du niveau de basse mer à ceint déliante mer. A Tanearville, qui est l'endroit pi^cis où la Seine débouche dans la baie, et où la marée dépasse l'amplitude moyenne de h roètresr toute la montée de feaa s'accomplit en deux heures, tandis que la descente de la masse liqtiide refoulée par te flot occupe environ dix heures. te fleuve, ayant à débiter pendant la période du jusant non-seulement ce que te flux lui avait apporté mais aussi les eaux douces qui lui viennent de l'amont, doit suivre son cours normal ver» la mer pendant un espace de temps plus long que celui de son refoutentent par la marée montante. Pour chaque point du lit de la rivière la durée du flux est en général d'autant plus courte que ce point est plus éloigné de la mer la force de la marée s'épuise peu à peu et. vers la fin de sa course, elle se borne à retarder un instant la vitesse du courant fluvial. L'amplitude des marées diminue également à propor-
Fig. 4(1. Murées de U auront»!.
tion de leurs progrès vers l'amont des fleuves. la masse d'eau douce coulant incessamment dans le canal empoche la marée basse de se creuser comme elle le fait au bord de la mer et, quant à la marée haute, sa moindre durée ne lui permet pas de s'élever à un niveau bien supérieur à celui qu'elle atteint sur les plages et les falaises océaniques ainsi dans la Garonne, l'écart entre le flux et le reflux diminue graduellement en amont du Bec d'Ambez, et près de Castets, à