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Titre : Le labyrinthe du monde et le paradis du coeur / par John Amos Komensky (Comenius) ; adapt. française, par M. de Crayencour ; d'après la trad. anglaise du Cte Lutzov,...

Auteur : Comenius (1592-1670). Auteur du texte

Éditeur : impr. de L. Danel (Lille)

Date d'édition : 1906

Contributeur : Crayencour, Michel de (1853-1929). Adaptateur

Contributeur : Lützow, Francis (1849-1916). Traducteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30261698d

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 331 p. : portr. ; in--16

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Description : Collection numérique : Fonds régional : Nord-Pas-de-Calais

Description : Collection numérique : Littérature de jeunesse

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k649568

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-16896

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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lamentablement par des tas de cordes ou d'objets qui couvraient 10 pont.

Je demandai conseil on me répondit par des moque.ries, et mon malaise s'accentuant, tout ce que j'avais & l'intérieur du corps se mit à jaillir hors de moi, en sorte que je ressemblais à un limaçon en train de se dissoudre au soleil. J'invectivais mes guides qui se contentaient de hausser les épaules en souriant et j'étais persuadé de ma mort prochaine. J'appris bientôt que je payais' simplement ainsi ma dette à la mer, qui me souhaitait la bienvenue. Au bout do quelques jours je repris mes forces et me crus encore une fois sauvé.

XH

Calme e~ mer.

Utt soir, le vent nous quitta, nos ailes -s'amollirent et nous fûmes contraints a l'immobilité la plus complète.

Nous étions seuls au milieu de l'Océan partout le ciel et l'eau

? Quitterons-nous jamais ce désert?~, pensai~e 0 terre, ma mère, ou es-tu Dieu, notre Créateur, a donné la mer aux poissons, mais à nous, c'est'toi qu'il a donnée. Hélas eux restent prudemment dans leur demeure, follement nous abandonnons la nôtre. Si le Ciel ne nous aide, nous périrons fatalement dans ce mystérieux et insondable abîme. » Ainsi se lamentait mon âme.

Ennn, au bout d'un temps considérable les marins se mirent tout à coup à courir sur le pont. Je 4*