DELPHINE
C~ L'HEUREUSE GUËRJSON.
Delphine, fille unique et riche Mr!tiëre, avait de l'esprit et un bon cœur. Madame Mc!itc,sa mère, qui était veuve, avait trop de faiblesse et de Ic~creté pour cu'e en état de donner une bonne éducation à sa fille, qu'elle chérissait. Cependant à neuf ans Delphine avait déja plusieurs maîtres; mais elle n'ap< prenait rien, et ne montrait du goût que pour la danse. Elle prenait toutes ses autres tcçons avec une extrême indolence, et souvent les abrogeait de moitié, en se plaignant qu\'Uo était