emMBMsdeDieaMteraqaeMhaMsser M gloire. Si cette gtoi~ ~w~t s'étàMiFMms~ na dtMttq~eMe estt'oawàgo des Mmm<s; tandis q~o !a N~e da monde et des demoas rend plus manïtes~ !a pt~ssanM de Mew.
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CûMM~ s'~MMOM<sseM< ~es <WMMses
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De deux façons. Si par, hasard Q'en vis des exemptes) la contrané~é sarvenatt, eUe dMMut peu et s'évanoaM~it comme tmaNage au soleil, on appoint de~txt~medes.
Le prem!èr, la certitude d'<m avenir meiHem, faisait négliger les ennuis dn monde. Tout ici-bas es~ passager, para!~ disparaît sans retour il est donc peu sage d'envier ou de pleurer des choses qui ne sont que lereved'uneomhre.
Le seconde la pensée d'avoir chez soi un Hôte, et A causer avec' lui un moment, tous les ennuis disparaissent. Cet Hôte, c'est Dieu, un Meu consolateur, tes chrétiens s'attachent & lui de tout'cœur~et lui disent leurs douleurs familièrement et franchement; pleinsde coB&mce, ils recourent à Lui au moindre danger, mettent sur son sein lems péchés, leurs onenses, leurs MMesses, leurs imperfections, leurs tristesses, leurs eSbrts et s'en remettent ~n tout a sa bonté paternelle. Touché de cette confiance alialo, & Seigneur accorde à ses élus, consoïationet &tce pour tout supporter pÏu~ieuctf~u&'aBMS~~dsse~ ~ts an8M panait en eu~Ia paix dMne dépassant toute sagesse terrestre.