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MEMO~!AART!P!CtAUS.
Après cette expMca~onjeirancMs la barrière. Il y avait ? des indiens qui recevaient les jeunes gêna s'engageant dans cette voie, et avaient mission de tes guider et de leur donner des instnmt~ons. 0'
Ms parlaient bas à l'oroiMe. et dès te premier instant lemdess;Ua!ent les yeux, nettoyaient leUrs "narines. Le plus étrange, c'estqu'iïslenr tiraient aussi la langue, afin de la tailler et de raign!ser. Ennn/us étiraient leurs doigts, les écartant, les joignant, ponrassonpMf. A qaeïqnes~tns on pratiquait nn trou dans la tête, ann d'y ptàcernn entonnoir. Etonné, j'exprimai mon violent emroi,& quoi impudence répondit:
< Les savants n'ayant rien de commun avec le tronpeau stupide des vulgaires motels, il est juste qu'onleur fasse subir une <Mms&r'na6onqui toursoit donlouMuseetmde.~
Démit, combien elle leur coutai~~er! Je ne parle pas de leur bourse, mais de tout leur corps abreuvé de coups de poings et de coups de bâton, jusqu'à ce qu'entièrement couvert de NessuMS, le sang contàtabondamment. 1
!1 arrivait parfois qu'à cette vue qaelqnes-uns tournaient le dos et s'échappaient; d'autres, encoM pius poltrons, n'arrivaient môme pas a la bamere, prenaient IaKuteetn'yMvenaientguéM.