!u(tMS Hommes, qui oMKgn~ dans h RepuMiquedesleKres6:qut font Pobjecde l'amour des gavants; cq~n~a: &M leur faire tort !epuis dMe hwdimant que ce (bnc €ncompa)ra!<bnduSd~QtfJe<usChti& <&t Y~<MBM ~af ~<f< <M MNftM~M~ pcm~ ~M, pourMrlefavecunRrophae, ma!sle &igneurdHaibntained'eauvtve, une eau qui rqailiitju<ques !a,vieeMne!te. Toutes les ~encesqui&pui&ntdanshplutparc de ces&urcesMMvaines, eompoËesdecom~e&urespkinesd~incertitudes, &de&ituec: d'utilité. MaisJe&$ChriAeiHe~vant des~avams, lepand maître du monde oc derËgh&JLeieuÏqui nous peut emei~cr la Science des SaiMs ,1e <eul qui nous mené in&ilKblementa!a vérité t&c qui nous montM lecheminquicoaduicàh vraye beadtude, comme a la véritable &ience &: pourtant ceux qui font appeUez a conduire rEglife doivent pui~r dans cette &urce t Ce dire, y~ tw~ <&< ~~eew <? voM <~ <~MM!f~.
AinË par ce principe je condamne, premièrement les predicateurs qui montent dans les chaires de t'EgHfe pour nous déployer les thre&rs qu'us ont amanez dans une grande Se va&e lecjhtre & par une longue étude des lettres humâmes qui nous A débitent: