briançon : LEVIF (L.), Q, architecte.

L'Echal : FLANDRIN (J.), propriétaire.

Pallons: CLOT (C.), pasteur.

Saint-Disdier : CHALLIOL (F.), négociant.

ALPES-MARITIMES Antibes: SICARD (P.), ancien commissairepriseur, villa Aurore.

Beaulieu-sur-Mer : HEIL (T:), 12, boulevard Marinoni.

Rabéry (Mlle), 13, avenue Félix-Faure.

Cannes: Hourlier (Mme L.), 1, place de la Gare.

Hourlier (Mlle), 1, place de la Gare.

Cap-d'Ail: BERNIN (A.), villa El-Nour.

BLANO (0.), maire.

SCHLEGEL (V.).

Fontan: LIGÉE (0.), constructeur.

Orasse : BOMPARD (J.), entrepreneur, rue de l'Oratoire.

BURLE (L.), avenue Victor-Hugo.

MAOARY (A.), représentant de commerce, 7, route de Saint-Vallier.

MANE (L.), huissier, 10, place de la Foux.

MARCHAL (F.), Casino municipal.

Nice: AUBERT (P.), 1, rue Oluvier.

BIGLER (J.), rentier.

MACCAU (J.), 4, rue de la Croix.

Mazet (Mme), 6, avenue Félix-Faure.

VIERA. (G.), avenue Thérèse-Cimiez, villa « le Refuge ».

WIRZ (L.), Compagnie des Eaux, 24, rue Gioffredo.

Ptiget-Théniert : BATTIOLI (A.), usine Miquelis.

ARDÈCHE Saint-Martin-de-Valamas : MURE (F.), entrepreneur.

Vals-les-Bains : CAUCHOIS (E.), capitaine au long cours aux Messageries Maritimes.

ARDENNES

Givet: OOURTY (J.), sous-lieutenant au 148e d'infanterie.

Mézières : COLAS (L.), inspecteur-adjoint de l'Enregistrement, 14, rue Bayard ARIÈGE Pamiers : BAQUÉ (P.).

Saint-Lizier : DUMAS (A.), adjoint des Affaires indigènes.

AUBE Bar-sur-Aube : COUSIN (A.), négociant 132, rue Nationale.

Romilly-sur-Seine : DELAUNOY (R.),ingénieur, rue du ler-Mai.

Troyes : BOISSEAU (M.), Y, $, industriel, 8, rue Colbert.

GOUBAULT (A.), 66-68, rue de la Monnaie.

AUDE

Alaigne : GIRARD (A.), employé de commerce.

Limoux : OURNAC (D.), négociant, rue de la Goutine.

ROUGE (E.), négociant.

Pépieux : SÉGONNE (A.), négociant.

Rieux-Minervois : VALETTE (Ch.).

AVEYRON Decazeville : GUILLERMIN (V.), ingénieur civil des Mines.

BELFORT (TERRITOIRE DE) Belfort: PANOSETTI (L.).

REALINI (C.), 27, rue du Salbert.

Chevremont : MAGGI (J.), entrepreneur.

Foussemagne : PICARD (L.), négociant.

BOUCHES-DU-RHONE Aix : CHAVERNAC (G.), Q, avocat, 37, rue Roux-Alpheran.

Allauch : TARDIVI (J.), propriétaire, « Canton Rouge ».

Marseille : CROS (M.), étudiant, 40, rue de l'Abbé-de-l'Epée.

HUGUET (A.), sous-lieutenant d'infanterie coloniale.

PASQUIER (A.), propriétaire, 1, rue Sainte.

PRAS (J.), villa « Mon Caprice », Montolivet.

Martigues: GAZAGNE (E.), négociant.

Salon: Fabre (Mme O.), 20, cours Carnot.

CALVADOS Isigny : LOUESLIER (E.), g, greffier du Tribunal civil, rue de Paris.

Mesnil-Durand : FOUQUES (E.).

Saint-Sever : HOFFMEISTER (L.), négociant.

CANTAL Loupiac : ANDRIEUX (A.).

Murat: COMBRE (A.), négociant.

CHARENTE Blanzac : BARBOT (J.), pharmacien.

PILLOT (D* Ch.), maire.

Cognac : ADET (A.), négociant, 1, boulevard Denfert-Rochereau.

CHARENTE-INFÉRIEURE

Rochefort : TRISTANT (A.), étudiant, 43, rue Audry-de-Puyravault.

Royan: JORNET (J.), 33, rue Gambetta.

Saintes: ROUSSELET (S.), rue du Bois- d'Amour.

SEGUINOT (Dr G.), rue Saint-Vivien.

CHER Bourges : COLLIN (M.), lieutenant-colonel d'artillerie.

Itéré : GODON (C.), négociant.

CORSE Ajaecio : CORTICCHIATO (R.-A.), directeur de la Société d'automobiles, 2, rue Fesch.

Bastia : FAVAL (F.), négociant.

COTE-D'OR Beaune : BATTAULT (J.), négociant, avenue de la Gare.

VINCENEUX (A.), publiciste, 8, rue des Tonneliers.

Dijon : BORDONNE (A.), 26, rue de la Manutention.

COTES-DU-NORD Guingamp : MASSION, capitaine au 48, régiment d'infanterie.

Paimpol: MENJON (G.), négociant.

CREUSE Bourganeuf : RICHARD (J.), 11, avenue Turgot.

Monteil-au-Vicomte : TRUFFINET (E.), négociant.

DORDOGNE CORN (J. DE), propriétaire, château de Tuloups.

DOUBS

Audincourt : NETILLARD (P.), rue des Arbues.

Jougne : Lanquetin (Mme V.).

Pontarlier : LAPORTE (A.), Y, entrepreneur de travaux publics.

Pugey: TOURNIER (l'abbé), curé.

DROME

Die : FRANCO (E.), 72, Grande-Rue.

Romas : BAIETTO (A.), 11, place d'Armes.

CHAILLON (P.), industriel, côte des Cordeliers.

JOURDAN (L.), industriel, 24, rue SaintNicolas.

Saint-Vallicr : THONON (M.), négociant.

EURE

Andelys (Les) : QUILLET (G.), 19, rue Jullien.

Beaumont-le-Roger : MOISY (R.), pisciculteur.

Breuilpont : BÉRARD (H.), notaire.

Evreux : CLAVERY, architecte, 17, rue Isamberd.

Fidelaire: BLANVILAIN (H.), propriétaire.

Saint-Pierre-du-Vauvray : ROUSSEL (G.).

rentier.

EURE-ET-LOIR

Nogent-le-Roi CHAUMONT (A.), pharmacien.

FINISTÈRE

Brest : BAELEN (E.), percepteur, 18, rue du Château.

BOULIN (J.), directeur du Comptoir National d'Escompte.

DUVAL (R.), O. *, capitaine de vaisseau, 29, rue de Traverse.

ROUSSEAU (H.), capitaine au 19E régiment d'infanterie.

Quimper: LE GOASGUEN (J.), vicaire à la cathédrale.

GARD

Alais : OLLIER (C.), représentant de commerce, rue d'Avejean.

SALLES (A.), ingénieur, boulevard Gambetta.

Alzon : CRÈS (L.), notaire.

Gallargues : GRAND (J.), propriétaire.

Nîmes : LAGARRIGUE (H.), négociant, 22, rue du Mail.

Remoulins Hechinger (Mme).

Tamaris-Alais : PARADIS (E.),comptable.

Vauvert : GRAS-CHAUVARD (F.), propriétaire.

GARONNE (HAUTE-)

Aspet : BON (E.), propriétaire.

RIBET (J.), I. Y, O. $, conseiller général.

RIBET (E.), attaché à la questure du Sénat.

Estadens : ANDRIEUX (L.), rentier.

GIRONDE

Bordeaux : BERNARD (F.), 31, cours de Tourny.

BOURLAT (A.), contrôleur des Contributions directes,10,impasse Berthus.

CASTAING (E.), 100, boulevard de Bègles.

CLOSE (M.), 127, rue Rivière.

DEGRANGE-TOUZIN, 157, rue de l'ÉgliseSaint-Seurin.

LACOSTE (J.), propriétaire, 92, rue Fondaudège.

LÉVY (A.), ingénieur, 1, rue d'Enghien.

Noussat (Mme R. Emile), 2, rue Théodore-Gardère.

Caudéran : DUSSUMIER-LATOUR (R.), 20, rue Salle.

Lansac : AUDOUIN (C.), propriétaire, maire.

IAJbourne : BOHINEUST (A.), lieutenant de cavalerie, 24, rue Pline-Parmentier.

Lestrac : SALANON (R.), négociant.

Saint-Christoly : OOMBES (A.), rue de la Gare.

HÉRAULT Béziers : BARTHE (J.), propriétaire, 1.

place d'Espagne.

BEIS (Ch.), 18, boulevard du Cheminde-Fer.

BESSON (L.), industriel, 83, avenue de Pézénas.

CHICHET (J.), 5, rue des Poètes.

HOSTINS (P.), 102, avenue de pézénas.

SARROUY (P.), industriel, 8, boulevard de la Liberté.

Cette : BALMA (F.), publiciste, 2,rue J.-J Rousseau.

BATAILLER (Dr A.), I. Q,$, ► £ <, place Delille.

Gange : ROUSSELIN (A.), directeur de l'usine d'électricité.

Montpellier : MARTY (E.), employé de banque, 7, rue Henri-René.

Olonzac : SUBILS (A.), négociant.

Pézénas : MAMABAL (A.), route de Béziers.

Saint-Drezery : SAUMADE (J.), propriétaire.

ILLE-ET-VILAINE

Argentré-du-Plessis : DURAND (A.).

JUCHET (P.), expert-géomètre, rue de la Poste.

Louvigné-du-Désert : FOUGÈRES (R.), négociant.

TELLIER (H.), inspecteur d'assurances.

Rennes : LE GALL (H.), commerçant, 26, boulevard de la Liberté.

INDRE Ecueille : LOUCHET (G.), place du MarchéINDRE-ET-LOIRE

Amboise : GUÉRIX (G.), dessinateur, 106 rue Nationale.

LANGLET (G.), principal clerc de nOtaire, rue Montebello.

Bourgueil : GIGLIO (V.), Maison Alloin.

Chinon : DUTERTRE (G.), négociant.

JOUBERT (L.), S, propriétaire, château du Vaugaudry.

Loches : BRUNON (A.), Û. inspecteur primaire, 7, rue Manthelan.

Sainte-Radegonde : Deschambeaux (Mme M.), rue Saint-Gatien.

Jupix (R.).

RABOT (T.), rue Jeanne-d'Arc.

Tours : LÉVY-KLEIN (H.), négociant 324, rue d'Entraigues.

IS RE Allevard-les-Bains : DUROUX (J.), 8, rue de la Gorge.

VERCELLIN-NOURRISSAT, 8, rue de la Gorge.

Clelles : LUVINY (A.), entrepreneur.

Fitilieu : GONDRAND (F.), propriétaire.

Grenoble : ARMAU DE POUYDRAGUIN (J. D"

lieutenant de chasseurs, 110, cour.

Saint-André.

CARECCHIO (G.), 7, place Saint-Bruno.

COSSANO (A.), Péage de la Tronche.

FAVA (A.), 34, rue Abbé-Grégoire.

GENIN (O.), I. Q, professeur, école Vaucanson.

GILLIA (J.), 12, rue Rose-Guarret.

PERINO (J.), 34, rue Abbé-Grégoire.

SFOZIO (E.), 34, rue Abbé-Grégoire.

VIAL (J.), négociant, 12, boulevard de l'Esplanade.

Mens : BAYOUD (E.), négociant.

Rives-sur-Fure: MANEGLIA (M.), 169, rue de la République.

PERINO, 134, rue de la République.

Saint-Jean-de-Bournay : JACQUELIN (J.), chef de gare.

JURA Bletterans : PELISSARD, huissier.

Bonnefontaine : POUILLARD (Ch.), industriel.

Chaussin : POIFFAUT (Dr Th.).

Dôle : BORELLA (L.), 31, rue Maillard.

Rossi (P. DE), 31, rue Maillard.

Saint-Claude : FlENI (J.), 10, rue Voltaire.


IVRODONAL et la GOUTTE T 'l'est-ce que la goutte?

- La. goutte procède, comme le rhumatisme, avec lequel, cependant, elle ne saurait \WM)<

elr d, f)i^ Confondue, de la diathèse arthritique. Ce sont là deux rameaux issus une Y BKtt lit

etne souche.

La goutte est donc, en fin de compte, une forme de l'uricémie, c'est-à-dire de foisonnement du sang par l'acide urique et les urates, puisque la diathèse ~-~ f rthritique et l'uricémie sont inséparables. ~N~S~* ~t~~t~J t~t~~ Pl Ce qui intéresse les goutteux, c'est de savoir qu'ils fabriquent trop d'acide urique, jt~ wUs lue leur organisme n'en peut tolérer, et qu'il est effectivement l'origine de Il M ilu eeur Inartyre. Il ne leur reste plus qu'à organiser systématiquement la défense en U\\ N^ X—c-~-4^ aissance de cause.

Il leur faudra, tout d'abord, ralentir la surproduction du poison, en se conformant W(l \v, T aux regles empiriques séculaire ment instituées à cet effet par la sagesse expérimen- Mil j \\u\ M t

tai® : se mettre au régime, n'abuser de rien, surtout des bonnes choses, s'abstenir ÊKI Uy, lI'l I e; truffes et de Bourgogne, d'extra-dry et de gibier, s'arranger de façon à ne pas nm ) M f 1 I mÊr Jtj \Y N~ Cr ^Pir dans une « boîte à coton », mais vivre le plus possible au grand air, tout en fin/j uhl 1 II ~jJ!~t~F~ ant les refroidissements, faire de l'exercice à force, brûler leurs déchets. jHnI l l A\ —> fil /I |j I sUffi t comme il se pourrait, par aventure, que toutes ces précautions ne fussent pas i U\ ÊÊl 1 jË jl 1Santes et qu'il y eût quand même surcroît d'acide urique, il leur faudra faire /•jjMLgi u\\|VÀ B;\V le écessaire pour évacuer ce trop-plein au fur et à mesure. ~tif uuvttw ÀH ill/ Pe r, l'acide urique est naturellement insoluble. Avant de l'éliminer, il est indis- ~t ~L ~'4\\ N ) NŒ~Nt!) p ^Usabie de commencer par le dissoudre. Ainsi s'explique et se justifie la longue I tt~! '\a)t'M~' Mt'~t lui umMi M iRSpkfll SqUe de la lithine, dont le pouvoir dissolvant est bien connu, - vogue qui durerait /J' Ml lllll HmvvB/ linlwÈ^m I Hw doute encore si la lithine n'avait pas dû battre en retraite devant un médica- Il U1 11 ^wm/i my tf~'MZ~ 6t Nouveau, dont la supériorité, reconnue par d'innombrables médecins, jusques 'lll(l\l\\v i de OInpris par le regretté professeur Lancereaux, ancien médecin de l'Académie Rh t* de Médecine, qui le recommande expressément dans son Traité de la Goutte (page 442), ^ÉIÉMMXX M\ U\\l\ mWt jj jl/lj l' Ûm I umahsmes deyCleUement proclamée devant l'Académie de Médecine (10 novembre 1908) et t)t)!~W A' <~N)tf tKtth. UÏn~nSniCS ftnt l'Académie des Sciences (14 décembre 1908), consacrée enfin par des milliers ~~M~~ G II ,je cures heureuses, ne saurait plus être aujourd'hui contestée par personne. OU e il ni nommé l'Urodonal, TRENTE-SEPT FOIS PLUS ACTIF QUE LA LITHINE, absolu- B~Wj K t ~6~ j^H/ ~fOUtHlC s»t inoffensif, en ce sens que, à la différence de tant d'autres remèdes similaires, G Il tejti Usage prolongé n'exerce, même à hautes doses, aucune action fâcheuse sur les rave e )~ "S Ot, l'estomac, le coeur ou le cerveau.

1, 1-es goutteux peuvent se le tenir pour dit. Ils feront même bien, pour appeler Ij/mjU ~W~\ I Calculs \'q rOdonal à 1:1 rescousse, de ne pas attendre que l'acide urique ait débordé. Mieux a cu S Dz DAURIAN. Névralgies Migraines ut préveair quc guérir! J~NMBM~. Sciatiqu 1 Artério - Sclérose Obésité Goutteux, redoutez le colchique car on ne O»jé ,w ~, IQPtc plus leiintoxications iii ')rtelle.; qu'il a 1 \'eOYoquées, mt-me à petites doses, el sou; l'^z-vous que, d'après la communication à J J Tout enfant d'arthritique qtC!ldémic lc ^I<fJecj'ie'1 U reInent pUIssant et absolument inoffensif. A l' jeune age. il doit prendre de OItODONAL nettoie le rein, lave le foie l'VROD'ONJIL pour modifier lea articJiatioDs en dissolvant l'acide ,, son terrain et éviter les compliNue, active la nutrition et oxyde les cal ions de l'urhémit'.

tiaaes. Communication à l'Académie de Médecine de Paris (10 novembre 1 ')OS).

Communication à l'Académie des Sciences (14 décembre 1908).

~Â\9~ ..d N.-B. - L'URODONAL se La goutte est due ai 1 aCI e trove aux Établissements Cha(^T/\ wIS^mW mRf/] un- que. L'U RODONAL adïis s- 207, boulevard Pereire, urique. Paris, et dans toutes les bonnes sout l'acide urique, guérit *7 pharmacies de la France et de l'Étranger. - Le flacon, franco, l'accès de goutte et en pré- 6 fr. 50. Les trois llacons (pour I t la cure complète), franco, 18 fr.

vien le rerour. ltranger, franco, 7 et 20 francs.

L'ACI DE URIQUE, VOILA LENNEMI


GRANIER (P.), employé de banque, route du Serger.

Mourey (Mlù H.), professeur à l'École supérieure.

LOIR-ET-OHER Cheverny : BIllY (Vicomte 8. DE), propriétaire, château de la Bourdonnière.

Cour-Cheverny : LÊCUREUIL (Dr H.), rue Nationale.

MÉNARD (H.), *, chef d'escadrons de cavalerie en retraite.

SËZB (Vicomte L. DE), propriétaire, château des Tourelles.

Vendôme : BERNAGEAU (E.), négociant.

Vineuil : MOREAU (H.), industriel.

LOIRE

Panissières : LIEUX (A.), industriel.

Riorges : GRISARD, négociant, aux Canaux.

Roanne : BLONDEAU (L.), secrétaire du Syndicat d'Initiative, 22, rue Gambetta.

Blondeau (Mme), 22, rue Gambetta.

Saint-Etienne : MANDEL (N.), négociant, 2, rue de la Bourse. Saint-Just-en-Chevalet : MEAUX (baron A. DE), *, lieutenant de vaisseau.

LOIRE (HAUTE-) Brives-CharenlJac : SABAROT(G.), industriel.

LOIRE-INFÉRIEURE Nantes : CASTAGXARY (F.), propriétaire, 5, quai de la Fosse.

LEGAL (G.), 11, quai Maison-Rouge.

Nantes-Doulon : ALBERT (F.) fils, place du Ralliement.

LOIRET Oien : JUTHEAU (A.), architecte, rue de la Barre.

Mèzières : LARNAGE (vicomte H. DE), au château.

Orléans : OSSY (L.), 2, rue Moine.

LOT-ET-GARONNE Agen : FORGES (R.), étudiant, 47, rue de Strasbourg.

Lavardac : DUBOS (H.), pharmacien.

Nicole : DESCOMPS (G.), propriétaire.

DESCOMPS (M.), propriétaire.

Saint-Hilaire : Gouzou (E.), château de Poussou.

Tonneins: BAJAC (Dr P.),place de l'Eglise.

LOZÈRE

Canourgue (La): VERLAGUET (J.), négociant.

MAINE-ET-LOIRE Angers : BARATHON (G.), étudiant, 2, rue Volney.

CASQUER DE KERVILER (J. DU), professeur à la Faculté de droit, 75, rue Bressigny.

MANCHE Beaumont-Hague : LELONG (P.), agentvoyer.

OLIVIER (E.), négociant.

Benoistville : BLONDEAU (Th.), industriel.

Quinéville : FRAPOLLI (J.), propriétaire.

UrviUe : LE CHEVALIER (G.), propriétaire MARNE Ambonnay : OOLLIGYON (L.), négociant.

Montmirail: MORICE (H.), 34, rue de l'Hôtel-de-Ville.

Reim8 : LAMESSINE (L.), propriétaire, 31, rue du Petit-Rolland.

RAUCH (A.), 50, place Drouet-d'Erlon.

MEURTHE-ET-MOSELLE Mar8-la-Tour : MÉRONI (M).

Nancy : DUVAL (L.), ancien greffier, 43, rue de Toul.

MORBIHAN Port-Blanc : ROOHEFORT-OASSIDY (Ed.), artiste peintre.

NIÈVRE Chdteau-Chinon : FOUILLET (0.), avocat.

ClaMeey: FOURNIER (A.), Q, principal du collège, rue Thiers.

Ltizy : GAGNE-SIMON, négociant.

NORD Douai : LAVOIX (J.), négociant, 8, rue Lambrecht.

Jeumont : DUQUESNE (0.), ingénieur.

Lille : MASSELIN (J.-F.), étudiant, 20, square Ruault.

Mastaing : OOQUELLE (0.), *, conseiller d'arrondissement.

Neuville-sur-l'Escaut : PARENT (J.), agriculteur.

Quievrechain : DEMINNH (N.), directeur des aciéries.

Roubaix : BROWAEYS (J.), négociant, 94, rue du Luxembourg.

Trelon : JONNIAUX (E.), rue de la Oorroierie.

OISE

Compiègne : MASSON (V.), commissairepriseur, 18, rue Le Féron.

Creil: BASSOT (L.), rue Guérin-Loysel.

DURAND (L.), industriel, rue Beauvoisis.

JOBREDEAU (L.), 8, avenue de la Gare.

Estrées-Saint-Denis : DESAINT (M.), vétérinaire.

Verberie : LEMOINE (G.), propriétaire, au Barrage.

ORNE

Tinchebray : LE MARDELEY flls, négociant.

PAS-DE-CALAIS

Béthune : COSSÉ-BRISSAC (M. DE), lieutenant, 7, Grande-Place.

Boulogne-sur-Mer : HAUTECLOQUE (Comte G. DE), propriétaire, villa « Maquetra ».

VERLINGUE (J.), industriel, 185, rue de Brequerecque. Brimeux : BUCAMP (J.), négociant.

Etaples : WIDEHEN (Dr G.), 3, rue d'Hé-

rambault.

Lens : FAVRE (A.), pasteur, 92, rue VictorHugo.

Saint-Omer : ROSSIGNOL (P.), négociant, rue Henri-Dupuis.

Wissant : DEMONT (A.), O. *, artiste peintre.

Demont-Breton (Mme F.), *.

Pèpe (Mlle V.).

PUY-DE-DOME

Joze: SUGIER (M.), instituteur.

PYRÉNÉES (BASSES-) Aydius : CAPDAREST (S.), négociant.

Bedous : Bourda (Mme M.).

BOUSQUET (J.), négociant.

MIRASSOU-NOUQUÉ (R.), négociant.

PINIER (E.), ingénieur.

PONTACQ (J.), adjoint au maire.

POULIDE (P.), négociant.

POURTALET (P.), négociant.

Borce : LABARRÈRE (J.), instituteur.

Lescum: ABACENS (H.), rentier.

ABACENS (J.), propriétaire.

ASSERQUET (P.), maire.

BOUSQUET (F.), négociant.

CAMPAGNE (J.), conseiller municipal.

CASANOUVE-SOULÉ (E.), propriétaire.

CAZALA (J.), propriétaire.

CAZALET (L.), conseiller municipal.

CLAVERANNE (J.), adjoint au maire.

DOUMECQ (B.), rentier.

Mirepeix : BARON (J.), négociant.

Olortm : PINÈDE (L.), négociant, rue Justice.

Urdos : CARRÈRE (A.), adjoint au maire.

POURXET (S.), entrepreneur de travaux publics.

PYRÉNÉES (HAUTES-) Maubourget : DUBARRY (J.), négociant.

FRÉMAT (A.), négociant.

Tarbet : PUJADE (A.), inspecteur-adjoint de l'Enregistrement, 33, avenue Bertrand-Barrère.

PYRÉNÉES-ORIENTALES Bages : COLLDECARRERA (D* J.).

COLLDECARRERA (J.) fils, étudiant.

WEISS (M.), vétérinaire.

Saint-Cyprien : MOLINER (A.), propriétaire.

RHONE Caluire-et-Cuire: MOYAT (A.), négociant, 65, route de Strasbourg.

Ecully : BRÉDY (M.), ingénieur, villa « Elise-Marcelle ».

Lyon : BAILLY (L.), négociant, 16, quai Saint-Clair.

BORDEAUX (J.), ingénieur-conseil, 13, rue Jarente.

BOUTEILLE (A.), gérant d'immeubles, 2, rue d'Oran.

BRUNON (A.), négociant, 47, rue Victorien-Sardou.

BULAND (J.), négociant, 97, rue de l'Hôtel-de-Ville.

CHAMBBYRON (G.), O. S, minotier, 19, quai de la Gare-d'Eau.

CRAPONNE (A.), ingénier civil, 9, rue Sala.

DOMERGUE (C.), légiste, 48, rue Centrale

DULAC (G.), ancien négociant, 48, rue de la République.

DUQUAIRE (Dr M.), 24, rue Sainte-1

Hélène.

GUICHERD (E.), inspecteur d'assuran ces, 11, rue Pizay. MEILLON (J.), négociant, 309, route d'Heyrieux.

RATONS (L.), mécanicien, 10, rue Coste.

REYME (J.), 147, cours Lafayette.

SARLLES (H.), légiste, 232, av. de Saxe.

TOUCHEBŒUF (J.), ingénieur, 171, chemin de la Demi-Lune.

TOURNUS (M.), 100, rue de la Pyramide.

Saint- M aurice-aur- Dargoire: PRAVIDI ( G.), SAONE (HAUTE-) Dampierre-8ur-Linotte : MAILLOT (G.).

inspecteur général de la Banque Foncière de l'Est et du Sud-Est.

Héricourt : MILESI (F.), 31, avenue de la Gare.

MILESI (J.), 31, avenue de la Gare.

SAONE-ET-LOIRE Creusot (Le): PETIT (E.), tapissier, 25, rue de Chalon.

Etrigny : Faverio (Mme Fernand), château de Talland.

Genouilly: PERROT, négociant.

Saint-Laurent-Perrigny LARDET (P.), agriculteur.

LARDET (L.), agriculteur.

SARTHE Mans (Le): CORMIER (H.), propriétaire, 91, avenue Thiers.

LHERM (M.), ancien officier d'étatmajor, 62, rue des Chalets.

SAVOIE Albens : LABBÉ DE VOISINS (E.), receveur de l'Enregistrement.

Bourg-Saint-Maurice: Jarre-Fort (Mme Vve M.).

Chambre (La) : BOTTONE (Jules).

BOTTONE (Jean).

Flumet: MASSINI (C.).

Grésy-sur-Isère : LACOUR (A.), receveur de l'Enregistrement.

Moutiers : DOVILIO (M.).

Planay : TATOUD (J.), propriétaire.

Pontamafrey : OALZONI (C.).

Serrières-en-Chautagne : Fortis (Mme la comtes8e L. de).

Saint-Jean-de-Maurienne: FAY (E.),greffier au Tribunal civil.

Saint-Pierre-d'Albigny : NARDIN, mécanicien.

SAVOIE (HAUTEAnnecy : RAGINEL (F.), notaire, 4, rue du Pâquier.

Argentures : FONTAINE (J.), facteur.

BonneviUe : GAIDA (P.).

Chable (Le) : PELLET (J.), employé de commerce.

Evian-les-Bains : ARNULF (J.), directeur du journal Evian-Programme.

TÉRISSE(G.).

Térisse (Mme M.) Rumilly : ION (D.), rue des Boucheries.

SEINE AllortviUe : ESPAGNON (G.), employé "il P.-L.-M., 14, rue de la Station.

LIGERON (E.), 1 bis, rue de la Marne.

Ligeron (Mme M.), 1 bis, rue de la Marne.

LOZIA (E.), employé de commerce, 223, rue de Villeneuve.

LOZIA (0.), employé de commerce, 223, rue de Villeneuve.

Asnières : DELAUNAY (P.), 69, rue Pierre Joigneaux..

AuberviUiers : GUÉRIN (A.), négociant, 17, route de Flandre.

MASSON (P.), négociant, 7, rue AUvrY.

Bagneux: DUHIÊGE (U.),industriel, 1, rue Fortin.

HIVERGE (P.), étudiant, villa des Olivettes.

Boulogne-sur-Seine : MINON (Dr JI.), 40, rue des Tilleuls..

Champigny : CAILLEUX (J.), industrie,, 23, boulevard de la Gare.

ROYER (A.), industriel, 8, route de Joinville..

Clamart : CHIRON (A.), O, industriel, 8, rue de la Vallée-du-Bois.

COLLANGES (L.), commis des Postes, 57, rue de la Vallée-du-Bois.

EBENDINGER (F.), employé de com merce, 6, rue Lazare-Carnot.

MAGNIN (L.), entrepreneur, 53, avenue de Chevreuse.

PRIEUR (Th.). Jardin Parisien.

VAUDROT (G.), Jardin Parisien.

Colombes : JACCARD (H.), commerça" t> 1, rue de la Liberté..

Courbevoie : CHENAL (E.), industrie" 26, rue de Belfort. J0 LANGLOIS (C.), industriel, 26, rue de Belfort.

Drancy : MAESLÉ (W.), employé de com.

merce, 19, rue des Ecoles.

Epinay-sur-Seine : THIBAULT (D* p.), 4, avenue Ooquineau.

Fontenay-sous-Bois : MENAIS (P.), 202, avenue Ernest-Renan. «PERNOT (0.), rentier, 53, avenue de "t-' Dame-Blanche. 1 Garenne-Colombe8 (La) : LEGENDRE (> Tlf)' 40, rue de Sartoris. 111 Issy-les-Moulineaux : CHALLIER e GRANDOHAMPS (F.), étudiant, 52, r Baudin.

CHALLIER DE GRANDCHAMPS (P.), étu.

diant, 52, rue Baudin. stFRANÇOIS (J.), industriel, 7, rue FrnestRenan. ue KARAVODINE (V.), ingénieur, 76, rle Ernest-Renan.. 6 KARAVODINE (A.), propriétaire, 7, rue Ernest-Renan. Ii" PACLET (P.), 119, route des Mou neaux.

QUEYZAO (R.), représentant de colIl-

merce, 60, rue de Paris. "c.

Joinville-le-Pont : TREPREAU (A.), 34,vc.

nue de l'He. rUc Kremlin-Bicêtre : LEGAU (L.),18, roc Gambetta. ôleUr Levallois-Perret: CHATEL (H.), cont fer de comptabilité aux Chemins e fer du Nord, 53, rue Chaptal.

GUYOT (M.), instituteur, 8, rue Tr0cheLADAGUE (A.), chirurgien-dentis rue Vallier. lles.

ROBERT (R.), 126, rue de Courceé aU Maisons-Alfort : PETIT (A.), emplotque.

P.-L.-M.,8, avenue de la Répub gri' Mmitreuil-sous-Bais : LAURENT (M.), a culteur, 102 ter, rue du Loing. I\"e' Neuilly-sur-Seine : BLOCH (A.),195, ftVe- nue de Neuilly.


BUTET (L.), 13, rue d'Armenonville.

SYLVA GRAÇA (J. DA), directeur du Seculo, de Lisbonne, 82 bit, rue Charles-Lamtte.

VERNET (H.), commerçant, 20 bis, rue de Chartres.

Nouent-,ur.Marne : Fauehard (Mlle L.), 33, rue de Fontenay.

VAUTIER (J.), négociant, 155, GrandeRue.

Pantin : AVENEL (G.), comptable, 60, route d'Aubervilliers.

MEUNIER (Oh.), négociant, 60, route d'Aubervilliers.

SCHOMMER (E.), représentant de commerce, 69, route d'Aubervilliers.

Puteaux : GAUNY (E.), 154, rue de Neuilly.

Surune. : ORESPIN (G.), industriel, 19, boulevard de Versailles.

Saint-Mandé : MONRIBOT (J.), négociant, 8, place de la Mairie.

Monribot (Mme L.), 8, place de la Mairie.

PÉROUSSET (E.) .employé de commerce, 35, rue de la République.

Saint-Maur-des-Fossés : MURET (H.), comptable, 123, quai de la Pie.

Varenne-Saint-Hilaire (La) : SAVARIAU (F.), représentant de commerce, 2, avenue de Bonneuil.

SEINE-INFÉRIEURE Bertreville-Saint-Ouen : TOUSSIN (R.), agriculteur.

Criquetot-Lesneval : FLEURENCE (0.).

Bavre (Le) : Duplessis (Mlle M.), 6, rue Joseph-Morlent.

ùtaiUeraye-sur-Seine (La) : GIRARDEAU (A.), notaire.

Rouen : BOULIÈRE (R.), clerc de notaire, 29, rue Ecuyère.

OPDENBOSOH (F.), directeur des Vedettes rouennaises, 28, quai de Paris.

Sotteville-lès-Rouen : LECHERBOURG (R.), Sai~l commerçant, 330, rue Victor-Hugo.

Saint-Etienne-du-Rouvray : DUBOÉ (E.), agent d'assurances, avenue SaintYon.

LEROY (DR).

SEINE-ET-MARNE Esbly : OARLIER (G.), négociant.

FerU-Gaucher (La) : CORBEDANNE (O.), vétérinaire.

PIETREMONT (L.), négociant.

Ferté-sous-Jouarre (La) : BRAJEUL (L.), rentier.

Fontainebleau : HANSOTTE (G.), 18, rue de Ferrare.

ATEAUX : LETRILLIART (L.), propriétaire, boulevard Jean-Rose.

PROFFIT (P.), rue Saint-Faron.

Pomponne : POTTIER (G.), négociant, 3, rue de la Gare.

SEINE-ET-OISE Bue : MOLLA (P.), aviateur.

ClIlle-Saint-Cloud (La) : BRIAULT (J.), représentant, 2, route de Versailles.

DREYFUS (E.), dessinateur, 4 bis, rue de Louveciennes.

Chilly-Mazarin: Pilliot (Mme Vve), route de Longjumeau.

Eaubonne : TRIPET (G.), 2, rue Tuleu.

Enghien-tu-Bains : Hutchinson-Langlassé (Mme), 1, rue Félix-Faure.

Oroslay : ROBAROT (G.), dentiste, 8, rue Charles-Bonnette.

Haut-du-Roi : BONFANTE (J.), commerçant.

Hautil (L') : TAMET (L.), villa Bellevue.

TAMET (A.), villa Bellevue.

Méry-sur-Oise : GASTINEAU (A.), instituteur, 1, rue Courtil-Bajou.

LEROY (P.), 8, rue des Ecoles.

Pontoise : BEAUVAIS, commandant, 1, rue Pasteur.

GADAUT (J.), 10, avenue d'Epineuil.

Porcheville : SENONER (R.), publiciste.

Saint-Qermain-en-Laye : BERNADAC (G.), ingénieur, 10, rue d'Alsace.

SÈVRES (DEUX-) Cerizay : VIOLLEAU.

Crèche (La) : PANOU (Dr E.).

SOMME Allery: LACHAT (P.), notaire.

Tully : LARDINOIS (O.).

Vron : BIZET (A.), agriculteur.

TARN

Albi: OARAYON, propriétaire, avenue Lapérouse.

TARN-ET-GARONNE Moissae : HAAS (E.), I. Q, O. >D, procureur de la République.

MAILHOS (P.), substitut du procureur de la République.

Roquecor : PRADINET (J.), employé des Postes.

VAR

Saint-Raphaël: LONGIER (J.), quartier des Iscles.

Toulon : PATRAS (P.), entrepreneur de transports, 24, rue d'Antrechaux.

RAYNAUD (F.), agent technique principal de la Marine, route des Moulins.

VAUCLUSE Apt: DERRIVE (V.), industriel, 14, rue de la République.

Thor (Le) : BAULE (L.),propriétaire,route d'Avignon.

VENDÉE Fontenay-le-Comte : BERNARD (V.), receveur particulier des Finances.

VIENNE Ohâtellerault: LUQUIAU (J.), directeur de l'Agence moderne, 5, rue du Berry.

Monts-sur-Ouesnes : ARAMBOUROU (R.), pharmacien.

Poitiers : BARBIER (E.), clerc de notaire, 6, rue Saint-Louis.

VIENNE (HAUTE-) Limoges : ALMA (F.), décorateur, 17, boulevard Palissy.

VOSGES

Epinal : ESTE (Ch. D'), capitaine au 4E chasseurs à cheval.

Neuveville-les-Raon (La) : BONNEFOY (F.), rentier, 4, rue Thiers. Vagney : ZIMMERMANN (G.), notaire.

ZainvillerB: MARTIN (M.), clerc d'huissier.

YONNE Lezinnes : ANGELOT, instituteur en retraite.

Saint-Sauveur : HAVOUÉ (A.), commerçant.

Tonnerre : CANAT (E.), propriétaire, 27, rue du Pont.

COLONIES FRANÇAISES

ALGÉRIE Colomb-Béchar: DENOUN (M.), Q, lieutenant interprète de 2e classe aux Affaires indigènes.

Oran : BEAUBOIS (C.), ingénieur, 1, place d'Armes.

BENOLIEL (A.), représentant de commerce, rue du Cirque.

BOULVIN (L.), ingénieur, 1, rue Saint Félix.

MAROC Dar Cald Ito : THEVENOT (A.), officier d'administration des subsistances.

TUNISIE Béja : MANNONÉ (V.), propriétaire.

REDON (H.), entrepreneur.

DAHOMEY Grand-Papa: FEYSSAL (J. DE), commerçant.

GUINÉE FRANÇAISE Kanakry: DUMEZ (A.), commis des Ponts et Chaussées.

LAOS (HAUT) Luang-Prabang : IZOPET (J.), surveillant des Postes et Télégraphes.

MADAGASCAR Majunga : COLÊAS (N.).

NIGER (TERRIT. MILITAIRE DU Zinder : PRONZAC (A.), receveur des Postes.

SÉNÉGAL Kolda: FRAYSSE (F.), employé de commerce..

Ziguinchor : BAIN (J.), employé de commerce.

MEUDIIIARAT (J.), Affaires indigènes.

ROQUES (J.), employé de commerce.

SORBIER (T.), employé de commerce.

SÉNÉGAL (HAUT-) ET NIGER Bamako : RAGACHE (G.), agent colonial.

ROHRER (G.), agent comptable Compagnie des Chemins de fer de Kayes au Niger.

Tienfala : RASCOL (A.), chef de district Compagnie des Chemins de fer de Kayes au Niger.

EUROPE

ALSACE-LORRAINE Audun-le-Tische : TAMBURINI (G.), 25 bis rue Villerupt.

Ay-sur-Moselle : PERBAL (A.), Bitschtmller : SCHEURER (D).

Dornach : FAATH (A.), employé, 11, rue des Brasseurs.

Metz : MENCARELLI (A.), rue HauteSeille.

Moyeuvre : SIGISMANDO (C.), 23, rue de la Taye.

Mulhouse : DANGEL (C.), employé de mairie, 83, rue Wolkensberg.

1 DElV.I:.A.NDE D'.A.DlV.I:ISSION ;H (:) '':.> '- ;; Je demande mon admission au TOURING-CLUB DE FRANCE. 2, 75 Ci-joint : 5 francs, montant de la cotisation de l'armée cOllrante. (Le rachat de la cotisation est admis moyennant le il ,g. a ;:;¡ versement d'une somme de CENT francs; il confère la qualité de MEMBRE A VIE.) j 0ij g La cotisation des candidats habitant l'Etranger est de six francs (Voir statuts, art. 3). r 5 M "o s

.:! > ^«J SIGNATURB, - Õ - o '3 > £ 1 Z Aom - — "T «s i* S 1 Prénoms « £ ( Bue et numéro .-.-—.—. oc g ~4 drcs&c < 1-4 5 g ss -" Nationalité s (' à , Adresse ( ,V Ti.l„ îc et D^ épartement - •§ *3 § g w aj •s - S, Pro f ession - a (soit l'actuelle. soit l'ancienne ) ^2 § m "5 Décorations cl distinclions honoriifques - - - - - § "g — o « Noms et adresse des :!<.>"=' r^* 4 S a 3 & 011 références 1 ..nn. n .nn..n .,.n.---'nn. ê.£ i,:: on références.

Adrebser les mandats ou bons de pubte au nom de M. JULES BKUTHELOT) trésorier du T. C. F., 05, avenue de la Gian d e- A rm é e, Pans. W S. -~


HEOK (A.), 25, rue Aima.

HUTTEN SCHMIDT (R.), 62, rue du Manège.

ZIMMERMANN (L.), 11, rue Kléber.

Pfastatt : BARMANN (A.), 8, Rockgrasse.

UMBREOHT (J.), 28, rue de l'tat.

AUTRICHE Krdl-Vinohrady : FUERICH (K.), 11, rue Karlova.

SEBEK (J.), 9, Hérudova.

Prague : MIKULEJSKY (Z.), docteur en droit, Frantiskovo-Nabrézé.

BELGIQUE Athus : OAS;(J.), 69, rue de Rodange.

Auderghem : STEVENS (R.), 190, boulex4 vard du Souverain.

Gand : BEAXJLOYE (E.), avocat, 21, rue des Foulons.

Os tende : YOSET-BUYLAERT (A.), propriétaire, 25, rue du Caire.

DANEMARK

Copenhague : Frederiksen (Mme F.), Annaplads, 13 II.

ESPAGNE Barcelone: OASANY (A.), Cortès, 678.

Madrid : PEREZ-SEOANE (J.), propriétaire, Don Pedro, 8.

Mieres : Roy (G.), ingénieur-chimiste.

GRANDE-BRETAGNE Bexhill : Pynsent (Mme G.), Buckhurst Road.

Chellenham : TICKELL (E.), lieutenantcolonel, The Lypiatts.

Croydon: STEPHENS (M.), Pampisford Rd.

Douvres : Simpson (Mme C.), Kearsney Abbey.

Grantham : GLASCODINE (H.), St. Mary's.

Harpenden : LAPORTE (B.), the'Bengalow.

Humshaugh : CLAYEON (E.), Walwick.

Londres : BOUCHER-JAMES (W.), 17, Tower-Royal.

CUTHBERT (O.), Langhan Hôtel.

Dole (Mme J.), Go Baring et Oie, 8, Bishpsgase Street.

GILES (H.), 71, Guildford Street.

GRIFFIN (0.), Piccadilly.

HALL (H.), 82, Sloane Street.

HAMPTON (A.), 125 B, Mount Street.

HANBURY (J.), 3, Stanhope Street.

KEILLER (W.), 29, Threadneedle Street.

KIDDLE (J.), Welbeck Street.

Knayth and Conyers (Mme D. de), 26 Grosvenor Gardens.

La Vallée-Poussin (Mme la vicomtesse J. de), Piccadilly.

NOVELLI (L.), Kennington Road.

ROSENBERG (I.), 54, Holland Park.

SCHLESINGER -DELMORE (J.), 199, Queen's Gâte.

Scholfield (Mlle G.), 45, Mount Street.

SNOWDEN (J.). llaridge's Hôtel.

Wallace (MUe J.), 6, Hyde Park Gardens.

Matlock : MOXON (H.), Darley Dale.

Manille : FREKE-EVANS (Mayor F.), Carnagarve.

New-Brighton : OWEN (T.), Fowell House.

Portsea DANCASTER (A.), 5, Ordnance Road.

Sevenoaks : Sackville (Mme), Knole Park.

Shefton-Mallet : Grinnell (Mme l.), West Cran more.

Southsea: Berber (Mme E.), 25, Somerset Road.

Tarnborough : Gipps (Mme), Sycamore House.

ITALIE Milan : ANCONA (A.), avocat, 2, rue Morone.

CAPPONAGO DEL 'MONTE (Dr L.), via Lecco, 6.

LUXEMBOURG Esch-sur-tAlzette : BINACCI (F.), 65, rue d'Audun.

Bozzi (R.), 73, rue d'Audun.

VENANZI (G.), Bril, 37.

MONACO (PRINCIPAUTÉ DE) Monte-Carlo : GAUTIER (J.), boulevard d'Italie.

LAPRUGNE (P.), PORTUGAL Lisbonne : SILVA-DAVID (F. DA), rentier, 16, Arenida Almirante Reis.

RUSSIE Moscou : BERG (B. DE), propriétaire, 26, Arbat.

Saint-Pétersbourg : PÉBÉLIÉ DE PEBOSCQ (H.), 9, Sadovala.

SUISSE Fribourg: SAUGY (L. DE), ingénieur, 164, place Notre-Dame.

AMÉRIQUE DU NORD

ÉTATS-UNIS Bayshore : Surnbull (Mme C.), Honscholder.

New-York City: KOVEN (G. DE), 306, W 106, Street.

Nevin (Mme E.), 5 th. Av. Bank.

Philadelphie : Dougherty (Mme M.), 2123, Spruce Street.

San Francisco : BUCK (C.), propriétaire, First National Bank.

Stamford : KRAUSKOPF (N.).

AMÉRIQUE DU SUD RÉPUBLIQUE ARGENTINE Mendoza: CoussEAU (G.), commerçant, 1648, San Martin.

AFRIQUE

ÉGYPTE Le Caire: DELAVOR BEY (M.), 0. ,sous; directeur de la Daira-Khassa, 46, ru Mausour.

ETHIOPIE Diré-Daoua : GRIVEAU (L.), conducteur de travaux.

OCÉANIE

AUSTRALIE Beaudésert: Collins (Mme M.), NindoOln- bal.

NOUVELLE-ZÉLANDE Wellington : Williams (Mme A.), 5, Bob son Street.

Je soussigné, imprimeur, déclare que le présent numéro a été tiré à 143.700 exemplaires. --Le Gérant : L. Poc PARIS. — IMPRIMERIE L. POGHY 52, rue du Château. — Téléphone Í28-80

TOURING-CLUB DE FRANCE

PAIEMENT DE LA COTISATION DE 1914 « - M Joindre à ce Bulletin cinq francs (en un mandat ® a* ou bon de poste), montant de la cotisation de 191-5 pour '< les sociétaires habitant la Franco et les Colonies, ou six francs pour les sociétaires habitant l'Etran- §S 2 ger. g Ajouter deux francs si on désire l' Annuaire •§ c:: général de 1914*. ^- S .,.;= Nom et prénoms (très lisiiib) .,.,.,,,,,,,,,,,. :: S O 1 a Numéro de la carte de Sociétaire (indispensable) § © Profession $ g S d actuel a ?

ë •S 50 ! précédent (en cas de changement récent. ) r ** d (Les membres souscripteurs de la Caisse des si Cantonniers voudront bien ajouter cinq francs, .;; montant de leur cotisation pour 1914. -s t Cl I}AnnulIire général comprend deux -udunies : France-Nord g et France-Sud 2 francs franco (elJafJUC volume séparé- : ment 1 franc.) ::-i L'Annuaire des Pans Étrangers coin prend deux volumes, 3 fr franco (chaque volume séparément 1 fr. 901.

Le volume Excursions et Voyages 1 fr. 50.

Association des Parcs Nationaux de France !

SIÈGE SOCIAL AU g TOURING-CLUB DE FRANCE « 65, Avenue de la Grande-Armce, PARIS g —————— a O Je, soussigné, déclare adhérer à l'Association des Parcs é Nationaux de France, en qualité de membre ('). J* Ci-joint un mandat ou bon de posie de franc.- a 5 Nom I & g o Profession ; a 1 Rue el numéro £ A, d, resse < é E ( Ville et département c Nationalité ?

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é , le : ,,1 g SKiXA'f'UllE DU CANDIDAT : g : o o

o (1) Membre fondateur : deux cents francs, une fois versés. 2 Membr? donateur : cotisation annuelle, vingt francs.

Membre titulaire cotisation annuelle, dix fmlles. g. Membre souscripteur cotisation auutH.]';., cinq francs.

Membpo adiérent cotisation annuelle, un lï.-m.-. J


TABI.E) DES MATIÈRES parues dans la Revue Mensuelle du Touring-Club de France pendant l'année 1913.

AUTOMOBILISME

Association de la bicyclette et de l'automobile. — D. Blanquies. 68 Autour du pneu. — Dr Bommicr. 115, 215, 307, 399, 552 Crise de l'essence (La). — P. Maillard. 163 Croisement de routes. 367 Halte à l'Octroi. — H. D. 537 Cyclecar (Le). — Ch. LviÚe. 262 Nouvelle formule du Service des Mines relative au calcul de la S puissance des moteurs d'automobiles. 221 Salon de l'Automobile 1912 (Le). - Dr Bommier. 22 alon de l'Automobile 1913 (Le). — Dr Bommicr. 499, 530

AVIS DIVERS

Assemblée générale de 1913 44481, 489, 530 Concours de récits de voyages à pied 59, 151, 252 Conférence sur les parcs nationaux de France 484 Conférences du Touring-Club (Les). 8, 390 o è 1 ,

Congrès olympique de Lausanne (Le) 112 Congrès de Biarritz (Le). 339 e-ci, de-là, Dons pour la Bibliothèque, Renseignements divers.

E 35, 78, 126, 170, 220, 264, 316, 366, 416, 466, 512, 560 E xposton universelle et internationale de Gand. — A. B. 253 bXposItlOn de Lyon. - A. B. 555 "lort de M. le docteur J. Lucas-Championnière. — A. Ballif. 482 Président de la République, haut protecteur du tourisme en France (Le). — A. B. 339 Inductions consenties aux membres du Touring-Club. 162 Renseignements de voyage. 126, 316 situation financière de l'Association. 58, 206, 345, 490 pndicats d'initiative.. 14, 67, 108,159, 258, 300, 347, 391, 489, 551 Cn hommage. - A. B. 5 "ille de Lyon, membre fondateur du Touring-Club de France 5 (La). 5

CAMPING

Commission de camping. 9, 109, 204, 299, 487 Cam ping. 19 amping à l'Isle-Adam. — G. R. 344 Camping des boy-scouts en Dauphiné. 345 Concours de camping et exposition de matériel. 245 Matériel de camping (Le). - G. R. 442

CHEMINS DE FER, TRANSPORTS EN COMMUN

C 11, 66, 109, 161, 208, 256, 295, 347, 392, 441, 488, 547 Concours de la gare fleurie 59, 112, 260, 541 Epingles à chapeaux (Les) (Avis) 347 ^'ce-Grenoble. — A. Ballif 148, 211 Premier Congrès national des Transports en commun par autol' mobiles sur route. — Ed. Chaix. 18 tourisme pyrénéen. — A. B. 306 Ole ferrée Nice-Grenoble (La). — R. Blanchard., 211

CHRONIQUES ET ARTICLES DIVERS

Avenir des Pyrénées (L'). — Dr Meillon. 69 Avenir des Pyrénées (A propos de l'article 1') (Lettre de M. E.

Glatin) .:. 171 Causerie photographique. L'émulsion. — L. Boulanger. 458 Cinéma aux arènes de Nîmes (Le). — R. Doucet. 415 Concours de costumes du groupe Saint-Gironnais de tourisme (Le) 71 on grès international de tourisme de Madrid. — P. Mesplé. 15 Conseils de prudence (Affiche de VAutomobile Glub du Finistère). 318 développement en photographie (Le). — L. Boulanger 31 Eclairage arrière des véhicules (Note)., 471 Ull charrette. — S. B. de Courpon. 352 En avant! (A propos des Etats Généraux du Tourisme). —A. Ballif. 434

Etats Généraux du Tourisme. — A. Ballif. 482 Grandes routes de tourisme (Les). — A. Ballif. 50 Guides de centres de tourisme (Les). 163 Il faut rendre à César. — A. Hertig. 353 Le plus grand Paris. - Henry Defert. 484 Meeting d'aéroplages. - Henry Defert. 154 Parcs nationaux (Les). — L. Auscher. 100, 197 Pro domo noslra. - A. Ballit 2 Projections (Les). - L. Boulanger. 395 Rôle de la marche dans l'éducation physique (Le). — J. Bernard d'Attanoux. 164 Situation de l'Esperanto en France (La) (Note). 418 Source artificielle de mon jardin (La). — Sylvain Périssé. 305 Sport en Corse (Le). - A. Surier. 392 Tourisme en roulotte. Le rêve. — G. Bouthet des Gennetières. 62 Tourisme féminin à bicyclette (Le). — Th. Chèze. 145 Une ville qui marche ! Annecy. — F. Crolard. 171 Voyage de tourisme de M. le Président de la République.

A. Ballif. 434

COMMISSION D'AMÉNAGEMENT DES BOIS ET FORÊTS DES ENVIRONS DE PARIS

8, 155, 204, 251, 389, 485 CONSEIL D'ADMINISTRATION

Séances du Conseil, 38,82,129,177,225,269,322,369,472,516, 563

CONTENTIEUX ET JURISPRUDENCE

Comité de Contentieux. 83, 130, 179, 226, 270, 518, 564 Faites respecter les poteaux T. C. F. — A. B. 151 Projet de loi du Fishing-Club contre les braconniers récidivistes. 561

CYCLES ET MOTOCYCLES

Bicyclette hors du Salon (La). — P. de Vivie. 116 Bicyclette à leviers (La). — H. Thiblot. 493 Epreuve des motocyclettes, sidecars et cyclecars organisée par l'Automobile-Club de France (A propos de 1'). — P. Maillard. 349 Impôt sur la motocyclette, le sidecar et le cyclecar (L').

L. Périssé 446, 491 Motocyclette de l'avenir (La). — H. Thiblot. 166 Nos ennemis. — P. de Vivie. 453 Plaque de contrôle des bicyclettes (La). Une juste requête.

— A. B. 489 Première machine (La). — E. Mousset. 73 Sidecar méconnu (Le). — L. Dumarest. 495 Trépidation et la forme de la bicyclette (La). — (Leitre de M. P.

Hervochon) 265

DOUANES

12, 67, 110, 161, 210, 258, 297, 441, 489, 547 Avantages du carnet d'identité sur le passavant. 211 Belgique. — Modification du tarif des droits sur les automobiles : 489 Carnet d'identité substitué au passavant descriptif (Le). 67,110, 210, 442 Mouvement des triptyques en 1913 (Le). 442 Nouvelle simplification du carnet-passavant. 297 Triptyques belges (Avis au sujet des). 441, 547 Zone neutre (Quelques mots sur la). 12

EXCURSIONS ET VOYAGES

Au pays du mascaret. - L. A. 214 Au cœur du Massif Cantalien. — L. T., n° 66.166. 355 402 Aurès à bicyclette (L'). — Ed. et G. Herment.: 556


Calanches de Piana au golfe de Porto (Les). — Dr F. Desbrosses. 447 Chaîne de montagnes (?) inconnue à 250 kilomètres de Paris (Une). - Ed. Lanoire 507 Chamonix (Un centre incomparable). — R. Le Châtelicl' 501 Combe de Lavaux (Côte-d'Or) (La). — F. D. 253 Condat-en-Feniers (Cantal), centre d'excursions. — (Lettre de M. Duché). 417 Corse à bicyclette (La). — Ch. Roset. 169 Côte d'Argent (Sur la). — H. Barthe. 315 De Moulins à Port-Vendres en automobile. — E. Cape lin 361 Dix jours en Auvergne et dans les gorges du Tarn. — H. Joubert. 451 En Corse. Un village tragique. — A. Surier. 75 En pays basque. Hendaye, Fontarabie, Saint-Sébastien.

Th. Chèze. 510 Excursion pédestre dans la Corrèze et le Cantal. — G. Jacob. 173 Excursions parisiennes à bicyclette, 78, 126, 170, 221, 264, 317, 367, 417, 561 Excursions pédestres. 35,78,127,170,221,264,417,466, 512, 561 Gorges de l'Allier (Les). — L. Boulanger. 124 Gorges de la Dordogne (Aux). — A. Drscubes. 445 Gorges du Cians en hiver (Les). — Y., n° 53.491 509 Lever de soleil à la Croix-Rochette (Un). — L. Jeamhrur 360 Morvan (Le). - J. Imbart de La Tour 303 Nantua, centre de tourisme. — G. Beauvais. 503 Pyrénées inconnues (Les). I. La Côte Vermeille; II. La Cerdagne et l'enclave espagnole de Llivia. — E. Brousse. 59, 260 Tour du Mont-Blanc (Le). — H. Ferrmrl. 311 Un admirable circuit alpin : les Cols du Glandon et de la Croix de Fer. - A. Guillermin. 32 Val d'Isère. — L. BouIanger. 217 Vallée du Bon-Nant ou de Montjoie (La). - Dr G. Ancelet. 459 Vallées cévenoles et canssenardrs. — A. Pirrron. 120 Vingt jours à bicyclette dans les Alpes. — Pierre Boissezon et Paul Pradal. 407

HOTELS

13, 68, 110, 159, 206, 259, 301, 348, 543 Chambre Touring-Club (L"). 68 Concours de la chambre d; l'hôte 444, 556 Deux hôtels de cure d'air. 206 Deuxième concours du bon hôtelier (3e son1). 13, 110, 159, 301, 543 Drap à pli (Le). 207 Ecole d'industrie hôtelière de Paris. 302 Ecole pratique d'industrie hôtelière de Thonon-les-Bains 348 Exigez la bouteille d'origine. — H. Bourrelieret H. Laurain. 415, 469 Géographie des gourmets (La). - A. B. 437 Hôtels de saison. 302 Hôtels de stations hivernal 's. 492, 548 Organisation du crédit hôtelier (L'). — N. A. 397 Si j'étais hôtelier. — A. Ballif. 385

PELOUSES ET FORÊTS

Commission des Pelouses et Forêts. 57, 158, 388 Congrès forestier internaliond. 101, 150, 193, 205, 289 En forêt de Fontainebleau. — Henry D3I'C¡'t. 4, 201 Excursions congressistes. — Henry Djfert. 387 Forêts privées devant, le Parlement (Les). — Henry Defert. 3 Lendemain de Congrès. — Henry Defert. 337 Loi du 3 juin 1913 (L). - H. D. 483 Une bonne loi pour la forêt française. - Henry Defert. 435 Parcs Nationaux (Les). :— L. Auschsr 100, 197 Pour les Parcs Nationaux de France et des Colonies. — Henry Defert 538

1. Il ROUTES

9, 66, 109, 160, .208, 255, 294, 346, 391, 440, 487, 545 Caisse de secours immédiats aux cantonniers, etc. 12, 149, 299, 444 Caisse de secours immédiats (Notre). — A. B. 3 Concours de bonne tenue.des routes 488 Forêt de Fontainebleau (Apis aux automobilistes). 488 Poteaux indicateurs.:. 11 Problème des routes (Le). - A. Ballif. 241 Rives de la Haute-Dordogne (Corrèze) 545 Route des Alpes (La). — A. Borrel. 13 Route des Alpes., 391, 487, 545 Route des Pyrénées. - (Résumé de la conférence de M. Raoul Blanchard).. ; 25 Route de la Bérarde. 255 Route de Mandailles au Pas de Peyrol, par le Puy-Mary. 440 Signalisation des distances et des directions (La). — Ed. Chaix. 194 Table d'orien ta:tion de" Grenoble. 256

Table d'orientation de la Belle Etoile (Savoie) 2'J*> Tables d'orientation., 9 Tramways sur routes. !)

SITES ET MONUMENTS PITTORESQUES

Comité des Sites et Monuments pittoresques.. 104, 160, 202, 4B Houille blanche et tourisme. — Henry Defert. 98, ly Implacable lutte contre le pittoresque (L'). — M. Martin., 2jMont Saint-Michel (Au). — H. D., 54" Moulin de Boutet (Loir-et-Cher) (Le). 20 Moûtier-d'Ahun, merveille de la Creuse., 413 Panneaux-réclame ! (Et les). — A. Ballif., jgl Pont du Gard (Le). — H. D. 53 Pour nos sites et monuments. — H. D. 15c, P bl' .t' t H D 2,55 Publicité sur routes. — H. D 25jr Publicité éhontée. — H. D 38J Publicité protectrice. — H. D Question du Guil (La). — J. Wilhelm •?!

Ruines du château de Termes (Aude) (Les). 15:.

Travaux des Comités départementaux. 10 Vieil Olargues (Hérault) (Le). — (Lettre de M. Pierre Viguier).. 17-

TOURISME AÉRIEN (AÉROSTATION, AVIATION)

Aviation (Pour!').—A. BjLHif. ïj 7 C .t' d T. , ( 20 541 Comité de Tourisme aérien 9, 204, 54 Sécurité en aéroplane (La). — René Arnoux.

TOURISME COLONIAL

Comité de Tourisme colonial 203 3*' om ,e ,0urlS".l co onla '51 Comité algero-tunlslen. 7, 5* Notes d'un touriste en Indo-Chine. — M. Rondet-Saint. 54,

TOURISME EN MONTAGNE

Comité de Tourisme en montagne. 7, 106, 152, 244, 485, 5' Chalet de Blonay-Dufour. 152, 201, q q If Concours de fabrication de bâtons de skis., 1°' Concours de fabrication de skis pour enfants et de bâtons de 0 skis. 152, 390 Gr,.nde semaine d'hivèr d'AuvJrgllP., ., ;'5 Hiver 1912-1913 (L'). — L. A Ii Hôtellerie-refuge de Saint-Martin-du-Canigou Hôtels de stations hivernales 492, 51 Inauguration du refuge de Blonay-Dufour à la Tournette (Haute- 3fo Savoie). — L. Auscher. 3R Inauguration des refuges Péclet-Polset et du Glandon 343, !J:, Inauguration du refuge du Rougî-Gazon (Vosg s). Installation du téléphone dans les refuges 106, 2 3 Œuvre du Touring-Club en faveur du ski (L'). 3t.

Quelques jours d'hivernOlg' au refugJ du Marcadau. — L. Gau- 4 r i,~i ;-: 106 Réunions de sports d hiver. 16, t 1 Sports d'hiver., 55, Il" Tournette (Haute-Savoie) au point de vue touristique (La). — ,.•> J. Serand. l' Vallée merveilleuse : Argentières, Chamonix, Le Planet (La). — 113 Th. Chez"

TOURISME NAUTIQUE

Comité de Tourisme nautique. 6, 56,106,153, 200, 249,297, 390: 538 -'1:-:', 6" Canoë, sport d'hiver (Le). — Dr André Concours de récits de croisières 1913 57, 2yg Concours d'aménagement de bateaux. 2tjg Coupes de tourisme nautique 20 , 249, 555 Création d'un service de tourisme sur le Rhône. — A. B. 200 Croisière de Poissy au Havre.

En canoë à la pagaie sur les grands lacs landais. — Dr Sexe - - - Inauguration des débarcadères de Nsle-Adam-Parmain ; Manifestation nautique de Nantes (Compte-rendu). — J. Né- 245 rant.

Nouveau paquebot Gallia de la Compagnie Sud-Atlantique. - 555 A. B. 200 Réunion nautique de Nantes y. 6, 56, 107, 153, 249 Réunion nautique de l'Isle-Adam-Parmain .s 153, 200, 249 Service d'aide et d'assistance aux yachtmen. 6, 298

TOURISME SCOLAIRE 1.1.

, ., ,e 2ili Comité de Tourisme scolaire. 251 Excursion à Honfleur et au Havre.,.I.


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