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Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1913-08-17

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 17 août 1913

Description : 1913/08/17 (Numéro 5348).

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k643720v

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 04/11/2008

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L'herbe enchantée Faut vous dire, mes gars, que la Montagne Verte est dans un pays si loin, si loin, que jamais personne n'avait encore pu arriver jusqu'à l'apercevoir. Et puis, pour empêcher le pauvre monde de grimper jusqu'à son sommet pour y cueillir l'herbe enchantés, il y avait de tous côtés des dragons verts et rouges, armés d'épées flamboyantes, avec des ailes aux pattes et des griffes a la queue, qui jetaient du feu par les yeux et de la poison par la bouche, des méchantes l»'les. qui éta.ent comme oui dirait les gendarmes de ce pnv*-1à. Tout lc monde écoute ? Or, donc, finit \ous dite. gars, que ça. se pustmit. il y a rudement longtemps, du temps QUI' les alouettes tombaient toutes rôties dans Je !>ec des poussepains et des marloufiers. Donc, il y avait dans ce temps-là, un pauvre petit gars de Ploudalmczeau. un Breton de la Bretagne Bretonnante, qui s'appelait Jean-Marie, comme tous les gens de cette contrée et qui aimait d'amour une belle demoiselle, nommée Yvonne, qui (̃̃tait fille du seigneur de J'endroit. Seulement, le ivre de la mignonne ne voulait pes entendre parler d'épousailles, vue que Jean- Murie était le fils d'un morutier et qu'il ne posHédait. outre sa veste et ses braies, pas un rouge liard.

La demoiselle, pourtant, aimait aussi d'amour le pauvre Jean-Marie. Cà leur était venu comme rà, un jour de printemps, pendant qu'ils étaient assis dans les genêts, tous deux. côté à côté, alors que le petit gars revenait d'un voyage aux Grandes-Indes, et qu'il n'était encore que moussaitlon. Ah mon Yvonnette.* lui disait-il, je t'aime tant que si ton père ne veut pas nous marier, je sens que je n'ai plus qu'à grimper jusqu'au calvaire de la Vierge-Noire et à me jeter dans la mé. ̃>

Pauvre Jean-Marie

•\ quoi Yvonne répondait « Si mon père re. Inse çe nous promettre, mon bien-aimé Jean.Alarie, je mettrai ma telle robe blanche de communion, et j'irai m'ensevelir dans le couvent de la Miséricorde, où les dames pèles sont comme ies mortes, et d'où l'on ne sort plus, plus jamais, que Pour entrer dans le cimetière de la lande. » Pauvre Yvonnetle

Comme Jean-Marie et Y'vonne étaient si malheureux, il arriva un jour que le petit gars, sur ]a i-outf qui va de Tallec la Croix du Nord, j'Mvontra le poolpioan.

%,ou,- dire oue ce Poulpican, c'était un son or qui savait toutes sortes de choses et bien ̃ri uutres avec. Il avisa Jean-Marie, et lui dit ̃mme oa « Que qu't'as. mon p'tit pars, pour' avoir la mine si iristeuse et chagrinetle ? 7- C'est que j'aime la demoisellr Yvonne, et que son fiore ne veut pas me ] aborder. Mais vous, F'oulpican. qu'on dit que vous savez tout, vous ie connaisseriez pas un moyens d'arranger Le sorcier regarda Jean-Marie et secoua la .été.

Le Petit fiars, était ben frêle et ben pâloi. Dit. oui. qu'j'en connais un de moyen. Ce sentit d'nller couper une trochée d'herbe sur la Montagne Verte, et de la donner R ton '¡'on!'rite oui la mettrait sous l'oreiller de son père. Alors il ferait tout ce que vous voudriez. Où que c'est-y, Poulpican, la Montagne Verte ?

C'est loin, bien loin. Si loin que jamais personne n'a encore pu arriver à l'apercevoir. Et pour empêcher les gens de monter jusqu'à ton sommet pour y cueillir l'herbe enchantée, Il y a de tous cOtés des dragons rouges et verts armés d'épt-es flRmboyantes. avec des ailes aux pattes et des griffes à la queue. Ce sont des hMes tri-s mr'vhantes: elles te feraient mourir Flles te dévoreraient avant que tu ne puisses arriver en haut de la montagne.

Y a pus de danger, Poulpican. Et puis, lussi hien puisqu'il faudra que je meurre si l'on ne veut pas me donner autant vaut que je tente de la mériter. Dites-moi où que c'est qu'est la Montagne Verte

Eh hen puisque tu veux y allw, voilà, dit le sourcier. Tu prendras la grand'route. la rouV sans fin. Tu traverserais des villes et des illages: aussi des rivières et des collines; aussi les bois. Alors. quand tu auras grand'soif et rrand'faim, quand les i.iods .Hignerpnt et que ies jambes refuseront de te porter; quand tu ne pourras plus aller plus loin et que lu sentiras que la mort va \r prendre; alors, tu verras apparaître lit Montagnes Verte.

Merci. Poulpiean. répondit Jean-Marie. Je rwrtTaj dès demain matin.

Et 1e lendeman, comme il l'avait dit, le petit fars breton de la Bretagne Bretonnante, ay·ent

coupé un bâton de cornouiller et s'étant revêtu de sa plus belle veste ouvrée de velours, et brodée d'ancres blanches en signe d'espérance, avait embrassé son Yvonnette. et s'était mis en route pour la Montagne Verte. Tout le monde écoute î

Oui. oui

Personne ne dort t

Non non

Cric

Crac

Le conteur se tourna.

ICI, aussitôt, il reprit

Faut. vous dire, les gars, que JeHii-Mane, <iui n'avait jamais trimarde sur.le plancher des vaches, vu qu'en qualité d'apprenti mathurin il voyageait toujours sur la Grande Verte, fut bien vite fatigué de la route. Comme il n'avait pas ainsi que vous ou moi. des semelles en cuir de brouette sous ses plantes, il ne tarda pas avoir les pieds en sang.

Les jours après les jours, les mois après les mois, les années après les années, il marcha, croyant toujours, en arrivant au sommet d'une colline, voir apparaître la bienheureuse Montagne où poussait, l'herbe enchantée.

11 marcha si tant et si longtemps, que le pauvre petit gars, qui n'était qu'un blanc bec lorsqu'il avait quitté Ploudalmézeau avait assez de barbe au mentnn pour s'en faire un cache-nez, quand il arriva au pied de la Montagne-Verte. Pauvr'petit Gars

Pauvre Yvonnette

Taisez-vous donc, vous autres, qu'on entende la suite

Mais, au lieu de continuer. le vieux mathurin prétant l'oreille. dit

Chut voici l'officier de quart. Que tout le monde dorme

Et il ajouta tout bas

La suite, les cars, faut la demander vousmême madame la lune. Elle est douce et bonne aux marins, aux songe-creux et aux amoureux C'est elle qui les mène vers les lointains pays du bonheur. On ne trouve pas toujours l'herbe enchantée. ni la Montagne Verte. Mais qu'importe si l'on a tenté le voyage.

Clamant ROCHEL.

BRINDEJONC arrive à Dinard Di.nard, 16 août. Notre compatriote, l'illustre aviateur Brtndejonc des .Moulinais, a tenu aujourd'hui la promesse qu'il avait faite au mnire dc Dinard, A/. Crolord. Par la voie des airs, venant de Marseille en dcua étapes, il est arrivé sur notre ville vers une heure de l'après-midi, et quelques instants plus tard, dans un vol plané impeccable, il atterrissait sur la plage du prieu. ic, où sc trouve dressé son hangar.

Ainsi Brindeionc élait exact au rendez-vous. C'est tnie coqucUcriti ci une politesse que, malgré leur bonne volonté, peu d'aviateurs peuvent se permettre. Il esi vrai qu'avec Brindejonc, Il ne faut s'étonner de rien. Les prouesses les plus fantastiques lui sont familières.

Aujourd'hui dimanche commence la semaine d'aviation dont Brindejonc, lui seul., va assurer le succès. Car il est certain que sa présence à Dinard attirera dans cette ville une foule de visiteurs.

LE TOUR D'ANCLETERRE

EN HYDROAEROPLANE

Londres, 16 août. Ce matin, Il 11 h. 47, par une vent calme et un beau soleil, l'aviateur Hawker est parti de Netloy, près de Southampton, pour tenter le prix du Daily Mail (tour de l'Angleterre en hydro-aéroplane en 72 heures). L'aviateur Hawker a passé à Brighton à midi 43, volant très haut. Son passage Il Eastbourne a été signalé Il 1 h. 3. Il volait alors très vite à une hauteur de mille pieds.

L'aviateur Mac Clean, qui doit disputer à Hawker le prix du Daily Mail espère arriver à Southampton assez tôt pour partir aujourd'hui. POUR LE CINEMA

EiAMPts, 16 août. L'aviateur Rénaux, pilotant un biplan. est parti ce matin à 6 h. 35 d'Etampes pour Deauville. Pénaux emmène avec lui un de nos confrères qui, tout le long du voyage pourra prendre des films cinématographique: du plus haut intérêt.

Toi lottes aperçue* sur nos plages

Voici revenir

les anniversaires lugubres Paris, 16 août. Ce matin, à 11 heures, a été célébré à Notre-Dame un service solennel à la mémoire des soldats tombés uu champ dhonneur en 1870-1871 et particulièrement des combattants de Rezonville au 16 aoilt 1870. A NOTRE-DAME DE PARIS

Des faisceaux de drapeaux tricolores décoraient la façade de la cathédrale et le chœur. Mgr Odelin, vicaire général de Paris présidait la cérémonie, remplaçant le cardinal Ametle empêché. Les drapeaux de l'Association de Oravelotte, des anciens combattants de 1870, qes i', 6' et 8' sections des vétérans entouraient le catafalque,

Le président de la République s'était fait i<>présenter par M. Gras, sécrétai)' puriimller le ministre de la Guerre par le colonel de. le millislr0 des Colonies pur te capitaine Barbaud. !<• gouverneur militaire l'aris ]xir le ^̃apitainfi Watumez, le colonel de la Garde HopuMicairui par le capitaine. Vexas.

Derrière les représentants oftlciels avaient pris place MM. commandant Plo, président d honneur, de Gravelotte, remplaçant le .prési^k1}11-56}11011^ aujourd'hui sur les dmmps de bataille de !870 en pèlerinage Géromini, vioe-président Marlln. secrétaire général Lucas, trésorier; Vacherot, S"1*peau *J^m{k. président des Anciens Défenseurs de Strasbourg et vice-président de la Fértiïï 2n Ancfens Militaires, Brazis, prési>«zws, lieutenant de vaisseau B<?u"not La messe a été célébrée par M l'abbé Camus de la «Guibourgcre, chanoine de Notre-Dame, ancien aumônier militaire, membre actif de Après J'évangile, M; l'abbé Moureaux. vicaire et la paroisse Saint-Antoine, monte en chaire et prononce un discours enflammé du plus ardent patriotisme.

La peroraison de ce dixours vibrant a soulevé les applaudissements ce qui est tout à fait exceptionnel dans une cérémonie religieuse. Malgré l'époque de l'année, en déni! du pont, Metz u M»rt«mballB,n?fL des • *«*"»» <1o jiii la poitrine ronse ée ci. m<Vifli!le<! des A Mars la Tour

la présidence de NI. Albert Noël député de Verdun elle a été favorisée par un temps splenermes ^iraS*111 les garnisons de Saintftijniej et de Verdun. La fanfare du 19' batailcortège, la visite au musée et au monument, Mgr Ruck, coadjudeur de Nancy a officié dans la petite église de Mars-ia-four \fd&M v^. eld Pro"on^ dcvant ie monument ÏÏTr «iK»°Saffif<; rrenfvite^Wa^t garants d'un pacifisme que démentent les faits. Que ne ^ennent-ita a nos anniversaires prendre part à notre pèlerinage, se mêler à la foule qu'ils se donnent mission de guider Peut-être senhraienUUs comme elle, devant le grandiase et saisissant panorama, passer en eux le fris- son des grandes et saines émotions; peut-être alors comprendraienUils plus vivement^'amero et grande leçon qui se dégage des évnéments Jl la Rochelle

LA Rocheixe, 16 août. Le ministre des colonies, NI. Jean Morel a présidé ce malin a La Rochelle 1 inauguration du monument élevé par le Souvenir Français en l'honneur des soldats et marins de la Charente-Inférieure, morts pour, la Patrie. Des allocutions ont été prononcées par MM. Niessens, secrétaire général du souvenir Français, Decout, maire de La Rochelle, André liesse, député et le ministre. Celui-ci s'est ainsi explique

Qui de nous pourrait, sans en éprouver une profonde émotion, assister nu renouveau de l'ame française, iL 'l'élan vigoureux dont le pays tout entier nous a donné le viciant, spectacle au cours d'événements encore tout récents ? Répondant à certains avertissements lointains, un courant salutaire l'a traversé soudain, stimulant les énergies en sommeil, dissipant les quiétudes trompeuses, exaltant le sentiment de notre lieio patriotique. Par lui SI' sont étroitement unis les liens de, la solidarité îiiitionaK1. Par son action puissante, .se soin (largies et fortifiées tes idées fécondes d'union et. d.entente.

Lu démocratie française, sans doute, s'est de travail et de paix elle en u donne quarante ans, mais elle exige une paix hono- mille, digne d'elle et de son rang dans Je monde.

Pour assurer à tous les bienfaits de cette paix durable, le meilleur moyen est encore pour elle de se tenir prête à affronter victorieusement toutes les éventualités et de ne nigliger dans ne but aucune précaution ni aucun sacrifice iii.lispen.salile. Klle défend iiinsi ses intérêts nmjiurs en servant par sureioit Sp. ciiuse de 1 humanité et celle de lu civilisation. C'est la destine'* historique de notre douce France, qui sera, demain comme hier, le sot privilégié d'où ont toujours jailli, pour se rejxindre dans l'univers, les idées «Onéreuses de lilioralisme, de concorde et de tolérance, qui sont les tendances naturelles de la race. Il importe au plus haut point qu'elle puisse il tout moment les exprimer en toute liberté et m recueillir les conséquences heureuses à l'ade toute inquiétude et de toute menace. trangère »

A l'issue de l'inauguration, le ministre des olonies a élé reçu dans le salon du vieil hôtel lie ville de La Rochelle. Eu réponse il une allocution du maire, il a déclaré qu'il était partisan d'une république fenne et ordonnée, fraternelle pour toi's.

Ce soir, M. Morel assistera en rafle à des expériences de sauvetage.

PLUS LOIN t

FN DEUXIÈME PAGE

congrès des catholiques allemands.

[ APfeÈS L'AFTAIRE DU COLLIER UNIE

HISTOIRE DE TITRES C'EST A LAVAL

QU'ELLE SE PASSE

̃ Laval, 16 août. L'affaire des titres cspagnols continue de faire dans notre ville beaucoup de bruit. Nos lecteurs savent de quoi il personne de Lavel trouva un paquet de titres. représentant une valeur considérable. A la sutte de certaines circonstances, sur lesquelles nous aurons sans doute à revenir, les titres restèrent en possession de cette personne alors que, cependant, le véritable propriétaire habitait Laval et faisait démarches sur démarches pour les retrouver.

Cinq ans plus tard, la personne qui avait trouvé les titres tes négocia, et utilisa la somme ainsi réalisée. Dix ans se sont écoules depuis lors, aussi la surprise de cette personne fut-ello grande quand elle reçut dernièrement une convocation de M. le juge d'instruction de Laval. C'est à ce moment que nous parlâmes de l'alfaire, et immédiatement nous nous mimes en .campagne pour en connaître tous les détails. Disons tout de suite que nous n'avons pas perdu notre temps. Des renseignements que nous avons réunis, il résulte, en effet, que cette affaire peut être appelé dans un avenir prochain d un retentissement considérable. PRECISIONS ET COMPLEMENTS

Nous pouvons, dès au ourd'hui, apporter des précisions et des compléments. Ce n'est pas seulement un titre espagnol, mais plusieurs titres espagnols qui ont été trouvés rue Marmoreau. Les titres n'étaient point il l'état de chiffons ils formaient un rouleau dont l'une des extrémités portaient l'empreinte de la boue du ruisseau le précieux rouleau, trouvé à proximité des murs de l'ancienne maison du Bourg, à la hauteur du numéro 21, fut tout d'abord montré à des marchands espagnols qui en indiquèrent toute la valeur, et quelque temps après présenté, comme nous l'avons dit, à la Société Générale.

La Trésorerie générale de la Mayenne n'a été en rien dans cette affaire; il ne faut pas confondre avec la Trésorerie un petit employé, aujourd'hul décédé, et qui a pu agir comme personne privée et pour son compte personnel. Le montant des coupons arriérés payés par la Société Générale à 1 individu qui s'est présenté comme propriétaire dans les conditions que l'on sait, s'élève exactement à la somme de 1.S80 francs 25 centimes. Les autres sommes touchées à la Société Générale proviennent d'opèrations financières,

Nous savons le nombre considérable de billets de mille., que ces titres. représentent nous connaissons aussi l'emploi qui en a été fait. Il ne s'agit pas d'un château en Espagne. TOUT UN' QUARTIER EN CAUSE

Il a été dit et écrit qu'au moment de la trouvaille, c'est-à-dire, il y a une quinzaine d'années, tout le quartier en avait été avisé. Si le fait été avéré, l'affaire prendrait une tournure nouvelle et deviendrait évidemment plus grave. Voici pourquoi

Le propriétaires des titres perdus nous le connaissons, nous savons où il est présentement n'avait pas été, on le pense bien, sans faire légalement sa réclamation, et, sur sa demande, une omimMe nu moins fut faite rlans le quartier où il pensait avoir pu periliv ses vaJours. Le quartier enquête fut précisément celut de la ruo Nurmoreau. Les recherches furent minutieuses; elles n'amenèrent cependant aucun résultat. Voilà le quartier qu'op nous présenterait aujourd'hui comme merveilleusement informé, et dès l'origine de la trouvaille Il serait singulièrement scandaleux d'entendre les personnes, qui auraient reçu de la bouche même de l'intéressée communication de la trouvaille, déélarer aujourd'hui qu'elles savaient tout et depuis longtemps, après avoir dit aux commissaires enquêteurs qu'elles ne savaient. absolument rien et n'avaient jamais rien su. Il y aurait lieu alors de rechercher comment et pourquoi une connaissance générale et complète de la trouvaille pouvait succéder à son ignorance entière. Certaines notes publiées dans le genre que nous signalons sont singulièrement imprudentes; leurs auteurs auront à les regretter. Parler et écrire sans savoir, lancer l'aventure des nouvelles tendancieuses sont jeu dangereux; on arrive ainsi à faire d'autres victimes que celles que l'on espère atteindre.

LE PROPRIETAIRE

Le propriétaire qui, seul, et depuis longtemps a fait une réclamation légale est chef d'une famille nombreuse et très honorable; il a deux fils qui ont reçu il l'institution libre de l'Immaculée-Conception à Lavel leur instruction, deux filles religieuses dont l'une au Japon dans un monastère cistercien, cfnq filles mariées, et au moins quarante petits enfants. La perte de ses valeurs l'a beaucoup gène, et tout le monde le comprendra. Il y a tout lieu de penser que, dans le grand et lointain voyage qu'il entreprend en ce moment, la bonne pouvelle que ses valeurs étaient retrouvées lui est parvenue et qu'il s'empressera de venir à Lav'al défendre ses intérêts.

Tel est celui contre qui un organe de la presse royaliste vient de prendre position à Laval en vantant, dans ses colonnes, l'éclat d'une bonne foi. qui a su triompher d'une minutieuse enquëte, a mis quinze ans pour s'affirmer au commissariat de police de Laval, et ne s'est pro. duite qu'après une scène de grincements de dents et sur une seconde et dernière sommatien! Car il est bon de dire que l'auteur de la trouvaille a rendu à. César ce qui était il César. Nous nous proposons de revenir sur cette affaire qui ménage de nouvelles surprises à ses auteurs.

Le partage de la Mandchoue SÂiNT-PETEnsBouBG, 16 août. Le correspondant du .Voroié Vrimia à Tokio télégraphie que le gouvernement japonais a prescrit à son ambassadeur il. Saint-Pétersbourg d'obtenir le consentement de lit Hussie pour le partage immédiat de la Mandchourie.

La sécheresse cause des désastres aux Etats-Unis

Londres, 16 août. On signale de Chicago au Daily Chronicle, que les Etats du Missouri, du Kensas, de l'Oklahoma et de l'fllinois souffrent actuellement de la sécheresse la plus grave qu'ils aient subie depuis vingt-cinq ans. Aucune pluie n'est tombée depuis jours. La température dépasse tous les jours 37' 1/2. L'eau manque. Dé nombreux bestiaux périssent. Les récoltes sont compromises. Les pertes des agriculteurs s'éléveruient dès maintenant à 80 nmllons <ta livres

en Û or raine fête %M Poincaré

LES D0MBSTIQUK8 DE M. POTNCAftÉ A-8ÀVITXA DE SAMP1GSY

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neures au soir on a commencé sonner les cloches et à timer des salves d'armiene. a 8 heures aura lieu une grande retraite aux flambeaux.

LES TURCS ONT FRANCHI LA MAR1ÏZA ï Le gouvernement n'est plus

mattre de l'armée

Paris, 16 août. La nouvelle que les Turcs ont dépassé la blaritza a provoqué dans toutes les capitales une vive émotion.

Le gouvernement ottoman, après avoir déclaré qu'il ne songeait pas à pousser au-delà d'Andrinople et des régions réoccupées par ses troupes, a fait passer des forces importantes sur la rive droite de la Marnza, en expliquant que les cruautés exercées par les Bulgares contre les populations musulmanes expliquaient cette mesure de protection. 11 semble plus probable que le gouvernement jeune-turc est entralné par l'armée et aussi qu'il espère forcer le gouvernement de Sofla transiger sur la question d'Andrinople. Mais quelle que soit la cause de cette nouvelle avance de l'armée ottomane, elle démontre une fois de. plus qu'il est urgent de demander sa démobilisation. Le meilleur moyen pour l'Europe de forcer la Turquie à licencier les 300 000 hommes qu'elle a réunis en Tlirace, consiste à lui refuser les moyens de les entretenir.' Les gouvernements français, anglais et russe sont d'accord sur ce point c'est pourquoi on. peut considérer comme tendancieuses les informations de source allemande d'après lesquelles le ministre des finances à Constantinople négocierai avec la régie des tabacs un paiement anticipé des avances consenties par elle en échange du renouvellement de sa concession. Il n'est pas inutile de rappeler ici encore une fois'que les avances accordées par la régie n'ont jamais eu le caractère d'un concours financier de la France i\ la Turquie qu'on a essayé de leur donner. La régie des tabacs a été constituée à l'origine, en 1884, par des groupes allemand, autrichien et français, par parts égales. Elle a toujours conservé ce caractère international sa concession arrive il échéance en 1914. Si la société n'opérait pas le dernier versement, le gouvernement ottoman pourrait se prévaloir de cette dérogation au contrat pour le considérer comme caduc et reprendre des négociations avec les groupes étrangers qui lui ont déjà fait des propositions avantageuses, afin de se substituer à la société internationale, actuelle.

Il serait à détirer que l'on ne'continpat pas il

à induire l'opinion publique en erreur, notamment sur le rôle de la France qui tout en n'oubliant pas l'importance de ses intérêts en Turquie, est décidée, dans la question d'Andrmojile, tt accorder ù la Russie une collaob- ration sans réserve et à la suivre jusqu'au bout.

Londres s'inquiète

Londres, 16 août. On se montre ici assez surpris de la note du gouvernement ottoman annonçant qu'il fait passer ses troupes audelà ue la Maritza. sous le prétexte ue protéger les musulmans de Thrace. On se souvient en effet que la Porte avait déclaré dans une notre précédente qu'elle se voyait dans la nécessité de réoccuper Andrinople, mais qu'en aucun cas elle ne dépasserait la Maritza. On a ici l'impression que le gouvernement ottoman n'est plus maître de ses troupes et est oblige de les laisser attir. Cette nouvelle marche en avant cause d'assez vives inquiétudes.D'après les nouvelles de Saint-Pétersbourg, elle a provoqué aussi dans la capitale russe une sérieuse émotion.

Pétersbourg reste calme

SAiNT-PnERSBouBG, 16 août. Les milieu* autorisés se montrent ici particulièrement heureux des assurances qu'on a reçues de Londres touchant la coopération du gouver nement anglais dans la question d'Andrinople et dans celle de la pression à exercer sui le gouvernement ottoman. On estime que cette coopération anglaise s'ajoutant à la coopération française, permet d'espérer de prochains résultants.

Btriïn rassure

Berlin, 16 aoilt. Dans les cercles diploma tiques de Berlin on est d'avis que l'occupa tion de plusieurs points par les troupes tur- ques sur la rive droite de ,a Maritza n'est pas définitive, mais simplement dans le but d assurer la frontière au point de vue raté que La Porte, dit-on, a promis formellement de ne pas franchir la Maritzn. il motns que de nouveaux massacres tio prisonniers turcs par les Bulgares ne lui soient signalés. Un soulèvemeni pantsiamiqut

constant ikople, 16 aoot. D*n effort* <ionl faits en vue de provoqu r ̃ 'la. tlsme inusulrr.an et de n la lutte de l'isldn «ne c


On veut fuie croire aux fldftlM mutatmau» que les puissances curéueune*. en insistant sur l'atoanSon U'Andnaople un faveur des Bulgares, poumiiveut une puliuque religieuse et voudraient faire disparaître l'islam de l'Europe. Ce projet absurde que l'on attribile aux pnifcKfuirmi truuve créance auprès des gens stmples auxquels on tera Inentôt accroire qu'Andrinople est une seconde Mecque ou quelque chose d'approchant

Veui-cu en désespoir de cause agiter devait les yeux.de l'Angleterre et de la f'rance, les deux pays ayant sous leur domination la plus nombreuse popuiaiion musulmane, l'épou vantail d'un soulèvement religieux 1 On ne sait, mais tout semle tendre vers ce but. En prévision d une insistance des puissanCes pour obliger les Turcs il évacuer Andrinoplc et le retirer sur la ligne Enos-Midia et aussi par crante d'un accord sur les moyens de coercition, on met en avant la religion, pensant bien que les puissances et en particulier l'Analeterre et la France, ne se soucieront pas de jeter la perturbation dans leurs possessions musulmanes en contribuant il l'établissement du slavisme dans la Thrace. Jusqu'à quel point cette possibilité d'un soulèvement isla:mque est-elle fondée ? C'est ce que l'on ne saurait encore dire d'une lacon précise. Mais ce que l'on constate, c'est que l'on attise les haines, on s'imule la résistance et on entretient l'efTprvpscenep en répandant la rumrur que les musulmans du monde entier considèrent la perte d'Andrinople comme un coup mortel porte à l'islamisme.

Les Turcs en Ibrace

Sofia, 16 août. Les Bachi-Bouzouks, aidés de soldats réguliers turcs, commettent des excès motus en Tbrace. Les villages Papaskeui, Manbovo, Emmahlé, près d'Ortakeui, sont entièrement détruits.

On confirme la nou\*ile d'après laquelle toute la population bulgare mâle a été ruassacrée Cinq cents lemmes et enfants ont été emmenés en Asie-Mineur.e. La population bulgare d'Andrnople se trouve dans une situaLes Turcs se retranchent il. Lozengrade. Les habitants de nombreux villages de la réon d'Andrinople ont fui leur bétail a été èmmené par les troupes turques.

Les villages Velika. Madjoura, Massa, PirRopolt, Ourcari. Jama, sont occupés par les Turcs. La population maie a été massacrée les femmes ont élé violées. Le 27 Juillet, le poste frontière bulgare composé «1 un officier et 60 volontaires a été fait prisonnier et emmené vers Papasheui.

M. MAIORESOO CRAND CORDON

Paris 16 août. M. Humtaa- a coulure M. Majoresoo, président du Conseil en Roumanie, le grand cordon de la Légion d honneur. Cette haute distinction a produit à Bucarest une très vivo satisfaction.

LES AMBASSADEURS SONT PARTIS LONDRES, 16 aont. On annonce que l'ambassadeur d'Autriche, compte liensdort quittera Londres aujourd'hui pour se rendre à Vienne Paru;] 1rs uinl'assaileurs des grandes puissances, seul l'au:lmssadeur de Russie restera ici encore quelqu,'5 s jours.

Au congrès international de sauvetage de Gand

Gam), 16 août. Le congrès organisé à l'Ocxsiuu de 1 Exposition univ-rselle, où brille enIre toutes la section s'est ouvert aupurd'lmi sous lu prcsiuonoe du gcncral waiaor ie Heuse.li. Nombre de roprcsenianU des nabons à à ces deux prem^tes w'-unocs, voir* un jeune et très inlelligent représentant île la l»<-publique chinoise. Mais ta France tenait ici eiu:jr* la premier*! place avec les «léléguts oflicels .le* La\au\ publics, fe la marine et de la giu>rr«, et avec les Hospt\aUcrs Sauveteurs bretons, M. Lcon Berthaut et le docteur Patay fournissant les plus importants travaux de soch'W-s, travaux sur lesquels sous reviendrons a l'heure de leur présentaJiou.

Aujourd'hui, nous avons particulièrement renai-qué le rapport de M. Taflenel, Ingénieur des tuues celui 1 du docU-ur uooiiaorl d lxellos ut le travail de M. Lcpcl-Comtet, sur les citent «ami" v.

M. Taffcn-4 a parlé de l'organisation du poste moud.: ii«' s cour» à Uev'n pour les catastrophes minières. Il a fait voir comment l'on s'est tfforoé d'imiter arUiiciello-iu-ul lcs dillicultcs cp)ioBées aux sauveteurs dans ces catastrophe où l'on peut avoir Il explorer jusqu'd 200 kilomètres de routes s iuu?rra;nes ot a cite un autre chiffre qui établit le sérieux de cette organisation de sauvetage 1700 exercices par an. Le distingué ingénieur n pas caché l'impuissance de l'homme devant ocrtainns convulsions de la nature, mais il a été fort applaudi en prouvant cette volonté de la science et des braves gens pour sauver quand même.

En ]>arlant «le l'organisation du dispensaire anU-tuberculcLiX d'Ixeiles, le dovteur CrocUaert nous a fait connaître m«ini<»s choses Inmentablfls, horribles parfois, sur lu condition 'le certains logemints ouvriers. Ce sur quoi il convient d'attirer l'attention hnrmi les moyens indiqués pour ronilifittre le ileau. c'est surtout celte idée que l'école, pour l'enseignement manager, en préparant d"s femmes propres. suffisamment averties des grondes lois de l'hygiène et des façons diverses (le cuisiner un bon plat, pourra retenir l'homme dans un logement soin et combattre victorieusement l'alrool qui. presque toujours « fait le lit Il la tuberculose

Non seulement M. .cpel-Cointct a présenté un rapport très complet sur le drvss;ige des chiens sanitaires, mais il a fourni une démonstration remarquable nvec le concours du capitaine Tolet, venu avec plusieurs chiens. Ce fut un succès près des congressistes et du public acoouru à la Plaine d -s Sports.

En suivant le congrès, M. le général de Heusch, qui est un orateur éloquent et énerginoter que ]a m illcuro part de cette accueil chaleureux fut donné aux Français et parmi eux, aux Hospitaliers Sauveteurs bretons, accueil affirmé une seconde fois, l'après-midi, Il l'arrivée de M. DrTthaut et qui fut interprété comme une claire et très amicale manifestation en faveur de cette société, si vivante qu'elle va établir in- •yssamment trois stations nouvelles sur nos cotas armoricaines.

M. lira judiciaire trouve à qui parler

Les jurés lui répondent

par la grève

Paris, 1C août. Rien de plus curbux que le spectacle du Palais de Justice aujourd'hui, l'aspect désert des salles, la course effarée des ageuls de la Sûreté et des gardes municipaux a la recherche des témoins et des interprltes, l'accablement des magistrats étouffant dans les chambres correctionnelles, tout cela ne^roanquait pas de pittoresque. Le Palais de Justice seul a fonctionne aujourd'hui, alors que toutes les administrations avaient verrouillé leurs portes.

M. Lebureau, le Lebureau judiciaire, ne s'est pas endormi, le jury qui doit fonctionner jusqu'à la fin du mois scrra se clore sa session le 27 août, M. Lebureau aurait pu penser alors q'au lieu de faire commencer la session le 16 août ii pourrait facilement l'ouvrir le 18 août et ne la terminer que le 29 1 Allons donc, c'eutété trop simple

U est arrivé oe qui devait arriver la grève du jury Il manquait l'appel quatorze jures, il fallait absolument les rechercher après 2 heures de recherches, les agents de la Sûreté et les gardes municipaux, partis dans les quatorze automobiles ne réussirent qu en trouver un, un* marchand de vins, furieux de quitter son comptoir un jour de fête, et faute de turcs. la Cour d'assises n'a pu fonctionner dans tes chambres correctionnelles, la plupart des témoins manquaient et les interprètes avaient fui la recherche d'une atmosphère plus Notez que tous les gardes du Palais étaient mobilisés, que le gardes républicains étalent consignés pour le service des Chambres. Les jures ont fait grève, ils ont bien tait 1 LE CONGRÈS

des catholiques allemands A METZ

PARIS, 16 août. Le Temps publie la lettre suivante que lui adresse son correspondant de Metz

Le 60' congrès des catholiques allemande, qui se tiendra comme on sait à Metz du 17 au 21 août, ne se distinguera pas sensiblement dans le domajie religieux de ses devanciers. Tout sy y passera suivant un programme strictement déterminé par -les statuts et approuvé préalablement par le comité permanent, à la tête duquel se trouve le oumte Ue Droste Vischering. Ce seront les mêmes commissions, les mêmes réunions privées, les mêmes assemblées publiques qui siégeront. Le congrès a reçu, nous l'avons d;t, les «KouragemenU du pape, les adhésions des évêques d'Allemagne et plusieurs de ceux-ci y assisteront. Le comité local et le comité central semblent avoir voulu prévenir les attaques des adversaires, qui représentent volontiers le congrès des catholiques d'Allemagne commune sorte de revue générale du centre allemand. Il fallait en effet, puisque la ville de Metz avait été choisie l'an dernier à Aix-la-Chapelle comme siège du congrès de 1913, laisser de côté tout ce qui pouvait avoir l'apparence d'une propagande en faveur du centre allemand. Ce parti, on le sait, ne jouit pas de beaucoup de sympathies dans les provinces annexées, surtout depuis qu'il a voté la nouvelle constitution d'Alsace-Lorruine, source de tant de légitimes récriminations. Même. les. dûpuUs alsaciens prôoedemmwit affiliés au parU du i"iilro, en sont sortis depuis et ont reconstitué au 1 jichslag la groupe du centre alsacien, lequel est en communion de sentiments avec les trois Lorrains indépendants. Il y avait d'un autre côté à ménager les susceptibilité des populations de langue française Pour obtenlr leur participation, il était nécessaire de donner une large place a cette langue, et de fait, le programme prévoit une sorte de congrès en français parallèle au congrès des catholiques allemands. Aux réunions françaises en entendra des orateurs de France. de Belgique du Luxembourg et d"Alsace-Lorraine A la séance d'ouverture, dimanche soir, on se servira de deux langues. Tout cela n'est pas pour déplaire aux Lorrains et aux Alsaciens. Cepen.dant, on ne saurait parler d'enthousiasme chez les populations annexées. L'état des esprits chez les immigrés, les vexations sans nombr que les Alsaciens-Lorrains ont subies de la part du gouvernement de Strasbourg et de Berlin, !n guerre implacable faite h la langue françuis* l'hostilité manifeste des autorités militaires envers la population indigène, ne pouvaient guère disposer celle-ci er. faveur du congrès des catholiquœ allemands. Si toutefois elle y partscipe, c'est surtout par esprit de solidarité dans le domnine religieux.

ETATS-UNIS ET MEXIQUE

entre les Etats-Unis et le Mexique ont élé i sou- mises à 1 examen du président Huerta les- conversations qui ont eu lieu entre M. Je hn Und et NI. Ganinoa, le ministre des affaires étrangères du Mexique, font espérer nue cn arrivera a une solution satisfaisante

Le gouvernement américain, qui avait envoyé une note expliquant sa conduite aux l'ils- sances intéressées dans les affaires mexicaines a déjà reçu plusieurs réponses l'approuvant enfièrement. On considère ici que les succès des troupes fédérales qui ont écrasé les rebelles dans le nord du Mexique, est un bon signe pour l'élection du général Huerta & la présidence et qu'on ne saurait blâmer les Etats-Unis d'avoir reconnu son autorité, le président Madero, fait- on remarquer, ne fut en somme porté au pouvoir que par 23.000 voix.

DLFAITE DES REBELLES

Mexico. 16 août. On annonce que dans une bataille sanglante, il Torréon, les troupes ré-

guBèr» ont complètement battu la rebelles, qui ont perdu un nombre d'homme* considérable. Les fuyardes se sont retirée tth Duraugo, dm la direction du Sud.

les Espagnols bataillent aa Maroc Maobid, 1G août. Un télégramme de Tétouan annonce que les Marocains ont attaqué hier pras de Fehama, dans les environs de Ceuta, un convoi qu'escortaient 40 soldats. Lee Et' pagnols unt 8 Dlessùs. dont un lieutenant. Le télégramme ajoute que les Marocains ont été repuusses uveu de gi-o.-4es pertes.

La position de Latizian, près de Tétouan. été également attaqua hier pur les Marociins. Ceux-ci après un sérieux engagement cnt été obligés de se retirer, ayant subi des pertes sérieuses. Un capitaine espagnol a été grièvement atteint et deux soldats légèrement blessés.

Madrid, 16 août. Le général Marina, qui succède au général AUau en qualité de haut commissaire au Maroc, quittera Madrid pour Santander, où il aura, avant son départ, une cunléivnce avec le roi Alphonse. Le général Marina prendra possession de ses nouvelles lonottvns avant la fin de la semaine.

Le choléra en Autriche Sbbajbvo, 16 août. On signale cinq cas de choléra asiatique Conjaltuza* localité de 1.80 habitants, dans le nord-est de la Bosnie, voisine de la Slavonie et de la Serbie. Dix cas suspects ont été également constatés à Breko, qui est le principal marché des prunes de la Bosnie.

En conséquence toute l'exportation des fruits de ces régions a été rigoureusement interdite. On assure que plusieurs cours d'eau, dont le Bosna, seraient contaminée.

Emouvant sauvetage en mer Arcachob, 16 août. ->- Deux jeunes gens de Bordeaux qui se baignaient sur le bord du chenal, devant la place Thiers, perdirent pied et disparurent. Deux marins qui se trouvaient sur les lieux, Morere et Jean Beaupuy, se jetèrent À la mer et réussirent À ramener à terre les deux jeunes gens qui furent rappelés la vie par des frictions et des tractions de la lanLe marin Jean Beaupuy en raison de la marée basse s'est blessé assez grièvement au genon en plongeait. Il en est a son 63' sauve.tage 1

«MHS LES BOURSES DE L'ECOLE MODCLE DE TELEGRAPHIE

L'Ecole modèle de télégraphie, sise 13, allée des Capucines, à Marse:lle, dont la pivsse a annoncé la merveilleuse installation et le vif succès aux derniers examens des postes et télégraphes, informe le public qu'un concours pour l'obtention de bourses et de fractions de bourses va être ouvert aux jeunes gens et aux jeunes filles désirant préjmi.r l'examen complet des posies et téldgrnphcs arties théoriques et pratiques).

Des bourses également sont au concours pour les jeunes gens français âgés de 17 a K ans, qui vomiraient se destiner à la télégraphie sans, [il, nouvelle carrière qui offre aux élèves une situation do début de 250 à 350 francs par mois, nourris et logés.

Les élèves sont placés à la sortie de l'école. La programme est & la disposition des candidats, 13, allée des Capucines il. Marseille, sur enveloppe de retour affranchie.

DANS L'ARMEE

DANS LA GENDARMEniE. MM. Tanguy, garde à pied, passe en qualité de gendarme à pied il. Maël-Carhaix (Côtes-du-Nord). Germain, gendarme il. cheval à Vire (Calvados), passe en la même qualité 6 Mortain Manche).

La Vie Sportive Les victoires de la Vedette 13 juillet. Josselin, cantonale 2*. Le Poulichet.

14 juillet. Plonévez-Pomsay, cantonale le, Scoarnec.

14 Jutllet. Pontivy, régionale 1«, Civray, gagnant 2 prime».

18 Juillet. la Trinité-Porhoët, cantonale 2«, Le Poulichet.

16 juillet. La TWnWé-Porhoët, communale' lw. Le Pomlichet.

20 juillet. Belz, internationale 2', Civray. 20 jubllet. Belz, dépamemenMale 1", Civray. 20 Juillet. Port-Louis, départementale le,: Qivray.

22 juillet. Collorec, départementale le,, Guyader.

il juillet. Concoret, régionale lw, Le Pou>lichet.

27 juillet. Pleiubian, régionale 1«\ Yves 27 Juillet. Pletiblan, régionale 26, Louis 27 juillet. Boc'honr-en-Briec, régionale V, i Guyader.

28 Juillet. Roc'hour-en-Brlec, régionale S* Le Ham.

10 août. Sa:nt-P!erre-d'Oleron, Internationale indépendants 1°', Hubert.

TOUS SUR CYCLES 1 LA VEDETTE LES ABONNEMENTS SONT RBOUS

SANS FRAIS

DANS TOUS LES BUREAUX DE POSTE

COURSE A PIED

LE CIRCUIT PEDESTRE UR L'OUEST A la mite Oe la traMtèm« étape le olatsement Individuel s'âufcllt comme suit

1. Orphée; t. Blart; 3. Devienne; 1. Dollar; & Yaottartoerkore; 8. Colell»; 7. Druesy; g. Dodtn; 8. Besnier; 10. Boité; tt. vadeane; 12. Lunet; 13. Dttel; M. Corroyer, 15. Clbot; 18. Adjady; 17. SiNt; 18. Mécène; 19. Maince; ̃.«, Dagast.

voici le cJossejnent par équipes 1. RoyalSports, 0. Faoo-Sports: s. EUm» Pierre.

La quatrième étape

Avranchei-nennet («g k. 800)

AuMuitrhui dimanche m députe l'étape AvraDCMB-Rennes, Le départ est donné & 6 heuree, du matin, pU.e de la Mairle Avrauciu*. Valet l'litnwair* PontaubauU, a h. 40; St.Jamee, 7 h. d5; FouMrw (Place uambetla), 9 h. 30; Salnt-Aubindû-Cormier, il h. 50; Llffré (70 fcAU, 1 h. 05; Fouitlaid, 1 h. v>; Rennes, (ca* tde l'Europe, 9. rue de lier! In) arrivée ten a h. u

Lundi là août, les concurrents se reposeront. HIPPISME

COURSES DE PORTBAIL

Lee courses de Port bail ont lieu aujourd'hui dimanche n août. à 3 heures, au protrraJiinie 1" Course. Plat. Prix de Jn Société d'encourt*em«nt (hore serle), î.aoo mètre», aoo Ir. S* Course. Au trot monté, prix du Conaell muDlclpal, 3.000 métrés, 500 fr

3' Course. Plat. Prix de la Société sportive d'encouragement (3' catégorie), 2.600 mètres, 500 francs.

41 Course. Au trot monté. Prix du Gouvernement et de la Société d'encouragement pour J'amélioration du cheval français de demisang, 2.800 mètres. 1 100 francs.

5' Course. Plat, Pri xde PortbaU (intcrnational), 2.400 mètres. 800 fr.

6' Course. Au trot monté. Prix du département. 3*0 mette:. :oo francs

T Course. Course de haies. prix de l'Admin s- af.-n des honilna de Ht de l'Etat, 2.300 ̃Titres, MO francs.

COURSES A DEAUVILLE

Prix des Géraniums. 1" stlsnt Bamj (W. Head), g. 12.50; pi. 0.50; 9' les Beaux-Arts (A -V. Chaptnann), 7.50; 3' Origan (R. Saurai) Non pi. :Mi/rUl il, Pllre. Une nicolure, une long. Prix de la Société des Steeple-chases de France. 1*1 Café-Concert (Berteaux), Il.50; 21 MaUhless II, 9* Le Zauouan. Une long. loin.

Prix de crtcquebœuf. Il Rosette (G. parfrement). g. 18; pi. 7; 2- Biscuit Il (G. MltcheUl, 6.50: 3' Oay Centre. Non pl. Alavtka, Oilskin. 1 long. et demie, 1 long.

Prix des Prairies. Il Utrmann (A. Carter), g. 30; pl. 7.S0; 2' Valise de Voyage. 3' Soleil d'Or Il. 10. Non pl Mayteriinck, Candour (tombé). Glaneur Vil. Libérateur, Pamlrio, Btrnrie, llappU Dream. 1 long 1 encolure.

Grand SleepleChate. l' .Vopo (G. MltchoU), g. 2d; pi. 15; T Canteloup H (A. lintes), g. 57.50, pi :tn-, 3' Lady Flsh (Hoad). 14 50; Non pi DeHsalre Il (tombé). Urbaine, Vtngt-Uanapt. Pyrrhus. SunsMne, Mon Cauchois (tombé). Dead-heat, 3 long.

Prix de la Société des Sleeple-cha$es de France. il, Ténor lA. Carter), g.27; pi. 1150: 9* DlnnaKen (Moreau). 13.50. Non pi. Oucques, Biriot. L'Epave, Gotflp.

COURSES iA 'jIRTE-MACE

es courses de n*noi» se sort dérouIWs avec un succès Inacco'.umé à 1 h'ppodrome de Bagnoles de 1 Orne, e l'ivis drs «tants habituels, jamais .»tte rôunlon n'av:.)t été ai<:s- brtllinte. Pesage, tribunes, pelouse étaient ne 'es :le monde. Le tout mjndol'n était présent.

1" Course. Prix du Conseil général, au trot monté, 800 fr. au premier. 200 tr. au second; 100 fr. au 3'. 1" lie de France, à bt. Gaston Mary; 2* larquard, a M. vcrmiè.e, x Imperator, C. Jeanne.

21 Course. Prix du Gouvernement. Au trot monté, 1.000 francs et les entrées au au 1-1: 300 tr.; au 2* 2On fr.; au 3'. il, Kélal, M. Th. Lallouet; 2' KyprU, à Mme veuve A. Fordnal; 3' Kl ta à NI. JaTte!. Non Pl. Htna, Koyeuse, dernevel, KUber.

3' courte. Prix de la Société d'encouragement pour l'amélioration du cheval français de demiesang. Au trot monté, 900 fr. et les entrées au 1", 400 au 2". MO au 3'. 1" Jonquille. à M. E. Oodefiroy; 2" Jovial, à M. Jeanne; 3* indianA, a M. E. MouUn.

4' Course. Steple-chase militaire. Un Prix d'une valeur de 150 fr. au t' d'une valeur de 100 francs au .r, un prix d'une valeur de 75 fr. au 3'. i" Cabrcbra. i\ M. Blrot; 2- Glrio. à M. de Btré; 3' Lyda, à M Poupeau. Non Pl. Humanec. Guinder. Absinthe, Favori 111. Fureur. 5' Courte. Steeple-chase militaire. 1" Erostraie, à M. Beltz; 3' Icône, à M. Pop pardln du Rivage 3' ALbine 1U, a M. du AfenUdot; V Luigt, à M. Mottet.

Dépêches

Commerciales REVUE COMMERCIALE ET AGRICOIE GRAINS ET FARINES

Cette semaine a été encore plus favorable que les semâmes préoedanites. La pluie pluie légère sans uoute a fait son apparition et elle «/a i que faire grand mua aux terres desséchées le sarrasin qui &ouftrait vraiment du manque d'eau va laift66i- «^compter une récolte satisfaisante. Il en seru ainsi pour daudres céréales qui avalent besoin, d'une pluie blenfaisante, Le minMère de PAgrkuiture poWlie une statistique, arrêtée au 1" août, qui donne un aperçu g^ rural de la situation agricole dans notre région. Elle est d'ailleurs très satisfaisante.

Comme on le voit, seule la récolte de sarrasin laissait à déoirer, à camée de la sécneresse. La pluie étant venue, les couxs sont redevenu» en faveur des acheteurs et on note une légère baisse. Les fermiers et cultivateurs étant occupés aux battages, les marchés Testent déserts. Aussi les cours sont-ils sensiblement les mêmes que la semaine dernière.

Les cultivateurs de la réglon vendent les 100 kilos aux conditlons suivantes

Blés Ille-et-Viladne. 25 à 26 Morbihan, Côtes-du-Nord, 24.50 à 25.50.

Selglee. IUe^t-Vilalne, 18.50 à 20 COles-du-Nord, 18 à 18.50.

Sarrasins. Ille-ct-Vilaine, 19.35 à 19.75 Côtes-du-Nord. Morbihan, 18.75 à 19.25. Avoines: Ille-ct-Vilarne, 19 à 19.75 Côte^du-Nord, Mtorbihan, 18.50 à 19.25. Orges. i:ie-et-Vilalne, Morbihan, 17.50 & 19,50 Côtes-du-Nord, 17 a 19.

LES FRUITS A CIDRE

La campagne continue de 6'afflrmer excellente pour les rommes mais les acheteure

pèrslsuot aiMsi dans leur réserve. On attend encore «pwlqued Jours pour traiter. En tout cas on peut affirmer que la BécoMe s'annonce comme très abondante et il taut e»vienne ailler commerçants et agriculteurs à profiter de cette récolte.

Il faut voir les pommes aigres de Bretagne à 30 francs environ les 500 kilos. En Normandie, on cote, en gare de départ, de W à 50 fr. et de 46 à 55 francs dans la %'allée de l'Auge. VIANDE Et IITAIL

Lundi dernier, a vente était calme pour tout le gros bétail. Pour les bœufs, vaches et taureaux, les prix étalent faiblement tenus sur les veaux on notait une augmentation de 3 à 5 centimes f-ar demi-kilo net. Les porcs et les moutons maintenaient leurs cours.

Jeudi la vente avait le même calme pour les bœufs, vaches et taureaux.

Les veaux étalent difficiles à écouler ils marquèrent même une baisse de 5 centimes ,par demi-kilQ net. Pour !es porcs, les prix Etaient bien faiblement tenus.

PRODUITS DIVIM

Beurres et œufs. La situation n'a guère change pour le beurre. Il est vrai que les fermières .restent chez elles pour s'occuper de la moisson et f'érçnentwit peu les malchés. Pour 1» œute la vente a repris m peu.

HALLES CENTRALES Part», 16 août.

BEURRES. Tendance vente moyenne; cours maintenus.

Pour les beures en mottes, on cote le kilo en marchands français Bretagne, 2 à 1M: Normandie. 9.1" A ?so: pn centrifuges français Normandie. 530 à 3.10; Bretagne. 2.3o à 2.80; Charente, 2. 40 Arrivâmes heum en nvitt«s, 54.6.10 JdJos; beur- res en livres. i..r,7o kilos: petits beurres. 330 kilo». ŒtTFS. Tendance maivtve avez animé: "reprise dq 9 francs pnr roll^ sur les gras œuf». On rote par ooljj do i.flflo oeufs les irros de BTet.ijrne 0" IOÎ: l»s moyens 70 a W: les extra. fin NormTPdlo ,110 il 13i; les Rros M à 108; les ordinaires. 80 a 94.

Arrlvappf du Jour 324 colis de 1.000 œufs; réserve du Jouir précédent 2.037 oclla; total 2361 colis.

ARRIVAGES

BŒTTS 34. Bit MOITONI !0 387 VFAHX 10 9 PORCS 6.8:1 Hausse sur les aloyaux, traîna de boeufs, veaux et porcs.

1 OU 0 il()

la 170 t M 1Il 120 2

le nle0e bouc' 0 sa 125 1 00 2 00 MARCHE AUX FOURRAGES ET PAILLIS faible, La Chapelle, 16 août. d'avoine.. 23 Foin. il.. 48 Luzerne 48 A 40 IL .2 En gare de de d'avoine

MARCHE AUX CHEVAUX

Chevaux amenés 121; ânes 5. Paris, le août. II a été fait 9 essnls.

Marchés de la régions RENNES. Marché du Il août. Beurres petits doux, les 100 kilos, 188 a 190: petits salés t76 à t80; moyew 192 à 194 ;extras 196 à 200; oeufs lw 100 douzaines 102 à 106.

BEAU.MONT-EN-AL'GE. Marché du 14 août. Varhes «misses, 16, de I.M Il 1.70 le kilo; veaux wrns. l.ii) A 2.10; pores l.7n 1.80; bfrul 100 A 1.70 moutons, s.io beurre le Allô 2 Il 2.:10; reufs. la douzaine 1,40,

FLERS. Marcha du 18 août. Famine 1« m»lité, les 100 kilos, 41.75; 2" qiiadlW, 30; froment, 19.75; métall, 16 50; seigle. 14.75; sarrasin 14. M); avoine, 10; orge, 12 50; vache, 1.60; veau. 1.70: mouton ,1"O; porc. 1.70; beurre le kilo, en gras, 2.10: en détail, 2.20; Ku!s. la douzaine, 1.2».

PETITE PECHE

LA SARDINE

Port-Marta. P^che du 14 août. Bateaux eor.tis, b0; rentra. 50; poissons par bateau 3 à 4 00»; au quart, 8-9; vendu a uvert, 3 000; pour la friture se rente ;prix moyen du mille, ?i; iiuelquas-um ont eu une moyenne de 10 A il noo lionne iiérhe. Les Sables Pèche du 13 août. Oross» Uateaux sortis 300; rentrés 300; poissons lar bau^iu, 1500; au quart, 7-8, vendu au vert. 2O.0OU; pour la friture 350 000 prix moyen du mille, 42 tr Péche du 13 août Petite. Bateaux sortis, 108; rentres, 108; poissons par Dateau, .'5000; au quart, 38-40; vendu au vert 500 000; pour Ja Ulture 200 000; prtx moyen du mille 4 fr.; quelquesuns ont eu une moyenne de 30 a 4O000

Pèche du 14 août. Grosse. Bateaux sortb, 308; rentrés 308; poissons par bateau, des cents; au quart. 7 8; vendu au vert, 4 OOO; prix moyen du mille 12 tr.

Pche du 14 août. Petite. Bateaux sortis. 90; rentrés, 90; poissons par bateau, 5.000; au

1U»5. 3«-*0i *«odu au T«rt. au «; pour la Irtta nhÏÏiï?JVrlX moyen du Mille, 3-SOâ k 5 tr. de auùt. Bateau eortla, 900: rentres, •>»; potirons par bateau 9.000 au moule au mille, M a 40 tr: quelqnes-nns ont «TaoTmorm ne de 3.0M; a bateaux 4 à 5 000; un bateau, °. 0M LE SPRAT

Douarnenez. Pécb* dU tl août. Bateaux sw ^̃nrt?,trés' W: P015»0"5 par bateau, 50 caia S,« î« Ml,IMd" 1Mur la irfture 10 tout; prl moyen w Suivant «rosseu'> et qu*iit* tif LB MAQUEREAU

Les Sable, Pêche du 13 août. Bateaux sor ,le; ,*?atr*9\ l0; PO"»<>n» par bateau. 300: an quart, I* vend. w *00; pax moyen du p^he du H aoOt. Bateaux sortis, W: reu très, 16; poissons par bateau, 300; au quart, 34! vendu au vert, 4 750: prix moyen du mille 70 fr Douarnenei. Pèche du la août. Bateau sortis, 40; rentrés. NI; poissom par batean, 7 à «DO- vend ua uvert. le tout; prix moyen du cent S à 10 aimant grosteur et qualité du poisson. LE THON

Les Sables. Pèche du 13 ao;it. sont reotiél les tnonnleis suivants n jtoo des Sablee, avec 140 thons, vendue 117 fr la doui.; n. !MB le» SafiMÏ avec U tfihons. vendus 117 fr. la dooz,

LES FOIRES DE LA SEMAINE

d^^i-n.uT; gj, cbe-Bernard, Ménéac; vendredi a Noyai Po^ ttvp, Plouray, Salnt néSnT* .Maure: vendredi •.•̃•. Gael; samedl il, txnistère. Lundi 18. Plondalm^eau Guérie», quln. OulmlUau: mardi m PeunK-nt Plevhm Plounéour^enei: mercredi 81. Pont-Croix. Rosporden, Plouguerneau. Huet*f Sizun; vendredi 22 et samedi 23, néant Loire, nfirleure. Lundi 18. Mauve?' vlrïïîea. Vieitlevigne: mardi 19. Herbignac. Legé^maitrwii Blain. Mootbert. Vineux; -Jeudi 21. Ancenis CHapelle-Ileulin. Héri,: Rozé; vendredi 22. néant: samedi 23. Coueron

Mayenne. Lundi 18, mardi 19 mercredi 20 Jeudi 21. vendredi 22 et samedt 23. néant Sîîii ïî .T mercredi -1"- 1a "aye-Pewiel; néant 21, Monthray; vendredi °: et ilnlni-.fi.rrnrf. Lundi IS. n.\nnt: mardi W>. Chnonne» sur-Loire; mercredi M. Sel.hes; >eiKli 21. Loruru*; vendredi 2". BeauprAau Segré samedi 23. néant

Calvadus. Lundi 18. ra rhapplle-Yvon: mar.di. tu néant: meirretll 20. IiernU'-res-le Patryi -Jeudi 21, néant; vendredi 22 Trevlore* medl :'3, néant.

Orne. Lundi 18. néant: mardi 19. Jiirin*KXis-Anclalne mercredi la, néant jeudi ̃. Saint Plerre-rtu-Reffard: vendredi 22. néant: Sarthe. Lundi 18. néant: mardi 19. Montmtrau; n-r'-iedi 20, néant: j»>i«li 21. Thorlnéant;- POSTAGE MARITttfZ

Courriers A poster le dimanche 17 .dans les at* clpales villes de Iv re'»n pour de^oart

De Marseille, pour Alirer. rapide. pnr X (CVO*> de Marque pour Bone i«r (COT)- ils Liverpool pour Québec et .Montréal par Corslcan (Alan); de Cherbourg, pour New-York EtatsUnis. Mexique, Canada. Cuba, Cttraçno Iinhamas Bermudes, Guatemala. Honduras. Ci>«ta-Rira San Salvador. Nkaragua, Taitl par U.ipestic (WSLi De Pauma.. 20, pour l'ointe a l'ure Flaw Ter- re, Fort-<le-Fran<-e, Trinitail. Canipano La i;uayra, Puerto, Colombla, Colon, port Limon, par Martinique (l.T. T.); do .\farselllo pour PortS;iid Suez. Aden. Bomlmy. Colombo. Fivinanttp. Ailelalde, Melbnurne. Sy<ln«-y, Nniiméu par Ville de la rt,,tat de M.i7-<eill< |w»r Port.Said. Suez, Aden. EJomhny. Colomho. i-temantlp Ailelaide, Melbourne, Sydney. Nouméa par ville tir. la dolal (MM); Il'' MarseiU-. pour DaAar. Santosfl Monterldeo. nuenos-Ayres. par parants (T.M.); de Liverpool. pour (irand ranary. Sierra Leone, Axim Secondy, Cape Const, Castle. Accra «Lngos, Roads Kcxrcados, Burutu Bonny Calabar par Abosso (BAL).

LE TEMPS QU'IL FAIT P<ms. 16 août. La pression barométrique re6 te élevée sur l'ouest et le nord de l'Europe; elle atteint i<4 m/m a Arkangel Des prenions j>ersi»tent sur 1 ecentre du continent Cravovie 753 m m) et dans les parages de 1 Islande ilsaljord 752 m/m). la vent ett faible ou modère sua toutes nos cotes. Il souffle des régions nord a la pointe de Bretagne ;du nord est sur l'Océan; de directions variables en Provence.

Des pluies sont tombées sur le nord et l'ouest de l'Europe En Franeve on a recueilli 8 m/m d'eau au Puy de-Dôme, 1 a1 Uiarritz et Clermont-Ferrand.

La température a baissé sur nos régions Le thar- momètr emarqnait ce matin 7* à Arkan^el, f." à Paris, 13* au Mans et il aSlnt-Pétersboiis 17* a Bordeaux et a Cherbourg. lu" à Toutous, 20' D Nice, -.ti" a Alger. On notalt dans les stations él» vée» 6* ait Pi-ydo-Dome. 7' au Mont Veutoux 9* au Pic du M..11.

En France un temps beau et moyennement chaud est probable.

AUOURD'HUI 17 AOUT

Dtmfs du jour 15 h. et.

Soleil Lever à 4 h. 47; coucher à 7 h. W.

Li!Œ Iever à 7 h. 33: coucher il. 5 h. 03. !>•«>• nier quartier. le 23 août.

LA FETE A SOUHAITER. Aujourd'hui, saJnte Julienne; demain, sainte Htlène

EPHEMERIDES. .Mort Parts, de Mme DaclR. la célèbre traductrice d'Hom<re. de Terence et d'un grand nomhre de olasst'iues il72O'i.

HEURES DES MAREES

Pleine mer Basse mer

m s' m a

Cherbourg 7 h. 47 8 n. <« 9 h. 09 2 h. 59 Mt st-Mii-hel.. 6 b. 00 Il h. ij on. m 0 h. at Salnt-Malo « h. uo 6 h 10 0 h. w u b. 5t Salnt-Brleuc 5 h. se Il 11 J7 On.» 0 h. 40 Brest 3 h. 40 4 k 07 10 h. <« 10 h. 93 Port-Louis 3 n. In 3 Il 45 9 h. » U h- 56 Saint Nazalre.. 3 11. 34 3 h 50 10 n. 17 10 h. 3s

LISEZ LES ANNONCES

DE L' 1 OUEST-ECLAIR t

VOUS Y TROUVEREZ TOUJOURS

DES RENSEIGNEMENTS UTILES

Feuilleton de VOucstEclalr 75

Du 17 août 1913

Blessée au Cœur par

Jules MARY

Grâce a la lune qu'aucun nuage ne voilait, on distinguait presque comme en plein jour les moindres coins du jardin, dunt les massifs de chr^&uritlièuies et de dahlias allaient se mêler, tu loin, la somire bordure du parc.

Elle resta lA longu-mps, jouissant, malgré tout, malgré sa lol.e qui faisait d'elle une pauvre crcaiui« instinctive, de ce pi and calme, de ce rrpus si doux, et laissant la fraîcheur nocturne caresser son front enfiévré.

Tout Il coup, elle sortit sans bruit.

C'était Jean qui lavait voulu ainsi, craignant an accident, si quelque jour Marguerite échappait a la surveillance.

Elle traversa la galerie qui servait de vestebule.

La porte d'entrée de l'Expilly, ouvrant sur le perron, n'était pas termée; au château tout formait.

Elle sortit dans le jnvdin.

Peut-être se rendait-elle compte, à travers les brouillurds de sor: ocrvcan, qu'elle faisait une chose qui lui ^tait défendue, car de temps en tempe elle se retournait vers le château, comme pour voir si elle n'était pas suivie, at 00 n'«Jla4 vu la rappeler,

Elle traversa le jardin, lentement, longeant tout les massifs, ne se pressant pas, paraissant heureuse par celle belle nuit.

Elle alla jusqu'au parc et là s'arrêta sur un banc, tout près de la burdure.

Il y avait à peine un quart d'heure qu'elle s'y trouvait lorsqu'elle entendit tout à coup du bruit non loin d'elle.

Elle se retourna.

L'n homme sortait du parc, en courant, comme s il avait été poursuivi, mais il s'arrô- la;t soudain en se voyant à découvert dans ce jardin, devant ce château,

11 voulut revenir sur ses pas et se rejeta sous la futaie.

Il n'y resta pas longtemps et presque aussitôt reparut.

Un autre que Marguerite, qui l'eût aperçu, aurait cru sans doute & quelque braconnier, traqué par des gardes 1

Il paraissait grand et robuste, vêtu d'un pardessus commun dont le collet en faux astrakan était relevé sur les oreilles.

l'n chapeau mou le coiffait et les bords en étaient rabattus jusqu'aux yeux et empêchaient qu'on ne dislingu'it ses tfaits.

L'homme évidemment avait des raisons pour se cacher.

Il prêta l'oreille à des bruits qu'il était seul à entendre.

Curieuse comme un enfant, Marguerite l'examinait en souriant.

Mats aucun de ces bruits perçus par l'inconnu n'arrivait à elle..

Il devait craindre, sans doute, quelque danger venant de ce gare, car il n'y rentra pas. 11 se dissimula tout d'abord milieu des massifs.

De la place où elle était, Marguerite pouvait la voir, car il restait en pleine lumière; mais se trouvant contre' la bordure même du bois, elle ne pouvait être vue, faisant corps avec le bois lui-même et disparaissant dans son ombre. L'homme se tint immobile pendant quelques minutes

Ou eût dit qu'il s'était évanoui dans le massif des Heurs.

Puis tout à coup, de nouveau elle l'aperçut. Il venait de se jeter à plat ventre et, l'oreille contre terre, écoutait.

Il se releva bientôt et gagna le château. Marguerite avait laissé la porte ouverte. L'homme monta le perron et entra dans le château.

Aiors Marguerite, souriant toujours, comme amusée par un jeu qu'elle ne connaissait pas, le suivit.

Elle-même traversa le Jardin et rentra. Le vestibule était plongé dans une demiobscurité, mais, au fond, la chambre de Marguerite étant restée ouverte, la lampe de nuit qui brûlait toujours envoyait un peu de lumière dans la galerie, une lumière très adoucie, mais permettant de voir.

Elle se mit à chercher dans le vestibule. Ce qu'elle voulait trouver, c'était l'homme qu'elle avait vu entr r la. Elle regardait partout. Toute crainte était loin de son coeur, loin de sa pauvre tête qui ne pensait plus, ne rélléchiesait plus.

Dans le vestibule, personne.

Elle entra au salon.

Le salon communiquait avec sa chambre. Les rideaux en ayant «té abaiwés, la nuit y était protoude.

Elle alla de meuble en meuble, de chaise en chaise, scrutant partout.

EL elle répétait, en souriant de son éternel sourire de folle

Il n'est pas la 1 Il n'est pas là Elle ouvrit la porte de sa chambre, et aussitôt le salon en fut éclairé; et comme elle se retournait machinalement en entendant comme un froissement sur le tapis, elle se trouva devant un homme, celui du jardin, celui du parc, qui allait s'enfuir, mais qui, se voyant découvert, joignit les mains et se jeta à ses pieds en sangloiant.

Cet homme, c'était Haudeoœur.

il

En quittant la rue du Marché-Salnt-Honoré le soir où il avait échappé par miracle à l'infamie de Collivet, Haudocœur s'était éloigné en toute hâte. gagnant les quartiers excentriques, et pour quelques sous il avait couché dans un garni.

Mais le lendemain, après avoir dormi d'un sommeil lourd qni ne le reposa point, il se leva, dans l'accablement d'un mdrne désespoir. Comment gagner sa vie ?

Comment, environné de tant de pièges, de dangers, cl'.intrigues, allait-il s'échapper et gagner assez d'argent pour permettre iL sa lille et à sa femme de le rejoindre ?

Et s'il quitlH't la France, n'abandonnait-il pas toute espérano» de se venger, de ae réhabiliter '1

Et sans amis, sans personne pour le protéger, qu'adviendrait-il de lui Y

Il n'osa se présenter dans les maisons où il était connu jadis, non seulement parce qu'il n'y eût pas été en sûreté, mais parce qu'il était

bien certain qu'on lui refuserait toute besogne. Il n'avait plus d'argent.

Tout ce qui lui restait, il l'avait laissé, h sa femme et à sa fille.

Il était réduit à ses àeules ressources. Et il fallait vivre.

Ah 1 il n'était pas difficile, il n'était pas exigeant 1

Qu'importait le travail, si dur qu'il fût Il sortit quelques minutes après s'être réveillé. En errant dans les rues voisines du boulevard des Batignolles, il rencontra un omnibus chargé de malles.

Il le suivit, s'arrêta rue de Rome avec l'omnibus et s'offrit pour monter les malles.

On accepta.

Il était adroit et fort.

Il y avait quatre ou cinq malles, très lourdes. Quand il eut tout monté, on lui donna cent sous.

Jamnis argent ne lui avait fait autant de plaisir.

C'était la vie assurée pendant quelques Jours. C'était surtout le temps de chercher, et de trouver, peut-^tre I

Le soir, comme il pleuvait à torrents, il alla rôder aux nl'nlours d'un théâtre et gagna quelques sous à courir arreler des voitures pour les voyageurs en dotresse.

Il en fit autant le lendemain, dans une réunion de course, il Auteuil, essayant ainsi les petits métiers parisiens.

Toujours sur le qui-vive, avec cela jamais tranquille, l'œil aux aguets, l'oreille aux écouta. A plusieurs reprises, aux courses, Il crut reconnaître, se dissimulant dans la foule, des

hommes qui l'avaient suivi depuis longtemps, les deux, toujours les mêmes.

Des agents de police, sûrement. Est-ce mol qu'ils en veulent 7

Il ne se trompait pas.

C'était Loiseau et LJiaomont.

Il lut bientôt certain que c'était lui qu'ils en voulaient.

lis nv.àont donc pas sûrs de mon identité puisqu'ils ne m'arrêtent pas 'f

Il prit plus de précautions.

Ou ne le vit plus aux courses.

Avenue Kléber, il linit par être embaucha comme gâcheur par un maitre maçon qui l'employa aussitôt en lui donnant vingt-cinq sous par jour.

Un peu plus tranquille, il écnvit ruo du Man ché-Sdint-Honoré

Je n'ai pas quitté Paris. Je vis comme je peux, mais le voudrais bien vous voir. Je n'os« aller la-bas. Tachez de venir à neuf heures square intimille. J'ai tant besoin de vous embrasser

La lettre parvtnt son adresse.

Et le mi'iiie .soir, à neuf heures. Loyse et sa mère allfiulunnt le lorcut, bien trenibltintea, au square indique.

A celte hou iv, le square est désert.

Ils furent truncunlles.

Iis passèrent la soirée ensemble, enlacés, promenant sur les boulevards exteimurs, pui,i revenant dans les rues peu fréquentées où Ils avaient chance de ne pas faire de mauvais» rencontre.

En tes quittant, Hauctecœur leur dit


DERNIERE HEURE 8'IL TSLEQRAPHIQUB] SPECIAL

HIXltVB tUÏTION

Garde à nous

LA OENERALB DC8 SUFFRACKTTIS

KJJ» ARRIVI

Umdnt, 16 août

VU» Panhhurtt a quitté Londree la nuit de,nière poar k cntment. BUt a prit son billet à ieitinalion au Havre. A l'Union Sortait et PoHlii/ue det Femmes, on dit que Mut Pankhurtt Va /aire unr cwr Un ignore encore quels sont Ml prufet*. rmif* nr rroU qu'elle va rejoindre sa fille ChiaKibellf ci fart».

tonne dans une ferme appartenant d lord Derby. A quelque distance avait été planté un ècrir teav • Voilà Les rétullaU de la toi du ahat et 4» Ja souris 1

UN HÉRITAGE KATTENDU

O'NQ MILLIONS 1

Londres. 16 août.

Un pauvrt ouvrier aarieole de llolton a reçu Itiiuui.y/iMt une lettre d'un toltuiteur d'Australie !'i"li)nuant au 'Il héritait d'une tomme de 5 :nllli»nt de francs laissée par .on beau-père par depuis de langues années et dont U élatt sans nouvelle t.

VIN D'ANJOU A TRAVERS L'ESPACE

VERS PARIS

Air-huChapelle, 16 aodt.

Vaviatew Demarnier s'est envolé cette après- midi pour Paris.

BEAU RAID DE SECUIN

Duc. 16 août.

L'aviateur Sea-uin parti d'Anvers à 3 heures et deuv.e. etl arrivée a Bue a ? heure, après un très bon voyr.je. Il a couvert i00 kilomètres en 1 heures et demie.

LA BANDE DES COLLECTIONNEURS' INOORI UN EXPLOIT NOUVEAU

Pari», U août.

On a découvert ce soir qu'un vol important uvalt été commit dans l'appartement du vicomte i'Arnouï, au rez-de-chaussée 9' avenut Kléber. Le vicomte d'Arnoux ttant absent, on n'a pas pu évaluer le montanl du vol. On croit qu'il t'agit encore La dun exploit de La bande Pa- tat.

M. Lendel, commissaire de police du quartier de la Porte-Maillot, a prévenu le service de la rareté et le tervire anthropométrique qui, demain matin, viendra prendre les empreintes ktittéet sur les marbres par Les mal[ailcuTt.

nodrnr Cl!l,VKT $ 0

MALADIES de la NUTRITION Estoma Foie, Intestin. A'iémte

MALADIES DE LA PEAU Eciema. Eruptions. Asthme 1 heure, 37, Av. ue la Gare, RENNES

**♦

LE EMPLOYÉS

LES VŒUX

Bordeaux, 11 août.

Le congrès des employés de France a adopté aujourd'hui divers voeux demandant notam. ment l'abaissement de ia fournée de travail a dix heures, la suppression du trcvnV de nuit pour Les femmes et les enfants ânes de mo'ns de dlr-huit ans, la fermeture des magasins let dimanches ci joi/rs ferlés, l'application des lois et reniements pour l'hvqitnc en ce qui concerne les sou*- toi*. Enfin, le congrès a imh le ram que les différends entre employés et palrort* toient do la compétence des conseil- le*s prvtlhuvimct, quelle que soit leur importance.

an. T prochain eongrèt aura heu à Saint-Quen-

LES FETES DE BAR1E-PUC

ON ATTEND M. POINCARE

Bar-le-Duc, 16 août.

Unt grande activité régit* parmi ta pupufallon êur le parcours que devra suivre le président. Toutes les demruret sont pavoisées. On a élevé dta arc8 de triomphe portant comme inscrip. «on à M.

De nombrtur étranaert sont arrivét, notamment des Alsacient-Lorraint.

A 8 heures et demte a eu Lieu une prandt retraite aux flambeaux.

M. Louis Harthou, prêtaient du Conseil, penant de Suisse, est arrivé Commmcy a 6 heures. Il est parti en auto pour Sampignu où il passera La nult chez le président de la Répu-

ILS N'IRONT PAS A PANAMA Berlin, le août.

Le pm'vemernent allemand a réfuté l'invita "11 dta R:a'* Unit de prendre part d l'erpott tion de Panama et San-Frandsco. fi a donné P»vt rai.tn qut Zen b+néficet qu'en retireraient le tommeret et l'industrie allemands ne te raimt ras en ri^port avec les tacrifieet et con.reiHr et que. cTautre part, le. milieux commerciaux allemands sont actuellement fatigutt des it-pitiliont.

LA MISSION FRANÇAISE EN RUSSM Kratnoié'Sélo, 1$ nodt.

La mission militaire françaite a assisté ci «tic » rjirenentation de gala donnée tout la préiffrnrc de l'empereur. Dans la matinée, La <n>'rinn avait assisté et des manœwret de ca. •«Vr*-

CONTRE

les retraites militaires LI1 ANTIMILITARISTES ESSAIENT Dl PROVOQUER Dil DESORDRES

Partt, 16 août.

Les membres de la Jeunettes Syndicaltste ayant convoqué leurs omit Il manifester ce soir sur Le passage de la retraite militaire de La rive droite, la préfecture avait pris d'importantes mesures d'ordre pour évtttr des tncidents.

C'est encadrée par de nombreux gardes républicains que la musique du d6' de ligne parcourut l'itinéraire fixé, au milieu des acclamotwru de La foule qui lui faisait cortège. Lea rares cris des manifestants qui s'étaient mêlés aux patriotes furent couverts par les ovations a l'armée. Une demi-douzaine de manifestants furent arrêtés pour coups de sifflets ou cris de A À bas l'armée 1

Arrivés d l'angle de la rue de Reuilly et du boulevard Voltaire, les gardes firent un barrage pour empêcher la foule de s'engager aux abords de la caserne, tandis que la musique rentrait dans la cour du quartier. Peu après, rues de pirag et Saint-Antoine, les gardes d cheval ayant mis pied d terre et ayant essayé de refouler des manifestants et de les disperser, succombèrent sous le nombre et ne tardèrent pas d reculer. Les manifestants ayant pris des chaises d la terrasse d'un café les assaillirent d coups de chaises, puis d coups de cannes. De la foule furent tirés plusieurs coups de revolver. Les gardes mirent revolver au poing pour intimider leurs adversaires. Ceux-ci, surpris de cette altitude énergique, s'arrêtèrent et se disposèrent s'engager dans la rue de Rlvolt.

A ce moment arriva un peloton d'une quinzatne de gardes a cheval qui regagnaient leurs casernements. Voyant les manifestants aux prises avec leurs collègues, les gardes mtrent aussitôt sabre au clair et chargèrent les manifestants qui se dispersèrent dans tou.tes les directions.

L'un des individus arrêtés tenait la main un revolver chargé. Plusieurs gardes répu.blicains ont êlt blessés un garde d cheval désarçonnd au cours d'une charge a été contustonné.

Une autre bagarre s'est produite rue de Bivolt entre gardiens de la paix et manifestants. Place de la Bastille, deux agents cycltstcs en bourgeois du 9» arrondissement, qui aratent été envoyés en reconnaissance, ont été reconnus par un groupe de manifestants et prts partie.

Ils furent bicnUU renversés de leurs machines, frappés et piétines ils restèrent étendus sur Je sol. L'un d'eux le gardien Vanacker, atteint ta Ute d'un coup de couteau, fut transporté VlIôM-Dleu, où sa blessure nc fui pas reconnue très grave. Il y restera néanmoins plusieurs jours en traitement. Son collègue fui reconduit son domicile, après avoir reçu les premiers ,oins dans une pharmacie.

La place de la Concorde a présenté toute la soirée une grande animation.

Après la dislocation de la retraite, quelqurs amls des retraites, dans le trnmwny /.ot/urp-î? ont été aisoVi* et frappés A coups de cannle par un groupe d« révolutionnaire*. Us glaces du tramway ont volé en éclats, blessant plusieurs personnes. les agents accourus ont dispersé let manifestants.

̃

LES ULCÈRES

M. noy. SS. rue Saiitf-Domt- ,«̃ e Par» Indique gratuitement le muyen peu coûteux de fruénr radicalement, sans repos, les ulcères et eczémas variqueux les plus graves. Ce traiwme^. qui cairn..? immédiatement :a noiTlenr ̃ t<s appliqué evec des minière malades dans les hOnltaux de Paris. Demander la brochure n° 54.

AUJAROC

EXPLOITS DE PILLARDS

Rabat, «5 août.

Dans la nuit du 13 au U aoiit, 250 pillards ont attaqué la casbah de Tadla. Ils ont été repoussés avec de nombreuses pertes. Nous avons eu un tirailleur tué.

UN CHAUFEUR TUE

Tetouan, 16 aotH.

Une automobile de l'administration venant de KinhnmmeUk a été attaquée à coups de fusil par un groupe d'indigènes. Le chauffeur a été tué un mécanicien bUssé n'a dil son salut qu'A la vitesse avee'laquelle tl s'est enfui.

A L'HORLOBED'OR9ru?ifeours -n«tr0rov' le plus bel "•«"rtinieut en EIJOUX et ̃ORTRtS de» Prix défiant toute concurrence

LE CAS

DU GOUVERNEUR DE tëWYORK

Albany, le août.

Mr. Glynn a formellement refusé d'accepter la proposition de Alr. Sulter de soumettre au tribunal d'Etat la question de savoir lequel des deux est véritablement' gouverneur de lEtat de New-York. Mais le lait que M. Sulxer a mis sous clef Les sceaux de l'Etat rend nufs et non valables les documents signés par Mr. Glynn. La plupart des fonlionnalres ont cependant décidé d'ignorer Les ordres de Mr. Sulter et d'obéir au maire par intérim. L'état de santé de Mr. Sulser donne toujours lieu de vives inquiétudes.

ENCORE UN SCANDALE 1

Washington, 16 août.

La nouvelle qu'un député travailliste bien connu. M. lames Mac DermaM est accusé d'avoir accepté une somme de 47 250 francs pour combattre te projet de lit cofitre les monts de piété, cause une grande sensation. UN POSTIER CONDAMNE

ans, qui avait détourné det lettres contenant des bons de poste adressés a des soldats, a été condamné aujourd'hut par le tribunal correctionnel de !file 4 deux ans de prison.

A L' OFFICIEL.

Pma, 16 août. Le Journal Officiel publie ce matin une note relative à l'accession pour le Danemark Il la oonvenUon Internationale conclue à Paris le 11 octobre 1909 relative Il la circu'ation des automobiles.

Affaires étrangères. Décret aux termes duquel M. Gérard. ambassadeur de la République Française à Tokio. est élevé il la dignité de pand-offleier dans l'ordre de la Légion d'honceur. M. Albert d'Anthouard est promu com-

Quel est ce mystère ? L'ETRANGE AVENTURE

D'UN! INCONNU!

flou!O0ne-»uT-M«r, 1S août.

Avant-Mer, la poHce releva la nuit, svr le boulevard Salnlc-Bruvc, une personne de nationalité anglaise, âgée d'environ soixante ans, modestement vêtue. Camme elle paraissait frappée d'amnésie, on la. transporta l'hôpital, où elle est encore en traitement et où on ne peut se prononcer sur son cas. Comme elle divague, on n'a pu obtenir d'elle des renseignements sur son identité. Son linge ni ses vêtements ne sont marqués. On a retrouvé sur elle des lel très, mais les enveloppes en avalent été déchirées. Elle était en possession d'une Bible. Les Analals ont covtvmc de toujours inscrire leur nom et leur adresse sur la première paae. de ce lix^re. mais ceî'r-M avait été. riant son Uvre, déchirée. Le consul général d'Angleterre A Calais a ouvert une enauéte. Les résultats n'en sont pas encore connus.

tfr"WABPEHTE8 TOLFOMUlfE Mil eTt4nfcM **♦

LES BALAFRES DE CONTBEFACON DES ETUDIANTS ALLEMANDS

Derltn, 16 août.

On sait combien les étudiants allemands sont fiers des cicatrices d la figure qu'ils reçoivent dans leurs duels aacdtmtquea (mensuren).

A sa grande indianation. le journal pangermanisle Tœglicne Rundschau vient de découvrir qu'un certain nombre d'étudiants trouvent plus expéditif d'aller se faire faire chez le médecin des contrefaçons de bala/res qui leur assurent dana les bals des succès immértiés. Un médecin de Hambourg publie une lettre que lui adressa un étudiant de Kiel pour iut demander de lui faire cette opéralion après l'avoir endormi au chloroforme. Le Lokal Anzelger insérait récemment une pelite annonce demnndant un opérateur sachant faire de. bonnes bala/res.

C'est un signe des temps, écrit la Taegliche Rundschau, mats l'auteur de l'anrionce et celui de la lettre montrent des sentfments indignes d'un vérttable étudiant allemand

̃l«WUnillbWnUnl REVUE DE LA PRESSE L'opinion et lu trois ans

De la France, éditorial

n'e nous laissait-on pas entendre qu'après le wte des trois ans les mcmbres du gouvernement rfsquaient de recevoir un accueil assez froid bien, l'expérience est latte, et elle semble concluante. Dans l'Ouest comme dans l'Est, les représeritants du gouverne. ment ont tenu à tiller sur ce pofnt l'opinion, sans tergiversation ni réserve Partout elle a répondu par le même enthousiasme. Le déclin du parti radical

De la nt-iniblique Française, Il. Bonnefous Après avofr triomphé momentanément pnr les suffrages d'appoint du parti socialiste d'abord trop faible pour prendre sa place, le parti radical décline à chaque élection nouvelle et se voit écrasé cam:ne dans un était entre les révolutionnaires qu'il a encouragés et les républicains mlicollectivistes résolus à défendre la patrie la liberté.

NOUVELLES SPORTIVES

ATHLETISME

LE CHAMPIONNAT DU MONDE DE MARCHE Le champion français E. Antholne bat 18 records Avant hier s'est disputé à Gand, à l'occasion de Exposition universelle, le championnat des 50 kilomètres mar he.

Cette épreuve fut l'occasion d'un succès mnir.1flejue pour notre compatriote Anthoine qui battit tris facilement le» meilleurs po<] est ria us protesvenue de Suède, d'Allemagne, d'Angle terre, d'Italle, de Belgique, etc.. Antholne termina premier en 4 h 32' u" 2«. Hntts (ailepxlhem (suédois). v st«ven (belge), 6' r.lrnrrtln (Italien). V ALMns (amerlcaJnl.

Au cours de cette splcmllde performance, Antholne battu 18 records du monde. Les records du monde professionnels et amateurs sont battus à partir du 25' mille («3 k. 233), franchi en 3 h. 3S 13", battu de une seconde. heures, 44 kil. «6i- ancien record, 43 kil. 854 30 milles (48 k. 280) b. 2S 5' ancien record. 4 h. 20' 5R" 50 kilomètres, 4 h. 32' 1d" nouveau record du monde 5 hïui-cs, 54 kil. 312. ancien record. 53 11. ne Anthoine fut porté en triomphe à la fin de sa belle randonnée.

BIPPISMB

COURSES DE SAINT-MALO

DEUXIEME IOUB DlMANCHI 17 AOUT 1O1S

Voici les engagements pour la S" journée des courses de Satnt-Malo

1" Course. Prix du Conseil général (trot monté). /Le de France, Mary; Junon et Impêrla, V. Letranc; Jacqueltîie, P.-A. Viel Jongleur J. GravouUle; Judith, Emile Lecouflet; Indtana et Joliette, P. Mirlel; Jonquille, Casimir Jeanne; Jértrho, haras de Tanaise.

2* Courge. Prix Ae la Société d'encouragement. (plat). Gueule de Boit, de Trlquervllle; Marlolette et Harpagon VI Fête Petit; Le Journal, René Sauvai; Uémovilte, R. Provost; Madrid. Il. MaCs; Cambrldgethtrc et Bettica, Jean Ueux; Gourgandine, AchlUe Fould; Soriitrc III, du Bay; Lvnn, Ch. Sihulz: Normand Y. du Ilalgouet; Maranga, P. du Verdlor; Sotipcx. Wonger: Love, de Carcaradec; Pihnndo. Emlle Petit; Ecobut le Gualès de Mézauhran; La Cascade, Ci. de Langle; Orphln, de là Clmera.

j- lokf^c. «• trix ae ia Ville ae saini-Maio (course plate au galop, à réclamer) Chemise et Septante CI. de Langle; fantasia Il, P. de Joussclin; Caltiani Il, A. Viilenave; Vierge Folie, René Sauvai; Covcnant et Deliica, Jean Lieux; Mlle du Château et La Ftoresta, L. Lemoine; La Casada, F. Petit; .4dah, Ed. Watkins; Larressore, A. de Bellegarde; Marines, J. Bolla; Montbergts, P. du Verdir: Poseuse, Forest..

41 course. Ir prix de la société des steeplechAses de France (régional, 9* catégorie). Castanoi, Edouard Watkiklus Travcity, R. Ma6s Uuctler. Le Goalej de Mézaubran Safran 111. G. de BTlgnac Mata, Jean Le Bleu Ilijatc Il. P. Saint-Martin Orsanco. F. de Malherbe Calut. Ch. Plnon Luna Park U. Y. du Halgouet Savatte, R. Pérlac TMsbêe, J. de Lastlc Saintjai.

5' course. Steeple-cua» militaire (3' sorte). Gamnl. Guértt J'anottle. de Salins Pensive, de Chlvré Fanfaron VU!. Naas C'ondor, Ledoux; Milan. Mariais Moulinette, Caron llelvétle. BoreJU de Kervelegan Couvre-Peu, Barltaud; Garonne, Drogeut.

61 COURSE. Prix des Tribunes (steeple-chase International). Mllc Jacqueline et Rolatidc-II, de CAolet; Luna Park Il, Y. du Halgouet Savatlc, R. Porinc Safran Ill, C. de Brignac; Luiteuse, Jean Lieux; La Clochette, F. Grumez; Garbla et Corral, L. \Venger; Notable, A.-L. Cornel; Dupoqnon, de TrlquerviHe; La Hume et L'Exilé, G. Gaudin; Pil>cc d'Or, Il. Baudoln; MaTa, Jean Le Bleu; Alpaga, G. Tourangin. 7' CounsE Course spéciale de haies de la Société Sportive d'encouragement (2' catégorise) Huctier, Le GnaM-s de Mtaaubran Léman, L. Wenger Conlon-lloujie. I. de Cnrcnradec; Chemise, Ci. de Laugle; Travestit,, R. Mafis.

RENNES

Les chemins de fer d'intérêt local

dans le département

Depuis 1880, époque à laquelle commença en France le développement intensif des chemins de fer d'intérêt local et des tramways, il ne serait guère possible de trouver une profession de toi de candidats & un mandat de conseiller général ou de conseiller d'arrondissement, dans laquelle ne figurât pas en toute première ligne la promesse plus ou moins enjolivée de desservir. « votre beau canton par une ligne de tramDans notre beau département d'Ille-et-Yïlaine, le réseau existant peut être considéré comme un modèle, ce qui lui a d'ailleurs été facilité pnr la situation géographique à peu près centrale de son chef-lieu. Rennes, d'où .rayonnent vers les centres importants du département, ces voies ferrées xonomkjues oui contribuent si largement à développer l'essor industriel et commercial d'un pays.

Mais après le troisième réseau. il faudrait s'arrêter et ne plus construire à tort et Il travers, car le rendement général deviendrait déplorable. Notre avis personnel est au'il suffira pour compléter d'unp manière définitive notre réseau départemental de relier par une grande circulaire faisant le tour complet du (tppnrtement, les lignes exlstnntfs: ainsi se trouvera réalisé (,e principe essentiel des chemins de fer d'intérêt locsl relier d'abord la préfecture aux sous-préfectures et aux centres importants, puis ces deux derniers entr'eux.

D'autre part. il est indispensable que les il- gnes interdépartementfiles soient exécutées, et que toutes mesures nécessaires soient prises pour que le matériel roulant, tout au moins celui à marchandises, r-'iss* circuler d'un déparlement ü l'autre, seule fin déviter ces frais de reprise et de transbordement qui font le plus grand tort aux administration exploitantes et portent le plus grand préjudice aux commerçants et industriels intéresses, par suite des pertes, des avaries et des dépréciations inhérentes à ces opérations.

Il serait indispensable qu'A Rennes, centre du réseau, les lignes départementales soient raccordoes avec les chemins de fer de l'Etat cette question est d'ailleurs intimement liée avec celle de la construction d'une gare Etat à l'ouest de la ville il).

En ce qui concerne l'ensemble du réseau départemental, il est indispensable, pour avoir une exploitation économique et rationnelle que toules los lignes soient rétrocédées au même individu ou la même compagnie

Malheureusement ce principe n'est guère suivi en Bretagne, où certains départements ont deux ou trois r<itrocessionnaires, qui ne peuvenl guère s'entendre sur les multiples q^es&r crde la communauté d'une entre 11 serait gmnilement désirable qu'en Ilié-el,aine ces «"«nts ne soient pas suivis et que les lignes venir soient attribuées la mpagnie actuelle, dont la méthode d'exploitation donne toute satisfaction.ïan', au public certains grands hommes .««amonts.

Ja mise à exécution 1 du -seau et des déla construction des voies ferrées, ne sera évidemment pas celle des politiciens Il petites communes qui n'ont pas encore reçu le mais, ne leur en existe d'autres moyens debeaucoup moins onéreux pour lesnances départementales ce snnt les services d'établissement, simplement d'ordinaire très modère; d'aude la création de ces lignes d'automobiles sernit beaucoup moins pour le département et par là même pour les que la oonstruction de nouvelles voies

par exemple, une ligne de trente et roulant, et des terrains, le cas viendra au moins à francs, qui seront amortis très vu réseau ne desserviront ment, les régions peu D'autre part. les accidents de problématiques et il y a plutôt de crnire que les seront la règle et dans ce cas-le département aura àter une certaine du déflcit, sous forme du au capital engne par Io

avec 10 transport automobile, le se lé plus souvent de Il 0.2;1. soit 40 à fr. pnr jour, étant qu'en cas de recettes, n'aura droit Il aucune indemnité, D'ailleurs. si une ligne ne rend pas, on peut très la supprimer, aucun capital n'ayant été employé aucun matériel ne se trouvant abandonne.

D ailleurs ces services complémentaires d'automobilcs pourraient être imposés aux rétrocessionnaires des réseaux ferrés, lesquels s'ils ne sont pa dimbus de pnrtl-prls en reconnaîtront pour eux-mêmes la nécessité et l'économie à lexemplo des grnnrios Compagnis qui dans les pays de montapne où le rail ne pouvant accéder que diffleilement et où les frais d'établissement d'une vole terrée eussent été hors de proportion avec son rapport probable, ont assuré sans subvention aucune des services d'automobiles pour la phipart réguliers en correspondance avec la grarvle voie ferrée. Ces lignes rendant des services incontestables à des régions Jusqu'à ce jour déshéritées et dont révolution économinue a subi un mouvement ascendant très sensible <\hs le jour où ces communications automobi'es leur ont assuré des relations régulières avpc les nVwaux ferrées d'intérêt local et d'intérêt général.

Noire manière de voir sera diversement ap.préciée, mais nous serions heureux, si nous avons commencé A persuader une pnrlie du monde Industriel et commercial et aussi quelques conseillers généraux que dnns une réalon plutôt argrlcole qu'Industrielle comme Tllle-etVilnine et dnns lnquelle par conséquent l'intensité du trafic «st très irréculière, il ne faut pas pousser A l'eNtrîme l'engagement pour les tramways. Rlen de plus navrant que la vue de certaines petltes enres, dont les quais envahis par une végétation luxur:ante, les voies de marchandises «vimplMement oxydées en attestant la parfaite inutilité.

Nous pourrions encore souhaiter que dame « Politique » intervienne mnins abusivement dans cette question purement économique rt qu'nn ne vtt pas le petit, vlllane de quatre maisons et un four. doté d'une gare Il service compM. parce que son maire est dans le mnuvement, alors que le gros bourg, centre commercln! Important, n'aura qu'une halte ou un RrrÇt. vMro rnAme rien du tout. parce que l'esprit y est trop liède aux yeux de nos bons politl-

Master RAILnOAD.

(1) Votr du 24 avril

Avant les élections Aux termes de l'art. 802. re©Une\ de l'Instruction rrninlstérielle (Guerre) du 80 juin 1910, aucun homme des réserves ne doit être présent sous les drapeaux pour l'accomplissement d'une période d'exercices au moment dfes-tlections généinlee ou partielles auxquel- les Il peut être appelé à tendre part. Pour le cas où, malgré l<*s précautions prl. eeà, la date d'une éjecUou ooincidemit avec

une période d.'exercaoes>, les dispositions sui.vantes fixent les régies à suivre, tant par l'homme oonvoqué que par MM. les .Maires t 11 appartient à l'homme convoqué pour une période d'exercices et ayain à j. rendra part au scrutin, de remettre sou ordre d'upiMd, contre récépissé, au maire de ta commune où H est «lecteur. Celui-ci, après s êtia assuré que l'interest*' est inscrit sur lee lisWs électorales. transmet l'ordre d'appel au commandant du bureau de recrutement qui l'a établi, en lui faisant conualtre la nature et les dates (premier tour et scrutin de ballottage) de l'élection et en certifiant que celui auquel était destine le document renvoyé est électeur dans sa commune. Le commandant de bureau de recrutement prévient l'homme qu'il recevra ultérieurement un nouvel ordre d'appel.

Les hommes de réserve qui, ayant négligé de se conformer aux dispositions indiquées plus haut, se présentent à leur corps au jour lL\é par leur ordre d'appel et justifient de leur qualité d'électeur dans une commune siège de l'élection sont renvoyés immédiatement dans leurs foyers et convoqués ultérieurement pour accomplir intégralement leur période.

Les électeurs de !a première crconscription de l'arrondissement de Rennes, qui ont été convoqués pour la période des manœuvres d'automne de 1913 devront donc se conformer aux dispositions qui précédent, en remettant au maire de la commune où ils résident la convocation qu'ils ont reçue.

m. le gonerai commandant le la corps d'aremée a décidé qu'ils ne seront convoqués que le sept-Tnbre.

LA BEAUTÉ NATURELLE PAR DES MOYENS NATURELS

Une peau saine et un joli teint dépendent du renouvellement régulier de l'épiderme. Ce renouvellement ne peut se produire suivant les lois naturelles, si !es pures sont encombrés de déchets De fréquents lavages avec un savon pur tel que le Savon Cadum, constituent donc une mesure nécessaire. Outre les éléments les meilleurs ce savon continent ks propriétés actives antiseptiques et curatives do la fameuse pommade Cnduni L'usage du Savon Cadum ganinhtdonc contre toute affection, protège et embellit le teint. On tance dES pierres sur des officiers

Un individu ut arrêté

Dimanche soir, à 11 heures, quatre officiers iu iy régiment d'infanterie, actuellement à Coëtquidan, rentraient au camp en automobile.

Après la traversée du bourg de Mordelles, un peu avant Plélarr, une grCle de pierres s'abattit sur la voiture._Des Jeunes gens postés de chaque côté de la route s'étalent armés de caillous et les lançaient sur les ottlciers. Ceux-ci descendirent de l'auto Ils purent arrêter un des agresseurs les autres s'échappèrent. Deux bicyclettes qui étaient également posées sur la banquette furent saisies. L'individu surpris fut conduit à la gendarmerie de Plélan qui commença aussitôt une enquête.

On se demande quel mobile a poussé les Jeunes gens à commettre cet acte stupide. Est-ce antimilitarisme On ne le croit pas. Un tout cas la plaisanterie est plutôt mauvaise et les auteurs doivent maintenant regretter amèrement de s'êre mis en pareil cas. L'emploi régu'lléT des Pilules Suisses guérit la constipation sans fatigue ni changement dans les habltudes et rétablit les fonctions dlgestives. Grave accident

route de Cesson

Un homme tombe d'une charrette et se blesse sérieusement

Un grave accitient vient de se produire sur la route du Cesson.

Dans l'uprès-midi, des ouvriers do l'Aeile Salrit-Méon faisaient des charrois destinés 4 la construction du nouvel ctablisseniont qui, coinme on le sait, doit être créé à La Hnllouvry, en la commune de Chantepie, à l'usage des idijts et des épileptiques. Un convoi de tombereaux suivait la route de Cesson; l'arrière de l'un d'eux était assis un charretier, le nommé Lebreton. âgé de 53 ans, et derrière ce tombereau en venait un autre dont le cheval de tète était attache par une longe au premier véhicule or, presque tt la hauteur du restaurant A la Friture », le cheval arracha la paroi sur laquelle Lebretnn se tenait et l'homme fut violemment projeté A terre. Ses camarades se portèrent vivement A son secours et le dépotèrent sur la banquette de la route. Cnmme il restait innnfmé, ils alèron chercher au restaurant voisin un cordial pour le réconforter, l'n médecin de nenes étant venu A passer quelque temps après, prodioua ses soins au blessé, qui perdait du sanc pnr une oreille, puis Lebreton fut ramené A Hallouvry.

Le malheureux se plaint de vives douleurs il ln tête et jusqu'à présent les médecins ne peuvent se prononcer sur les conséquences de ce grave arcidont.

Par centaines sont lcs mobiliers il chois'r an Vieux Chêne, ai Rennes, 26. rue Le Rnstan!.

Le sursis d'incorporation pour les étudiants de la classe 1913

En exécution de la circulaire ministérielle du 12 août 1913, les jeunes gens appartenant à la classe de 1913 qui, justifiant du baccalauréat, ont l'intention de demander un sursis d'incorporation pour raison d'études supérieures et doivent par suite avoir pris une première in«rlption dans une Faculté des sciences ou des lettres avant leur comparution devant le Conseil de révision, pourront prendre cette première inscription au secré tariat des Facultés des sciences et des lettres de Rennes du lundi 18 août au samedi 23 août 1913 inclus, de 9 heures à 11 heures du matin et de 2 heures à 4 heures du soir.

GRANDE CHARCUTERIE DESBOIS Rennes Télépho, e 2-32 truffes, foie gras, volailles fines, jambons, pâtes en croûtes. Rencontre de cyclistes

L'un d'eux est blessé

Dans la soirûe d'hier, vers neuf heures, M. Maxime Massé, àgC- de 31 ans, charpentier, domicilia rue fcdouard-Turquety, 3i, passait à bicyclette rue de 1 Aima. En sens inverse venait un autre cycliste, et la rencontre se produisit. Le charpentier, violemment heurté, fut projeté sur le sol, où il resta étendu; l'autre qui, sans doute .n'avait aucun mal, enfourcha sa machine et s'enfuit vivement.

Le blessé, qui avait une plaie sérieuse à l'œil droit, fut trançiortô d'urgence à l'Hôtel-Dieu, où les internes de service lui appliquèrent un premier pansement.

M. Massé est marié et père d'un enfant.

LE PONT. La plupart des établissements de la ville, magasins et usines, ont fait le Pont, et les Rennais en ont profité pour se rendre en foule Il la campagne et Il Saint-Malo. Aussi, dès jeudi matin, les deux premiers trains emportaient 2.500 voyageurs à destination de SaintMalo.

Quelque^ cultivateurs, qui n'avaient pas songé A l'arrêté du maire, se sont rendus au marché des Lices, mais ils ont été quittes pour remballer leurs marchandises et s'en retourner dans leurs fermes.

Naturellement, 1*> ville était presque déserte et la circulation était nulle seuls des étrangers ont profité des vacances pour visiter nos monuments..

UN VOLEUR QUI N'A PAS FAIT LE PONT. Les voleuçs ont pas jjqut faire

le Pont Alexandre Duval, âgé de 30 ans, m» nœuvre, domicilié au débit Ptei, rue Ange-BlalK l'e constaté à ses dépens. On lui a voit pendant son abaencù un pantalon de velours d'une leur de 12 francs. Il a porté plainte a la polie( qui recherche le filou.

TOMBE DE SA LOCOMOTIVE. Vendmf l'apravnldl, Vf. Jean DubreU,' mécanicien M chemin de fer, demeurant rue de 1,Embu» dère. t, est tomhé de sa locromotive en la net' toyant. II a été transporté à l'Hôtel-Dieu. Il «raif une cote fracturée. Son état n'est pas grave. MUSIQUE Df «• REGIMENT D'INFA-NTH RIE. Void le programme qui sera exéoutf les 17 et 81 août 1913, au Thabor, délit.» 1. Marche des Gymnastes, i. Péhel 1. Bon jour Suson (gavotte), Maveur; 3. Chanson dk ma Mie, rêverie, Corbin; 4. Ut Patineurs valaa, Waldteufel; 5. Aux bords du Sébaou fantaim arabe, Sellenick; 6. Mazurka Caprice, pour 01» rinette, Magnanl (soliste Caillet, tambour-m* Le chef de musique G. Mirm».

UNE CHUTE MALHEUREUSE. Hier m» tin, à 9 heures et demie, Mme Maretheux. domicile rue Saint-Hélier, 59, étalt occupe* a laver du linge au bateau lavoir de la nu Salnt-Hélier, ne 59 A.

a un moment donné, eu* alla chercher du bois et revint en tenant une pleine braeeea. Male en descendant un peMt escalier menant au bateau, elle gUss* sur U» marche» et ne put se relever.

Dans sa chute elle ee fractura un pied et oq fut oblfgé de la transporter à son domicile. La fam'lle M/iréthmix Joue vraiment de maJheur. En effet, l'hiver dernier M. Mare. theux ee fracturait un pted en descendant l'escalier des Arcade*.

UNE COLLISION. Hier matin à 10 ne» res, la voiture de M. Gulllaume, boucher. montalt l'avenue de la Gare en même tempe que le car électrique ne ZZ. L'attelage longeait le vroweir. lorsqu'en face le oaté Morvaa, fl heurta le tramway.

Le volture a eu l'essieu feu«4 et le cheval les genoux éeorerréa. Quant au renduete\ir, U voulut sauter a terre, mate tomba malencontreusement dans les arbustea de la terrasse du cnté, pnr bonheur Il ne se Ht aucun mal et en fut quitte pour la peur. Le tram a iubl quelques détériorations uns lin» portance.

̃TAT-OIVIL DE RINMTO

IUIMAWTS

le Manrie* Joua oit, route de Loriot gsj| T Tonne Qttfrat. route de Lor'fnt. S.

rmucA-nona m marligi

taui ArgwntAU. plâtrier rue Salnt-Oeoms, ta, et MAt&Ude R*«ot. 0. p.. salnt-Sféen (I.-et-T\). Aj]ir.rol*e Briand. itarueur la gfre, roe S*. H*ller, M. et Heartetu Julon, eouturfer*. m*o* MreaM.

Victor Carrol. mecanleton. rw Pontg*r»M, t, • Chulotu LUnoart, .«m pro(«Mloa, ra» Lepwtflt, PALAIS DES FÊTES 13, rue PoullamDuvare

Mariage», Lunchs, Bail, Solréee

TAirvrr, traiteur. h^Wi Lemotne, r. LanJuinat! Amand Bodlgnal. facteur tn chemin de ter boulevard de ta Liberté. il, et Maria Scoatm. •. p.. Bain (I.-et-V.).

René Qardtennet. commis d'économat « Lrc4« de Iles, à Reunee

Ambrolae Rolana. homme d'équipe au chemin de fer. à Dot (t.-et-T). et JoatphlM M«rel. f«mm« de chambre, arenue du Mail d Onœ

Emmanuel Jollret. marérjial terrant, boulevard laênnec, u, et GamLlla Collas, comptabU, mime adrewe.

Françots Cadoret. maçon. rne Saint-Malo. IM, et VIctorine Verdier, blanchlsseuM mtm* rne, d. François onterraln. cocher, rue de la Monnaie. 8, et Marie Huet. cuisinière, contour de la Motta. Jean I.emasson. maçon, rue de Nantes. U. et Marie Dallerac. calslniAre, rue de la Pal«stln«, f0. François Hérault, instituteur, rue Salnt Bel l«r. 79, et Maria Acezat, eoutorl&r», rue de l' Arsenal. 10.

DURAND JOBART. pi. du Palais, RENNBt Spécialités de BIJOUX oour mariages Alphonse üulttler, marécbAl des logis an r d'as». tlUerle. et blarle Durand, dactylograpti*. Bédé (I et V.).

Aimée DelntiT>r. chauator au chemin de fer à I.lslrux (Onlvados). et VictolT» Bnll4, c^atnlara, faubourg d Antram. AS.

Dtcie

te. Joaephlne Ronde!. ancienne dooneatlqn*, mlltbatalre, 70 ani. rue de la Visitation. 38» An» tlde Dufouil, Journalier, marié. 38 ans, rue SaintMaln, 67; Lemotne ni>« Kermuasse il ane, rue StMelalne. S; Madeleine Lersbours. Plgeonnlere.. I ans. rue de Fougères. 21; Jean Lucas, ancien journalier, veuf. M ans faubourg de Paru, 80: Emlliea Bellle.r, e mois. Hôtel Dieu; Loulaa Descbampe, Journalière. dlTorc«e. «1 and, hospice: Trublet, net Jeanne Anger, 70 ans. rue Salnt-Héllar, «7: Adolphe Chapln. chaudronnier célibataire, 90 an», nu du Mail. 71; Pierre Leray. propriétaire, marie, 61 ans, rue de la liarluls. 4; Jean Gulmoat, Jour, natter, marié, 87 ans, boulevard du Colombier. 1* Jean Ferre, cultivateur, célibataire. M ans, HOtal Dleu.

COURONNES FOLLIOT, M, L Bertrud, CBRCUBIU ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦

VITRÉ

L'AURORE A RENNES. La SOClét» de gymnastique l' Autore de Vitré se rendra le 31 août prochain à Rennes, pour prendn part au concours qui y est organisé

Cette société, qui est classée en premier* division, a, comme on le sait. remporte de nombreux prix au concours de Segré. Nul doute qu'A Rennes l'Aurore ne revienne char» gée de lauriers.

Pool

UN DOMESTIQUE SE BRISE UNE JAMB& Hier samedi, vers 11 heures du mattn, M» Ménager, cultivateur A la Touche-Mesnll, fr nlssait de ramasser ses récoltes son domea« tique, Pieux, âgé de 21 ans, était monté eut la charretée pour recevoir les gerbes qu'on lui passai t-

Soudain Pieux perdit l'équilibre et tomba sur le sol.

Dans sa chute, 11 se brisa complètement une jambe. Relevé aussitôt par lee autres per.sonnes qui travaillaient avec lui, U tut conduit en voiture chez le docteur Leroy, de Vitré, qui lut prodigua les premiers soins et lui m'donna un repos d'au moine un mois et demi.

Pieux fut ensuite reconduit chez ses parents, qui habitent le village de Bel-Air. Saint-Dldler

PELERINAGE A NOTRE DAME DE LA PEI. NIEBE. Le Jeudi 4 septembre aura lieu à Notire-Daime de la Peinière un pèlerinage <wv ganisé par le diocèse de Rennes.

FOUGERES

Antraln

ENTRE BEAU-PERE ET BEAUK1LS. Une ACèue sest i:roUult« avenue K.-eber entre les nommés Louis Iluffray, domestique à Couesnon. en la Fouteiielle.'et son beau-Ols, Louis Bellier, domestique a Kaubiin. même commune.

La gendarmerie a dressé procès- ver bal. Saint-Etienne-en-Coglaa

LA MEDAILLE DE 1870-71. Ont reçu lA médaille commtmorative de 1870-1871 MM1. Beaurnont, de Courtines Délépine, Iàambart, de la Land-e Lebreton, de la Chesnardièce Alexis Lefresne, Lhermitte, du Feil Ange Prodhomme, de la Basse-Lande Rochelle, du Theil Pierre Veillaux, de Lau. nay. en Saint-Etienne.

Félicitations à ces braves combattants de l'Année Terrible.

MONTFORT

Iradouar

PRIS EN FLAGRANT DELIT DE VOL. Dans l'après-midi du U août un individu entra au débit tenu par le» étoux Chèze et offrit à Mme Chèze de lui vendre un coupon d'étoffe d'ui» quantité suffisante pour faire un complet d'homme, puis une montre qu'H disait être en or et d'une valeur de 150 tr. Mme Chèze trouvant l'Etoffe trop chef refusa. L'individu Insista et offrit le tout pour 35 france, disait qu'il avait besoin d'argent pour se rendre dans l'Irulre-et- Loire et qu'il n'avait plus que vingt centimes. Après avoir rapidement exambiè la montre avec eon mari, Mme Clnze remit les 36 francs à l'hom. me qui partit ensuite. Mais un bijoutier de Bécherel. de passage à Irodouer examina 6a montre et déclara qu'elle étalt en argent doré et pouvait, valoir 10 francs. M. CAèim partit alors A la recherche de eon vendeur


dne le tramway de Bennes. L'homme ayant refusé de lui restituer ses trente-cinq franrs, M. Chèze le saisit au collet et le fit garder à vue tandis qu'il prévenait la gendarmerie de Béeherel. L'individu, un sieur Théodore Hiba-ult, cultivateur au Pas-d'IUe, en Dingé, & été écroué a la maison d'arrêt de !dont•* Muet A PROPOS D'UN CROCHET DE PUITS. M Poignant cultivateur au hameau de la Bkaeais, en -%fuel, a porte plainte contre le nommé C. qui lui eurait soustrait le crocbet d'une chaîne de puits. C. seral1 métxa lent de volr plusieurs voisin* venir pu aer de l'eau au puii* mais le propriétaire .'ec v autorise et entend faire respecter Me 4roU&. M. Poignant estime eon iréjudlce à 1 francs

PLELAN

L'accident de tramway La victime ett décéda»

M Jean Ferré, victime de l'accident que nous avons relaté lundi dernier, est mort a la suite de l'amputation nécessaire de la Iambe broyée. Son corps a été ramené à Plélan hier soir. à 3 heures, et a été déposé au patronage. L'enterrement a lieu ce matin a Plélac à 7 heures.

A son pauvre père, à ses parents et amie, nos condoléances bien sincères.

NOS PETITES FORMULES

MAUX DE TETE, NÉVRALGIES supprimés en quelques minutes

Plusieurs lectrices, sachant que nous nous tntéressons aux petites formules et recettes simples et peu coûteuses, nous en ont signa16 plusieurs que nous avons examinées fort sérieusement et soumises à i'examen des plus grands médecins. Récemment, nous avons été fort occupés par l'étude des comprimés de Caputine. Après approbation .des médecins et des chimistes réputés, nous les avons fait essayer à plusieurs de nos lectrices. Voici ce que l'une d'elles, qui souffrait depuis furt longtemps, Mine Pierre, t, rue d'Annam, Paris, nous écrit

Sur votre conseil, je me suis procuré chez un pharmacien de mon quartier des comprimés de Capufine. Chaque (ois que javais de la migraine vu dea maux de tète, j'en absorbais de un trois 'par jour dana un peu d'eau, en dehors des repas non seulement mes nérraipies et mes douleurs sont parties, comme par miracle, depuis un mois que je suis ce traitement, mais, de plus, mon anémie a disparu et je me sens une énergie nouvtlle. Jamais la Caputine ne m'a causé de maux d'eshmac, ni de nausées, et elle a chaque fois agi également. Merci encore une fois pour cclle bonne formule.

Nous sommes heureux de signaler cette intéressante cure il nus lectrices et nous publierons encore d'autres lettre»

REDON

LA MUSIQUE DE MAMERS. Ainsi que nous l'avions annoncé, l'Harmonie municipale de Mamers (Sarthe\ se rendant au cuncours de Vannes, 6'est arrêtée vendredi soir à Redou, où elle a donné un concert fort intéreesann, sous la direction de son distingué chef, M. E. Pellion.

Chaleureusement applaudis par un public nombreux, les excellents musiciens furent l'objet d'une véritable ovation.

M. le docteur Gascon, maire, et M. Renaud sous-chef de notre musique muiiiicipale. se faisant les interprètes de l'assistance, exprimèrent à M. Pellion leurs remerciements et leurs bien vives félicitations. Sur les instances du public. l'Harmonie joua ensuite un nouveau morceau qui recuei:llt Ges applaudissement enthousiastes.

Fuis les musiciens, invités par la municipalité, se rendirent à l'hôtel de Bretagne où des consomma<ion^ leur étaient réeervfes. Au dernier moment nous apprenions que <^ette «iocif'té vient d'obtenir A Vannes en 2" division. 2 section. les deux premiers prix lecture vue ee exécution.

Nos félicitations.

NECROLOGIE. On a appris samedi soir avec ('-motion la mort subite de M. Sévère de la Uniinionnavr. dOrt'-dO on i-a propriété de Vay (Loire-inféripureî. où 11 était en vilK'iriature M. dP la Bcmrdonnaye était fteé de 5? ans

LA REDONNAISE. Le tir pour les jeunes gens se préparant au brevet d'aptitude militaire aura lieu aujourd'hui dimanche, de 8 heures et demie à 11 heures du matin, au ..land de la Beile-Anguiile.

A LA SALLE DES FETE``. Ce soir, à R heures, à la saJle des fêtes de la ville, représentation du « Mondial ThéAlre P. nouveau cinétnatographe parlant et chantant. ETAT CIVIL. Kaissanccs. Alice Crucon, rue de Codilo: houis Besuchesne, rue de l'Union Alplionsr Mnrpaud. il Beaurepaire. Promesses de mariagr. pierre Noël, sellier, il Courbevoie (Seine et Anne Guichard. couturière, domiciliée de droit Redon et de fait à Paris.

Décès. Valentine Balluet. sans profession, (3 aiiN épouse d'Ange Brault. Grande-Rue Edouard Mori'.r. 42 ans, ajusteur, époux de Anne Fleury, a la Iloussaie.

Crand-Fougeray

L'N MALPROPRE >̃. Une tentative de viol a été commise jour une jeune fille de 15 ans, Mùle couturière à Ja Dominelais, qui revenait jeudi soir dit Graiid-Fougeray. Le coupable, u.n nommé Monuler, age de 29 an*, travaillant <latis les carrières de miserai de Saint-Suli>k'e des Landes, a été arrêté et écroué samedi matin A la maison d'arrêt de Redon.

Cuichen

L'EXPLOSION D'UNE LAMPE ALLUME UN INCENDIE. Jeudi soir, vers 8 heures trois "quarts. Mme l-'rt délie Auger, dont ie mari est retraite des contributions indirectes, était oocu.pét\ dan* &a cuisine, à alimenter une petit* lampe à essence en faience. Prés d'ell'. sur un fourneau, se trouvait un réchaud allumé. Tout à coup le feu du récliaud se communiqua la lampe qui lit «xplosion L'essence se répaudit dans la cuisine et les ttamnie*. atteignant un bourre.et .de chiffons tlxé u une porte, ee propagèrent xaj idement <iux hottes de foin qui se trouvaient dans le grenier.

Mme Anger u.) pela aussitôt au secours. Les habitante du bourg. ainsi que les pompiers, accoururent. A leur arrivée le feu commençait déjà à envahir la toiture du bâtiment. Le sinistre fut combattu avec énergie et après une heure de travail tout danger étaa conjuré

Ija maison d'habitation, ainsi qu'une partie de la cuisine ont pu être préservés. Dane le grenier situé au-dessus de la cuisine et de ce tmuvaient 750 kilœ de foin et environ 250 kilœ de paille. Le tout n été «tetralt. Dum* In ruistoic. plusieurs objt't* mobiliers ont été furieusement endommages. l,es «-poux Anger esttment leurs pertes .'i înn francs.

Quant au profrlétaire du bfttiment, M. Xavio- r.iiorrevron. il éprouve un tréjudice de 1 francs.

assurance.

hi^GION MALOUINE 6 OINAKNAISE

SAINT-MALO

Arrivée du Coudé et d'une flottille de torpilleurs

Nous avons indiqué précédemment les raisons pour lesquelles l'escadre ne pourrait venir à Saint-Malo que partiellement. Dans ces conditions, la présence d'un seul croiseur au de la division annoncée, n'a pas suscité

tout l'intérêt que nos populations en attendaient néanmoins la partie de l'escadre mouillée dans nos eaux depuis hier matin a été très admirée par les nombreux visiteurs que les fîtes de la Mi-Août ont attiré dans nos villes.

C'est hier matin à la mer haute que le croiseur d'escadre Condé est arrivé en rade de Saint-Malo, venant de Brest, accompagné d'une flottille de torpilleurs composant la deuxième escadre légère.

Le r'ondé est resté mouillé en rade entre Dinard et les Beys. pendant que les torpilleurs qui lui faisaient escorte le Dunois, torpilleurs cuirassé le Stylet, le Gabion, le Glaive et l'Epieu, contre-torpilleurs, entraient dans le bassin de Saint-talc où se trouvaient déjà depuis jeudi soir le contre-torpilleur Aquilon et leb sous-marins Rubis et Aigrette. La présence de tous ces bâtiments dans le bassin ordinairement désert, a donné aux quais une animation inaccoutumée, la foule se renouvelant sans cesse pour admirer ces bateaux. Sur les remparts, du moins sur la partie donnant sur la grève de Bon-Secours, on contemplait la puissante structure du Condé, autour duquel évoluaient des embarcations diverses.

Le commandant du Condé est allé à la mairie rendre visite à M. le Maire qui lui a rendu sa visite dans la soirée. Un vin d'hon1 neur sera offert par la ville de Saint-Malo aux officiers de l'escadre. De son côté, la ville de Paramé offrira lundi soir, à 8 heures et demie, une soirée de gala aux officiers de l'escadre.

Voici le programme de cette soirée qui aura lieu au Casino de Paramé

1. Faust. 2* acte, par Mlles Castel. Streletzky, MM. Capitaine et Duchatel, Mme Lamberty 2. Guillaume Tell, sélection, Rossini, par M. Jaume. Mme Richardson, MM. Capitaine et Duchatel 3. Feu d'artifice sur la digue grand bal par la musique du 4<\ LE FEU SUR LE GRAND BEY

Le feu allumé sans doute à la suite d'une imprudence de fumeur s'est déclaré hier après-midi sur le Grand Bey, non loin du tombeau de Chàteaubriana.

I,es flammes ont bientôt gagné la partie dominant le barrage situé entre les Beys et elles ont atteint une certaine hauteur. C'était un simple feu de joie sans danger, il a fait l'amusement de nombreux curieux qui regrettaient que le fu.meur auquel ils devaient ce spectacle, naît point commis son imprudence quelques heures plus tard. De nuit en effet, le spectacle eut été plus intéressant.

Al fautes Sa'sons, Prenez: UNE BRETONNE FURIE ou à l'EAU. C'est exquis Une jeune voleuse

M. de Lameillère, publiciste, en villégiature villa du Trocadéro, avenue Jules-Simon, vient de signaler & la gendarmerie deux vols 1 commis à son domicile dans les circonstances suivantes

Sa bonne, Mlle Eugénie Raveraz, avait laissé le li août son portemonnaie contenant environ HO francs, dans le tiroir de la table de lit cuisine quelques Instants plus tard elle 1 constatait qu une somme de 30 francs était disparue de son portemonnate un billet de 50 francs avait été laissé.

Le lendemain, c'était une nouvelle somme de 36 francs contenus dans le même portemonnaie qui disparaissait à son tour. Aux gendarmes venus procéder à l'enquête, Mlle Raveraz signala qu'une fillette venant le matin apporter des croissants à la villa lui avait déclaré avoir vu un chiffonnier fouiller dans les tiroirs de la cuisine.

Cette tillette, Henriette Lassaut, 13 ans, demeurant chez ses parents, au Carouge, en Paramé, fut ensuite interrogée par les gendarmes Elle voulut maintenir l'histoire du chiffonnier, mais bientôt, pressée de questions, elle dut reconnaître qu elle avait menti. Elle déclara alors avoir commis les deux vols, poussée par une dame vêtue de noir. Cette datne lui aurait "dit s'appel<»r Mme Baron, demeurant à Paris elle l'avait conduite à Saint-Malo et lui avait payé différents effets après quoi elle était allée à la gare prendre Le nouveau récit de la jeune Henriette Lassaut était tout aussi mensonger que le premier. En effet, la soi-disante Mme Baron, la dame en noir, ne parait pas avoir existé les gendarmes ont pu retrouver à Saint-Malo le magasin où la voleuse avait fait ses emplettes nvp.- l'nrgput volé et dans ce magasin on n'a point vil la erundo dame en noir. Le parquet a (té saisi de l'affa re en attenla jeune fille voleuse a été laissée en liberté.

Une Merveille!

La Cloche Réfrigérante Craindorge pour la c onservation des denrées.

\CUDENT D'ALTO. Hier midi. une automobile qui dèmarrait de la poste, a renversé une fillette la jeune B. qui a été jetée sur le bonheur, l'auto qui appartient à un négociant de Moulins, marchait aussi lentement que possible et la fillette en a été qullté pour des contusions sans cravité.

COMMENCEMENT D'INCENDIE. Vendredi soir vers 8 heures, un commencement d incendie s'est déclaro dans l'une des conliseries situées près la porte St-Vincent L'intervention des employés de vedettes MM. padel, Cograine et Chesnc sufüt pour l'éteindre avant qu'il ne prit des proportions inquiétantes, mais dans l'aventure, l'un des employés, NI. Chesne, se lit des brûlures à la main.

Dinard

HESUITVTS DES REGATES. Voici le palinuivs des régates de la ociété nautique de Dinard, qui ont été courues dimanche dernier, dans la baie du Prieuré

le Course. Bateaux non pontés du quartier de aint-Malo, borncurs, pêcheurs, plaisanciers, n'ayant pas plus do 4 m. 10). 1« Bonite, à M. Omnès, 45 fr.; 2' Mathilde, Il NI. );ester, 35 fr.; ̃A» Juliette, à NI. Thomas, 25 fr.; 4« Yvonne, à NI. Hobin, 20 fr.; 5" Laisse-les-dire. à M. Gaudin, 15 fr.; 6° Kotrc-Damc-des-Flots, a Ni. Thomas, 2- Il'. Course. Bateaux non pontés du quartier cle Suiril-Malo, borneurs, pécheurs, plaisanciers, <• J m. 10 à ô m. 10 1« Rcder-Mor, il M. Sourdin, 45 fr.; 2« Gypsie, à M. ('marchand, 25 fr.; 3° Maric-Rcni; NI. Paitry, 25 fr.; 4" Les Amis, 20 fr.; 5" Marie, h M. Turpin, 15 fr.; 6' Ilébé, ù NI. Dieulaugard, 10 fr.

30 Course. Unt»aux borneurs du quartier de Paint-Malo, non pontés ne dépassant pas six mètres 1" Jeune-Colombe, à M. Collet, 60 fr.; 2e Mésange, 50 fr.; Se René, Il M. Eve. 50 fr.: i fimeraude, à M. Chapdelaine, 30 fr.; 5o René, à M. Capitain, 20 fr.; 6» Jcum-Rosalie, à M. Barré, 12 fr.

4e Course. Bateaux borneurs du quartier de Saint-Malo. non pontés, ne dépassant pas 7 m.: 1- André-Marcel, à rf. Giot, 95 fr 20 Scptunc, h NI. Portier, 85 fr.; 3. Saint-Germain, à Ni. ni.«lieux. 7j fr.: V FIcur-tlc-Mai, à M. Giffard, 60 fr.; 5* Deux-Amis, h M. Rouxel, 30 fr.

!̃• Course. (Les petits Cancnlals) 1' Gabriellc, 50 fr., 24 Marie-Eugénie, 45 fr.; Se Berthe, 40 fr.. 4* Cause-Touiours, 35 fr.: 5° Coureur-desMers., 30 fr., G" Dardaro, 25 fr.; T» Mascotte, 20 fr.

Ge Course. Yachts de 5 m. à 8 m. 50 1" Tire-d'Aile, Ni. de Martignac, 60 fr. et une médaille de vermeil 2" Annic, M. Saint. Mieux, 50 fr. et une médaille de bronze; 3' Scamps. à M. Cotard, 40 fr.; 4« Radama, M. Loyer, 30 fr.

7° Course. Yachts de 8 m. 50 à 15 m. 1. 7inita. fl M. ChRpman, 60 fr.; 2« Hadgte, à NI. Forcer. 30 fr. et une médaille de vermeil 3* Mie-Annetle, abandonné.

8' Cours/ Yachts de 6 m. de jauge 1- Sa.lanite. 35 fr. et m^daill» de bronze.

Canots automobiles. 1" Grèbe, aux Nouvelles Vedettes, 50 fr.; 2« Glaneuse, 4U Julien, 30 fr.

LISEZ LES ANNONCES

DE L' OUEST,ECLAIR

VOUS Y TROUVEREZ TOUJOURS

DES RENSEIGNEMENTS UTILIb

Côtes)!)! Mord SAINT BRIEUC EXAMEN DES JEUNES PRETRES. L'examen des jeunes prêtres aura lieu lundi prochain 18 août, à l'école Saint-Charles. L'épreuve écrite commencera à a heures du malin, et l'examen oral à 2 heures de l'après-midi. Les candidats seront interrogés cette année sur la deuxième partie du programme.

RETRAITES PASTORALES. Les retraites pastorales auront lieu à SainUCharles et seront prêchées par M. l'abbé Mouthon, missionnaire. La première commencera lundi prochain 18 août, 6 6 heures du soir.

LANNION

Langeât

ETAT-CIVIL Naissances. Marcel Le GOff, Marcel Le ROlland Pierre Le Deuc, Jean Le Floc! Anna Rouzès, Maa~<vAnne Lohou H^lolse Crech' rlou. Jeanne Sadou .Simon Le-roux, Guillaume Prigent. Denlse Antboen, Jeanne André.

Marlaycs. Joseph Le Siiuern. labourreur, et Marie Didot. ménagère' joeeph-Marle Daniel, laboureur, et Marie-Françoise Rolland, ménagère: Guillaume-Marie Flblec. laboureur, et Marie Lo Bras, repasseuse; Benjamin Le Luyer, charron, et Thércse-Lucla. ménagère.

Décès. Kmilte Jairuin. 67 ans, rentière: Fran.çois-Mairie Le Loarer. écolier, 8 ans; Jean Le Floch 12 Jours; Marie Offret. il ans. ménagère; Yves Kostren. 3 ans 7 mois: Joseph Prdu'homme, 6 ans, Jean-Marie Guyomard. dit Lédan, 53 ans, ouvrier taileur de lin

Morbihan

le coocours de musique DE VANNES

t Soyez les bienvenues

Soyez les bienvenus », telle était l'inscription qui se détachait aux principaux carrefours tricolores.

Nos hôtes ne pourront, certes, que se louer de l'accueil cordial qu'ils ont reçu de nos con- citoyens. La bienvenue, ils l'ont trouvée dans les applaudissements qui soulignaient l'exécu- tion d'oeuvres musicales, et aussi dans les fêtes organisées en leur honneur par la Municipalité qui fit appel tous.

Au moment où paraîtront ces-lignes, ils excursionneront à travers le paps, nche de sou- venirs; ils surprendront le soleil derrière les beaux et multiples spectacles du golfe du Morde re concours où, dans'fés luttes d'harmonie qu'ils eurent Il soutenir, ils dirigèrent tous leurs efforts vers l'accord parlait.

Ils ont été\les bienvenus.

Le vin- d'honneur

A 6 heures et demie eut lieu à l'Hôtel de Ville, en présence des autorités, le vin d'honneur offert par la Municipalité aux membres des jurys.

La f#te de nuit

U serait peut-ctre osé de décrire le spectacle que présentait vendredi soir le parc de la Préfecture pour le festival de musique.

Bien avant l'heure lixée pour l'ouverture des portes, une foule énorme stationnait devant la Préfecture. Les guichets étaient littéralement envahis et quelques-uns, dans la bousculade, laissèrent sur le terrain de nombreux objets aussi petits qu'indispensables.

Nous avions dit que le coup d'œil serait féerique. Nous ne nous étions pas trompés. Des cordons de lampions enlaçaient les pelouses, sur les minuscules rives du ruisseau de PoiKnan, qui baigne le Parc, se reflétaient dans l'eau, et tout cela clignotait.

Dans les arbres, des multitudes de ballons et lanternes vénitiennes teintaient joliment le feuillage de leurs lueurs blafardes.

Par ailleurs, les ampoules électriques jetaient crûment au milieu du dc:or, leurs feux vifs. Au fond, les lignes de l'Hôtel de la Préfecture se dessinaient nettement par le jeu des illuminations.

C'eimt un rioau morceau nensenioie.

Au rentre du parc, des tribunes ovulent été anii':nngies. En face d'elle. unn Immense osIradc où, à tour de rôle, trompes, chorales et harmonies exécutèrent, suivnnt le cliché habituel, les meilleurs morceaux de leur répertoire. Et, alors que la lueur des lampions ne projetait plus que de faibles éclats avant de disparaître, la foule s'écoulait doucement. Faisons-nous l'écho des réclamations de plusieurs qui ne purent entrer, le prix d'entrée Étant quelque peu élevé.

Le défilé

Rendez-vous avait été. donne à deux heures sur la promenade de la Rabine. Les sociétés se placèrent dans l'ordre indiqué hier par l'OuestEclair, puis, une demi-heure plus tard, le cortège s'ébranla aux accents entraînants de pas redoublés, entre une haie de curieux qui, emtoitant le pas à l'une et il l'autre, rendaient la circula. ion quasi impossible.

Il est dit que la musique adoucit les mœurs, mais quelquefois, avouons-le, elle n'adoucit pas les oreilles, et l'hermonie engendra la cacophonie. Cest le côté pitoresque des défilés. Mais bast y songe-t-on bien, et puis quel charme y aurait-il à mettre pour une fois, surtout en musique, tout le monde d'accord

Au parc de la préfecture

Et c'est s.ius une cheleur torride que le cortège gagna le Parc de lu Préfecture. Déjà bien avant, une foule l'avait envahi. Chacun placé, la baguette de NI Labb<5 se leva et, devant l'assistance découverte, la. Marseillaise s'éleva, alerte et puissante, faisant frémir les grands arbres, saluée par des bravos et des applaudissemenls répélés.

Lc Xavirc, oeuvre du compositeur président de la fête, Guv Ropartz, fut admirablement rendu par les sociétés Chorales de division supérieure. L'euteur dirigeait lui-même l'exéculion, et le public applaudit vigoureusement l'œuvre et son auteur.

La marche héroïque de Sambrc-cl-Mcusc, exécutée par les Sociétés chorales et instrumentales, sous la direction de NI. Grsvrand, doléguo départemental de la Fédération musicale de France, obtint un énorme succès. Aux chorales, le public mi'la sa voix et, après que les derniers applaudissements cessèrent, la lecture du palmarès commença.

Le palmarès

Concours de lecture vue

Choral** de division supérieure. 2« prix, Société Chcrnle de Melun. dir. M. Pastor, 5 p.; 1K prix, Choral Nantais. dir. M. lforisson, 8 p.; 1' prix. Orphéon Salnte-CXcUe de Nantes, dir. M. Lacombf. 8 p.

Chorales de 2» division. V» prix, Cercle Auxerrois, dir. NI. Perreau. U p.; 2o prix, Les Enfnuts d'Argcnteuil, dri. M. Clochez, 7 p.; 1°' prix. Orphéon de Homainville. dir. NI. Chaussez, et félicita lions du jury.

Chorale de 3« division A. 1' prls, Chorale de Moulins, dir. M. Vincent. 8 p. 1/2.

Chorale de 3' division il. l" prix, Le Choral Lorientais. du-. M. Maublanc. 8 p. Harmonies de 2o division. ler prix, Harmonie Fougeraise. dir. M. Rousse], S p.; 2« prix, La Sainte-Cécile de la Feité. -Bernard, dir. M. Vultier, 7 p.; 1« prix, Harmonie Municipale de Alamers, dir. M. Pellion, 9 p.

Fanfare de division d'excellence. 1" prix, Société musicale des Fondeurs de Port-Brillet, dir. Ni. Cossé, 10 o.

Harmonies de 3« division B (1·' groupe). l«r prix avec félicitations du juyv, La Lyre Quimpéroise de Quimper. dir. M. Roussel.

Fanfare de 2' division. 1" prix. Société musicale de Nogent-1' Artaud, dlr., M. Prieux. Harmonie de division supérieure. 1" prix, Harmonie municipale de Sens, dir.. M. Gaillard, 8 p.

Harmonie de 3e division B (i» groupe). l'r prix, Harmome Municipale de Connerré (Sàrthe). dir., M. Voisin. 9 p.: 1er pri?:. Musique Municipale dt Guingamp, dir., M. L. Grétry, Trompt§ de chasse (division d'excellence),

1<" -prix. Le Bien-Aller Hennebontats, dir., M. Jambaut.

Fanfares de Se dtvlslon A. 1' prix, Fanfare de Chatenay (Seine), dir.. M. Peltler 1» prix, Fanfare de Chasseneull (Charente), dir., M. Mommessin.

Fanfares de 3* division B (2° groupe). 1prix, Sa^nt-Denis-d'Orqujs, dir., M. F • iw<ard; 1" prix, Fanfare de Louveciennes, dir., M. Guillaume.

Fanfares de 3', division B (1M groupe). 1*' prix Fanfare de Conlie (Sarthe), dtr. M. Hugot ;• 1« prix, Fanfare Municipale de La Suze (Sarthe!, dir. M. Faribault.

Trompettcs de 3', division B. 1" prix" L'Etendard Nazairien, de Salnt-Nazaire, dir. Ni. Pack.

Concourt d'ex6oution

Chorales de division supérieure. Morceau lmposé Printemps de Bretagne (A. Carlier). 2° prix, Chorale de Melun. Choix Le Gave (A. Kunc). 1" prix, Le Choral hantais, prime, 500 fr., félicitationsdu Jury. Choix L'Elé de Saint-Martin ,fH. Maréchal) prix de direction 2' prix, unanimité. La Sainte-Cécile de, Nantes. Choix L'Orgfe Romaine (A. Reuchs"l) prime, 100 fr.

Chorales de 2' division. Morceau Imposé Joyeux Chasseurs (Kaiser). 2« prix, Le Cercle Choral Auxerrois. Choix Assemblée .ormande (Jullus Alviri, 100 fr. 2* prix. Les Eitfants d'Argpnteuil. Choix Sous la Feuil.lée (Dard-Janin), 100 fr. 1" prix, Orphéon de Romainville. Choix Les Navigateurs (Boulanger), félicitations du jury, :00 fr. Chorales de 3t. division A. Morceau imposé • Paysage Bourgutgnon (Chillemont). l'r prix, Chorale de Moulins. Choix La Violette (Palliardi, 150 fr.. prix de direction. Chorale 3° division B. Morceau imposé, L'.4trc Neuve, Brcvannes. l'r prix Choral l,orientais: choix, Les Paysans (Saintis); 100 fr., prix de dir.

Harmonies de 2* division. Morceau imposé, />ii;er!isscmen( militaire (Painparé) l" pnx; Harmonie Fouperaise choix, Ouverture d'Egmont (Beethoven). 6'. p.. pr. de direction: prix, la Sainte-Cécile, de Ln Ferté-Bernard choix, Ouverture d'E.omonl ;Beethoven). 6t p.; l'f prix Harmonie Municipale de Mamers choix. Concordia (ouverture), E. Fontenelle. 72. Fanfare de division d'excellence. 10 p., morceau imposé. Dimanche Breton (Guy Ropartzl; t prix, Société musicnle des Fondeurs de Port-Brillet: 10 p.. choix, Mercedes (ouver,uelr L.-A. Dessane), féj. du jury, prix de dir. Harmonies de 3" ''vision B '1"r croupi. Morceau imposé, Dimanche fl'nux!: 1"' prix. La Lyrc Qnimpérolsc; choix, Au Pays Lorrain (Balavl, 100 francs.

Fanfares de 2' division. Morceau Imposé. Mona Liqa (Sali): th prix. Société Musicale de Nogent-l'Artnud; 18 p., choix, Rosabclle (ouverture'. Wettse.

Harmonie de divisinn supérieure. Morceau imposé. Dimanche Breton (Guv Ropartz) l'r prix, Harmonie Municipale de Sens; choix. Ou500 francs.

Harmonies de 30 division R (8* groupe). Morceau imposé Dtmanche (Roux). 1" prix, Harmonie municipale de Connerré choix Concnrdia (ouverture!. Fontenelle. 40 p.; 1" prix, Musique municipale d% Guingamp. prix de direction choix Les Masques (ouverture), Carlo Pédrotti, 50.

Trompes de cha.sse. Division d'excellence.Morceau imposé Une fétc champêtre, Quintal. 1" prix le Bien-Alhr Henncbontais choix La Chahrillant. Ilochord, prime de 100 fr Fanfares dc 3« division A. Malvenu impose: Pirhcurs tir lune, Snli 1" prix, Fnnfnro de Cliantcnay choix Fétc galante. Boisson 1" prix, Ftmfnre de Chasseneuil choix Chants dc gurrre, ouverlure, Andrieu, félicitations du jury.

Fanfares de 3' division B (28 groupe). Morceau implosé Salvia, Guil!ement. 1" prix, Fanfare de Louveciennes choix Jeanne Grey, Mourgue 2« prix. Saint-Denis-d'Orgues choix Cortge nuptial, E. Avon.

Fanfares de 36 division B (1" groupe). Morceau imposé Salvta, Guil'ement. 1- prix, Fanfare de Conlie choix Lia Princesse Palatine, Mourgue 1" prix. Fanfare municipale de a Shzc choix Légende antique, E. Avon. Trompettes rie 3° division B. Morceau Imposé Brillante escorte, Viney. 2» prix, L'Etendard Nmairi?n de Saint-Nazàire choix • Glorieuse Epopée, Delvipne.

Prix d'honneur, vase de Sèvres offert par le président de la République Fondeurs de PortBrille!.

Prix offert par le ministre des Beaux-Arts' Choral Nantais.

Voir en 6° page l'annonce RHUYS ST-ARMEL LORIENT

Al.CIDKNT DANS L'ARSENAL. ^ouvrier charpentier Jmmnno lîetmnin. des bâtiments en fer, s'est Mes»- a ln jambe gauche d'un coup de ciseau il bois.

Il a été transporté à l'hôpital maritime et admis d'urgence.

USE GHEVE. Les charretiers de la Compagnie Bas et Charbons La Brise. des Quais, employés au transport du charbon, se sont mis en grue.

Ils réclament 5 fr. par four au l'eu de 4 fr. 50. ETAT-CIVIL. Xatssancc. François Lucas, rue!le i'.u Uouho. 8.

Décès. Marie Prôvairc ans, rue du Port, i?; Constance bordicr, 1-2 ans, rue de l'Hôpital. 5. PLOERMEL

AVIS AUX CONTRIBUABLES. Le Contrôleur des Contributions directes et du cadastre prévient Messieurs les Contribuables de Ploermel qu'il recevra à la mairie, du lundi 18 août au lundi 25, de 8 heures et demie à 11 heures, et de 14 heures à 17 heures.

Il exécutera les mutations foncières qui lui seront demandées (condition6 de rigueur les deux parties étant présentes ou un acte enregistré lui étant produit). Il prendra no;e des réclamation!) sur les contributions tonclères bâties, portes et fenêtres et rensonnelle mobilière pour l'année 1014.

Les personnes avant fait une réclamation régulière (solutionnée ou non) n'ont pas bes-oin de se présenter, la suite donnée étant appliquée automatiquement sur ies prochains rôles.

SOCIETE DE TIR. Les jeunes gens de la classe 1913 qui désireraient cuivre les cours pour l'obtention du brevet d'aptitude militaire sont informés que la société ee met à leur disposition. Les séances de tir commenceront le dimanche 24 août et se continueront jusqu'au moment du départ. Finistère

BREST

Exposition de l'Ouest de la France Le minh,tre du commerce & Brest

La venue A Bivst, le 17 août, do NI. Massé, ministre du Commerce, sera la consécration des efforts du Comité 'le l'Exposition et la rieconnaissance ofllctollo de l'effort sautenu ordonné, des exposantes de toutes catégories. D'aupart, la foule considérable de visiteurs étrangers que l'on attend, récompensera les commerçants brestois des encouragements pécuniaires ou moraux qu'ils ont fourn.s aux crganisateurs de la belle œuvre qui se dresse place du Château et Cours d'Ajot.

Voici, dans ses grandes lignes, le programme de la journée ministérielle

A 9 h. 30. A 9 h. 30, arrivée il la tare de l'Ouest-Etat de M. Massé, ministre du l.i.mmerce. Il sera reçu sur le quai par tes jersonnalités politiques, induslrielles et comtW!3..i!es. dont nous avons publié les noms. Les sojtuIs de bienvenue échangés, le ministre se »•! cita Il l'hôtel Continental, où il recevra dive.-scs délégations.

A 10 h. 30. A 10 h. 30, NI. Massé entrera Il l'Exposition par la porte monumentale du boulevard Thiers. Apres réception par 1rs nombres du Comité il visitera les divers i.aviluiis sous la conduite du président de lVx;osition.

Les costumes bretons. Sur la place J i Château se trouveront groupés les plus bonux tj \>es ¡hommes et femmes) de Rretons tous ci nui- és que l'on a pu réunir. Nul doute u..ie le rc.T.-ue

ne soit vivement intéressé par cette >-xp -s<ti- m d'un gende tout spécial.

A midi. A midi, grand nanqtuet de uvV.9 couverts dans le hall haulras, c'estodre t'ans la casernne du 19* d'infanterie. Prix de la nrte, 8 fr.; tenue do ville.

A 2 hcures. A 2 heures de l'n^.vs midi, fête hipp'que et sportive dans en<.e nia du concours hippique, place de la Liberté. Prix des places tribunes S S fr.. autres tribunes, 2 fr.; gradins, 1 tr lait set pourtour. 0 fr. 50.

A5 h. 27, départ du ministre rar la gare le l'Ouest-Etat.

ETAT-CIVIL. Natuancet. Auguste berjot. LiKlenue Caret. Odette CalmeJs.

Ut ces. Jeame Goutter. 3 mois, rue Jules JAchelet, i: François Mignot. «p. Le Gullluu, 65 ans, entrepreneur, rue Paris, 27; Félix C»richon, ép Eervas, 50 ans. mattre armurier, retraite, pla- j ce Saint-Martin. 16; Louis Poirier. 4p. ïonl. 2" maltre moujiueterle, retraité, ru»- des Jardlns. T. jacques Mocaer. ép. Vourih 44 ans. marin pêcheur hospice; Isidore Cabon, célibataire 46 ans, ouv. Constructions navales, tu* lanouron.

Mayenne

LAVAL

L "U-FAIRE DE L'AUTO MYSTERIEUSE. Nous avons relaté l'arrestation à Angers de Reuée Poisson, la jeune lemme qui accompagnait les voleurs en auto dont le passage a été signalé successivement en Bretagne, dans la Lotre-inférieure, dans le Maine-et-Loire. Nous avons dit également que certaines cuncordances de signalement avaient anlené le parquet de Laval à supposer que les mystérieux automobilistes pouvaient être les mêmes qui avaient écrasé un homme à Vaiges, sur la route du Mans à Laval. Lorsque sera cluse l'instruction concernant les vols commis à Angers par Ruenée Poisson, l'inculpée sera sans doute transférée à Laval pour être interrogée sur l'accident. Mais déjà elle a été entendue à ce sujet par M. le juge d'instruction d'Angers, sur commission rogatoire du parquet de Laval: elle est d'aillours restée muette. Il a été impossible de tirer delle aucun éclaircissement. Elle a déclaré qu'elle ne connaît rien de l'accident, de même qu'elle ignore les exploits des automobilistes en Bretagne et qu'elle ne sait rien des individus qui l'accompagnaient.

L'ACCIDENT DE LA GARE. Samedi matin ont eu lieu, au milieu d'une nombreuse assistance, les obsèques de M François Fournier, poseur temporaire de la voie, tué à la gare de Laval dans les circonstances que l'on sait. Une délégation des employés de la Compagnie les différents services étaient représentés s'était jointe au cortège. Une couronne avait été offerte par le personnel.

Du domicile du défunt, rue des Lices, le con- voi se rendit à l'église Saint- Vénérand, puis de là au cimetière. D:vant la tombe, M. tlui, chef de section, adressa en termes émus un dernier adieu & NI. Fournier, dont la fin tragique a causé une pén;ble impression.

Nous adressons sa veuve l'expression de nos vifs sentiments de condokances. Lo CONSEIL GENERAL. La session d'aotlt 1913 du Conseil général de la Mayenne va s'ouvrir lundi. Si l'on en juge par l'impor- tance du rapport préfectoral, elle s'ra chargée. Ce rapport ne comporte pas moins, en effet. de Wi pages, et encore, suivant l'usage, le bud. get départemental de 191 n'y est pas compris. Il fait l'objet d'une brochure spéciale comportant ellc-memo 120 pages. Un rapport supplémentaire a de plus été annexé au rapport principal. Voici, MM. les conseillers généraus, de la besogne en perspective

ETAT-CIVIL. Naissances Henri Lestls, à la Petlte-Verdrle; Jutes rhenu. rue de rHÏÏSero 5 Marie ioiKjuet. rue SainteCatherlnJ. 13

Décès Miche) Piquet veuf Chubtleau. 60 ans rue Centrale; Victor Iemonnler. veuf cormier 67 ans, rue d'Emée: François Fournier, «i ans 'er> Kuan. w ans, rue des Lices. 7: Jules Renard, ép Cormeray. 4 Oans. Impawe des Fosses; Baptiste Bodin, 31 ans. rue Bass» des Bouchers.9; Jean Duequet, époux Boiueuz. ;n ans, ptace de Hercé 15; Jean Rlou, époux Daril, ;s ans. rue de lErmltagl René Froc, époux Avril. 59 an, rue Sa!nte-*nnn Pierre Né, veuf Beucher, ans, asile de la Coronnlore.

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De Saint-Pierre, 16, Alcyone, cap. Allain Saint-Genrges, cap. Esnault Marguerite, cap. Josse- Eugène-Robert, pour les lieux de poche.

Rencontrés

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Par autorité de Justice

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Le dimanche t4 août 1913, il. une heure du soir et jours suivants, à la mome heure. e>11 v a lieu, à la Foucheraie, <̃< mmunej de Pacé, au domicile des époux GUIHARtfGUEDE. cultivateurs, par le ministère dudit Me RICHARD.

Pour la désignation, consulter lee affiche». Au comptant. 10 en sus.

L'huissier chargé de la vntf*.

A. RICHARD.

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Matériel d'auberfre. tables, chaises, tabourets, 1 grand buffet de cuisine, 3 ;ils, 2 armaires. 1 garde -manger, 1 vit.r:ne, 1 table rcnde, 1 huche, 1 grand fourneau de cuisine, 1 poile-chaudière, 1 série de mesures en étain, ustensiles de cuisine, vaisselle, 1 pompe à soupirer montée sur chanriot et quantité d'autres bons objets.

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Le vendredi 29 août 1913, à 2 heures de TERRAIN* et IMMEUBLES Shués commune de Saint-Coulomb, dans l'anse de Rothéneqf,.au li^iîk Le Lupin.

DtSIGNATION

l" lot. Un" pairceile de terre en bordure de la nier. nommée s L'isle Eisnault •, coutenant 72 ares 07 centiares.

2'J lot. Une iwtroeJle de terre en bordure de la mer, nommée. « L'Isie E*nault », contenant 94 ares ii cemiares.

3" lot. Une parcelle de terre nommée Le Clos des Trois-JouTS, conteoant 2 hectares 29 ares 30 centiares.

'»• lot. Deux pièces de terre nommées Les Jonchées et la Cotiére des Trois-Jours •, cnnienant 97 ares.

'r lot. Une pièce de terre nommée « Le C.!ik des FoiH.iiiH's u ;|Mirtie onosi), onienunt '.n flros fil renttnres.

6f lot. Une pièce de terre nommée 1 Le Clos des Fontaines (partie est), contenant 46 ares 1 centiare.

7' lot. l'ne pièce de terre, en bordure de la mer, nommée La Garenne », contenant 1 hectare 11 ares 50 centiares.

8° lot. Une pièce de terre nommée Le Domaine », contenant 1 hectare 30 ares 8 c. 9° lot. Deux pièces de terre nommées 1° « Ln Prairie », contenant 1 hectare 90 arcs 30 centiares « La Prairie contenant lE ares 70 nentiares.

100 lot. Une parcetfe de terre nommée « Le Jnrdin contenant M ares.

110 lot. Un bâtiment servant à l'exploitalion de la ferme.

12' lot. Un bâtiment servant à l'exploitation de la ferme.

13o lot. Un hàtiment servant à l'exploitarion de la ferme.

14» lot. Une pièce de terre nommée Le Clos de Devant x, contenant 1 hectare 3? ares 40 centiares.

1p lot. Deux pières de terre nommées L'Enclos et le Jardin de l'Enclos et une petite construction. Le tout contenant 1 hectare 77 ares.

160 lot. Une pièce de terre nommée Le Grand Clos », contenant hectares 03 are* «1 oentiares.

17' lot. 4 pièces oe ««rre nommées • Le Clos des Polssons i-. Le Oramalllé », Le Olos du Milieu et Le Clos de la Chaus̃sée contenant en5«mbte 8 hect. 78 ares. 1R* lot. Un moulin à enn et étang propre à la pisciculture et il l'octrélrtiltnTre, contenant 7 hectares 22 «re* 40 centiares. 19' lot. Les immeubles ci-après

I. le Une ancienne maison de demeure fuc'lement réparable, nommée Le Château du Lupin ».

?° Cour devant la maison.

3« Un iardin derrière la maison, le tout entouré de mura.

IL Une pfite bande de terrein A Test de ln cour dn château.

III. Et une petite pièce de teTe nommée Le CmirMl du Colombier ». A i'oti««t de la rnnr du chAtMu, convnnnt 6 ares 70 c«nt. "O» lot. Une pièr» de terre rtommAp T.e Potacrer rontepnn» V nr<»= M) centiares. 91» 10. Tirof< p'èces de ̃ter'-f en bordure de 1n mer. nomm4e < I.'Isle FjsnflmM et Txc Jonchées contenant 4 hectares 73 ares 70 rpntiaros.

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12, PI.;ce du Champ-Jacquet RE.NNRS

Avis de Cessions

Suivant conventions, M. Guillanme CHA.PIY et son épouse..Mme Louise U1UANTA1S, ont cédé à NI. forges HOVASSE, et eod épouse Mme Marguerï;e HOULL1ER la fonds de oommerce de Matériaux de eonstruotlonri qu'ils exploitaient à Rennes, rue de l'Abatloir, 7. L'entrée en possession a eu lieu le 4 août 1913.

Domicile est élu au cabinet de M E. LANDAIS, où les oppositions, s'U y a lieu, sermtt reçues juequ'au 30 août 1913, conformément à la loi du 17 mars 1909.

Pour deuxième Insertion.

E. LANDAIS.

Suivant conventions, Ni. Pierre BELLANGER a cédé à M. Louis GERARD, et son épouse Mme Julie LEPROVOST, le fonds dé commerce de Bols et Charbons qu'il explaitait à Rennes, avenue du Mail, 92. L'entrée en po.mon a eu lieu le 5 août 1913. Domicile est élu au cabinet de NI. E. LANDAIS, où les oppositions, s'il y a lieu seront reçues jusqu'au 30 août 1913, conformément à la loi du 17 mars 1909.

Pour deuxième insertion.

E LANDAIS.

et son épouse Alice ont LE et son Mme Marie le fonds de commerce de qu'ils exploitaient (Mayenne) L'entrée en 9 aoùt Domicile est élu au de E. LANDAIS où les y a lleu, reçues Jusqu'au août 1913, conformément loi du mars Pour première insertlon E.

Etuxk de %le FOURCHE, notaire à St-MaJo. AI LOUER Qe suite à Paramé, à l'angle de LUUUl la rue Ange-Fontan et de la rue de la Mairie, et en face le boulevard Roche- Nonne.

REZ-DE-CHAUSSEE de cinq pièces avec bureau, grand magasin. caves, remise, écurie, cour et puits.

Situation commerciale exceptionnelle 23.916-4

Etude de M» MONSALL1ER, notaire, a SaintDE QUATRE FERMES, situées au sol du Fougeray, a Sa.m-Mélcirdes-Ondes.

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de 5 h. 11 a. -40 c., louée 1.000 fr.

Bâtiments eu bon état et terres

bien plantées. Mise il prix. 18.000 fr. IIi. La Grande Ferme du Fou-

geray, de 5 h. 80 a. 72 c.. Revenu

1.000 francs. Bâtiments neufs. Mise

IV. La Petite Ferme du Fouge-

ray, de 1 h. 52 a. 08 c., louée 3G0 fr.

Bàtiments neufs. Mise à prix 7.000fr. Total des mises à prix. 58.000 fr. 23.918–1

Etude de M« MERAND, notaire d

Nort-sur-Erdre.

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2° Servitudes diverses Cellier, grand bûcher avec grenier, buanderie et cabmets d'aisances.

3° Jardin d'agrément devant la maison potager derrière et verger tirfts bien planté. Puits avec eau potabie excellente.

70 mètres de terraese sur la rivière.

Le tout contenant 1.692 mètres.

23.922–3

Ivtude de M' BRUCHES, notaire il Si-Brteuc, Snccesst'iir de M" Gkohgit.

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D'UNE FERME située commune d'Yfflnlao canum de s-ant-Brieuc, dite La Motte Qloret ou La Motte Lorette, d'une contenance d'environ 13 h. 58 a. 93 c.

pour tous a-enseign<»ments, s'adresser au notaire. 23,833–8 1 ̃ Mlrn I'U8INE de Vidange* et d'Equarrls. A LUutn sage de la Haie-Robert, en Vltri. ^S'adrcs. à MM. Pautrel et 0". Laval (Mayenne) Etude de M" MURIE, notaire à La Rouexièire. • VENDRE >^ l'-ini'alile, pnr lots, au gré des A ltnUnt acquéreurs. LA FERME DU hectares, exploitée par NI. Bouille.

Facilités de*paiement.

S'adresser, pour tous rencelgnesnenits, aux vendeurs, à l'HOiel du Tramway, à Liffré, chez M. Qultton, et Me MURIE, notaire.

PRIETE de rapport et d'agrément, château Louis XV, ecla rage et eau, vastes dépendances, laiterie, 05 hertares, parc, prairie, bois labour. Pays chasse et pèche.

S'adresser à M» COLINEAUX, notaire à Malestroit (Marbiba;,).

23.908–4

Etude de M* LA VOLE, notaire a Plouay (Morbihan)

notaire u Plouay, le samedi 2o septembre 1913 a deux iieui.s

De 1 belle propriété rurale' de PONT. FÙRIEC, située eu la commune, pré-- le bourg et la guip Je Meslin.

Contenant environ 83 hectares, d'un seul tenant. Limitée J un côté par un ruisseau et de 1 autre cùt<» pir une route gare et route y coudu:*ant, eu bordure sur les terres de la propriété, gisement, de Kaolin dnns terrains uvoitsinant Lare 'uisseau et route, divisée actuel'e iicni en quatre fermes suivant bnux réslllulu^ en cas de vente,

l.'adjudn hhui, aura lieu en quatre lots, avec faculté de réunion

1*' lot. La FERME PICARDA, contenant 21 h ii a 54

Mae Il prix 25.000 frarn*.

2' lot. La FERME LA VOLE, contenant 17 h 51 a 28

Mise t< prix 23.0(10 francs.

Se lot La FERME CADET, contenant 19 h 48 a. 8!' c.

M se prix 25.00<i francs.

4' lot La FERME HELLECOUARCH. contenant 2.t h 39 a Iti c

M te il prix 27IWX» francs,

On traiterait de gré ù gré avant (adjudication en ms d'offres suffisantes

Pour tous renî-eipneinente et traiter, s'adresse' A NI, LA VOLE nniaire a Plouay. Etude de M« LEROUX, notaire il. la ChapelleBouëxic (Ille-et-Vilatne).

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Entouré de douves ce château est en très bon étst, malgré son ancienneté et possède plusieurs pièces très curieuses, entre uulres un euion avec peintures murale» du XVI' siècle.

Excellente occasion pour personne désirant achcter il un pa\x peu élevé une huliltatién d'été spacieuse, confortable et sortant absolument de 1 ordinaire.

On vendrait, au besoin, toute la propriété (réserve agricole, ferme, bots). Contenance totnle 55 hectares 1/2.

S'adresser ù NI. GREBERT, propriétaire, pour visite, demande de renseignements et de vues photographiques.

Etude de M' Louis CHEVALLIER, notaire a Reines

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V562–

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IICUTC PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE IL,m£ Le samedi 3o août 1919, à 2 heures 4le l'après-midi.

D'UNE CARRIERE D'ARDOISES en pleine exploitation, 6nuée à Penquerhoèt, en Gourin, en bordure d'un chemin viuinal ladl;e carrière contient un beau fllon exempt de pyrites. Mise prix I0.000 francs,

Pour touo renseignements, s'adresser à Me LE r.Ot!.<R. 23.7Î1--4 Etude de NI' BERTRAND, notaire Ballée (Mayenne)

A l'amiable, par suite de chanA iCfHJftL gemem de résidence, ensemble eu séuai'tmeut.

COMMtNE DE BALLEE

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Vaste maison d'habitation composée de 12 pièces, ipiursudes et greniers.

Bâtiments tie service importants.

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Contenance 2.C00 mètres carrés.

la maison pourra être vendue meublée ou non, au gré dos amateurs.

.il. UNE PFAtRIE. à la des immeubf&s ci-dessus, p!nîée de pommiers, contenant 1 necînr% 18 nres.

Ifi, UNE AUTRE PRAIRIE, en face de la précédente, de l'autre côté de la rivière, d'une superficie de 1 hectare à0 ares environ. IV. UN MOULIN A EAU, situé au centre du bourg <ie Ballée, avec mécanisme à cylindres moderne et chute d'eau puissante. Bon revenu.

V. UNE PRAIRIE située prèe le cimetière de Itnllée, contenant 1 hectare 26 ares 10 centiares.

VI. UN LABOUR, conTtmi à la prairie ci-dessus, d'une suporn"|e de 90 ares environ. Ballée est une roquet'e localité à 8 kilomètres de la îlfme Pnris-Saint-Nazaire. Pays d'élevage. Chasse et pèche.

S'adresser au notaire.

23.838–2

Etude de M* VARDON, licencié en dro>«, notaire à..Saint-James (Manche).

ville de Saint-James, oontenant environ 37 h. C7 arcs 15 centiares.

Revenu 2.100 francs plus impôts et rr'evances.

Pour tous renseignements, s'adresser h i' VAUDOU. 23.815-* Etude de Ma Alphonse LEPENNETIER, notaire il Bain-tie-Bretagne.

1

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2° Le Jeudi II septembre 1913, t1 1 heure, au hourg de Mess«r, école des garçons. DE LA FERME DE LA HALLAIS, commune de Messac. contenant '15 hectares 62 ares, Fermiers veuve et enfants Resnard. 3° Le mardi 16 septembre 1913, 3 i heures, en l'étude ale NI* I.KPENNF.TIEH. notaire, DE LA FERME DE LA GREE CHARUEL, commune de la Domlnelais. Contenant 10 hectares 52 «ree. Fermiers époux Joussée. Il

A VENDRE il l'amiable, LA FERME DE LA CANDOUFFLAIS, commune de Pollgné, contenant 10 hectares, Fermiers époux Guillopé. A LOUER pour 29 septembre 1913, LA BELLE FERME DE, LANOÉ, sUu^e. commpne de Noyai et Châtillon-sur-Seiche. Contenant 43 heMaTes :?6 ares.

Pour tous menseignements, s'adresser audit Me LEPENNETIER, notaire.

23.837-3

Etude de Me Louis CHEVALLIER, notaire à Rennes.

PUuincU.Mii Contenance 6 h. ti7 a. 30 c. Revenu 7<io francs.

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Pour tous renseignements, s'adresser à Me CHEVALLIER

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Pour tous renseignements et traiter, s'adresser à M. (reorges GOURDIN-SERVENIERE, expert (Õorron.

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S'adresser NI, ROUSSEAU, notaire à Malestrôit. 23.?'.5– Etmlo «le M" LA PORTE, docteur en droit, notaire a I,oriout. 55. rite du Port.

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Le mercredi 27 aoùt 1983, à deux heures de l'après-midi.

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itathnents de ferme.

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Appartenant à Ni. AUSSANT.

Jouissance au 29 septembre Is)13, par ia lihre disposition.

Mise & prix 70.000 franos.

Pour tous renseignements, s'adresser à !If° BIGOT, notaire lt Flers, dépositaire des titres de propriété est .rédacteur du cah'er des charges, ou il. M" LECAS, huiseier à Flers. Etude de NI, JOUAUI.T, notai' ù .Innzé. A ururnr < *ré *ri Une BELLE FERME A liJwIriSC située La Lande, commune d'Aolgn6 (IUe-et-Vilaine;, à 300 métres du bourg.

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BELLE FERME dite de la Petite VaM* commune de Saint-C(julonilj et Parame Premier lot. Commune de Saint-Coui* 1° Maison de maltre de la Peti ce-Vallée jarelin clos de murs à l'ouest et au eud de maison, petite cour au nord avec écurie et xemise 2° La partie d'une pièce de terre. dite Les Eves, le Grand et le Petit Cognet P. il prendrP à l'est du chemin privatif reliar* les b&timents de la Petite Valée a la route de Salnt-Malo a Cancale II" Le Champ de. Derrière eu le Petit Catenabat 40 Le Prt du Chèns Vert ou Pré Derrière 5° Le Clos Delot et le Clos de la Manche 6° Au PeUi Catenabat 7° le Clos de Devant 8° L'Eoclos du Pettt Catenabat. ou lo Grand Jardin !)° Les Tertres ou la Masse 10° lies Tertret du Moulin ou la Masse.

Deuxième lot. Commune de Saint-CoulMNi 11° La ferme de la Petite V.iilée, rivec cont et jardin bâtiments d'habiiation it d'exploitation 12° La partie de la pièce de terre m Les Eves, le Grand et le Petit Cognet à à prendre l'ouest du chemin privatif reliant les bâtiments de la petite Val!ée à la iroute de Saint-Malo il Cancale: 13° Le Petit Pré et Pré do Devant eu Pré d'Abhas l'il Pré Cognet ou la Pièce du Petit Pré 15» L» fan- naie 16" Le Champ Thébault 17° Le Clou Bouvet*

Commune de Paramd

I80 Le Bots Gris 19° Les Trois Cornières. Facilités de paiement. Faculté de réunion. S'adre,ser, pour visiter, à M. GAUDIN, fermier, à la Petite Vallée, et pou* tous renseignements, à Me SAUVAGE, notaire à St-Matat 23.832–8

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Mis»1 .'i prix 7.S00 francs.

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S'adresser audit notaire on aux chalets MM. RADENAC et RICHECŒUR.

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Lorient, n*" 100, 102 et 104, en face du Moulin du Comte, près du Parc des Sports.

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Etude de M» TEl'RTKIS, notaire à Tréguier. dl 27 aoùt 1913, Il heures 'lu malin, de LA METAIRIE DE KERMENOU, située è Trézény canton de Tréguier) et contenant 19 h. 24 a. 65 c. t

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