En résumé, tes caractères anthropologiques des poils de ta barbe sont les marnas que ceux des cheveux.
En effet <" les poils pauvent étre noirs ou blondi; ou roux. 2" t!s peuvent rester courts naturellement on acquérir line longueur ptus ou moinagrande.
3" Us peuvent être lisses ou ondu)~ ou bouclés ou crépus. 4" Ils peuvent rester séparés les uns des autres ou se réunir on touues plus ou moins épaisses.
8° tts peuvent, dans leur ensemble, former une masse plus ou tnoiM aplatie ou bien une maMe frisée plus ou moins votumineuse. 6" Ils peuvent être lins ou épais.
7" Ils peuvent être souples ou roi<)es.
Ce sont là les caractères communs aux poi!s de la barbe et aux cheveux, mais la conformation des poils de )a barbe n'est pas toujours somblable à celle des cheveux dans une même race.
Ainsi dans tes races blanches la barbe est différente de la chevelure. tandis que dans la plupart des races de couleur ta barbe est analogue h la chevelure.
U'autre part l'implantation de t~ barbe n'est pas toujours aussi rei.;utièrement détimite~ que celle de la cheveture, puisque dans certaines races elle n'occupe que le menton, In lèvre suj~rteurf et le bas des joues, au lieu que dans d'autres elle est plus étendue.
Outre cela les poils de la barbe présentent un caractère particulier, qui est la direction qu'ils prennent au niveau du mentou, d'où il résulte qu'ils tombent droit dans certaines races, tandis 'lue, dans d'autres, ils s'inctinent obliquement en avant, étant ici naturellement peu ttexibtes. Discussion: MM. t'At'n.t~m.T, HKMoRTn.t.frr. AvA.
M.MAhCtit.BAfBoutx.–La coloration de ta Peau, comme la couleur des ~o<7<, ne peut pas <'<re un caractt're distinctif de.< Hcpècos, ni même des Races.
tt est fftcitc d'en donner des preuves, basées sur la Zoologie. Mais, jusqu'à ces temps derniers. ces preuves consistaient en des M)')<!<tOM f/f mx~M<M ))0<7~, survenant soit chez les m<!mos animaux au cours do leur existence, soit chez divers animaux, d'une autre espèce, nés dans des conditions spcdates et ditterentes fce qui constitue les races, t"s variétés, etc.:
Voici un fait, beaucoup ptus prottant. qu'il importe de souligner! En <a97, M. Charrin a puhti'' une observation de A~OMfrf <<eMM< chez le Cobaye, (~r, chez ce monstrf, les poils d'un sujet étaient ~oxM et les poils de l'autre n).ANfs'
Comme on sait qu'un Monstre double dérive d'un SM). 'Mf et du M~MB piitut, on voit que la même fécondation, dans un seul œuf, semble