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Titre : Revue générale des chemins de fer

Éditeur : Dunod-Gauthier-Villars (Paris)

Éditeur : ElsevierElsevier (Paris)

Date d'édition : 1932-06-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343492000

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343492000/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : multilingue

Format : Nombre total de vues : 17808

Description : 01 juin 1932

Description : 1932/06/01 (A51,N6)-1932/06/30.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil

Description : Collection numérique : Corpus : transports ferroviaires

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6463449c

Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302355

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/03/2013

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L'ENTRETIEN a- LA RÉPARATION DES LOCOMOTIVES a AUTOMOTRICES ÉLECTRIQUES AU CHEMIN DE FER D'ORLÉANS

Par M. CARDON, INGÉNIEUR EN CHEF DU SERVICE DES MACHINES AU CHEMIN DE FER D'ORLÉANS

I. — ORGANISATION GÉNÉRALE

L'entretien et la réparation des locomotives et automotrices électriques comportent les travaux suivants : Visites en service courant, sans immobilisation des machines ; Menues réparations courantes dites de « bricole » ; Réparations « accidentelles » plus importantes que les précédentes ; "- Révisions périodiques.

Les travaux des deux premiers genres sont effectués par tous les Dépôts et se bornent, en général, à des travaux d'entretien et à des remplacements d'organes.

Pour les travaux des deux derniers genres, il fut reconnu, lors de l'exécution des études en vue de l'électrification de la ligne de Paris à Vierzon, qu'il était possible et intéressant de les concentrer dans un seul Etablissement. Cette possibilité résulte de l'interchangeabilité de la plupart des éléments de l'équipement des machines et de la simplicité des organes de transmission entre moteurs électriques et essieux, simplicité qui réduit les travaux à effectuer. L'intérêt de la concentration résulte principalement des économies qu'elle permet grâce à une organisation méthodique très poussée du travail — de la réduction de l'outillage qu'elle procure — de la facilité qu'elle donne dans la formation du personnel spécialiste d'encadrement et d'exécution, personnel qui devait être pris parmi celui des Dépôts de la traction vapeur, de la possibilité qu'elle procure d'un contrôle minutieux et efficace des travaux effectués.

Les dispositions de deux des trois grands Dépôts intéressés ne permettaient pas d'y réaliser la concentration désirée ; le troisième, celui de Paris, appelé à être reconstruit en vue de la transformation des gares de Paris, ne conservait plus, à son nouvel emplacement, une superficie suffisante pour qu'on puisse y établir le centre unique de réparations. Celui-ci, de ce fait, a été édifié à Vitry, où la Compagnie avait prévu déjà le transfert de certaines