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Titre : Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris

Auteur : Société d'anthropologie de Paris. Auteur du texte

Éditeur : Société d'anthropologie (Paris)

Éditeur : Masson (Paris)

Date d'édition : 1915

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34349269z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34349269z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 15197

Description : 1915

Description : 1915 (SER6,T6).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k63955p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-T46-157

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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usage de t'M~ <fMM< ~<MM (mutatia mt~~M), on serait frappé de voir que le chiOfre moyen obtenu serait le même pour l'homme et pour la femme et égal h environ 60. Ce qui prouve qu'il ne peut servir à rien et que ce n'est pas de ce côté qu'il faut chercher un caractère sexuel pour t'axis.

Mais le résultat de ces calculs montre aussi combien les deux premières vertèbres diffèrent t'une de l'autre, en ce qui concerne les actions mMCt)~)fM,dont)a puissance est ainsi mesurée: t'uneestte type de la vertèbre mobile, actionnée par dM forces considérabies; l'autre celui de l'os solide, à fhiM maximum.

B) En ce qui concerne le Trou )w-<<M le plus grand correspond à la Vertèbre no 5 (32 + 27), le plus petit !( la vertèbre n" 12 (i7 + 20). II n'y a donc pas de relations entre les dimensions du Canai vertébral et ceites de la Vertèbre entière. De plus, il semble que tes diamètres de cet orifice ne varient pas beaucoup, ni avec )'<i~. à partir de l'adolescence au moins [Cf. n" 39 et i~, ni avec le Mj-f ce qui était prévu

On remarquera que nos dimensions maximum et minimum ne concordent guère avec celles de M. le D' Le Double pour l'époque moderne, comme le prouve les données suivantes

Cmvetthier a fait remarquer que te trou do t'axis & t mm. de plus pour te dte. 'u~tre tateropooterieurque les autres M)-Mt~ MfMca~. II M a fourn) une raiBoa MceptXtMe

Comme pourt'aUat, te canat rachidien ne peut donc pas ici serri)- a« diagnostic du eeM [Le DeuMe, <9M].

Pour les m<M;mMM. la différence paratt très notable. Il semblerait résu). ter de là que le Trou rachidien était, à l'époque néo)ithique,m..MM~mtMM qu'à l'époque actuelle. Mais il n'en est rien, comme le prouve le minimum, où, au contraire,ilest plus grand à t'ëpoqueaëottthique. Cela s'explique par la différence de Taille.

En réalité, nos moyennes, par &?<, comparées à celles de Pitzorno, montrent, au contraire, que le Trou était un peu plus à l'époque WOOMt'~M. 2" PotM. Nous avons pris soin de p<-Mt- les vertèbres, entières (ou presque entières) recueillies. Le Tabteau spécial suivant résume ces données, en expliquant quelques-unes des différences de Poids par des Brisures (rituelles ou accidentelles).

Ntoumx~M (~eMt) Mo~NN (Le Double).

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