Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 263 à 263 sur 342

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris

Auteur : Société d'anthropologie de Paris. Auteur du texte

Éditeur : Société d'anthropologie (Paris)

Éditeur : Masson (Paris)

Date d'édition : 1915

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34349269z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34349269z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 15197

Description : 1915

Description : 1915 (SER6,T6).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k63955p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-T46-157

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 73%.


dés note tes points et selon qu'ils sont plus ou moins hauts sait' M chance.

Le Rumati répète son opération trois foi'! dans le jeux do cartes ordinaires il y a trois séries de cartes pareilles d'où pour une même, carte troischanMs d'être tirée ce qui peut servir h comptéter une combinaison Les phsu de Lucknow sont différents: te deux et le cinq sont en rouge. La tradition qu'on donne pour expliquer cette couleur semblent indiquer qu'autrefois tous h's points étaient noirs comme dans les Hamata pùsa. Le VVun kan san sai dxu e raconte qu'un certnin emperMur de la dynastie de Ming M. t348.t643~ jouait aux dés avec ea reine Sugorooku. 11 allait perdre )a partie, il ne tui restait plus qu'une chance de gagner i) fnttait que les dés donnent un quatre. cria « lui e et le quatre vint. Il fut si content qo'i) ordonna q«f te quatre tut toujours coloré en rouge dans l'avenir.

Sans doute c'est ta une fable mais elle indique un changement de couleur.

Mais peut-être pourrait-on chercher t'orij{inc de la t'outear dans une idée cosmique.

Le ciel qui représente le double six étant vis a-vis de la terre et de l'homme que représentent un double as et double quatre respectivement dans la même situation que le nord par rapport au sud et les Chinois regardant le nord comme te siège du sombre guerrier, lesud comme celui de t'oiseau vermeit, rien d'étonnant à ce que les points aient pris les couleurs symboliques: le noir pour le six et le rouge pour l'as et le quatre. Puis en fait dé teur âge, les dés de Lucknow comme nous t'uvons dëjhvu, sont ceux qui servaient au Cbaturanga décrit dans la Bhavishya t'urana. Sir William .tones quand il a traduit la Purana la faisait remonter h trois ou quatre mille ans avant J. C. mais unsavantDanois, Van der Linde, attaque cette date et dans son livre considère tejeu comme assez moderne il en attribue l'origine à des Bouddhistes de t'Hindoustan vers le huitième siècle.

Dans '-e cas tes dés de Lucknow pourraient avoir une origine secondaire, un souvenir ou adaptation des échecs chinois apportés dans l'Inde par des chinois faisant des pélerinages au tempte de Bouddha sous la dynastie de Tang.

Le«Sx'ngtut< eouquatmeinq sixest cite cummeexempte d'un jeu de dés très simple et probablement d'une origine très ancienne par M. Culin, et qui est actuellement pratique par les ouvriers chinois en Amérique. On le joue avec les dés les plus larges et il y en a trois comme dans le Kamata pàsa.

Les combinaisons dans leur ordre d'importance sont:

i" Le « Wai e <rcM~Mt<aMe; le trois en haut et le six en bas; puisquatre cinq six (une sequence) « Sing luk on « Chun fa x (Oeurs enOtées)

< Chiaese Gtttnes with Dice, Cu)in <M9 t'hit.