Mais la Commission voulait à tout prix se défaire du groupe «* et le proscrivit même dans c~xr (cor latin) s.t'Kr (soror), M<pKof, )'<?«, où il s'impose pour toutes sortes de raisons, sinon phonétiques, du moins parfaitement valables. Orgueil se fftt apparié avec <Bt~.
Sans entrer davantage dans un examen détaillé de conclusions que nous nous étions, certes, promis de discuter point par point, mais qui justement viennent d'être à peu près totalement repoussées, nous nous bornerons à féliciter l'Académie de n'avoir admis que de menues retouches la suppression de fx du pluriel des sept noms en CM, le remplacement du t sifflant par c doux dans certains mots, l'abandon de l'i dans oignon, de t/t après r dans les mots savants issus du grec, la promesse de substituer dorénavant t'< a t~y dans les composés nouveaux. Notre langue gardera donc sa physionomie, qui nous est chère, comme les traits d'une mère à nos yeux toujours jeune, parce qu'elle porte pour nous son âme sur le visage.
Une autre fois, il ne saurait être défendu sans doute de faire disparaître quelques illogismes reconnus vraiment nuisibles, mais, encore un coup, de telles corrections ne sauraient être pratiquées qu'avec d'infinis ménagements et encore de très loin en très loin, de façon à les rendre imperceptibles, c'est-à-dire inoffensives.
Pour aujourd'hui notre cause paraît gagnée ('es fournisseurs des établissements d'instruction publique s'en mordront les dotgts), et l'Académie française a su défendre son prestige que l'on est assez enclin à dénigrer, et qui doit être fait. avant toutes choses, de goût, de mesure, de sagesse à la fois traditionnelle et prévoyante.
Ici une critique. Le système des tolérances limitées nous