l'Océan c'est ce q«e M. Martins et les autres membres de l'expédition frartçatse au Spitzberg ont observé à la base de tous tes glaciers de l'archipel. Mais dans tes mek trèsfroides, comme celtes du détroit de Smith, le glacier,, que ne peut fôndré ta niasse liquide, d'une température encore plus basse que la sienne, continue son voyage dans lès baies: Kg. 19. OLA.CIB& PB IK MADBISINB, SBR J.ES COTES. BU SPÎT2BB80.
sa pointe terminale s'avance au loin dans les profondeurs de l'Océan comme un immense rabot glissant sur les rochers. Plus légère que l'eau, l'énorme assise congelée est retenue sur le fond à cause de sa cohésion avec la mer de glace qui la pousse en avant; mais le moment vient où ses attaches se brisent. Obéissant enfin à la force qui cherchait à la soulever hors de l'eau, elle s'élance vers la surface, bascule à cause du changement de son centre de gravité, et se dresse