« l'œil de la tempête at comme s'ils voyaient réellement an dieu féroce dans l'ouragan qui descend du ciel pour tes étreindreet les secouer. Certes, îors^a'au milieu de cette horrible tourmente» les matelots acceptent la laite contre e les éléments, et. défiant la mort, essayent de manoeuvrer pour ramener leur navire désemparé, sans voiles et sans mâts, ils donnent un sublime exemple de la grandeur humaine.
Parmi les effets qu'ont produits certains ouragans, il en est plusieurs gui sembleraient tout à fait incroyables si le
génie de l'homme no jmvniiraa ffioym<ta ja ipftnffwfrëriitëszzi
autres Culminants. imprimer à l'air une rapidité plus grande encore et se donner ainsi, mais sur des espaces très-limités, v, une force de destruction supérieure à celle de la tempête. Le 26 juillet 1825, pendant l'ouragan de la Guadeloupe, un coup de vent saisit un planche épaisse de pias de 2 centimètres, et loi lit traverse)' de part en part un tronc de palmier de &0 centimètres. De même, dans un moindre tourbillon qui passa près de Calcutta, un bambou fat lancé au travers d'une muraille d'un mètre et demi d'épaisseur, c'està-dire que le souffle d'air en mouvement sur.ce point avait une force égale à celle d'an canon de six A Saint-Thomas, en 1837, la forteresse qui défend l'entrée du port fut démolie comme si elle avait été bombardée. Des blocs de rochers ont été arrachés du fond de la mer par 10 et 12 mètres d'eau et tancés sur la plage. Ailleurs, de solides maisons, déracinées de leurs fondements, ont glissé sur le sol en fuyant devant la tempête. Sur les bords du Gange, sur les côtes des Antilles, à Charleston, on a vu des navires échouer loin de la côte, en pleine campagne ou dans les bois. En 1681, un bâtiment d'Antigua fut même porté sur les falaises Jusqu'à 3 mètres au-dessus des plus hautes marées et resta comme un pont entre deux pointes de rochers. En 1825, lors du grand I initia Review. Dove, Loi des tempêtes.