Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 12 sur 12

Nombre de pages: 12

Notice complète:

Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1925-07-16

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 16 juillet 1925

Description : 1925/07/16 (Numéro 8671).

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k648068g

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 28/11/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99%.


Les livres de raison MM

M. Joseph de Pesquidoux vient d'écrire un livre sur les CI livres de raison ». L'auteur nous explique que nos pères désignaient sous ce mot

Le journal de tanilie, mi-agenda, mi-mémorial, où, à côté des comptes hebdomadaires et mensuels, paie des ouvriers. ventes et acuaU. dépenses de la maison, on lisait le relevé (les faite saillant» intéressait le domaine. comme aussi l'exposé des améliorations obtenue et des expériences poursuivies, comme enfin le récit des événements domestiques naissances, mariages, morts, sans parler des surprise* de la vie. Il contentait souvent une autre partie intime, tout.e d'avertissements des pères à 'leurs fils, à l'aîné surtout, en qui s'incarnait la tradition, des conseils qui traitaient des préoccupations matérielles et morales de l'homme à la tête d'une maison et s'inspiraient à da fois des méthode? de culture et de principes de conduite. C'était comme autant de jaaune plant& erur le chemin parcouru pour indiquer le sens de la marche depuis l'origine, pour inculquer l'instinct de prévoyance et l'idée de suite. aipuiiler la race vers l'avenir. » Les livres de raison étaient donc rédigés en vue du présent, mais surtout en vue de l'avenir. C'était un enseignement permanent, perpétuel. en quelque sorte incorporé aux faits. La tenue du livre de raison était considérée comme l'accomplissement d'un devoir religieux. C'était l'oeuvre du père. continuée par la mère survivante, jusqu'à ce que l'aîné des fils fût en état de prendre en main la direction des affaires.

Il est à remarquer. que les habitudes d'ordre et de régularité que cet usage décèle se retrouvent dans toutes les classes, nob!es ou bourgeoises. On trouve des livres de raison chez les petits commerçants, les artisans, les ouvriers et chez les papsans de même dans toutes les provinces de France. C'était donc vraiment une institution. et elle nous révèle les sources vives des plus nobles et des plus persistantes qualités de notre race. Car ces familles, ce sont celles qu'ont fait la France elles formèrent pendant des siècles les couches profondes de la nation beaucoup d'entre elles ont vécu pendant des temps troublés et difficiles, elles sont cependant restées debout elles ont maintenu en elles des forces morales d'une-^aleur incomparable qui leur ont permis plusieurs fois de sauver la France o*-1»-ytfîme.

Si nous résumons les points principaux contenus dans tous les livres de raison, voici ce que nous découvrons dans ces papiers qui renferment la meilleure partie de notre histoire nationale et locale. Je l'emprunte à l'étude que Mme Debroucker a donnée, en octobre 1923. au Bulletin de l'Association des Veuves Chrétiennes V Nous voyons en action une science supérieure à toutes les sciences celle de la vie, enseignée et appliquée par les parents pour le bonheur de leurs enfants, pour l'honneur et la prospérité de l'Etat 2* L'enseignement domestique est net, précis, commun à tous, petits et grands. Il y a des principes que les pères et les mères placent au-dessus du nom, de la ricesse, du talent, de la culture intellectuelle ce sont les préceptes de la vertu, de l'obéissance à la loi de Dieu

3" Nous voyons les parents usant pour leurs besoins personnels de l'économie la plus rigoureuse et sacrifiant tout aux enfants, et nous voyons des enfants témoins de ces sacrifices et y répondant par une reconnaissance, un respect, un esprit d'obéissance sans bornes. Les enfants sont bien élevés, pénétrés des principes qui leur font envisager la vie sérieusement 4* Les générations se succèdent ainsi fécondes, fortes, viriles, bien implantées dans le sol.pénétrées de l'esprit de devoir.Les familles s'élèvent par degré, chaque génération ajoute une nouvelle pierre a 1 edifice de leur fortune elles font de « bonnes maisons »

5- Le foyer et le petit patrimoine sont conservés grâce à l'amour du travail et à la pratique du dévouement. Bien dressée à l'école du devoir, la jeunesse sait qu'elle e ne doit pas compter exclusivement sur le patrimoine des aïeux, qu'elle est tenue de

l'accroître au lieu de le mettre en lambeaux

6° Grâce aux services qu'elles rendent, les familles méritent la confiance de leurs concitoyens. Lés libertés locales, l'administration des campagnes ont pu s'organiser par le fait même de la stabilité et de la haute moralité dont une multitude de fovers modèles donnaient l'exemple. La France moderne ignore les livres de raison. Les bourgeois, les artisans, les paysans ne tiennent plus ces livres domestiques, qui étaient des livres de souvenir, en même temps qu'une garantie de bonne administration. C'est, dira-t-on, que les conditions politiques et sociales du milieu où nous vivons se sont tellement transformées, depuis seulement cinquante ans A lire les livres da raison, ce qui frappe, c'est le fond commun où leurs auteurs puisaient leurs meilleures inspirations Dieu, la familles, la patrie. Il y avait conformité dans les moeurs et c'était là l'un des traits distinctifs de notre vieille France parce qu'il y avait conformité dans les idées. Quelle différence avec le temps présent Dieu, la famille, la patrie sont passés tous les jours au crible de la critique. Tout le monde, presque, les discute et quelques-uns les nient. Un sentiment s'est perdu, celui de la vénération nous nous imaginons volontiers nos ancêtres comme en étant à l'enfance des doctrines et dans l'inexpérience des choses que nous avons vues, si bien que l'expérience des pères ne profite plus aux enfants On ne sait plus ce que c'est qu'une maison, depuis que l'usage s'est établi d'habiter en location. Les maisons, changeant sans cesse de propriétaires, ne sont plus des foyers. Vidées de leur âme, elles n'ont plus d'expression et ne gardent plus de souvenirs. La femme était le cœur même de la famille d'autrefois aujour-,d'hui la femme, dans la classe moyenne tout au moins, est occupée nu dehors. Nous étions autrefois le pays des familles nombreuses nous sommes aujourd'hui, le pays des fils uniques. A quoi bon laisser à ce fils unique un recueil d'enseignements ? Il est bien décidé à ne prendre conseil que de lui-même, et à s'épargner la peine de conseiller les plus jeunes. C'est qu'Il n'a plus, c'est qu'on n'a plus autour de lui le sens social. « Le séns social La conscience nette de la responsabilité sociale qui pèse sur chacun de nous Voilà ce qui manque souvent, nous dit Henry Bordeaux, dans un monde que l'individualisme a pénétré de toutes partsl Voilà ce que l'éducation, les lois et les mœurs doivent, à tout prix, restaurer dans les âmes n.

Les lois, oui Si ce sont les lois qui font les mœurs, nos législateurs sont bien coupables, nos législateurs qui n'ont cesse, depuis cent ans et plus, de porter atteinte à quelques-uns des éternels principes moraux sur lesquels repose la société. Le respect du caractère sacré et intangible de la propriété est un de ces principes. Le respect de l'héritage en est un autre. N y a-t-il pas quelque dérision à les évoquer, ces deux principes, à l'heure même où le socialisme. poussant du pied le cadavre du Radicalisme qui fut son fourrier, prépare une réforme qui finira de saccager le passé en ruinant le pauvre et le riche sous prétexte d'égaliser les chances des citovens à leur entrée dans la vie ?. Mais la désespérance n'est pas un état d'esprit politique. Nous ne serions pas une vraie démocratie si nous n'avions confiance que le peuple, quoique dépourvu du trésor d'expérience que nos aïeux léguaient à leurs descendants, obligera quelque jour les faiseurs de lois à défaire les dangereuses mesures prises depuis des années, au jour le jour, sans souci de leurs retentissantes destructions. Lisons les « livres de raison » que la vieille France nous a laissés ils sont gros de toutes les richesses morales du pays ils nous enseigneront comment, avec l'aide de quelles vertus, on sauve le pays de l'abime. EUGÈNE LE BRETON.

LA COURSE

AU FLAMBEAU

A l'attrait sportif

que présentait la cour

se nux flambeaux Yer.

dun-Paris, s'ajoutait

un symbotisme qui

donnait ci cette épreu

re un caractère parti-

entièrement émouvant.

Quand le gagnant de

l'épreuve, BontemPs.

déposa sur ta pierre

tombale du Soldat

Inconnu une gerbe de

fleurs cueillies sur les

champs de bataille,

l'immense foule des

Parisiens rassemblés

sur la place de l'Etoile

M recueillit pour $'as-

tocur Il ce geste pieux.

Dans une terrible

collision d'automobiles deux voyageurs

sont tués

Trois autres sont grièvement blessés, parmi lesquels M. de Gouyon,

conseiller général du Morbihan

POITIERS, 15 juillet. M. de Gouyon. ancien député, conseiller général du Morbiihan, quittait son château de Villemart (Vienne), dans une auto conduite par son chauffeur. Il était accompagné de son petit-fils, âgé de 2 ans, de son neveu Yvts de Gouyon et d'une bonne.

Cette voiture était suivie par une autre auto, conduite par un chauffeur et occupée par M. et Mme de la Rochetulon, leur flls et une servante l'auto traînait une remorque chargée de bagages.

Dans le raidillon du village Ougat, le chauffeur de -NI. de la Pociietulon voulut dépasser la vniture de M. de Gonyon. La remorque, passant sur l'accotement, dérapa, versa et provoqua la rencontre des deux voitures qui roulèrent dans le fossé.

Le chauffeur de M. de la Rochetulon et la bonne furent tués Mme de la Rochetulun et son flls grièvement blessés M. de la Rochetulon relevé sans blessures apparentes, mais ayant perdu connaissance.

M. de Gouyon était grièvement blessé à la tête, et les autres voyagure douloureusement contusionnés.

UN MORT. DEUX BLESSÉS PRÈS DE MAYENNE

Mayenne, 15 juillet. De notre correspondant particulier. Mardi soir, vers 5 heures, un grave accident d'automobile s'est produit sur la route de Mayenne à Ambrières. o.u lieu dit Jes Vaux-Prouts, commune de la Haie-Travereaine.

.NI. Jules Nezan, âgé d'une trentaine d'années, ouvrier mécanicien, Grande-Rue, à Mayenne, avait quitté cette localité dans l'automobile de M.. Chassais, armurier et artificier à Mayenne, pour aller tirer le feu d'arM. Nezari, qui conduisait, était accompagné de NI. Albert Aveneau, âgé de 40 ans, professeur de musique à Mayenne, qui se rendait lui aussi à Lassay pour le bal, et de NI. Victor Coutard, âgé de 43 ans, domicilié également à Mayenne, rue de Haha, qui devait l'aider à monter les pièces d'artifice. A peine l'auto avait-elle commencé à descendre la côte des Vaux-Prouts que le pneu arrière du côté gauche a éclaté, projetant la voiture contre un pylône de la ligne électrique. L'auto se retourna complètement. M. Coutard. qui était assis en lapin dans l'embrasure de la portière, eut les deux jambes et le bras droit broyés.

M. Nezan. bien qu'ayant une fracture de la clavicule droite et des contusions internes, y put tant bien que mal dégager des débris de la voiture MM. Coutard et Aveneau. qui perdait le sang en abondance par les oreilles et avait une fracture du crâne.

Les trois blessés, après avoir reçu les premiers secours des personnes de passage, furent transportés en automobile à Moyenne. MM. Coutard et Aveneau reçurent a l'hôpital de Mayenne les soins de M. le doctenr Le Basrer. de Lavai, que l'on avait mandé d'urgence.

Malheureusement, à 11 heures et demie du <=oir. NI. Coutard décédait des suites de ses blessures. En ce qui concerne Ni. Aveneau, aveugle de naissance. le diagnostic a été réservé pour quelques jours.

M. Coutard était mutilé de guerre.

L'auto est presque inutilisable.

AUTO CONTRE SIDE-CAR TROIS BLESSÉS

Versaillt.s. 15 juillet. Rente de Rambouillet, près d'Auffargis, une autc conduite par ,NI. Ragot, industriel à -Moisaug-sur-Orge, dans laquelle avait pris lace Mme Ragot, etst entrée en collision avec un side-car conduit par M. Armand Papot. demeurant à Paris, 62. rue Saint-Sabin. Par suite du choc, M. Papot et sa femme qui se trouvait il ses côtés, ont été. blessés assez grièvement, ainsi que Mme Ragot. Tous trois ont été transportés à l'hôpital de Versailles.

UN CHAUFFEUR ARRÊTÉ PARIS, 15 juillet Vers 2 heures, cette nnit. i M. Lucien Cormaire, âgé de 28 ans, demeurant au 1 ré Saint-Gervais, a été renversé à Pantin, et gravement blessé par une auto dont le chauffeur a continué sa route. Mais des agents l'ont retrouvé et l'ont ramcné au commissariat d Pantin. C'est un nommé Jean Guerar. Il a déclaré ne s'être pas rendu compte de l'accident.

DES VACANCES OBLIGATOIRES Salni-Ètiesnk, 15 juillet. M. Durafour, mi- nistre du travail, actuellement à St-Etienne, a annoncé son intention d'obtenir pour les travailleurs, des vacances obligatoires. Il a déposé sur le bureau de la Chambre un projet

Des aviateurs américains offrent leurs services à la France

pour combattre au Maroc PARIS, 15 juillet. Il y a quelques jours, un groupe d'une dizaine de jeunes aviateurs américains ayant fait partie pendant la Grande Guerre de l'escadrille Latayette, faisaient connaitre au ministre de la Guerre qu'ils seraient désireux de combattre au Maroc pour la cause de la France.

Ils ont été reçus hier par le général Jacquemoi, chef du cabinet militaire de M. Painlevé. qui, après les avoir chaleureusement remerciés de leurs propositions, les a informés que le ministre de la Guerre accueillait avec reconnaissance leur offre généreuse.

Les aviateurs yankee seront très prochainement incorporés dans l'armée chériflenne Un avion dans les lignes riffcànes Rabat, 15 juillet. Un avion de bombardement en panne descendit hier à cinq kilomètres devant nos lignes aux environs de Taza. Cet avion était monté par un adjudant et un seront de l'escadridie d'Alger. Un avion de secours envoyé de noo lignes les ayant vus entourés d'agresseurs les considéra comme perdus. Mais, aujourd'hui, tous deux arrivaient dans nos lignes après s'être frayé un passage à travpirs les ravins au mousqueton et à la grenade.

C'est le premier avion tombé dans les lignes ennemies depuis le début de la campagne. L'appareil repéré a été démoli par des iirs de notre artillerie.

LA LETTRE A SIX SOUS Nous rappelons à nos lecteurs que c'est à partir d'aujourd'hui que les nouvelles taxes postales et télégraphique sont mises en vigueur.

Nous avons publié le barème des nouveaux tarifs. Rappelons notamment que l'affranchissement des lettres est porté à' 0 fr. 30 jusqu'à 20 grammes celui des cartes illustrées à 0 fr. 20 avec cinq mots de correspondance, la date, la signature et l'adresse de l'expéditeur, 0 fr. 15 avec date, signature et adresse de l'expéditeur, 0 fr. 10.

AVIS AUX ANNONCEURS

Nous insistons auprès de tous nos lecteurs qui désirent correspondre avec les auteurs de nos annonces portant la mention « S'adres.ser aux bureaux de l'Ouest-Eclair pour qu'ils adoptent la méthode suivante

1» Mettre la lettre sous une première enve.loppe timbrée à 0,30 sur laquelle sera ins.crit le numéro de l'annonce à laquelle on répond.

2» Mettre cette première enveloppe dans une seconde également timbrée à 0,30 et sur laquelle sera inscrite cette adresse M. l'Administrateur de l'Ouest-E. lair, Service de la Publicité. 33, rue du Pré-Boité. à Rennes. Nous prions nos lecteurs de ne joindre à ces envois aucune pièce ou document, nous dégageons d'ailleurs notre entière responsabilité aU cas où certaines pièces, jointes à ces lettres, seraient égarées.

En raison du relèvement des taxes postales, Il ne sera répondu qu'aux demandes de renseignements accompagnées de 0,30 en timbres pour la réponse.

AVIS A NOS DEPOSITAIRES

Par sttite de l'augmentation des taxes postales applicables à partir d'aujourd'hui, nous prions nos dépositaires nous retournant les en-Il'les de journaux, d'affranchir leur enroi 0 /r. 10 jusqu'Il 50 grammes au lieu de 0,05. Au-dessus de 50 grammes, l'affranchisseme ni reste le même, c'est-à-dire 0 fr. 15 de 50 ci 10(1 grammes et 15 centimes par 100 grammes au-dessus de ce poids.

Notre souscription au profit des veuves et des orphelins

de Penmarc'h est close

Elle atteindra environ 200.000 francs La souscription que nous avons ouverte au profit des veuves et des orphelins de Penmarc'h sera close partir de samedi prochain, 18 juillet. J'ous serions reconnaissants ri nos dépositaires de bien !)ouloir hâter les envois qui pourraient leur rester ti faire.

Nous exposerons trés prochainement les modalités de la répartition générale qui sera faite auz feinmes et auz enfants des victimes.

Mais d'ores et déjà, tous ceuz de nos lecteurs qni ont répondu it notre appel par un beau geste de charité riches ou pauvres nous disons Merci.

Tué en tombant d'une falaise Fkcamp, 15 jpillet. Hier soir, à 10 heures, un jeune homme de 19 aras, nommé Avolio Marcel, voyageur de commerce, demeurant à Garches (Seine-et-Oise), est tombé accidentellement de la falaise en amont d'Yport, d'une Hauteur de 100 mètres et s'est tué.

L'Atlantide

et les origines

de la civilisation ET D'ABORD, L'ATLANTIDE A-T-ELLE EXISTÉ

Emplacement probable de l'Atlantide,

d'après M. l'abbé Mortux

C'est une bien vieille question que celle de l'Atiantide. Depuis quelque vingt-cinq sièdes que Platon conta la légende de cette ile Immense située à l'Ouest de l'Espagne et de l'Afrique, et brusquement disparue environ 9.000 ans avant J.-C, bien des archéologues et des géographes, des zoologistes et des géologues, des poètes et des romanciers ont fait de cette terre mystérieuse l'objet de leurs recherches ou de leurs rêves.

Mais voici que la question vient d'entrer dans une nouvelle phase. Des savants anglais et américains prétendent maintenant étahlir un lien entre les civilisations de notre vieux monde et celles que connut l'Amérique centrale et méridionale longtemps avant l'arrivée de Christophe Colomb. Bien plus, certains vont jusqu'à penser que c'eel à l'Amérique que noL devrions les originel de notre civilisation et qu'entre les deuil continents l'Atlantide, servant de trait d'union, permit l'émigration en Egy-pte et en Europe de races civilisées, longtemps auparavant, dans les forêts du Brésil ou sur Vm bords de la mer dee Antilles.

Considérée de ce point de vue, c'est-à-dire liée au problème des origines de notre civilisation, la question de l'Atlantide prend une ampleur nouvelle et mérite d'arrêter l'attention de quiconque s'intéresse à l'bia-t toire de l'humanité.

L'Atlantide de Platon ^ZT^msieurs érrivains de l'Antiquité; ;mais tout ce que nous en savons se trouve exposé dans deux des dialogues de Platon, le Timée et le Crilins.

D'après Platon. les prètres égyptiens apprirent l Solon que. dans Ifs temps très anciens, se trouvait à l'Ouest du détroit de Gibraltar une île plus grande que l'Afrique et l'Asie » ou du moins que ce que 1* Anciens connaissaient de ces deux parties du monde. Cette ile, fertile et riche, couverte de villes somptueuses, était gouvernée par des rois puissants et habitée par le peuple guerrier des Atlantes, postérité du dieu Neptune. Longtemps ils demeurèrent pieux et soumis à de sages lois et vécurent dans le bonheur et la prospérité.

Mais avec le temps, leurs mœurs s'altérèrent. Leur empire, qui s'étendait cependant en Europe jusqu'en Gaule, en Afrique jusqu'anrrès de l'Egypte, ne suffit plus à, leur ambition et ils envahirent les terres de leurs voisins. Mais vaincus par les Athéniens, ils furent en outre punis par les dieux: un terrible tremblement de terre et un déluge engloutirent leur ile. C'est pourquoi depuis ce temps cette mer est devenue impraticable aux navigateurs, par la quantité de limon et les bas-fonds que l'ile abîmée a laissés à sa place

Ainsi disparut à jamais l'Atlantide, neuf mille ans environ avant notre ère.

Que faut-il penser de ce

Que recouvre récit ? (1) ir'y- faut-il voir cette légende ? Cfue l'un de ces mythes poétiques créés par le

philosophe pour le renforcement de sa dialectique et le charme de ses dialogues Telle était, il faut le dire, l'opinion d'Aristote et comme Aristote était disciple de Platon, cette opinion n'est nullement négligeable.

Mais peut-être aussi doit-on croire que la légende recouvre une antique tradition relative à quelque événement réel. Le fait n'aurait rien d'invraisemblable et l'on en pourrait facilement citer d'autres exemples telles, pour ne nommer que les plus connues. les traditions touchant le déluge, l'engloutissement de Sodome et de Gomorrhe, la disjonction dP l'Italie et de la Sicile, la formation dn détroit de Gibraltar, la submersion de la ville d'Is.

Cette seconde hypothèse a été adoptée par la grande majorité de ceue, non seulement poètes ou romanciers, mais savants, qui se sont occupées de la question. Pendant longtemps, toutefois, on ne put se mettre d'accord sur la position qu'avait occupée l'At.(d) Voir sur cette quesnon Aobé MOBXBx. (Pari.,T.'Âtlamidi at-eile exuttr (Paris, i«4); et scient e moderne, dans La Science et la Vit, jü vier 1925.


lantide. On la plaçâit dans les régions lés plus diverses et les plus inattendues, la Scandinavie, la Palestine, le Spitzberg, le Groenland. Naturellement on n'eut garde d'oublier l'Amérique. Mais de toutes ces hypothèses, la plus ingénieuse à la fois et la plue voisine du texte de Platon était celle du savant Jésuite Kircher, qui, en 1657, voyait dans les Açores, Madère et les Canaries, les vestiges de l'Atlantide.

Ces diverses théo-

L'AtUrtnle ries, du reste, deet la science moderne tes et sans autorité tant que l'état

des sciences ne permit pas de donner à l'une d'elles une base solide. Les pregrès scientifiques accomplis au xrx* siècle nous mettent maintenant, semble-t-il. en mesure d'émettre une opinion fondée sur des faits indiscutables.

Le premier de ces faits est l'instabilité de la région atlantique. Le fond de l'Océan qui nous sépare de l'Amérique, bien loin d'être creusé régulièrement à la façon d'une cuvette, est extrêmement acotdenté. Si l'on consulte une carte des profondeurs de l'Atlantique, on constate que sur la partie médiane de cet Océan, se dresse une longue crête sinueuse en forme d'S, une véritable chalne de montagnes, dont la direction générale se tient à peu près à égale distance des rivages de l'Ancien et de ceux du Nouveau Continent. Tandis que ses sommets s'approchent jusqu't 1.000 mètres de la surface de la mer. de chaque côté de cette crête se creuse une longue vallée dont la profondeur atteint et dépasse même 6.000 mètres.

Toute cette arête est couverte d'Iles volcaniques et de cratères, éteinte ou actifs; de fréquentes éruptions sous-marines y déterminent de violentes convulsions du sol dont nos eûtes reçoivent le contre-coup sous forme de raz-de-marée. Parmi ces Iles, notons spécialement Madère, les Açores et les Canaries.

Le second fait est l'existence d'un large et profond sillon dit Dépression méditerranéenne, qui fait tout le tour de notre globe, et dont la Méditerranée est une partie. Or on constate, comme on pouvait s'y attendre, que le point de rencontre de l'arête atlantique et de la dépression méditerranéenne est l'une des régions les plus mobiles de notre globe, et les sondages faits sur ce point établissent que des terres y ont été submergées brusquement à des époques géologiquement récentes.

Entin, la géologie, la zoologie, la botanique permettent des conclusions encore plus nettement affirmatives la faune et la flore des Açores, de Madère, des Canaries et des lles du Cap Vert se rapprochent nettement de celles des régions continentales les plus proches et les formations de terrains quaternaires des Canaries sont tout à fait analogues à celles de la Mauritanie.

On peut donc considérer comme extrêmement probable l'existence, à l'époque ter-' tialre, d'une terre qui joignait l'Afrique à l'Amérique. Cette terre, peu à peu conquise par l'Océan se réduisit enfin à une Ile encore vaste, qu'une immense catastrophe, survenue sans doute à la fin de l'époque -tertiaire, engloutit elle-même sous les' flots. Il n'en reste aujourd'hui comme .témoins que les quatre archipels volcaniques qui ée' dressent au large des côtes africaines. Ainsi, à la question c l'Atlantide a-t-elle existé î » la science moderne peut répondre avec une quasi-certitude Oui. elle a existé, au lieu où la situe Platon, et elle a disparu, comme ü le dit, par un soudain cataclysme.

Reste cepen-

L'Atlantide de la Science dant un point et 1 Atlantide de ton Atlantide dont la science pa-

raît établir J'existence. est-elle bien l'Atlantide de Platon ? Tous les savants qui, récemment, ont abordé cette question, répondent affirmativement. Cependant il est permis de formuler modestement quelques doutes,

L'Atlantide de la science a disparu à l'époque tertiaire l'homme existait-il dès lors ? Les grossiers éclats de silex trouvés au PuyCourny (Cantal) et à Ipswich (Norfolk. Angleterre^, ont-ils été taillés intentionnellement, et par des hommes rroprement dits î Cela est possible, et même assez probable, mais non certain.

Et s'il existait dès cette époque lointaine était-il en mesure de se rendre compte du cataclysme qui se produisait Possédait-il un langage assez perfectionné pour en transmettre le récit à ses descendants Et, si nous l'admettons, peut-on croire que cette tradition ait subsisté oralement pendant une si longue suite de siècles t

Car il ne s'agit plus, ici, des 9.000 ans (le Platon, mais d'une période énorme que les estimations les plus modérées évaluent a pins de cent mille ans. L'humanité a-t-elle si longue mémoire 7

Enfin, tandis que Platon nous représente les Atlantes comme un peuple très civilisé, régi pnr de sages lois, capable de mettre en ligne de puissantes armées et de construire des villes magnifiques, les recherches archéologiques faites en Espagne, en Gaule, dans l'Afrique du Nord et jusqu'en Egyrte, ne nous révèlent pour l'époque quaternaire ellemême que la lente et laborieuse conquête de la civilisation, poursuivie pendant des dizaines de siècles.

Que conclurons-nous donc Admettronsnous l'existence, à l'époque tertiaire, d'une humanité déjà très évoluée, habitant l'Atlantlde, d'une civilisation tout entière engloutie par un cataclysme. L'hypothèse est peu vraisemblable. Verrons-nous au contraire dans la. légende platonicienne un mythe créé par les Egyptiens ou par le philosophe 'lui-même 1 Cette légende concorde trop bien avec les données de la science pour que la coïncidence soit fortuite. Peut-être faut-il croire que l'Atlantide tertiaire ne disparut pas entièrement et que la catastrophe que rapporte Platon eut lieu à une époque beaucoup plus rapprochée des temps historiques, telle qu'ait pu la connaitre l'antique civilisation égyptienne. Si l'on tient compte du falt que les formations géologiques quaternaire» des Canaries ressemblent étonnamment & celles de Mauritanie et présentent les mêmes fossiles, on ne peut manquer d'admettre que des effondrements se sont produits flans cette légion à des époques relativement ré-

rentes, et que la submersion de l'Atlantide platonicienne peut se placer vers la fin des temps quaternaires, c'est-à-dire, approximativement, à la date indiquée par Platon. Cette hypothèse, assurément, aurait besoin d'être contrôlée par des recherches' scienti- fiques faites sur les lieux et spécialement dans ce dessein. Mais si elle se trouvait vérifiée, elle permettrait d'atteindre le maximum d'accord qu'on peut espérer établir entre les résultats de la science moderne et les antiques traditions relatives à l'Atlantide. Nous examinerons prochainement si, comme on l'a supposé, cette Ile eût un rôle dans l'élaboration ou la transmission de la civilisation humaine ?

Paul COUISSIN,

Agrégé de l'Université.

Le droit d'entrée dans les musées est doublé

PARIS. 15 juillet. Conformément à l'article 113 de la loi de finances pour 1925, le droit d'entrée dans les musées, collections et monuments appartenant à l'Etat et affectés à l'administration des Beaux-Arts sera doublé dans ces établissements à partir de demain jeudi à Paris et après-demain en province.

L'ARMÉE ALLEMANDE CONSTITUE DÈS MAINTENANT

UN ADVERSAIRE SERIEUX

PARIS, 15 juillet. Le lieutenant-colonel Reboul publie dans le Temps une étude sur l'esprit d'offensiv.e dans l'armée allemande et il conclut en ces termeta

Animée d'un esprit offensif réel. disposant d'un armement perfectionné, elle constitue donc rlè-s maintenant un adversaire dont il faut tenir compte, d'autant plus qu'elle a su rassurer les effectifs et les moyens nécessaires pour pouvoir en quelques Jour? m:itre en ligne des masses comparables à celles de 1014.

L'ACCORD BELGO-ALLEMAHD Bruxelles, 15 juillet. Le gouvernement îjelft», apprenant que le texte de l'accord économique belRo-allemand a et;; déposé sur le bureau du Reichstag, publie ce texte et dit notamment « L'échange des ratifications se fera aussitôt après le vote par le Reichstag- L'accord entrera en vigueur If quinzième jour qui snivra l'échange des ratifications et vraisemblablement vers le 15 septembre ou le 1er octobre prochains.

LA BAGARRE DE BELLEVILLE Paris, 15 juillet. On recherche actuellement les principaux auteurs de la bagarre qui s'est produite dans la soirée du 13 juillet rue de l'OriHon.

Un des blessés qui, après avoir été soigné à l'hôpital Saint-Louis, avait donné une fausse. adresse, a été retrouvé ce matin, De ses déclarations', Il ressort' qtl'il n'a pas pris part à l'agression des agents..11 .dâTisait i proximité. dô,r,endro.it i>ù s'est produite l'affaire et Quant aux deux autres individus arrêtés hier soir, ils ont été interrogés ù nouveau ce matin. Le premier a avoué avoir frappé l'un des agents le second, avoir jeté des pierres contre les représentants de la force publique. L'état du gardien Georges Boucher est de plus en plus satisfaisant.

M. Henry Pathé, députe de Paris, se propose de demander à la rentrée des Chambres à interpeller le Gouvernement sur les incidents du boulevard de Belleville et sur les mesures qu'il compte prendre pour que de pareils faits ne se renouvellent pas. il s'en est entretenu ce matin avec le Président du Conseil.

=:= SOURIRES

En dépliant son journal, le matin, le Français moyen décourre parfois une information tellement insolite qu'il recommence sa lecture par crainte d'une erreur d'optique. C'est ainsi que j'ai sursauté l'uufre jour en lisant l'étonnante nouvelle que vous connaissez « Georges Goyau est fait chevalier de la Légion d'honneur

Est-ce Yossible ? ai-je pensé. roilà une nomination bi.:arre.

llaia qu'y a-t-il d'extraordinaire, roux exclamez-vous. Jamais décoration ne fut mieux méritée. Et vous protestez

Au contraire. Je n'ai pas assez de mes deux mains pour applaudir. Ce qui est surprenant, inouï, renversant, au point de vous inciter ù aller passer vos vacances dans la planète llars, c'est qu'on aif oftendu si longtemps pour accorder cette distinction ù un écrivain de la qualité et de la dignité de Georges Goyau. Le Conseil de l'Ordre e.st-il donc composé d'aveugles et de sourds qui ne voient rien de levr temps et n'entendent point les trompettes de la renommée

Peut-étre la politique.

Fichez-moi la paix arec votre politique. Coyau fait de l'histoire sans s'intéresser à vos histoires.

C'est un oubLi impardonnable, en effet. D'autant plus inexplicable que les Tartempion des Lettres, les « îl'as-tu vu n des Arts et tous les marmitons des cuisines électorales n'ont qu'à lever le petit doigt si lienrie les prend de fleurir leur boutonnière. Te fait est que les relations.

Suffisent en général à garnir les listes des promotions. Le premier venu dont l'arrière-petit-covsin est huissier chez un ministre ne sera jamais comme Georges Goyau le dernier arrirè au poteau des honneurs.

Voyez-vous, lorsqu'on décore très tard un écrivain justement célèbre, on souligne avec ostentation la durée d'une injustice flagrante. Il faut savoir quémander, dites-rous ? Mais l'histnrien qui vit de préférence avec les hommes intègrea du passé ne songe pas le moins du monde à s'adapter nos maurs théâtrale'. Il tait, par métier, qw souvent le mérite éclate après la mort. Alors, cette pensée pénitrée de sagesse lui suffit.

Le Petit Crégolre

JIENSSIONKMrNTS 1OR1DI0UES

rLoyCT*. Procès. T.tttie». etc.1

sont envoyés »r lettre particulière contre 2 Ir. 1 en timbres aaressés à l'Ouest Eclair.

LA SITUATION DANGEREUSES VACANCES L'événement attendu et fatal s'est produit le Cartel s'est brisé et 245 ocmmunietes, socialistes et radicaux-socialistes, se sont prononcés contre le Gouverne- ment de M. Painlevé qui prétendait faire passer l'intérêt public avant les aventureuses promesses électorales du Cartel.

Jusqu'à ce jour, on avait seulement constaté une fêlure dans le Cartel. A propos de l"impôt sur le capital, un certain nombre de radicaux avaient suivi les socialietea. M. Cail- laux avait essayé de calmer leur intransigeance en leur faisant remarquer que bientôt, quand le temps pressera moins, il sera possible de remettre à l'étude une grave question fiscale dont peut dépendre le crédit de la France. Récemment, pour éviter la rupture à propos de l'impôt sur le chiffre d'affaires, le ministre des Finances disait que le problème pourrait se poser à la rentrée sur le terrain choisi par le Cartel. Mais celui-ci n'a pas voulu de temporisation. Quatre-vingt cartellistes seulement ont vote pour le ministère qui a trouvé au centre et à droite la majorité nécessaire pour vivre.

Pendant trois mois, pendant que M. Caillaux essaiera d'utiliser, pour le salut financier, les pouvoirs dictatoriaux qui lui ont été confiée, nous verrons les 24-5 opposants de l'extrême gauche s'efforcer de préparer dans les loges et les clubs la revanche de MM. Herriot et Léon Blum. Il y a à la Chambre un grand nombre d'hommes qui n'avaient jamais joui des avantages et des faveurs du pouvoir. Ils y ont pris goût sous le règne de M. Herriot, et les socialistes se sont fait royalement payer leurs services par le Gouvernement. Comment renoncer à tant de satisfaction ? P Tous ces profiteurs vont se coaliser contre !IL Painlevé et tout faire pour renverser leur idole d'hier.

Si M. Caillaux résiste à cette conspiration des appétits exaltés et des vanités froissées, c'est qu'il sera un rude jouteur.

P.-O. DOLBBBT.

M. DOUMERGUE EST PARTI POUR CHERBOURG

Paris, 15 juillet. Le Président de la République a quitté Paris cet après-midi à 17 heures pour se rendre à Cherbourg où il doit passer en revue demain l'Escadre de la Méditerranée, la Division de la Manche et de la Mer du Nord ainsi que les flottilles du premier arrondissement.

A la gare Saint-Lazare, un salon d'honneur avait été spécialement aménagé,- garni de fleurs et de trophées de drapeaux.

A l'arrivée du Président de la République. les honneurs militaires lui ont été rendus par une compagnie de la Garde Républicaine. Une mort subite

mergue a été attristé par le décès d'un agent 'atlaciié- au président du .Conseil, M< cBizéf argentier, qui s'est' affaisSé- brusquement au moment où il aidait à transporter les bagages du président du conseil. Le décès est attribué à une embolie.

DES AGITATEURS SE REPANDENT DANS LES PORTS CHINOIS

Hono-Kong, 13 juillet. On mande de Canton

Des milliers d'agitateurs se rendraient, diton, dans les ports de la côte en vue de poursuivre la propagande. Les autorités navales ne considèrent pas la situation à Cha-Té-ou comme alarmante.

GANDHI COMBAT

LA PROPAGANDE BOLCHEVISTE DANS L'INDE

Calcutta, 15 juillet. Le bolchevisme s'attache à réveiller, pour en tirer proflt, les nationalismes en pays asiatiques. 11 parait n'avoir pas trop mal réussi en Chine, mais il est en train d échouer dans l'Inde. M. Gandhi, l'agitateur dont l'influence est toujours grande en ce pays, se rend compte, en effet, que le mouvement révolutionnaire russe vise plus loin que l'émancipation de l'Inde et travaille surtout à y renverser l'ordre social et à y provoquer une guerre Je classes. Il vient de s'employer avec succès à faire nommer M. Sen Gapta à la succession de -NI. Das comme maire de Calcutta et leader du swaraj au Bengale. M. Sen Gapta est un modéré. Aussi est-il dénoncé avec violence comme ennemi de la Russie par M. Rascolnikof, représentant des Soviets et Afghanistan et directeur de la section orientale de l'Internationale Communiste. M. Rascolnikof publie dans la presse soviétiques un article où il annonce la banque.route -de Gandhi et invite les 1 prolétaires indiens » à suivre les directions de M. Maurice Hazret. chef de l'aile gauche révolutionnaire du swaraj, nartisan de la sécession complète de l'Inde à l'égard de l'Empire britannique et de la guerre contre le capitalisme indien.

LA RECONCILIATION DES PARTIS EN YOUGOSLAVIE

BFLGRADE, 13 juillet. M. Pachitch, premier ministre, chef du parti radical et patriote, avait récemment déclaré qu'il souhaitait la collaboration du parti Raditch à la consolidation de l'Etat des Serbes, Croates et Slovènes. Les pourparlers qui se poursuivaient depuis quelques semaines entre les deux partis viennent d'aboutir à un accord complet. La répartition des portefeuilles dans le nouveau cabinet de concentration a été opérée. Le parti Raditch compte soixante-quatre députés, dont vingt-trois appartiennent au grolipe paysan croate, ce qui constitue un bloc de deux cent quatre députés gouvernementaux au Parlement.

La réconciliation des deux partis que tfirigent respectivement MM. Pachitch et Raditch constitue pour la Yougoslavie un gage précieux de prospérité nationale.

LE- TOUR DE FRANCE Martin se classe premier dans l'étape Mulhouse-Metz L'étape Mulhouse-Metz comptant 334 kilomètres de parcours est revenue à Martin qui décidément se trouve dans une forme superbe. Dommage pour lui que les premières étapes de :a grande boucle ne lui aient pas été aussi favorables, car il serait inquiétant pour les meilleurs. S'il est vrai que cette seizième étape est totalement dépourvue de difficultés sérieases, la victoire de Martin n'en reste pas moins très belie, d'autant plus qu'elle vient confirmer son succès de l'étape Briançoll-Evian.

Bottecchia arrive avec 3 minutes de retard ce qui ne l'empêche pas de rester en tête du classement général. Quant à Ay·mo, les quatre minutes qu'il vient de perdre le placent au 40 rang. Que ne fera-t-il pour reprendre sa place de second

Voici l'ordre des arrivées à Meta

Martin, 13 h. Zi' 39".

Frantz, même temps.

L. Buysse, même temps.

Dejonghe, 13 h. 24' 43

Selüer, 13 h. 24' 54".

(Voir en Vie Sportive)

TELESCOPAGE DE TRAINS Trente blessés

Villexeuve-Saixi-Georcej, 13 juillet. Deux trains omnibus se dirigeant l'un et l'autre sur Paris le 404, venant de Brunoy, et le 404 bis, venant de Moret, se sont heurtés par l'arrière, près de la gare de Villeneuve-SaintGeorges, cette nuit, à 22 h. 45. Ce sont des trains qui avaient été doublés en raison des fêtes et cui devaient se suivre u dix minutes d'intervalle. Mais le 404 avait une trentaine de minutes de retard sur l'horaire prévu. Par suite d'une circonstance. qui reste à préciser, le 404 bfs, qui le suivait, vint le heurter par l'arrière, brisant le fourgon de queue et endommageant le wagon de 3' classe qui précédait ce fourgon. Les voyageurs furent projetés contre les parois du compartiment. Trente d'entre eux furent légèrement blessés à la tête tous purent regagner leur domicile après avoir reçu des soins à l'ambulance de la gare. Cependant une dame plus sérieusement atteinte fut transportée à l'hôpital de Corbeil et nn autre voyageur, le docteur Donato. trépané de guerre. se plaint, à la suite de la commotion qu'il a reçue, de violentes douleurs à la tête. Néanmoins, malgré la gravité de son état, il a demandé à être reconduit à son domicile, rue des Ecoles, à Paris.

DES PIERRES SONT LANCÉES CONTRE UN EXPRESS

Beai-Pais. 15 juillet. Ce matin, des indfvidus, qui ont pris la fuite, ont jeté des pierres en gare de Montsoult-Maffliers,. sur l'express du 'Préport, qui quitte Pari* à 3 h. 15. l.es vitres d'un compartiment de 2e classe ont été brisées. Personne n'a été blessé. 7 LESlTpjlyÉAUX TARIFS POUR LES TIMBRES DE QUITTANCE PARIS, 16 juillet. Le ministère des Finances nous communique la note suivante C'est à partir de jeudi, 16 juillet, que sont applicables à Paris les nouveaux tarifs pour le timbre des quittances. Ces tarifs sont les suivants

0 Ir. 25 pour les sommes n'excédant pas 100 francs

0 fr. 50 pour les sommes comprises entre 100 et 1.000 francs

1 franc pour les sommes comprises entre 1.000 et 10.000 francs

3 francs, pour les sommes comprises entre 10.000 et 50.000 francs et au-delà

1 franc en sus, par nouvelle fraction de 50.000 francs.

On peut, pour l'acquit de l'impôt, employer plusieurs timbres.

En ce qui concerne les dépôts d'espèces chez les banquiers, les agents de change et les comptables publics, le droit de timbre est fixé en chiffrrs uniformes de 0 fr. 25, quelle que soit l'importance de la somme déposée.

Dans les départements, les nouveaux tarifs seront applicables un jour franv; après l'arrivie au chef-lieu de l'arrondissement du numéro du Journal Officiel du 14 juillet 1925. LE 14 JUILLET A CHANGHAI SHAnGHAï, 15 juillet. Un nombre considérable de Chinois a suivi la retraite aux flambeaux qui avait lieu dans le quartier français a l'occasion de la fête 'du 14 juillet. Ils ont acclamé la France; l'ordre n'a pas été troublé.

LE LIVRE DE CUISINE

DE « L'OUEST .ECLAIR })

QUE TOUTE BONNE

CUISINIÈRE

VOUDRA AVOIR

Est en vente à la Bibliothèqne de 1' « Onest-Edair », 38, rue da Pré-Botté, Rennes, et chez non dépositaires et sons-dépositaires des grandes villest. Prix 5 francs. (Franco 6 francs)

CE recueil !le 3Gi page* comprend, outrj les 600 recettes primées la suit» et notre concours, plus de Y00 recetUt dues au mailte fiignon. Certes, il n'a pas la prétention d'être complet; ce qu'il oftre au lecteur, c'est mieux qu'un easomb!» de recette^ plus ou moins heureuses, ce tent lia principes de la bonne cuisine trançali*. les principes mêmes de l'Art culinaire. C»R. ne l'oublions Cas. Il a été eompos* 4 sous la direction et avec fe concours de M. Edouard Nlpnon. Quelle plus solide garantie de sa valeur t

Au reste, son prix défie toute concurrence le livre de cuisine de ('Ouest-Eclair, UM spécialement pour les lecteurs de i'OuKtEclair, est vtniu tans bèntlUc, au prix e««

A -TRAVERS LA PRESSE Le gouvttntment remplira-t-il

sa mission î

L'4v*7iù, «ou>.la i.'ume de M. Pierre Fer- vaqué, conseille aux partis nationaux de ne pas s'endormir. Leur victoire n'est pas éclatante ̃ comme voudrait le faire croire Ni. Pierre Bertrand, du Quotidien- C'est la simple victoire du bon sens

< Il nous reste d'ailleurs bien des inquiétudes. La première est que le gouvernement lui-même est navré peut-être de son succès. Durant la trêve parlementaire, sa mission devrait être de travailler à restaurer l'esprit national, à le débarrasser à la fois du mysticisme cartelliste et de la fièvre révolutionnaire. Le fera-t-il ? Nous en doutons. On peut craindre que ses préfets ne cherchent au contraire à opérer le recollage des divorcés. Les élections cantonales nous fixeront sur ce point. Pour incompatibilité d'humeur et de politique, les amants cartellistes se Eont séparés de corps sinon de biens, après dixhuit mois de cohabitation et des querelles assez aigres. Mais la chair est faible. Et nous craignons que le gouvernement le soit aussi.» L'appel au chef

L'Ere Nouvelle, que la dislocation du Cartel a fort mécontentée, n'a plus d'autre objectif que d'en recoller les morceaux. Elle fait appel au chef, qui est, vous l'auriez parié, M. Herriot

• Les radicaux ont un chef, aimé et justement respecté. Ce chef doit agir en chef, en toute circonstance, sous peine d'entraîner la débandade de ses troupes

« L'unité du parti est en cause. Le silence du président de ce parti peut être mortel à l'unité. Nous supplions M. Herriot de quitter l'Olympe, où il siège depuis plusieurs semaines, de redescendre parmi ses amis, ses disciples, de leur donner des conseils et des directives. L'heure est assez grave pour que nous insistions. Le devoir républicain, pour lui, est là et n'est que là »

Allons, -NI. Herriot, parlez et agissez. Vos amis, ne le voyez-vous pas, font le signe de détresse

Comment nous pourrons battre

Abd el Krim

Pour que nous puissions battre Abd el Krim. il nous faut des effectifs suffisants, la liberté complète de notre'commandement, c'est-à-dire que notre général en chef doit avoir officiellement le droit de poursuivre les Riffains jusque dans leurs repaires de la zone espagnole, et enfin une surveillance et une répression politiques plus actives. Telle est la substance d'un article de M. S. de Givet dans l'Eciair, et il conclut

Cette surveillance et cette répression doivent s'exercer non seulement au Maroc, mais encore en France. Il est impossible à un général en chef de conduire des opérations lorsque l'arrière travaille contre lui lorsqu'il risque à tout moment de voir ses troupes plus ou moins atteintes par une propagande effrénée de trahison, de désertion et d'insubordination lorsque son adversaire est soutenu moralement, financièrement et matériellement par les ennemis intérieurs de la nation ou par des étrangers non belligérants.

jiK l'autorité

n s'est livré, la nuit du 14 juillet, il Belteville, une bataille rangée, où il ne semblé pas que force soit restée à la loi. De telles scènes renouvelées si souvent devraient faire réfléchir un gouvernement. C'est à lui que s'adresse Curtius, dans le Gaulois

Il y a depuis toujours des lois.qui punissent le crime. Mais on les laisse tomber en désuétude, par mollesse de cœur, par je ne sais quelles timidités devant les responsabilités. Ces faiblesses-là nous conduiront loin, et la peur de verser le sang des.bandits amènera bientôt des hécatombes d'honnêtes gens.

CINQUIÈME CONGRÈS NATIONAL

DE LA CULTURE

DES PLdNTES MEDICINALES

Depuis une dizaine d'années, la Compagnie d'Orléans a entrepris en collaboration aveu la « Comité interministériel des Plantes médicinales » une active propagande en vue du développement de la culture des plantes médicinales que nous recevions avant la guerre des pays de l'Europe Centrale.

Poursuivant cette intéressante campagne, elle organise à tantes, le 17 juillet, un « Cinquième Congrès national de la culture des Plantes médicinales » qui a pour objet l'étude de la culture et de la récolt-3 des « Simples dans la Péninsule Bretonne, de l'utilisation des sables marins et des marais desséchés pour la production de certaines plantes à essences, de l'industrie de l'iode sur les côtes de l'Océan, etc.

Cette manifestation sera complétée les 18 et 19 juillet par des visites de cultures ou d'usines à Pornichet (I.oire-Inférleure) Vannes, Elven et Saint-Pierre-de-Quiberon (Morbihan). etc.

Des facilités de circulation seront accordées aux Congressistes par la Compagnie d'Orléans sur ses lignes.

Pour l'inscription et tous renseignements complémentaires, s'adresser à l'ingénieur des services commerciaux de la Compagnie d'Orléans, 1, place Valhubert. à Paris, ou à II. le secrétaire général du Comité interministériel des Plantes médicinales, 12, avenue du Maine, à Paris.

UN TRIO DE CAMBRIOLEURS

SOUS LES VERROUS

TOURS, 15 juillet. La police a procédé à l'arrestation des nommés Thuillez, Pion et de la fille Lelong, descendus à l'occasion de la Fête Nationale dans un hOtel de la ville. En raison de leur allure suspecte, ils ont été appréhendés et habilement cuisinés les policiers ont fini par apprendre que ces trois individus appartiennent à une bande de cambrioleurs 'Sien organisée. En effet, on retrouve leurs traces le 30 juin Cernier. à Caen, où ils auraient dérobé dans cette ville, à une personne, 35.000 franco. et à dois. où le même trio aurait céjobe 10.000 francs.

L'enquête se poursuit activement. N'entrevrenet lamai. un tojaitc quelconque. col- toctlf ou Individuel -n France ou t'étrancer. tans demaud'r priilabiement des Knseunetnenti au Service tel 'I.yafïj pour tous de l'Ottcil*


LA GUERRE DU MAROC

L'ENNEMI MANIFESTE

SUR TOUT LE FRONT

UNE GRANDE ACTIVITÉ Fa 15 juillet,. La situation dans la ré,-ion d'Ouezzan ne comporte aucun changement important. L'artillerie et l'aviation bombardent énergiquement les positions ennemies. L'aviation a fait notamment de nuit un bombardement très réussi sur 1 Ouled Bedder.

El Chaouni. qui commandait les forces ennemies de la région et qui avait été dernièrement grièvement blessé, a été remplacé à son commandement par Abd el Krim et Hajd. Dans le centre, les infiltrations ennemies continuent, les Riffains attaquant sans succès quelques-uns de nos détachements.

Lps efforts des dissidents et des Riffains dans la région au Nord de Taza semblent s'inteoiificr. notamment dans le pays des Br.uirs et de~ Tsouls.

Il résulte <1es renseignements parvenue que sur l'ensemble du front l'ennemi fait actuellement ur gros effort de propagande et Drocède à (les infiltrations en arrière de nos groupes Pt à des attaques locales, agissements qui paraissent conflrmer les bruits qu'il fit répandre chez les tribus d'une prochaine offensive.

Devant la zone internationale

Tanger. 15 juillet. Une grande activité est signalée chez les Djeballas et les.Andjeras, voisins des Ouedres, devant la zone internationale et dans Je secteur de Tetouan. Un cuirassé anglais à Tanger

Tanger 15 juillet. Le superdreadnought Queen-Eltsabeth est arrivé à Tanger le 14 l'amiral Sir Roger Keyes, accompagné du consul d'Angleterre, a rendu une visite officielle au représentant du sultan dans la zone internationale. L'arrivée du plus grand vaisseau de guerre qu'on ait jamais vu sur cette rade a causé dans toute la ville le plus vif intérêt.

La visite du Queen-Klisabeth n'a aucun rapport avec la situation politique actuelle. Elle fait partie d'un programme fixé depuis longtemps.

UNE CONFERENCE MILITAIRE

DE M. PÂINLEVÉ

PARIS, 16 juillet. A la présidence du Conseil, M. Painlevé a conféré longuement avant son départ pour Cherbourg avec le maréchal Pétain et le général Debeney, chef d'étatmajor général de l'armée; le général lacquemot, chef du cabinet militaire, assistait à cette conférence.

LA MEDAILLE COMMEMORATIVE

DE SYRIE

PARIE, 15 juillet. Le président du Conseil vient de décider que la médaille commémorative de Syrie-Cilicie sera conférée (pour la période du 1- juillet au 31 décembre l<R-4 aux seuls militaires de l'armée du Levant ayant pris part dans l'active aux opérations ciaprès

Troupes du territoire de Damas, Opérations exécutées dans le Wadi el Miah (14 août 1924); dans la région de Chaio el Lous (26 août 1924) et sur l'itinéraire Chguera Bayond (12 septembre 1924): onérations de désarmement .et de poursuite des bandes de brigands de l'Anti-Liban (16 octobre au 6 décembre 1924).

Aviation: Tous les vols autres que les v ols d'entraînement (pilotes et passagers du personnel de l'aviation ou des autres armes). LA FLOTTE SOVIÉTIQUE

Riga. 15 juillet. On annonce de source sûre que le tonnage total de la flotte de guerre de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques atteindrait déjà cent mille tonnes, soit rlus que les flottes suédoise, danoise, finlandaise, lettonne et esthonienne réunies.

Outre les cuirassés Marat et Commune-deParis, chacun de 23.000 tonnes, le Jturik de 16.000 tonnes et sept sous-marins en service, on répare hâtivement les dreadnoughts Gangtmt et Sébastopol ainsi que les contre-torpilleurs et mouilleurs de mines qui tons devront être prêts à prendre la mer en automne prochain.

LES EFFECTIFS

DE L'AVIATION ANGLAISE Londres, là JuiHel. A a Chambre des Commune, en répon-e à une question. le secrétaire de l'Aéronautique dit

« Les effectifs de l'Aéronautique britannique comportaient le 1" juMIel 3.231 oftlciers. 109 éleves ofliciers et 29.ÔG1 ?ou6-ofik-iers et soldats.

En cf qui concerne le? appareil et y compris 1 i^uivalenl d'environ 9 escadrilles pour fav talion nivale, la Grande-Bretagne possédait en tout a ·la même date 55 escadrilles comportant en moyenne chacune. 12 appareil*

« D'après les derniers ren^eigncmonls. l'aviatinn française ne possc'-iii1 aue 40 «seailrilk-s comprenant 9 appareils chacune.

L'attentat de Cormeilles-en-Parisis VERSAILLES, 15 juillet. Pierson. Bierre et Vanter, les trois bandits de Cormeilles-enParisis. assistés de leurs défenseurs, ont été confrontés cet après-midi dans le cabinet de M. Fougery. juge d'instruction à Versailles. Comme il fallait s'y attendre, les trois malfaiteurs se sont rejetés mutuellement la responsabilité du crime tant en ce qui concerne son exécution eue sa préparation.

POUR LA SOUSCRIPTION A L'EMPRUNT

PAAIS, 16 juillet,. L'Officiel publie ce matin un arrêté du ministre des Finances ainsi conçu

Article Premier. Il pourra être établi sur leur demande, en vue de la souscription il l'emprunt autorisé par la loi du 27 juin 1925

1° Au profit des détenteurs des bons du Trésor à trois et cinq ans 19:2, déposés aux fins de remboursement au 25 septembre 1925, des bons de la Défense Nationale à un mois d'échéance portant jouissance au 25 août 1925 2° Au profit des détenteurs de bons du Trésor à trois, six et dix ans 1923 (1™ série), déposés aux fins de remboursement au 8décembre 1925, des bons de la Défense Nationale à trois mois d'échéance portant jouissance au 8 septembre 1925.

Les bons de la Défense Nationale ainsi établis resteront bloqués dans les caisses des comptables ou des banques qui les auront délivrés.

Artr. II. La clôture de l'émission des ren tes 4 perpétuelles fixée au 5 septembre 1925 par l'arrêté du 4 juillet 1925 est prorogée jusqu'au 8 septembre pour les détenteurs des bons de la Défense nationale visés au paragraphe 2 de l'article premier du présent, aux termes duquel les porteurs de bons de la Défense nationale délivrés en exécution de l'article premier, paragraphe 2, du précédent arrêté, en échange de Bons du Trésor à trois, six et dix ans 1923 (1™ série) qui auront demandé l'échange de ces bons de la Défense Nationale contre des titres de rente 4 1925, pourront obten.r à la dau du 8 septembre 1925, l'avance de» arrérages afférents au semestre 8 juin-8 décembre 1025, des Bons du Trésor échangés. Cette avance sera constatée au débit d'un compte qui sera soldé par l'encaissement des arrérages au 8 décembre 1925. ARTICLE 3. Les bons de la Défense Nationale visés à l'article l'r, S 1 et 2 seront admis en souscription à l'emprunt dans les conditions suivantes les bons de 500 fr. à un mois à l'échéance du 25 septembre 1925, seront repris à 500 fr. ceux de 5.000 fr. seront également repris à 5.000 fr. Les bons de 500 fr. à 3 mois à l'échéance du 8 décembre 1925 seront repris à 495 fr. et ceux de 5.000 fr. à 4.950 fr.

MORT AU VOLANT DE SON AUTO VICHY, 15 juillet. Ni. Périchon, âgé de 46 ans, maître d'hôtel à Varennes-sur-Allier, se rendait avec sa femme et ses nièces en automobile à Vichy, lorsque, près de Paray-sousBriailles, il fut frapré d'une embolie et succomba au volant.

Privée de sa direction, la voiture culbuta dans un ravin bordant la route. Par miracle, Mme Périchon et ses nièces n'ont été que légèrement blessées.

LA CRISE ANGLETERRE LONDRES, 15 juillet. Les milieux compétents s'accordent à considérer que la crise minière a pris aujourd'hui une tournure sérieuse, la décision des mineurs créant une véritable impasse. La Conférence des mineurs de Scaoborough a adopté en effet à l'unanimité une résolution proposée par le Comité exécutif recommandant de ne pas participer à la Commission d'enquête et de ne pas entrer en négociations a'vec les propriétaires de mines à moins qu'ils ne retirent Jes propositions du nouvel accord pour les salaires. Le Gouvernement s'efforcerait de trouver une formule susceptible de concilier les parties adverses.

L'ETAT DE Mme CAILLAUX ANGERS, 15 juillet. D'après les dernières nouvelles, l'état de Mme Caildaux est satisfaisant. NI. ('.aillaux est reparti d'Angers. INFORMATIONS

DANS 7.A JUSTICE. Paris, 15 Juillet. Par décret en date du 15 juillet. sont nommés juge à Morlaix. sur sa demande. M. Durand, juge à Tiaret: substitut à Briey, M. Lepiniçle. juge suppléant rétribué du re*on de Rennes,

Est charge jour 3 ans des fonctions de l'instruction au tribunal de Horlaix. M. Durand, nommé Juge au siège par le présent décret. DANS L'ARMÉE

PROMOTION DANS LA LECION D'HONNEUR PARIS, 15 juillet. Le c.het de bataillon Mezergués, du 37" régiment d'aviation, est promu au grade de commandée dans l'ordre national de la Légion d'honneur.

DANS LETAT-MAJOR GENERAL DE L'ARMEE. Le général de brigade Havai-d, commandant l'infanterie de la 1?* division, et qui n'a pas rejoint, est nomme au commandement de la 6* bri- gade de chars de combat. Le yéiieraJ de brigade Borle. commandant l'Ecole Militaire d'Infanterie de Saint-llalxent. est placé à compter du 15 juillet 1920. dans la section de réserve.

AERONAUTIQUE MILITAIRE. Sont admlssfbles Il l'Ecole d'Administration Militaire (section des comptables) à la *uite du concours de 1925. sa-belli. sueront au tor d'tnfanterie coloniale: Hrelivet. Le Gt.erel. Le Moult et Le Treut. sergents au 9° d'infanterie coloniale. TIRAGES FINANCIERS du mercredi 15 juillet

BONS ALGERIENS 18S3. Le numéro H'9?3 est remboursé par lOO.OOo fr.; le numéro 141.447 est remboursé Par S.O00 Ir. Le: 6 numéros suivants sont remboursés chacun par 1.000 fr 44.0*29, 37.418. 84.776. w.380. 141.438. 141.737; 448 numéros sont remboursables chacun par 200 fr.

COMMUNALES 1»33. Le numéro 1.089.909 est rembour-ié par 250.000 fr.; le numéro 840.204 est rembourse par 100.000 fr.: le numéro 1.077.454 est rembourse par M.'JOU fr.; le numéro 330.383 est remboursé par 25.000 fr.; 100 numéros sont remboursés chacun par 1.000 fr.

BONS FONCIERS 188:. Le numéro 174.986 est rembourse par tOO.OOJ fr.: le numéro 3-20.749 est remboursé par 5.000 fr.: les dix numéros suivants sont ren»U>ur*s chacun par 1.000 fr. 17.038. 55.054 6G.155. 81.473 100.847. 1:S.aG4. 132.387. 154.96). 215.582. 21-SI,: 918 numéros sont remboursable* chacun par 900 fr.

LE PACTE DE SECURITE LE CABINET ALLEMAND PRÉPARE SA RÉPONSE A LA NOTE FRANÇAISE BERLIN. 15 juillet. Le Cabinet d'Empire s'est réuni ce matin à 11 heures pour dtscuter la réponse allemande à la note française du 16 juin sur la conclusion d'un pacte de sécurité.

Le communique officiel publié à la fin de la séance se borne à déclarer que le Cabinet d'Empire s'est mis d'accord sur un projet de réponse. La rédaction définitive sera mise au point dès que le gouvernement aura .jris contact avec la Commission du Reichstag pour les affaires étrangères et avec les résidants du Conesil des Etats allemands.

La Commission du Reichstag pour les affaires étrangères est convoquée pour v^alredi matin et les présidents du Conseil pour vr ndredi après-midi.

Qnand la réponse sera-t-elle remise LONDRES, 15 juillet. Suivant une informa.I tion de source anglaise, la remise de la ré-* pense allemande, au sujet du pacte, serait retardée d'une dizaine de jours et ne serait envisagée que pour la fin de la semaine prochai.ne ou le commencement de la semaine suivante. On se prépare néanmoins à un examen technique dé la question et l'on prévoit que des experts juridiques français et anglais commenceront incessamment en commun, l'étude de certains points de droit. Il est possible que les experts se réunissent à Londres.

Violente altercation entre M. Stresemann et un ministre nationaliste

Berlin, 15 juillet. Selon certains journaux, une discussion violente se serait engagée entre Ni. Stresemann, ministre des Affaires étrangères et le nationaliste Schiele. ministre de l'Intérieur. L'altercation aurait été si vive que le chancelier. après s'être efforcé vainement de jouer le rôle de médiateur, aurait dû faire appel, dans ce but, au docteur Gessler, ministre de lu Défense nationale, qui se serait récusé. L'intervention du docteur Brauiis, ministre du Travail, n'aurait eu aucun succès et les deux contradicteurs se seraient séparés sans se saluer.

Prochain dé6at au Reichstag

BERLIN, 15 juillet. Le Service Parlementaire Socialiste écrit que les débats au Reichstag, sur la politique étrangère, sont prévus pour mercredi ou jeudi de la semaine prochaine.

Poiir la veuve `du général Mangin PARIS. 15 jufflet, la séance de cet aprèsmidi, du Conseil municipal. M. de Caslellane a déposé une proposition tendant à accorder une subvention de 50.000 francs il la veuve du général Mangin et demandé que ra proposilion soit renvoyée au comité du budget. Cette proposilion est adoptée.

ENSEVELI DANS UN PUITS Montluçon, 15 juillet. :'Il. Missicux, propriétaire, 'il Lignerolles. âgé de 60 ans, était descendu dans son puits, profond de 18 mètres. Au moment où il atteignait l'eau, le mur du puits s'écroula, ensevelissant le sexagénaire.

Malgré de longs travaux de déblaiement, le corps de M. ilissieux n'a pu encore être retiré.

PETITES NOUVELLES Brive-ia-Gaiu-arde. Pendant que la Fête nationale battait son plein, un incendie a éclaté dans un pâté de maisons. Un caporal a été assez grièvement blessé.

PARis. Des malfaiteurs se sont introduits dans le magasin d'appareils photographiques et d'instruments de musique tenu par M. Marchetti, 2', chaussée d'Antin. Une somme de 50.000 francs a été volée.

RIGt. Dans la région de Toukoum (Lettonie), un violent orage a anéanti les récoltes, causant des millions de dégâts. :'IIALTE. Le navire porte-avinn llermer ave? eon armement et ses «luipomenls au complet a quitté Malle cet après-midi a destination. de ia Chine.

DEPECHES OOMMERCIALES HALLES CENTRALES

Paris, 15 juillet.

BEURRES. Tendan'e Mai-chanus Bretagne, baisse .0; centrifugts Normand, Laisse 50; centritugis L marne, baisse 30; marchands Normand-, baIsse iH).

Pour les bourres"~Mi motte, on ccte le kilo En maichaiids fiançais Nom:anjie, M à 14.50; tiretagne ll.:>0 à 14 5; en leutrifiiic» Normandie. 13 a "i6.-iO: Bretagne. 1.1 15.40: an termier français Isigny, 12.00 17..I5.

Arrivages du Jour Bcuires en mottes, 34.C45 Kilos.

ŒUFS. Tendan. e Sans Ltiangement. On cote par colis de l.ow oeufs les «Vas da Norriiandu;. a» à 610- les Hros 450 490; les gros de Bretagne, 450 500; les ordinaires. 4M à Arrivages du jour • 3J.8S0 colis ce 1.000 oeufs.. VOLAILLES MORTLS. Prix moyens Canards Rouennals, pièce, 2J-7Ï; de tenue. Il-la; oies non. velles le kilo 8.50-M.ao pigions, petits, la pié e. 2 50-5- moyens, :.a gtos, S.SJKw loulets, le kilo. Nantais. 15-18: Oâtlnal.; t-is; Bresse. 18-19; congelées. 1013.50; poules Bretagne, 10- 1S.

ARTICHAUTS. Bretons, 30-40; Paris. 50-i00. POISSONS. Barbues, 7-10; bars. 5-25: homards vivants 9-t3: lansuustts vivantes, 11}1:; maquereaux frai», gro;. 1-2: Il la 114;ne. t.503-50; rates. 0.51-1.50-. sardines salées Bretagne. 0 10 0 20; fialches. O.I5-0.3.1-; S3l«« 14-V4

FROMAGES. Port-Satut, 500-1103: camemberts Normand!», 1S0-M0; dlveis. 85-160; Llsieux, tott»î.

30-380; en .vrac. 100-350, Fout-l'ETeque, 30O-MO; ar- rivages, pâte molle. 38.845 kilo»; pal* sècne, 14.20» kilos. BOURSE DE OOMMERCE

CAFES. Tendance lourde, ventes nulles. Janv. 407.25 fév. «6.50. mars 394,25: avll 390.25, mai 382,50, Juin. incoté: Jutl. 489; août 1~3; sept. oct. 444,50; nov. 437.50. <!éc. 41.6.

9UORES. Paris, 15 Juillet. Ouverture. Courant. 218 à 918,50; août, 219- à 219.50, sept. 9ÎU: 3 d'octobre 208 à 208.50; 3 de novembre 208; tous payés; tendance ferme.

Clôture. Courant 23> à 230,50. août 220; sept. 2:0,50 à 224; 3 d'oct. 207.50: 3 de nov. 206.50 a 207: tous payés. TervJance rapprochés, ferme; éloignés, faible. Cote officielle des courtiers assermentée. ̃K2 à 223.

COTONS. Le Havre. 15 juillet. Clùture. Tendance calme, ventes 'Jio balles. Janv. 688; fév. 671; mars 673, rvril niai 67s, Juin 007. juil. 670; août 674 sept. 677. ont. 670. nov. 6'il. déc. 667. Ltverpool, 16 juillet. Colon» américains Clôture. Jutl. 13.2-2. août 13.06, sept. lî.83. oct. 12,78. nov. Iî.63. déc. 12.65. janv. 12.6\ fév. ir:.6S. mars 12 70 av. '2.70. mai 12.74. juin 12.69. Jull. 12..68. Sakellaf.dls. Clôture. Jull. 2S,60. août 27.60, sept. 26.75. oct. 25.60, nov. M.60. déc. 23,10. Janv. "2 50 tév. '!9,'aman 22.C5, av -mal-Juin incotés. New-York I:, juillet. Disponible. ?4.«5. Juillet "3 83 août Ï3 85 se- 1. 33,95. cet, 24.CS-C3, nov 24,07, dée, janv. -n.:i2-55. fév: 2:i.66. mars 23.81. av. 23.95. mai 24,08, juin. Incoté.

HUILES. De lin courant! 465. nominal: août 465. nommai: 4 derniers. iôO. nominal; 4 premiers. 440. nominal.

De cotza courant 510. nominal; août 505. nomlnal: 4 derniers, 480. acheteurs; 4 premiers. 47">. nominal.

ALCOOLS LIBRES. Courant. 670 à 690: août. 670 à 690; sPpt. 670. acheteur; 3 d'octobre. 670, acheteur.

CDREALES. Blés. Base de liquidation. 133,75: courant 1C9 7J et I59.50-. jutl.-aoùt. 1Î5.75, août 1*2 M et 12-2,25 sept.-oct. 131.75: derniers 122. Avoines. Noires courant 112..V) à 113; juil.août 105 50 vendeur: août 96,75. sept.-oct. 92,75. nominal; s derniers 93; diverses courant. 107. nominai; Jutl.-aoùt, 95. nominal; août, 92. nominal; sept.-oct 90, nominal; 4 derniers, 90, nominal. FARINES. Base de liquidation. 168; courant 168. nomi'iâl; juil.-août 165. nominal; août Kfi.- nominai: sept.-oct.. 156,0,. nominal; 4 derniers, 156,50. CAOUTCHOUCS. Courant 44.75. acheteur; août 45 acheteur; sept. 42. acheteur; 3 d'oct. 40. acheteur; nov. <o,«. acheteur; 3 de janv. 36,50 38: fév. 36. acheteur; 3 d'avril 31.25, acheteur; mai 32. acheteur.

HALLE AUX BLÉS

Paris la juillet. Les nouvelles sur les récoltes sont satisfaisantes; on ne peut encore faire d'eva.luations, quant aux productions, mais on estime. qu'en général, le rendement sera bon. La tendanc» est ferme en blés et avoines par suite de la bonne tenue des changes.

On demande aux 100 kilos, départ

Blés ̃ Beauce. Loiret, 1-29-131; Loir-et-Cher, 130; Touraine. 133 à 13»: Indre. 1M !35; Vienne. 13' Allier 13; à 13>: Cher 134 à 136: Nièvre 134 à 136: Vendée !3-J à i:;3 Anjou. Loire-Inférieure. 133 il 134; Olse. 1C6 à 128: Somme. «3 à 12.: Aisne. 124 à l'36: Nord' 120 a 12-2: Pas-de-Calais. 118 à 123;' Aube. 123 à 130- Marne 128 à 130; Yonne. 130.

Farine.. Supérieures. 160.

Selales. 103.

Sarrasin. Normands, 94; Bretons. 92; LimouAvoines. Grises De Beauce, Eure. Brie. 108 il 109; grises d'hiver. 103 à 104; noires du Centre. 105 à 106; noires et grises de Bretagne, 104: bigarrées. 100 à 101; Jaunes et blanches. 101 à 103; Ligowo, 104 le 105.

Orge Beauce. to2; Sarthe et Mayenne, 9s: Oiampaune. 98; Gatinals, 104.

Escourgeons. Beauce et Câlinais, 98.

Maïs. Disponible Dunkerque et Bordeaux, lto. Sons. Gros, 67; ordinaires, 65.

FOURRAGES ET PAILLES

Lâ Chapelle. En conséquence des fîtes, le marché est faiblement approvisionné. On cote les t04 bottes de 5 kilos environ, franco Paris suivant qualités Luzerne. 185 à 235; foin. 185 à 200-, resain, 175 il eï- fourrages nouveaux. 145 175: pa1lle de blé et de seigle. 130 à 155: paille d'avoine, lto à 135 francs.

MARCHÉS DE LA RÉGION JO'zE, 15 juillet. Farine, le? 100 kilos, 167 à 168; froment. 120 à 122; méteil. 95 il 100; seigle, 90 il 95; sarrasin. 88 il 90; avoine, 92 il 94; orge. 90 à 92; son, a0 à S2; pommes de terre, 30 à 35; foin, le- :r00 kilos, 120 à 130; paille. 110 à 1:W; boeuf: le kilo sur pied. 3 il 3.40; vache-. 3 à 3.30; vesu, 4.30 à 4.S0; mouton. 4,80; porc, il 90- beurre, le kilo en gros 10, au détail 11; œuf- la douzaine, 5; poulardes, le kilo, 15; vaches, la pièce, COU à 1.SIW; porcs gras, 400 à 600; petits porcs. 80 à 130.

NOZAT 13 juillet. Froment. 121 il 153: méteil. 106 il il 107: seigle, R9 il 90: sarrasin, Si à 85; avoine 94 A 95: orge. 91 à 92: son. 75 à 76: foin. 80 à 85 les 500 kilos: faille, loo il 105; bœuf. 3.30 il 3.00 le k.ilo sur pied: vache. 3.10 à 3.40; veau. 5.20 il 5 30- porc. 5.TO il ;0: beurre, 11 à Il.0 le kilo; oeufs 5.40 à 5 50 la douzaine; poulets. 20 il 30 la couple; canards. 94 il 38 lapins de clapier. 12 à 16 la lèce.

PONTORSON. 15 juillet. Légumes. Laitue 0.20 à 0 25- chicorée, 0.3u a 0.35; melon, 3.50 à 4.2i la livre; tomates. 2.25 à 2.75. larottes 8 à 10 tr. le cent- navets 5 il ̃ l' cent; radis. 0.25 la hrtte-. oignon blanc. 35 A 4P le,- 5o kilos. 0 50 la livre: haricots verts. 2.S0 1 3.50; i-oireaux. 7.50 à le le cent- rois A écosser ou m .nse-tout, 1.25 il 1.50 la livre- pommes de terre. 25 i 28 fi. les 50 kilos. Bétail Bœuf sur pied 1.8i il 22', la livre; vache. 1.75 à '.CO: ves-i. 2.80 à 2.05; mouton d'un an. 2.15 il 2:5 agneau pré s:ilé 9.ta à 3.90: porc. » PO A ".80- porc au poids de viande. 3.ÔG à 3.60 ~Fourra?ës Foin d enrairie. 310 à 3iO fr. les 1000 kilos- foin jf lwe-ne. 230 A 99:1: trémaine seelle. 180 à 300: paille df blé. ISO à 2'0, paille d'a.voine et d'orge 160 il 170.

Gralns. Blé 122 à 1« fr. les 100 kilos; farine, !B7 à 170- son 72 à 75: orsc. 86 à 90: avoine. 9.' à 94: sarrazin 88 à 90. tirine de blé noir. r« a -S0 Fruits. 2.N) à 2.75 au détail; pêches. 4 25 à 4.75' abricots. "9(1 à 4.25.

'volailles Poulet.. la cou'lc. 1« à 25 fr.: vieilles p-mlrs. 21 .» 28; ranards. V> à 35 les dfiU. oies. 24 "a 28 le= deux: li 5 il 6 fr. In plè e; la.pins nmvens. 10 4 12; srrs. 15 à 10.

porCc Vent- mei1 e»re Tour les noies mil<res sii:et« de :Or A 3ôo Il plè'-e: porrelets. peti:i rour' moyen. ÎHO: pi"« torts A \S\ forts. 1:,0 à ICO n'rns pras difflrl.e» à truvfr

BCnrre Peurrj s-ai*. 6.r0 à 6.75 ta livre au début. pin» 6 a 6.2: cc-U'«. 4.75 à 5 5o la douzaine. C\RENT N. 13 Juillet. Bœufs et vaches. f\0 les 100 kilos-, taureaux. 975 le* KO kilos-, veaux, 4iO le kilo: porcs. 4.50 le kilo: urneaux, 7. ^mouillante». 2.*v> à 2900 par tête: vaches lattières 2.500: Unisses. 1.3<vi à 1.S50; jeunes veaux. 250 il 270; petits porcs. 263 à Ï80: porcs maigres. Beurre, 14 fr. le kilo: œufs. 5.75 la douzaine-, poules, la couple. so i M: poulet. 28 il 3?: pigeons. 10 à 1?' canards. P.0 à 3ô: petits lapins. 5.™ à gros lapins. '.0 a 20: dindes. ICO à 100: pintades. Artiahaut? 1 il aspenres, 4 il 0 la botte: radK 0» à 0 DO la botte: carotte*, ornons, navets, O.r.0 à" 0 60- choux dlvers, 0..V) a O.7T.; chicorée o.:o à 061 la tete: laitue. 0.20 à n3% bananes, c. à o.GO. fralses. 6 fr. le kilo: cerises. 2.50 à 3 la livre: abricots. 4 la livre: poches, tu francs le k·lo: choux il planter. 3 a 3,:o le cent.

Quantité de poissons de toutes espèces plies, l.aO A3- t raie:. 10 à 15 coiWes. roussettes, chiens de mer. barbues soie", limandes angines. Saint-Pierre. etc.. I.un'li prochain petit marché.

PORTBAIL. 15 juillet. Beurre- le kilo is.80 i 13 5(1- œufs, la donz. 6.50: poulet%. Il couple, "9 a's-i- canards. 27 à 30. la.pins «ras. la pièce. 14 à 19; lapins d'élevage. 4.50 à G: petits po-cs. la pièce' IV» à IOO: choux il planter, le cent. pommes de terre. le donble litre. 1.50.

LA HAPE-nr-PUlTS, 15 juillet. Gratns on cote aux l<X» kilos froment. 118: maïs. rM; orge. fO- sarrasfn. 115: avoine. 115: foin, 25 a 3S; son. 80: volaille, la couple poules grasses. 32 à 36: ole< 36: canards. S8 à 30; dinde. 6a à G5; beurre. 13 à 13,50: lapins rrrus. la plôce. 15 il 18; pigeon». 6 à 6- oeul» la douzaine, 5 à haricots verts

3: asperges. 2; carottes, 0,30; oignons, 0.20; nav«tt, 0.15; polieaux 0,25; porcs de lait, la pièce. il» a 100 francs

LES POMMES DE TERRE

Marché tel Innocents. Marché de lendemattt de fêtes c'wt-a-dlre r-raque nul. Les prix sont en baisse très senelble. leu arrachages e généralisant et la production .s'affirmant abondante. On cote les 100 kilos au départ Salnt-Ma!o\ 42 à 46; Paimpol. 43 à 47; région de Parte. 50 à 54.

PUMpol. 15 juillet. Faibles arrivages Les po-n.mes de terre ont été cotées aujourdhul de Il à 18 fr. 50 les 50 kilos.

Saixt-Pol-de-Leon. 15 juillet. Ce tnatin, les pommes de terre ont été cotées de 30 32 nr. lenoH!?-BRETAONB. 15 Juillet. Il a été amené aujourd'hui place du Champ-rie-Mars 41 OWrenés, portant 713 paniers. Prix moyen la ̃ 20 fr. les 50 kilos. 'Sunt-Malo, 15 Juillet. Arrivages peu important? sur le marché de Rocabe}-. On a payé les 50 kilo- 18 et 18.50. pour revenir Il 18 en fin de marché. LES ARTICHAUTS J Sm-T-PoL-DK-LEON. 13 Juillet. Aujourd'hui le! artic-haûu ont été cotes de 100 a 140 francs le quintal. j

Les Auditions Radiotélép niques d'aujourd'hui

RADIO-PARIS

1.730 m. P. 1=00 W.

12 h. 30. Radio-concert Lu,len Paru 1. Marchf roumaine IL Garnie); 2. lUu'ion. valse iWaldteureli- 3. Souvrnir, solo de violon (Drlay 4. Le Chant du Muletier 'M. Pesse); 3. La Lettre de .lanun <E. CHllet): 6. Chant du soir, violoncelle (Schumann) 7. MU* Cocktail, fox-trot (P. Llnke); ] 8 Votan, ouverture (C. Fletter-Salahert) 9. V Amoureuse Sérénade (Flllpucei) 10. La Précieuse, solO i de violon (Coiiperln-Krelssler); Il. Suleika, d»Me orierwale ;L»nsrloli-Weyts) 12. Menuet de Prln- temps 'A. Caprt); 13. Chant élégiaque, solo de vloloncelle (Delune) tf. Chevauchée Cosaque (F. Fourdrain); 13. Mignon, trio (A. Thomas -Aider), j 13 h. 4, Racllo-pommunlqué gastronomtque, par M. Du'mont, de Culima. Extraits des journaux de la matinée. 16 li. 45. Radio-concert pour lei enfints.

°0 h. 15, Radlo-commu'nl<}uê en esperanto. Radlo- j communiqué de l'écran. 30 h. 45. Radio-concert organisé par Radtoi TOUR EIFFEL

S.650 m. H. o.U00 w.

19 h. t5, Radio-concert, avec le concours de Mme Ke:iy Delorme. cantatrice sollsto des Concerts de Parls; Mme Sornet-Dretz, harpiste, t·T prix du Conservatoire; Maligne Le Teissier, violoniste» Oervllle-neache, pianiste; Andrée TeysotMiière, planlst« de la Schola Cantorum; de Ni. Paul de Llgn4«, basse chan.tante. soliste des Grands Concert; Clusiques ai M. J. Cm'net. secrétaire général de Radio-Olub de France Les Chérubins (Couper»), violon et piano, par Mmes %[aligne Le Telssler st Geirville-Réache; Le Nautonier (Sohu-bert) chant par M." Paul de Ugnls; yoTdischa. ballade (PoêtU»), pour harpe Erard, par Mme Sonnet-Drelz; Air de Don Quichotte (Massenell. par Mme Ketty Delorm»; Andarae et .Menuet des Grâces, extrait de Ariane (Mas*eneu. violon et piano, pir Mmes Mallgn» Le Telssier Gervllle-Réache; 1.e Postillon 4» Lonjumean (Adam), par M. Paul do Ltgnls; Choral et Variajions (C.-M. Widor), harpe Erard et piano par M*e Sonnet-Dreu et Mlle Andrée Teysonnlère;*Tous pleurez en filant (Raoul Leppau). p« Mme jWsiy Delorme; Concerto romantique (Godard), Gervllle-Réartie; Séraphine (Emile Nérlnl). chaaJ par Mme Ketty Delorme; La semaine radlotél6phoalque, par M. J. Qutnet.

P. T. T

158 m.

30 h. 30. Cours d'ESperanto,

21 heures. Chronlque du Cinéma, par M. Hsrlé. 51 h. 15. Trelaieme causerie de N. Eugène Jacob sur Molière, sa vie et son oeuvre. L'.Ainphytrton et Georges Dan dm ou le mari confondu (1698): Collaboration de Molière avec Lulll; Audition dea principales scènes.

LONDRES

365 m. P. ,.a00 W.

13 Il li heures, Signaux horaires de Greenwloa. Gramophone. concert hebdomadalre.

13 h. Emisston pour les éooles Les monarques de Shakespeare. Dacs shakespeariens. IG heures, L'Habitation aur Indes, causerie; concert relayé du Trocadéro. Récit sur les cinq Cgit de l'Histoire.

13 houres. L'heure des enfants La Fuite du Dragon: Histoires d'animaux dit y a cent mille au; chansons.

18 h. 30. Lettres d'enfants.

13 h. 40. Concert.

19 heure.. Signaux horaires de Big-Ben et premier coniinun-iqué d'infornratiotH srénérales tranîmis par touKs les canons. Cours des marcû*», tran~mls par toutes les slation*.

19 h. 15, Conversion en français, sou» les auspices de rm*iliui rrançals, transmis par toutes le.: siiations.

.19 h. 30. Concert transmis par toutes les stations. Belfast excepté.

19 h. 40, La chasae la loutre, causerie transmise par tome* les «talions.

20 heures. Mélodies nègres. Solos de guitare. 21 heures. Sonate pour violon et piano, n° 2 en la majeur <B»ch>; Andante aUéi/ro assai: Andante an poco; Presto; Pour une violette, chant; Commt tu es bnnne et gracieuse ma reine, chant; Sérénade, chant (Brahms); Rapsodie pour violon et piano (Muriel Herbert); Capri, suite pour piano tVan cle-n Stlartenhor*; M-eyer); Faragiioni; Alla .1ladonna illuminala; Annrapari; Crotta dei SanH; Le Narcisse des prés. Miaru c.rohn lrel»nd>: Ltf8 Xnlades, chant (Ciranville Bdnucki; La Jeune Fille, chant (C Il Il. Parry) Sonate pour violon et piano (.rthnr Benjamin); Scherzo (dans le style ancleni, romie.

52 heures, Signaux horaires de GreeOwlch. Ptévteions met-eorologlques et deuxième communluué d'informations générales^ tr»n«m« par toutes les stations. Sujet (le causerie. transmis par toute» le* :?;ru ionô. Nouvelles locales.

̃3J IL 30 il 23 h. 30. Conrert relayé du Savoy» Hôt?l, tran-jmli par toutes les statlon5.

CHELMSFORD

t.600 ni. P. t5.o0ft w.

10 h. 30. Bulletin météorologique.

ls heure? a il! heu-rus. progranvriK de Londres. Su heures. Une heure d'humour.

21 heures. Musique militaire relayée de Weinb!ey.

se heured i 23 h. 30, Ptrogratnme de LonJrjg.


Université de Hennés

LES BACCALAUREATS

Candidats définitivement admis

1" Partie Latin-Langues

Anciens admissibles. Mlle Ancreli MM. Avec da Bellevue, Bréal, Mlle Brune], MM. Canonne. Chuberre. Mlles Gombert Goniftix. Mlle Haize.M.U Crane. Mlle Le Gros M Ptiïrnian, MM Renon, Salaün, Schleiter. Aille .Simonet. Ml!e Vincent. MM Vinousse Lerouge.

Centre de hantes. Mlle Acasfe, MM. Aubin. Aulouêt, Ballereau

1" Partie. Sciences-Langues vivantes Anciens admissibles. MM. Bldeau, du Bois, Mlle Chalevsiin. MM. Cousinet Crestois, Gestin. Hélies. Hénaff, r.aouénan. Le Dall, SoL Alix, Le Toiser.

Centre de Santés. il Allain. Miles Balut, Barbotpau, MM. Bidet, Bigot. btlle Carlu. M. Caux, M. riirnn. Milp r.hevillottp M Gautier

Il Partie. Philosophie

Anciens admissibles, mm. Aumônier Cottin, Delamarre. Elfray. Lelong, Le NaëloU. Le Rour, de Miollis, Tassin. Bonamy, BoutemY, Busq«et de Canmont, Parsel, Delmas, Flatrès. Georges de la Nassonnais, Guézou. Herrouet, Legar.s, M. Potet, Mlle Prime, MM. Ronaatit. Servat, Cormier.

21 Partie. Mathématiques

̃*n««is admissibles. MM. Andouard, Belliard, Blarez, Dagorn, Chatte, Cloarec, Héraudeau. Le Marchand. Rlchou. Cocheril. Deniaud, Furhs. Jardin. Lalys, Mlle Lemétayer. ECOLE DE PLEIN EXERCICE

DE MEDECINE ET DE PHARMACIE DE RENNES

EXAMENS DE MEDECINE

Session de juillet

Ont été reçus

Premier examen de fin d'année. EpreuCwdrav mention passable Charpentier, Troisième examen de fin d'année. Epreuves pratiques, mention bien Le Cun énreuv«6 orales, mention assez bien Le Cun. Examen de 20 année de sages-femmes. Mention assez bien Mme Baque.

LA MORT AFFREUSE

D'UN SCAPHANDRIER BRESTOIS A TOULHARS

FJalCrUhZ'h Voici quelques jours, l'OuestEclair relatait les circonstances tragiques de la mort d'un vieux scaphandrier. Un aceident identique est encore à enregistrer. Ainsi que nous le signalions hier en chroœa^fei-rilliiu^r^r Dévastation, échoué devant Toulhars. Au cours des travaux dont ]'Ouest-Eclair a narré les phases, un scaphandrier originai-

re de Brest. M. Jacques Seillour, avait été chargé d'opérer une descente. Hélas 1 pendant son travail, un terrible événement se produisit le malheureua. constata en effet, avec terreur, que la conduite d'air caoutchoutée venait de se coincer sous une roche. C'était l'as8hyxie qui guettait l'infortuné travailleur. Que faire ?

Le malheureux prit une décision énergique et rapide couper l'amarre qui le retenait au bâtiment et il remonterait à la sutface. Cn qu'il flt. Cette manœuvre hardie faillit réussir. Il remonta bientôt à environ deux mètres de la surface mais, engoncé tans ses brodequins plombés, son casque de bronze et son pesant appareil, il replongea dans 1 abîme.

Un autre scaphandrier se précipita bien 4 son secours, mais, hélas 1 l'asphyxie avait fait son œuvre et comme dans le précédent accident du Viaduc du Scorff, ce n'est qu'un cadavre que l'on sortit des flote.

La veuve du pauvre scaphandrier habite Port-Louis, rue de la Marine.

Nous prenons part au malheur qui l'atteint dans ses plus chères affections. LES PIGEONS VOYAGEURS ÉGARÉS

Ont été trouves

A Soulgé-le-Buant (Mayenne). Un pigeonvoyageur avec bague caoutchouc N« 610 et 334 et une bague en cuivre .V 1341 N U 1998 C. Aile gauche, Frizigton HG Cumberland 15. So^le^rutn'ï1 Renazé, «««Iwhampetre à A Pontorson (Manche). Un pigeon avec bague caoutchouc No 178, bague aluminium TH 443 NURP 24. S'a:dresser à M. Tesnières. meubles à Pontorson,

A Montchamps (Calvados). Un pigeon NURP 23 L j!,3 à la patte gauche, bague caoutchouc 858 aile droite, WMBK aile gauche, Healhfleld, Susses

S'adresser à M. Launay, Nfontchamps. A Sains <nie-et-Vilaine). Un pigeon portant bague caoutchouc S" 427 U bague aluminium, NUHP 2' BNV 67 toutes les deux à la patte gauche.

Le réclamer chez M. Bienvenu, bourrelier au bourg de Sains.

A -Plouèc (Cotes-du-Nord). Un pigeon SnrUa patte droite un anneau caoutchouc mînium^NURpVBS gauche. un anneau alui^hh^T/^ M. Louis Hamon, gérant de la Solidarité Trécorroise à Plouëc.

A Saint-Alban (COtes-du-Nord). Un piReBn"l2°19'f Ur portant les marques 826 Y et Le réclamer à M. Jean Briand, chez NI. Lassalle, au bourg de Saint-Alban.

A aiJ>pierrfie-Ples9uen (hle-et-Vllaine) Un pigeon portant aux deux ailes N U f. M à la patte droite. bague métal Nuip Sa^eOipéClàHeratMme VXe Jean, établissement Ssa\oie, à Saint-Pierre-de-Plesguen.

A Saint-Suliac (Ille-et-Vilairïe). Un pigeon-voyageur portant à la patte droite une bague aluminium avec l'insçription suivante ?am. caoutchouc rouge avec l'inscription suivante °^îhuv leï3 deux l'inscription suivante :sS^rt^5J<orR*00(1- FJying Cil»», Libpffiac* Mére' maire de Str^.C-i^Çric- Vauxbelets Guernsey Frères. Ec. Prix modérés. de France- Sans:

M. BRUNEAUX,

ancien chef de notre musique municipale, est nommé directeur

de l'Ecole Nationale de Musique de Saint-Quentin

Nous avons le plaisir d'apprendre que M Bruneaux, l'ancien chef de notre Musique municipale, vient d'être nommé au poste très important de Directeur de l'Ecole nationale de Musique de Saint-Queiftin

Le choix de -NI. Bruneaux est pour lui d'autant plus honorifique q-3 plusieurs chefs de musique militaires et civils étaient candidat6 à la Direction '3 cet important établissement d'enseignement. Le jury du concours était préside par M. Marc Delmas, Grand-Prix de tîtr^c6 ce jury s'est ba6é a la fois sur les titres Cl te •' candidats et sur leurs com- positions musicales.

Rappelons qu'avant d'être chef de la Musique municipale de Rennes, M. Bruneaux était chef de musique de l'artillerie du »• corps d'armée; il avait été nommé de 1" classe Chevalier de la légion d'honneur depuis janvier 1916. M. Bruneaux était en outre ofnuSrvcXi 1'Instruction publique et titulaire de la ^Médaille commémorative de la Grande Sous n'apprendrons rien aux Rennais en disant que M Bruneaux jouissait parmi nous £JLfyr"r;,allYe générale. Il avait donné sa démission de la « Municipale le U juillet t«nt. à la suite d'une regrettable cabale trente musiciens ssulement. sur un effectif d environ soixante-dix, étaient venus pour le service de la "te Nation!'lc. et le très di6tinfef chef de musique orut devoir abandonner ses fonctions, Rrand regret de tons nos Le succès qu'il vient d'ohtenir «s« une magnifique compensation Nous prenions à Ni. Bruneaux nos plus sincères félicitations.

CIRQUE BUREAU

Le Cirque BUREAU qui a le don chaque et,.née de nous présenter une troupe nouvelle avec plusifurs numéros sensationnels nous WTive pour une période de G jours seulement, du Samedi 18 Juillet au jeudi 23; .lemain à cette n place, nous pourrons rlonner des détails sur la composition de sa formidable troupe qui lui vaudra (le refuser du monde. REUNION ELECTORALE

L*6 électeurs du canton Nord-Est sont invl- te» à awiner re qoir jeudi, à 8 h. 30, café cours de laquelle M. Le Douarec, député, conseiller genéral du canton. «Pi«» son Le Comité électoral.

EN PASSANT

Tristes

Hier, David, boucher à venait chercher 1e docteur Jambon; on avait besoin du praticien pour un accouchementJambon montait aussitôt dans 1 automobile du qui prenait la La voiture arrivait ait lieu dit Tournebride, lorsque sept huit jeunes gens, qui rentraient vers la ville, ne trouvèrent rien de mieux que de la,pider les occupants. Ceux-ci heureusement indemnes de cette aventure et purent poursuivre Mais les tristes ne devaient pa- juger suffisant leur amusement stupide. En effet. au retour. en arrivant à de le faillit faire panache une barrique de goudron avait été placée en travers de la Seul le sanR-frotd du conducteur put éviter un acciNous espérons enquête minutieux tes conpables et de Jeur faire payer cher leurs exploits inadmis-

LES « VIGILANTS L'HONNEUR somme;. heureux de souligner les hrillants résultats obtenus au concours régional de gymnastique de l'Ouest il Lorient, les et juillet, Les Vivants Concours imposé première division;tes prix d'excellence', spéciaux adultes, prix concours imposé, pupilles. prix d'excellence; concours spéciaux pupilles, championnat artistique, fil cham-

La rentrée le courant Départ de la gare à h.

MATINÉES & SOIRÉES Galipu-x r.«(NEs. Calipani v|«tvt à la Iln dp la itmtUit. Il »mwprèt«ra Sa d*rnit.re création î™ = "owa de Lison, ramusan»* semble avoir écrite annonepr Qu'il

PAS DE FILM A EPISODES

LA GALERIE INFERNALE

ChAUD CRAME

L'HEUREUX ACCIDENT

Com^dip avec Tom Moore

PLUM AUX BAINS DE MER

Comique avec Monty Banks

LE FEU DANS LES CAVES DE L' ECONOMIQUE » Hier après-midi, vers 13 h. 45. un incendie du à 1 imprudence d'une ouvrière, s'est déclaré dans l'une des caves de la Société Économique, dont les bâtiments s'élèvent rue de la Glacière. Voici dans quelles circons- tances fut découvert et se propagea le sintoIl était 1 h. 30 environ, les ouvriers venaient de rentrer et déjà, dans l'usine, chacun vaquait il ses occupations.

Vue. ouvrière, Mme X. fut envoyée dans une cave pour y chercher quelques bidons d'huile à machine. Mme X. exécuta l'ordre qui lui avait été donné elle prit une bougie, l'alluma et descendit dans la cave.Afin de rendre libres ses mains, elle posa sa bougie sur un tonneau rempli d'huile. Elle se chargea des bidons qu'elle était venu chercher, puis, abandonnant là sa bougie allumée, elle remonta et quitta la cave. La flamme de la bougie atteignit alors quelque morceau de bois ou de ficelle imbibée d'huile et pen après le départ de Mme X. des employés aperçurent des flammes, cependant qu'une épaisse et âcre fumée s'échappait par les soupiraux de la cave incendiée. Dans cette cave, que déjà éclairaient de sinistres lueurs, se trouvait un important déput d'huiles comestibles et d'huiles à machine. Au milieu de ces matières inflammables, le feu allait trouver un aliment facile. 1. alarme fut donnée, tandis que les pompiers étaient alertés par téléphone, le perasonnel de l'usine, sous la direction de M. Sordet, administrateur, organisait les premier secours. Avec un zèle et une ardeur dignes des plus beaux éloges, les ouvriers entreprirent la lutte contre le feu. Leur action fut efficace et grâce à leur heureuse initiative et à leur dévouement, le fléau fut circonscrit. Lorsque, en toute diligence, arrivèrent les pompiers. ceux-ci n'eurent .plus qu'à noyer la cave incendiée. Déjà, lors d'un précédent indendie. on avait pu remarquer l'excellente organisation du service particulier d'incendie à t'Economique.

Sous l'habile direction du commandant Besnard et des lieutenants Limeul et Bougouin, les pompiers ne tardèrent pas à se rendre maîtres du sinistre. Branchée sur le Canal qui passe à l'extrémité de la rue de la Glacière. victoire la pompe automobile, déversa à pleins tuyaux des torrents deau dans la cave en feu et bientôt tout danger fut écarté. A 15 heures 30 tout était fini. Les pompiers ramassaient leurs tuyaux vidaient la cave incendiée, rassemhlaient leur matériel et s'apprêtaient à regagner leur caserne.

Sur les lieux de l'incendie nous avons remarqué MM. Bahon, maire de Rennes; Le Bihan, commissaire central; Sordet, administrateur de la Société Economique; René Loyer banquier le lieutenant-colonel Croll, commandant le 4le R.T.C.; MM. Kastler, commtssaire de police; Onnée, chef de la Sûreté Verdier, officier de paix, etc.

Le service d'ordre, organisé de façon parfaite par NI. Le Bihan, commissaire central M. Kastler, commissaire de police du 3* arrondissement et le capitaine de gendarmerie Tanguy, était assuré par différents pelotons des régiments de la garnison, des agents de la police municipale et des gendarmes de la 10e légion sous les ordres du chef de brigade Mauglais.

Les dégâts, purement matériels, s'élèvent à une vingtaine de mille francs.

On réclame.

On nous signale le manque de rapidité avec lequel les appels téléphoniques parviennent au poste des pompiers. Hier, M. Sordet ayant demandé au « Central » la communication avec le poste des pompiers dut quoique ayant fait part du motif de son aprel, attendre six minutes.

Six minutes, et M. Sordet nous affirma avoir contrôlé montre en main. C'est évi demment beaucoup trop.

SYNDICATS & SOCIÉTÉS SïuiactT Ki Ouvrier* DU Batimot DE Rexxts caienri'«erS ? "'anœurro? !u Mtlment. toutes catégories, sont priés da«i£tcr à Ja réunion générale qui aura lieu le jeudi w juillet, il 8 h. M s,lle de la Maison du Peuple, rue St-Louis Ordre *u jour lny°rlant Les cour; techniques; la f-eglemerwatton des heures de travail- la maind'œuvre étrangère, frésence imiispenjable. Société Rensuse DE T. S. F. Réunion des membres de la Société, sanfedi .prochain, j8 Juillet, & 6o A*' au Siège social. Ecole Jean-Jancier, place Nota: La Société no se réunissant plus d'ici le mois d'onnbrc, prière de rapporter les ouvrages et publications actuelement en mains. DE Ll MCTALLonciE. Le Synikat de la Métallurgie de Heine» prie ses adhérents d'assister à la réunion qui aura lieu le vendredi 17 cou.rant à la Maison du Peuple, rue Salm-Louls Ordre du jour situation générale: r.ie:ur«s à prendre; avis divers. {'omviu'Htiuèi

EXPLOITS D'IVROGNES. Fier soir trois individus en état d'ivresse se présentèrent au débit tenu par M. Macé, 96, rue Saim-Malo et demandèrent ù boire. Avant constate l'état d'ébriété de ses clients, M. !\lacé refusa de les servir. Fnrieux, ceux-ci commencèrent à insulter le débitant et. l'un d'eux s'étant saisi d'un tabouret, le jeta sur une étagère où s'alignaient, en bon ordre, bouteflles, verres et bolées.

Ayant accompli cet exploit, les trois ivroghes prirent la fuite. M. Macé a déposé une plainte. M. Kasler. commissaire du 3' arrondissement, a ouvert une enquête Grâce an signalement précis qui lui a été donné des trois Irascibles buveurs, il ne tardera pas sans doute à les arrêter

ETAT-CIVIL DE RENNES

SHOtUtCtT

15 Juillet. Pierre Cille» rue Amiral-Courbet: Raymond Brigroii. rue SalM-HtlIrr. HZ; Bernard Carreau, c.inal Saint-Martin. :!3: Michel Brmon rue Alexnndre-nuval: Posent rue Clñjruené. Jean Gulllon. t>lae« du B»»-J«»-Ll«t* 12: Georges Leniajson. ru* 7; J«ari aillais. canal Saint-Martin 3,.

DF.U»

1; Jiiilfct. Victor Honédry. s. p. célib. M ans. Pontchafllou; Vve D«bon. née Rima«*>n 81 ang, H3tel-Dleu; Jotéphlne GUlnchard s p iélinatal», 86 ans. rtU de Paris, 129; Aristide Trotoux, cbarretier, marié 57 ans. Hôtel-Dieu- Mme Le Gallic. née Hamon. Si ans Hntd-Dieu- Théophile Aubrée. propriétaire, veut. 8j ans rue Nantaise. •»: Mme Colllimon. née Gibnrtl. 47 ans, bou.levard Volney, ?i.

MONUMENTS FUNERAIRES

OOBTUAt Frères PLEURTUIT

Convois mortuaires

du jeudi 16 juillet

10 heure! M. Trotoux, Hotel-Dieu, Est.

EÎA.T-CIVTI.. Naissance. Debrotie Alt»rt!ne, rue Nationale.

Mariagts. GullUudcux £mile, cultivateur A Saulnlères et Gabier Marie. cultivatrice i CorpsDécès. Rréth:.n Paulns. 15 ans. s. p., boulevard Gambetta.

Boistrudnn

CONCOURS DE TIR. Dimanche 19 juillet. concours de tir à la carabine.

SUCCES SCOLAIRES. Les enfcmTfd?dn'os écoles libres viennent de remporter un brillant succès aux différents examens qui ont couronné l'année scolaire 19Î4-1925. Tous ont été reçus et avec mention. \'ou«., avons pour le? certificats ecc!é3iastlqiw et officiel les premiers du canton

1° Certificat d'afjrlcidture (degré élémentaire). Fttles 5 sur 5 Yvonne Lerav Berthe Godet, Marthe More). Berthe Potin, \ladeleine Vallée.

Garçons 1 :ur 1 Marcel Aubin.

Degré supérieur. Garçons sur 4 Constant Crocq, Pierre Co:iot. Victor Chevet. Afaxandr? Judéaux.

2* Certificat d'études de l'enseignement libre. Tous reçus filles Berlhe Godet et. bien) Marrtie More). Berthe Potin. ltadeleine Variée (bien). Garçons .exandre Judéaux (Irvs bien) Roger Gautier, Victor Chevet, Marc-ri Aubin fbien).

31 Certificat officiel. 5 garçons sur 5 Pierre Colliot (très bien) Marcel Aubin, Victor Chevet. Contant Crocq, Alexandre .Iudéaux (bien!.

Toutes nos félicitations à Il. Morin. dlrectear de -l'écule libre et aux institutrice» Ilbres.

CUIPEL

LA MORT SUSPECTE

On se trouverait en présence d'un décès naturel

Le 12 juillet, l'Ouest-Eclair signalait à ses lecteurs le décès suspect de Mlle Madeleine Raflray, 54 ans, qui habitait à la Béguetterie Le 3 juillet, on constatait sa mort. Dans sa maisonnette très isolée, on venait de la trouver inanimée. Le permis d'inhumer délivré, l'inhumation avait lieu.

Mais quelques jours plus tard, la gendarmerie, émue par certaines rumeurs, ouvrait une enquête et découvrait au domicile de Ja défunte de nombreuse* traces de sang. Samedi dernier, le Parquet de Rennes se transportait à Guipel. L'exhumation avait lieu et venait confirmer les « on dit ». Les vêtements et le visage de la morte étaient maculés de sang. Il paraissait évident que Mlle Raffray avait succombé à une fracture du crâne déterminée par un coup criminel.

ltais, mercredi matin, une seconde descente de Parquet avait lieu. M. Dépret, procureur M. Poret, juge d'instruction; M. Tallerie, greffier, accompagnaient le docteur Millardet qui allait procéder à l'autopsie. Celle-ci devait faire abandonner l'hypo.thèse du crime. En effet, aucune fracture du crâne n'était relevée. Tout ce sang remarqué provenait simplement d'une hémorragie nasale qui avait du précéder de peu et entrai.ner le décès de la quinquagénaire.

L'information ouverte n'est d'ailleurs pas encore close, mais cela ne saurait tarder maintenant.

Nous avons cité divers témoignages recueillis par la gendarmerie. Ils permettaient simplement de connaitre que Mlle Raffray vivait en mauvaise intelligence avec ses voisins, comme Il est si fréquent à la campagne.

LIFFRE

L'ELECTION

AU CONSEIL D'ARRONDISSEMENT La candidature antieartelUste de M Boullé cultivateur à Liffré, posée au dernier moment, est très bien accueillie.

Les principaux meneur; se démènent et font marcher les sous-ordres porteurs de fausses nouvelles.

Les électeurs se sont déjà aperçus de leurs manœuvres et ils savent bien que tout va être mis sur »ied pour les tromper. Mais les cultivateurs, les commerçants, les ouvriers sérieux et tous les hommes d'ordre montreront qu'ils en ont assez de la dominalion des politicailleurs qui veulent leur imposer des candidats dont ils ne veulent pas. comme ce fut le cas en 1911, en 1919 et en

TRIBUNAL CORRECTIONNEL. Acquitte- ment. M. Joly, négociant en chiffons, demeurant à Louviene-de-Bais, était incu-lpi', su; des dénonciations calomnieuses, d:avoir soustrait .afférents objets aux mines de Semnon. Le Tribunal l'aequitK> et le revoie des fins de la plainte sans dépens. M' Bonnier, défenseur.

DANS L'ENSEIGNEMENT. Mme Chesnourinvet. inspectrice primaire de l'arrondissement de Vitré, est nommée en la méme qualité à Cpâteaudun.

Mlle Bourgis, direc'rice du Collège Sévigné, est admise à faire valoir ses droits à la retraite.

ACCIDENT DC' TRAVAIL. Victor Lemesle. ouvrier fourreur, à Vitré, chemin de Chaplet, en chargeant un fut sur une voiture dans les Etablissetnents Louais, s'est fait une blessure à la jambe droite. Le docteur Martinais lui U ordonné un repos de huit semaines. LA. FOIRE. C'est aujourd'hui qu'a lieu a Argentre-ilu-Hessis, la seconde foire annuelle dite du « troisième jeudi de juillet p: Nul doute que, comme les années précédentes, elle n'attire un grand nombre de marchands et de cultivateurs de la région.

A LA COUR D'APPEL DE REIYNES Un joli trio. Le 2 juin dernier, le Tribunal de Fougères condamnait il 8 mois de prison la femme Hamon Joséphine, 29 ans, et le nommé Levêque Pierre, 2- ans, pour vol et à 4 mois de pris.on le nomme Volonzac Auguste pour receJ.

Il s'agissait d'un vol de -1.700 francs, commis le 17 mat dans une chambre par Joséphine Hamon et Pierre Lévêiwe au "préjudice de l'amant de la femme Hamon.

Après plaidoirie d? M. Veaux, la Cour confirme les peines de la femme Hamon et de Volonzuc et élève à 13 mois de prison la peine de Levêque.

LA FETE NATIONALE. La Fête nationale a été céiébrée mardi avec le programme que nous avions annoncé. Le midi un banquet eut lieu à l'Hûtel du Lion-d'Or sous la présidence de 'NI. Beauchef, maire et conseiller général. Environ 80 personnas y assistaient notons au hasard MM. Donnio, président du Tribunal Suzanne, procureur de la République Magnae, lieutenant de gendarmerie Hfrbert, receveur de l'enregistrement nonnrlière, percepteur Very, entreposeur des tabacs Klein, directeur des écoles Dutay. ancien conseiller d'arrondissement 'l'he2é, adjoint au maire plusieurs conseillers municipaue et fonctionnaires les membres de la musique municipale et les sapeurs-pompiers. Au dessert un seul toast fut porté par M le Maire de Montfort.

f.'après-midi eu lieu la revue des sapeurspompiers puis un concert donné par la musique municipale dont le chef NI. Béru m deux des membres, MM. Thorel et Ccupu, reçurent la médailie des musiciens comptant trente années de services, et qui leu. avait été décernée il y a quelques semaines.

A la salle des fêtes eut lieu sous la présidence de M. le Sous-Préfet de l'arrondisee.ment la remise des médaille de la famille française aux personnes ci-après qui avaient été convoquées par les soins de la Sous-Prtfecture

La médaille d'nr fut remise :r Mines pougeani, née Catheline, d'Iffendic Chesna! née Persais, -le Montfort Dmnairie, née Hardy, de Montfort; veuve Even, née Dau^an de Montfort veuve FonviUe, née Vauceile' de Bedée Vlacé. née chenedé, d'Iffendic Ramel, née Fonin, d'Iffendic Rnsais, née Leduc, d'iflendic.

La médaille d'argent à Mmes Boscher, née Chevallier, du Verger Ucomte. née Lucas, d'lffendic Aubert, née Quenouillère de Romille Bohanne, née Lefeuvrc-, de Montauban Chollet, née Sandrais, de Muel Gros6et, née Belan, de Bécherel Guillard, née Pinel, de Jluel Pinault, née Maser. de BroLa médaille de bronze à iMmes Bouget, née ̃Mouazan, de TaJensao Cœurdray née Gtt1mard. de la Chapelle-Thouarauit Even, m-» Houée, d'Iffendic Vve Hindiv, née Raffrav de la Çhapelle-ïliouaiaiilt Vve Pain, née Renars, de BreteU Levrel, née Maudèt de la Chapelle-Thouarault; Maudet, née Gugnard, de la Chapelle-Thouarautt Renaudm. née l<ayet, de la Chapelle-Thouarault Bain, née Lt chaux, de Bécherel Balluais, née Baudais, de Hernie Vve Bougeard, née Bohucn. des iris Brandily, née Daucé. de Béchere! Coupé. née Briand, de Bécherel Danois née Gauvain, de Saint-Méen Ernest, ne-' Ferec de Montauban Vve Gabillard. née Briand. de Bécherel Vve Huré, née Guiblin, de SaintMéen \ve Lohat, née Gacel. du Boisgervilly; de Montgermont, née Legeard de la Dy-riais, de Saint-Méen Perrigault, née Delacroix, de Eécherel Taxé, née Huet, de Saint-Méen valais, née Dclahaie, du Boisgervillv

La fête se termina pas l'illumination du boulevard du Tribunal avec bal champêtre

LA FETE DU JUILLET. 1-4 fête qui avait lieu dimanche avait amené ce nomvisiteurs les courses de chevaux notamment ont été très suivies.

Courses de bicvclettes communale ler Bobet, 20 Ichbard, 30

Régionale ¡or Doniau et 4e Ichlard.

Courses de chevaux communale lerquer, 21 Ramel, 30 Pihuit,

Régionale au trot, 9 partants ¡or E.. 30lier, David V

Au galop ¡or 2e David Itfendic 3' Bouvier. Lorand, ;)0 Rastel,

Palets Jalu, Rennes lire:dic Saint-étalon 4e Demay,

L'élection au Conseil général

Nous recevons, avec prière de l'insérer

communication de l'appel suivant adressé aux électeurs du canton de Saint-Méen

Les 60usiigiiés républicains libéraux, pro-

Kessisies et démocrates du canton de Saint.Meen prient instamment tous les électeurs de ces croupes, qui sont la majorité du canton, de voter tous, sans exception, pour M de Montgermont, muire de -Saint-Méen, candidat républicain libéral, a l'élection au f.onseil général du 19 juillet centre M. de Teuannes radical-socialiste, conseiller sortant, ferme soutien (tu cartel dc-s sauefies. lequel, depuis le 11 mai ]9ê4, n'a cessé de faire monter le coût de la vie, et cne tous les jours dés impôts nouveaux, notamment de très lourdes charges sur les bi-néflces de nos cultivateurs. voter pour M. de Tersannes, c'est voter

pour le cartel des gauches

oter pour M. de Montjçermont, c'est voter

pour la .Republique nationale de Mfflerend. qup NI. de Mom.irermont a toujours soutenu» de toutes ses forces

Vive le canton de Saint-Méen 1

Vive la République t

Rouxei, maire de Qnwlillac Simon, maire de Saint-Onen Mercerie, adjoint au maire

du Crouais Béliard, premier adjoint au

maire de

deuxième adjoint au maire de Saint-Méen-

le-Grand Pkharii, adjoint au malre de

Saint-Onen docteur E. Roxer, Brard, Duval, Bell<til, Margat. Gortai-, Robert De-

lourme, Sauvage, Pécheloche. Le Corgne.

paux. de Saim-Méen-le-Ciaml Bosiard. consetllar municipal d^ Muêl; DvrtoM Fran- çois, Hervet, Lefranc, liéal, Péron, anclm»


conseillers municipaux .d* Grand Besnard, ̃ notait*. Saint-M«en-le- Grand Brunot, Corrion, négociante, SaintMéen-le-Grand Marivln Jutes, industriel. Saiui-Méen-le-Grand Ronsin, docteur en médecine, Saint-Meen-le-Grand Guillemet, Le Helloco, Pirault Alfred, négociant Gaél; Lelù Iules, négociant, Sairu-Malon Pollet. cultivateur. Saint-Màlon Simon Pierre. cultivateur, Bléruais.

Sous iu;e pression inqualifiable, plusieurs notab;lités du, Canton ont été empêchées de donner leurs signatures, guilt auraient accordes bien «olomiers. Nous savons que leur sympathie n.ms rtste. C'est ce à quoi nous tenons le Plis. Un Groupe à

SUR LA PLACE Brillant deuxième et dprnière représentation. Bureau 20 heures DES Céle6tln et Joseph L. sont des enfants qui vivent 3 leur guise. Ils pénétrèrent à diverses et y dérobé- rent un peu d'argent, du beurre, de la farine, du-lait, etc. Une autre fois, ils prirent une montre au père mais celui-ci put rentrer en possession de son bten. Une enquête a été ouverte sur ces faits. a Pipriac MORT DE Le juillet, vint l'adans M. Joubert. C'étaitrettsement exact, le cultivateur se rendait messe lorsqu passant dans le champ Joubert il avait aperçu Pierrerel, couche au pied d'un chêne Comme il, ne répondait pas à ses questions, M. s'était approché et a7-ait constaté sa mort. Le docteur de Pipriar, déclara la mort due une congestion FETE. Une grande fête locale s'organise pour le 13 septembre y s'v donneront rendezvous. Le programme paraîtra incessamment.

Médailles de la Famille Française A l'occasion du 14 juillet, M. Bouquet-Nadaud, sous-préfet, a remis a l'Hôtel de Ville de Saint-Malo les médailles ci-après MÏAaille d'or lime Cléret de Langavent, «aint-Malo; Mme Garnier, Parame.

Médaille d'argent Mines Barbotin, SaintMaV Boudan, Saint-Servan; GuiUosson. Param*- Le Calvez, Saint-Malo.

MéàaiHe de bronze Mmes Batas, Paramé; Beaumom, gaint-Malo Cau i. Saint-SeiTan; Chappedelaine, Saint-Malo; -Chateau SauttMaïo^Coupe. Saint-Servan; Dury. Paraît; Gautier, Saint-Malo; Gicquel, Saint.Servan; Hé ary Saint-Malo; Lemercier, Parame; Letourneàu, Saint-Malo: Lhote, Saint-seryan; Le Béchec, Saint-Malo; Alargot, Saint-Malo; Morellec, Paramé; Ricard, Saint-Malo; Rocher Saint-Malo; Rougelot, Saint-Malo; Trouel, St*•*

PRIX DE L'ELECTRICITE. Le Maire de la Ville de Saint-Malo a l'honneur d informer la population que les prix suivants seront appliqués à l'énergie électrique consommée à partir du relevé de compteurs de fin Prix du kilowatt. Abonnés éclairage, tarif maximum, 1 fr. 58; tarif dégressit, 21tranche, 1 fr. 2S; abonnés aux autres usages tarif maximum. 0 fr. 90; consommation municipale éclairage, 1 fr. 54 autres usages. 0 fr; 96.

ELECTION AU CONSEIL GENERAL. Le Maire de la ville de Saint-Malo informe les électeurs que le tableau rectificatif à la liste électorale est déposé au secrétariat depuis le 14 juillet.

NOS BOYS-SCOUTS iSaint-ltato-Saint-Servân) Samedi 18. à 7 heures du soir, rassemblement place Bouvet. Saint-Servan. Caro.tins à la ville Anne («A cas de mauvais temps cantonnement, feu de camp, repas chaud ou froid}, le dimanche bain aux Bas-Sablons. Retour vers 18 h. 30.

Jusqu'au V octobre, les '^réunions d'instruction des patrourlles auront lieu aux heures et dates suivantes aigles, jeudi. 17 n oO; renards, castors, lions samedi respectivement à 17 heures. 17 h. 30. 18 heures

Le camp régional annuel aura lieu du 15 au 31 août à l'île de Noirmoutiers. L? programme détaillé sera publié en temps utile. N B. te Scoutisme réagit contre le laigser-aller et le relâchement moral en donnant au garçon une loi, inspirée de celle des chevaliers, qui l'habitue à la domination de ses

THOMANN

LE VELO PUR SANG

Courte des Vétérans Rennet-Bécherel II" BARBIER, sur THOMANN I CARNIER, seul vendeur à RENNEB, 16, rue Robl*n

LEÇONS D'AUTOS Avec VOITURES MODERNES permettant un apprentissage rapide GARAGE DU CHAMP-DE-MARS 16, rue d'Isly, RENNES (tél. 1.53) On Demande 2 BONE OUVRIERS EBENISTEB, UN SCULPTEUR fit UN MANSUVRE. S'adresser CHARTIER-LE- BRETON, 3r., rue Alphonse-Guérin, Renne@

mauvais penchant» et. au contrôle de *lui- ruêttie. ^MONUMENTS FUKERAIRES 60 ModèlM ditpeniblM Conrtructlon» Caveau COCHCRIL, avenue Cimetière, DINAN UNION COMMERCIALE ET INDUSTRIELLE. M. Lefebvre, président de l'Union commerciale et industrielle de Saint-Malb-Parame, adresse l'appel ci-dessous aux membres de la société

Lundi dernier, lors de sa réunion en assemblée générale, votre Association n'a pu, en vertu de ses statuts, prendre la décision que semblait comporter la situation.

Lee statuts prévoient en effet que certaines décisions ne peuvent être prises qu'à la majorité des deux tiers des sociétaires. Notre

association compte 117 adlierents et uouze seulement d'entre eux nous avaient fait l'honneur d'assister à notre assemblée générale. Nous nous voyons donc dans la nécessité de vous convoquer à nouveau et de porter à votre connaissance que notre prochaine séance en assemblée générale est fixée à jeudi prochain 16 courant, à 17 h. 30, salle du Tribunal de Commerce.

Le compte rendu de notre dernière réunion, publté dans les Journaux de la ville, vous a montré toute l'importance de la situation. Il faut que jeudi prochain nous puissions pourvoir au remplacement d'un président, d'un vice-président, d'un secrétaire et d'un trésorier.

rame ue constitution reguiiere u un uureuu, nous nous verrons dans la nécessité de prononcer la dissolution de notre Association. Nous ne pouvons pas croire que ies événements actuels nous conduisent à prendre une solution aussi radicale et dont les effets auraient une répercussion lamentable. Le commerce est exposé à toutes les exigences fiscales il est chaque jour entravé dans sa liberté d'action par des règlements ou des mesures d'ordre administratif. L'heure n'est pas venue pour nous de renoncer à nous défendre nous estimons que la solidarité commerciale, aujourd'hui nlus que jamais, doit être maintenue et fortifiée. • Il vous appartient, M. et cher Sociétaire, de nous faire connaître et vous partagez notre façon de voir et c'est de façon pressante que nous vous demandons de vouloir bien assis- ter à notre réunion de jeudi prochain. Veuillez agréer, etc.

Le président Lefebvre.

AU CASINO. Ce soir, jeudi. Madame Butterfly. Demain, vendredi, Le Barbier de Seville.

Saint-Servan

LE DERAILLEMENT DES GASTINES. Nous avons relaté le désaillement de tramway qui s'est produit aux Gastines. Cet accident serait dû au mauvais état de la vo:e, le tramway marchant à une petite vitesse à cet endroit.

La blessure du chauffeur du tramway, M. Joseph Thomas, demeurant carrefour Jouaust à Rennes, n'est pas grave.

llesdames, Robert sera sur le marché avec ses soieries, draperies coton. Prix exception.

GRAND CONCOURS DL TIR A LA CARABINE. Un grand concours de tir à la carabine 6 millimètres (armes libres) sera organinisé par les soins du Radio-Club Servannais, et commencera le dimanche 20 septembre. On peut compter dès à, RBésent- eux t2 prix en espèces d'une valeur tatale. dépassant 1500 frànrs". ^k' • Nombreux seront les tireurs de la région qui voudront participer à ce concours, pour lequel on prévoit un jrarid succès. Amateurs de tir, notez bien cette date du 20 septembre. Paramé

AU CASINO. Aujourd'hui après-midi, grand baL d'enfants; le soir, Les Chevaux de bois. Demain, vendredi. Grand Guignol Do, Ré, Mi, Fa, £01 Octave La Gifle.

Dinard

UNION COMMERCIALE ET INDUSTRIELLE. En présence de l'encombrement des colis, qui se produit chaque année à la veille de la saison à la gare de Dinar' et devant les nombreuses plaintes du Commerce le bureau de l'U. C. 1. D. avait fait.de nombipuses réclamations restées sans résultat.

Devant l'aggravation de cet état de.choses, il s'est vu dans l'obligation d'adresser au service compétent le télégramme suivant Dimanche 12 juillet,.

« Chemin de Fer de l'Etat à Chef d'Arrondissement, Exploitation à Rennes.

Enquête promise par votre lettre du 6 courant semble n'avoir donné aucun résultat. Gare de Dinard maintenant complètement enbouteillée. Commerce dinardais subit graves préjudices. Urgent aviser.

Espérons que cet appel sera enfin entendu .et que le personnel facteurs indispensable au bon fonctionnement de la gare, va définitivement se trower en n8mbre suffisant. Combourg

FETE NATIONALE. La fête du 14 juillet a commencé lundi soir par jme retraite aux flambeaux, des tambours et clairons de la ville et des sapeurs-pompiers.

Mardi matin, réveil en fanfare et salve d'artillerie.

A 15 heures, ce fut place de la Marie, la revue des sapeurs-pompiers par la municipalité suivie d'un défilé en ville. De 4 à 7 heures différents jeux organisés par le comité des fêtes ont été très suivis, entre autres les courses de bicyclettes où le jeune Robert Renault s'est distingué.

A 19.h. 30. un banquet fort bien servi réunissait à l'Hôtel de France de nombreux convives. Il y eut ensuite une grande retraite aux flambeaux et un feu de joie sur le lac. La soirée s'est terminée par un bal sous les halles qui a été très animé.

EN EXCURSION. Dimanche deru:er est venu excursionner sur nos .;ôtes, la société de gymnastique ̃ L'Abeille Y, de >vfis: Les jeunes gens, au nombre d'une quariirtaine. sous la conduite de NI. l'abbé Renoalt et de leur moniteur, M. Jacob, ont de la beauté'de nos sites, et c'est avec regret qu'ils reprenaient le soir le chemin du retour. emportant le .meilleur souvenir .le leur séjour partni nous. Cette sociéte revenait des fêtes de Dinan, où elle avait conqui: do nmbreux lauriers.

POUR LES REGATES. Ainsi qu !1 a été décidé dans la dernière séance du Ccmiie des Régates, il sera fait ai«>el aux oo»nmrr\;ir.j< de la Houl#, dans le but ̃ e rr.cr un pris :.fbateau, ou même une ou ne <vii porter.* 1P nnm de « PrU des Commîr ;vr.s <̃

Rappelons que les récites st; Jutes au dimanche 2 août et qu'une réunion du aura lieu dimanche 19 '.uill.u 1 -V hemes au bureau de la Marine.

I GRAND BAZAR DE LA POISSONNERIE j 16, Rne de Nemonri HOUEL-ESPINASSE 5.7, Rue Poullain-Duparc LA PLUS ANCIENNE MAISON nE rEN>îes

.LE 14 JUILLET. L'entrptn. et la gaietô ont présidé a cette fête qui débuta lundi soir par une retraite aux flambeaux et un bal. Le lendemain, il yeut deux beaux concerts à La Houle et au Bourg. A midi, un banquet était servi à "l'Hôtel du Centre.

Le soir un grand bal très animé se tenait sur la place de la République et la musique municipale une fois de plus se surpassa. SAINT-PIERRE DE-PLE8CUEN

GRAVE ACCIDENT DE BICYCLETTE Lundi dernier, à 18 heures, M. Thé, ouvrier boulanger au service de Mme Monnier, boulangère, venait de faire l'achat d'une superbe bicyclette de course. Arrivé à la place de la Mairie, tournant assez dangereux, il se jeta dans un attelage. M. Thé fut sérieusement blessé aux pieds et ù la tête. La bicyclette a été endommagée.

LA FE1'E NATIONALE. Elle aura JjfiU le 19 juillet. A 9 heures lïWtnlmiiu 1 de P^ n aux pauvres. 14 heures couves 'le j:çycmtes pour les gens de la commune; 15 heures courses il pied et en -;af.. 10 heures jeux de casse-pots et de ciseaux.

20 heures feu de joie, retraite aux flambeaux. Graud feu d'artifice. bal crmmi f 1rs. Pas de droit de place aux forains.

Le Comité ne répond pas des M'c.'le us. Le Vivier-sur-Mer

POUR LA FETE NAUTIQUE. Voici la première liste des souscriptions pour la fête nautique qui doit avoir lieu au V'ivier-surMer le 2 août prochain

MM. Pépin, maire, 20 fr.; Bertrand, adjoint, 20- Ruaux Frédéric, conseiller municipal, 15; Bunoult Alexandre. 15; Chappron Julien, 1j; Bailleul Jean, 15; Plaingain. 15; Lesénéchal, 15; Guérin, 20; Lebeltel, 15; Bedel, 10; Onnée, 15; de Lesquen, recteur, 20; Gesbert père, 10; l'c.ivet, 10- Veuve Bouillé, 10; Madion, 10; Carré, 10; Hercouët, 1.1; Pépin Joseph, 20; Chappron Julfen fils, 5; Fontaine Marie, 10: Punelle. boucher, 10; Lebreton Joseph, 2; Veuve Turmel, 10.

DOL-DE-BRETAGNE

LA FETE NATIONALE

Lundi soir, une retraite aux flambeaux très animée parcourut les différents quartiers de la ville. Des pas redoublés, fort. en- traînants, furent exécutés par la Musique municipale et les tambours, clairons et trompettes de la Cie des Sapeurs-Pompiers et de l'U. S. Doloise.

Nos musiciens et nos cliquards se montrèrent infatigables.. Par une attention que nous aimons à souliger, ta retraite s'arrêta rne de Paris, en face le domicile de Mme Morin. récemment décorée de la Médaille de la Famille française, où les musiciens donnèrent une petite aubade.

Mardi matin, une distribution..de pain fut faite au bureau de Bienfaisance aux indigents et nécessiteux de la ville.

A 9 heures, devant le Monument aux Morts, les tambours, clairons et trompettes des Sapeurs-Pompiers et de l'U. S. Doloise exê entèrent la sonnerie Aux Champs à laquelle succéda la « Marseillaise par la Musique municipale.

Ce fut ensuite. la "revue, de 'là (te des ?apeurs-Pompiers, après laquelle- la médaille Marge, caporal à la Cië doloisp, et à M. Lecoq. clairon il. la même Cie. comptant tous les deux 25 années de service.

L'après-midi, la Musique municipale donna des concerts très appréciés en différents points de la ville. Nous sommes heureux d'applaudir aux progrès très sensibles faits depuis quelque temps par cette excellente phalange.

Les traditionnels concours de palets eurent lieu également place Toullier et deux courses de bicyclettes réunirent un certain nombre de compétiteurs.

Il y eut salle comble au Cinéma des Famille il chacune des deux séances gratuites. Enfin le soir, sous les halles de Dol, très joliment décorées pour la circonstance, un bal il grande orchestre permit à de très nombreux danseurs et danseuses de se divertir une partie de la nuit.

LANDERNEAU

Ecrasé par une lourde voiture, le cultivateur de St-Cadou a été volé 3.000 francs environ

que le malheureux portait sur lui ont disparu

Nous relations hier matin la mort tragique du cuitivateur Olivier Guénan, du village de Quélennec, en Saint-Cadou, 'dont le cadavre affreusement mutilé fut découvert mardi matin vers 5 h. 15, sur la route nationale de Landerneau à Sizun, au lieu appelé Berleuf, en la commune de Ploudiry, par M. F. Nédellec, domestique chez M. Jean-Marie Abgrall. charcutier à Sizun.

Le cultivateur avait été renversé par un lourd vé!iiculn automobile et écrasé. C'était d'ailleurs l'avis du docteur Mazé, médecin a Sizun, qui fut appelé d'urgence pour examiner le cadavre.

Le permis d'inhumer allait sans doute être délivré lorsque certains faits et constatation!» firent envisager l'hypothèse d'un crime. Dans ces conditions le Parquet de Brest fut avisé. La disparition de 3.000 francs

M. Guénan avait quitté sa ferme lundi matin vers 9 heures pour se rendre en auto à la foire de la Martyre. Son fïls et son oncle s'y rendirent également à bicyclette. M. Guénan avait emporté une somme de 3.150 francs à la foire. Il ne fit aucun achat et quitta la' Martyre vers 7 heures du soir. Lorsque le lendemain, on découvrit son cadavre, il fut fouillé et trouvé porteur d'tine somme de 124 fr. 90. Lorsqu'on apprit a Mme Guénan la mort de son mari et qn'elle connut la somme- trouvée sur lui, elle affirma aussitôt que le culti' valeur avait été volé. La somme disparue était composée de trois billets de 1.000 francs, le cultivateur n'a pu dépenser qu'environ 25 tranca dans sa journée.

L'affaire se compliquait donc M. Gnénan n'avait-il pas été assassiné, dépouillé, puis placé sur la route où une auto l'aurait écraeé ?

Notre enquête

En apprenant ces faits nouveaux nous retournâmes sur les lieux du crime. précédant de quelques heures le Parqtiet de Brest Dans le voisinage, l'idée d'un crime avait déjà pris

corps. Le cultivateur avait quitté un débit lundi soir vers 20 h. 30. Il était un peu ivre. f lus loin il trouva une personne qu'il cher- chait et qui affirma l'avoir quitté vers rni- nuit, puis se rétracta et déclara s'être emparée ùe iui vers 22 heures.

Ces rétractations et divers renseignements, la réputation de certaine personne et plusieurs constatations permettaient de faire naltre certains soupçons. 1 Nous interrogeâmes diverses personnes. entre autres Mme Guénan qui nous affirma qu'elle ne connaissait pas d'ennemis il. son Le corps de la victime avait été mis en bière en attendant l'arrivée du Parquet. Nous rencontrâmes M. le docteur (Maze, de Sizun, que nous exposa les raisons pour lesquelles il avait refusé le permis d'inhumer.

L'arrivée du Parquet

Le Parquet de Brest, composé de MM. Guilmard, procureur de la République; Halleguen juge d'instruction remplaçant M. Le :'leur en congé le docteur Rousseau, médecin légiste; Kutschner, greffier d'instruction, arrivèrent à 17 heures à la ferme de Ménaouès. Etalent ,également présents, MM. Freund, jnge de paix des cantons de Landerneau et de Plourliry Berthelot, maire de Ploudiry de Rusuman. greffier de justice de paix, et le docteur Mazé.

Les magistrats commencèrent immédiatement leur enquête en interrogeant Mme Quentrie, du village du Cache, dont le mari qui travaille actuellement à Carentpc avait été vn lundi soir en compagnie de Guénan.

L'autopue

Pendant ce temps le docteur Rousseau pratiquait l'autopsie du cadavre dans une grange de la cour de la ferme de Ménaouçs, en présence de M. le docteur Mazé.

L'idée d'un crime doit être écartée. L'autopsie démontra que le cultivateur avait été tué dans nn accident d'auto un lourd véhicule lui a passé sur le corps, défonçant le bassin, broyant les jambes et causant d'énormes plaies.

Par ailleurs, le médecin légiste n'a rien trouvé qui puisse permettre de supposer que le cultivateur a été assassiné.

Que s'est-il passé ? Si cette idée de crime doit être écartée, il n'est pas moins vrai qu'il existe un double mystère qu'il appartiendra à la justice d'éclaircir.

Quelle est, d'une hnrt, l'auto qui a renversé le fermier de Saint-Cadou. A ce sujet les gendarmes de Landivisiau ont ouvert une enquête et il n'est. pas impossible qu'ils n'arrivent à un résultat. Un lourd camion automobile qui rouvait venir de la direction de Siznn s'est arrêté il Landerneau mardi. vcrs deux heures du matin. lI est activement recherché

Que sont devenus les 3.000 francs du cultivateur ? Les a-t-il perdus sur la route ? Les a-t-il prêtés ? A-t-il été dévalisé avant sa mort ? A-t-il, au contraire, été dépouillé par les automobilistes qui l'ont tué 7 Ce sont autant de points d'interrogation qui se po- sent. Puissent-ils être un jour résolus. La victime

Olivier Guénan, âgé de 52 ans, est père

le 11 enfants et il en attendait un douzième. L'allié di ses li4 a 25 ans, le plus jeune deux ans. C'était un cultivateur assez aise, avant une bonne réputation. 11 faisait un actif commerce de chevaux.

Autres constatations

Voici quelques autres constatations que nous avons faites. Le cadavre du fermier a été découvert sur la route, au centre d'une belle ligne droite de plus de 500 mètres. Il est donc bizarre que l'auto qui le tua ne l'eut pas aperçu, même dans la nuit p,uisqu'il marchait sur la route. Ne se pourrait-sil pas qu'il soit tombé auparavant sur le chemin après 11 heures 30, car il est prouvé qu'à cette heure une auto avec (les personnes de Sizun est passée par là et personne n'a rien aperçu. Il est d'ailleurs certain qu'en raison de la grande foire de la Martyre, une des plus importantes de la région, la circulation aura été intense jusqu'à cette heure sur la route nationale,

Après l'autopsie, le corps du malheureux Olivier Guénan a été remis en bière pour être transporté il. Snint-Cadou.

Le Parquet est rentré à Brest dans la soirée. H. R. Le Temps qu'il fait

Aujourd'hui 16 juillet Saint Hélier

Le soleU se lève S (h. O5 et se couche à 19 Il. <7 La lune go lève i. 1 h. oo et se couche il 13 h. co

Paris. 15 juillet,. Ia dépression d'ISlande se comble l'Ouest et se creuse a l'Est –6 a 7 m/m. 'Shetland' avec baisse en Europe saut plus 3 m;hi. Gascogne, plus i Ooise. Anticyclone en Suède. Maximum. 769 m/m. Mponie. A Paris. "fti m'm. Minimum, 74g, Islande,

Les vents sont calmes sur la Manche, du N'oWOnest Nord-Est dans le Cotentin. en Bretagne et sur l'Océan; du Nord-Ouest modérés, dans le Bonssillon, calmes en Provence.

Les maxima de la veille ont été de 27* à Pa- ris. Beauvais: 28 à Marseille. Vantes. Toulouse il.9 à Argentan. Bordeaux; 30 à Perpignan: Mi à Chartres, Bre~t; 2"> à Dijon. Lyon; 53 il Clermont; 21 à Nancy; 2i> A \ice.

Lea mlnima de la veille ont été 13" à Paris, Marseille; li à Clermont; 17 à Montpellier. Nice: 20 à Perpignan; lî à Chartres. Lyon, Strasbourg. Brest. antes; it à Alger. Brest. Mantes; 11 a Ar- gentan, Orléans; io ft Dijon. Poitiers.

Pluies de 21 heures à 7 heures. le ir> Juillet, néant. Ce matin. Le:iu temps général, brunies en Bretagne.

Granville Paimpol 13 Tréguler Douarnenez 0 Il, 1. Penmarr'h 0h. 14 o h. 47

MARTIN ENLÈVE

L'ETAPE MULHOUSE– METZ Le départ

Mulhouse, 15 juillet. Le départ de la IG* éta- pe du Tour de Fiance cYcliste « Mulhouse-Metz » a été donné ce matin 4 heures aux M concurrents restant qualifies. On ne signale aucun incident.

Dan» les contrôles

Sirasbocrg, 13 juillet. Tous les concurrents du Tour de Franco ont été contrôlés à 8 Il, 13. Ils sont repartis pour Metz, après s'être ravitaillés. Le Messin, qui menait depuis Mulhouse, est arrivé à 8 h. 10 à Strasbourg et a gagné ainsi la prime destinée au premier Français.

Wissejibci'Ku, 15 Juillet. A Wissembourg passe à 10 h. \M un Important peloton emmené par Bollenger, Frantz, Bottecchia, Alavoine. Il est accueilIl par la musique des chasseurs et est très acclamé. Les frères Buysse, Christophe et Benoit ferment la marohe. Beaucoup) de monde, contrôle impeccable.

SARREODCHrais, 15 juillet. A li h. 53 passent à Sarreguemines 16 coureurs Bresclanl. Benoit, Crème Martin les frères Buysse, VerdycK, Christophe. C.ay, Bottecchia. Frantz, (lordini, Rossljrnoli, Berni. Canova. Beeckmann. A 1 h. 30 Henvrycks. Deloffre, Krier. Cento casse sa fourche en sortant dV Gros Réderching elle est réparée à Sarreguemines et il repart.

L'arrivée

Metz. M juillet, Voici les résultats complets de l'ét Mulhouso-Metj du Tour de France cyi. Martin, en 13 h. 31" 2. Frantz, même temps: 3. Lucien Buvî^e, même temps; 4. Dejonglie. 13 h. 24' 43"; 5. Verdyck, 13 h. 2V 54"; 6. Sellier 13 h. 21' 56"; 7. Orner Huyssè. 13 h. Î3' 36"; 8 Alavoine, 13 h. i'S 40"; 9. Bottecchia, 13 h. 27' U"- f0. Gay 13 h. 27' 49": il. Brewiani, même temps: 13. f'iordini. même temps: 13. Touzard. menfe temps; 14..Iules Buysse. 13 h. 27' M": l.">. Bellenger. 13 h. 28' 10"; 16. Haiùy. Il h. 29' 29; 17. Piccin mime temps; 18. Aym». 13 h. 29 4.. 19. Beeckmann, 13 h. 30' 19" 90. Despontin. mème temps. LE CLASSEMENT C£NERAL

Voici le classement général du Tour de France après l'étape Mulhouse-Metz

1" BotteccMa. 187 h. 08'3f- <I 1- Buysse. 183 h. M'07": r Frantz 183 h. fll'lO": v Aymo, lu* h. W'fv'i DeîS&he 188 h. 33-4S-; 6- Huysse, ÎW heures 00'n": Beeckman. l» h. 14'20"; 8' Se Ler, 189 h. 381* 9' Verdyck, 189 h. «'M": 10' BetlenVr 190 h. JVIO"; Il' GaT. 190 It. W0G-; 12- Bci:t" AiavoLne"*1»J h 38' 29": Il. Martin. 191 h. 34' 37"' 10 J. Buysse 191 Il. M' 43"; lfi. Despontin, 19î'h If 17"; 17. Gordini. 193 Il. 4' M"; 18. Christophe. 193 h. 10' M": 19. Hardy, 193 n. s y 48", C0. Ros3l?noll. 193 h. 37' 31": ît. Enelebert. '9. h f os", no Greno 194 h. 43' 2G": M. Masson, 194 11. J,s"' "T Canova. 195 h. 2' W-. 23. Plccin. :9> h W "<̃̃'̃ "G Dhers 195 li. r,3' 4t"; 27. "ouz.ml. '*i h. 30' -• 08. Bresclanl, IP7 h. 23' 51" ?9. Martinet, 1Q8 h ".V M": 30. Arnoult 198 34' 8": SI. Motti.it 10R h. f.8- 30": 3?. Arroslo. 199 h. 41' Il' 33. Berni, 200 h. 40' 12": Roux 201 h. 40' 29": 3T>. Standaert, -Ml h. 4t' 4> 86. Bianco. 202 Il, 9 40 37 Rière, il'. h. 9' 40": 38. Rubert, 204 h. fe, 21": 39. I.ûew. 204 h. M' =0": 40. Krler. 0O6 h. 11 46 CE QU'ILS ONT FAIT

Il- Etape, dimanche 21 Juin Wrls-Le .Havre <3iî -Etape. mardi 23 Juin Le Havre-Cherbour» (3îi Etape. jeudi 25 Juin Cierbourj-Br-t MSÏ Et'a^îendredl n ju'n Hrot-V.on». (208 kilomètre»).

S* Etape, samedi 57 Juin Vannes-Les Sabield'Olonne rS04 kilomètres).

6. Etape, dimanche M Juin 1 Les Sabi«iBV.dT«V"n*d«On?DtrfJain Bordeam-B.yon.* S. ^aTef'mèrcrem 1" !»r.Iet '"»• Étape. venaredl 3 Juittet Lucltun-l'crpiîiiis

10. Etape. samedi « Juillet Perplpian-Mme» tî«.' ̃̃ Il- Etape, dimanche 5 Juillet SJmes-Totuon (215 kilomètres).

15« Etape. mardi 7 Juillet: Toulon-Xlce (SSO kl.13. Etape, jeudi » Juillet Slce-Brlançoa (S75 kilomètres).

H» Etape, samedi 11 juillet Brlaoçon-Evlan (303 kilomètres).

t5' Etape. lundi 13 lutllet Evlau-MuUiOB5S (373 kilomètres^

16- Etape, mercredi 15 Juillet Muinouse-JIetz (331 kilomètres).

CE QU'IL LEUR RESTE A FAIRI

17» Etape, vendreat 17 juillet Meîz-Dunkerquc (433 kilomètre;).

18* Etape, dlmancne 19 Juillet Dunkênjuaparis (3i3 kilomètres).

LES COURSES DE KERABECAM

Michard affirme une forme merveilleuse Le match de vitesse France-Etranger qui constituait l'attrait principal dit programme de cette journée du il, fut vraiment passonnant. ,i suiTre tant au cours des quatre manches à deux que durant la poule finale à quatre. Le Comité du VX.~ B.. qui a eu l'heureuse Idée d'engager le champion Michard a droit aux remerciements de tous les amateurs brestois de cyrtisme qui purent ainsi assister a des épreuves de toute beauté; le euecês des deux réunions constitue pour lui un précieux encouragement il persévérer dans la voia im'il s'est tracée.

Résultats

ilatcli France-Etranger Michard-Guyot contre Kauflmann-Leene. V manche. Guyot-Leene Les deux rivaux s'observent deux tours durant, a l'entré? du troisième. Cuyot démarre: on assise alors jusque l'arrivée a une lutte acharnée. Le Français gagne de Justesse. 1. Guyot. 1 point; 2. I.eene. 2 points.

i.» manche Mtehard-Leene. Il Mithard. t: Leene, 2 points. Le champion de France gagne facilement.

manche Kauffmann-o.uyot J'r KauffniaDn. 1 point; •» Cuyot. 2. hlalgré tous les efforts, Guyot ne peut remonter Kauffmann.

4* manche Mlchanl-KauRmann 1* Michard; i point: 2' Kauffmann. 2 points. Michard démarre à l'entrée du dernier lour. prend une longueur qu'il conserve sur son rival.

Poule finale t' Michanl. 1 point; 2' Guyot. 5: 3' Leene, 3; 4' K.iuBmann, 4.

Les quatre as du sprint s'observent et re»tent groupés. A la clocl.e, Kaniman tente de s'échapper. Guyot en deuxième position lui résiste et Mirhar.l (démarrant trusquement emmène dans s.-v roue Guyot, ils ne seront pas rejoint% malgré les efforts énergiques de KauTinan. Guyot qui termi.nent relevé*.

Clzssement final f Mlchara^îayot, 8 points; y Kiiiifman-Leene, il points.

Sociétaires .consolation) l'r Bachelot, 21 Lebat: e Pêche; 4' Hongier.

Tandems (10 tours) t" Blondeau-Grall. 2' B> bert-Cordier; T ̃Meurger-I.abat.

Mllitary 1er Grall. 2*' Kervévan.

Maton contre un tandem t Micharcl contre Sprauel-Deneuville. Mlctiari gagne les deux mai>ches avec Ln brla extraordinaire. accompli *sstnt le dernier tour de la première manche en ̃ 4 na la seconde en 51' î/3

Le record Ilu tour de piste en tanfiem est établi a 53" par l'équliie Hlondeau-Grall. nobert-Cordie- et Spranel-nenenviUe l'ayant accompli en 2-ï' 1 Course à l'amériçatne, 10 kilomètres. lf» sprlnt: ta Leene. 2» Me.irger. 3' Blondeau.

sprint it Guyot, =' Kaufman. 3» Cordier. sprint • l'r Leene, 2 Spranel. 3» Grall.

.• sprint i« Guyot. y Meunier. Spranel. (tassement final 1" c.iiyot-Leene-. 9» KaufmonVleurger; r Spiauel-Deneuville; 4' Blondeau-Crall; Cordler-Rohert.

Ia course tut menée A bonne allure, elle ne v;t pas de soneuse tentatives de lâchage et les coureurs retirent groupés; tous les sprints lurent chaudement di«ruté>.

LES COURSES CYCLISTES DE SAINT-OAST Les courses cyclistes organisées à Saint-Cast remportèrent dimanche un brillant succès. En voie» MoionàU 1. partant-4. l' .lowour. de Br«» 21 N'èdellec. de Brest; T Davoin*; 4' L«UCUU. «•> S«anM,


NAVARRE GAGNE

LA COURSE DE COTE D'AVRANCHES La course de cote orftsnls'e par l'U. S. A, le 14 julilet. a été des mieux réussie et r'e-t devant un public noiubreux, échelonné de )a gare à la vil!e que les coureurs les plus réputés se sont disputés les places avec un acharnement digne des as de la pédale.

F. Lepenant. à peine remis des f Uipaes du Tour de France, avait tenu à prendre rang. Il a été particulièrement ovationné par les sportsmen. Nous devons féliciter les organisateurs et les commissaires et parmi eux MM Ma'é père et Voici tes résultats

1" N.ivarre. de Rennes: 2" Leveillé, d'Avranches 3' Arrhimbaud. de Rennes: 4' Ratfrairie. de Du]: r. Lepenant, de Granvillc. 1 triomphe à La Chapelle-Anthenaise Mayenne

LA COURSE REGIONALE s'est courue presque entièrement sous la pluie, et malgré Il temps exécrable, le; ?G kilomètres dit parrouis ont été effectuées en 52'1?", soit à une vitesse tie 30 kilom. à l'heure, par TALLOIS, arrivant premier devant Mouiard, Leroy, etc.. .Et aussi à Troguery (C.-d.-N.) ̃ .où LE BONNIEC, soldat au ÎS- h ("iuinjramp S" classe premier dans la COURSE REGIOHALE, sur une distance de .T0 km.'

.oi'i BELLEGOU enlève la première place avec une avance de 20 mètres sur le second; t il s'adjuge également la prime de 20 fr. au passage à Trévérec.

.Et encore à Lanvollon (C.-dn-N.) TALLOIS. MOULARD, LE BONNIEC. BELLEGOU montaient la bicyclette

i SPART! N G LE BON VÉLO LES COURSES CYCLISTES DE BECHEREL Dimanche dernier, le Véloce-Cl ub Rennais a orgauisé une cours* cycliste pour Vétérans sur le parcours Rennes-Bécherel. par St-C.ille Rumillé et Irodouer. soit 32 kilomètres.

Les panants ne furent pas nombreux mais les places furent très disputée:, et la qualité remplaça la q::antité.

I.: départ fut assez vif. Le train mené par Thos les premiers kilomètres, fut ensuite assuré à tour «le rOle par les concurrents. de sorte que le )*̃luiûn atteignit Romillé au complet, Le contrôle était assuré par les notabilités du pays le maire en On est sportif à Romillé,

S.gnaions le beau geste de l'ami sellier qui, n'ayant Pu participer à la course a tenu à manile' ·a sympathie aux vétérans en leur offrant le Champagne. Au nom des présents, merci. Dé- la sortie de Romillé, Garnier de Rennes met toute la sauce et dans la descente qui suit le ipays. il prend ir« mètres d'avance, portés avant Jr'irioiiëi' a plus de 200 mètres.

Derrière, la chasse s'organise. Camus Merh. Victor. sovt lâchés: Thos et Elléouet se défendent et tirent le 4o pour rejoindre le fugitif, mais celuici confire son avance.

Thos. qui comptait donner un effort dans les rôles précédant Bécherel. est victime d'une chute et brise son calepied. D'ailleurs les positions son.t acquises et Garnier termine seul, après une belle fin de course.

Voici le classement

1. fJamiar Octave, sur bicyclette Thomann: 2. Elleouet; 3, Thos; Mech; Victor; 6. Camus. etc.

Les épreuves courues sur le vélodrome l'aprèsmidj. ont obtenu un gros succès. Près de 4.000 iiwsonnes -entouraient le terrain. "̃'̃̃)̃̃ Le, épreuves dispufées par séries et finale donneront les résultats suivants

romnivnvle. i. R. Botai; ?: fi/ Boto<-»i'Tuloup; t 4. Belan: 5. Ricli&rd.

Cantonale. 1. Thébault; 2. R. Boin; 3. savin; 4. Richard,

Rfnionalt. 1. Charuel, de Rennes; 9. Chauvin: i 3. Sarin; 4. R. Bouin; 5. Perschaye.

t < ourse 'le motos. 1. H. Delion; ? J. Delion: 3. Demay; 4. Tostivuit.

L'acrobate Wurckler, de Paris, enthousiasma l\VMstance par de nombreux sauts ipérilleux. Cet athlète sauta au tremplin 15 hommes debout. 4 chevaux accouplés, une automobile places en marche, etc. Ce fut le clou de la journée. Félicitons sincèrement le comité des fêtes dp Bécherel et Xavier, son maire, de la IKinrfe organisation et de la sportivité qu'ils ont déployé pour 1 organisation de cette fête du MPlionoe. Cotte petite ville pourrait être donnée en exemple à beaucoup de localités plu« lmpnrtantes, aussi le succès a dépassé les espérances. malgré la concurrence, il fut sans j/récédent. 2-6 REPONSE A UN DEFI

rfee Lelièvte se tiennent à la disposition du coureur eveliste René Lenormand, sur un parcours de;¡) à t'J" kilomètres, à son choix, sans entrai.neufs. selon le défi qu'il leur a lancé. L'enjeu et la date de cette course seront fixé à son erre. mais au plus 16:. M. Ler.ormand tiendra-1-il sen défi? Les uns disent oui, les autres non. Qui aura raieon? L'avenir nous l'apprendra. J)onc nne réponse M. Lenornjand. Nous sommes à votre dispop- Deux rx-coureurs Lelièvrc et Vaillant

t~ ATHLETISME

r LE DINARD ASC.

AU CHALLENGE LA VICTOIRE Dwird. 1.1 juillet. Le D. A: S. C. va défendre se* chances dimanche- prochain, lors du Challenge La Victoire, organisé par l'U. S. S. Il déplacera sa toute srranie équipe, avec les Tanguy, chef de tite poifr- 19». chainpio nde Bretagne du 8M mètres. Jêzéauel, Lenolre, lMyet. Frontin. etc. et fera tout pour conserver le challenge si brillamment conquis 1 an dernier.

Le dimanche suivant C6 Juillet, il remettra en 3eu le challenge Mirande. organisé par la Jeanne d'Arc de Ssint Servan. sur son terrain de la Hure. Là encore, la lutte sera très vive, et les coureurs des « Patros feront tout pour reprendre le chai lenae a leurs camarades Dascistes.

Le D. A. S. 0. possède cette année une moyenne équipe d'athlétisme, par suite du manque complet de rentrées nouvelles mais le courage ne fait pas défaut aux coureurs, et, en leur souhaitant bonne chacne. nous leur accordons notre confiance. i. GTMX.XSTIQCE

LE FESTIVAL DE GYMNASTIQUE

ET D'ATHLETISME DE SAINT SERVAN Dimanche 26 juillet

La Je.anne-tTA.rc de Haint-Sei-van organise pour 1? -6 Juillet, sur le terrain de la Hure, sa fête aniiiiclle de F.\ nnra-tiquo et <l'arhlétlsme.

J.e programme <)>• la réiurion coa>pi-t-inlra 1» "Italien.?*- Mirand<

S» Champtonnat d'arlilélKme des patronages de le C6ip d'Envrjiude rwuu- JiwiJors el minimes. wiramldes, agrès, baliei*. elc.

Nous donnons ci-des^ons quelques evtralts dn j-èglmwu du f:ballen?c Mirande, Histuue par ta J. A. de ?»inl-Servan ra mémoire de l'un de se* mtm»bre« actif» mort pour la France.

\ri|i"l» l.Vnje-u du challeoye e=t un objet d'irt otTert par le Groupe des Ancie.n-5 de la Il sera <lon.né en garde pendant un an t la société viNorJeuse.

Art. 3. I..? challenge se d.ls-pir.e entre des équipes représPiilal.li'i-3 de? soclétés de la F. G. 6. 1-. r.

Xrl 4. i.e* épreuves du nhalleoge consistent en <lênx courses de relais, un saut k la perche et' «me lime Ii la corde.

xn. réquic» représentative de chaque sa'déve se compose de six at'hlètfs réfulièrement afnHM. Les coureur» ainsi que le» «auteurs K>ivt pr:« .pamu le six liuieur». r-'j lin athlète est quaMé pour le challenge de» qu'il

a disputé une épreuve; alors il ne peut plus -être reiaplacé.

Art. 6. Les relais se font de la manière suivante Relarls de l.oon m. par 4 x 250; 3.000 m. par relais Il volonté, par 6 équipiers,

Pour cette depnlère course les' relais ne peuvent s'effectuer qu'aux points niés aux deux extrémltés de la piste: les coureurs ne sont pas obliges de s'arrêter Il chaque re-lais.

Art. 7. Le satu à la perche x dispute par équipes de deux.

Art. 8. La lutte Il la corde se dispute par équipes de su et par 'éliminatoires. Le; équlpler; seront chaussés comme 11 leur conviendra. Art. 9. Le challenge 'est gagné par l'équipe qui totalise le moins de points dans l'cnjernide Les points se calculent de la manière suivante pour iea relais de 4 X 2"'0, 1'équi.pe ir* compte 4 points: la 3* 8 points; la 3' 1-2 points, etc. Pour ]ils relais de 3.000 m., la 1" compte 6 p.; la ?♦ 13: la 3' 18, etc.

Pour le salit à la percihe, l'équipe qui a les deux meilleurs placés a 2 points, la suivante i, la 3' 6. etc.

Pour la luit* Il la corde, on cote d'abord les équipes éliminées et on leur attribue comme points, pour celles é-lfoirinées au t"Jour. k» nombre de lutteurs. 6, mul'ilplié par 1? nombre d'équipés -̃nç-ayées; pour celles éliminée* au second tour, 6. mu-lii-plié par le nombre d'équtpers restant en compétition à ce tioirr et ainsi- de suite.

Le minimum de points que peut recueillir une équipe gagnant toutes les épreuves du challenge est donc 4-6-2-fl 18 points.

ART. ]<j. Si deux équipes arrivent ex-aeqno en tête du classement, elles font une « belle » en lutte à la corde.

ART. Il. Le droit d'engagement est fixé à cinq francs par équipe.

Les épreuves du championnat juniors et minimes seront les suivantes

Juniors 60 il]., 300 m., 3.000 m. relais à volonté avec un nombre de coureurs illimité. M£-me règlement que pour le challenge Miraude. en ce qui concerne la prise de témoin. Saut en .îauieur et snut en longueur avec élan.

50 m.. 200 m.. en hauteur saut en longueur avec élan.

Le* engagements ponrront être adressés au secrêt-aire de la J. A.. rue Le Pailleur, à St-Servan, jusqu'au 50 juillet.

CONVOCATIONS

1'nfon Athlétique Itenvaisr. Tous les coureurs de H'. A. R. sont priés d'assister à la réunion qui aur.i lipu vfndre-'li 17 juillet., à 0 -heures du soir, au Café Aubry. Départ du coureur Carnier.

CHAMPIONNAT DE DEAUVILLE

DEifviLiF. 15 juillet. Voici les résultats de la journée du championnat de tennis A. Burke bat Page par 0- 6-4. tW.

Arnetlu bat Bajusk par 6-2. 6-i. 6-3.

Najon^h bat Schmidt par 6-°. G-2. C-0.

Negi-o lrat Colliard par 10-8, 8-6 et 1-3.

LA TRAVERSÉE DE LA MANCHE A LA NAGE Gris-Net, 1ô Juillet. Miss Harrison partira demain matin. a 1. Il. o5 du Cap Gris-Nez, pour tenter la traversée de la Manche à la nage. La mer est tris belle. La nageuse est en excellente forrpe et garde bon espoir de mener l'épreuve à bonne LÀ RÉUNION DU 14 JUILLET. *-MAY£KrJE M*ïen\ï, 15 juitiet. Château-Gantier avait org-anisé,- peut le 14 juillet, une manifestation sportive. Il est regretfable, que tous les gens' ce Rennes, qui s'intéiessejit a la natation, n'aient pu assiser à cette tète, car uns auraient eu ie plaisir d'y voir au moins trois mille spectateurs, venir encourager ce joli sport. Mayenne a bougé et proaet jour l'avenir. M Albert a bien aitrito des sportifs.

Voici les résultats des épreuves disputées 105 roelrii nage libre i't Gaudin. du Cercle des Nageurs Rennais, 2 Stei.han, Cadts de Bretagne; 3' Larere, Cadets de Bretagne.

100 mètres. Mayenne < 1" Devolry, Château,Gontler; 2* Miche!. Mayenne.

Relais 'iX50. fer oadet« de Bretagne; 21 Cheminots Rennais.

300 mètres vage libre. fer Daniel, des Cadets: î" Sammoy, de Mayenne, 3' André, de ChâteauGontier.

50 mitres débutants. i" Bercien; 2' Bourges, 3' Le Jean,

Plongeons. 1" Drain, Cheminots: 21 Gaudin. Cercle des Nageurs Rennais; 3* I-arère, Cadets de Bretagne I-S-fl Match de uaterpolo. I",ê"s Cadets de Bretagne battent les CSieminots par 3 buis a 0.

Se firent remarquer Daniel, des Cadets, qui sur .V0 mètres rendait :,0 meures et se clas-a le et Gaudin. dn Cercle des Nageurs Rennais qui, ayant manqué le train p .ur se rendre à Redon a bien voinu prêter son concours à cette belle fète sportive.

LA TRAVERSÉE DE REDON A LA NAGE Voici les résultats de cette épreuve disputée mardi

l" M Pierron Georges, W 34" (Cercle des Nageurs Rennais); •>• M. Desbin Elle, 34" •" (C.N.R.k 3» M. Chrétien., 3.V 54'" (Cadets de BreBfene): 4' M. Sebilot 37' (A.C.R. 5e M. Tardivel (C.N.R. 6' M. Delarne 'C.N.R..

Le Challenge a été gagné par le Cercle des Nageurs Rennais. 36 LES REGATES DE SAINT-MALO

Résultats

Première course. Bateaux pécheurs, de 7 à 9 mètres. 1'r Etolle du Matin, Datron Fauchet: 2- Jeune-Amélie, p. Lecossois Désiré; 3' -Marie-Eugénie. p. Delisle; 4' Georges-Alice, p. Lecossois Jean; Annn, n. (üot; 6° Joséphine, p. Rault Prudent. Deuxième course. Bateaux .pècheurs de 9 m. A 13 ni. 'J' l'r Saint-Michel, patron Grossin-, 2» Courlis, p. Laine; 3' Sarcelles, p. Kérinier. Troisième course. Bateaux borneurs du quartier de Saint-Malo, de 4 m. à a m. 10. l'r SaintFrançois, patron Jouanne: 2" Spés, p. Picard; La France p. Robin: 4e Claire, p. Le Caron; &• Le Jlfve. p. Le Coustn; se L. B., ,p. Boulanger. Quatrième coure. Bateaux pêcheurs du quartier de Saint-Malo. de à 111..1,0 et 6 mètres). i" Relie, pat¡'on Capitaine: 2' La Vague p. Raoult; .;̃ ttente, p. Eve; 4" Loulsetlc, p. Blanchard; i' Marie, p. Blanchanl.

Cinquième course Bateaux de plCbe et pilotes de 13 m. ;u et au-do»us. l'r Alouette, patron Lucienne: i* Général attllènie, p. Leroux. Si.\i.-me course. Bateaux de la Côte d'Emeraude. 1er Cigale, .patron Colmet; *j# Petite-Marthe. v. Cantin. Giraud:ne, p. RebiliarJ; y Jacques, p. Tessier.

Septième cour.se. Bateaux de la Cate d'Emet/ Rie. .11"delon. patron Luzé; 2' Sniitt-Louls, p. Lemarrhand; Lilette, p. Grandais; 4' Corsaire, p. miellés.

Neuvième et dixième courses. Yachts au-des- sous de 7 mètrei et au-dessus de 7 mètres de Jauge. le Annir. à M. Saint-Mieux père: 5* Djinn, à M. Marim'ax: 3% Annick, a M Noë.

Baleinières et yoles. 1. Dlnard. p. Roulic: 2. St-tirtac, Ir. Priotix; 3. Intime, p. Gorsenet 4. Louis-Pasteur, p. Veiller.

Toneurx. 1. 2.celle, p. Gâchât: 3. René-Annexe, p. Traflïchemer; 4. Jeune-Colombe (annexe), p; Belœil.

Doris. 1. Etienne, il Lemarchand; 2. Jean, t. Lenormand; 2. C.V., p. Belœil i. A.-L.. p. Pungier.

Dorts d motear (force 4 chevaux¡, 1. La Paix. p. Lefeuvre: 5. Kits-Trot, p. SeJlngue; 3. Petite. Marie, p. Vannier; 5. Ecole, p. Charbeutier.

'Bateaux cl moteur (force 5 chevaux). 1. Ange.Gabriel, p. Freslon 2. Murejean p. Lebmt; 3, Cacique, p. Tronel-, 4. Jeune-Colombe, p. Collet. Courses en baquets. i. Vergnief; 2. Du.mousquet 3. Gouret; 4. Blanc; 5. Verdler.

Natation. 1. Fronton; 2. Robert: 3. Dumontet; 4. Dumont; 5. Chappedelaine; 6. Roche. 6

COURSES DE RENNES

Compte rendu du mardi 14 Juillet

T.e second jour du meeting" rennais a été un nouveau grand succès pour la Société organisatrice. Le temps splendidc avait ait'ré une très nombreuse et élégante assistance. Les diverses épreuves du programme ont presque toutes offert le maximum d'intérêt qu'on pouvait escompter. Les courses plates surtout et le steeple-chns? pour demi-sang ensuite ont été les plus intérestantes.

Le prix de la Société d'Enceuragement qui était l'épreuve la plus richement dotée des deux journées est revenue à Uobj Wau appartenant à M. de Lanele qui a été chaudement félicité rie son double succès de propriétaire et d'éleveur. >-ar le pofilain. par Bon et Tipperary V. rst un de ses élèves Anciouanl qui' la délicatement monté a eu sa part d'élosres. car Il a prouve, une fois de plus, en la circonstance, son habileté et son adresse

Deux accidents ont jeté une ombre à la réunion. L'ancien jockey Rouhette que nous vîmes monter en nretafme il y a quelque vingt ans a été atteint d'un coup de pied il la tfte par une ruade de la Jnment Cité, il a été transporté à l'ambulance clans un état qui paraissait grave. Dans la course de haies, le jeune f erret qui montait Xérès a été désarçonné par la Jument au saut d'une haie. Tombé sur la téte. il a été lui aussi transporté Il l'ambulance mais quelques temps après il reprenait ses sens et en sera qaittu pour une forte commotion.

La première course au trot attelé pour chevaux de service a été gagnée par l'Unie de Galles qui a dépassé Pnnam en face et a gagne facilement Le prix des Gayeulles. coure plate handicap, réunissait huit chevaux Setsnke, 58 tn (Douter,: Yambuck. 5<: (Andonarrt): Cité. 51 (Cros=ôuard<- J> TrmivHr. 51 (Baratelli): Tnnilr. r.2 1,2 (I Izo'tteîilrnt-Stnnl. m (LerOy) Il. 48 1 'Fereti Au signal, ïamhurk s'estmière devant Tanite et les chevaux groupés Tan-te forçait l'allure M prenait le comfnàndèment en face, elle était bien détachée devant oMa. rantaine qui précédait lanthnck et Cadilla \etsnké commençait son effort et remontait le peloton; dans le tournant, ii passait en tête pendant que Quarantaine et Tnnite sVfTon.lraient Net"iké que o- Trouv*"e tentait de venir il la copie et Mont-Sina) à l'extérieur. Nrtsnké conservait tr« ièreïïau le me"le"r sIr "«'.naf Le Trou«hM «l'une victoire facile Pour IMr". Pompon qui a pris la Me peu après le déport et a é"»né ^nPS-.SPîOn(1- pnls tombait boiteux. et 1!n Jievo ?aT il. h1» seconde place Vlmy Il qui c"mpiélta.tt le champ ne terminait pas le parcours, six, ont été affirhés dans le prix fie la Société Encouragement. Les chevaux ont défilé sur la niste avant de prendre leur canter. Le ienVhaiulncr. y, (Maubert); Iloh, Way î\ i ;·.ndonardl: H.-llo Il M 1 (Ferret); Anoenà, « »"fBara'telli): Accad m (Lizotte); nha,lam,nte 63 (Grisons). Holv°3W^S pT^Ï remarqués ont été ««"de !î!rm^,eUpnui.S.P0Ulain "e taille moyenne,

Sur un Mm départ Holy Way a pris la tète de vant Hello II. pendant que Le Scaphandrier était oblige de prendre place à l'extérieur A la sortie du premier tournant. Holy Way était en tète et Le Scaphandrier venait se placer en seconde posltion devant Hello II. Rhadamante fermait la marche. Dans le tournant final. Le Scaphandrier c> mmencait son effort, mais Holy Way résistait facilament son attaque, il ne se laissait pas déborder et conservait- «alternent l'avantage jusqu'au bout Augena, A-orâfl. «uis Rhadamante qui avalAu- tenté bon rapproché n'ii ete dangereux. terminait troisième devant Accad. Cet. dernière a du se ressentir de sa course de dimanche; quant à Rhadamante son poids très élevé et le terrain sec ont annihilé ses chanLa course de. h«ies a été assez creuse, disputée par \eris as (Ferret); Sabine YI (M. ,le cir-n-M i -iVT 'Jante Tita 62 (Boucher) et La Biètrre 70 (Boulet) elle a été l'occasion d'une très facile victoire pour La Bièvre. Sabine XI a tenté de s'échapper, mais elle baissait'de pierl avec la distin:e "t è^i ->ée tombait à la dernière haie. La Bièvre l'avait déjà distancée et gagnait arrêtée. Xérés ayant <l,>«.,rconné son jockey. Tante Tita prenait la seconde place.

Le steeple-chase final pour chevaux de demi- sang mettait en ligne; Vnoi, 69 (M. de ServignvlVnia cS (Earbaray); Thor, 63 (M. de la Horie); Ilolaml XIII 72 (M. Le Ball); Ultra IV 69 (M de Launay); Vas-Y III, 60 (Hervé).

llnia a mené longtemps devant Ultra IV que suivalent Vas-Y, in et Urvoi. Puis ce dernier passait quand il voulait pour gagner très facilement devaut Vas-Y III;; Ultra IV était 3' devant Unia. HIPPARQUE.

COURSES AU TREMBLAY

PARIS. i;> juillet. Une température tropicale n'a pas nui au succès de cette petite réunion de semaine. Bien que les partants n'aient pas été très nombreux, le programme était assez intéressant, comportant entre autres le prix Hampton 120.000 fr.). rcomoleva l'a remporté assez facilement, seulement menacé par notre favori Berny Cross.

Prix Haricot (à réel.. 5.000 fr.. l.OO m.). 1. La Faribole il (Ch. Semblât), à M. G. Beauvois, Tra/algar (R. Ferré), au comte de Rivaud. Non Placés Swecpon (M. Amossé), James Srhwob La Uotia (A. Phillips), Kat (G. Garner). Bravo (R. Bretbès), Résidence (j. Coumenges).

Prix Lady Langden (6.C00 fer. 1.600 m.). i Rue Chartraine (G. Yvonnet). au vicomte G. de Damplerre: 2. Mazzini (H. Pantall), au baron E. de Rothschild; 3. Fairy Queen (M. Brethès). à M. J.-D. Co)m. Non placés Durcourt (M. Amossé) GaJiadcro (R. Luquet). Putange; (A. Phillips), Le. Rempart (H Hugon), Le Dcllys iR. Kaiser) Delphine (Il Ferat).

Prix Sir Bevys (à réclamer, 5.000 fr. 900 m.). 1. Delyane (C. Bouillon), au comte Vigier. Non placés Jxjrollne '.H. Pantall), Arbre (L. Bosch). Brazzaville (W. Williams).

Prix Hampton (20.000 fr.. 2.300 m.). 1. Tcomoleva (E. Gardner), à NI. Jean Stem 2. Bernll Cross (Ch. Semblat), à M. 0. Hoinherff. Non placés Araral (G. Vatard), Bonnc Chancre III (H. Pantall) Le Panache IW. Lister), Dnrl: George (F, Ha.rris).

Prix Lord Clifden fô.OOo fr.. 1.000 m.). i. Babyton (G. Stcrn). à M. J.-D. Colin; 2. Comerita (J. Clay). à Ni. Arthur Manby; 3. Le Pivert (A. Sharpe). au comte de Ferai. Non placés Trtmact iC t3ouillon), Hunlersdale (G. Bartholom), Zebzat (Ch. Semblat), Lavandière (R. Ferré), Qslris (G. Garner).

Prix Callerou (handicap. 6.000 fr.. Mjoo m.). 1. Théocrltc (Ch. Semblât), à M. Alexis Doleau: 2. Bellellose (M. Brethès). à M. Gùgenheinv. 3. l'clite Comtesse (D. Torterolo). à M. Cuillermo Ham. Non .placés 3lon Désir (R. Ferré). Bmaor (M. Mac Gée) primerose (C Boulllon). Klf Kl/ (R. Brethès). Chahut (.T..Tennlngs). Warsaw (H. pantall\ Mnndlnel {F. Harris). Slbirlnlte (F. Windei Htoernian.

fan mutuel

Pcs. Pel.

l-c.In Faribole Il n. 86 29^ p. »« 1°

Tiafalaar P. '<>̃>'> '̃' "• c Rhc (hiirfrninc G. Î94 Il 178 Si'

Mazzini P. 1? ̃"<> 6 Falninueen P. 19 ro S 5i S' c. Drl'iàne O. 16 P. Il .V) Jijroline P. S» 10 '-n V c. Ycomoleia o. 30 i» t-' p. 24 Il 0 .0 Bernwross P. 3". > l"> i' c. Babylon G. le 7ÏI P. Comerita P. Le Plrert P. W rX) 17 6' c. TMocrite G. 7« '<» 30 Bellerost P. 41 50 » Petite Content P. 90 »M

COURSES A AUTEUIL

Partante probables

ifrlx Contran. satè. Vertige, Lûung Ma, Sainte Winfried, La Lagoin, Mademols Kana M'ell Met ignerol. Font Romeu Il, Balkls Il.

ri.x Géographie. Fils d Papa' Se Souvenir, Don ose. Clean Sweep, Ortie, Coolcommon, Byrsaf, Normandie Il, Sainl-Malo, lilernwld, Beauvats Il. Sud Express, Matz. Sert,adac.

Prix Mamice de (îneest. Indoustan, Campali, Xe Kon Boit. Sanbon, Radztville, Djénane, Bien d'Azur, Poisson Volant, Valdupar. Patte à Ressort, Gunpowder.

Prix de Vlttel. 1'uccn Marlropa. Satchvllle Lad, Ortie Amboitra.

Prix Oki B>:age. Guerrier, Winnlng. Timgad, Sea Lion. Galim fan.Servance, Hayder AU, Came.(eg, four Crnils.'kurlo, Higlit Johnny, UolPeach. Prince Pedro.

Prix Galantin. Servadac^ Clean Sweep. Ottie, .Se Souvenir Coolcommon. Flfi-Xoisenu. sa1nt-\falo, Fie.ur Beauvais Il, ilaiz. Ex-Ltbrts. Caladox, Sen Lion

Nos pronostics

!'• cours» Noie, Vertige.

V course 5»r>>nef/ir. Sainl-Malo.

3' course Indoustan, Snubon.

4' course Yucca. Ambourg.

.v couise Servanre, Holbearh.

6" course Servadac, Sainl-Mato.

Le navire-hydrographe Beautemps-Beaupri est L'aviso Liévtv. le yacht Diana, étaient & Djibouti le 1-2.

Le dragueur Capricieuse était à Port-Saïd le 12. L'aviso Béthnne et le dragueur Dédaigneuse étaient à Beyrouth le 12.

Le 1.1. transport Dordagne appareille de Port-Saïd, L'aviso Ancre appareille de Saint-Malo pour Brest., le 15.

Le sous-marin Halbronn apareille de Brest pour Cherbourg, le 15.

Le sous-marin Trlnlté-Schillemans appareille de Brest pour Cherbourg, le 1.1.

Le torpilleur Enseigne-Roux est arrivé à Cherbourg. le 13.

ADMINISTRATION MARITIME. Pari?. = l.ï Juillet. Ont été désig.néà pour faire partie du jury d'examen du concours d'a^mis-sic-n à J'Ecole d'Admin.|str»lion de Rochpfort. qui doit commencer te 3 août 19J5 MM. Massenet. Ingénieur en cher de 1" classe d-u Génie' Maritime, e.n service à Rochefort. préskleiM;' Mv Lacroix, commissaire principnl. directeur de l'F.e.ile- d'AdministraMon de Roch«rort; M. Vvrault. officier d'Admlnilstration de lr classe des Services d'Intpn.cla.nce et de Sa.nté. on service à Roc-hefort: un comn>te principal des Services d'Intpndance et de Santé, en service 1 Rûchefort. s^ra désigné par le flirecieur de l'Intendance Maritime rie ce port. après etu^nte avec le président du Jury et 1 emplira des fonctions de secrétaire.

ARTILLERIE NAVALE. Le cerMflfat de directeur de tir a été décerné aux lieutenants de vaisseau Robinet de Plas, du port de Cherbourg, à bord rie la Provence; PlU'mejeaud, da port de Brest, a bord du Pnthau: Rebuffel, du Port de Toulon, bord du Colniar.

AGENTS TECHNIQUES. .4 été nommé, pour ccmpter dé la même due, à l'emploi d'agen: technique de 3« clause du Servie- de l'Artllle-rU1 Navale, 2» tour. 2» liste M. ouvrier à la Fonderie de Ruelle, en remplacement numérique de M. l'agent technique de 2» classe Jelade, du méme établissement, admis à la retraite. DESIGNATIONS D'OFFICIERS. Liste d'embarquement à la date du 16 juillet 1925. Lieutenants de vaisseau M. Detard, 1" juillet 1923 (après navigation sous-marine).

Enseignes de vaisseau de Il- classe. Tromeur, 1" juillet 1933 (breveté fusilier),

Ingénieurs (le 2* cla='P Nèble, 8 septembre 1921; Cornec, 7 octobre 1921; Rumeur, 29 juin 1935.

;¡ août; Rnchambeau, 12 août, p. New-York; Pologne. 18 juillet, p. Gdym'a; Xiagara, 9 a'.ût, p. La Havane et Houston; Ontario, 20 Juillet, p. Philadelphie et Baltimore; Michigan, 23 jiu.- let; Jacques-Cartier, 12 aatlt, p. Galveston-Houston; Géorgie, 23 juillet, p. Colon et San-Franctaco. De Bordexux Roussillon, 1" août, p. Halifa.\ et New-York; Pèlerin de la Touche, 24 juillet, p. les Antilles- et Colon.; Volubilis, Si! juillet, p. Casablanca; Bruxelles. 23 juillet, p. Cuba le Mexique et la Nouvelle-Orléans; Honduras, 23 jinlllet, p. la Guadeloupe- et la Martinique; Caravelle, 18 Juillet, p. Haït( et, Pucrto-Rico. De Saint-Nazaire Cuba, 21 juillet, p. La Havane et Vera-Ornz.

De Rouen Cantal, 28 juillot, p. Phlllppevllle, Bûne et Tunis.

Compagnie Française de Xaviaalion Il Vapeur. De Uarseille Providence, 21 juillet, p. NewYork Asia, 25 juill.'t, p. Constanîinople; Foria. 2-5 juillet, p. Dakar et Cotonou.

Compagnie Fraissinet. De Marseille FOixFraissinet, t« août, p. Dakar et Sierra-Leone; Louls-Frais.siii't, 31 Juillet, p. Coristantinople et Con*tan:za.

Messageries Maritimes. De Marseille C°rdilliere, 27 juillet, p. Alexandrie et Beyrouth; Pierre-Loti, 29 juillet, p. Smyrne et Constantliiople; Amboise, 17 juillet,; Chantilly, 31 juillet,, p. Saigon, la Chine et le Japon; Chili, 24 juillet, p. Saison, Tourane et Hatphong; Amiral-Pierre, 23 juillet, p. Madagascar, la Réunion et Maurice. De Dunkerque Yang-Tsé. DO juillet, p. Saïgon, li Chine et 1'Extrè.me-Orient.

De La Pallice Commandant Mages, Z aoljt, p. Saigon, Tourane et Halphen?.

Chargeurs Réunis et Sud-Atlantique. De La Pallice Malte, 22 Juillet, p. Dakar, Rio et BuenosAires.

De Bordeaux Fort de Trayon, ?i Juillet, p. Rojario de Santa-Fé; Lutelia, 25 juille. Forbin, 3 août, p. Rio et Buenos-Aires; Désirade, 8 août, p. Dakar. Rio ot -Buenos-Aires; Asie, 18 juillet, p. Dakar et MaMdi.

De Marseille Ceylan, 6 août, p. Saïgon; Tourane et Haïphon.g.

Cie Havritinn Péninsulaire, De Marseille Ville de Marseille, 1" août, p: Djibouti,g-i?cir et l'ije d* la Réurtian.

Soiii'té Générale des Transports Maritimes à Vapeur. De Marseille Mendoza, 20 Juillet; Vaklivia. 10 août. p. Rio et Buenos-Aires. Compagnie Paqwt. De Marseille Abda, 23 juillet, p. Casablanca.

Peninsular and Oriental. De Marseille Cali1donin, 17 Juillet, p. Bombay; Xarkunda, 24, p Bombay et la Clime.

De Londres Mogolia, 17 Juilla:. p. l'Australie; Xellore, 25 Juillet, P. )faite et Calcutta. Canailian Pacific Océan S. S. C. De Cherbourg Minnedosa. 16 Juillet; Mellta, 30 juillet. p. Québec et Montréal; Bmpress of Scolland, 2ô julllc<t. p. Québec1.

Bibhy Line. De MarenMle Gloncestershire. 23 Juillet, p. Colombo et Rangoon.

Orifiu-Line. De Tonion Orsova, Si Juillet, p. Colombo et r.Vustralle.

Rolland Am?riea Line. Dr Boulogne Rollerdam, 29 Juillet, p. New-York; Maasdam, 20 juillet, p. cuba et e Mexique.

Royal Mail Sleam Pack! ,De Cherbourg Ohio, 18 juillet: Orbtta. 25 Juillet, p..New-York; Avon. Ci juillet; Des)la, 37 juillet, p. Rio et Buraos-Aires,

Pacifie Steam XavIgatiOn C. De la Pallice Oroya, 23 juillet, p. Cuba. Colon et Valparalso. Xehon Lin?. De Boutoirne llig'imd Gien, 16 Juillet; Higland Loch, 30 Juillet, p. Rio et L'nion Caslle Line. De Saxon. 17 Juillet; ArundH-Caslle, H Juillet, p. le Cap Natal.

Compagnie Belge Maritime du Congo. De La Pallice Elisaberh-Ville, 16 jullleS; Thys-Vtlle, 6 août, p. Dakar et Matadl.

Lloyd Royal Hollandais. De Cherbourg- Zeelandia, 16 août; Orania, 4 août, p. Rlo et

Ri-ilterdnmsch- I.loyd. De Marseille Tabanan, 21 jinllei; In.'ulindr. i août. p. Java et Sumalrï. United Stales Lin's. De Cherbourg Président Harding. 17 juillet; Washington, 23 Jull'HK, p. .New- York.

Malle Roi/aie Xéerlandaite. De Boutonne rrijnssen, 23 juillet, p. les Antilles et Colon. Cunard Lin?. De Cherbourg Andania, 17 Juillet, p. Halifax et New-York; Ansnnia, 17 juillet, p. Québec et Montréal; Aquitania, 18; Berrngaria, 23. p. New-York,

}Vhitf Star Line. De Cherbourg Olympic, 29 Juillet, p, New-York.

n?d Star Lin-. De Cherbourg. Zeeland, IG juillet, p. Halifax et New-York; Lapland, 22 JllIII.M, p. New-York.

Atlantic Transport Line. De MinnPtnnka, 18 juillet; Minnewaska, 1" août, p. NewYork.

Dollar linr. De Marseille Président Adam», 29 Juillei, p. noston.

NOUVELLES DIVERSES

TRIBUNAL MARITIME COMMERCIAL. Le tribunal a condamné aujourd'hui 1 un mois de prison, avec sursis, et tG francs «l'amende Sans sursis, un soutier riu steamer Fnrmose pour voles cie f.iit sur un chauffeur le 1 Juillet.

Une belle croisière

Le sloop Munchen, du NorddeiMseher Lloyd. pari le 17 Juillet de Bremerhaven pour Reykjavik et le Spitzberg.

Le 2 août au soir, il sera au Cap Nord pour voir le Soleil rie Minuit.

Puis il vwtera des fjords de Norvège, Hammeurest. la ville, La Plus Nord d'Europe, Tromsoe, Moitié, Bergen.

Il sera (le retour à Bremerhav™ le 12 août. après avoir parcouru près (le 3.0110 mille; marins. Les pêcheurs et la chiffre d'affaires Loriest. i:, juillet. Nos lecteurs ont pu voir, dans notre numéro de hindi, qu'en réponse à une question écrite île M. Perreau, sénateur le ministre des Finances avait fait connaître que la taxe sur le chiffre «.affaires est exigible seulement sur le oroduit de la vente revenant à l'armateur. Les parts de l'équipage e,i sont exonérées.

Il faut se fèliciter de cette décision. Cependant. A notre av'c, l'exonération de la taxe sur le chifIre' d'affaires devrait Atre complète, au moins pour les entreprises moyennes, chaque fois que l'oqiiipSïei ne reçoit qne des parts dans le produit do la pèche.

Il suffit, pour s'en convaincre, d'examiner la situation qui est faite aux agriculteurs. Les mé.tayers, très ^ombreux dans certaines régions, reçoivent du propriétaire une nart dans le produit de l'exploitation. Certaines métairies dépassent certainement la valeur de beaucoup de bateaux. Or, l'exonération de la 'axe-est ici complète.

Pourquo.. par analogie, ne pas appliquer !a même règle la p?cbe maritime. La situation n'eit-pllf pas semlïlsible des deux côtés?

Le métier de pêcher est déserté, plus encore que celui de l'agriculteur. Et ici nous n'ayons pas la compensation de la main-d'œuvre étrangère. Il faut donc encourager les marins. La mesure que noiWDrécôniMjns tenu vers ce but.

EVENEMENTS DE MER

Un vapeur s'échoue

Lonmie?, 13 juillet. 'Nous recevons le télégraninv suivant de Kenitra: Le vapeur fr-ancals Prairial; allant a Barhursi. s'est échoué a rentrée de la rivière et a endommagé son hélice.

NAVIRES DIVERS

SIGNALES PAR T. S. F. AUX POSTES DE Ouei.-ant ,15, Tours, Sainl-Paluis, Saint-Pierre, Amiral-Dupern', Toulouse, Geneviève, Alaska, Capitaine-Conwielin, France.

PAQUEBOTS

ET VAPEURS LONGS-COURRIERS A1VRIVE5. .V Marseille, 13, Eugénie, de TunU; Espagne, Gouverneur Général Tlnnan, Gouvernent Général Lafenière, Gouverneur Général Gueydon, d'Algérie; il, Ahda, de Casablanca; Chef Mécanicien MOulte, de Tunis; Corte 11, (le Bastla; EugènePéreire, Flandre, Lieutenant Fourmavd, Jltitne et Xelly Lasry, d'Algérie; 1:. Amazone, de Yokohama; Dumbéa, de Maurice: Moulouya et Sidi-Ferruch, d'Algérie: à New-Y'OTk, 14, Paris, du Havre; à Dakar, 11, Ipanéma. allant de Santos à Marseille: 1 CienTueg-os. 9. Monl-Visn. an. de Marseille à la a Norfolk, M. P. L. M. 1*. de Barry; à La* Palura;. 14. Psyché, d2 Bordeaux; à Port-Saïd. 14, Générai Voi/ron, aU. île Marseille il Madagascar; Saint-Bonirace, ail. de Cherbourg- à Aba^sn; à Suez. 14. Xéninam, ail. de Hair-honsr i Anvers; à Zanzibar. 13. Chamlmrd, de Maurice-: à Flrhgtard. 11. Baucis, ail. de à à Montréal; a Landsenct, 13, BeaumanOir, ail. de Cardlff à Tu-nls; Brièr*. a!l. de Newport IJDran: à Gibraltar, 14. Draa, ,le Marseille; 13, Saint-Barthélémy, de VaJence; au Havre. 13. De Grasse, p. New-York: Réfrigérant, de Chine; a Casablanca, 12. Miche'-Mazéla, d'Oran: Volubilis, de Bordeaux; La Caille, d'Oran; 13, Oued Ttflet. de Kénitra; Carimare, Missouri, de Bordeaux: 11, Médie Il, Maréchal Lyautey, de Marseille: (le, Kénltra.

A Bordeaux, i;. Capltaine-Coitlnn. de Nantes- Ville de Marseille, du Havre; Roussillon. de NewYork.

PARTI?. no Marseille, 13. André-Chénler, p. Beyrou-ih; Aiulrompde, p. Nouméa: Circassie, p. Casablanca; Député Fréiiéric-Chevillon, p. Tunis; Général Metzinger. p. Beyroiuth; Général Bonaparte, p. Ajaccio; La Marsa Il, p. Tunis: Maréchal Bugeaud. Xicole-Lehorgn-, p. l'Algérie; Il, JacquesFraisr'inel. p. Broila; Ouedzem. p. Kénitra; Manouba et Timgad, p. Alger; de Port-Talbot, 14, ser, p. Alger; 13, Saint-Louis, allant du Havre a Vali.iaralso; de Kobé. 13, Compièone. allant de Yokohama i Mai-seilie; de Yokohama. 13, SiKianu, P. DiHikPrque-, de Pénarth. 14, Jura, p. Gibraltar;– de Singapour. fi. DEnlrecasteaux. ail. de Haïphong à Marseille; de Lisbonne. 14, Rritannia. ail. de Marseille à New- York; du Havre. 13. Caravelle, p. Haili; La Savoie, p. Xew. York; de Casablanca. 12, La Gaule, p. Mazagan; Il. Vnlnhiii.1. p, Bordeaux; Médie II. p. Dakar. De Bordeaux. t: Haïti, pour Casablanca; .4rkansas, pour les Antilles: Amiral-Mllarellc-Joyeust, pour Matadi. Arriiinl-jaineauibernj, p. la F'iata; Garonne. |.our Casablanca de 'ew-Po.-t. 14, Èrlère. pour Or: (le Saison. H.Dorise, pour Anvers; Aimlior, I,our Maisrille. VAPEURS CABOTEURS

ARRIVES. A Bonloirne. l'i. Xlrolas-Toussaint, de Blylh: Tamise, dp Saln.t-Si.Tvan; à Rouen. 1: Député de Rnhan, de Rotterdam; au Havre, 14. Zenon, de Hull; la, Danaé. de Rotterdam; Emile- Deschamps, de Caen; Sttint-Briac, de Southamptcn; il Rouen.. 13. Saint- \ul>in, d'Anvers; Xorthdate, de Bntn-IslatH!: Paréu>nOt de Gae.n; Tcmwarth. de Tyne: de Port-e.nBessl-n; British-Mnjàr, de Swansea; au Pakll», 11 Charles-Philipp/s de .Nantes; il Brest. 15, F.lnnlee. de Cartfirr; a l.a rt.-Nrhelle. 15. LucieDehnas. de Swansea; a [.orient. 13. Edith, de Pornlc: à Nant»?, 13, neechlree, de Porl-Talbot; Lucifer, (le- P&iUllac; Carbet, de Saln't-Nazilre; Guermnr. de Belle-Ile.

A Bordeaux. 15, Yanvllle. de 3oul;iRiie; CaptP.VRTIS. Pe Boulogne, 13. Léoville. p. La Havre; La Sein", p. Caen; du Havre. 14. ,V»rw mania, p. Scniihampton; dé Rouen, 13. Députéd?-Rohan, p. HotieriMm: Fernande, p Swanïeftj Leonhart, p. Dunkerque; Cantenac, p. La Havre;


Monique, p. Lci&: Député-Xortier, p. Gand; de La Rûcfcelle, 15, Henrl-Dflmas, p. Newport; Lucie-Deimat, p. Swansea; du Palais. 1(. isuermor, de Capitainc Coufot, ̃ p. le Maroc; Lucifer, p. l'aui'iar- MarUr.iere p. !.e Havre.

De Bordeaux, 15. Tordis, pour "tarry.

VOILIERS CABOTEURS

ARRIVES. A Boulogne. t 5, Emilienne-Louis. de PoriHDOutih; Araok, de Saim-Servart; Rocelyn, de Fey; à Naines, 15, Saint-louis, de Noirmoiuier.

PARTIS. De Boulogne. 13, Dlii, P. salutwaasi; Paix, p. Douarneme?; Kerrock, p. Cherbourg; Océanide, p. Cherbourg; Retne des Cie p.. PaMnpol; Concorde, p. Landerneau; du Paillé 14. Angélus de la Mer, p. Houat; Magenta, p. Pleubian; -,de Nantes, a, Saint-Louis, p. 'Pornfc. PECHE HAUTURIBRE

Lobent, 15 juillet. Labeur, 6.OO0 kilos; Mon Petit*. 15.000 kilos. C>ci£c. 12.003 kilos; Blaireau fi.000 kilos; Germon, 15.000 kilos; Don, 3.000 merlus 10.000 kilos; Keroman. 7.800 mer'lus, 15.000 kilos. GRANDE PECHE

ARRIVES A SAINT-PIERRE ET Miqijlit O« 15. Mauritanie. 3 000 .julntaux ̃ l't-ft te •. i.'jo quintaux. ^sle. 4.coo Qiuntaux; MontHn.mel,

Nouvelles de fa < Sainte-Jeanne d'Arc 'Communique' de la Société tifs Œuvra» de Msr) Le navire-hôpital est arrivé à Salni-Picrre le samedi it et en repart aussitôt. Position du navire le Il julhet latitude Nord JG« 1: longliude Or.es: de Pari~ D9» 13. Vent bor..ne .brl~e de Sud-Ouest. Mer prassc de sua-Ouest. Ciel brume 6pats.se. Baromètre A midi 753 mm. Thermomètre à mi.di à l'ombre 10°.

Dimanche iî Juillet. Lat-Itude Nord 44° 45; longitude Ouest 60" 15. Vent calme. Mer plate Brume épaisse. BaroroeTTe à midi 750 mm. Thermomètre à midi à l'ombre 12». Navire* visitas Scttsilour et Félicité, de SairtfServait; Capitaine Fonck, Lieutenant Védrines, Servannai*?, Saint-Suliac, de Salnt-Malo; Atagicienne et Thérèna, de Granvllle; Senhora de Carmo, navire portugais.

Lundi 13 juLllet. Laiitude Nord 44» 15; longitude Ouest 60° 10. Vent.: ralme. Mer plate. Brume épaisse. Baromètre 75i mm.' ThermomèIre 10-.

Navires visités Armoricain, France, GrandeHermine, Kléber, de Salnt-Mak); Stella-Maria, de Cancale.

Mardi 14 Juiltet. Latitude Nord 44- 45; tongitude Ouest 6<)° 43. Vent calme. Mer plate. Brume légère. Baromètre 756 mm. Theroiomètre 16°.

Navires visités Capilalne Guynemsr, Mimosa,

Saint-Suliac, Servantiaise, Klébtr, de Saint-MaloDuguay-Trouin, Eugens-Xoutse, Maréchal de Luxèmbuurg, de SaUit-servan; Saint-ihriftophe ïhéde (Irauville..

Oncale.. 15 juillet M Lemolgne, Armateur a reçu du capitaine, commandant le trôlsniâts .waïa un radio lui annonçant TouLb'.sn bord. PETITE PECHE

Dod*rne\Tz, 14 juillet. Merlans setze canots sonr rentrés avec une moyenne de 140 à 100 merlans vie toutes tailles qu'ils ont vendus à raison de ,5 1 45 francs le cent, suivant grosseur. Sept de ces canots ont aussi péché des lieus des tacots, des vieilles pour une valeyr de 50 à 70 fr. Crevettes huit canots de Trébou! ont péché au casier de 4 à 7 kilos de crevettes qu'Jls ont vendues à raison de f3 à 14 francs le kilo. Senneurs cinq canots ont pêdhé à la senne des petits liens, des petits tacots, des pUos, pour une valeur de 40 à 50 lrmcs.

Homards quatre canots ont pêché au casier de 4 à 5 kilos de homards qu'ils ont vendus 4 raison de 10 à il francs le kilo et quelques kilos de cra- bes vendus à raison do 0,80 le kilo.

Maquereaux vingt canots sont rentrés avec une moyenne de 150 à 200 petits maquereaux à la Ilgne qu'ils ont vendus à raison de 80 à 85 francs le

Quelques canots cnt péché 400 i y)3 gros maquereaux morrlioux vendas il raison de 80 -francs lo cent.

Sardines quarante ha.;eaa:; sont rentré- aveune moyenne de 4.000 à 3.00 sariinc*. moule ce- mill 23 4 )! au, kilo qu'ils ont vendues à raison de 19n à 300 francs le mille. Qu.itre-vingt? bateaux sont rentrés avec une moyenne de G.CCi) à S.O.K» sardine?, moule 50-60 mill., 3. à ij au kilo vendues à-l'usine 130 à 1M ie mille. Quelques bateaux ont péché 12.000 à 15.000.

Raies huit bateaux sont rentrés avec des raies. des Dosteaux, des maraches. des congres, pour une valeur de 6C0 à t.OCO francs. Cinq de res bateaux ont cêcihé 13 !i 30 kilos de langoustes vendues 11 à 15 francs le kilo et de r. à cou,raes de crahesaraignées vendus z,~0 le couple.

GONCARNEAU, 13 juillet. Trémail 5 baleaus ont vendu vieilles lieu3, tacots, efc?.. le totrt aux revendeurs, de 05 a MO rr.

Crabes et aralgnéps 4 bateaux ont vendu des crabes et araignée, le tout aux revendeurs, pour des sommes de 1.1 à co fr.

Merlan» 15 bateaux ont vendu des pêches varlant de 150 IL 200 merlans, le tout aux revendeurs, de 16 a 23 (ir. le cent.

Congres et raies 3 bateaux ont vendu des congres e-t raies, une partie aux revendeurs et mareyeurs, pour des sommes de 60 à 130 fr. Poissons divers 8 bateaux ont vendu des lieu, et tacots A la Hgne, le tout aux revendeurs, pour des sommes variant de 33 i 120 fr.

Thons 4 bateaux ont vendu 430 thons, le tout aux usines, a raison de 530 à 550 fr. la douzaine. Sardines 250 bateaux ont vendu des pAcn^s de 1300 à 6.000. motvles 58-60. 75-74. le tout aux mareyeurs et aux îil-nes, de à il 1,0 tr, le mille. Quelques-uns ont eu 8 il 10.000 sardines. LE palais 14 juillet. La sardine bateaux sortjs et rentrés, i2; poissons par bateau, 2.000 à 4.0fliv, au quart, 8 à 9: vendu au vert, néant; pour la friture. le tout. Prix moyen du mille, 97 francs. Quel.ques-uns ont eu une moyenne de 5.000.

La sardine qui avait Jisparu au début de la semaine est revenue dans nos coureaux. D'après les pécheurs elle abonde a%tour de Belle-lie. Le thon sont rentrés les thonniejs suivants, n° 1.446, de Groix, avec 80 thons, vendus '.50 francs la douzaine; n' sei. de Vannes, avec 103 thons, vendus. 4'.6 la douzaine: n" 2 573, de Douarnenez, avec 150 thons, vendus 436 francs la douzaine.

OBSEQUES

RENNES.' Vous êtes prié d'assister au coavoi et a la messe d'enterrement de

Monsieur Théophile AUERÉE

déc;dé à Rennes en son domicile, rue Nantaise n* 20, muni des Sacrements dé. l'Eglise, dans -i Sa* année, qui auront ¡Jeu la vendredi 17 jttillet, à 8 heures du matin, en 1 églisa !>alnt-Etieniie. On sb réunira à la maison mortuaire à 7 h. 50. L'inhumation aura lieu au Cimetière du \ord. De la part d2 toute la famille.

Le Drésent avib tient lieu de fane-part. NOYAL-3URVILAINE. vous êtes p-ië d'assis,er au convoi et i la mesie d'enterrement de Madame Veuve ALLOT

Née Elisabeth PELBATE

Receveuse des P. i. I.

dé"édéa à loyal-sur-Vilaine dans sa 5r année qui auront lieu le vendredi 17 juillet i»-.>5, 10 h. 15 du matin (heure ancienne), en l'église de Koyal-sur-Vllalim

On se réunira à la maison mortuaire à 10 heures. L'inhumation aura lieu au cimetière de \oyatsur-Vilaine.

De la part de M. et Mme Raymend Allot, • André Allot; Mite Jane Allot. se* enfants; M. et Mme Perrin et leurs fils, M. et Mme Cast:n, ses soeurs et beaux-frères, et de toute la famille. La présent. avis tient lieu de faire,part.

SAiT'JT-iïIfiLû Voa- êtes pji* d'assister sa convol ec a 11 messe d'enterrement de ̃ Moniteur Anatole FARVACQUE

• ancien Armateur

décédé en son domicile rue Toulier à S*in<-Maio muni, des Sacrexcni; de l'Eglise, cjui auront lieu le vendredi 17 juillet, 4 10 Heures -n la cathédrale (le

L'l::iiuu:at:on aura lieu au cimetière de SaintM^lo ilsns sop caveau

M la part des (amillts Fartacqte. Le Frapcr. Jolivel, Lcpafee. Dagor.

LP présent avis titnt lieu de falie-part.

SAINTMALO-fARAMÈ. Vous~eles~j*ïi d'assis er au convoi et a la me-se d'enterrement de Mademoiselle Marie AUBRËE

décédée le 14 Juillet dans sa 6.1- année, munie des Sacrements de l'Eglise qui auront lieu le ven ciredi t; Juillet. en légllss oarolssiAle de Paramé. à 10 heures précise

On se réuiitta à la Pendue Sainte-Anne, boule yard Gnate-nubriana à •' n. M).

L'inh::mation aura lieu au ctmetiére de Paramé De ui part de Mme Perrin at Mme Fleury. ses sœurs, du dnctei.i et Mnit V^n den Spiegtl ses neveu et nuce, de :\11 le, Edith et Joset;e Van den Spiegel, ses lietites-nlèces, et de toute la famille. Le présent avis tient U.-11 de faire,part.

SAiNl-SBRVAN SUR MER vous Mes prié d'assister aux convoi et inhumations de

Monsieur Alfred GUIHOT

décédé le 14 juill^x, à la Petite Belle Vue. muni des Sacrements de l'Eglise. Le convoi partita de la maison mortuaire le vendredi 17 juil:et, 9 h. t/2 précises pour se rendre à l'église parois. siate.

De la part de MM Pierre et Emile r.uihot, ses frères, de Mme Coudé et Mme Beaugrand, ses sieurs, et de toute la famliie.

Le présent avis tient lieu c'e faire-part.

NANTES. Vous ê'.es prié d'asister aux obsèques de

Madame Veuve Rémy DUCAST

Née Claire BOUVA1S

Pieusement décédée en sa demeure. 13. rue ClaudeBernard (boulevard P.:st«-ur) cù le deuil se réunira le veudiecit 17 juillet isrs. à 8 h. 3i p»é- cises.

1,'Office sera célébié a 9 heures en l'éïllse poiolss :alo Satnt-Clair. Kemeiciements à 1'église.

De la part de 11 et Mme Henry Bouvais. M. Jacques Bouvais, chevalier de la Légion dllonneur. îta« Noémie Dugasi, en religion Soeur sainte etelle. M. et Mme André Avril. M. et Mme Gustave Piron et leurs enfants. M et Mme Pant Guillaume et teurs enfants.

A l'issue de la cérémonie le corps 'era tiaasporté au cjpietlère de la Bout;l!erîe. Des voitures =er.vit à la disposition des invités lé'inat assiste".1 n i'inhuma'ion.

;.e présent avis tient 1 eu d'invitatiim.

PLANCOBT- vous êtes prie d'assister au convoi et il la nvsse d'enterrement de

Madame Joseph MERDRIGNAC

A'ee 3farie LEMOIXE

décédée dans sa 63' année, munie des Sacrements de l'EsIise. qui auront lieu le jeudi 16 juillet. 10 heures (heure ancienne), dans l'êgliu d8 StLorniol.

*De la part de M Merdrignac, de sa enfants et (le toute la famil e.

Le piésent avis tient Heu de faire part.

lAÎVïBALiiE vous êtes prié d'assister au convoi et à la messe d'enterrement de

Monsieur Prospar HALNA

Ancien Bouc.ier

décédé pieusement en son domicile à Lamballe, le 14 juillet. dans ta CO ap.i^e. qui auront lieu le jeudi 16 juillet à 10 heures (heure nouvelle). •• l'église Saint-Martin de Lampalle.

De,la part de Mini Halna, sa veuve, et de toute la famille.

la présent avis tient lieu de faire-.part.

PLOUGUENAST-PLBLO. vous etes prié d'as'l-'ter au con7i.i et à la messe d 'enterrement de Mademoiselle Léocadie LE ROUX

décédée en &a demeure à Flou^uenast, munie des Sacrements de Eglise. qui auront lieu le 17 juillet, a lt heures (heme légale), en l'église de Plouguenast.

De la part des familles Le Roux. Minier, ManJo. REMERCIEMENTS

RENNES- Wme Gouarin et sjs enfants remercient toutes les. personnes qui leur ont témoigné de la sympathie à l'occasicn du décès de

Monsieur GOUARIN

DINARD- Les familles Le Jolly, Jean Chareton. Le?can du-Pl«six et Perlié remercient bien sincèrement toutes les personnes qui leur ont téIgné de la sympathie a occasion du décès de Madame LE JOLLY

SAINT-BR1EUC M faut PUHon. ses enfants, petits-enfant- et toute la famille, très tonchés des nombreux témoignages de sympathie qui leur o ntélé doni.es à 1 cccasion 'le la mort de

Madame Paul PICHOU

prient chacun de vouloir biei' trouver Ici l'expression de leur reconnaissance émue.

PONT L'ABBE QUIMPER. Les familles Robert. Henri Floch, Eparvier. ont la douleur de vous faire part de la pe le rnielle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

Monsieur Léon-Marie-René ROBERT

Vent de Marguerite DEVALX

capitaine en retraite

Chevalier dc lit Legion d'honneur

décédé à Pont-1'Abbé. le 15 juillet, dans sa ~V année, muni des Sacrements de l'Eglise.

L'inhumation se fera il Quimper. Un avis ultérieur fera connaître 'a date et l'heure des oSsèqne^.

Feuilleton de VOuest-Eclair. ;̃.

du 16 juillet 1925 si

L'INCONNUE BIEN-AIMÉE Par Guy CHANTEPLEURE

DEUXIEME PARTIE

II

t Ma forêt commence à fleurir. Je la respecte et crains toujours de blesser en la dépouillant de sa parure, les êtres surnaturels qui s'y cachent ou la hantent, visibles pour moi dans les nuits de lune ou la solitude mystérieuse des soleils brûlants, quelque divinité des bois ou des fontaines, survivante d'un mythe grec, quelque fée, issue des contes de Perrine ou cette reine de toutes les Gor- gones et de tous les oiseaux dont Chano me disait autrefois l'histoire. Cependant, avec des précautions, j'avais coupé premiers lis en fleurs, près du puits, et, dans un buisson de laurier-lin auquel s'enchevêtraient leurs branches épineuses, une dizaine de ces roses, qu'on nomme roses France pour les porler à madame Faberot, la mère de notre consul.

Comme je montais vers le consulat. Fofo Phananotaki et son frère Miltiade qui descendaient en sens inverse, venait de la place, se sont arrêtés pour me parler. Eh bien tu les as vus, Marika, tu es contente ?

Mes yeux s'étonnent.

Qui donc î Je n'ai vu personne.

Les « hommes bleus »

Le ton exprime un dédain pénétré de colère.

Je répète, sans comprendre

Les hommes bleus ?

Mais les officiers français, mademoiselle, explique (Miltiade froidement.

Des officiers français, ici, ici 1 m'écriaije, me demandant s'ils divaguent ou si c'est moi qui deviens folle.

Comment, tu ne savais pas Des officiers français, mon Dieu, oui. Marika 1 Ds sont vêtus de-cet extraordinaire uniforme dont la couleur est, paraît-il, celle du lointain bleuâtre, de l'horizon.

Deux automobiles militaires les ont amenés et avec eux, des soldats, leurs ordonnances, je suppose, complète Miltiade. Ils viennent par le Nord. de Saloniqne ou du diable, peu importe Mais de quel droit sontils ici, c'est ce que je me demande 7 Ne te le demande pns plus longtemps, mon garçon. Les Français sont les amis de la Grèce et ne veulent que son hien. Il est, je t'assure, moins inquiétant de voir des officiers français à Janina que de savoir les Bulgares en Macédoine

C'est le professeur Phanariotaki qui vient de répondre à son ne\'eu; il passait, lent et distrait comme de coutume, son comboloï entre les doigts: il s'est arrêté, il a entendu, compris. et sa verte réplique a devancé la mienne.

Il n'est guère a Janina et, en Grèce, je crois de famille que ne divise la politique et les Phanariotaki de la branche cadette, sont aussi vénizelistes et francophiles que les Phanariotaki de la branche aînée, sont germanophiles et constantiniens. Le professeur Phanarlotaki remplit les fonctions .de drog-

man au consulat de Serbie. quoique ne sachant pas un mot de série ni de russe. Merci, monsieur m'écriai-je avec élan. On ne peut mieux dire.

Ne vous fâchez point, Barba Thémistocle, ni vous, charmante Marika, fait Miltiade Nous ne des mangerons pas vos homme bleus

Ils ne me déplaisent pas, le plus grand surtout, quoique je n'aime 'guère leur pays, insinue Fofo de sa voix câline.

Leur paye est un grand et noble pays Dieu le garde reprit l'oncle Thémistocle. Et puissent les hommes bleus comme vous dites, venir à Janina comme ils sont à Salônique 'Ce serait pour nous le bonheur et la sécurité.

Halte-là notre roi ne le permettrait pas, crie Miltiade.

Où sont nos officiers, monsieur Phanariotaki ? me hâtai-je de dire, trouvant le sujet brûlant.

Ils sont descendus à l'hôtel Avérof. Une foule respectueuse était sur la Plarè pour les voir. Puis ils se sont fait conduire au consulat et, de là, accompagnés par le consul, ils sont allés rendre leurs devoirs au préfet et au gouverneur militaire, avec cette belle courtoisie qui est propre à leur race. Comment n'avez-vous rien su, petite Marika ? 7 Je sors de la maison. Mon père est au bureau. Quelle étrange nouvelle Songez donc Je n'ai jamais vu d'officiers français, je crois. en tout cas, pas depuis la guerre

Miltiade hausse les épaules.

Française dit-il, avec un sourire qui me prend en pitié.

Porte-leur tes fleurs,- Marika. '̃,

Non, elles ont uue autre destination, ma chère. Et des lauriers leur conviendraient mieux que des roses

Qui sait, répliqua Miltiade, ce qu'il§ préféreraient ?

Des officiers français, les hommes bleus, les a hommes bleus ». Ces mots, mêlés à des pensées sans suite, bourdonnent dans ma tête. Vraiment, je crois rêver

J'ai vite atteint le consu.lat. Sans doute, madame Faberot me renseignera t-elle ? Quelle heureuse idée j'ai eue de iui porter des fleurs

Comme je demande à le voir, Timio le cawas m'ouvre sans mot dire la porte du salon. J'entre et, tout à coup, je m'arrête a deux pas du seuil, rrfcs fleurs dans les mains, et si surprise, si émue. que je dois paraître bien sotte à des inconnus.

Ils sont lu Oui, les hommes bleus sont 13. dans le salon du consulat 1 Assis sur les divans comme de simples mortels, ils causent amicalement avec NI. Faberot et sa mère. Madame Faberot vient moi, fine et charmante sous ses cheveux argentés, et prend les fleurs que lui offre vaguement mon geste. Oh les beaux lis 1 dit-elle. Et ces rosesFrance Elles sont très particulièrement les bienvenues aujourd'hui

Puis, me désignant les trois a hommes bleus qui se sont levés

Ma gentille Marie, je vous présente le commandant hiaubert, le capitaine de Sontac et le lieutenant Aubenel qu'une mission pour notre joie grande amène it .lanina. Messieurs, ma petite amie est la fille de monsieur Jacquemin. notre distingué comuatriote dont mon flls vous parlait tout à l'heure. Je

ne crois pas qu'il y ait au monde une reine plus fière de sa couronne que Marie Jacquemin, de sa qualité de Française.

Rencontrer à Janina la jeune fille française dans toute sa grâce, quelle aimable surprise, pour des soldats exilés fait le commandant Maubert, avec une courtoisie un peu froide qui lui va bien.

Je m'excuse de mon indiscrétion involontaire. Je veux partir. Le consul et madame Faberot me retiennent. Celle-ci insiste.me montrant un siège près d'elle.

Les officiers ont repris leurs places.

Pendant un moment, la conversation reste générale, puis elle se divise. Le commandant Maubert et le capitaine de Sontac causent avec le consul le lieutenant Aubenel avec madame Faberot,

Moi, je ne dis presque rien j'observe, j'écoute, je suis contente ».

Je voudrais donner ici de mes trois compatriotes, les hommes bleus », comme dit Foie, une image vraie ou, tout au moins les décrire tel; que je les ai vus. Mai? je ne saurai pas.

Tous trois sont jeunes, bien qu'à des degrés différents. Je crois que quelqu'un de plus expérimenté que moi, dirait du commandant « est encore jeune •. du capitaine « II e?t jeune du lieutenant « Il «t très jeune. » Toit, troi< portent, dans sa plus grande simplicité grades et décorations indiques à peine l'uniforme couleur d'hortzon 1 Ah qu'elle fut donc bien choisie pour revêtir les soldats de France, cette couleur era- blématfinue de l'Idéal, des nobles rêves, dm î la Fidélité 1 A


Poar les eafants qui grandissent La cure des P.ikle» Pink est propice. La cure des Pilules Hink est propice parce qu'elle renouvelle et maintient la qualité du sang. Cela est capital à l'époque de la croissance où l'organisme se transforme totalement. Chez les miettes, principalement, si la richesse du sang s'amoindrit, il faut waindr? cette anémie. particulière aux adolescents, connue suus le ncin de chlorose, et qui peut devenir une anémie pernicieuse incurable. Les Pilules Pirnk écartent le danger parce

queues augmentent sans ctsse la. richesse du sang en globules rouges. En outre, elles stimulent activement les fonctions vitales. L'organisme étant ainsi sans cesse soutenu et réconforté, la formation s'opère dans les meilleures conditions.

« Depuis plusieurs mois, j'étais ilpvenue très faible écrit Mlle Marie Coudurier, âgée de 15 ans, demeur' GrandeRue, 30. à Lyon\'aise (Rhône). Je

n avais pius u ap-

pétit et souffrais souvent de tiraillements d'estomac. J'avais aussi des points de coté et des migraines et continuellement froid aux pieds et aux mains. C'est ma mAre qui m'a fait prendre des Pilules Pinlz. Elle en avait tatt usage étant jeune fille et s'en était trouvée très bien. A moi aussi, les Pilules Plnk m'ont bien réussi. Je suis heureuse de le déclarer, car je suis tout à fait bien portant maintenant. >

Les Pilules Pi.n.k possèdent bien toutes les propriétés reconstituantes nécessaires aux tempéraments débilités. Elles sont toujours employées avec succès contre l'anémie, la chlorose, la neurasthénie, l'affaiblissement général. les troubles de la croissance et du retour d'Age, les maux d'estomac, les maux de tête. l'irrégularité des règles.

En vente dans toutes les pharmacies<Dép6t Ph«« P. Barrât, 23, rue Ballu, Paris. 4 fr. 50 la-boîte,- -24'ir. -les 6:boîtes, plus 0 fr 60 de timbre-taxe,par bolte.

va Affaires gd rendement à créer soi-même avec petit ou sans capital. Liste 1 fr. Edit. Pratiques, 47, rue Bonaparte, Paris.

COMMENT PARAITRE

JEUNE A40 ANS Une Merveilleuse

Recette de Beauté

Appliquez sur votre visage, avant de vous coucher, la valeur d'une cuillerée A café de crème fraîche et d'huile d'olive predigérée» et, le matin, vous serez émerveillée de voir à quel point vous avez rajeuni votre peau et lavez rendue douce et lisse. Lorsque la crème et l'huile ont été convenablement predigerees par des moyens artificiela elles deviennent absolument non-gra»scs elles constituent des lors un des aliments dermiques les plus complet. pour entretenir et embellir le» tissus de la peau. Non seulement elles revivifient l'épiderme et rendent les joues fraîches, fermes et roses, mais elles tendent il faire disparaître le* rides, les pores dilatés et les défectuosités du teint. Votre plinrmacien peut vous les préparer en quelques jours, ou vous pouvez les trouver 5r£tes à l'usage, dans un produit appeU- Crème Tokalon. Grâce i cette merveilleuse crème, des milliers de femmes ayant dépassé 40 et même 50 ans, avec des enfants deju grande, semblent avoir gardé leur première jeunesse. Succès garanti ou •»'Kcnt remboursé. En vente partout

&Ë^ ami véritable

est une douce chose 1 ENO'S "Fruit Salt" est l'ami de votre santé, confiez-vous à lui.Vous reconnaîtrez vite les merveilleuses propriétés d'ENO pour assurer des digestions faciles, chasser les causes des migraines, combattre la consti- patioa. Vous retrouverez grâce à ENO toute votre ardeur et vous jouirez de la vie sans nuage.

Uni le on -FRUIT SALT-

LES CADEAUX

DE L' « OUEST-ECLAIR » A SES LECTEURS

En présence de M» Dupont, hulssler il. Rennes, rue Lafayette, la Direction de L'Ouest-Eclair a procédé à la répartition des cadaaus suivants. McMfiisiru i au rtp*rtoirs_ M Uir» H'iailuOÊf

250 francs en eapèces Mlle Ger-

Mnaine de Chanteloup, village des RéXugiéa, Caen (Calvados) 1.198 Une carabine « Nationale a, rayée

6 millimètres M. Mafart Théophile officier d'Instruction physique, 40, rue Corderie, Saint-Brieuc (C.-d.-N.). 85.522 Une montre nickel pour homme,

valeur 97 fr. M. Delahaye Gustave, mécanicien, Paimpont (t.-et-V.) 142.9M Une montre nickel pour homme,

valeur 97 fr. -NI. Flachot, La Trinlté-PorhoSt (Morbihan). 70.122 Une montra nickel pour homme, valeur 97 fr. M. Le Gac, restaurateur, rue Saint-Sauveur, Granville (.Manche) 150.344 Un stylo-mine, valeur 90 fr. M.

Rogel Pierre, clerc de notaire, 2, rue Louis-Pasteur. Crozon (Finist.). 93.660 Une caisse de Champagne Mercier,

valeur 50 fr. Mme de Besne, StNieolas-des-Bote, p. Brécey (Manche) 148.38! Une caiese de champagne Mercier,

valeur 50 fr. M. Pierre Artus, Louvern-e (Mayenne) 114.344 Une caisse de champagne Mercier,

valeur 50 fr. M. Le Bozec, rue de la Cure, Vihiers (Maioe-et-Loire) 25.630 Une caisse de champagne Mercier,

valeur 50 fr. Mme Le Bouleh, 4. cours Saint-Sébastien, Bastia (Corse). 75.487 Une caisse de cordial Médoc, va-

leur 36 fr. 50 M. Legendre, boulanger à Massérac (Loire-Inférieure). 149.183 Une caisse de cordial Médoc, valeur 36 fr. 50 M. Soulard Maurice, La Pouzinière, Cugand (Vendée). 149.123 Une caisse de cordial Médoc, va-

leur 36 fr. 50 NI. Lepeltier, proprié-

GUERISON DE PLAIES

JE DONNE à toutes les personnes souffrant de maux de Jambe», uioèree variqueux, plaie» de toutes natures, maladie* de paau, eczéma, dartres, eto. le moyen de se guérir radicalement en peu de temps par un traitement facile et peu .coûteux. Je répondrai, gratuitement et discrètement à toute lettre affranchie. M. A. PASSERIEUX 0. L), Spécialiste, 46, rue des Faures, Bordeaux fGironde).

taire à la Lande-Vaumoat, Sclnt- i Germain-de-Tallevende (Calvados). 10.145 Une caisse de cordial Médos, va-

leur 36 Ir. 50 M. Chaudet, ssierio

la Pécardière, Saint-Man-2a»Brière

(Sarthe) G1.000) Un stylo-mine, valeur 35 fr. M.

Le Prévôt Théophile. villa Mélita,

Salnt-Quay-Portrieux (C.-du-N.) 43 5M Un collier pendentif, valeur 30 fr.

Mme Monnier, à l'Abastlale, Pler-

guer (Ille-et-Vilaiue). (5.449 Un bracelet fantaisie, 30 fr.: Mlle

Rose Picaud, Boderhard. St-Jean-Bré-

velay (Morbihan) 138,188 Une chaîne de montre pour homme.

30 fr.: M. Moénan, Loqueffret, par

Lîjmédern (Finistère). 74.0S7 Un colis de S flacons Parfum Arys.

26 fr. 50 Mme Vve Boudaln, à Saint-Jores, par Prétot (Manche). 146.705 Un coIis de 2 flacons Parfum Arys,

26 fr. 50 Mlle Guillou Reine, dactylo.

47. rue Solférino, Lavât. 186.96 Un colis de flacons Parfum Arys,

26 fr. 50 Mlle Pillette Louise, B6uig

de Noyant-la-Gravoyère (M.-et-L.) 138.S0 Un colis de 2 flacons Parfum Arys,

26 fr. 50 Mlle Madeleine Viot, Bourg

d'Avoisé (Sarthe) 154.105 Un stylo mine, 15 fr.: M. F. Guérin,

2, rue Stanislats-Baudry, tantes. 150.213 Un stylo mine, 15 fr.: NI. Jean Po-

trel, commerçant à Béganne (Morb.) 75.596 Une boilte de savons* Teinde'.ys

Mme Vve F. Le· Rouzic, & Carnac

(Morbihan) Une boiite de savons Telndelys

Ni. Coudray, aux Forges, Noyal-sur-

Vilaine (I.-et-V.) 76.328 Une boitte de savons Teindelys

Mme Héliez, bourg de Guipavas (Finistère) 70.221 Une boiite de savons Teindelys

Villes Sacidan, à Kerfens en Loguivy

par Lannion (C.-du-N.) 60.396 Une boilte de savons Tein'elys

M. Tillaut Joseph, Tour-en-Becsin

(Calvados) 35.940 Une boute de savons Teindelys

Mme Vve Lefresne, à Dragey, par

Genets (Manche) 149.M9

Les cadeaux seront envoyés par le soin das fournisseurs, dans le mois courant. Il n'est accepté ni achat, ni vente, ni échange, et. Il est inutile d'entrer en négociations aveo L'Ouest-Eclair à cet effet.

Les dépositaires, sous-déposltalres et vendeurs, entre les mains desquels les lecteurs ci-dessus ont signé un engagement, sont priés de nous écrire immédiatement pour. nous dire si ces lecteurs achètent bien L'Ouest-Eclair Recommandation importante. Vérifier soigneusement les colis à leur arrivée avant d'en donner décharge au livreur.

Feuilleton de l'Ouesi-Kr'.air

du 16 juillet lftJ5 39

LE SECRET DES EAUX Par André SAVIGNON.

xv

La Découverte.

En douceur 1. criait toujours Maugham. Et, tandis que la pièce de fer redescendait vers le pont obscurci par l'ombre énorme qu'elle projetait, l'armateur, se glissant sous sa masse, l'attirait de ses bras relevés qui semblaient la supporter au-dessus du vide, comme un géant qui aurait soutenu à lui seul l'architrave d'un temple, et l'amenait lentement vers l'endroit où il fallait la poser. ELe s'arrêta juste au milieu du, pont. Et puis, tout à coup, alors même que nous nous croyions sauvés, on entendit un craquement sec suivi d'un effondrement comparable à un bruit de tonnerre et le tout se passa en moins d'une seconde je vis Mengham, les bras toujours en l'air, paraissant s'efforcer d'arrêter au-dessus de sa tête la chute de l'avalanche énorme et, dans un tumulte épouvantable, la pièce s'écrasa à nos pieds. Alors, un désarroi indescriptible. On comprit que le maître avait été tué sur le coup. Il était inutile de chercher à le dégager. Déjà. d'aiUevfS, Corsen, ignorant le drame qui avait eu Heu, appelait, appelait encore, et force nous fut de hisser un baril. Maladroi-

tement ac:ueiKi, il sa Lrisa en prènant contact avec le pont, déversant, lui aussi, parmi les algues qui jonchaient le plancher, parmi l'eau et le sang qui coulaient de là-bas, sous la masse de fer, des centaines die pièces d'or. Les hommes s'approchèrent quelques-Ujns se baissèrent avidement. Mon parrain voulut faire remonter Corsen, mais son geste fut compris.

Tu l'appelleras plus tard 1 proféra Le Louarn.

Et, d'un formidable coup de marteau de forgeron asséné- sur la tête, il envoya Prigent rouler par-dessus bord. Mon parrain ne reparut même pas sur l'eau.

De tow ce qui eut lieu par la suite, sur le pont de ce navire maudit, j'ai seulement gardé une- vision confuse, indistincte, comme une série d'images qui se succèdent dans une nuit da cauchemar. Je vois le palan continuant de fonctionner et amenant sans trêve de lourds lingots et puis d'étranges coffres aussitôt éventrés et dont le contenu prodigieux submerge le pont diK' bateau j'entends toujours le cliquet régulter du treuil, le bruit des pistons de la machine à air tout autour de moi, les hommes s'agitent et proclament leur joie féroce, leur soif inassouvie de richesses. Ils ont envahi la cabine. Des bouteilles, vidées de le'.V contenu, s'écrasent avec fracas sur le plancher un enthousiasme hideux, alourdi par l'alccol, a conquis, maîtrisé chacun tous chantent et crient, blasphèment, se disputent ou s'embrassent en tournant sans arrêt le treuil infernal.

Et puis je m'aperçois que la pompe a cessé de fonct.ionner et je iris précipite vers

la manivelle, L'extrémità de la corJ-e de sûreté, lâchée par mon parrain, au moment où if fut frappé, est tombée à lieau. Alors, tout seul, pour sauver Corsen. je m'efforce de mettre en branle l'épuisante machine, sachant que, si je m'arrête un instant, la mort du plongeur s'ensuivra. Mais la fatigue, enfin, a raison de mes forces je suis exténué, mes bras se refusent à travailler davantage, mes bras sont mides, le souffle me manque, mes yeux voient trouble. ].s n'entends à l'avant qne des clameurs et des chants sauvages, je perds connaissance et je 'tombe sans mouvement.

xvi

Seul

Quind la fraîcheur m'eut fait reprendre mes sens, je vis qu'va coup de hache avait sectionné le tuyau d'air du scaphandrier. Les larmes me vinrent aux yeux en songeant au pauvre Corsen, et, les souvenirs de cette longue journée se présentant en même temps à ma mémoire, je pleurai ausst Mengham et mon parrain.

Le pont, maintenant, était désert. Mais il offrait un covp d'oeil indescriptible.

Partout, un abominable désordre des barils qu'on avatt sortis de l'eau roulaient lentement d'un bord à l'autre, sous l'-effet du mouvement des vagues, se heurtant aux outils, ay,x cordages épars, aux bouteilles qui jonchaient le tillac, parmi de longues algues emmêlées omme des grouillants reptiles. De nombreux matériaux arrachés aux deux épaves avaient glissé, inclinant fortement le bateau par tribord, les tùles. mal équilibrées, avaient d'imperceptibles déplacements qui

les faisaient jouer et se tasser avec des craquements sourds et tout, jusqtfaux larges tact es d'eau colorée de rouille étalées sur le plancher, et dont la lune éclairait les reflets rouge sang, tout contribuait à donner au Rageur l'aspect de quelque corsaire après un terrible combat.

A l'avant, j'aperceviis da hommes étendus immobile» comte des cadavres, ils étaient ivres et dormaient, tandis que d'autres, ivres aussi, chantaient dans le poste de l'équipage. Or, un ignoble spectacle devait à det.\x ou trois mètres de moi, le chien Gendarme, à demi caché sous les monceaux de ferraille retirée du fond, lapait avidement quelque chose de visqueux et gras qui avait formé une rigole, près de l'endroit où Mengham gisait écrisé.

M'arrachant à cette vision sinistre, je constatai- que le bateau, toujours solide sur ses ancres, n'avait heureusement pas changé de position.

Je jugeai inutile de rappeler ma présence aux mutins. Néanmoins, je m'approchai avec les plus grandies précautions du pcste de l'équipage. Qu'y disait-on Y. Qu'y faisaiton 7. Une insurmontable curiosité guidait mes pas. Et puis, cet aveu va, je crois, vous surprendre, quelque aversion que j'éprouvasse pour ces hommes, la sotitude m'était si Insupportable, au milieu da ce navrant décor, que je sentais lentement monter en moi une énorme épouvante qui, peu à peu glaçait mon corps, tout secoué de frissons convulsifs assez analogues à des décharges électriques. A tel point qv,e je me rendais compte qu'il ra'allait falloir porter mes deux

mains à ma gorge et la serrer, pour m'em*^ pêcher da hurler, face il la mer, comme m»' dément. Oui, j'en vius à redouter la solitude bien plus qu'un contact immédiat avee ces féroces criminels. Je voulus, au moins, P01.V me rassurer, écouter de plus près le son de leurs voix, humaines après tout, et je fus ainsi, invinciblement, malgré moi, porté vers eux, vers la vie.

Mais, ayant encore progressé de quelques mètres, sans m'exposer pourtant à être vu, je 'remis d'entendre prononcer mon nom. J'avais en tort de croire que j'étais oublié 1 Et voici ce que je compris

Le Louarn avait assumé le commandement du Raicnr. J'en conclus que les trois hommes qui, trois jours auparavant, coulaient sa mort, avaient complètement revisé leur opinion sur lui, cevant la tournure si inattendue prise par les événements. 1.'ancien lutteur, maintenant, expliquait à ses camarades qu'ils étalent rtches jusqu'à la fin de leurs jours: Deux combinaisons s'offraient à eux apr2s qu'on aurait terminé de dépouiller l'épave de son précieux contenu, on pourrait débarquer l'or dans un flot dé&?rt de l'archipel et regagner Ouessant on expliquerait par un accident la mort de Mengham et de ses deux compagnons. L'autre combinaison était de « balancer la ferraille dans la flotte » et (la gagner qv.elque port du nouveau monde après avoir maquillé le bateau et embarqué les provisions nécessaires au voyage.

Oa dernier plan était le moins raisonnà- ble ce fut à lui qu'on s'arrêta, Une seule chose s'imposait désormais tuer le gamin

(A suivre).

:7::0 BOURSE DE PARIS PAIU5. 15 juillet. L'excellente tenue du marché, qui s'est manifesiée tout au cour. de la semaine précédente, prend une nouvelle ampleur à cette première séance de la semaine; aussi, l'animation s est-elle accrue de laron sensible. En dehors de l'activité, due au volume d'affaires sur notre mar. ché. 11 faut signaler la fermeté du marché tte Londres qui. pendant notre chômage du pont du M juillet, nous démontre une progression sensible de cours; ceci Joint aux bonnes dispositions de nos valeurs, vient aider à ce regain d'activité. Nous devons tout d'abord, signaler la grande ferJnet* de nos fonds d'Btat. et notamment des Bons du Trésor, qui accentuent leur avance, et patficu-*librement les emprunts l'JK i" et S" émission. Au groupe des Banque·, les cours ne s'écartent pas sensiblement des précédents, mais l'activité persiste toujours C'est ainsi qu'on retrouvé la Banque de Pari» et des Pays-Bas, aux environ» de 1.300: la Banque de l'Union Parisienne A 883; le Crédit Lyosnais à 1.587. Grande fermeté des valeurs pétrolières; Dabrowa, passe de 470 à 5K>; Codombia à »1: Concordla 1 2S0. Venant de 219,50; Royal Dutch «st ferme à S4.250 contre 33.:oo. D'autre part. la Franco-Polonaise, que nous laissions à la dernière séance à 3M. s'élève à «5. Parmi le» (Troupe* les plus favorisés, il faut citer celui des valeurs de caoutchoucs où, dans l'ensemble, de grosses liaussas sont enregistrées: des caoutchouc; flinâo-Chlne ipassé .1 l.îM, venant Ce l.ieo-, la Fitva-aeAere i «a contre 2W-. Malacca. 347: PaOang. 37». Parmi le valeurs à change, le Suez qui débute à 11..1S3. temine i «.̃«»; le Rio est ferme à 4fl70; la De 'Heers. en hausse à 1.166 contre 1.197. En clôture, la cote est soutenue dans l'ensemble et les groupes des CaouWhoucs et Pétroles notamment conservent leur grande fermeté de la «lance. Banque Rend Loyer.

._j' Marché des changes

Cours Cours Cours Cours

de du de du

la veille jour la veille Jour

New-York n. ̃> «.31 -Suède n. »|573. » Belgique.. ». »! 98.475 Suisse. ». »'«14. » Espagne.. dp398.7d j Prague Il. »< 62.90 Italie ».»: 78.ÏD Vienne. )), »|3M. Il Hollande. ». »'852. Roumanie »! 10.25

LA BANQUE HEN'E LOYER est Il la dispo,¡Lion des lecteurs de l'Ouest-Eclair pour leur lonrnir, tant à ses guichets que par correspondance, tous renseignements financiers; c'.1e répond gratuitement i. toute Jemande.

PARQUET Comptant Actions japonais 4 d 1910 235 237 53 FONDS GARANTE PAR L'ETAT BAN0 FRANCE., 63C0 «16280 MAROC %R%T Tl J^S » “•/ 3 PERPET. 42 65) 42 55 C COM. de FRANCE! 652 »! 654 4 OR OR 1934.. «3 sa

Terme u*l 5 19I5-1316.. 53 651 53 4S CREDIT FONCIER. 1340 » 1339 » 4. OR 1910. COURS S' 4 1917 44 351 4435 MARSEILL. CREDIT. 432 «t 428 » lùhi T2 <TH?«4 l" » Prte^tour g |i 4 1918 43 701 43 70 EST 660 » 660 SERGE 4 S l^?,1"" M «Nou«MPA.iP^,f a£fi|Ï92oAM: H^Sil LYON 83ji ?i fâ "«1m2» » ï!"?a,:{Sïaïï!r.i!j,a sûss s s- uss^- %i%si MIDI 1i marché en banque KR»:™1,1^1"»11^: i 5 T '«ST1 £ .'1% » S S Kite" sâ XÎS5? METROPOLITAIN •: 2$ :£& » il \$B\ S 485 ii sasa^ ss s DIS? PAR D'eL. I 951 il 954 £< 2$ isâVlJ? ?M Mfi^ 0R' F0N0- F»-BANl 6300 »:605û )1 CROWN MINES 290 ni 371 Il CONCO CU LAIS. » i 718 i! DEOENNALBS 18Ï9. 73 90 73 49 IVH^^l^u,^ 1B19 » "î M FRANCO MINES. 397 Sût 404 » THOMSJN-HOUSTON 3ÎÏ »\ 380 » ALGERIE 6 Vtt21 334 » 336 Il 5S22' ln22°»Hn'.NB 'ÎSS » 'S* OSDULDO 350 »l 356 » DABROWA «o »I549 » Obligations oaz ce PARIS Il)11 262 hotchkiss JM6 1.1153 » TREFIL eu ..AVRE.. 163 1)1186 l> ̃•! 3 1910 164 Il! 16S ACIER. d« LONGWY. » » 800 » IIUANOHAOA 144 ni 143 » •̃• i i il i¥9mv. » 260 Il f^=^ 5S5 rn i Bî^EE. M\M\ 'FONCIER 1883.. 186 III 193 S m I V=r,:=: UNION EUROPÉEN. 1168 1)1220 n 271 «1278 50 SRziN » ï!«79 l PHOSPH. TUNIS. 435 »! 460 » VOITURES A PARIS. 717 »|7!7 n E I LYON S F »•• 201 »! 210 » CARVIN O1Q »! MO » RAND MINES 3M »! 303 » AIR LIQUIDE 417 Il'1.280 » ul MIDI 6 ANO. Il: » » viooiONËitNŒÛ'x. 570 Il: 579 » SHANSI 6G 751 62 Sa RAFFIMERIESAY. 1917 »|1932 » »f 0HL. 6%" 268 »| 275 » 5b,NE,' RHONE i 4M 430 ) TABACS ORIENT. 3*5 330 RIZERIES D'ORIENT n If ORL. 3 ANC 223 11IÏ35 11 gJoR BRZSILIENN. 685 67!! » TANOANIK V 226 » 252 Il !S|! » 01. C. El. 6 V 436 »J 426 » ^ÏÎ-iÏt* cSSÎIsSON ^0 liSs ï"»!|îv**LllliïVoï 411 »1W Il S 1896 8 1 8 » THOMSON 6 "«̃̃ 365 » 366 AGENCE HAVAS 1350 Z1325 X TUBB* SOSNOWI0E. 174 )1 173 S S 1914 38 201 32 55 jl METAUX 6 » » BEC AUER 890 » 894 n S.ïl'tff;1!.8 .lÔS' » » l BANQ. NAT. MEXIC.! 527 » 640 1) rf SEN. M/UZ 6%. 333 Il 3!8 » PARIS-MAROC 64 65 r|Ûm»,N E °" «11 39 Il)1 » BANQUE OTTOMANE 886 Il, 890 CARMAUXG% PART-POLIET 7240 «17800 J ROUMAIN B 39 l Ï850 CR. FOHC IOYPT.Î097 n'3075 » £N Mln.f de U'LOIRE 382 «385 60 F«*H« *lmno«P« « oîluViVAiMun Son ï 1MM l NITRATE RAILWAY l103'i 01043 11 a OUENZA 6 1/2.. » » » Fonds étrangers tt RAPHAËL QUINQ. 1790 >|<850 » oÎmtRa'l MININO ..(m n'1525 Il l OAFSA4 1/2 l »l 186 »! » » UNION ^SPAO. p.r«. «7 .1110 » ̃ 10 tinto iota itll270 Il S CL-CHIM 6 11 il S a 1400 SHEL1. 462 ni 479 Il MOT? NORVÈGE" '«M 1 1380 » POULENC6%: »I489 S CHINE OR 1905. 356 »' 383 50 CROSNYIPRIV m »' 613 » LAUTARO NITRATE 658 "670 tt-OOBAlN 5 1 » 80YPTE UNiriÉE ..i 341 50' 341 SO OMNIUM PBTnOLES 400 » 470 » NAPHTE RUSSE I 9« :«0 Il Pli MAROC 6 °'. ?55 »l » » EXTER. ESPAGNOLE B Il STBAUA 325 Il 400 )) SSieii'tal oÂÏpËT lit ïl »8 CE FRANC. 6% 398 Il Il ITALIEN 3 1 '2 64 ni 55 Il HUTOHINSON ORD. Î0Î6 «I4A40 » Î5r! EOyVte ORO 1?» Ï11W ï ULLE.EOM 6 I 397 »< 397 II JAPONAIS 4% M0S. 347 60! M» Il MONACO 6875 B 6810 Il TABAM OTTOMANS 410 »" 405 TAB MAR. 6 466 ni » JAPONAIS 6 1907.1 314 il 311 1 POYAL OUT0H «MO »!s«JSO »

RENSEIGNEMENTS FINANCIERS Banque Française du Maroc. L'exercice 1924 s'est soldé par un bénéfice de Ir. 533.930, auquel s'ajoute le report antérteur. soit au total tri 683.7C7. Sur te total, fr. 341.996 ont été portés & 1« réserve légale et aux amortissements, le solde Ir o41."l a été reporté a nouveau. C'est le premier exercice complet qui se soit écoulé depuis la trass»formation (T»'a subie la Société Foncière Marc,,aU ne, a la suite de sa fusion avec le Crédit Franco» Marocain da Commerce Extérieur et le Crédit Fonn cler Marocain. La Société a été entravée par 1* persistance de la crise immobilière au Maroc. Wagons-Lits. Les actions nouvelles, d'un no» minai de fr. 100 et destinées à remplacer les anciennes actions de 200 fr.. sont admises à la Cet4 Officielle de la Bourse de Bruxelles, depuis hier. Tramways de Constanttnople Les bénéfice» pour l'exercice I9îi atteignent Lta 307.811 contre Ltq 253.131 en l»-M. Le dividende a ét« fixé à Lt<i 1,36 au fr. 30.91 var action et l.tq Cil.Tià. ou fr. 0. "c2-2, 16 par part,

Cli. fer Rosario a ruerto-Brlgrano. Les rezet.tes pour les onze premiers mois de l'exercice qui vient de prendre fin feraient de fr. 10.008.600 ait lieu de fr. 13.037.800 pendant l'exercice pivcodent tont entier. carburateur Ztnilh. L'assemblée a autorist l 'aliénation de 67.203 actions de préférence, série A, de 10 sh chacun-3 de « The Zénith Carburetter l.td » et a conféré aux actionnaire-», le droit, pen- dint un délai de 3 mois, d'acquérir les dites actions ai prix de fr. 25 l'une. Cette délivrance aura lieu dès que les litre. seront imprimé* et les autorisations administratives obtenues.

Chartionnaues du TovKin. Pour les six premiers mois de l'année, les expéditions de charbon sont de 371.400 tonnes contre 389.900 tonnes pour la Période correirtondante de 1S94. Les expéditions de briquettes ont été, par contre, de 44.300 toanes au lieu de 39.9QO tonnes.

Zi«ej de SilHir. Les bénéfice» de 1994 se son» élevés à 1.741.Ô2-. zlotys contre, en 19S3 un bénéflce de 3.143.464 millions de marks polonais cor»responiîant environ A ;>70.ooo zlotys, Le dtviderde est de C soit 6 zloty% par action.

Banque René Loyer.

LA BANQUE RENE LOYER

délivre en tout temps

DES BONS DU TRESOR 6 1«3 cru'ella vend lnrirlsfclement 500 franc» plm toitpets couru. deptili le dernier e^u^on et qu'elle r&mÈourse Invariablement sans aucun préavis • la minute mêmr oit vous le désirez. au prit d'achat augmenté de, Intérêts courus.

Le prix de cesslon et de remboursement wl «ujourrt'hul de

Fr.50.1, 4 peut les Hons usa. i» émluloB


L'AL TRUI8ME ET LA VIE MODERNE

altruisme! Quel giand mot! Ne reculez pas cependant épouvantées devant lui. Qu'il n'évoque pas en vous! cortège d actions d'éclat ou :'image de toute une vie de prouesses impossinle à mener dans

la majorité des cas. L'altruisme est une cti-s* trèe simple et très belle, a la portée de tous, puisque c'est l'amour a*s autres, eu une furiite plus philosophique et sxiale, plus laïque en quelque sorte, de la chanté chrétienne. C est le dévouement généreux et désintéressé à une giranue caiuo humaine. Il peut s'expirer partout, dans tous les m lieux et dans tous les domaines ue la vi2 moderne. Un des plus grands fléaux qui aient jamais menacé le monde est, sans contredit, le péril acmel communiste. Sa' s vouloir s'en effrayer outre mesure, comme certains esprits timoré.s qui sombrent tout a l.*ii devant lui, on ne peut raisonnablement nier son existence. Il existe d'une manièr-j d'autant plus grave, qu'un grand nombre d'adeptes sont séduits par cette doctrine, comme par une religion nouvelle à laquelle ils sont prêts à tout sacrifier.

Voilà pour notre activité parmi bien d'aufres un champ d'actiun d une immense étendue tt c'est peut-L'tre à nuus aûîres femmes, bien plus encore qu au* hommes, qu il incombe de lutter. Il s'agit do déployer un dévouement obscur, cache, fait de uûuceur, de persuasion et de bonne grâce souriante, n'est-ce pas là l'apanage de p:j,que toutes les femmes ? EnSn, puisqu faut atteinure les esprits, n'est-ce pas tout naturel que la femme essaye de le faire aven son doigté délicat ? T

Nous disions que le communisme est une sorte de religion. Le mot n'e;t pas très exact, bien qu'il offre, par certaines théories, un vague mysticisme aux simples ou aux gens sans religion; en réalité, il supprime tout Idéal et promet récompense et bonheur sur cette terre même. Mais, il ne peut éteindre le godt du divin et du surnaturel qui réside si profond dans les âmes; aussi le dévie-t-il. Ainsi, en Russie, voyons-nous aparaltre des superstitions grossières, entretenue par des imposteurs, à cùlé d'un culte olnciel rendu a la mémoire de Lénine. Il ne faut pas que notre France toit la proit de c;s erreurs forgées par des révolutionnaires étrangers. On s'est tant Ingénie sa(>er les croyances religieuses dans l'esprit de la masse, que la foule est toute prête à accueillir un nouvel idéal, dont elle ne peu' se passer. Nous, toutes, femmes de France, si nou? voulons entrer dans la lice, nous pourrons, pat nos exemples, nos paroles et no; actes, montrer à la foule l'inanité des nouvelles idoles qu'on lui propose et lui prouver que les croyances anciennes étaient vra".<.s, justes et bienfaitantes.

Certes, la tache en délicate tt ardue, amies lectrices. It est impo=siDle de lutter contre une doctrine dont la nouveauté et les promesses trompeuses attirent la foule souffrante, avide de bonheur il est difficile d'approcher les âmes qui se cabrent et se ferment lorsqu'elles sentent qu'on les veut conquérir. Pour atteindre notre but, nous devrons mettre en œuvre toutes nos qualités de femmes doigté, mesure, largf ,ir d esprit, tolérance en un moi, il faudra faire accepter not;* apostolat si nous voulons qu'il soit efficace. Il sera fécond, si nous aimons ceux que nous voulons conquérir aux idées justes <̃< saines, comme des âmes égarées et souffrantes qui par conséquent ont besoin de notr* tendre sollicitude. L'amour 1.;)')elle l'amour il est comme un chaud rayon de soleil qui fait éclore les fleurs, il ouvre les cœurs et permet de les atteindre. Que notre bonté .-ville jus- qu'à ceux qui ne vivent pas comme nous, et que noue essayions de leur montrer, par le simple exemple de notre vie, la vérité de nos doctrines. Aimons-les pour les convaincre et les ramener au vrai et au bien. Et certes, cette vigilance éclairée sera comprise: elle nous rendra, mieux que les plus furieuses diatribes, les esprits un moment conquis par de fausses théories.

Ce n'est donc pas par de ;:rands discours, ni par des phrases sonores que nous atteindrons le but, mais par une attention <ie chaque jour, de chaque instant, par un mot dit quand il le faut, avec l'intonation ou le cœur nécessaires. Nous serons douces et fermes, comme de vraies infirmières que nous deviendrons, infirmières de l'esprit et non du corps, cette fois. La bonté souriante, la pitié compatissante, telles seront nos armps dans notre guerre a nous, guerre aux idées fausses; idées plus terribles peut-ét.re qu'un ennemi déclaré, car elles mènent sourdement notr» pays, et le mèneraient promptement A la ruine, si toutes les forces saines et actives qu'il possède ne réagissaient pas au plus vitt.

C'est donc, amies lectrices, une belle et utile tache, à laquelle tous ne pouvez faillir. D'ailleurs, elle répond si bien aux aspirations féminines, au désir d'aimer et de se prodiguer qui se retrouve chez nous toutes que vous l'entreprendrez, à l'occasic1», avec joie. Unies dans le but de pacifier les esprits, nous montrerons ainsi que nous savons, de toutes manières, aider notre Fran :e. Et peutêtre, si chacune dans sa sphère réussit à calmer certaines passions et redresser certains idées, trouvera-t-on çue l'action combinée de toutes les femmes, admises dans chaque pays ft participer aux affaires de l'Etat, peut amener nn jonr la paix universetle, ce rêve éternel mais décevant et impossible tant que la fraternité humaine ne sera qu'un vain mot.

ANNIE.

PENSÉES

Ne méprise pas ta situation, c'est là qu'il faut agir, souffrir et se vaincre de tous les points de la terre, on est aussi près du ciel et de J'inflni. Amiel. Je suis toujours satisfait de ce qui m'arrive, car ce que Dieu choisit est mieux que ce que je choisis. Epictète. Il est bien à plaindre celui qui n'a pas un Vivre sans, aimer, c'ast Je néant. Aimer sans souffrir, c'est le bonheur. Aimer et soaOrtr, c'est l'idéal.

TOILETTES DE MONTAGNE ET DE SPORT Nous avons beaucoup parlé des toilettes de place, car la France offre tellement de stations balno;iires, que nous ne pouvions évoquer nos vacances, sans penser aux joli, pittoresque et quelquefois sauvage littoral ou nous aimerons rêver, et respirer à pleins poumons. Mais quelques-unes d'entre nous,

chères lectrices, s echapperont peut-être ver» la montagne, attirées par les sites grandioses et les lon¡(lies ascensions. Que devront-elles emporter là-bas ? Des costumes chauds et simples, mais qui sauront cependant être élégants. Là, il ne sera plus question, tout au

moins pour les promenades, des légers et frais tissus dont nous parlions tous ces temps-ci. Ils seront remplacés par d'autres, non moins appréciés, tels que tes kashas et toutes leurs variétés, les bures. les drapellas, les serges, ies velours de laine, les cover-coats. Les formes seront classlques, enveloppantes, et douillettes les teintes seront chotsies dans la gamme des beiges, des des bruns, des verte, des bleus.

Notre modèle 1 ust un charmant et chaud ensemble de lainage qui conviendra pour la montagne ou pour le sport. Il se compose d'une jupe élargie des deux classiques soufflets placés sur chaque Renou et djune blouse formant ja-

quet.e. Cette blouse aux longues manches bordées d'un petit poignet est fermée au ras du cou par une longue patte boutonnée qui se termine sous un petit col rabattu. Elle présente devant, un pli creux qui part de l'étroite ceinture de cuir, et, de chaque coté, deux larges poches à souffle.s, complètent cet ensemble sportif. Il est exécuté en kasha « canelle ». On l'accompagnera d'un petit feutre de teinte assortie et de gros souliers de cuir jaune les bas seront de fine laine bigarrée, dans les tons bruns.

Plus « montagne », exclusivement, est notre modèle Il avec sa cape douillette et son sweater de laine. Cet ensemble de « saïga » bleu soldat,

est chaud, pratique et élégant. La courte jupe présente devant simplement

un pti creux. La cape, bien enveloppante, est ornée d'une patte de boutonnières auxquelles

correspond une série de bnutoiis boules, blPiis. Le petit CjI « officier • achève de lui donner son cachet. Sous la cape, un swea- ter de laine blanche laisse apparaître

dans le large décolleté en pointe bordé de bleu fonce. le haut d'une chemisette de crêpe de chine

hlnnc bien frrmée jusqu'en haut.

Le petit feutrp aux bord6 ralialius sur les yeux et les solides escarpins de

cuir fanvp achèvent cette tenue.

U y -t éfiaJement, pour les ascensions difficiles et longues. le chaud maillot de laine blanche qui laisse une très courte jupe de dran hlon foncé, sous laquelle on mettra une cnlottp de sport de la mème nuance. Une cravate de Foie Mené rendra plus élégant le chandail, pt un petit chapeau de feutre bleu garni dn> blanc complétera cet ensemble très jaune et surtout très pratique.

Enfin, un ensemble de kasha naturel composé d'une seule robe il longues manches qui simule veste et jupe. sera tout indiqué. Le corps long et droit se ferme par un col mon:ant garni d'une étroite bande de fourrure ou d'un galon brodé qui entoure le cou, descendant à gauche lp lonrz du corps et serre, ce dernier A la taille placée très bas. La jupe est agrémenté* des indispensables plis creux. Asortissez le feutre, les bas et les souliers, et vous aurez une fort jolie et commode toilette.

AIW1E.

ENTRE NOUS. lÏpTlAT OIRE CES SULTAMES, produit idéal, inoffensif et sûr. nr,us est offert par la PARFUMERIE NINON, 31, rue du 4-Septembre, PARIS Grâce à lui disparaissent poils superflus et duvet. La transpiration n'est plus qu'un mauvais souvenir auand on emploie l'EXODORALE DE LA PARFUMERIE EXOTIQUE, 26, rue du 4-Septembre Pierrot, pour une gille, pleurait une heure [entière.

Pourtant tin jour Il arrivn.

Qu'ayant fait un peu trop Vérole buissonnière, Cuisante correction reçut de snn papa. Effet inattendu le boit ami Plerrnt, Si geignard d'habitude, supnqxf. ne dit mol. .MORALITÉ

Lesyrandes douleurs sont muettes.

LE LIVRE

PRtx Il L'HuMOl'H La Hue du Chien Qui pêche. L'AciMmle de l'Humour franç'ls a décerné, pour la seconde fois. le prix du Cri de Par; Le premier avait été donné à Marcel acharb. pour sa comédie Voulez-vous jouer arec mot ? Ce fut Mil* Uenevtete iii'UUlcuEr nui l'obtint cette «inée tour

3oii ucnutrr uw? *~u nue un Chien qui pêche O Ir.).

La majorité des voix, au premier tour, lui tut acquise. C'est dire en soi, l'intérêt évident de l'ouvrage. Est-ce un roman gai »? Les livres qu'on est convenu d'appeler ainsi sont souvent grossiers, parfois Illisibles Celui-ci, bien au contraire, est fait de l'humour le plus délicat c'est-à-dire, à la fois d'une ironie très fine et d'une émotion protonde et vraie. que nous

avions neja signalées quan-a le uvre parut. Mlle Duhamelet, jeune institutrice, s'est ¡¡en' chée avec une sympathie amusée sur ses gosses d'un faubourg parisien. Elle n'a pu s'empêcher de sourire et parfois de rire de leurs mots et de leurs restes. Etle les a toujours compris maternellement. Ce recueil de petits Poulbot forme aànsi un livre délicieux, de la lecture la plus saine qui soit. et. cependant comme le témoigne la décision du jnry de l'Humour, du charme 1e plus prenant, La diose est assez rare pour mériter d'être st-Ignalée, d'autant que l'Académie Française décernait le même jonr au même livre une partie de son prix Alonthyon.

LA CORBEILLE

Les Mnnteaux en. tapisserie. De nouveau, Je vous prépose aujourd'hui un ouvraye assez long. mais quelle meilleure époque pour l'entreprendre que relie des vacances? Et puis, lorsque vous l'aurez terminé, vous serez si heureuse d'endosser :.e

ravissant et original manteau toujours à la mode. que cela vaut la peine de le commences. Tout d a-bord, munissez-vous d'un tulle aux mailles extrè mement larges et fort résistantes (sous trouverez d'ailleurs un tissu spécialement fait pour ces sortes d'ouvrages tulle de Gènes). Vous taillerez ce tulle sur un bon patron de

manteau court ou trois quarts, selon votre goût. et vous délimiterez sur le tulle la place exacte de* coutures, et le contour du patron à l'aide des fils ou de traits de couleur. Ensuite, vous choisirez un yoli dessin de tapisserie. pas trop difficile à exécuter, au point de croix, bien entendu: vous déciderez vos couleurs, au nombre de trois. en genéral, et après avoir acheta votre laine. grosse et douce aux nuances chatoyantes, vou.s commencerez votre travail. Vous aurez à exéuter séparément le dos les deux devants et les deux manches. En employant un canevas trda eros et une laine à plnsicurs brins, le travail ne sera pat très long Lorsqu'il sera achevé, vons coudrez le manteau ei: assemblant soigneusement les pièces. Vous le doublerez d'un creoe de Chine on d'une toile de soie cliirs, et vons aurez le plus lo'i et le plus douillet des vêtements.

L'HYGIÈNE

Cure iPttr marin. Le<:itrnat marin est tonique; l'air marin contient peu de microbes, et la mer excite les fonctions digestives grâce à l'action de l'oxygène sur les glandes stomacales.

La lecjuuiiue ue ia cure a air marin consiste H être fenêtres ouvertes jour et nuit, 1e lit entouré d'un ridean ou d'un grand paravent de 2 m. 50 de haut.

Le malade devra sortir par tous les temps, même broulllard ou Irotd, en pinasse (cette sorte de cure en bateau ne peut se faire que dans certains bas-

sins marins très abriîôs. comme celui d'Arcachon). allongé sur une chaise-longue on des coussins. La durée de la ipromenade sera progressive, d'une heure au début pour atteindre 4 à 6 heures par jonr (en deux fobs. matin et soir'.

Au retour de la nromenade, on donnera un hain de pieds sinapisé, quelquefois on fera de la révulsten, sur avis du médecin. Pas de suralimentation. Au bout de quelques temps, l'appétit et le sommeil reviennent, la température baisse, les sueurs disparaissent, et le poids remonte

L'ENTRETIEN

Nettoyage argenterie. Battre en monsse nn :T>en de savon noir dans de l'eau chaude. Y mettre l'argenterie à tremper pendant quelques minutes. puis la retirer, l'essuyer et passer à la peau de chamois.

Pour éttindre le pétrole. Ne jamais jeter d'eau. mais du lait, de la cendre ou du sable. LA CUISINE

Pdte d beignets. 1S5 gr. de farine. 3 oeufs. une cuillerée à café d'huiJe d'olive, une cuillerée à catt de rhum, une noix de beurre fonju, du sel.

Deiayer avec un petit verre ( lait jusqu'à ce que la pâte solt bien lisse. Laisser reposer la pâte pendant heures. Au moment de s'en servir, mettre les blancs battus en neige. Salsifis en betonels. N'etloyer let salsifis en ratissant Jusqu'à ce qu'lls soient blancs et les Jeter au fur et a mesure dans de l'eau fraîche légèrement vinaigrée pour Qu'ils ne

noircissent cas. vuana tous tes saistn> som nettoyés, les retirer, les mettre dans de l'eau bouillante et salée snr le feu. Quand 11s sont rnollets, les retirer et les laisser égoutter. Préparer une pât« A keignets et faire frire.

Mettre une longueur de salsifis de 5 a 6 centimètres f-,ar beignets,

LE JARDINAGE

Pissenlit ou Dent dr Lion. il n'est pta donné à tout le monde d'avoir dans son Jardln des chassis et des rouches pour se procurer des salades de primeur laitues. romaines, etc. Traité comme Il convient, le Pissenlit peut les

>u4J|jit/rr dans une ires large mesure.

Les varlétés cultivées sont améliorées ou perfectionnée* PlHenlil amélioré trèi hiltf. Pissenlit d crur plein.

Le Pissenlit vient A toute» les expositions et dans tous lee sols, infinie les plus médiocres mais Il donne une bien meilleure récolte dans une bonne terre.

Les semis commencent en mars-avril et peuvent se continuer tout l'etc. soit en place, de préférence, soit en pépinière pour être repiqués ïi destination, en lignes espacées de 0 m. W, si l'on se inronose de les consommer verts ou de les arracher pour les blanchir en carré, cotnme la Barbe de Capucin. ou encore de les convrlr de terreau ou de litière. On les espacerait de 0 m. 50 et plus si l'on vous lait les butter avec la terre des liiteHIgne», ce qui se pratique dans les terres légères, siliceuses. En O(tobre-novemhre. le terrain est bien apprnprié. les vieilles feuilles des Pisfrnllts sont supprimas au couteau. Ensuite avec la binette on butte les planter, c'est-a-dire qu'on ramène la trrre dos Interlignes sur les pieds, faisant ainsi un dos d'âne analogue à celui qne l'on obtient par le buttage des sommes de terre ou des haricots. Les Pissenlits passent la période des grands froids sous cette couverture et en février-mars, Ils ,nous,sent vlgoureusement et fournissent une excellente salade tendre, blanche, rafratchtsaaate.

SOINS AUX YEUX

Nous énumérons ici les principales maladips des yeux qu'il est néce=saiTp de connaitre, surtout dans les familles chargées d'enfants, afin d'intervenir il temps et d'éviter des accidents plus graves.

Cette énumération, ainsi que les soins, sont empruntés pour une partie, à un article publié par M. le professeur de Lapersonne, dans la revue L'Infirmière Française D'abord quelques mots sur l'ophtalmie purulente des nouveaux-nés C'est un fléau qui se produisait jadis cinq à dix fois sur cent naissances et entrainait très fréquemment la cécité. Depuis l'annlioation des méthocl'^s prophylactiques. la proportion est beaucoup moins considérable (un cas pour 1.000, 5.C00 et même 10.000 naissances dans certaines maternités) et la gravité est moind re.

Voici comment on la reconnait Vingtquatre heures ou même douze heures après la naissance, on constate un gonflement considérable des paupières supérieures, qui ressemblent à deux boules rouges une suppuration d'abord citrine (de la couleur du citron)) puis rapidement crémeuse, jaune verdatre, s'écoule par. la fente des paupières si on écarte les paupières, on voit que la conjonctive est très rouge, adémateuse (enflée). Dès le troisième ou le quatrième jour, des complications se produisent du côté de la cornée (ulcération, abcès, perforation). Toutes les ophtalmies ne sont pas aussi graves dans leurs conséquences. Cela dépend de l'agent infectieux et aussi de l'état de résistance du sujet elles sont beaucoup plus graves chez les prématurés, les débiles, les entériques.

D'autre ophtalmies sont moins graves, elles ont pour caractère d'apparaître plus tardivement (3« ou 4e jour) la suppuration est moins abondante et les complications de la cornée sont beaucoup moins fréquentes. Le traitement prophylactique s'appelle la méthode de Crédé, mais nous ne la décrirons pas ici, car elle est très minutieuse et ne peut être appliquée que par la sage-femme ou l'infirmière.

Chez les enfent- nous citerons dans les maladies des paupières

L'ec:.éma impillyineux, dans lequel les paupières sont rouges, couvertes de croûtes épaisses, fendillées, avec impétigo du nez,' des lèvres, des oreilles, du cuir chevelu (crotltes de lait) il se produit spécialement chez les. scrofuleux-tuberculeux

Lec bléphrrrites sont des inflammations localisées an bord libre de la ,paupière, entrainant la rougeur, le gonflement, la formation de petits abcès à l'implantation des cils, plus tant des ulcérations du bord libre. L'orgelet est une inflammation plus localisée à une glande du bord libre, c'est un petit furoncle, toujours accompagné d'un ganplion en avant de l'oreille ou à l'angle de la mâchoire.

Les inflammations des voies lacrymales (oit se produisent les larmes) entrainant du larmoiement et une suppuration vers l'angle interne de l'oeil.

Les inflammations de la conjonctive auxquelles on réserve souvent le nom d'ophtalmies sont aiguës ou chroniques. Nous avons parlé des ophtalmies aiguës purulentes des nouveau-nés, elles peuvent également se rencontrer chez l'enfant. Une forme fréquent»1, essffitiellrmont contagieuse, mais heureusement bénigne. c'est la conjonctivite dite catarrhale, s'accompagnant d'une supptjration épaisse, glaireuse.

Les inflammations de la cornée on kératites, s'accompagnent touiours de difficulté pour voir la lumière, avec larmoiement et spasme des paupières, éternuement si l'on essaie d'ouvrir les yeux.

Traitements Pour les soin* à donner il l'enfant, il sera néoessaire de le coucher, «oit sur ses genoux, soit sur un lit, en le faisant maintenir par un aide.

(A suivre).

A TRAVERS LE DROIT FEMINTB

De « l'incapacité de la femme mariée Le langage juridique manque de courtoisie. Il place, en effet, la femme mariée dans la catégorie des « incapables ». Cela ne veut pas dire que les juristes considèrent la femme atariée comme hors d'état de rien faire de bon, parce qu'elle serait de par sa nature dépourvue de tout talent et toute habileté. Cela signifie. d'une façon un peu plus abstraite, que la femme mariée n'a pas légalement qualité pour accomplir certains actes et exercer certains droits.

Ce principe domine encore aujourd'hui tout notre droit civil en ce qui concerne les droits de la femme dans le ménage et les droits de la femme sur ses biens. Nous verrons d'ailleurs que la pratique et même une législation récente tendent il le limiter de plus en plus.

Provisoirement, en tout cas, cet ancien monument est toujours 'debout. Certains même prétendent qu'il est bien conservé et qu'il serait aussi téméraire que vain de chercher à le détruire. Il est bon de nous expliquer Il cet épard avant d'examiner les conséquences nombreuses de cette règle. Deux explications sont données nour justifier et expliquer cette règle. Je n'hésite pas à dire que la première est excellente et que. quelles que soient les réformes qu'un avenir plus ou moins lointain nous apportera, cette théorie restera toujours exacte. Elle consiste i1 dire que dans un ménage, comme dans tout groupe social, quel qu'il soit, il faut une organisation, il faut un orrire L'ordrp veut qu'il n'y ait pas plusieurs administrateur qui. par des mesures contradictoire, compromettraient l'intérét commun. Il importe qu'il y ait un administrateur et r-nr suite, une administrée En il il n'est pas possible qu'une femme mariée possède les mêmes drons que la femme qui n'est pas en puissance de mari Dan* une certaine mesure. dans son intérêt même. M faut qu'elle n'ait pas qualité pour exercer certains droits qui doivent être exclusivement réservés au chff de la communauté.

Voilà la justification qui me parait irréfutable. Malheureusement, toute notre législation peut difficilement s'expliquer uniquement nar elle. f.e principe de l'incapacité de la femme mariée est inspiré encore, quoique certains prétendent, par la vieille idée romaine que son sexe sera toujours léger et inexpérimenté, que dès lors il faut protéger la femme contre elle-mtme, C'est ce que les Romains qui. décidément, étaient des gens bien mal élevés, appelaient l'incapacité

une violette sauvage. Vous polirez exprimer ce'$ vanix. mais tout simplement de vive voix, et ptir nnr simple Jnrmulr à la fois affectueuse. Si le dîner est intime, que la maîtresse de maison se charfte- de ce service, sinon que le potage nott déjà dans les axstettet lorsqu'on pas.trra <\ table-, le fromage se sert après ou avant ait rhoix taprt*. en général dans les iiners peu intimes). Les fruits te donnent ensuite, puis les petits fours. Le pain ]j«it être coupé, malt des petit* pains pour chaque conrtve sont encore mieux. Conlre' le rouue dit vi*aje le vous conseille des de sinapisés et titi régime régétarlen le iolr: ne mettez que très légèrement un peu de crème et de poudre. Quant au chignon cet nuit, il faut faire une torsada avec les cheveux et rxé.euter tout simplement le huit en cachant Veriremité des cheieux. Pour savoir que faire, intrrronez-cr.us, vouez vos aptitudes, il m'est dit' ficile de vous conseiller de loin. Bonnes pensées. S. de D. Comme Il m'a été agréable 0* recevoir ce mal des Pyrénées où j'ai de bons sou- venirs Enchantée que mes articles aillent là-bot rt vous Plahenl. Peut-ilrr arrz-rous pris un peu 4 l'absolu le passa!le sur le rfile du pire dans L'article que vous me cttr;. juste dont lit phrase prit attente, le montrais li direction morale assumée pnr la temme. En réalié, le père et la mère y ont part tous deux-, là où l'un des deux manque, même avec tous les soins de l'autre, il manque quelque chose. Un père qui remplit ses devoirs de vrai père ne saurait s'en désintéresser; mais Il est certain qur la mère. reniant plus au foyer, est la grande ri constante directrice pt animatrice: rllr fait O'i défait la maison et l'édnrntlon de ses enfants. Partant, comme tous le dites, il est ni.cessaire i/u'elle trouve rhe: elle la plénitude dS ses droits. Merci de votre aimable mot.

M. B. Ce serait mieux, en ce cas, que 1e vous réponde directement. Envoye;-mot vain adresse en renonrelant la demande.

Liseron. Vous avez dû recevoir une lettre. Mme L. B. Je suis contente que vous ayez trouvé cela: c'est un début iiont tous allez profi- ter et qui vous sera préclnu ensuite. Peut-être dans quelques mois, aurat-jr en rue quelque chose que l'on prépare; pour vinstant, le ne vols.Mais vous avez le pied dans l'étrler. et c'ezt beau. coup. Votre santé oaqnera du fait de L'occupation absorbante dértratif de tous vos soucis. Chasse: les peurs nerveuses qui vont d'ailleurs s'en aller avec ce travail. Vos enfants sont en bonne* mains.- le crains seulement que pour toute situation de ce genre, vous ne souez ainsi obligée de les confier d voire bonne mère, raurttqe et cotefiance.

M. T.. Le P. itéra de votre aimable lettre et de vos réflexiojis très intéressantes et très pistes. Je suis d'accord avec vous, si on élargit le sent du mol mal. » et lui donne toute sa pléniluie. mais rien ne tendait à l'absolu, simplement ne pas écarter a priori et étroitement des enfant, les uns des avlrrs. là o:) Il petit se créer un etprit de camaraderie et le tolérance.

Eluap-Leha. Le ras est délicat Ir ernis que, seule et pour la défense de vos intérêt', vous ne pouvez taire autrement. Isolée, que deviendriezrousr Il y n m une délicatesse de cansclcneê mais aucune faute. Fcrivez-moi tant qur vous von. drez. arec la mention « personnelle le vous suis toute dévouée.

Bien perplexe, Le âllemne n'est pas d'aitfourd'hut et vous le résolvez on • presque bien rite. Tout de même, nous ne sommes pas des marionnettes ni des gens agis n. mais agissants. Je von assure que pour ma part, je me sent libre et responsable, et me meus à l'aise Iddedans. La question déborderait la colonne, la page et le journal et vous êtes un peu philo. sophe, tdchez de trouver en quelque bibliothèque l'essai sur le libre arbitre • de G. Fonsegrlve. Les bas sont toujours la mode; quant d la mode le cet hiver attentiez; latsiez-nous vlcn d'abord celle de l'ét,4.

Lotus du Vil. C'est affaire de relations personnelles, surtout pour débuter. Cela dépend aussi dit genre. En principe, toutes 1rs revues sont encambrées et il est dltficile de s'y introduire. Je vous conseille d'essayer d'abord dans des revues locales.

•̃ M. Ann'e. TouiO}trs tirs lettres nul rue vont à Vâme; bien contente que vous m'écoutiez un peu. Oul, qurdez votre crpnr baut et ferme, fi en vaut la peine, et toute, la suite de rotre vie aussi. Il vous faudra le mariage bien chrétien et plein d'amour à la fols grand et raisonnable. Ne sortez pas de lit. Voyez souvent le bon ami dont rous m'avez parlé et avec qui vous bourrez des pipes. Je suis srire qu'il se rencontrera avec innU. Boit courage.

rerpsycnorp. Je on e[-ei. que le pioisir ne nuit pas d l'étude. Pour relie-et tt vous félicite chaudement tin résultat: vous dlrai-U que, très particulièrement, le connais cette licence? Hélas! oui! les grades d'hommes pris par les femmes ne leur rtonnent rien dans V enseignement de l'Etal. Le protiramme des lycées féminins rxt et, remanier complètement, mais n'agitons pas ici la tpieslion, L'aqrcaation d'Histoire vous est onv0rle depuis peu mais pratiquement que vans donnerat-clle puisque femme? Iteslenl les aléas de l'ensetrtJiement privé, nu alors une rédaction de ministère, de préfecture etc.. Pour ces carrières admiiiistrativrs. t!eman':rz-rn la lîstr ̃< féminine d l'Ecole d'Administration i. rue Fêrou. Parie. Merci virement de vos encouragements que j'apprécie doublement, et encore mes compliments polir votre beau succès.

Un homme et la dnn«e. On ne petit empêcher la cho>e. mnfx on doit y apporter la manière et la Simplet'». m voflr il vétrnlr un p?« elénnnt. La pendule étant de stule, mette:-la avec les detir vases, Sur lr piano, peu de hlbelols. Laissez le marbre, el mettez rffiir on Irnfs objets dissemblables. Les housses font corps avec. Ie3 sièges, comme une antre taptsserlel en'ere- le* volants. Te brocntelle est plus g la mode. Pour la liste de Pen- mnrr'h et la maison rn hoia. demande- itireelement Ii l'Onesl-Erlalr. Pour les livres de iennet filles rouez le mlrn et ceux nue j'indique il la page des jeunes tilles.

Une Maman bresîols». Pour ce qur rous m.e demande:. tentez une démarche tï la Semaine de Suzrtte “V), lue des Crands-.tngustlns, Ott aux Veillées des Chaumières Il y a peu de prrsonnes sarhant écrire pour enfants, dune façon intéressante! Mais je n'u connais personne et. la comme partout, re petit Pire encombré, pr.yr ce qui est des il faite difficile d trouver, et. je rroix. peu Doue cherchez sur place. Ln ropie dr musique offrirait plus de res.sources, si rous connaissiez un éditeur. Bon courage tt merci le vos aimables pan-les.

Petite Pépfte. Pion d faire pour voire corsage, la lâche rsi frnn ancienne un teinturier luimême ??,et fine forte poignée de feuilles de norirr, bouillie pendant un quart d'hnirc dans t litre i"2 d'eau. jusqu'il réduction /l'un litre, sera bonne /y}ur eu ave vous dt'sirr: Elle est non seulement inoffen- sire mais aussi fortifiante pour le bulbe capillaire. Pour les llrrrs qxir vous demandez. Il i en a toute une série dans la collection « Les Petits manuels du foyer ̃. ? fr. 30 Ii 3 Ir. chez A Colin, 103, boulevard Ïninl-Mirhel. Paris.

Propier Imbecillitatem vel frafilUatem seras Je rassure immédiatement les le(trices trop indignées. imbeciUité ne slgnofle pas bêtise, mais faiblesse. Il y tout de même une nuance. Quand les Rompirw disaient qne la femme mariée est incapable parce qu'elle est imhérile, ils voulaient dire seulement que sa faiblesse avait b*«oin d'un tuteur. Nous rechercherons la prochaine fois s'il* avaient toujours tort.

asti*


Officiers Ministériels

Etude de M' MEIONAN. notaire à Rennes, place de la Mairie.

VENTE DE BESTIAUX.

MATERIEL DE FERME ET RECOL. TES SUR PIED

LE DIMANCHE 19 JUILLET 19-»

A 1. heures [heurt légale)

Par le ministère de %Il ME1GNAN

Au lieu de la Malnguenière. commune de No\al-sur-Selche.

Domicile de feu M. Pierre Bougeard. A VENDRE

9 chevaux. 5 vaches. 2 porcs, 1 pressoir. t moulin à pommes, 1 lutteur, charrue, herses 1 rouleau en fonte, i charrette. harnais, 12 fûts à cidre, récoltes en blé, avoine et orge et quantité autres objets. Un mois de crédit au personnes connues et solvables.

Etudes de M" BOUDARD, avoué à SaintNazaire, ai. rue valets-Martin et de V BIALLE de LANGIBAUDIERE, notaire an Croisic.

A VENDRE PAR ADJUDICATION

Ville du CroLcic, sur le quai, près Hôtel Masson, le 5 août 19îo. à 14 heures en l'étude du notaire.

MAISON DE RAPPORT

à usage d'habitation et de commerce à 2 étage, 7 pièces avec cave. grenier, cour. citerne, dépendant de la faillite THUAUD, pharmacien

MISE A PRIX 50.000 francs.

S'adresser aux avoué et notaire susnommés ou à M* GUILLET. avoué et M. LUCAS, arbitre de commerce syndic à StNazalre.

Etude de M- A. THEBAULT. notaire à Vern-sur-Seiche.

A VENDRE A L'AMIABLE

UNE PETITE MAIS'ON

rue Clnguené. RENNES

de 2 pièces, avec jardin. celtier et poulailler. Libre le 29 septembre 1935

S'adresser au notaire.

Etude de M* PARIS, notaire

Il la Chapelle-sur-Erdre (L.-Infrel. A VENDRE OU A LOUER

commune de SUCE

près les bords de l'Erdre

BELLE PROPRIETE

comprenant maison d'habitation 12 pièces, garage, serres. volières, bâtiments de ferme en très bon état.

Parc, Jardins, prés, le tout contenant environ fi hectares.

Pour tous renseignements, s'adresser à .NI' PARIS.

Etuude de %Il Henry MEIGXAX. notaire i Rennes, place de la Mairie.

A VENDRE A L'AMIABLE

LA BELLE PROPRIETE DE LA CALVENAIS

située commune de Saint-Jacques-de-laLande, composée de caves en sous-sol, 4 pièces au rez-de-chaussée, 4 pièces et 1 Cabinet au 1" étagea chambres et 1 cabinet de toilette an S" étage, greniers; jardins d'agrément et potager.

Le tout en parfait état, d'une contenance de 1.500 mq.

Libre de suite.

Pour tous renseignements et traiter s'adresser à M" MEICNAN*.

Etude de Si' LE GAC Arthur, notaire à Belle-Ile-en-Mer (Morbihan)

A VENDRE

En la commune de Bangor, au village de Kervilahène

MAISON meublée, Jardin .et parcelles de terre de 53 ares.

Jouissance immédiate.

S'adresser à M' LE GAC. notaire. Etude de Ni- Texier. notaire à Chateaugiron. A VENDRE

PROPRIETE

il Rennes, rue de ChMeauglron. n- 45, de 7 p. et dép.. Jarrtln, le tout de 1.000 mq. Libre 24 jntn 1958.

UENT. admirablement situé, libre de suite. S'adresser- a M* HUET. notaire, à Saint-Malo.

A vendre

arrondls-îenieni de Saint-Brleuc, à proximité de bourg, gare et chef-lieu de canton,

UN BEAU DOMAINE

comprenant MAISON DF MAITRE, PARC, JARDIN. FERME avec BATIMENTS Important?. Contenance i5 hectares. S'ad. au Journal. 31410 ir.E DE HREHAT A vendre ,1 l'amiable MAISON cour citernes. Jardin trultiers, petite ferme, clos potager. 4.500 mt. Très bon état. S'adresser à NI' LE VAY mtalre à Paimpol.

Etude de M* TEXIER, Docteur en droit, Notaire à Vannes.

ADJUDICATION VOLONTAIRE

Le 29 juillet to?s. a 3 h., a l'étude, d'un BEL IMMEUBLE

situé a Vannes ;i l'angle de la Place de l'Hôtel-de-Vilie et de la rue du Méné. comprenant

PREMIER LOT

GRANDE MAISON, n' 18, composée de grandes caves, rez-de-chaussée 2 magasins, appartements t., 3- et 3' étages de 8 ipièces chacun mansardes. Eau et gaz. Cour commune avec le 2' lot.

DEUXIEME LOT

Dans la conr MAISON composée de caves, rez-de-chaussée, 1* étage, mansardes, garage, grand bâtiment de dépendances. Cour commune avec le r lot.

Etude de M- GUYOMAR. notaire,

à Tréguier.

A LOUER pour *°ût et septembre, LOUER l'Ile Illiec et Penvenlan, MAISON très confortable, bien meublée. 9 chambres de maîtres, salon, salle à manger, office, vastes communs, 17 lits. bateau, chapelle. Prix 5.0C0 francs. Pour tous renseignements s'adresser au notaire,

plage partir.. 6 chambres.

S'adresser M" MERDRIGNAC, notaire. Le Palais (Morbihan).

Etude de Il' BAR!LLET, notaire à Avranches.

A VENDRE PAR ADJUDICATION à Avranches en 1!étude. le LUNDI 20 JUILLET, il 14 heures.

GENTILLE MAISON

de construction récente, sise à Marcey. sur bord route de Granvllle à 300 mètres gare chemins de fer Etat.

Libre de suite.

Etude de 'il* BEILLET. notaire

à Sainte-Gauburge (Orne).

ADJUDICATION

en l'étude le MERCREDI ?3 JUILLET 1925 a 2 heures, d'une

GRANDE MAISON

sise à Sainte-Gauburge, route de Moullnsla Marche, actuellement occupée par la Gendarmerie, ayant façade de 37 mètres. divisée en 5 logements Indépendants d'ensemble 18 pièces, et sur le jardin JO .pièces à usages divers. Jardin contenance 2.240. S'adresser audit Il' BEILLET.

Etudes de M1 MEIGMAN, notaire à Rennes, place de la Mairie, et de M* D.IERAS, notaire fi Montfort.

ADJUDICATION VOLONTAIRE

Le MARDI 2t JUILLET 1935 il 14 heures (heure légale), à MONTFORT, en l'é- tude de '%Il DIERAS. par le ministère des .NI' MEIC.NAN. en présence de M' DIE- RAS

DE lA BELLE FERME

DE LA TRICAUDAIS

située communes de Montfort et d'Iffen- dic. composée de bâtiments, jardin, priés. pâtures, terres labourables et lande, d'une contenance totale de 9 hert. 43 ares 10 c. Pour tous renseignements, s'adresser à M'» MEIGNAN et DIERAS.

Etude de '.NI* RIPOCHE, notaire

à la Chapelle-Basse-Mer (L.-Inf.). A VENDRE A L'A.1/IABLE

au Fougan de Mer près Rezé-les-Nantes, une

BELLE PROPRIETE

d'env. 2 h. 00 ares. libre de suite, compr. vaste MAISON de maître de 13 pièces. mansardes, toutes servitudes, parc très ombragé, verger, jardin .potager, prairie.

Etude de M- RIPOCHE. notaire

a la Chapelle^Basse-Mer (L.-Inf.). A VENDRE A L'AMIABLE

en totalité ou en deux lots, près Concarneau, sur la baie

UNE PROPRIETE

libre de suite comprenant

t' MANOJR avec rez-de-chaussée 4 pièces, un t" étage, 4 ,pièces; salle de bain et cabinet de toilette. Un 2' étage de deux chambres de mattre, chambre de domest.. débarras et grenier..

Eau et W.-C. à l'étage, chauffage central, gaz Carniten.

Parc très ombragé, réserve contenant environ 5 hectares, logement de jardinier, garages, etc.

2* FERME Jolg'. contenant environ 13hectares.

de MM" BERTOYE et HOUIS. avoués à 'antes; DWIAND-GASSELI.N et LEBEL, notaires a Nantis.

VENTE

SUR BAISSE DE MISE A PRIX

Le MARDI 28 JUILLET 1923, à t3 heurts, au Palais de Justice, place Lafayene, Il Nantes.

1° MAISON ,sage de café, à l'angle du boulwaTKl fi-abriel Lauriol et de l'avenue du Transwaal. à N'ant<w. composée de trois pièces et cuisine au rez-de-chaussée; quatre pièces au premier étage; grenler an-d<>=.5!]S; caveau.

2- MAISON D'HABITATION, avenue du Tra-nAwaal, composée de sous-sol, rez-dechauwée de- doux pièces et cuisine; grenier au-dessus.

Cour, Jardin, Jeu de boules couvert tonnelles, d'une superficie de 505 mq. 80.

Mk-o il prix (frais outre) 50.000 fr. S'adrover auxdlts avoués et notaire; et aux greffe du Tribunal civil de tantes. nit le cahier de-* charges et déposé. Etude de '%Il :OR)CE. notaire à SaintAnhlnd'Aubisné.

A VENDRE A L'AMIABLE

:1 Rovrn <\t> FEIX*

MAISON D'HABITATION nropre a tout commerce an centre du bour2. comprenant • magasin, décharge. cellier, deux chambres, grenier hangar. remise et jardin. Contenance il ares. A ln. Croix Xntel vrét l'Etang de Boulet terre. Contenance 2n ares.

S'adresser it l'étude.

A CEDER DE SUITE A RBVXES

TRES FONDS DE COMMERCE d'entreprise de peinture et vitrerie, -n S'adresser Agence Havas, a- S16J A CEDER Fougères. FONDS D8 h DE CAFE avec Mile de danse et buanderie. Bon matei'lel. long bail. Entrée en Jouissance au gré .le acquéreur A partir de-la Toussaint. S'idrefc ser à M" LE COUSTUMER. notaire Fo* gères.

Etmle île M- GIR.ARD. notaire Loué A CEDER DE SCIERIE, CHARPE\TERIE et COUVERTURE avec chantier et atelier, dans commune Importante de la Sarthe.

Matériel état de neuf comprenant sett Guillet, banc de scie, moteur, ect. A CÉDER

EXCELLENT FONDS DE COMMERCK de Mercerie et Bonneterie, très bien achal. Long ball. S'ad. au Journal. 3t105 Etude de NI' G. VARIN. huissier à Rennes Suivant acte s. s. p. du tU juillet 19S5. enregistré M. et Mme CONCEUIEU ont vendu à -NI. et Aime CROINE par l'Intermédiaire de l'AGEN'CE COMMERCIALE, rue de Rohan A Rennes, le fonds de Prt» meurs qu'ils exploitaient A Rennes, rue de Brest, n* 134.

Les oppositions seront reçues & l'étude jusqu'au i-i juillet l»y. inclus.

i. ide de M" TKXIEK, notaire a Vanne..

A VANNES, dans rue très passagère, BON FDS DE COMMERCE da BONNETERIE et ARTICLLS DE PARIS Long bail. Re¡.1 logement

GROS CHIFFRE D'AFFAIRES.

EXCELLE"" BOULANGERIE g

S'adresser à M. ROBI\. 35. rue SalntGuillaume, SAINT-BRIECC.

A PFHF'R a 'LAVAL pour cause dePICERIE FIXE situé au centra de la ville.

S'adresser a M" Ameline, notaire 4 St-Ouen-des-Toits Mayenne).

IMMEUBLES A VENDRE OU A LOUER A CEDER

1* Eure. FERME 21 hect. seul tenant, herbages et culture. Cheptel. 80.000 a débattre, 2.3 comptant. £f FERME 50 hect., cultures et herbages. 140.000 dont 100.000 comptant.

3* Vallée d'Auge, FERME 21 hect., herbages première qualité. 1/3 culture cheptel et récoltes. 65.000 dont 45.000 comptant.

«• Vallée d'Auge. FERME 10 hect.. très plantée, bons herbages. 45.000 dont 35.000 comptant. 5' Orne, à céder FERME 60 hect., herbages seul tenant cheptel et matériel. 140.000 débattre. oo FERME 52 hert.. herbages; cheptel 58.000. Lover 5.000. bail 9 ans

"• FERME ai hect.. seul tenant 65 hect. Herbages clos à reprendre cheptel, 220.000 à déb., etc. A VENDRE

1. Orne, bonne contrée. FERME 6r hect-, seul tenant. s maisons de fermiers 230.000. Occasion. compt. à débattre, libre.

2* FERME 36 hect., herbages et culture 140.000. Libre septembre.

3' FERME 5 hect., herbages et culture 30.000. dont 2-î.OOO comptant.

4* FERME 2 hect.. herb. 18.500. libre, etc., etc. S'adresser an -journal.. 63.731 A VENDRE prés Brest, SUPERBE PROdépendances, eau, électricité. Magnifique vue. 4 hectares. Prix intéressant. S'adresser CABI\ET E. MONNIER. Brest.

VI LLA N0N MEUBLEE a lover par Bail. A LOUER de VLUejean. près Ecole d'Adép. Pr vis. s'adresser à M. HERVE, fermier à VilleJean. a0023 A VENDRE a PARAME. près de la mer VILLA libre de suite.

S'adresser au Journal. 63906-D CESSIONS DE FONDS DE COMMERCE

A CEDER

EPICERIE FINE ET CRÈMERIE Affaires (prouvées 180.000 fr. Un dépôt d'un produit alimentaire de grande consommation y est adjoint. Grd local, logem. confort., situât, privil. Pr. 45.000. MANNOCRY..17 rue de Toulouse. Satnl-Malo. BOUCHERIE dans sur place principale: ancienne et tris connue, avec agencement moderne, outillage complet étal, abattoir, expéditions. cheval, voitures et camionnette, le tout état de neuf. Très belle affaire, conviendrait homme très actif. S'adresser A l'Ouest-Ec!air. 633â8-D A CEDER Morbihan, grains, engrais, tous produits du sol; ancienne maison; Clientèle sûre. Affaires. 5O8.000 francs avec peu de fonds, susceptible augmentation. Vendeur aiderait et mettrait au courant. Prix à débattre Ecrire Publicité Yves Bourgeois 1» rue Crébillon. Nantes.

forids de Commerce

IMMEUBUES.INOUSTRIbS B

AORESSIZ-VOU9

Agence VIEILLARPCAEW FONDS D'HORTICULTEUR^^ t vendre dans ville de l'Ouest. Magasins, serres. Jardin, facilités paiement. Slé du PLages, 3, Place Bourse. PARIS. 3262-E DE CHAUSSURES MAISON DE CONFIANCE

Très belle situation. Bail à volonté. A CEDER. après fortune. Prix 65.000 francs.

MAXNOURY, 17, rue de Toulouse, SAINT-MALO. A CEDER Bon HOTEL dans fort canton centre Bretagne. Long bail avantageux.Prix 7.C30 fr.. débattre Facilités. S'adresser ? !'OueM-Ecla|r Mft^D 01 DEMANDE A ACHETER PROPRIÉTÉS, INDUSTRIES FONDS de COMMERCE de tous Genres et de tous Prix

our Sociétés et Prêts divers. CAPITAUX S adresser au CENTRAL-OFFICE BOURSE de COMMERCE de PARIS Demander notre Journal d'Affaires (Envoi gratuit*

A CEDER

Café-Limonadier. *o fr par jour. avec 3r>.000 fr. Cinima seul ville, a .000 net l'an. Prix 60.000 fr. Nouvaautéi-TiauK, etc, Canton. Af. KAOOl. av. <k).<*0 café, 8 chambres, prés gare. Prix 30000 fr. Camionnage Ville. 35.000 net l'an. Prix C..O0O fr. Café-Tabac. AIT, 7».OW fr. Prix M.000 tr.

MM VERDON-PARI8, U, quai badi-Carnot. LAVAL. détail, sans connaissance spéclale. Bénéfice, n^o.oro a doubler. Lonc aU. peu loyer. Ecrire, DIAKO?, Poste restante LE MANS. Trtt urgent.

HIÂLÂOIES la FEMME LE RETOUR D'AGE

Toutes les femmes connaissent les dangers qui les menacent a l'époque du RETOUR D'AGE. Les symptômes sont hien connus. C'est d'abord une sensation d'étouffement et de suffocation qui étreint la gorge, des bouffées de chaleur qui montent au visage pour faire place à une sueur froide sur tout le corps. Le ventre devient douloureux, les règles se renouvellent irrégulières ou trop abondantes, et bientôt la femme la plus robuste se trouve affaiblie et exposée aux pires dangers. C'est alors qu'il faut, sans plus tarder, faire une cure avec la

JOUVENCE DE L'ABBE SOURY

Nous ne cesserons de répéter que toute femme qui atteint l'âge de quarante ans, mime celle qui n'éprouve aucun malaise; doit, à des intervalles réguliers, faire usage de la JOUVENCE de l'Abbé SOURY si elle veut éviter l'afflux subit--dn sang au cerveau, la congestion, l'attaque d'apoplexie, la rupture d'anévrisme, etc. Qu'elle n'oublie pas que le sang qui n'a plus son cours habituel se portera de préférence wM aut parties les plus faibles et y développera les maladies les plus pénibles Tumeurs, Métrite. Fibrome, Maux d'Estomac, d'Intestins, des Nerfs, etc. La JOUVENCE de l'Abbé SOURY, préparée a 1a Pharmacie Mag. DUMONTIER, n Rouen, se trouve dans toutes les pharmacies Le flacon 7 fr. 75 impôt compris. Bien exiger la véritable JOUVENCE de t'Abbé SOURY qui

doit porter le portrait de l'Abbé SOURY et la signature Mag.

DUMONTIER en rouge.

PUtFi:MERIE ou autre commerce bon rapport. sif. centre. Pressé. S ad, O.-E.. BREST. «K)16 A CEDER libre Oe suile, cause très ])on L»CUCn foIKi5 hatel-«tfé-rn~!aiu-. Gcie vtlle Sanî*ve place <lu Matvlvé. Gran-*>j dépend., écurie?, reniise, garspe pour airo, cihambres meubWi-r. et Mnipiam.: à débai'.re. S'adr. Ouest-Eclair tanrant Café. ÎO chambres. Travaillant toute l'année Cli.entt.il» assurée.

BOX PETIT CAFERESTAl^RANT. Prlx. 45(TX) fr. avec 30.000 fr. comptant. Bénéfice 15 1S.C00 francs. Saflresser LE RENSEKINEMENT, 4. GrandeBue. SAIXT-M\LO. de suite bon fonde de Modn. en «tu"-rl plein rapport. long bail. S'adresser Ouest-Eclair, t.sao, LE MANS.

VOULEZ-VQUS ,i Uh fonds de commerce n'importe quel genre VGilQrG petit ou grand. RAPIDEMENT Propriétés, Châteaux. Acheter « Immeubles. Industries SUREMENT etc., etc

Adressez-vous Cabinet CROSVALET-GASTINE, à SAINT-MALO (40o annéeV

Rapidité Discrétion Loyauté

INDUSTRIES

A CÉDERexceptionnelles. Ecrire H. H. P.. a l'buest-Ecialr.

CEDERAIS FONDS PLOMBERIE-ZINGUERIE, etc., grande ·-ille, clipntéle unique, vieille maison. Chiffre d'affaires important. Cause maladies, demande .">.OO0 fr. cnmpt., restant G annuités, facil. il ouvrier sér. HOLTZEM, R. Daguerre, PARIS. ville, traite 1:,0 quintaux rar jour. Piessé. •Corditions avantageuses. S'adresser PORTAL, 14, rue de Turbigo, PARIS.

A SAISIR DE SUITE

clientèle. Bail 14 ans. Prix 50.COO francs. Facilités de paiement. S'adresser LE RENSEIUXEMENT. 4. Grande-Rue, SAINT-MALO. 90217 EMPLOIS, DEMANDES ET OFFRES Liinuunnrnii. plumisles places stables, bien ré-nu mérëes. Ecrire au Journal qui transmettra. 20.0C0 CCppUpiCpC bons ouvrier* demandés, place stable, travail assuré. COLAS FILS, serrurier, St-BRIEUC.

CLERC (Manche); -demande CLERC aux actes conrants. Inventaires, désirant s'instruire. un bon plombier gazier.

écrire avec références et prétention, ai Directeur, la. rue du Parc de Clagny à VERSAILLES. 63706-D N DEMANDE du ouvrières de filature, caitfeusce et Banc-Brocheuses; travail assuré. li.inj salaires. S'adr. à la SOCIETE ANONYME I.MIANTE DE CONDE a Conde sur Noireau Calva'lug CHARPENTIERS FERS ET SERRURIERS Dons ouvriers sont .ieiujnclt.s i-i- > TROADFC nipciiiriiMi. ^^ORI A iv 'Kinistèr" CLERC. NOTAIRE canton arrondissement St'J1-1-r*'J> Bri.-ic demande PRINCIPAL CLERC stRhlp S';irtre--sfr ft l'Ouest-Eclair. |!1985 NEGOCIANT' ̃ iRé. eu Bonneterie, corsets, I1LUUUIHI1 I | cravates, ganterie en gros, ayant déjà clientèle en Breta,ne, recherche, comme associé, jeune homme °_.5 à 30 ans. célibataire, possédant certain avoir et visitant clientèle Bonneterie et Nouveautés. Prendre adresse bureau du Journal 19947

CAISSIERE est demandée au Grand Café, a UnlûOILItl. r.oHent, Env. références. fia 776- n f*n déni, bonne sttno dactylo; débutâmes s'abst. '̃' Ne pas écr.. se près av. réfôr. aux Etablissem. Dal'iw. 41. lid. de Chéiy. /?c»ne».

MM CARON ET r>IE. Papeterie de FRETErecherchent un TOURNEUR-MECANMC1EN. logement assuré. 63760-D CLERC actes courant, connaissant coiupialn 'jL"J llté. est demandé pour étude notaire 'Mavcnnel. S'Hdresser nu jonrnnl. "il <3S EMPLOYES coiin. l'emballage des oeufs et un employé et bien :e travail du beurre. Ecr. av. rêfer. I.KPOSSK-G1LLES. a Juvigny-sur-Andalnes. 'CABKivfUE UE CHAUSSURES déni, piqueuses et ouvr. Coupeurs pour la tige. Ne cas écr., se près. aux Et Un DEMANDE cuisinières DEBUTANTES ET MENAGES de domestiques a tous gages, MARIE PAULET. 131. rue Saint-Honoré, PARIS Il'') TRAVAIL chez soi. Copies, représentations couI nHVHIL ture», tricot, v. sera procurs gratis par le Service E V Uoite 5. BAÏONN F. On demande lmmé;liaUnie!it très bon OUVRIER professionnel I >A I ITAMOB1LE. Garage StCluisde nu I v lopiie. t ra >n [Maymine'- FORT APPRENTI BOULAN&^l ou sortant d'appr<*ntissage demandé. LETONDEl'R. Coutanoes. à la commiss. ay auto si possihle. Ecr. E. D. Publicité geaucourt. CALAIS CHAUFF8UR MECANICIENS^ Tré sér référ. En, Boite posiale, n, VANNES. STENO-DACTYLO Parlant parfaitement anglais. sér. rtfér est demandé. Ecrire au journal. 6;t31?-I) PFWQÏnN MAT 0ATHOLI0UE DE CARDONS rtliOlUIIITH I à PARIS dem, pour octobre MArTRES Mt. iËS. Ecrire ^nreau journal. 3&I0 MAITRE D'HOTEL i>arlan: anglais si P<^ slble uemarMié pour saison. S'adresser au bureau du journal. Sérieuses références exigées. 638-30-D AU QC U |jour la saison. Hôtel du Verdelet^ •"•'̃' • a PUtaeuf UN GARÇON A TOUT FAIRE et DEUX JEUNES FILLES. &TS1!V ON DEMANDE !ÛN COMMIS sérieux connaissant «orvice «nttvpot de préférence. Fleury-Langevln Epicente gros. Isigny-s'-Mer (Calv.) f\ U Al] I FFFIIR P°ur Ford demandé par Ecrire au journal. 63SII-D OUVRIER PATÏSSÎFR~ÊSrDËM. par Pâtisserrie I.AMOUR. Saint-Servan (I -ri Vil.1. Ecrire pour conditions. &)8 r,-D par Maison de réalésage, fourIVinVbUII nltures pistons, etc. Ecrire A I. avec références au journal. COLTONIE^DETACANCES HISTE robuste nour une uurie de 7 semaines. E-rire. Ahbé VARIGN0N, 23, rue d'EstimauviUe. LE HAVRE. Urgent.

On dem. Femme de ch. ser., bon caractère, sacù. coudre, voyagerait. Ec. 44. r. Pionnière. Dinard Bonne MANUCURE Schampoing est dem HlnliUHUnt Bonnes conditions. Sadr. Coiffeur du Grand Hûtel, Param*. »018 CAMILLE BRETONNE sans enfant recherche BOHNE sérieuse Innr environs Paris. Place stable. S'adresser au journal G333O-D GAGNEZ 2.000 FR. PAR MUIS en trav. avec no.is 3 heures le soir dans affaires par correspondance sans capital). Dem. renseigna ment, gratis Affaire et Publicité. rue Péry 110, LIE(iE-BEL(i. Timbrez à 7.'i centimes

ON D EM ilTirBOÏTCLERC v™?* étude l" instance. Appsintem. sérieux. Résidence agréable. S'adr. à l'Ouyst-Erlair 31784 J'OFFRE SITUATION ^T'env-'a* déjà voyagé p' seconder représentant. Référ. exig. lXnner prêtent. Ecr. avec détail B. P. 83. CAEX. UUUn I ItflO FACILE ¡Organisation régionalej. Excellentes conditions. FREREBEAU, 97 ru» des Petits-Champs. 97. PARIS. 39S36-B ON DEMANDE B0NS conducteurs et machines à papier et BONS GOUVERNEURS DK .PILLES RAFFINEUSES ayant sérieuses références dans sortes minces. S'adresser Boite Postal* 7 à THONOX-LES-BAINS ;Hte-Savole). 63817-D BONS OUVRIERS R^r^mes exIgéeS. Maison RAIMBAULT, rue du PLn-Doré, LAVAL. CHAUFFEUR mu"' d'excellentes référenoel OnHUrrCUn e3t ^ma^^ par personne

exerçant proression libérale. S'adress. VIDIEU. publicité. Saint-LO. 20033 ON DEMANDE une CUISINIERE sachant cou- un dre et repai§er et un VALET DE CHAMBRE aide-JardinJer. HOUYVET, indus.triel. Saint-Lô. SO031 JEUNES FILLES SERIEUSES lô à 2j ans placées immédiat, et gratuitement même comme débutantes dans erandes maisons do COMMERCE D'ALIMENTATION a PARIS, couchées, logéec, nourries, bien payées. PASQUET, 15, rue PifiTe-I.escot. PARIS.

ukuiuiL naissant travail beurre. Pressé. Ecrire au journal. 6330?-D

LA MAISON CH. JUBERT 62, rue Caumartin, PARIS

demande agents représentants pour vente tout* dernière nouveauté. Vient de paraître, le nouveau jeu d'adre>se u HOP-LA excessivement intérêtsant, amusaut, procurant joie, gaieté, rires, amusa ment et certainement le plus agréable passe-temp» que puissent procurer teurs hôtes et visiteurs, Etablissements publics. Hôtels, Pensions famille. Iii5t:tutions. Collèges. Lycees, Patronages. Orpheilnats, Villes d'eaux. Plages, etc. Remise intéressante au\ Agents et Représentants.

llOUt Centir et l'iliz SA1.XT-MAL0

DEMANDE NE PATISSIER désirant apprendre la cuisine. Bons appointements G3324-D ON DEMANDE CHEF CUISINE pour saison, au finirai Hôtel de CH W1LLE demande UN CONDUCTEUR moteurs gaz pauvro. Place ,table. logement assuré Ne pas écrire san' référence à MOLNIE-DUVAL. Usine électrique. SAINT-LO. 63 838-D CHAMBRE p-mr Hûtel de sai-~>n il.oire-lnférieure). GARAGE ouvriers connaissant bien la rei>aratiun. tniso au point des voiture,. 63S47-D COIFFEUR est demande

DIT.l'E ?i. ru.' Saint-Coiléno. £»inl-Brl«uc ON DEMANDE h" «rwux pouvant ON UL,IIIHI1L/t. ré, fonctions de chef • l'emtiallaiR-. Se présenter au CrRAND BAZAR et NOUVELLES tiALBKIfS. HAIXT-BIIIEl'V XXJ39 .il» LECEAY. notaire. col'TERNe (Orne' DEMANDE@ Successions et Inventaires. ON DEMANDE rJm'- XZTetLn^ ;) 3> aii>. si possihle. connaissant le ménage Appointements début. a^n fr. par mois nourrie es couchée, voyage iller payé. Ecrire N. N". an Journa 1. avec références.

BON CUISINIER est <le'llalKi* S adresser vvn CUISINIER Ouest-Eflalr *»io-D ON DEMANDE a" Gara=° fon-tant MARON TIN- x mN-ARn. iKux bons pour l'atelier. *Vî*38-D GRAND HOTEL MAYENNE demande chef GRAND de C111,lne et une per«niin« oour lavare lin a1*». Places «ttnhle* Ô-IS-^D FEMME DE CHAMBRE ^TYaiShip est ilemi.'iiiCo. Tffite) de VF.irone. niNAN. GARÇON DOllr courses et (Tarage demandé ON DEMANDE jardin, femme, et ménage. Mme .'e 'a BRETECHE. rue des Vieille». Haltes, ARGENTAN (Orne). 63TO-OI


Manquet-?ou> d'appétit t Avez vous ue» diges- tions lentes et pénible» t Eprouvei-vou.1 des lourdeurs, de l'oppression après les repas t Avez-vous des renvoi* acides, des gaz abondants, des maux de tête. des vertiges. des bâillements, de ta aoninoleoce f \vez->ous la langue chargée, l'Uaieine fétide, le ventre ballonne » A»ez-vous souvent des alternatives de dlarrhée. de eODStlpatlon Sentezvous des douleurs au: creux de l'estomac, au foie. dans le ventre, dans te dos entre les deux «pauleit Etes-vous vite fatigue, vite essoulflê Etes-vous oppressé pendant la nuit, avez vous des caochemari des insomnies t

Cnfonou-voui bien été. dans la tété les Pocdrcs Dg Coot voue débarrasseront de suite de toutes ces Misères et vous rendront la tante A francs la botte. Tout -s pbannacles.

votre ASTHME Demandez â votre pharmacien les cachets D'ASTHMOSINE

de P. PHILIPPE, pharmacien, PAIMPOL Soulagement immédiat

Prix de la boite, tomes pharmacies

Adultes 7 fr. 85. enfants s fr. de. R 0 Patmpot. a, 5.

LA CONSTIPATION ABRÈGE

LA VIE

Elle engendre, favorise, entretient et complique les maladies de dépression elle est la cause initiale de la vieillesse prématurée. La thérapeutique moderne, d'après les recherches de nos plus illustres savants, reconnait que la plupart des éléments morbides s'élaborent, prennent naissanoe et se développent dans l'Intestin. Véritable égout collecteur de l'organisme, l'Intestin est le siège de fermentations favorables aux microbes, aux toxines et autres poisons organiques de toute nature. Ces fermentations sont d'autant plus actives, la pullulation des microbes est d'autant plus intense, que l'Intestin est plus encombré. ^'accumulation des matières fécales constitue un véritable bouillon de culture dans lequel les microbes, les toxines, les poisons intestinaux les plus virulents naissent, se développent, se reproduisent avec une effrayante rapidité. Dans son trajet circulatoire à travers toutes les parties du corps, le sang véhicule et disperse ces semences de maladies, ces éléments de décrépitude qui minent les constitutions les plus robustes. Et l'on s'étonne des signes prématurés de vieillesse chez tel homme, de la beauté qui s'étiole chez telle femme, de la mollesse, du manque de force de tel jeune homme, de l'anémie du teint chlorotique de telle jeune fille. NE CHERCHEZ PAS PLUS LOIN

Interrogez-les il avoueront qu'ils sont constipés. Et c'est de là que viennent tous leurs maua, depuis l'Anémie, la Chlorose jusquauxmaladies d'Estomac, depuis la Goutte et les Rhumatismes jusqu'à l'Eczéma, l'Artériosclérose et la Neurasthénie. A tous ces malheureux qui souffrent par leur faute, qui empoisonnent leur existence, qui abrègent leur vie, il faut dire, il faut répéter sans se lasser

LES PILULES DUPUIS préviennent, combattent,

suppriment

LA CONSTIPATION Eile réussissent là où tout a échoué

Les PILULES DUPUIS rétablissent toujours la liberté de l'Intestin; elles assurent d'une façon régulière, automatique, l'évaouation quotidienne des résidus, des déchets intestinaux; elles expulsent les éléments fermentescibles au sein desquels vivent les microbes, agents infectieux des maladies les plus Constipés, quelles que soient l'aneiennetè et l'opiniâtreté de votre constipation vous pouvez être oertains que les PILULES DUPUIS vous en débarrasseront.

Eviter l'enoombrement intestinal, assurerla liberté du ventre pratiquer journellement l'expulsion des fermentations microbiennes qui menacent à toute heure la santé, c'est le seul moyen d'éviter nombre de maladies, de retarder l'apparition de la vieillesse, de conserver aux organes un fonctionnement régulier et au corps entier toute l'activité de la jeunease.

H LesPILULESDUPUlSFONTTOUTCELA Le* exiger, dans toutes les pharmaciei, la boîte Set £r &<Z> portant une étoile rouge sur le couvercle. La* mots • Dupais Lille sont imprimé4 en noir sur chaque pilule de couleur rouge.

Dépit jéniril CI. BAtLLŒOIl,

I •«ttnrHpb»rmwU,108,riieLiiin-Simbilts,Lilli

commis EPICIER, on demande suite. JEUNE Pour service

magasin. R. Cary Produits Potin, Paîtront [Orne, UN 11 F M chauffeur iwui saisun. s'adr. ON UL.III. L). makTIX. Quimperlé, WJUS1 lli NS DE vuunuOUNK. Directeur u'iuip. iialsou • actuellement en Ureutgue cherche RE PRESENTANTS visitant clientèle particul. Ecr. M. HOUEL. lilace de l'Egllve. SAINT-LUNAIRE. 387<7-E JEUNE homme 8j ans. très sérieux, demanda y emploi dan» commerce. S'ad. O.-Eclalr. 6CT0D irîHAMFFFIIR ijemasws placl:. jyutiresser au Journal, 1WS

QHAUFrrUB libère service militai j, très au courant de l'automobile dem. place stable pour Rennes S adr. Agence Havas, Rennes, N' 1041-C JARDINIER céllbat. rtem..lace rraJson bourge"lse. Pr ad. Agence Havas, mantes.

JEUNE FILLE, îl ans CHERCHE PLACE FI LLE DE SALLE Saison. Ecrire CABON. acte) Houle, st.BrlaCr

JEUNE HOMME. 13 ans, bonne famille, bonne Instructton. actif, sérieux, présentant bien, demande situation dans commerce on hùreiu. Pressé, s'ad. l'Onest-EcluIr, GBEST. îOfllT JEUNE HOMME. 23 ans, de bonne famllle, 4 ans de pratique. Excel], référ. cherche place dans evpiolt arric. p. ge perfectlcnn. J. H. Alkin*. Café d'OrmPssnn. a Chennevlèrfs-s. -Marne (S.-et-Olse). INftf NIFIIR a «* M.. 3fl an? recherche sttusiiiui-iiiuun ,Ipn en Breton» fonderle; automobile, machina «jrrjcole*. on représentation Industrielle, etc.. au besoin prendratt portefeuille on ferait apport. Sér. référ. S'adr. an journal. 50OÎ7 ALIMENTATION

CHAMPAGNE MASSE 35. p" .ÏÏW' Fondé en 1853. Vente directe depuis 9 fr. la bouteille. AUTOMOBILES

A VFRinRF MOTOBLOC wrpédo 10 CV. 19M. n VENDRE Bon état nj^oaojçue, Prix jn^.ressant. NI. l'Abbé caUBLE, a St-Aubin-d'Aubigné. A VENDRE DE u[lj*' eonaojue intérieure, très confortable, bon état me.ca-nlque, moteur a neuf. Prix intéressant. S'adra-aer Il M. BODIA, 18, rue Lesage. à REK.NEB. marche. Prix Intéressant. Ecrire D. M., ouestEclair, RENNES, 63445-0 A V/FNnRF to'I)6ao BARRE uarraii état ce M VENDRE marche. Peu roulé, M. Rouault, quKicatltler à JA.NZE (Ute-et-VJtUiiie). 63<«-D RFNAMI T » HP- 19l>1' parfait état, bas prix. pressé. Sad il 1O.E

A VENDRE 1° wri'I::l)U uoriot 10 cv. 1912. VENDRE ,plêt teyyK 1922, carro». il 2 et il 4 lil.; 2» TORPEDO U.MC 1912, 12 CV., b. état. S'ad. HQulin, mécan., Mortain fManolx'-). A VENDRE Quadriletu Peugeot Vfîi, bon état. Moto B. 8 A. Prix Intéressant. PELE, S rue Houvenagle, talnt-Brleuc.

PAMIDN BEBNA type C, bon état, t tonnes, CAMION dispontble de suite. 7^00 fr. S'ad. LEBRUN minotier. Bayem (Calvados). 63C7O-D DELANAYE Camion ( tonnes, type 69. état neuf. delahave Camionnette 800 t.. type 32, état neuf. DELAHAYE Camion 1.500 k.. type 66, état neuf. DELAHAYE Torp. formant cond. lntér. type 47, état neuf. Prix IntareuanU.

E MARTES CHRSXEATj. SIII*-l«-CulH»um. (SarthQ A VENDRE c'!ro*n M HP., tourisme luxe à |-«'*t de neuf. sortie usine septembre demie.. Prix 18 000 francs, DAN.T0D. 33. boul. Lenolr-Uufresne. Alençon. 63.1S0-D BllfiATTI 8 soupapes, grand sport, 3 pi., Part. vu état ,3M0 tr, S'adr t,0 -Ee <6iT!K; A VENDRE une quadrlllttte Peugeot 1994, parfait état. Sud Il l'O.-E. 63763-D Eclair. «ENNK8.

A VENDRE

1- EXOELLENT CHASSIS Lorralne-Dlétrlch 13 HP peu roulé état neuf, pneus neufs. Conviendrait à boucher, boulanger, commissionnaire.

2" CAMION BayardClement 3 tonnes, roues jumelées, état "eut.

S'adresser docteur AUKEGA.N, Lannlon. 638U-D MOTO avec side-car A VENDRE. IHU I U D. O. M. peovosT. M. rut SaintMartln, ARUKJTAX (Urne). 63808-0 LOCATION O'AWgMOBiLES tous genree. LOCATION Excursions grandes autos-carr très confortables, pour mariage», sociétés, etc. Joseph MOULET, Ponl-Dhatcau (L.-l.). 10.004 LEON BOLLEE 16 cv- Iorip' av--ïu«ir«. Ptrr- Occas. Jacquet, 13, r. Capttaine-Lefort, LORIEST. A VENDRE 10 cv 102( éut de neuf, ça mlonnette Brasier 500 kgs., fourgon Berllet f000 U. Camionnette Ford. 600 kgs. Etablissements blaln got. BAVEUX. TORPEDO FORD 5 places. Docteur DERRIEX. SAINT-SERVAN. C38»-D L>UV3H i i i p,at ,3 iWn fr s.a<lr ajNDRE. Château Luzuria, Plourln les-Morlalx.

CHEVAUX ET VOITURES jpcpv Vente et échange -e Voitures en tous 1 "-v»ii genres pour chevaux. Spécialité de voitures anglaises, ouvert tous les jours 26, rue Sainte-Barbe, SAI.NT-MALO. Î001Ï roulé environ 100 kil.. très léger. Ni. HESRY. SG. rue Sainte-Barbe, SA1NT-MALO. SOOSO

AVIS DIVERS

AFFAIRE EXCEPTIONNELLE 1' MOTEUR A GAZ PAUVRE I.al)bé 40 HP, gazOgène, démarreur, parfait état. S" DYNAMO MO volts. 50 ampères, comme neuve, avec tableau. 3' POMPE A EAU A moteur. Transmissions 80 mm, et 50 mm., poulies fer, fonte, bols. Courrôles. pas prlx, facilités. 0. Fcl.. St-Brieiic. OEUFS A COUVER

DE LEGHORN BLANCHE D'AMERIQUE LA REINE DES PONDEUSES

rremin prIT rxvrxiuov et j\npt'.

Toutes quantités rtlsponlb'es. BEUCHERIE, Grand Elevage de! Héllnntls {près Vezin). A Paoé (I.-et-V.). MACHINES A TRICOTER

toutes larg. et Jauges. Pr. de fabrlq. Tray. assure, Cat. apprent. gratis. LAINES, tontes nuances, échant. gratis. LA LABORIEUSE. 10. q. Orléans. Nantes, bille Chutnard, u, r. gt-Melalne, Rennes.

Qui veut se souvenir ne part jamais sans "Kodak"

Vos photos "Kodak" illustreront pour vos amis l'histoire vivante de vos vacances 19 2 5 et, vous retrouverez dans chacune de ces petites photos des incidents et des détails amusants qu'assurément votre mémoire n'eût jamais retenus. Vacances sans "Kodak", vacances vite oubliées.

Avant votre départ, allez choisir votre "Kodak"

Le plus proche marchand d'appareils photographiques aura plaisir à vous montrer les différents modèles et à mettre entre vos mains tous les éléments 'de réussite "Vest Pocket .Kodaks Autographiques depuis. 143 fr. "Pocket Kodaks Autogr. Série II" depuis 3336". "Kodaks Juniors Autographiques", depuis 3oo fr. "Brownies Pliants Autographiques", depuis 2256-. "kodaks Pliants Autographiques" depuis 471 fr. "Brownies" boites pour les enfants, depuis. 48 fr. Il suffit de quelques minutes pour apprendre à se servir J'un "Kodah"

Qu'est-ce qu'un "Kodak" ? Exigez la Pellicule "Kodak" Le "Kodak" est le mieux étudié, le plus réputé et, Ne risquez pas vos photos de vacances en acceptant sans conteste, le type le plus accompli de l'appareil pho- une pellicule quelconque dont vous ignorez les qualités. tographique à pellicule. Il assure toujours les meilleurs Insistez pour avoir la pellicule sur laquelle vous pouvez résultats au débutant comme à l'amateur expérimenté. toujours compter la Pellicule "Kodak", en boîte jaune. Kodak. Société .Anonyme Française, 39, Avenue Montaigne. 'Pafs (8')

ŒUFS^A COUVER (Saison 1925) Grand choix de rolallle? rie rnoi» très pure. st lectlonnfcs parmi tu, plus pratiques, les mieux acclimate1- et le» ilos Avantageuses pour la ponte et la ctlhtr

Bresses noires. Léchons Manches (l'Amérique. Ar.cOni-s Rhooe-lsland Red et Lt^ht Sussex, Grand prix d nonneur et nombreux premiers prix Rennes I33i.

Prix tnodert. expédition rapidc. Tente en confiance.

Grand BlevtiQe des Riltanut (Tl'lble tous les lnnr.1 T. P. R. ^EI'nHEnili. i t>nçt «I.-ft-VIU. 100 CD par altalro. slmi>l. ren;eign. à fourIW rn.|[lr Ec. Botte Postale n- o Bayonne. CERENCES L'ADJUDICATION DES DROITS marchés de la Commune de Cérences, pendant les trois années 1W«. 1937 et 1938, aura lieu, aux enchères Il l'extlnctlon des feu%. le Jeudi S3 Juillet, à u'heures, à la Mairie de Cérences.

Mise A prix Vingt-cinq mille francs.

Le Maire de Cérences, HECQUARD.

par la Receveur des Do. AUJUUIUA I IUH mimes, le 23 Juillet 1WS. U heures, a la Mairie de pontlvy, de M TRES BEAUX PEUPLIERS SUISSES, en bordure du canal du Blavet. au Pont-Neuf, Il PONTIVY. (BâlO-D

ADMINISTRATION DES DOMAINES BUREAU DE RENNES

Le mardi SI juillet 19-J5. 9 9 heures, À RENNES au Camp de Verdun et A l'Arsenal, Il sera mis en vente divers objets comprenant notamment gants en toile hullée. 451 paire- chiffons et débris d'etfets de laine et de toile. o.SOO kgr.; vieux fer. vieux cuivre; vieux cuir, 5.700 kgr. 3 chaudières multittlbulalres système Belleville, lSfl m. de tuyaux de fonte de 500 m/m, du poids de 8.450 kgr.; 1 moteur Société Ofnêrale NANCY. courant tréphasé u r v, 990 volts, 50 ampères, tJX t. m.. 15 tombereaux il 2 roues; I10 roues canacieniu»*. -5 automobiles touristes ouvertes DE DION. CHENARD et RENAULT.

Se renseigner au Bureau des Domatnea, Palais du Commerce, à RENNES.

MEUNIERS. Nettoyage (Cusson. Tours). mtunitno. combine! blé noir, trieur,

aspirateur, brosse, état neuf garanti, uour mille francs. Chez H. ORRIERE. Minotier à Janzé filleet-vilaine). «km UN JEUNE CHIEN POLICIER de mois et portant un colller sans mm, perdu sur la plage de Param6 hier mardi. Prière de le ramener à M. GASNIER. villa Marguerite. D:«ue, SAIN'T-MALO. Rtrompenie. i».n?4 BACC. B 1" partie, écrit prépare corresp. en unwwi i10 leçons (10 par matières). Succès certain, 300 francs, moitié en s'inscr.. solde ap. admis. A. COLIN, prof bon, 0. I., M, rue Barbais. RENNES.

Lernm particulière» pour toutes clauses. r l.m il w n lu porter sacs a emmagasiner demandés. DELAJ1BRE, RENNES.

IMPRIMEURS Sommes toujours ACHETEURS crasses imprimerie et résidus divers. et VENDEURS métnux lino et monotypes. Société Anonyme des Anciennes Fonde- ries AUBERT, pi. Dnuhenton, Nantes, RENNES, Auisant, herbor., 1. pi. St-Mictiel. Berthelot, Herbor C" du Chnmp-Jnccruet. Frémont, Horlioriste, 22, rue de la Monnaie, et toute» bonnes Herboristeries de la région. pp«rp na A guéri radicalement AUPNnRP MACHINE A VAPEUR NASSIVET visible en m.irclw UNE GRANDE BENNE pour tous transport» S'adreswr. Ch. RABAULT. minotler. CIIAMPSEGHET (Orne). 638:U-D HITS argent tous. F.cr. Receveui- de Rentes, Si, rue Hyacinthe-Langlols, ROCSN (S.-Int»r.). DUF.RISON RADICALE PAR «OM Envol notice tipilcatloa contre 0 50

Ecrire 1 ION, Cd« Pharmacia Il' rranoa, OINJUI.


2 MAISON DE VENTE ̃MAGASINS GÊMÊRAWX¥AISEUiLEMENTSl | t Suppression de tous Intermédiaires

L' Annuaire Générat de la Vélocipédie (Edition 1926)

(Paraît en Avril tie chaque année)

La souscription à chacun de ces volumes, édités par le Didot-Bottin, donne droit à une Insertion gratuite de 5 ligne? dont le libellé doit être adressé à M. C'RAUDEAU, rue Vil laret-deJoyeuse, 1. PARIS (17«), ou à l'An nu»ir« Didot-Bottin. rue de l'Université. 19. Parle ("•). Renseignements sur demande. Prix de souscription de chaque volume t6 tranos franco

Règlement après la livraison

Grande Vente Réclame avec Primes D'un stock de beaux draps de lit

10 En toile coton surjet main

Dim. 160x25u pour petit lit le drap 26.50 Dim. 200x300 pour grand lit.. le drap 32.50 Dim. 200x300 toile lourde s. coutn. le dr. 37.. 20 En toile du Nord sans couture

Dim. IGOxL'Sfl ourlet à jours.. le drap 30.. Dim. 800x300 ourlet à jours.. le drap 4E.50 Dim. 240x315 ourlet à Jours. le drnp '47.50 ENVOI FRANCO CONTRE REMBOURSEMENT |)D||f|\ Pour (out achat de quatre draps I H I.Ti Lu! nous donnons deux superbes taies d'oreillers et une belle paire de rideaux en étamine, Ecrire Manufacture de Draps de lit, 2Ça, rue Lafayette, MARSEILLE.

500 M' Beaux Bois secs pour Ebénisterie et Menniserie Chêne, Châtaignier

Acajou, Noyer, Hêtre Peuplier

S'adresser pour visiter les lots la Manufacture d'Ameublement de REZÉ. LES-NANTES, et pour traiter, 9, rue Kléber, à NANTES.

(FABRIQUE d> Bijouterie a juailleris ACHATS DE BRILLANTS. SIJOUI OR, ARGENTERIE w LAHumiO, 19, Ru» g» U Mirn». NANTI»

CHARBON DE BOIS

250 Tonnes disponibles

Adressez vos commandes par wagon complet il

TOUS LES TROUBLES DE LA CIRCULATION itou RETOUR D'AGE L'EPOQUALINE est en vente à 7 fr. 76 le tlacon dans toutes les Pharmacies et notamment Rennes i l'hie Livet, pi. de 1a Mairie; Gde Phie Nouvelle, 5, r. de l'Horloge: Phie Poirier, S, r. ChaU.s; PhicHeurtlor. 5, pi. des Lices: PhieSorln. pi. Bretagne.- Laval: Phie JL«se(ji-«tatu, 33, r. Joinrillc; Phic Gonnet, s3. r. de la Paix: Phie Goude, 7, r. Victor-Boissel. Le Mans Ode Phie de Paris, 3o, r. Dumas; Phie Levernleux. carrefour de la Sirène; Phie Hardy, t3, r. des Minimes: l'hie Joly, pi. Washington. Nantea Gde Phie de Paris, pi. Rovale; Gde Phie Lemaitre, 18. r. d Orléans; Phie Maussioii, 10. r. Crebillon- Phie Volteau pi Pilori; Phie Duclos. 1. pi. St-Similien: Phie Fredet. i3. r. Sl-C?cmcn;. Brochure gratuite sur demande.

Le DENTOL (eau, pâte, poudre. savon) est un dentifrice à la fois souverainement antiseptique et doué du parfum le plus agréable, suuveraineuieui Créé d'après les travaux de Pasteur, il raffermit les gencives En peu de Jours U donne aux dents une blancheur éclatante. Il purifie l'haleine et est particulièrement recommandé aux fumeurs. Il laisse dans la bouche une sensation de fraîcheur déllLe DENTOL se trouve dans toutes les bonnes maisons vendant de la parfumerie- et dans toutes les pharmacies.

Dépôt général Maison FRERE, 19, rue Jacob, PARIS.

Il suffit d'envoyer à la Maison FRERE, 19, rue Jacob, PARIS un franc en UttUlltW timbres-poste, en se recommandant de L'Ouest-Eclair pour recevoir franco par la poste un délicieux coffret contenant un petit flacon de DENTOL un tube de pâte DENTOL. une boite de poudre DENTOL et une boite de Savon dentifrice DENTOL

VOULEZ-VOUS des ŒUFS en QUANTITÉ ?

Donnez régulièrement & vos poulet Le Toni-Pondol des Héliantis qui les fortifiera et doublera leur ponte sans Jamais les forcer. Cette poudre il faire pondre, TRf.S ECONOMIQUE, ne ressemble en rien aux produits simi. iHires et vous donnera des résultats cer.tains. faites un essai le paquet de 45(i «rnmmcs suffisant pour Ht poules pcndnnt 3 tnots, 7 fr.; franco par poste, contre mandat la Commande. 7 fr. 80; franco contre remboursement. g fr. 70 En vente chez son fabricant et inventeur M. BEUCHERIE

GitAND ELEVAGE DES HF.LIANTIS A PACÉ (Ille.et-Vilaine)

Si vaor

de

CINÉMA

91, Rue 91

où le meilleur le. choix de prie de et de 440 ainsi Qui mootrcn la façon de vous

COflDOPO TalUls sommes acheECORCESteurs P' complément approvislon-

4O-

10 MOIS de CRÉDIT à 40 francs par mois

TOUS MODÈLES GARANTIS 3 ANS DEMANDE da CATALOGUE GRATUIT <• .00, ulm, L Cette demande ne vous engage à rien

16 et 18. Rue Choron PARIS <9«)

PAPIERS PEINTS

fris ie fabnqoa âlbvm •• éckactilld* traaca ̃• LA DÉCORATION MODERNE. 90. n Lunarck. Pm»

Imp. rie Ouest Eclair, m. rue du Pré-Uotlè. Rennes. Le Gérant. Fr Rallier. s