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Titre : Journal officiel de la République française. Lois et décrets

Éditeur : Journaux officiels (Paris)

Date d'édition : 1920-02-18

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 640344

Description : 18 février 1920

Description : 1920/02/18 (A52,N48).

Description : Note : GG14181.

Description : Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Ministères des Affaires étrangères

Description : Collection numérique : Traités, accords et conventions

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IVe République (1946-1958)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k63827539

Source : DILA, 2009-100524

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/02/2013

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SOMMAIRE

PARTIE OFFICIELLE

Présidence du conseil.

Décret étendant à l'Alsace et la Lorraine la loi du 6 février 1920 sur l'avance de l'heure (page 2G82,.

portant introduction dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle de la loi du 21 novembre 1872, relallvo au jury (page 2682).

Ministère de la justice.

portant nominations dans la magistrature des tribunaux de première instance, conférant l'honorariat et acceptation de démission (page 2682).

désigQant des magistrats pour le règlement des ordres pour l'année judiciaire 19191920 (page 2633).

- Portant nominations dans les justices de Paix d'Algérie et de Tunisie et accepta"On de démission (page 2683).

^°oiont réunion de justices de paix (page 266::).

apportant un décret de transfert provisoire u un siège de justice de paix (page 2686).

Ministère de l'intérieur.

,portant nominations dans la Légion u ri, honneur (page 2686).

-.. Portant nomination dans l'administration Préfectorale (page 2686).

Moquant les électeurs du département PUt LOir-et-Cher, à l'effet d'élire deux dévuiés (page 2636).

C<SaT2?Hant les électeurs du canton de aire (Gironde), à. l'effet d'élire Un COIlSeiiler d'arrondissement (page 2686, --.. CovoqUanf les électeurs du 9e canton de CI :rsdoille, des cantons de Tartas Ouest fi nnA s^' Liancourt (Oise), à l'effet un conseiller général (page 2686).

'r'!l' autorisant (les œuvres de guerre à faire [Jpel a la générosité publique (page 2686;.

Ministère des finances.

Décret relatif à l'accession des commis d'enregistrement et d'hypothèques et des agents du cadre spécial de l'administration de l'enregistrement, des domaines et du timbre aux bureaux d'enregistrement de 6e classe (page 2710).

Ministère de la guerre.

Inscriptions au tableau spécial de la médaile militaire (page 2687).

Décrets et décisions portant promotions, nomi, nations, affectations : Artillerie (page 2708).

Service de santé (page 2709).

Justice militaire (page 2709).

Décision modifiant la circulaire concernant l'envoi en mission des hommes de troupe à l'étranger (page 2709".

Rectificatif à l'avis re1atifi'l l'incorporation de la classe 1920 (page 2709).

Ministère de la marina.

Décrets et décisions portant affectation, nominations (état-major général) (page 2710).

Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts.

Décret modifiant le décret du 3 mars 1914 relatif au concours pour l'admission à l'école normale supérieure et l'obtention des bourses de licence (page 2710).

- modifiant les décrets des 11 janvier 1909 et 20 juillet 1912 relatifs aux études en vue du diplôme de chirurgien dentiste (page 2710).

— modifiant les épreuves de langues vivantes du baccalauréat de l'enseignement secondaire (page 2711).

- fixant les cadres, les traitements et les classes du personnel de la conservation des palais nationaux (page 2711).

- fixant les cadres, les traitements et les classes du personnel du mobilier national (page 2712).

- maintenant certaines indemnités allouées à des agents de la conservation des palais nationaux (page 2713).

Ministère des travaux publics.

Décret portant promotion dans la Légion d'honneur (page 2714).

Décret concernant l'application aux voies ferrées d'intérêt local de l'Algérie de la loi du 22 octobre 1919 relative aux modifications temporaires des contrats de concession (page 2714)..

- portant classement des tramways de Bourges, de Béziers, Cette et Montpellier, comme tramways urbains (page 2714).

- portant majoration temporaire des tarifs sur les lignes de là société anonyme des tramways électriques de Rodez (page 2715).

Circulaire relative aux importations de charbons anglais en France (page 2715).

Ministère de l'agriculture.

Décret fixant les nouveaux traitements alloués au personnel du service de l'inspection générale des associations agricoles et des institutions de crédit (page 2716).

(Sous-secrétariat d'Etat de l'agriculture.) Arrêté portant admission à la retraite, mutations, nominations, mise en disponibilité et acceptation de démission (eaux et forêts) (page 2716).

Ministère des colonies.

Décret modifiant le décret du 16 avril 1913, portant réorganisation du service de la justice en Afrique équatoriale française (page 2716).

- approuvant un arrêté du gouverneur général de l'Indo-Chine portant modification au budget annexe du territoire do KouangTchéou-Wan (exercice 1919) (page 2717).

- et arrêtés portant nominations et mutations (officiers ministériels et personnel de la magistrature coloniale) (page 2 ¡ 17).

Ministère du travail.

Circulaire relative à la délivrance des cartes d'nvalidité aux mutilés et'réformés de la guerre en vue de l'attribution à ces anciens militaires du quart de place sur les grands réseaux do chemins de fer d'intérêt général (page 2718).

Ministère de l'hygiène, de l'assistance et de la prévoyance sociales.

Arrêté autorisant des sociétés de secours mutuels à assurer le service des soins médicaux aux victimes de la guerre (page 2718).


Pensions. — Concessions de pensions civiles (page 2719).

— Concessions de pensions(guerre) (page 2722).

Nominations à des emplois réservés (page2727).

PARTIE NON OFFICIELLE Présidence de la République. — Voyage du Président de la République à Thionville et à Verdun (page 2727).

Sénat. — Ordre du jour. — Convocation de commissions (pages 2733).

Chambre des députés. — Ordre du jour. —

Convocation de commissions (page 2735).

Avis, communications et informations.

MINISTÈRE DES FINANCES Avis relatif au concours pour l'emploi de dame - employée adjointe des services extérieurs de l'administration des douanes (page 2736).

Académie de médecine (page 2738).

Statistique municipale de la ville de Paris (page 2738).

Annonces (page 2739).

DOCUMENTS ADMINISTRATIFS PUBLIÉS EN ANNEXES

(Feuille 13 pour l'édition complète.) Rapport au Président de la République sur les opérations de la commission de contrôle de la circulation monétaire pour l'exercice 1919 (pages 175 à 180).

CHAMBRES Sénat. - Coi-npte rendu in extenso des débats.

- .: — Questions écrites. - Réponses des ministres aux questions écrites (pages 141 à 144). Chambre des députés. — Compte rendu in extenso des débats. — Questions écrites.

— Réponses des ministres aux questions écrites (pages 199 à 228).

PARTIE OFFICIELLE PRÉSIDENCE DU COISEIL Le Président de la République française, Sur la proposition du commissaire général de la République et sur le rapport du président du conseil, ministre des affaires étrangères,

Vu la loi du 6 février 1920, relative à l'avance de l'heure durant l'année 1920; Vu la loi du 17 octobre 1919, relative au régime transitoire de l'Alsace et de la Lorraine, Décrète : Art. 1er. -- La loi du 6 février 1920 est applicable en Alsace et Lorraine, sous la réserve que des arrêtés du commissaire général de la République remplaceront les décrets prévus par l'article 2 de ladite loi.

Art. 2. — Le présent décret qui sera publié au Journal officiel de la République française sera soumis dans le délai d'un mois à la ratification des Chambres.

Fait à Paris, le 14 février 1920.

R. POINCARR.

Par le Président de la République : Le président du conseil, ministre des a/fairfs étrangères, A. MILLERAND.

Le Président de la République française' Vu la loi du 17 octobre 1919, articles 3, paragraphe 1er, 4, paragraphe 2, et 7; Vu la loi du 21 novembre 1872, relative au jury; Vu l'arrêté du commissaire général du 6 août 1919, relatif au fonctionnement des cours d'assises en Alsace et en Lorraine; Sur le rapport du commissaire général de la République ; Sur la proposition du président du conseil, ministre des affaires étrangères, Décrète :

Art. 1er. — La loi du 21 novembre 1872, relative au jury, est applicable dans les départementstdu Bas-Rhin, du Ilaut-Rhin et de la Moselle. Toutefois, les listes des jurés, établies conformément à l'arrêté du commissaire général de la République du 6 août 1919, relatif au fonctionnement des cours d'assises en Alsace et en Lorraine, demeureront valablement constituées pour l'année 1920. ,

Art. 2. — Le présent décret sera soumis à la ratification du Parlement dans le délai d'un mois.

Art. 3. — Le président du conseil, ministre des affaires étrangères, est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et inséré au Bulletin des lois, ainsi qu'au Bulletin officiel d'Alsace et de Lorraine.

Fait à Paris, le 12 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président ùe la République : Le président du conseil, ministre des affaires étrangères, * A. MILLERAND.

* MIOISTÈRE Di JUTICE Par décret en date du 14 février 1920, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, Sont nommés : Juge au tribunal de première instance de la Seine (poste créé, loi du 28 avril 1919), M. Tanon, juge suppléant au siège (poste supprimé).

Juge au tribunal de première instance de la Seine (poste créé, loi du 28 avril 1919). M. Genty, juge suppléant au siège (poste supprimé).

Vice-président au tribunal de première instance de Lyon, M. Lamarche, juge au siège, en remplacement de M. Antoni. qui a été nommé juge au tribunal de première instance de Nice Juge au tribunal de première instance de Lyon, M. Coste, président du tribunal de première instance de Louhans.

Président du tribunal de première instance de Louhans, M. Laire, juge d'instruction au siège (poste supprimé).

Président du tribunal de première ins'ance de Vannes, sur sa demande, M. Denisse, nommé président du tribunal de première instance de Saint-Nazaire et non installé, en remplacement de M. Esvelin, non acceptant.

Président du tribunal de première instance de Saint-Nazaire, M. de la Broise. président du tribunal de première instance de Bernay.

Président du tribunal de première instance de Ploërmel, M. Prigent, ju:;e au tribunal de première instance de Dinan. en remplacement de M. Denisse qui a été nommé président du tribunal de première instance de Saint-Nazaire.

Juge au tribunal de première instance de Dinan, M. Aslié, substitut du procureur de la

République près le tribunal de première ins" tanee d'Annecy.

Président du tribunal de première instance de Condom, M. LatTnrgue, procureur de la ?0 publique près le siège, en remplacement a M. Pélissié de Castro, qui a été nommé prs: dent du tribunal de première instance de car cassonne.

Procureur de la République près le tribunal de première instance de Condom, M. Legoux^ juge d'instruction au tribunal de première lOto tance de Villefranche (Haute Garonne) (poslu supprimé).

Président du tribunal de première insfan de Mamers, M. Duval, juge au tribunal de Pie mière instance de Cholet, en remplacement a M. Esnault, qui a été nommé président du u1' bunal de première instance de ia Flèche. i Procureur de la République près le tribunal de première instance des Andelys, sur sa u; mande, M. Bazy, procureur de la Républlq 4 prés le tribunal de première instance deMop1 didier, en remplacement de M. Laraud, qlli a.

été nommé procureur de la République pr le tribunal de première instance de la Châtro.

Procureur de la République près le tribut de première instance de Montdidier, M. U set, juge d'instruction au tribunal de prenne*0 instance de Clermont (poste supprimé).

Procureur de la République près le tribunal de première instance de Carpentras, sur demande, M. Pommerol, nommé procureur » la République près le tribunal de premier instance de Mende et non installé, en placement de M. Baubeau, qui est mainte»

sur sa demande dans les fonctions de procll.

reur de la République près le tribunal de Pr mière instance de Mende.

Procureur de la République près le tribunal de première instance de Mamers, M. Beucll"' juge d'instruction au tribunal de prernl instance d'Uzès, en remplacement de M. ,\C.

tillard, qui a été nommé procureur de la Repll blique près le tribunal de première instanc du Mans.

Juge au tribunal de première instance d'K^j!' M. Aymeric (FrançoisElie), licencié en dr?v juge de paix de Trèves (loi du 28 avril 1919, art. 18, § 2 et décret du 29 décembre 1 1 art. 12, § 2, 4°).

Juge assesseur au tribunal-de première tance de la Seine (poste créé), M. Brault, .)~ au tribunal de première instance de Bar-s Aube (poste supprimé).

Juge assesseur au tribunal de première irrs' tance de la Seine (poste eréé), M. Charreyr > juge d'instruction .au tribunal de promit: instance de Melun. di Juge au tribunal de première instance g Melun, sur sa demande, M. Guillcmaut, Ille au tribunal de première instance de L teaudun.

Juge au tribunal de première instance : Châteaudun. sur sa demande, M. Fillaire, d'instruction au tribunal de première instan CO, de Pont-l'Evêque. /J Juge au tribunal de première instance 6 Pont-i'Evêque, M. Beauîils ( Joseph-Char* Achille), licencié en droit, juge de plUX: S Châteaurenault (loi du 28 avril 1919, art-fi § 2, et décret du 28 décembre 1919, art 15, 2, Juge assesseur au tribunal de prernière ! ngl tance de la Seine (poste créé), M. Prévost.

d'instruction au tribunal de première msi de Civray. x ditJuge au tribunal de première instant Civray, M. Meron (Marie-JOSCPII-JUgen-Knaf" licencié en droit, juge de paix de Charente (loi du 28 avril 1919, art. 1, e) et décret du 29 décembre 1919, art. 12, § 2, :-" Juge assesseur nu tribunal de preIIlsca.sstJ 1 tance de la Seine (poste créé), M.

substitut du procureur de la ilépubl iqtle Pr ée le tribunal de première instance dO blop t, brison. e Juge au tribunal de première Insta je Rougie, sur sa demande, M. Baille, ra, bunal de première instance de Masea remplacement de M. Régnier, qui a etc UL "i j ugo au tribunal de première instance gi<tr bel-Abbès.


toai x au tribunal de première instance d'EpiÏ8i, l M. Chevalier (Gilbert), avocat (loi du ce aVril J919, art. 18, § ler- 7° et décret du 29 dé« jjtj art. 12, § 1er), en remplacement Dativiilier, qui a été nommé juge assesseui aU tribunal de première instance de la §®ine ï*rt^e au tribunal de première instance de firbes Sur sa demande, M. Bergugnat, juge au (posunal de première instance de Bayonne lan te Uprmmé), en remplacement de M. Belari, qli & été nommé juge assesseur au tribuJ de Première instance de la Seine.

Brige au tribunal de première instance de clloil. ,M. Abric (Louis-Charles). licencié en (loi H Juge de paix du canton-ouest d'Orange tg d' u 28 avril 1019, art. 18, § 2 et décret du Vrtd 5mbre 1919, art. 12, § 2, 4°), en remplaJ e M. Balthazard, décédé.

Ne»tg<Lau tribunal de première instance de Tournié (Charles-Georges), licen28 juge de paix de Vertus (loi du fcfe Vol 1919, art. 18, § 2 et décret du 29 décemart. 18, § 2, 4-), en remplacement de CUre rani, qui a été nommé substitut du proPl'ern de la République près le tribunal de L cre instance de Tarascon.

Saif. au tribunal de première instance de liçen':'lilis, M. Vannier (Arthur-Jean-Baptiste), ljCen n droit juge de paix de la Chartre8 r-i Oir (loi du 28 avril 1919, art. 18, § 1 et rezn U 29 décembre 1919, art. 12, § 1er), en ement de M. Frette-Damicourt, qui a été iifommé procureur de la République près l Unal de première instance de Segré.

Vtg8 au tribunal de première instance de \te >le-François, sur sa demande, M. Chevae'r, - juge d'instruction au tribunal de première Al tncc de Cusset, en remplacement de Dumas, dont la démission est acceptée.

l'èUbstitut du procureur de la République AI. Y- tribunal de première instance d'Eyreux, 28 aîon (Marcel-Félix-Eugène), avocat (loi du 29 rtZ11 19*9, art. 18, § 1er et et décret du re 1919, art. 12, § 1er), en remplacement de Pellottier, qui a été nommé substribunal Procureur de la République près le trib "Ilal (le première instance de Blois.

j toncfinSUPPléànt rétribué pour exercer ses tolrictio ans le ressort de la cour d'appel ttlt. inistèr l'atou (Raymond), attaché titulaire au lCle 17 de la justice (loi du 28 avril 1919, arUcle *4■7 !, § 1er) sllPPléant rétribué pour exercer ses Qstia S dans le ressort de la cour d'appel de st.

®ïi droit Costa Marini (Jean-Baptiste), licencié Olt, ancien notaire, juge de paix de Boco0 (loi du 28 avril 1919, art. 17, § 2).

SuPPléant rétribué pour exercer ses OUrge S dans le ressort de la cour d'appel de 8 'l'iiir. Dramard (Auguste), avocat (loi du 28 t1919, art. 17,. 2).

Sont > llarSés pour trois atffs des fonctions de JjUstri,p0n aux tribunaux de première insère mst,auce de : laceè t1. Poissonnier, juge au siège, en remlIge a n de M. Hermant, qui a été nommé I a«f« ^sseur au tribunal de première insChllhk la Seine.

d Iacèles, M. Valéry, juge au siège, en remd F- M. Gervais, qui reprend, sur sa 1 Onctions de juge.

5î.ent M* Benoit, juge au siège, en remplaceIlt fle - Talandier, qui a été nommé juge e Clehon au tribunal de première instance errand.

Siège. (poste créé), M. Beauchef, juge. au s$°Uen\ .poste créé), M. Beauchef, juge au lleyqlliace l'iCUC, M. Havard, juge au siège, en Ï?*ïlacem^ent de M. Gannelon, qui a été llSta.ncJge assesseur au tribunal de première 'tun' - e la Seine.

aNs H Sicre de Fontbrune, juge au siège, nt de M. Chappot, qui a été Atf. R lce-président au siège.

M~ R ra t ancien président du tribunal de 1, Clen Intance de Saint-Affrique et Le Rond, llotlce drtsldent du tribunal de première insH(vlc? de ftetfiili ey, sont nommés présidents honoraires. elley, sont nommés présidents hoS. de M. Delaunay, juge sup1A unal de première instance de tyei, est acceptée.

Par décret on date du 14 février 1920, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés spécialement du règlement des ordres pour l'année judiciaire 1919-1920 aux tribunaux de première instance de : Meaux; M. Ilutinet, juge au siège.

Mostaganem, M. Soureilhan, juge au siège.

Pontoise, M. Chaudoyc, juge au siège.

Troyes, M. Gérard, juge au siège.

Versailles, M. Ditte, juge au siège.

Par décret en date du H février 1920, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, sont nommés : Juge de paix d'Aïn-el-Arba (4* classe), M. Pinardon, suppléant rétribué du juge de paix de Palestro, en remplacement de M. Hcnucci, qui a été iiommé juge suppléant au tribunal de première instance d'Alger.

Juge de paix d'Aïn-Témouchent, sur sa demande, M. Grimaldi, juge de paix d'Oued-Fodda, en remplacement de M. Bouygues, qui a été nommé juge au tribunal de première instance de Mascara.

Juge de paix de Boghari, sur sa demande, M. Fischer, juge de paix de M'Sila, en remplacement de M. Giudicelli, qui a été nommé juge suppléant au tribunal de première instance de Bône.

Juge de paix de M'Sila (4e classe), M. Pacaut, suppléant rétribué du juge de paix de Tiaret.

Juge de paix de Frenda (48 classe), M. BeraudReynaud, suppléant rétribué du juge de paix de Boghari, en remplacement de M. Bardet, mort pour la France.

Juge de paix de Taher (4* classe), M. de Nucé de Lamothe, suppléant rétribué du juge de paix de Taher, en remplacement de M. Sagot, qui a été nommé juge de paix de Jemmapes.

Juge de paix de Beja, sur sa demande, M. Boillev, juge de paix de Mahdia, en remplacement de M. Boissière, qui a été nommé juge suppléant au tribunal de première instance de Tunis.

Suppléant rétribué du juge de paix d'Oran, M.'Givry (François), licencié en droit, en remplacement de M. Allier, qui a été nommé suppléant rétribué du juge de paix de Saint-Denisdu-Sig.

Suppléant rétribué du juge de paix de Ténès, M. Faure-Pincuely (Jacques), avocat, en remplacement de M. Blanchi, dont la démission a été acceptée.

Suppléant rétribué du juge de paix de Soukel-Arba, M. Michaud (Abel-Jean), licencié en droit, en remplacement de M. Fontan, qui a été révoqué.

Suppléant non rétribué du juge de paix de Djelfa M. Durand (Eugène-Paul), en remplacement de M. Marty, dont la démission est acceptée.

La démission de M. Morel, suppléant rétribué du juge de paix d'El-Kseur, est acceptée.

Le Président de la République française, Sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, Vu l'article 13 de la loi du 28 avril 1919 ainsi conçu : « Après avis des chefs de cour, des décrets rendus en conseil d'Etat dans les deux années de la promulgation de la présente loi, procéderont, dans la limite du tiers des justices de paix de toutes classes à la réunion, sous la juridiction d'un seul magistrat, de deux justices de paix limitrophes dans le même département. »

Vu les rapports des premiers présidents des cours d'appel de : Agen, Aix, Angers, Besançon, Bordeaux, Bourges, Caen, Chambéry, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon, Montpellier, Nîmes, Orléans, Paris, Pau, Poitiers, Rennes, Riom, Rouen, Toulouse,

et des procureurs généraux près les mêmes cours, Le conseil d'Etat entendu, Décrète : Art. 1er. — Sont réunies : COUR D'APPEL D'AGEN Département du Lot-et-Garonne.

La justice de paix de Puymirol à celle d'Agen (2° canton), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL D'AIX Département des Basses-Alpes.

La justice de paix de Moustiers-SainteMarie à celle de Riez, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département des Bouches-du-Rhône.

Les justices de paix de : Roquevaire à celle d'Aubagne, sous la ju.

ridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Aix (canton Sud) à celle d'Aix (canton Nord), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL D'ANGERS Département de Maine-et-Loire.

Les justices de paix de : Le Louroux-Béconnais à celle de Candé, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton. -- - -- -

Longué à celle de Beaufort-en-Vallée sous la juridiction du juge de paix de et dernier canton.

Département de la Mayenne.

Les justices de paix de : Chailland à celle d'Ernée, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Bierné à celle de Château-Gontier, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Sarthe.

Les justices de paix de : Tuffe à celle de Montfort-le-Rotrou, sow.

la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

La Suze à celle de Malicorne, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

- - COUR D'APPEL DE BESANÇON Département du Doubs.

Les justices de paix de : Quingey à celle de Boussières, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Clerval à celle de l'Isle-sur-le-Doubs, sous la juridiction du juge de paix de co dernier canton.

Le Russey à celle de Maiche, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton; Département du Jura.

Les justices de paix de : Montbarrey à celle de Chaussin, sous la juridiction du juge de paix de ce derniei canton.

Saint-Laurent à celle de Morez, sous la juridiction du juge de paix de ce dernici canton.


Département de la Haute-Saône.

Les justices de paix de : Çombcaufontaine à celle de Scey-surSaône, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Faucogney à celle de Luxeuil, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Melisey à celle de Lure, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE BORDEAUX Déparlement de la Charente.

La justice de paix de : Hiersac à celle de Rouillac, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Dordogne.

Les justices de paix de : Hautefort à celle d'Excideuil, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Issigeac à celle d'Emet, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Champagnac-de-Belair à celle de SaintPardoux, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Gironde.

Les justices de paix de : Sauveterre à celle de Targon, sous la la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Pujols à celle de Castillon, sous la juridiction du juge de paix de ce-dernier canton.

COUR D'APPEL DE BOURGES Département du Cher.

Les justices de paix de : Lury-sur-Arnon à celle de Mehun-surYevre, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Levet à celle de Dun-sur-Auron, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Saulzais-le-Potier à celle de Saint-Amand, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de l'Indre.

La justice de paix de : Eguzon à colle- di Argenton, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Nièvre.

Les justices de paix de : Tannay à celle de Clamecy, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Premery à celle de Varzy, sous la juridiction dut juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE CAEN Département du Caluados.

Les justices de paix de : Tilly-sur-Seulles à celles de Creully, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Morteau-Coulibœuf à celle de Falaise, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Aulnay-sur-Audon à celle de Beny-Bocage, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Manche.

Les justices de paix de : Beaumont-Hague à celle de Pieux, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Lessay à celle de la Ilaye-du-Puits, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Saint-Malo-de-la-Lande à celle de Coutances, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Saint-Pois à celle de Juvigny-lo-Tcrtre, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Barenton à celle de Tcillcul, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE CHAMBÉRY Département de la Savoie.

Les justices de paix de : Albens à celle d'Aix-les-Bains, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton. Lanslebourg à celle de Modane, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-SAVOIE Les justices de paix de : Cruseilles à celle de Saint-Julien, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Boëge à celle de Saint-Jooirc, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE DIJON

Département de la Côte-d'Or.

Les justices de paix de : Selongey à celle d'Is-sur-TilIe, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Grancey-le-Château à celle de Recey-sur-Ource, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier cantop.

Bligny-sur-Ouche à celle d'Arnay-Ie-Duc, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Ilaule-Marne.

Les justices de paix de : Saint-Blin à celle d'Andelot, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Neuilly-l'Evèque à celle de Montigny-leRoi, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

La Ferté-sur-Amance à celle de FaysBillot, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Poissons à celle de Chevillon, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de Saône-et-Loire.

Les justices de paix de : Saint-Gengoux-Ie-National à celle de Cluny, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Issy-l'Evêque à celle de Toulonrsur-Ar-

roux, sous la juridiction du juge de p de ce dernier canton.

Montret à celle de Louhans, sous la jurf.l diction du juge de paix de ce dernier eauton.

Cuiserey à celle de Montpont, sous 1 juridiction du juge de paix de ce dernIer canton.

COUP D'APPEL DE GRENOBLE Département des Hautes-Alpes.

Les justices de paix de : La Batie-Neuve à celle de Gap, sous juridiction du juge de paix de ce derme canton.

Ribiers à celle de Laragne, sous la jU; diction du juge de paix de ce dermer canton.

Barcillonnette à celle de Tallarde, Soug 18 juridiction du juge de paix de ce derfi16 canton.

Département de la Drôme.

La justice de paix de ;

Tain à celle de Saint-Donat, sous la Jur diction du juge de paix de ce dernier caIt' ton.

Département de l'Isère.

La justice de paix de : Corps à celle de Valbonnais, sous la ja; ridiction du juge de paix de ce derIlie canton.

COUR D'APPEL DE LIMOGES Département de la Corrèze.

La justice de paix de : Beynat à celle de Meyssac, sous la tJ; ridiction du juge de paix de ce derflief canton.

COUR D'APPEL DE LYON Déparlement de l'Ain.

La justice de paix : Collonges à celle de Bellegarde, sous 'et juridiction du juge de paix de ce dero1 canton.

Département de la Loire.

Les justices de paix de :

Saint-Haon le-Chatel à celle de la Pz dière, sous la juridiction du juge de pa1* ce dernier canton. éJ1, Saint-Georges-en-Couzan à celle de gjj, sous la juridiction du juge de paix de Ce dernier canton.

Département du Rhône.

Les justices de paix : JtJ" Mornant à celle de Vaugneray, l:1JÍet ridiction du juge de paix de ce e

canton. '\1rf Amplepuis à celle de Thisy, sous .la wfi?

diction du juge de paix de ce derflier ee ton.

COUR D'APPEL DE MONTPELLIElt Département de l'Aude.

La justice de paix de : SOU' Salies-sur-l'Hers à celle de BelPec 1 la juridiction du juge de-paix de ce de rniet canton.

Département de l'Aveyron. La justice de paix de : iettpe1'¡ La Salvetat-Peyralés à celle de R


roux, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Déparlement de l'Hérault.

Les justices de paix de : Montagnac à celle de Pézénas, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Le Caylar à celle de Lodève, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE NIMES Département de VArdèche.

Les justices de paix de : Rochemaure à celle de Viviers, sous la Juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Valgorge à celle de Largentière, sous la Juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département du Gards Les justices de paix de : 1

Marguerites à celle de Nîmes (3e canton), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Lussan à celle de Bagnols, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Lozère.

La justice de paix de : Malzieu à celle de Saint-Alban, sous la Juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Vaucluse.

La justice de paix de : Bonnieux à celle de Gordes, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL D'ORLÉANS Département du Loir-et-Cher.

Les justices de paix de : Selommes à celle de Vendôme, sous la , juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Droué à celle de Mondoubleau, sous la J. uridiction du juge de paix de ce dernier canton.

s Menneton-sur-Cher à celle de Romorântin, dOUS la juridiction du juge de paix de ce ernier canton.

Département du Loiret.

tes justices de paix de :

à celle de Meung-sur-Loire, sous la jur fiction du juge de paix de ce dernier .Ilton.

ja^0urtenay à celle de Châteaurenard, sous fiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE PARIS Département de l'Aube.

;s justices de paix de : la l'illev à celle de Troyes (iw canton), sous carldlCtion du juge de paIx de ce dernier canton' jugvnges à celle ~de Ramerupt, sous la jurldiet Ion du juge de paix de ce dernier t k n t on* la id "ssY-sur-Seine à celle de Riceys, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton

Marcilly-lë-Hayer à celle de Nogent-surSeine, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département d'Eure-et-Loir.

La justice de paix de : Thiron-Cardais à celle de la Loupe, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de Seine-et-Marne.

Les justices de paix de : La Chapelle-la-Reille à celle de Nemours, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Rebais à celle de la Ferté-Gaucher, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de Seine-et-Oise.

Les justices de paix de : Méréville à celle d'Etampes, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de l'Yonne.

Les justices de paix de : Villeneuve-sur-Yonne à celle de SaintJulien-du-Sault, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Sergines à celle de Pont-sur-Yonne, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE PAU Département des Basses-Pyrénées.

La justice de paix de : ¡ r Oloron (canton Ouest) à celle d'Oloron (canton Est), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE POITIERS Déparlement de la Charente-Inférieure.

Les justices de paix de : Saint-Agnant à celle de Marennes, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Saint-lîilaire de Villefranche à celle de Saint-Jean-d'Angély, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Déparlement des Deux-Sèvres.

La justice de paix de : Frontenay-Rohan-Rohan à celle de Niort (1er canton), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Vienne.

La justice de paix de : Availles-Limouzine à celle de l'Isle-Jourdain, sous la juridiction du juge de paix dp ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE RENNES Département du Finistère.

Les justices de paix de : Ploudiry à celle de Landerneau, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Plabennec à celle de Lesneven, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département d'Ille-el-Vilaine.

Les justices de paix de : Mordelles à celle de Rennes (canton SudOuest), sous la juridiction du juge do paix de ce dernier canton.

Maure à celle de Pipriac, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Chateaugiron à celle de Rennes (canton Sud-Est), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton Argentré à celle de la Guerche, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Louvigné-du-Désert à celle de Fougères (canton Nord), sotis la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Saint-Brice-en-Cogles à celle d'Antrain, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Châteauneuf à celle de Saint-Scrvan, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Loire-Inférieure.

Les justices de paix de : Rouge à celle de Châteaubriant, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Ligné à celle de Nort-sur-Erdre, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton, Saint-Gildas-des-Bois à celle de Pontchiteau, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Carquefou à celle de Nantes (2e canton), sous la juridiction du juge de paix de c9 dernier canton.

Département du Morbihan.

Les justices de paix de : Locminé à celle de Baud, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Elven à celle de Vannes, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE RIOM Département de VAllier.

Les justices de paix de : Le Montet à celle de Sèuvigny, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Marcillat à celle de Commentry, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Cerilly à celle d'Hérisson, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département du Cantal.

La justice de paix de : Saint-Mamet à celle de Maurs, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département de la Haute-Loire.

Les justices de paix de : Allegre à celle de Craponne, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.


Le Puy (canton Nord-Ouest) à celle du Puy (canton Sud-Est), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Déparlement du Puy-de-Dôme.

Les justices de paix de : Tauvcs à celle de la Tour-d'Auvergne, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Ennezat à celle de Riom (canton Est), sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE ROUEN Département de l'Eure.

Les justices de paix de :

Ecos à celle de Vernon, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Quillebœuf à celle de Pont-Audemer, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Cormeilles à celle de Beuzeville, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Déparlement de la Seine-Inférieure.

Les justices de paix de ; Lillebonne à celle de Saint-Romain, sous "la juridiction du juge de paix de ce dernier canton. Londinicres à celle de Neufchâtel, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

COUR D'APPEL DE TOULOUSE Département de l'Ariège.

La justice de paix de : Saint-Lizier à celle de Saint-Girons, sous la juridiction du juge de ])aix de ce dernier canton.

Département de la Haute-Garonne.

Les justices de paix de : Verfeil à celle de Montastruc, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Barbazan à celle de Montrejeau, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

L'IsIe-en-Dodon à celle de Boulogne-surGesse, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Département du Tarn.

La justice de paix de : Puylaurens à celle de Cuq-Toulza, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Déparlement du Tarn-et-Garorme.

La justice de paix de : Montaigu à celle de Bourg-de-Visa, sous la juridiction du juge de paix de ce dernier canton.

Art. 2. — Le garde des sceaux, ministre de la justice est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel de la Hépublique française et inséré au BujJktin des lois.

Fait à Paris le 17 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le garde des sceaux, ministre de la justice, UI0PITEAU.

-—————- -—————

Par décret en date du 17 février 1920, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, Vu la loi du 6 février 1915, article 2, complétée par les lois des 4 octobre 1916 et 2G mai 1918 : Est rapporté le décret du 10 février 1916 transférant provisoirement à Malleloy (Meurtlie-et-Moselle) le siège de la justice de paix du canton de Nomény (Meurthe-et-Moselle).

♦ ———————

IINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR

Par décret du Président de la République en date du 14 février 1920, rendu sur la proposition du ministre de l'intérieur, vu la déclaratiou du conseil de l'ordre en date du 14 février 1920, portant que la nomination faite aux termes du présent décret n'a rien de contraire aux lois, décrets et règlements en vigueur : Est nommé au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur : M. Robin (Nicolas-Edmond), maire de Verdun (Meuse).

Depuis le 10 mai 1908, conseiller municipal, adjoint au maire, a fait fonctions de maire de 1917 à 1919, maire de Verdun depuis le 11 décembre 1919.

12 ans de fonctions électives.

Titres exceptionnels : services distingués rendus à la Tille de Verdun.

Par décret du Président de la République en date du 17 février 1920, rendu sur la proposition du ministre de l'intérieur : M. Biilecard, ancien sous-préfet, est nommé sous-préfet de Brest, en remplacement de M. Brisard, appelé à d'autres fonctions.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur, Vu la loi organique du 30 novembre 1875 sur l'élection des députés;

Vu les décrets organique et réglementaire du 2 février 1852; Vu la loi du 17 juillet 1839, relative aux candidatures multiples ; Vu la loi du 29 juillet 1913 ayant pour objet d'assurer le secret et la liberté du vote, ainsi que la sincérité des opérations électorales, modifiée et complétée par la loi du 31 mars 1914; Vu la loi du 20 mars 1914, tendant à réglementer l'affichage électoral ; Vu la loi du 31 mars 1914, ayant pour ob jet de réprimer les actes de corruption dans les opérations électorales ; Vu la loi du 12 juillet 1919, portant modification aux lois organiques sur l'élection des députés et établissant le scrutin de liste avec représentation proportionnelle ; Vu la loi du 14 octobre 1919, divisant certains départements en circonscriptions électorales pour la nomination des membres de la Chambre des députés ; Vu le décret du 23 octobre 1919, portante convocation de tous les collèges électoraux; Vu le procès-verbal de la séance de la Chambre des députés en date du 22 janvier 1920, duquel il résulte que, dans cette séance, MM. Berger (Pierre) et Pichery, députés du département de Loir-et-Cher, élus sénateurs, ont déclaré se démettre de leur mandat,

Décrète: Art. 1er. — Le collège électoral du département de Loir-et-Cher est convoqué pour le dimanche 14 mars 1920 à l'effet d'élire deux députés.

Art. 2. — L'élection aura lieu suivant les formes déterminées par les lois et décrets ci-dessus visés.

Art. 3. — Les maires des communes où, conformément à l'article 8 du décret réglementaire du 2 février 1852, il y aurait lieu d'apporter des modifications à la liste électorale arrêtée le 31 mai 1919 publieront, cinq jours avant la réunion des électeurs, un tableau desdites modifications.

Art. 4. — Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 14 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, T. STEEG.

+ 1

Par décret du Président de la République, en date du 14 février 1920, rendu sur la proposition du ministre de l'intérieur, sont convoqués pour le 7 mars 1920, à l'effet d'élire un conseiller d'arrondissement : Les électeurs du canton de Saint-Macaire (Gironde), en remplacement de M. Gîresse, décédé.

Par décret du Président de la République en date du 14 février 1920, rendu sur la proposition du ministre de l'intérieur, sont convoqués pour le 7 mars 1920, à l'effet d'élire un conseiller général : Les électeurs du 9e canton de Marseille (Bouches-du-Rhône), en remplacement de M. Roux, décédé.

Les électeurs du canton de Tartas-Ouest (Landes), en remplacement de M. Navarre, décédé.

Les électeurs du canton de Liancourt (Oise), en remplacement de M. Roguet, décédé.

• *

Par arrêté du ministre de l'intérieur, en dt8 du 14 février 1920, ont été autorisées à. fair0 appel à la générosité publique dans les conditions prévues par la loi du 30 mai 1916 et le décret portant règlement d'administration P1'blique du 18 septembre 1916, les œuvres ci" après désignées, dont le siège social e-it dans le département de la Seine : Aide aux associations agricoles desArdenoc5 dévastées, 8, rue Christophe-Colomb..

Comité constitué en vue de l'érectiorl monument en souvenir des enfants de \!: sur-Seine, morts au champ d'honneur, à N'itry, Comité du monument à la mémoire des a ciens élèves de l'école municipale supérieur Arago, 4, place de la Nation, Paris. 1, rtil" ArCaogmo, ité du monument aux morts de a lerie d'assaut, 10, rue Erard, Paris.. aU Comité pour l'érection d'un monument A soldats d'Antony, morts pour la France, a a tony. t.onalO Monument aux morts de l'école na i ais.

supérieure des beaux-arts, 17, quai malaquais.

Les morts immortels, 16, rue de Château" Orphelins de guerre de Bondy, à BondY ies da Propos du mois-revue pour les avaug d& guerre, 14, rue Copernic.. Ii"" société d'impression et de reliure ûu u~ pour les aveugles, 4.9, rue Ampère.


MINISTÈRE DE LA GUERRE le Président du conseil, ministre de la guerre, Ju le décret du 13 août 1914; Vu le décret du 1er octobre 1918, Arrête: 1ricle unique. — Sont inscrits au tableau Social de la médaille militaire, les militaires Ont les noms suivent : Artillerie.

ter rég. d'artillerie de campagne.

CAILLE (Gabriel-Louis-Jean), mie 8355, briKattier : brigadier brave et dévoué. S'est fait parquer à maintes reprises par son mépris t olu du danger. Tué glorieusement, le 7 Janvier 1917, à Sapigneul. A été cité.

e CURT. (Eugène), mie 07093, canonnier: brave lp "0Qnier, volontaire pour les missions périlS-A été mortellement blessé en assurant le service de sa pièce, le 2i mai 1916. A été cité.

OUBI (Georges-Joseph) mie 04188, maitre Intu.r : maître pointeur qui a constamment don a tous l'exemple de la bravoure et de l'aah onegation. A été tué glorieusement par un 1 allemand en nettoyant sa pièce iramédi*t ment après un bombardement intense des .nes ennemies, le 3 septembre 1916.

h TABa (Arthur-Ovide), mie 019406, canonnier : on canonnier, a donné constamment l'exemple cl courage et du dévouement, toujours volontaire pour l'accomplissement de missions danseuses, atteint mortellement en accomplissant dS fonctions de chargeur sous un feu violent artillerie, le 3 avril 1916. A été cité.

GAUTHIER (Charles), mie 2108, maréchal des n gIS: sous-officier d'un grand courage. S'est et ftî?lnent distingué comme agent de liaison et observate, ur à l'artillerie de tranchée en Mortre hlessure, deux citations antérieures.

il i nt blessé à la position de batterie tion i ^Plissait les fonctions de chef de secPalrne 26 Février 1916. Croix de guerre avec di:ZEAt UX (Marcel-Gabriel), mie 5431, brigaler - a t()ujours été un vaillant brigadier, faieléVQ instamment preuve de courage et de ^ran<îer?en^ glorieusement pour la Croced' le 18 avril 1917. Une citation antérieure.

QOix de guerre avec étoile d'argent.

di:éE (François), mie 7356, brigadier : brigatout voué. S'est bravement conduit pendant tomA la campagne, notamment en juillet 1918 el'Ott ndant la poursuite de l'ennemi du mois cadr obre. Agellt de liaison près du chef d'esIiliss on. A élé mortellement blessé en accomSa mission, le 20 octobre 1918. Une d'afn antérieure, Croix de guerre avec étoile bgerit BOURDON (Maxime), ïnle 07147, brigadier : mes 1 riSadier, donnant toujours à ses homHies e Plus bel exemple de courage. Tombé le ent pour la France, le 17 avril 1916, Qeva: Pontavert (Aisne). Déjà blessé au cours la ca a ne. Croix de guerre avec étoile

'cllnttR.:\UD (Pierre), mIe 03357, canonnier : 1 brave et dévoué, ayant toujours fait Dyeuve des plus belles qualités. Tombé gloelfjOuise ellt pour la France, le 19 avril 1915.

Croiv e guerre avec étoile de bronze.

t^ier?'A (Emile-Louis-René), mie 04658, bria.nt è¡ tres bon brigadier, audacieux et brave.

dant neï d'une pièce détachée aux avantPostes 1 aL été pris sous un tir de barrage et tué '11 bois balle en plein front le 20 janvier 1915, n* boiq de Barbotte. Une blessure antérieure: °i* duie > guerre avec étoile d'argent.

t, toujo,^ (Gaston-Juste) mie 7933, canonnier atnrnegs eté un vaillant soldat, faisant consent preuve de courage et de dévoueent \t ''— -glorieusement pour la France, la 29 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de tbVLAIR (Eugène-René), mie 016584, maréth al des logis : brave sous-officier donnant COUl'n s j. ses hommes le plus bel exemple de h ^cpmK glorieusement pour la France, le de bro 1 e 191:>. Croix de guerre avec étoile

BELLE (Simonet), mie 011435, canonnier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 10 octobre 1916, à la bataille de la Somme.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONNEAU (Henri), mie 012007, canonnier: a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve do courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 20 avril 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERNAT (Pierre-Augustin), mie 7358, canonnier : bon et brave canonnier d'artillerie de tranchée. Tué, le 25 juillet 1916, à Warvillers (Somme), dans l'accompiissement de son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

COURSIER (François-André), mie 4552, canonnier : brave canonnier. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 2 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHATEAU (Jean-Claude), mie 017416, canonnier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 13 avril 1917, devant Thuisy (Marne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

COSTE (Pierre), mie 03795, canonnier : bon et brave canonnier d'artillerie de tranchée.

Tombé glorieusement, le 3 octobre 1916, à Warvillers (Somme), dans l'accomplissement de son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIAVANNE (Maxime-Emile), mie 016649 B, brigadier : a toujours été un vaillant brigadier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 16 avril 1917, près de Paissy (Aisne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DESJOBERT (Alexandre), mie 01966, canonnier: canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort -glorieusement pour la France, le 10 décembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DESPLAS (Adrien-Jean), mie 03760, canonnier: a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 3 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DELHOMME (Louis), mie 01747, maitre pointeur : a toujours été un vaillant maitre pointeur, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 26 mars 1915, devant Bouchoir (Somme). Croiî§ de guerre avec étoile de bronze.

FOURmR (Jean-Henri-Marcel), mie 4151, brigadier : brave brigadier. S'est imposé à l'admiration de tous par sa crânerie. Tué à son poste de combat le 20 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GAUFFRE (Henri-Claude-Marcel), mie 15837, brancardier : a toujours été un vaillant brancardier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 6 septembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GRILLOT (Marcel), mie 4772, maréchal des logis : brave sous-officier donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage.

Tombé glorieusement pour la France, le 19 avril 1917, devant Wez (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

JENECOURT (Lucien), 'mie 5512, canonnier : brave et courageux canonnier qui dès son arrivée au front s'est immédiatement offert pour toutes missions dangereuses. Employé en forêt d'Apremont au ravitaillement en bombes des compagnies d'infanterie, a été mortelle-

ment frappé par un onus dans î execuuon ae sa mission le 30 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JEANTOT (Marius-Henri), mie 5602, canonnier : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombe glorieusement pour la France, le 5 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAPRÉE (François), mIe 8712, canonnier :

a toujours été un vaillant canonnier. faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 3 novembre 1914, à Warvillers (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAYIELLE (Jacques-Gratienï, mie 04556, maréchal des logis : a toujours 'été un vaillant sous-officier, faisant constamment preuve do courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 26 mars 1915, à la bataille de Bouchoir (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAURENT (Edmond-Eugène), mie 11780, maréchal des logis : brave sous-officier d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes la plus bel exemple en toutes circonstances.

Mort glorieusement pour la France, le 6 oc-' tobre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LUTINIER (Lucien), mle 06195, maître pointeur : maître pointeur plein d'entrain et de sang-froid, assurant un tir de barrage sous un bombardement violent. A été grièvement atteint et est mort pour la France le 8 aottt 19tt.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MATHIEU (Louis-Etienne-Augustin), mie 6861, canonnier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France le 21 avril 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARC (Jean-Antoine-Romain), mie Rt 729.

canonnier : jeune canonnier de la classe 1918, plein d'ardeur et de bravoure au combat.

Tombé glorieusement pour la France le 3) août 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze, MICHARD (Jacques), mie 4329, maître pointeur : brave maitre pointeur. A fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour Ir, France, le 21 août 1914 dans les Vosges. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NEANT (Pierre), mie 4155, canonnier brave canonnior. A fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France le 18 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PROST (Louis), mie 145, canonnier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 3 novembre 1914, à Warvillers (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PAIRE (Emile), mie 3652, canonnier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Mort glorieusement pour la France, le 4 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROSSET (Charles-Louis), mie 7490, brigadier : brave brigadier, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Tombé glorieusement pour la France, le 30 novembre 1915, au Labyrinthe (Artois). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SANCE (Alfred-Joseph), mie 7896, canonnier : canonnier courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 18 avril H'16.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

TISSIER (Jacques), mie 018688, canonnier

brave canonnier. Au front depuis le début de la campagne, s'est toujours montré brave et courageux. Le 19 avril 1917, en Champagne, alors qu'il servait aux positions de batterie, a été mortellement blessé par un éclat d obus.

en exécutant un tir de barrage. Croix de guerre avec étoile de bronze.

YALLART (Iréné-Charles), mIe 4090, canonnier - engagé volontaire, s'est distingué dès le début de la campagne comme cycliste, agent de liaison, notamment en forêt d'Apremont, of( il s'est offert pour accompagner en première ligne comme téléphoniste, les officiers observateurs avancés. Le 31 décembre 1914, a été tué d'une balle dans la tête alors qu'il posait une ligne téléphonique. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FORGET (Pierre), mie 010913, cannonier : sol.

dat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort pour la France, le 17 septembre 1914, des suites d'un accident


survenu en service commandé. (En exécution de l'article 277 du service courant), 2e ré.g. d'artillerie de campagne.

DLACIION (Julien) mie 6249, canonnier servant : brave cannonier, en service depuis le 1er juin 1915 dans l'artillerie de tranchée.

Blessé en octobre 1916. Cité à l'ordre de l'A. D.

le 9 janvier 1917. Glorieusement tué, le 5 avril 1917, en servant sa pièce sous un feu intense de minenwerfer allemand. A été cité.

BRENDEL (Jean-François), mie 10334 A, aspirant : jeune aspirant d'un entrain et d'une bravoure remarquables. Sorti de Fontainebleau dans l'artillerie de tranchée sur sa demande, a donné maintes preuves de dévouement absolu et de mépris du danger. Tué à son poste de combat, le 20 novembre 1916, alors qu'il continuait à observer le tir d'une de ses pièces malgré la violence d'un bombardement ennemi.

A été cité.

CHRlSTOLLET (Jean-Anthelme-François), mie 09S22, 2e canonnier : excellent téléphoniste, hrave et courageux, ayant l'attention toujours en éveil pour assurer l'entretien de ses lignes.

A été blessé grièvement en assurant des réparations urgentes sous un violent bombardement. Mort des suites de ses blessures le 7 mars 1917. Une blessure antérieure. A été cité. -

DROULIN (Georges-Henri), mie 0183, canonnier : servant dévoué et courageux. Blessé grièvement, le 5 avril 1917, en servant sa pièce -sous un violent bombardement de minen allemand. Mort pour la France des suites de ses blessures. A été cité.

EVRARD (Alphonse-Léon), mie 05004, brigadier : excellent gradé, modèle de dévouement et de bravoure, remplissant les missions les plus périlleuses pour les éviter à ses hommes.

Tué, le 23 juin 1916, par des projectiles ennemis au moment où il sortait de son abri pour se porter au secours de ses camarades blessés.

A été cité.

FERRAND (Henri-Emile), mie 4800, brigadier : - excellent brigadier aviateur, énergique et audacieux. Joignant à une rare intelligence dans l'accomplissement de ses missions, l'esprit le plus complet d'abnégation et de sacrifice. Volontaire pour toutes les missions dangereuses, a accompli sept bombardements à longue distance, dont deux dans des circonstances particulièrement difficiles. Mort pour la France au .retour du dernier de ceux-ci, au Plateau de Malzéville (Meurthe-et-Moselle), le 22aoûtl917.

A été cité.

LEBLANC (Louis-François), mie 08354, canonnier : canonnier remarquable par son courage, sa belle attitude au feu. Tué, le 23 juin 1916, en servant sa pièce, alors qu'il donnait à tous le plus bel exemple de calme et de sangfroid sous un bombardement violent. A été eité.

LARROQUE (Emile-Germain), mie 1376, adjudant : chef de section dans une batterie, avait été désigné en raison de sa remarquable tenue au feu et de ses mérites, et sur sa demande, pour commander trois canons de 80 lancemines. A fait preuve d'un dévouement, d'un sang-froid et d'un courage à toute épreuve. A été tué, le 20 novembre 1915, auprès d'une de ses pièces dont il avait continué -à régler le tir malgré le bombardement ennemi. A été cité.

MAISONNEUVE (Jean-Marie-Félix), mie 04093, canonnier : canonnier brave et dévoué. A été tué le 23 juin 1916, alors que, sous le bombardement, il servait sa pièce avec le plus grand sang-froid. A été cité.j ROGNIN (Charles-Louis-Victor), mIe 2644, maréchal des logis : sous-ofncier d'une bravoure exemplaire, le 15 juillet 1918, à la bataille de Champagne, pendant l'attaque ennemie, a assuré son service avec un calme et un courage remarquables, lorsque sa batterie était soumise à un très violent bombardement. A été grièvement blessé. Mort des suites de ses blessures, le 16 juillet 1918. Une citation antérieure. A été cité.

SIMON (Marius-Francisque), mie 5150, canonnier : au combat du 26 septembre 1915, s'est offert spontanément pour assurer la liaison entre l'infanterie et la batterie, dans un endroit particulièrement dangereux. A été tué en y arrivant. A été cité.

SENOTIER (Georges-lean-Marie), mie 6127, maréchal des logis : sous-officier plein de bravoure et d'allant. Tué, le 13 mai 1916, en portant secours à des tommes blessés. Récemment cité à l'ordre du régiment pour sa brillante conduite comme brigadier téléphoniste.

A été cité.

TISSIER (Gaston-Louis), mie 13258, canonnier : jeune canonnier. Blessé à son arrivée à la batterie comme téléphoniste, le 5 juin 1918, est allé sans hésitation et spontanément réparer une ligne sous un violent tir d'obus de tout calibre. Tué glorieusement en remplissant sa mission. A été cité.

VOIRON (Henri), mie 9939, canonnier : venu volontairement de la cavalerie dans l'artillerie de tranchée, s'est constamment fait remarquer par son sang-froid, son courage. Glorieusement tombé en. servant sa pièce sous le feu ennemi, le 15 mai 1917. A été cité.

FONTAINE (Louis-Amédée), mie 8139, canonnier : dévoué, consciencieux et brave. S'est distingué pendant tout le mois de mai 1918, par l'énergie et le courage avec lesquels il a tenu, bien que malade, à prendre sa part à toutes les fatigues et à tous les dangers qu'imposait à ses camarades le service de réparations des lignes dans un secteur très difficile.

Tué, le 27 mai 1918, à son poste de combat.

Croix de guerre avec palme.

CASSET (Joseph-Charles), mie 6696, 2e canonnier : excellent canonnier, courageux et dévoué, engagé avant l'appel de sa classe. Blessé mortellement à son poste de combat, le 7 septembre 1918. Déjà blessé antérieurement. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

MARQUET (Ferdinand), mie 7662, aspirant : excellent aspirant qui s'est fait remarquer plus particulièrement, lors de la prise du MortHomme, le 15 juin 1916, comme agent de liaison auprès de l'infanterie en maintenant par signaux optiques des communications constantes avec son groupe malgré de très violents bombardements sur les tranchées conquises.

Tombé à son poste de combat, le 21 juin 1916.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

SCIIEUMANN (David-Edouard), mie 017026, maréchal des logis : gradé d'élite, sans cesse sur la brèche, et possédant la confiance entière de ses chefs et de ses hommes. S'est affirmé comme un brave dans tous les combats auxquels il a pris part. A trouvé une mort glorieuse, le 4 juin 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

SELIGMANN (Luc-Jean), mie 86î5, brigadier: à peine arrivé au frout, a mérité une citation très élogieuse à l'ordre de la division. A con tinué à se distinguer en toutes circonstance en Champagne et à Verdun, oii il est glorieu sement tombé à son poste de corrôbnt, le 24 mars.

1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BROUSTAUD (Justin-Vincent), mie 5860, 2e canonnier : très bon canonnier, ayant toujours fait vaillamment son devoir. Tué à son poste de combat, le 27 septembre 1915, devant Perthes (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze, CHAPUIS (Jean), mie 03546, 2e canonnier : bon conducteur, ayant toujours donné toute satisfaction. A été tué glorieusement dans le village de Velaine (Meurthe-et-Moselle), le il septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAYOLLE (Albert-Marius-Valentin), mie 02836, canonnier : canonnier dévoué et courageux. A été tué le 7 octobre 1915, près de Flirev, pendant accomplissement de son devoir. "Croix de fauerre avec étoile de bronze.

FAYET (Jean), mIe 4566, canonnier : excellent canonnier. A pris part aux durs combats d'août et septembre 1914. Tué glorieusement en servant sa pièce au combat de la Neuvelotte (Grand Couronné de Nancy), le 9 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAYET (Stéphane), mie 4588, canonnier : excellent canonnier. A pris part aux durs combats d'août et septembre 1914. Tué glorieusement en servant sa pièce au combat de la Neuvelotte (Grand Couronné de Nancy), le 9 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LYARD (Augustin-Frangis), ml. 4614, canon-

nier : excellent canonnier. A pris part aux dur* combats d'août et septembre 1914. Tué glorle¡; sement au service de sa pièce au combat o" la Neuvelotte (Grand Couronné de Nancy).

9 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NOGUES (Louis-Joseph), mie 8312, te c0n^2 teur : téléphoniste dévoué et brave. A ételu) le 9 avril 1916, à Flirey (Meurthe-et-Mose tJ t pendant qu'il accomplissait courageusemeni son devoir. Croix de guerre avec étoile û®, bronze.

NIORD (Jean-Joseph), mie 8638, 2* conducteur : canonnier d'une bravoure réputée.

mort glorieusement pour la France, le 21 ser tembre 1916, des suites des blessures reçues a" bois Bourru.(Marne), en faisant vail[lanialeilt son devoir. Croix de guerre avec étoile do bronze.

PRATTA (Joseph), mie 03768, canonnier: excellent canonnier. A pris part aux Ilrl combats d'août et septembre 1914. Tué glorlg; sement en servant sa pièce, le 9 septcm d 1914, au combat de la Neuvelotte, (Gra Couronné) de Nancy. Croix de guerre avec étou de bronze.

ROLANDO (Martin-Joseph), mie 5596, carol' nier : canonnier courageux et dévoué, ayaIlÓ toujours fait bravement son devoir. DlSS grièvement, est mort pour la France des SUIte: de ses blessures, le 8 juin 1915. Croix de guerr avec étoile de bronze.

TOURNIER ( Victor-Auguste-Alexis -Nector » mie 03841, canonnier : très bon canonnie.1» ayant toujours fait vaillamment son devop Tué glorieusement, le 25 septembre 1914, fIl" vant Haucourt (Somme), à son poste de CO t bat en exécutant un tir sous un bmbardomQ ennemi. Croix de guerre avec étoile de broll";' 4e rég. d'artillerie de campagne. 1 BINET (Georges-Pierre), mie 2562, maréçj1^ des logis : sous-officier énergique plein d fil train et de crânerie au feu. Tué à son poste 0 combat, le 30 avril 1915. A été cité.

BENOIT (Jean-Marie), mie 5075, 2* condUCt teur : a toujours servi en brave et excelle1, canonnier donnant en toutes circonstances valeur de son dévouement. Mort pour France, le 28 juillet 1915. A été cité.

BOS (Louis-Noël-François) mie 5677, ma~ pointeur : maître pointeur brave et dév°'■ ayant toujours fait preuve des plus belles qlle, lités. Mort glorieusement pour la France, le 23 juillet 1916. A été cité.

BERLIOZ (Louis), mie 4967, trompette : tron" pette d'une conscience et d'un courage bors( pair, toujours volontaire pour les rnib-, périlleuses. Tué à son poste de combat..

5 septembre 1916, près de Suzanne (som1l1 , A été cité. DONNEAU (Auguste-François), mie 6678, nonnier conducteur : très bon conduc nt.

ayant beaucoup d'allant et de voue nie* très brave, A été mortellement blessé au ctolJ d'un ravitaillement en munitions, à la posltioL, de batterie, le 5 septembre 1916, sur la sorIl

A été cité.

CHAMBAUD DE LA JONCHERE (Guilla]j2$.

àmédée-Paul-Robert-Gaston), mie 853(3, l'al des logis : maréchal des logis de la cie Iii 1886, engagé volontaire pour la durée a tlij guerre,'n'a cessé de donner l'exemple aITc, dévouement absolu et du plus grand C0c j,filen particulier dans les journées du 6 au. » i 13 let 1916, où il a séparé a plusieurs rOP rises ligne téléphonique d'un observatoire, ?'\far" de violents bombardements et le tir de rage. Mortellement frappé à Verdun, le 1 11 let 1916. A été cité. 5er .CHAPUIS (Claude) mie 6144, canonni• err vant : téléphoniste brave et consceu !iCfO(J Blessé mortellement en installant Une iaijo téléphonique à Robaches (Vosges), en été cité. <Je c.

DAUCHEZ (Jacques-Maurice), mie i36'ri161 nonnier servant : jeune conducteur « .en renfort devant le mont Kemmel, ~~ort~ ticipé à l'offensive de l'Ourcq. Blessébre !:HS, lement à Crouy (Aisne), le 12 septerno ~~< A été cité. llit-r6 GEGOUT (Paul-Anatole), mie * pointeur : excellent pointeur, très »r e, 40


1U. Tué glorieusement à- son 'poste le 8 avril 1917 au nord de Villers-Franqueux (Marne).

A été cit' GAYET (Marius-François), mle,9618, 2e caler servant : jeune servant qui, pendant Ipts c o<J4 ; jours qu'il est rentré à la batterie, s'était eillt remarquer par sa belle bravoure et son entrain. Tué à sa pièce pendant un violent fOIllbardement au Chaufloux, près de Reims, le 28 avril 1917. A été cité.

9UIÇIIET (Léon-Henri-Firmin), mie 01.2186, brigadier - brave brigadier, énergique et déoue. S'est toujours distingué depuis le début do la campagne, par son complet mépris du Ranger, s'offrant comme volontaire pour toutes bes missions périlleuses. Entretenant par sa onne humeur l'entrain de ses camarades, fans les circonstances les plus critiques A été 1 à son poste de combat à Presles (Vosges), e 42 janvier 1916. A été cité.

(,Il ODON (Marius -Léon), mle 6369,1er servant : ve ephonisto d'un dévouement à toute épreul'c, Glorieusement tombé en réparant les 1Wles sous le jeu de l'ennemi, le 16 septembre I(JIG. A été cité.

p IRARD (Pierre), mie 5721, 2e servant : maître D ur consciencieux. A donné au cours de la ;amp{lgne de nombreuses preuves de cou8 et de calme, en assurant ses fonctions snynus le bombardement de l'ennemi. Tué glogeusement, le 11 août 1916, à son poste devant Urlu (Somme). A été cité.

2e GUILLARD (Louis-Jules-Alexandre), mie 10219, i canonnier servant : le 4 septembre 1918, godant le déplacement d'un groupe, sa batterie étant prise sous le feu de l'ennemi,.s'est Porté immédiatement, et sans aucun souci du Ranger, au secours de ses camarades blessés, a qui il a prodigué sur le terrain même les Premiers soins. Quand tous fusent pansés et i^ls à l'abri, est venu reconnaître la nouvelle 1 de batterie, puis est retourné en travPorrèsailt une zone violemment bombardée aulèreds blessés qu'il a assistés jusqu'à comPlète Vacuati°n. Infirmier aumonier de tout preniip ordre, admirable de dévouement, léSend-w "re au groupe pour l'entrain et l'exemple le 12 dont nait à tous. Tué à son poste de combat, - octobre 1918. A été cité.

GRO-'' 'lE, LLIER (Jules-Louis), mie 06690, 2e sertait' artilleur brave et dévoué, ayant toujours iait n uve des plus belles qualitée. Tombé elor-n Sement pour la France, le 14 juillet 1916, , erdun. A été cité.

llJSDERGUE (Césaire-Abel), mie 7609, 21 cade .1er servant : brave canonnier. Arrivé (lePtlS Peu à la batterie, s'était fait remarquer de tn 8 par son calme et sa bravoure. A été Mesïls grièvement, le 12 septembre 1916, en serVant sa pièce sous un bombardement violent d'obus de gros calibres. A été cité.

111iY (Robert-Antoine), mie 6568, 2e aide rnal'écl'al ferrant : brave canonnier, sur le fronts Puis le début de la campagne, a donné de "brcuses preuves de dévouement et de reuses preuves de dévouement et de cOrn ge. Notamment à Verdun 1917 est venu Q se ° volontaire sur la- position de batterie, a fois sa pièce sous le feu de Õ aolrn11. Mortellement blessé à son poste, le 5 aoûm t 918. A été cité.

lQEYnIE (Jacques), mie 06092, maréchal des W-' ®0us-°fricier très zélé, toujours prêt à se pro poser pour des missions dangereuses. Tué tri 'Is surant le ravitaillement de sa batterie a seMue route fréquemment bombardée, le ® Semi em£ .bi.re 1916, à Curlu (Somme). A été cité.

ServantY k (Hippolyte), mie 9122, 2* canonnier neur : bon canonnier. Mort au champ d'hon- ~eur 1,. o~ mars 1916, à Mesnil-les-IIurlus, en aisant bravement son devoir. A été cité.

brave .R (Emile), mIe 6807, 2e servant : bon et tloUr canonnier. S'est engagé dès le début et })reu.ad,QUrée de la guerre. A toujours fait qCUV qUabl un entrain et d'une énergie remarTué glorieusement à son poste de cortba t, le 21 mars 1915, en Alsace. A été dité.

PROST t(Marie-Michel-GeOrges), mie 017569, n: bon canonnier, courageux et dé®nd'ùiti i s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu- Mort glorieusement pour la France, le 15 iuiHet 1915. à Chancois (Meurthev *~Mospiue«J\ A été cité. *

QUITTE (Gaston-Roger), mie 12326,brigadier: à donné à maintes reprises, au cours des ravitaillements en munitions, des preuves de.courage. Grièvement blessé à son poste, le 12 septembre 1918, montra une énergie admirable.

Mort pour la France. A été cité.

REVOL (Joseph), mIe 5181, maréchal des logis : brave sous-officier. S'est fait remarquer par son courage depuis le début de la campagne. Détaché depuis le 20 juillet 1916 comme observateur près de l'infanterie, a fait preuve de belles qualités militaires sous les bombardements les plus violents. Tué glorieusement à son poste, le 16 août 1916. A été cité.

ROUX (Alix) mle 4518, maréchal des logis brave sous-officier. A fait preuve comme éclaireur de qualités sérieuses et a accompli son devoir avec calme, sang-froid et en même temps avec beaucoup de courage. A été tué glorieusement le 11 septembre 1916 à Maurepas (Somme). A été cité.

ROUFFIGNAC (Eloi), mie 09206, brigadier : brigadier de tout premier ordre, énergique, courageux et dévoué, Tué glorieusement le 20 août 1916, alors que malgré le bombardement violent, il se rendait à son poste de combat.

A été cité.

RODOT (Charles Emile-Auguste), "mie 6586, maréchal des logis : sous-officier d'une conscience et d'un dévouement dignes de tout éloge. Mortellement blessé le 12 septembre 1916, en assurant le service de sa pièce sous le feu de l'ennemi. A été cité.

GUYETAND (André), mie 1232, maréchal des logis : sous-officier d'une grande bravoure, s'est distingué dès le début de la campagne, en Alsace, puis aux attaques de Metzeral (mai 1915).

Tué en dirigeant le tir de. sa pièce le 12 septembre 1916 (prise de Bouchavesnes) dans un violent bombardement pendant lequel, quoique plusieurs servants de sa pièce aient été tués, il a réussi à ne pas ralentir le tir. Une citation antérieure. Croix de guerre avec palme.

MARCQ (Auguste-Lucien), mie 02511,2e canonnier servant : servant d'une bravoure hors de pair, coutumier des actes de dévouement. Mortellement blessé le 12 septembre} 1916, devant Bouchavesnes, en servant sa pièce avec le plus beau calme sous un violent bombardement.

Deux citations antérieures. Croix de guere avec palme.

TURREL (Louis-Alphonse), mie 4903, maître pointeur : excellent téléphoniste, maître pointeur. Tué glorieusement dans la nuit du Il au 12 septembre 1918 à l'échelle de la batterie par un obus de 130 à Vauxrupt (Aisne). Canonnier brave et courageux. Trois citations antérieures.

Croix de guerre avec palme.

LOUVET (Jean), mie 5213, maréchal des logis: maréchal des logis très courageux et très dévoué. A été tué pour la France le 16 mai 1918, au cours d'un tir de harcèlement. Deux citations antérieures. Croix de guerre avec palme.

GERARD (Ilenri), mie 6840, 2e servant : très brave servant, alsacien d'origine, engagé pour la durée de la guerre. A été tué sur la position de batterie de la Presle (Vosges), le 30 août 1915. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

IIUGUENARD (Léon-Victor), mie 57, adjudantchef : exemple vivant de sang-froid et de dévouement ; par son impassibilité au feu, avait acquis sur le personnel un très grand ascendant. Promu adjudant-chef au début de septembre pour ses belles qualités militaires, a été tué le 5 septembre 1914, alors qu'il dirigeait le tir de sa section au col des Journaux, près de Fraize, sous le feu presque ininterrompu do l'artillerie ennemie. Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile de vermeil.

BIAT (Jean), mie 12058, maître pointeur: excellent maître poiteur, d'une bravoure et d'un sang-froid à toute épreuve. Mort pour la France, le 6 novembre 1917, des suites de blessures reçues au combat. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DELPECII (Jean-Léon), mie 013054, 2* canonnier servant : très bon bombardier, courageux et dévoué. Mort le 2 novembre 1917, des suites d'intoxication par gaz. Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

GEIIIN (Joseph), mie 7568, brigadier : brigadier consciencieux .et dévoué, ayant toujours donné l'exemple du courage. Tombé glorieuse-

ment pour la France, le 22 septembre 1916, à Barleux (Somme). Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile d'argent. «

RABIET (Arthur-Emilien-Léon), mie 6493, 211 servant: téléphoniste brave et plein d'allant, :tou.JOUl'S volontaire pour les travaux de réparation des lignes, quelque violents que fussent les -bombardements. Tué, lé 23 juillet 1918 à la position de batterie près du Mont-Chevillon (Aisne) en portant un ordre: Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

SAUNIER (Joseph-Victor), mie 12057, maître pointeur : maître pointeur ayant toujours fait preuve du dévouement le plus absolu et d'un courage remarquable. Intoxiqué par gaz devant Verdun, est mort des suites de cette intoxication, le 3 novembre 1917. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PATRU (Jules-Aristide), mie G620, 21 servant : excellent servant qui, pendant le premier mois de la campagne, avait montré un courage et un entrain tels qu'après quatre ans et demi de campagne, leur souvenir reste encore vivaee parmi ses camarades. Tué glorieusement à Fraize (Vosges); le 5 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile d'argent.

CORDELIER (Auguste-Marcel), mie 5875, cannonier auxiliaire : très bon servant, très consciencieux et très brave. Ayant toujours un excellent moral et beaucoup d'allant. Tué glorieusement à son poste de combat à Anould (Vosges) le 3 septembre 191.1. Croix do guerra avec étoile de bronze.

DURAND (François-Louis-Eugène), mie 1204Ç, 2e canonnier servant : bombardier brave et dévoué, toujours sur la position de batterie.

Mortellement blessé devant Verdun, le 4 novembre 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEVEVEY (Louis-Josepli), mie 4929, brigadier : brigadier ayant toujours fait preuve de courage et de dévouement. Tué .glorieusement, le 24 août 1915, devant Saint-Dic. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ETCIIEPARCE (Guillaume), mie 019370, 2c canonnier servant : très bon conducteur, très dévoué, a donné des preuves de sa bella tenue au feu à Verdun, en Lorraine, dans les Flandres, sur l'Ourcq et a été mortellement blessé au cours d'un bombardement de nuit à Crouy, près Soissons, en septembre 1918.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

FRERON (Abel-Charles-Emile), mIe 5125, maréchal des logis : excellent chef de pièce, ayant montré un beau sang-froid en toutes , circonstances. Tué glorieusement sur la position de batterie, au moulin de Fargny (Somme), le 19 juillet 1919. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOIN (Adrien-Victor), mie 6313, 2e conducteur : excellent conducteur, très dévoué et très brave, a participé aux ravitaillements souvent périlleux et pénibles devant Verdun 1917, en Lorraine, au Kemmel et sur l'Ourcq 1918. Grièvement blessé pendant un bombardement de nuit de la position à Crouy, près Soissons. Mort des suites de ses blessures, la 12 septembre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIINIGER (Jean-Emile), mie 6672,2e canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves do sa bravoure et de son sang-froid. Mort pour la France, le 3 septembre 1915, à Moycnmoiitiers (Vosges). Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOUFFROY (Jean-Gabriel), mie .3703, maréchal des logis : très bon sous-officier, brave et dévoué, sachant communiquer. à ses hommes ses qualités militaires. Tué a son poste de combat, le 3 septembre 1914, a Anould (Vosges).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

JACQUOT (Camille-Georges), mie 8641, 3e canonnier servant : modèle de canonnier conducteur très brave et très allant. Tué glorieusement, le 31 janvier 1918, près de Bruyères (Aisne), au moment où, dans une mise en batterie, il faisait franchir à sa voiture un tir de barrage. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JUPILLE (Paul-Louis), mIe 5761, 2e canonnier servant : conducteur dévoué et brave. A-été tué glorieusement, le 24 septembre 1914, à son poste de combat devant Denipaire (Saint-Dié)* -Croix de guerre avec étoile de bronze.


JOLY (Emile-Armand), mIe 6515, 1er canonnier servant : téléphoniste très brave et d'un dévouement absolu. Tué dans la Somme, le .28 août 1916, en faisant bravement son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

JEUNET (Louis-Armand-Auguste), mIe 7026, 2* canonnier conducteur : canonnier dévoué et brave. Tombé glorieusement pour la France, le 5 septembre 1916, à Hem (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LABORIER (Philibert), mie 06618, ler servant: servant très brave, toujours plein d'entrain, très dévoué. Blessé mortellement, le 7 septembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LACOMBE (Louis), mie 03932, 2e canonnier conducteur : excellent conducteur, ayant toujours fait preuve d'un beau courage. Mortellement blessé en Champagne, mars 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LOMBARDET (Jules-Henri), mie 6168, 28 canonnier conducteur : conducteur dévoué et brave. Tombé glorieusement pour la France, le 25 juillet 1916, sur la position de batterie, près de Maricourt (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze. LABATUT (Félicien), mie 012730, maître pointeur : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort pour la France, devant Soissons, dans l'accomplissement de son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.MAUREL (Jean), mie 02519, 2e conducteur : bon conducteur, dévoué et bravo. Mortellement blessé au cours d'un ravitaillement de la batterie à Maricourt (Somme), juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MONCUQUET (Germain), mie 13367, 2e canonnier servant: canonnier de tout premier ordrea toujours donné l'exemple de la bravoure et du dévouement. Blessé mortellement dans la nuit du 30 au 31 juillet 1918, pendant une mise en batterie, sur une position soumise à un tir de harcèlement assez vif. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MIGNARD (Marie-Laurent-Francis), mIe 8643, 2e conducteur : conducteur très dévoué. Mortellement blessé au col des Journaux, près SaintDié, le 1er septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MEYNIER (Claude), mie 8682, 2e condueteur canonnier courageux et plein d'entrain. Mortellement blessé, le 20 mai 1918, devant Locre (Belgique). Mort des suites de ses blessures.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PROST (Nestor-Félicien-Marius), mie 5228, 2e canonnier servant : canonnier brave, plein de zèle et de dévouement. Mortellement blessé à la position de batterie, près déf Curlu (Somme) le 16 août 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PELTIER (Charles-Constant), mie 7566, maréchal ferrant : dès le début de la campagne s'est affirmé comme un modèle de courage et de sang-froid. A été tué glorieusement à Crouy (Aisne) en assurant l'évacuation d'un bivouac violemment bombardé, le 12 septembre 1918.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PACAUD (Louis), mie 7620, 2" servant : très bon servant, ayant toujours montré .beaucoup de dévouement et une belle tenue au feu.

Tué glorieusement sur la position de batterie, le 3 septembre 1916, à Hem (Somme) au cours d'un ravitaillement sous un violent bombardement. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROY (Armand), mIe 6474, 2e conducteur : conducteur brave et dévoué. Blessé grièvement devant Saint-Dié, a fait preuve du plus grand calme et d'une belle énergie au moment de son évacuation. Mort des suites de ses blessures, le 5 no\ embre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RAPENNE (Amédée), mie 6916, brigadier : soit comme conducteur, soit comme brigadier de tir, a toujours fait preuve de bravoure et de dévouement. Tué glorieusement à son poste de combat, le 19 juillet 1916, à Maricourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RONDOT (Louis-Henri), mie 5048, trompette : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 9 août 1914, à Cernay, Croix de guerre avec étoile de bronze.

RIVOIRE (Joseph-Sébastien), mie 6738, maréchal des logis: excellent chef de pièce, très brave, payant toujours d'exemple. Sa pièce exécutant un tir sous un violent bombardement, et le pointeur venant d'être tué, a été lui-même mortellement blessé au moment où il venait de le remplacer à son poste, le 12 septembre 1916, près de la ferme Monacu (Somme).

Croix de guerre avec étoile de bronze. SIMONIN (Pierre-Emile), mie 5762, 2e canonnier conducteur : cycliste et coureur, brave et courageux. Tué glorieusement à son poste de combat, le 10 août 1914, à Aspach (Alsace).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAILLARD (Marie-François), mie 6540, 2e canonnier servant : servant consciencieux et dévoué, a fait preuve d'un mépris complet du danger, du 2 août au 3 septembre 1914. Tué glorieusement à la batterie, le3 septembre 1914, au combat d'Anould (Vosges). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAINT-CYR (Jean-Claude), mie 012296, 1er conducteur: excellent conducteur, dévoué et brave, toujours prêt pour toutes les missions. Tué à son poste de combat à Maricourt (Somme), le 19 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VALDENAIRE (Pierre-Maximilien), mie 10701, brigadier : brigadier modèle de conscience et de courage, s'est particulièrement distingué à Verdun comme agent de liaison auprès de l'infanterie. Blessé mortellement près Ostoletren (Belgique), le 6 octobre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VOLAY (Claudius), mie 4977, fer canonnier servant : très bon servant. A toujours fait preuve de courage et d'un dévouement absolu.

Frappé mortellement à son poste, le 3 septembre 1914, au combat d'Anould (Vosges).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

ZANGEH (René-Paul-Alex), mIe 6023, 28 canonnier servant : excellent servant, brave, consciencieux et actif. Tué le 24 septembre 1914, à la position de batterie, près de Saint-Dié (Vosges). Croix de guerre avec étoile de bronze, ALEXANDRE (Frédéric-Léopold), mie 8758, 2e conducteur servant : a toujours servi en brave et excellent soldat. Donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement.

Mort pour la France le 19 janvier 1917. (En exécution de l'article 277 du service courant.) LEVEQUE (Pierre-Marcel), mIe 05571, 28 canonnier servant: artilleur brave et dévoué.

Ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort pour la France, le 3 septembre 1916.

(En exécution de l'article 277 du service courant.)

MICHEL (Marie-Léon-CIovis), mie 03709, 2* conducteur: a toujours servi en brave et excellent artilleur. Donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort pour la France. le 4 janvier 1916. (En exécution de l'article 277 du service courant.) PARMENTIER (Joseph-Nicolas), mie 09674, 2e conducteur : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Après avoir fait son devoir pendant deux années de guerre, a trouvé la mort dans un accident survenu en service commandé. le 21 septembre 1916. (En exécution de l'article 277 du service courant. )

6e rég. d'artillerie de campagne. BERNOLLIN (Antoine), mie 01621 bis, brigadier : très bon brigadier. Blessé mortellement le 9 juin 1918, en servant sa pièce sous le feu ennemi. A été cité.

BIGARRE (Joseph-Jules), mie 05098, 2e canonnier servant : très belle tenue au feu. Mortellement blessé, le 10 avril 1918, à son poste de combat, en servant une pièce prise sous un violent bombardement, pendant une tentàtive de coup de main allemand. A été cité.

BORDARIER (Fernand-Adolphe), mie 0337, canonnier : au front depuis le 2 août 1914.

Très bon servant, dévoué et conscieucieux.

Grièvement blessé pendant un changement de position, le 31 juillet 1918. Mort pour la France des suites de ses blessures. A été-cité,

BRIARD (Alfred-Paul), mie 12518, conducteur canonnier : arrivé depuis peu au groupe, était un modèle de tenue et de courage. A été

mortellement blessé, le 1er novembre 1918, en Belgique, en amenant u ne voiture sur un terrain violemment bombardé. A été cité.

CRESPI (Jean-Auguste), mie 6008, 2e canonnier servant : canonnier d'une bravoure exemplaire, déjà cité à l'ordre du régiment. Blessé par obus, le 28 mars 1916, à son poste de tireur.

Mort des suites de ses blessures, le 23 avril 1916.

A été cité.

COLOMB (Louis), mie 5245, 2e canonnier servant : servant courageux et dévoué. Dans tous les combats auxquels la batterie a pris part, a été d'un bel exemple pour ses camarades. A été tué dans la journee du 16 juillet 1918, dans l'exercice de ses fonctions. A été cité.

DURAND (Fernand-Julien), mie 6023, canonnier servant : bon canonnier, mortellement blessé, le 24 mai 1915, au cours d'un bombardement violent pendant lequel il restait à SOD poste avec calme et sang-froid. A été cité.

FERRAND (Camille), mie 5460, maréchal des logis : étant chef de pièce, a été grivement blessé, le 17 mai, en maintenant sous un bombardement ennemi le tir de sa pièce, dont une partie des servants avaient été blessés. Mort des suites de ses blessures, le 4 juin 1915. A et® cité.

GADILHE (Paul-Marie-Antoine), mie 7558, aspirant : observateur et agent de liaison avec l'infanterie montrant le plus grand dévouement a fait preuve en des circonstances difficIle d'une bravoure et d'un sang-froid remarquable Est tombé à son poste de combat, le 8 février 1916, en faisant exécuter à sa batterie un tJt dB barrage sous un feu violent d'artillerie lourde à Carency (Pas-de-Calais). A été cité.

GARENNE (Marius-Jules), mie 5760, 2e ca" nonnier conducteur : excellent condueteur, très courageux et dévoué. A été mortellerne frappé le 19 mars 1916 en ravitaillant la ba" terie sur la position. A été cité. *

DOMERGUE (Henri-Marius), mie 9965, briga; dier : excellent brigadier, d'une belle tenue au feu. Tombé glorieusement pour la France: son poste de combat, le 30 décembre 1916, et Belloy-en-Santerre (Somme). Une citation 61 une blessure antérieures. Croix de guerre AVOO étoile de vermeil.

COURTONNE (Georges-Joseph), mie 1645j, maréchal des logis : bon et brave sous-offlc^ d'artillerie de tranchée, d'un courage réputé, Tombé glorieusement à son poste de combat de 7 décembre 1916, devant Douaumont. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DENGLEIIEM (Jean-Pierre), mie 9794, can" nier : très bon canonnier, courageux et déVrè Affecté à un atelier parce qu'ayant trois dan' res tués à l'ennemi, a demandé à servir daw une batterie de tir. A trouvé une mort g ) rieuse le 31 août 1916, devant Lihons (somme.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

BURNARD (Léon-Emrle-Etienne), mie 919f;' brigadier : bon et brave brigadier d'artu^'®'r^i® de tranchée. Tombé glorieusement à son Poste de combat, le 26 février 1917. Croix de gu avec étoile de bronze.

BEZZ1NA (Vincent-Antoine), mie 5728, Cre6 nier conducteur : brave canonnier.

gravement le 25 septembre 1914, au combler" Lihons,-en venant avec les avant-trains C un cher une section de la batterie prise Souosi' feu violent pour la reporter sur une autre Po sila tion. Mort des suites de ses blessures, 10 octobre 1914. Croix de guerre avec c'~ de bronze.. r 1 BARBET (Antoine), mie C976, callo servant : canonnier ayant toujour„s aC^e bravement son devoir. Mort pour la J;rauerr6 fort de Vaux, le 8 avril 1916. Croix de ferra avec étoile de bronze. , nOW CHIROSSEL (Emile-¡"ouis), mie 5303; 2e effie nier : très brave canonnier. Tué à son po combat, le 22 juin 1915, à Fontalne- 'ropze.

(Somme). pZe.

(Somme). Croix de guerre avec étoile de v CONNADOU (Jean), mie B, 016723 nue a.

nier : excellent canonnier, d'une belle ",Cle, atl feu. Blessé mortellement, le 13 juin 19* de guerre avec étoile de bronze. r: DENOT-SARIDE (Jean), mie 04772, bngufl atf excellent brigadier, d'une très 1 feu. Tombé glorieusement pour V* i;ranccv * 20 avril 1917, au cours d'un raVI à


e a.eceltV-sur-Suippe (Marne). Croix de guerre étoile de bronze.

HoSART (Alfred-Elie-Léon), mie 015047, 2e caA conducteur : a toujours été un vailcournonnier, faisant constamment preuve de le et de dévouement. Mort pour la France, ens UII 1917 des suites d'un accident survenu «n sp^rX1Ce commandé. (En exécution de l'arj j du service courant.) 7e rég. d'artillerie de campagne aJEAU (Joseph-Léon-Marie), mie 5251, briger ^: a montré le plus grand mépris du danfile fi exécutant un tir sous un bombarde%nif s plus violents le 26 novembre 1916 à Auhp- A été glorieusement tué à sa pièce.

c cité.

(Mathurin-Eugène-Pierre), mie 6099, tir en e Pointeur : commandé pour exécuter un ne s,première ligne à une heure déterminée, ne a est pas laissé détourner de l'accomplissebil.rde e sa mission par la violence du bomlllen ment ennemi et est tombé glorieusen t en pleine action, le 4:mai 1917. A été cité sernnUET (Henri), fiale 5632, 2e canonnier (111 dat : a fait preuve du pius grand mépris du j ha.rd 1" en exécutant un tir sous un bom1916 eintt des plus violents. Le 26 novembre lOig 4 été tué à sa pièce. A été cité.

it: VENTRE (Marcel-Alfred-Ernest), mie 5611, EXécl DtOnnier conducteur : brave conducteur.

Ca nt 11 ant un ravitaillement en bombes au t 0 ri t con!h r?t de la première ligne par une route SJou'se à des tirs d'enfilade, a trouvé une Pii/J glorieuse, le 3 mai 1917, dans l'accomsement de sa mission. A été cité.

ol)ORET (Malhurin-Marie), mie 3280, maître te^r : a montré, dans toutes les actions ag hatterie fut engagée au cours de la camlirenf' Un sang-froid et une bravoure qui tran^A !,'admiration de tous. Mortellement Servait » 16 mars 1916, près de sa pièce qu'il lntene vc entrain sous un bombardement été cité.

DUCLOUET e.

4029 2e c Er (Auguste-Fran<;.ois-Isidore) mie ," Q. ealldnnier conducteur : téléphoniste Oste lea courage. Tué glorieusement à son ^°ste 'Vie 1A» 2 août 1916. A été cité» (Louis), mie 7339, 2" canonnier sertagCllX C'S bon servant, très dévoué, très coua son poste, le 9 mars 1917, en ser*ageusx â i-; ce sous un bombardement ennemi.

* été e.

tatit Iller (André-Auguste-AIfreù), mIe 3464, » niljer conducteur : excellent combat5îe&t £ lt preuve de beaucoup de dévoueent el' d esprit de sacrifice durant l'établissebollib d'llne position de batterie en terrain Combat f Tué glorieusement "à son poste da r4olltat' le 20 novembre 1917, au bois d'Haudre?0lU rVJiMt euse) Une citation antérieure. A été z (Yvcs-rarie-Céleste), mie 07019» tlontai : très belle tenue au feu. Toujours h Qr>tair pour les missions périlleuses. A Qf, le r mort glorieuse à son poste de combt. - illillet 1916. A été cité.

"42,\ SSE (Edmond-François-Joseph), mie siv11 p? nonnier conducteur: a fait preuve w5 ndaoénl;plst absolu du danger pendant l'offen-~ de JUllleL 1916. Glorieusement tué à son Dai. Ur, obus, le 9 juillet 1916. A été cité.

1 & : so'A^ (jules), nllo 6071, maréchal dp s .l'.IJ ( ot¡-Ofli.cier âyant fait preuve d«s plus JbUlillnei t""&lités militaires au cours de l'offensive juilet- août 1910. Glorieusement tué à son ste, e 1G aoùt 1016. A ûlé cUé.

ni (Fran<;ois-Joseph), mIe 7246. 1er C.11 conducteur : excellent conducteur, eave Plein d'allant. A été grièvement blesse <>11 f°yrs cl c'°uibat du 12 juin 1918. Mort des 4 8hies de blessures. A été cité.

^ouard-Alphonse-Constant), mie Porteur : maître pointeur d'un t\ 1!. t d'uti dévr,-dernpn-t dignes de tout leuspnient tombé à sou poste, ie Iluqit tut6. A, été cité.

bu téCiléit' bri J.Jean-Raymond-Julcs-Gaslon), mie brigadier: gradé sérIeux et tléroué. A pris part à toutes les Maires auxquelles a été 'a h sOlI rifv» se faisant toujours remar^

volonté de bien faire. Faisait partie du détachement qui accompagna l'infanterie pendant les attaques de Champagne. Tué à son poste, le 1er mai 1917. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

MORAZE (Pierre-Aimé-Julien), mie 3661, maréchal des logis : gradé très consciencieux et et toujours dévoué pour les missions dangereuses. S'est maintes fois fait remarquer par son initiative heureuse et par son courage digne d'éloges. A été tué, après avoir accompli sa mission, le 17 septembre 1915. Croix de guerre avec étoile d'argent.

LANROUE (Yves-Marie-Laurent), mie 6114, maréchal des logis : chef de pièce hors pair. A fait preuve en maintes circonstance des plus belles qualités de commandement, de bravoure et d'initiative, notamment à Verdun, en novembre 1917 et pendant l'offensive de juillet 1918. Tué au commandemeut de sa pièce pendant l'exécution d'un barrage sous un bombardement violent. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

POINCHEVAL (Adolphe-François-Marie), mIe 4442, 2* canonnier servant : a toujours fait l'admiration de ses chefs et de ses camarades pour sa grande bravoure. Téléphoniste, était toujours - volontaire pour réparer les lignes.

Blessé une première fois, le 13 septembre 1914, à Reims. Mort au champ d'honneur, à Verdun, le 12 août -1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

LE BOZEC (Eugène-Marie), mie 3153, maitre pointeur : maître pointeur d'une bravoure et d'une conscience à toute épreuve. A la batterie de tir depuis le début de la campagne, a su s'acquérir l'estime de ses' chefs et l'admiration de tous.- Mortellement blessé- à son poste de combat, le 5 juin 1918. Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile; d'argent, CHARLES (François), mie 17100, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Mort glorieusement pour la France, le 27 mars 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DELABORDE (Claude-Justin-Emile), mie 6924, canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 27 août 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze. «

FERIOT (Augustin-Emile), mIe 6252, brigadier : gradé brave et dévoué, ayant toujours fait preuves des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 21 juillet 1915i Croix de guerre avec étoile de bronze., UETIVÉ (Jacques-Jean), mie 3607,2« canonnier servant : très bon canonnier. Toujours- de bonne humeur, d'un courage entraînant. Tué à son poste de combat à l'attaque du mont Cornillet, le 19 mai 19t7. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAMBERT (Albert), mie 08431, maître pointeur : maître pointeur expérimenté, calme et brave. S'est très bravement comporté en toutes circonstances, notamment aux combats de Fosses et de Reims. Tué sur,sa pièce, le 13 septembre, 1914 à Reims. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE BLEVEC (Pierre-Marie), mIe GU7, 2e ça.

nonner servant : * excellent canonnier, d'un grand courage, plein d'entrain, et de dévouement. Tombé en brave, le 19 avril 1917. devant Lalfaux (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE GAL (Pierre-Marie), i mle 03617, 2e canons nier conducteur: brave canonnier. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les- premiers combats: Mort glorieusement pour la France, le 16 septembre 1914, à Reims. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEJOXCOURT (Pierre), mIe 3138, 2e eanonf nier conducteur : soldat dévoué et brave. A accompli son devoir jusqu'au bout. S'est toujours distingué à son poste de combat. Tué sur la position (le batterre au cours clun viorcnt'bombardement, le 27 mars IV1ii, à Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEMERDY (Constant-Yves), mlo 04907, 28 canonnier conducteur: très brave conducteur.

Pendant près de deux ans, tous les s >irs est venu ravitailler ea vivres les hommes delà

batterie de tir, malgré d6 violents bombardements. A accompli sans défaillance son devoir jusqu'au jour où il a été tué à Montzeville, près Verdun, le 13 juillet 1916. Croix: de guerre avec étoile de bronze.

MAIIÉ (Jean-Marie), mie 12573, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué, avant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Mort glorieusement pour la France, le 10 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PASTOL (François), mie 017626, 2" canonnier servant : canonnier brave et dévoué avant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Mort glorieusement pour la France, le 2 juin 1915, à Roclincourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.

QUINTOX (Victor-Joseph-Constant), mie 06S5t, 2e canonnier conducteur : très bon conducteur. A pris, depuis le début de la guerre, part à toutes les., batailles. Dévoué et brave. A été tué, le let juin 1916,» au cours d'une relève à Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROBIN (Alphonse-Joseph-Iarie), mIe 3331, 1er canonnier conducteur : très bon canonnier.

Avait gagné la confiance de ses chefs et l'estime de ses camarades. Brave depuis le premier jour de la guerre. S'est distingué particu* lièrement à la batterie de tir, le 16 juillet 1915, à Neuville-Saint-:Vliast. Tué à son poste de conv bat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROCABQY (Jean-Baptiste), mie 3397, 28 ca..

nonnier conducteur : excellent conducteur.

Consciencieux et brave, a pris part aux batailles de Belgique, la Marne, Artois, Argonne, Verdun. Tué, le 27 mars 1916, sur la position de batterie, au cours d'un ravitaillement devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROGER (Isidore-Julian-François), mie 4197 2ecanonnier conducteur: signaleur brave et calme. Le 13 septembre 1914, s'est distingua en transmettant les ordres de son capitaine it la batterie malgré un violent bombardement.

Tué à son poste de combat. Croix de guerre avec, étoile de bronze.

ROUMAIN (Pierre-Paul), mie 3983, maître pointeur: maître pointeur adroit et brave.

A fait les campagnes de Belgique, la Marne, l'Artois. En toutes circonstances s'est admirablement comporté*. Tué sur sa pièce, le 16 juillet 1915; au eombat de Xeuville-Saint-Vaast.

Croix de guerre avnc étoile de bronza..

TÔSTEN (Joseph-:Marie)'. m]. 07656, trompette : bon canonnier. Trompette du chef d'escadron, commandant le groupe, a dans maintes reconnaissances donrré des preuves de sangfroid et de courage. Tué, le ler, juin i916, au cours d'une relève à Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TURIAN (Merre-Marie-Mathurin), mie 12659," 28 canonnier conducteur : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pqur la France, le 27 mai 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

9" rég. d'artillerie de campagne.

BONNEFOUS (Louis), mie 07937, brigadier : d'une activité inlassable, s'est fait remarquer pendant toute l'attaque du 17 septembre par son entrain merveilleux, a été pour tous ses camarades uu exemple de sang-froid et dl-) mépris du danger. Tombé glorieusement, le 22 septembre 1916, devant Vermandovillçrs (Somme). A été cité.

BENAZETII (Denis-Alfred) mie07877,2e canon-nier servant: excellent canonnier a toujours eu une attitude remarquable. Tué glorieusement sur sa pièce, au cours d un VIolent bornardment, près du lac NOIr (vosges), le lS-mai 1915.

A été cité.

DELMAS.(ArmaBîd-Auguste-Fierre), mie 02:1.43,.

2e cannoiHiicr servant : excellent canonnier, d'une remarquable attitude sous un violent bombardement. Tué glorieusement à. sa pièce le 15 mars 1916. A été cité.

GOSSE (Jean - Raptiste - Julien - Mariu*?, mie 076.'5, maître pointeur : a donné depuis le dt'but dc.la campagne le meilleur exemple de bravoum Ú ses camarades. Est glorieusement tombé, lS.: son poste de combat, l.o 3 avril 1916, en servant"' sa pièce sous un bombardement davtiïleriet, lourde d'une extrême violence et- particulièrel-i ment précis. A été cité-


DE LOYE (Jean-Marie-Joseph), mie 6267, brigadier: excellent brigadier. Mortellement .blessé, le 4 juin 1915. en coopérant volontairement sous le feu de l'ennemi, au ravitaillement d'une pièce de la batterie, afin d'éviter un ralentissement du tir d'efficacité qu'elle exécutait. A été cité.

LAPLACE (Alexandre-François), mie 3090, maître- pointeur : maître pointeur plein de courage et de sang-froid. A été grièvement blessé à son poste de combat, le 20 juillet 1916. Mort pour la France. A été cité.

MAFFRE (Jean-Albert), mie 2303, maréchal des logis : a toujours témoigné de la plus grande bravoure et a tenu à accompagner son capitaine à un Observatoire battu par les balles et les projectiles. Y a été tué le 15 décembre 1914. A été cité.

MARTIN (Louis-Léonce), mie 3106, maître pointeur : maître pointeur exemplaire et courageux. Le 28 août 1914, a continué à servir sa pièce sous un bombardement des plus violents et a été tué glorieusement à son poste. A été cité.

MOLINIER (Léonce), mie 3625, 2e canonnier servant : canonnier exemplaire et courageux.

-Le 28 août 1914, a continué à servir sa pièce sous un bombardement des plus violents et a été tué à son poste. A été cité.

PUECII (Marcel-Etienne-Marius), mie 5617, canonnier servant : excellent servant. Tué glorieusement à son poste de téléphoniste qu'il occupait sous un feu très violent de l'artillerie ennemie, le 28 juillet 1918, à Cappy (Somme).

A été cité.

TIIERON (Alphonse-Marie-André), mie 4569, maître pointeur : très bon maître pointeur.

Tué glorieusement à son poste en servant avec le plus bel entrain sa pièce sous le feu de l'artillerie ennemie, le 28 juillet 1916. A été cité.

DE VAISSETE (Henri-Marie-Joseph), mie 3905, maréchal des logis : excellent chef de pièce.

A fait preuve de vigilance et de sang-froid à plusieurs moments difficiles. Grièvement blessé à son poste. Mort pour la France des suites de ses blessures, le *9 juillet 1916. A été cité.

"CONARD (Georges-Robert-Gédéon), mie 08706, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier, très brave. Blessé grièvement, le 4 septembre 1916, lors d'une mission d'accompagnement où il figurait comme volontaire à Vermandovillers {Somme). Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GRILLOT (Barthélémy), mie 8125, 2e canonnier servant : très bon canonnier. Tué glorieusement, le 13 juin 1917, au mont des Singes, près Vauxaillon (Aisne), au cours d'un tir pour lequel il était volontaire. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GARBIN (Henri-Jean-Baptiste), mIe 6350, 2e canonnier conducteur : très brave canonnier.

Tué glorieusement en accompagnant l'infanterie à l'attaque de Vermandovillers, le 4 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

RAMIGEON (Henri-Auguste), mie 6305, 2e canonnier servant : très brave canonnier. Tué glorieusement en accompagnant l'infanterie à l'attaque de Vermandovillrs, le 4 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

VIALA (françois-Joseph-Emile), mie 5117, 20 canonnier servant : très bon canonnier.

Tué glorieusement, le 13 juin 1917, au mont des Singes, près Vauxaillon (Aisne), au cours d'un tir pour lequel il était volontaire. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BAISSADE (Emile-Joseph-Stanislas), mie 10058, maître pointeur : excellent maître pointeur. A toujours ait preuve de beaucoup de zèle et de bonne volonté. Aeté tué glorieusement, le 13 septembre 1917, dans le secteur de Cumières, au cours d'un violent barrage. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CROS (Etienne-Jules), mie 6851, 20 canonnier .conducteur : bon et brave canonnier. Tué glorieusement à son poste, le 30 octobre 1914, en Artois, après deux mois de campagne, en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FABRE (Joseph-Lucien), mie 06548, 1er canonnier servant : très bon soldat, courageux et dévoué. Grièvement blessé en assurant le

service de sa pièce. Mort pour la France, le 26 juillet 1916, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SABATIER (Henri), mie 3916, 2e canonnier servant : canonnier courageux et dévoué. Grièvement blessé, le 16 octobre 1915, en Champagne, en assurant le service de sa pièce sous un violent bombardement ennemi. Mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BEL (Marius), mie 0176, 2e canonnier servant : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort, le 27 octobre 1916, par suite de blessures reçues en service commandé. (En exécution de l'article 277 du service courant.) 11e rég. d'artillerie de campagne.

BOUQUET (Georges), mie 0786, 2e canonnier servant : excellent canonnier, discipliné et courageux. A été tué glorieusement à son poste de combat, le 22 octobre 1916, aux Éparges, pendant l'exécution d'un tir. A été cité.

BONHAMEAU (Georges-Henri), mie 9793, maître pointeur : canonnier aussi brave que dévoué. Donnant constamment l'exemple du courage et de la bonne humeur. Tué à sa pièce par un éclat d'obus, le 31 janvier 1917. A été cité.

COJAN (Stanislas), mIe 07024, 2e canonnier servant : canonnier plein d'entrain et d'un sang-froid merveilleux. Le 31 juillet 1917, étant chargé d'aller démonter une pièce dans des conditions particulièrement difficiles et dans une zone soumise à de violents bombardements. A été tué glorieusement dans l'exécution de sa mission le 1er août 1917. A été cité.

CHAILLON (Désiré-Alphonse), mie 18501 bis, 21, canonnier conducteur: excellent et brave conducteur. Tué, le 19 juillet 1916, au cours d'un ravitaillement de nuit d'une batterie en position soumise à un violent bombardement. A été cité.

DE GARATE (Georges-Félix), mie '03982 B.

2e canonnier servant : brave canonnier, arrivé .à la batterie le 5 juillet 1918, venant d'une usine de l'intérieur, s'est montré dès son arrivée animé du meilleur esprit, plein d'entrain et de dévouement. Très grièvement blessé au combat du 9 août 1918, a fait preuve d'un beau courage. Mort des suites de ses blessures le 10 août 1918. A été cité.

JEANNET (Yves-Jacques-Marie), mte 8809, 2e canonnier servant : servant de tout premier ordre, tant par son entrain que par son couordre, A été tué glorieusement à son poste de rage.

combat, lé 22 octobre 1916, aux Eparges, pendant l'exécution d'un tir. A été cité.

JUSTIN (Albert-Adrien), mie 7144, 2e canonnier servant : canonnier énergique et brave.

Lors de l'attaque du 15 décembre 1916 et malgré les violents tirs de barrage auxquels il fut soumis, a continué à servir sa pièce et a tiré jusqu'à épuisement complet des munitions. A été tué à son poste de combat. A été cité.

LEMULLIER (Clément-François-Louis), mie 05409, 2e canonnier conducteur: servant de .tout premier ordre, tant par son entrain que par son courage. A été tué à son poste de combat, le 22 octobre 1916, pendant l'exécution d'un tir. A été cité.

LAMARE (Ernest-Auguste), mie 10429,2e canonnier conducteur : blessé grièvement sur le champ de bataille par éclats d'obus, le 16 avril 1917. Mort des suites' de ses blessures. A été cité, LE BLANC (Lucien-Auguste), mie 10472, 2e canonnier servant : bombardier très brave faisant partie d'une équipe de travailleurs, a exécuté sa mission sous le feu violent de l'artillerie ennemie. Tué à son poste, le 16 avril 1917. A été cité.

GODE (Jules-Ambroise), mie 014565, maître pointeur : maître pointeur émérite, d'un courage à toute épreuve. Mortellement frappé à son poste de combat, au Chemin des Dames, le 13 septembre 1917, pendant un tir dont il avait à assurer l'exécution. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BLOQUET (Edmond-Victor-Louis-Pierre), mie 7373, 2e canonnier conducteur : canonnier re-

marquable par son courage et son dévoueine Blessé grièvement à son poste de com a, à Neuville-Saint-Vaast. Mort des suites de 505 blessures, le 5 septembre 1915. Croix de guer avec étoile de bronze.

BONNET (François-Emile), mie 10391, 2* Ca, nonnier conducteur : a toujours été un vallIadB canonnier, faisant constamment preuve^ courage et de dévouement. Tombé g11 il.

sement pour la France, le 18 avril igi7, à Oulches (Aisne). Croix de guerre avec étoile, dl bronze.

CATEL (Marcel-Victor-René), mie 4789, canonnier conducteur : a toujours servi en brir et excellent canonnier, donnant en toutes rt constances la valeur de son dévouemen t : mort glorieusement pour la France, le 25 mal Croix de guerre avec étoile de bronze.

DOUBLET (Désiré-Paul-Joseph), mie 01i' 2e canonnier conducteur : brave canc Sur le front au début de la campagne, S'est fait remarquer par sa courageuse attitude ur les premiers combats. Mort glorieusement POde la France, le 21 septembre 1914. Croix guerre avec étoile de bronze.

DÉBUISSON (Georges-Simon), mie 9464, ar nonnier servant : canonnier remarquable ¥iè- ion courage et son dévouement. Blessé es.

vement à son poste de combat des Epar 0Mort des suites de ses blessures, le 23 vembre 1916. Croix de guerre avec étoile je bronze.

GUILBERT (Emile-Victor-Noel-Marie), 4580, 2e canonnier servant : excellent caD Çjî nier d'un grand courage, plein d'entrain à dévouement. Tombé en brave, le 6 juin t aveG Neuville-Saint-Vaast. Croix de guerre a ,ec étoile de bronze.

GOBLET (Léon-Jules-Louis), mie 9627, 2e dénonnier conducteur : canonnier brave etuali' voué, ayant fait preuve des plus belles ali.

tés. Tombé glorieusement pour la ranrre 18 avril 1917, à Oulches (Aisne). Croix de gue e avec étoile de bronze.

LE DANOIS (André-Léon), mie 8438, 2e e noil.

nier servant : canonnier courageux et Pves d'entrain ayant donné de nombreuses prfr3 de sa bravoure et de son sang-froid. Mort vement pour la France, le 28 juillet 1915 dl vant Neuville-Saint-Vaast. Croix de guerre il 60 étoile de bronze.

LEMONNIER (Marcel-Auguste), mie 9553, olai- tre pointeur : canonnier remarquable par courage et son dévouement. Blessé grièvc'n'St ev courage et son dévouement. Blessé grièveimi 0pt à son poste de combat de Laverville I, afrl Mort des suites de ses blessures, le 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze. 14

LACROIX (Jules-Florent-Louis-Eléo r de 10582, canonnier servant : jeune serva»t$ la classe 1917, plein d'ardeur et de bravo" ce, combat. Tombe glorieusement pour la ral, d6 le 18 avril 1917, à Oulches (Aisne). Cr0 guerre avec étoile de bronze. y MERSEMAN (Eugène - René - Cornoil!c).

026, 2e canonnier conducteur : bon caIiYir, psi conducteur. Mort au champ d'honne 12 avril 1917, à Montigny-sur-Vesle, des Sial de glorieuses blessures. Croix de guerre .,roo étoile de bronze.

MANO (Jean-Camille), mie 10392, 2e canon, nier servant : bon canonnier. Mort aU (MSJ1 d'honneur, le 18 avril 1917, à Oulches i en faisant courageusement son devoi £ foi>

de guerre avec étoiie de bronze. {)52 , cgMADELAINE (Gaston-Louis), mio 3Sucteutî nonnier conducteur : très bon conné totldeS dévoué et brave, qui a toujours don satisfaction. Blessé par éclats - d o^UiQ(4.

suites de ses blessures, le 10 octobre v Cf de guerre avec étoile de bronze. 2' cal SENECAL (Auguste-Albert), mie 01092^^ ^er nonnier conducteur : canonnier cens et très dévoué, s'est toujours montré f artiC¡Pe' dans les ravitaillements auxquels « Blessé par un éclat d'obus devant blesSure 416 de-Lorette. Mort des suites de seS Co étoile de-Lorette. Mort des suites de ses » 5 avril 1915. Croix de guerre avec- étoile bronze. 2' C Il THOMAS (Désiré-Emile), mie i R*eJitJJ, nonnier conducteur : a fait vf" la ca®r J' devoir dés les premiers combats 1 a ftgfice' IDe. Mort glorieusement pour a


u tobre 1911.. Croix de guerre avec étoile de JJfOnze.

WlNTZ (Je-an-Georges), mie 6663, 2e canoniser conducteur : a toujours été un- vaillant canonnier, faisant constamment preuve de forage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 24 mai 1916. Croix do guerre avec étoile de bronze.

12e rég. d'artillerie, ANNE (Dominique-Narcisse), mie 03420, canonIller servant : excellent canonnier téléphoniste ardent et brave, toujours volontaire pour la Réparation des lignes aux points les plus dangereux. S'est distingné à Verdun. Blessé morelIement, le 6 octobre 1917, à son poste penA aI)t un bombardement d'obus de gros calibre.

A eté cité.

BOUTMARD (Léon-Georges-Paul), mie 011409, canonnier : brave canonnier, très dévoué.

Apprécié de ses chefs. Tué glorieusement à ton poste, le 21 septembre 1916, au cours d'un •"ODibardement. A été cité.

.GROS (Marius-Joseph), mie 014169, 2e canoniser servant : brave canonnier. Dans un état de santé très précaire, a continué avec beaucoup de bonne volonté des travaux au-dessus ses forces. A été tué glorieusement à sa Pièce au cours d'un bombardement violent, le , juillet 1916. A été cité.

n HAmelin (Frédéric-Albert), mie 5720, 211 canonnier servant : le 8 mai 1916, alors que la batterie était prise sous un tir réglé de pièce e gros calibre, a continué à servir celle-ci vec le plus grand calme et à tenir le tir de barrage. Mission de la batterie pendant l'attaque. Tué au cours du combat. A été cité.

KUIIM (Charles), mie 03080, maréchal des logis : sous-officier de valeur, a fait preuve de serieuses qualités d'artilleur et de courage, tranquille et froid. Servant dans l'artillerie de tranchée depuis le mois de janvier 1915, a toujours accompli sa tâche avec énergie et avec ulléè t gra nde bonne volonté. Tué le 20 juin 1915.

é cité.

JEMAIRe (Henri-Pierre), mie 010757, brigatrai : excellent brigadier, brave et plein d'enA fait preuve d'un grand sang-froid en assurant le ravitaillement de la position sous un bombardement par obus de gros calibre. A tué le 28 octobre 1916, à Combles (Somme).

A été cité.

Tl} LEGER (Raymond-Vincent-Joseph), mie 07712, Inaîlre- pointeur : excellent maître pointeur * un courage et d'un sang-froid exemplaires.

le 1 tué glorieusement à son poste de combat, le Jo ° mai 1915, au bois Le Prêtre (Meurthe-etMoselle). a été cité.

MARTIN (Jcan-Iarie-Joseph), mie 5470, 55* caver conducteur : très dévoué, apprécié de 8es chefs. Tué à son poste, le 21 septembrel916, u cours d'un bombardement. A été cité.

rARTlNEAU (Henri-Louis-Désiré), mie 07744, lWrc pointeur : maître pointeur, chargé de trantretien des lignes téléphoniques dans les nichées de première ligne, a rempli cette dév SIOn avec le plus grand sang-froid et un dU lement parfait, montrant un réel mépris Ciss anger. A trouvé une mort héroïque en Le rnt son service, le 26 avril 1915, au bois Le n *retre (Meurthe-et-Moselle). A été cité.

bp~LET (Louis-Henri), mie 05031, canonnier : den) e téléphoniste. Malgré un violent bombarem ellt le 28 avril 1916, est spontanément Atri' l reparer une ligne téléphonique. A été rent blessé et est mort des suites de ses Fu^Ures, le 9 mai 1916. A été cité.

tlo (Luis-Pierre-Félicien), mIe 07835, 2e cafcomv er seNTant: excellent canonnier d'un coura et d'un sang-froid exemplaires. A été tué poste de combat, le 18 mai 1915, au ts t 0n Poste de combat, le 18 mai 1915, au cité. Le Prêtre (Meurthe-et-Moselle). A été (Fernand), mie 08036, maître poinfait maltre pointeur parfait. S'est toujours tait rô-(n«arquer par son calme et sa belle attitude au feu en particulier, le 3 septembre 1916.

?°iïih6 fiurieusement à son poste de combat, le 4 ePtembre 1916, à Verdun. A été cité.

eollNAULT (René), mie 017781, 2e canonnier Ucteur: excellent canonnier d'un entrain

remarquable. A été tué glorieusement à son poste de combat, le 18 mai 1915, au bois Le Prêtre (Meurthe-et-Moselle). A été cité.

VERNIER (Gustave-Louis-Léon), mie 07062, 2e canonnier servant : canonnier très méritant.

A été grièvement blessé, le 18 mai 1915, à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures. A été cité.

BONTE (Maurice-Louis-Gustave), mie 6734, 2e canonnier : canonnier modèle d'un dévouement à toute épreuve. A montré un courage exemplaire pendant le bombardement qu 27 janvier 1916, au cours duquel il a été blessé mortellement. A été cité.

CARNEL (Ulysse), mie 4768, maréchal des logis : sous-officier des plus braves. Tué, le 18 octobre 1916, par un obus ennemi à son poste de combat. Déjà cité en 1915 à l'ordre du corps d'armée. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

BORI (Pierre-Marcel-IIenri), mie 10400, 2e canonnier: canonnier des plus braves. Tué, le 2 octobre 1916, à Combles, par un obus, au moment où sa batterie se portait en position avancée. Croix de guerre avec étoile position avancée. Croix de guerre avec étoile position avancée. Croix de guerre avec étoile d'argent.

TAMPONNET (Georges-Léon-Clément), mie Rt 4363, maître ouvrier : maître ouvrier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sangfroid. Mort bravement pour la France, le 14 novembre 1918, des suites de ses blessures. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BASSARD (LouIs-Marcel-Eugène), mIe 7291, 2e canonnier : canonnier d'une grande bravoure et du plus entier dévouement. Blessé mortellemeut, le 4 mai 1916, à l'observatoire de sa batterie violemment bombardée. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BAFFOUR (Jules-Charles-Alexandre), mie 02754. 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 14 décembre 1914, à Ypres (Belgiguc). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CARRIÉ (Emile-Jules), mie 3543, 2e canonnier servant : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 26 avril 1916, à Montzeville (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUFOUR (Léon-Jean-Baptiste), mie 015228, maître pointeur: a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 2G avril 1916, à Montzeyille (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DELHAYE (Ernest-Alfred), mie 010606, maréchal des logis: brave sous-officier, remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 4 mai 1916. Croix de guerre avec étoilo de bronze.

DELANGLE (Armand-Joseph-Aùguste), mie 6539, 2e canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses i preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 3 octobre 1915, des suites de blessures reçues.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

D'HERBE (François), mie 4806, 2e canonnier servant: a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 26 avril 1916, à Montzeville (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GASCHAT (Marie-Félix), mie 5049, maréchal des logis : brave sous-officier, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Mort glorieusement pour la France, le 11 décembre 1914, à Ypres (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOVIN (Gustave-Emile), mie 14146, 2e canon.

nier : très bon canonnier, ayant toujours fait preuve d'un grand esprit de sacrifice. Mortellement blessé à son poste de combat le 4 août 1918 devant Reims. croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLO (Joseph), mie 06963, 2" canonnier servant : excellent canonnier. A fait preuve au cours de la campagne de beaucoup de courage et de dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat en Lorraine, le 1er décembre 1916, est mort des suites de ses blessures.

Croix de guerre avec étoile de bronza.

LANDIE (Urbain), mie 34S6, 2* canonnier servant : canonnier remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 26 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAUBRUGE (Fernand), mie S948, 2e canon-' nier : très bon canonnier, dévoué, consciencieux.'Ayant toujours eu une belle attitude au feu. Tué son poste de combat, le 24 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LECOUVE ( Charles-Alcide-César), mie 08452, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, devant Rozières (Oise). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LOUVET (Albert-Henri), mie 6410, 20 eanonnier : très»bon canonnier, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Tué à s.on poste de combat, le 17 avril 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MOCQUES (Auguste-Armand-Roberl), mie Rt 199, maître pointeur : a toujours été un vaillant maître pointeur, faisant constamment preuve de -courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la jrance, le 5 octobre 1917, à Saint-IIilaire-le-Grand (Marne). Croix df guerre avec étoile de bronze.

PETIT (Gaston-Jules), mie 16957, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 29 avril 1916, au combat da Montzeville (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEROT (Albert-Alexandre), Iule 5727, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant -en toutes circonstances la valeur da son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 28 novembre 1916, à Combles (Somme). Croix de guerro avec étoile de bronze.

PATRY (Ilenri-Jules), mie 9349, 211 canonnier: a trouvé une mort glorieuse, le 11 mai 1915, en effectuant le ravitaillement en munitions de sa batterie, sous un bombardement violent.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROHR (Henri), mie 3294,2e canonnier conducteur : canonnier aussi consciencieux que courageux qui, dès le début de la campagne, a donné la valeur de son héroïsme et de son amour pour la patrie. Tombé glorieusement, la 16 décembre 1914, à Ypres (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

RANNAUD (Alexis), mie 3482, llr canonaiei servant : canonnier remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de &es blessures, le 26 avril 191G. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TIIILLAY (Victor-Louis), mie 6405, 2° canonnier servant : bon, canonnier, epurageux et dévoué,-qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 24 novembre 1914, en Belgique.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

YVER (Eugène-Léon), mie 01564, 2e «pionnier servant : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France le 14 juin 1915, en Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze.

WILLERS (Charles-Louise mie 5137, brigadier : bon gradé, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple eu toutes circonstances. Mort glorieusement pour la France, le 23 décembre 1914, à Ypres (Belgique). Croix de guerre avec- étoile de bronze.

WOLSFELD (Marie-Henri), mie 07009,2e canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang:froid. Mort pour


ia France, le 11 juillet 1915, au bois ler Prêtre.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

14e rég. d'artillerie de campagne.

BONNEMAIZON (Pierre-Célestin), mie 06185, maître pointeur : au front depuis le début de la campagne. Excellent téléphoniste, d'un dévouement et d'un courage à toute épreuve. A toujours assuré son service, notamment à Verdun et à Paissy, sous les plus violents bombardements, avec'le plus grand mépris du danger.

Blessé à son poste, le 13 juillet 1917. Mort des suites de ses blessures, le 15 janvier 1918. A été cité.

BARADE (Jean-Georges), m'o 2183, maître pointeur : excellent maître pointeur, au front depuis le début de la campagne a toujours fait preuve du plus grand courage et du plus grand dévouement et, dans toutes les attaques où son régiment a été engagé, a servi d'exemple à ses camardes. Mort au champ d'honneur, le 24 juillet 1917. A été cité.

i- BALIIIAUT (Prosper), mie 019151, maître pointeur : bi ave maitre pointeur. S'est distingué plusieurs fois par sa belle tenue au feu.

Blessé le 26 juin 1915 a refusé d'être évacué et a repris son service à peine guéri. Blessé à nouveau, le 13 juillet 1915, pendant un bombardement violent, a succombé à ses blessures. A été cité.

BOURJAC (Joseph Victor-Marius), mie 01398, 20 canonnier conducteur : le 15 août 1917, a fait treuve d'un entrain superbe en assurant le tir de sa pièce sous un violent bombardement de l'ennemi. Blessé grièvement à son poste de combat, a encouragé ses camarades, leur donnant un bel exemple d'énergie. Mort pour la France des suites de ses blessures. A été cité.

DUCAMP (Pierre), mie 03138, maître pointeur : maître pointeur courageux, grièvement blessé sur la position de batterie en accomplissant son devoir. Combat de Champenoux, le 10 septembre 1914. Mort des suites de ses blessures.

A été cité.

DUPRAT (Jean-Bernard), mie 03492, 2e canonnier servant : excellent canonnier, très brave et très dévoué, sur le front depuis le 1er décembre 1914. S'est toujours dépensé sans compter, assurant à la perfection le service de sa pièce. Tué à son poste de combat, le 2,1 mai 1917, à Craonne (Aisne). A été cité.

AMESTOY (Guillaume), mie 014<"59, 2e 'ûanonnier servant, brancardier : au front depuis le début de la cam[ agne, s'est toujours distingué par son zèle et son dévouement. Tué le 4 juin 1917, en transportant son capitaine blessé.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

AOUT (Michel-Alexahdre-Edmond), mie 03164, maître pointeur: maître pointeur dont la conduite a toujours été digne d'éloges. A toujours fait preuve du plus bel esprit d'abnégation.

Blessé mortellement à son poste, le 19 août 1917, en Alsace pendant un violent bombardement.

Croix de guerre avec étoile d'bronze. ARTIGUSSE (Jean-Pierre), mie C4971, 2e canonnier servant : servant très brave, plein d entrain et de dévouement. Tué à son poste de combat, le 2 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

AUGEAU (Bernard), mie 06313, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 16 juin 1916, devant Viviers (Lorraine). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERGEZ (Jean), mie 4207, 2e canonnier conducteur: conducteur dévoué et très brave.

Tombé glorieusement pour la France à son poste de combat, le 5 décembre 1914, à Cuiryes-Chaudardes (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BESNARD (Armand), mle0160il, 2e canonnier conducteur : canonnier très brave et très courageux. A été tué à son poste, le 16 mai 1915, au Mont-Saint-Eloi (Pas-de-Calais). Croix de guerre avec étoils de bronze.

BARRERE (fïenri), mIe Ot2325, 2e canonnier ouvrier bourrelier : canonnier très brave. Tue à son poste, le 5 mars 1917, au bois de la Caillette, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BAPSERES (Jean-Léon), mie 01571, maître pointeur : bon canonnier. Mort au champ d'honneur, la 27 avril 1915, à Buily-les-Mines en accomplissant avec bravoure et sang-froid son devoir. Croix do guerre avec étoile de bronze.

BELLOCQ (Jean-Jules), mie 017555, 2e canonnier conducteur : canonnier très brave et très courageux. Mort pour la France le 25 mai 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

COLLONGUES (Jean-Marie), mie 06101, 2* canonnier servant : canonnier très courageux qui s'est signalé en maintes' circonstances par son en train .et son mépris du danger. A fait prouve d'un grand courage sous un violent bombardement au cours duquel il a été tué, le 4 mai 1917, à Craonne (Aisne). Croix de guerre avec étoile de de bronze.

CAZENAVE (Lucien), mie 017443, 2' canonnier conducteur : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 12 juin 1915, à Aix-Noulette (Pas-de-Calais). Croix de guerre avec étoile de bronze.

COUMEL (Louis-Théodore), mie 06616, 1" canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 24 octobre 1915, aux Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAYLUX (Antoine-Jean), raie 03793, 2e canonnier conducteur : canonnier brave et courageux Tué à son poste, le 5 mars 1917, aux Eparges.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAYREFOURCQ (Lucien) mie 01662, maître pointeur : maître pointeur courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son .sang-froid. Mort bravement pour la France, le 24 octobre 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUPOUY (Jean), mIe 04674, maître ouvrier en fer : très brave canonnier qui s'est toujours distingué par son courage et son dévouement.

Tué glorieusement à son poste de combat le 2 juin 1916 devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bltonzc.DUGEhT : Jean), mie 06333, 1er canonnier servant : excellent canonnier ayant toujours fait preuve de courage et da sang-froid. Tué glorieusement à son poste de combat au cours d'ua ravitaillement en munitions devant Verdun, le 3 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUBOSQ (Jean), mie 03420, 1er canonnier conducteur: canonnier animé du plus parfait esprit du devoir. Tué glorieusement à son poste de combat, le 5 décembre 1914, à Cuiry-lesChaudardes (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUFAU (Jean), mie 3098, 2e canonnier servant : cxecellent canonnier, brave et dévoué.

Téléphoniste à une batterie de tir, a été tué à son poste, le 23 mai 1917. à Craonne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DÙCAM (Antoine), mie 019349, maître pointeur: a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 23 mars 1915, devant Wargemoulin (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUPERE (Pierre), mie 03251, 2° canonniejr servant: très bon canonnier, blessé grièvement à son poste de' combat. Mort des suites de ses blessures, le 20 février 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GARROCQ (Jean-Romain), mis 018218, 2e canonnier conducteur : très bon canonnier, ayant fait preuve à maintes reprises de courage et d'abnégation. Tué glorieusement le 29 mars 1917 pendant un ravitaillement. Croix de guerre avec étoile de bronze.

- GRADE (Jean-Théodore), mie 016663, maître pointeur : maître pointeur très bravé et très courageux. Mort pour la France, la - 19 février 1917, au bois de la Caillette'(Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUICIIENAY (François-Georges), mIe 01672, maître pointeur : maître pointeur courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 26 février 1916, au bois de lallazeile (Meurthe-et-Moselle).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

HOURTOLOU (Bernard-Victoria), mie Oli619, maréchal des logis : gradé d'élite, sans cesse sur la brèche, et possédant la confiance entière de ses chefs et de ses hommes. S'est affirme comme un brave dans tous les combats auxquels il a pris part. A trouvé une mort glorieuse, le 16 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

.GAR:'\IER (Joackin). mie 04987, 2* canonnier servant : brave canonnier. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 5 septembre 1914, devant Laneuvelotte (Meurthe-et-Moselle). Croix de guerre avec étoile do bronze.

15e rég. d'artillerie de campagne.

BOMY (Eugène-Auguste), mie 4203, 2' canonnier conducteur : tris bon cannonnier.

Blessé mortellement au combat de la liérie-laViéville, le 30 août lOli. A é:é cité.

DUMEZ (Ilciri-Charles-Josepli) mie 4830, 2e canonnier conducteur : bon canonnier.

Tombé glorieusement sous le feu de l'ennemi le 24 mars 1918, pendant la marche de sa batterie sous Novon pour arrêter l'offensive allemande. A été cité.

JENEQUIN (Paul-François), mie 4893 maître pointeur : modèle de dévouement et de courage, a toujours fait preuve de belles qualités de calme et d'énergie particulièrement la 6 mars 1916, sous le bombardement ennemiMort des suites de blessures reçues le 14 mars 1917. A été cité.LALLIER (Marius), mie 018124 bis, brigadier : jeune brigadier pilote adroit et courageux a rendu de précieux services en exécutant crânement les missions qui lui ont été confiées.

A trouvé une mort glorieuse au cours d'une reconnaissance périlleuse à 200 mètres d'altitude en engageant un dur combat contre un adversaire puissant le 31 mars 1918 à Brétigny (Oise). A été cité.

LEFORT (Alfred-Edouard), mie 4231, maréchal des logis : excellent sous-officier brave et dévoué. Tué glorieusement à son poste de combat, le 18 septembre 1914, devant Berry-au-Bac. A été cité. -LENFANT (Raoul-Ernest-Fernand), imle 7839, l,r canonnier conducteur : très bon canonnier.

Tombé glorieusement sous le feu de l'ennemt' le 24 mars 1918, pendant la marche de sa batterie sur Noyon pour arrêter l'offensive allemande. A été cité.

LACLAVERE (Hippolyte), mie 014649, maître pointeur : maître pointeur calme et dévoueTombé glorieusement à son poste de combat le 30 mai 1918, devant Pieissier-lluleu (Aisne).

A été cité.

LOCHE (Martial), mie 7987, 2e canonnier : typ accompli du canonnier calme et brave. Maigre la violence du bombardement ennemi, a continué à assurer le service d'une pièce. Tué gloi rieusement à son poste, le 9 décembre 1916, la Butte-du-Mesnil. A été cité.

LAPINE (Théophile-Sylvain), mie 08367, 2e canonnier: très bon canonnier. Tombé glorIa S sement sous le feu de l'ennemi, le 2i mars gis, pendant la marche de sa batterie sur NOY é pour arrêter l'offensive allemande. A été en v MAREL (Augustin-Jules-François), rnle 68si, 2* canonnier : blessé mortellement le 26 s tembre 1915, par un éclat d'obus, en cooper à l'extinction du feu provoqué dans un cali de sa batterie par le tir de l'artillerie enneni.

A été cité.

NAUSION (Henri-Victor), mie 4113, mjîjjj pointeur: maître pointeur d'un courage et à

dévouement exemplaires. Tué glorieuserne flS son poste de combat, le 17 juin 1918, êt da l'arrêt de l'offensive allemande à la for, Villers-Cotterets. A été cité. r NAM (Antoine), mie 10373, 211 canSève-, servant : bon canonnier, dévoué. TrèlSiarment blessé à son poste, au combat du FraIlca Iluleu, le 21 juillet 1918. Mort pour la Fra1100 des suites de ses blessures. A été cité. brrPHILIPPE (Pierre), mie 5607, brigadier : ^, gadier téléphoniste ayant toujours fait v ye,


des plus belles qualités de bravoure, de dévouement et de sang-froid. Tombé glorieusement, le 22 septembre 1916, en réparant les lignes téléphoniques sous un bombardement très violent. A été cité.

PHILIPPE (Léon-Maurice), mie 5811, 1er canonnier servant, brancardier : infirmier modèle, a fait preuve en maintes circonstances du plus rand dévouement, particulièrement les 4 et 0 mars 1916, en allant chercher et en soignant Sr:s camarades blessés, sans se soucier d'un bombardement extrêmement violent. A été .tué glorieusement à son poste. A été cité.

PRUVOST (Paul-Jules-Gustave), mie 4601, altre pointeur : excellent maître pointeur.

eul survivant de sa pièce à Verdun, a toujours été un modèle de courage et de conscienve- Tombé glorieusement le 12 septembre 1916, n assurant avec lelus sang-froid le pointage b c sa pièce sous des rafales d'obus de gros calire. A été cité.

vREGNIER (Emile-François), mie 7582, brigadier : brigadier consciencieux et dévoué. Tué rlorlcusement. le 24 juillet 1917, devant Steenslfaat (Belgique). A été cité.

SUEUR (Moïse-Dominique), mie 012893, 2e caonnler conducteur : bon canonnier. Tué gloussement à Esternay le 6 septembre 1914, en liant installer sous un feu intense-da batterie 'l aquelle il appartenait. Avait donné jusqu'à ¡t Jour le meilleur exemple de dévouement et de discipline. A été cité.

:nSO¡ (Edouard-Hubert), mie 54M, ier canonnier servant : très bon téléphoniste, courageux et dévoué. Tué glorieusement le 21 mars 1916 à son poste de combat, en pleine bataille de Verdun. A été cité.

TliOREL (Léon-Edouard-Alphonse), mie 5982, Illtre pointeur: excellent maitre pointeur.

modèle de courage et d'énergie. S'est à nouhitu brillamment conduit au cours des comse du 27 mai au 4 juin 1918. Tombé glorieuent à son poste le 4 juin 1918. A été cité.

EN BO S SCIIE (Adolphe-Félix), mie 012544, d'unec al des logis : sous-officier énergique et pJ Courage à toute épreuve. S'est signalé à DW Urs reprises en assurant d'une manière narfsi la liaison de son groupe avec l'infanterle en première ligne. Mort des suites de ses de u:es reçues au cours du bombardement eSaint-Omer, le 30 septembre 1917. A été JANTIER (Robert), mie 5157, maréchal des cj | 's : évacué pour blessure en mars 1915 et Mc~~6 x dans le service auxiliaire, a demandé sa inration dans le service actif et son renvoi Do ealat sur le front. Toujours volontaire Poiui ï toutes missions dangereuses. Chargé sur e eande, depuis deux mois, de la liaison infanterie, a rendu d'éminents services, Ille onnant à tout moment des renseigneIlle rits Précis sur la marche de l'infanterie et suJr v 'e tir de notre artillerie. Tombé glorieuseu Iniè le 6 octobre 1916 au moment ou, en preseir>re ligne, il cherchait à se procurer des rensoeIIlcnts intéressant le tir des batteries de son groupe. A été cité.

fiier I R (Louis-Antonin), mie 11107. 2e canoneu servant: bon et jeune canonnier, couraSo et très dévoué. Tombé glorieusement à tirnlPot de combat pendant l'exécution d'un tip « juin 1918. A été cité.

tnERSEIJ (Léon-Lucien-Henri), mie 4614, n'er : très bon canonnier, très dévoué.

ùant e 6mnt blessé, le 24 septembre 1914 penUant violent bombardement des échelons Us de gros calibre. A été cité.

lIolLLEMS (Emile-Henri), mie 4388, maître i" - maître pointeur d'un moral très «levé entrainant sa. pièce par sa bonne hu1'ieuse et son allant. A trouvé une mort gloi()lp en assurant un tir de barrage sous un ** aoMui °har(lcnient d'obus de gros calibre ioient k 1917. A été cité.

il nom véritable ZIEGLER (Ca*04*56, 2e canonnier servant : a toulnent épté Un vaillant soldat, faisant constamgent riro?Ve de courage et de dévouement.

Mort pi„® vleu ?efnent pour la France, le 4 août 8 Vorieusernent pour la France, le 4 août nere citation et trois blessures antéCroix de guerre avec palme.

16e rég. d'artillerie de campagne.

DEPREDURAND (Camille-Albert), mie 6404, 2e canonnier servant : excellent canonnier, chargé d'assurer le ravitaillement de nuit quotidien de la batterie de tir, est tombé glorieusement le 27 octobre 1916, dans l'accomplissement de sa mission. A été cité.

DEPALLE (Jean-Marie), mie 05063, infirmier : infirmier remarquable par son courage et son dévouement. Blessé mortellement, le 3 j uin 191o, en ramenant au poste de secours sous un violent bombardement un blessé qu'il était allé chercher à une batterie. A été cité.

LEFEBVRE (François-Isaac), mie 5491, canon nier : canonnier d'un courage et d'un dévouement exemplaires. Blessé mortellement, le 3 juin 1918 alors qu'il tentait sous un violent bombardement de sauver la voiture médicale dont il avait la garde. A été cité.

MANGOT (François), mie 05572, canonnier conducteur : très bon canonnier, dévoué et courageux. Tué à son poste de combat le 2 juin 1918. A été cité.

PACCAUT (Edouard-Pierre), mIe 253, maréchal des logis : très bon sous-officier brave et d'un courage à toute épreuve. Tombé glorieusement à son poste de combat, le 22 septembre 1916. A été cité.

PAPON (Joseph-Lucien-Marius), mie 3750, maître pointeur : excellent maître pointeur qui a fait preuve d'un grand courage dans toutes les affaires depuis le début de la campagne.

Tombé glorieusement à son poste de combat, le 27 octobre 1916. A été cité.

PICARD (Jean-Marie), mie 04G86, maitre pointeur : maitre pointeur d'élite. Au front depuis le début de la campagne, a toujours rendu de très grands services à la batterie. En l'absence de son chef de pièce, a pris le commandement de sa pièce dans des circonstances difficiles et en a assuré le service malgré les tirs violents de l'ennemi. Servant dévoué et énergique, d'un bel exemple pour tous ses camarades. Mort pour la France, le 15 juin 1918. A été cité.

ROUVEIX (Antoine), mIe 3204, 1er canonnier servant : excellent canonnier d'une bravoure et d'un sang-froid remarquables. Tombé à son poste de combat, le 22 septembre 1916, étant aux tranchées de première ligne. A été cité.

CONTOURNET (Jean-Pierre), mIe 4768, 2e canonnier servant: téléphoniste brave et dévoué.

Tué en réparant les liaisons téléphoniques, le 23 septembre 1916, devant Chaulncs (Somme).

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

ROUCHONNAT (Jean-Louis-Lucien), mie 3054, maréchal des logis : excellent sous-officier, qui s'est toujours fait remarquer par sa belle attitude au feu. Aellt de liaison avec l'infanterie.

A été tué au moment de l'attaque du 11 septembre 1916, devant Lihons Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent. 3699, CHAUMEIL (Antoine-Léon-Martin), mie 3609, maréchal des logis : sous-officier d'une bravoure voisine de la témérité. A rempli les fonctions d'agent de liaison avec l'infanterie forçant l'admiration de ses camarades et de ses chefs. Mortellement blessé, le 18 janvier 1915, à son poste d'observation avancé. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BOISSIÈRE (Jean-Eugène), mie 190G, 2n canonnier conducteur : très brave canonnier, tombé à son poste de combat le 30 novembre 191'», à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUCHE (Clément), mie 3633, 2e canonnier servant : très brave servant, brave et dévoué.

Tué à son poste de combat, de Guerbigny (Somme), le 20 mars 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BELLON (Joseph-François), mie 03896, canonnier conducteur : très bon eanênnier, brave et dévoué. Tué au ravitaillant sa batterie sous un violent bombardement, le 16 mars 1918, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUDIGNON (Ludovic), mie 4G05, 2e canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué.

Tué à son poste de combat, le 7 juin 191.% au Cessier (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOMPARD (Elie-Louis), m!e 4139, 2e canonnier-servant : excellent servant, brave et dévoué. Tué à sa pièce à Lassigny, le 22 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile da bronze.

BRUNET (Pierre), mie 3899, 20 canonnier conducteur : conducteur très brave. Blessé mortellement à Vomecourt, le 8 septembre 19Ï4 Croix de guerre avec étoile de bronze.

COMPAGNON (Michel), mie 06977,2e canonnier servant : canonnier calme et courageux. Tu6 en ravitaillant sa batterie en munitions, la 19 octobre 1916, dans la région de Lihons (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze, CIIALANDARD (Auguste-Marins), mIe 4352, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux. Blessé grièvement, le 25 août 1914, à Sarrebourg, fait prisonnier. Est mort de ses blessures en captivité. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COMBEMOREL (Germain-Jear,-Baptisl-), mIe 05550, 2e canonnier conducteur : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 21 août 1914, à Voyer Lorraine).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIIRON (François), mie 01259, 2* canonnier conducteur : bon et brave conducteur. Tué à la batterie de tir devant Saint-Quentin, le 7 avril 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CUBIZOLLES (Augustin), mIe 3546, 2e canonnier conducteur : conducteur brave et dévoué.

Tué à son poste de combat, lel6 novembre 1916, devant Lihons (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CïIlEZE (Henri-Désiré), mIe 3338, 2e canonnier servant : servant remarquable par sa bravoure et son sang-froid. Mort glorieusement à son poste de combat, le 16 novembre 1916, près de Lihons. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAPELLE (Eugène-Jean-Vital), mie 4597, 2e canonnier conducteur : conducteur brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 22 octobre 1916, à Lihons (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

COCHET (Marcel-Jean-Léon), mie 4129, brigadier : excellent brigadier, brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 9 octobre 1916, près de Lihons. Croix de guerre avec étoile da bronze.

CHAMPIGNON (Louis), mie 358, maréchal des logis : très bon -sous-officier, consciencieux, brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 16 novembre 1916, à Lihons (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUTRONC (Joseph-Régis-Alphonsel, mle lile, 2' canonnier servant : canonnier remarquable par son sang-froid et son habileté. Blessé mortellement sur sa pièce, le 22 août 1914, aux Trois-Fontaincs. Croix de guerre avec étoile da bronze.

FAURE (Ernest-Jean), mie 3597, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier qui a toitjours fait preuve de courage et de dévouement..

Tué à son poste de combat, le 5 septembre 1914 à Ranibervillers. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FRANCON (Eugène), mie 4458, 2e canonnibr conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort pour la France en captivité des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAB'lii (Charles-Louis-Albert) mie 05243, canonnier servaut : très brave canonmor rue glorieusement à son poste de combat à attaque du Mort-Homme, le 12 août 1917. Croix do guerre avec étoile de bronze.

FOFRMEAUX (Germain-Georges) mie 06430.

2e canonnier servant : servant brave et dévoué.

Tué à son poste de combat devant Warsy (Somme), le 20 mars 1915, en faisant vaillammcnt son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FANCIION (Marius-Joseph), mIe 4043, 2e cansnnier servant : canonnier brave et énergique.

Blessé à son poste de combat. Mort, le 13' octobre 1914, a Riequebourg. Croix de gucrna avec étoile de bronze.


FROMAGE (Jean-Baptiste), mie 3790, 2e canonnier-servant : excellent canonnier, brave et dévoué. Blessé devant Alberschweiller (Alsace), le 21 août 1914. Resté aux mains de l'ennemi et mort des suites de ses blessures. Croix do guerre avec étoile de bronze.

GLEYE (Albert-Adrien-Aristide), mie 3876, 2e canonnier servant : excellent canonnier, brave et dévoué. Tué par une bombe d'avion, le 22 septembre 1914, à Lassigny (Oise). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUAT (Clément), mie 3959, brigadier : bon et brave brigadier. Blessé grièvement en assurant son service devant Montdidier. Mort des suites de ses blessures, le 28 juin 1915. C de guerre avec étoile de bronze.

LEYRELOUP (Marcel-Joannès), mie 4404, 2e canonnier conducteur: excellent canonnier.

Tué à Popperinghe, le 2 décembre 1914, en ravitaillant sa batterie. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LIBESSART (Albert-Fernand), mie 06174, 2e canonnier servant : très bon canonnier. Brave au feu. Tué à son poste de combat, le 15 octobre 1916, à Rozières (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEDIEU (François-Marien), mie 3968, maîtrepointeur: excellent maître pointeur. Brave et dévoué. Tué sur sa pièce, le 11 octobre 19!6, près de Chaulnes. Croix do guerre avec étoile de bronze.

LAMIRAY (Ernest-Maurille), mie 3098, maréchal des logis: très bon sous-officier. Tué en ravitaillant sa batterie, près de Lihons (Somme), le 20 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTIN (Gilbert), mie 4C06, 2e canonnier servant : canonnier remarquable par son courage et son dévouement. Tué à son poste de combat, le 20 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MISSONNET (Jean-Baptiste), mie 05117, 2e canonnier servant : excellent servant brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 16 novembre 1916, à Lihons (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MOREL (Jean), mie 3824, 2e canonnier servant : canonnier remarquable, s'est admirablement comporté dès les premiers combats.

Tué d'une balle, le 21 août 1914, à Voyer, en pointant sa pièce sur les tirailleurs allemands qui allaient envahir sa batterie. Croix de guerre avec étoile de bronze.

- MOURDON (Francisque-Marius), m'e 3613, 2" canonnier conducteur : conducteur brave et dévoué. Tué à son poste, à Conchy-Ies-Pots (Somme), le 18 octobre 191 i. Croix de guerre avec étoile de bronze.

iMONTABRUN (Jean-Marie), mie 06321, maître pointeur : excellent pointeur, plein d'entrain et de courage. Tué sur sa pièce, le 22 septembre 1914, à Lassigny. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MOULIN \françois), mie 3413, maître pointeur : maître pointeur courageux et plein d entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort pour la France, en captivité, le 23 août 191 i, des suites de ses glorieuses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NIEUL (Louis-Alphonse), mie 05252,2e canonnier : bon et brave canonnier. Tué en assurant une liaison devant Chaulnes, le 10 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PETEL (Jean-Marie-Jules), m!e 017270, 2e canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué. Mortellement blessé devant Verdun, le 13 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

s PEYRAT (Léonard), mie 3215, maréchal des logis : excellent sous-officier qui s'est fait remarquer comme chef de section et observateur. Blessé grièvement à son poste. Mort pour 'la France, le 12 mars 1915, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile do bronze.

: ROCHER (Jean-Louis), mie 4035, 2e canonnier conducteur : très bon canonnier qui-s'est fait remarquer par sa belle attitude au feu. Tué à son poste, le 2 octobre 1914, à Parvillers (Somme).

croix de guerre avec étoile de bronze.

X.

RAOUX (Guillaume-Alexandre), mie 3501, 2é canonnier servant : bon canonnier, très brave et très calme sous le feu. Tué à son poste de tireur à Roye-sur-Matz, le 4 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SOUCHAL (Edouard- Antoine), mie 5904, 2e canonnier servant : canonnier courageux.

Tué glorieusement à son poste de combat, le 11 octobre 1915, devant Chaulnes. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAGNIAL (Jean-Marie), mie 4096, maître pointeur : très bon maître pointeur, courageux et dévoué. Grièvement blessé pendant la bataille de la Marne. Mort des suites de ses blessures, le 10 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TESTUD (Etienne-Cyprien), mie 6410, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux et dévoué. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 7 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

THOMAS (Michel), mie 3105, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué. Tué glorieusement en aidant à la réparation d'une ligne téléphonique devant Verdun, le 9 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TESTUD (Laurent), mie 4068, 21 canonnier servant : très brave canonnier, plein d'entrain.

Tué pendant l'offensive près de Sarrebourg, le 21 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VÉDRINE (Régis-François), mie 04034, canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué qui a donné de nombreuses preuves de courage. Tué à son poste de combat, le 26 février 1915, à Bains (Oise). Croix de guerre avec étoile de bronze.

VALAT (Martin-Louis), mie 3779, 2e canonnier conducteur : conducteur brave et énergique.

Tué à son poste de combat à Vlamertinghe (Belgique), le 17 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VERGER (Jean-Baptiste-Ulysse), mie 03050 maréchal des logis : chef de pièce dévoué et consciencieux, d'une haute valeur morale.

Blessé mortellement en maintenant l'ordre dans les avant-trains, pendant un bombardement, le 4 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

AURIÈRES (Elie-Pierre-Je an), mIe 2688, 2e canonnier : excellent canonnier conducteur, énergique. Tué sur ses chevaux, le 29 août 1914, à Rambervillers. (En exécution de l'article 277 du service courant).

19' rég. d'artillerie de campagne.

ALBY (Etienne-Pierre), mie 4513, maréchal des logis chef : au front depuis la début de la guerre. Excellent sous-officier, qui a souvent été employé comme observateur aux tranchées. Le 3 mars 1916, malgré un violent bombardement, est venu, sur la position même, régler la comptabilité du mois précédent avec son capitaine. A été tué en accomplissant cette mission. A été cité.

BARBOTTO (Jean-Maurice), mie 04999, canonnier servant : excellent canonnier, d'un dévouement remarquable pour ses camarades et ses supérieurs, très bon téléphoniste, toujours prêt pour les réparations des lignes, malgré les difficultés et le danger. Est mort glorieusement, le 23 février 1916, enseveli sous son abri avec deux de ses camarades. A été cité.

BARRY (Paul-Louis), mie 5321, maréchal des logis : gradé très dévoué, très énergique et très consciencieux. A été blessé grièvement, le 6 mars 1916, à son poste de chef de pièce. Malgré ses souffrances, continuait à encourager ses hommes. Mort pour la France. A été cité.

GINESTE (Louis-Charles), mie 02073, 2' canonnier servant- excellent canonnier, d'un dévouement remarquable, toujours prêt à se porter au secours de ses camarades blessés. Tué glorieusement à son poste de combat, le 14 mai 1916, à Verdun. A été cité.

GAVANON (Armand-François), mie 015189, brigadier : excellent brigadier, sur le front depuis le début de la campagne. Mortellement blessé à son poste de combat, le 30 avril 1915, près de Verdun. A été cité.

GILOUX (Philémon), mie 04733, maître porteur : excellent maître pointeur. Le 20 mai 191u, sa batterie étant soumise à un violent bombardement d'obus de gros calibre, s'est ac" quitté avec le plus grand sang-froid de ses fonctions de pointeur, jusqu'au moment où sa pièce a été mise hors de tir par l'explosion d'un obus. Tué glorieusement quelques in*" tants après sur la position. A été cité.

LEFRANÇOIS (Léon-Eugène), mie 5709, brigadier : engagé pour la durée de la guerre, Io depuis son arrivée à la batterie, fait preuve d'un entrain et d'un courage remarquableS, toujours volontaire pour les missions les plu* dangereuses, assurant les liaisons sous les bombardements les plus violents, notamment aux attaques de Champagne. A été tué, le 29 fé' vrier 1916, à son poste d'observation, par l'éclatement d'un obus de gros calibre. A été cité.

MARILLIER (Gaston), mie 5661. 2" canonnief conducteur : bon canonnier. A été très grtèv0" ment blessé pendant qu'il réparait les communications téléphoniques sous un feu très VI"¡ lent. Mort des suites de ses blessures le 29 rna 1915. A été cité.

MELIN (Albert-Gustave), mie 01860, tr°It!" pette: excellent agent de liaison, toujours prel pour porter un ordre. A été tué glorieusementtle 2 mars 1916, en accompagnant volontaire ment le maréchal des logis chef de sa batterie qui venait trouver son capitaine, commandant sur la position. A été cité.

ROUX (Georges-Jean-Célestih), mie 020ii> 2e canonnier servant : téléphoniste très dr3 S'est particulièrement distingué pendant 1& période du 26 juillet au 4 septembre 1916 daf" les combats de la Somme, en assurant, liaisons téléphoniques avec l'infanterie. Bless®» le 4 septembre 1916, à son' poste de comba Mort pour la France. A été cité.

SINARD (Baptiste-Théophile), mie 03904, maîfj pointeur : excellent pointeur. Le 29 avril 1916,1 Verdun, la batterie étant soumise à un bon,, bardement intense, s'est dépensé sans comptcn dans ses fonctions. Tué glorieusement à 5011 poste le même jour. A été cité.

SABATIER (Alfred-Jules), mie 9682, canonpi^ conducteur : très bon conducteur. Le 10 Juî.t 1916, s'étant trouvé exposé à un très viole" bombarbement, est resté à la tête de ses cne vaux au point de rassemblement indiqué et a été tué glorieusement par l'explosion d'un Oblis, A été cité.

VEDEL (Ilippolyte-André), mie 0627, 2e caO: nier conducteur : très bon canonnier, a toil, jours fait très bravement son devoir. Cour geux et dévoué, a été blessé très grièvement so poste de combat, le 3 septembre i'1 Mort pour la France. A été cité.

ARNAUD (Marius-Jules), mie 02596, 2e c0l^r nier conducteur : a fait-vaillamment son de [Je.

dès les premiers combats de la campée Mort glorieusement pour la France, le 29 SCY.

tembre 1914. Croix de guerre avec étoile bronze.

BRUN (Paul-Clément), mie 03924, 2e aneS nier : a fait vaillamment son devoir dès Q-, premiers combats de la campagne. Tombe rieusement pour la France, le 6 septembre aycG devant Osches (Meuse). Croix de guerre ae6 étoile de bronze. ,

COISSIEUX (Aimé-Théophile), mie OZ6ra 2e canonnier conducteur : canonnier coule5 geux qui a fait vaillamment son devoir ès gto~ premiers combats de la campagne. Mor IIo, rieusement pour la France, le 21 septertl 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. ,,1'.

CIIASTAGNIER (René-Adrien), mie éot 2e canonnier conducteur : a fait vailla.Fap1' son devoir dès les premiers combats de laa pagne. Tombé glorieusement pour la le 24 septembre 1914, devant DOIllt P.16 fil, (Meuse). Croix de guerre avec éton 0 bronze.

GUILLARD (Théophile-Marius), mle ¿$ et 1 If canonnier servant : canonnier courag plein d'entrain, ayant donné de non~oiopreuves de sa bravoure et de son sang cortJ' Mort pour la France, le 22 mars 1916, »'^ce0ffffy9 bat de Bois-Camard (Verdun). Croix B avec étoile de bronze. ,er' nnier e, IIERLE (Adrien), mie 07000, 28 canonnièrger vant : excellent canonnier d'un grand t} (Ie* Supplémen


Plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 17 août 1916, à Ilerbécourt (Somme).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIERMIEU (Fleury-Marius), mie 013583, maréchal des logis : a fait vaillamment son devoir des les premiers combats de la campagne.

Tombé glorieusement pour la France, le 29 septembre 1914, à Dompcevrin (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

') JULIEN (Léon-Ilenry-François), mIe 01991, 2e canonnier: a fait vaillamment son devoir des les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 27 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LIEUTAUD (Marius-Probace), mIe 04974, c canonnier conducteur : a toujours été un 'ûlllûnt canonnier, faisant constamment Preuve, de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 13 mai 1916.

CrQjx de guerre avec étoile de bronze.

PKLLEGRIN (François-Emile), mie 01795, ^naître pointeur : maître pointeur courageux et eill d'entrain ayant donné de nombreuses Preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

J pmbé bravement pour la France, le 11 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

.HEXAUD (Charles), mie 0621, 2e canonnier servant: a toujours été un vaillant canonnier, disant constamment preuve de courage et de •dévouement. Mort glorieusement pour la franco, le 23 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VALLABRflGUE (Benjamin-IIenri), mie 018033, Maréchal des logis: très bon sous-oflicier ayant donné la valeur de son courage et de son dénuement au cours de durs combats. Mort la France, le 28 septembre 1914, des cuites de blessures glorieusement reçues à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de tron.

(Alb ort- Franc ois), mie 04927, 2e caer conducteur : a fait vaillamment son dev °l• r dès les premiers combats de la camT)a£ ->"e- Tombé glorieusement pour la France, jOa pT* septembre 1914, à Dompcevrin (Meuse).

01* de guerre avec étoile de bronze.

20e rég d'artillerie.

11 nOSSIS (Léon-René-Jean), mie 4794, 2e ca'î^'er conducteur : bon canonnier. Blessé flirteilcment, le 22 avril 1916, en servant sa citéc.e sous un violent bombardement. A été cl;<\nxûUX (Charles-Joseph), mie 4828, maréchal des logis chef : excellent sous-officier, S'était f -f toujours signalé depuis lo début de la et gne par son sang-froid, son dévouement et on Courage. Venait de seconder avec zèle son PaPitaine dans des circonstances particunt difficiles. Est tombé mortellement Cill;;.I(') i1'- SOn poste de combat à Esnes (Pas-deCalais le 19 mail'J16. A été cite.

1:>, le 19 mai 1916. A été cité.

3IlI:WT (Jean-Baptiste-Fernand-Alexis), mIe a' c'anonnie1' servant : servant couraA assuré avec calme et sang-froid le serViCg e sa Pi''ce sous un violent bombardettierit 'P,!01'ieusement tué à l'ennemi devant n, le 11 mai 1916. A été cité.

loCIIIEn (Emile), mie 4508, maréchal des excelîent sous-officier. Sous un bomf1* violent qui avait privé une pièce de son c!lcf et de trois servants, est accouru ée son J?- me pour remplacer l'un d'eux. Gloil la c nlent mort pour la France, le 7 mai 1916, a 0 e 304 (Verdun). A été cité.

18 2 \.-Il '.AU (Léo'pold-Fernand-Alfred), mie 5798, a canonnier conducteur : brave canoner, servi "ne pièce très exposée au feu de a Ésnp? JPS<1U ce qu'il fût tué, le 10 mai1916, Lj Cb (Meuse). A été cité.

LIZÉE (r:élfxJoseph-Mal'ic-IJenri), mIe 09375, VOUé Ollruer servant : canonnier brave et déVoués Très elle tenue au cours de tirs exécutés sous. A V}oents bombardements les 4 et 5 mai 1916, A été tué pendant l'un d'eux à Esnes T (Maurice), mie 4061, maréchal des logis A e d pièce ayant beaucoup de sangfroid A assuré le service de sa pièce avec le plus (:nd calme pendant de violents bombar- Sc, upplément.)

dements. Glorieusement tué, devant Esnes, le 11 mai 1916. A été cité.

MENARET (Jean-Joseph-Marie), mie 7257, 2e canonnier conducteur : canonnier modèle. Blessé mortellement à son poste en accomplissant son service, le 5 mars 1916, à Monthairons (Meuse).

A été cité.

MASSET (Adrien-Alfred-Marie), mie 03W3, 2e canonnier servant : brave canonnier. A servi une pièce très exposée au feu de l'ennemi jusqu'à ce qu'il fut tué, à Esnes (Meuse), le 4 mai 1916. A été cité.

OLIVET (Georges-Gaston), mie 40G9, maréchal des logis : au cours des combats récents, a assuré des liaisons dans des circonstances difficiles. Pendant ceux des 4 et 5 mai, a dirigé des tirs de sa pièce sous les bombardements des plus violents, prenant lui-même des fonctions de chargeur pour exposer le moins de personnel possible. Mort pour la France, le 17 mai 1916. A été cité. w POUPIN (Auguste-Célestin), mie 04134, 2e canonnier conducteur : canonnier énergique et dévoué. Tué à son poste en accomplissant son service à Deramée (Meuse), le 5 mars 1916. A été cité.

ROUDARD (ClorIorpir-Marcel-René), mie 4556, 2e canonnier servant : brave canonnier. A servi une pièce très exposée au feu de l'ennemi jusqu'à ce qu'il flit tué, à Esnes (Meuse), le 10 mai 1916. A été cité.

TAUREAU (Alcide), mie 6951, 2« canonnier conducteur : excellent canonnier, dévoué* plein d'entrain. Tué à son poste, le 2 avril 1916, à Ilaudiomont. A été cité.

BIGOT (Ermite-François), mie 5057, maître pointeur: excellent maître pointeur. Glorieusement tué à l'ennemi le 10 mai 1916 à la cote 304, devant Verdun. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BALINEAU (Eugène-Clément-Célestin-Marie), mie 4371, maître pointeur : bon maître pointeur.

Glorieusement tué à son poste de combat, le 8 octobre 1916. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BELLET (Arthur), mie 07830, 1er canonnier servant : bon canonnier. Blessé une première fois dans l'Artois en novembre 1915, a trouvé une mort glorieuse à son poste de combat le 23 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DUPONT (Eugène-Alexis-Françis), mie 4768, 2e canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sfing-froid.

Mort pour la France, le 28 août 1918, à Epagny (Aisne). Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DUAULT (René-Hippolyte-Emmanuel-Marie), mie 7157, maréchal des logis : sous-officier courageux et énergique. Mortellement blessé sur la position de batterie, le 13 juillet 1917.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DELORD (Raymond-Marcel), mie 5200, 2e canonnier conducteur : bon canonnier. Glorieusement tué à l'ennemi en servant un canon, le 5 mai 1916, à la cote.304, devant Verdun.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GODIN (Louis-Joseph), mie 4904, maître pointeur : bon maître pointeur. Glorieusement tué à l'ennemi, le 7 mai 1916, à la cote 304, devant Verdun. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent..

PICAT (Maurice-Ferdinand-André), mie 6254, aspirant : gradé d'élite, d'une superbe attitude au feu. Glorieusementblessé à son poste devant Verdun, est mort des suites de ses blessures, le 6 avril 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.

ROY (Roger-Justin), mie 5008, maréchal des logis : bon sous-officier. Mortellement blesse à son poste de combat, le 24 avril 1916. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

TIIEAUD (Alexandre-Pierre-Clément-Albert), mie 4563, brigadier : bon brigadier. Glorieusement tué à l'ennemi, le 11 mai 1916, devant Verdun, la cote 301. Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

ALARY (Alfred-Auguste), mie 5326, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué.

Glorieusement tué à son poste de combat le 15 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ATANAS (Jean-Joseph-André), mie 5360,2® canonnier servant : bon canonnier. Sur le front depuis le début des hostilités. Glorieusement tué à son poste de combat, le 8 octobre 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRUN (Pierre-Paul-Louis), mie 06159, brigadier : bon brigadier. Glorieusement blesse à son poste dans la forêt d'Esnes, devant Verdun,,1e 28 avril 1916. Mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile do bronze.

BELAUD (Henri-Constant-Armand), mie 09399, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué. Glorieusement tué à son poste, le 15 octobre 1916, à Morval. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BIDET (Jean-Baptiste), mie 3495, maître pointeur : maître pointeur courageux et dévoué.

Glorieusement tué à son poste, le 15 octobre 1916, à Morval. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUET (André), mie 04526, trompette : bon canonnier, courageux et dévoué. Glorieusement tué à l'ennemi, le 30 mars 1917, à Houx.

Croix de guerre avec étoile de bronze. »

BRUNEI (Amédée-Valentin), mie 5467. 2e canonnier conducteur : canonnier dévoué. Glorieusement tué sur .sa pièce, le 8 octobre 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BEQUET (Auguste-Célestin-Joseph), mie 4774, 2e canonnier conducteur : bon canonnier. Glorieusement tué à son poste de combat, le 17 avril 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONIAUD (Emile), mIe 580S, 2e canonnier : bon canonnier. Glorieusement blessé à son poste, le 6 mai 1916, dans le secteur de la côte 304, devant Verdun, est mort de ses blessures le jour même. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOURGET (Baptiste-Jean-Marie), mie 014420, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier.

Glorieusement ef mortellement blessé à l'ennemi, le 12 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BATTAIS (Auguste), mie. 0203, maître pointeur : excellent maître pointeur. Glorieusement tué à son poste devant Douaumont, sous Verdun, le 30 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BARRIE (Joseph-Frédéric), mie 05115, 2e canonnier servant : bon canonnier. Glorieusement tué à son poste, le 10 mai 1916, à la cote 304, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERTIIELOT (Louis), mie 0778i, maître pointeur : maître pointeur très brave. Au front depuis le 2 août 1914. A trouvé sur sa pièce une mort glorieuse, le 15 mai 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERTIIONNEAU (Roger-Camille-Albert), mie 5781, maréchal des logis : sous-officier dévoué.

Glorieusement tué à son poste de combat, en installant sous le feu une pièce avancée, le 3 novembre 1916, devant .Morval (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze. f DELAIIAYE (Ilenri-Jean-Auguste), mie 15547 2e canonnier servant : bon et brave canonnier.

Glorieusement blessé devant Saint-Quentin.

Mort des suites de ses blessures le 16 mars 1917.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUVAL (Marcel-Désiré-Emile), mie 3755, maréchal des logis : sous-officier zélé et brave.

Mort nour la France en accomplissant sa mission, le 9 septembre 1914, à la ferme de SainteSophie, près Fère-Champenoise. Croix de guerre avec étoile de Dronze.

CIIICÏIERY (Félicien-Théophile), mie 6Î07, fer canonnier servant : canonnier courageux et dévoué. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures le 9 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COUTANT (Louis), mie 5C..3, 2e canonnier servant : vaillant canonnier. Glorieusement blessé à Epoyes (Marne), le 1er septembre 1914. Mort


des suites de ses blessures. Croit de guerre avec étoile de bronze.

FAVREAU (Léon-Charles), mie 6798, 2e canonnier servant : bon et brave canonnier. Mortellement blessé à la position dB batterie le 20 avril 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GENDRE (Emile-Jules), mie 5033, 2e canonnier servant : vaillant servant, brave et dévoué.

Mortellement blessé à son poste de combat le 29 octobre 1916 à Morval (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GAULTIER (Clodomir), mie 07754, maître pointeur : maître pointeur d'élite. Glorieusement tué à son poste de combat le 21 octobre 1916 devant Morval (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

HERBLOT (Albert-Eugène), mie 5649,2e canonnier : bon canonnier. Glorieusement tué à Vennemi le 30 avril 1916 dans le secteur de la côte 304. devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEGAL (Marcel-Ulysse-Julien), mie 5217, 2e canonnier servant : bon canonnier. Glorieusement tué à son poste, le 7 mai 1916, à la cote 304, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAIDIN (Eugène), mie 09333, 2e canonnier servant: canonnier d'élite, brave et courageux.

Glorieusement tué à son poste de combat, le 21 octobre 1919, à Morval (Somme). Croix de guerre avec étoile do bronze.

LAMBERT (Louis-Constant), mie 012905, 2° canonnier servant : canonnier courageux et dévoué. Glorieusement tué à l'ennemi, le 29 décembre 1916, à Cléry-sur-Somme. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARZEAU (Joseph-Emile), mIe 00345, 2e canonnior servant : bon canonnier. Glorieusement tué à son poste, le 10 mai 1916, à la cote 304, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze. ROBUCHON (Gustave-Henri), mie 09086, maréchal des logis : gradé courageux et dévoué.

Blessé grièvement à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures, le 21 août 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROULLEAU (Louis-Alexis), mIe 01387, 21 canonnier conducteur : excellent canonnier.

Glorieusement tué à l'ennemi, le 22 mars 1917, à Selens. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RIDEAU (Joseph-Jean), mie- 06286, maître pointeur : bon maître pointeur. Glorieusement blessé à son posta devant Verdun à la cote 304.

Est mort, le 24 avril 1916, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROYER (Romain-Aimé-Gustave), mie 03074, 2e canonnier conducteur : bon canonnier.

Glorieusement tué à son poste, le 16 mai 1916, à' Déramëe. Croix de guerre avec étoile de bronze. -

RAVIOU (Abel-Marie-Robert), mîe 07691, trompette : brave canonnier. Glorieusement blessé, le 9 mai 1915, à Noyelles-les-Vermelles. Mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TROUVÉ" (Abel-Edmond), mie 07881,. 2° canonnier .servant : bon canonnier. Glorieusement tué à son poste, le 26 avril 1916, à la cote 30i, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VIGNERON (Auguste-Jean-Baptiste-André), mie 5416,2e canonnier servant : bon canonnier.

Glorieusement tué à son poste, le 10 mai 1916, à la cote 304, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

29e rég. d'artillerie.

BERNARD (Marcelin-Simon-Emile-Sarah), mie 6921, 1er canonnier servant: engagé volontaire e la classe 1916, a toujours fait preuve, dans 1 exercice de ses fonctions de pointeur dans une batterie de tranchée, d'un grand mépris du ~~? et q"uç. tléyouement inlassable. Mort spour la France, le 18 octobre 1916. A été, ç- té.

BINCHE (Eugène) mle 03709, cànùanier ervant: depuis le début de la feuotre essé de se signaler par sabravoure.

à l'ordre du régiment pour sa belle conduite au feu. A été tué à son poste de combat le 18 octobre 1916. A été cité.

CIIIEZE (Pierre), mie 07053, 2e canonnier conducteur : conducteur très courageux. A fait preuve d'un grand sang-froid en ravitaillant sa batterie aux tranchées de première ligne.

Blessé mortellement, le 14 septembre 1916, en accomplissant sa mission. A été cité.

COULON (Adonis), mie 3030, 2e canonnier servent : très bon canonnier, à montré le plus grand .courage dans le service de sa pièce où il a été blessé, le 8 juin 1916. Mort pour la France.

A été cité.

.CORNET (Léon-Antoine-Joseph), mie 5131, brigadier : a donné à son équipe l'exemple de la bravoure dans Un endroit continuellement bombardé. A assuré la répartition des lignes sans relâche dans les moments les plus difficiles, rarticulièrement le 12 juin où le bombardement a été extrêmement violent. A été tué, le 15 juin 191G, près de son poste téléphonique. A été cité.

COGET (Victor), mie 5336, brigadier brancardier : à toujours fait preuvre au feu du plus grand courage et de la plus belle énergie. Remarquaple par son zOle et son dévouement, à rendu des services signalés dans les combats des 22 et 23 juin 1916, devant Verdun, se dépensant sans compter pour les blessés qu'il était toujours le premier à secourir. A été mortellement frappé en transportant un blessé grave à travers un tir de barrage de l'ennemi. A été cité.

DEHON (Fernand-Emile-Amédé), mie 3498, 2e canonnier servant : toujours très courageux, devant le danger. A été tué au service de sa pièce, le 10 août 1916. A été cité.

DELAGRANGE (Edouard), mie 01S746, 2e canonnier servant : excellent canonnier, brave et courageux. A été tué à son poste de combat, le 27 octobre 1914, au Four de Paris. A été cité.

DEBIEUX (Louis-Pierre), mie 07049, 2e canonnier conducteur : canonnier conducteur énergique et consciencieux. Blessé grièvement à son poste de combat, le 30 juin 1916. Mort pour la Fpance. A été cité.

DELAPORTE (Georges-Léon), mie 05039, 1er canonnier servant: servant modèle, a donné toute satisfaction par sa manière de servir, calme et dévoué. Tombé glorieusement à son poste de combat, le .20. mars 1918. A été cité..

DEBRIE (Wilfrid-Adélas-Nicolas), mie 014513, 20 canonnier conducteur : très bon servant, brave et courageux. Tué à son poste de combat à Suippes en Champagne, le 3 octobre 1915.

A-été.cite..

DUSSIN (Jean-Baptiste), mie 01643, maréchal des logfs : vigoureux et plein d'entrain, a rendu les plus grands services pendant la campagne.

A été tué à son poste de combat, le 1er juin 1915.

A été cité.

DESPRAT - (Adolphe-Ferdinand), mie 3090, maréchal des logis : excellent chef de pièce, brave et courageux. Tué à son poste de combat à l'arsenal de Reims, le 4 janvier 1915, en dirigeant le feu de sa pièce sous un violent bombardement. A été cité.

BENYS (Adolphe-Joseph), mie 4437, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement.

Mort glorieusement pour la France, le 9 juin 116, à Fleury ,(Meuse). A été cité.

EVENOJean-Louis), mie 11840, 2e canonnier servant : canonnier très brave. Blessé mortellement à son poste de combat, le 6 octobre 1918, dans la Marne. A été cité.

: FONTAINE (Léon-Clément), mie 014785, 2' canonnier conducteur : excellent conducteur, brave et courageux. A été tué à Ecoines' en Artois, le 16 mai 1915, en exécutant le ravitaillement de la batterie de tir, A été cité.

FISCHER (Paul-Alexandre), mie 5781, maréchal des logis : jeune sous-officier d'une énergie et d'une bravoure exceptionnelles. S'est distingué • au Maroc et pendant la campagne actuelle. A été tué" â son' poste de Coiiîbat, le 1er juin 1915. A été cité'* l' i 't-A\JCIZ (Paul-Eugène), rnie c'a• : boa canonnier. Blessé

mortellement à son poste de combat, le 4 juin 1918. A été cité.

FONTAINE (Jules-Henri), mie 3057, canonnier servant : a été tué, le 25 septembre 1916, dans le ravin d'Assevillers (Somme). Bon soldat. Au front depuis le début de la campagne. A été cité.

FROIDEFOND (Henri), mie 7263, canonnier conducteur: excellent canonnier. Dévoué et très courageux. Tué à son poste'de combat, le 25 juillet 1916, pendant la bataille de la Somme.

A été cité.

FULLENNE (Henri-Fulgence), mIe 4294, maître pointeur : excellent maître pointeur. Tué sur sa pièce, le 31 août 1914, près de l'Authc. A été cité.

GAUDEFROY (Lucien-Louis-Emile), mie 03912, canonnier conducteur: excellent conducteur.

Tué au cours d'un ravitaillement de la batterie, le 19. août 1917, dans une région constamr ment et violemment bombardée. A été cité.

GRENET (Lucien-Robert-Frumence), mie 8461, 2* canonnier servant : engagé volontaire, artilleur de tranchée d'un allant et d'un courage magnifiques. Blessé, le 16 avril 1917, à l'attaque de Craonne. Tué au champ d'honneur le 27 août 1917. A été cité. :

GRAND (Etienne-Marius), mIe 6476, brigadier : gradé énergique et brave, ayant une haute idée de son devoir, a été blessé à son poste de combat. A dirigé, le 1er novembre 1916, avec beaucoup de sang-froid le tir de ses engins de tranchées, pendant un violent bombardement.

A été tué en servent lui-même une de ses pièces. A été cité.

GOUILLARD (Emile-Henri-Justin-Joseph), mis 11522, canonnier : jeune canonnier plein d'entrain et courageux. Blessé mortellement, 10 31 mai 1918, dans la batterie à son poste de combat. A été cité.

GUILLON (Louis), mie 3343, canonnier conducteur : très bon conducteur. A été tué, le 29 septembre 1914, en cherchant à maintenir le calme parmi les chevaux au cours d'un boin- bardement des avant-trains. A été cité.

IlENRION (Henri), mie 05362, canonnier conducteur : servant d'un courage exemplaire.

Tué à son poste de combat, le 14 mars 1916, au cours de l'offensive allemande sur Verdun. A été cité.

LACROIX (Eugène-Paul), mie 017132, 2* canonnier servant : très bon servant, très cou' ragoux. Tué dans la Somme à son poste, la 25 septembre 1916, à Assevillers. A été cité.

LEFÈVRE (Anselme-Jean), mie 016966, canonnier servant : bon servant, brave et courageux.

A été tué au cours d'un bombardement, I0 21 février 1916, à Charny. A été cité.

LEROY (Georges-Albert), mie 4394, 28 canon, nier conducteur : très bon conducteur. A c,!é tué, le 20 février 1916, en ravitaillant la battert" sous des tirs de harcèlement nourris et fréquents. A été cité.

LOTII (Floride-Augusto-Joseph) mIe 709$6 canonnier servant : excellent servant pleine courage. Tué à son poste dans la Sonup*5»1 23 juillet 1916. A été cité.. 3 LOUP (Henri-Louis), mie 03658, 2e canonnig servant : volontaire dans une batterie de trajj chée. Canonnier d'un courage remarqua11*' - , modèle de conscience et de dévouement,: PjL sédant une très haute idée do son deV la Ayant été affecté à un poste à l'échelon de batterie, a demandé à reprendre du seH aux tranchées. A été grièvement blessé, le 31 août 1916, en travaillant en première liSUu'( Mort pour la France. A été cité.

LAVENUE (Albert-Nestor), mle 6008, 2e canog nier servant: bon et brave canonnier. 556 à son poste de combat, le 10 décembre blciA Mort pour la France des suites de ses c' sures. A été cité.

, t LACOURT (Auguste), mle 1126, 2. caiiaû11.^ servant : très bon canonnier. A été tué à £ poste de tireur au combat du 23 juin 1; été cité. ; LEFEVRE (Georges-Désiré), mie 5172, dier : excellent brigadier, blessé pendant taque de Champagne en octobre 1915* est venu au front sur sa demande dès son » t , "- .0. '.- ,--"--


Glissement. A été atteint mortellement à son poste de chef de pièce le 10 juin 1916. A été cité.

LEMARCIIAND- (Joseph), mie 6014, brigadier: très bon brigadier, très courageux, très brave, a participé à tous les ravitaillements en munitions de la batterie très souvent comme volontaire. Un des conducteurs en ravitaillement, blessé grièvement étant resté sur la position de batterie, il s'est offert pour aller le chercher en plein jour avec la voiture médicale. A été tué le 23 juin 1916. A été cité.

LESOT (Raymond), mie 5389, cannonier servant : excellent téléphoniste, s'est toujours fait remarquer par son courage, volontaire Pour les missions périlleuses, très bon canonnier, dévoué et discipliné, a toujours rempli ses fonctions à l'entière satisfaciion de ses chefs. Blessé une première fois en allant réparer une ligne sous un violent bombardement.

A été tué étant de service dans un observatoire avancé le 24 avril 1917. A été cité.

LEFRÀNC (Arthur-Léon-Joseph), mie 7877.

2e canonnier servant : brave canonnier. A fait preuve du plus grand courage, en assurant le service de sa pièce de tranchée sous un très violent bombardement d'obus de gros calibre lu combat du 16 août 1916, au cours duquel il a été tué glorieusement a Belloy-en-Santerre (Somme). A été cité.

MARTIN (Olivier), mie 0338, maréchal des logis : sous-officier très dévoué et courageux.

Tué le 5 avril 1917 pendant l'offensive de l'Aisne au cours d'un ravitaillement en munitions.

A été cité.

MARTIN (Erasme-Léon-Liévin), mie 5287, maréchal des logis : excellent sous-officier, dévoué et courageux. Tué dans la Somme le 19 juillet 1916 à la batterie de tir. A été cité.

t MouQUE (Arthur), mie 04707, maître poinacur: très bon maitre pointeur. Tué à sa pièce Jîeit l cours d'un violent bombardement, le 19 juillet 1916. A été cité.

MILLE VILLE (Adolphe), mie 5252, 28 canonIrt servant : le 9 octobre 1915. exécutant de liUI un tir de barrage demandé par l'infante^e, a servi sa pièce sous un violent bombarement jusqu'au moment où il a été mortellement atteint. A été cité.

MALAQUIN (César), mie 017501, 2e canonnier Conducteur: excellent conducteur, brave et courageux. A été tué à Ecoivres, en Artois, le la mai 1915, en exécutant le ravitaillement de la batterie de tir. A été cité.

MOENS (Alexandre-Emile), mie 04840, brigat Ir : a pris part pendant un mois à des ravissements de nuit sur des chemins violemuent bombardés par l'ennemi. A montré beaucoup de fermeté et a donné à ses conducteurs exemple du courage et de l'entrain. MorLcllent blessé, le 27 mai 1916. A été cité.

diIALVY (Arthur-Edouard), mie 5932, brigar r : un de ses conducteurs ayant été tué Par un obus, a pris sa place à cheval pour emmener la voiture qu'il était chargé de conelre. Très grièvement blessé à son tour, n'a qUiqy-une seule préoccupation, confier à ceux qui e soignaient un ordre écrit qu'il était chargé de poetrer Mort pour la France, le 25 avril 1916. A été cité. - pour la France, le 25 avril diOMIY (Gaston-Alexandre), mie 04190, brigadier : e 23 mai 1916, a montré le plus grand «o0n Q ,rern®nt au cours de l'attaque. A été tué à SO Poste. A été cité.

gi.ÁIU (Arthur), mie 3063, maréchal des locifCn^mé d'une grande ardeur, a su, dans les de stances les plus difficiles, par l'exemple de sa ravom'e et de son sang-froid, maintenir le eal le dans sa pièce. A été tué à son poste de jvwmbat, le 91 mai 1915. A été cité.

ean^IEZ (Charles-Lucien-Edmond), mie 3693, COUrgnJer conducteur : bon conducteur, très tir. ln eux, a demandé à servir à la batterie de tir. 1 essé mortellement à son poste de combat , e 29 juillet 1916, à Chuignolles. A été cité.

(Louis-François), mie 04706t maître : excollent maître pointeur, très conscienciûeT Ux et courageux. Venait de participer dlu tle .açon active à la construction d'un obbless¡olre en première ligne lorsqu'il a été 'essfi ,«®ftellement à son poste au service de sa ce et mai 19161. A été cité.

POTIN (Marcel-Paul-Emile), mie 7429, 2" canonnier servant : téléphoniste très dévoué et très consciencieux. A souvent assuré son service dans des circonstances très périlleuses.

A été tué à la position, le 22 août 1918. A été cité.

PANTEL (Fernand-Laurent), mie 11056, 28 canonnier servant : très bon servant, courageux et dévoué. Tué à son poste de combat, le 21 octobre 1918. A été cité.

PELLEGRIN (Alphonse), mie 544, 28 canonnier servant : très brave canonnier. Tué à son poste de combat, le 31 mai 1918. A été cité.

PRUVOST (Lcuis-Eugône-Sosthème), mie 03382 B, 2* canonnier servant : canonnier très courageux. A été blessé mortellement, le 12 avril 1917, en portant secours à un de ses camarades qui venait lui-même d'être blessé. A été cité.

PAUCHET (Gabriel), mie 04882, maréchal des logis : excellent sous-officier, modèle de sangfroid et d'énergie. Tué à son poste par une balle des allemands qui avaient envahi la batterie, le 3 juin 1918.

PROVOST (Victor-Léon), mie B 02084, 2e canonnier servant : très bon canonnier ayant toujours donné le meilleur exemple par son courage et son entrain. A été blessé très grièvement, le 16 février 1918, en faisant son devoir.

Mort des suites de ses blessures. A été cité.

RETY (Georges-Jules), mie 4831, 1er canonnier conducteur : excellent conducteur. Tué à son poste de combat, le 22 février 1916. A été cité.

ROUSSEAUX (Victor-Paul), mie 3016, marécha des logis : sous-officier brave et énergique, sur le front depuis le début de la campagne, -s'était déjà maintes fois signalé, particulièrement comme brigadier, agent de liaison ou observateur, au Mort-Homme et sur la Somme. A été teur, le 12 avril 1917, alors qu'il assurait les tué, liaisons en première ligne avec l'infanterie. A été cité.

RENARD (Victor), mIe 7124, maréchal des logis : le 22 mai 1916, au cours d'une attaque chargé d'une mission par le lieutenant, corn-1 mandant le tir, a déployé le plus grand zèle dans l'accomplissement de cette mission, malgré la violence du bombardement. A été tué glorieusement. A été cité.

ROMAC (Alphonse) mie 07966, maréchal des logis : brave sons-officier. Mortellement blessé au combat de Belloy-en-Santerre (Somme) du 29 août 1916, a refuse de se laisser panser avant ses hommes. A donné avant sa mort l'exemple du plus grand courage. A été cité.

SOUDY (Pierre-Lucien) mie 06661, 28 canonnier servant : très bon canonnier, très méritant.

A été blessé à son poste de combat, le 7 septembre 1916. Est mort pour la France, des suites de ses blessures. A été cité.

SAFFORES (Jean-Louis-Joseph-René), mie 10107, médecin sous-aide-major : médecin d'un courage et d'un dévouement remarquables.

Venu dans l'artillerie après quatre ans dans l'infanterie. A été tué à son poste de combat dans la région de Soissons, le 18 juin 1918. A été cité.

THOMAS (Léonel), mie 11734, 2' canonnier servant : très brave canonnier, consciencieux et dévoué. Mort des suites de blessures reçues à son poste de combat, le 24 août 1919. A été cité.

TIIIEBAULT (Paul-Adrien), mie 6357, 2' canonnier servant : très ancien bombardier ayant toujours fait preuve de beaucoup de courage et de sang-froid. Tué au service de sa pièce le 13 avril 1917. A été cité.

THIOURT (Eloi-FIorimond), mie 016935, 2* canonnier servant : très bon eanonnier sous tous les rapports, très courageux. A été blessé à son poste de combat à la ferme Berthonval (Pas-de-Calais). Mort des suites de ses blessures le 31 mai 191o. A été cité.

WEBSTER (René-Henri), mie 01818, maître pointeur : bon maître pointeur, excellente tenue au feu. A été tué sur la position de batterie à Ville-en-Woëvre, le 30 mai 1915. A été cité.

WASSON (Edmond-Georges), mie 016854, 2e canonnier servant : très bon servant, brave et courageux. Tué à son poste de combat à Suippes-en-Champagne, le 3 octobre 1915. A été cité.

BLOND (Victor-Georges-Julien), mIe 3045.

2* canonnier servant : très bon servant, courageux et dévoué, a toujours fait vaillamment son devoir. Mort pour la France des suites do blessures reçues a l'ennemi la 15 novembre 1916. Une blessure et une citation antérieures Croix de guerre avec étoile de vermeil.

CHAPELET (Elysée-Jules-Joseph), mlc 01G120, 2e canonnier servant : brave canonnicr d'un patriotisme éprouvé. Se trouvant en convalescence dans sa famille à Lille au moment de l'arrivée des Allemands, n'a pu partir élant alité. N'ayant pas voulu se constituer prisonnier, a été arrêté le 29 janvier 1915 et fusillé lo 2 février suivant. Croix de guerre avec palme.

MILLECAMPS (Victor), mIe 6864, 28 canonnier servant : excellent servant, brave et courageux, très méritant, belle tenue au feu, particulièrement le 9 juin 1916, à Fleury (Verdun).

Vers 22 heures 30, la batterie étant soumise à un tir précis d'obusiers de gros calibre, sa pièce a commencé avec calme un tir de barrage et l'a continué jusqu'à ce que tout le personnel de service ait été mis hors de combat.

Tué à son poste. Croix de guerre avec étoile

d'argent.

BOULANGER (Léonard), mIe 05656, 2* canonnier servant : brave canonnier. Tué à son poste de combat, le 5 septembre 1916, au cours d'un violent bombardement do la batterie, près Méharicourt (Somme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOITTE (Charles-François), mIe 01239, lH canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 23 juin 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BELARD (Victor-Albert), mie 02531, 2' canonnier conducteur : très bon canonnier, très méritant. Au front depuis le début de la campagne. Mort pour la France, à Verdun, le 24 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUELLE (Albert-Louis), mie 02734, 2e canonnier conducteur : bon conducteur, courageux et dévoué, qui s'est remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 14 septembre 1914, à Cormicy (Marne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOCLET (Gaston-Ulysse), mie 02160,2* canonnier servant : artilleur de tranchée très brave et très énergique. Tombé glorieusement à son poste, le 8 juin 1915, aux Eparges (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOISARD (Fortuné-Achille-Félix), mIe 018566, 2* canonnier servant : canonnier très brave et très dévoué. Tombé glerieusement à son poste, , le 27 septembre 1916, devant Berny (Somme), Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLAIS (Henri-François), mie 5347, 2* canonnier servant : servant remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 18 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CUZOL (Pierre-Toussaint), nile 6986,2' canonnier servant : canonnier très brave. Tué à sen poste, le 6 n?ars 1917, en forêt de Parroy (Meurthe-et-Mose~e. Croix de guerre aree étoile do bronze.

COPPIN (Henri-Charles), mie 018069, maréchal des logis : excellent sous-officier, au front depuis le début de la f0?"* pour la France, à Verdun, le 11 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAUSSECOURTE (Paul-Marie), mie 6310, maréchal des logis : brave sous-offlcier, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Mort glorieusement pour la France, le 4 septembre 4916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COULANDOUX (Martin), mie 10332, 2* canonnier servant : bon canonnier. brave et dévoué.

Frappé mortellement dans l'accomplissement consciencieux de son devoir, le 20 mars 1918, à Reims (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEVOUGE (Denis-Marie), mie 05341, 2* canonnier conducteur : excellent conducteur, très brave au feu. Au front depuis le début de la campagne. Mort pour la France, à Verdun, le 23 juin 1916. Croix de guerre avec étoile do bronze. J.. -i-- 1.


DARTOIS (Maurice-Louis-Alexandre), mie 02466, brigadier : brave brigadier, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances.

Tombé glorieusement pour la France, le 31 décembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEPIED (Raymond-Marie-Cyprien), mie 6471, maréchal des 'logis : a toujours été un vaillant gradé, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 28 juillet 1916. Croix.de guerre avec étoile de bronze.

EMERY (Ernest-Gaston-Eugêne), mie 019411, brigadier: excellent brigadier, toujours prêt à faire son devoir. Tombé glorieusement à son posto dans la Meuse, le 26 juillet 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FOURNIER (Eugène-Alexandre-Florentin), mie 4048, 2° canonnier servant : excellent servant brave et consciencieux. S'est toujours montré très calme et plein d'allant au cours des combats, souvent violents, auxquels il a pris part.

Tué glorieusement au Four-de-Paris, le 20 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GEFFROY (Prosper-Julien), mie Rt 902, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 3 février 1917 à Michelbach (Alsace). Croix do guerre avec étoile d'argent.

GARNOTEL (Paul-Auguste-Alexis), mie 3396, fer canonnier servant : très bon canonnier servant. Mort pour la France, le 23 juin 1916, près de Fleury (Meuse), au moment où la batterie accrochait les avant-trains. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GRESELIT (Cyrille-Gustave), mie 179G6, 2e canonnier servant : a toujours donné entière satisfaction, tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le salut de la patrie, le 17 août 1915, près do Moussy (Aisne). Croix de guerre' avec étoile de bronze.

LARIVIÈRE (Bertin), mie 3966, 2e canonnier conducteur : très bon conducteur. Tué à son poste, le 22 décembre 1914, à Reims, pendant un violent bombardement par obus de gros calibre. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LECOMTE (Louis-Joseph), mie 03567, 2e canonnier servant : excellent servant, brave et dévoué. A toujours fait preuve d'allant, de courage et de sang-froid, au cours des combats violents auxquels il a pris part. Tombé glorieusement à son poste de combat, au Four-deParis, le 17 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROY (Henri), mie 016106, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier, brave et dévoué. A toujours fait preuve de beaucoup de courage et de sang-froid, au cours des combats acharnés des Eparges (1914-1915) et de Champagne. Mortellement blessé sur sa pièce, le 29 avril 1915. Au front depuis le début de la campagne. Croix de guerre avec étoile do bronze..

LARREBITE (PIerre-Roer), mie 04270, brigadier: brave brigadier d'un dévouement absolu donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 24 avril 1917, à Craonnelle (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEMAIRE (Léopold-Benjamin-Joseph), mIe 04688, maître pointeur : bon maître pointeur, courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur, le 14 septembre 1914, devant Thuizy (Marne) en faisant vaillament son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE DE (Etienne), mie 8410, 23 canonnier servant : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 4 avril 1917.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MONERY (Marc-Urbain), mie 9891, brigadier : fon brigadier, brave et dévoué. Blessé mortellen-fent a son Poste de combat, le 3 novembre jd917, a oc aint-Jacques-Capelle (Belgique) croix de guerre avec étoile de bronze. 0

MAUREL (Auguste-Louis), mie 02350 2e canonnier conducteur : bon canonnier. Mort au - -._- T ,'-

champ d'honneur, le 16 août 1916 en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MEYSMAN, (Pierre), mie 3033, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 23 juin 1916 devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MICHEL (Jacques-Gaston), mie 018694, 2e canonnier servant : excellent canonnier brave et dévoué, a fait preuve de beaucoup de courage au cours des combats auxquels il a pris part. Tué glorieusement le 18 mai 1915 à la tranchée de Calonne. Au front depuis le début de la campagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MICHEL (Louis), mie 01300, 26 canonnier conducteur : canonnier remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 8 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MALLET (Albert-Arthur), mie 016248, 2e canonnier conducteur : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 26 avril 1916, au bois Bourru, près Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MAUGIN (Albert-Dénomi), mie 03250, maître pointeur : très bon maître pointeur, brave et dévoué. A toujours servi sa pièce au combat, avec le plus grand sang-froid, faisant preuve d'un beau courage sous fe feu. Tombé glorieusement sur sa pièce à Perthes, le 9 mars 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTIN (Adolphe-Jean), mie 3325, 2, canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué.

A toujours accompli son service avec entrain particulièrement pendant la période des durs combats sur la Marne en septembre 1914 où il a trouvé une mort glorieuse, le 8 septembre, à Thieblemont. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MIVIELLE (Jean-Fernand), mie 8116,2e canonnièr servant : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 21 octobre 1916. Croix tle guerre avec étoile de bronze.

MONJOIN (Ernest-Jean), mie 07134, 2e canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 11 octobre 1916, à Bemy-en-Santcmï. Croix de guerre avec étoile de bron;.^ MAÍURIJm (Charles), mie 01817, maître pointeur: maître pointeur courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 14 septembre 19Vi, à Vez-Thuizy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MASURE (Henri-Théophile), mie 0162, 2° canonnier conducteur : très bon conducteur, très courageux. Toujours volontaire pour les ravitaillements dangereux. Au front depuis le début de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 23 juin 1916, à Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NOËL (Léon-Eugène), mie 6095, maréchal des logis : excellent gradé, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 4 février 1917, en Alsace. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEYTOT (Paul-Joseph), mie 3154, maître pointeur : maître pointeur remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 18 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PLACE (Charles), mie 7108, 2c canonnier servant brancardier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 18 septembre 1914, à Cormicy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PARRA (Dominique-André), mie 6392, 2e canonnier conducteur : a toujours été un vaillant canoniuer, taisant constamment preuve de

courage et de dévouement. Tombé glorieuse ment pour la France, le 10 avril 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PATONNEL (Dieudonné- Bernadin-Joseph), 2e canonnier conducteur : canonnier valeureux. A toujours donné entière satisfaction tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Mort pour le salut de la patrie, le 16 octobre 1916, des suites de blessures reçues en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PAINGRIER (Ferdinand-Emile), mie 103S1 2* canonnier servant : bon canonnier, brave et dévoué. Frappé mortellement. dans l'accomplissement conscienceux de son devoir, lo 20 mars 1918, à Reims (Marne). Croix do guerre avec étoile de bronze.

RICHARD (Henri), mie 02026, 2e canonnier baancardier : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur do son dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 18 septembre 1914, à Cormicy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

REMY (Ernest-Jules-Maximilien), mie 02007, 2° canonnier brancardier: a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 18 septembre 1914, à Cormicy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SOLLIEZ (Lucien-Augustin), mie 6386, 2e canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué. S'est fait remarquer par son entrain au cours des ravitaillements de nuit où il faisait preuve d'un grand courage et de beaucoup de sang-froid. Tombé glorieusement en ravitaillant sa batterie il Flaucour (Somme), le 12 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SILVERT (Edouard-Jules-Joseph), mie 3821, 2e canonnier conducteur : cansnnier brave et dévoué, a toujours fait preuve do beaucoup do calme et de sang-îroid en ravitaillant constamment une pièce avancée. Tué glorieusement, le 17 décembre 1914, à La Placardelle (Marne) en accomplissant cette dangereuse mission. Croix do guerre avec étoile do bronze.

SAUTEREAU (Louis), mie 0711<6, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Mort glorieusement pour la France, le 4 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile do bronze, SOUDEILLE (Antoine), mie 07271, 2° canonnier servant : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Mort glorieusement pour la France, le 29 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SANGNIER (Lucien-Marie-Emile), mie 0168, brigadier : bon brigadier. Mortellement blessé à son poste de combat à Lapogne (Ardennes).

le 23 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VEILLARD (Marcel-Henri), mie 06551, 1er canonnier servant : servant brave et dévoue, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, lo 1er juillet 1915, des suites de ses blessures.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

YANDENBOSSCHE (Arthur), mie 02193, 2e canonnier servant: a toujours été un vaillant cannonier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 1er août 1916, à Vrely (Soinme). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIIEUX (Achille-Armand-Edouard) mie 7107.

brigadier : brave gradé d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exernp10 en toutes circonstances. Mort pour la France, le 8 juin 1916, à Armentières, au cours dur bombardement. Croix de guerre avec étoile de bronze.

30e rég. d'artillerie de campagne.

BIBAULT (Alfred), mie 5120, maréchal des logis : maréchal des logis courageux et consclel cieux. Tué glorieusement à son poste, le 11 avril 1917, au cours d'un bombardement violent » Gernicourt (Aisne). A été cité.


BERNARD (Eugène-Adolphe), mie 07204, maître pointeur : canonnier téléphoniste d'un dévouement et d'une bravoure à toute épreuve. Blessé le 16 février 1915, a repris aussitôt guéri son service dans les tranchées. Est tombé glorieusement à son poste, le 30 juin 1916. A été cité.

BLANCHARD (Aristide), mie 5118, 2e canonnier : bon canonnier, courageux et très dévoué.

Intoxiqué par les gaz et la commotion de l'éclatement tout proche d'un projectile, le 11 avril 1917, à Vaux-Varennes (Marne), au cours d'un violent bombardement pendant lequel il n'a pas cessé de servir sa pièce. Mort pour la France. A été cité.

GALLICE (Maurice), mie Rt 3673, maréchal des logis : sous-officier très courageux qui s'est toujours admirablement conduit depuis le début de la campagne. Blessé mortellement, le 4 octobre 1916, au cours d'un violent-bombardement alors qu'il s'efforçait de faire abriter ses canonniers. A été cité.

LECLERC (Paul-André), mie 53 76, 28 canon nier servant : téléphoniste très dévoué. Tué glorieusement à son poste de combat devant Porquericourt (Oise), le 25 mars 1918. A été cité.

LÉAUTÉ (Moïse-Bernard), mie 5501, 2c canonnier conducteur : très bon canonnier, d'un dévouement à toute épreuve. A été tué, le 23 mai 1917, en exécutant un ravitaillement sous le feu ennemi. A été cité.

MERLIN (Maurice), mie 1991, maitrepointeur : excellent pointeur d'une énergie et d'un sangfroid remarquables. Très grièvement blessé, le 25 octobre 1916, à son poste de combat, à la cote 325, N.-E. de Verdun. Mort des suites de ses blesst\res, le 28 octobre 1916. A été cité.

PICON (Eugène-Charles), mIe 2392, 2e canonnier: canonnier courageux et plein d'allant, esclave du devoir, a toujours été un exemple Pour ses camarades. Très grièvemeut blessé à son poste de combat, le 23 juillet 1918. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

rïjPBOUPIN (Martial-Ernest), mie 6005, brigar ltr: brigadier téléphoniste qui avait toujours fait preuve d'un courage et d'un entrain remarquables. Blessé mortellement, le 25 mars 1918, pendant une mise en batterie. A été cité.

r> PARQUIN (Léon-Paul-Adrien), mie 6344, brig„ adier: jeune brigadier ayant pris depuis plu81elirs jours- le commandement d'une pièce.

Ue à son poste pendant le bombardement de *a batterie, le 5 décembre 1917, au bois Claussaac (Aisne). A été cité.

d PEAUX (Edouard-Victor), mie 3921, maréchal d s logis : chef de pièce très brave et très ') eVOue. A été .tué à son poste de combat, le 28 Octobre 1916, à Saint-Tremble (Meuse) penant l'exécution du tir. A été cité.

ERE (Paul-Joseph), mie 3330, maître ourler en fer : très bon canonnier qui a toujours eu une excellente attitude. A été tué sérieusement le 23 mai 1917, en exécutant un ravitaillement sous le feu ennemi. A été uie.

1? ACII (Georges), mie 3923, canonnier maître ur : m'aître pointeur remarquable par son courage et son sang-froid. Mortellement b esse. a son poste le 11 avril 1917, alors que sa lterie était soumise à un violent hombardement. A été tité.

POlJBEAU(Marcel-Robert), mIe 6885, 2e canon ler: brave canonnier. A déployé beaucoup cle COurage et de sang-froid lors de l'attaque lic 16 avril 1917. A été blessé mortellement en citIIlPlissant sa mission de signaleur. A été etntClIARn (Moïse), mie 1758, brigadier : bon brave brigadier. Pendant un ravitaillesont, Eon cheval et sa voiture se trouvant pris tan Un violent bombardement, est sorti sponta,, ernent de son abri pour essayer de les sau'Ver A été cité.

réOLLAND (Paul-Louis-Joseph), mie 6034, maréchal des logis : chef de section de grande vaobservateur en un point très dangereux.

deniî; mars 1915, n'a jamais voulu être relevé; possse Mortellement, le 23 janvier 1916, à son Posta Observation en réglant le tir. A été cité, * IlEInLING (Victor-Charles), mie 01067, cail nler : bon conducteur, plein d'allant et de

sang-froid. A été tué glorieusement, le 30 novembre 1916, pendant un ravitaillement difficile. A été cité.

ROZE (Emile), mie 1785, maréchal des logis : très bon observateur faisant constamment preuve du plus grand courage et du plus grand sang-froid. Tué glorieusement, le 14 octobre 1915, au cours d'une observation, le ballon à bord duquel il se trouvait ayant été attaqué et incendié par un avion ennemi. A été cité.

SCHNADER (Auguste-Félix), mie 4742, maître pointeur : depuis le début de la campagne a toujours fait preuve du plus grand sang-froid et d'un mépris absolu du danger. Tué glorieusement à son poste, le 9 octobre 1916. A été cité.

BARROUYER (Jean-Jules-Louis), mie 14992, 2e canonnier servant : très bon canonnier.

Mortellement atteint par les gaz, sur la position de batterie à Cormicy (Marne), dans la nuit du 11 au 12 octobre 1918. Deux blessures et une citation antérieures. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

BRUNE (Maurice), mie 4264, maréchal des logis : sous-officier dévoué. Au front, depuis le début de la guerre. A été mortellement blessé, le 26 mars 1916, dans un observatoire avancé à la Fille-Morte (Argonne). Croix de guerre avec étoile d'argent.

FERRE (Roger-Albert), mie 5577, maréchal des logis : sOlis-oflicier énergique et dévoué.

Agent de liaison près de l'infanterie, le 24 octobre 1916, a été mortellement atteint, en accompagnant la première vague qui se portait à l'assaut du fort de Douaumont. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GERVAISE (Raymond-André), mle2797, maréchal des logis : sous-officier dont l'altitude au feu servait d'exemple à son personnel. Tué glorieusement, lo 7 septembre 1914, à Rambercourt (Meuse), en portant secours au commandant du groupe qui venait d'être grièvement blessé. Croix de guerre avec étoile d'argent.

IIUYETTE (Rimy), mie 3389, maréchal des logis : gradé d'élite, sans cesse sur la brèche, et possédant la confiance entière de ses chefs et de ses hommes, S'est affirmé comme un brave dans tous les combats auxquels il a pris part. A trouvé une mort glorieuse, le 22 septembre 1916, à Cappy-Barleux (Somme). Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

MA TIlE (Eugène), mie 2395, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 16 avril 1917. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PETIT (Victor-Edmond), mie 5355, maître pointeur : excellent maître pointeur, a toujours fait preuve de sang-froid et d'énergie. Intoxiqué mortellement à son poste de combat dans la nuit du 11 au 12 octobre 1918, devant Cormicy (Marne). Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

PRÉVOST .(Maurice-Paul), mie 3014, maréchal des logis : excellent sous-officier, très brave, très actif, a été intoxiqué à son poste de combat dans la nuit du 11 au 12 octobre 1918. Mort pour la France des suites de son intoxication.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

MAUTRET (Achille-Gaston), mie 3959, maître pointeur : bon maitre pointeur, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 30 janvier 1916. Une blessure antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

ANDRAULT (Eugène), mie 5059, 2e canonnier servant: canonnier servant ayant montré en toutes occasions le plus grand courage et lo mépris du danger. Tué glorieusement à son poste de combat, le 22 mars 1916, à Buzemont (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ABONNEAU (Jules\ mie 5267, 2e canonnier servant : très bon canonnier, très brave. Tué glorieusement à son poste de tireur, le 7 septembre 1914, à Rembercourt (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ANDRIEU (Alexandre-Chatles-Eugène), mie 12647, 2c canonnier : canonnier dévoué et très brave. Mortellement blessé à son poste de

combat, près de sa pièce, le 1er août 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BREGIIOT DU LUT (Jean), mie 1162, maréchal des logis : très bon sous-officier. Mortellement atteint à son poste de chef de pièce, le 28 avril 1916, à la Grange-aux-Bois (Marne), au cours d'un violent bombardement ennemi.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUTROUX (Jacques-Maurice), mie 4269, maréchal des logis : très bon sous-officier, au front depuis le début. Tué glorieusement en Argonne le 5 juin 1915, dans une tranchée de première ligne en observant le tir de sa bat.

terie. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERNADAC (René), mie 2893, maréchal des logis : très bon sous-officier, au front depuis le 4 août 1914. Mortellement atteint à son poste de chef de pièce, le ,1er mars 1915, dans la Meuse.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRIE (Constant-Eugène), mie 3693, 2e canonnier conducteur : très bon canonnier. Tué glorieusement à son poste à la batterie de tir a Boureuilles, le 15 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BELLETETE (Marc-Léonard), mie 010267, 2e canonnier : très bon canonnier, zélé et courageux. Mortellement blessé dans l'accomplissement do son devoir, le 8 juillet 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLEMENCEAU (Arthur-Julien), mie 02202, maître pointeur : excellent canonnier, au front depuis le début de la campagne. Tué glorieusement à son poste de combat en Argonne, le 4 mars 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FLABEAU (Constant-Alexandre), mie 5976 2e canonnier servant : très bon canonnier. S'est spécialement fait remarquer pendant les combats des il et 12 octobre 1918, à Cormicy (Marne), en portant secours à ses camarades blessés, sous un violent bombardement d'obus à vpérite. Mort par intoxication, le 18 octobre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FEUILLET (Georges-Edmond), mIe 4944, canonnier : canonnier ayant fait courageusement son devoir pendant un an de front. Tué glorieusement à la Haute-Chevauchée (Argonne), le 25 août 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FOUCI-IER (Ilippolyto-Armand-Auguste), mla 3671, 1er canonnier conducteur: excellent conducteur, au front depuis le début de la campagne. A été tué glorieusement à son poste de combat, à Juvincourt (Aisne), le 16 avril 1917.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

GERVAIS (Adrien-Julien-Ernest), mie 4708, 2e canonnier servant : canonnier servant dévoué et courageux. Tué glorieusement à sonposte de combat, le 6 septembre 1914, à Rambercourt-aux-Pots (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GENTY (Maurice-Alexandre-Alphonse), mIe 4775, canonnier : très bon canonnier. Mortellement atteint à son poste, de combat, à Iloudlemont, le 22 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GAUCHER (Raymond), mie 6696, 2e canonnier : canonnier courageux et dévoué. Tué glorieusement à son poste de combat, devant Belrupt (Verdun), servant sa pièce, le 22 octobre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUÉRIN (Alfred), mIe 3743, 2° canonnier : très bon canonnier. Mortellement blessé a son.

poste de combat, à Ville-IIoudlemont (Meuse), le 22 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOUDOU (René-Eugène), mIe 1175, 2e canonnier conducteur : excellent conducteur. Au front depuis le début de la campagne. Tué glorieusement à son poste de combat, le 17 février 1915, en Argonne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GU.ÉRIN (Eugène-Auguste), mie 7230, 2e ca" nonnier : bon conducteur. A été tué glorieu" sement à son poste de combat, le 27 septembre 1915, en Argonne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GESTIIIN (Albert), mie 713 2e canonnier ser" vant : canonnier courageux et plein d'entrain' ayant donné de nombreuses preuves de sa bre voure et de son sang-froid. Mort bravement


pour la France, le 20 septembre 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BORV AIS (Alcide-Jean-Marie), mie 16002, 2e canonnier : très bon canonnier. A été tué glorieusement à son poste combat, le 18 septembre 1918. Croix do guerre avec étoile de bronze.

IIARRAULT (Robert-André), mie 10417, 2e canonnier servant : très bon téléphoniste. A été blessé mortellement, le 28 juillet 1918, en réparant les lignes téléphoniques du groupe. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JULIEN (Louis), mie 5048, 2e canonnier conducteur : bon conducteur. A été grièvement blessé à son poste de combat. Mort pour la France, le 16 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JACQUELIN (Jean-Baptiste-Joseph), mie 13894, lor canonnier servant : très bon servant. Au front depuis le début. A été tué glorieusement à son poste de combat, le 3 juin 1917. Croix do guerre avec étoile de bronze.

JAMMAYRAC (Paul-Bernard), mie 7025, maréchal des logis : sous-officier d'une bravoure réputée. Est mort glorieusement pour la France le 2i septembre 1915. à Saint-Thomas (Marne), en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

KAUFFMANN (Aloyse-Alfred), mie 5709, 1er canonnier conducteur : très bon canonnier.

A été tué glorieusement à sen poste de combat, le 28 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAMOUR (Joseph-Alphoase), mie 5101, 2e canonnier : bon cansnnier. Tué glorieusement à son poste de combat, le 15 septembre 1914, devant Houreuilles (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEDDET (Francis), mie 5169, 2' canonnier conducteur : bon conducteur. Tué glorieusement à son poste de combat, la 17 septembre 1914, devant Varennes (Meuse), en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAMARTHE (Albert-François), mIe 18162, canonnier : brave canonnier. Ea liaison avec l'infanterie, a été blessé mortellement a son poste de combat, le 14 septembre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LllERMITTE (AJeide-Constimt), mie 2384,2e canonnier : très bon canonnier. Tué glorieusement à son poste de combat, le 4 mars 1915, en Argonne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAPLEIGUE (René), mie 3459, 2e canonnier servant: très bon canonnier. Tué glorieusement à son poste de combat le 4 mars 1915, à la Pierre-Croisée (Argonne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEBLANC (Maurice-Emile), mie 5024, 1er canonnier servant : très bon canonnier. Tué glorieusement à son poste de combat le 18 juillet 1918, devant Boursault (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE BLAY (Pierre -Si me a-Fran cois), mie 19085, 2e canonnier conducteur: très bon canonnier, courageux. Blessé grièvement le 25 mars 1918 à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

J.E(lEVRE(Paul-Emife-Eug:.fie), mie 42S7,2e canonnier servant : très bon canonnier. Tué glorieusement à son poste do combat le 18 avril 1915 au mont dé Villers (Argonne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROY (Théodore-René-Louis), mie 5306, 2° canonnier conducteur: très bon canonnier.

Tué glorieusement à son paste de combat le 18 septembre 1914 devant Varennes (Argonne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEURS (André-Roger), mIe 7908, aspirant : jeune aspirant, sans cesse sur la brèche, et possédant la confiance entière de ses chefs et de ses hommes. S'est affirmé comme un brave dans tous les combats auxquels il a pris part. A trouvé une mort glorieuse, le 28 juin 1916, à Lapy. Croix de guerre avec étoile de bronze.

(Aridrc,), mle 7449. 2e canonnier servant bon lelerjliouistc, courageux, a été tué

glorieusement, le 23 mai 1917, en réparant une ligne devant La-Ville-au Bois (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MENETEAU (René-Marie), mie 4930, 28 canonnier servant : bon servant, tué glorieusement à son poste de combat, le 24 septembre 1914, devant Neuvilly (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MAITRE (Louis-Auguste-Félix), mle 5585, 2e canonnier servant : bon servant. Tué glorieusement à son poste de combat, le 1er septembre 1914, devant Cléry-le-Grand (Meuse.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MALOT (Armand-Sébastien-Eugène), mIe 5155, 2e canonnier servant : très bon servant. Tué glorieusement à son poste de combat, le 16 septembre 1914, devant Vârennes en Argonne (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTHE (Jules), mlé 12103, maréchal des logis : gradé d'élite, d'une bravoure réputée, toujours au premier rang dans les moments difficiles. Après avoir donné, pendant la campagne, la valeur de son héroïsme, est glorieusement tombé pour la France, le 21 mars 1917, à Sillery (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MOY (Henri-Maurice), mie 5076, maréchal des logis : sous-offlcier d'élite, d'une bravoure réputée, toujours au premier rang dans les moments difficiles, Après avoir donné, pendant la campagne, la valeur de son héroïsme, est glorieusement tombé pour la France, le 25 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARCHAIS (Marcel-Jean), mie 6432, 1er canonnier conducteur : canonnier valeureux. A toujours donné entière satisfaction, tant par sa belle attitude au feu, que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le salut do la patrie, le 20 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MAINGAULT (Ernest-Gustave), mie 2446, brigadier : gradé d'élite, sans cesse sur la brèche et possédant la confiance entière de ses chefs et de ses hommes. S'est atfirmé comme un brave dans tous les combats auxquels il a pris part. A trouvé une mort glorieuse, le 29 octobre 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MASSON (Alix-Célestin), mie 3937, 2e canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 1G mai 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MATHIEU (André-Pierre), mie 5881, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 7 juin 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NAVIER (Georges-Lucien), mie 4621,2e canonnier conducteur : canonnier aussi consciencieux que courageux, qui dès le début de la campagne a donné la valeur de son héroïsme et de son amour pour la patrie. Tombé glorieusement le 1er septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NAUDOT (Lazare), mie 1113, 2e canonnier conducteur: canonnier d'une bravoure réputée.

Est mort glorieusement pour la. France, le 26 septembre 1915, à Souchez, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEYROULET (Louis)., mie 11905, 28 canonnier conducteur : bon canonnier. Tué glorieusement à son poste de combat, le 8 septembre 1918, sur la Vesle (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PFISTERER (Robert-Henri), mie 8302, maréchal des logis : bon chef do pièce. Tué glorieusement à son poste de combat, le 30 septembre 1918, devant Ilourges (Marne). Croix de guerre avec étoile do bronze.

PENNETIER (Alexandre), mie 4922, 2e canonnier conducteur : très bon canonnier. Tué glorieusement, le 22 août 1914, à son poste de combat devant Ville-Houdlemont (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PARIS (Roger-René), mie 5798, 2e canonnier servant: bon canonnier. Tué glorieusement à l'ennemi, lo 13 avril 1915, au cours des combats de l'Argon^ne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PICINO (Maurice-Jean-Marie) mie 5673, maitre pointeur : bon canonnier. Tué glorieusement à son poste de combat, le 28 février 1915, devant La Chalade (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PRUVOST (Armand-Joseph), mie 2821, maréchal des logis : bon sous-officier. Blessé mortellement à son poste de combat, le lerseptembre 1914, devant Cunel (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

POUZET (Annet), mie 11662, 2,1 canonnier : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 23 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PERROT (Camille-Francis-Iarie), mie 5326, 2e canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort pour la France, le 8 avril 191G. Croix do guerre avec étoile de bronze.

POTTELETTE (Albert), mie 02272, 2e canonnier : canonnier couragenx et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort pour la France, le 2 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PELLARD (Emile-Julien), mie 3511, canonnier : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort pour la France, le 29 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PREVOST (Paul-Louis), mie 5122, 241 canonnier : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 6 septembre 1914. Croix do guerre avec étoile de bronze..

PEZRON (Léon-Gabriel), mie 17928, 2e canonnier : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le ift juin 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RAGE (Michel-André), mie 3938, maître pointeur : maître pointeur remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 20 décembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RICIIETINASimon), mis 1890, canonnier : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, de 1er mai 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze. RESPAUD (Emile), mie 7420, 28 canonnier: bon canonnier, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feuMort glorieusement pour la France, le 2 janvier 1916, à la Ilarazéo (Argonne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROUGE (Pierre), mie 7104, canonnier: bon canonnier, courageux et dévoué, qui s'est faij remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 8 octobre 19»?j à Souain (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

•ROBINEAU (Albert), mle 6009, 2« canonnie!'- a toujours été un vaillant canonnier, fais constamment prouve de courage et de do reuement. Mort glorieusement pour la Francs le 6 septembre 1915. Croix de guerre avec étOI de bronze.

REBIFFE (Georges-Florentin), mie Olt099t te canonnier : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes c" constances la valeur de son dévouemenTombé glorieusement pour la France, le 22 juin 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RENARD (Henri-Louis), mie 5490. canonnier bon canonnier, courageux et dévoué, qUI ?

fait remarquer par sa belle conduite au ta: Mort glorieusement pour la France, le 10 oct0 bre 1915, à son poste de combat. Croix degue avec étoile de bronze.

RAYNATID (Jean-Paul-Louis), mlo 11225. 2»^ nonnier: bon canonnier, courageux et (lévf) qui s'est fait remarquer par sa belle cono le


au feu. Mort glorieusement pour la France, le 25 février 1918, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SIGOT (Albert-Adelmar), mie 16541, canonnier : excellent canonnier, d'un grand courage, Plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave le 25 août 1918 à son poste de combat.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

SOUCHARD (Louis-Emile-Eugène), mie 5427, canonnier : excellent canonnier d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement.

Tombé en brave, le 31 août 1914, à son poste e combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SEGRET (Eugène), mie 1748, canonnier : bon canonnier courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 21 février 1915, a son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

.SEBILLE (Auguste-Michel), mie 11578, canoniser : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 27 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SUDRIE (Jules), mie 4865, canonnier : a toujourg servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de Son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 29 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

STEIN (octave" mie 4839, canonnier : bon canonnier, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 9 septembre *914 à son poste de combat. Croix de guerre 4vec étoile de bronze. , , SENEGAS (Louis-Auguste), mie 6733, canonfer : canonnier remarquable par son courage :po:n dévouement. Blessé grièvement à son sui-p de' combat. Mort des suites de ses blesse le 6 mai 1917. Croix de guerre avec étoile de onze.

noSARAZIN (Henri-Alexandre), mie 4454, caler : bon canonnier, courageux et dévoué, QUi s est fait remarquer par sa belle conduite au f ~rt glorieusement pour la France, le 17 feu- MOI't glorieusement pour la France, le 17 rc 1914, à son poste de combat. Croix de ■SmUi p^re avec étoile de bronze.

etTA VERlE (Albert), mie 5470, brigadier : d'eflet brigadier, d'un grand courage, plein leram et de dévouement. Tombé en brave, le Novembre 1914, à Langemark (Belgique).

« de guerre avec étoile de bronze.

Thomas (Léon-Jean-Baptiste), mie 09076, l>arrechal des logis : sous-officier remarquable gl'iè son courage et son dévouement. Blessé nient à son poste de combat. Mort des suUo de ses blessures, le 9 juin 1915. Croix de avec étoile de bronze.

InO.URDOT (Lucien-Jean-Victor), mie 6210, loeL des logis : excellent maréchal des de 'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en."brave, le 11 sepe 1915, à son poste de combat. Croix de e avec étoile de bronze, THOUVENIN(Aimé), mle 16163, canonnier : a tou*h?Urs servi en brave et excellent canonde servi en brave et excellent canon,^^nûant en toutes circonstances la valeur l>r dévouement. Tombé glorieusement Pouti France, le 25 janvier 1917. Croix de L>UC?t. e -avec étoile de bronze.

n toSSÈJ)RE (Jean), mie 4419, canonnier : conslurs été un vaillant canonnier, faisant Inent tment preuve de courage et de dévoue1S déè Tombé glorieusement pour la France, le bre 1915. Croix de guerre avec étoile de ronze 12653^5*11 ANT (Fernand-Louis-Marius) , mie gra.nd canonnier : excellent canonnier, d'un lnent rrgurae, plein d'entrain et de dévoueIlielit A rpJ?urage, plein d'entrain et de dévoue6 en Croix de guerre avec étoile de brone ombat. croix de guerre avec étoile VAL l

tOUjouD \ne,noît}, mie 10337, 1er canonnier :l a COnsta S éte un vaillant canonnier, faisant ebt. menl preuve de courage et de dévouei^bt. Tn glorieusement pour la France, le, k cVài iyi7. Croix de guerre avec étoile de

VALLETTE (Marcel-Victor), mie 5934, canonnier : excellent canonnier, d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 29 septembre 1915, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

32e rég. d'artillerie de campagne. *

BERTHOULT (Fernand-Albert), mie 010457, maître ouvrier en bo. excellent sujet d'un dévouement absolu. Tresrfavailleur et très brave.

A été mortellement blessé, dans la nuit du 13 au 14 mai 1917, par un éclat d'obus à une position avancée et soumise à un violent bombardement. A été cité.

CIIAPOT (Jean), mie C5626, 1er canonnier conducteur : canonnier aussi dévoué que brave.

Le 5 juin 1918, étant chargé d'une liaison particulièrement importante, a tenu à l'assurer malgré le violent bombardement de l'ennemi sans attendre une accalmie dans le tir. A été tué en accomplissant sa mission. A été cité.

DUPLANT (Romain), mie 05025,1er canonnier servant : très bon canonnier. Ayant toujours fait preuve du meilleur esprit. Etant servant à l'échelon, avait demandé à venir à la batterie de tir. Au front depuis le début de la campagne. Tué, le 21 juin 1917, en restant à son poste sous un bombardement violent. A été cité.

GUILLÉ (Marcel), mie 03314, maître pointeur : maître pointeur très courageux et très dévoué.

A assuré depuis le début de la campagne le service de sa pièce avec le plus grand calme sous de violents bombardements. Blessé mortellement, le 31 mai 1918. A été cité.

JACQUES, (Georges-Marius-Etienne), mie4340, maître pointeur : maître pointeur d'un rare courage et d'un beau sang-froid. Mort pour la France, le 3 juillet 1917, en faisant exécuter un tir de barrage à son canon sous un bombardement très violent. A été cité.

LEROUX (Emile-Ali), mie 015966,2e canonnier conducteur : canonnier modèle, plein d'entrain et de courage. Tué glorieusement, le 28 juin 1916, à la position de batterie. A été cité.

LÉONARD (Auguste-Félix), mie 04808, maître pointeur : maître pointeur d'un courage froid et imperturbable. Tué à son poste, le 2 juillet 1915, en Belgique. A été cité.

LESOURD (Abel-Alexandre), mie 013919, 2e canonnier : excellent canonnier ayant toujours rendu de très grands services à son unité. A trouvé une mort glorieuse à Longpont (Aisne), le 19 juillet 1918, au cours d'un ravitaillement en munitions aux positions de batterie. A été cité. 1

LEMONNIER (Edmond- Jeaii - Baptiste), mie 05005, 2e canonnier servant : canonnier animé du plus haut esprit du devoir. S'est prodigué, le 20 juin 1916, sous un violent bombardement pour sauver ses camarades ensevelis sous un abri et a été victime de son dévouement. A été cité.

MOREAU (Paul-Louis), mie 89, adjudant : soua-officier possédant des états de service remarquables. S'est signalé, le 23 août 1914, en portant sa section sur la ligne des tirailleurs.

Tué à son poste, le 12 octobre 1914, devant Moulins (Aisne). A été cité.

MICHEL (Alphonse), mie 05034, 2e canonnier servant : canonnier modèle ayant fait preuve de dévouement et d'entrain pendant toute la campagne. Mortellement frappé à son poste de combat, le 20 juin 1916. A été cité.

MOLLEREAU (Marcel-Léon), mie 4887, brigadier : brigadier téléphoniste toujours prêt à marcher. Tué, le 23 septembre 1914, à la bataille de l'Aisne pendant un violent bombardement.

A été cité.

NOEL (André-Georges), mie 5452, maréchal des logis : sous-oificier animé du plus haut esprit du devoir, s'est prodigué, le 21 juin 1916, sous un violent bombardement, pour sauver ses camarades ensevelis sous- un abri et est tombé victime de son dévouement. A été cité.

PLUVINET (Victor), mIe 8085, 2e canonnier conducteur: excellent canonnier qui a toujours fait son devoir. Tué à son poste de combat, le 11 octobre 1916, devant Verdun. A été cité.

PLATÏRET (Henri-Charles), mie 4300, maître pointeur : maître pointeur animé du plus haut

esprit de devoir. S'est prodigué, le 20 juin 1916, devant Verdun, sous un violent bombardement, pour sauver ses camarades ensevelis sous un abri et a été victime de son dévoue..

ment. A été cité.

PESSIOT (Julien), mIe 8053. 28 canonnier conducteur : excellent conducteur, au front depuis le début de la campagne. A exécuté de jour et de nuit de nombreux et dangereux ravitaillements au cours desquels il a montré un sangfroid et un courage dignes d'éloges. S'est particulièrement distingue dans la période du 15 au 21 juillet 1918, en faisant preuve du plus bel entrain et de la plus grande endurance.

A été mortellement blessé à son poste de combat le 21 juillet 1918. A été cité. PAULET (Georges Gustave), mie 5763, maître pointeur : maître pointeur animé du plus haut esprit du devoir Le 21 juin 1916, devant Recicourt (Meuse), s'est prodigué sous un violent bombardement pour sauver ses camarades ensevelis sous un abri et a été victime de son dévouement. A été cité.

ROBIN (Moïse), mie 04750, maître pointeur : excellent pointeur, plein de courage et de sang-froid, sur le front depuis le début de la campagne. Mortellement blessé à son poste de combat le 14 mars 1916 (Nieuport, Belgique).

A été cité.

ROULET (Marcel), mie 5481, 2C canonnier conducteur : canonnier modèle, ayant fait preuve de dévouement et d'entrain pendant toute la campagne. Mortellement frappé à son poste de combat, le 21 juin 1916, Hecicourt (Meuse). A été cité. ,

SENET (Bernard-Désiré-Alexis), mie 5995' 1er canonnier conducteur : très bon canonnier, au front depuis le début de la campagne.

Mortellement blessé au cours d'un bombardement de nuit, le 14 juin 1918. A été cité.

TASSIN (René-Marius), mie 7273, 2e canonnier servant : excellent sujet, courageux et énergique. A été mortellement blessé dans la nuit du 13 au 14 mai 1917, à une position avancée soumise à un violent bombardement.

A été cité.

THUILLIERE (Denis-Henri), dit BILLEBAUD, mie 5227, 2e canonnier servant : très bon servant, calme et dévoué, au front depuis le début de la campagne. Mortellement blessé, la 9 juin 1918, à son poste, au cours d'un bombardement. A été cité.

TRESAL-MAUROZ (Gaston-Elie-Elisée), mIe 5936, 2e canonnier servant : servant plein d'entrain. Tué le 30 mai 1915, en servant sa pièce sous un violent feu d'artillerie de gros calibre.

A été cité.

THOMAS (Jules-Louis), mie 5222, 2e canonnier servant : a fait preuve en toutes circonstances de la plus belle énergie et du plus grand courage. Blessé le 23 août 1914, n'a pas cessé son service et a été tué le 11 octobre 1914 en servant Une pièce contre avion. A été cité.

THOMAS (Henri-Pierre-Eugène), mie 5785, 2e canonnier conducteur : téléphoniste d'une grande bravoure. Tué le 29 août 1914, en relevant son matériel au moment où la batterie battait en retraite sous un feu violent. A été cité. - VIRELLO (Fortuné-Théodore), mie 04760, maître pointeur : maître pointeur intelligent et dévoué, s'est fait remarquer par sa belle tenue lors des durs combats en retraite du 8 et du 10 juillet 1918. A servi sa pièce sans de faillance le 18 juillet et le l«'août 1918, malgré le feu de l'ennemi qui décimait ses camarades.

A été cité. ,

VIVION (Gaston-Auguste), mie 5820, 28 canonnier conducteur : modèle de bon servant.

Tué à son poste, le 5 novembre 1914, par une balle d'infanterie. A été cité.

VALCK. (Gaston-Lucien), mie 6098, maftre pointeur : canonnier à la batterie de tir depuis le début de la campagne. A donné en toute circonstance le plus bel exemple de discipline et de sang-froid, notamment le 12 juin 1916, où il a trouvé la mort alors qu'il executait un tir de barrage sous un feu violent de l'artillerie ennemie. A été cité.

ESTEBENET (Marcel-Jean-Marie-François), mle 1MI, 28 canonnier servantexcellent camonnier d'artillerie de tranchée, modèle de branonnier


voure et de sang-froid. S'est maintes fois distingué par son courage et son énergie dans de difiiciles circonstances. Mortellement blessé à son poste de combat, le 23 juillet 1917, au cours de l'attaque des Flandres. Croix de guerre avec étoile d'argent.

34® rég. d'artillerie de campagne.

BEYSSET (Pierre-Roger), mie 6302, 2e canonnier servant : canonnier courageux et énergique. Tué glorieusement à son poste, le 15 octobre 1916, aux combats de la Somme. A été cité.

CL AVE LIER (Adolphe-Claude), mie 0428, maîtiie ouvrier en bois: canonnier intrépide et courageux. Tué glorieusement à son poste, la 7 octobre 1916, dans la Somme. A été cité.

DELAGE (Ilippolyte), mie 02385, 2e canonnier conducteur : excellent conducteur, très dévoué et très courageux. Blessé mortellement, le 24 septembre 1916, au cours d'un ravitaillement.

A été cité.

DELILLE (Robert), mie 5609, 2e canonnier conducteur : canonnier intrépide et courageux.

Tué glorieusement à son poste le 7 octobre 1916 dans la Somme. A été cité.

ROSSELLE (Cyrille-Louis-Joseph), mie 5557, maréchal des logis : au cours d'un accident de tir, a éprouvé une commotion tellement violente, qu'il a été évacué et s'est trouvé indisponible pendant plusieurs mois. Renvoyé au front sur sa demande à peine guéri, a fait en toutes circonstances son devoir avec calme et sang-froid:Morteliement blessé, le 29 mars 1916, en se rendant à *sa batterie après avoir été 'porter à une section détachée les ordres de son capitaine. A été cité. - RAIGN'AUD (Pierre-François), mie 5782, 2a canonnier conducteur : canonnier courageux et énergique. Tué glorieusement à son poste, le 10 novembre 1916, devant Forest (Somme). A été cité.

REBEYROL (Jean), mie 2285, maréchal des .logis : brave sous-officier donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage.

tlort glorieusement pour la France, le 13 juillet 1916, devant Verdun. Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

HERNARD-COLLOMBAT (Emile-Henri), mie 06346, artificier maître pointeur : maître artificier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 23 octobre 1915, à Molandin. Croix de guerre avec étoile de bronze..

BUGAT (François), mie 3537, 28 canonnier conducteur : bon canonnier, courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur. le 12 octobre 1914, ,au camp de Châlons, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUCHARD (Jules-Victor), mle'4695,2e canonnier conducteur : bon canonnier, courageux et dévoué. Mort au-champ d'honneur, le -24 janvier 1916, à Neuville-Saint-Vaast, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CflESSE (Joseph-Pierre), mie 1104, 28 canonnier conducteur : canonnier remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 26 septembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CARREAU (Abel), mie 012675, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 6 octobre 1915, en Champagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.. CIIASSAGNOUX (Faurien), mie 01073, 211 canonnier conducteur : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 25 juin 1916, au combat de Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.. »

D >TTON (Georges-Augustin), mie 018593 B, 2 l'aiinnnier servant : canonnier conscien~dévoué. Tué aux pièces, le 6 octobre 1915 , à son posleùe combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LANGIN (Emile), mie 013626, sous-chef artificier : sous-chef artificier qui a toujours rempli les fonctions de façon satisfaisante et avec dévouement. Tué aux pièces, le 6 octobre 1915, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROBERT (René-Emile), mie 5327, 1er canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 6 octobre 1915, en Champagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROXTEIX (Sicard-Albert), mie 3396, hrigadier : brave gradé d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 12 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

REYNAUD (Justin), mie 014122, 2e canonnier servant : très bon canonnier. Mort pour la France, le 27 mai 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VIERS (Elie), mie 3052, maître pointeur : excellent maître pointeur. Mort pour la France, le 2 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. J

35e rég. d'artillerie de campagne.

A-LIS (Désiré-Honoré-Marie), mie 03116, brigadier : bon gradé. A la batterie depuis le début de la campagne, a toujours fait parfaitement son devoir. Tué à son poste de combat, à Perthes-lls-Hurlus (Marne), le 27 septembre 1915. A été cité.

BE-RTHOMÉ (Oscar - Donatien - Henri), mie OG328, 2e canonnier servant : brave canonnier.

Au front depuis le début de la campagne, donnant l'exemple de la plus grande bravoure.

S'est fait remarquer en toutes circonstances par son entrain et son excellent moral qu'il communiquait à ses camarades. Mortellement blessé, le 27 septembre 1917, en accomplissant 'cot¡rageuscment son devoir. A été cité.

BODIN (Louis-IIenri-Auguste), mie 018430, canonnier servant : canonnier brave, calme et énergique. A accompli son service de téléphoniste dans des conditions très pénibles et a été tué, le 6 avril 1916, en se précipitant sous un violent bombardement au secours d'un camarade blessé. A été cité.

BIHAN-POUDEC (Jean-Joseph-Marie), mie 436 8 2e canonnier conducteur : jeune conducteur plein de i courage et d'entrain. Dans une mise en batterie exécutée sous un feu violent, a montré le plus grand calme. A été mortellement blessé, le 28 septembre 1918, à Souain (Champagne). A été cité.

BLOUET (Jean-Thomas-Guillaume-Marie), mie 4842, maréchal des logis : remarquable sousofficier, doué des plus belles qualités militaires, bravoure, entrain et abnégation. Déjà deux fois cité pour sa belle conduite au feu.

Est tombé glorieusement à son poste de combat, le 1er novembre 1918, à. Marqueny (Ardennes). A été cité.

BULTEZ (Jean-Baptiste), mie 10514, canonnier servant : jeune servant de la classe 1919. A rempli les fonctions de pointeur, à la batterie avec beaucoup de zèle. S'est particulièrement distingué pendant les derniers combats par son courage et son sang-froid. Est tombé glorieusement à son poste le 1er novembre 1918.

A été cité.

BARACII (Charles), mie 6900, 2e canonnier conducteur : excellent conducteur. Très grièvement blessé à côté de ses chevaux, le 27 mars 1918, en attendant près d'une position de batterie avancée soumise à un violent bombardement, l'ordre d'amener les avant-trains. Mort pour la France, le 4 avril 1918, à Bras (Somme).

A été cité.

COrGET (Eugène-Antoine), mie 10513, 2e. canonnier conducteur : jeune conducteur, plein de courage et d'entrain. A été mortellement blessé, le 27 septembre 1918, dans une mise en batterie exécutée sous un feu violent, en montrant le plus grand calme. A été cité.

CARIOU (Yves-Marie), mie 3520, maréchal des logis : chef artificier des plus courageux et des plus dévoués qui a toujours assuré le service de son canun avec le plus grand calme sous le feu. A trouvé une mort glorieuse, le 22 octobre

1917, frappé par un obus au moment où il faisait abriter ses hommes. A été cité.

COUDRAIS (Louis-Marie), mie 4040, brigadier : brigadier d'un courage et d'un dévouement exemplaires. A assuré à maintes reprises au cours de la campagne, le ravitaillement en munitions sous des bombardements violents.

A été tué glorieusement à son poste de brigadier de tir, pendant une reconnaissance, le 1er avril 1918. A été cité.

CHANCELIER (Louis-Eugène-Octave), mIe 4607, brancardier : brancardier n'épargnant jamais sa peine pour secourir ses camarades.

Tué dans l'accomplissement de ses fonctions en venant relever ses camarades blessés sur la position de batterie sous un bombardement violent, le 3 avril 1916, à Verdun. A été cité.

DELOUX (Antoine), mie 5127, maréchal deS logis : sous-officier d'une classe ancienne, engagé volontaire pour la durée de la guerre.

A toujours accompli courageusement et avec bonne humeur toutes les missions qui lui avait été confiées. Tué en ravitaillant la batterie de tir, le 31 mars 1918. A été cité.

DRUAIS (François-Marie), mie 6632, 2e eanonnier servant : jeune servant actif et brave. A la batterie de tir depuis un an, s'est impose dès le début par sa belle attitude au feu. Très grièvement blessé à sa pièce, le 29 mars 1918, a fait preuve d'un grand courage. Mort des suites de ses blessures, le 30 mars 1918. A été cité. v GUIIUR (Julien-Marie-Joseph), mie 03447, brancardier : soldat brancardier, d'un dévouement absolu. Tué, le 18 avril 1916, par un obus en allant sous un bombardement très violent porter secours à un camarade à Verdun. A e cité.

GUIGNARD (Jean-Georges), mie 10544, 2e cnonnier conducteur: jeunes-servant très dévoué, plein d'entrain et insouciant du danger.

S'est distingué à différentes reprises au cours des récentes attaques. A été grièvement blesse à son poste de combat aux environs d'AttignY' Mort des suites de ses blessures, le 1er nO vembre 1918. A été cité.

JAUMOUILLE (Léon-Joseph-Marie), vmleOiSl'*'» canonnier conducteur : excellent conducteur.

Tué glorieusement à son poste, le 3 juillet 1916, après avoir toujours fait preuve de dévouementA été cité. ,

JOSSET (Pierre-Mane-Domatien), mie 3749.

maître pointeur : maître pointeur à la mem: pièce depuis le début de la campagne, y, toujours fait preuve d'un calme parfait et d ni dévouement absolu. A été tué glorieusement le 23 décembre 1916, près de son canon par 1 feu ennemi. A été cité.

JAUNET (Georges-Fernand), mie 4190, 2e c* nonnier servant -: 'brancardier n'épargna" jamais sa peine. Tué, le 3 avril 1916, dans J'ar, complissement de ses fonctions en ve. Il relever ses camarades blessés sur la po-sit* de batterie sous un bombardement viol®11 ( devant Verdun. A été cité.

KERVROEDAN (Joseph-Thomas), mie O'jà 2e canonnier servant : brave canonnier front depuis le début de la campagne. 6 01,11110 brancardier et comme infirmier a l'en l et plus signalés services par son dévoileiner, kt et son sang-froid dans les circonstances lcS critiques. Blessé grièvement, le 27 mars 19l s'à la position de batterie. Mort des suites de t, ej blessures, le 14 avril 1918. A été cité. é

LEGUERNEVE (Pierre-Marie), mie 5055, n'ar chai des logis : excellent sous-ofiieier, ires, bravoure et d'une endurance extraordin&8 Tes.

A rempli de la façon la plus remarquable^ 40 dant plus de deux ans, les fonctions d'In'ellt de liaison avec l'infanterie. Chef de pièce rn A été tué, le 29 mars 1918, devant Montdiu A été cité. 6a LE MAY (Vincent-Louis-Marie), mIe brtlfO 2e canonnier conducteur : conducteujOUrS et d'un dévouement à toute épreuve, .o0rs et d'un dévouement à toute épreuve, J- soü prêt à ravitailler la batterie de tir rnê MG les bombardements les plus violent. 18 mortellement blessé près de ses cnev 2^ mars 1918. A été cité. D3i92, LE LOUZ (Michel-Alexandre). ®l? fait maître pointeur : maître pointeur, a a-pi&V depuis le début de la campagne, a tau) post" preuve de zèle et de courage. Tue a »


le 29 septembre 1915, devant Pertes-ies-llurius (Marne). A été cité.

LE MAO (Jean-Marie), mie 4503, 2e canonnier servant: excellent canonnier, a montré comme telephoniste en de nombreuses circonstances, notamment aux attaques de septembre et octobre 1916, un dévouement absolu en allant Réparer les lignes, malgré un violent bombardement. Le 22 janvier 1916, son poste de téléphoniste étant soumis à un tir violent et précis d'artillerie lourde, a 'été tué dans l'abri, à Mesûii-ies-IIurlus (Marne). A été cité..

LE CANN (Yves), mIe 4067, brigadier : brigadier d'une grande bravoure et d'un sang-froid remarquables. Mortellement blessé en servant {a mitrailleuse de la batterie au moment, où * enucmi abordait la position, la 27 mai 1918.

Urie citation antérieure. A été cité.

LE HOY (Maurice), mie 4023, 2e canonnier conducteur : au front depuis le début,, a toujours fait preuve du plus grand dévouement.

aidant spontanément ses camarades, sans souci eU danger. Tué glorieusement par un obus IUlcmi, le 26 août 1918. A été cité.

LE PORZ (Jean-Marie-Pierre), mis 5964, canonnier servant : jeune servant de la classe 1917, brave et énergique. Faisànt parti d'un relâchement de liaison auprès de l'infanterie, 1 attaque du 13 octobre 1917, est tombé au cûamp d'honneur. A été cité.

.LE TIIEUFF (François), mie 02666, canonIller : téléphoniste à l'état-major du groupe, ne Marchandant jamais sa peine pour aller repérer les-lignes sous les plus violents bombardements. Tué le 3 avril 1916, à Verdun. A été .i:t

-<lt;;.

2 LE BRUSQ (Jean-Pierre-Marie), mIe 03863, 2e canonnier conducteur : très bon conducteur, au front depuis le début de la campagne.

blessé grièvement en ravitaillant la batterie de tir, le 31 mars 1918. Mort des suites de ses,blesures, le 2 avril 1918. A été cfté.

2eRTI (Victor-IIenri-Emilicn), mie 03365, feu DOnnier conducteur : très bon conducteur au front depuis le début de la campagne, tel¥JOlrs eu une belle conduite. Blessé mor1r a. rnnt par une bombe d'avion ennemi le ter alvril igi8. A été cité.

mJf ^ïOXNEAU ( Pierre - Ernest - Louis - Raychaw' mIe 4907, maréchal des logis : maretr l des logis éelairenr, dévoué et plein d'entrai ^, 'es* toujours acquitté parfaitement de ses 1 reuses missions de liaison avec l'inta t te. A été tué, le 23 décembre 1916, à la osi i de batterie de la Madeleine à Verdun San e feu d'une pièce ennemie. A été cité.

S-MO'NNF,IION (Joseph-Pierre-Alexandre), mlo 2e canonIÚerservant: bon canonnier le Vant courageux et dévoué. Tué à son poste, aVril 1916, devant Verdun. A été cité.

nJJERRïEN (Louis-Marie), mie 4139, 2e canonrra r conducteur : très bon conducteur. Au front depuis le début de la campagne, a fait <lévUve en toutes circonstances de zèle, de le 6 jUmeIlt et de bravoure. Tué à son poste, left juillet 1917, par obus. A été cité.

03çgeJLAND (Jean-Louis-Joseph-Marie), mie <lu et 2e canonnier conducteur : très bon conau front depuis le début de la cambeilne. S'est toujours fait remarquer par sa Est t conduite au feu et son mépris du danger.

191 ornbé au champ d'honneur, le 31 mars ei. fl., en ravitaillant la batterie de tir à Mont1Br- A été cité.

h ^L5Y (Louis-François-René), mie 06755, de C^iev conducteur : conducteur zélé et fne COfihance, a montré le plus grand dévoue"iot fQ. assurant le service des vivres sous de bombardements. Tué glorieusement, le 27 septembre, & son poste devaat Perthes (Marne)A .été cite.

^2o m (A.ristide-Henri-Edmon(J-Louis), mie brave aitrepoi tour- maître pointeur modèle 1Íd} e dévoué. A été tué glorieusement, le téléphcebre 1916, en allant réparer une ligne è. VerdOnlqUe sous un bombardement .violent V eert-fdt.un. A été cité.

V

*ïUe (Irénéé-Sulpice-Victor- Auguste), orfiCie736, maréchal des logis : excellent soustellement. En campagne depuis le début. Mortellement i bl^iisé à son poste alors qu'il ravitaillait en munitions les pièces de la batterie avril ioig. A été cité.

VIAUD (Jules-François-Marcel), mie 05261, 2e canonnier conducteur : excellent conducteur d'un dévouement inlassable. Remplissait à la batterie de tir, depuis le début de la guerre, les fonctions de servant avec un calme dont il ne se départissait jamais, même sous le feu le plus violent. A été tué glorieusement à sa pièce par un obus, le 27 mars 1918. A été cité.

CREFF (François Marie), mie 5010, brigadier: brigadier courageux. Mortellement blessé à son poste à Perlhes-les-Hurlus (Marne), le 15 octobre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TIIETIOT (Josepli-Marie-Yves), mie 017606, 2e canonnier: canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort pour la France, le 3 déeembre 1917, au Moulin de Laffaux (Aisne). Croix de guerre avec étoile de , bronze. - 39e rég. d'artillerie de campagne.

BREMESSE (Henri), mie 7144, 2e canonnier servant : jeune Alsacien revenu au début de la guerre pour servir son pays. Tombé pour la France, à son poste de combat, le 28 février 191. A été cité.

BEDAU (Octave-Auguste), mie 10218, fer canonnier vaillant canonnier, belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste, le 4 mars 1916. A été cité.

BABOtfOT (Mari m-Josepli-Ni colas-Raymond), mlè 04569 : sous-officier courageux et dévoué, sous-chef à la batterie de tir. A été tué, le 2 mai 1917, alors que sous un bombardement violent il sortait de son abri pour téléphoner un renseignement important. A été cité.

BOURROUX (François), mie 018525, 2e canonnier servant : servant très courageux. Tombé glorieusement à son poste de combat, le 21 juillet 1916, devant Maricourt (Somme). A été cité.

BOULIN (Marie-Ange-Alexandre), mie 015893, 2e car%nnier .servant : servant très courageux.

Tombé glorieusement à son poste de combat, le 21 juillet 1916, devant Maricourt (Somme). A été cité.

BrASI (Henri-Louis), mie 4438, 2* canonnier conducteur : excellent conducteur, à la batterie de tir depuis le début de la campagne. De service plusieu! nuits successives pour de périlleux et pénales ravitaillements, s'est distingué par son sang-froid et son entrain. Frappé mortellement sur son cheval, le 13 avril 1917.

A été cité.

BOUFFET (Fernand), mie 4533, brigadier ; brigadier téléphoniste sachant obtenir de ses hommes le meilleur renlfcment, surveillant sous de violents bombardements la pose et l'entretien des lignes. Blessé mortellement, le 15 avril 1917. A été cité.

BOULAY (Pierre-Eugène), mie 4565, maître pointeur : excellent maître pointeur. Tué à son poste de combat où il est demeuré, le 16 mai 1915, à La Targette (Pas-de-Calais), accomplissant son devoir, sans faiblesse, malgré la violence du feu de l'ennemi. A été cité.

BRETTENMAYER (Paul-Léon), mie 4303, lfr canonnier conducteur : excellent conducteur, brave et dévoué. Tué glorieusement a son poste de combat, le 21 septembre 1915, à Minaucourt (Marne). A été cité.

BRIAM (Jean), mie 5295, brigadier : brave brigadier. Belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste, le 4 mars 1916, à Fleury (Meuse). A été cité..

CREVEAU (Louis-Emile), mIe 5037, 1er canonnier servant : téléphoniste au central du régiment. A toujours fait preuve du plus grand dévouement et d'un profond mépris du danger dans la réparation, sous le feu, des lignesteléphoniques. A été tué, le 7 octobre 1915, en réparant une @ ligne téléphonique coupée par rl'iin nrÂîa/».HlA À

CROULEBOIS (Raymond), mie 5123,1er canonnier servant : téléphoniste depuis le début de la guerre, a toujours assuré avec le plus grand calme, dans les circonstances les plus difficalme, l'entretien des lignes téléphoniques.

ciles, Modèle de bravoure et de sang-froid. Frappé a son poste, le 15 avril 1917, à Vendressc (Aisne).

A été tité.

DANZELLE (Yvon-Eugène), - mIe 5262, 2° ea* nonnier conducteur : excellent conducteur.

Belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste le 26 février 1916, à Fleury (Meuse).

A été cité. ,-.

DELBÀRT (Emile-Aimé), mie 5608, trompette: vaillant canonnier, belle attitude au feu Tombé glorieusement à son poste, le 26 février 1916. A été cité.

DELALONDES (Georges-Victor), mie 015985, 2e canonnier servant : bon canonnier, Tombé glorieusement à son poste de combat, devant Bourg-et-Comin (Aisne), le 15 avril 1917. A été cité.

DUVIVIER (Charles), mie 4495, 2S canonnier conducteur; très bon canonnier. Tué glorieusement, le 20 novembre 1916, devant Raucourt (Somme), em travaillant à un poste @ d'observation en première ligne dans une région constamment bombardée par l'ennemi. A été cité.

DRU ART (Omtr-Elienne), mie 5560, 28 canonnier servant ; bon servant, très dévoué. Tombé en pointant sa pièce, le 16 juillet 1916, à Maricourt (Somme). A été cité.

GOGUET (Georges), mie 4709, maréchal des logis : excellent sous-officier. Belle attitutw au feu. Tombé glorieusement, le lep mars 1916, à Fleury (Meuse). A été cité.

GUYARD (Raoul-Roger-Paul), mie 5690, maréchal des logis : sous-officier d'un courage éprouvé. S'est distingué aux affaires de Champagne et de Verdun. Chef d'une pièce avancée à la côte 30i, s'y est fait remarquer par son sang-froid. Est tombé, le 20 avril 1916, alors que sous un violent bombardement, il recherchait un de ses hommes égaré en première ligne. A été cité.

GASPARD CDrges-Lucien), mie 63GS, 1er canonnier conducteur.: engagé volontaire pour la durée de la guerre, excellent conducteur, très dévoué et plein d'entrain. Tué à son poste de combat, le 21 septembre 1915. A été cité.

GIRARD (Robert-Jacques-Emile), mie 5107, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier, belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste, à Fleury (Meuse), le 26 février 1916.

A été cité.

GIROUX (Raoul-Laurent), mie 5139, 2e canonnier servant : bon et brave canonnier, belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste*, le 4 mars 1916, à Fleury (Meuse). A été cité.

GOUFFIER (Marcel-Victor-Marie), mle 526i, 2e canonnier servant : excellent canonnier.

Tué le 17 mai 1915, à la Targette (Pas-de-Calais), à son poste de combat où il est demeuré en accomplissant son devoir sans faiblesse malgré la violence du feu ennemi. A été tué.

GEORGE (Jean-Lucien), mie 09715, 2e canonnier servant téléphoniste : téléphoniste toujours prêt à marcher paur entretenir ses lignes quel que soit le danger. Tué le 4 octobre 1915 en installant les communications d'un poste de commandement & Minaucourt (Marne). A été cité.

GUTEDEL (Maurice-Jacques), mie 4503, 2e canonnier servant: brave canonnier. Mortellement atteint le 24 octobre 1915 à Hans (Marne), en portant un pli au lieutenant-colonel, eut l'énergie de le tendre à un camarade pour qu'il spit, transmis sans retard. A été cité.

JACQUOT (Fernand-Raymond-Léon), mIe 5106, 2e canonnier conducteur : brave canonnier.

Blessé grièvement le 25 septembre 19ij a Minaucourt, en portant son canon en avant sous un violent bombardement. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

JEANCENELLE (Constant-Sébastien), mie 011218 2° canonnier conducteur': bon conducteur Belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste le 26 février 1916 à Fleury (Meuse). A été cité.

LAPREVOTTE (Raymond), mie 05185, 2e canonnier conducteur : bon conducteur, tombé glorieusement à son poste de combat le 14 avril 1917, devant Bourg-et-Comin (Aisne). A été cité.

LOHNER (Lucien-Charles), mie 5974, 2e canonnier conducteur : téléphoniste brave et dévoué.

En liaison avec l'infanterie le 16 juillet 1916, s'est distingué par son dévouement et son acti-


vite, à été blessé mortellement par l'explosion d'un obus alors qu'il réparait la ligne téléphonique. A été cité.

MERAT (Victor-Georges), mie 5581, 2e canonnier servant : très bon canonnier. Tué glorieusement en travaillant à un poste d'observation en première ligne dans une région constamment bombardée par l'ennemi, devant Rancourt (Somme), le 20 septembre 1916. A été cité.

PIOT (René-Louis-Elvsée), mie 6006, 2e canonnier servant : tué à son poste de combat, le 15 mai 1915, où il est demeuré sans faiblesse accomplissant son devoir, malgré la violence du feu de l'ennemi. A été cité.

POIREL (Léon-Henri), mie 79, adjudant : chef de section de grande valeur, très crâne et très courageux au feu. Tombé à son poste de combat. le 19 août 1914, alors que sous un violent bombardement il faisait tirer sa section. A été cité.

RAFFIN (Camille-Maurice), mle 7851, 2e canonnier conducieur: téléphoniste très courageux.

Tombé le 20 juillet 191G en réparant la ligne qu'il devait entretenir. A été cité.

SOjlCIŒLL (Joseph-Marie-IIenri), mie 3C09, maréchal des logis fourrier : sous-officier modèle, inspirant à son personnel dans les circonstances les plus difficiles, une absolue confiance par son attitude énergique. Tué à son poste de chef de pièce, le 16 novembre 1914 à Boesinghe (Belgique). A été cité.

SCHNEIDER (Justin), mie 18492, maître pointeur : téléphoniste brave et dévoué. Tombé le 27 juin 1916, en accomplissant son devoir. A été cité.

SCHUBER (Auguste), mie 06471, 2e canonnier servant : brave canonnier. Belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste, le 25 février 1916, devant Douaumont (Meuse). A été cité.

VALAT (Alfred), mie 4210, maréchal des logis : vaillant gradé, belle attitude au feu.

Tombé glorieusement, le 2 mars 1916, à son poste. A été cité.

ZEER (Albert), mie 5297, 1er canonnier conducteur : belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste, le 26 février 1916. À été cité GRELOT (Pîerre-Auguste-Germain), mIe 4854, maréchal des logis : bon et brave sous-officier d'un bel entrain. Tombé glorieusement, en partant à l'attaque avec les premières vagues d'assaut, le 16 avril 1917, à Verneuil (Aisne).

S'était déjà maintes fois signalé par son ardeur et son courage depuis le début de la campagne. Deux citations et une blessure antérieures. Croix de guerre avec palme.

DAMMAN (Henri-Jacques), mie 6299, 2e canonnier conducteur : très bon conducteur. Tué à son poste à la batterie de tir, le 12 août 1916, à Maricourt (Somme). Une blessure antérieure.

Croix de guerre avec-étoile d'argent.

ALBRAN (Auguste), mie 09032, 1er canonnier servant :, très bon canonnier, courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur, le 23 septembre 1915, à Roclincourt (Pas-de-Calais) , en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BADENNE (Gaston-Jean), mie 03584, 20 canon-nier servant: très bon canonnier ayant toujours fait vaillamment son devoir. Mort pour la France, le 1er juillet 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BALLOIS (Louis), mie 7284, 2e canonnier servant : bon canonnier courageux et dévoué.

Mort au champ d'honneur, le 23 septembre 1915, à Roclincourt, en faisant bravement son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BIDAUT (Emiliand), mie 09712, 2e canonnier servant : bonçt brave canonnier. Mort pour la France, le 29 février 1916, à Fleury (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BELLET ( Emilien - Edgard-Ferdinand - Paul ), mie 1937, 2e canonnier servant: brave canonnier j'iia fait vaillamment son devoir dès les premiers de la campagne. Mort glorleIJSIIII"¡! pou - la France, le 19 juin 1915, à 4 O^to-Caiais). Croix de guerre avec étoile de be. t

BERCHER (Edmond-Louis), mie 4499, 2e canonnier conducteur : bon et brave canonnier.

Mort pour la France, le 3 juillet 1915, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BLONDEAU (Guillaume), mie 0174n, 2e canonnier servant : bon canonnier. Mort au champ d'honneur, le 26 juin 1915, dans le bois de Neuville-Saint-Vaast, en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONNEL (Cyprien), mie 1582, 2e canonnier : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 26 janvier 1916, au bois Le Prêtre.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BAULARD (Laurent-Nicolas), mie 5155, 2e canonnier conducteur: bon conducteur. Mort le 14 octobre des suites de blessures reçues à son poste de combat, le 3 octobre 1914, Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOURGEOIS (Clovis-Alfred-Clovis), mie 4304, 2e canonnier conducteur : bon conducteur.

Mort pour la France, à son poste de combat, le 16 novembre 1914, à Boesinghe (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BICKEL (Marcel), mie 4498, maître ouvrier en fer : très bon soldat. Mort le 19 novembre 1914, des suites des blessures reçues, le 14 novembre 1914 au poste d'observation à Boesinghe (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

COLTAT (Alphonse-Ernest), mie 2603, maréchal des logis : excellent sous-offleier, très crâne. Blessé à son poste d'agent de liaison, le 15 août- 1914. Mort de ses blessures, le 17 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CANTAIS (Marcel-Lucien-Georges), mie 7712, 2e cannonier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 1er février 1916 à Habarcq (Pas-de-Calais). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CORTY (Gustave), mie 05266, 2e canonnier conducteur : bon canonnier. Mortellement atteint à la batterie de tir à Maricourt (Somme) , le 16 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAMPION (Georges-Henri), mie 03592, brigadier : bon et brave brigadier. Mort au champ d'honneur, le 19 juin 1915, à Neuville-SaintVaast (Pas-de-Calais), en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze. CHATAIGNER (Gabriel-François), mie 7812, brigadier : brigadier brave et énergique, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Mort glorieusement pour la France, le 7 mars 1916, à Roclincourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLAUDE (Louis), mie 0462, maître pointeur : bon et brave maître pointeur. Mort pour la France, le 19 juin 1915, à Neuville-Saint-Vaast, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COUILLOUX (Emile-Julien-Edouard), mie 4736, 2e canonnier : bon canonnier. Tombé glorieusement pour la France, à son poste de combat le 15 novembre 1914, en conduisant une pièce à une position avancée à Boesinghe (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

COULON (Maurice-Jean), mie 54o.-I" i ë nier servant : bon servant. Tombé glpwéu§Cment à son poste à la batterie de üA vembre 1914. Croix de guerre avsc étouç

bronze. ';" ,el :i> Ti '.:: CAGNON (Gaston-Henri), mie 5231, 2" canonnier conducteur : bon conducteur. Blessé mortellement à son poste de combat, le 16 novembre 1914, en se portant au secours de son capitaine grièvement blessé. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEJACQUES (Jean), mie 5602, 2e canonnier servant : bon servant. Tombé glorieusement pour la France à son poste à la batterieCPde tir,

le 10 décembre 1914, à Saint-Julien (Belgique.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DESCHAMPS (Louis-François-Joseph),mie 5325, ; 2e canonnier servant : très bon canonnier. Mort pour la France, à son poste de combat, a Maricourt (Somme), le 24 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DESVIGNES (Aristine-Ernile), mie 5044, 2e car.

nonnier conducteur : très bon canonnier. Mort..

pour la France à son poste de combat, à Longueval (Aisne), le 3 avril 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze. DIDIER (Raymond-Isidore), mie 4230, fer .., nonnier conducteur : bon et brave canorilllere Mort pour la France, le 4 octobre 1915, 3e9 suites de glorieuses blessures reçues au Cballip d'honneur en faisant courageusement son de" voir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DOR (Marc), mie 5025, 2e canonnier conducteur : bon conducteur. Tombé glorieusement pour la France à son poste de combat, lel6tna* 1915, à la Targette (Pas-de-Calais). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ELOY (Henri), mie 06538, l*r canonnier seï* vant : très bon servant. Tué dans l'exercice de ses fonctions de brancardier, le 16 novembre 1914, h Boesinghe (Belgique), en allant èllercbef le corps de son capitaine tué au poste d'observation. Croix de guerre avec étoile de bronZe.

GAUTHIER (Maurice-Auguste), mie 5239, 2e c*nonnier servant : bon canonnier. Tué glorip-asement à son poste, à Neuville-Sairil-Vaas1 (Pas-de-Calais), le 25 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLAUMAIN (Louis-Gabriel), mie 05'161, brigadier : brave brigadier, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Mort "loriew sement pour la France, le 10 septembre 1911, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUITTIÈRE(Georges-Charles), mie03406,2e&K nonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreusep preuves de sa bravoure ettle son sang fr 0l"»i' Mort bravement pour la France, le 22 O 1915, à Blenod-les-Poiat-$-Mo$sS(<^f0$r<#8 i guerre avec étoile de bronze.

GUENIOT (Eugène-Lucien), mie 1251, maré: chai des logis mécanicien : sous-officier reroi31 quable par son courage et son sang-froid. TJJ.

à son poste de combat, à Saint-Julien (^elg que), le 10 décembre 1914. Croix de guerrra

avec étoile de bronze. GROSJEAN (Paul-Georges), mie 4245, 2e, ca: nonnier servant : bon canonnier. Tué gl°rJ.^ sement à son poste de-combat, le 10 décem^,8 1914, à Saint-Julien (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIEILMANN (Paul-Zéphirin), mie 01715, 2e Canonnier conducteur : canonnier courageux eS plein d'entrain ayant donné de nombreuss preuves de sa bravoure et de son sang-frol. d.

Mort bravement pour la France, le 18 Jf 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HUMAULT (Auguste-Marie), mie 7011. 2 nonnier servant : très bon servant, ayant do" la valeur de son courage et de son deVo lti ment au cours de durs combats. Mort PoU France, le 24 juin 1915, des suites de blestU de glorieusement contractées à son posts d8 combat. Croix de guerre avec éloI 6 bronze.

IIUARD (Constant-Jean), mie 5566, 2e can~ nier servant : bon canonnier, Tué 91orl. eus ment à son ppste à Hébuterne (pas-(Je::t;.(¡ 1 ¡ HAroNrmiiÍl.l'lBs16'btgS1)9'{8Hé[,qt.3.i'-è11iO nonnier servant : canonnier courax 1'A 1 de ; pour la France, le 29 map^l^v en~ t)~~* Croix de guerre avec étoile de bronze.

JUSSEAU (Claude), mIe 02034, maître po'il, teur : maître pointeur valeurRuX. A to JpcUtJ donné entière satisfaction tant par sa attitude au feu que par sa manière w de servir. Tombé pour le salut de la p 31 mai 1915, au Labyrinthe (as e.

Croix de guerre avec étoile de brouze.


JOYEUX (Constant), mie 1740, maître ouvrier en ier : frès bon maître ouvrier. Blessé grièvement à sa pièce, le 1er juin 1915, à la ferme jje Berthonval (Pas-de Calais). Mort des suites ses blessures. Croix de guerre avec étoile urie o bronze.

KlEFFER (Gaston-Pierre), mie 2939, 28 canonser servant : très bon servant. Tué glorieu,err,ent à son poste de combat à Saint-Julien (beigique), le 15 janvier 1915. Croix de guerre Vec étoile de bronze.

riïLRBLAC (Paul-Camille), mie 5015, 2e canoniSer conducteur : bon conducteur. Mort le te novembre 1914, des suites de Blessures jip qVUes à son poste de combat, le 11 novembre 1914, à Elverdinghe (Belgique). Croix de guerre ec étoile de bronze.

UMOTTE (Bénigne-Pierre), mie 015729, 2e cadoner servant : très bon servant, ayant donné la valeur do son courage et de son dévouement au cours de durs combats. Mort fin. r la France, le 19 juin 1915, des suites de heures glorieusement contractées à son de be de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze. Croix de guerre avec étoile flMRMANDE (Sylvain-Lucien), mie 6876, brigabon et brave gradé. Mort pour la France le aoù.t 1915 des suites de glorieuses blessOn Sd reçues au champ d'honneur en faisant son devoir. Croix de guerre avec étoile de nze, noLERANÇOIS (Georges-Henri), mie 7470, cath nnler servant : bon canonnier. Mort au hemp d'honneur, le 15 novembre 1916 à RoclinCQU!t, en faisant courageusement son devoir.

rOl:t de guerre avec étoile de bronze.

Li' LirtVRE (Alfred-Alexandre), mie 5601,2e caSe nnier servant : bon canonnier. Tué glorieuJuFent à son poste le 18 janvier 1915 à Saintde lben (Belgique). Croix de 5uerre avec étoile d e b r b^ad?e? (Henri), mie 06194, brigadier : bon brigadie Blessé mortellement à son poste de conibit I; e 24 novembre 1914 à Saint-Julien (Belgique). Croix de .guerre avec étoile de bronze c. Croix de ."uerre avec étoile de (Loute), mlëf 05224, 28 canonnier sersa' l'es bon canonnier. Mort pour la France à So à la batterie de tir à Maricourt étoileIIlde), le 23 juillet 19-16. Croix de guerre avec de bronze.

norEL (Victorien-Edmond), mie015476,2* caIl'entr e servant : canonnier courageux et plein de Sa ln ayant donné de nombreuses preuves 4e sa > nr&v°ure et de son sang-froid. Mort braVement Pour la France, le -29 septembre 1915 à ftegnu Pour la France, le-29 septembre 1915 à e e (Meurthe-et-Moselle). Croix de h e avec étoile de bronze.

nieUsR.ET (Henri-Joseph), mie 5468, 2e canonde sipr..ant : très bon servant. Tué à son poste î^con » ur- la 7 septembre 1914, devant l!abroIlzurt. Croix de guerre avec étoile de

IlOnni CIIAND (Paul-Arsène), mie 4227, 2e casOn. D er conducteur: bon conducteur. Tué à 6 do combat. le 5 octobre 1914, devant etoilé drne (Pas-de-Calais). Croix de guerre avec A ebronze, PARDIE. 1j DOinDIEU (Adrien-Louis), mie 5072, maître r - bon et brave maître pointeur. Mort France, le ier Juillet 1915, des suites de £ 'ieus»? blessures reçues au champ d'honh peUr (\n faisant courageusement son devoir.

h de guerre avec étoile de bronze.

s* CftnoiA^atole-Auguste-Marcellin),mle011096, 1er carlort W!)6, servant Mort servant : bon et brave canonnier 1915, à Ecurie (Pas-de Calais) en fais le 8 juin rageusement (Pas-de-Calais), en faisaIW ltltro-r* •"'** r,-UI t\l\-' "! 'ÍC)¡(¡¡¡l".,'¡ - t,).¡C} "I"itf

..t\:1' , -.u! \palU;;.Gb'r)jès-'! mli}"4:12'J;"C'àriOil'l' ta ! en Ru 1 llant chercher le corps de son capila1. 4e t 116 au Poste d'observation. Croix de guerre avec étoile de bronze.

'rétSdSIN (JuIes-Louis-Rene), mie 04615, SOn. p es , °is : très bon sous-ofticier. Tué son poste, il la batterie de tir, le 13 juin 1916, tOUe dSubzanne (Somme). Croix de guerre avec e de l'Onze.

588 rég. d'artillerie.

AUTIER (Jean-Baptiste), mie 018313, maître pointeur brigadier : excellent gradé. Le 19 juillet 1916, sous un tir réglé de minenwerfer, a continué à servir sa pièce avec la plus belle bravoure, répondant à l'ennemi jusqu'au mobravoure, il fut tué à son poste de combat. A ment oii été cité.

BOIRON (Charles-Castula), rrile B 081, 28 canonnier servant : canonnier très dévoué. Mortellement blessé à son poste de combat, le 15 avril 1917, par l'explosion d'un obus de gros calibre. A été cité.

COURTOIS (Alexandre), mie 1892, maréchal des logis : excellent sous-officier, plein de sang-froid et de courage. Après avoir assuré journellement le ravitaillement dans les circonstances les plus difficiles et les plus dangereuses, a été désigné pour remplacer un sousofficier tué à la batterie de tir. Grièvement blessé le surlendemain, le 13 juin 1916, a fait preuve, malgré ses quatorze blessures, du plus beau moral. Est mort des suites de ses blessures. A été cité.

CANGIANO (Amiécle), mie 05320, 2e canonnier conducteur : très bon conducteur, courageux et dévoué, ayant beaucoup d'entrain, s'est fait remarqué par son mépris du danger au cours du ravitaillement en munitions, soumis à de violents bombardements. A été blessé dans la nuit du 27 au 28 octobre 1918, au retour a'une mission périlleuse. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

CHARLES (Pierre-Léon), mie 12066, 1er canonnier conducteur : excellent serviteur, au front depuis le début de la campagne. Blessé à son poste au cours d'un bombardement ennemi, le 12 juin 1918, près de Coudim (Oise).

A été cité.

COSTEDOAT (Alexandre-Fernand), mie 4248, 2* canonnier conducteur : brave canonnier, d'un dévouement et d'une bravoure exemplaires. Tué le 15 août 1917, en réparant les lignes téléphoniques sous un bombardement violent. A été cité.

DUFFAU (Jean-Eugèno), mie 3172, 28 canonnier servant : excellent servant, énergique et brave, dévoué et consciencieux. A fait preuve, le 2 octobre 1918, d'un grand courage et d'un haut sentiment du devoir en exécutant avec sa pièce, malgré le feu ajusté de l'ennemi, un arrage d'accompagnement. A été cité.

DAGUERRE (Pierre), mie 5845, 2e canonnier servant : téléphoniste d'une bravoure et d'un dévouement à toute épreuve. Volontaire pour organiser avec les détachements de liaison les communications sur un parcours dangereux.

A trouvé, le 19 août 1917, une mort glorieuse au milieu de sa mission, à Bras (Meuse). A été cité.

DUVIELLA (Antoine-Maurice), mie 542i, 2e canonnier conducteur, téléphoniste : excellent téléphoniste. D'un absolu dévouement. S'est particulièrement distingué du 12 au 14 juin 1918, en assurant d'un façon parfaite son service dans des circonstances difficiles. A été tué à son poste avancé, le 14 juin 1918. A été cité.

DUCAMIN (Jean), mie 2797, 2e canonnier conducteur : excellent conducteur, courageux et dévoué. Au front depuis le début de la campagne. Glorieusement tué à son poste de combat, au cours d'un ravitaillement en mucombat, le 29 juillet 1917. A été cité.

nitions, le 29 juillet 1917. A été cité.

DAUBIGNE (Camille-Armand), mie 05081, brigadier : auxiliaire précieux du commandement.

Gradé d'un très beau courage et d'une haute valeur morale. Mort pour la France, le 13 juin 1918. en assurant les liaisons. A été cité.

1 DUPOJJY(Jean-François-Domînique), mie 2858, brigadier : excellent brigadier. Au front depuis le aëbRf ? la campagne. S'est toujours fait rni sa belle tenue, son sang-froid et soh calme sous le feu. Mort pour la France, lé 23 mai 1917, en exécutant le ravitaillement en munitions de sa batterie. A été cité.

DABASSE (Martial-Fernand), mie 3726, 2e canonnier servant : excellent servant, énergique et brave, dévoué et consciencieux. A fait preuve, le 2 octobre 1918, d'un grand courage et d'un haut sentiment du devoir, en exécutant avec sa pièce, malgré le feu ajusté de l'ennemi, un barrage d'accompagnement. Tué glorieusement au cours du combat. A été cité.

EYCARD (Robert-Pierre), mie 5349, 2° canonnier conducteur : excellent canonnier. A l'annonce de la mort d'un do ses camarades, le 19 août 1917, a sollicité l'honneur do le remplacer au poste le plus périlleux. Tombé glorieusement face à l'ennemi, le 20 août 1917 en sortant de la tranchée avec la première vague d'infanterie, en établissant la liaison téléphonique. A été cité.

FOURNIL (Marcel-Henri), mie 8673, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier d'un dévouement absolu. Très grièvement blessé à son poste, le 4 avril 1918. Mort pour la France.

A été cité.

FAUCONNIER (Maurice-André-Eugène), mie 5607, 2e canonnier conducteur : brave canonnjer. S'est constamment fait remarquer par sa bravoure el son sang-froid. A été tué glorieusement à son poste de combat, le 16 décembre 1915. A été cité.

FLORENCE (Jean-Clément), mie 4173, brigadier : brigadier modèle de conscience et de dévouement, accomplissant toujours son devoir malgré le danger. S'est offert, le 26 janvier 1917, pour servir d'agent de liaison entre la compagnie et le groupe, malgré qu'un violent bombardement rendit la mission très périlleuse. Rentré à la batterie, est mort glorieusement en portant secours à un camarade blessé, un obus tuant le blessé et son sauveteur. A été cité.

FAUSTUS (François-Emile), mie 8242, 28 canonnier servant : téléphoniste plein de courage et de dévouement. Le 4 mars 1917, a assuré malgré le tir ennemi les communications entre un poste avancé évacué par l'infanterie et sa batterie, de manière à permettre le réglage du tir sur des points délicats. A été tué glorieusement à son poste, au cours de sa mission. A été cité.

FOURNIAUD (François), mie 11577, 2e canonnier : jeune servant d'un entrain remarquable.

A conservé dans une période de fatigues terribles et sous de violents bombardements une belle ardeur patriotique. Tombé glorieusement au cours d'un changement de position, le 4 avril 1918, devant Mailly-Raineval. A été cité.

GRANDINT (Paul-Eugène-Charles), mIe 05089, 2e canonnier conducteur : très bon conducteur. Tombé en assurant le ravitaillement de sa batterie, le 12 septembre 1916. A été cité.

GIRAUD (Clément), mle05123,l*rcanonnier conducteur : excellent canonnier, très courageux.

S'est distingué dans la nuitdu15aul6avrill917, amenant un canon à la position de batterie, à travers un terrain bouleversé et arrosé par le tir de l'ennemi, et quoique blessé mortellement, a tenu à terminer sa mission. A été cité.

GOUIN (Léopold-Georges), mIe 2179, maréchal des logis : excellent sous-officier. Au front depuis le début de la campagne, calme, dévoué, constamment à la tâche, a rempli les fonctions de maréchal des logis mécanicien, avec le plus grand zèle dans des circonstances très difficiles, surtout dans la somme et sur l'Aisne, où il fut tué à son poste de combat, le 25avril 1917, assurant le ravitaillement en munitions de la batterie. A été cité.

GRAND (Jules-Félix-Just), mie 56S6, maréchal des logis : chef de section dans une batterie de canons de tranchées, s'est constamment fait remarquer par son entrain et son mépris du danger dans les situations les plus périlleuses.

A, malgré de violents bombardements d artillerie ennemie de tous calibres, assure les missions qui lui avait été confiées. A été tué glorieusement pendant l'exécution dune de ces missions le 9 septembre 1915, à Steenstraat (Belgique). A été cité.

GOURDON rjean-Eugène), mie 012942, er canonnier conducteur: excellent canonnier, a fait prouve d'entrain, de courage et d'énergie dans tous les ravitaillements. A été tué glorieusement en ravitaillant dans la nuit du 10 au 11 juin 1918. A été cité.

GRIVA (Paul-François), mIe 8942, 1er canonnier servant: excellent téléphoniste, faisant l'admiration de tous ses camarades par sa bravoure et son dévouement. Glorieusement tué à son poste de combat le 5 avril 1918. A été cité, HARRIET (Gratien), mie 2673, 2° canonnier servant : bon et brave canonnier, ayant tou-


jours fait preuve de sang-froid et de calme sous le feu. Est tombé glorieusement, le 16 avril 1917, à son poste de combat. A été cité.

GUERNIOIJ (François-Marie), mie 118G2, 2e canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 26 mai 1918, aux combats de la Somme. Une citation antérieure.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

DUFAU (Pierre), mie 2G93, 2* canonnier conducteur : excellent canonnier. Glorieusement tombé à son poste, le 25 octobre 1918, au cours d'un tir particulièrement précis de l'ennemi. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DADE-BRENJOT (Jean-François), mie 3220, 1er canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 16 juin 1916.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

FI LIPPI (Paul-Jérôme), mie 7318, adjudant: brave sous-officier donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple du courage.

Tombé glorieusement pour la France, le 16 septembre 1916, à Vaux-Chapitre (Meuse). Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BYRO (Pierre), mie 014247, 1er canonnier servant: a toujours servi en brave et excellent artilleur, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 10 janvier 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BROTOLO (Alfred), mie 04H84, 1er canonnier servant : a toujours été un vaillant canonnier, faisant constamment preuve de courage et de dévouement Tombé glorieusement pour la France, le 27 mai 1918, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRISSET (Roger-IIonoré-Alcide), mie 016429, 2ccanonnier servant : a toujours servi en brave et excellent artilleur, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 12 juillet 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

13RAUD (Valentin-Joseph), mie 01788, maître pointeur : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, fe 26 septembre '914, à Courmelles (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRANA (Jean), mie 8575, 2e canonnier servant : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 24 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOnD (Fernand-Ernest), mie 03558,1er conducteur : excellent canonnier. Tué au cours d'un bombardement ennemi sur la position de b itterie, le ier février 1917, avait toujours lut preuve de courage, d'entrain et de dévouement. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BŒUF (Jules-François), mie 012793, 2e canonnier : a toujours servi en brave et excellent canonnier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 18 août 1915, en Belgique.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERTAUD (Jean-Pierre), mIe 1293, 2c canonnier servant : canonnier plein d'entrain et de bravoure. A donné, dans les combats sous Verdun, le plus bel exemple de courage et de sang-froid. Tué à son poste, le 10 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOXNEAU (nonert), mie*017283, 2e canonnier servant: canonnier courageux et dévoué. Blessé grièvement à son poste de combat et mort des suites de ses blessures,le 12 août 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHATAIGNER (François-Adolphe), mie 2018, 2e cauonnicr conducteur: excellent canonnier, d'un'courage et d'un sang-froid exemplaires.

Glorieusement tombé à son poste de combat de Cernicourt (Aisnc;, le 15 septembre 1916. Croix de gu-MTO avec étoile do bronze.

CAZSiiONNfi (Edouard-Joseph) , mie 02203, *9 canon nier conducteur : canonnier remar-

quable par son courage et son dévouement.

Blessé grièvement à son poste de combat au Mont St-Eloi. Mort des suites de ses blessures, le 23 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CîIUPEAU (Gabriel-Marie-Auguste), mlc0l7651, 2e canonnier servant : excellent canonnier, d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 6 mars 1916, à Oulches. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COURAUD (Georges-Anatole), mie 1877, brigadier : brigadier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves do sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 23 août 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COOK (Pierre-Albert), mie 11480, 2e canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain, ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid. Mort bravement pour la France, le 31 janvier 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIAUMET (Edmond-Léon-Maurice), mie04846, 1er canonnier servant : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 9 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ClIABOUD (Marius), mie 014388, 2e canonnier servant : canonnier brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 23 mai 1916, sous Verdun. Croix de- guerre avec étoile de bronze.

CASTANDET (Constant), mie 3590, 2e canonnier conducteur: brave canonnier. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Mort glorieusement pour la France, le 23 août 1914, à Thuilies (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CASSIAU-SOUSTRA (Justin), mie 5313, 2° canonnier conducteur : canonnier courageux et plein d'entrain ayant donné de nombreuses preuves de sa bravoure et de son sang-froid.

Mort bravement pour la France, le 28 février 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CARDON (Armand), mie 016252, canonnier servant : artilleur brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Tombé glorieusement pour la France, le 8 juillet 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAZEAUX (Antonin-Vital), mie 2047, 2' canonnier servant : excellent soldat, modèle de courage et de dévouement. Mortellement frappé d'une balle ennemie pendant qu'il observait, d'un observatoire avancé, le tir de sa batterie, le 30 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLAVERIE (Albert-Joseph), mie 3233, 2e canonnier conducteur : excellent canonnier.

Mortellementblessé à son poste, le 24 septembre 1914, au cours d'un violent bombardement de l'ennemi a Beaurieux (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DROUILLARD (Eugène-Léopold), mie 2017, maître pointeur : excellent canonnier, d'un courage éprouvé, animé d'un haut sentiment du devoir. Tombé glorieusement à son poste, le 1er octobre 1914 à Fumilly (Aisne), en exécutant avec sa pièce un tir en dépit d'un bombardement particulièrement précis de l'ennemi.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUPONT (Guillaume), mie 7738, 2e canonnier conducteur : bon canonnier, brave et dévoué.

Mort au champ d'honneur, le 29 juin 1918, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze. ,» v i)d.

DUIIART (Bertrand), mie 02213, 2e clondpcr teur : artilleur brave et dévoué, ayant 'tèttjtiursf fait preuve des plus belles qualités. Toittbé glorieusement pour la France, le 31 jrm\'ier¡ 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUGOUA (Jean-Maxime), mIe 018148, brigadier : "brave brigadier d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 7 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUBDUJL (Camille-Pierre), mie 3304, 2e eanonnier servant : canonnier courageux et plein

d'entrain ayant donné de nombreuses prf: de sa bravoure et de son sang-froid: Mort vement pour la France, le 9 juin 1916, de Verdun. Croix de guerre avec étoile de bron Verdun. Croix de guerre avec étoile de bron„!* îi{ DELEZAY (Prudent), mIe 01945,1er canonnjj servant : canonnier courageux et plein se train, ayant donné de nombreuses preuves sa bravoure et de son sang-froid. Mort bï"" ment pour la France, le 9 septembre Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAUBIGNE (Fernand-Clovis), mie OlJ^J 2e canonnier servant : ayant toujours ete vaillant servant, faisant constamment eo je de courage et de dévouement. Mort glore da ment pour la France, le 5 mars 1916. Croix guerre avec étoile de bronze. 231 DARMENDRAIL (Jean-Baptiste), mic 7gété 2e canonnier conducteur : ayant toujours t un vaillant canonnier, faisant constataient preuve de courage et de dévouement. 911, glorieusement pour la France, le 6 octobfo 1917, à Serches (Aisne). Croix de guerre avec 61" de bronze.

DUIIAU (Gabriel), mie 2610, 2e canO!lr, servant, ouvrier en bois : excellent canOIlrn- glorieuse ment tombé à son poste, de c% bat au cours d'un bombardement parobus1 gros calibre, le 22 juin 1916, devant Mouzev> (Meuse). Croix de guerre avec étoilede bro e ETCHEGARAY (Martin), mie 2696, 1er nier conducteur : excellent canonnier. MbrO lement blessé à son poste, le 24 scptejLpt 1914, au cours d'un violent bombarde rro ennemi, devant Cussy (Aisne). Croix de gllB rrd avec étoile de bronze. 1 ETCIIEGARAY (Pierre, dit Pascal), rn e 1er canonnier conducteur : excellent con n dtic, teur. Tombé glorieusement à son poste,, la 24 septembre 1914, au cours d'un VI ole Ilt DO CI.

bardement de l'ennemi à la ferme Cussy \.4015 ci Croix de guerre avec étoile de bronze.

FABRE (Louis), mie 02759, 2e canon nier vant : eanonnier courageux et canonnier ;ill.

vant : canonnier courageux et plein d'end S3 ayant donné de nombreuses preuves a bravoure et de son sang-froid. Mort rV.

pour la France, le 26 mai 19-16, des sUl, 0 d ses blessures. Croix de guerre avec etou bronze. ,\UJ.iéj, ¡-.Il".

01 FRADET (René-Abel), mie 11806, 2" caS6 nier conducteur : jeune canonnier delà 1918, plein d'ardeur et de bravoure au C, ilibal, Tombé glorieusement pour la France, 10 26 8 1918, au combat de la Somme. Croix de e liei'ÎO avec étoile de bronze.

GILLET (Claude), nt,; 6104, ean conducteur : excellent canonnier, d un e courage, plein d'entrain et de dévC!t1¡¡10Jl.

Tombé en brave, le 3 septembre 1916, a >J d" (Somme). Croix de guerre avec ù ° bronze.

20 ca.IlO¡)\

GUILLERIT (Alphonse), mie 0356, 2e nier conducteur : bon canonnier, cO a. bC Il et dévoué, qui s'est fait remarquer par 13 conduite au feu. Mort glorieusement 1 France, le 14 septembre 1914, à SoissOIl de guerre avec étoile de bronze. 312,

GRATACAP (Aimable-Adolphe), Dl e rLll1ab 6 i 2° canonnier servant : canonnier rerlarl ,aP'q < par son courage et son dévouement* rt a grièvement à son poste de coinbat- croj) suites de ses blessures, le 16 août 1,, de guerre avec étoile de bronze.

Paris, le 19 octobre 1919. TctAt1 GEORGES CLElIN *^ e §,1 ; y, 1 S ineasimil ARTICLE#f* v. ^< r\juoH- NINÂTQ tl'tW'ItT"h 'r -

!'"¡' ;;POi1 tn flti'(UI'.{ LL.i 'JV-, dU IIC' i Par décision ministérielle en dl ge vrier 1920, les officiers à T. T. de tive, dont les noms suivent, de sO.tlS;tiO sur leur demande dans le graiie 0id, cier qu'ils occupaient avant leui j-ejjir6^ cier qu'ils occupai.ent avaiii e,,rflonlitla tiop d'officier à T. T. (Toutefois, ceux teI11pol d provenant des aspirants à dl IIlarécha , sont replacés dens le grade de u aréclia 1 logis :


à .geron (Paul-Jean-Emile), sous-lieutenant T. T du 38, rég. -

iiï'A1')ai'e(le (Jean-Philippe), sous-lieutenant du 8-ie rég.

du Lnire (Jean-Louis), sous-lieutenant à T. T.

50ik'iU-enuSteenli ant à T. T. du 46e rég.

teutenant à T. T. du 46e rég.

lieieArrivet (Marie-Jean-Louis-Antoine), sous!II nant à T. T. du 14° rég.

IlDert (Pierre), sous-lieutenant à T. T. du M r e.

at nbrun (Jacques-Jules-Paul), sous-Hou teil uT- T. du 103e rég.

lieuiê\Udren de Kerdrel (Raoul-Amaury), sous?,f ant à T. T. du 218 rég.

li tergp_aud (Joseph-François-Mario), sousM aM à T. T. du lîe rég.

aIlt lltHlon (André-Jules-Paul), sous-lieuteMUT- T. du He réer.

nâni àBrocq ean-Louis-Joseph), sous-lieute<es T. du 18e n. A. (détaché au service ?es en» lrePôts généraux de l'aviation à Nanter, e )

tcnaV,^m (Ferdinand-Marie-Régis), sous-lieunarlt a T. T. du 114e rég.

tenà" pazali (Marcel-Paul-IIilarion), sous-lieum Ù T. T. du 114e rég.

Wi^amavou (Georges-Joseph), sous-lieuIlt 4 T. T. du lie rég.

W'^ollard (Lucien-Léon-Eugène), sous-lieuAt à T. T. du 43e rég.

k. eOlclrnb (Firmin-Lcon). sous-lieutenant .AI UHe rég.

,.n Ileute\ltOl (André-Constant-Charles), sous\r D 'f. 1'. du 103e rég.

,.Vt. Duk -T- dul03# r6gleutenant qq, (André-Charlcs-Alexandre), sous^tenant 1 r. T. du 14° rég.

t M. plo °

CtVaiU n~~ (Jenll-Georges-Ilenri), sous-lieuAI - du 28e rég.

Q. Foure t. , sous-lieutenant à T. T.

i.M. r *•

kitut,ut'aild-Loillat (Henri-Jean-Joseph), soustt( G n à T. T. du 23e rég. clou ff (André-Alexandre-Félix), sous-lieuk^ il1. '1'. du 118° rég.

ç r .1'. d Jean (Paul-Gabriel), sous-lieutenant I u 8ie rés' ., G 8je r e, Ii i. dge (Lucien-Jean), sous-lieutenant il If.Pût(s In .réS- (détaché au service des ent aux de l'aviation de Nanterre).

rôoles (René), sous-lieutenant à T. T. du rcg q t, C

rég. s (Charles), sous-lieutenant à T. T.

.M. T l^ierre-Antony-Georges), sous-lieuI¡ht, , r. du Sic i'éa.

le I\hl] (Josonh-Jean-Louis-Marie ) , sousqte!)nt"'d" (.Jyscph-J ran-Louis-Mario), sous•ï-du40e r6g" illlt à ilPTe (Raymond-Joseph), sous-lieuteà y Gu He rég.

T (André-Eloi-Baptiste), sous-lieute!'l, du 320 réodu i'I* (4ndré-François), sous lieutenant V-Mi reSS«m! (,Jules-Amédée-Jacques-PauI), sousqr¡, o .il T'dutW"I',!s- Hj régGl (Robert), sous-lieutenant à T. T.

L.. })II,I..

u Ju 1 i7c ?rfnW«-lieutcnant à l'^feH-Mârms-JéSw), :¥ô'rfs-lieute*Jég'o ^ytntA N ï^lot 4 <.JtH"f.J..

, q r-;f d ¡.!ta du qGe 'ré9ul du enri-Fernand) sous-lieutenant à A ctionn8o' (détaché au dépôt de maléCourb»an.)

T. ri (a i^rançois), sous-lieutenant à ti. 460 rég. , lij \év"éîn °i"Charles-Louis), sous-lieuted u 21.e réSol¡t ¡ .el' Nw.?n:J°sepli-Henri-Louis), sousdu 129» rég.

M. Vidal (Maurice-Henri), sous-lieutenant à T. T. du 230° rég.

M. Vimal du Monteil (Jean-Antoine), lieutenant à T. T. du 52° rég.

M. Zaya (Gabriel-Joseph), sous-lieutenant à T. T. du '41 e rég.

M. Portron (Eugène), sous-lieutenant à T. T.

du 44e rég. (Annulation à compter du 15 février 1920.)

Par décision ministérielle du 16 février 1920, les mutations ci-après sont prononcées (service) : Gardiens de batterie.

Les adjudants gardiens de batterie : Baudez, parc d'artillerie de place de Dunkerque, classé parc d'artillerie de place de Dunkerque, Cazals, parc d'artillerie du 131 corps d'armée, classé parc d'artillerie du 13e corps d'armée. (Cette décision annule et remplace la décision ministérielle du 30 janvier 1920 (Journal officiel du 3 février 1920) en ce qui concerne ce sous-officier).

Briand, parc d'artillerie de place de Metz, classé parc d'artillerie de place de Verdun.

Le Guillou, parc d'artillerie de place de Verdun, en partance du 23s rég. d'artillerie, classé parc d'artilerie de place de Metz.

Georget, parc d'artillerie de place de Versailles, en partance du 58e rég. d'artillerie, classé parc d'artillerie du 13e corps d'armée.

Adjudant artificier.

Ranchet, en partance du parc d'artillerie de place d'Oran, classé 114e rég. d'arlillerie lourde, pour être détaché au parc d'artillerie du 14e corps d'armée, annexe de Valence. (Cette décision annule et remplace la décision ministérielle du 29 janvier 1920 (.Toumal officiel du ; février 1920) en ce qui concerne ce sous-officier.

Par décision ministérielle du 11 février 1920, les lieutenants et sous-lieutenants à titre temporaire dont les noms suivent sont sur leur demande nommés avec leur grade ac tuel dans le cadre des officiers de complément.

Réserve.

M. Delamare-Rebouttoville (Claude), souslieutenant du 102° rég.

M. Krafl'e (jean-Ilenri), sous-lieutenant du 35e rég.

M. Molcard (Maurice-Gcorgcs-Arthur), souslieutenant du 49e rég.

M. Pinier (Marcel-Robert-Charles), sous-lieutcnant du 1528 rég.

M. Poeydomenge (Jean), lieutenant du 7" rég.

M. Roumengou (Jean-Robert), lieutenant du 159e rég.

M. Sairaison (Armand), lieutenant .du 8e rég.

Armée territoriale.

M. Abraham (Alfred), lieutenant du 58e rég.

M. Armengaud (Gaston-Victor-Antoine), lieutenant du 3U rég.

M. Bailly (Léonard-Paul-Joseph), lieutenant diu 40« rég. v .M. Iknedittini (Charles-Louis), lieutenant du T M.' Billard (Pierre-Henri), lieutenant du ier il. A. M.

M. Billerot (Louis), lieutenant du 61 rég.

M. Fages (llenri-Charles-Albert), lieutenant du 43e rég.

M. Gontliier (Victor), sous-lieutenant du 40° rég.

M. Joly (Louis-Joseph), lieutenant du 59e rég.

M. Lahondère (Pierre), lieutenant du 24e rég.

M. Le Cor (Lucien-Julien-Pierre-Marie), lieutenant du 1er R. A. M,

M. Mello (Henri-Ernest-Auguste), lieutenant du 22» reg.

M. Pacou (Alphonse-Jules), lieutenant du 151° rég.

M. Pélicier (Raymond), sous-lieutenant du 151e rég.

M. Périnet (Alfred-Valentin), sous-lieutenant du 23e rég.

M. Sautereau (Louis-Charles), sous-lieutenant du 118e rég.

M. Verdaguer (Jean-François-Isidore), lieute nant du 150e rég.

M. Vrigneaud (Jules-Henri), lieutenant du 29e rég.

Nomination dans la réserve d'un officier à T. T. sortant de polytechnique et classe dans un service civil : M. Robert (Fernand-Jean-Antoine), sous-lieutenant du 44E rég.

^1 ■■■ 1 1 - -

SERVICE DE SANTÉ Armée active.

SERGiTS-MAJORS RENGAGÉS OU COMMISSIOXXK3 DES SHCT10X3 D'INFIRMIERS MILITAIRES.

Par décision ministérielle du 10 février 1920, la mutation ci-après est prononcée dans les conditions de la circulaire ministérielle du 23 juillet 1919 (B. 0., p. 2211) : Naubron (Raoul-Eugènc-Alphonse), de la.

23e section d'infirmiers militaires, rapatrié d'Orient et actuellement à la 1511 section d'infirmiers militaires, est désigné pour la 5e sec tion d'infirmiers militaires, cadre du dépôt (service).

SERVICE DE LA JUSTICE MILITAIRE Par décision ministérielle du 13 février 1920 : M. le capitaine de Chilly, du 95s rég. d'infanterie, substitut près le conseil de guerre permanent de Bourges, a été nommé à l'emploi de rapporteur près ledit conseil en remplacement de M. le capitaine Bourne, remis sur sa demande à la disposition de son arme.

r o

Par décision ministérielle du 3 février 1920, la liste des corps de troupe du G. M. P. désignés comme corps d'affectation des hommes de troupe en service dans les missions à l'étranger a été modifiée comme il suit : 24e rég. d'infanterie (Clignancoart) au lieu de 28e rég. d'infanterie (Nouvelle-France).

4e rég. d'aviation d'observation (le l'.ourget) au lieu de 2e groupe d'aviation, groupement 4 (le Bourget).

En conséquence, par modification aux prescriptions contenues dans la décision ministérielle 233-2/il-S. M. du 3 janvier, les demandes d'envoi en mission des hommes de troupe appartenant à l'infanterie et à l'aéronautique seront dorénavant centralisées respectivement parle 2ic rég. d'infanterie et le 4° rég. d'aviation et d'observation.

———————

Rectificatif à faire à l'avis inséré au Journal officiel, n° 40, du 16 février 1920, paue JcO, relatif à l'incorporation de la classe 120.

1° Lire : les étudiants, éleves des faculté--,, élèves des écoles, candidats aux cco]s civiles et militaires le reste sans changement.

i

ERRATA AU JOURNAL OFFICIEL Artillerie.

25 novembre 1919 : page 13332, 3e colonne, la décision ministérielle du 21 novembre 1919 concernant Becue (Jean-Pierre-Marie), sous-lieutenant au centre d'artillerie d'assaut, est annulée.

Intendance.

16 janvier 1920, tableau de concours peur la Légion d'honneur : page 840, 8e colonne, au heu de : « Fayal (Paul-Vivgile-Jules), olficier d'administration de lr0 classe au 14e corps d'armée », lire : « Fayal (Pierre-Virgilc-Jules) o.


Décorations.

16 janvier 1920 : tableau de concours de la Légion d'honneur pour 1920 : page 831, 1re colonne, au lieu do : « Chevalier (Aristide-Samuel), capitoina au 125e rég. d'infanterie », lire : «lieutenant au 125e rég. d'infanterie »; 3e colonne, supprimer l'inscription au tableau de concours de la Légion d'honneur du capitaine Quéro (Léon-Pierre-Marie), du 71e rég.

d'infanterie, déjà décoré.

Page 833, lre colonne, au lieu de : « Foussard (Joseph-Eugène), capitaine au 66* rég. d'infanterie », lire : « au 32e rég. d'infanterie ».

Page 839, 2e colonne, au lieu de : « Chamailly (Léon-Edmond-Gabriel), capitaine à lachefïerie du génie de Belfort JI, lire: « Chamally, .de Remiremont ».

27 janvier 1920: page 1411, 2e colonne, supprimer l'inscription au tableau de concours de la médaille militaire de Nanti (Ange-Paul), adjudant maître d'armes au 123* rég. Z, d'infanterie et de Giliant (Eugène), adjudant chef au 154* rég. d'infanterie.

Page 1412, tableau de concours de la médaille militaire, colonne, au lieu de : « Boulat (Alphonse-Eugène), adjudant au 65e rég. d'infanterie », lire : « au 32e rég. d'infanterie ».

Page 1413, lre colonne, tableau de concours de la médaille militaire, au lieu de : Il Ducos (Henri-Joseph), adjudant-chef de casernement au 1er rég. d'infanterie », lire : « au 12e rég.

d'infanterie ».

Page 142G, 2e colonne, supprimer l'inscription au tableau de concours de la médaille militaire de Ilenrion (Jules-Henri), gendarme, déjà décoré, et de Clouteau (Bertrand), gendarme, déjà décoré.

Page 1428, ln colonne, supprimer l'inscription au tableau de concours de la médaille militaire de Pelatan (Alfred-Justin), adjudant chef au 276* rég. d'artillerie de campagne, de Debost (Pierre-Eugène), maréchal des logis artificier auiOie rég. d'artillerie lourde.

Page 1429, 2* colonne, supprimer l'inscription au tableau de concours de la médaille militaire de Collin (Maxime-Raphaël), maréchal des logis, centre d'instruction physique de Joinville.

3 février 1920, Légion d'honneur, page 1761, 2e colonne, au lieu de : « Fougaut (Pol-Célcstin-Pierre), capitaine au 94e rég. d'infanterie », lire : « Foucaut ».

(, Page 1765, lre colonne, au lieu de : « Laforge bel-Georges', médecin de 2e classe, centre spécial de SaInt-Brieuc, 20 ans de services, 9 campagnes, 1 blessure », lire : « Laforge (Albert-Auguste).place d'EpinaI»; au lieu de : « Thieraut (Marie-Charles), officier d'administration de 2e classe au 2* corps d'armée, 22 ans de services, 14 campagnes », lire : «Thiebaut.

23 ans de services, 14 campagnes » ; au lieu de : « Feuilleux (Lucien-Louis), officier d'administration de lrc classe au sous-secrétariat d'Etat à la liquidation des stocks, 27 ans de services, 7 campagnes », lire.: « Feilleux ».

BIIISTÉBE DES FHMCES

Le Président de la République française, Vu la loi du 27 septembre 1919 autorisant l'accession des commis d'enregistrement, d'hypothèques et des agents du cadre spécial de l'administration de l'enregistrement, des domaines et du timbre, aux bureaux d'enregistrement de 68 classe; Sur le rapport du ministre des finances, Décrète: Art. 1er. — Les commis employés dans les directions départementales, les bureaux de recettes, les conservations des hypothèques et les recettes conservations ainsi que les agents du cadre spécial de l'administration de l'enregistrement, des domaines et du timbre sont nommés receveurs de 6* classe, a-.- --- ---- ..- --------- ---,-""-'-'-

par le directeur général, à la suite d'un concours dont les conditions et le programme sont fixés par arrêté ministériel.

Art. 2. — Les candidats devront être âgés de trente-cinq ans au moins à la date du 1er janvier de l'année du concours. Ils devront avoir au minimum dix années de services accomplis depuis leur majorité jusqu'à la même Mate, en qualité, soit de commis d'enregistrement ou d'hypothèques, soit d'agents du cadre spécial.

La liste des candidats admis à prendre part au concours est arrêtée par le ministre des finances sur la proposition du directeur général..

Art. 3. — Les candidats reconnus aptes aux fonctions de receveur sont classés par ordre de mérite et nommés dans cet ordre au fur et à mesure des disponibilités. Toutefois, les quatre cinquièmes des vacances qui se produisent annuellement dans les bureaux de 6c classe sont réservés aux surnuméraires.

Art. 4. — Les commis et agents du cadre spécial appelés à un bureau de 6e classe sont assimilés au point de vue de l'avancement, aux receveurs recrutés par la voie du surnumérariat. Toutefois, ils ne peuvent prétendre dans l'administration de l'enregistrement, des domaines et du timbre, ni à un bureau de recette de lre ou de 2e classe ni à aucun autre emploi que celui de receveur. Art. 5. — Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 4 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des finances, F. FRANÇOIS-MARSAL.

IINISTÈRE DE LA IIARINE

Par décision ministérielle en date du 17 février 1920, M. le contre-amiral Grandclément (Marcel-Jacques) est maintenu dans ses fonctions d'attaché à la personne du Président de la République.

Par décret en date du 17 février 1920, est promu dans la 1" section du cadre de l'étatmajor général de l'armée navale ; Au grade de vice-amiral, M. le contre-amiral Didelot (Charles-François-Edouard), en remplacement de M. le viceamiral Ronarc'h, placé dans la 2* section du cadre de l'état-major général.

» + ¡ Par décret en date du 17 février 1920, sbnt nommés dans la lr* section du cadre de l'étatmajor général de l'armée navale : Au grade de contre-amiral.

M. le capitaine de vaisseau Soulez (CharlesFurcy-Abel), en remplacement de M. le contre-amiral Didelot, promu.

M. le capitaine de vaisseau de Cacqueray (Ilenri-Tirnoléon-Marie-Joseph), en remplacement de M. le contre-amiral Habert, placé dans la 2e section (réserve).

BIIHSTÈBE DE LUSTMKTtM PUBUflSE ET DES BEUUBTS

Le Président de la République françaiSe, Sur le rapport du ministre de l'instructif publique et des beaux-arts, Vu la loi du 27 février 1880 ; 1!

Vu le décret du 10 mai 1904 relatif a concours pour l'admission à l'école nonnade supérieure et Tobtention des bourses de licence; le Vu l'arrêté du 3 mars 1914 modifiant décret du 10 mai 1904; Le conseil supérieur de l'instruction P blique entendu, Décrète : Art. 1er. — L'article 1er du décret 3 mars 1914 sus visé est modifié ainsi Ij suit : Les candidats de la section des scenc: choisissent entre les deux groupes sunral1 d'épreuves écrites : Groupe 1

ire 5° Deux versions choisies par eux en a.

six textes : latin, allemand, anglais, eSP gnol, italien et arabe (durée : deux heUre, coefficient, 2).

Groupe II 60 Deux versions (épreuve commune aVe le groupe I).

Tout candidat qui, pour l'une des de atl versions prévues au 51 (groupe I) et ail 60 (groupe II), a fait choix Qit du tCxte lien, soit du texte espagnol, soit du tetre, arabe, doit obligatoirement, pour 1 aU pd choisir l'un des trois textes : latin, allerliaed ou anglais proposés. , 11" Art. 2. — Le ministre de l'instruction blique et des beaux-arts est chargé de l cution du présent décret.

Fait à Paris, le 13 février 1920.

R. POINcnS.

Par le Président de la République : Le ministre de l'instruction publique et des beaux - arts, ANDRÉ IIONNORAT.

Le Président de la République franç .tC" Sur le rapport du ministre de riDS tion publique et des beaux-arts, Vu la loi du 27 février 1880; ortat Vu le décret du 11 janvier 1909 Pdt1 di" réorganisation des études en vue du plôme de chirurgien-dentiste ; Vu le décret du 20 juillet 1912 Inodieapt Le conseil supéminf /dç ^'iastrucU Ï'~ Décrète g Art. fep. — Le paragraphe art) le du décret du 11 janvier 1909, InO fié P.

décret du 20 juillet 1912, est ma 1 6 81I)îi qu'il suit : totJt « Est a j ourné à la session suiv^r cW' Il Est ajourné à la session SUI ur c tJ candidat qui n'a pas obtenu, * cune des épreuves de l'examen de diilué or de stage, le nombre de points in après :


« Dessin. - ♦. 10 * Modelage. 10 « Prothèse. 20 « Interrogations. 10

: De l'insuffisance de la note résulte un echéc partiel à la session de juillet.

d À la session d'octobre,l'examen ne porte, ans ce dernier cas, que sur les matières Pour lesquelles le candidat a échoué. Si 0lîs les échecs partiels ne sont pas réparés en Octobre, l'étudiant recommence entièreIrlent l'année pour subir à nouveau et en entier l'examen de validation. »

t" Art. 2. Les paragraphes 6 et 7 de l'aricle 11 du décret du 11 janvier 1909 sont Odlfiés ainsi qu'il suit : 1,13 troisième examen comprend : s (. Une observation d'un malade, en Pecifiant dans tous ses détails la restauradon prothétique ou le traitement ortho- ontIque à exécuter.

« B. Une préparation de dent ou racine Polir la pose d'une couronne artificielle , COiffe ou dent à tenon avec bague).

« Une confection de bague ou pivot avec QJtlstage.

« (Il est entendu que les coiffes ne defont être établies que sur les grosses moires).

° C. une prise d'empreinte, d'occlusion d'articulation. Le candidat devra, en l,tre, é!ablir toutes les combinaisons de leyaell et ses modes de rétention ; il fera le gj,0lx des dents, leur montage et l'esSay rfe de l'appareil en cire.

rurée totale de l'examen : huit heures. »

Puht - ---:' Le ministre de l'instruction l'exé lq.! ;.f &&& fMfttix-arts est chargé de on du présent décret.

Fait à Paris, le 13 février i920.

p R. POINCARÉ.

par le président de la République : Ministre de l'instruction publique et des beaux-arts,

ANDRÉ IIONNORAT.

-——————— ————————

te Président de la République française, \1 le rapport du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, Vu les décret et arrêté du 31 mai 1902 Se" lIeco Ifs au baccalauréat de l'enseignement Sîqeqcoondd ai-re et les décrets des 17 décembre <6' 1er août 1905, 22 décembre 1908, et 1909, 12 juillet 1913 et 22 janvier 19Î7 î11°diflant les- -artieles 17 et 20 dudit y > ',..

l'illst le décret du 22 juillet 1906, modifiant 't"'et!Gn annexée-au décret du 31 mai 1902 ~Our les épreuves de langues étran- èr; Pur les épreuves de langues étranSèrès VlVantes du baccalauréat de l'enseisecon « - ^^g iv'1Imt'1:8w1 nsanoa 9.1

Le conseil supérieur de lmtii blique entendu, !

Ssk} h. , : 1:¥rQt,.

J Ur 9.J ,.,P,t h h .A~ ,~ Les articles 17 èt 20 du décret du 31 mai Î902, modifiés en dernier lieu lies qin cret du 22 janvier 1917 sont modi4rt J* ^'iUuit : Art. 17—Les candidats à la première llls.ripuvent choisir, au moment de leur iltlll,pr19n, f.¥ltrc quatre Eéries d'épreuves;: lantin-grec, atin~langues vivantes, latmLsC ^ces 'f^nces-langues vivantes.

, nces-Iangues vivantes.

1 LATIN-GREC

II LATIN-LANGUES VIVANTES Epreuves écrites t.

2°.

3° Une épreuve en langue vivante étrangère (allemand, anglais, espagnol, italien, russe ou arabe), au choix du candidat, d'après le mode déterminé par l'instruction annexée au présent décret.

Epreuves orales.

III LATIN — SCIENCES

IV SCIENCES — LANGUES VIVANTES

Ep reuves. écrites.

2° Une épreuve en langue vivante étrangère (allemand, anglais, espagnol, italien, russe ou arabe), au choix du candidat, d'après le mode déterminé par l'instruction annexée au présent décret ; v.

Epreuves orales.

Art. 20. — La valeur de chaque épreuve est exprimée par une note variant de 0 à 20.

Les coefficients suivants sont attribués aux différentes épreuves :

jre partie.

1 LATIN-GREC

II

LATIN-LANGUES VIVANTES

Composition française. 2 Version latine - 2 Version de langue vi vante. 1 Thème d'imitation 1 Explication latine. Ó 1 Explication française 1 lre épreuve de langue vivante. 1 2e épreuve de langue vivante 1 Interroge.tioit-sur l'histoire ancienne. 1 Interrogation sur l'histoire moderne. 1 nJfcn.li^ipg^iion sur la géographie. 1 ■tûlktQ^ag&tioB Bur les mathématiques. 1

1 III LATIN — SCIENCES ,

IV , SCIENCES — LANGUES VIVANTES

Composition française. 2 Version de langue vivante. 1

Tllème d imitation Composition de mathématiques et de physique.

Ëxplication française,.

Interrogation sur l'histoire.

Interrogation sur la géographie.

lre épreuve de langue vivante 21 épreuve de langue vivante Interrogation sur les mathématiques.

Interrogation sur la physique.:

Interrogation sur la chimie,.

Art. 2. — Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le i3 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre-de l'instruction publique et des beaux-arts, AIŒRÉ IIONNORAT.

ANNEXE

INSTRUCTION POUR LES lPREUVES DE LANGUES ÉTRANGÈRES VIVANTES

Epreuve écrite.

Elle consiste en une version suivies d'un thème d'imitation.

Le texte de la version de langue étrangère vivante sera choisi dans un ouvrage de prose et ne dépassera pas quinze lignes.

Le inème dit d'imitation sera conforme à la .déflnitioa de cet exercice telle qu'elle est formulée (Kins l'instruction ministérielle de 1902 relative o la réforme de l'enseignement des langues vivantes dans les lycées et collèges.

Le candidat trouvera dans le texte de la version la solution des principales difficultés da vocabulaire, de manière qu'il puisse réserver son attention à la correction et à la précision grammaticales.

Pour le thème comme pour la version, sera seul autorisé l'emploi d'un dictionnaire en langue étrangère.

Chacune des parties de l'épreuve de langue:: vivantes aura une durée d'une heure et demie.

Epreuves orales.

Sans changement.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts et du ministrë des finances, Vu l'article 55 de la loi de finances du 25 février 1901 ; Vu les décrets des 15 octobre 1906, 30 mai 1907, 18 mars et 7 juin 1909, 31 mars 1919; Vu la loi du 6 octobre 1919 portant ouverture de crédits en vue d'améliorer les traitements et salaires des fonctionnaires, agents èt ouvriers des services civils de l'Etat..

Vu l'article 9 de la. loi du 13 octobra 1919, -

Décrète: Art. 1er. — Les cadres, les traitements et les classes du personnel de la conservation des palais nationaux sont fixés ainsi qu'i suit: 1 chef du service intérieur de l'Elysée.

lreclasse., „ >.5.. ,^2.000fr.

■^•■classe;. ». —. ; H .000 3f3classef , = 10.000 ,l\:ids se ..-. ':' (q p ..: ¡ 9-000 5e classe S.000


1 surveillant chef.

ireclassc. 7.000 fr.

2e classe 6.500 3' classe 6.100 4e classe. 5.700 5e classe. 5.300 (ie classe. 4.900 7e classc. 4.500

4 brigadiers :

lre classe 6.000 fr.

2e classe 5.700 3e classe. 5.400 4* classe 5.100 5e classe. 4.800 61 classe. 4.500

7 adjudants :

déclasse. 6.00,) fr.

2" cla-;so. 5.700 3e classe. 5.400 4e classe , 5.100 5e classe 4.800 G8 classe. 4.500

53 hommes de service ou portiers :

1 r el a s se. 5.200 fr.

2e classe. 5.000 3e C1.1SSC. 4.800 4e cI as sc. 4.600 5e classe. 4.400 6a l'lasse. 4.200 7e classe. 4.000 8e classe. 3.800

96 surveillants militaires et surveillants portiers :

lrcclasse 5.200 fr.

2e classe. 5.000 3e classe. 4.800 4e classe. 4.600 5e classe. 4.400 Ge classe. 4.200 7e classe ; 4.000 8c classe. 3.800

3 ouvriers du palais de l'Elysée :

l" classe 7.000 fr.

2e classe. 6.800 3e classe. 6.500 Ile classe. 6.200 5° classe. 5.900 6e classe. 5.600 Í e classe. 5.300 8e classe 5.000

1 ouvrier du palais de Fontainebleau :

lreclasse 6.000 fr.

2c classe. 5.700 3" classe. 5.400 4e classe. 5.100 5e classe. 4.800 6,1 classe. 4.500

2 ouvrières du palais de l'Elysée :

1™ classe 4.500 fr.

2* classe 4.400 3r. classe 4.200 4e classe 4.000 59 classe 3.800

Les traitements fixés par le présent décret sont exclusifs de toute gratification. Aucune indemnité ou avantage accessoire, de quelque nature que ce soit, ne peut être attribué aux fonctionnaires et agents de la conservation de-s palais nationaux qu'en conformité d'un décret contresigné par le ministre des finances et publié au Journal officiel.

Art. 2. — A partir de la promulgation du présent décret, les agents de la conservation des palais nationaux qui, par suite de promotion de grade, seront appelés à changer de eatégorio, seront rangés dans la classe de leur nouvel emploi dont le traitement est égal ou immédiatement supérieur à celui qui leur était attribué dans leur précédent emploi.

Dispositions transitoires.

Art. 3. — Sont provisoirement maintenus dans les cadres les emplois ci-après qui seront supprimés par voie d'extinction : 1 inspecteur général 11.000 fr.

1 contrôleur des dépenses :

lre classe. 12.000 fr.

2e classe. 11.000 3e classe 10.000 4e classe. 9.000 ) om 5eclasse. 8.000 4 conservateurs. 8.000

1 commis d'ordre et de comptabilité : Princinal:

Classe exceptionnelle. lO.OOOfr.

1" classe. 9.000 2e classe 8.100 3e classe 7.200

Ordinaire:

lre classe. 6.300 fr.

2e classe 5.400 3e classe 4.500

1 expéditionnaire : Principal:

ire classe 7.000 fr.

2e classe 6.500

3e classe 6.000

Ordinaire :

lre classe 5.500fr.

2eclasse. 5.000 3e classe. 4.500 4e classe. 4.000

1 brigadier, 4 adjudants.

5 hommes de service ou portiers.

8„surYeUl;in £ s militaires' et survxUlajits portiers, Art. 4. — Dans chaque catégorie d'emplois, la répartition des agents en fonctions à la date du présent décret entre les différentes classes, prévues aux articles 1er et 3 sera faite .par un arrêté du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts.

Chaque.fonctionnaire sera versé en principe dans, la classe correspondant à celle qu'il .occupe actuellement; nul ne pourra être inscrit dans une classe supérieure à

celle .qu'il occupe s'il ne remplit les conditions exigées par les règlements en vigueur pour obtenir un avancement. En tout cas, l'agent remplissant lesdites conditions ne pourra être versé que dans la classe immédiatement supérieure. Art. 5. — Les nouveaux traitements fixés par le présent décret seront attribués à chaque fonctionnaire suivant la classe dans laquelle 11 sera VCTSC. L'attribution de ces traitements ne sera pas considérée comme un avancement et l'ancienneté des fonctionnaires dans leur nouvelle classe comptera du jour de leur dernière promotion.

Lorsque, du fait de la nouvelle réparti-

tion, deux classes devront se trouver réunies en une seule, l'ancienneté des agents dans leur nouvelle classe comptera de 1;1 date de leur nomination à la classe la moins.

élevée. Toutefois, chaque agent conservera son rang actuel de classement et, le cas échéant, son ancienneté dans la nouvelle classe déterminée comme ci-dessus, sera majorée du temps nécessaire pour lui conserver ce rang.

Art. 6. — Les améliorations de traitements résultant de l'application du présent décret auront leur effet à partir du 1er juillet 1^* Art. 7. — Sont abrogées toutes disPOSItions antérieures entant qu'elles sont con" traires au présent décret.

Art. 8. — Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts et le ministre des finances sont chargés, chacun en c qui le concerne, de l'exécution du prseIlt

décret qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois. Fait à Paris, le 13 février 1920.

1 R. rOINCAR& y Par le Président do, la République : Le minisire de l'instruction publique et des beaux-arts, ANDRÉ IIONORAT. Le ministre des fO](lllces, F. FilANÇOIS-MARSA*" 11^

Le Président de la République françafge, Sur le rapport du ministre de l'instruc" tion publique et des beaux-arts, dt1 Vu l'article 55 de la loi de finances di 25 février 1901 ; r Vu les décrets des 17 mars 1938 et 31 1919 Vu la loi du 6 octobre 1919 portant oU turc de crédits en vue d'améliorer les I1 s temcnts et salaires des fonctionn.ad agents et ouvriers des services civil5 do l'Etat; Vu l'article 9 de la loi du 18 octobre toigi Décrète :

Art. 1er. — Les cadres, les traitement*et les classes du personnel du mobilier 1131 nal sonL fixés ainsi qu'il suit : Service administratif : ,-

1 administrateur. 18.000 IL, 1 administrateur adjoint : I lj,O 1" classe l l 1 2e classe 13.

i-'<.

3e ciasse.

4e classe. H-000 2 rédacteurs : frincipaux : O(JO It.

i re olasse. î

2e classe. 9.000 3e classe

Ordinaires : 8.000 If" lre classe - QQO 2e classe 6.000 3e classe

i expéditionnaire : Principal: 7 00 lre classe 6 500 2e classe 6.000

3e elisse

(2e Supp --,¡ l


Ordinaire :

lrcclasse 5.500 fr.

2e classe 5 000 3e classe. 4.500 e classe. 4.000

1 dame sténodactylographie :

ire classe 7.000 fr.

2e classe. 6.500 3e classe. 6.000 4" classe. 5.500 5e classe. 5.000 68 classe 4.500 7e classe ; 4.000

Service des travaux : 1 chef du service des travaux :

i rr classe 10.000 fr.

2e classe. Ü. GOa 3" classe 9.000 4e classe. 8.500

3 chefs d'atelier:

lro classe 8.000 fr.

2e classe. 7.800 3" classe 7.500

4 sous-chefs d'atelier :

1" classe /.buuir.

2° classe. 7.300 3e classe. 7.000

¡ 13 ouvriers:

lr« classe 7.000 fr.

2e classe 6.800 3 classe. 6.500 4e classe 6.200 t: "OJ U.L.I UC ch 5.900 fi t C. 5.900 e el a:s se. 5.600 ¿ e classe 5.330 8 chisse. 5.330 8e classe 5.000

1 maîtresse ouvrière :

2 classe 5.000 fr.

2 classe. 4.800 \je classe. 4.500

-MI 1 première ouvrière :

lTt classe. 4.500 ""c classe 4.300 e classe. 4.000

8 ouvrières : - -

21 classe 4.200 fr.

.Q f classe 4.000 u <.L.

nt classe 3.800

GiVice intérieur et des transports : 1 chef du service intérieur et des transports :

1re el as f ^'classe 10.000 fr.

.e classe 9 000 3e <.,.

Se classe 8.000 e classe. 7.000

, 1 surveillant chef :

7.000 Ír.

pe chisse 7.000 fr.

.vc|assc G. 500 '/e , SS0 6.100 r, cJassc ; 5.703 Se elasse 5.300 cîasse 4.900 crusse 4.500

1 brigadier :

2, ,ass3 6.030 fr.

3.

fiasse. 5 400 ,, classe 5.100 -1, 4.800 6e classG 4.500 , 4 500

v** SUPPlément.)

1 gardien de bureau, 1 portier,9 hommes de service, 2 cochers, 3 magasiniers :

lre classe 5.200 fr.

2e classe. 5.000 3e classe. 4.800 4e classe. 4.600 5e classe. 4.400 6e classe. 4.200 7e classe. 4.000 8e classe. 3.800

1 garde-magasin :

lreclasse 8.000 fr.

2e classe. 7.600 3e classe. 7.200 4e classe. 6.800 5e classe. 6.400 6e classe 6.000

Les traitements fixés par le présenl décret sont exclusifs de toute gratification.

Aucune indemnité ou avantage accessoire, de quelque nature que ce soit, ne peut être attribué aux fonctionnaires et agents du mobilier national qu'en conformité d'un décret contresigné par le ministre des finances et publié au Journal officiel.

Art. 2. — Les rédacteurs et les dames sténodactylograplies ne peuvent être titularisés qu'après un stage d'une année.

Les stagiaires reçoivent pendant la durée de ce stagé une indemnité, non soumise aux retenues pour le service des pensions civiles, égale au traitement de la dernière classe de leur grade. A l'expiration de l'année, le ministre, sur l'avis conforme de l'administration, les titularise, s'il y a lieu, à la dernière classe de leur emploi. Les stagiaires non titularisés cessent immédiatement leur service.

Art. 3. — Aucun fonctionnaire ou agent de l'administration du mobilier national ne peut être promu à une classe supérieure s'il n'a au moins deux années de service dans la classe qu'il occupe.

L'année de stage accomplie par les rédacteurs et les dames sténodactylograplies comptera dans le minimum de deux ans exigé pour la promotion.

Art. 4. — A partir de la promulgation du présent décret les agents du mobilier national qui, par suite de promotion de grade, seront appelés à changer de catégorie seront rangés dans la classe de leur nouvel emploi dont le traitement est égal ou immédiatement supérieur à celui qui leur était attribué dans leur précédent emploi.

Dis.ilions transitoires.

Art. 5. — Dans chaque catégorie d'emplois, la répartition des agents en fonctions à la date du présent décret entre les différentes classes prévues à l'article i er sera faite par un arrêté du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts.

Chaque agent sera versé en principe dans la classe correspondant à celle qu'il occupe actuellement; nul ne pourra être inscrit dans une classe supérieure à celle qu'il occupe s'il ne remplit les conditions exigées par les règlements en vigueur pour obtenir un avancement. En tout cas l'agent remplissant lesdites conditions ne pourra être versé que dans la classe immédiatement supérieure.

Art. 6. — Les nouveaux traitements fixés par le présent décret seront attribués à chaque fonctionnaire suivant la classe dans

laquelle il sera versé. L'attribution de ces traitements ne sera pas considérée comme un avancement et l'ancienneté des fonctionnaires dans leur nouvelle classe comptera du jour de leur dernière promotion.

Lorsque du fait de la nouvelle répartition deux ou plusieurs classes devront ce trouver réunies en une seule, l'ancienneté des agents dans leur nouvelle classe comptera de la date de leur nomination à la classe la moins élevée. Toutefois, chaque agent conservera son rang actuel de classement et son ancienneté dans la nouvelle classe, déterminée comme ci-dessus sera, le caS échéant, majorée au temps nécessaire pour lui conserver ce rang.

Art. 7. - Les améliorations de traitements résultant de l'application du présent décret auront leur effet à partir du iC" juillet 1919.

Art. 8. -- Sont abrogées toutes dispositions antérieures en tant qu'elles sont contraires au présent décret.

Art. 9. — Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts et le ministre des finances sont chargés, chacun on ce qu le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 13 février 1920.

R. POINCARJ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, ANDRÉ IIONNORAT.

Le ministre des finances, F. FRANÇOIS-MARSAL.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'instructon publique et des beaux-arts, Vu les arrêtés des 4 mars et 11 mars 1909 et 12 février 1915; Vu la loi du 18 octobre 1919 etnotamment l'article 9, Décrète : Art. 1er. — Les indemnités spéciales ciaprès allouées par les arrêtés précités aux fonctionnaires et agents de la conservation des palais nationaux, sont maintenues : 1° La somme de 4,000 fr., inscrite annuellement au budget, chapitre des indemnités, répartie par trimestre entre les dix-huit surveillants du jardin des Tuileries en rémunération des heures supplémentaires, conséquence de l'éclairage de nuit du jardin ; 2° L'indemnité annuelle de 200 fr. accordée à chacun des quarante-six agents subalternes de la conservation du palais de l'Elysée et de l'hôtel de l'Aima pour les rémunérer des heures supplémentaires auxquelles ils sont astreints à l'occasion des dîners, réceptions et bals de la présidence de la République.

3° Les allocations annuelles à forfait de 300 fr. pour le domaine de Saint-Cloud et de 200 fr. pour celui de Rambouillet, accordées aux architectes chargés de la conservation de ces domaines en l'absence de conservateurs.

Art. 2. — Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts et le ministre des linances sont chargés, chacun en c


qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera inséré au Journal officiel.

Fait à Paris, le 13 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'instruction publique, et des beaux-arts, ANDRÉ HONNORAT.

Le minisire des finances, F. FRANÇOlS-MARSAL.

MJHISTÈRE DES TRAVAUX PUBLICS

Par décret en date du 17 février 1920, rendu sur le rapport du ministre des travaux publics, vu la déclaration du conseil de l'ordre national de la Légion d'honneur en date du lu février 1920, portant que la promotion ci-après est faite en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur : M. Noblemaire (Jules-Ernest-André), directeur de la Compagnie internationale des wagonslits et des grands express européens, a été promu au grade d'officier de la Légion d'honneur. Chevalier du 25 janvier 1912.

——————— ———————

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des travaux publics et du ministre de l'intérieur, Vu le décret du 4 septembre 1919 déterminant les conditions d'application à l'Algérie de la loi du 31 juillet 1913 sur les voies ferrées d'intérêt local ; - Vu le décret du 4 septembre 1919 relatif aux voies ferrées d'intérêt local de l'Algérie ;* Vu la loi du 30 novembre 1916, qui a autorisé l'approbation, par simple décret, des accords conclus entre les concessionnaires voies ferrées d'intérêt local et l'autorité concédante, pour la modification des contrats dé concession pendant la durée de la guerre et une période consécutive d'un an au maximum ; Vu le décret du 22 décembre 1917 qui a rendu exécutoire, en Algérie, fa loi susvisée du 30 novembre.191G; Vu la loi du 22 octobre 1919, qui a prorogé les effets de la loi du 30 novembre 1916 jusqu'au 31 décembre de la sixième année suivant celle de la cessation des hos- tités ; Vu la loi du 23 octobre 1919 constatant la cessation.,des hostilités; Vu les propositions présentées par le gouverneur général de l'Algérie, pour rendre les dispositions de. la loi susvisôê du 22 octobre 1919 applicables aux - voies ferrées d'intérêt local de l'Algérie ; Vu l'article 25 de la loi du 24 avril 1833 et l'article 4 de l'ordonnance du 2? juillet.

1834, ; ; :

Décrète: Art. 1er. — La validité des accords conclus entre les concessionnaires de voies ferrées d'intérêt local et l'autorité concédante par application du décret du 22 décembre 1917, qui a rendu exécutoire en Algérie la loi du 30 novembre 1916, pourra ,êtrq prorogée, par simple convention entre les parties jusqu'au 31 décembre. 1.925. Les conventions devront être notifiées au goueriicur général de ^l'Algérie, -et par les

soins de celui-ci au ministre des travaux publics.

Art. 2. — Les concédants et les concessionnaires conserveront jusqu'au 31 décembre 1925' la faculté de conclure des accords nouveaux suivant les formes pré-' vues par le décret du 22 décembre 1917 et la loi du 30 noveriibré 1916, pourvu que la validité de ces accords expire au' plus tard le 31 décembre 1925. Art. 3. — Les accords intervenus postérieurement à la date du présent décret pourront être mis en application provisoire sur homologation du préfet.

L'homologation préfectorale devra être notifiée dans le. délai de huit jours au gouverneur général, qui transmettra la notification au ministre des travaux, publics.

Art. 4. — Le. ministre des travaux publics et le ministre de l'intérieur sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Joumal officiel et inséré au Bullelin des lois ainsi qu'au Bullelin officiel du gouvernement général de l'Algérie.

Fait à Paris, le 13 février 1920.

R. POIXCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des travaux publics, YVES LE TROCQUER.

Le ministre de l'intérieur, » T. STEEG.

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Le Président de la République française; Sur le rapport du ministre des travaux publics,

Vu, avec les actes y annexés, le décret du 1er avril 1898, qui a déclaré d'utilité publique rétablissement, dans la ville de Bourges, d'un réseau de tramways destiné au transport des voyageurs, facultativement des bagages et colis pour voyageurs ; Vu la loi du 31 juillet 1913 sur les voies ferrées d'intérêt local, modifiée par celle du 22 avril 1916; Vu le règlement d'administration publique du 11 novembre 1917, et notamment l'article 3, aux termes duquel un décret rendu en conseil d'Etat, les compagnies entendues, déterminera celles des voies ferrées d'intérêt local, concédées comme tramways par application de la loi du 11 juin 1880, auxquelles le régime des tramways urbains sera applicable ; Vu les observations présentées par les compagnies conce-ssionnaireve voies ferrées d'intérêt local, dans le département du Cher, en réponse aux propositions faites par l'administration pour l'application dudit krticle, et notamment la lettre de la compagnie des tramways' de Bourges en date du 12 septembre 1918 ; Vu les rapports du service du contrôle en date des 13 septembre 1913 et 10 avril 1919 ;..,. Vu les propositions du préfet du Cher en date du 1<3 septembre 1918 ; Le conseil d'Etat entendu, Décrète: Art. 1er. — En exécution de l'article 3 susvisé. du décret, du 11 novembre 1917, est .déclaré applicable aux voies ferrées d'intérêt local ci-tip?ès émimérées du dé1 part^ment du Cliée le régirhe institué par ce décret, pour les tramways urbains :

Lignes du réseau des. tramways de Bourges.

Art. 2. — Le ministre des travaux publics est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel et.inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 12 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des travaux publics, YVES LE TROCQUER.

, rn,m

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des travaux publics, Vu, avec les actes y annexés,le décret du 2 décembre 1878, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement du tramway de Béziers à la plage de Sérignan, destiné au transport des voyageurs et des marchandises ; Vu, avec les actes y annexés, le décret du 6 mars 1900, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement d'un réseau de tramways dans la ville de Béziers, destiné au transport des voyageurs et facultativement, des bagages et colis pour voyageurs ; Vu le décret du 21 mai 1917, qui a déclassé deux sections de lignes du réseau susmentionné ; Vu, avec les actes y annexés, le décret du 28 décembre 1899, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement d'un réseau de tramways, destiné au transport des voyageurs dans la ville de Cette ; Vu, avec l'avenant y annexé, le décret du 10 février 1904, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement d'un prolongement de la ligne n° 3 de ce réseau ; Vu, avec les actes yafltlexés; le décret du 12 mars 1897, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement d'un réseau de tramways, destiné au transport des voyageurs dans les communes de Montpellier et de Castelnau-le Lez ; Vu, avec la convention. y annexée, le décret du 3 novembre 1902, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement de nouvelles lignes complétant le réseau de tramways de Montpellier;

- Vu la loi du 31 juillet 1913 sur les voies ferrées d'intérêt local, modifiée par celle du 22 avril 1916; Vu l'article 3 du règlement d'administration publique, du 11 novembre 1917, aU termes duquel un décret, rendu en conseil d'Etat, les compagnies entendues, déterU11 nera celles des voies ferrées d'intérêt loça* concédées comme, tramways, par Rpplica- tion de la loi du 11 juin 1880, auxquelles.

régime de tramways urbains sera appl1 cable ; Vu les observations présentées par le5 compagnies concessionnaires dQ voies fer; rées d'intérêt local dans le * département dq l'Hérault en réponse aux propositions f ailes par l'administration pour l'application du dl!

article, et notamment la lettre en date 1':' 24 juillet 1918, de la compagnie- des tral1 Ways de 1)'éziers e. t extension,. la le, itr~ e n date du 10 juillet 1918, de la.compagnie tramways de Cette, la lettre, en date. dil 30 juillet ipi8, de la compagnie des tra ways qleçtrique^ Montpellier ; : Vu les rapports dn service du contf0^


date des 1" août 1918 et 9 avril 1919, d'où il résulte que le service des marchandises n'est pas organisé sur la ligne de Béziers à la mer, et des 9 avril et 10 juin 1919 ; Vu les lettres du préfet de l'Hérault en date des 5 août 1918 et 13 juin 1919; Vu la délibération du conseil général de l'Hérault en date du 30 avril 1919 ; Vu la délibération du conseil municipal de Montpellier en date du 19 mai 1919 ; Vu la délibération du conssil municipal de Béziers en date du 16 mai 1919 ; Vu la délibération du conseil municipal de Cette en date du 16 mai 1919 ; Vu le tableau général des voies ferrées d'intérêt local déclarées d'utilité publique dans le département de l'Hérault, dressé par le service du contrôle ; Le conseil d'Etat entendu, - Décrète : Art. ler.- En exécution de l'article 3 susvisé du décret du 11 novembre 1917, est déclaré applicable aux voies ferrées d'intérêt local ci-après énumérées du département de l'Hérault, le régime institué par ce décret pour les tramways urbains : 1* Lignes du réseau des tramways de Béziers; Lignes du réseau des tramways de Cette ; 341 Lignes du réseau des tramways de Montpellier.

Toutefois ledit régime n'est applicable à ligne de Béziers à la mer, du réseau des traniways de Béziers, qu'aussi longtemps ae le service de transport des marchandises prévu par le cahier des charges ne sera pas organisé.

Art. 2. — Le ministre des travaux publics est chargé de l'exécution du présent décret, qUI sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois 1 Fait à Paris, le 12 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des travaux publics, YVES LE TROCQUER.

-.——————

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des travaux Polies,

Vu le décret du 26 avril 1900, qui a déjaré d'utilité publique l'établissement Une ligne de tramway entre la gare et le Palais de justice de Rodez; ensemble la CnOnvention et le cahier des charges y annexés - et le cahier des charges y anVu ie décret du 17-mars 1902, qui a ap* ouvé la substitution de la société anoyiïie des tramways électriques de Rodez u rétrocessionnaire primitif ; TU le décret du 24 mars 1906, qui a apUVé un avenant modifiant les articles 23 et jp du cahier des charges; tl ¡u le décret du 18 juillet 1911, qui a délacé d'utilité publique une modification du acé.

8 avec les actes y annexés, le décret du qu Ul et 1912, qui a déclaré d'utilité publiqUe le Prolongement, jusqu'au marché cou, vert du tramway susvisé ; * , U le décret du 9 septembre 1916, qui a un avenant modifiant les articles et 23 du cahier des charges ;

Vu, avec les actes y annexés les décrets des 18 mai 1918 et 10 octobre 1919 qui ont approuvé l'allocation d'indemnités au personnel et des relèvements des tarifs pour ce tramway ; Vu la délibération du conseil municipal de Rodez en date du 3 janvier 1920 ; Vu le rapport du service du contrôle du 16 janvier 1920 ; Vu la lettre du préfet de l'Aveyron du 20 janvier 1920 ; Vu l'avenant passé, le 5 janvier 1920, entre la ville de Rodez et la société anonyme des tramways électriques de Rodez en vue d'un nouveau relèvement temporaire des tarifs voyageurs et marchandises sur les lignes de la dite société ; Vu l'avis du conseil général des ponts et chaussées en date du 4 février 1920; Vu la loi du 31 juillet 1913 relative aux voies ferrées d'intérêt local, modifiée par celle du 22 avril 1916; Vu la loi du 30 novembre 1916, relative à l'approbation des accords intervenus entre les concessionnaires de voies ferrées d'intérêt local et l'autorité concédante, à l'effet de modifier les contrats de concession pendant la durée de la guerre et une période consécutive d'une année au maximum; Vu la loi du 22 octobre 1919, qui a prorogé les effets de cette loi jusqu'au 31 décembre de la sixième année suivant celle de la cessation des hostilités ; Vu la loi du 23 octobre 1919 fixant au 24 octobre 1919 la date de la constatation de la cessation des hostilités,

Décrète : N Art. 1er. — Est approuvé l'avenant intervenu le 5 janvier 1920 entre le maire de Rodez, au nom de la ville et la société anonyme des tramways électriques de Rodez en vue d'un nouveau relèvement temporaire des tarifs voyageurs et marchandises sur les lignes de ladite société.

Cet avenant restera annexé au présent décret.

Art. 2. — Le ministre des travaux publics est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 12 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des travaux publics, YVES LE TROQUER.

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AVENANT AUX CONVENTIONS ET CAHIER DES CHARGES ANNEXÉS AUX DÉCRETS DU 26 AVRIL 1900, AVENANTS DU 21 FÉVRIER 1906, 16 NOVEMBRE 1907, CONVENTION DU 26 JUILLET 1910, AVENANTS DES 26 JUILLET 1910 BT 4" FÉVRIER 1911, DÉCRET DU 8 JUILLET 1912, AVENANTS DU 6 JUILLET 1915, AVENANT DU 24 FÉVRIER 1918 ET DÉCRET DU 18 MAI 1918, AVENANT DU 1er SEPTEMBRE 1919 ET DÉCRET DU 10 OCTOBRE 1919.

Entre M. Louis Lacombe, président à la cour d'appel, chevalier de la Légion d'honneur, maire de la ville de Rodez, agissant en cette qualité et en conformité de la délibération du conseil municipal en date du 4 janvier 1920, D'une part ; Et M. Charles Jacquiot, chevalier de la Légion d'honneur, président du conseil d administration de la société anonyme des tramways électriques de Rodez, agissant en cette qualité en vertu de la délibération du conseil d'administration en date du 4 janvier 1920, D'autre part, ?

Il a été exposé ce qui suit : En raison de l'augmentation générale des prix de toutes choses, l'exploitation des tramways accuse pour l'année 1919 un déficit important qui retombera pour la plus grande partie à la charge de la ville de Rodriz par application des accords antérieurs entre la ville et la société. Le déficit serait accru en 1920 par une nouvelle augmentation de salaires accordés au personnel.

En vue d'équilibrer les recettes et les charges de l'exploitation, la société demande un relèvement du prix de transport des voyageurs, des bagages et des marchandises.

Le conseil municipal de Rodez ayant reconnu le bien-fondé de cette demande, il a été, entre les parties contractantes, arrêté et convenu ce qui suit : Art. 1er. — Les tarifs seront fixés ainsi qu'il suit, pour une période qui, conformément à la lpi du 22 octobre 1919, ne pourra dépasser la date du 31 décembre 1923 :

Par voyageur: 1* De la gare au marché couvert et vice versa 1 fr. (impôt compris).

2° De la gare au faubourg Saint-Cyrice et vice versa, 70 centimes (impôt compris), 3° Du carrefour de la Croix-Grande au marché couvert et vies versa, 50 centimes (impôt compris).

4° Enfants de trois ans à sept ans, quel que soit le parcours, 50 centimes (impôt compris).

5° Chiens (sur les plates-formes seulement), 50 centimes (impôt compris).

Bagages.

Par colis pesant moins de 100 kilogr. sous un volume n'excédant pas un mètre cube, quel que soit le parcours, 1 fr. 50 (impôt compris).

Marchandises.

Par colis postal (ordinaire), de 0 à 10 kilogr., 30 centimes.

Marchandises de grande vitesse, la tonne, 15 fr.

Perception minimum, 1 fr.

Marchandises de petite vitesse, la tonne 10 fr.

Perception minimum, 1 fr.

Ce prix est réduit à 8 fr. pour les marchandises en sacs par expéditions d'au moins 5,000 kilogr.

Art. 2. — Par application de la loi du 22 octobre 1919, les modifications de tarifs prévues à l'article 1er ci-dessus seront, dès l'homologation du préscat avenant par le préfet, portées à la connaissance du public par voies d'affiches et mises en application provisoire après cinq jours d'affichage.

L'homologation préfectorale devra être notifiée au ministre des travaux publics, dans le délai de huit jours, en vue de l'approbation de' l'avenant par un décret.

Art. 3. — Les frais d'enregistrement du présent avenant seront supportés par la société anonyme des tramways électriques de Rodez.

Fait en double exemplaire, à Rodez, le 5 janvier 1920.

le maire de Rodex, Signé : LACOMBE.

Le président du conseil d'administration de la société.des tratnwëys de Rodex, Signé: jACQUiOX.

Circulaire ministérielle relative aux importations de charbons anglais en France.

Paris, le 16 février 4920.

Il résulte de l'enquête qui vient d'être faite en Angleterre, que la hausse anormale qui s'est produite sur les derniers achats da charbons anglais est due en partie à la concurrence que se font nos acheteurs sur les quantités limitées qui peuvent nous être li vrées.

Cette concurrence se produit en même temps sur les affrètements, et provoque parallèlement une hausse artificielle des frets qui se superpose à celle du charbon.

Il importe de remédier d'urgence à cette situation et à la répercussion grave qu'elle peut avoir sur notre change, en limitant noc


achats et nos affrètements aux livraisons qui pourront réellement nous être faites.

A cet effet, il a été décidé que les marchés passés en Angleterre pour livraisons sur 1920, feront l'objet de la part des services de charbons des deux pays, d'un examen contradictoire à la suite duquel il sera décidé dans quelle mesure ces marchés pourront être exécutés, et s'il y a lieu, complétés.

Pour permettre de poursuivre le plus rapidement possible cet examen contradictoire, tous les intéressés sont invités à faire parvenir avant le 23 février, au bureau national des charbons à Paris, le relevé des marchés passés par eux sur tout ou partie de 1920 en fournissant, sous réserve de justifications qui pourraient leur être demandées ultérieurement, les indications suivantes : Date de, passation des marchés et leur durée.

Nom des mines et des exportateurs qui doivpnt livrer.

Quantités traitées sur 1920.

Quantités déjà livrées.

Quantités dont la livraison n'a pu être assurée par suite de déroutement par le gouvernement anglais.

Les contrats pour lesquels les renseignements ci-dessus n'auront pas été fournis à la date indiquée, et ainsi ne pourront pas être compris dans la communication qui sera faite à cette da4e au service compétent d'Angleterre (Coal Controller) pourront subir des retards importants dans leur exécution.

YVES LE TROCQUER.

MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE

Le Président de la République française, Vu le décret du 19 juillet 1919 relatif à l'organisation du service' de l'inspection générale des associations agricoles et des institutions de crédit; , Vu la loi du 6 octobre 1919 relative à l'amélioration des traitements et salaires des fonctionnaires, agents et ouvriers des services civils de l'Etat; Si4r le rapport du ministre de l'agriculture et du ministre des finances, Décrète : Art. 1er — L'article 7 du décret du 19 juillet 1919 est modifié comme suit : Art. 7. — Les traitements du personnel du service de l'inspection générale des associations agricoles et des institutions de crédit sont ainsi fixés :

Inspecteur général de lre classe. 18.000 fr.

Inspecteur général de 2e classe. 16.000 Inspecteur général de 3e classe.. 14.000 Inspecteur général adjoint 13.000 Inspecteur de lre classe 11.500 Inspecteur de 2e classe. 10.000

Art. 2. — Aucune indemnité ou avantage accessoire, de quelque nature que ce soit, ne pourra être attribué aux fonctionnaires de l'inspection générale des associations agricoles et des institutions de crédit qu'en conformité d'un décret contresigné par le ministre des finances et publié au Journal officiel.

Dispositions transitoires.

Art. 3. — Les nouveaux traitements fixés par le présent décret seront attribués à chaque fonctionnaire suivant la classe à laquelle il appartient. L'attribution de ces nouveaux traitements ne sera pas considérée comme un avancement et l'ancienneté des fonctionnaires dans leur nouveau traitement comptera du jour de leur derniere promotion.

Art. 4. — Les améliorations de traitement résultant de l'application du présent décret auront leur effet à partir du 1er juillet 1919.

Art. 5. — Sont abrogées toutes dispositions antérieures en tant qu'elles sont contraire au présent décret.

Art. 6. — Le ministre de l'agriculture et le ministre des finances sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 9 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République Le ministre de l'agriculture, J.-H. RICARD.

Le ministre des finances, F. FRANÇOIS-MARSAL.

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Par arrêté en date du 11 février 1920 : Sont admis à faire valoir leurs droits à la retraite par application de la loi du 9 juin 1853 sur les pensions civiles et de la loi dji 25 juin 1914.sur les pensions des agents et preposés du service actif des douanes et de l'administration des eaux et forêts : M. Darreau (Auguste-Désiré), brigadier sédentaire des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle), attaché aux bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts à Sononches (ureet-Loir).

M. Carle (Siméon-Joël), garde domanial des eaux et forêts de lrc classe (nouvelle échelle), au poste non logé de Cassagnas (Lozère), triage n° 14 du cantonnement de Florac.

Dane l'intérêt du service, MM. Darreau et Carle devront cesser leurs fonctions dès la notification du présent arrêté.

M. Salmon (Jules-Alexandre-Constant), brigadier sédentaire des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle), attaché aux bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts à Bourges (Cher), est appelé, avec son grade et sa classe, dans les bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts à Senonches (Eure-et-Loir), en remplacement de M. Darreau, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

M. Cristofini (Simon-François), brigadier sédentaire des eaux et forêts de 4e classe (nouvelle échelle), attaché aux bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts à Châteauroux (Indre), est appelé, avec son grade et sa classe, dans les bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts à Bourges (Cher), en remplacement dq M. Salmon, qui reçoit une autre destinationt

M. Russeil (Lucien), ex-soldat au 49e régiment d'artillerie, demeurant au Fouilloux, par la Mothe-Saint-Heraye (Deux-Sèvres), est nommé garde sédentaire des eaux et forêts et attaché, en cette qualité, aux bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts à Châteauroux (Indre), en remplacement de M. Cristolini, qui reçoit une autre destination (exécution de la loi du 17 avril 1916 sur les mutilés de la guerre).

M. Soulé (Maurice-Pierre-Guillaume), ex-soldat au 7e régiment d'infanterie coloniale, demeurant à Aspin (Hautes-Pyrénées), est nommé garde sédentaire des eaux et forêts (,a' attaché, en cette qualité, aux bureaux du conservateur des eaux et forêts à Chambéry (Savoie), en remplacement de M. Bernard, qui a reçu une autre destination (exécution de la loi du 17 avril 1916 sur les mutilés de la guerre).

M. Auvin (Léopold-Armand), ex-soldat au 90e régiment d'infanterie, demeurant à Maire-Levescault (Deux-Sèvres), est nommé garde sédentaire des eaux et forêts et attaché, en cette qualité, aux bureaux de l'inspecteur des eaux et forêts chàrgé du service de la reconstitution forestière à Nancy (Meurthe-et-Moselle), poste créé (exécution de la loi du 17 avril 1916 sur les mutilés de la guerre).

MM. Russeil, Soulé et Auvin, jouiront de leur traitement à dater du 1er du mois de leur installation.

M. Paolini (Léandre-Pierre), brigadier sédentaire des eaux et forêts de 5" classe (nouvelle

échelle), en Algérie, est réintégré dans les cadres de la métropole et nommé adjudant de surveillance de 4e classe à l'école nationale des eaux et forêts à Nancy (Meurthe-et-Moselle), en remplacement de M. Valentin, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

M., Capion (Fernand-Paul), garde domanial des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle), à la maison forestière de Fraissinet-de-Fourques, commune de ce nom (Lozère), triage no 20 du cantonnement de Meyrueis, est mis en disponibilité sur sa demande.

Est acceptée, à compter du 1er janvier 1920, la démission de M. Jay, garde auxiliaire des eaux et forêts, à Salvizinet (Loire).

BiilSTÈBE DES COLONIES

RAPPORT AU PRÉSIDENT DB LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISII

Paris, le 10 février 19S0.

Monsieur le Président, Le décret du 16 avril 1913, réorganisant le service judiciaire de l'Afrique équatoriale française, a décidé que les fonctions de greffier près la cour d'appel seront remplies par le greffier du tribunal de première instance du siège de la cour d'appel, ou par un commis greffier assermenté. Bien que le greffier du tribunal ait toutes les attributions d'un greffier de cour d'al peI, il n'en a cependant ni le titre ni les avantages. Cette situation, unique' aux colonies, est de nature à causer un préjudice à ce fonctionnaire, qui ne peut prendra rang dans le cadre supérieur des greffiers.

C'est pour y remédier, que, d'accord avec M. le garde des sceaux, j'ai préparé le décret ci-joint qui modifie les dispositions susvisées du décret du 16 avril 1913.

Si vous en approuvez la teneur, je vous serai reconnaissant de vouloir bien le revêtir de votre signature.

Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de mon profond respect.

Le ministre des colonies, - A. SARRAUT.

Le Président de la République française, tt Vu l'article 18 du sénatus consulte du 3 mai 1854; Vu le décret du 1er décembre 1858; Vu le décret du 16 avril 1913, portant réorganisation du service de la justice en Afrique équatorlale française; Sur le rapport du ministre de»» colonies et du garde des sceaux, ministre de la justice, Décrète : Art. 1er. — La cour d'appel de l'Afrique équatoriale française se compose d'un président, de deux conseillers et d'un greffier erbchef, assiste d'un ou de plusieurs commis greffiers.

Art. 2. — L'emploi de greffier du tribunal de lre instance de Brazzaville est supprimé.

Les fonctions de greffier de ce tribunal sont remplies par le greffier en chef de la cour d'appel.

La solde et la parité d'office du greffier le chef de la cour sont les mêmes que celies attribuées au greffier du tribunal de Brazzaville par le décret du 16 avril 1913. Art. 3. Le ministre des colonies et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'execution du présent décret, qui sera insère au Journal o/ficiet de la République française, a Bulletin des lois et au Bulletin officiel du ni nistère des colonies.

Fait à Paris, le 10 février 1920.

R. PtflNSARÉ* Par le Président de la République : Le ministre des colonies,

A. SARRAUT.. Le garde des sceaux, ministre de la juft LHOPITEAU.


RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

Paris, le 4 février 1920.

Monsieur le Président, L'exécution du budget annexe du territoire de Kouang-Tchéou-Wan, exercice 1919, a nécessité diverses modifications que le gouverneur général de l'Indo-Chine a rendues provisoirement exécutoires par un arrêté en date du 19 octobre 1919, pris en commission permanente du conseil du gouvernement, conformément aux dispositions de l'article 5 du décret du 20 octobre 1911.

Ces modifications comportent le prélèvement d'un crédit de 4,500 piastres sur le chapitre XlII du budget présentant des disponibilités certaines et acquises à ce jour, pour faire face à des dépenses supplémentaires résultant d'améliorations apportées à la situation du personnel indigène, de secours accordés à des veuves et orphelins ou à des sinistrés et de dépenses diverses qui ne pouvaient être prévues lors de l'élaboration du budget de 1919.

Je n'ai aucune observation à présenter au sujet de la mesure prise par le chef de la colonie.

En conséquence, j'ai l'honneur de soumettre à votre haute sanction le projet de décret cijoint, portant approbation de l'arrêté susvisé.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'hommage de mon profond respect.

Le ministre des colonies, A. SARRAUT.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des colonies, Vu les décrets du 20 octobre 1911 portant fixation des pouvoirs du gouverneur général et Organisation administrative et financière de 1 Il O- iiine » g'VU le décret du 30 décembre 1912 sur le réID/e financier des colonies; b 't.U le décret du 27 mai 1919 portant approbv ation du budget général de l'Indo-Chine et des budgets annexes pour l'exercice 1919, Décrète, : Art. 1er. — Est approuvé l'arrêté du gouverneur général de l'indo-Chine, en date du 19 octobre 1919, autorisant un virement de crédits S elevant au total de 4,500 piastres, entre différents chapitres du budget annexe du territoire ae Kouang-Tchéou-Wan, exercice 1919.

d Art. 2. — Le ministre des colonies est chargé e l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 4 février 1920.

R. POINCARj.

Par le Président de la République : Le ministre des colonies, A. SARRAUT.

—— ■

Le Président de la République française, 2r^u. les articles 39 et suivants du décret du 2 illin 1879 concernant l'organisation du notanat à la Réunion ; SUI' la proposition du ministre des colonies, Décrète : d/rt. lr: - M. Béraud (René), principal clerc de noalre, est nommé notaire à la résidence de S remplacement de Nla ilite-Suzaniie Réunion ) , en remplacement Avi Vally (Edgard), décédé.

de.A[.t.. - Le ministre des colonies est chargé de î' exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 1er février 1920.

P R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : c Ministre des colonies, .A. SARRAUT.

■ ■■ ^1» le Président de la République française, tl le décret du 1er décembre 1858 ; déc U le décret du 10 février 1920 modifiant le ret du 16 avril 1913 portant réorgamsatioa

du service de la justice en Afrique équatoriale française ; Sur la proposition du ministre des colonies et du garde des sceaux, ministre de la justice, Décrète: Art. 1er. — M. Béteille, greffier du tribunal, de première instance de Brazzaville (emploi supprimé), est nommé greffier en chef de la cour d'appel de l'Afrique équatoriale française (emploi créé).

Art. 2. — Le ministre des colonies et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 février 1920.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République Le ministre des colonies, A. SARRAUT.

Le garde des sceaux, ministre de la justice, LHOPITEAU.

————— —————

Le Président de la République française, Vu le décret du 1er décembre 1853 Sur la proposition du ministre des colonies et du garde des sceaux, ministre de la justice, Décrète : Art. fr La démission de son emploi offerte par M. Doan-Vinh-Thuan, juge suppléant au tribunal de première instance de Ganthô (IndoChine), est acceptée.

Art. 2. — Le ministre des colonies et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui lé concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 février 192).

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des colonies, A. SARRAUT.

Le garde des sceaux, ministre de la justice, LHOPITEAU.

Le Président de la République française, Vu le décret du 1er décembre 1858$ Sur la proposition du ministre des colonies et du garde des sceaux, ministre de la justice, Décrète : Art. Itr. - M. Genser, juge suppléant au tribunal de première instance de Tamatave (Madagascar), est admis, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'accident grave, par application de l'article 11, paragraphe 2 de la loi du 9 juin 1853, pour compter du 21 juin 1919Art. 2. — Le ministre des colonies et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 février 1920.

1 R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des colonies.

A. SARRAUT.

Ld garde des sceaux, ministre de la justice, LHOPITEAU.

'■

Le Président de la République française, Vu le décret du 1er décembre 1858 ; Vu le décret du 2 mars 1910 sur la solde et les accessoires du personnel colonial ; Sur la proposition du ministre. des colonies et du garde des sceaux; ministre de la justice, Décrète : Art. 1er. — M. de Chelle, procureur do la République à Saint-Pierre (Réunion), nommé substitut du procureur général de l'Afrique équatoriale française et non installé, place sur sa demande, et par application de l'article Si du décret du 2 mars 1910, dans la position de

do disponibilité à partir du 17 avril 1918, est maintenu, sur sa demande, dans la même position, pour une nouvelle période de six mois a compter du 17 octobre 1919.

Art. 2. — Le ministre des colonies et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont charges, chacun en ce qui le concerne, de l'exécu..

tion du présent décret.

Fait à Paris, le 10 février 1920.

R. POINCARH.

Par le Président de le République : Le ministre des colonies, A. SARRAUT.

Le garde des sceaux, m'inistre de la justice * LHOPITBAU.

i i

Le Président de la République française, Vu le décret du 1er décembre 1858; Sur la proposition du ministre des colonies et du garde des sceaux, ministre de la justice, Décrête : Art. 1er. — Sont nommés : Juge suppléant au "tribunal de première instance de Mytho (Indo-Chine), en remplacement de M. Danès, dont la démission a été acceptée, M. Dessirier (Pierre-Jean-Joseph), licencié en droit, avocat.

Juge suppléant au tribunal de première instance de Vinh-Long (Indo-Chine), en remplacement de M. Duquesnay, dont la démission a été acceptée, M. Ferrandi (Paul-Joseph) licencié en droit, avocat.

Juge suppléant à la justice de paix à compétence étendue de 'mh(Indo-Clune), en remplacement de M. Eychenne, précédemment nommé lieutenant de juge au tribunal de première instance de Tourane,..l\1. Nguyen-Than-Khiet, docteur en droit, avocat. W Art. 2. — Le ministre des colonies et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 février 1920.

R. rOINçARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des colonies, A. SARRAUT.Le garde des sceaux, ministre de la justi,ce,.

LHOPITEAU.

—<3* 1 *

Le ministre des colonies, Arrête : La démission de son emploi d'attaché au par..

quet du procureur général de Madagascar, offerte par M. Virassamy, est acceptée pour compter du 6 février 1920.

Fait à Paris, le 17 février 1920.

A. SARRAUT..

111 ———————

Par arrêté du ministre des colonies en date du 17 février 1920, M. Niel, juge de paix à compétence étendue à Tourane, mis à la disposition du gouvernement siamois à partir du 13 mars 19 )9, pour remplir les fonctions d' conseiller à la cour d'appel de Bangkok, a été; maintenu dans cette position et place a nouveau en service détaché, dans les conditions de 1 article 33 de la loi du 30 décembre 1913, a compter du 13 mars 1919 et pour une durée de cinq ans.

Par arrêté du ministre dès colonies en date du 17 février 1920, M. Guérin (Constant-CharlesEugène), juge président du tribunal de première-instance de Conakry, a été mis à la disposition du commissaire do la République française au Cameroun, pour exercer les fonctions de juge de paix à compétence étendue à Duala, et placé en service détaché dans les conditions de l'article 33 de la loi du 30 décembre 1913 sur les pensions, à compter de la veille du jour de son embarquement pour le Cameroun.

»-i ■■ m.


tBïaiSTÊSE DU TRAVAIL

Circulaire interministéirelle relative à la délivrance des cartes el'invalidité aux mutilés et reformés de la guerre en vus de l'attribution a ces anciens militaires du quart de place sur - les grands réseaux de chemins de fer d'intérêt général.

Paris, le 15 février 1920.

Le ministre des travaux publics, le ministre du travail, le ministre des pensions, à MM. les préfets et à MM. les maires, L'article 2 de la loi autorisant le relèvement temporaire des tarifs sur les grands réseaux de chemins de fer d'intérêt général dispose que les mutilés et réformés de la guerre ayant au moins 50 p. 100 d'inralidité, pourront, sur présentation de leur carte d'invalidité, obtenir le transport à quart de place sur tous ces réseaux en 2e et 31 classes.

11 décide, en outre, que cette mesure sera également étendue à la personne accompagnant un mutilé de guerre dont l'invalidité est de HO p. 100.

Les cartes d'invalidité, attribuées sous le timbre de l'office national des mutilés et réformés de la guerre, seront réclamées et délivrées dans les condttions ci-après : Demandes des intéressés. — Tout mutilé ou réformé de la guerre dont l'invalidité atteint ou dépasse 50 p. 10) pourra faire la demande de sa carte à la mairie de sa commune.

Il justifiera de sa qualité soit par la production de son titre de pension militaire de la guerre liquidée sous le régime de la loi de 1831, ce titre établissant par lui-même que l'invalidité atteint au moins 60 p. 100; Soit par la production d'un titre de gratification portant l'énonciation du taux d'invalidité: Soit, à défaut de l'un ou de l'autre de ces documents, par la production d'un certificat qui lui sera adressé en franchise, et gratuitement sur sa demande, par le médecin-chef du centre spécial de réforme qui a instruit sa pension. - ,- - .1.---- _n'" -_.!_--.l.--- -- 3_- 3-

J';n meine temps qun présentera saueinanae à la mairie avec les justifications ci-dessus, l'intéressé fournira sa photographie, d'une dimension de trois centimètres sur quatre. Cette photographie est destinée à être apposée sur la carto d'invalidité, conformément aux' règles habituelles en matière de cartes de circulation.

Rôle dit maire. — Le maire -se fera présenter par l'intéressé : Soit le titre de pension militaire de la guerre liquidée sous le régime de la loi de 1831 (et qui porte textuellement ce libellé), titre qui n'a pu Ctre délivré que si l'intéressé a une invalidité d'au moins 60 p. 109 ; Soit le titre de gratification, qui indique expressément le taux d'invalidité. Il vérifiera alors que ce taux est bien égal eu supérieur à 50 p. 100; Soit un certificat du médecin-chef du centre do réforme qui a instruit la pension et qui attestera que l'invalidité est bien égale ou supérieure à 50 p. 100.

Après avoir fait ces constatations, le jnaire* adressera au préfet une demande-certificat ainsi couçue : « Monsieur le préfet,

« J'ai l'honaeur de vous prier de vouloir bien délivrer une carte d'invalidité au nommé (nom et prénoms) né à i la .,', de" meurant à rue , n* exerçant la profession ri réformé de guerre, dont l'invalidité est égale ou supérieure à 50 p. 100.

a Il résulte d. (citer ici le document : titre de pension, titre de gratification, certificat du médecin-chef du centre spécial de'.

réforme) que l'invalidité de ce réformé atteints ou dépasse 50 p. 100.

« Je certifie l'exactitude de ces faits et j'ajoute que le nommé (nom et ,rénoms}. m'a dûment déclaré qu'il était réformé de guerre.

« Le 19*

« Le maire, « (cachet et signature) ».

NOTA. — si l'invalidité atteint 100 p. 100, ou I: S'ans. qu:elle atteigne 100 p. 100, l'ineres.se béné-ficié de la majoration prévue par

l'article 10 de la loi du 31 mars 1919 comme étant obligé de recourir d'une manière constante aux soins d'une tierce personne, le maire ajoutera à la demande : « Je certifie en outre que le nommé (nom et et prénoms). m'a affirmé être incapable de se conduire ou d'accomplir les actes essentiels de la vie, et que, n'étant pas hospitalisé, il est obligé de recourir d'une manière constante aux soins d'une tierce personne (art. 10 de la loi du 31 mars 1919). Il résulte des renseignements recueillis par mon administration que ce fait est exact. »

Envoi de la demande. — Le maire adressera la demande revêtue du cachet de la mairie au préfet en y joignant la photographie de l'intéressé, d'une dimension de trois centimètres sur quatre, ainsi qu'il a été dit.

Rôle du préfet. — L'office national des mutilés et réformés de la guerre fait parvenir aux préfets, auxquels la loi du 2 janvier 1918 et le décret du 26 février 1918 ont attribué le rôle de présidents des comités départementaux des mutilés et réformés de la guerre. les cartes d'invalidité que lesdits préfets n'auront plus qu'à faire remplir.

Sur la production du certificat du maire, le préfet remplira donc la carte, la datera et la signera après avoir vérifié qu'il résulte bien dudit certificat que l'invalidité atteint ou dépasse 50 p. 100.

11 fera coller la photographie sur la carte dans la case supérieure gauche et apposera le cachet du comité départemental des mutilés et réformés de la guerre, ou, si ce cachet n'existe pas, le cachet de la préfecture. Il veillera à ce que l'empreinte du cachet porte à la fois sur la photographie et sur la carte, sans toutefois dissimuler la partie essentielle de la photographie.

Il donnera à chaque carte un numéro d'ordre et il tiendra, avec ces mêmes numéros, sur un registre destiné au comité départemental, un état nominatif des cartes délivrées.

MM. les préfets voudront bien remarquer que deux sortes de cartes leur sont adressées : 1° Des cartes avec une seule barre rouge destinées aux mutilés et aux réformés de guerre qui n'ont pas besoin de l'assistance d'une tierce personne; 2° Des cartes avec deux barres rouges en croix. Elles sont elles-mêmes de deux catégories : les Unes destinées aux réformés de guerre ayant 100 p. 100 d'invalidité; les autres destinées à ceux qui, tout en n'atteignant pas ce taux, mais ayant plus de 50 p. 100 d'invalidité, ont besoin de l'assistance permanente d'une tierce personne (art. 10 de la loi du 31 mars 1919). Les réseaux ont bien voulu admettre que ces mutilés bénéficieraient, pour la personne qui les accompagne, de la même mesure que ceux qui ont 100 p. 100 d'invalidité.

MM. les préfets ne manqueront pas, dans l'état qu'ils tiendront, de prendre note dè la catégorie à laquelle appartient chaque carte délivrée.

Les cartes, étant ainsi remplies et enregistrées, seront envoyées d'urgence aux maires pour être remises aux intéressés.

Usage des cartes. - Sur la présentation de ; sa carte d'invalidité (de 50 p. 100 ou plus). le i titulaire aura le droit d'obtenir, dans toutes les gares des grands réseaux de chemins de fer d'intérêt général, la délivrance d'un billet à quaft de place en 2e ou en 3e classe.

Le titulaire d'une carte munie de la doublebarre rouge obtiendra la même réduction pour la personne l'accompanant. 11 leur sera alors délivré un billet collectif, Quiconque, en trompant le maire, se ferait délivrer une carte à laquelle il n'a pas droit : Quiconque tenterait de se servir d'une carte ae lui appartenant pas ; Quiconque prêterait sa carte à une tiercepersonne Í

Engagerait sa responsabilité pénale pour infraction aux lois et ordonnances sur la police des chemins de fer.

En cas de perte de la carte, il pourra en être délivré un duplicata dans les mêmes Cormes' que ci-dessus.

Le préfet, lors de la délivrance du duplicata, avisera le ministre des travaux publics (direction des chemins de fer.) Facilités pour l'établissement des cartes. Il est très important que la délivrance des cartes soit. faite avec la plus grande rapidité pour que les mutilés n'attendent pas.

Les préfets pourront faire appel au concours

du personnel du comité départemental pour seconder leurs propres services. Dane les départements où il serait nécessaire d'engager à titre temporaire quelques employés auxiliaires, les préfets pourront solliciter de l'office national des mutilés et réformés de la guerre (6, avenue Constant-Coquelin, à Paris, 7e arrondissement) un petit crédit pour les rémunérer de cette dépense. ,

A titre de renseignement, il est indique qu'une fois la demande arrivée à la préfecture, la délivrance ne devra jamais exiger plus d'une semaine.

Le ministre des pensions, MAGINOT.

Le ministre des travaux publics, YVES LE TROCQUER Le ministre du travail, JOURDAIN.

- —-

MINISTÈRE DE L'HYGIÈNE DE L'ASSISTANCE ET DE LA PRÉVOYANCE SOCIALES Par arrêtés du ministre de l'hygiène, de l'assistance et de la prévoyance sociales en date du 11 février 1920, les sociétés de secours mutuels ci-après désignées ont été admises lt faire donner à leurs adhérents, moyennant remboursement par l'Etat. les soins auxquels ils ont droit en vertu de l'article 6i de la 1M du 31 mars 1919: AUDE

Saint-Roch, no 33, à la Redorte.

Sainte-Cécile, no 73, à Caunes.

La Bienfaisance. no 123, à Villalbe.

L'Union fraternelle, n° 140, à Homps.

Saint-Pierre, n, 186, à Tourouzelle.

Saint-Sébastien, n° 264, à Carnpagnc-sur Aude.

AVEYRON Société de secours mutuels de3 mégissiers et chamoiseurs, nG 5, à Millau. -

CÔTES-DU-NORD Société de secours mutuels des ouvriers de Langueux, no 46.

HÉRAULT La Fraternité nizacooise, no 138, à Nizas.

ILLE-ET-VILAINE

Société de secours mutuels des sapeurs-POnl- piers, n° 24, à Saint-Servan.

Société de secours mutuels des relieurs et papetiers, no 42, à Rennes.

1.0 Hm Société de secours des mines de Firminy * Firminy.

LOIRET Société de secours mutuels de Châtillon-Co11" gny, n, 101.

Société de secours mutuels de la manura® ture et de'la ville de Briare, no 44, à Briare.

MARNE (HAUTE-)

Société de secours mutuels des sapeurs-potIl.

piers, no 7, àLangres. bCAssociation fraternelle des employés du chiemin de fer de Foulain-Nogent, na 71, à Nogei en-Bassigny.

PAS-DE-CALAIS A Société de secours des mines de Len" LenS.

PYRÉrïKES (BASSES-) Notre-Dame, no 116, à Morlanne.

PUY-DE-DÔME Société des ouvriers et employés des ln de la Combelle, à la Combelle. , rs et Société de secours mutuels des ouvriers et Société de secours mutuels des 1je employés de la société anonyme des ru* bitume et asphaltes du centre, à pont-d châ" teau.


SEINK-BT-OISE

Société de secours mutuels de Sarcelles no 29.

Société de secours mutuels de Saulx-lesChartreux, no 3t.

Société de secours mutuels de Bougival, no 155.

Société de secours mutuels d'Igny, no 158.

Union des mutilés et réformés militaires du canton de Poissy, no 532, à Poissy.

Société amicale et de secours mutuels des j. ardiniers de Yalmondois-Butry, no 361, à Valmondois.

VIENNE (HAUTE-) Mutualité de l'enseignement, no 54, à Limoges.

Pensions civiles.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ci-après est approuvée : Orpheline ELOY (Christiane-Marie). Le père directeur d'école (instruction publique). —

oUissanc.e du 10 décembre 1914 au 2 juillet 1930. :. 531 fr., Prescription interrompue, Tutrice : Mlle Marie Lecavelle.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ci-après est approuvée : v Orphelins AVISSE : Maurice-Henri: 2° Juen-Albert. 3° Fernand-Henri. Le père préposé ins classe des douanes. Jouissance du 20 PIlli" 1914 au 3 août 19211. 500 fr.

TresCription interrompue.

utcur: M. Avisse (Marcellin).

po'Pal décret du 12 janvier 1920, sur le rapDort du ministre des finances, la pension ci*ilp e ci-après est approuvée : LeLANDOUSIE (Lucie-Marie), veuve LE FÈVRE.

JouJ;11al'i instituteur (instruction publique). —

Jrmi- SsanC0 du 31 décembre 1915. 401 fr.

description interrompue.

l'ar décret du 12 janvier 1920, sur le rapport d !ninistre des finances; la pension civile cies est approuvée : bl"<;h''pelin MANSE (Jean-Baptiste). Le père er de 3" classe (forêts). Jouissance u 29 janvier 1915 au icrnovemb. 1917. 440 fr.

S'^ancipé.

rescription interrompue.

p Ir décret du 12 janvier 1920, sur le rapport siona lltre des finances, les trente-sept pensionj civiles ci-après sont approuvées : m~~EROO (Jeanne), veuve DELFAUD. Le SÍlnshtuteur (instruction publique). Jouisnt. du 6 août 1919. 533 fr.

(plémence-Augustine), veuve LÉNIN.

1 instituteur (instruction publique).

<ince du 5 septembre 1919. 765 fr.

mVaif ^EfREAU (Clotilde), veuve ARBAUD. Le saiw'^ututeur (instruction publique).- Jouissance du 25 septembre 1919. 528 fr.

J.p. BqU;RDES (Julie-Aurélie), veuve NICOLAS.

l1 lnstituteur (instruction publique).

1-Q du 14 octobre i9i9. 462 fr.

l. ?t',.^ari6-IIélôtïé}, veuve FONTANELLA.

"instituteur (instruction publique).

PlI nce du 20 novembre 1919.,. 329 fr.

l\oDIVE (Marie-Alphonsine), veuve MAUbli Alli) Le mari instituteur (instruction putl '- Jouissance du 1er novembre hAoB.OMBREOET (Marie-Céline), veuve GI qu.e) Le mari instituteur (instruction publique). - Jouiss. du 16 septembre 1919.. 403 iv.

CÉNAC (Marie), veuve DUPONT. Le mari instituteur (instruction publique). — Jouissance du6décembre 1919. 417 fr.

GUAY (Marie-Désirée), veuve LESAGE. Le mari instituteur (instruction publique). —

Jouissance du 23 août 1919. 349 fr.

MORLOT (Anne-Augustine), veuve DUSSAUX.

Le mari instituteur (instruction publique). —

Jouissance du6 juillet 1919 490 fr.

LÉONNARD (Anne-IIenriette), veuve LESEINPERE. Le mari instituteur (instruction publique). — Jouissance du 28 mars 1919,.. 305 fr.

FENOUILLAS (Sicarie-Jeanne), veuve CHAVEROUX. Le mari instituteur (instruction publique). — Jouiss. du 3 octobre 1919. 409 fr.

HUET (Alix-Albertine-Marie), veuve GRANDGUILLOT. Le mari instituteur (instruction publique). — Jouissance du 14 juillet 1919. 409 fr.

MOULIN (Marie-Hortense), veuve VINARD. Le mari professeur de classe primaire (instruction publique). — Jouissance du 2 novembre 19t9. 484 fr.

DELSART (Marie), veuve AUCIIER. Le mari professeur de lycée (instruction publique). —

Jouissance du 12 octobre 1919. 1,142 fr.

LESTERUN (Julic-Anna-Marie), veuve LOLIER.

Le mari professeur de classe élémentaire de lycée (instruction publique). — Jouissance du 11 octobre 1919 683 fr.

DELAUNAY (Claire-Pauline-Marie-Françoise); veuve PENJON. Le mari professeur de faculté (instruction publique). - Jouissance du 23 août 1919 2,000 fr.

CHARROY (Marguerite), veuve DELFOUR. Le mari proviseur (instruction publique). - Jouissance du 21 octobre 1919. 1,515 fr.

ROUILLÉ (Marie-Louise-Françoise), veuve PIQUEAU. Le mari facteur (postes). — Jouissance du 18 avril 1919. 2*3 fr.

DUBILLOT (Rosalie), veuve DEJOIS. Le mari facteur (postes). — Jouissance du 15 juin 1919. ; ; ., 205 fr.

MIOLANE (Anne), veuve DESROCHES. Le mari facteur des télégraphes (postes). — Jouissance du 29 octobre 1919 421 fr.

SEGUIN (MarierLaurentine-Mélanie), veuve GARNIER. Le mari receveur des postes. Jouissance du 24 octobre 1919. 850 fr.

TISSOT (Amélie-Joséphine-Madeleine), veuve RIVIÈRE. Le mari rédacteur des postes. —

Jouissance du 18 septembre 1919. 655 fr.

DELCOUR (Jeanne-Marie-Georgette), veuve GAND. Le mari commis principal des postes.

- Jouissance du 31 août 1919. 1,062 fr.

BROSSe: (Anastasie-Marie-Annette), veuve GOURMELON. Le mari percepteur (finances). —

Jouissance du 30 octobre 1919. 26-2 fr.

ASTIER (Antoinette), veuve COIRIER. Le mari percepteur (finances). — Jouissance du 29 octobre 1919 533 fr.

COUD ART (Marie), veuve FRANÇOIS. Le mari s'ous-agent technique principal de 3e classe (guerre). — Jouiss. du 8 octobre 1919. 363 fr.

JAUSSERAND (Marie-Amélie), veuve DE GIRY. Le mari commis des contributions indirectes. — Jouissance du 13 septembre 1919 424 fr.

SOYER (Elisa-Justine), veuue COLLIN. Le mari commis principal des contributions indirectes. — Jouiss. du 8 octobre 1919. 762 fr.

BOUTARD (Amélie-Julia), veuve MOYENCOURT. Le mari préposé des contributions indirectes. — Jouiss. du 16, juin 1919. 265 fr.

ESCOFFIER ( Marie - Claire - Emma ), veuve BOURSE. Le mari commis principal des contributions indirectes. — Jouissance du 14 novembre 1919 697 fr.

RADDE (Marie-Anne-Philippine), veuve NICOLAS. Le mari commis principal des contributions indirectes. — Jouissance du 8 février 1919 412 fr' DARROUZAIN (Françoise), veuve RODRIGUES. Le mari sous-ingénieur des ponts et chaussées (travaux publics). - Jouissance du 1 £ octobre 1919. H.!' 846 fr.

CLOCHARD (Gaudénse-Lucie), veuve CLOCHARD. Le mari conducteur principal des poftts et chaussées (travaux publics). — Jouissance du 2 novembre 119. 627 lf.

PACCALLIER (Sophie-Françoise), veuve POISSON. Le mari assistent au museum d'histoire naturelle (instruction publique). — Jouissance du 28 novembre 1919. 1,777 fr.

JEANNEAU Méhala), veuve VILLARD. Le mari secrétaire de la direction de l'école : na* tionale des arts et métiers d'Angers (instruction publique). — Jouiss. du 25 mai 1919. 351 fr.

ROGER (Maria - Octavie), veuve VONDERSCHER. Le mari gardien chef de prison (justice). — Jouissance du 15 juillet 1919. 286 fr.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, les six pensions?

civiles ci-après, sont approuvées : AFFAGARD (Clementme-Modestine), veuvo PRIEUR. Le mari sous-brigadier des douanes.

— Jouissance du 10 octobre 119. 460 fr, MONNIÉ (Hortense-Eugénie), veuve GOUIIENANT. Le mari préposé des douanes. — Jouissance du 1er novembre 1919. 440 Ir.

VOBLERIUS (Marie Françoise), veuve MATHIEU. Le mari préposé des douanes. — Jouissance du 16 août 1919. 440 fr.

VOTION (Marie-Félicité), veuve FRANÇOIS.

Le mari préposé des douanes. — Jouissance du 28 novembre 1919. 400 fr.

ORARD (Hèlène-Eulalie), veuve ALLEMAND.

Le mari brigadier hors classe (forêts). — Jouisgance du 21 octobre 1919. 500 fr.

CIIASTAN (Joséphine-Adhèle), veuve BLANC.

Le mari brigadier hors classe (forêts). — Jouissance du 29 octobre 1919. 480 Ir.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès est approuvée : Enregistrement.

NICOLAS (Jules-Adolphe); receveur. Services militaires, 1 an; services civils, 37 ans 9 mois, 1 jour. — Jouissance du 28 août 1914. 2,583 fr.

Prescription interrompue.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès est approuvée : Instruction publique, LABARRE (Marie-Joséphine), veuve GALLOY.

Le mari instituteur; 32 ans 9 mois 29 jours. Jouissance du 19 août 1914 463 fr.

Prescription interrompue.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rap..

port du ministre des finances, les deux pensions civiles ci-après sont approuvées : Enregistrement.

LAFORGUE, ( Marie - Louis- Joseph-nertrand) receveur; 40" ans 8 mois 18 jours de services.

- Jouissance du 3 octobre 1915. 4,000 Ir.

Prescription interrompue.

LAGNEAUX (Irénée-Jules), receveur ; 42 ans 8 mois 21 jours de services. — Jouissance du 5 octobre 1915 1,774 ir.

Prescription interrompue.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès est approuvée : Enregistrement.

POCARD DU œmm A IffiRflFfLKR ÇJesêphine-Marie-Vincente), t'euve PHILIPPE DitKÉRARMEL. Le mari receveur ; 41 ans 1 mois 26 jours de services. — Jouissance du 27 février 1915. 1,384 ir.

Prescription interrompt-

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civila ci-après est approuvée ;


Enregistrement. PIN (Albert-Juhan-Emile), receveur ; 41 ans

5 mois de services. — Jouissance du lor juillet 1916 4,000 fr.

Prescription interrompue.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, les quatre pensions civiles ci-après sont approuvées : Instruction publique.

nORMY (Marguerite-Marie-Emélie), veuve LÉVÊQUE. Le mari instituteur; 27 ans 2 mois 4 jours de services. — Jouissance du 3 janvier 1916. 378 fr.

Prescription interrompue.

LECAILLE (Louise-Silvie-Antonic), veuve DELIGNY. Le mari chef de travaux de faculté; 25 ans 8 mois 1 jour de services. — Jouissance Ou 2 juillet EHG. 408 fr.

Prescription interrompue.

BABLED (Cabrielle-Loiiise-Félicie), veuve WARNET. Le mari professeur adjoint de lycée; 32 ans ll mois 1 jour de services. — Jouissance du 21 décembre 1916. 637 fr.

Prescription interrompue.

Postes et télégraphes.

FONTAINE (Marie-Eugénie-Zélie), veuve VITASSE. Le mari facteur rural. Services militaires, 4 ans 7 mois 21 jours : services civils, 28 ans 6 mois 1 jour. — Jouissance du 2 mai i91C. 287 fr.

Prescription interrompue.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, les soixanteseize pensions civiles ci-après, sont approuvées : Finances (comptable direct).

PARENTY (Auguste-Jacques-Ismaël-Hippolyte), percepteur. Services militaires, 4 ans 5 mois 23 jours ; services civils, 42 ans 2 mois laJoiLirs. — Jouiss. du 1er juillet 1919. 6,000 fr.

Finances (enregistrement).

tANEL-DUPLAN (François-Julien), directeur; .4 ans 8 mois 21 jours de services. — Jouismce du 22 septembre Ht!!). , 5,718 fr.

Finances (douanes).

LENGLCT XP.ésiré), inspecteur principal. Ser- vices militaires, 1 an : services civils, 42 ans 9 mois. — Jouiss. du 1er août 1919. 4,000 fr.

Dépôts et consignations.

EHRSAM (Henri), chef de bureau. Services militaires, 9 mois 23 jours ; services civils, 34 ans 5 mois 23 jours. — Jouissance du 1er novembre lU19. 4;000 fr.

Justice (fonctionnaire.) BUSSY (Alexandre-Léon), procureur de la République. Services militaires, 4 ans 7 mois 14 jours ; services civils, 28 ans 6 mois 14 jours.

—- Jouissance du 30 janvier 1919. 3,859 fr.

Affaires étrangères.

ALTEMER (Emile-Henri), consul de lre classe.

Services militaires, 1 an ; services civils, 49 ans 5 mois 18 jours. — Jouissance du 13 févMr 1919.:.,.4,O()O fr.

Intérieur.

DURAND (Numa-Emile-César), directeur de l'établissement thermal d'Aix-les-Bains. Services militaires, 1 an ; services civils, 35 ans 9 mois 14 jours. — Jouissance du 1er juillet 191'.). 4,500 fr.

Intérieur (ÇnmiVe-Jftan-Baptiste), commissair SPI'(',lnl de police ; 32 ans 2 mois 22 jours de services. - Jouis, du 21 avril 1919. 4,000 fr.

VIARD (Adelman), commissaire de police.

Services militaires, 1 an ; services civils, 2i ans 6 mois 24 jours. — Jouissance du 10 juillet 1919 1,224 fr.

MARILLET (Louis), receveur, agent comptable d'établissement thermal ; 48 ans 1 mois de services. - Jouiss. du 1er juin 1919. 2,666 fr.

LE BRIS-DUREST (Charles-Camille-Marie), commissaire spécial de police. Services militaires, 10 mois ; services civils, 23 ans 1 mois 10 jours. — Jouiss. du 11 juin 1919.. 3,200 fr.

TIIAVERNON (Camille), commissaire spécial de police. Services militaires, 15 ans 1 mois 13 jours ; services civils, 18 ans 11 mois 12 jours — Jouissance du 16 juin 1919. 1,463fr.

POUJOULA (Jean-Baptiste-Léopold-Abel), sousinspecteur de l'assistance publique. Services militaires, 5 ans ; services civils, 31 ans 7 mois.

Jouissance du 1er août 1019. 2,466 fr.

IVERLET (Charlet-Octave-Alfred), commissaire spécial de police. Services militaires, 5 ans ; services civils, 31 ans 2 mois 2 jours. — Jouissance du 16 juin 1919. 3,200 fr.

GEORGES (François-Louis), commis d'ordre et de comptabilité. Services militaires, 17 ans 29 jours ; services civils, 23 ans 1 mois 2 jours.

— Jouissance du 15 janvier 1919. 1,799 fr.

DUCIIAMP (Charles), commis d'ordre et de comptabilité. Services militaires, 2 ans 7 mois 27 jours; services civils, 36 ans 6 mois 14 jours.

— Jouissance du 15 janvier 1919. 3,133 fr.

MAFFEY (François-Constant), dessinateur principal. Services militaires, 10 mois 13 jours; services civils, 33 ans 6 mois 14 jours. — Jouissance du 15 janvier 1919., 2,746 fr.

MIGEON (Jean-Baptiste-Joseph), rédacteur principal. Services militaires, 16 ans 1 mois y jours ; services civils, 21 ans 1 mois 21 jours.

Jouissance du 15 janvier 1919. 2,050 fr.

COLIN (Alphonse-Désiré), préposé. Services militaires, 4 ans 6 mois ; services civils, 33 ans 1 mois 21 jours. — Jouissance du 1er juillet 1919. 1,759 fr.

DUPONT (Adrien-Paul-Emile), inspecteur général adjoint des services administratifs.

Services militaires, 4 ans 7 mois 19 jours ; services civils, 31 ans 10 mois. — Jouissance du 1er mai 1919. 2,323 fr.

KERNEVÈS (Auguste-François), garda du service sanitaire maritime. Services militaires, 26 ans ; services civils. 19 ans 9 mois. —

Jouissance du 1er avril 1919. 433 fr.

Guerre.

DESBLEDS (Eugène), concierge du palais du gouverneur militaire. Services militaires, 27 ans 1 mois 18 jours ; services civils, 13 ans 6 mois 25 jours. — Jouissance du 1er août 1919. 135 fr.

Marine.

LECLERCQ (Félicien-Joseph), huissier au ministère de la marine. Services militaires, 1 an ; services civils, 33 ans 7 mois 13 jours. —

Jouissance du 1er septembre 1919. 1,498 fr.

Instruction publique (Enseignement primaire).

BIGOT (Félix-Aristide), instituteur; 33 ans 10 mois de services. — Jouissance du 1er avril 1919. 1,679 fr.

CAFFET ( Ilenri-Eugène-Edmond), instituteur; 36 ans 3 mois 18 jours de services. —

— Jouissance du I" mai 1919. 1,684 fr.

CLOUET (Ernest-Armand-Jules), instituteur ; 39 ans 7 mois 29 jours de services. — Jouissance du 1er mai 1919. 1,699 fr.

DAUPHIN (Jacques-Louis-Charles), directeur d'école ; 39 ans 5 mois 11 jours de services. —

Jouissance du 1er mai 1919. 2,260 fr.

LIONNET ( Albert-Fernand ), instituteur; 37 ans 3 mois 11 jours de services. - Jouissance du jer mai 1919. 1,699 fr.

Instruction publique (Enseignement primaire).

LIVERNETTE (Louis-Marie-Albans), instituteur; 39 ans 8 mois 19 jours de services. Jouissance du ler-rfiài igig, 1,699 fr.

NOBLAT (Camille-Arsène-Achille),instit uteur; 38 ans 6 mois 5 jours de services.— Jouissance du llr niai 1919 1,684 fr.

QUILLIARD (Gustaye-Ilenri-Caston) directeur d'école : 35 ans 2 mois 6 jours de services.

- Jouissance du 1er octobre 1916. 1,690 fr.

Prescription interrompue.

ANDRIEUX (Félicie-Aglaé), veuve DACIIELET, institutrice : 35 ans 7 mois 2 jours de services.

— Jouissance du 1er avril 1919. 1,605 fr.

BACIIEROT (Marie-Célinie-Zélia), institutrice: 39 ans 2 mois 26 jours de services.—Jouissance du 1er a\Til19i9. 1,622 fr.

MOREAU (Marie-Anne-Genneviève), veuve CHÉREAU, institutrice: 39 ans 7 mois 17 jours de services. - Jouiss. du 1er mai 1919. 1,512 fr.

LAFORCADE (Marie-Louise), femme GORSSE, institutrice; 25 ans 4-mois de services. - jouissance du 1er avril 1919. 1,066 frCOIIEN-SOLAL (Fortunée), veuve GUGEIJEIM, institutrice ; 38 ans 3 mois 7 jours de services. — Jouiss. du 1er mai 1919. 2,010 fr.

DECAUX (Prospérine), femme IIENNEGUY, directrice d'école; 32 ans 11 mois 5 jours de services. — Jouiss. du 1" avril 1919. 1,721 fr.

PEIIRAIX (Marie-Gabrielle-Anne-Clémentine,)p directrice d'école; 33 ans 21 jours de services.

— Jouissance du 1er octobre 1918..,. 1,811 fr.

Instruction publique (enseignement primaire).

TIIÈLU (Lucien), directeur d'école primaire supérieure; 28 ans 6 mois de services. — Jouissance du 1er avril 1919. 2,766 frLE BALLE (Léopold-Jean),, inspecteur d'académie : 46 ans de services. — Jouissance du 1" octobre 1919. 6,000 frANCEY (Joseph-Alphonse), inspecteur primaire; 42 ans 6 mois de services. — Jouissance du 1er mai1919.,.,..,. 3,735 frDREUE-WATTIN (Charles-Cyrille-Alfred), instituteur ; 37 ans 7 mois de services. — Jouissance du 1er mai 1919. 1,634 fr.

Instruction publique.

ALDEBERT (Pierre-Emile), instituteur. Services militaires, 10 mois 12 jours; services civils, 27 ans 4 mois 29 jours. — Jouissance du 1er mai 1019.,.,. 1,274 frLE LÉARD (Yves-Marie), instituteur; 35 ans 10 mois 1:3 jours de services, - Jouissance du 1er mai 1919 1,584 fr.

ROQUES (Jacques-Henri), instituteur.-ServicCS militaires, 2 ans 11 mois 19jours; services civils, 25 ans 3 mois 10 jours* — Jouissance du 1er octobre 1918.,.,. 1,158 frGONCET (Adèle-Berthe), institutrice. 40 flS 4 mois de services. — Jouissance du 1er février 1919 1,612 frClïARBONNEL(Marie-Arméline-Aimée), vcuV® MOUTON, institutrice; 37 ans 2 mois 21 jOl r de services. — Jouissance du 1er février 1919 1,612 fr* REY (Alfred), professeur de faculté ; 39 afl 3 mois 15 jours de services. — Jouissance du 16 juillet 1919 6,000 «• Instruction publique (fonctionnaires).

MARCEL (Ilenri-Camille), directeur des o; sées nationaux et de l'école du Louvre; 40 a 9 mois 4 jours de services. — Jouissance fr.

10r octobre 1919. 6,000 fr.

PERRA UL T-D ABOT (Ana lole-Denis- Fra!lOlt inspecteur général adjoint des antiquités objets d'art; 33 ans 6 mois de services. - 010 fr, sance du 1er juillet 1919

BOUSSINESQ (Valentin-Joseph), professeur faculté; 57 ans 20 jours de services. "r'Qfr.

sance du 1er novembre 1919 6'COLOMBIER (Aimé-Félix), professeur de c j„ Iège ; 38 ans 7 mois 15 jours de services.--J fr, sance du jer avril 1919. 31309 d GUILLOUARD (Louis-Vincent), professeur de faculté; 49 ans 4 mois 29 jours de services' Jouissance du tir novembre 1919

Commerce. t ç CANARD (Jean), vérificateur des P°ld^oH mesures; Services militaires, 15 an 8 27 jours; services civils. 23 ans 5 mois ô l71 tf, Jouisance du 10 octobre 1919. 1


COlonies.

COUGOUL (Arthur-Henri), procureur général; dans 4 mois 1 jour de services. —Jouissance 27 octobre 1919. 6,000 fr.

Agriculture.

, MAHON (Eugène), palefrenier maréchal des haras. Services militaires, 3 ans 5 mois 9 jours; services civils, 28 ans 11 mois 9 jours. — Jouissance du 16 juillet 1919. 1,000 fr.

Travaux publics.

H PIALOUX (Pierre), commissaire du contrôle e l'Etat-sur les chemins de fer ; 45 ans o mois 6 jours de services. — Jouissance du ler juillet 1919 2,833 fr.

d RICHARD (Jules-Adrien), ingénieur ordinaire des ponts et chaussées ; 52 ans 8 mois 17 jours ue services.— Joùiss.du 1er juin 1919. 3,657 fr.

r BESEUX (Michel-Marie), garde de navigasIon: Services militaires, 4 ans 7 mois 23 jours; services civils, 31 ans 11 mois 15 jours. —

Jouissance du 1er avril119. 977 fr.

Pestes et télégraphes.

BELICO (Jean-Baptiste), facteur des télégraphes. Services militaires, 3 ans 7 mois ; services civils 29 ans 1 mois 5 jours. — Jouissance du 1er oelobre 1919 1,322 fr.

BODIN (Gabrielle -Eléonore -Louise-Alphonsine-Marie), veuve PAUMfER, receveuse; 30 ans 1 nlois 16 jours de services. — Pension du 10r août 1919 1,091 fr.

RHÉpiLLET (Henri-Léon), commis. Services Salaires, 4 ans 7 mois; services civils, 32 ans r0is 9 jours. — Jouissance du 30 juin s 19 o 2,416 fr.

4 ~iB (Marie-Jeanne), receveuse; 33 ans 30 n- 26 jours de services. — Jouissance du 1919 1, 313 f r.

COCIJ (Marie-Julienne-Célina), veuve LECU'^rpa receveuse ; 30 ans 8 mois 15 jours de lces. — Jouiss. du 25 juin 1919. 1,107 fr.

veÎÎHGLOU (Marie-Louise), veuve FUSIL, receIV euse; 32 ans 2 mois 21 jours. - Jouisance du al 19t9 1,193 fr.

3 fn^Marie), dame employée; 30ans3mois 19iurs de services. - Jouissance du 1er août , 1,311 fr.

2 ET (Désiré), facteur local; 30 ans 19iq de services. — Jouissance du 7 juin 19 Il 868 fr.

rntttON (Claudel), commis principal. Services aires, 3 ans 11 mois 23 jours; services civi, S'. 30 ans 5 mois 27 jours. Jouissance du vrll1919. 3,132 Cr.

Se.URS (Charles-Henri), facteur des postes.

ServlUCRes s militaires, 4 ans 7 mois 14 jours ; ser"'e" civils 30 ans 4 mois 15 jours.—Jouissance P JUIllet 1919. 1,367 fr.

lI¡\ItIRD (Berthe-Clémence-Charlotte), veuve JOUrs' dame employée ; 30 ans 6 mois 25 'IUPS de services. Jouissance du 3 mars Pf:":', 1,379 fr.

3c ItInE (Isidore-llenry-Elysée), receveuse ; tglatls de services. Jouissance du 1" juillet 'r' : : : : : : : 3,162 fr.

(Marié-Rosine), veuve DREVET, rcceïou'ih' °0ans 6 mois 17 jours de services.

jouuissance du 18 mars 1919 1,087 fr.

*eugf'ttET (Marie), femme FRANCON, rece18 ans 7 mois il jours de services.

4ouissallce du 27 mars 19. 1,366 fr.

SSl (Bénédita-Marie-Emilie), veuve LAM*t:tVr' receveuse; 30 ans 6 mois 7 jours de SerVic e s- - Jouiss. du 1er juin 1919. 1,098 fr.

titI. S~~ (Alexandre-Camille), facteur rufervicpo es militaires, 4 ans 7 mois 21 jours; allce duCIXIls, 27 ans 9 mois 17 jours. Jouisy ri, 18 mai 1919 966 fr.

v!litairf2T (aiarles), facteur receveur. Services t 1 s. 22 s, 2 ans 11 mois 17 Jours; services citembre s 4 mois. Jouissance du 1er sep*919. 930 fr.

-i

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès est approuvée : Instruction publique (enseignement primaire).

SANTIAGGI (Marie-Catherine), femme DELACROIX, 1 mois 20 jours de services. (Infirmités.) — Jouissance du 21 mai 191 8 86° fr.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès est approuvée : Agriculture (eaux et forêts).

DEBENEST (Pierre), brigadier sédentaire de i r, classe ; 40 ans 9 mois 24 jours de services.

Pension de 1,530 fr. avec jouissance du 1er juin 1919. — Part de l'Algérie, 100 fr. ; part de la métropoie. 1,430 fr.

Par décret du 12 janvier 1920, sur !•» rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès est approuvée : Intérieur (Algérie).

SONINI ER (Charles-Edouard), administrateur principal de lre classe de commune mixte; 38 ans 8 mois 13 jours de services. Pension de 4,000 fr. avec jouissance du 1er juillet 1919. —

Part de l'Algérie, 1,914 fr.; part de la métropole 2,086 fr.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, les trente-trois pensions civiles ci-après, sont approuvées :Comptables directs.

SERRES (Anne), veuve DESCOMPS. Le mari percepteur; 40 ans 6 mois 2 jours da services.

— Jouissance du 21 février 1919. 1,108 fr.

Justice.

LECOMTE (Jeanne - Elisabeth - Marie - Anna), veuve SAUNET: Le mari surveillant de prison.

Services militaires, 2 ans; services civils, 8 ans 9 mois 15 jours. (Tué par un détenu, acte de dévouement).- Jouiss. du 1er mai 1919. 532 fr.

TIIIEL (Louise), veuve BAZARD. Le mari surveillant de maison centrale. Services militaires, 4 ans 7 mois 23 jours; services civils, 3i ans 9 mois. -0 Jouissance du 29 août 1919.. 412 fr.

BOYER (Georgette-Marle-Julie-Laure), veuve GRANIÉ. Le mari receveur général; 29 ans 3 mois 1G jours de services. — Jouissance du 16 avril 1919. 2,000 fr.

LEANDRE (Mathilde-Marie-Louise), veuve LEMOINE. Le mari conseiller de cour d'appel; 28 ans 11 mois t9 jours de services, — Jouis-, sance du 6 mars 119. 1,124 fr.

DE G ALLYE (Rose-Marie-Louise), veuve d'ORESMIEULX DE FOUQUIERES. Le mari juge d'instruction; 45 ans 5 mois 4 jours de services. —

Jouissance du 23 avril 1919. 777 fr.

MARTIN (Louise-Berthe), veuve SEVRE. Le mari huissier au conseil d'Etat; 35 ans 6 mois 24joursde services. - Jouissance du 25 mai 191 9 499 fr.

Intérieur.

GEERAERT (Emma-Maria), veuve IIAUW. Le mari commissaire de police. Services militaires, 15 ans 27 jours : services civils, 1% ans 6 mois 24 jours. — Jouissance du 15 février 1919. 832 fr.

VITOU (Anne-Marie-Émilie), veuve GRIL. Le mari commissaire spécial de police, Services militaires, 5 ans 8 mois 20 jours; services civils 22 ans 8 mois 25 jours. — Jouissance du 26 mars 191.:' 997 fr.

Instruction publique.

DUFFOUR (Elisa-Marie), veuve BOUVIER. Le mari instituteur; 38 ans 5 mois 2 jours de services. — Jouissance du 3 avril 1919. 565 fr.

DERRAC (Jeanne-Marie), veuve BRETIN. Le mari brigadier des gardiens de musées. Services militaires,4 anslOmois 28 jours; services civils, 39 ans 2 mois 22 jours. — Jouissance du 23 juin 1919 ; 564 fr.

LAMARQUE (Marie), veuve CABANNE. Le mari instituteur. Services militaires, 10 mois 6 jours; services civils, 23 ans 10 jours. —

Jouissance du 23 avril 1919. 419 fr.

GIRAUD (Euphroisine-Joséphine), veuve DUSSERT. Le mari instituteur;41 ans 1 mois 5jours de services. — Jouiss. du 3 août 1919.. 570 fr.

CORNEC (Eugénie-Lucie), veuve LE MEUR. Lo mari directeur d'école ; .31 ans 5 mois 26 jours de services. — Jouiss. du 8 août 1919.. 613 fr.

DAHIREL (Victorine-Marie), veuve MOULE.

Le mari instituteur ; 29 ans 1 mois 24 jours de services. — Jouiss. du 20 juin 1919. 452 fr.

LE CORVAISIER ( Marie - Désirée ), veuve JOSSE. Le mari instituteur; 34 ans 11 mois 24 jours de services. — Jouissance du 25 août 1919. 571 fr.

BAZIRE (Marie), veuve JOUTEL. Le mari instituteur; 35 ans 10 mois 12 jours de services.— Jouissance du 28 août 1919. 571 fr.

MILLET (Mathilde), veuve PLANTIER. La mari professeur d'éeole primaire supérieure : 32 ans 6 mois 11 jours de service. - Jouissaiica du 19 mai 1919. 789 fr.

LONZY (Camille-Léonie), veuve RENOUX. La mari inspecteur de l'enseignement primaire: 33 ans 8 - jours de services. — Jouissance du 3J mai 1919 1,221 fr.

VENNIN (Blanche-Marguerite), veuve RINGOT. Le mari professeur de collège : 32 ans 1 mois de services. — Jouissance du 12 avril 1919. 677 fr.

BÈS (Cécile-Adrienne), veuve VALETTE. Le mari secrétaire d'académie ; 36 ans 4 mois 10 jours de services. - Jouissance du 29 mai 1919. 744 fr.

GUILLIER (Emélie-Louise), veuve BOURRIER.

Le mari professeur de classe élémentaire de lycée; 37 ans 2 mois 7 jours de services. —

Jouissance du 18 mars 1919. 1,010 fr.

COUTURIER (Jeanne-Eugénie), veuve GARCIN. Le mari principal de collège ; 37 ans 3 mois 27 jours de services. — Jouissance du 27 mai 1919. ;. 1,357 fr.

GARROS (Anne-Paulfiré-Marie-Louise), veuve PLÉSENT. Le mari professeur de lycée; 37 ans 9 jours de services. — Jouissance du 10 mai 1919. 1,734 fr.

GIIERAERT (Marie-Ursule), veuve ROY. La mari principal dé callego; 32 ans 4 mois 4 jours de services. — Jouiss. du 22 mai 1919.. 778 fr.

Orpheline ROUDIL (Yvette-Louise-Alice). La père instituteur; 34 ans 3 mois 12 jours de services. — Jouissance du 18 avril 1919 au 12 septembre 192Íinclusivemènt. 560 fr.

Tuteur: M. Gleize.

Orphelins : MIGNOT (Louise-FrançoiseCharlotte) 2, (Marie-Eugénie). La mère directrice d'école; 27 ans 11 mois 21 jours de services. — Jouissance du 7 juin 1919 au 7 novembre 1924 inclusivement. 454 fr.

Mme veuve Duperrier, tutrice.

'CôlÕnlè$.

MITH (Pauline), veuve CONSEIL. > Le mari instituteur de 3e classe à la Martinique ; 30 ans 4 mois 11 jours de services. — Jouissance du 11 janvier 1919 344 fr.

Agriculture (eaux et forêts).

MICHEL (Rose-Claudine), veuve MOUTON. La mari garde domanial. Services militaires, 2 ans 11 mois 17 jours; services civils, 22 ans 1 mois 12 jours. — Jouissance du 13 avril 1919. 205 fr.

Travaux publics.

RAMOUSSIN (Mathilde), veuve HEINRICII. La mari sous-ingénieur des ponts et chaussées.

Services militaires, 1 an ; services civils, 32 ans 7 mois 17 jours. — Jouissance du 29 juin 1919 752 fr.

BOYÏÏ (Marie-Appoline), veuve ORÉAL. La mari pontier. Services militaires, 4 ans 7 mois


19 jours ; services civils, 34 ans 1 mois 2 jours.

— Jouissance du 17 février 1919 IbO fr.

TAUPIN (Féline-Marie), veuve SEL. Le mari garde de navigation. Services militaires, 6 mois; services civils, 33 ans li jours. — Jouissance du 30 mas 1919. 340 fr.

Postes et télégraphes.

JEANNE (MarieLouise-Augustine), veuve TIREL. Le mari facteur rural. Services militaires, 2 ans 10 mois 16 jours ; services civils, 6 ans 8 mois il jours. — Jouissance du 12 novembre 1918 ». 103 fr.

accident de service.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, les trois pensions civiles ci-après sont approuvées : Agriculture (eaux et forêts).

DERUEL (Victoire), veuve BAVAY. Le mari garde domanial de lve classe. Services militaires, 3 ans 11 mois 23 jours ; services civils, 25 ans 11 mois 8 'ours. — Jouissance du 9 mai 1919. 500 fr.

TIIOUVENOT (Marie-Honorine), veuve ARNOULD. Le mari brigadier domanial hors classe. Services militaires, 3 ans 11 mois 19 jours ; services civils, 21 ans 9 mois 3 jours.

- Jouissance du 24 juillet 1919. 640 fr.

MANOUVRIER (Louise-Rosine), veuve BROUTIN. Le mari brigadier domanial hors classe.

Services miiitaires, 4 ans 7 mois 18 jours ; services civils, 30 ans 10 mois. — Jouissance du 31 janvier 1919. 640 fr.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des-finances- les cinq pensions , civiles ci-après sont approuvées : Douanes.

LASQUELLEC (Jeanne-Marie), veuve GUILLOTIN. Le mari préposé visiteur. Services militaires, 3 ans 5 mois 11 jours; services civils, 25 ans 6 mois 11 jours. - Jouissance du 12 septembre1919. 555 fr.

TROTIN (Hélène-Julienne), veuve LE LÉDAN, dit Guiomard, sous-patron. Services militaires, 3 ans 6 mqis 11 jours ; services civils, 21 ans 10 mois 24 jours. — Jouissance du 25 juillet 1919 600 fr.

MEUNIER (Julie-Emma-Maria), veuve MARTIN. Le. mari préposé de lre classe. Services militaires, 3 ans 28 jours ; services civils, 27 ans 6 mois 27 jours. — Jouissance du 28 juillet 1919 500 fr.

PELTIER (Irma), veuve COPPENS. Le mari préposé de lre classe. Services militaires, 2 ans 11 mois 18 jours; services civils, 25 ans 6 mois — Jouissance du 31 août 1919. 500 fr.

ORENGO (Pauline-Marie), veuve CLAPIER. Le mari préposé de 1re classe. Services militaires, 2 ans 9 mois 28 jours ; services civils, 27 ans 11 jours. — Jouissance du' 12 septembre .1919 , = 500 fr.

Par décret du 12 janvier 1920, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile Oi-après, est- approuvée :

Intérieur (Algérie).

PÉLISSIER (Louise-Adélaïde), veuve LAVÏLLETTE. Le mari vérificateur de lre classe ; 31 ans 4 mois 5 jours de services. Pension de 1,148 fr.

avec jouissance du 11 juin 1919. — Part de l'Algérie, 677 fr.; part de la métropole, 471 fr.

Pensions (guerre).

Par décret du 29 décembre 1920; sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves et orpheline dénommée ci-

après, dont les maris ou père sont décédés des suites d'accidents survenus en service commandé :

Veuve de sergent.

HEMET (Louise-Alexandrine-Léontine), veuve DU PUIS. — Jouissance du 13 septembre 1915 « 1,050 fr.

Veuve de caporal.

DALLET (Henriette), veuve BELON. — Jouissance du 29 novembre 1915. 875 fr.

2 majorations pour enfants. G00 fr.

Représentant légal: Mille veuve Belon, née Dallet. :

DUBOIS (Caroline), veuve CHARLES. —

Jouissance du 31 octobre 1916. 800 fr.

DUTERTRE (Augusta-Marcelline), veuve CHIPAULT. Jouiss. du 8 novembre 1916. 800 fr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mme veuve Chipault, née Dutertre.

LAURENT (Joséphine-Emilienne), veuve CHRISTOPHE. — Jouissance du 12 avril 1915.-. ;. 800 fr.

RAVEL (Jeanne), veuve COLLANGE. — Jouissance du 14 février 1916. 800 fr.

3 majorations pour enfants. 900 fr.

Représentant légal : Mme veuve Collange, née Ravel.

BLACIION (Marie-Delphine), veuve DELABRE. -.Jouissance du 14 janvier 1918. 800 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Delabre, née Blachon.

VILLENEUVE (Maria), née DUBOURG. —

Jouissance du 30 décembre 19i7. 800 fr.

2 majorations poul'enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mme veuve Dubourg, née Villeneuve.

MOREAU (Marie-Anatolie-Octavie), veuve DUFHESNE. - Jouissance dû 11 mars 1916. 800 fr.

DRUFFIN (Angèle-Augustine-Juliette), veuve GIOT: - Jouiss. du 23 février 1915. 800 fr.

800 fr.

2 majorations, pour enfants Représentant légal : Mœe veuve Giot, née Druffin.

ROCHET (Marie), veuve JUMINET. — Jouissance du 12 mai 1916. 800 fr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal: Mme veuve Juminet, née Rochet.

MAILLARD (Julia), veuve LEGRIS. — Jouissance du 12 février 1917. 800 fr.

RINCÉ (Augustine-Jeanne), veuve MÉNAGER.

— Jouissance du 7 août 1917. 800 fr.

Orpheline de soldat.

Orpheline VALIN (Marthe-Rolande-Fernande).

- Jouissance du lÕ juin 1916 au 2 novembre 1925. 800 fr.

Tutrice : Mme veuve Valin (Marie-Césarine), née Goupil.

Par décret du 29 décembre 1919, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux- veuves et orphelin dénommés ci-après, dont les maris ou père sont décédes des suites d'accidents survenus en service commandé :

Veuve de sergent-major.

FRAIRROT (Alice-Blanche), veuve SAINSONJj — Jouissance du 26 novembre 1914.. 1,050 fr; Sauf déduction des sommes perçues depuis" le 26 novembre 1914 sur la pension de 600 fr., concédée par décret du 4 août 1915, et que la présente annule.

1 majoration pour enfant V. 300 fr.' Représentant légal : Mme veuve Sainson, née Frairrot.

Veuve de caporal.

MORTIAN (Marie-Françoise), veuve IIOUEIX.

Jouissance du 15 décembre 1914. 875 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 15 décembre 1914 sur la pension de 450 fr., concédée par décret du 18. août 1916, et que' la présente annule.

Veuves de soldats.

FERRAND (Marie-Augustine), veuve BELMONT. — Jouissance du 6 août 1915. 830 ir.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 6 août 1915 sur la pension de 375 fr., concédée par décret du 24 juin 1916, et que la présente annule. Cr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mille veuve Belmont, né,3 Ferrand.

BAC (Françoise-Marie-Amélie), veuve CHAR" MES. — Jouiss. du 12 janvier 1915. 800 's Sauf déduction des sommes perçues depuis le 12 janvier 1915 sur la pension de 375 fr., concédée par décret du 21 janvier 1916, et que la présente annule.

3 majorations pour enfants. 900 r.

Représentant légal : Mmoveuve Charmes, née Bac.

ve~ BUNEL (Alexandrine-Marie-Louise), CHAUVIN. Jouiss. du 8 juin 1916.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 8 juin 1916 sur la pension de 375 fr., concédée par décret du 29 mars 1917, et que la Pre" sente annule. f 1 majoration pour enfant. 300 Représentant légal : Mme veuve Chauvin, liée Bunel.

veuY.® POCHEZ (Adélaïde-Victorin-e-Jriseph), veuvp DECIIEHF. - Jouiss. du 4 avril 1915. ft.

Sauf déduction des sommes perçues dep-u* le 4 avril 1915 sur la pension de 375 fr., con cédée par décret du 15 juillet 1916, et que l' présente annule.

3 majorations pour enfants. 900 Représentant légal : Mme veuve Decherf, liée Pochez.

LISIEUX (Marie-Anastasie-J oséphine-Margu rite), veuve DUBOIS. — Jouissance du '30 r" tobre 1914. 800 ttSauf déduction des sommes perçues depui* le 30 octobre 1914 sur la pension de 375 fr., Colcédée par décret du 21 septembre 1915, et q la présente annule..

2 majorations pour enfants. 600 fr, Représentant légal : Mme veuve Dubois, ne Lisieux.

MOREL (Louise-Camille), veuve DUFAY. £

Jouissance du 7 février 1915 800 uï' Sauf déduction des sommes perçues "ol" le 7 février 1915 sur la pension de 375 fr,. c0.a cédée par décret du la octobre 1915, et Qu.

la présente annule.

1 majoration pour enfant WO Représentant légal : M.me veuve Dûfay, u Morel. 11" MANACII (Albertine-Eugénie), veuveOOr" FOUR. Jouiss. du 6 septembre 1915. guiS.

Sauf déduction des sommes perçues lepuil, le 6 septembre 1915 sur la pension de 37» concédée par décret du 23 février 1916, et 1 Ü0 la présente annule. ff.

1 majoration pour enfant. 3ffl ff, Représentant légal : M™-8- veuve Dufour, uné-* Manach.

PICHARD (Céline-Thérèse-Madeleine), GENET. Jouiss. du 28 novembre 1914. depui Sauf déduction des sommes perçues le 28 novembre 1914 sur la pension de 3-1 5 Il-, concédée par décret du 7 juillet 1916, et q présente annule. cr..

5 majorations pour enfants Représentant légal: Mme veuve Genet Pichard.

GOUPIE (Anne-Marie), veuve GILLET. -100 f.

sance du 26 juillet 1915.

Sauf déduction des, sommes perç.", e sdep Uis oncé' le 26 juillet 1915 sur la pension de 375 fr., 13 pré'" dée par'décrèt du 19 mafs 1917, Ctrjqee la tSjMjorrfeflRS/pojljveofwits^a; i •; billet, ne.().

Représentant légal : Mme veuve G 'Gbupie.J.,,w ,'1¡t"{f-'JHr¡-\ ",eGl DUMOUSSET (Gilbert-e.-Francisca);e goo ff; RARD. - Joui&s. du 16 octobre l914 800Ir Sauf déduction des sommes perçtl dap le 16 octobre 1914, sur la pension de àto cédée par décret du 21 septembre tr.

la présente annule. soo ff, 1 majoration pour enfant "l'rirar^ P Représentant légal: M,m* veuye u v Dumoussset. - i GUIN¡\FV; HOCHET (Maria-Eléonore), vetiv*r[JItfAÏ$; Jouissance du 6 janvier 1915. Saut déduction des sommes pe^v.eS deP


le 6 janvier 1915 sur la pension de 375 fr., prsCédée par décret du 15 avril 1916, et que la ente annule.

CgNOABJEAU (Irma-Florentine-Georgette), veuve ^'NAULT.— Jouiss. du 4 février 1915. 800 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le « l^ier 1915 sur la pension de 375 fr., prcedee par décret du 18 août 1916, et que la 1 ente annule.

1 majoration pour enCant. 300 fr.

représentant légal : Mme veuve Guinault, bée Clobjeau.

LARR.IELI-C ASSOU (Marie) veuve IIIRIGOYENJouissanco du 3 décembre 1914 830 fr.

je ~ai*f déduction des sommes perçues depuis 3 décembre 1914 sur la pension de 375 fr., prcedée par décret du 12 août 1915, et que la usante annule.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

nrepresntant légal : Mlhe veuve llirigoyen, e Larrieu-Cassou.

JO (Joséphine-Marie), veuve LELORE.

Jouissance du 24 mars 191Õ. 809 fr.

sàidéduction des sommes perçues depuis cédé Irlars 1916 sur la pension de 375 fr., conéear décret du 19 mars 1917, et que la se te annule.

Blanche-Eugéniè), veuve LE MARTINET.

Sa lssance du 28 mars 1915. 800 fr.

le 9a déduction des sommes perçues depuis Wh mars 1915 sur la pension de 375 fr., conCf~' i^wesee nfPar décret du 15 avril 1916, et que la e annule.

î; majorations pour enfants. 600 fr.

Ilé eprésentant légal : M™* veuve Le Martinet, e Got.

jJ^EPÉVRE (Eugénie-Alphonsine-Alice), veuve l^9U Merle. Jouissance du 3 novembre S4 0 800 fr.

te ur déduction des sommes perçues depuis le novembre 1914 sur la pension de 563 fr., concédée par décret du 29 février 1916, et que la Par décret du 29 février 1916, et que Présente annule.

(Marie-Vietorine), veuve LEMESLE.

Sauf Sce du 11 avril 1915.,. 800 fr.

sailf eduction des sommes perçues depuis leli avril 19*5 sur la pension de 375 fr., Ptésentee Par décret du 2 juin 1917, et que la 2 annule.

a^°ns pour enfants 600 fr.

Gandonentant légal :Mme veuve Lemesle, née Gan o tEWIER (Adrienue-Marie-Emma), veuve 1915 '0 - Jouissance du 5 septembre SaUf d" o" o"" 800 fr.

le duction des sommes perçues depuis le 5 septembre 1^15 sur la pension de 375 fr., la 1915 sur la pension de 375 tr., III pr,,ee par décret du 24 novembre 1917, et que nte annule.

MaJ(Iration pour enfant. 300 fr.

» ïler>wientant léSal : 1rlrae veuve Leriche, née agnier.

*0uL?JR (Marie-Anne), veuve LE ROCHE.

1 Saut ce du 4 janvier 1915. 800 fr.

Sanr l. déduction de3 sommes perçues depuis i lWe 4 Sfmer 1915 sur la pension de 375 fr.

qlle le par décret du 5 novembre 1917, et FI\' Présente annule.

1^1 ^Et (Hélène-Argentine), veuve MOMEN1 Saur - ,.Touiss. du 4 novembre 1914.. 800 fr.

1 déduction des sommes perçues depuis nbro 1914 sur la pension de 563 fr., 0llcéu par décret du 26 novembre 1915, et Q\JI'l' esente annule.

P (Eugénie-Mélanie), veuve MUFle aUf rtl^issance du 20 juin 1915. 8)0 fr.

Imîw Uction des sommes perçues depuis 9,5 sur la pension de 375 fr., condécret du 2 septembre 1917, et que la présente annule. ?riei cfamtt r-!. «bV : I 03rLralions pour enfants GOOfr.

'uou^entant légal VëùVèMtiffat, née

EAII (Juliette-Albertine), veuve OUle Mf f dédJOUiss. du 1er novembfe 1914. 830fr.

Co let 0.0 uction des sommes perçues depuis le 1er novembre 1914 sur la pension de 375 fr., U 6,3ellt ncedée par décret du 12 octobre 1916, et que S liEZ r e annule.

OisSIl.ilnne-Marie-LUCie). veuve TOITOT.

Sauf déduction décembre 1914. :.. 800 fr.

lon des sommes perçues depuis le 6 décembre 1914 sur la pension de 375 fr., concédée par décret du 28 juillet de 375 fr., conWpteniPo aàv udecret du 28 juillet 1916, et que la

2 majorations pour enfants. 603 fr.

Représentant légal : Mme veuve Toitot, née Bez.

COUDRET. (Marie-Yvonne-Marguerite), veuve PRIOUX. — Jouissance du 5 juillet 1915. 800 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 5 juillet 1915 sur la pension de 375 fr., concédée par décret du 28 mars 1916, et que la présente annule.

2 majorations pour enfants. 60) fr.

Représentant légal : Mine veuve Prioux, née Coudret.

Orphelin de caporal.

Orphelin BATIME (Robert-Henry). — Jouissance du 4 octobre 1915 au 1er août 1929. 875 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 4 octobre 1915 sur la pension de 450 fr., concédée par décret du 31 décembre 1918, et que la présente annule.

M. Gauvin (Eugène), tuteur.

Par décret du 29 décembre 1919, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension à la veuve dénommée ci-après, dont le mari est décédé des suites de blessures reçues à l'ennemi : Veuve de sous-lieutenant.

DARLEUX (Claire-Suzanne), veuve FAUQUEUX.

- Jouissance du 16 septembre 1917.. 1,500 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Fauqueux, née Darleux.

Par décret du 29 décembre 1919, sur le rap, port du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi : Veuve de capitaine.

GÂTÉ (Marcelle-Marie-Louise), veuve LEROY.

— Jouissance du 19 avril 1917. 2,100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 19 avril 1917 sur la pension de 1,650 fr..

concédée par décret du 16 avril 1918, et que la présente annule.

Veuves de sous-lieutenants.

MENDEL (Georgette-Caroline), veuve BLOCH.

— Jouissance du 23 août 1915.,. 1,500 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 23 août 1915 sur la pension de 1,150 fr., concédée par décret du 2 mai 1916, et que la présente annule.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Bioch, née Mendel.

DROY (Thérèse-Blanche), veuve CIIEVIN. —

Jouissance du 21 octobre 1917,. 1,600 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 24 octobre 1917 sur la pension de 1,400 fr.

concédée par décret du 21 juillet 1918, et que la présente annule.

i majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Chevin, née Droy.

BESSAGNET (Catherine-Irène), veuve LAMARQUE.— Jouis, du 24 octobre 1917. 1,600 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 24 octobre 1917 sur la pension de 1,400 fr.

concédée par décret du 14 août 1918, et que la présente annule.

2 majorations pour enfants. r.. 600 fr.

* Représentant légal : Mme veuve Lamarque, née Bessagnet.

; BURGÉ (Henriette-Joséphine-Marie-Angèle), veuve LESUEUR. - Jouissance du 27 décembre 1917 1.500 frSaur déduction des sommes perçues depuis le 27 décembre 1917 sur la pension do 1,150 francs, concédée par décret du 10 août 1918, et que la présente annule.

i majoration pour enfant.,. 300 rr.

Représentant légal : Mme veuve Lesueur, née Burgé.DE BIERDUMPFEL (Renée-Eugénie-MarieIlenriette-Cécile), veuve SALOMEZ. — Jouissance duSaout 1916. 1,500 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis

le 8 août 1916 sur la pension de 1,150 fr., concédée par décret du 9 mai 1917, et que la présente annule.

Par décret du 29 décembre 1919, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves et orphelins dénommés ci-après, dont le? maris ou pères sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi

Veuve de sergent.

IIERMANS (Thérèse-Françoise), veuve GALLOY. — Jouiss. du 22 juillet 1918 1,100 fr Veuves de caporaux.

FOURNIER (Marie-Adélaïde), veuve GABRIEL, — Jouissance du 21 août 1918. 900 fri RIDEAU (Armandine), veuve LEROUX. Jouissance du 2 février 1917. 900 fr, 3 majorations pour enfants. 900 fr..

Représentant légal : Mille veuve Leroux, née Rideau.

DESTIP (Célestine), veuve LOUBATIIIER.

Jouissance du 19 avril 1918. 900 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mmc veuve Loubathier, née Dftstip.

RAYMOND (Ravmonde-Félicie - Louise-Thérésa), veuve NICOLAS. — Jouissauce du 11 août 1916 900 fr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : .MIne veuve Nicolas, née Raymond.

SAPEUR (Alice-Marcelle), veuve PESCH. Jouissance du 14 juin 1918. 900 fr.

Veuves de soldats.

MARAIS (Lucie-Augustine), veuve ANZERAY.

— Jouissance du 29 septembre 1915. 800 fr* 1 majoration pour enfant 303 fr.

Représentant légal : MRle veuve Anzeray, néat Marais.

MEZZALTARIM (Samha), veuve BEN-ASSAYAG. — Jouissance du 30 juin 1916.. 800 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Ben Assayag", née Mezzaltarim.

GUILMIN (Anne-Marie), veuve BONNIEU. —

Jouissance du 21 avril 1917 -800 fri 2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mmo veuve Bonnieu, née Guilmin.

MORIN (Jeanne), veuve BOUMIER. — Jouissance du 25 novembre 1916. 800 fr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mn,. veuve Boumier, née Morin.

GASNIER (Mélanie), veuve CHATAIN. —

Jouissance du 19 juillet 1918 800 fr*ROYER (Angèle-Augustine), veuve DELATTE, — Jouissance du 26 août 1918. 800 fr.

JOT (Suzanne-Léonie), veuve DELFORGE. Jouissance du 20 septembre 1914. 800 fr.

1 majoration pour enfant., 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Delforge, née Jet.

EXBRA y A T (llarie-Noémie-Clotilde), veuve FARIGOULE. - Jouiss. du 15 juin 1917. 800 fr.

i majoration pour enfant 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Farigoule^ née Exbrayat.

PLAGNAL (Joséphine-Sophie), veuve PAUMAT. - Jouiss. du 27 septembre 1915. 800 fr.

3 majorations pour enfants 900 rr.

Représentant légal : M»" veuve lauri. at, neQ Plagnal.

CASTANDET (Catherine), veuve FILLOLES Jouissance du 13 maH918. 800 fr.

2 majorations pour enfants ,. 600 fr.

Représentant légal : Mme veuve Filloles, née Castandet.

LIGOULE (Jeanne-Marguerite), veuve FOURESTlÉ. — Jouissance du 13 juin 1918. 800 fr.

ARQUÉ (Anaïs-Aurélie), veuve FOURTEAU. —

Jouissance du 20 mai 1915. SCOfr.

LAMBERT (Ernestine-Marionnc). veuve GAILLARD. — Jouissance du 2Zavril 1917.. 80) fr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.


Représentant légal : Mme veuve Gaillard, née ¡ol.ambel't.

SAINT-LÉGER (Jeanne-Marie-Caroline), veuve GEMAULT. — Jouiss. du 27 août 1918. 80:1 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal: Mme veuve Gerbault, née Saint-Léger.

DUREAU (Clémentine-Marie), veuve GRÉGOIRE. — Jouiss. du 6 août 1918.,.. 800 fr.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mrae veuve Grégoire, née Jurcau.

BLEUSE (Eugénie-Irénée), veuve IIÉCART. —

Jouissance du 19 septembre 1914. 1. 800 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant- légal : Mme veuve llécarl, née Bleuse. y VANDERIIOEVEN (Joséphine-Eugénie), veuve LACOUR. — Jouissance du 13 juin 1918. 800 fr.

DELMEIRE (Julienne-Adèle), veuve LEFEBVRE. — Jouiss. du 4 septembre 1914.. 800 fr.

1 majoration pour enfant.,. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Leîebvre, née Delmcire.

LEMAITRE (Emilienne), veuve LEMAIRE. —

Jouissance du 27 pctobre 1918. 803 fr.

MARTIN (Rosalie-Louise), veuve LIOTARD. —

Jouissance du 21 septembre 1918. 800 fr.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Liotard, née farlin.

DUVAL (Marthe-Fernande), veuve LUNEL.

— Jouissance du G novembre 1914. 800 fr.

3 majorations pour enfants 900 fr..

Représentant légal : Mme veuve Lunel, née Du val.

TELLIER (Rosella-Georgette), veuve MENXECIER. — Jouissance du 24 mars 1918.. 800 fr.

3 majorations pour enfants. 9CO fr.

Représentant légal : Mme veuve Mennecier, née Teliier.

LAFITTE (Jeanne), veuve RICARD. -» Jouissance du 15 août 1918. 800 fr.

3 majorations pour enfants. 900 fr.

Représentant légal: Mrae veuve Ricard, née Lafitie.

GRISON (Marie-IIortense-Périne-Mathurine), veuve llUELLAN. — Jouissance du 1er octobre 1a15.,. 800 fr.

3 majorations pour enfants. 900 fr.

Représentant légal : Mme veuve Ruellan, née Grison.

ROTURIER (Jeanne-Louise), veuve SARRAZIN. - Jouissance du 12 juin 1918. 800 fr.

1 majoration pour enfant., 300 fr.

Représentant légal : Mille veuve Sarrazin, née Roturier.

JAOUEN (Marie), veuve SPAGXOL. — Jouissance du 22 août 1918. 800 fr.

3 majorations pour enfants. 900fr.

Représentant légal : Mme veuve Spagnol, née Jaouen.

DOUBLET (Marie), veuve VERGEZ. - Jouissance du 21 avril 1918. 800 fr.

2 majorations pour enfants. C03 fr.

Représentant légal : Mme veuve Vergez, née Doublet.

Orphelin de caporal.

Orphelin ROUX (Roger-Eugène). —Jouissance du 9 mars 1917 au 23 janvier 1928. 900 fr.

Tuteur : M. Rolland (Théophile).

Orphelin de soldat.

Orphelin MIGNOL (Georges-Camille). Jouissance du 25 décembre 1914 au 5 novembre 1935. 800 fr.

Tutrice : Mme Delaire (Amélie).

Par décret du 29 déembre 1919, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ciaprlE=, dont les maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi :

Veuves d'adjudants, NTCAULT (Marie-Charlotte), veuve NICOLI DE PEHETTI. — Jouiss. du 10 août 1914.. 1,300 fr.

Sauf dé(li""iion des sommes perçues depuis le 10 août 1914 sur la pension de 975 fr., con-

cédée par décret du 13 février 1916, et que la présente annule.

1 majoration pour enfant.": 300 fr.

Représentant légal : Mm* veuve Nicoli de Peretti, née Nicault.

PERRIER (Emma-Louise-Angéline), veuve ROBIN. — Jouiss. du 14 novembre 1916. 1,300 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 14 novembre 1916, sur la pension de 975 fr., concédée par décret du 15 avril 1917, et que la présente annule.

Veuves de sergents.

PLAIRE (Marie-Louise-Blanche), veuve AUGER. — Jouiss. du 1er novembre 1914. 1.100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 1er novembre 1914 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du 21 octobre 1915, et que la présente annule.

ZIZANIA (Yvonne-Fanny), veuve CIIEFFER.

— Jouissance du 16 mars 1915. 1,100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 1G mars 1915 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du 29 février 1916, et que la présente annule.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve ChelIer, née Zizania.

RENAUD (Mûrie-Louise), veuve CHEVAUX. —

Jouissance du 12 mai 1915. 1,100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 12 mai 1915 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du 12 juillet 1916, et que la présente annule.

2 majorations pour enfants. 600 fr.

Représentant légal : Mm* veuve Cheyaux, née Renaud.

DELALANDE (Marie-Julie), veuve CLÉnIVET.

- Jouissance du 23 décembre 1917. 1,100fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 23 décembre 1917 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du S novembre 1918, et que la présente annule.

1 majoration pour enfant 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Clérivet, née Delalande.

PILLON (IIenIette-Augustine), veuve DE SCIIRYVER. — Jouissance du 8 octobre t91.}. 1,100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 8 octobre 1914 sur la pension do 825 fr., concédée par décret du S décembre 1915, et que la présente annule.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal: Mme veuve Schryver, née Pillon.

LEFLON (Aurélie-Augustine), veuve DIIERSIN. - Jouissance du 24 mars 1915. 1,100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 24 mars 1915 sur la pension de 825 fr. concédée par décret du 16 mars 1916 et que la présente annule.

1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal: Mme veuve Dhersin, née Leflon.

BARBIER (rarie-Àmélie-Jcanne), veuve DUPRÉ. — Jouissance du 9 juillet 1916,. 1,103 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 9 juillet 1916 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du 15 août 1917, et que la présente annule.

2 majorations pour enfants. 603 îr.

Représentant légal : Mme VelI're Dupré, née Barbier.

B OUBLIER (Marie-Clémence-Augustine ), veuve DURAND. — Jouissance du 16 mai 1915. 1,lCO fr.

Sauf déduction des sommés perçues depuis le 16 mai 1915 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du 16 mai 1916, et que la présente annule.

3 majorations pour enfants. 900 fn Représentant légal : Mme veuve Durand, née Bourlier.

POUPART (Germaine), veuve GINGUENEAUi — Jouissance du 24 juillet 19t7. 1,103 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis le 24 juillet 1917 sur la pension de 825 fr., concédée par décret du 19 avril 1918, et que la présente annule.1 majoration pour enfant. 300 fr.

Représentant légal : Mme veuve Gingueneau, née Poupart.

MATHIEU (Anna-Henriette), veuve GIORDANO. — Jouiss du 25 octobre 1916.. 1,100 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis

le 25 octobre 1916 sur la pension de 82o fr., concédée par décret du 4 septembre 191°) e que la présente annule.

DUCHÉNE (Marie-Julie), veuve JOLL Jouissance du 16 septembre'1914. 1,100 1s Sauf déduction des sommes perçues dgP le 16 septembre 1914 sur la pension de 825 ff.

concédée par décret du 19 mars 1917, et que présente annule. 00 fr 1 majoration pour enfant Représentant légal : Mme veuve JolI) J Duchêne.

RENARD (Aline-Joséphine!, veuve KLEI~Jouissance du 25 janvier 1915. 1 100 fr, Sauf déduction des sommes perçues dep le 25 janvier 1915 sur la pension de 825 u concédée par décret du 25 janvier 1916, et <1 la présente annule. 00 tr 1 majoration pour enfant.., Représentant légal : Mme veuve KleIn, né® Renard.

MARTIN (Irma), veuve LABONDE U¡r.

sance du 27 novembre 1914 l.j1 Sauf déduction des sommes perçues de fr., le 27 novembre 1914 sur la pension de S25 concédée par décret du 29 fevrier 1916, et 1 u , la présente annule. 00 Ir.

1 majoration pour enfant Représentant légal : Mooe veuve LabOIl née Martin. '6 MOI SAN (Alexandrine-Emilie-Marie), !ef¡iet LE PRIELLEC. Jouissance du 3 Kw, 1916 1 Mif Sauf déduction des sommes perçues de le 3 juillet 1916, sur la pension de 825fr-, û6uFoI$jcédée par décret du 24 avril 1917, et 4U , la présente annule.

MÉREL (Henriette), veuve PROVOST.— JJjf.

sance du 12 janvier 1915. l'depuiS Sauf déduction des sommes perçues le 12 janvier 1915, sur la pension de ua concédée par décret du 21 janvier 1916, et CI la présente annule. 600 Ir.

2 majorations pour enfants Représentant légal : Mme veuve Provos, Mérel. Il DUREUIL (Lazarette), veuve QUIfrJouissance du 28 janvier 1917., 1, depUIS Sauf déduction des sommes perçues tr., le 28 janvier 1917 sur la pension de 8 7 et Concédée par décret du 30 décembre iJl 1 fit que la présente annule.

DUVIN (Pauline), veuve SAINT- CIlico, Jouissance du 6Jull11¡16. l,lào Sauf déduction des sommes perçues co.

le 6 juin 1916 sur la pension de 825 frÚ pre cédée par décret du 12 mars 1917, et que laré- sente arinule. 600 fr, 2 majorations pour enfants ; Représentant légal : Mine veuve SaInnée Duvin.

Veuves de caporaux.

GRAVIER (Maria - Berthe-Eugél' ar" G R A VIE TI (MarIa - Berlhe-EUgéIllfs J11ar:l veuve BELLET. Jouissance du gOO rr 1917. deP¡¡!

Sauf déduction des sommes perçues coIl' le 18 mars 1917 sur la pension de 67a cofl cédée par décret du 26 novembre HI! , t la présente annule. 600 r 2 majorations pour enfants Représentant légal : Mme veuve Be 11 Gravier. AnD' N CUISSARD (Maria-Louise), veuve BEBOO ts Jouissance du 16 octobre 1916 *.*g (jepJ1 e 5 d fr., Sauf déduction des sommes 'percde 675 ! !S' le 16 octobre 1916 sur la pensio nigls, concédée par décret du 31 dece tr.

et que la présente annule. 600 2.major^tLon&.paiir.enlqnts^.vn i RfejSftifsentaiitlQlégaictiApSe rvteuvo Cuissard, aoiiQieq aeraenoa 8?k/,nC joui5' DURIN (Vidormef, vpuve BINET- SOO sance du 19 septembre 1916.

Sauf déduction des sommes perv 61 et le 19 septembre 1916 sur la Por\s'°jd0 ç,'fl concédée par décret du 2 sep te*"l,r0 l&"'0t que la présente aanule.. 3 1 majoration pour enfant* Représentant légal : M' r vsuve nineti Durin. '* LMWIi'l. (f.

MOREL-(Anna-Marie), veuve RLAND^frJouissance du 23 juillet 1916. ¥rft.' Sauf déduction dos sommes P" çue3 le 23 juillet 1916 sur la pensif d 0 67J itl#


idée par décret du 20 février 1917, et que sente annule..

DrAND (Angélina-Célina-Marcèle), veuve S Y. - Jouiss. du 10 avril 1915.. 900 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis Cédé avrIl 1915 sur la pension de 675 fr., conSente Par décret du 3 avril 1916, et que la présenutie Ilnule.

^joration pour enfant. 300 fr.

ij°rg^|entant légal : Mme veuve Brailly, née koegalid.

JoBOURS (Marguerite), veuve CHEVRIER.

le Sa,lfa^ce du 20 décembre 1914. 900 fr.

le 20 d déduction des sommes perçues depuis concéd écembre 1914 sur la pension de 675 fr., la Pré e Par décret du 21 octobre 1915, et que entc annule.

i rrfa=i-°ration pour enfant 330 fr.

llée fi ^ntant légal : Mme veuve Chevrier, G euours.

note'® (Marie-Augustine-Angèle), veuve !e ? : - Jouiss. du 19 août 1914. 900 fr.

le 19 déduction des sommes perçues depuis le i9 1914 sur la pension de 675 fr., conPar décret du 29 novembre 1916, et que la rn nte annule.

fS0ra^on Pour enfant 300 fr.

Représentant légal: Mme veuve Durand, née vier.

lET (Joséphine-Marie), veuve FALLOURD.

lsSance du 26 août 1914. 900 fr.

le ! déduction des sommes perçues depuis cé<i| août 1914 sur la pension de 675 fr., conréee par décret du 25 janvier 1917, et que la te annule.1 tmajoration pour entant., 300 fr.

r -se tant légal : Mme veuve Fallourd, née let. b Jt Mo AL (Sidoïne-Marie), veuve GILLON.

Sauslnce du 2 juillet 1916., 900 fr.

le 2 jUiéluction des sommes perçues depuis c®dée A916 sur la pension de 675 fr., conPrésente anrlt du 21 juillet 1917, et que la présente annule. enfant 300 fr.

1 majoration pour enfant 300 fr.

» Représentant tegal: Mme veuve Gillon, née e Moal.

ermaine - Yvonn e veuve Il JtUISS. du 24 octobre 1914. 980 fr.

1 Sauf dpri f d é(luction des sommes perçues depuis tédée 0 ra 914 sur la pension de 675fr., con> 5 decret du 13 octobre 1915, et que la te/nuta e annule.

Vissai (Claire-Augusta), veuve MEFFRE.

1 Sauf ce du 14 mai 1915. 900 fr.

sa mv;Uct'on des sommes perçues depuis Cédée a.11915 sur la pension de 675 fr., con^iée rij décret du 1» octobre 1917, et que la 0 ann1110

l\ElJIeE (Madeleine-Suzanne), veuve MONSaut' .- Jouiss. du 27 janvier 1916.. 900 fr.

le 27 induction des sommes perçues depuis CédéeJflV¡er HH6 sur la pension de 675 fr. conrésent al' décret du 2 novembre 1916, et que la annule. 1 300 fr.

P°ur enfant 300 fr.

née A.J.lalnc légal : Mme veuve Montreuil, LÙùlEn (Suzanne-Blanche-Eugénie), veuve ¡¡ur uiss. du 22 février 1916.. 900. fr.

tion des sommes perçues depuis , sur la pension de 675 fr., con™ Dar Secret du 29 mars 1917, et que la i eHto 11 pour enfan 300 fr.

Représentant légal; Mme veuve Muller, née

S S EX.,(Laura-Léontine),, veuve h du 30îûîx»te§iSllA]iiifl9c9ûQ[ fr!.

sauf déduction des sommes perçues Sdepuis* la dée IIlbre 1914 sur la pension de 675 fr., te a présente décret du 21,jaiivier 1916, et que 1Présen.:on Pour enfant. 300 fr.

^C^sent» V°ur enfant 300 fr.

) Oh s & e

ssa.I:ice dGirmajne), veuve PROUST. e t P. e 0 mars 1916. 900 fr.

0Q des sommes perçues depuis Hi Par G sur la pension de 675 fr., çonHk Par dccret du 2 novembre 1916, et que du 2 novembre 1916, et que IObt>l'éseIltns POur en'fants. 600 fr.

ert. aû* légal ; Mille veuve Proust, née

Par décret du 20 décembre 1919, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension temporaire aux militaires dénommés ci-après : Soldats.

GALIAN (Jean-Auguste-Vincent). — Jouissance du 20 juin 1918 au 19 juin 1920. 1,200 fr.

GALLIER (Navarre-Fernand). - Jouissance du 30 août 1918 au 29 août 1919. 960 fr.

1 majoration pon enfant 120 fr.

Représentant légal : M. Gallier (Navarre-Fernand).

GALLUT (Emile). — Jouissance du 10 octobre 1918 au 9 octobre 1919. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal : M. Gallut (Emile).

GAMEL (Marius). — Jouissance du 2 décembre 1918 au 1er décembre 1920. 480 fr.

GAREL (Charles). — Jouissance du 29 octobre 1918 au 28 octobre 1920. 480 fr.

2 majorations pour enfants. 120 fr.

Représentant légal : M. Garel (Charles.) GARGAUD (Jean). — Jouissance du 2 octobre 1918 au 1er octobre 1919. 480 fr.

2 majorations pour enfants 120 fr.

Représentant légal : M. Gargaud (Jean).

GARNIER (Claude-Etienne-Louis). — Jouissance du 14 novembre 1918 au 13 novembre 1920. 480 fr.

GAUDET (Emile-Henri).—Jouissance du 27 novembre 1918 au 26 novembre 1920. 240 fr.

GAULARD (Jean-Louis Marie). — Jouissance du 19 octobre 1918 au 18 octobre 1919.. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal : M. Gaulard (Jean-LouisMarie ).

GAULTIER (Henri). — Jouissance du 7 janvier 1919 au 6 janvier 1921..,. 240 fr.

1 majoration pour enfant. 30 fr.

Représentant légal : M. Gaultier (Henri).

GAUMAIN (Marie-François-Joseph). — Jouissance du 20 décembre 1918 au 19 décembre 1919. 720 fr.

GAUTIER (Marcel-Auguste). — Jouissance du 20 septembre 1918 au 19 sept. 1919. 960 fr.

1 majoration pour enfant. 120 fr.

Représentant légal : M. Gautier (MarcelAuguste).

GAUTHIER (François). — Jouissance du 19 septembre 1918 au 18 sepb.1919. 240 fr.

3 inajorations pour enfants. 90 fr.

Représentant légal* M. Gauthiçr (François).

GAY (Jean). — Jouissance du 7 janvier 1919 au 6 janvier 1920. 480 fr.

GAYE (François): — Jouissance du 17 septembre 1918 au 16 septembre 1919. 720 fr.

GYET (Raymond-Achille). — Jouissance du 10 octobre 19iS au 9 octobre 1920. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal ; M. Gayet (RaymondAchille).

GENEVOIS (François).— Jouissance du 10 janvier au 1919 au 9 janvier 1920. 48J fr.

GENTET (Paul-Narcisse-Arthur).— Jouissance du 25 septembre 1918 au 24 sept. 1920. 720 fr.

GENSAC (André). — Jouissance du 8 octobre 1918 an 7 octobre 1920.:. 240 fr.

1 majoration pour enfant. 30 fr.

Représentant légal, M. Gcnsac (André).

GENSAC (;Jean).-'Jouissance du 13 décembre 1918 au 12 décembre 1920 980 fr.

1 GERMAIN (Joseph-Jean). — Jouissance du $7 décembre 1918 au 26 décemb. 1920. 1,440 fr.

GIDAULT (Emile). — Jouissance du 16 décembre 1918 au 15 décembre 1919. 240 fr.

2 majorations pour enfants. 60 fr.

Représentant légal : M. Gibault (Emile).

GIL (Jean-Baptiste). — Jouissance du 8 janvier 1919 au 7 janvier 1921. 2,400 fr.

GILBERT (Eugène - Alphonse - Armand). —

Jouissance du 21 octobre 1918 au 20 octobre 1919. 1,200 fr.

GILLET (Fernand-Constant). — Jouissance du 14 novembre 1918 au 13 novembre 1920. 96CT?r.

GIORDANO (Josepli). - Jouissance du 17 juillet 1918 au 1G juillet 1920. 960 îr.

GIRARD (Octave-Casimir). — Jouissance du 29 novembre 1918 au 28 novemb. 1919. 4S0 fr' 1 majoration pour enfant CO fr Représentant légal : M. Girard (Oclave-Casi, mir).

GIRAUT (Jcan-Llanrens). - "Jouissance du 11 octobre 1918 au 10 octebre 1919. 720 fr.

GODIN (Arthur-François-Jean-Maric-ïlenri).

— Jouissance du lor février 1919 au 31 janvier 1921 ,2J0 fr.

GONNEAUD (Jean-Marie). — Jouissance du 10 janvier 1919 au 9 janvier 1921. 480 fr.

GOSSET {Paul-Ernest). — Jouissance du 17 août 1918 au 16 août 119. 9G0 fr.

GOURET (Louis-Eugène). — Jouissance du 27 décembre 1918 au 26 décembre 1920. 960 fr.

GRAILLOT (Valery-Eugène). — Jouissance du 16 novembre 1318 au 15 novembre 1919. 720 fr.

GRANGER (André). — Jouissance du 30 août 1918 au 29 aoùt 1919. no fr.

GRANMONT (Ernest-Georges). — Jouissance du 8 novembre 1918 au 7 novembre 1919: 720 fr.

2 majorations pour enfants 180 fr.

Représentant légal : M. Granmont (ErnestGeorges).

GRATIA (Jean-Louis). — Jouissance du 17 octobre 1918%u 16 octobre 1920. 4S0 fr.

GRENIER (Maurice-jGeorges). — Jouissance da 29 janvier 1919 au 28 janvier 1921. 240 fr.

GRILLOU (Bernard). — Jouissance du 12 décembre 1918 au 11 décembre 1920. 1,680 fr.

GIUTFFAT (Ernest). — Jouissance du 19 octobre 1918 au 18 octobre 1919. 240 fr.

GUIBERT (Léonard-Lazare-Thomas) Jouissance du 19 décembre 1918 au 18 décembre 1919. 720 fr.

GUICIIARD (Alfre. — Jouissance du 1G octobre 19i8 au 15 octobre 1920. 2i0 fr.

2 majorations pour enfants.,. 60 fr.

Représentant légal : M. Guichard (Alfred), GUILBÀUD (Théodule - Jean- Alphonse). —

Jouissance du 24 octobre 1918 au 23 octobre 1919 480 fr.

i majoralion pour enfant. 6) fr.

Représentant légal : M. Guilbaud (ThéoduleJean-Alphonse).

GUILLEMIN (Jean-Baptiste). — Jouissance du 17 décembre 1918 au 16 décembre 1920. 1,200 fr.

1 majoration pour enfant. 150 fr.

Représentant légal : M. Guillemin (JeanBaptiste).

GUILLEMOT (Pierre-Marie). — Jouissance du 23 décembre 1918 au 22 décembre 1920. 240 fr.

GILLET (Elie-Augustin-Antoine). — Jouissance du 11 décembre 1918 au 10 décembre 192 0 * 1,680 fr.

2 majorations pour enfants. 420 fr.

Représentant légal :*M. Gillet (Elie-Augustin.

Antoine).

GUILLO (Auguste-Jean-Maric). — Jouissance du 8 janvier 1919 au 7 janvier 1921. 1,200 fr.

1 majoration pour enfant. 150 fr.

Représentant légal : M. Guillo (Auguste-JeanMarie).

GUILLOU (Marcel-Jean). — Jouissance du 31 août 1918 au 30 août 1920 963 fr.

GUILLOTEAU (Léopold-Jean-Alexis). — Jouissance du 21 août 1918 au 20 août 1919.. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal : M. Guilloteau (LéopoldJean-Alexis).

GUISEPPI (Simon). — Jouissance du 14 décembre 1918 au 13 décembre 1919. 720 fr.

HABERT (Ravmond-Adolphe). -..: Jouissance du 8 décembre 1918 au 7 décembre 1920. 960 fr.

1 majoration pour enfant. 120 fr.

Représentant légal : M. llabert (RaymondAdolphe). ,

IIANONNET (René-Félix-Achille). — Jouissance du 18 octobre 1913 au 17 octobre 1920 1,2G0 fr.

IIAVARD (François-Jean-Marie) — Jouissance du 14 octobre 1918 au 13 octobre 1919. ; 480 fr.

ÏIAYAERT (Achille-Jérôme). — Jouissance du 6 février 1917 au 5 février 1918. 4S0 fr.

IIELLEGOUARCII (Jean-Marie). - Jouissance du 26 décembre 1918 au 23 décembre.

W20 480 îr,


1 majoration pour enfant. 60 fr.

Représentant légal : M. Hellegouarch (JeanMarie)

IIELIOT (Emile-Eugène). — Jouissance du 31 octobre 1918 au 30 octobre 1920. 240 fr.

2 majorations pour enfants. 60 fr.

Représentant légal : M. Heliot (Emile-Eugène).

HERBIN (Emile-Léon-Joseph). —Jouissance du 10 janvier 1919 au 9 janvier 1921— 480 fr.

IŒREAU (Auguste-Albert). - Jouissance du 23 novembre 1918 au 22 nov. 1920.. 240 fr.

3 majorations pour enfants. 90 fr.

Représentant légal : M. Iléreau (AugusteAlbert).

IIËRITIER (Georges-André). — Jouissance du 20 janvier 1919 au 19 janvier 1921. 720 fr.

IIERVÉ (Jean-Marie-François). — Jouissance du 6 décembre 1917au 5 décembre 1919. 1,440fr.

IIEURTEVIN (Honoré-Emile). — Jouissance du 11 octobre 1918 au 10 octobre 1919. 1,200 fr.

HÉZARD <Louis). — Jouissance du 1er décembre 1918 au 30 novembre 1920. 480 fr.

HIGNETTE (Marcel-Alfred). — Jouissance du 18 novembre 1918 au 17 novemb. 1920. 1,203 fr.

IIÎSZ (Clément-Henri). - Jouissance du 20 novembre 1918 au 19 novembro 1920. 960 frf 1 majoration pour enfant p 120 fr.

Représentant légal : M. Hisz (Clément-Henri).

IIOUÉ (Hyacinthe-Clément). — Jouissance du 5 janvier 1919 au 4 janvier 1921. 600 fr.

IIOULÉS (Jean-Pierre). — Jouissance du 8 janvier 1919 au 7 janvier 1921. 1,200 fr.

IIOUSSEL (Hyppolite).— Jouissance du 17 octobre 1918 au 16 octobre 1919. 1.200 fr.

HUBERT (Isidore-Victor). — Jouissance du 23 décembre 1918 au 22 décemb. 1920. 1,320 fr.

3 majorations pour enfants. 495 fr.

Représentant légal : M. Hubert (IsidoreVictor).

HUBERT (Roland). - Jouissance du 14 octobre 1918 au 13 octobre 1919. 480 fr.

HUC (Ernest-Paul-Alfred). — Jouissance du Ï5 décembre 1918 au 22 décembre 1920 960 fr.

1 majoration pour enfant. 120 fr.

Représentant légal : M. IIuc (Ernest-PaulAlfred).

HUET (René-Louis-Jean). — Jouissance du 30 décembre 1918 au 29 décemb. 1920. 1.200 fr.

IIUIDAL (Auguste-Pierre). — Jouissance du 8 janvier 1919 au 7 janvier 1920. 1,440 fr.

IIUGON (Jean-Firmin). — Jouissance du 19 octobre 1918 au 18 octobre 1919. 720 fr.

HUGUET (Jean-Marie-Baptiste), — Jouissance du 1" février 1919 au 31 janvier 1921.. 240 fr.

IIUGUET (Jean-Louis). - Jouissance du 4 février 1919 au 3 février 1920. 480 fr.

HUMEAU (Jean). — Jouissance du 6 février 1919 au 5 février 1921. HU. 480 fr.

1 majoration pour enfant. 60 fr.

Représentant légal : M. Humeau (Jean).

IMBARD (Célestin-Gaston). — Jouissance du 9 septembre 1918 au 8 septembre 1919. 480 Ir.

JÀCON (Samuel). — Jouissance du 2 septembre 1918 au 1" septembre 1919 480 fr.

JACQUOT (Camille-Emile). — Jouissance du 11 décembre i918 au 10 décembre 1920. 720 Ir.

JACOUPY (Emmanuel). — Jouissance du 13 janvier 19i9 au 12 janvier 1921. 1,920 Ir.

JACQUET (François). — Jouissance du 11 septembre 1918 au 10 septembre 1920. 240 fr.

2 majorations pour enfants 60 fr.

Représentant légal : M. Jacquet (François).

JALAMBIC (Elie-François). — Jouissance du 5 décembre 1918 au 4 décembre 1920. 720 Ir.

JAMBON (Martin-llenri-Félix).- Jouissanee du 2 novembre 1918 au 1er novembre 1919. 960 fr.

JANTHIAL (Louis).— Jouissance du 23 octobre 1918 au 22 octobre 1920. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal : M. Janthial (Louis).

JANET (Félix-Henri-Ernest). — Jouissance du 6 novembre 1918 au 5 novembre 192° - 9t,0 fr.

3 majorations pour enfants. 360 fr.

Représentant légal : M. Janet (Félix-HenriErnest).

JARDIN (Lucien-Joseph). — Jouissance du 14 janvier 1919 au 13 janvier 1920. 240 fr.

1 majoration pour enfant 30 fr.

Représentant légal : M. Jardin (LucienJoseph).

JARNAULT (Ernest-Joseph). — Jouissance du 18 janvier 1919 au 17 janvier 19210. 960 fr.

JEAN (Emile-ferdinand-Marcel). - Jouissance du 27 novembre 1918 au 26 novembre 1919. 480 fr.

2 majorations pour enfants. 120 fr.

Représentant légal : M. Jean (Emile-Ferdinand-Marcel).

JEHAN (Pierre-Ileni,i-Marlus-Au,"uste), Jouissance du 28 décembre 1918 au 27 décembre 1920. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr Représentant légal : M. Jehan (Pierre-HenriMarius-Auguste).

JÉGADO (Joseph-Marie). — Jouissance du 26 décembre 1918 au 25 décembre 1920. 1,320 fr.

JEUNE (Jean-Marie). — Jouissance du 4 février 1918 au3févherl921. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal: Jeune (Jean-Marie).JOLY (Victor-Jean-Marie). — Jouissance du 15 juin 1918 au 14 juin 1920. 1,200 fr.

Imajorationpourenfant. 150 fr.

Représentant légal : M. Joly (Victor-JeanMarie).

JOLY (Eugène-François-Marie). — Jouissance du8 novembre 1918 au 7 novembre 1919. 240 fr.

i majoration pour enfant. 30 fr.

Représentant légal : M. Joly (Eugène-François-Marie).

JOUANET (André-Abel-Jambert-Alphonse),Jouissance du 21 décembre 1918 au 20 décembre 192 0 1,320 fr.

JOUBERT (Calixte). — Jouissance du 23 janvier 1919 au 22 janvier 1921. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal : M. Joubert (Calixte).

JOURDAIN (Emile-Désiré). — Jouissance du 17 janvier 1919 au 16 janvier 1921. 960 fr.

JOURDAN (Emmanuel-Joseph). — Jouissance du 15 mars 1918 du 14 mars 1919. 240 fr.

JOUVIN (Louis). — Jouissance du 2 août 1918 au 1er août 1919 480 fr.

1 majoration pour enfant. 60 fr.

Représentant légal : M. Jouvin (Louis).

JOYEUX (Eugène-Jules). — Jouissance du 24 janvier 1919 au 23 janvier 1921 720 fr.

1 majoration pourr enfant 90 fr.

Représentant légal : M. Joyeux (EugèneJules). JUDET (Jean). — Jouissance du 27 septembre 1918 au 26 septembre 1919. 720 fr.

JUGE (Louis). — Jouissance du 29 novembre 1918 au 28 novembre 1919 720 fr.

JUMAS (Fernand-André). — Jouissance du 28 octobre 1918 au 27 octobre 1919. 720 fr.

KAHN (Fernand). — Jouissance du 16 janvier 1919 au 15 janvier Hr20. 480 fr.

KERNEL (Constant-Amand). — Jouissance du 23 septembre 1918 au 22 sept. 1920. 480fr.

3 majorations pour enfants. 180 Ir.

Représentant légal : M. Kermel (ConstantArmand).

KOSAK (René). — Jouissance du 23 septembre i918 au 22 septembre i"91. 240 Ir.

LABORDE (Jean). — Jouissance du 4 décembre 1918 au 3 décembre 1920. 720 fr.

2 majorations pour enfants. 180 fr.

Représentant légal: M. Laborde (Jeap).

LABORDE (Jean-Baptiste).— Jouissance iu 14 janvier 1919 au 13 janvier 1921. 480 fr.

2 majorations pour enfants • 120 fr.

Représentant légal : M. Laborde (Jean-Baptiste).

LABUSSIÈRE (Antoine-Jean-Baptiste). Jouissance du 24 janvier 1919 au 23 janvier 192 1 960 fr.

LACHAUME (Pierre). - Jouissance du26 septembre 1918 au 25 septembre 1919. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 90 fr.

Représentant légal : M. Lachaume (Pierre).

LAFFONT (Valentin-François). — Jouissance du 4 janvier 1919 au 3 janvier 1920 720 fr.

1 majoration pour cnfan1. 90 fr.

Représentant légal : M. Laffont (ValentinFrançois)

LAGLAINE (Lucien-Roger). — Jouissance au 28 décembre 1918 au 27 décembre 1920. 840 Ir.

LAGRANGE (Antoine). - Jouissance duJdvier 1919 au 8 janvier 1921 LAMBERT (Paul). - Jouissance du 8 novenj' bre 1917 au 7 novembre 1918. 72U u* LAMBERT (Paul). — Jouissance du 8 novembre 1918 au 7 novembre.1920 Sauf déduction des sommes perçues oepui à titre de gratification, du 1er janvier 1918 a

31 décembre 1920.

LAMBERT (Léon-Philibert). Jouissance du 17 décembre 1918 au 16 décembre 1920. 9V Ir* LAMIRAL (Pierre-Victor). — Jouisssance du 15 novembre 1918 au 14 novembre 1919. 480 n* 1 majoration pour enfant .,. '/:Représentant légal : M. Lamiral (pierre- tor).

LAINÉ (Léon-Pierre-Raphaël). — Jouissance du 10 mai 1918 au 9 mai 1920., 4 fr: 1 majoration pour enfant Représentant légal : M. Lainé (Léon-Pler Raphaël).

LALLEMENT (Jules-Marie-Joseph). JOlre sance du 16 novembre 1918 au 15 novernD 192 0 960 J,* 2 majorations pour enfants. 940 frReprésentant légal : M. Lallement (Jules-*14 rie-Joseph).

LANIÈS (Victor). — Jouissance du 8 ja~ 1919 au 7 janvier 1921 2,400 J * LANNOY (René-Emile). — Jouissance du 12 décembre 1918 au 11 décembre 1920. 1,320fr.

LAPLACE (Auguste). Jouissance du 21 vier 1919 au 20 janvier 1921 1,4*0 »r, 2 majorations pour infants. 3) Ir, Représentant légal : M. Laplace (AUguste.

LARRIVIËRE (Julien). Jouissance du 10 oo' tobre 1918 au 9 octobre 1919.:. 960 'r' * LARMECHIN (Raphaël-Eugène). Jouissance du 9 octobre 1918 au 8 octobre 1920. 7 » 1 majoration pour enfant Représentant légal : M. Larmechin (RaP111* Eugène).

LARSONNIER (Amand-Camille). - Jolli aIlte du 21 septembre 1917 au 20 septembre 1920.

Sauf déduction des sommes perçues dep atJ à titre de gratification du 1er janvier 1918 ag 31 décembre 1920. dtJ LASSAGNE (Guillaume). Jouissant du 26 octobre 1918 au 25 octobre 1919. j 90 (r: 1 majoration pour enfant * Représentant légal : M. Lassagne lu ujl- laume). dU LATASTE (Augustin). Jouissance du 29 octobre 1918 au 28 octobre 1919. ÏQQ ir.

3 majorations pour enfants., iso fr, Représentant légal : M. Lataste (AUgus 1 dtJ LATAY (Paul-Maurice). - jouissance du 22 mars 1917 au 21 mars 1920.

Sauf déduction des sommes perçues » i jUiP de gratification du 1" juillet 1917 au &jUju 1920. ; seP" -Jouissance du 12 soir LATTÊ (Louis-René). — Jouissance du o rr.

tembre 1918 au 11 septembre IM. - - - - dU LATTIER (Àimi-Leuis). - Jouissan Oft21 octobre 1918 au 20 octobre 1919. 90 Ir.

1 majoration pour enfant Représentant légal : M. Lattier (MIll dtl o'ft, LAURANT (Eugène-Albert). - Jouisse fr.

30 novembre 4918 au 29 novembre 19*0- i20 11" 1 majoration pour enfant i*' Représentant légal : M. Laurant k Albert). * ce du LAYfe (Raym6nav^^te>< -r joui * 27 novembre 9j$ éi.tJ !no bte i9/u. JoiS; LAVOGEZ (Pierre-Jules-Félix-René)- jaD"} LAVOGEZ (Pierre-Jules ianvi«f sance du 13 janvier 4919 au 12 480 1921 , , 8 d\1 LECA (Pierre-Lucien). - JOuissaC200 Ir 11 juillet 1918 au 10 juillet 1.919" 1 JOUW LE BÉCACHEL (Ernest-Jacques).

sance du 27 février 1917 au 720 oiS 1920 d6¥,l1 Sauf déduction des sommes pejUiuet dop

à titre de gratification du l juillet 90 ff 30 juin 1920.

1 majoration pour enfant •••*.••' Représentant légal : M. Le ec Jacques).


LE DERCIIE (Guillaume-Angustin}.- Jouistance du 5 novembre 1918 au 4 novembre 1919 ,1,440 fr.

.LE BOURVELLEG (Mathurin). — Jouissance UQ14 octobre 1918 au 13 octobre 1919. 480 fr.

ZEBRAS (Albert-François). — Jouissance du 27 décembre 1918 au 26 décembre 1920. 720 fr.

LABRou (Louis-Clé ment-Frédéric). — Jouisnec du 27 jauv. 1919 au 26 janv. 1920. 480 fr.

oA^BRUN (Jean-Claude). — Jouissance du J décembre 1918 au 29 décembre f920. 1,080 fr.

2aLoEÇAXU (Emile-Henri). Jouissance du JUin 1918 au 27 juin 1919. 480 fr.

.LEDOUX (Louis-Benoît).- — Jouissance du ^décembre 1918 au 20 décembre 1919. 240 fr.

fi majorations pour enfants. 90 fr.

HoH)Présentant légal : M. Ledoux (Louis-Be- .LEûunois (Edouard-Paul-Adrien). — Jouis10?.,Ce du 25 octobre 1918 au 21 actobre ') , 720 fr.

n rnajorations pour enfants 180 fr.

PauelPl'ésntant légal : M. Lcdunois (Edouardtm-Adrien).

( Ferdinand-Edouard-Diazis ).

nuance du 14 août 1917 au .1.3 août , 480 fr.

j^?FEBVRE ( Fêrdinand-Edouard-Diazis ).

ïo^1Ssaiice du 14 août 1918 au 13 août d Sauf déduction des sommes perçues a titre ,* gratification du 1er janvier 1918 au 31 décembre 1920: ^BFebvrE (Henri-Joseph). - Jouissance du Novembre 1918au 21 novembre 1919. 1,200 fr.

1 majoration pour enfant 150 fr.

> Représentant légal : M. Lefebvre (HenriSeph).

H^RAND (Maurice-Victor). Jouissance du 1 Novembre 1918 au 10 novembre 19zb. lJ320fr.

i3~ (François-Marie). - Jouissance du * 2 m*1918 air 12 décembre 1920. 480 fr.

HenJ«I /°ns P°ur enfants 120 fr.

Iarie). sentant léSal : M. Le Guern (FrançoisLEGROS (Henri-Léon). Jouissance du 4 révrier1919 fau 3 février 1921 960 Ir.

8j £ 9UI^OU (Jean'-Marie). Jouissance du au ? janvier 1921. 360 fr.

1 majoration pour enfant. 45 fr.

MariD)resentaat légal : M. Le. Guillou (JeantlnE GUy ADER (Louis-Marie-). - Jouissance du t oVembre 1917 au 13 novembre 1918. 240 fr.

LE ?UYADER Jouissance du tiSîombre 1918 au 13 novembre 1920. 1,203 fr.

titt déduction des sommes perçues depuis à titre de gratification du 1er juillet 1918 au 3t d<Mi» embre 1919.

taçyy ADER (Louis-Marie). - Jouissance du 1918 au 17 mai 1920. » » 240 fr.

llnA (Hervé-Joachim). - Jouissance du tg au janvier 1921. 960 fr.

Ju (Henri-François). Jouissance septembre 1918 au 17 septembre ; )., , ,' '0" 240fr.

, ESbLE (Gustave-PierreV Jouissance du ^OvhL°ibre 1918 au 8 novembre 1920 1,440 fr.

(Yves-François). Jouissance r 1919 au 21 janvier, 1921. 240 fr.

î^isJP^IER (Ferdinand-Anatole-Adolphe). 1920 ., anr,e du 14 décembre 1918 ait 13 décembre ,\ 's. iM , , .'tinômÏIt) i£" LE bau 20 oetabro 19-ltH. < 720 îr.

1 octoêtIoux (Pfërre.l1ll'i):::"Joulssahce du L" re 1918 au 10 octobre 1919. 1,440 fr.

J^Ulpt1?,^ (Joseph-Mairie). - Jouissance du 4 Wn37 au 23 juillet 1919. 1,2CO fr.

ep!, J\hon pour cnrant.,. 150 fr.

?sentant légal : ,.M. Le Priol (Joseph; ( Louis-Victor-Pierre - Marie ).

ltlhre 18 duao septembra 1918 au 20 sep1 ; '4SO ; -tr

LEROY (Emile-Lucien).— Jouissance du 15 octobre 1918 au 14 octobre 1920. 1,200 fr.

2 majorations pour enfants. 300 fr.

Représentant légal : M. Leroy (Emile-Lucien)

LEROY (Angeli-Emile).— Jouissance du 15 janvier 1919 au 14 janvier 1921. 720 fr.

LEROUGE (Léonard). — Jouissance du 20 décombre 1918 au 19 décembre 1920..,.. 480 fr.

2 majorations pour enfants. 120 fr.

Représentant légal : M. Lerouge (Léonard).

LESAGE (Jean-Frédéric). — Jouissance du 23 décembre 1918 au 22 décembre 1920. 1,200 fr.

2 majorations pour enfants. 300 fr.

Représentant légal : M. Lesage (JeanFré.

dèric).

LESCURE (Léonard). — Jouissance du 22 novembre 1918 au 21 novembre 1920. — 950 fr.

LE SAUZE (Joseph). — Jouissance du 26 décembre 1918 au 25 décembre IUZO 240 fr.

LÉTÉ ( Germain-Louis-Alphonse ). - Jouissance du 9 novembre 1918 au 8 novembre 1919. 960 fr.

LESTANG (Edouard-Alphonse). — Jouissance du 20 novembre 19i8 au 19 novembre 1920. ', :. 480 fr.

LEVERT (Eugène-Xavier). — Jouissance du 4 janvier 1919 au 3 janvier 1921. 720 fr.

1 majoration pour enfant. 9J fr.

Représentant légal : M. Levert (Eugène-Xavier).

LE ROUXEL (Louis-Joseph). — Jouissance du 26 juillet 1918 au 25 juillet 191!). 480 fr.

LE ROUX ( Guillaume-Francis ). — Jouissance du 25 septembre 1918 au 24 septembre 1919. 480 fr.

LE TOURNER (François). — Jouissance du 22 janvier 1919 au 21 janvier 1920. 240 fr.

LTÉBART (Ernest-Lucien). — Jouissance du 14 février 1919 au 13 février 1921. —, 240 fr.

LIGNIÈRES (Joseph). — Jouissance du 3 janvier 1919 au 2 janvier 1920.,. 480 fr.

2 majorations pour enfants. 120 fr.

Représentant:légal : M. Lignières (Joseph).

LYS (Anatole). — Jouissance du 1er février 1919 <tu 31 janvier 1921. : 1,680 fr.

LOMBARD (Marcel-André). — Jouissance du du 14 août 1918 au 13 août 1919. 480 fr.

LONGIN (Eugène). — Jouissance du 7 janvier 1919 au 6 janvier 1921. 480 fr.

LOUBARESSE (Pierre-Francisque). — Jouissance du 8 novembre 1918 au 7 novembre 191 9 480 fr.

LÔUBIGNAC (Jean) — Jouissance du 10 octobre 1918 au 9 octobre 192,). ,.. 240 fr.

1 majoration pour enfant. 30 fr.

Représentant légal : M. Loubignac (Jean).

LOUPIAS (Joseph-Denis-Albert). — Jouissance du 2 décembre 1918 au 1er -décembre 192 0 480 fr.

LORA1N (Ernest-Auguste). — Jouissance du 31 janvier 1919 au 30 janvier 1921., 480 fr.

2 majorations pour enfants. 120 fr.

Représentant légal : M. Lorain (Ernest-Aqguste).

LÜCCATOXI (Paul-Jean). Jouissance du 13 juillet 1917 au 12 juillet 1920 1,440 fr.

Sauf déduction des sommes, perdues a titre de gratification du 1" janvier 1918 au 31 décembre 1920. :..

LUCIANI (Antoine-pletr,e). - Jouissance du 28 septembre 1918 au 27 sèpt. 1919-. 1,200 fr.

LDCIDARME (Aimable-Joseph). - Jouiss. du \TOctobrei$I6 au 6 octobre 1017'720 fr..

3majorations pour enfants' 270 fr.

Représentant légal : M. Lueidarme (AimableJoseph). ,', Sauf déduction des sommes perçues à titre de gratification du 1er juillet 1916-au 31 décembre 1917. ; ■

LuéiDARME (Aimable-Joseph). — Jouiss. du 7 octobre 1917 au 6 otuobré 1920. ;. 480 fr.

3 majorations-pour enfants. 180 fr.

Représentant légal : M. Lueidarme (AimableJoseph). * •' Sïtuf déduction des .sommes perçues à titre de gratification du 1er janvier 1918 au 31 décembre 1920.

LtICION (Louis). — Jouissance du 26 septembre 1918 au 25 septembre 1919 : —< 720 fr.

3 majorations pour enfants 270 fr.

Représentant légal : M. Lucion (Louis).

LUNA1S (Maximin-Fernand-Désiré). — Jouiss du 24 janvier 1919 au 23 janvier 1921.. 720 fr' 1 majoration purenfant. 90 fr Représentant légal : M. Lunais (MaximinFernand-Désiré).

LUSSEAU (Louis-Jean). — Jouissance du 21 novembre 1918 au 20 novembre 1920. 960 fr.

2 majorations pour enfants. 240 fr.

Représentant légal: M. Lusseau (Louis-Jean).

LUXO (Jean-Baptiste-Antoine). — Jouissance du 24 janvier 1919 au 23 janvier 1921. 960 fr.

MADRKXAS (Joseph-Jacques-Sennen ). Jouissance du 25 novembre 1918 au 24 novembre 1920. 720 fr.

MAGNES (Félix). — Jouissance du 12 décembre 1918 au 11 décembre 1920. 950 fr.

MAGUET (Louis-Stéphane). — Jouissance du 3 février 1919 au 2 février 1921. 960 fr.

MAHAUT (Albert). — Jouissance du 19 décembre 1918 au 18 décembre 1920 4S0 fr.

MAHÉ (Julien-Félix). — Jouissance du 25 octobre 1918 au 24 octobre 1919. 480 fr MAlLLEAU(Benjamin-Julien-Michel). — Jouissance du 12 décembre 1918 au 11 décembre 1920. 720 fr MAILLET (Octave-Louis-Jean). — Jouissance du 21 janvier 1919 au 20 janvier 1921. 1,4 40 fr.

MATNIOL (Félix-Auguste). — Jouissance du 12 novembre 1918 au 11 novembre 1919. 720 fr.

MAITRE (Francis-Joseph). — Jouissance du 31 octobre 1918 au 30 octobre 1919. 4S0 fr.

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Nominations à des emplois réservés

MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE Par arrêté ministériel du 12 février 1920, M. Papail (Albert-Marie), ex-soldat au 10:c régiment d'infanterie, est nommé chef de pratique agricole il l'école d'agriculture de PJouguernevel (Côtes-du-Nord). D 1 1

PRÉFECTURE DE LA SEINS Par arrêté du préfet de la Seine en date du 12 février 1920, M. Pigot (DésiTé), candidat déclaré admissible à l'emploi de commis dessinateur à la suite du concours du 7 octobre 1913, est -nommé commis dessinateur de S" classe (3e tour), et affecté au service de la voie publique'(bureau de l'inspecteur généraH, en rem.

placement de M. Nixon, commis dessinateur, appelé à un autre service.

PARTIE NON OFFICIELLE

Voyage du Président de la République à Thionville et à Verdun.

Le Président dé la Républigue a quitté Pâri's samedi soir pour aller rornottre la croix de la Légion d'honneur à la ville de Thionvillo et la Croix de guerre, à la ville da Verdun. , - M. Poincaré était accompagné de M. Maginot, ministre des pensions de guerre, député de la Meuse, du général Uirsciiauer, du colonel Sthul, de M. Margueiio et âe M. Bompard, sénateurs, du gôn:'ril - de faud'huy, de MM. Charles François, Robert Serot, Schumann et Mcyr, députés de la Moselle, de M. Grosdidiér, sénateur, et de M. Serrette, député de la Meuse, sdu général Pénelon, secrétaire général militaire de Ii


présidence, de M. William Martin, directeur du protocole, et du colonel Blavier, de sa maison militaire.

Journée du dimanche 15 février.

A son arrivée à Thionville, le Président de la République est reçu par M. Rimbert, commissaire général par intérim de la République en Alsace et en Lorraine, M. Manceron, préfet de la Moselle ; le général Berthelot, commandant supérieur du territoire de Lorraine ; le général Hergot, commandant la place de Thionville; M. Zimmer, maire de la ville et M. Vinsback, maire de Metz.

M. Poincaré passe en revue la compagnie d'infanterie qui rend les honneurs ; puis il se rend dans une salle d'attente spécialement aménagée, où les autorités et les corps constitués de la ville lui sont présentés.

Il se porte ensuite au devant de la grandeduchesse Charlotte de Luxembourg, qui arrive par train spécial, accompagnée du prince consort Félix de Bourbon, et de M. MoIIard, ministre de France à Luxembourg. Après avoir échangé avec la grandeduchesse et le prince des compliments très cordiaux, M. Poincaré leur présente les personnes de sa suite. La-grande-duchesse, de son côté, présente M. Emile Reuter, ministre d'Etat, M. Housse, maire de Luxembourg et M. Alturis, président de la Chambre luxembourgeoise. Ensuite a lieu dans le wagonsalon du train présidentiel un entretien auquel prennent part le Président de la République, la grande-duchesse et le prince, entourés de MM. Maginot, Reuter et Mollard.

Puis la grande-duchesse et le prince, accompagnés de M. Poincaré, passent en revue le 182e régiment d'infanterie, et, escortés par un escadron de cavalerie, se rendent en voiture sur la place du Marché.

Sur tout le parcours, la foule, massée derrière les haies de soldats, fait entendre des cris enthousiastes de : « Vive la grandeduchesse! Vive Poincaré ! Vive la France !

Vive le Luxembourg ! Vive la Lorraine ! »

Le bruit des acclamations cesse lorsque le Président de la République prend place sur une estrade avec la grande-duchesse, le prince, les ministres et les autorités.

M. Poincaré prononce alors le discours suivant :

Messieurs,

Lors de l'inoubliable accueil que vous m'avez fait au mois d'août dernier, je n'ai pu m'empêcher de vous dire avec émotion: « Comment donc les Allemands ont-ils osé tenter de germaniser Thionville et l'appeler Diedcnhofen? Vos ancêtres sont Français depuis plus longtemps que les miens. »

Prise, en effet, une première fois par le duc de Guise en 1558 et rendue, l'année suivante, à Philippe II, roi d'Espagne, par le traité de Cateau-Cambrésis, Thionville a été, bien avant toutes les autres villes lorraines, incorporée à la France, en 1643, à la suite de la victoire de, Rocroi. Il y avait longtemps qu'elle parlait français et que ses sentiments la poussaient vers sa nouvelle patrie.Elle était même, - comme en fait foi son nom, Theodonisvilla, d'origine latine. Elle

avait vu les Romains combattre les Barbares. Elle avait vu plus tard Charlemagne rédiger quelques-uns de ses capitulaires et régler le partage de son empire. Puis elle avait appartenu, tour à tour, aux comtes de Luxembourg, aux ducs de Bourgogne, aux empereurs d'Autriche et déjà elle avait subi des sièges nombreux : siège de 1528, siège de 1559, siège de 1639. Celui qui venait, en 1643, de la donner à la France ne devait pas être le dernier : mais elle savait que, désormais, elle ne lutterait plus que pour la France, et elle s'en réjouissait.

Sa charte d'affranchissement qui date du 15 août 1239 est écrite en langue d'oïl, c'està-dire en Français, comme tous les vieux manuscrits du pays messin, et vous conservez pieusement dans. vos archives municipales les témoignages d'une tradition qui ne s'est jamais démentie.

Thionville fut une des villes de l'Est qui accueillirent avec le plus d'enthousiasme la prise de la Bastille et la Révolution française. Ses habitants étaient, depuis longtemps, connus pour leur esprit d'indépendance, leur passion pour la justice, leur attachement aux franchises communales. Dès 1791, ils fondaient, dans la salle de l'ancien bailliage un club où se rencontraient trois futurs conventionnels : Merlin, Bar et Thirion. L'année suivante, la place était menacée par les émigrés et par les Autrichiens. Assez mal défendue par d'anciennes murailles de Charles-Quint qu'avait rajeunies Cormontaigne, par sept

bastions couverts et par un ouvrage à cornes, elle était médiocrement approvisionnée. Elle avait, en outre, pour commandant supérieur, un homme dont l'attitude a été diversement jugée et contre lequel ont été portées de graves accusations. Mais il y avait, dans la garnison, des officiers patriotes et résolus comme Semellé, Pouget, René Moreaux et Lazare Hoche qui était alors lieutenant et qui, deux ans plus tard, devait revenir à Thionville comme général et y épouser une jeune fille de seize ans, dont il était épris, Anne-Adélaïde Dechaux.

Il y avait, en outre, cinq bataillons de volontaires, ceux de la Meuse, des Ardennes, de la Moselle et de la Meurthe, et vous avez bien voulu, à une précédente' -visite; mè rappeler que ce dernier était commandé par le lieutenant-colonel Poincaré, ancien commandant en chef de la garde nationale de Nancy. Comment ne serais-je pas fier que mon nom soit ainsi associé à l'une des belles pages de votre histoire.

Par un décret du 4 décembre 1792 « An premier de la République française », la Convention a proclamé que la ville et la garnison de Thionville avaient bien mérité de la patrie. Et je sais bien que, depuis lors, on a prétendu qu'en présence d'un ennemi peu mordant, les troupes qui défendaient la ville n'avaient pas eu à faire, pour obtenir la levée du siège, des efforts exceptionnels.

Mais, si quelques-uns des princes et gentilshommes émigrés, qui étaient venus là, aux côtés de Hohenlohe et des Autrichiens,

menaient, dans leur camp, cette vie que Chateaubriand trouvait, disait-il, « amusante » et dont il a tracé un tableau si pittoresque, si votre compatriote Merlin a peut-être exagéré, à la Convention nationale, les horreurs du bombardement que la place avait eu à subir, il n'en reste PaS moins, comme le monlre M. l'abbé Beck- mann en sa remarquable étude, que 13 ville assiégée par 20,000 hommes, et sommée deux fois de se rendre, a résisté victorieusement au blocus et à l'assaut.

Le 6 septembre 1792, elle a été si vÍoleIW ment canonnée que Chateaubriand admr rait, la nuit, les paraboles de lumière que décrivaient les bombes et les lueurs subites qui frappaient les nuages, lorsqu'on mettait le feu aux pièces. Et il ajoute, danS les Mémoires d'oulre-lombe, ces lignes dés' enchantées : « Dans les intervalles deS détonations, on entendait des roulement de tambour, des éclats de musique militaire et la voix des factionnaires sur les remparts de Thionville et à nos postes; malheureu' sement, ils criaient en français dans les deux camps : « Sentinelles, prenez garde à vous ! » Assurément ces traits ne nous raP* pellent rien des combats qui se sont livréS en France de 1914 à 1918. Mais, Autrichiens et émigrés n'en sont pas moins restés so Thionville pendant plusieurs semairi(,,C, et c'est seulement le 30 septembre et, apre plusieurs sorties de la garnison, que les coalisés commencèrent à battre en retrait' Dans un rapport à l'empereur d'Autr,IC Hohenlohe déclare lui-même que, si Thi0*1 ville ne s'est pas rendue, c'est à cause d6 l'indomptable énergie des canonniers et dO la garde nationale. Le siège de 1792 e meure donc un glorieux épisode de vo liictniro

Celui de 1814 est venu jeter sur vo\- vaillante cité une nouvelle illustration. Le 9 alliés avaient franchi le Rhin ; les troUpe françaises décimées s'étaient retirées V tement sur la Moselle. Nos forteresses r l'Est étaient dans un état très critique, c depuis quelque temps, c'était à celles, do l'Elbe, de l'Oder et de la Vistule qu'avalo' été réservés tous les soins. Le généra1 ^*fl- pold Hugo, maréchal de camp, avait Il chargé du commandement de ThionvilI:I'ai' avait un fils de douze ans qui s'Pvoir Victor et qui, plus tard, en 1871, après av rempli le monde de l'éclat de son noTI1 1>rC, vait venir, devant Thionville Pr*sonnl évoquer le souvenir des exploits patcrnral La garnison était si faible que le gérlerli Hugo constitua, avec le concours des l'dcut tants, une compagnie de pompiers et t tants, une compagnie de pompiers et compagnies de garde nationale. Dès les OJ.so,

miers jours de janvier, l'armée Jl\)". > sous les ordres du prince électeur luis'approchait de la place; elle était apptlYet par des détachements de cosaques, et" essayait d'investir Thionville. pour d?S:iit rer le blocus, le général Hugo multIPdt\llt les reconnaissances et les sorties. peIl ¿ra'" les mois de février et de mars, }eS^ni, tions ne se ralentissaient pas un ius Le (38 Supplenie


to avril, un parlementaire ennemi venait énoncer que Paris s'était rendu aux alliég et que Louis XVIII était rétabli sur le trône.

Le général Hugo refusait cependant de retnettre la forteresse et ne s'y résignait quelques jours après, que sur les ordres formels de ses supérieurs. Thionville était désarmée après la paix, mais, un an plus tard, elle était menacée d'un nouveau Siège.

Le 25 juin 1815,1e lieutenant-général CzertutCher, commandant l'avant-garde de l'artnée russe, fit sommer la place de se rendre * l'empereur Alexandre. Le général Hugo, .qi était encore à Thionville, répondait, d abord, par un refus ; mais bientôt après, les renseignements qui arrivaient à ThionT*116» et la nouvelle de la soumission de , armée de la Loire, déterminaient le conseil de défense à arborer le drapeau royal Iles troupes à changer de cocarde. Votre "lllc, du moins, resta Française à un moen nos frontières de l'Est étaient, sur Plusieurs points, ébréchées par la coalition.

Mais la plus belle défense de Thionville est celle qu'elle a opposée, en 1870, à l'arInée allemande. Le 20 juillet, la place avait Plus que jamais une physionomie martiale.

Fantassins, hussards et dragons, campaient 8ur les glacis ; sur le champ de manœuvres paient alignées les batteries d'artillerie.

votre patriotique population était pleine r eUle confiance. Le 6 août suivant éta't leu la bataille de Forbach ; la Lorraine tÔt 1. envahie et les Prussiens arrivaient bien" tôt sous les murs de Thionville. La place se cli 1"* en trois parties : la forteresse de la \ln raUChe, la forteresse de la rive droite, et Un ete de pont appelée le couronné d'Yutz.

De S bastions étroits, un ouvrage à cornes, co fOSSés taillés en ciseaux, un chemin til,Vert, quelques lunettes en ruines, tels sir lent à peu près les seuls ouvrages défensifs' Ijes hauteurs qui dominent la ville se,

e' ^3 deux rives n'étaient pas organisées 'il POsItIOns militaires et il n'y avait point la orts détachés. Depuis le 10 mars 1869, .., Place était commandée par le colonel ..t.l1rIl' rilier, du 48e de ligne, dont le manque tarergie ne devait malheureusement pas 'IÙl er à se révéler. Dans les journées Suivi la déclaration de guerre, lài avHle avait vu passer ce magnifique 4* lD.ir()rps flue commandait le général de Ladïïiir ault ; mais toutes ces troupes étaient, biltales après les autres, parties pour la tgi le, et il n'était resté que le dépôt d'un fywTent- Un bataillon de chasseurs, venu » avait dû être envoyé à Metz; et ^ta^16111 la faible garnison de la ville ne <le iiI grossie que du dépôt du 44e régiment \>1\ire et d'une poignée d'artilleurs. Il y 13 Ivau a' au total, 199 bouches à feu. Le trl!lIldt, la 310 brigade d'infanterie alletïlanfl Cornmandée par le général von nile. Iserlau, avait reçu l'ordre de se porter lteti emain sur Thionville. Elle s'était lle vement mise en marche le 14 et elle avait passé la nuit à proximité de la Supplément.)

ville Un espion lui avait indiqué un gué par où elle devait se glisser de la rive droite à la rive gauche, pour occuper la gare, couper les voies et interrompre les communications télégraphiques. Au moment où l'ennemi approchait de la rivière, la généralo était battue dans les casernes de Thionville et le tocsin alertait les soldats et les citoyens. Les assaillants étaient accueillis par un feu nourri d'artillerie et de mousqueterie et se hâtaient de battre en retraite. Après cet échec, les Prussiens renoncèrent à l'idée de surprendre la place et se bornèrent à la tenir en observation.

Les derniers jours du mois d'août furent marqués par des reconnaissances et de petits combats d'avant-postes, pour la plupart livrés par des francs-tireurs de Thionville, à Stuckange, à Ebange, à Beauregard. Un peloton de hussards prussiens vint occuper le village d'Yutz-Haute et expulsa les habitants. Les Thionvillois, de plus en plus isolés du reste de la France, se perdaient en conjectures sur ce qui se passait. Ils s'attendaient à voir Bazaine sortir de Metz et voler à leur secours. Mais personne ne venait et' au contraire, les Prussiens recevaient des renforts. Le 6 septembre, vers neuf heures du matin, un lieutenant de cavalerie allemand arrivait à votre porte de Metz et faisait sonner au parlementaire. Il était por teur d'une sommation. Le colonel Turnie- répondit qu'il était prêt à défendre la place jusqu'à la dernière extrémité. Le même jour une sortie était opérée par des fantassins, des dragons, des mobiles et des francstireurs, mais elle échouait devant une violente fusillade partie des tranchées-abris que les Allemands avaient ouvertes sur le chemin qui relie Yutz-Haute à Illange. Le soir, des infirmières venues de Sedan par la Belgique, annonçaient à la population stupéfaite la douloureuse capitulation. Votre confiance cependant n'en fut point ébranlée. La proclamation de la République, dont la nouvelle vous parvenait par la même voie, réveillait au contraire en vous les souvenirs de 1792 et plus que jamais vous espériez être bientôt délivrés.

Votre maire était alors un vigoureux vieillard de soixante-dix-huit ans, M. Arnoult, ancien notaire, né en 1793 à Thionville, où il est mort, pendant l'annexion, à un âge très avancé. Le 10 septembre, il s'adressait aux habitants dans ces termes : « La vaillante nation française ne peut succomber ; elle va se relever et se montrer grande dans ses revers. Sachons attendre les événements avec le calme et la fermeté du grand peuple auquel nous sommes fiers d'appartenir et travaillons aussi au salut du pays. Dieu aidant, nous pourrons un jour nous glorifier d'avoir, comme nos pères de 1792, conservé notre ville à la patrie. Vive la France ! Vive la République ! »

La garnison recommença ses sorties ; le 20 septembre, elle capturait même soixante voitures d'un convoi destiné aux troupes qui assiégeaient Metz; le 26 elle attaquait

les Prussiens à la ferme Gassion et le commandant Bernardy de Sigoyer, qui avait réu(li sous ses ordres, quelques braves soldats échappés de Sedan, essayait même de s'ouvrir la route de Metz. Mais les assiégeants renforcés achevaient d'investir la place et le colonel Turnier ne faisait pas pour les en empêcher, l'effort suprême auquel se serait résolu un chef plus énergique. A partir du 6 octobre, Thionville est complètement bloquée. Une dernière sortie a lieu le 17, dans la direction de Guentrange et de Chaudebourg, et plusieurs officiers ou soldats s'y signalent par d'admirables faits d'armes ; mais, après cette tentative, le colonel Turnier laisse ses troupes dans l'inaction et c'est l'agonie de la place qui commence. Cependant la capitulation même de Metz n'avait pas découragé la po' pulation thionvilloise, qui attendait sans effroi les bombardements dont l'ennemi l'avait plusieurs fois menacée.

La He division prussienne, libérée par la chute de Metz, s'était installée sous vos murs ; des batteries de siège avaient été amenées de Spandau ; des trains nombreux avaient apporté à l'ennemi des approvisionnements et des munitions. Huit batteries avaient été disposées sur la rive droite à Yutz-Haute, sur les hauteurs d'Illange et dans le bois ; onze sur la rive gauche, au chàteau de Serre, à Veymerange, à Marienthal, à la Maison-Rouge, à la Maison-Neuve.

Le 22 novembre, après trois sommations préalables, toutes ces batteries ouvraient le feu contre la ville. L'artillerie française ripostait bientôt vigoureusement et souvent avec succès. Mais, après quelques heures de riposte, le colonel Turnier crut devoir cesser le feu et condamner la place au silence, dans l'intention, disait-il, d'épargner les nunitions.

Vingt et un mille obus prussiens continuèrent leur œuvre de ruine et de mort.

Les maisons, les édifices publics, l'église, la sous-préfecture, le tribunal, l'hôtel de ville, les hôpitaux s'écroulaient. Des incendies s'allumaient partout. La ville était enveloppée de flammes et de fumée. Le colonel Turnier interrogea son conseil de défense qui, à la majorité, émit l'aVis que la capitulation s'imposait. Cette décision souleva de vives protestations parmi les habitants et, dans les caves où ils s'abritaient, éclatèrent des cris indignés. Mais l'ennemi, pour avoir raison de cette patriotique résistance, avait refusé de laisser sortir les vieillards, les femmes et les enfants. Il n'y avait plus qu'à subir l'inévitable. Le drapeau des parlementaires fut hissé par ordre du commandant de la défense et le 25 novembre, à onze heures du matin, les Prussiens défilaient fifres en tête, au milieu des décombres amoncelés dans Thionville. Rue Neuve, rue de Paris, rue Brûlée, rue du Four-Banal, place au Bois, rue de l'Hôpital, j'ai retrouvé dans les photographies que vous avez fidèlement conservées le spectacle de désolation que donnaient alors toutes les voies de la cité; et dans un jour• ••


nal du siège, écrit par un de vos compatriotes, M. Raulet, j'ai lu avec émotion ce dernier mot, daté du 24 novembre i870 ; « La ville est en feu. »

Thionville s'était sacrifiée pour la France et Thionville allait hélas ! être arrachée à la France. Pendant quarante-huit ans, elle est restée sous la domination étrangère ; pendant quarante-huit ans, elle a conservé intact, au fond d'elle-même, son amour pour la patrie dont elle était séparée.

Lorsque l'Allemagne, ivre d'orgueil et d'ambition. a entrepris une guerre nouvelle pour

établir son hégémonie - sur le monde, vous vous êtes aussitôt senti renaître à l'espérance. Encore avez-vous dû attendre quatre longues années la certitude de votre libération et, pendant cette période d'expectative impatiente, vous avez subi plus cruellement que jamais les vexations des autorités germaniques. En même temps, si éloignés que vous fussiez du front de combat, vous avez été plusieurs fois bombardés par avions alliés. L'armée française avait soigneusement recommandé à ses aviateurs de ne pas jeter de bombes sur Thionville ni sur aucune autre ville de Lorraine ou d'Alsace ; mais la même précaution, n'était pas toujours prise par nos alliés et, comme il y avait à Thionville d'importantes organisations militaires allemandes, des raids aériens, dirigés contre elle, ont fait des victimes parmi les habitants. : 47 morts et 47 blessés et, dans le nombre des femmes et des enfants. Et ce sont des familles profondément dévouées à la France qui ont dû ainsi payer de leur sang la délivrance de la Lorraine. Que les survivants reçoivent, du moins, aujourd'hui le témoignage de la reconnaissance française !

C'est pour remercier Thionville de tant d'épreuves valeureusement supportées que le Gouvernement de la République a tenu à lui conférer la croix de la Légion d'honneur. Je suis heureux de lui en remettre aujourd'hui les insignes.

Après avoir épinglé la croix de la Légion d'honneur sur un coussin en soie blanche aux armes de la ville, le Président de la République donne l'accolade au maire qui lui répond en ces termes :

Monsieur le Président, C'est avec une joie indicible que j'ai le grand honneur de vous saluer pour la deuxième fois à Thionville. Avant de clore votre septennat, si tragiquement interrompu par la guerre, mais aussi, glorieusement marqué par la victoire, vous avez tenu à revenir dans cette ville que vous savez éminemment française et républicaine. Nous vous en savons un gré infini.

Lors de votre précédente et trop courte visite à Thionville, où vous fûtes accueilli avec cet enthousiasme que justifiaient vos services éclatants et votre descendance fcvec l'un des plus brillants défenseurs de cette ville, j'eus l'occasion dé vous redire à grands traits le magnifique passé de gloire militaire de Thionville. Aujourd'hui, vous venez l'en récompenser en lui décernant la distinction suprême, la croix de la Légion d'honneur.

Au nom de toute la population thionvilloise, je vous en exprime notre plus profonde reconnaissance. Cette croix des braves dont va s'orner notre blason rappellera aux générations futures les défenses héroïques de 1792, 1814, 1815 et 1870, où tous, civils et soldats, rivalisèrent de vaillance et de bravoure pour conserver Thionville à la France.

Elle sera comme le corollaire du fameux décret de la Convention nationale qui portait que la ville et la garnison de Thionville ont bien mérité de la patrie.

Il nous apparaît particulièrement agréable de voir notre ville récompensée parle grand citoyen qui lui-même vient d'être l'objet d'une distinction aussi exceptionnelle.

Soyez assuré, monsieur le Président, que si, dans l'avenir, les nuages viennerit à s'amonceler et à s'obscurcir, si Thionville, sentinelle avancée de la France, vient à être de nouveau attaquée, soyez assuré que nous saurons la défendre avec la même énergie, la même bravoure et le même courage que nos ancêtres et que nos pères pour la conserver encore et toujours à la France et à la République.

Ensuite a lieu devant le Président de la République et la grande-duchesse le défilé des régiments de la garnison et du territoire de Lorraine, précédés d'une compagnie de soldats portant le costume de l'armée du Rhin et de la Révolution. Les jeunes classes qui forment notre armée marchent avec un entrain qui soulève les cris répétés de : « Vive la France ! Vive l'Armée ! » Ils sont suivis des civils, anciens combattants, des enfants des écoles et des vétérans de 1870-71. La musique de la garde luxembourgeoise vient ensuite, précédant plusieurs sociétés avec leurs bannières.

Après le défilé, le cortège se reforme et gagne la mairie où la municipalité offre un déjeuner en l'honneur du Président de la République et de la grande-duchesse, au cours duquel M. Poincaréporto à S. A. R.

la grande-duchesse du Luxembourg, le toast suivant :

Madame, Je suis très reconnaissant à Votre Altesse Royale d'être venue aujourd'hui à Thionville et d'avoir ainsi donné à la France une nouvelle preuve des sentiments d'amitié qu'a pour elle le peuple luxembourgeois.

Je saisis avec joie cette occasion de vous assurer que le Gouvernement de la République a la ferme intention de travailler d'accord avec vous, à fortifier les excellentes.

relations qui existent si heureusement entre nos deux pays, et aussi entre eux et leur commune voisine, la Belgique.

Je lève mon verre en l'honneur de Votre Altesse Royale et de Son Altesse Royale le prince Félix. Je bois à la prospérité du Luxembourg.

La grande-duchesse a répondu : Je suis heureuse d'accepter aujourd'hui l'hospitalité de la ville de Thionville à laquelle nous rattachent depuis des siècles tant d'affinités et tant de liens d'amitié.

Monsieur le Président, en vous remerciant de tout cœur des paroles amicales que vous venez de m'adresser, je tiens à vous dire l'infinie reconnaissance que mon peuple et moi conservons à la noble nation fran-

çaise qui, avec le concours de ses glorieux alliés, a libéré notre territoire de l'envahis?

seur étranger.Laissez-moi vous dire encore, monsieuF le. Président, toute l'admiration que noul vouons à la France victorieuse, fidèle à se?

chevaleresques traditions, protectrice d1 nations faibles et opprimées, qui, au pri* de sacrifices inouïs et grâce à son incompa" rable armée conduite par des chefs digu®3 de tels soldats, a su rétablir le règne de M.

justice, du droit et de la liberté des peuplé Je suis convaincue que la vieille et pro fonde sympathie qui unit le Luxembourg .la France et la Belgique et qui va désormais s'épanouir sans entraves, deviena pour les trois pays une source de sécurité de prospérité et de bien-être matériel e moral.

Je lève mon verre en l'honneur de M.Po~ caré, je bois à la grandeur, à la gloire et * la prospérité de la France.

Ces deux toasts ont été écoutés debout par les invités, tandis --que les musiqueg jouaient l'hymne luxembourgeois et la Marseillaise. -

A leur sortie de l'hôtel de ville, le Prégl* dent de la République, la grande duchés8 et le prince sont l'objet de chaleuréus^ acclamations jusqu'au moment où M. POl6 caré, ayant salué la grande-duchesse et g prince Félix, et pris congé des personUe.

qui les accompagnent, remonte dans SO train.

Le train royal et le train président partent à quelques minutes d'intervalle premier dans la direction de Luxembourg le second pour Verdun, où se rend le Pr sident de la République pour remettre cette cité la deuxième palme qui lui a é décernée par le Gouvernement.

Journée du 16 février.

.dl

Le train présidentiel est resté, pendant: nuit, en gare d'Etain, et M. Poincaré a tCrl avant de quitter rette petite ville, à en 11 courir les ruines. art Après cette visite, qui dure un Ilart d'heure environ, M. le Président de gé, publique remonte dans son train qUI Pest aussitôt pour Verdun, où M. Poincaré jj, salué, à son arrivée, par MM. Chevalie^ nateur: Revault et Lecourtier, députésû Meuse; Emerv, préfet de la Meuse; ROot1!' mairede Verdun; les généraux DLip Ort,ool' mandant le 6° corps ; Boichet, conima0 pt d'armes.

Les honneurs militaires sont renduy^ le 132e régiment d'infanterie. A sa sortie 3 la gare, le cortège présidentiel se re. o cimetière militaire du Faubourg-pa j de M. Poincaré dépose une palme au Pl. ed dO la grande croix, élevée au centre du c la grande croix, élevée au centre

---- -.. TIJV Le Président de la République se de 13 ensuite au village de Bras, au piC stJ[Je9 Côte du Poivre, où il visite quelque desmaisons du nouveau village, é é de celui démoli. Puis il rentre à Yeré pot M. Poincaré traverse à pied la c'té POJt se Tondre au collège Buvignier, oulO¡e pat..

lui rendre au collège Buvignier, a t a cours il est l'objet de chaudes 0$' Dans la cour du collège M. P°m'eaT°"/pre?

place sur une estrade et devant u e ci, tance nombreuse prononce le dise r5$ vant :


Messieurs, Le 14 septembre 1916, au moment où s'achevait, après une longue série de combats, la glorieuse victoire de Verdun, je Venais, dans la ville déserte et dévastée, épingler à ses armoiries la croix de SaintGeorges de Russie, la Military Cross britannique, la médaille d'or italienne de la valeur militaire, la croix belge de Léopold 1er, a médaille d'or serbe de la bravoure militaira, la médaille d'or d'Obilitch de Monténéro et la croix française de la Légion d'honneur.

Les Allemands, qui n'avaient pu prendre a Place, continuaient à la bombarder vio*0rntnent. Les obus tombaienf sur vos maisons écroulées, comme pour s'acharner à les réduire en poussière et, chaque jour, de Nouveaux incendies s'allumaient dans vos rUes encombrées de démolitions. 1 C'est dans la citadelle, en présence du général Pétain, du général Nivelle et des ressentants alliés, que la cérémonie s'acCOmplit avec une émouvante simplicité et C'H félicitant les admirables troupes qui avaient sauvé Verdun, je tachais de résumer, en quelques mots, les conséquences Militaires, politiques et morales de leur distance héroïque.

Je constatais d'abord que la magnifique défense de Verdun avait permis à tous les t :ni6s de travailler, avec une activité croisente: à la fabrication du matériel de guerre P qu elle avait laissé à la Russie le temps engager ses offensives de l'été de 1916, à tolié le temps d'organiser l'attaque de 0rizia, aux troupes anglo-françaises le 0rflps d'entreprendre les opérations de la t'rnll}e, a l'armée d'Orient le temps d'ou-tilbr et de concentrer ses divers éléments ans la péninsule balkanique.

l' ,Ma1s je cherchais aussi à rnontrertlue lil oc de l'Allemagne devant Verdun avait II Pour la France, dans le monde entier, a n irnense succès moral, qu'il avait fait traître clairement à des nations encore eutres la fermeté et la constance de notre £té Onté de vaincre, ainsi que le premier llo clin de la puissance germanique. « Ce de Verdun, disais-je,-ce nom de Ver{Jo n, duquel l'Allemagne avait elle-même 1 f.I nO.6 une signification symbolique et qui ¡'i \'aIt, croyait-elle, évoquer bientôt devani tQgination des hommes une défaite écla0 d notre armée, le découragement (\Sêdlable de notre pays et l'acceptation p Ssive de la paix allemande, ce nom oPrésente désormais, chez les neutres berne chez nos alliés, ce qu'il y a de plus beau , de phs pur et de meilleur dans Ne doutez pas, en etret, messieurs, que tlOt: doutez pas, en effet, messieurs, que Soif retentissante victoire n'ait grandedeux contribue à éveiller, jusque dans les Qeu ^^riques, des sympathies qui nous Ont Peu à peu préparé de "houvelles alliante 6 avril 1917, lorsque je télégraphiais pr ésident des Etats-Unis pour remercier eo" Peuple d'avoir, à son tour, embrassé la e la justice et de la liberté, nous

avions tous le droit de penser que, si la guerre sous-marine avait été le motif principal de l'intervention américaine, l'opinion qu'avaient donnée de la France à l'étranger des batailles comme celles de la Marne, de l'Yser, de l'Artois, de la Somme, de Verdun, n'avait pas été sans influencer une détermination dont allait dépendre le sort de la guerre.

Peu de temps auparavant, M. le président Wilson s'était adressé aux nations belligérantes pour leur demander si elles pouvaient faire connaître publiquement leurs conditions essentielles de paix ; et le Gouvernement de la République n'avait eu aucune hésitation à répondre que, pour nous, il ne pouvait y avoir de paix juste et solide sans réparations pour le passé et sans garanties pour l'avenir. Et, le 12 janvier 1917, faisant de cette réponse un commentaire public destiné au peuple américain, je disais : « Pour que des ententes internationales, - telle que la société des nations, — puissent produire plus tard leur effet bienfaisant, il faut commencer par restaurer les droits violés et par prémunir l'Europe contre une paix qui contiendrait

le germe de nouveaux attentats. Nous avons notamment parlé dans notre réponse de la restitution des provinces autrefois arrachées par la force ou séparées contre le gré des populations. Pendant quarante-quatre ans, la France a étouffé la douleur que lui causaient ses anciennes blessures. L'Allemagne lui avait enlevé, en 1871, l'Alsace-Lorraine, malgré le vœu unanime des habitants. Quelque cuisant regret qu'elle en eût éprouvé, la France n'aurait jamais voulu faire une guerre de revanche. Elle .savait trop, hélas! ce qu'une guerre coûterait à l'humanité. Elle a attendu, — en prenant soin d'écarter de son mieux.toutes les occasions de conflit. Elle s'est montrée patiente et résignée. Elle a supporté des provocations comme celles de Tanger, d'Agadir et beaucoup d'autres. Mais aujourd'hui que, sans motifs, on lui a déclaré la guerre; aujourd'hui que son sang a coulé par la faute d'autrui, comment pourrait-elle ne pas élever une revendication fondée sur le droit et sur la justice? » Ainsi, lorsque les Etats-Unis se sont rangés à nos cotés, ils savaient, par les déclarations les plus solennellement faites au nom de la France, que nous ne déposerions pas les armes avant d'être en mesure d'obtenir de l'Allemagne des réparations, des garanties et la restitution de nos provinces.

Pour que les Etats-Unis consentissent à faire leurs les conditions que nous jugions nécessaires, il fallait, bien entendu, qu'ils eussent confiance, non seulement dans la valeur de nos armées combattantes, mais dans l'énergie et dans la ténacité du peuple français. Et Verdun avait certainement été, à leurs yeux, la caution la plus éclatante de ces grandes vertus nationales.

Aussi bien, la plupart des chefs d'Etat alliés ont-ils tenu à venir avec moi, pendant le cours des hostilités, saluer votre

ville martyre, visiter votre citadelle et parcourir les environs de la place. C'était, pour chacun d'eux, une sorte de pèlerinage patriotique et ils m'ont tous confié l'émotion qu'ils éprouvaient à s'incliner devant votre illustre cité et à voir la zone désolée de terre lorraine qui entoure ses vieilles murailles.

Le 29 août 1917, quelques jours avant d'aller au grand quartier général américain, passer en revue les premières troupes du général Pershing, je m'arrêtais encore à Verdun pour remettre au général Pétain la grand croix de la Légion d'honneur. La ville était toujours vide de ses habitants ; ils étaient, hélas! comme ceux de toutes les communes voisines, dispersés à travers la France. Mais l'ennemi venait d'être chassé, après une savante préparation d'artillerie, des hauteurs si souvent disputées d'où il dominait nos positions, surveillait nos mouvements et réglait le tir de ses batteries.Et rendant, une fois de plus, à Verdun la justice qui lui était due, je disais au général Pétain que ce sol bouleversé, ce soi illustré par tant de combats et sanctifié par tant de sang versé, ce sol que j'avais si souvent parcouru au cours des batailles, ne formait plus seulement désormais les avancées d'une place célèbre, mais le glacis d'une citadelle idéale où s'était retranché le droit éternel.

Tous ces souvenirs se pressent dans mon esprit aujourd'hui que je reviens au milieu de vos ruines et que j'y retrouve les liabitants déjà rentrés en grand nombre après un si long et si douloureux exil. Verdun a été, dans la guerre, l'une des plus glorieuses représentations de la résistance nationale; elle demeure aujourd'hui, dans 1 a paix, un des exemples les plus significatifs et un des emblèmes les plus tragiques des souffrances que notre pays a eu à endurer pour repousser l'invasion.

Que viennent ici, de tous les points du monde, des voyageurs curieux de connaître les champs de bataille où s'est décidé lo sort de l'humanité ! Ils ne verront plus, autour de la place où s'est brisé le flot germanique, que des amas de décombres, là où il y avait naguère des villages florissants, des espaces nus, là où s'élevaient do belles forêts, des landes stériles, un solpier.

reux, aride, inégal, criblé de trous, privé d'humus, là où s'étendaient des champs fertiles et où nos cultivateurs récoltaient tous les ans de riches moissons.

Pour moi, messieurs, j'ai été touché jusqu'au fond du cœur, lorsqu'après tant d'épreuves la ville de Verdun et, avec elle, les communes du département de la Meuse qui ont été le plus cruellement blessées par la ,uerre, se sont tournées vers moi, d'un mouvement unanime et spontané, et m'ont dit :« Puisque vous arrivez au terme de votre magistrature, nous vous choisissons, de nouveau, pour représenter, dans les assemblées politiques, notre pays, qui est le vôtre, celui où vous êtes né, celui dont vous étiez l'élu au moment


où l'assemblce nationale vous a désigné, il y a sept ans, pour présider aux destinées de la France ». En acceptant le mandat que vous m'avez ainsi conféré, j'ai compris sans peine, mes chers amis, les devoirs qu'il m'imposait vis-à-vis de mon département natal, vis-à-vis de cette petite patrie qui m'est toujours restée si chère, vis-à-vis surtout des régions de la Meuse qui ont été, soit occupées par l'ennemi, soit ravagées par les batailles et qui ont aujourd'hui tant de mal à retrouver leur prospérité passée. J'ai compris aussi les nouveaux devoirs que votre initiative allait me faire contracter vis-à-vis de la France.

Pour les remplir les uns et les autres, je n'aurai, j'en suis sûr, qu'à écouter la voix de Verdun et à suivre les conseils que donne votre ville à tous ceux qui savent comprendre son sublime- langage.

« J'étais, sur la Meuse, nous dit Verdun, la sentinelle avancéë de la France. Comme toute la Lorraine, je me tenais sur une sage et prudente défensive. Depuis que l'Allemagne nous avait, en 1870, arraché, avec l'Alsace, la moitié de la province à laquelle j'appartiens, il n'était pas sorti de mes murs un mot de provocation. J'avais enfermé au fond de moi-même mes regrets et mes espérances ; j'avais tressailli aux défis renouvelés que nous avait adressés l'empire germanique ; mais jamais je n'étais sortie de ma réserve et de ma dignité.

« Ce n'est pas ici, ce n'est pas en Lorraine, qu'on a jamais pu souhaiter la guerre. On n'oubliait rien ; on n'abdiquait aucun des droits que le passé nous avait donnés sur l'avenir; mais, même pour assurer le retour de la justice, on se serait gardé de rienfaire ou de rien dire qui pût amener une conflagration. Ne savais-je pas" moi Verdun, que, dans le cas où la paix serait troublée, je serais l'une des premières victimes désignées par la fatalité? Ne savais-je pas qu'autour de moi tout serait exposé à n'être bientôt que ruine et misère? Ne savais-je pas que la féconde vallée où je suis assise pouvait devenir le théâtre des plus sanglants cowbats ?

« J'ai donc souhaité le maintien de la paix et je suis témoin que'mes élus ont toujours sincèrement travaillé à la fortifier.

Mais, en même temps, je n'avais que trop de raisons de redouter les instincts belliqueux de rAllcmgnrimpérialc et l'inquiétude dans laquelle je vivais me déterminait à exiger de mes représentants qu'ils prissent toutes les précautions nécessaires pour me mettre en état de défense et pour armer la nation.

« Plus je désirais éviter la guerre, plus je voulais que si, malgré nous, elle éclatait, elle se terminât par notre victoire et par la réparation de nos droits violés.

C'est pourquoi, lorsque l'ennemi s'est rué sur moi, j'ai crié à la France : « Confiance !

ils ne passeront pas. »

« Ils n'ont pas passé, et ils çnt fini par teculcr. Mais ils ont laissé derrière eux un

nombre immense de familles en larmes et des milliers de villes ou de villages dévorés par les flammes ou anéantis par les explosions. La France est victorieuse, mais elle est appauvrie de centaines de milliards et il faut cependant qu'elle se relève et qu'elle recouvre sa prospérité.

« Elle n'a, dans le traité de paix, infligé à l'Allemagne aucune indemnité pénale.

Elle n'a même pas réclamé le remboursement des dépenses que la guerre lui avait, imposées. Pour se conformer aux vœux des Etats-Unis, elle n'a demandé que le payement de ses pensions militaires et la réparation des dommages matériels qui lui avaient été causés. L'Allemagne a pris l'engagement solennel de régler cette dette par annuités; elle s'est également obligée à nous fournir des quantités déterminées de charbon et à nous dédommager ainsi du mal qu'elle nous a systématiquement fait en inondant et en détruisant nos mines du Nord et du Pas-de-Calais ; elle s'est obligée enfin à livrer ceux de ses officiers qui se sont rendus coupables de crimes de droit commun.

« Qui pourrait admettre que ces promesses, signées par l'Allemagne, ne fussent pas tenues par elle ? Tant de sang innocent a-til coulé, dans la région verdunoise et sur le reste du front, pour que vienne encore à prévaloir la cynique doctrine du chiffon de papier?

« J'entends bien que, pour apitoyer le monde, l'Allemagne recommence à dire et à écrire qu'elle n'est pas seule responsable de la guerre et elle cherche même à trouver dans les pays alliés, pour appuyer cette diversion mensongère, des personnes qui soient disposées à défigurer l'histoire. Vaine et odieuse tentative qui se heurtera de plus en plus à l'évidence des faits et à la force des documents.

« Les deux anciens empires du centre supporteront éternellement, devant la postérité, le poids du forfait qu'ils ont prémédité, préparé et accompli.

« Il n'y a pas un bon Français qui puisse aujourd'hui leur chercher-des circonstances atténuantes. Il n'y a pas un bon Français qui puisse vouloir réduire les réparations en nature ou en espèces, auxquelles nous a donné droit la voie de fait commise par l'Allemagne et dont les principes ont été consacrés par le traité de Versailles.

« Ecoutei-môi, continue Verdun. Je connais les Allemands. Au mois de février 4916, lorsqu'ils ont cru que nos troupes fléchissaient, ils se sont précipités en masse avec l'illusion d'enlever mes forts et de pénétrer dans mon enceinte. Dès qu'ils ont vu que nous ne cédions pas et que nous étions résolus à tenir ferme, ils sont rentrés sous terre et se sont, de nouveau, cachés dans les tranchées.

« Ne leur laissons croire à aucune possi' bilité de faiblesse. Si incomplet qu'il puisse être, le traité nous donne lui-même les moyens de le faire respecter. Pour la réalisation des clauses vitales, nous sommes

maîtres de prendre des mesures de coercition ; pour tout manquement aux obliga" tions contractées, nous avons le droit de reculer les dates d'évacuation des territoires occupés.

« Quelle que soit, d'ailleurs, l'attitude définitive de l'Allemagne, commençons par nous assurer que son désarmement sera effectif et qu'elle ne cherchera pas, dans l'ombre, à reconstituer sa puissance de conquête et de domination. Arrachons-lui l'épée des mains et ne souffrons pas qu'elle en ramasse les tronçons. Le droit des peuples a été rétabli. Ne tolérons pas que leg empires qui l'ont méconnu se reforment secrètement pour le menacer d'un nouvel attentat.

« La France a besoin du travail pOut revivre. Pour travailler, elle a besoin de la paix. Les villes qui, comme mui, sont restées pendant plus de quarante ans daflS l'incertitude de leur sort et qui se sont e" suite sacrifiées au salut du pays, ont droit maintenant à retrouver, dans le calme et la sécurité, le moyen de panser leurs bleS" sures et de restaurer leurs forces.

« Puissent tous les citoyens, unis dan51 respect de la République et dans l'amour de la patrie, associer leurs efforts pour conso" lider le traité de Versailles et pour en tirer toutes les conséquences légitim ÏS, dans l'intérêt de la France et de l'humanité. »

voila, messieurs, si je ne me trompa quelle est l'adjuration de Verdun. Aucun de nous. certes, n'oubliera les grandes le.

çons qui se dégagent de ces ruines g*0' rieuses. Aucun de nous ne trahira la pensee de la noble cité qui a sauvé le droit et liberté.

En reconnaissance de l'admirable ense1* gnement que nous a donné et que uqU* donne encore la ville de Verdun, le Gouvci" nement de la République lui a conféré, ae mois d'octobre dernier, une nouvelle cita" tion et je suis heureux de lui remcttre, avant de quitter la présidence, la second palme qu'elle doit à son courage et à s011 abnégation.

Puis il remet à la ville la deuxième Rl: qui vient de lui être décernée, tandis q et la population exprime son enthousiasme et acclame le Président de la République. é" Le maire remercie le Président de la Il publique en ces termes : Monsieur le Président,

J'ai l'honneur d'apporter les homm de la ville do Verdun au grand ^eUv0tf, qui,descendant volontairement du P°uyage a bien voulu consacrer son dernier VOYb à la visite de notre glorieuse cité. Je cr if de ne pas trouver l'expression adéqua r a l'admiration de la France entière pourla rôle joué par vous dans la conduite de cette longue et terrible guerre et <1 petits-fils qualifieront mieux encocrét6 vos concitoyens. Le Parlement a bieIJ avec enthousiasme que vous aVIez elé d6 mérité de la Patrie. Le geste renoul9, dO la Rome antique glorifiant ses CO teco K pour vous le gage le plus beau de -1 naissance publique, * à laquelle


Suons la nôtre en ajoutant un sentiment Plus intime, fait à la fois de respect et d affection, puisque nous ne vous perdons Pas tout entier et que demain vous deve1lez un des sénateurs de la Meuse. Vous Berez ainsi plus près de nous et nous pourrons plus facilement vous exprimer nos desiderata, souvent nos déceptions. L'œuvre de reconstitution dont la municipalité actuelle a accepté la charge est immense. Mes Collègues et moi nous sommes pleins de bonne volonté. Sufiira-t-elle à triompher des obstacles que nous rencontrons à tout Moment sur notre chemin?

Au lendemain du jour où le cercle de fer ^1 enserrait Verdun avait été brisé, entouré des représentants de la Meuse, du Maréchal Joffre, du général Nivelle, du général Mangin et d'un nombreux étatmajor, vous êtes venu, non sans danger, crnettre à notre ville, représentée par son yerDIer adjoint, la croix de la Légion honneur, pendant que tous les ambassaj eurs des puissances alliées, déposaient llr le même coussin la plus' haute décoraion de leur pays respectif. Séance inoublable que nous aurions souhaité voir Populariser et transmettre aux générations futures par le pinceau d'un grand artiste.

Nous entendons encore l'écho de votre maSuifique harangue se prolongeant en ondes Récessives sous les voûtes des nouvelles atacombes où s'est pratiqué, avec quelle tlbIlégation, le culte de la patrie, pendant lue les chasseurs d'un bataillon qui venait s'illustrer, sentaient passer en eux, le :e frisson d? gloire qui les avait secoués s moîr(le la reprise de Vaux et de Douau-

'IlO{.'etait l'époque du Verdun héroïque et, Il':; cœurs s'ouvraient à tous les espoirs.

Us 0nt un peu déchanté. Notre ville est touJours sous les décombres. Non seule"tonnt nous n'avons pu songer à faire aucune ç0l1 UCt*0ri nouvelle, mais beaucoup de gr t Ulaisons blessées-continuent à se désagré du fait de l'eau, de la neige, de la (téte,. Et Quant aux quartiers totalement d>/l5^s» rues Mazels, Saint-Pierre, place dv niCs. nous nous trouvons en présence 13er eprétention des beaux-arts de les conà j. er pendant un certain nombre d'années O de témoins des destructions alleSa odes, comme s'il n'y en avait suffirent d'autres sur tout notre territoire !

te suggestion, qui part d'un sentiment tee lcable en soi, serait mortelle à notre Pl'itruction. Que deviendraient les proaires des immeubles pendant cette r. ode .d.'années'?

«\jr j^ent les dédommagerait-on ? La loi orn les loyers, dans les camps retranchés ne le nôtre ou dans les localités sou"Pa s aux évacuations, votée hâtivement éan a dernière Chambre dans sa dernière ^anee » Met sur le même pied les propriékireg de l'intérieur et les nôtres, alors que tés p firiier3 vont retrouver de suite dans qes S'rnentation des baux la récupération eSl fertes siibies pendant la guerre. Elle t'épo reprendre, le garde des sceaux de .barn Ue ila reconnu expressément. Je me I °rtie ujourd'hui à des dénonciations, 10er c t pas le mauvais goût de transforcérémonie où tout est à la joie me vou * Posséder, monsieur le Président, u S°r^e de réquisitoire contre telle ou 6 at^inii-nistration. J'ai tenu à souligner

légèrement quelques points de notre programme de reconstitution pour vous dire combien votre haute autorité, votre esprit d'éminent juriste, vos connaissances hors pair en matière financière nous seront nécessaires. Nous nous permettrons de frapper souvent a votre porte pour que vous nous tendiez une main tutélaire qui nous sortira de l'orniëro dans laquelle nous sommes quelque peu embourbés.

Gloire à vous, monsieur le Président, dont le septennat marquera d'une page ineffaçable, glorieuse entre les plus glorieuses, notre histoire, si riche en émouvants souvenirs, et agréez, en tant que sénateur de demain, l'assurance de notre respectueuse et affectueuse confiance en votre dévouement à soutenir et à défendre nos intérêts si compromis.

Le cortège quitte ensuite le collège pour se rendre à la cathédrale où le Président de la République est reçu par Mgr Ginisty, évêque de Verdun. Après un court arrêt au musée de la ville, M. Poincaré, accompagné de personnes de sa suite, arrive à l'hôtel de ville où la municipalité offre un déjeuner en son honneur.

En quittant l'hôtel de ville, le Président de la République se rend à pied à la gare au milieu des acclamations de la foule qui crie : « Vive Poincaré ! Vive la France ! »

Après avoir pris congé des sénateurs, des députés, du préfet, du maire et des généraux, le Président de la République regagne son train qui part aussitôt pour Paris où il est arrivé dans la soirée.

SÉNAT ANNÉE 1920 SESSION ORDINAIRE

Ordre du jour du jeudi 19 février.

A quatorze heures. — skance publiqub 1. — Scrutin, pour la nomination de deux membres du comité consultatif des entreprises de capitalisation et d'épargne.

(Le scrutin sera ouvert pendant une demiheure.) (Conformément à la résolution votée par le Sénat, le 25 mai 1905, le scrutin aura lieu, pendant la séance publique, dans, le salon voisin de la salle des séances.) 2. — Discussion des interpellations : 1° De M. Lucien Hubert sur les mesures envisagées pour utiliser l'aide des colonies dans la crise économique de la métropole ; 2° De M. Lebrun sur le programme arrêté pour faire participer les ressources coloniales au relèvement économique de la métropole.

La séance du jeudi 19 février est la 15" de la session ordinaire de l'année 1920.

Les billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : 1er étage : Depuis M. Henry Roy, jusques et y compris M. Touron.

Tribunes : Depuis M. Mollard, jusques et y compris M. Quesnel.

Les billets distribués ce jour seront valables pour la 16e séance et comprennent : 1er étage: Depuis M. le comte de Trévencuc, jusques et y compris M. Babin-Chevaye.

Tribunes: Depuis M. Quilliard, jusques et y compris M. Thuillier-Buridard.

4tr bureau.

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative au règlement définitif des budgets, en remplacement do M. Mascle.

MM. Albert Peyronnet, Allier. —Amie, AinesMaritimes. — Auber, la Réunion. — Bonnelat, Cher. — Bouctot, Seinc-lnférieure. — Bourgeois (Léon), Marne. — Bouveri, Saône-etLoire. - Claveille, Dordogne. — Collin, Moselle. - Delsor, Bas-Rhin. — Dupuy (Paul), Hautes-Pyrénées. — Exjobras, Haute-Loire. Fenoux, Finistère. — Fortin, Finistère. Gerbe, Saône-et-Loire. — Gourju, Rhône. —

GuiIlois, Morbihan. — N'**, Loire-Inférieure. —

De Kérouarlz, Côtes-du-Nord. — De Lamarzelle, Morbihan. — Laboulbène, Lot-et-Garonne. — Laderre, Hérault. — Lebert. Sarthe.

— Lévy (Raphaël-Georges), Seine. — Martinet, Cher. — Massé, Nièvre. — De Montaigu, LoireInférieure. — Mony, Aube. -- Noulens, Gers.

— Pams (Jules), Pyrénées-Orientales. — Poirson, Seine-et-Oise. — Potié (Auguste), Nord. —

Ruftier, Rhône. — Le comte de Saint-Quentin, Calvados. — Schrameck, Bouches-du-Rhône.

— Touron, Aisne. 3e bureau.

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet de nommer un membre do la commission relative au règlement définitif des budgets, en remplacement de M. Bidault.

MM. Berger (Pierre), Loir-et-Cher. - Blaignan, Haute-Garonne. — Bussière, Corrèze. — Chautemps (Alphonse), Indre-et-Loire. — Clémentel, Puy-de-Dôme. — Crémieux (Fernand), Gard. --Deloncle (Charles), Seine. — Dubost (Antonin), Isère. — Duquaire, Rhône. — Rayez, Nord. —

llervey, Eure. — Jénouvrier, Ille-et-Vilaine. —

Larere, Côtes-du-Nord. — De Las Cases (Emmanuel), Lozère. De Lavrignais, Vendée. —

Leneveu, Orne. - Leygue (Honoré), HauteGaronne. — Magny, Seine. — Mascuraud, Seine.

Mazière, Creuse. - Méline (Jules), Vosges.-Pasquet, Bouches-du-Rhône. — Peschaud, Cantal. - Philipot, Côte-d'Or. — Pol Chevalier, Meuse. — Regismanset, Seine-et-Marne. —

Renaudat, Aube. — René Renoult, Var. —

Savary, Tarn. - Scheurer, Haut-Rhin.— Le colonel Stuhl, Moselle. — Thiéry (Laurent), Belfort. - Trouvé, Haute-Vienne. — N., Marne.

— Vilar (Edouard), Pyrénées-Orientales..

5e bureau.

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative au règlement définitif des budgets, en remplacement de M. Genet.

MM. Andrieu, Tarn. — Artaud, Bouches-duRhône. — Bérard (Victor), Jura. — Bompard, Moselle. — Brangier, Deux-Sèvres. — Bussy.

Rhône. - Carrère, Lot-et-Garonne. —Castillard, Aube. — Catalogne, Basses-Pyrénées. — Charpentier, Ardennes. — Daraignez, Landes. —

Debierre, Nord. — D'Estournelles de Constant, Sarthe.- Duchein, Ilaute-Garonne. — Dudouyt, Manche. — Eugène Chanal, Ain. — Fla'issières, Bouches-du-Rhône. — Foulhy, HauteLoire. — Gegauff, Haut-Rhin. —' Gomot, Puyde-Dôme. — Goy, Haute-Savoie. — Grosjean, Doubs. — De La Batut, Dordogne. — Landrodie, Charente - Inférieure. — Léon Perrier, Isère. — Lhopiteau, Eure-et-Loir. — Maurice Giieqnier, Seine-et-Oise. - Menier (Gaston), Seine-et-Marne. — Milan, Savoie. — Ordinaire (Maurice), Doubs. — Peytral (Victor), HautesAlpes. - Pichon (Stephen), Jura. - Reynald, 1 Ariège. — Rivet (Gustave), isère.- Roy (Henry) Loiret.

68 bureau. ,

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative au règlement définitif des budgets, en remplacement de M. Surreaux. MM. Babin - Chevaye, Loire-Inférieure. Billiet, Seine. - Blanc, Hautes-Alpes. — BonyCisternes, Puy-de-Dôme. — Brager de la VilleMoysan, Ille-et-Vilaine. — Butterlin, Doubs. -


Cadilhon, tandes. - Cosnier, Indre. Denove, Nord. - Denis (Gustave), Mayenne. Duplantier, Vienne. — Le comte d'Elva, Mayenne. —

'Eymery, Dordogne. — Farjon, Pas-de-Calais. —

Félix Martin, Saône-et-Loire, FrançoisSaint-Maur, Loire-Inférieure. - Gauthier, Aude. — Gérard (Albert), Ardennes. — Grosdidier, Meuse. — Guillier, Dordogne. — Leglos, Indre. — Lémery, Martinique. — Loubet (J.), Lot. - Louis David, Gironde. — Lubcrsac (de), Aisne. — Lucien Corflet, Yonne. — Mir (Eugène), Aude. — Monsservin, Avevron. — Pédebidou, Hautes-Pyrénées. — Pclmereu (de), Seine-Inférieure. — Hibitre, Yonne. — Simonet, Creuse. — Le général Taufflieb, Bas-Rhin.

Thuiliier-Buridard, Somme.

7e bureau.

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet do nommer un membre de la commission relative au règlement définitif des budgets en remplacement de M. Fabien Cesbron.

MM. Le comte d'Alsace, prince d'IIénin, Vosges.

— Hersez, Nord. — Besnard (René), Indre-etLoire. — Boudenoot, Pas-de-Calais. — Gazelles, Gard. - Chênebenoist, Aisne. — Cuttoli, Constantine.— Dausset, Seine. - Dellestable, Corrèze. - Doumergue (Gaston), Card. - Drivet, Loire. — Eccard, Bas-Rhin. — Ermant, Aisne.Etienne, Oran. - Fourment, Var. - Garnier, Ille-et-Vilaine. — Gouge, Somme. — Gras, Haute-Saône. — Henri-Michel, Basses-Alpes. —

Henry Bérenger, Guadeloupe. — Hugues-LeRoux, Seine-et-Oise. — Jossot, Côte-d'Or. — Limouzain-Laplanche, Charente. - Louis Soulié, Loire. — Marraud, Lot-et-Garonne. — Manrin, Loire. — Milliès-Lacroix, Landes — Pichery, Loir-et-Cher. — Porteu, Ille-et-Vilaine. — Riotteau, Manche. - de Rougé, Maine-et-Loire. —

Rouland, Seine-Inférieure. - Tissier, Yaucluse.

— Vinet, Eure-et-Loir.

ê* bureau.

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative au règlement définitif des budgets, en remplacement de M.

Nègre.

MM. Bodinier, Maine-et-Loire. — BoivinChampeaux, Calvados.- Chastenet (Guillaume) Gironde. — Combes, Charente-Inférieure. —

Damecour, Manche. — Diébold-Wéber, BasRhin. — Fernand Merlin, Loire. — Fontanille, Lot. — Foucher, Indre-et-Loire. - Gallet, Ilaute-Savoie. - Guillois, Morbihan. - Jeanneney, Haute-Saône. — Jonnart, Pas-de-Calais. — Jouis, Mayenne. — De Landemont, Loire-Inférieure. — Lebrun, Meurthe-et-Moselle. - Limon, Côtes-du-Nord. — Lintilhac (Eugène), Cantal. - Martelli, Charente. — Martin (Louis), Var. - Milliard, Eure. - Monfouillart, Marne. - Le Ilars, Finistère. — Morel (Jean), Loire. - Oriot, Orne. — Paul Strauss, Seine. — Perdrix, Drôme. — Poincaré (Raymond), Meuse. — Ranson, Seine. — Ratier (Antony), Indre. - Réveillaud (Eugène), Charente-Inférieure.— Roustan, Hérault. - Le comte de Trévencuc, Côtes-du-Nord. —

Vallier, Isère.

5e bureau.

(Formation du 4 novembre 1913.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative au règlement définitif des budgets, en remplacement de M. Henry Boucher.

MM, Bachelet, Pas-de-Calais. — Bérard (Alexandre), Ain. — Bienvenu-Martin, Yonne. — Brindeau, Seine-Inférieure. — Brocard, Jura. —

Buhan, Gironde. — Charles Chabert, Drôme. —

Charles Dupuy, Haute-Loire. — Coignet, Rhône.

— Colin (Maurice), Alger. — Cordelet, Sarthe.

— David (Fernand), Haute-Savoie. — Defumade Creuse. — Desgranges, Saône-et-Loire. — Dron, Nord. — Gentil. Deux-Sèvres. — Georges Berthoulat, Seine-et-Oise. — Héry, Deux-Sèvres. —

Humblot, Haute-Marne. — Imbart de la Tour, Nièvre. — Lederlin, Vosges. — Maranget, Haute-Marne. — Masclanis, Gers. — Manger, Cher. - Michel (Louis), Menrthe-et-l\lo,seUe.-

Mori2!p.r, Eure. — Morand, Vendée. — Perchot, Basses-Alpes. - Philip, Gers. — Poulie. Vienne.

— Rabier (Fernand), Loiret. — Ribot, Pas-deCalais. — Villiers, Finistère, — Weiller (Lazare), Bas-Rhin.

4n bureau.

(Formation du il mars 1910.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative à l'expropriation pour cause d'utilité publique, en remplacement de M. Vermorel.

MM. Albert (François), Vienne. — Bouctot, Seine-Inférieure. — Bussière, Corrèze. — Carrère, Lot-et-Garonne. - Castillard, Aube. —

Chalamet, Ardèche. - Chautemps, Indre-etrCèhrael, amet, Clémente], Puy-de-Dôme. — Coignet, Loire. - Clémentel, Puy-de-Dôme. - Coignet,

Rhône. - Collin, Moselle. — Daudé, Lozère. —

Deloncle (Charles), Seine. — Delsor, Bas-Rhin.

— Denis (Gustave), Mayenne. — Duchein, Haute-Garonne. — Félix Martin, Saône-etLoire. — Gourju, Rhône. — Héry, Deux-Sèvres.

— Lebrun, Meurthe-et-Moscllé. — Lémery/la Martinique. — Louis David, Gironde. — Lucien Cornet, Yonne. — Masclanis, Cher. — Mascuraud, Seine. — Milliès-Lacroix, Landes. —

Monsservin, Aveyron. — Noël, Oise. — Nouions, Gers. — Oriot, Orne. — De Penanros, Finistère. — Perdrix, Drôme. — Porteu, Ille-etVilaine. — Rabier (Fernand), Loiret. — Ruffler, Rhône. — Le comte de Saint-Quentia, Calvados. - Villiers, Finistère.

Se bureau.

(Formation du 11 mars 19100 Convoqua à l'effet de nommer un membre de la commission relative à l'expropriation pour - cause d'utilité publique, en remplacement de M. Baudet.

MM. Albert Peyronnet, Allier. — Bérard (Victor), Jura. - Boivin-Champeaux, Calvados. —

L^général Bourgeois, Haut-Rhin. — Brangier, Deux-Sèvres,. — Chastenet (Guillaume), Gironde.— Cosnier, Indre. — Debove. Nord. —

Delahaye (Dominique). - Maine-et-Loire. — Delahaye (Jules), Maine-et-Loire. — Delpierre, Oise. - Farjon, Pas-de-Calais. — Foucher, Indre-et-Loire. — Fourment, Var. — Gouge, Somme. - Goy, Haute-Savoie. — Henri-Michel, Basses-Alpes.. — Le général Hirschaucr, Moselle. — Jonnart, Pas-de-Calais. — De Lamarzelle, Morbihan. — Le Barillier, BassesPyrénées. - Lebert, Sarthe. — Lhopiteau, Eure-et-Loir. - Loubet (J.), Lot. — Marsot, Haute-Saône. — Martell, Charente. — Milan, Savoie. — Mony, Aube. — Pams (Jules), Pyrénées-Orientales. — Penancier, Seine-et-Marne.

— Perchot, Basses-Alpes. — Peschaud, Cantal.

— Reynald, Ariège. — Royneau. Eure-et-Loir.

— Sarraut (Maurice), Aude. — Vilar (Edouard), Pyrénées-Orientales.

30 bureau.

(Formation du 11 mars 1910.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative à l'expropriation pour cause d'utilité publique en remplacement do M. Heyrnonenq.

MM. Auber, la Réunion. — BacheJet, Pas-deCalais. - Beaumont, Allier. — Bérard (Alexandre), Ain. — Besnard (Hene). Indre-et-Loire.— Cannac, Aveyron. — Cauvin (Ernest). Somme.

— Courrégelongue, Gironde. — Cuttoli, Constantine. — David (Fernand). Haute-Savoie. —

Fortin, Finistère. — Gahrielli, Corse. — Gauthier, Aude.— IIayez, Nord. — Leygue (Honore), Haute-Garonne. — Louis Soulié, Loire. — Magny, Seine. — Maranget, Haute-Marne. — Maurin, Loire. — Mazurier, Haute-Vienne. — Mollard, Savoie. — Monfeuil'.art, Marne. — Morel (Jean). Loire. — Mulac, Charsilte. - Pédebidou, Hautes-Pyrénées. — Pichery, Loir-et-Cher. —

Pichon (Stephen),Jul'a. — Pol-Chevalier, Meuse.

- Hené Renoult, Var. — Reveillaud (Eugène), Charente-Inférieure. — Itiotteau, Manche. —

Rivet (Gustave), Isère. — SChcurer, Haut-Rhin.

— Le colonel Sthul, Moselle. — Trystram, Nord.

7e bureau.

(Formation du 11 mars 1910.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative à l'expropriation pour cause d'utilité publique, en remplacement de M. Eugène Guérin.

MM. Artaud, Bouches-du-Rhônes. - BerseZ, Nord. — Bonnelat, Cher. — Buhan, Gironde.

Butterlin, Doubs. — Crémieux (Fernand) (Gard),, - Dron (Gustave) (Nord). — Duquaire (Rhne.:.

- Eccard, Bas-Rhin. — Eugène Chanal, Ain.

Fernand Merlin, Loire. — Gallet, Haute-Savoie- — Garnier, Ille-et-Vilaine. — N., Corse.

Joseph Reynaud, Drôme. - De Kérouartz, Côtes du-Nord. — De La Batut, Dordogne. — kabouj" bène, Lot-et-Garonne. — Lemarié, IlIe-et-VI laine. — Limouzain-Laplanche, Charente. -: Méline, Vosges. — Michel (Louis), Meurthe-çj Moselle. — Potié. Nord. — Pottevin, Tarn-e d Garonne. — Quilliard, Haute-Marne. — Rlan (Léon), Oise. — Schrameck, Bouches-dU.Nr: - De Selves, Tarn-et-Garonne. — Serre, ,.a cluse. - Thuiliier-Buridard, Somme. — TiSSIef; Vaucluse. — Le comte de Tréycneuc, côtes-dU Nord. — Trouvé, Haute-Vienne. Vinet, Eure et-Loir.

8e bureau.

(Formation du 11 mars 1910.) Convoqué à l'effet de nommer un membre d: la commission de l'expropriation pour cau.

d'utilité publique, en remplacement de M. su.

reaux.

MM. Berger (Pierre), Loir-et-Cher. Don: Cisternes, Puy-de-Dôme. — Bouveri, Saône-etLoire. — Cheron (Henry), Calvados. COde (Jean), Haute-Vienne. — Diebolt-Weber, Bao Rhin. — Donon, Loiret. — Duplantier, Viens: — Evmerv, Dordogne. — Flaissières, Boucr^ du-Rhône. — Foulhv. Haute-Loire - Ga!ll' Loir-et-Cher. — Grosjean, qptlhs. -. Gulll Dordogne. — Henry Berenger, la Guadeloupe - Hubert (Lucien), Ardennes. — Hugues » Roii,,,,, - Imbart de la Tour, Nièvre. — Jossot, « d'Or. - Jouis, Mayenne. — Linlilhac (EUgèrct Cantal. - Machet, Savoie. — Marraud, LO Garonne. — Menier (Gaston), Seitie-et- — Peytral (Victor), Hautes-Alpes. — P0ir sSe« Seine-et-Oise. — Ratier (Antony), Indre. - ie, naudat, Aube. - Ribière, Yonne. - aleriet Puy-de-Dôme. - N., Marne. - VaysSl g Gironde. — Vidal de Saint-Urbain, veyrorl,

Convocations du mercredi 18 févrïê*

J Commission des affaires étrangères ; .s.

quatorze heures trente. Local des fma0 1er bureau (4 novembre 1913). — Nomiflj* ! j, 1er bureau (4 novembre 1913). - aa d'un membre de la commission r eiatil COei règlement définitif des budgets, en rc- ment de M. Masclo ; à quatorze heur demie. Cabinet des ministres.

38 bureau (4 novembre 1913). Nonii113 Jn d'un membre de la même commission- remplacement de M. Bidault; à qua heures et demie. Commission n° 2. t'ol1 - iUa 1 5e bureau (4 novembre 19131 - re5 d'un membre de la même commission, placement de M. Genet ; - à quatorze Il et demie. 5e bureati.

Ce bureau (4 novembre 1013). SOI"' O"tiot, d'un membre de la même commission, eieare' placement de M. Rurreaux; — quatorze gnr~ et demie. Salle Bertheiot.. tiOO 7e bureau (4 novembre 1913). NOrl" Ilatioo d'un membre de la même commissi.on,Q re#1 placement de M. Fabien Cesbron; a heures, et demie. Local du 7e bureau8e bureau (4 novembre 1913). — NO re~ d'un membre de la même commIsSIon, go placement de M. Nègre; à quatorze ~~u'" et demie. Local du 8e bureau. -nati"1!

9e bureau (4 novembre 1913). 0 eIl rB 1 d'un membre de la môme commission, Il reffil placement de M. Boucher; à quatorze JICJto$ et demie. — Local du 9e bureau.


Convocations du jeudi 19 février.

- i

1er bureau (11 mars 1010). - Nomination d'un membre de la commission relative à l'expropriation pour cause d utilité publique, en remPlacement de M. Vermorel; — à treize heures cinquante précises. — Cabinet des ministres.

bureau (11 mars 1910). — Nomination d'un Membre de la même commission, en remplacement de M. Baudet ; — à treize heures cinquante précises. — Cabinet des secrétaires.

3e bureau (11 mars. 1910). — Nomination d'un Nombre de la même commission, en remplacement de M. Reymonenq ; — à treize heures cinquante précises. — Commission no 2.

7e bureau (11 mars 1910). — Nomination d'un Membre de la même commission, en remplacement de M. Eugène Guérin ; à treize heures cinquante. 7e bureau.

8e bureau (11 mars 1910). — Nomination d'un membre de la même commission, en remplacement de M. Surreaux; - à treize heures cinqlIante. Se bureau, Commission des affaires étrangères; — à Quinze heures. — Local de la commission des douanes

t Commission de l'armée ; - à quatorze heures T. rente. Local de la commission des finances.

Un concours pour l'emploi de commis stagiaire dans les services législatifs du Sénat (traitement de début G,000 fr., plus une indemnité de résidence et de logement) aura lieu très prochainement.

Les candidats désireux de s'y présenter doivent justifier de la qualité de Français, avoir satisfait à la loi du recrutement, être âgés de lnoms de trente ans, ou, s'Us ont été mobilisés entre le 1" août 1914 et le 28 juin 1919, être ùs de moins de trente-cinq ans, être titulaires * sonn (hplImle de licencié et justifier qu'ils ne gont , 'Ittel.lIts d'aucune maladie organique ou Serv' ] e les exposant à des interruptions de sprnrl- c9 (le certilioat médical est délivré par le r111 du Sénat qui reçoit au palais du b 1 rg, les mardis et vendredis, de dixeures à dix-huit heures trente).

dlrapDUi de leur demande, ils devront prof-eur acte de naissance ; 30 un extrait de leur casier judiciaire : 1ill es [Heces établissant qu'ils ont satisiait a h i 0^ du recrutement ; 50 Un diplôme de licencié ; trav Une note indiquant leurs autres titres et 6 aux antérieurs ; CinodLe crtiflcat médical délivré par le medeT du Sénat.

r: "s demandes ainsi que les pièces enoncees de essus seront reçues au secrétariat général Présidence, 15 bis, rue de Vaugirard, ou ton s Enseignements complémentaires seront qUiéS de dix à onze heures et de quatorze a <Ire e heures, les lundis, mercredis et ven^drr^*-s\ La liste d'inscription sera close le venz¡ .cvrUJr 1920.

COUR DE JUSTICE

d*4®.Président du Sénat, président de la Cour Justice a l'honneur de rappeler à MM. les 20 t^Ienrs que la Cour se réunira le vendredi té-V rier 1920, à quatorze heures et demie, en eh Iltnbre du conseil.

et dfE.Cl nominal sera fait à quatorze heures niie très précises.

te\r AîUets valables pour la 5e audience du edl 20 février 1920 comprennent : : depuis M. Helmer, jusques et y 2>7 M. Jossot.

e°«Qûi>Vîlfî : depuis M. Jouis, jusques et y *" 1s M. MarteIL ■■ ■■1

CHAMBRE DES DÉPUTÉS 12e législahare. - Session ordinaire de 1920.

Ordre du jour du jeudi 19 février.

A quatorze heures. — SÉANCE PUBLIQUE 1.- Nomination de trois membres de la commission supérieure des maladies professionnelles. (La commission d'assurance et de prévoyance sociales présente les candidatures de MM. Gadaud, Léger et Prevet.) (Résolutions du 18 février 1915.) 2.- Nomination de trois membres du comité consultatif des assurances contre les accidents du travail. (La commission d'assurance et de prévoyance sociales présente les candidatures de MM. Paul Dugueyt, Jean Mouret et de Talhouët-Roy,) (Résolution du 18 février 1915.) 3.—Nomination de trois membres du comité consultatif des assurances sur la vie. (La commission d'assurance et de prévoyance sociales présente les candidatures -de MM. Paul Bernier, Niveaux et Antoine Saillard.) (Résolution du 18 février 1915.) 4. — Nomination de trois membres du comité consultatif des entreprises de capitalisation et d'épargne. (La eommission d'assurance et de prévoyance sociales présente les candidatures de MM. Fleury-Ravarin, Magne et Mairat.) (Résolution du 18 février 1915.) e 5. — Nomination de quatre membres de l'office national des pupilles de la Nation. (La commission d'assurance et de prévoyance sociales présente les candidatures de MM. Anselme Patufau-Mirand et Tapponnier, et la commission de l'enseignement et des beaux-arts, présente les candidatures de MM. Simyan et Périnard.) (Résolution du 18 février 1915.) 6. - Suite de la discussion de l'interpellation de M. Amédée Peyroux sur la crise du charbon.

7. — Discussion des interpellations : 1° de M. le colonel Girod sur la crise prolongée des transports, ses conséquences désastreuses et sur les mesures que compte prendre le Gouvernement pour mettre fin à cette lamentable situation ; 20 de M. Henry Fougère sur la crise des transports et sur les" mesures que le Gouvernement compte prendre pour assurer la sécurité des voyageurs ; 3° de M. Lacotte sur la crise des transports.

La séance du jeudi 19 février est la He do la session ordinaire de 1920; des billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : Galeries. — Depuis M. Jo]y, jusques et y compris M. Lagrosillièrc. -

n'ibunes. — Depuis M. Ternois, jusques et y compris M. Vallette-Viallard.

La commission de l'enseignement et des beaux-arts a désigné M. Henri Avril comme rapporteur : 1° De la proposition de résolution (n° 80) de MM. Pierre Even, Henri Avril et Pierre Rameil, tendant a l'amélioration des conditions de traitement des instituteurs tuberculeux; 20 De la proposition de loi (nO 68) de M. Pierre Rameil, pour le droit intégral du peuple à l'instruction et de la proposition de résolution (no 325) de MM. Jules Guesde, Bracke et plusieurs de leurs collègues, tendant il rendre tous les degrés de l'instruction accessibles à tous les enfants.

La commission de la marine militaire a désigné : M. Georges Boussenot, comme rapporteur du projet de loi (n" 44), tendant à proroger les lois des 29 juillet 1916 et 7 décembre 1918 concernant les conditions d'avancement, en temps de guerre, des différents personnels de la marine occupant certains emplois spéciaux à terre.

M. Henri Aiguier, comme rapporteur - du projet de loi (no 46), tendant à conserver aux officiers des différents corps de la marine, appartenant aux cadres de l'activité, le bénéfice de leurs services de guerre pour l'avancement au choix..

M. Guy de Montjou (Mayense) comme rapporteur du projet de loi (n° 47) concernant les conditions d'avancement des personnels de la marine affectés à l'aéronaut.Î.tllIIe.

M. Paiil Denise, comme rapporteur du projet de loi (ho 171) portant : 1° arrêt de la construction de 5 cuirassés type « Normandie » dont les mises en chantier ont été autorisées par les lois du 30 juillet 1913 et du 9 janvier 1914; 2° mise en chantier de 6 éclaireurs d'escadra prévus par l'état A, annexé à là loi du 30 mars 1912; 3° construction do 12 bâtiments torpilleurs éelaireurs-

Commission des affaires étilngèmi.

Séance du mardi 17 février.

Présents : MM. André Fribourg, Arags (François), Aristide Briand, Barthou (Louis), Binel, (Françoisa)c, hin (Marcel), Chambrun (marqUIs de), Calrat, Cornudet, Daniel Vincent, Danié..

lou, Erlich, Escudier (Paul), Farges, GaiihardBanceJ (de), Grandmaison (commandant deJ.

Guernier, Joseph Barthélémy, Lastours (comte de), Lauraine, Lenail, Margaine, Marin (Louis), Moustier (marquis de), Nail (Louis), Faisant (André), Paul-Boncour, Puech (Lowis), Raynaud (Maurice), Rollin, Roulleaux-Dugage (Henrv), Soulier, Tardieu, Wetterlé. W Excusé (en congé) : M. de la Ferronnays.

Commission des finances

Séance du mardi 17 février.

Présents. - MM. Raiberti, Dumont (Charles), Ancel (Georges), Aubigny (d'), Aubriot, Auriol (Vineqn t), Baudrv d'Asson (de), Blum (Léon), Boissard, llokanowski, BonneYy, Bureau (Georges), Calary de Lamazière, Chappcdelaine (de), Cllassaignc-Goyon, Dariac, Dcfos du Rau, Dior, Dubois (Louis), (Seine), Dutrcil, Forgcot (Pierre), Henry-Palé, Klotz (L.-L.).

Lafont (Ernest), Lasteyric (de), Lebas, Leboucq (Charles), Lesaché, Lugol, Maunoury (Maurice), Noblemairc, Pierre Rameil, Pierre-Robert, Prevet, Renard, Rodez Benavant (de), Tinguv du Pouet (de}, Varenne.

Commission de la marine marcîiandç,.

Séance du mardi 17 fécrier.

Présents : MM. Ancel (Georges), Anfltlclit, Ballande, Benazet, Berthon (André), ilessonnean.

Binet, Bouisson (llolichcs-du-Hhône), Canavelli, Choribit, Dclaroy, Dignac, Dupuy (Pierre), Flandin (Ernest) (Calvados), Galmût, Gasparin, Girard (Auguste), Giraud (Hubert). Guéprattc (amiral), Guérin, Gucrnicr, Guichenné, Guist'hau, Jade, Join-Lambert, La Groudiéra (de), Lefebvre (Eugène) (Alger), Le Troadçc, Marcel-Hahert, Masson, Maurel, M#rinaud, Rio, Roux Freissineng, Taittinger, Valude

Commission de la marine militaire.

m

Séance du mardi 17 février.

Présents : Levgues (Georges), Aiguier (Henri), Bugand, Ccls (Jules), Corentm-Guyho, Denise (Paul), Georges Boussenot, Guépratte (amiral), Le Bail (Georges), Le Cour Grandmaison (Jean), Le Mire (Henry) (Eure), Le Moigne (Manche), Menthon (de), Montjou (Guy de) (Mayenne), Reymonenq, Rio, Sévène.


Convocations du mercredi 13 février.

: f Commission de l'administration - générale. à

quatorze heures. — Local du 6? bureau.

Commission des affaires étrangères, à quatorze heures et demie. - Local du 5° bureau.

Commission de l'hygiène, à quinze heures.

- Local du 10e bureau.

Commission de la législation civile, à quinze heures. — Local du 1er bureau.

Commission des régions libérées, à quatorze heures. — Local du 9e bureau.

Commission du suffrage universel, à seize heures un quart. — Local du 7e bureau.

Sous-commission d'Alsace-Lorraine (souscommission administrative et politique), à quatorze heupes. - Local de la commission no 10.

Sous-commission de l'armée (organisation générale), à quinze heures — Local du 8e bureau.

Sous-commission des régions libérées (agriculture), à onze heures.- Local de la commission n° 4.

Sous-commission des régions libérées (transports), à quinze heures et quart. — Local de la commission no 4.

Des examens auront lieu très prochainement pour l'emploi éventuel de sténographe auxiliaire à la Chambre des députés. Les candidats qui voudront y prendre part devront adresser leur demande au secrétariat général de la présidence de la Chambre des députés, dans le plus bref délai possible, justifier qu'ils sont Français ou naturalisés, âgés de plus de dixhuit ans et de moins de trente-quatre ans, et qu'ils possèdr/it l'un des trois diplômes de latin-grec, latih-langues vivantes ou de latinsciences.

Les candidats devront produire : 1° Leur acte de naissance: 20 Un certificat de moralité délivré par le maire du lieu de leur résidence ; 3° Un certificat constatant leur situation sous le rapport militaire ; 4° L'un des trois diplômes précités.

La date et l'heure de l'examen seront ultérieurement indiquées.

AVIS ET COMMUNICATIONS

Ministère des finances.

Un concours pour l'emploi de dame employée adjointe des services extérieurs de l'administration des douanes aura lieu le dimanche 28 mars 1920. Le nombre des places mises au concours a été fixé à 20, dont 13 pour la métropole et 7 pour l'Algérie.

La liste des candidatures sera Close le a mars 1920.

Concours pour l'emploi de percepteur stagiaire.

Un concours pour l'emploi do percepteur stagiaire sera ouvert dans la deuxième quinzaine du mois de nTai 1920.

Par décision du ministre des finances en date du 2G janvier 1920, .le nombre maximum des places de percepteur stagiaire mises au concours a été fixé à 2W. .-

Cor&Mons d'admission au concours.

Pourri être admis à participer à ce concours :1" Par application des dispositions de l'article 5 du décret du 8 juillet 1916, modifié par l'article iei du décret du 17 janvier 1920, les candidats ayant accompli leur dix-neuvième année au moins et-leur vingt-cinquième au plus le 1" janvier 1920.

Seront exceptionnellement admis à se présenter aux deux premiers concours les candidats qui, au 1er janvier 1914, n'avaient pas encore atteint la limite d'âge de vingt-cinq ans.

20 Par application des dispositions de l'article 35 du décret du 8 juillet 916, les candidats qui réuniront, à la date du concours, les conditions précédemment requises pour prendre part au concours de percepteur de "3. classe (art. 12 du décret du il juin 1912).

Pièces à produire.

! Tout candidat doit produire les pièces suivantes: 1° Une demande sur papier timbré ; 20 Une expédition authentique de son acte de naissance et, s'il y a lieu, la preuve qu'il a acquis fa nationalité française ; Une pièce faisant connaître sa situation militaire: s'il a été incorporé, un état signalétique et des services le concernant ; 40 L'engagement éventuel de servir dans le poste, quel qu'il soit, auquel l'administration l'affectera ; 50 Un certificat délivré par un médecin assermenté constatant qu'il possède l'aptitude physique nécessaire à l'exercice des fonctions de percepteur; Go Un certificat de bonnes vie et mœurs délivré par le maire du lieu de sa résidence.

Les candidats admis à se présenter au premier concours de percepteur stagiaire dans les conditions prévues à. 1 article 35 du décret du 8 juillet HH6 devront, en outre, se conformer aux prescriptions suivantes : Les candidats visés aux paragraphes 1, 2, 3 et 4 de l'article 12 du décret du 11 juin 1912 (employés des trésoreries générales des recettes des finances et de la recette centrale de la Seine) devront justifier de leurs services dans une trésorerie générale ou une recette particulière par la production d'un certificat établi par leur chef de service et visé à la direction de la comptabilité publique.

Les candidats visés au paragraphe 5 de l'article 12 du décret du 1er juin 1912" (commis de perception) produiront, pour la justification de leurs services, des certificats délivrés par les percepteurs qui les ont employés, corroborés par las chefs de service de ceux-ci et attestant expressément qu'ils ont été rémunérés pendant la durée desdits services.

Aucun diplôme n'est exigé des candidats à l'emploi de percepteur stagiaire ; toutefois, une bonification do points de 5 p. 100 sera attribuée aux candidats qui produiront un ou plusieurs diplômes de bachelier et de 10 p. 100 à ceux qui produiront un ou plusieurs diplômes de licencié.

De plus, en vue de bénéficier-do la majoration de points prévue au dernier alinéa de l'article t5 de l'arrêté du 17 janvier 192.) (maximum : 12 p. 100 des p)ints obtenus), les candidats qui ont été présents sous les drapeaux au cours do la guerre de 1914-1919 devront produire un état de leurs services militaires certifié par l'autorité militaire.

Délai de réception des demandes.

Les demandes d'admission à concourir, accompagnées des pièces énumérées ci-dessus, devront être adressées par les candidats au trésorier-payeur général du département de leur résidence, au plus'lard le 1er avril 1920.

Les candidats inscrits seront avisés ultérieurement du lieu, f! l'heure et du jour où ils auront à subir les épreuves. v Traitement des percepteurs stagiaires.

Les percepteurs stagiaires reçoivent une indemnité annuelle de 4,500 fr. ; ils sont nommes, sans condition de durée minimum de siage, au fur et à mesure des vacances, percepteurs de 4e classe au traitement de 5.0 ) ) fr.

soumis à retenue pour le service des pensions civiles, auquel s'ajoute une indemnité forfaitaire pour frais de gestion.

Programma du concours.

Le concours ne comporte que des épreuves écrites.

Les épreuves se composent de :

1° La copie ou la composition d'un tableau comportant des calculs. Cette épreuve donnera lieu à deux notes déterminées : la première,

d'après l'exactitude des opérations ( coefficienl. 51, et la seconde, d'après ia façon dont le tableau est dressé.(co!illil)nl ; 5). - DtiréO une heure et demie.

2> Une composition sur un sujet d'ordro général choisi dans les matières du programme ci-après (coefficient : 15). — Durée 4 heures.

3° La rédaction d'une note sur un point spécial du deuxième paragraphe du même 1'1'0"1 gramme (coefficient : 10), - Durée deux heures.

Le programme du concours comprend 105 matières suivantes :

I. - Noiiont générales sur : L'organisation administrative de l'Etat et dtl département ; L'organisation financière de l'Etat et du département: budget, ordonnateurs et comptables, administration centrale du ministère des finances, régies financières ; Les tribunaux administratifs; La caisse des dépôts et consignations. -- La caisse des retraites pour la vieillesse. - Les caisses d'épargne.

II. - Notions approfondies sur : L'organisation administrative de la commun9 et des établissements publics ; L'organisation financière de la commune et des établissements publics : budget. — Hecouvrement des produits. — Ordonnancement et payement des dépenses ; Les attributions des percepteurs et des receveurs municipaux ; L'assiette et le recouvrement des contributions directes et taxes assimilées. - Réclama' tions. - Poursuites;# Le service des amendes ; Les règles de la comptabilité publique : décret du 81 mai 1S02. — Instruction générale du 20 juin 1859; , Le contentieux fiscal et le contrôle judiciai''0 des comptables.

NOTA. — Le décret du 17 janvier 1920 et l'arrêté ministériel du même jour ont été il' gérés au Journal officiel du 18 janvier 1920.

Avis d'examen professionnel pour 'l'c-m'!VDÍ 4i traducteur adjoint Ú iadministraiion centraltJ des finances.

Un examen professionnel pour l'admission.^ deux emplois de traducteur adjoint ;i l ad m'' nitsraiion centrale des finances, s'ouvrira il Paris, le mercredi 17 mars 1920.

Pai' application des dispositions de l'sn'v'; du G janvier 19v0 (Journal officiel du fi) jaI1VJ¡), 1920), peuvent être admis a participer à ce CO cours les candidats qui accompliront t' vingt-deuxième année au moins et leur ti'c lième année au plus !e I.,, janvier 1921, et (J!., produiront un diplôme de bachelier de l'ens^l gnement secondaire ou un diplôme llIJÍyt,I\, faire étranger équivalent, ou un certificat d j1'^ titude à l'enseignement d'une langue viva"1' La limite d'âge est reculée en faveur des cil didats qui justifieront de services militaire5:0.t de services civils admissibles dans la )iqtl!,yal tion d'une pension de retraite, d'un temps.1*:a-,i à la durée de ces senicos..sans qu'elle plll::> 1 toutefois, excéder trente-cinq ans.

Kn sus de l'anglais ou de l'allemand, es Cle:r didats doivent connaître deux au moins I(I langues énirnérées ci-après : russe, se lo!w!s, SIII'(htS, lÎllno-Ho.rrl';.w'n, llodaU,' espagnol, italien. :q110 Ils doivent posséJer une aptitude PKV'r'c' '-o't'0 jugée suffisante pour un service de. t:ltr,,"M après examen d'un médecin asel'lllelllv di) l'administration.

Pit'ccs à pro:luiw .- t Pièces à produire : j 1° Une demande sur papier timbré, ndqiIJY notamment l^sJangues sur lesquelles le

ditlat désire être examiné; 'te d6 Une ex" oédition authentique de 1,IC, d~ naissance; 'u )11cllt 3" Un diplôme d.e bachelier de l'ense. ign „Arnent secondaire ou un diplôme universitan'o a0ger équivalent ou uncertiiicat d api''c j l'enseignement d'une langue vivante; 1 caodl Une pièce faisant connaître que r'ar n<l1' dat a satisfait aux obligations imposées vitfS lois sur le recrutement de l'armée ; II1ôdO#, Un certificat médical délivré par ui Olédo,


pn assermenté (1) de l'administration et constatant que le candidat n'est atteint d'aucune Maladie contagieuse de-quelque nature qu'elle Sùit, susceptible de se transmettre aux personnes avec lesquelles il peut se trouver en contact dans les bureaux de l'administration.

Les candidats susceptibles de bénéficier des di spositions spéciales relatives à l'élévation de 111 limite d'âge devront produire, en outre, un etat certifié de leurs services civils ou de leurs services militaires.

Date de la clôture du registre d'inscription.

i Les demandes devront parvenir au plus tard le 1" mars 1920 à la direction du personnel, au jyiinistère des finances: les candidats admis à examen par le ministre seront prévenus en lernps utile du lieu et de l'heure - auxquels ils devront se présenter pour subir les épreuves.

Epreuves de l'examen.

L examen comporte : Séné Une rédaction franais. sur un sujet neral' 2# Pour chacune des langues étrangères 10181es, les épreuves écrites suivantes : 1®) Résumé analytique d'un document ayant Ii al il une question d'ordre économique ou OanClCr ; b) Traduction in extenso du même document; c) Traduction d'un texte législatif étranger.

fi Le coefficient attribué à chaque épreuve est lxé ainsi qu'il suit :

Composition française. 5 Anglais et allemand. , , i Russe. 10 Serhe , , 4 bolonais. 4 Suédois 4 :n OiS. , ,

,ano-iiorvégien 5 landais.. : 2 ^alien. - 2 EStI , , , , , o. , 2 tsPagnol. 2

Traitcment des traducteurs adjoints.

ïédap^ra(ïucteurs adjoints sont assimilés aux nu el eurs; ils reçoivent une indemnité anftupiii 6 6,000 fr.; ils bénéficient en outre U'une i- ndemnité de résidence de 1,200 fr.

s un stage de trois mois au moins et dl ",, an au plus, il est statué par .le ministre de lIeur admission définitive, au vu du rapport Leur chef de service.

êtr; traitement des traducteurs adjoints peut Ho élevé de 6,000 à 11,000 fr., par augmentalion de 1,000 fr., tous les deux ans. Ils peuvent, (lril.iPUlrc, accéder à l'emploi de traducteur emont 11,000 à 14,0.0 fr.).

tous renseignements complémentaires, la.t¡o ser au bureau de statistique et de législIe rt comparée (ministère des finances, rue' qUinVOi, Porte D) tous les jours non fériés de ze a dix-sept heures.

1\lCo'T , ,

HEC?Î0N' GÉNÉRALE DES MANUFACTURES DE L'ÉTAT t Avis.

tern concours (programme n° 1) pour le recruférip. du personnel admissible aux emplois sueS. f' S e la culture et de la comptabilité dans iS4 nian f c^ures aura lieu vers le milieu du factures aura lieu ver,4 le milieu du l" Préfs er 1920. Les jeunes gens qui désirent 9 tévrfenter devront se faire inscrire avant le lrect¡ el' 19O dans les bureaux de l'une des iloorsOns sises à Alger, Béthune, Bordeaux, Cahors , eiiambérn- Cliâteauroux, Dieppe, Diges' Châteauroux, Dieppe, Dile Havre, le Mans, Lille, Limoi,lCe b Marseille, Morlaix, Nancy, Nantes, ()tllrlein ns, Paris (Reuilly), Périgueux, Riom, es c s, Toulouse et Vesoul.

Vi es 1<iats devront être âgés, au 1er janci* 19^ '/idix-buitans au moins et de Yingtans pl 8 Cette dernière limite d'âge lul^ciiird,dune durée égaie à celle des hostiiilltt és oUr 1 es candidats qui, au 2 août 1914,

t \*.j r.

taî^etitSci»aî1(^^a*iS qui résident dans le dépar Ilierlt 'le la Seine recevront un avis les invi40eg c prsenter chez un médecin assermenté.

ta es reéll<ll'tedldats qui habitent dans les autres rtem„ ? JS trouveront, au siège de la prén, de la sous-préfecture la liste des S a.ssermentés de l'admmlstratron.

étaient encore dans les conditions d'âge requises: Les demandes d'inscription devront être accompagnées des pièces suivantes : 10 Un extrait de l'acte de naissance constatant que le postulant est Français ou naturalisé; * 2° Un certificat de bonnes vie et mœurs, délivré par le maire de sa commune ; 3° Un certificat de l'autorité militaire établissant nettement la situation militaire du candidat et indiquant le détail des services ou le motif de la dispense (pièce non exigée pour les candidats qui ne sont pas encore en âge d'être appelés) ; 4° Le diplôme de bachelier de l'enseignement secondaire ou un certificat constatant que le candidat-a été classé dans les 150 premiers sur la liste d'admissibilité à l'école navale ; 5° Un certificat d'un médecin assermenté constatant que le postulant n'a aucun vice de constitution, ni aucune infirmité qui le rendrait impropre à un service actif.

Des exemplaires du programme sont déposés dans les bureaux des chefs de service en résidence dans les villes susindiquées où seront passés les examens écrits. Quant aux épreuves orales, elles auront lieu dans les localités qui seront désignées ultérieurement.

Un avis spécial adressé aux candidats admis à ces épreuves leur indiquera la ville où ils doivent se rendre ainsi que le lieu, le jour et l'heure fixés pour l'examen.

— ■' ■ -

Ministère des travaux publics.

CHEMINS DE FER DE L'ÉTAT

Ouverture d'un concours pour le recrutement du personnel féminin des bureaux des services centraux et d'arrondissements.

Un concours pour l'admissibilité à l'emploi de « dame employée » des bureaux, des services centraux et d'arrondissements des chemins de fer de l'Etat auralieu à Paris, les 18, 19 et 20 mai 1920.

Ce concours est ouvert en vue de pourvoir à: 100 vacces à Paris et 100 vacances en province.

Les candidates, jusqu'à concurrence de 200, qui auront obtenu le plus grand nombre de points, — un minimum de 300 points étant d'ailleurs exigé, — seront déclarées admissibles : Les 100 premières pour les postes de Paris (1re liste).

Les ICO suivantes, prises parmi les candidates f ayant déclaré accepter la province (2e liste).

Toutefois, si des candidates de la première liste en exprimaient le désir, elles pourraient être reportées sur la seconde. Par voie de conséquence, un nombre égâl de candidates de cette dernière liste pourrait, dans ce cas, être reporté sur la première.

Le droit d'option s'exercera dans l'ordre du classement sur la liste d'admissibilité.

Après que les 100 candidates pour Paris auront été désignées dans les conditions ci-dessus indiquées, les candidates restant inscrites sur la deuxième liste seront nommées dans des postes de province disponibles, en tenant compte autant que possible de leurs préférences quant à la résidence. Celles d'entre elles qui n'accepteraient pas le poste qui leur aura été assigné seront rayées définitivement de la liste d'admissibilité. •

Pour compléter éventuellement la liste d'admissibilité de province, il sera fait appel aux postulantes avant obtenu le minimum de :!00 points et classées après la 203e en suivant l'ordre du nombre de points.

Les candidates ainsi nommées en province ne pourront, par la suite, obtenir leur afl'ectation à la résidence de Paris qu'après cinq ans au moins de services en province.

Les employées permanentes des grands réseaux de chemins de fer français et des chemins de fer de grande et petite ceinture ne peuvent être admises à concourir.

Les dames employées commissionneres du paragraphe 11 de. l'cchelle des traitements (dactylographes, télégraphistes et receveuses des garos), ainsi que les. temporaires occupées depuis au moins un an à un service d'écri-

turcs, bénéficieront de dix points supplément taires. Ces points se cumuleront avec ceux auxquels les intéressés pourraient avoir droit réglementairement, à raison de leurs diplômes.

, Les demandes d'inscription seront reçuef jusqu'au 31 mars 1920, dernier délai.

Pour tous renseignements, s'adresser à la direction des chemins de fer de l'Etat (servies du personnel), 20, rue de Rome, à Paris.

Administration générale de l'assistance publique à Paris.

Concours pour Vadmissibilité à l'emploi de rédacteur.

Un concours pour l'admissibilité n l'emploi de rédacteur dans les services de l'administration générale de l'assistance publique à Paris sera ouvert le lundi 19 juillet 1920.

Le nombre maximum des candidats à admettre est fixé à 10.

Sont admis à se présenter : 1° Les licenciés en droit, ès lettres ou ès sciences, les docteurs en médecine, les anciens élèves des écoles polytechnique, centrale, navale et do Saint-Cyr ayant satisfait aux exa-

mens de sortie, les anciens élèves de l'école, normale supérieure, les élèves diplômés de l'école des chartes et de l'école des sciences politiques, les anciens élèves de l'institut national agronomique pourvus du diplôme d'ingénieur agronome, les candidats pourvus du certificat d'études administratives et flnan cières délivré par la faculté de droit de Paris.

2° Les dames pourvues, soit d'un des diplômes énumérés ci-dessus, soit du certificat d'aptitude à l'enseignement secondaire dans les lycées et collèges de jeunes filles, ainsi que les anciennes élèves de l'école normale supérieure d'enseignement secondaire pour les jeunes filles; Les employés des cadres permanents du •personnel administratif de l'assistance publique (commis, expéditionnaires, commis d'agence, dames employées, dames déléguées, dames visiteuses, dames sténodactylographes), comptant deux années de bons services.

Les candidats, hommes ou dames, étrangers à l'administration, doivent être de nationalité française ; ils doivent avoir plus de vingt ans accomplis et avoir moins de trente ans accom-

plis le 1er janvier 1920.

Les candidats hommes devront avoir satisfait à la loi sur le recrutement, c'est-à-dire avoir été ou être inscrits, soit sur les contrôles de l'armée, soit sur les tableaux de recensement.

La limite d'âge de 30 ans est prorogée d'une durée égale aux services accomplis dans l'armée active pour satisfaire aux obligations de la loi sur le recrutement.

Toutefois, en ce qui concerne les candidats placés sous le régime de la loi militaire du 7 août 1913, cette limite de 30 ans sera reculée d'un an pour ceux ayant accompli trois années de services militaires. Elle sera abaissée d'un an par année de services militaires non accomplie (toute année pendant laquelle il a été fait quatre mois compte pour une année de ser.vices). „

A titre exceptionnel et transitoire, la limita d'âge de 30 ans ne pourra être opposée aux candidats hommes qui auront atteint ou atteindront cette limite d'âge durant la période comprise entre le 2 août 1914, et le décret fixant la cessation des hostilités.

Les inscriptions seront reçues au service du pesonnel de l'administration, 3, avenue Vie- toria , jusqu'au jeudi 8 juillet 1920 lllcluslve.,

ment, dernier de!aI.. ,

Les candldatslnsrrits devront s'adresser au service du personnel pour connaître les jours, lieux et heures où ils auront à se présenter nour subir les diverses épreuves.

Des convocations donnant ces indications leur seront adressées à domicile; mais l'administration décline toute responsabilité dans le cas où ces convocations ne leur parviendraient pas.

Le programme des connaissances exigées des candidats est déposé au service du personnel et sera remis ou envoyé à toutes les personnel qui en feront la demande.

+.


ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 10 février 1920 PRÉSIDENCE DE M. LAVKUAN Travaux à exécuter dans les hôpitaux de Paris. — M. Mesureur dépose un rapport, présenté au conseil de surveillance de l'assistance publique, sur les travaux à exécuter dans les hôpitaux de Paris.

Ces travaux, pour lesquels des ressources extraordinaires seront demandées au conseil municipal, ont pour objet de mettre nos services de médecine et. de chirurgie en état de répondre aux progrès réalisés par les sciences médicales dans le traitement des malades et de les adapter de plus en plus aux nécessités de l'enseignement clinique.

C'est à ces divers titres que ce rapport peut intéresser los membres de l'Académie, il comporte également l'indication des établissements hospitaliers nouveaux qu"il conviendrait d'édilier avec toutes les installations modernes dont l'expérience a démontré la nécessité.

L'Académie, ajoute M. Mesureur, acceptera certainement, lorsque les p!ans lui en seront soumis, de donner ses conseils à l'administration sur les créations projetées.

Intervention immédiate en chirurgie. - M. Sieur dépose une note publiée en juillet 1910 dans les Archives de médecine et de pharmacie militaires parM.le docteur Lagrossel, médecin inspecteur de l'armée, sous le titre suivant : Le traitement chirurgical des plaies contuses et des fractions ouvertes par coup de pied de cheval. Ce travail contient en germe toutes les méthodes chirurgicales qui ont été appliquées avec tant de succès dans les dernières années de la guerre.

En effet, M. Lagrossel, frappé de la lenteur avec laquelle guérissaient les plaies contuses de la région tibiale et des accidents graves auxquels elles donnaient naissance lorqu'elles se compliquaient de félure ou de fracture complète de l'os sous-jacent, notre collègue eut l'idée de recourir à l'intervention immédiate conduite de la façon suivante : En attendant son transfert & l'hôpital, transfert qui doit être aussi hâtif que possible, le blessé doit recevoir sur sa plaie une application de teinture d'iode suivie de l'enveloppement dans un pansement aseptique sec et d'une immobilisation rigoureuse si l'on a des doutes sur l'intégrité de l'os.

Dès l'arrivée à l'hôpital et, dans tous les cas, le-plus tôt possible après l'accident, on procédera « à l'excision des bords contus de plaie, couche par couche, de manière à ne conserver que des tissus sains.

« Si la blessure n'a pas dépassé le périoste, on peut simplement réunir la plaie avec quelques crins ou, mieux encore, au moyen d'une suture enchevillée avec des épingles à insectes, en maillechort argenté, distantes d'environ 10 à 12 millimètres, autour desquelles est entortillé en double lacet un crin de Florence.

« Si lo traumatisme atteint le périoste et l'os, il est nécessaire de bien désinfecter les fissures osseuses ou les surfaces fragmentaires.

« L'os dénudé ou fracturé est alors recouvert avec soin par le périoste ou, à défaut, par des lambeaux de tissu cellulo-tibreux suturés au catgut fin. Daits ce cas, il est nécessaire de faire un deuxième plan par capitonnage du tissu cellulaire, de manière à bien assurer la vitalité de ces lambeaux.

« Dans le cas de décollements étendus, de déchirures profondes, d'hémorragie abondante, un drain de sûreté est laissé quarante-huit heures à la partie déclive de la suture cutanée.

« Dans les cas de fracture articulaire, la conduite pourra varier selon les articulations atteints. Pour le genou, nous avons obtenu résultat parfait en combinant la désinfection, l'excision et la réunion primitive et totale de la plaie contuse et de la rotule avec l'arthrotomie d'emblée et le drainage articulaire.

« Pour le coude, la suture métallique de l'olécrftne a été précédée de, l'excision des parties molles contuses et complétée par leur suture totale sans drainage. »

N'avais-je pas raison de dire, ajoute M. Sieur: « Que ce travail renferme, avec une précision véritablement prophétique, la description de lépluchage des plaies de guerre suivi de la reumon Primitive ou secondaire et celle de la transformation des fractures ouvertes en fractures ferni'tes grâce à l'avivement et à la réuwon des parties mones contuses ? A ce titre, il

m'a paru intéressant de vous le signaler, parce qu'il prouve une fois de plus que le service de santé, quoi qu'en disent certains, est susceptible, dans bien des circonstances, de contribuer à la marche du progrès. »> Diphtérino-ré action. — L'intradermo-réaction à la toxine diphtérique, imaginée en 1913 par Schick à Vienne, consiste dans l'inoculation intradermique de 0 eme 1 à 0 cmc 2 d'une dilution de toxine diphtérique telle que la quantité injectée corresponde au 1/50e de la dose minima mortelle pour le cobaye de 250 gr. Si autour de la piqûre il se produit une rougeur qui apparaît après 18 à 24 heures et dure quelques jours, la réaction est dite positive ; sinon elle est dite négative. La réaction positive indique que le sujet est réceptif à la diphtérie, la réaction négative qu'il est réfractaire.

Schick et ses compatriotes, puis l'école américaine, ont mis au point la technique et ont déterminé les applications dans la prophylaxie de la diphtérie. Le bureau d'hygiène de la ville de New-York lui accorde une grande importance.

Des travaux antérieurs aux siens et de ses 231 examens, M. Jules Renault tire les conclusions suivantes : 1°, la diphtérino-réaction ou réaction de Schick a une grande importance pour l'épidémiologie et la prophylaxie de la diphtérie; 2° elle montre que les sujets à réaction négative ne contractent pas la diphtérie; 3° elle montre aussi que les sujets à réaction positive sont les seuls à contracter la diphtérie, mais ne la contractent pas nécessairement, même s'ils sont porteurs de germes ; 4° elle permet de limiter l'injection préyentive de sérum aux sujets réceptifs, mais seulement lorsque l'épidémie n'est pas rapide et laisse le temps de rechercher l'état de réceptivité; 5° elle ne supprime pas la recherche des porteurs de gorn)«s, puisqu'on les trouve aussi bien parmi les réfractaires que parmi les réceptifs. Ambidextrie. — Pour juger de la valeur de l'ambidextrie, M. le docteur Félix Regnault déclare qu'il faut analyser les mouvements des mains en vue de leur utilité sociale. Quand on accomplit des mouvements isolés et successifs de chaque main, la gauche préfère les actes à contractions musculaires durables : elle est statique. La droite est dynamique et tend à exécuter les mouvements d'habileté et de force.

Certaines professions (escrimeurs, soldats) ont avantage à être accomplies par des ambi.

dextres. Mais l'utilité de l'ambidextrie reste exceptionnelle. Quand nous accomplissons des -mouvements simultanés des deux mains par tendance naturelle, nous exécutons des mouvements symétriques. Très peu d'actes la réclament, et ce sont toujours des mouvements simples. Presque tous les métiers exigent des mouvements simultanés dissymétriques. Il faut alors habituer les enfants à travailler en même temps des deux mains. C'est un des principes de la méthode tàli Taylor.

Enfin, plusieurs professions (pianiste, violoniste) exigent des mouvements simultanés différents dynamiques. Elles deviennent e plu en plus nombreuses à mesure que l'homme se civilise.

Il est bon d'exercer l'enfant à acquérir cette habileté par des jeux et plus tard par des exercices professionnels.

Dr A.-J. MARTIN.

INFORMATIONS

Ville de Paris.

SERVICE MUNICIPAL DE LA STATISTIQUB Résumé de la décade du 1*r au 10 février 1920.

Le bureau de la statistique a enregistré, pendant cette période, 1,540 décès, au lieu de 1,890 pendant la décade précédente, et au lieu de 1,587, moyenne ordinaire de la saison.

La fièvre typhoïde a causé 6 décès, au lieu de 8 pendant la décade précédente (la moyenne est 7). Le nombre des cas nouveaux signalés par les médecins est de 25, au lieu de 35 pendant la décade précédente (la moyenne est 35).

La variole et la varioloïdc n'ont causé aucun décès; aucun cas nouveau n'a été déclaré par les médecins, au lieu de 2 pendant la décade précédente (la moyenne est 0).

il cas de varicelle ont été signales.

La rougeole a causé 5 décès, au lieu de 6 pondant la décade précédente (la moyenne est 17). Le nombre des cas nouveaux signalés parles médecins est de .18;), au lieu de 133 pendant la décade précédente (la moyenne est 238).

La scarlatine a causé 7 décès comme 13 décade précédente (la moyenne est 2). Le nombre des cas nouveaux signalés par les médecins est de 198; il s'élevait à 2u0 Vendant la décade précédente (là moyenne est 69).

La coqueluche a causé 16 décès, au lie11 de 20 pendant la décade précédente (13 moyenne est 8).

La diphtérie a causé 9 décès, aiflieu de 10 pendant la décade précédente (la moyenne est 4). Le nombre des cas nouveaux signalé: par les médecins est de h9. au lie;l de IJ pendant la décide précédente (la moyenne est 48).

La diarrhée infantile a causé 22 décès de 0 à 1 an, au lieu de 27 pendant la d¿ca e précé-lente (la moyenne est 15).

En outre, 7tf enfants sont morts de débl lité congénitale.

Les maladies inflammatoires de l'appare de la respiration ont ciusé 325 décès, a lieu de 471 pendant la décade précédente et au lieu de 369, moyenne ordinaire de saison.

Ce chiffre se décompose ainsi qu'il suit.

Bronchite aiguë, 2 décès (la moyenne est 14).

Bronchite chronique, 23 décès (la moyenn" est 4?).

- Pneumonie, 71 décès (la moyenne est 63).

Autres affections de l'appareil respl toire, 227 décès (la moyenne est2">0), doti la sont dus à la broncho-pneumonie et 9o * congestion pulmonaire. la En outre, 113 décès ont été attribués à grippe.. Õ' La phtisie pulmonaire a causé 218 decw (la moyenne est 271).

La méningite tuberculeuse, 16 décès ( moyenne est 24). [JB La méningite simple, 20 décès (la moyCD oat 4M L

Il y a eu 2 décès par méningite ére, bro-spinale épidémique ; 2 cas nouvea ont été signalés par les médecins. 1}1 Les tuberculoses, autres que celle5 4 précèdent, oui causé 13 décès {la moyenne est lo).

L'apoplexie et le ramollissement di, cet' veau ont causé 54 décès (la moyenne est tiC Les maladies organiques du coeur 0 t caltfé 13i décès (la moyenne est 121). ,cot1' Le cancer a causé ys décès (la HlO 11119 est 95). < otiC La hernie et l'obstruction intestinale oIJt causé il décès (la moyenne est 12 J La cirrhose du foie a causé 11 déc moyenne est 14). rigbC La néphrite aiguë et la maladie d R*>rtë11 ont causé 56 décès (la moyenne est "ilit é Enfin, 56 vieillards sont morts de s (la moyenne est 89). - 'cidO" Il y a eu 15 morts vIolentes et f) SUl.

On a célébré à Paris 1,407 mariagog- en' On a enregistré la naissance de M jod1 fants vivants (83\ garçons et 745 flu® fa cf 1,210 légitimes et ;!ljP illégitimes. pnaJJt' derniers, 16 ont été reconnus séance ~, On a déclaré la naissance de 103 fli t 0600 dont 71 légitimes et 32 illégitim.

«—■—— 7 ■■■■ , Imprimerie, 31. quai Voltaire, Paris 1-. -.

.—————————————————————— rJcJY' Le Directeur des Journaux officiels : p ,


EXTRAIT DU COURS AUTHENTIQUE DE LA BOURSE

TER ME T a ». Mardi 17 Février 1 AU COMPTANT 1 Or-êrata , J0CISS- Mardi 17 Février AU COMPTANT OSL* de 1:!!ldah&JI. AN'!' O.Ir - .-.- - d. liqllida1ia. « 1 FONDS D'É. TAT FRANÇAIS 1 1 Nov. 19 Coîon. de Madagascar Obi. 2 - < FORDS D'É. TAT If t 1897,r.anp.(intetam.ear.)* '* Imt.20 3 o/o , 58f50 30 iO 58'15 Sept. 19 do 3 1903-1905, obI. 500 fr., o.

renib. au pair (Gar. Etat franç.). fc>f..

Janv.lj; n,.».--». j-T-c.-Tn,;,,,,., fifif Cet. 19 Gonv.géaér.de l'Afrique occid.f» é* j-'.M~v.20 Zt amort. (r. 500 f. p. coup. dé • Hmp.3% 1903-7-10 Ob.WO'.r.p. 335 50 J»nv.20 2 o/ im^t ; r !ip Sn?007f ?« r n ftfio70r50 71'. • Nov. 19 Gouveni. Gém. dn Congo français, H,- 151 de rl-, de 1878 à lâVfr Emp.3% 1909. Obi. 500r remb. -

p. coup. de 7 fr. de rIe, de 1915 an pair (l!lt; et amort. ga!':llls). 32;)

p. coup. de 7 fr. de rie, de 1915 Gouvera. général de l'Indo-Chinc. 325 1

à t naV? fMe^fé/iqjs' BmP-3% 1909.Ob.50l3rr.aupatr. 326

20 do t pavé dep. le leir fév. 1915. Emp. 3?/i 190.0b.50if r.ala pair. 31~6

Déc. 19 * un vau ccoommpnitaanntt; ) 71r65 Sept. 19 d» d« 334% 1913. 0. 500'r. au p. 364 .» Jan,;, 2 , ,,, Dec. 19 Gour. dn Maroc. Ecnpr. 4 1914.

20 *<S«/' 0 140J118 8 f(ian u ceoommnpttaanntn ; 71*00 « Obi. OOfr. r. au p.int.ctam.g. tM..

Sept. 19 d* Emp.5% 191'8, remb. à500fr. 510.

*"•20 s «» 0// 0 ((m au rcoommpDtta ant-) ) 87'70 JanY.20 Crédit national, p. facii. la rèp. des t dom. Mus. p. lagaerre, ob. 500'., Fév 20 5%. D. d'irap., r. à GW.en par 20 *Bas&atss* m «Misa* * Pb 20 Chclr.Îns de fer de l'Etat, r.il 500' 3:>2. dci'E.a~dulO.ct.1919).. 499. 20 d« 5% 1919, remb. à500fr. 4lu t|* Bons du Trésor EMPRUNTS DE COLORIES t Obhe~OMdu'h-ésor. 'j~.20Go~cnipacntGén.dcrA~er;e.

Obligations du fiésor Janv.20 Gouvernement Gén. dc l'Algërie.

FONDS GARANTIS Emp.3% 1902. Ob. r. 500r, t. p. 350 par le Gouvernement francaia Nov. 19 Gouv.

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J3jit.20 Oblig.Tuntsiennes3% 1892(int.et 315 1839 et 1905, remb. à 500fr— 308 •• ••• •• amort. gar. par le Gouv. franç.). 315 Nov. 19 1 d« 3% 1902, rembours. à 500 fr. 285 ••• •• j,c. v. 20 Einpr.2% dul'rot.del'Annam- Fév. 20 <jonveracinent Tunisien. Emprunt 1 "-- Tonkin ObI. remb. a 100 fr » .3% 1902-07. Obi. remb. 500 fr. 335 ..("1;p..¡,¿,. iJ.. , .,. 8.

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ANNONCES les annonces sont reçues à la SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES ANNONCES, 8, place de la Bourse, Paris 2^ L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.

Ministère de la guerre.

Adjudication à Paris (manutention militaire 18, avenue de Tokio), le 11 rars 1920, à quatorze heures. Fourniture de ?

'naire ou pressé 7.300 */m l^aiiio binaire ou pressée. 3.800 x/m Sotl O.dll1an'c ou pressee. 3.800x/m ; .:.' , , , , 1.800 x/m

u livrer au parc à fourrage de Vaugirard, 75, boulevard Lefebvre.

Adjudication à Vincennes (hôtel de ville), le 19 mars 1920, à quatorze heures. Fourni-

^ijie°n ^aire ou Pressé 1.C00 */m ordinaire ou presse:..,. 1.000 x/m -tPh ;-0?(*tnaire ou pressée 1.000 */m 1.200 */m à , -

- 'Ivrer au parc à fourrages de Vincennes.

15 U'alion à Versailles (hôtel de ville), le Adjudication à versailles (hôtel deville ), le 15 mars 1920 de: quatorze heures. Fournip Din binaire ou pressé.. 5.300 x/m

Paille ordinaire ou pressée 2.500 */m Son 1.G00 x/ m

à livrer au parc à fourrages de Versailles.

Foin ordinaire ou pressé 1.300 */m Paille ordinaire ou pressée.,. 800 s/m Son 40J x J fi à livrer au parc à fourrages de Saint-Germain.

Ministère des travaux publics.

DÉPARTEMENT DES HAUTES-ALPES

ROUTE NATIONALE liO 91 Le samedi 6 mars 1920, à dix heures et (lemie, il sera procédé à la prélecture des I-lautcs-Alpes, a l'adjudication publique des travaux ci-dessous : fer LOT Réparation des maisons cantonnièrei, 13,500 fr.

2e LOT -Reconstruction du pont de la Casse, 24,000 fr.

3e LOT

Construction d'un mur de soutènement près village du Montgenèvec, 16,000 fr.

X'

Les concurrents adresseront leurs soumissions aveo les-piétés réglementaires, par lettre recom.

mandée, à Tune des adresses suivantes

A M. le préfet des Hautes-Alpes; 2" À M. Aubert, ingénieur en chef des ponts et chaussées, à Cap. Ip" délai fixé pour la réception des lettres recommandées expirera l avant-dernier jour non terte qui précédera celui de l'adjudication a seize heures.

Les pièces de chaque projet seront communiquées aux entrepreneurs tous les jours, excepté les dimanches et jours fériés : Dans les bureaux de la préfecture (Indivision) de neuf heures a dou/a heures et de quatorze heures à dix-sept heures ; 2°. Dans les bureaux de M. Roux, agent yover d'arrondissement, faisant fonctions d'ingénieur a Briaot çon, aux mêmes. Ixures.


t., ANNONCES — L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des nonccs. — ANNONCES

Vente au Palais, le 28 février 1920, à 3 heures.

à;:ieBOULEV. DE GRENELIJE 136.

Conten. 208 m. 50. Mise à rrix: 390,000 francs.

S'adr. à Me Collin, avoué à Paris, boulevard de Strasbourg;* 21; M0 Delihu, avoué et M®. Brunei, polaire à Paris.

DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIONS (Art. 4er du décret du 18 aoilt 1901.)

27 juillet 1919. ASSOCIATION COOPÉRATIVE DU •PERSONNEL DB, MINES DS JARNV, Objet : répartition entre ses membres de tous produits alimentaires et autres marchandises de consommation courante aux conditions les plus avantageuses. Siège social : à Jarny (M.-et-M.).

t

ormation de la SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE CIVILE DB RECONSTRUCTION DE MAIZIY (Meuse). 22 jan-

vier 1020. Siège social : Mairie.

0D

éclaration du 23 janvier 1920. Titre : ŒUVRE DES PUPILLES DE L'ÉCOLE PUBLFQUH DU CANTON

DE PONT-A-MARCQ (Nord). But : assistance matérielle et morale aux pupilles de l'école publique du canton.

Siège : Ecole de garçons, Pont-à-Marcq.

24 janvier 1920. L'ESCADRON DES ASPIRANTS. Société de prfy aration militaire. Siege social : 48, rue Bayen, Paris.

8

OCIÉTÉ COOPÉRATIVE CIVILE DE RECONSTRUCTION DR WOIMBEY. Déclaration faite à la sous-Dré-

fecture de Commcrcy. le 24 janvier 192). Siège social : Mairie de Woimbey (Meuse).

fi

éclaration du 25 janvier 1920. ŒUVRES DES PUPILLES DE L'ÉCOLE PUBLIO UR DU CANTON DE

SOLESMIS. Aider matériellement et moralement les orphelins de guerre fréquentant les écoles publiques du canton. Siège : Ecole des filles de Solesmes (Nord). , f_.

28 janvier 1920. LA FARANDOLE, société amicale et artistique. Siège social : 2, rue Horace-Bertin, Marseille.

CI

réation d'une société lyrique et dansante.

Nom : LA FAUVETTE. But : resserrer les liens

0e camaraderie entre les jeunes gens de Commercy. Siège social: Commercy (Meuse), 3, rue des Moulins. Société déclarée conformément à la loi du 1er juillet 1901 (art. 5, paragraphe 2), le 29 janvier 1920.

.29 janvier 1920. SECTION DE LA FÉDÉRATION DES C.I. M. MURAT (Cantal). Défense dos intérêts commerciaux.

ter février 1920. CLUB ATHLÉTIQUE DB BRUAY.

But : Sports, exercices physiques. Siège social: 60, rue Nationale, Bruay-les-Mines.

3 février 1920. SOCIÉTÉ D'ÉQUITATION ET DE TIR DU LYCÉE DE VALENCE C. P. S. M. et B. S. Siège social : Lycée de Valence (Drôme). -0

L'ALERTE BLÉSOISU,

société d'éducation physique, de préparation militaire et de tir, déclarée le 3 février 1920.

Siège social à Blois (L,-et-C.), 1, avenue de Paris.

10 février 1920. ANCIENS ÉLÈVES DE L'ÉCOLE SAINT-LEU, 35, rue Dallery, Amiens (Somme).

Resserrer les liens des anciens élèves, culture physique, morale et intellectuelle.

L

e 11 février 1920, constitution d'un syndicat des pêcheurs à la ligne I'ECREVISSE. Siège à

Virollay (Seine-et-Oise).

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AWWOiyCES Publicité concernant l'Alsace et la Lorrains.

Sommation publique.

M. Alphonse Stock, comptable à StrasbourgRoenigslioffen, 88, rue des Romains, représenté par Mo: Alfred Weber, avocat-avoué à Strasbourg, a requis la procédure provocatoire en annulation de la lettre de gar 3 1/2 p. 100 série IX, lit. B., no 3191, année 1902, valeur nominale p. 1,000 marks du Crédit foncier et communal d'Alsace-Lorraine à Strasbourg.

La détenteur de ce titre est sommé de faire valoir ses droits au plus tard à l'audience lixce pour le débat en forclusion, le 23 juin 1920 à dix heures, en la chambre no 55, devant le tribunal soussigné et de produire le titre, faute de quoi l'annulation en sera prononcée(F 70/19).

Strasbourg, le 12 décembre 1919.

Le tribunal de bailliage.

Registre de commerce de Metz.

Aujourd'hui a été inscrit : 1. Vol. IV, no 3't5 du registre des raisons sociales, la raison sociale : « La Samaritaine,

Georges Louche, à Metz ». Propriétaire : Georges Louche, négociant à Metz. ,

2. Vol. IV, nD 346 du même registre, la raison sociale : « Octave Jacob, à Morhange N. Propriétaire : Octave Jacob, commerçant à Morhange.

3. Vol. IV, no 347 du même registre, la rafc son sociale : « Charles Patard, à Gravelotte Ifà' Propriétaire : Charles Patard, commerçant a Gravelotte.

Metz, le 4 février 1920.

Tribunal de bailliage.

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fondée en 1840. se tient H LJ gracieusement à la dispo- H sition de Messieurs les U NOTAIRES. AVOUÉS.

LIQUIDATEURS, proH priétaires et notables com- r merçants. [

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