cecM. EtK~<:€MMMUe<:<Mtniaindw!eHt& €€<te adomtton auMMnt paft à fon tnmc. A!nS~r<:€p un t~rme a <ep)ro~€tmerde° vaM HnehotMe conher~c, <e n*t~ pas u<t a~e de ReMg~n, c'~t un adcd'hoiM~, i c~e~ espofer & propre vie pout* mettre en danger celle d'autruy, c*e<tblcn€r fa con&ieMeMur~bmUer€eUe d'unaucre.
!V. SECTION.
~MN~M~M &f<~ <&~P~a~~& <~w/e&<?'eo?~ «M MM~TMfOM&w ~Mf~w~M Idotaire.
~En:an~sr~o!)ncrfur cette ~uppoHtio!t ~que ie pain de t'Fuchaf!Hie n'dt pas v~? nMMementtecorpsdu Seigneur, & que ïes paroles, <M~MHic «~doivent étre pn&s dans un fens figuré. Pfe&ntemcnt~eveux bien fuppofer tout le contraire & accordera cesMeUteurs qu'ils ont raifon dans t'inter..pretation qu'adonnent à ces paroles; &je veuxleur montrer qu'enïuppONnt la pretcnce reeMe ils n'en font pas moinscoupables, & qu'its ne~auroienc fedenendre deraccu&" tton que nous leur faifons d'adorer !acrea«. turc. Je&tppoie donc quetecorps dejeifus
Chrih