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Titre : Revue générale des chemins de fer
Éditeur : Dunod-Gauthier-Villars (Paris)
Éditeur : ElsevierElsevier (Paris)
Date d'édition : 1936-03-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343492000
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343492000/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : multilingue
Format : Nombre total de vues : 17808
Description : 01 mars 1936
Description : 1936/03/01 (A55,N3)-1936/03/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : transports ferroviaires
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6472869g
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302355
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/03/2013
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MESURES PRISES PAR LES RÉSEAUX FRANÇAIS
POUR
AMÉLIORER LA QUALITÉ DES BANDAGES
par M. ARTIGNAN Ingénieur Principal chargé des essais, réceptions et contrôle aux usines du Chemin de fer du Nord
Au cours des dix années qui ont suivi la guerre, les Réseaux Français ont utilisé sur leur matériel des bandages dont la fabrication et la réception étaient régies par la spécification
technique N° 14, édition de Mars 1918.
Cette spécification prévoyait l'emploi des deux catégories de bandages : G et H, ayant les caractéristiques de traction indiquées ci-après, obtenues au four Martin, au four électrique ou au four à creusets. Les lingots devaient être affranchis soit par la débouchure résultant du poinçonnage (Fig. 1, a, b, c) soit Par tout autre moyen, des parties souffleuses de la tête et du pied, et de toute trace de la poche de retassement.
Les lingots devaient être ébauchés à l'aide du marteau-pilon ou de la presse, ei1 rondelles qui, après nettoyage et ébarbage, étaient laminées au diamètre et au profil voulus.
Le traitement thermique des bandages était laissé à la disposition du fournisseur,
Fig. 1.
mais de toute façon, ce traitement devait toujours être terminé par une trempe à l'air ou un revenu. S'il n'était pas fait de traitement thermique spécial, le recuit avec trempe à l'air était obligatoire.