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FM gM~ <CS 0~ ~~ttM <M< de ?«? qui OM< &eMMoM<~f~c.
Et me souvenant des endcoits où j'avais erré jadis, ~e me mis en ma~he avectowt rempt~esoment do~t j'étais capaMe, mais le tumulte du monde n'acTivait ?!<?& mesoMiUes.
Je pénétrai dans une égMse, elle s'appela~ <~M<sme &, et sans me laisser arrêter par tes sebtaiî~ qui se disputaient dans<!es chapelles laterates, j'avais droit au chœur, ou je distinguais une sorte de rtdeau ou d'écran. Je compris que cet endroit s'appelait e ~MMS CM<&M&)M~ c'est-&-dire,ta Vo~cM~MM~ Ce rideau é~ait douMe; la partie extérieure qui était presqueinvisiNe s'appe!ait<!CoM<eMp<MsJM)MK< <ïA~p~s da JM<MM~& la parMe intérieure du rideau e ~~MO~ C~W~ & <t ji~MOMy ~M C&~S< &.
il séparait le chœur du reste de l'église, et tout homme qui i'avait&anchi se transformait tout aussitôt il était heureux, joyeux, la paix régnait en hti: M
JRMt~MO< << y a ~MM <? OyiCM C~M. Me mettant un peu & t'écart je vis une chose extraordinaire. Des milliers d'hommes.<passaient devant le
sanctuaire sans y entrer. !<e le voyaient~Ns pas N y iàisaient-as pas aHen~on ? De l'extérieur l'édifice leur senAMtapeuen~~ant! $
JeNesa!s.