tin ngne. ï~e~ntemcnt je demande ces MeHMursquandJetusChruta ditdansl'it~jtUtUtMn de t'Euchannie, ~wMc~ yo~Mpefc'w~, avoitil deueïnd'expMquw h nature de rEucharKHc? Je ne croy pas qu'il y a!tpcr<onne cntr'euxqutm'otedïfe que non; Ïebon ~ns~c la force de !a vérité les obligeront à rcpondre, ouyIeSeigncuf avoit«eHe:n dcnousapprendre ~nature de ra~Monqu'<i<M<btt,8cde!acho<eou'iïteRoit. Sicdaeft, il avoit donc de<ïcinde nousa~prendre que cequ~it&ifoit&qu'U tenoitetoit un Sacrement & le Sacrement de fon corps~artc!ae~de!aMtuK&dd'euencede r~ucharutie,ainuce!paro!esM~o~c~ Cgmnoientdans &bouchc,&MM< <&~MM~, &: cette dernier e propout:on eN: fi certaine qu'on n'oterott la n!fr. Suivons les & ditons; fi le Seigneur a eu intention de dire que l'EucharuHe qn'it iMtituoit étoit le Sacrement de fonçons, Uaeuaumiment~n de dire qu'eUe étoit le figne de fon corps parce que le mot de & celuy de Sacre. ment en cette matiere, font ia même chofe. D'requclepatn e~lc/~educo~sde Jefus Chri~&dire qu'il en eftie &K~M~c'e& t toutun. Ainfi )e conclus que ie fens, c~ ~&<&M?~<~J, eftvrayidonles principes deFEglue Romaine, ctquee'CH:
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