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Titre : Le labyrinthe du monde et le paradis du coeur / par John Amos Komensky (Comenius) ; adapt. française, par M. de Crayencour ; d'après la trad. anglaise du Cte Lutzov,...

Auteur : Comenius (1592-1670). Auteur du texte

Éditeur : impr. de L. Danel (Lille)

Date d'édition : 1906

Contributeur : Crayencour, Michel de (1853-1929). Adaptateur

Contributeur : Lützow, Francis (1849-1916). Traducteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30261698d

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 331 p. : portr. ; in--16

Format : Nombre total de vues : 335

Description : Collection numérique : Fonds régional : Nord-Pas-de-Calais

Description : Collection numérique : Littérature de jeunesse

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k649568

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-16896

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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MEMO~!AART!P!CtAUS.

Après cette expMca~onjeirancMs la barrière. Il y avait ? des indiens qui recevaient les jeunes gêna s'engageant dans cette voie, et avaient mission de tes guider et de leur donner des instnmt~ons. 0'

Ms parlaient bas à l'oroiMe. et dès te premier instant lemdess;Ua!ent les yeux, nettoyaient leUrs "narines. Le plus étrange, c'estqu'iïslenr tiraient aussi la langue, afin de la tailler et de raign!ser. Ennn/us étiraient leurs doigts, les écartant, les joignant, ponrassonpMf. A qaeïqnes~tns on pratiquait nn trou dans la tête, ann d'y ptàcernn entonnoir. Etonné, j'exprimai mon violent emroi,& quoi impudence répondit:

< Les savants n'ayant rien de commun avec le tronpeau stupide des vulgaires motels, il est juste qu'onleur fasse subir une <Mms&r'na6onqui toursoit donlouMuseetmde.~

Démit, combien elle leur coutai~~er! Je ne parle pas de leur bourse, mais de tout leur corps abreuvé de coups de poings et de coups de bâton, jusqu'à ce qu'entièrement couvert de NessuMS, le sang contàtabondamment. 1

!1 arrivait parfois qu'à cette vue qaelqnes-uns tournaient le dos et s'échappaient; d'autres, encoM pius poltrons, n'arrivaient môme pas a la bamere, prenaient IaKuteetn'yMvenaientguéM.