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Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1911-07-09

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 09 juillet 1911

Description : 1911/07/09 (Numéro 4550).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6429507

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 18/11/2008

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Fkdilutcw de l'Ouett-BcUtir 51

1 Du 9 juillet 1911.

La Grâce de e Atfolp.be d'Ennejry

Je vous aâsure que vous nf^f "oanCuïrei, Jamais, entendez-vous.

Ce n'est pe6 votre damier mot.

Ah oonbtau, si 1

Chonobon posa sa tounohotto et se laissa. aller sur sa chaise. Sa bouche, mai essuyée, se cris«a. EMe fit ume grimaça fort oomiqure, des rides jbazaires se cwusèrent dans son menton et, tout a coup, alie pauma des cris déohiranls, des cris a ameuter le ob&teau.

Que je suis medbeureuBe mon Dieu Que je suie malheureuse

T&isez-vous donc, Ghonribon 1 fit le oommandeur.

Meis Cboaobon de crier de plus belle.

Mon Dieu 1 mon Dieu 1 on me Venait bien dit. Voilà le fruit des amours de grand seigneur, vous m'avez empêchée de me marier. Oh 1 enoore une fois.

Je suis au désespoir 1 Monsieur le commandeur Hercule 1 ayez pitié ce moi, ne ne laissez pas ainsi, ne m'abandonnez pas, criaitelle.

On devait l'entendre & l'autre bout du par;. M. de Boisneury, très ennuyé, pendait Son Jatin à vouloir la oaïmer.

Allons, tais-toi fiVil. Tais-toi, ma petite Chonohon.

Quelle ressource me restera-t-fl, si vous me quittez, si tu me quittes 7 reprit Qjoncnon en passant hardiment au tutoiement familier. Mourir oomune je le disais, ou bien encore, aller me traîneur aux genoux de Mme la marquise et la supplier de me prendre en pitié. Si tu faisais ça malheureuse !•

Chonchon se redressa brusquement et, prenant son ton ordinaire

Eh bien si je le faisais, quoi qui m'en empêcherait qu'est-ce que j'ai à craindre à présent ? J'irai, oui, monsieur le commandeur. j'imi certainement et je raconterai ce qui s'est

pané, (ont haut, devant votre soeur, devant to gens, devant le village entier, on saura tout, tout, tout

Voyons, Cbonobon, mon entent, tu es folle 1

Je le deviendrai 1 mais je ne le suis pas enôore.

Veux -tu de l'argent î

Oui, je veux men, mais beaucoup. Tu te tairas 7 dit M. de Boisfleury en ti- rant de sa poobe une bourse fort lourde et que Cbooohon lorgnait en s'essuyant les yeux avec son tablier.

Je me tairai, oui, peuUetre bien.

Ah 1 il faut me promettre de te taire. Quand M. de Boasfleury s'était radouci devant la menace d'un esclandre, elle avait pensé

Je te tiens, mon bonhomme 1

Dès qui eut parié d'argent, elle se dit Je te tiens doublement.

Et enfin, lorsqu'il lui demanda l'engagement de ee taire, elle réfléchit une minute et ajouta.: Voyons d'abord.

Elle tendait la- main vers la bourse. M. de Boisfleury, rendons-lui cette justice, était fort grand seigneur, libéral et peu ménager de ses revenus, d'autant moins qu'ils lui venaient de sa sœur.

Et si nous l'avons vu composer quand Chonchon lui promettait de tout dire à la marquise, c'est que vraiment il savait Mme de Sivry très sévère sur certains chapitres et il était persuadé que sa sœur lui couperait les vivres en apprenant son équipée

A moitié vaincu, il donna la bourse.

Chonchon la soupesa d'un air connaisseur et lui demanda

Combien y a-Wl T

Je n'en sais rien, une vingtaine de louis. Bon fil la vigoureuse fille des champs. Ce sera pour me taire vétir à la mode de Paris en arrivant.

Le commandeuT, qui croyait l'avoir calmëe avec ses vingt louis, voulut recommencer la lutte. Il employa même une stratégie qui d'ordinaire lui réussissait.

Vous voulez me rançonner, ma petite, le m'y refuse.

Nous verrons.

Et si vous prétendez aller faire votre rapport à la marquise, je ne m'y oppose pas. Bien

mieux, je vous accompagne. Allons, petite, venez avec moi.

Turlutulu fit Chouchou. Je n'ai pas besoin d'être escortée pour ça. Et puis, je veaux choisir mon moment. Quand je serai décidée, vous verrez comment je me chauffe et de quel bois, mon petit

« Mon petit 1 1 s'écria le commandeur scandalisé, mon petit » et il quitta la place, ne voulant rien promettre à Chonchon. Il comptait, d'autre part, sur quelque événement imprévu pour se débarrasser d'elle. L'idée de a faire enlever et séquestrer pendant quelques jours lui vint à l'esprit.

Le temps de partir avec ma soeur, disaiUil. Mais il avait, par malechanoe, détourné de ses devoirs la fille la plus tenace de la Savoie. Comme crampon, Fanchette n'avait pas sa pareille.

Depuis le jour où elle avait mis dans sa cervelle d'aller à Paris avec le commandeur, elle concentra toutes ses forces et toute son intelligence à ce but unique.

Avec une adresse incroyable, elle s'arrangea de façon à faire trembler le commandeur d'un bout de la journée à l'autre, Etait-il avec la marquise, elle venait, sous un prétexte ou sous un autre, et lui adressait la parole avec une bpparenoe de respect, sous laquelle M. de Boisfleury voyait percer la menace de le dénoncer à sa sœur.

M. de Boisffeury, qui avait commencé céder, ne tarda pas à être à la discrétion de Chonchon.

Le rour du départ arriva.

Le commandeur n'avait encore pris aucune décision et Chonchon, malgré son audace, ne savait guère sur quoi compter. Les bagages, empilés sur deux chbrrettes à bœufs, étaient partis depuis l'ayant-veille et s'en allaient à petites journées, selon l'usage de ces temps où la vapeur ne servait qu'à faire cuire le pot-aufeu.

Vers neuf heures du matin, une chaise, attelée de quatre vigoureux chevaux du pays, vint se ranger devant le perron du château. Mlle Chonchon, comme par un fait exprès, procédait à son second repas et se préparait à défaire à plate couture un trio de bécasses qu'on venait de lui servir.

Elle aperçut la cITaise de poste et rendonslui cette justice fit incontinent le sacrifice

d'une bécasse, les deux autres furent empaquetées par elle pour être pins tard mangées à loisir.

Elle courut vers la grande cour.

Au moment même, où elle y arrivait un peu essoufflée, la marquise de Sivry, en toilette la voyage, enveloppée d'une douillette de soie puce, en petites paniers, faisait son apparition sur le perron devant lequel attendait la berline.

Chonchon s'élança vers elle juste à la minuie où le commandeur paraissait derrière sa sœur.

Madame la marquise veut-elle me permettre de l'aider à monter en voiture et de lui arranger ses Jupes ?

Vous êtes donc femme de chambre demanda Mme de Sivry étonnée.

Non, madame la marquise, je suis jardinière seulement.

Je vous remercie de votre zèle. Comment vous nommez-vous ?

Fanchette, pour vous servir.

Eh bien Fanchette, aidez-moi, je le veux bien.

Chonchon n'était pas maladroite, elle s'y prit très habilement, puis olle dit avec une feinte émotion

Hélas non, madame la marquise, je no suis pas femme de chambre, mais je le deviendrais aisément pour vous servir, si vous me permettiez de partir à votre suite.

Partir à ma- suite dit la marquisft^en même temps -que le commandeur tressautait. Je suis une pauvre fille bien malheureuse, madame la marquise, dit Chonchon, celui que j'aime quitte le pays et, si je ne vais pas il. Paris, je suis bien décidée à mourir.

Mourir 1 s'écria la marquise toute bouleversée.

Oui, madame, j'ai choisi l'endroit le lac de votre parc, c'est là qtlB Te me périrai. Commandeur, dit la marquise, chargezvous d'empêcher ce malheur, je vous recommande cette petite. vous viendrez me rejoindre au relais.

A vos ordres, marquise, dit le commandeur.

Puis, s'adressant il. Chonchon, qu'il venait d'attirer derrière la berline

Toi, tu me paieras ça.

M'emmenez-voua ? 7 demanda la jardinière in parlibus.

Non, répondis rageusement le commandeux.

C'est votm dernier inot

Ah pateambleu 1 je crois bien.

Ff bien 1 vous vous trompez.

Vraiment î

Car je partirai quand même.

Si je veux.

Non, malgré vous.

Essaie.

Voua allez voir. Je n'ai qu'un mot à dire pour que Mme la marquise m'attache à sa personne.

Le commandeur haussait 1es épaules. Mais, tout à coup, Nlme de Sivry, se penchant à la portière

Où donc est cette petite T

Me voici, madame la marquise,

M. de Boisfleury, très inquiet, écouta ce qu'allat dire sa soeur.

Est-ce que «vous seriez fâchée d'entrer mon service personnel, petite T

Oh madame la ..marquise, je n'en suis pas digne, riposta Chonchon avec des mines de fille repentie qui firent trembler le commandeur. Et pourquoi donc r

En ce moment, Laroque arriva, perche sur un grand cheval, et, se présentant à l'autre portière, sollicita la faveur d'emtretenir la marquise de deux ou trois questions très urgentes. O-oncfion prollta de cette diversion pewr-se rapprocher du commandeur et pour lui aire Hercule I vous allez laisser partir la berline.

Pourquoi ?

Vous le saurez plus tard.

Mais.

Je le veux. Si vous n'obéissez pas, je monte aux côtés de Mme la marquise et je lui raconte toutes vos infamies à mon égard. Mais si je reste.

Je ne vous retiendrai pas longtemps. Mais encore.

Le temps de chercher une voiture, de l'atleler, de m'y faire monter et de me mettre en route avec l'argent nécessaire pour le voyage, que vous aurez soin de me donner. C'est impossible.

Alors, je vais me faire voiturer par Mme la marquise elle-même, qui ne pourra plus se

passer de moi dans vingt-quatre heures. Le cornmaodeur furieux se disait

Quelle sotte idée j'ai eoe de m'embarrasse» de cette dondon 1

Allons, décidei-vous, oui ou non. Je n'a* pas le temps d attendre.

Le pauvre Boisfleury était fort perplete. La conversation de sa sœur avec Laroque allait prendre tin. Chonchon était bien capable de partir avec la marquise et, pendant le voyage. qu' sait ce qu'elle pourrait lui dire ? Il hésita encore un moment, puis, poussé par la oéce&até, il capitula.

Eh bien soit. dit-il.

Vous me donnez votre parole ?

Oui.

Votre parole de commandeur ?

Je vous donne ma parole de commandeur, Eh bien je vous crois.

Et Chonchon s'éloigna prestement afin que la marquise, en se retournant, ne la vit plus et ne songeât pas davantage se l'attacher. Quelques minutes après, la berline s'ébranlait.

Qionehon était allée reprendre philosophiquement son troisième déjeuner et attaquait sa dernière bécasse, quand survint le commandeur, plus qu'ennuyé.

Chonchon., diit-il, vous êtes une petite peste. Et vous une grande, monseigneur.

Insolente

Il n'y a qu'un moyen de me rendre respectueuse.

Lequel ?

C'est de faire votre devoir d'honnête homme et de m'emmener à Paris.

Il le tent bien, puisque j'ai juré.

.Mors, nous partons 1

Certainement, hélas

A quelle heure

Aussitôt que nous aurons une voiture. Fort bien, j'en connais une.

Où donc

Chez Léonard, l'ancien postillon, qui s'était mis maitre de poste et qui n'a pas pu conlinuer.

Je vais l'envoyer chercher.

Bien.

Tenez-vous prête, avez-vous un bagage (A suivre.)

4

IL Y A 3 GENRES

DE CLIENTS

1 Celui qui ne volt que la

prix sans s'occuper de la

qualité.

2* Celui qui prend tout ce

qu'on lui donne sans ja-

mais rien exiger.

3- Celui qui paye le prix

mais exige rigoureuse-

ment la qualité.

C'est parmi ce dermer que

l'extrait de javelantiseptque

A LA CAGOULE

à recruté sa Sdéle clientèle.

Messageries -de l'Ouest et Union Bellilolse (Lignes communes)

PROMEnADES 8 EXCURSIONS EH MER

Les Compagnies des Messageries de l'Ouest et de l'Union iielliloise ont l'honneur d'informer le public qu'à 1 occasion des Régates en mer du S. N. O les 10 et 11 juillet, le vapeur Emile-Solacroup partira. le lundi 10 juillet à midi de ^aint-Nazaire pour le Pouliguen, et quittera ce dernier port il 2 heures du soir pour aller au devant des yachts. Le mardi 11 juillet, 1' « Emile-Solacroup partira du Pouliguen à 2 heures du soir. accompagnant les yachts de course jusqu'à Saint-Nazaire et Mindln, d'où il repartira à 4 heures pour le Pouliguen.

Prix des places pour ces excursions BuKu ne au 1.50 1.00 2.00 1.50 Du Pouliguen à Sa-hït-NazasTe on Mtodân 1.50 1.00 2.00 1.50 Pour les renseignements complémentaires, s'adresser A Nantes au bureau de l'Exploitation de la Compagnie des Messageries de l'Ouest.

A Belle-ne au bureau du Consortium U. B. et M. 0. A Saint-Naxaire au bureau de la Compagnie des Messageries de l'Ouest.

Au Pouliguen il M. Dechauflour, agent du Consortium d'Exploitation (boreau sur la promenade du Port). Au Croisic Au café Gourdon et à l'Hôtel de l'Océan, à Portlin.

Etudes de M» Lucien PRIOU. avoué licencié, à Vannes, et de M- DAIGRE et GUIBERT notaire? à Vannes.

par licitation, le merItnlt oredi 26 juillet 1911, i 2 heures de l'apTès-màdâ, en l'étude de M« DAIGRE, et par le ministère de M" DAIGRE et TiUIBERT. notaires à Vannes, la la VILLA PAULINE, sae à la Pointe de PorUNavalo, en krzon (polie du Morbihan), ivec jardin, n° 1550 p section G Su cadastre d'Anon contenance totale approximative dm 5 .-m* 20.

Mise i prix. 9.000 fr. Pour rens>eïpr>ements, s'adreraer le à MM DAIGRE et GUIBERT. notaires Il Vannes 2" à M" PKIOU et PHILOUZE avoués à Vannes.

13.262-S

BUREAU DES

DOMAINES DE BREST 40, rue du Château

VZNTE DE NAVInES

rayés de la liste de la flotte Le 20 juillet 1911, à 2 heures du soir, H sem procédé à l'adjudication sur sou.̃nia6tons cachetées avec faculV de réunion en un seul lot, rifts navàies et docks flottants ci-ap^s dôsignés

1. Cuirassé d'escadre Forml.Jable, armé en 188S déplacement. 10.061 t. x500.

II. Cuirassé '•arvie-cfttefi Valtny, armé en 1895 déplaoement, r>.r>87 t.x500.

III. Vaisseau transport Fonenoy, construit en 1827 déplacement. 3.209 t. x 160.

JV. Aviso torpilleur Sainte- Barbe, armé en 1891 dôpla^.menc. 251 t.x450.

V. Torpilleur de haute mer Mfl, construit en 1892 doplûww.nt. 12f. t.x&GO.

VI. Torpilleur de haute mer Mousquetaire, armé en 1892 déplacement, 111 t.xl7D.

VU. TorpiCeuj de haute

mer Tourmente, armé en 1B94; déplacement. 93 t. x534.

VIII. Torpilleur N° 129, construit en 1890 déplacement, G0 t. x 344.

Docks flottante, construites en 1887, savoir

IX. Dock n° 109 déplacemeut, 68 t. x 300.

X. Dock n° 110 déplacement, 70 t. x 600.

XI. Dock nc 111 déplacement, 86 t. xlOO.

Les étrangers sont admis à concourir à l'adjudication. Les bâtiments seront livrés sans aucune clause restrictive, ni obligation de démolition.

Ixs soumiesions sur timbre et sons pli cacheté devront être dépotées, au plus tard, le 13 juillet 1911, avant 4 heures du eoir, au bureau des Domaines è Brest.

Le cahier des charges et les inventaires y annexés sont dépoeés au bureau des Domai- nes, où on peut en prendre coimaissanoe, de 8 heures du matin à 4 heures du soir, di- manches et jours fériés exoep- tés.

Des affiches de la vente seront adressées à toute personne qui en fera la demande. Etude de Me Pierre ROUSSEL, notaire à Fougères

ET DE BESTIAUX le mercredi 19 juillet 1911, à 1 heure de l'a- pTès-mtoi et jouir, suivante. En exécution d'une ordonnance Tendue p:u' NI. le Jupe de paix du canton nord de Fou^CTes, le r. juillet 1911. Aux Renardières, en la coftmunr de Landéan, M' ROUSSF-L proo6d«ra à la vente de 80 vaches de race jersyaise 48 veaux et géniases

2 tonneaux

15 jwrwnif, -poulinières par saue.

Au comptait 5 en su*. 13-la-4

Etude de Me J.-M. MARTIN, avoué à Saint-Malo, 3, rue des Vieux-Remparts.

VENTE JUDICIAIRE

D'IMMEUBLES, le jeudi 27 juillet 1911, à lu h. du matin, à l'audience des Criées du Tribunal civil de Saiiut-Mak>, au Palais de Justice, place Dugiaay-Trouin.

DESIGNATION

En la commune de Mont-Doi au sol du Petrt-Vaiudemaire et enviions.

LOI DKIQDE

LA METAIRIE du Petlt-Vau- demaire, composée de Maison de demeure avec cellier, étable, retraite à porcs, four, cours au nord et au midi jardin, le dos de Devant ou Pont-Vaudemaire au midi des bâtiments le tout cadastre n« 45 et 53, section C, pour 45 ares 50 centiares joignant au midi Pierre Leclerc, couchant le chemin du GrandVaudemaire et les pièces de terre ci-après

1° Une pièce die terre nommée La Cailleboti cadestrée ne 70, section C, contenant 12 ares 40 centiares joignant au nord le chemin du Petit-Vaudemaire à BafruerPican, midi et couchant M. Pibont.

2° Le Clos Troohain ou Clos Dufour section B, nO1 385 et 390, oontenant 34 ares 70 centiares joignant midi Gilles Bedeî, levant un chemin.

3° Le Pré Jujruiet contenand 46 ares, ne 24, soct'on C du cadastre joignant levant et midi les propriétés du Grand- Vaudemaire, couchant un chemin.

4° La Pièce des Rondiolles au cadastre nl 501, section C. contenand 1 hectare 19 ares 60 centiares joignant midi, Mme Genest, couchant Jtvm-Rniptiste Giraut et les héritiers Gênée.

Telc que \&. <infe immeubles sont loués à M. et Mme MotpI pour six années à partir du 29 septembre 1912. moyennant un lover annuel de 450 fr.

Mise à prix huit mille francs ci 8.000 »r. Pour extrait

J-M. MARTIN.

Pour ton renseignements, s'adresser à M» J.-M. MARTIN avoiié à Saim-MaK 3, rue des vieil ou au Greffe Mal. nù est dépofo 1<> <-ahier des charges. 13.365–3 Etude de M« C. DAUPHIN avmi/i à Rarnt-Malo et de M» RROSSAULT, notaire en la mAme ville.

VENTE DE BIENS DE mi- I Lll I C NEURS, le jeudi 20 juillet 1911, à 2 heures de l'après-midi, am étude et par le ministère de M' BROSSAULT notaire à Saint-MaJo.

DESIGNATION

Commune de Saint Mélolr. des-Ondes

LA FERME de la Ville-Blot, comprenant maison S'habitation, étable, cellier, cour, retraite à porcs, puits, jardin et diverses pièces de terre, d'une contenance totale de 4 hectares 54 ares 65 centiares Mise à dtIx 15.000 fr. Faculté de division.

L'avoué poursuivant

C. DAUPHIN.

Pour tous renseignements, s adresser à M» C. DAUPHIN avoitf à Saint-Malo, ou à M» BROSSAULT, notaire en la même ville, rédacteur et dépositaire du cahier des charges- 13.369–2 Etudes d2 M»1 BTDARD et TRErOUS, avoués Lavai At de Me SKI™- ™^ en 1911, à 2 heures do l'aprèsmidi, en l'étude et par le minietèse de M- OUTIN, notaire à Laval.

UNE PROPRIETE, située commome et près la ville de Laval, route de Nantes, divisée savoir

1" lot. Une maison d'habi. tation, située à Laval, route (Se ';antes, sur la mise à prix to 2.000 fr. 2e lot. Une pièce de terre, en nature de prairie sise sur le bord de la route nationale rie Lavai à Namtes, coté couche en montant, sur la in.ifie à rrix de 5.500 f r. TOTAL DES MISES A PRIX 7.GO0 franos

Faculté de réunir ou diviser. Pour tous renseignements, consulteur les affiches nt s'adresser à M" RIDARD et TREBOUS, avoués à Lavai, ou à M' OUTIN. notanxe en le même ville, rédacteur et déposihtire du cahiflr des charges. Pour extrait

A. BIDARD.

13.371-1

Etudes de M° H. LE CALLOCH avoue-licencié à Brest, rue de la Mairie, 21, et de M' ROBIN, notaire à Brest, rue Emile-Zola, 13.

et par le ministère de M" ROBIN, notaire à Brest, rue Emile-Zola, 13, le samedi 29 juillet 1911, à 2 heures de l'aprèsmwM.

DESIGNATION

En la ville de Brest

LOT UNIQUE

UNE PROPRIETE sise en la ville de Brest, à l'angle des rue de Siam où elle porte le no 101, et Duoouédic où elle porte le n° 14, composée de deux maieons d'un seul tenant ayant douze mètms de façade sur la rue de Siam, cour couverte et lieux d'aisances Revenu annuel 5.200 tr Mise prix. 120.000 tr. S'adresser pour tous renseignements à M' ROBIN, notaire chargé de la vente, à M- H. LE CALLOCH. avoué poursuivant, et à M» SORGNIARD, avoué oo-licitan*

H. LE CALLOCH,

avoué-licencié.

Etude de Ni' TISON, notaire à Ducev

neuf, à Ducey, rue du Coq. Le dimanche 16 juillet 1911. à 1 heure du soir, Me TISON, notaire, vendra notamment Un fusil Dame, neuf, calibre 12 Chenue épagneule française, pure race, de 21 mois, inscrite Revolvers de diverses armées Carabine Pelisse en vison noir, col (loutre état neuf Articles de chasse, pêche et photographie.

Argent compta/iït, 10 en sue. 13.374-1

IMMEUBLES A Vendre ou à Louer

Etude de Me LEHUEROUKERISEL, avoué à SaintBrieuc.

VENTE par adjudication lus I L le jeudi 20 juillet 1911 à 2 heures de l'après-midi, en l'étude et par le ministère de M" CHAPT, notaire à SaintBrieuc, successeur de M' DUBOIS.

DESIGNATION

PREMIER LOT

En la commune de PlouvénezQuintin

La METAIRIE ANOIENNE de QUELLEC, d'une contenance cadastrale de 33 hectares 3 ares 3u centiares, affermée aux époux Tribuil, jusqu'au 29 septembre 1918, moyennant un fermage annuel de 1.800 fr. Mise à prix quarante mille francs, ci. 40.000 fr. DEUXIÈME LOT

Même commune de Plounévez. Quintin

La METAIRIE NOUVELLE de Quellec, d'une contenance cadastrale de 32 hectares 57 ares 10 centiares, affermée aux époux Le Provost, jusqu'au 29 septembre 1918, moyennant un fermage aunuel de 1.800 fr. Mise à prix quarante mille francs, ci 40.000 tr. TROISIÈME LOI

En la ville de Saint-Brieuc, rue St-Guillaume, 9 et 11 Un VASTE, IMMEUBLE admirablement «itué pour le commerce, composé de Maison principale en façade sur la rue, élevée sur caves, d'un rez-de-chaussée, trois étapes et mansardes.

Deux autres maisons en retour vers le jardin, élevées d'un rez-de-chaussée, un étage et mansardes, communiquant avec la première

Cours, jardin, remise écurie

Un magasin et partie du rez-de-chaussée et du premier étage sont loués à la Société générale jusqu'au 31 octobre 1923, moyennant un loyer annuel de 5.000 francs

Un autre magasin et le reste de l'immeuble sont libres de location

Contenance sous fonds 909 mètres carrés.

Mise à prix cent dix mille francs, ci. 110.000 fr. Pour tous renseignements, s'adresser à M» CHAPT, notaire et à M' LEHUEROU-KERISEL, avoué.

13.089-4

Etude de M' GARNIER,

notaire à Plane cet

A VENDRE Par adjudication A ILIlLmC volontaire en l'étude et par le ministère de Me GARNIER, notaire à Plancofet, le samedi 82 juillet 1911, à 2 heures du soir. A Saint-Jacut-de-la-Mer, au bourg ct à environ 100 mètres de la plage.

UNE PETITE PROPRIETE comprenant maison d'habitation avec remise, écurie, jardin ombragé et pièce de terre s'étendant jusqu'à la mer.

Facilités de paiement et faculte de traiter avant l'adjudication

S'adresser pour tous renseignements audit Me GARNIER. 13.271–3

PROPRIETE DE RAPPORT de 40 hectares, dont 5 hectares sous prairies et 20 hectares sous terres labourées.

Bâtiments en excellent état et nombreux. Propriété bien arrosée et d'une exploitation facile. Morcellement possible. Facilités de paiement.

Pour visiter et traiter, s'a.dresser à M' TREGUIER, notaire à Querrien (Finistère). 13.289–3

Etude de Me GICQUIAUX notaire à Tinténiac (I.-et-V ) juillet 1911, à 2 h. du soir, en une maison sise à Gandus, près le bourg de St-Domincuc par le ministère dudit M" GICQUIAUX, les immeubles suivants

Commune de Tinténiac 1° FERME du Coudray, contenance 2 h. 78 a. 90 c. Revenu 370 france.

Commune de St-Domineuc 2° FERME de la Boutreuille, contenance 5 h. 23 a. 53 c. Revenu 510 francs.

sol de Gandus, près le bourg 3° PETITE PROPRIETE au comprenant maison d'habitation, étable, refuges à porcs, cour et pièce de terre, le tout d'un tenant, contenant environ 40 ares.

4° AUTRE PROPRIETE au même lieu. comprenant une maison d'habitation composée de 4 pièces et vestibules au roz-de-chaiis&ée, chambres au 1" étage et grenier au-dessus. Une autre maison composée de 2 pièces au rez-de-chaussée avec grenier au-dessus, préau, emir et jnrdin, le tout d'un tenant, contcnant environ 20 ares.

Pour tous renseignement s'adresser à M' GICQUIAUX, notaire à Tinténiac.

13.268–2

Etudes de Me DAVEAU, notaire à Lorienit, rue du Port, 55, de M' ROPERT, notaire à Erdeven, et de M' KERRAND, notaire à Locminé. DOMAINE DE KERVERNIC en Ploermel, près Auray.

Ce domaine a usage de beurrerie, c:drerie, laiterie, en pleine exploitation, consiate dans

Maison de maître beurrerie avec matériel moderne actionné par moteur chaudière à vapeur cidrerie modèle porcherie avec divisions et courettes séparées écuries vastes greniers; puits; réservoirs à eau houlangerie minuterie avec moteur et matériel agricole perfectionné; remises; logements pour régisseur et domestiques.

Etable pour 110 vaches.

Bâtiments divers, etc.

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ministère de M" BOURGES, notaire à Renmes, le jeudi 20 judUet 1911, à 2 heures de l'après-midi

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1° LA RETENUE ET LA FERME DE VERGEAL, en 7 lots, avec faculté de réunion. Contenance totale 29 hectares environ.

Fermiers Epoux Renard. (Pour la désignation détaillée et la composition des lots, voir les affiches).

2° ET LA FERME DE LA FOUCHERAIS contenant environ 6 hectares 32 ares, exploitée par les époux Jules Bertru. On pourra traiter avant l'ad.judication.

S'adresser pour vistter aux fermiers et pour tous ren6elenements et traiter à M* GUERIE.

Etude de M' GUERIN, notaire à Rennes, rue RaHier-duBaty, 7.

ADJUDICATION S'TSSft le jeudi 20 juillet 1911, à 2 h., en 16 lots.

D'UN GRAND TERRAIN si.tué à Rennes, avenue du Mail et quai Saint-Cyr, près le Pont de la Croix de la Mission, contenant environ 12.011 mètres carrés.

Faculté de réunir et de traiter avant l'adjudication.

Pour la composition des lots voir les affiches.

Ferme du Landrel en StH»licr, commune de Kennea, contenance 20 hectares.

S'adresser à M. BUAN. expert géomètre, 7, place du Palais, à Rennes. 13173-n

CESSIONS

de Fonds de Commerce Cabinet de M. Emile LANDAIS Directeur du Bureau d'Indications

12, Place du Champ-Jacquet, RENNES

AVIS DE CESSION

Suivant acte s. s. p. «.t date Rennes de 27 juin 1911, M. leon MIRIE1. et son épowc Mme Joanno (JUILLET, ont ̃édù M. Fornand DUVAL et son épouse Mme AugiisUne PRIOUL If fonde <ie CAFECIDRE qu'ils exploitaient à Rennes, 14, rue de l'Alnua. L'entrée en possession a eu ieu le 27 juin 1911. Domicile :st élu au cabinet 'de M. E. LANDAIS où les oppositions >e.ront reçues jusqu'au 19 juilet 1011, et ce conformément 1 la loi au 17 mare 1009. Pour deuxième insertion, E. LANDAIS.

AVIS DE CESSION

Suivant acte s. 5. p. en date à Rejuies <hi 1"' juillet 1911, Mme Marie-Rose CARRIER. femmne RROSSEAU a cédé à M. Lucien TROCHERIF. et son épouse Mme Mario BF.RREF., le fonds de CAFE-CIDRE quille exploitait Brimée. 60, rue de Vaniem.

L'entrée en possession a en lieu le 1- juilkt 1911. Domicile e«t élu au cabànot de M. E. LANDAIS où les f>ppos.itinns seront reçues jusqu'au 19 Juillet 1911, et ce conformément à la loi du 17 mars 1309.

Pour deuxième Insertion,

F LANDAIS.