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Titre : Revue générale des chemins de fer et des tramways

Éditeur : Dunod (Paris)

Date d'édition : 1923-03-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343654271

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343654271/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 24274

Description : 01 mars 1923

Description : 1923/03/01 (A42,N3)-1923/03/31.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil

Description : Collection numérique : Corpus : transports ferroviaires

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k64739553

Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-301739

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/03/2013

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NOTE 8LH rEltrifWatWn des hlllîn le Fer U II

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M. P. LEBOUCHER, IXCKNIF.rii EN CIIKK

M. H. LEDOUX,

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l)KS SKHVICKS TKCIIXK.trKS 1)1" MAT&KIEL KT DK f.A TKAC.TIIIN DE LA COMPAOMK Dr MIDI.

(PI. I à IV).

La Henie Générale des ClfPlUw.'i de Fer a décrit dans le No d'Avril 1912 (note de MM. Jullian cl Lhériaud), la première tentative d'électrification faite par la Compagnie des Chemins de fer du Midi sur sa ligne de Cerdagne, de Yillefrauche-Yernet-les-Uains à Bourg-Madame. Cette ligne, à voie élroile d'une longueur de 51 kilomètres et qui comprend des rampes de UO min par inèlre et des courbes de 80 ni de rayon fut équipée en courant continu à 850 volts avec prise de courant par <">e rail. Nous n'y reviendrons pas.

De même le de Mars 1911 de la Henie Générale (note de M. Jullian) indique les essais effectués encourant monophasé 12.000 Y (fréquence 10 périodes 2/3 par seconde) sur la ligne à voie normale de Perpignan à Yillefranche longue de 47 kHI. Ces essais, très satisfaisants en ce qui concerne la traction proprement dite, firent apparaître des troublestrès sérieux dus à l'induction électrostatique et électromagnétique du courant de traction sur les lignes à courant faible, troubles qui ont fait l'objet de plusieurs publications (1) auxquelles nous prions le lecteur de bien vouloir se l'eportel'. Il y verra qu'au début de la guerre, la solution des communications télégraphiques était trouvée et que plus tard en 1910, grâce à l'emploi de transformateurs-suceurs on pouvait utiliser pratiquement les circuits téléphoniques.

Néanmoins, lorsqu'après l'armistice, la Compagnie du Midi youlut reprendre son programme d'électrificalion d'avant-gïierre que la pénurie du charbon l'avait d'ailleurs conduite à développer

(I) Devaiiv-C.hai lxmm'I. Lumière électrique 19Ui (l„o télégraphe et la traction monophasée). — lIaehal'.

(î. J',. : Jal's cl 7 Avril 1917. Application de transformateurs suceurs syj- la ligne de Perpignau-Ville franche.

— Leboucher el Villeneuve, Technique moderne, \Jars et Avril 1919, La fraction Eleclrillue et les lignes à courant faible.