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Titre : Athlétic : organe officiel de la Fédération française d'athlétisme et de basket-ball

Auteur : Fédération française d'athlétisme. Auteur du texte

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1934-08-23

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34423826n

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34423826n/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 23 août 1934

Description : 1934/08/23 (N16).

Description : Collection numérique : Musée national du sport.

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k64236103

Source : Fédération Française d'Athlétisme, 2012-247628

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/02/2013

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LES CHAMPIONNATS D'EUROPE 1 Programme et horaire des Epreuves , 1re Journée : Vendredi 7 septembre Matin : 10 heures : perche, éliminatoires; 10 h. 30 : hauteur, éliminatoires; 10 h. 30 vivelot, éliminatoires; 10 h. 30 : 1.500 mètres, séries.

Après-midi : 14 heures : Cérémonie d'inauguration, 14 h. 45 : porche, finale.

15 heures : 100 mètres, séries.

15 heures : hauteur, finale.

15 li. 25 : 400 mètres, séries.

15 h. 50 110 m, haies, séries.

16 h. : javelot, finale.

16 h. 10 : 100 mètres, demi-finale 16 h. 20 ; 1.500 mètres, finale.

16 h .50 : 110 m. haies. demi-finale.

17 h. 10 400 m., demi-finale.

17 h. 20 : 10.000 mètres. finale.

18 heures : relais 4x100 m., séries.

2e Journée : Samedi 8 septembre Matin : 10 heures : décathlon : 100 mètres.

1.0 heures : Disque, éliminatoires.

10 li. 30 : décathlon : longueur.

11 heures : longueur, éliminatoires 11 h. 10 : décathlon : poids.

Après-midi : 13 h. 15 : départ 50 km. marche.

14 h. 30 : décathlon : hauteur.

14 h. 30 : disque, linale.

14 h. 40 :110 m. haies, finale 14 h. 50 : 100 mètres, finale.

15 heures : 400 mètres, linale.

15 h. 10 longueur, finale.

15 h, 30 200 mètres, séries.

15 h. 50 400 m. haies, séries.

16 h. 10 : 800 m., séries.

16 h. 10 : marteau, finale, 16 h. 30 : 200 mètres, demi-finales.

17 heures : relais 4 x 400 mètres, séries.

17 li. 15 : décathlon : *00 mètres.

17 h. 40 : 400 m. haies, demi-finales.

1$heures : Arrivée, 50 km. marche.

3e Journée : dimanche 9 septembre Matin : 10 heures : décathlon : 110 m. haies.

10 h. 20 : décathlon : disque.

10 h. 30 : triple saut, éliminatoires.

10 h. 30 : poids, éliminatoires.

10 h. 50 : décathlon : perche.

Après-midi : 14 h. 20 : départ du marallr n.

14 h. 30 : 400 m. haies, finale.

14 h. 30 : triple saut, flinale.

14 li. 45 : 200 mètres, finale.

14 h. 55 : 800 mètres, finale.

15 heures : poids. finale.

15 h. 20 : décathlon : .javelot.

15 h. 55 : rélais 4x100 mètres, finale 16 h. 05 : 5.000 mètres, finale.

16 h. 30 : décathlon : 1.500 mètres.

16li. 45 : relais 4x 400 mèlres. finale.

16 li. 50 : Arrivée du marathon.

17 h. 20 : Cérémonie de clôture.

La sélection en Lettonie La Fédération leilone a fait disputer différentes épreuves de sélection en vue des championnats d'Europe. voici les principaux résultats : 5.000 m. : I. Vilet. 15' 2'' (record).

100m. : 1. Kivit, 11"; 2. Fellgun: 3. Parup.

Disque : 1. Rosenberg, 40 m. 63; 2. Musis, 39 m. 70.

Poids : 1. Zsvirgdsin, 13 m. 43; 2. Karkhlin, 12 m. 68.

Perche : Kalmin .3 m. CO.

4x400 m. : 1. ACK, 3'403 : 2. El ; 1 ), :r 50".

La représentation de la Belgique La Ligue Belge a transmis à la Fédération italiennes les engagements suivants : > KM ni. et I.5C0 m. : Geraert.

5.000 mètres : Maréchal.

Marathon ; Vandersteen.

Décathlon : Boulanger.

.de l'Autriche

"fi haies : Langmeyer et Leitner r: 400 haies

Lcilner; disque cl marteau : Janausdi.

.de la Pologne -00 m. cl ioo m. : Biniakowski: 800 m., : KuHiarsk;; |.5<j<) m. : Kueharski: 5.000 et 10.000 m. :

Kusocinsky ; hauteur : Plawezyk: longueur : N.«*ak; triple saut : Luckaus; poids et disque: Il,'lj¡¡,,z.

.du Danemark 3.000 mètres : Nielsen.

'Hic : Par-en.

.de la Finlande : M. Jiirviiieii, Sinpala, l'entilla.

100. 200. /f.0 m. : Slrandwail.

]t0 m'. haies : Sjosledt.

1^'catiiicii jjii-viiirn.

800 m.,1.500 m; Larva. Mikkcïï.

l!'fWin. : Iso-IMIo. Virtanen.

■""gs.our : Toloniô.

►auteur : l'eea- .1 Kotkas.

Disque : Kotkas.

Marteau Porhola, Koutonen.

Education respiratoire du coureur (&) par Maurice BAQUET

On petit recommander, tout à fait au début de l'éducation respiratoire du coureur, d'effectuer régulièrement, en « marchant », l'inspiration puis l'expiration sur 4, 6 ou 8 pas. ,

Après ce procédé éléinenlaiie déjà signalé, il faut choisir dès les premières courses d'entraînement un rythme réalisant l'égalité des temps sur 2 et 2. ou sur 3 et 3 foulées : c'est-à-dire que, l'allure (Haut moyenne. « on s'efforce d'expirer volontairement par la liouchc » sur deux fou- lées, dans les deux foulées suivantes on laisse l'air entrer naturellement par le nez. ('est un rythme que nous avens appris au coureur Ladoumègue pendant son séjour à Joinville et qu'il pratique encore aujourd'hui, F'.n couvrant

1. à 2 km. à chaque séance, à raison de 2 à 3 séances par semaine, on obtient, après quel- ques semaines de travail contrôlé assidûment, un automatisme respiratoire qui permet déjà 'Je diminuer Considérablement l'essoufflement et la fatigue, Mais, l'ambition du coureur à pied étant également, d'aller plus vile alin d'améliorer ses résultats, « il lui fatidia varier >a respiration cri même temps (pie son allure » et par conséquent compliquer le rythme.

Faisons encore une remarque basée sur l'observation : plus l'allure est rapide, moins I"expiraiion est fréquente ».

Il serait intéressant de réfléfh'r sur cc'le narlieularité qui aurait un intérêt, en course de vi-

lesse, mais n'augmentons pas la longueur <•! arrivons-en au deuxième stade de perfectionnement ; « l'iiiégalité des temps ».

Il s'agit maintenant d'allure de c airse de c-onipôtilion et de suiel.s doués et f-éleciioiinés.

Selon nous, il n'y a rien d'absolu en ce qui concerne le rythme expiratoire - mais est-ce une raison pour taire; ce qui précède cl ce qui suit ? — lequel varie, répétons-le, d'après la capacité vitale du sujet, son degré de résistance à l'essoufflement, l'allure, etc., ctc.

Ce que nous proposons ci-après ne peut de ne être considéré comme un système convenant à tous les tempéraments, dis lis plutôt que c est un exemple, assez élastique d'ailleurs, pour su- jet bàli pour la course et à prédominance respiratoire bien accusée.

L'expiration buccale volontaire ne s'effectue à présent squ'en 1111 seul temps et sur une seule foulée ; a) elle peut- être faite après deux fou- lées. b) après trois foulées, c) après quatre fou- lées, selon l'allure du coureur <1 ses possibili- tés. C'est Il au coureur à chercher le rythme qui lui convient » (après avoir été guidé dans ce choix par l'éducateur) puis à l'imposer peu à peu à son organisme afin de le rendre automatique.

Qu'on ne s'imagine pas qu'il la seule expiration succède un temps inspiratoire double, triple ou quadruple ; « l'inspiration qui suil est de faible amplitude, elle est égale à l'expiration, mais cette inspiration est suivie d'une sorte de spasme de repos d'une durée plus ou moins longue. »

Toute la difficulté en course, réside en et ci : maintenir volontairement le rythme qui convient à l'allure sans jamais céder à l'affolement, qui veut s'installer, mieux vaut dans ce cas diminue!* la vitesse do course.

On neuf encore note;- pour renlrninemenl à la résistance du centre nerveux 1 e-piraloire. In pratique de l'apnée au repos, « ou après une course de 20O à "'OO mètres ». Celle dernière façon de retenir la respiration parait assez uiflicile et même dangereuse à pratiquer mais elle donne d'excellents' résultais, surtout, en qui concerne les coureurs de vitesse prolongée. Ce- pendant. en celte matière comme eu toute autre. dans la quantité de Iravail musculaire. < u dans la qualité de l'effort à produi -e. il y a une notion de mesure qui doit être c ai-i.miment. ; re- sente à l'e-prit de l'entraineur.

CONCLUSIONS. -- F.ncourage es nos jeunes gens à faire la preuve de ce qu'ils valent physiquement mais fournissons-leur des éléments de Iravail ; 11e leur laissons pas craindre ou éliminer l'effort musculaire progressif, non plus qi*> redouter le rythme prudemment accéléré ou prolongé du travail organique ou nerveux. On n'accroît pas la valeur et la vitalité de l'individu et d'une race par des exercices en chambre. La jeunesse doit aimer agir, les dificultés doivent lui plaire.

(Extrait des « Cahiers techniques de l'ivlucation *physique ", édités par "Sport et Santé".

(1) Voir les numéros 9 et 10.

Les Américains en France .Une belle démonstration d'Athlétisme supérieur

Il nous a donc été donné de contempler loul à loisir les fumeur athlètes améri- cains qui, depuis leur arrivée en Europe, n'ont cessé de réaliser des performances sensationnelles. Si à Paris ils n'ont battu aucun record du monde, ils n'en ont pas moins accompli des exploits remarquables.

Il i><r faut pas oublier ifu'ils n'avaient diront eux aucun adversaire, capable de les mettre à l'ouvrage : néanmoins ils ont tenu à montrer toute leur valeur et ne nous ont une 1111 e m eut déçus.

Les athlètes américains ont cu à cœur, durant leur séjour en Europe, de représen- ter difinement l'athlétisme des Etats-l ins.

Ils se sont présentés, en effet, dans cha- cune des réunions aurquelles ils partici- paient, au mieux de leur condition. Leur présentation ne ressemblait nullement à ces tournées de « baladeurs » que nous avons connues à certaines époques.

Les Américains ont prouvé - ce que nous savions déjà leur supériorité sur les athlètes européens. Ils ont affirmé une classe exceptionnelle et toute naturelle pro- venant de leurs aptitudes physiques qui

sont, chez eur, très développées.

Nous nous trouvons, ne I oublions Pris> en présence de qaillards issus d une race neuve et c'est là surtout que réside pour une lorqc part, la supériorité des Améri- cains sur les Européens, et tout particuliè- rement les Français. Ajoutez à côté un re- crh (raient portant sur des dizaines de nuitions d'individus, et vous constaterez déjà au départ, une certaine supériorité.

Différence de type Tout le monde a pu constater la diffé- rence de type eristent entre les athlètes américains et les nôtres. Est-ce à dire

i/n'en l-'rance nous n'ayons pas d'individus de ce qabarit ? Que si, nous en avons, en moins qrand nombre évidemment, mais voilà, chez nous ces athlètes pratiquent d'autres sports, le ruqby par exemple, ou — et c'est encore le plus qrand nombre — délaissait tovt exercice physique.

Tant qu'en France le Courernemenl n'aura pas compris la nécessité d'orqaniser I.éducation physique et sjiorlire ilans il faudra renoncer à tout espoir de fiqurer mieux que nous le fai-sons actuellement, dans les compétitions internationales. Ce que nous faisons est

très bien, quand on réfléchit aux moyens et aux encouragements dont dispose l'athlétisme en France.

Partout ailleurs, l'athlétisme est consi- déré comme le premier des sports, en France on le place au dernier rang des préoccupations sportives, et cela suffit pour expliquer en partie son infériorité et sa stagnation.

Si nous n'avions pas le dévouement apporté par certains « piqués », il il y a longtemps nue l'athlétisme français aurait sombré dans le trente-sixième dessous.

Que ceux qui s'ectasient devant les merveilleuses perfonnanc.es des Américains et qui n'ont que critiques à l'éyard des Français, nous apportent leur aide, alors nous pourrons déjà espérer faire mieux.

Un grand champion : Hardm Les neuf athlètes Américains que nous avons admirés sont tous de très grands champions, mais on nous permettra de dire que l'un d'eux : Hardin, apparaît comme étaift d'une classe légèrement supé- rieure aux autres. Gaston FRÉMONT.

(Voir la suiTe en 2e page.)

DIMANCHE PROCHAIN, LE MEETING DE STRASBOURG

La grande réunion organisée annuellement, et depuis dix années, par I'\s vrasbourg a bien failli ne pas avoir lieu cett année. On connait les faits, n'y revenons pas. si ce n'est pour dire combien nos amis du club orgqanisateur obnt connu de soucis ces dernière- -emaines. Il eut, été dommage pour I'a1h!é|:.-n:e que celte réunion fût annulée; les con-équcnce- en cassent élé désastreuses, dans une région cit très gros sacrifices ont été com en lis en Jum ur de l'athlé- tisme français.

Organisée sous le patro, nage des .< Dernières Nouvelles de Strasbourg » et du « .Matin ». le 1 Il 't\!,! l'il Il 1:J1,' dl ln l't', Il Il: , Il (I Ir, ""lll\allt : Kpreuves régi,mal s : 101) m. : C'1 catégorie et, 1.000 m, 21' catégorie i,\erl p ur loin les licenciés de la LAA): 801 m. juniors.

Kprevi\es par invitai,i 11 Critérium de viti sso 100 yards; 100 m. Cr.ind Prix des Dernières Y nivelles (^concurrent-) ePis-cinenl pa - |oin!s : 8. 6, 5. 4. 3. 8 .200 m. Prix Robert Flory; 400 m. : Prix Jacques ~Person : 110 m. haies : Prix Frey-tv'k : 400 m. haies : Prix « Le Malin »; 4x10:1 ni. relais : Prix de l'ASS.

Kngageinents libres : 100ùm. 80 m. : Prix Albert Charpentier: |.50o m.. 3.000 m.. 1.500 m.

relais 5:il». 400, 2(0. loo m.).

Concours ; Saul en longueur, s:ui1 en hauteur, sau! à la perche, laneenieii' 01 p. ids, lancement du disque, lancement du javep'l.

Les clubs suivants seront représentés par leurs meilleurs athlètes :

Racing Club de France. Slade Français, Paris l'niversité Club. Club Allilélique Jean-l>ouin. AS

Lorraine. Cercle Athlétique Messin, Bordeaux Etudiants Club.

En outre, tous les cluPs de la Ligue d'Alsace avec leurs champions de l!>34 et encore ceux des lignes voisines.

Parmi les engagements individuels,, citons les noms de : T)oré Alohon). chani| ion de Franre 1034; Pe- fit (Siichaux), international I034; Ramadier (Paris), champion de lM-ance; Joye (Houbaix). fina- liste et champion des 400 m. anglais; Tribet ',Paris). dWlllpiun dl' "l'il III'

En plus, la métropole envoie environ 30 «))))(''les de la lre cattgorie. Entr autres, nous verrous au dépari : lîolHTt Faal (champion di France 100 m. et

saut de longueur): Doiidehn^r, champion de France 200 m.; Boésset. champion de France 400 mètres; Morel, champion de France 800 m.: Goix. champion de France I.500 ni.: Rernard, champion de France 110 m. haies ; Doré, champion de France lancement du javelot; Noël, champion de France lancement du disque.

La Fédération anglaise sera représentée par 4 de ses meilleurs athlètes du London AC : Powel, Mac Cabe, Hunter et Gabriel. Les luxembourgeois el les Suisses seront également présents, c'est dire tout l'intérêt que présentera la réunion de PAS Slraspourg à quinze jours des Championnats 'Kiii'ope.

L'Equipe de la FFA enlève le Challenge Mayrisch

Belles victoires de Noë et Joye Par 1111 temps Jr i l cl humide peu favorable à de bonnes performances et devant, environ 1.500 spectateurs, la France enleva le Mayrisch devant la Suisse, le Puxenil surg et la Belgique dans l'ordre. Sans av. ir élé. mise en difliculté, l'équipe française ne donna néanmoins pas ce qu'on en attendait, vu la classe de ses athlètes* Cela semble surtout à des erreurs de tactique que firent Normand et Petit battus dans le 1.500 et le *0!) par le |K P. Martin et Ifeilimcr, Noël fut lui-même Uni c nulle .l'.ye, Pondclinger dut s'incliner devant meilleur que lui et Heim n'était pas dans un très bon jour.

Un record de Belgique fut battu par Binet

dans le saut longueur avec 7 m. 11 et le record luxembourgeois du poids des deux" mains additionnées par Wagner avec 2f> m. SJ (14-.23 +.] 12.58) qui s'annonce comme devant être un grand spécialiste au laii' ( nient, du poids.

Le Luxembourg qui l'an dernier avait fait match nul avec la Belgique confirme s i dvmno performance et l'a battue.

200 m.: Course splendide de Haenni, le grand espoir suisse, qui gagne de S mètres sans être inquiété- devant Dondelinger. Ilaenni qui en est à sa troisième, sortie s'annonce, comme devant prendre une grande place parmi les meilleurs sprinters européens. 1. Haenni (S), 22"2'10; 2. Dondelinger. (F): 9, Devrindt (B); 4. Krombach (L.).

400 m.: Vogel prend un très bon départ, mais Joye remonte progressivement et dans la ligne