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Titre : Journal officiel de la République française. Lois et décrets

Éditeur : Journaux officiels (Paris)

Date d'édition : 1919-05-08

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 08 mai 1919

Description : 1919/05/08 (A51,N125).

Description : Note : GG14181.

Description : Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Ministères des Affaires étrangères

Description : Collection numérique : Traités, accords et conventions

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IVe République (1946-1958)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6372770j

Source : DILA, 2009-100524

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/02/2013

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Le prix de chaque numéro de l'Edition partielle dn Journal officiel de la République française contenant les comptes rendus in extenso des séances du Sénat et de la Chambre et le prix de chaque feuille d'annexes est fixé à dix centimes pour l'année courante ; il est élevé à cinquante centimes après le 31 janvier de l'année qui suit. v

SOMMAIRE

PARTIE OFFICIELLE Lois.

loi relu<ive à la protection des appellations d'origine (page 4726).

Présidence du conseil (Commissariat général de la République.) Arrêté sur la liquidation des biens, droits et intérêts de toute nature, placés sous sé< questre en Alsace et en Lorraine (page 4727).

Ministère de l'intérieur.

décret portant nomination dans l'administration préfectorale (page 4728).

- élevant à la ire classe de son grade un inspecteur général adjoint des services administratifs (page 4728).

Ministère des finances.

Dicret. modifiant l'organisation et fixant les attributions des bureaux de l'administration centrale (page 4728). - modifiant les cadres du personnel auxiliaire de l'administration centrale (page 4729).

o,'të portant répartition du personnel de l'administration centrale (page 4729).

Ministère de la guerre.

fiions à l'ordre de t'armée (page 4730).

"-criptions aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire (page 4741).

Décrets et décisions portant promotions, nominations et mutations: Services de l'Afrique du Nord (page 4744).

Infanterie (page 4744).

Train des équipages (page 4747).

Intendance (page 4748).

Justice militaire (page 4748).

Troupes coloniales (page 4748).

Ministère de la marine Décision portant mutation (services d'intendance et de santé) (page 4748).

Circulaire fixant le prix théorique de la journée d'alimentation dans les hôpitaux maritimes (page 4743).

— concernant les emplois civils aux engages et rengagés (reprise de la commission de classement) (page 4749). Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts.

Décret portant concession d'ateliers d'artiste dans les bâtiments de l'institut de France (page 4749).

— rattachant au ministère de la marine le musée naval du Louvre (page 5749).

Ministère des travaux publics des transports et de la marine marchande.

Décret déclarant d'utilité publique une voie ferrée d'intérêt local de Gradignan au pont de Gayac (Gironde) (page 4749).

— déclarant urgents les travaux à exécuter pour l'établissement de la partie du tramway de Lyon à Pont-du-Sault-Brenaz comprise entre la station de la Balme et le Pont-du-Sault-Brenaz (Ain) (page 4751).

Arrêté maintenant un inspecteur des finances de lre classe à l'administration centrale des ports maritimes et de la marine marchande, au ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande (page 4752).

— chargeant un maître des requêtes honoraire au conseil d'Etat d'une mission au ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande (page 4752).

— relatif aux épreuves et à la police de l'examen nour t obtention du brevet d'élève

officier de la marine marchande (page.

4752).

Nominations dans le personnel (page 4753).

Récompenses pour faits de sauvetage (page 4753).

Ministère du commerce, de l'industrie des postes et des télégraphes.

Nominations dans le personnel des postes et des télégraphes (page 473).

", Ministère de l'agriculture et du ravitaillement.

(Serviles de l'agriculture.) Arrêté mettant un certain nombre de préposés des eaux et forêts à la disposition du commissariat général de la République à Strasbourg (page 4754).

(Sous-secrétariat d'État du ravitaillemeDt.) Décret rendant obligatoire la déclaration de?

surfaces ensemencées en céréales de la récolte 1919 (page 4754).

Ministère des colonies.

Décret maintenant dans ses fonctions le gonverneur général de l'Indo-Chine (page 4755).

Ministère du travail et de la prévoyance sociale.

Arrête approuvant un projet de statuts d'une société d'habitations à bon marché (page 4755).

Ministère de la reconstitution industrielle.

Arrêté reportant la date d'ouverture d'un concours pour l'admission de sous-ingénieurs et contrôleurs des mines comme élèves ingénieurs à l'écolo nationale supérieure des mines (page 4755).

- nommant des membres de la commis" sion permanente des recherches scientifiques sur le grisou et les explosifs employés dans les mines (page 4755).

Nominations à des emplois réservés (page 4753J.

PARTIE NON OFFICIELLE

Chambre des députés. — Réponses des ministres aux questions tajles. — Ordre du jour. — Convocation de commissions 'r,' (page 4755).

,CI


Avis, communications et informations.

MINISTÈRE DE LA MARINA

Avis concernant l'examen des candidats au grade d'officier d'administration de 3e classe éontrôlenr d'armes de Ia maTin!} (page 4759).

MINISTÈRE DE L'INSTRUCTION PUBÉIQUE ET DES BEAUX-ARTS Répartition des bourses d'enseignement primaire supérieur pendant 1 annee 1918 (page 4760).

Annonces (page i784).

CHAMBRES

1 Chambre des députés. — Annexes : feuille 9 (pôú,!, l'édition complète). (Voir le sommaire des annexes au Journal officiel de chaque lundi.)

PARTIE OFFICIELLE

LOI relative à la protection des appellations d'origine.

Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :

ACTIONS CIVILES

Art. 1er. — Toute personne qui prétendra qu'une appellation d'origine est appliquée à son préjudice direct' ou indirect et contre son droit à un produit naturel ou fabriqué et contrairement à l'origine de ce produit, Ou à des usages locaux, loyaux et constants, aura une action en justice pour faire interdire l'usage de cette appellation.

La même action appartiendra aux syndicats et associations régulièrement constitués depuis six mois au moins, quant aux droits qu'ils ont pour objet de défendre.

Art. 2. - L'action sera portée devant le tribunal civil du lieu d'origine du produit dont l'appellation est contestée. La demande sera dispensée du préliminaire de conciliation et instruite et jugée comme en matière sommaire.

Art. 3. — Dans la huitaine de l'assignation, le demandeur devra faire insérer, dans un journal d'annonces légales de l'arrondissement de son domicile, et aussi dans un journal d'annonces légales de l'arrondissement du tribunal saisi, une note succincte indiquant ses nom, prénoms, profession et domicile, les nom, prénoms et domicile de son avoué, ceux du défendeur et de l'avoué de celui-ci, s'il a été constitué, et l'objet de la demande.

Les débats ne pourront commencer que quinze jours après la publication de la note prévue au paragraphe précédent.

Art. 4. — Toute personne, tout syndicat et association remplissant les conditions de durée et d'intérêt prévues à l'article i"r pourra intervenir dans l'instance.

Art. 5. - Dans la huitaine de la notification de l'acte d'appel, l'appelant ou les appelants devront faire les insertions prévues à l'article 3 de la présente loi.

Les débats ne pourront commencer devant la cour que quinze jours après ces insertions.

Art. G. — Les arrêts de la cour d'appel pourront être déférés à la cour de cassation.

En cas de pourvoi devant la cour de cassation, celle-ci sera compétente pour apprécier si les usages invoqués pour l'emploi d'une appellation d'origine possèdent tous les caractères légaux exigés par l'article 1er.

Le pourvoi sera suspensif.

Art. 7. — Les jugements ou arrêts définitifs- décideront à l'égard de tous les habitants et propriétaires de la même commune ou, le cas échéant, d'une partie de la même commune.

ACTIONS CORRECTIONNELLES

Art. 8. — Quiconque aura soit apposé, soit fait apparaître, par addition, retranchement ou par une altération quelconque, sur de? produits naturels ou fabriqués, mis en vente ou destinés à être mis en vente, des appellations d'origine qu'il savait inexactes sera puni d'un emprisonnement de trois mois au moins, d'un an au plus et d'une amende de cent'à deux mille francs (100 à 2,000 fr.) ou de l'une de ces deux peines seulement.

Le tribunal pourra, en outre, ordonner l'affichage du jugement dans les lieux qu'il désignera et son insertion intégrale ou par extrait dans les journaux qu'il indiquera, le tout aux frais du condamné.

Quiconque aura vendu, mis en vente ou en circulatien, des produits naturels ou fabriqués portant une appellation d'origine qu'il savait inexacte, sera puni des mêmes peines.

Art. 9. — Toute personne qui se prétendra lésée par le délit prévu à l'article précédent, tout syndicat et association réunissant les conditions de durée et d'intérêt prévues à l'article 1er, pourra se constituer partie civile conformément aux dispositions du code d'instruction criminelle.

DISPOSITIONS SPÉCIALES AUX APPELLATIONS DOHIGINE S'APPLIQUANT AUX VINS ET AUX EAUX-DE-VIE

Art. 10. — Les appellations d'origine des produits vinicoles ne pourront jamais être considérées comme présentant un caractère générique et tombées dans le domaine public.

Art. 11. — Tout récoltant qui entend donner à son produit une appellation d'origine est tenu de l'indiquer dans sa déclaration de récolte.

Le service chargé de la protection des appellations d'origine au ministère de l'agriculture et du ravitaillement procédera à l'enregistrement et à la publicité des déclarations faites dans les mairies par les récoltants lorsqu'elles comporteront l'emploi d'une appellation d'origine dont l'usage n'a pas été reconnu au déclarant.

L'enregistrement de ces déclaration?,

prévu au deuxième paragraphe du présent article, ainsi que leur insertion dans un recueil officiel donneront lieu à la perception de taxes à déterminer par un règlement d'administration publique. -; Art. 12. — A dater du fer septembre 1919, toute personne faisant le commerce en gros des vins, vins doux naturels, vins de liqueurs et eaux-de-vie ou, plus généralement, toute personne ou association ayant un compte de gros avec la régie, sera soiïmise, pour les produits achetés ou veRduB, avec appellation d'origine française, à 1 tenue d'un compte spécial d'entrées et de sorties. Ce compte sera arrêté mensuellement par nature de produits et tenu sut : place à la disposition des employés des contributions indirectes du grade de contrôleur et au-dessus et des inspecteurs régionaux et départementaux du service de la répression des fraudes.

Les inscriptions d'entrée et de sortie sur ce registre seront faites de suite et sans aucun blanc. Elles indiqueront les quantités de marchandises et d'origine sous l'appellation de laquelle elles auront été achetées.

A moins que ces marchandises ne soient revendues sans aucune appellation d'origine française, elles seront inscrites à la sortie avec le numéro de la pièce de régie, soit sous la même appellation qu'à l'entrée, soit sous l'une des appellations plus générales auxquelles elles ont droit d'après les usages locaux, loyaux et constants.

Les quantités, espèces et dénominations des produits susceptibles d'être vendus avec la désignation d'origine existant en magasin seront déclarées par le négociant à l'expiration du délai fixé au paragraphe ïet du présent article et inscrites à cette date.

En cas-de vente, les factures devront, pour les produits vendus avec désignation d'origine française, reproduire l'indication prévue au paragraphe 3 du présent article, et en ce qui concerne les eaux-de -vie, porter la mention du titre de mouvement' et .sa couleur.

Pour les marchandises destinées à l'exportation, les titres de transport devront porteries mêmes indications.

La soumission par laquelle tout xpéJÍ" teur de vin doux naturel demandera utte expédition de régie mentionnera le nom dli, cru.

Il n'est apporté aucune modification :1l régime des eaux-de-vie, notamment au* dispositions de la loi du 3t mars 1903 le concernant.

Les dispositions prévues au présent artt cle pourront, par décret, soumis dans "l délai d'un mois à la ratification des Chatf^1" bres, être rendues applicables aux v'.n*» vins de liqueur et eaux-de-vie provenant d pays étrangers dans lesquels des mesntJ de protection équivalentes auront c prises.

Art. 13. — L'expédition de régie délivr: à la sortie des pressoirs, celliers et cant indiquera l'appellation d'origine, e.

dans la déclaration de récolte ou celle, P générale, résultant des usages loca loyaux et constants.

Art. l i. — Tout distillateur, récoltai^t ,'.rl. U. - Tout duslillalcur, réco JolJ non, qui voudra donner une app<'l"vio9


d'origine à des eaux-de-vie ne bénéficiant pas de la présomption légale inscrite dans l'article 24 ci-dessous, devra en faire la déclaràtion tant à la mairie de son domicile qu'à celle du lieu de la distillation, dans la huitaine qui précédera le commencement de la distill ition. Cette déclaration sera inscrite sur un registre spécial dontcommunication sera faite à tout requérant.

Art. 15. — L'appellation d'origine donnée Aux eaux-de-vie dans la déclaration prévue à l'article 11 sera acquise, si dans le délai d'un an, elle n'est pas contestée. Le délai courra à dater de la publication au recueil officiel prévu audit article.

Pendant ce délai, les eaux-de-vie déclarées sous appellation d'origine, lorsqu'elles Proviendront de régions non comprises dans les décrets, de délimitation antérieurement rendus, devront être logées et manipulées dans des locaux séparés n'ayant, avec ceux où. se trouvent d'autres e.aux..davie, aucune communication excepté par la voie publique.

Si l'appellation d'origine est contestée avant l'expiration de ce délai, l'obligation des locaux séparés séra maintenue jusqu'à ce qu'une décision judiciaire définitive soit intervenue.

DISPOSITIOXS SPÉCIALES AUX VINS MOUSSEUX

Art. 16. -- Les récoltants et fabricants ayant le droit de donner à leurs vins mousseux l'appellation d'origine « champagne » devront, en outre des justifications exigées Par l'article 12 de la présente loi, emmagasiner, manipuler et complètement manutentionner leurs vendanges et leurs vins dans des locaux séparés, sans aucune communication, autre que par la voie publique' avec tous locaux contenant des vendanges ou vins auxquels ne s'appliquera pas l'apPellation d'origine « champagne ».

Art. 17. — L'appellation d'origine « champagne » donnée aux vins mousseux dans la déclaration prévue à l'article 11 sera acquise si, dans le délai d'un an, elle n'est pas contestée. Le délai courra à dater de la Publication au recueil officiel prévu audit article.

Pendant ce délai, et jusqu'au jugement définitif s'il y a contestation, les vins Mousseux auxquels l'appellation d'origine (< champagne » pourra être contestée, défont être emmagasinés, manipulés et complètement manutentionnés dans des ocaux séparés, n'ayant, avec ceux où se Souvent d'autres vins ou vendanges, aucune communication, excepté par la voie Oblique.

Art. 18. — Un délai de trois mois, à dater ae la promulgation de la présente loi, est accordé, pour se conformer aux prescriptions de l'article précédent, aux commeraIlts qui, détenteurs de vins récoltés en dehors de la région délimitée par le décret 1117 décembre 1908 : 1910 Font ou ont fait, depuis le 1" avril V 14, à la fois le commerce des vins, deIlt recevoir l'appellation d'origine ; Champagne » et celui des vins sans fellation ; () 20 N'ont qu'un seul magasin ou, s'ils en Ont Plusieurs, ne peuvent avoir qu'un seul 4 cèg sur la voie publique.

{)ns le même délai de trois mois de la i ^mulgation de la présente loi, les récol-

tants des régions non délimitées par le décret du 17 décembre 1908 pourront faire la déclaration prévue à l'article li cidessus.

Art. 19. — Par exception aux dispositions de l'article 16 ci-dessus, pourront être introduits dans les locaux visés par cet article, les vins destinés à la consommation du récoltant ou fabricant et des personnes qu'il emploie, dans les limites et sous les conditions fix6es annuellement par le directeur départemental des contributions indirectes.

Art. 20. — Les vins mousseux ayant droit à l'appellation d'origine « champagne » ne pourront sortir des magasins séparés visés aux articles 16 et 17 ci-dessus sans que les bouteilles soient revêtues d'une étiquette portant le mot « champagne ii en caractères très apparents ; les caisses ou emballages contenant ces bouteilles devront porter le même mot aussi en caractères très apparents.

Les bouteilles contenant les vins devront être fermées d'un bouchon portant le même mot sur la partie contenue dans le col de la bouteille.

Art. 21. — Les vins mousseux sans appellation d'origine ne pourront être mis en vente sans que les bouteilles soient revêtues, dans les trois mois de la promulgation de la présente loi, d'une étiquette portant les mots « vin mousseux » en caractères très annarents.

Pe même, les bouteilles des vins dont l'effervescence aura été obtenue, même partiellement, par addition d'acide carbonique ne provenant pas de leur propre fermentation, devront porter en caractères très apparents, la mention « vins mousseux gazéifiés ».

Art. 22. — Les infractions aux dispositions des articles 12, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20 et 21 ci-dessus seront punies d'un emprisonnement d un mois au moins et d'un an au plus et d'une amende de cerrt francs (100 fr.) au moins et de cinq mille francs (5,000 fr.) au plus ou de l'une de ces deux peines seulement.

Pourront aussi les tribunaux ordonner la publication du jugement de condamnation intégralement ou par extrait dans tels journaux qu'ils désigneront et son affichage aux portes du domicile et des magasins du condamné, le tout aux frais de celui-ci.

Sera punie des peines portées au paragraphe précédent toute fausse déclaration ayant pour but d'obtenir une des expéditions prévues par les articles 23 et 24 de la loi du 31 mars 1903, et par l'article 25 de la loi du 6 août 1905, sans préjudice des sanctions prévues par les lois fiscales.

Art. 23. — L'article 463 du code pénal est applicable aux délits prévus par la présente loi.

Art. 24. — Sont et demeurent abrogés : 1° L'article 11 de la loi du 1er août 1905, mais en tant seulement qu'il a décidé que des règlements d'administration publique statueraient sur les mesures à prendre en ce qui concerne les appellations régionales; 2° L'article 1er de la loi du 5 août 1908, complétant l'article 11 de la loi de 1905, en ce qu'il a décidé qu'il serait procédé par des règlements d'administration publique à la délimitation des régions pouvant prétendre aux appellations de provenance de produits; ,

30 La loi du 10 février 1911; 4° Tous règlements d'administration publique rendus en exécution des textes abrogés.

Toutefois, les producteurs, fabricants et négociants des régions délimitées par les décrets des 17 décembre 1908, lec mai 1909, 25 mai 1909, 18 septembre 1909, 21 avril 1910, 18 février 1911, 7 juin 1911, pourront invoquer, à titre de présomption légnle, les dispositions de ces décrets, en tant qu'elles leur donnent le droit d'appliquer une appellation d'origine à leurs produits.

Art. 25. — La présente loi est applicable à l'Algérie et aux colonies.

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et par la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.

Fait à Paris, le 6 mai 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'agriculture et du ravitaillement, VICTOR BORET.

Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.

PRÉSIDENCE DU CONSEIL

Le commissaire général de la République, Vu le décret du 6 décembre 1918, portant suspension de l'interdiction de commerce en ce qui concerne l'Alsace et la Lorraine ; Vu l'arrêté du 30 novembre 1918, concernant les relations commerciales en Alsace et en Lorraine ; Vu les circulaires des 11 et 14 décembre 1918, relatives au séquestre des biens ennemis en Alsace et en Lorraine ; Vu le décret du 21 mars 1919, relatif à l'administration de l'Alsacè et de la Lorraine, Arrête : Art. 1er. - La liquidation des biens, droits et intérêts de toute nature, placés sous séquestre en Alsace et en Lorraine, peut être autorisée par ordonnance rendue, sur requête du ministère public, par le président du tribunal régional du lieu de la situation des biens.

La décision autorisant l'administrateur séquestre à procéder à la liquidation peut adjoindre ou substituer un liquidateur a l'administrateur séquestre déjà en fonctions.

A défaut d'administrateur séquestre antérieurement nommé, une seule et même ordonnance peut, en prescrivant le séquestre, donner, au mandataire de justice, pouvoir de liquidateur.

Sous les réserves formulées aux articles 2 et 4 ci-après, l'ordonnance nommant le liquidateur détérmine les conditions dans lesquelles il exerce son mandat.

Art. 2, — Pour tous établissements commerciaux, industriels ou agricoles, ainsi que pour toutes propriétés, tous droits immobiliers ou tous stocks de marchandises, lorsque lesdits biens ont été évalués à la somme de 500,000 fr.

au moins (actif brut) par l'inventaire de prise en charge ou encore pour toutes participations dans une entreprise quelconque quelle que soit la valeur attribuée auxdites participations par l'inventaire de prise en charge, 1 ordonnance prescrivant la liquidation, provoque sur les conditions mêmes de la liquidation autorisée, l'avis de la commission consultative prévue ci-après et renvoie le liquidateur à se pourvoir près de cette commission.

Le liquidateur peut cependant recevoir du président du tribunal le mandat de prendre les mesures urgentes et provisoires que peut exiger la situation des biens confiés a sa garde.

Pour les biens d'une valeur inférieure à cinq cent mille francs, le président du tribunal peut toujours, s'il le jure utile, procéder dans les


conditions prévues aur paragraphes précédents.

Art. 3. — Il est institué, tous l'autorité du commissaire général de la République, une commission consultative, appelée à formuler un avis en ce qui concerne la liquidation des biens ou intérêts de toute nature, séquestrés en territoire d'Alsace et de Lorraine.

C. Me commission comprend un président et quatre membres dont: Un représentant des industriels français; Un représentant des industriels alsaciens et lorrains; Un membre choisi en' raison de sa compéffence financière et un membre choisi en ràison de sa compétence juridique.

Le président et les membres de la commission sont nommés par arrêté du commissaire général de la République.

La commission est pourvue d'un secrétariat Í>ermanent assuré par un délégué du commissaire du Gouvernement près le tribunal supérieur de Colmar.

Elle peut s'adjoindre un ou plusieurs techniciens , spécialement désignes pour chaque affaire, choisis par la commission sur une liste Arrêtée par le commissaire général de la République, sur présentation des directeurs des divers services de l'administration d'Alsace et de Lorraine. Les membres adjoints prennent part, avec voix consultative, aux travaux de la commission se rapportant à l'affaire, à l'occasion de laquelle ils ont été désignés.

La commission siège à Strasbourg. Les conditions de son fonctionnement sont fixées par décision du commissaire général de la République.

Art. 4. — La commission dresse par catégorie d'établissements Un cahier des clauses et conditions générales applicables auv liquidations à intervenir.

Saisie par l'autorité judiciaire, conformément à l'article 2 ci-dessus, elle émet un avis sur l'opportunité de la liquidation, les conditions farticulières auxquelles peut être subordonnée l'opération, le mérite des offres faites, eu égard aux garanties à exiger des acheteurs tant au point de vue de la nationalité que de (à. solvabilité et de l'aptitude professionnelle.

La commission convoque et entend le liquidateur chaque fois qu'elle le juge nécessaire.

Elle peut procéder sur place à toutes enquêtes utiles en déléguant à cet effet un de ses membres spécialement désigné en chaque èas.

Elle adresse son avis au commissaire du gouvernement sous le contrôle duquel est placé le liquidateur.

Il est statué, au vu de cet avis et sur réquisition du ministère public, par jugement du tribunal siégeant en chambre du conseil.

Art. 5. — Le liquidateur exerce ses fonctions dans la limite du mandat qui lui est conféré et sous le contrôle du ministère public auquel il doit rendre compte à toute réquisition.

En cas de contestation, il est statué par le président du tribunal régional qui, sur réquisition du ministère public, peut prononcer le déssaissement ou la destitution du liquidateur.

Art. 6. — Les frais de toute nature afférents a chaque liquidation, y compris ceux occasionnés par le fonctionnement de la commission consultative, sont prélevés sur le produit des l'éalisation.

Après le règlement du passif français, allié ou neutre, le solde actif est déposé à la caisse des dépôts et consignations.

Ar.t. 7. — Les réclamations concernant la gestion des administrateurs séquestres et des liquidateurs, ne seront admises et les actions y relatives ne seront exercées que devant le tribunal régional du lieu de la situation des biens et aux seules diligences du ministère publie.

Art. 8. - Les frais et émoluements des liquidateurs sont taxés, après visa du parquet, par ïe président du tribunal régional.

En fin de gestion, le liquidateur obtient décharge de son mandat après avoir soumis les tomptes détaillés et justifiés de ses opérations à l'homologation de la juridiction qui a ordonné la liquidation.

Strasbourg, le 17 avril 1919.

A. MILLERAND.

J.. —————————

IIIIITÈRE DE L'iSTÉSi £ S8

Par décret du Président de * la République en date du 14 avril 1919, rendu sur la proposition du ministre de l'intérieur : M. Coste, rédacteur principal de 3e classe à la préfecture de la Seine, est nommé conseiller de préfecture des Bouches-du-Rhône, en remplacement de M. Schroeder et par permutation avec lui.

40

Par décret en date du 29 avril 1919, M. Gastu (Jules), inspecteur général adjoint des services administratifs de 2e classe, est promu à la 1TB classe de son grade à dater du 1er mai 1919.

MINISTÈRE DES FINANCES

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des finances, Vu les lois des 29 décembre 1882, article 16; 13 avril 1900, article 35 ; 25 février 4901, article 55; 30 mars 1902, article 79; 13 juillet 1911, article 144 ; 27 février 1912, article 34; Vu les lois des 30 mars 1910. 14 août 1915, article 8 ; 9 mars 1918, article 29, 31 décembre 1918, 29 et 31 mars 1919; Vu le décret du 1er décembre 1900, poftant règlement sur l'organisation centrale du ministère des finances ; ensemble les décrets des 26 mai 1903, 22 décembre 1904, 13 décembre 1906, 17 mars et 1er mai 1908,

15 mars 1909,15 février et 26 novembre 1910, 13 janvier et 14 septembre 1911, 6 janvier, 19 mars, 11 septembre et 11 octobre 1912, 10 janvier, 27 mars et 16 décembre 1913, 31 mars 1915, 1er avril, 15 septembre et 15 décembre 1916, 30 décembre 1917, 8 février, 23 mars et 29 août 1918, 10 janvier, 16 février et 7 avril 1919, Le conseil d'Etat entendu, Décrète : Art. ltr. — Les articles 1er, 3 et 27 du décret du 1er décembre 1900, portant règlement sur l'organisation centrale du ministère des finances sont modifiés ainsi qu'il suit : Art. 1er. — Les cadres du personnel de l'administration centrale du ministère des finances comprennent : 7 emplois de sous-directeurs ou souscaissier ; 34 emplois de chefs de bureau ; 85 emplois de sous-chefs de bureau; Le nombre maximum des rédacteurs, commis d'ordre et de comptabilité, expéditionnaires et agents employés à l'administration centrale est fixé de la façon suivante : 108 rédacteurs principaux ; 125 rédacteurs ou stagiaires (115 rédacteurs ordinaires au maximum) ; 174 commis principaux ou commis d'ordre et de comptabilité ; 173 expéditionnaires principaux, expéditionnaires et expéditionnaires stagiaires.

228 tmîs?fers, gardiens de bureau, eûtf cierges, ordonnances on assimilés ; .1 Art, 3. — Les traitements et les classe* que comportent les emplois de l'adminil- tration centrale sont fixés ainsi qu'il suit ï, Sous-chefs de bureau ; t Classe exceptionnelle (9 au - - i

maximum. 8.000 fr.

t re classe. ',' 7.000 28 classe 6.500 3e classe. 6.000

Rédacteurs principaux : Classe exceptionnelle (23 au

maximum).:. :. 6.000 ff.

lre classe 5.500 2e classe. 5.000 3e classe. 4.500 .4 Art. 27. — ,i

Les cadres du personnel à la direction générale des douanes comprennent :

10 emplois de chefs de bureau (dont 1 aU maximum de classe exceptionnelle) ; 11 emplois de sous-chefs de bureau (dont 2 au maximum de classe exceptionnelle) ; Le nombre maximum des rédacteurs principaux, rédacteurs ordinaires, commiS principaux et commis d'ordre et de comptabilité, expéditionnaires principaux et eX" péditionnaires de la même administration est fixé de la manière suivante : 31 rédacteurs principaux et rédacteur (dont, au maximum, 4 rédacteurs principaux de classe exceptionnelle) ;

Art. 2. — Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel et inséré aU Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 2 mai 1919. *

R. POINCARR.

Par le Président de la République : Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.

Le Président de la République français®» Sur le rapport du ministre des finances" Vu l'article 16 de la loi de finances dt1 29 décembre 1882; -1 Vu l'article 35 de la loi de finances dd, 13 avril 1900; Vu l'article 1er du décret du 2 mai 19109

portant règlement sur l'organisation cen'" traie du ministère des finances, Décrète : Art. 1er. — L'administration centrale ministère des finances comprend, outre cabinet du ministre et le servicé de 1 pection générale, 8 directions ou 3 vices.

Le nombre et les attributions des bUra., dont se composent ces services, ainsi cet le nombre des directeurs, chefs de ser". 11" sous-directeurs, chefs et sous-chefs de l:ad) reau, sont fixés conformément aU ci-après;


- ,.,.. 'I K.I '■ lllimi. M I - - - - ■—» | = I t; = s 5 < w xn > S rn § H g s 3 s's 5 S =• ta a ta fil S - g s DIRECTIONS OU SERVICES BUREAUX S -g o g « P W « : Q M j -S rOIiI .a' rn g « PS OT t 15 æ 5-8 fe O S o 3 M C/2 S q W W 5 j 8 - - - - ----- ----.

t 3 Direction du mouvement général 2e bureau. — Services extérieurs et écritures. 1 * 113 des fonds. 3e bureau..- Opérations de trésorerie. » It * 1 » 1 It 1 » 2 2 7 == ===== == ==- === ===

1er bureau. - Bureau con tral. a » » Il i 2 2e bureau. - Bureau du budget. » 1) » 1) 1 2 3e bureau. - Ecritures centrales. » < » » 1 1 4e bureau. — Comptabilité des trésoriers-payeurs généraux. » » » » 1 4 5e bureau. — Perception des contributions directes Direction générale de la compta- et des amendes et condamnations pécuniaires; bilité publique service des receveurs des communes et établissements publics. 1 » » 4 1 2 6" bureau. — Comptabilité des colonies et des che* mins de fer de l'Etat. — Emargement des pensions. n » » » 1 2 7e bureau. — Comptabilité des contributions indirectes, des douanes, de l'enregisliement, des postes et desrtélégraphes Il » » 1 3 8e bureau. - Retraites ouvrières et paysannes » Il m Il i 1 -- 1 1 » » 4 8 17 t 1er bureau. — Bureau central du double du GrandLivre et des cautionnements. » » ♦ » » 1 2 2e bureau. — Grand-Livre.,. 3 , ueue perneiueue ; l3' bureau. — Transferts et mutations » » » » 1 3 e e perpétuelle 4, bureau. - Reconversions et renouvellements » 1 » 1 1 2 ou amortissable. 5e bureau. — Service des titres des chemins de fer » » 1 2 de l'Etat - » » J) i 2 Irec IOn de 6e bureau. - Bureau des baux à loyer. » » » » i 3 la dette ins- 7e bureau. - Bureau des dommages de guerre. » » » » 1 3 crite.

1 D ,, j18e bureau. — Bureau central » » » - » 2 e e laD, e » » 1 1 i.t. iaD 9 bureau. - Liquidation » • » 1 1 1 pensions 10 bureau. - Inscription. » » » Il 1 2 - - - - -------Il i » 2 9 25 ====- -===== === ====== === -==== ter bureau. - Contrôle de la caisse centrale et de la -.

Contrôle central du Trésor public. ) Dette inscrite » » 1 » - 6 2e bureau. - Oppositions. » * » » 1 1 •* » 1 » i 7 === -== .=.=: -===== ===- ==:=

Totaux. 1 4 3 9 37 89

La répartition des rédacteurs, commis d'ordre et de comptabilité, expéditionIlaires et agents auxiliaires dans les directions et bureaux est faite par arrêté ministériel.

Art. 2. — Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret, lui sera publié au Journal officiel et annexé ali décret du 2 mai 1919, portant règlement SUr l'organisation centrale du ministère des finances.

Fait à Paris, le 2 mai 1919.

R. POINCARK.

Par le Président de la République : le minisire des finances, L.-L. KLOTZ.

————— + —————

* Président de la République française, t.. Vu l'article 55 de la loi de finances du 25 er 1901 ;

Vu l'article 144 de la loi de finances du 13 juillet 1911 ; Vu la loi de finances du 31 décembre 1918; Vu les lois des 29 et 31 mars 1919 ; Vu le décret du 8 août 1913; Vu les décrets des 31 mars 1915, 16 avril 1916, 13 juin 1917, 30 décembre 1918 et 16 février 1919; v Sur le rapport du ministre des finances, Décrète : Art. le". - L'article isrdu. décret du 8 août 1913 est modifié ainsi qu'il suit :

Les cadres de ce personnel comprennent: 601 classeurs émargeurs ;

265 auxiliaires proprement dits, dont 3 affectés spécialement au contentieux des transferts et 14 dames employées au service du double du grand livre., Art. 2. — Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret,

qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 2 mai 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République r.

Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.

T

Le ministre des finances, Vu l'article 1er du décret organique du 2 mai 1919; Vu l'article 1er du décret du 2 mai 1919 ; Vu l'article ier de l'arrêté du 16 février 1919; Sur le rapport du directeur du personnel, Arrête: Art. 1er. — Les rédacteurs principaux, ordinaires et stagiaires, les commis principaux d'ordre et de comptabilité, les commis d'ordre et de comptabilité, les expéditionnaires principaux, ordinaires et stagiaires, et les agents non commissionnés ou auxiliaires sont répartis dans les directions et bureaux de l'administration centrale des finances conformément au tableau ci-après:


■■ - i il ■*im ; - - -:- --T - - - - NOMBRE D'AGENTS NOMBRE titulaires d'anxilitiret DIRECTIONS OU SERVICES BUREAUX Ull .lIre.

par par bureau. par service. servie..

■—. ■ i - , — , __i*É ni <4 , * * **.»•*••« Contrôle des administrations financières : le" bureau. - Portefeuille des! douanes, des contributions indirectes, des laboratoires, des manufactures J)irection du contrôle riaç administra- de l'Etat et de l'Imprimerie nationale. 4 et de 2e bureau. - Portefeuille de l'enregistrement, descon- tions iffinnaanncciièèrrees s et de l'ordonîiïllce, j tributions directes, des monnaies et médailles. 117 7 66 ment.,. ,.,.,. tributions directes, des monnaies et médailles. - 17 6 m AffaIres mixtes. , , 3 Ordonnancement et comptabilité des dépenses du milerbureau. - Bureau central 14 ministère 10 Direction du mouvement général mi- 14 !

Blfnncàïn dumoaTemoilt 8é^ral des rSSerS: - RMcStérieuwëttoH^::::::::::: « » » tonus. e 3e bureau. - Opérations de 1 !'l«r bureau. — Bureau central 5 28 bureau. - Bureau du bUdget.:. 8 3e bureau. - Bureau des écritures centrales. 6 4e bureau: — Comptabilité des trésoriers-payeurs généraux. 35 5* bureau. -r Perception des contributions directes et 1 J des amendes et condamnations pécuniaires. — Service Direction générale de la comptabilité des receveurs des communes et des établissements ) iOi 4r1 » publics 9 pûb!l(ïue ; ? .-. pfibhqúe.:0". ;',. ';',. 6° bureau. — Comptabilité des colonies et des chemins 9 1 de fer de l'Etat. — Emargement des pensions. 10 7e bureau. — Comptabilité des contributions indirectes, des douanes, de l'enregistrement, des postes et des télégraphes 25 8' bureau. - RetraItes ouvrières et paysannes 6 „+ 8 e b u r e a ti. -

11r bureau. — Bureau central, du double du Grand-Livre et des cautionnements. 26 v 2e bureau. - Grand-Livre « 58 !

i 3e bureau. Transferts et mutations 21 » 1 - 4o bureau. - Reconversions et renouvellements. 15 I amortissable. ge bureau. - Service des titres des chemins de fer de ï 1 l'Etat » 16 l ««g 1'11.

Direction de la 61, bureau. - Bureau des baux à loyer.,. 16 - 174 Dette inscrite. j 7' bureau. — Bureau des dommages de guerre 21 l Dette viagère. Pen- I 8. bureau. — Bureau central 7 1 sions.:. e bureau. -l..iquidation. 10 I V sions. ( 10e bureau. - Inscription. 12 f :. :; '::.' ;:; :. ;: ; :;;I .; ; .;.

S i 1er bureau. — Contrôle de la caisse centrale et de la Contrôle central du Trésor publie Dette inscrite c, »•> Contrôle central du Trésor public. ] ( 2* bureau. - Opposilions.,. 8 t 51 53 | Totaux 589 866 r H! -~

Art. 2. — Le présent arrêté sera déposé au bureau chargé du contreseing pour être notifié à qui de droit.

Fait à Paris, le 2 mai 1919.

L.-L. KLOTZ.

BIHtSTÈHE DE LA (HEURE

Citations à l'ordre de l'armée.

Sont cités à l'ordre de l'armée : VÈRNY "{Louis), sous-lieutenant à rétat-major du 38 groupe du 360 rég. d'artillerie de campagne : le 29 juillet 1918, étafit officier de liaison auprès du tommandant d'un bataillon d'attaque, a fait preuve, pendant toute l'attaque, d'une bravoure superbe et d'un mépris absolu du dangèr; a participé à la capture de, nombreux prisonniers. En fin de journée, presque tous leg bfficiers du bataillon ayant été mis hors dé combat, s'est offert spontanément pour assurer la liaison avec le bataillon voisin ; a accompli. sa. mission sous un violent bombardement et des feux croisés de mitrailleuses..

LECLERC (Ernest-Louis- Théodore), lieutenantcolônel au 1058 rég. d'infanterie : excellent chef fle corps, d'une bravoure hors de pair, ayant au plus haut degré le mépris du danger, homme de devoir dans toute l'acception du mot ; le 19 juillet 1918, a brillamment enlevé les objec-

tifs qui lui étaient assignés et a été blessé au milieu de ses troupes qu'il encourageait par sa bravoure, son sang-froid et son exemple.

POINTET (Gaston), lieutenant à la 6e compagnie du 105e rég. d'infanterie : à l'attaque du fer août 1918, a été volontaire pour diriger les chars d'assaut marchant avec le bataillon. A assuré leur mise en place sur le terrain malgré un bombardement violent d'obus toxiques et d'obus explosifs. A continué pendant l'attaque à leur indiquer les îlots de mitrailleuses à réduire. Jeune officier remarquable par son courage et son énergie. Au front depuis le début de la campagne. Deux blessures. Trois citations antérieures, VALETTE (Auguste-J.-B.), capitaine au iga-erég.

d'infanterie : le 29 juillet 1918, étant adjoint au chef de bataillon, a réussi par son courage et son énergie à regrouper les éléments du bataillon disloqué par le feu extrêmement violent de l'ennemi, les a ramenés à l'assaut, assurant ainsi la conquête de l'objectif. Une blessure. Trois citations antérieures.

LE 16e RÉG. D'INFANTERIE : régiment qui s'est déjà maintes fois signalé au cours de la campagne. Le 1918, sous les ordres du lieutenant-colonel COLOMBAT, avec un magnifique esprit d'abnégation et une ardente foi patriotique, s'esÇporté, sous un bombardement d'une violence extrême, à l'attaque du village do Grand-Rosay, dont il s'est emparé de bauVi • lutte, après avoir bousculé l'ennemi sur U»e profondeur de plus de deux kilomètres, capturant ou détruisant tous les nids de mitrailleuses et refoulant L'adversaire: au delà d'une

ligne de tranchées et de réseaux fortement défendus. S'est maintenu sur ses positions malgré de nombreuses et très violentes contreattaques menées jusqu'à la nuit par des troupes de la garde dont il n'a pu briser l'élan que par des luttes corps à corps. Lo ltr août 1918, chargé de couvrir le flanc gauche de deux divisions, a réalisé sa mission avec suçcès, contribuant ainsi à la retraite de l'ennemi auquel une de ses patrouilles a enlevé toute une batterie de 77. Le 1918, au matin, après avoir marché toute la nuit, a atteint les objectifS qui lui avaient été assignés, dans le minimum de temps et malgré de violents tirs de barrage.

Au cours de ces opérations, a. pris à l'ennemi; 220 prisonniers, 40 mitrailleuses lourdes, 50 flU" traifleuses légères, 4 canons de 77, 6 millCJl" werfer et 2 dépôts de munitions.

LE 9Be RÉG. D'INFANTERIE : régiment qui s'est maintes fois signalé au cours de la campagne. Lors des récents combats, sous les Oedres du lieutenant-colonel GAUllE, après avo]) conquis, les 29 et 30 juillet 1918, un importan point d'appui ennemi sur le flanc de 1 attaqua principale, a enlevé d'un seul élan, le 1er aO 1918, la crête des observatoires ennemis, nia* gré une résistance acharnée et repoussé j® violentes contre-attaques poursuivies sans su cès par l'ennemi au cours de la journée..

capturé 150 prisonniers, 76 mitrailleuses 4 minen. Les 2 et 3 août, a marché à J'avant, garde de la division et conduit avec Vllgl.le:..

le combat de jour et de nuit, refoulant le* , rjère-gardes ennemies, au delà de la Vesle.

LE 105e RÉG. D'INFANTERIE :i régiI»«ot 49


s'était déjà fait remarquer au cours de la campagne. Les 29. 30 et 31 juillet et le 1er août 1918, sous les ordres du chef d'escadron DE LASTIC, remplaçant ole lieutenant-colonel blessé au début de l'action, a enlevé de haute lutte avec un merveilleux entrain, une magnifique bravoure, une complète insouciance du danger, les objectifs qui lui étaient assignés, repoussant pendant trois jours, malgré le.s tirs de Mitrailleuses et les violents bombardements, toutes les contre-attaques de la garde prussienne. A capturé 450 prisonniers, 7 canons, 64 mitrailleuses. Les 2,3 et 4 août 1918, en poursuivant l'ennemi, s'est emparé du bois Etoile, a franchi la Yesle et maintenu intégralement ses positions.

ALHEIXG (Michel-Marie-Armand), lieutenant kla C. H. II. du 1(5' rég, d'infanterie : officier de renseignements au 105e rég. d'infanterie, au cours de l'attaque du 2) juillet, a fait prouve du plus grand dévouement et du plus absolu mépris de la mort. Dès le début de l'action, s'est Porté à hauteur des premières vagues afin de Pouvoir renseigner le colonel sur la situation exacte du régiment, ne cessant de parcourir la ligne, traversant à chaque instant des barrages excessivement denses; a regroupé des éléments d'une compagnie fortement éprouvée et les a dirigés sur l'objectif de la compagnie, qui a été atteint immédiatement.

1 CHATAING (Pierre-Marius), sergent fourrier à a He compagnie du 105e rég. d'infanterie, nile 5775 : le 29 juillet 1918, au cours de l'attaque, a assuré, malgré les feux violents do l'artillerie tfi des mitrailleuses, la liaison entre le chef de bataillon et son commandant de compagnie ; a aidé à regrouper les éléments de sa compagnie fortement éprouvés. Sous-officier remarquable par son courage et son entrain.

MOT AGON (Pierre-Marie-Ambroise), souslieutenant à la 9e compagnie du 105e rég. d'intanterie : le 29 juillet, à l'attaque du bois de la Terre-à-l'Or a entraîné sa section dans un élan Irrésistible. Un tir très violent de mitrailleuses nous ayant causé des pertes très sévères et ayant ainsi privé une compagnie de tous ses officiers, en a pris spontanément le commandement et a conduit cette poignée

d hommes jusqu'à la corne nord-est du bois qui était ion objectif, en dépit des feux de mitrailleuses venant des bois de. et de la côte., qui le prenaient de flanc. à droite et à gauche, capturant de nombreux prisonniers et des mitrailleuses. Avec un sang-froid et une bravoure admirés de tout le régiment, se maintient depuis deux jours en position très en Dèche, brisant net par son énergie plusieurs contre-attaques très violentes menées par la garde prusienne et précédées d'intenses bombardements. Sur le front depuis janvier 1915.

veux citations.

MILLEN (Gilbert), soldat à la C. H. R. du au 105e rég. d'infanterie: le 29 juillet 1918, a accompagné un bataillon d'attaque comme Volontaire en remplacement d'un camarade malade, a assuré avec courage et dévouement sa tâche de téléphoniste. Au cours d'une contre-attaque ennemie, les liaisons téléphoniques étant coupées, s'est joint à l'escouade J'oisine et a combattu avec elle pour repousser a contre-attaque.

LESTR VDE (Claude-Aimé), aumônier militaire titulaire au groupe de brancardiers de la e division : aumônier du groupe de brancardiers divisionnaires, que sa bravoure et son evouement sans limites ont rendu légendaire Parmi les troupes de la division. Partage depuis Sdati • ans, sans une minute de repos, toutes leurs IIdtIgues, tous leurs dangers, exerçant sur elles, P®r son exemple et sa sollicitude infinie pour il Ous, l'influence la plus bienfaisante. A fait, dne fois de plus, dans cette dernière journée a e combat, l'admiration des troupes qu'il a accompagnées à l'attaque. Deux blessures.

lJatre citations antérieures.

6e LECLEnCQ (Jérôme), sous-lieutenant à la compagnie du 98e rég. d'infanterie : parti avec sa section à l'attaque d'un groupe de maisons où résistaient encore une vigtaine d'Allemands, a réussi à libérer complètement le village attaqué, tuant de sa main plusieurs C){files et mettant les autres en fuite. Jeune er d'un courage et d'un sang-froid abso1ent remarquables. id'j^RGE (Marcel), sous-lieutenant au 16e rég.

Ganterie : jeune officier d'une bravoure à

toute épreuve. Le 29 juillet 1918, a brillamment entraîné sa section à l'assaut des positions ennemies, malgré le tir nourri des mitrailleuses. Contre-attaqué violemment par des troupes d'élite, l'a maintenue sur la position conquise jusqu'à la dernière extrémité, donnant à ses hommes un bol exemple de sangfroid, de calme et de mépris du danger. Une citation antérieure.

TRILLON (Emile-Pierre-Louis), chef de bataillon au 16e rég. d'infanterie: le 29 juillet 1918, chargé avec son bataillon d'enlever et de nettoyer le village de Grand-Rosoy, s'est acquitte de sa mission avec une habileté manœuvrière et une bravoure remarquables.

Après la prise du village, a occupé l'objectif qui lui avait été désigné et l'a défendu victorieusement contre les attaques d'un ennemi extrêmement mordant et bien supérieur en nombre. A su parer au danger que créait une liaison insuffisante avec les troupes voisines et, en fin d'attaqne, n'a pas hésité à contreattaquer avec ses derniers éléments pour rejeter 1 ennemi au-delà de l'objectif qui lui avait été fixé et rendre ainsi possible 1 organisation défensive de la position conquise. A contribué à la capture de plus de 200 prisonniers dont plusieurs officiers. Le 3 août 1918, a été blessé au cours d'une reconnaissance qu'il effectuait en première ligne ; malgré la gravité de sa blessure, n'a consenti à se laisser évacuer qu'après avoir remis son commandement et donné tous les renseignements nécessaires pour assurer le succès de l'opération. Officier supérieur de grande valeur morale. Une blessure et trois citations antérieures.

SCHERRER (François), chef de bataillon au 2e bataillon du 1C* rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, commandant un bataillon d'attaque, l'a conduit pendant tout le combat d'une façon héroïque. Après avoir enlevé son premier objectif, éloigné de deux kilomètres et demi de sa base de départ, avoir protégé le bataillon chargé d'enlever et de nettoyer le village de Grand-Rosov, s'est maintenu sur ses positions pendant douze heures, malgré de furieuses et incessantes contre-attaques menées par des troupes d'élite, malgré des pertes très elevées, et l'a mise hors de combat de tous ses cadres.

A infligé à l'ennemi des pertes considérables et, de plus, a contribué largement à la capture de plus de 200 prisonniers dont plusieurs officiers. Officier supérieur de très haute valeur morale. Trois citations antérieures.

CELLIER (Louis), sous-lieutenant à la 11e compagnie du 16* rég. d'infanterie: le 29 juillet 1918, a montré une bravoure et un entrain extraordinaires. Après avoir entraîné sa section à l'assaut des positions ennemies et atteint, d'un seul bond, l'objectif qui lui était assigne, a dû prendre le commandement de sa compagnie dont il restait le seul officier. A repoussé de nombreuses et violentes contreattaques, contribuant à briser l'élan de l'ennemi. Jeune officier très brave et d'une ardeur remarquable. Une citation et une blessure antérieure.

PASCAL (Charles), adjudant à la 9e compagnie du 16e rég. d'infanterie, mie 3533 : le 29 juillet 1918, a brillamment conduit sa section à l'attaque du village de Grand-Rosoy. a atteint ses objectifs dans le minimum de temps, malgré la résistance de l'ennemi et le tfr violent des mitrailleuses, sa compagnie ayant été l'objet de furieuses contre-attaques, a par son exemple et son courage maintenu ses hommes sur la position conquise, contribuant à briser l'élan de l'ennemi. Chef de section de tout premier ordre, ayant fait ses preuves en plusieurs circonstances. Médaillé militaire pour faits de guerre.

DELAMAISON (Lucien), mie 5222, sergent à la 58 compagnie du 16e rég. d'infanterie: le 29 juillet il)lg, a brillaimG ~~er 7 ,, * d'infanterie: le 29 juillet 1918, a brillamment entraîné sa section à l'assaut des positions ennemies, malgré un très violent tir de mitrailleuses, a participé à la réduction de plusieurs ilôts de résistance et a fait de nombreux prisonniers. A contribué à défendre, avec la dernière énergie, la position conquise, soumise à de très violentes et puissantes contre-attaques, et a infligé de lourdes pertes à l'ennemi. Sous-officier d'élite, au front depuis le début de la campagne, s'est distingué dans tous les combats auxquels le régiment a pris part. Médaillé militaire pour faits de guerre. Deux citations antérieures.

GUTZER (Charles), mie 13162, soldat à la

3e compagnie du 16e rég. d'infanterie : le 29 Juillet 1918, s'est porté à 1 attaque du village de Grand-Rosoy avec un entrain superbe et un courage digne des plus grands éloges. A pris une part active au nettoyage du village et contribué largement à la destruction de nids de mitrailleuses et à la capture d'une quinzaine de prisonniers. Soldat très brave, d'un très bel exemple au feu, toujours volontaire pour les missions périlleuses. Une citation antérieure.

COLOMBAT (Paul), lieutenant-colonel au 16' rég. d'infanterie : chef de corps do haute valeur morale, modèle de conscience militaire.

Après avoir prépéré sur le terrain avec un soin minutieux la prise de son dispositif de départ, a conduit avec la plus grande énergie l'attaque de son régiment sous un feu violent d'artillerie et des rafales incessantes de mitrailleuses.

A atteint de haute lutte la plus grande partie de ses objectifs, malgré une résistance acharnée de l'ennemi. Privé de ses moyens de liaison, détruite par le feu, a payé de sa personne sans hésitation avec une bravoure et un sang-froid remarquables pour conserver la conduite de l'action. En fin de combat, s'est mis personnellement à la tête de ses éléments restés disponibles et s'est porté jusqu'à la ligne de feu pour refouler une forte contreattaque de l'ennemi et assurer la possession du terrain conquis.

BAUDIN (Wilfrid), lieutenant à la compagnie 13/1. du 4e rég. de génie : au front depuis le début de la campagne, s'est montré officier actif et entreprenant, joignant à une conception claire et rapide des circonstances, beaucoup d'énergie et de décision dans l'exécution.

Le 4 août 1918, commandant un détachement chargé d'assurer le passage d'une rivière en présence de l'ennemi, a accompli sa mission dans des circonstances difficiles et périlleuses.

GUILLAUMIN (Maxime-Antoine-Joseph), lieutenant à la C.M .3, du 98e rég. d'infanterie: au cours de l'attaquo du 29 juillet 1913, a spontanément pris le commandement de groupes d'assaut qui venaient de perdre leurs chefs et s'égaraient dans le brouillard et la fumée ; les a résolument portés en avant sur leurs objectifs. Officier mitrailleur d'une grande valeur, aussi calme et réfléchi au feu qu'à la manœuvre. A rendu des services remarquables par une activité inlassable pendant les opérations offensives récentes. Trois blessures. Deux citations antérieures.

ROBIN (Léon), caporal à la 3e compagnie du 98° rég. d'infanterie, mie 4293 : au cours de l'attaque du 29 juillet 1918, a entraîné ses hommes avec le plus beau courage, détruisant avec son escouade un nid de mitrailleuses ennemies. A l'arrivée sur l'objectif final ayant remarqué qu'un trou s'était produit entre deux unités, a pris l'initiative d'py roduit ser son escouade pour rétablir la surveillance et la liaison. Excellent caporal, ayant toujours donné à tous l'exemple du sang-froid et de la bravoure. Une blessure. Deux citations antérieures. v MERCIER (Georges), sergent à la C. M. 2, du 98e rég. d'infanterie, mle 04962 : au cours de l'attaque du 29 juillet 1918, a pris à partie avec sa section de mitrailleuses, les nids de mitrailleuses ennemis et efficacement contribué à les réduire. Ayant perdu son chef de section, s'est organisé sur le terrain conquis et a brisé net, par son feu, une contre-attaque ennemie en lui infligeant des pertes sanglantes. Excellent sous-officier mitrailleur, au front depuis le début de la campagne, a pris part à toutes les actions du régiment et s'y est toujours distingué par sa bravoure et son sang-froid.

COLONGE (Louis), sous-lieutenant à la iro compagnie du 98e rég. d'infanterie : a entraîné avec le plus grand courage sa section à l'assaut des positions ennemies, malgré un violent tir d'artillerie et un feu nourri de mitrailleuses. A pris le commandement de la compagnie au début de l'action, alors que son commandant de compagnie venait d'être blessé. Par son exemple, a su donner à ses hommes un magnifique élan, malgré la résistance acharnée de l'ennemi, a atteint tous ses objectifs et s'y est maintenu. A fait soixante prisonniers, pris six mitrailleuses et sept mitraillettes. Légèrement blessé en arrivant sur la position, a refusé de se laisser évacuer, Jeune officier plein d'allant et d'un grand


courage. Une blessure. Deux citations antérieures.

PARIAT (Aimé), capitaine, commandant la 3* compagnie du 98e rég. d'infanierie : le 1er août 1918, a enlevé sa compagnie à l'attaque d'importantes positions ennemies avec un superbe eourage. Brisant la résistance acharnée de l'adversaire, a atteint ses objectifs.

pris 4 mitrailleuses, 8 mitraillettes et fait une quarantaine de prisonniers. Officier de haute valeur morale, très brave et ayant su faire de sa compagnie une très belle unité de combat.

Blessé deux fois. Trois citations antérieures.

PRADiER (Elie), caporal à la 7e compagnie du 98e rég. d'infanterie, mie 5469 : au passage de la première ligne ennemie a boudi sur un groupe de mitrailleur ennemis qui, sortis d'un abri non encore nettoyé, tiraient dans le dos des vagues d'assaut. A contribué très largement à la prise de 15 prisonniers et d'une mitrailleuse. Gradé d'un courage à toute épreuve, volontaire pour toutes les missions délicates.

Deux citations.

TRÉMEAU (Prosper-Edouard), capitaine à la 5e compagnie du 105e rég. d'imantcrie: le 4 août 1918, a entraîné sa compagnie à l'assaut d'une position puissamment organisée. S'est emparé de haute lutte de ses objectifs, pronant 2 canons de tranchées, 5 mitrailleuses et 16 mitraillettes, faisant une cinquantaine de prisonniers. Les journées suivantes, a vaillamment conduit ses hommes à la poursuite de l'ennemi jusqu'aux rives de la Veslo, communiquant à tous l'ardeur et la volonté de vaincre. Officier d'une grande valeur, sur le front depuis le début de la campagne, décoré de la médaille militaire et titulaire de [quatre citalions.

MORY (Ilippolyte-Antoine), lieutenant à la -7e compagnie du 105e rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, a entraîné sa compagnie à l'assaut d'une position puissamment organisée.

À conquis ses objectifs malgré une résistance opiniâtre, réduisant trois nids de mitraileuses qui enrayaient sa progession. S'est emparé de 3 [mitrailleuses lourdes et 10 mitraillettes, fair sant 50 prisonniers. Jeune officier d'un grand courage. Au frond depuis mai 1915. Deux citations antérieures.

MONTEIL (Jean), lieutenant, commandant la 9" compagnie du 105 rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, l'ennemi ayant réussi à prendre pied dans le bois de la Terre-à-l'Or, a mené avec sa compagnie une vigoureuse contreattaque, entraînant ses hommes par son énergie et par son courage, et a rejete l'ennemi au delà de ce bois qui, depuis n'a cessé d'être en notre possession.

1 FOURQUET (Jean-Marie), capitaine à la 10 compagnie du 105e rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, atteint d'un seul bond son objectif, faisant de nombreux prisonniers, réduisant toutes les résistances, capturant plusieurs mitrailleuses et 3 canons. Trois jours après, a entraîné sa compagnie par son exemple à l'assaut d'une position ennemie fortement tenue et s'est rendu maître de cette position sous un tir de barrage très dense et en dépit de violentes rafales de mitrailleuses. Une blessure, deux citations. Au front depuis le début de la campagne.

- BONVIOLLE (Charles-nenn-Gabrien. colonel breveté, commandant l'infanterie de la 25e D. I. :

pendant la période du 29 juillet au 4 août 1918, a brillamment commande ses trois régiments qui ont enlevé de haute lutte un village, un bois et une crête fortement organisés et âprement défendus et s'y sont maintenus en dépit de six contre-attaques menées par des troupes d elite. S est mis ensuite en tête de l'avant;gard, a Poursuivi l'ennemi sur 14 kilomètres.

Oifieier supérieur de haute valeur morale. Une blessure. Quatre citations.

DE POILLOUE DE SAINT-MARS (Reaé-Chaiie$Mario-Abel), colonel, commandant l'artillerie de la 25e D. I. : pendant une période de neuf jours de combats et une poursuite de 14 kilomètres dans un terrain très difficile et semé d'embûches, a obtenu de la nombreuse artillerie de tous calibres placée sous ses ordres le rendement maximum. A constamment payé de sa personne malgré les dures fatigues d'une bataille ininterrompue de trois jours, poussant toujours ses batteries en avant, plaçant des l'èf.as isolées au milieu des fantassin*, don-

nant à tous le plus bel exemple de courage et d'énergie. Deux citations antérieures.

GIGNOUX (Henri-Marie-Francois-Régis), chef de bataillon, commandant le 3e bataillon du 16° rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, a conduit brillamment son bataillon à l'assaut d'une ligne de tranchées défendue avec acharnement par les troupes de la garde prussienne et, donnant un remarquable exemple de son bel esprit de solidarité, s est engagé à fond pour assurer le sucçès des deux autres bataillons du régiment. A été tué glorieusement, à la tête de ses troupes, au moment oiVelles atteignaient l'objectif qui leur était assigné. Deux citations.

Deux blessures antérieures.

MONTHEILLET (Augustin), soldat à la pt compagnie de mitrailleuses du 16e rég. d'infanterie, mie 297 : le 29 juillet 1918 et le 1er août 1918, a donné, une fois de plus, la mesure d'un courage et d'un esprit de sacrifice poussés aux extrêmes limites. Parcourant inlassablement le champ de bataille de jour et de nuit, sans souci des balles et des obus, a réussi à ramener de nombreux blessés, entraînant par son exemple les brancardiers du bataillon. Blessé d'une balle de mitrailleuse, a refusé de se laisser évacuer avant d'avoir terminé sa tâche, donnant, jusqu'au soir, le spectacle d'une énergie surhumaine. Fait depuis longtemps l'admiration de tous par l'élévation de son caractère et son tranquille héroïsme. Médaillé militaire pour faits de guerre et trois citations antérieures.

RENAUD D'AVÉNE DES MELOIZEg (MarieGeorges), chef de bataillon au 16e rég. d'infanterie : officier de haute valeur morale, commandant avec bienveillance et distinction. Au cours des combats du 29 juillet au 4 août 1918, a rendu d'abord comme adjoint à son chef de corps, ensuite comme commandant de bataillon d'un bataillon do première ligne, d'émilon nents services. Charge d'une flanc-garde, a manœuvré avec haMIetë et a poussé en avant des patrouilles hardies do-nt l'une a pu s'emparer d'une batterie de 77. Contusionné et ayant reçu plusieurs éclats d'obus, a continué à exercer son commandement avec le plus grand calme, donnant ainsi à son bataillon très éprouvé le plus bel exemple d'abnégation et de mépris du danger. Une citation antérieure.

TURLIER (François), caporal à la 11e compagnie du 105e rég. d'infanterie, mie U246 : le 20 août 1918, s'est distingué par sa bravoure et son sang-froid en s'élançant sur une patrouille ennemie. Est parvenu a capturer un Allemand qui venait de lui lancer des grenades et de lui tirer plusieurs coups de revolver à bout portant. Grâce à son énergie, les autres patrouilleurs qui tentaient de fpurner un de nos postes furent mis en fuite.

CASSAN (Germain), soldat à la iDe compagnie du 16e rég. d'infanterie, mie 8261 : le 29 juillet 1918, au cours d'une furieuse contreattaque allemande, voyant un important groupe ennemi s'infiltrer dans un village, n'a pas hésité à se porter en avant, arme d'un fusilmitrailleur, pour lui barrer le passage, et l'a tenu en respect pendant trois quarts d'heure.

Le 1er août, a fait partie, comme volontaire, d'une patrouille qui a poussé loin en avant des lignes et a contribué au succès de l'opération en recueillant, auprès des habitants, des renseignements précieux et s'emparant d'une batterie de 77. Soldat modèle avant donné de nombreuses preuves de sa valeur en de multiples circonstances. Une citation antérieure.

DELORME (Jean), soldat à la 10° compagnie du 16e rég. d'infanterie, mie 7516 : le 29 juillot 1918, au cours d'une furieuse contre-attaque allemande, voyant un important groupe ennemi s'infiltrer dans un village, n'a pas hésité à se porter en avant, armé d'un fusil-mitrailleur, pour lui barrer le passage, et l'a tenu on respect pendant trois quarts d'heure. Le 1er août 1918, a fait partie, comme volontaire, d'une patrouille qui a poussé loin en avant des lignes et a contribué au succès de l'opération en recueillant, auprès des habitants, des renseignements précieux, et s'emparant d'une batterie de 77. Soldat modèle ayant donné de nombreuses preuves do sa valeur morale en de multiples circonstances. Deux citations antérieures.

VOISIN (Victor-Gabriel), capitaine, commandant la pe compagnie du 16' réff. d'infanterie : Le 29 juillet 191& 9. mené sa compagnie à l'at-

taque avec uns énergie et une science du co: bat admirables. Ayant rapidement atteint!

objectifs, a aussitôt organisé le terrain CO. !

quis, s'y est maintenu plusieurs heures, m&P, gré un bombardement intense et des feux t' mitrailleuses meurtriers, résistant victorieuse ment à la contre-attaque ennemie et causanil de lourdes pertes à l'adversaire ; blessé ment à la tête de sa compagnie. Officier tté haute valeur, ayant fait maintes fois sèS; preuves. Deux blessures et trois citations antérieures.

DE ROBERT (Edouard-Auguste), capitaine la 11e compagnie du 16e rég, d'infanterie : officier d'une haute valeur morale et militaire; merveilleux entraîneur d'hommes. Le 29 juillet 1918, est parti en tête de sa compagnie avec sa bravoure habituelle. Dès le matin, son chef de bataillon ayant été tué, a pris le commandement de son bataillon et n'a pas cessé de montrer une admirable activité pour continuer la progression, organiser sa ligne de résistance et encourager ses hommes. A résisté à plusieurs attaques ennemies, contre-attaquant lui-même à la baïonnette en tête do ses unités. A trouvé une mort glorieuse au cours de ces opérations. Légion d'honneur pour faits de guerre. Une blessure et trois citations antérieures.

LAUGIER (Jean-Antoine), sous-lieutenant à la 11e compagnie du 16e rég. d'infanterie : lors de l'attaque du 29 juillet 1918, ayant pris la commandement de sa compagnie, n'a pas cessé d'encourager les différentes fractions et d'organiser sa ligne de défense sous un feu violent de mitrailleuses. A été mortellement blessé, après plusieurs heures de combat.

alors qu'il se préparait à repousser une puissante contre-attaque. Officier d'une admirable bravoure, sachant toujours se trouver dans les endroits les plus dangereux pour payer d'exemple et électriser ses hommes. Six 1)1 essures et cinq citations antérieures.

BRISSAUD (François), sous-lieutenant à. la 5e compagnie du 16e rég. d'infanterie : officier d'un dévouement absolu et d'une bravolire, éprouvée. Le 29 juillet 1918, a entraîné brillamment sa section à l'attaque de la position ennemie : son commandant de compa;;we ayant été blessé au début de la progression. a pris le commandement de la compagnie et * réussi, malgré des tirs violents de mi!N\lA leuses, qui lui ont causé des pertes sévère. ® atteindre l'objectif fixé. A été tué en défont!* Dt laposition conquise contre de furieuses conlre- attaques ennemies. Décoré de la légion d'honneur pour faits de guerre. Trois citations et une blessure antérieure.

PESTRE (Baptiste), sous-lieutenant à la.

6e compagnie du 16« rég. d'infanterie : jeunt) officier d'une haute valeur morale, d'une bt.

voure calme et réfléchie. Le 29 juillet 1918, a entraîné brillamment sa section à l'attaquc, participant à la capture de nombreux prison" niers. Pendant huit heures, a défendu héroïque" ment la position conquise violemment contre" attaquée. A été tué en fin de journée sur set emplacement de combat. Une citation antérieure.

TlXIEH (Jacques), sous-lieutenant à la -31, C, a du 16e rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, '.s entraîné sa section dans des conditions lft: 6 périlleuses et mis en batterie sous une pluie « balles, cherchant à neutraliser par son feu tar nid de mitrailleuses ennemies. Débordé er une contre-attaque, a continué à coin'man«e son tir à bout portant. Cerné, recevant d1, officier allemand l'injonction de se rendre, l'a abattu d'un coup de revolver et a payé de {I vie cet acte de bravoure. Jeune et brillant pf cier d'un allant et d une belle humeur auJ11 rables. Une citation antérieure.

MICHARD (René-Jean), sous-lieutenant à 1re compagnie du 16e rég. d'infanterie parti à l'attaque, le 29 juillet 1918, avec 6n entrain habituel. Après avoir rapidement a teint ses objectifs, malgré un feu intenta pris d'habiles dispositions qui lui permirent repousser une première contre-attaque. * courant la ligne sous un bombardement a n-j0.

extrême violence et sous les rafales de Illt 16 leuses, a maintenu au plus haut pOlltta" moral de ses hommes; l'ennemi con tre- up(J quant en force, a mené le combat aveCt S6 énergie peu commune, partout présenw été montrant vraiment l'âme de la défense.

glorieusement frappé, au moment ou il r


«tes groupes britanniques pour renforcer -- sa fraction. Jeune officier d'une haute valeur morale, ayant toujours donné un admirable exemple d'énergie et d'abnégation. Une citation antérieure.

MàIRESSE (Henri), sous-lieutenant au 2E bataillon du 16e rég. d'infanterie : officier d'un dévouement absolu et d'une éclatante bravoure. A fait preuve, au cours de l'attaque du *9 juillet 1918, du mépris le plus complet du danger, assurant, sous un violent bombardenient et des feux croisés de mitrailleuses, la liaison avec les unités du bataillon, tous les agents de liaison ayant été mis hors de combat.

A été tué en arrivant sur l'objectif assigné du bataillon. Une blessure. Une citation antérieure. TRÉFOND (Joseph), caporal à la 10e compagnie du 16e rég. d'nfanterie, no mie 6050 : le 29 juillet 1918, au cours d'une contre-attaque ennemie, a abattu trois Allemands à bout portant. Le 1er août 1918, a commandé une patrouille audacieuse qui a opéré bien en avant du bataillon, a rapporté des renseignements Précieux qui ont contribué au succès de l'opération et s'est emparé d'une batterie de 77.

Gradé énergique et brave, ayant participé comme volontaire à de nombreuses opérations périlleuses. Trois citations antérieures.

VIALLARD (Elie-Joseph), soldat à la 5e compagnie du 16e rég. d infanterie, mie 13229 : le 29 juillet 1918, S t élancé bravement à l'assaut des positions ennemies. Blessé légèrement a continué le combat. S'est ensuite porté au secours de son capitaine grièvement atteint et a été blessé à nouveau au moment où il se disPosait à l'emporter au poste de secours. Soldat d'élite, d'un courage et d'un dévouement exemplaires. Une citation antérieure.

GIRAUD (Armand), caporal brancardier au 11er bataillon du 98e rég. d'infanterie, mie 03302 : le 1er août 1918, pendant l'attaque et toute la Journée qui a suivi, n'a cessé un seul instant <le parcourir le terrain complètement balayé par les mitrailleuses ennemies, se portant toujours avec son équipe de brancardiers vers le point le plus dangereux. A toujours montré dans les combats, des qualités de sacrifice, de dévouement et de sang-froid. Déjà quatre fois cité. 1

VOGEL (Vincent), capitaine, commandant le 2e bataillon du 98e rég. d'infanterie : son chef de bataillon ayant été blessé au cours d'une attaque, a pris le commandement de cette Unité qu'il a entraînée dans un superbe élan à a conquête d'une position fortement occupée faisant de nombreux prisonniers et capturant Un important butin. A repoussé les contreattaques violentes qui se sont poursuivies au Cours de la journée. Blessé mortellement en Poursuivant l'ennemi en retraité. Officier de haute valeur, d'une énergie et d'une bravoure exemplaires. Chevalier de la Légion d'honneur Sour faits de guerre. Quatre citations à l'ordre de l'armée. Deux blessures antérieures.

6 BELIN (Georges), capitaine, commandant la S* compagnie du 98° rég. d'infanterie : avec élan et la bravoure dont il faisait toujours Preuve, a entraîné sa compagnie à l'attaque ye fortes positions allemandes malgré un vioteInt feu de mitrailleuses. A été mortellement „ ssé en atteignant l'objectif que sa compagnie enlevait brillamment. Officier de grande aleur, sur le front depuis le début où il déPloya les plus belles qualités militaires en garant t'anection de ses hommes et l'estime de •es chef..

t REBIFFE (Maurice-René-Charles), sous-lieuï®hant à la 9Ô compagnie du 980 rég. d'infanJ^rie : dans une attaque faite par sa compafnle sur un objectif particulier, a conduit sa letton avec un allant remarquable et par une fjogression hardie et rapide, a réduit plulll'S nids de mitrailleuses, capturant 3 offlfIers, 40 soldats allemands et 6 mitrailleuses bYes. Jeune officier remarquable dans la d CIIAPUT (Pierre), sergent à la 5° compagnie d'l 984 rég d'infanterie, mie 9108 : le.29 juillet Il a brillamment entraîné sa demi-section bl assaut des positions ennemies, a fait prisonrler un groupe ennemi servant une mitràilllse. Arrivé sur l'objectif et après avoir tlPOUSSé une contre-attaque ennemie, s'est &ncé seul sur un P. P., en a tué les occu-

pants à la grenade. Jeune sousofficier -d'un& belle tenue, plein d'allant, toujours volontaire pour les missions dangereuses. A. en toutes circonstances, montré la plus grande bravoure et le plus absolu mépris du danger.

RAFFIN (Claude), sergent à la lre compagnie du 98* rég. d'infanterie, mie 017018 : le 29 juillet 1918, dans un vigoureux élan, a entraîné sa demi-section à l'assaut d'une position ennemie très fortement organisée. A atteint tous ses objectifs, s'est ensuite porté en avant et a réussi à faire 25 prisonniers à lui seul. A été blessé d'une balle à la main en organisant la position conquise. Sous-officier d'une bravoure légendaire, toujours volontaire pour les missions périlleuses. Au front depuis le début de la campagne.

MERLE (Jean-Baptiste), soldat à la 2e compagnie du 98e rég. d'infanterie, mie 364 : agent de liaison animé du plus joli sentiment du devoir. Porteur d'un pli très urgent destiné au commandant de sa compagnie, a rempli sa mission sous une grêle de balles, une avalanche d'obus. Blessé grièvement en cours de route, s'est traîné jusqu'au poste de commandement de son commandant d'unité, terminant là seulement la mission pour laquelle il était envoyé. §oldat parfait, modèle de courage, qui n'a jamais cessé de donner le plus bel exemple d'abnégation à tous ses camarades. Une blessure. Une citation antérieure.

ASTIER (Jules), mie 03716, adjudant à la 6e compagnie du 98e rég. d'infanterie : à l'attaque du 1er août 1918, commandant une section de première vague, a brillamment entraîné ses hommes à l'assaut, brisant toutes les résistances et faisant des prisonniers. Tous les officiers ayant été tués ou blessés après l'occupation de l'objectif, a pris le commandement de la compagnie et dirigé l'organisation du terrain au cours de laquelle il fut blessé. Vieux sousofficier. très courageux, d'un dévouement absolu. S'est distingué dans toutes les opérations auxquelles a pris part le régiment.

HENRIOT (Jean), mie 8012, sergent à la 3e compagnie du 98e rég. d'infanterie : sous-officier d'une superbe bravoure. A l'attaque du 1er août 1918, a entraîné sa demi-section à l'assaut des positions ennemies avec beaucoup d'allant, brisant la résistance des nids de mitrailleuses allemandes, capturant 4 mitrailleuses et taisant une dizaine de prisonniers. Une blessure. Une citation.

BURDIN (Francisque), mie 3369, sergent à la pe compagnie du 98e rég. d'infanterie : au cours d'une attaque, a protégé la progression de sa compagnie en entraînant son groupe de grenadiers d'élite dans un élan remarquable. S'est élancé sur un blockaus de mitrailleuses qu'il a rapidement réduit par la vigueur de son attaque, capturant 20 prisonniers et 2 mitrailleuses. Sous-officier d'une bravoure et d'un allant à toute épreuve. Deux blessures. Peux citations antérieures.

BARRIER (Alfred), capitaine au 105* rég.

d'infanterie : après avoir brillamment participé aux combats des 29 juillet et 1er août 1918, a enlevé, le 3 août, les hauteurs de Cuisy-House et a atteint la rive sud de la Vesle. Exaltant par son exemple le courage de ses hommes latigués par plusieurs jours de combat, a franchi la Vesle le premier de tous sur une passerelle de fortune et placé lui-même des têtes de pdnt au nord de la rivière. A permis, grâce à son énergie et son sang-froid, la construction de passerelles et le passage de toute sa compagnie qu'il a conduite immédiatement en reconnaissance à 500 mètres plus au Nord ; a maintenu ses têtes de pont malgré une violente contre-attaque, au cours de laquelle il a été grièvement blessé. Au front depuis le début de la campagne. Deux citations.

BO'NNOT (Célestin-Eugène-Josepli), chef de bataillon, commandant le 3« bataillon du 105e rég. d'infanterie : le 29 juillet 1918, a entrainé son bataillon d'un élan irrésistible à l'attaque du bois de la Terre-à-l'Or en dépit de tirs très violents de mitrailleuses, de minenwerfer légers et de barrages d'obus de gros calibre. A été mortellement blessé au moment où il arrivait sur l'objectif qui lui était assigné. A commandé son basaillon pendant toute la campagne. Cité quatre fois à l'ordre du C. A. Une blessure.

PONS (Jean-Piel'fe-EmilhAlfred), lieutenant à la 2e compagnie du Wo* rég. d'infanterie : à

l'attaque du 29, ltS, a fslt preuve plus belles qualités de bravoure Ó d'initia en entraînant sa compagnie à l'assaut d position fortement organisée. Est tombé Itl tellement blessé en franchissant ls réseau oe fil de fer qui défendait la tranchée ennemKh Commandant de compagnie remarquable rare son courage et son énergie. Au front depuis te début de la campagne.

CHAVANON (Edgard- Georges - Léopold- Per' nand), mie 248, adjudant à la 7e compagnie du 105e rég. d'infanterie: le 3 août 1918, a conduit brillamment sa section à l'assaut. réduisâlft une mitrailleuse qui gênait sa progression St s'emparant de haute lutte de la pièce et de ses servants. Le surlendemain, chargé de s'itfcfiltrer avec sa section dans le ravin de CuisyHouse, arrive par une manœuvre habile à tori ner et à mettre en fuite un groupe important ennemi. Bien qu'intoxiqué par les gaz, a tend à conserver son commandement jusqu'au mQ4 ment où le bataillon a été retiré de la ligne feu. Au front depuis le début de la campagn.

Deux citations.

MARINIER (Charles), mie 525, adjudant à la 5e compagnie du 105* rég, d'infanterie : à l'attaque du 29 juillet 1918, s'est emparé avec sa sec* tion d'une vingtaine de prisonniers et de six: mitrailleuses. Trois jours après, blessé au cours d'une nouvelle attaque, a entraîné cependant sa section à l'assaut, ne consentant a se laisser soigner que lorsque l'objectif eut été atteint et le terrain conquis solidement tenu..

Est venu au bout de quelques heures reprendre sa place au feu, donnant à tous l'exemple du plus grand courage et d'une énergie audessus de tout éloge. Au front depuis le début de la campagne. Deux citations. Trois blessures.

MONTESSUY (Pierre-Louis), mie 814, sergent à la 10e compagnie du 105® rég. d'infanterie : à l'attaque du 29 juillet 1918, son lieut..

nant ayant été blessé à pris le commandement de la section, l'a conduite brillamment à l'assaut et a repoussé toutes les contre-attaques ennemies. Trois jours après, au cours de la. Î

oroeression. a réussi à s'emnarer de deux ml.

trailleuses et de 45 prisonniers. Sous-offlcier très brave, modèle d'énergie et de sang-froid, VERDOUCK (Emile-Gabriel), sous-lieutenant à la 2e compagnie du 105e rég. d'infanterie : à l'attaque du 29 juillet 1918. a entraîné d'un élan magnifique sa section à l'assaut d'une po4* sition fortement organisée. Est tombé crible de balles en franchissant le réseau de fil de Ust qui défendait la tranchée ennemie. Otflcfer remarquable par son entrain et sa bravoure qui savait communiquer à ses hommes la flamme dont il était animé.

MOURDIE {Jean-Marie - Dominique - Henri),' sous-lieutenant à la C. M. 2 du 405e rég. d'infanterie : à l'attaque du 29 juillet 1.918, a conduit brillamment à l'assaut sa section 4a mitrailleuses. N'a pas hésité à s'élancer d'OB superbe .élan pour entraîner ses hommes sons un tir de barrage extrêmement violent. A été tué .en accomplissant ce bel acte de bravoun*.

ROUGIER (Gilbert). mie 5742, soldat à là 11e compagnie du 100e t'ég. d'infanterie : soldat connu de tout le bataillon pour son courage et son endurance. Au cours de l'attaque du 29 juillet 1918, s'est élancé sur un nid de mi., trailleuses ennemies, tuant le sous-officier qui les commandait et faisant les servants prisonniers. A fait preuve de bravoure en remplissant les fonctions d'agent de liaison et en aidant au transport des munitions et des artifices sous de violents tirs de barrage.

QUEYROY (André-Jean-Adrien), lieutenant, commandant la 26e batterie du 226e rég. d'artillerie de campagne : jeune officier plein d'entrain et de vaillance. Commandait sa battejla depuis trois mois et y avait fait preuve de beaucoup de sang-froid et de maturité d'esprit. A pris une part brillante à l'offensive 8u 18 juillet 1918. Mortellement blessé, le 31 juillet, à son poste de combat.

LACOSTE (Julien), mie 8312. canonnier Mr< vaut à la 21e batterie du 226e rég. d'artillerie de campagne : canonnier très coneiencieuxeb, d'une bravoure exceptionnelle. Le 6 août 1918 un obus étant tombé dans l'observatoire où il était de service et ayant tué ou blessé grièvcH ment tous ses camarades, a assuré seul, mal4 L gré un harcèlement violent qui continuait,1


l'évacuation du poste en ramenant un blessé et les corps de deux canonniers tués.

BRUGIÈRES (Victor-An tonin), sous-lioutenant à la HI compagnie du l')5e rég d'infanterie : le 29 juillet, partant en tôte de ses hommes, les a entraînes d'un élan irrésistible à l'attaque dn Dois de la Terre-à-l'Or. Après avoir réduit plusieurs nids de résistance et capturé de nombreux prisonniers, a été tué d'une balle dans la tête au moment où il se portait de nouveau en avant, Au front depuis le début de la campagne. Une citation.

ASTIER (Auguste-Albert), lieutenant, commandant la 11e compagnie du 9be rég. d infanterie : jeune officier énergique et piein d'altant A organisé toute une série de reconnaissances offensives rendues difficiles par le franchissement d'une rivière, les a conduites avec méthode et mépris du danger. Le 16 août 1918, a franchi à nouveau la rivière, attaqué une ferme fortement organisée, bousculé l'ennemi, lui faisant des prisonniers et mettant les autres en fuite. Trois blessures. Une citation.

MILLERAT (Henri), mie 05279, adjudant à la 118 compagnie du 93e rég. d'infanterie : le 16 aoùt, a conduit une reconnaissance offensive rendue particulièrement difficile par le passage d'une rivière. A attaqué avec autant d'audace que d'habileté un poste ennemi supérieur en nombre et fortement organisé avec des mitrailleuses, l'a bousculé, lui faisant des prisonniers et mettant le reste en fuite. Chef de section de premier ordre, d'une décision, d'une énergie et d'un allant hors de pair.

LE 226e RÉG. D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE : sous le commandement de son chef, le lieutenant-colonel DE L'ÉPREVIER, après avoir depuis près de cinq mois figuré partout où l'on se battait, subi les plus dures épreuves et poursuivi son effort sans un jour de trêve ni de repos, a pris la part la plus brillante à. l'offensive commencée le 18 juillet 1918, a fourni un effort considérable, déplaçant dix fois ses batteries, coopérant aux victoires des 18 et 19 juillet, du 29 juillet, du 1er août, et à la poursuite des 2 et 3 août. Partout officiers et hommes de troupe ont montré le plus bel entrain, la plus louable initiative et le dévouement le plus absolu provoquant l'admiration des régiments voisins.

(Ordre du 6 octobre 1918.)

LE 4* RÉG. DE MARCHE DE ZOUAVES : régiment au passé glorieux, aussi ardent dans l'attaque que tenace dans la défense. Sous les ordres du lieutenant-colonel DUPLANTIER a, du 29 mai au 5 juin, en avant de Carlepont, subi sans broncher huit attaques successives accompagnées de violents bombardements d'obus toxiques et de gros calibres ; n'a pas cédé un pouce de terrain malgré une situation défavorable qui découvrait complètement son flanc droit. Le 18 juillet, brillamment entraîné par les chefs de bataillon DE JUVIGNY, SALBERT, et le capitaine GÉRARD DU BARRY (tué glorieusement au cours de l'action), s'est porté à l'attaque dans une région boisée et marécageuse, particulièrement difficile. A conquis de haute lutte six kilomètres de terrain, faisant plus de 1,200 prisonniers, capturant 40 canons, 120 mitrailleuses et un important matériel.

Le 20 juillet, malgré des pertes sensibles et la fatigue extrême des hommes, a conquis encore deux kilomètres de terrain, faisant 100 prisonniers et prenant 20 mitrailleuses.

, LE RÉG. d'INFANTERIE COLONIALE DU makol.: splendide régiment dont la valeur et I entrain sont légendaires. Les 18 et 19 juillet, le régiment colonial du Maroc renforcé par le bataillon LOYNET du 8e rég. de tirailleurs, sous 1 énergique commandement dulieutenant-colonel MODAT, est parti à l'assaut avec une fougue irrésistible, refoulant l'ennemi sur une profondeur de sept kilomètres malgré une résistance acharnée et lui capturant 825 prisonniers dont 19 officiers, 24 canons, 120 mitrailleuses et un nombreux matériel.

LE 4e RÉG. MIXTE DE ZOUAVES ET TIRAILLEURS : régiment d'élite qui a montré une tois de plus qu'on pouvait entièrement compter , sur lui. Le 18 juillet, énergiquement commandé par le chef de bataillon D HOMME, renforcé par le bataillon DERANQUE du 8e rég. de tirailleurs, est parti à l'assaut avec un entrain merveilleux brisant toutes les résistances, refoulant l'enDemi sur une profondeur de sept kilomètres,

lui faisant subir des pertes cruelles et capturant 950 prisonniers, 26 canons, 150 mitrailleuses et un nombreux matériel.

LE 32e RÉG. D'ARTILLERIE DE CAMPACrNE : sous le commandant du chef d'escadron SUTTERLIN, s'est montré pendant les mois de juin et de juillet à hauteur de ses belles traditions de bravoure et d'entrain ; dans la défensive a maintenu inviolé le front de son infanterie en dépit des plus violentes attaques et a réussi admirablement un mouvement de repli délicat ; dans l'offensive, tirant jour et nuit, suivant pas à pas son infanterie dans sa progression, a appuyé successivement les attaques de sa division, puis celle d'une division britannique, attaques qui ont toutes été couronnées de succès et dont la dernière a déterminé la retraite de l'ennemi.

LE Se GROUPE DU 117e RÉG. D'ARTILLERIE LOURDE : sous le commandement du chef d'escadron VAUCHEY, est, en peu de temps, devenu un groupe d'élite digne de la division.

Tenace dans la défensive, ardent dans les attaques, a du 18 au 23 juillet, ainsi que les 29 juillet et 14 août, toujours été prêt à appuyer son infanterie de feux puissants et à l'accompagner dans sa marche victorieuse.

GIBAUD (Lucien-Jean-Baptiste), sous-lieutenant au 4e rég. de marche de zouaves : officier ardent, énergique et brave. Le 18 juillet, commandant une section de liaison entre deux régiments, a communiqué à sa troupe la résolution farouche qui l'animait. A puissamment aidé les vagues d assaut dans la réduction des nids de mitrailleuses. Le 22 juillet, a pris à l'improviste le commandement d'une unité très éprouvée dont les trois commandants de compagnie successifs étaient tombés et qui lui était étrangère. L'a commandée très énergiquement et lui a redonné confiance.

SICRE (Jean-Osman), sous-lieutenant au 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs, 27e compagnie de tirailleurs : officier d'un dévouement magnifique et d'une bravoure éprouvée. Envoyé avec sa compagnie en soutien d'un bataillon arrêté dans son élan, après un assaut prolongé, s'est porté brillamment avec lui à l'assaut prolongéd, 'un bois fortement tenu par l'ennemi, sous le feu violent des mitrailleuses, en a occupé les lisières et permis le nettoyage. A contribué ainsi à la capture de nombreux prisonniers et facilité la poursuite d'une offensive momentanément enrayée.

DERIGOIN (Joseph-Adrien-Ilubert), colonel à la 76e brigade d'infanterie: du 29 mai aulojuin, ayant sa brigade tout entière en ligne à un saillant très important du front, attaque sans répit par des forces supérieures, menacé d'être encerclé, a su communiquer à ses troupes son enthousiasme, son ardeur et sa ténacité et à obtenir d'elles les efforts qui ont permis d'arrêter net les attaques ennemies sur cette partie du front. Dans la nuit du 9 au 10 juin, a réussi par son énergie et ses habiles dispositions à ramener sur la ligne qui lui avait été fixée ses six bataillons tous engagés, sans laisser à l'ennemi ni un homme ni un fusil. Les 11 et 12 juin, a lancé, sa brigade à l'attaque en la portant d'un seul bond à six kilomètres dans l'intérieur des lignes ennemies et en dépit d'une résistance acharnée de l'ennemi ; a redoublé ses attaques, les 13 et 14, en les conduisant avec un remarquable esprit offensif. S'est affirmé à nouveau au cours de toutes ces opérations comme un chef ardent, tenace et expérimenté.

BÉRANGER (Elie-Marie-Aimé), colonel au 32e rég. d'artillerie : commandant une artillerie divisionnaire, officier supérieur d'une bravoure et d'un entrain superbes, pour lequel il n'existe aucune difficulté technique insurmontable. S'est déjà signalé du 27 mars au 3 avril en improvisant en pleine bataijle, sous le feu de l'ennemi, dans les conditions les plus difficiles, le fonctionnement de l'artillerie qui a puissamment contribué au beau succès de la division. A été légèrement blessé. Vient de se distinguer de nouveau, du 18 au 28 juillet 1918, en organisant et en dirigeant sur le terrain, d'une façon parfaite, une très nombreuse artillerie de campagne et d'A. L. C. A su lui inspirer son esprit offensif et organiser sa progression en avant. De ce fait, a grandement participé à la victoire. MEYNADIER, capitaine au 8e rég. de marche de tirailleurs : officier remarquable d'énergie

et de sang-froid. Grâce à ses dispositions judicieuses, à son esprit d'initiative, a contribué dans une large mesure à la progression des troupes de la division voisine, manœuvrant l'ennemi sans lui laisser de répit. Apprenant ensuite que sa compagnie dm ait être prochainement réengagée, a conservé son cOilullando.

ment bien qu'intoxiqué par les gaz.

SALVAT (Jacques-Joseph-François), souslieutenant à la 2e compagnie du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : officier de valeur.

Chargé d'accomplir une reconnaissance périlleuse a su. par son ascendant sur les jeunes soldats qu'il commandait, remplir totalement sa mission, ramenant en outre quatre prison- * niers et une mitraillette.

DELSOUC (Charles-Marius), mie 0140o5, adjudant à la 25s compagnie du 4e rég. de zouaves et tirailleurs : gradé énergique et très brave. S'est particulièrement fait remarquer à l'attaqua du 18 juillet 1918 en se portant à l'assaut des positions ennemies à la tête de sa section, stimulant ses hommes par ses paroles et les électrisant par son exomple. Blessé légèrement au cours d'un combat.

BILLAUT (Ambroise-Auguste), mie 6/5467, sergent au 2* bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : modèle de bravoure et de courage. Au cours des récents combats, a entraîné ses hommes sur une profondeur de sept kilomètres. Arrêté par dos feux nourris de mitrailleuses, a réalisé, par son habileté et son audace, une nouvelle progression de 800 ms" tres.

MEYER (Jean-Lueien-Ilippolyte), médecin sous-aide-major au 4e rég. de marche de zouaves, 4e bataillon : dans les attaques du 18 au 22 juillet 1918, s'est distingué d'une façon toute particulière par le dévouement et le mépris du danger avec lesquels il prodiguait des soins aux blessés, en terrain découvert, jusque sur la ligne de feu. La relève des blessés étant devenue très difficile, a pris la direction d'une équipe dans laquelle il opérait en même temps comme simple brancardier.

DURAND DE RAMEFORT (Marie-Antoine-Ro bert), capitaine à l'état-major de la 38e division d'infanterie : officier d'une bravoure et d'un entrain superbes. S'est déjà signalé du 18 au 22 juillet 1918 dans des circonstances très critiques en assurant, sous le feu, des liaisons de commandement qui ont permis la conduite du combat. Vient de se distinguer à nouveau du. au., en exécutant des reconnaissance?.

périlleuses qu'exigeait la préparation rapi'l0 d'une importante opération. Resté à son poste malgré la fatigue et la maladie, a refusé de se laisser évacuer.

QUATRECOUP (Clément-Joseph-Eugène), capitaine à la 7e compagnie du 8e rég. de tirailleurs, 4e rég. mixte de zouaves et tiraIlleurs : excellent officier, d'un zèle et d'u11 dévouement remarquables, Commandant dépuis deux ans une compagnie de mitrailleuse avec une expérience et une autorité reconnueS de tous, bien quo malade, a tenu à suivre sa compagnie au combat ; a de nouveau affirJ11, ses belles qualités de commandement au COUl des durs combats du 18 au 22 juillet 1918, rnellée sur des terrains difficiles et balayés par (tes feux violents de mitrailleuses. A de très beau* services de guerre. Quatre citations. Tjw blessures.

CERVONI (Marc-Maric-Pierre), capitaine l'état-major de l'infanterie divisionnaire de,s 38e division : excellent officier ayant, do .IJt.

devoirs, la plus haute conception. Le 18 jUl avant l'attaque, est allé en première ligne v rifier la situation de départ des troupes. nI,,' cours de l'attaque, sous des bombardeinen S violents et des feux intenses de mitrailleuse^ est allé maintes fois chercher le renscignen^

destiné à orienter son commandant de v gade sur la situation. A toujours fait prcnd du plus grand dévouement et du plus gr courage.

HERIET (Joseph), brigadier au 2° groupe /Ill 32" rég. d'artillerie, E. M. : Alsacien au ser0 de la France; soldat admirable, d'un ment sans bornes et animé des plus beaux * £ timents. Très grièvement blessé, le 24 >J.lItjttl" en réparant les lignes téléphoniques. DtR an.- laire des médailles militaires française et aiv.

glaise et de trois citations. "Jo VARET (Fernand), caporal à la 14e comPaSn


du 4' rég. de marche de xouaves; gradé d'un courage admirable. A l'attaque du s'est toujours maintenu au premier rang, entraînant sa.section par son exemple. Une mitrailleuse gênait la progression dans le bois de Mauloy, s'est précipité sur elle et l'a réduite au silence.

,, DELBECQUE (Pierre), mie 2279, sergent à la *8* compagnie du 40 rég. de marche de zouaves : a Pris le commandement de sa section dont le tiel venait d'être blessé et l'a conduite à l'attague avec un sang-froid et une bravoure admirables. Le 18 juillet, a dirigé avec intelligence 16 nettoyage d'une grotte fortement occupée, Ce qui a amené la capture de trois officiers, cent hommes et un important matériel.

ADELINE (Maurice-Eugène-Alphonse) , mie J. ?948, adjudant au 4e rég. de marche de zouaves, C. M. 5 : sous-ofncier mitrailleur d'élite. A l'atïaque du 18 juillet 1918, a habilement conduit sa section en s'élevant sur le flanc des résistances et en réduisant au silence les mitrailleuses ennemies qui gênaient la progression.

chargé de protéger une reconnaissance, a appuyée de ses feux jusqu'à son retour, malgrI" é le danger de la situation. Ne s'est replié IWau moment où il allait être entouré de ÏÇutes parts, réussissant à ramener dans nos Ignes son personnel et son matériel.

MAHIEU (Louis), mie 15309, caporal à la 10e coml'gnie du 4e rég. de marche de zouaves : gradé Un courage exceptionnel. S'est élancé à l'attaëe avec une froide résolution. Le chef de sec1 lOn et les sous-officiers étant blessés, a pris immédiatement le commandement de la secliotil l'a maintenue dans le mouvement en 'nt, surmontant de bout en bout toutes les distances rencontrées.

SAMOR ben MOHAMED EL KORBI ben ABDEL^c ETAR, mie 2517, soldat de 1re classe au 5e baillon C/M 8/5 du 8* rég. de marche de tirailleurs : pendant les derniers combats, est allé dOutel les nuits chercher les blessés en avant je nos lignes. Le 18 juillet, a rapporté en plein OUr, malgré le feu des mitrailleuses allemands, un officier grièvement blessé, qui se trouvait un officier grièvement blessé, qui se trouaIt entre nos lignes. Brancardier toujours pét pour accomplir les missions les plus périleuses. Deux citations.

Ï-AUNAY (Henri), mie 1232, médecin aux!!iUre au 8* rég. de marche de tirailleurs : a su de façon parfaite, après la mort de son tlef de service, le service de santé de son ballon. S'est dépensé sans compter, de jour et e nuit, dans un poste de secours très précaire OUr assurer l'évacuation des blessés. A paruru à plusieurs reprises, sous de violents bombardements, le terrain d'attaque du ballon pour panser les blessés. Médecin d'un o £ v°uement sans bornes. Une blessure, trois tions.

IGI (Toussaint), mie 11461, adjudant à la

>iT Qs compagnie du 50 bataillon du S. rég. de al'Che de tirailleurs : a conduit vigoureusement et très intelligemment sa section qui

Jevait, comme avant-garde, aborder un village.

d atteint son objectif malgré un feu violent - 80S mitrailleuses, a fait une quinzaine de pri; r iers et a réussi à déboucher du village, ilCJlltant ainsi la progression de sa compagnie.

JHJILLAUME (Pierre-Victor-Marie), mie 2528, \i .ecin auxiliaire au 8e rég. de marche de fleurs : s'est porté en première ligne en e d attaque de son bataillon pour panser et tl:ver les grands blessés. Surpris au cours de le tache par un feu violent de mitrailleuses et ltillerie ennemie, en terrain complètement tieUvert, a continué sa mission sans se souer du danger. Est rentré en rapportant sur ell dos un homme très grièvement blessé et h soutenant un autre. A fait par sa bravoure Ci^piiration de tous. Deux blessures. Trois Ions.

Jacquier (Henri-Pierre), lieutenant à la POmPa" cnie du 4e rég. mixte de zouaves et boeufs : officier d'un calme parfait et d'une ^*voure à toute épreuve. A entraîné magnifi'o:nent sa compagnie à l'assaut. Le 18 juillet, étr enant les unités de première ligne et pététr ellt avec elles jusqu'à 8 kilomètres à 1 inbur do la position allemande, traversant les lent ages de l'artillerie ennemie et le feu viodes mitrailleuses, a nettoyé avec maîtrise r rc de Vierzy récemment conquis et cap6 nombreux prisonniers. Commandant compagnie aimé des hommes et sachant

obtenir d'eux une ardeur et un dévouement incomparables.

ROQUES (Louis-Philippe), mie 2222, caporal à la ie compagnie du 4« rég. mixte de zouaves et tirailleurs : caporal résolu et plein d'entrain.

A énergiquement conduit son escouade, le 18 juillet, à l'attaque des positions allemandes, donnant à ses hommes le meilleur exemple : a efficacement coopéré à la réduction d'un centre de résistance, capturant plusieurs prisonniers.

A fait preuve les jours suivants de courage, de dévouement et d un mépris absolu du danger.

THAO (Eugène-Marie), mie 2589, soldat au 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs, &e compagnie de mitrailleuses du 8* rég. de tirailleurs : mitrailleur d'élite, d'un courage et d'un sang-froid remarquables. S'est vaillamment conduit pendant les journées du 18 au 22 juillet. Le 18 juillet, par un tir ajusté de sa pièce à réduit au silence une mitrailleuse ennemie dont les servants furents mis en fuite.

GUYOT (Jean-Baptiste), mie 07586, sergent à la 25e compagnie du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : sous-officier d'élite, plein d'allant et d'initiative. Au cours des combats offensifs des 18, 19, 20 et 21 juillet, a entraîné magnifiquement ses hommes à l'assaut de centres de résistance ennemie. S'est prodigué sans compter, avec un zèle et un dévouement inlassables, pour exalter le moral de ses hommes. A obtenu de sa section, épuisée par quatre jours de combats offensifs incessants, le rendement maximum.

CAYRET (Valéry), mie 2348, adjudant au 3,1 bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : sous-officier hors pair, d'un courage, d'une énergie et d'une habileté professionnelle remarquables. S'est distingué en assurant la défense de positions violemment attaquées et contribuant pour une large part à assurer l'intégrité de la ligne par le feu précis de ses mitrailleuses. Au cours d'une progression après rupture de la ligne ennemie, a fait preuve de qualités manœuvrières de premier ordre en réduisant au silence et s'emparant successivement de cinq mitrailleuses allemandes.

TEXIER (Jean), mie 21 C/13890, soldat au 1er bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : soldat d'une bravoure et d'une énergie remarquables. S'est élancé avec fougue à l'assaut des positions ennemies, entraînant ses camarades par son exemple, contribuant ainsi à démoraliser l'adversaire et à faciliter la progression.

ROBERT (Eugène), mie 478, caporal au 20 bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : caporal animé de sentiments élevés, possède sur ses hommes un ascendant remarquable.

Par sa bravoure exemplaire et son intelligence des circonstances, a rendu possible la progression de son unité en tournant des nids de mitrailleuses ennemies dont le feu arrêtait le mouvement du bataillon.

CHARDEAUX (Louis), mIe 4703, canonnier servant à la 7e batterie du 320 rég. d'artillerie : soldat très brave et très courageux, d'un dévouement au 'dessus de tout éloge. Au cours d'une reconnaissance, blessé par un éclat d'obus qui lui enleva la cuisse, s'est montré d'une crànerie et d'un sang-froid à toute épreuve, donnant au personnel de sa batterie qui défilait sur la position où il venait d'être blessé le plus magnifique exemple d'abnégation et d'esprit de sacrifice. Déjà deux fois cité.

MERLIN (Lucien-Léon-Jules-Marie), capitaine du Se rég. du génie, service télégraphique de la 38e D. I. : chef de service télégraphique de la 38e D. 1. depuis plus de trois ans, y a pris part en première ligne à toutes les opérations et s'y est acquis une réputation d'éclatante bravoure. Du 18 au 22 juillet, a dirigé lui-même jour et nuit, sous le feu, le travail de ses sapeurs, réussissant, à forcq d'énergie et d'audace, à maintenir constamment les liaisons jusqu'à la première ligne d'infanterie, permettant ainsi, la conduite de la bataille sans interruption, a donné au cours des plus durs combats un magnifique exemple de bravoure et de sang-froid.

FABRE (Gustave-Louis), lieutenant, du 4e rég.

de chasseurs d'Afrique, observateur à l'escadrille (Sal. 52) : excellent observateur, d'une bravoure exceptionnelle, rend journellement les plus grands services dans les missions de reconnaissances. Le 21 juillet, exécutant une

liaison d'infanterie à très basse altitude, sous le feu des mitrailleuses terrestres, a été blessé sérieusement.

LANGLOIS (Samuel-Camille-Just-André) adju.

dant du 1er groupe d'aviation, escadrille (Sal. 52) : pilote exceptionnel dont les actes de bravoure ne se comptent plus. Accomplit!

journellement les missions les plus audacieuses avec un sang-froid admirable. S'est distingué particulièrement, les 20, 21, 22 juillet, livrant de durs combats à de nombreuses patrouilles de chasse ennemies mais restant fermement sur les lignes permettant ainsi à son observateur d'accomplir brillamment la liaison d'infanterie dont il était chargé.

CERET (Albert-Eugène), caporal à la 52e compagnie du 19e bataillon du génie : excellent caporal, consciencieux et dévoué. Chargé de la construction de passerelles d'infanterie pendant l'attaque du 18 au 22 juillet, s'est acquitté de sa mission avec crânerie. A trouvé une mort glorieuse en accomplissant son devoir.

RIFFAULT (Gaston-Félix-Arthur), mie 15541, sergent à la 2e compagnie du 19e bataillon du génie : sous-officier au moral élevé, qui a toujours fait preuve du plus pur esprit militaire. Le 18 juillet, a trouvé une mort glorieuse en assurant avec sa section la réfection des accès d'un ponceau au milieu d'un violent bombardement.

MEFFREY(Albert-Hippolyte-Joseph-Stanislas)" chef de bataillon au 4' rég. mixte de zouaves et tirailleurs, 6e bataillon du 8e rég. de tirailleurs : officier supérieur de toutpremier ordre. Au cours des opérations, du 18 au 22 juillet, a de nouveau fait preuve des plus belles qualités militaires, d'énergie, de décision et de coup d'œil. Sous sa vigoureuse impulsion, son bataillon se porta brillamment à l'assaut des positions ennemies et progressa dans les lignes ennemies sur une profondeur de plus de six kilomètres, malgré le feu de nombreuses mitrailleuses.

PINEAU (Gustave), chef de bataillon au 4e rég.

mixte de zouaves et tirailleurs, 1er bataillon de tirailleurs : le 18 juillet a brillamment entraîné son bataillon à 1 attaque des positions ennemies, le portant d'un seul élan sur l'objectif qui lui était assigné, faisant de nombreux prisonniers et capturant un nombreux matériel.

PIÉDANNA (Maurice-Henri), capitaine à la lre compagnie de tirailleurs du 4e rég. mixte *de zouaves et tirailleurs : officier d'une énergie remarquable. A entraîné brillamment sa compagnie à l'assaut le 18 juillet. A réussi à pénétrer jusqu'à 5 kilomètres à l'intérieur des lignes allemandes, traversant le barrage de l'artillerie ennemie et le feu violent des mitrailleuses. A contribué largement au succès de la journée, capturant de nombreux prisonniers et se rendant maître de positions avantageuses pour la progression d'unités voisines.

CHEVER (Pierre-Marie), mIe 18946, soldat à la 26* compagnie du 8e tirailleurs, du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : fusllier-mifrailleur plein de fougue et d'initiative, superbe exemple pour ses camarades de combat ; faisant partie d'une patrouille chargée d'enlever une mitrailleuse, a su, par l'emploi judicieux de soïl arme, maîtriser le feu ennemi, permettant aux grenadiers de s'approcher et de faire de nombreux prisonniers. Quatre blessures, trois citations.

POUZAUD (René-Emile), sergent à la 23' compagnie du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : très bon chef de demi-section, le 18 juillet a courageusement entraîné sa fraction à l'attaque des positions ennemies, et a efficacement coopéré à réduire un nid de mitrailleuses (6) ennemies. Pendant les journées suivantes a fait preuve d'un réel mépris du danger en entraînant ses hommes aux différentes attaques exécutées par la compagnie. Deux citations.

HOMMAGE (Louis-Emile-élestin). mie 06562" sergent à la trI compagnie du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : sous-officier d'une bravoure remarquable. Toujours 'Volontaire pour les missions périlleuses. Son habituel courage et son esprit d'abnégation ont toujours forcé l'admiration de ses chefs et de ses hommes.

Le 18 juillet, au cours d'une attaque, a demandé à conduire une patrouille de reconnaissance couronnée de succès. Dans la même journée, a été grièvement blessé en orpniaauf


un petit poste ennemi qu'il venait d'enlever à : la tête de sa demi-section.

SADOK BEN IIASSEN. mie 21591?soldat à la 26e compagnie du Se tirailleurs, du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : tirailleur discipliné et courageux. Le 18 juillet, s'est offert comme volontaire pour faire partie d'une forte patrouille chargée d'enlever une mitrailleuse ennemie. A contribué par son sang-froid et son calme à la réussite de cette opération. Blessé grièvement de trois balles à la poitrine.

CASTERAN (Louis), mie 2584, caporal fourrier - à la 22e compagnie du 4e rég. mixte de zouaves , et tirailleurs : caporal fourrier d'un calme et d'un sang-froid admirables au combat. Le 18 juillet, la liaison de son capitaine ayant été mise hors de combat, a assuré seul pendant toute la journée les communications avec la première ligne, traversant avec un calme imperturbable les barrages de mitrailleuses les plus denses. A découvert, au cours de ces liaisons, deux Allemands dissimulés dans des buissons, s'est résolument jeté sur eux; après avoir été visé* a tué un Allemand et ramené l'autre prisonnier.

FRANCE (Ernest), mie 849, sous-lieutenant au 4e rég. de marche de zouaves : officier du haute valeur morale et d'un courage exceptionnel. A l'attaque du 18 juillet, a enlevé magnifiquement sa section à l'assaut des lignes ennemies capturant en un instant les postes de première ligne. A poussé ensuite avec une telle rapidité son unité qu'il rendait inefficace la défense de l'adversaire et le forçait à se rendre. Blessé au moment où, sous les balles et les obus, il donnait ses ordres pour enlever un réduit de quatre mitraillettes.

BONNEFOI (Marius-Honoré), capitaine au 4° rég. de marche de zouaves : a pris en plein combat le commandement de son bataillon dont le chef venait d'être tué. A su, grâce à son énergie, son entrain et ses habiles dispositions continuer la progression, malgré les pertes et la fatigue extrême, gagnant encore 2 kilomètres de terrain par des infiltrations hardies, faisant cent prisonniers et capturant vingt mitrailleuses.

MONTADERT (Charles-Antoine), sous-lieutenant au 4c rég. de marche de zouaves : officier d'élite. Appelé, le 18 juillet, en fin de combat, à prendre le commandement d'une compagnie privée de tous ses officiers, l'a brillamment menée, par son exemple, à l'assaut des positions ennemies, les a conquises de haute lutte, réalisant une nouvelle progression de 2 kilomètres.

BÉRAUD (Antoine-Paul), sous-lieutenant au 4' rég, de marche de zouaves : jeune officier au cœur chaud et vibrant. Ayant reçu, à l'improviste, et dans des circonstances critiques, le commandement d'une compagnie dont le chef venait d'être blessé, a parcouru aussitôt la ligne pour se faire reconnaître de ses hommes; a repoussé trois attaques successives précédées d'un bombardement extrêmement violent. Le lendemain, par son exemple, a porté sa compagnie en avant dans un admirable élan et a trouvé une mort glorieuse.

GANACIIAUD (Joseph-Henri), sous-lieutenant au 4* rég. de marche de zouaves : chef de section d'une haute valeur. Le 18 juillet, s'est élancé courageusement en tête des premières vagues d'assaut: a vigoureusement mené sa troupe sur les objectifs à conquérir malgré des teux de mitrailleuses violents, capturant de nombreux prisonniers; appelé à quitter la ligne de soutien pour combler un vide qui s'était produit dans les unités de première ligne, a gagne son emplacement malgré des tirs de barrage et de mousquetcrie d'une violence exceptionnelle.

BJERRING (Osvald-Krislian-Péler\ capitaine au 4e reg. de marche de zouaves : a été un auxiliaire des plus précieux pour son chef de bataillon au cours des journées du 18 au 21 juillet. S'est fait tout particulièrement apprécié par son dévouement absolu et son ardeur communicative. A dirigé avec sang-froid, intelligence et succès l'opération de nettoyage. A été grièvement blessé au cours d'une reconnaissance des positions conquises.

MARCHAIS (Léon-Louis), mie 1540, soldat au 4e rég. de marche de zouaves : zouavé d'un courage et d'un sang-froid exceptionnels. A I attaque du 18 juillet, a rempli les fonctions

d'agent de liaison avec un dévouement et un esprit de sacrifice complets. S'est élancé à découvert à plusieurs reprises sur un terrain battu par l'artillerie et de violents feux de mitrailleuses ennemies pour assurer la transmission des ordres de son commandant de compagnie, contribuant ainsi pour une large part à la réussite de l'opération.

CODIN (Pierre-Joseph-François), capitaine au 4e rég. de marche de zouaves : a brillamment conduit sa compagnie à l'attaque des positions allemandes sur un terrain particulièrement difficile ; a progressé de plus de 6 kilomètres, faisant de nombreux prisonniers, s'emparant d'un nombre considérable de mitrailleuses et de plusieurs batteries de divers calibres.

BEAU (Henri-François-Marie), aspirant à la 1ge compagnie du 4e rég. de marche de zouaves : chef de section d'une rare bravoure et d'un entrain remarquables. Le 18 juillet, a entraîné brillamment ses zouaves à l'attaque.

Blessé au cours de l'action, a conservé le commandement de sa section, progressant encore de plus de 3 kilomètres, jusqu'à ce qu'une deuxième blessure grave le mette hors de combat.

BAUTIIAMY (Jean), mie 3342, caporal au 4e rég. de marche de zouaves, C. M. 5 ; gradé d'un courage exemplaire. Le 18 juillet, a réussi à s'infiltrer en arrière des points de résistance ennemis qui retardaient notre progression et à les réduire par les feux de sa mitrailleuse.

HAMADI BOU DJEMM ben KHELIFA, mie 17174, soldat à la 18e compagnie du 8e rég. de marche de tirailleurs : a, sous un violent bombardement et malgré le feu des mitrailleuses, été chercher entre les lignes un officier blessé et l'a rapporté jusqu'au P. S. Type du vieux tirailleur, d'un dévouement admirable, engagé malgré son âge avancé pour la durée de la guerre. Trois blessures. Deux citations.

DUCRET (Auguste), mie 3369, adjudant-chef au 8e rég. de marche de tirailleurs : étant en permission au moment de l'attaque allemande est revenu spontanément, est parvenu à rejoindre sa section sur le champ de bataille. Au cours d'une attaque où son bataillon subissait des pertes du fait des tanks, s'est présenté comme volontaire pour aller en terrain battu faire cesser le tir. A réussi à accomplir cette mission au cours de laquelle son lieutenant avait été auparavant blessé grièvement.

PILLOT (Abel), sous-lieutenant au 8e rég. de marche de tirailleurs : très grièvement blessé sur une position, que sa section venait d'enlever, a surmonté sa douleur et n'a cessé, pendant les quelques heures qui se sont écoulées avant son évacuation, d'encourager ses hommes, soumis à un tir très violent d'artillerie.

A réussi, par son ascendant et par le,, magnifique exemple qu'il leur donnait, à les maintenir sur place et en ordre.

DOLIGET (Albert), mie 4274, caporal à la 19e compagnie du 5e bataillon du 8e rég. de marche de tirailleurs : le 18 juillet, bien qu'ayant le poignet traversé par une halle au moment d'nn assaut, a entraîné vigoureusement son escouade jusqu'à l'objectif assigné et, malgré de vives souffrances, ne l'a quitté qu'après avoir organisé la position. Déjà cité.

BOCQUEL (Pierre-Elie), mie 01692. sergent au 8e rég. de marche de tirailleurs : le 18 juillet, à deux reprises, a brillamment entraîné sa section à l'assaut en collaboration avec des chars, contribuant largement à une progression de près de deux kilomètres. Blessé au cours du deuxième assaut, a refusé de se rendre au P. S., continuant la lutte à la tôte de sa section. Quatre blessures. Trois citations.

MEYNADIER (Justin-Antoine-Casimir), capitaine au 8e rég. de marche de tirailleurs : chargé avec sa compagnie de l'enlèvement d'un village a fait preuve de décision, de sangfroid, d'un sens manœuvrier qui lui a permis de remplir sa mission avec des pertes légères.

A mis très rapidement en état de défense le village qu'il venait de conquérir et a résisté à plusieurs retours offensifs de l'ennemi. Officier qui en toutes circonstances a le jugement clair et la décision rapide.

COLLIX (Jean-Baptiste-Victor), sous-lieutenant au 8e rég. de marche de tirailleurs : a brillamment conduit son peloton de mitrailleurs au cours des opérations du 13 au 22 juil-

let. A réussi, sous les rafales violentes d0 mitrailleuses et malgré les tirs de barrage de l'artillerie adverse, à atteindre tous les objec.

tifs fixés. Quatre citations antérieures.

CHIRON DE LA CASINIÈRE (Yves-Mari), sous-lieutenant au Se rég. de marche de tirailleurs : le 18 juillet 1918, ayant reçu l'ordre de s'assurer si le village de Parcy était réellement abandonné par l'ennemi, exécuta sa mission avec intelligence, sang-froid et bien qu'accueil à l'improviste par de violents feux de mitrau* leuses, parvint à rallier sa troupe à laquelle son mépris du danger redonna confianceRentra ensuite dans nos lignes ramenant tout son monde. Deux citations antérieures.

BRUCK (Marie-Jean), sous-lieutenant au 88 rég. de marche de tirailleurs : officier d'une splendide tenue au feu. Blessé dès le début de l'action, a tenu, après s'être fait panser, à l'O' prendre sa place, à la tête de sa section au combat et l'a conduite jusqu'à son objectif. NB s'est laissé évacuer que le lendemain Par ordre, alors que sa blessure s'aggravait.

SAAR (Raoul-Edmond), capitaine au Se réc, de marche de tirailleurs : tué glorieusement.

en guidant le bataillon durant une marche d'approche. Officier d'une bravoure, d'une énergie et d'un enthousiasme extraordinaire3 qu'il communiquait à tous. Véritable entraîneur d'hommes qui, bien que dégagé de toutes obligations militaires, servait au front sans ln' terruption depuis le début. Décoré pour faits de guerre. Trois citations antérieures.

DE LABORIE (Léopold-Camille), sous-lieutenant au Se rég. de marche de tirailleurs : tué glorieusement à l'attaque du village de ParcA au moment où, ayant tourné le village et fal tomber la défense, il entraînait ses hommes # la poursuite des Allemands en criant (C c" avant,,. Médaillé militaire pour faits de guerre.

Trois citations antérieures. Deux blessures.

CROLE (Pierre François), lieutenant-r,0101181 à l'état-major du rég. d'infanterie coloniale t Maroc : adjoint au commandant du régimC" d'infanterie coloniale du Maroc. Officier Su.pt rieur du plus haut mérite. Six fois cite ur nommé officier de la Légion d'honneur refaits de guerre. N'a cessé, depuis le début o*.

hostilités, de donner les preuves des plus bÿ.u, qualités de commandement. S'est particulier^ ment distingué au cours des opérations rde centes, où il a été pour son commandant régiment l'auxiliaire le plus actif et le plus n voué. A contribué pour une large part à la P* paration de l'attaque et au succès de la Pr" gression qui ont procuré au régiment la ¡!?fo' session d'un important point d'appui à 8 K" mètres de la base de départ, et un butin C sidérable.

VAN YOLLEIIOYE Joost, capitaine â 1er bataillon du rég. d'infanterie coloniale 111 Maroc : officier d'une valeur et d'une ve-j * antiques, incarnant les plus belles et les P 6 solides qualités militaires. Mortellement frPa le 18 juillet, au moment où, électrisant si' troupe par son exemple, il enlevait une pfL, tion ennemie opiniâtrement défendue. A j.

cer au rang des Bayard et des La Tour vergne et à citer en exemple aux générât*" j futures, ayant été un des plus brillants par li les plus braves.

LARCELET ( Lucicn-Numa ), capitaine dtl 1er bataillon du rég. d'infanterie COIOIllrle est Maroc : au coiirs des derniers co ats C,,t Maroc : au cours des derniers combats l'a, resté égal à lui-même, c'est-à-dire d'une sa voure devenue légendaire au régiment trú" joindre le courage le plus admirable à Jars 011 dence la plus avertie pendant quatre jOet15e' sa compagnie a constamment et vlcfo pr5 ment donné. Au cours d'une action a fait. i de 40) prisonniers et pris plusieurs canons BARRON (Alexis-Jean), mie 06308, sergÿne dtJ 2e bataillon du rég. d'infanterie colonla 1 e, dlj Maroc : excellent sous-officier, remarqu sol1 en toutes circonstances par sa bravoure eg0ti sang-froid. Au cours des derniers c9 ac8 à son chef de section venant d'être blessen*faCe £ un objectif important, a pris le comman de t t de la section, a continué la lutte, la'brreS et l' bonne fin, malgré des pertes sensibles et à bonne c0v résistance acharnée de l'ennemi quu traint à la fuite. A ja CHARLES (Fernand). mie 3533, sergent a NIO" C II. R. du rég. d'infanterie coloniale o, d'1.l roe: servent brancardier d'un courage c


dévouement incomparables. Au cours des derniers combats, a fait preuve, une fois de plus, de ses belles qualités, dirigeant avec énergie ses équipes de brancardiers, se trouvant partout où sa présence était nécessaire, allant en avant des lignes recueillir les blessés sous les Jeux les plus violents. Par l'exemple de son calme incomparable et de son mépris du danger, il exerce une grande action sur le personnel sanitaire et en obtient un rendement irés élevé. Au régiment depuis le début de la campagne, a toujours eu une attitude exemplaire qui lui a valu sept citations.

ALLAIN (Auguste-François-Marie), mie 13485, sergent au 3e bataillon du rég. d'infanterie côloniale du Maroc : sous-officier d'élite, véritable entraîneur d'hommes. A fait l'admiration de tous- au cours des derniers combats par son audace, son sang-froid et son mépris absolu du danger. A pénétré le premier dans un abri défendu avec acharnement par des mitraileuses ennemies et en a exterminé les occupants.

A ensuite brillamment entraîné ses hommes dans une progression de plusieurs kilomètres dans les lignes ennemies, sur un terrain extrêmement battu par des raffales de mitrailleuses faisant des prisonniers et coopérant à la prise; de cinq mitrailleuses. Quatre citations ETIENNE (Jean), mie 7/7770, sergent au 2e bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : sous-officier d'une bravoure légendaire, forçant l'admiration de ses hommes. Au cours des récents combats, a entraîné sa troupe sur uue profondeur de 7 kilomètres et, par son courage et son admirable sang-froid, a permis la réduction d'un nid de mitrailleuses qui avait arrêté la poussée en avant.

PELTIEH (Marie-Nicolas-Julien), adjudantchef au 1er bataillon du régiment d'infanterie coloniale du Maroc : sous-officier d'une valeur incomparable et d'un dévouement absolu.

Faisant partie d'un bataillon de soutien dont le chef et plusieurs officiers s'élaient heurtés a un groupe de mitrailleuses ennemies non détruites, a volé malgré l'intensité du feu au secours de ces officiers et ne s'est arrêté qu'au ln. ornent où une balle le blessant grièvement (a mis définitivement hors de combat. Deux blessures. Trois citations antérieures.

MORAS (Albert), sous-lieutenant au 2e bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc: officier du plus beau courage et de la plus admirable bravoure. Après une progression de ] kilomètres s'est porté crânement à l'assaut d'un nid de mitrailleuses ennemies qui arrêtait le mouvement en avant et a été blessé, trièvement au moment où sa section l'enclere it définitivement.

1 FORTUNÉ (Gabriel-Emile), sous-lieutenant au l:r bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : officier d'un courage et d'une énergie exemplaires. A conduit sa section avec une apltude remarquable, progressant de plus de r. ilomètres en moins de trois heures et participant à la capture de près de quatre cents IIrlsonnier de douze canons et à une quantité Considérable d'autre matériel. A reçu plusieurs, fressures tant au cours de la progression qu'à arrivée sur son objectif.

1 BRETOU (Emile-Roger), mie 1419, sergent il , i* 2e compagnie du 8e rég. de tirailleurs, du :. e rég. mixte de zouaves tirailleurs : piacé.

f) a.ns une situation délicate, par suite d'un grand vide creusé à gauche du régiment, a, 7éanmoins, réussi à poursuivre son avance, à :tablir la liaison et à s'emparer avec l'aide de a section de quatre mitrailleuses.

tr¡, Al LI BEN OTIIMANE ben Amara el Arfaoui, e 3014, caporal à la 2e compagnie du 4e rég.

mixte de zouaves et tirailleurs : gradé d'élite.

A la tête de son escouade de grenadiers, s'est emparé de trois mitrailleuses ennemies qui empêchaient toute progression de notre part.

11 CItICHIGOUD (Marius-Antoine), sous-lieutent à la G. H. R. du rég. d'infanterie colonie du Maroc : officier d'élite, esclave du deyoir. pendant soixante jours de secteur çjptés suivis de durs combats, a dirigé avec une "Qipétance hors de pair le service de rensei:elnents du régiment poussant l'observation ^sonnelle en avant des premières lignes Il ec le mépris le plus absolu du danger. En l.:¡pler lieu, s'est particulièrement distingué à ltjjque du 18 juillet, où grâce à une remar1ble coordination des renseignements, le I-vnnandement à toujours été parfaitement

renseigné- et les bataillons très bien orientés.

Déjà cité quatre fois; VOGT (Paul-Denis-Marcel), médecin sous-aide major du petit état-major du 6* bataillon de tirailleurs, du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : animé de 1 esprit de devoir, ne comptant ni avec la fatigue, ni avec le danger, uniquement soucieux du sort des blessés. Au cours de l'attaque du 18 juillet 1918, apprenant que des blessés étaient demeurés en avant de nos lignes, est parti les recueillir, malgré le bombardement, et les a ramenés au poste de secours de première ligne.

LEROY (Pierre-Manuel-Auguste), mie 06827, sergent fourrier à la 23e compagnie du 4e rég.

mixte de zouaves et tirailleurs : agent de liaison remarquable, superbe de sang-froid et de courage. Au cours de l'attaque du 18 juillet 1918, n'a cessé d'assurer la liaison entre le chef de bataillon et son commandant de compagnie, malgré les violents tirs d'artillerie et de mitrailleuses ennemies. A été très grièvement blessé au cours du combat. Deux fois blessé..

Quatre fois cité à l'ordre.

GARROS (Julien-Prosper-Bernard), soldat à la 26e compagnie de tirailleurs du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : tirailleur modèle, superbe exemple pour ses camarades de combat. Grenadier d'élite, le 18 juillet 1918, s'est offert comme volontaire pour précéder une forte patrouille chargée de faire des prisonniers, S'est avancé, avec un mépris absolu du danger, à cinquante mètres de l'ennemi pour l'inviter à se rendre. Par sa constance et son sangfroid, s'est imposé à ses adversaires et a largement contribué à en capturer plus de 250.

Quoique atteint par les gaz, ne s'est laissé évacuer que. deux jours après. Deux fois blessé.

Trois fois cité à l'ordre.

GUESDON (Paul-François), mie 012229, adjudant au service télégraphique du 8e rég. du génie : sous-officier de la plus haute valeur.

S'est particulièrement distingué au cours des combats du 18 juillet 1918, en assurant avec un plein succès, et malgré les tirs de l'ennemi, la construction de l'axe de la division.

FALASSE (Armand-Eugène), clairon à la 15e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves : employé comme coureur pendant l'attaque du 18 juillet 1918, a montré un calme et un sang-froid admirables, traversant des zones très battues par l'artillerie et les mitrailleuses pour l'exécution des missions qui lui étaient confiées. Blessé très grièvement.

BOURREAU (Pierre-Alexis-Auguste), mle05214, sergent à la 14e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves : sous-officier d'une bravoure éprouvée. Le 18 juillet 1918, a magnifiquement enlevé sa demi-section à l'attaque. L'a constamment maintenue en avant, s'élevant sur le flanc des résistances rencontrées et réduisant les nids de mitrailleuses qui gênaient la progression de sa compagnie.

MEUNIER (Alfred), mie 017409, zouave de lr* classe à la 18e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves : fusilier mitrailleur d'élite.

A l'attaque du 18 juillet 1918, a réduit au silence plusieurs mitrailleuses ennemies et a fait prisonniers de sa main dix allemands qui les servaient.

FA VlER (Pierre), mie 16289, sergent à la 15e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves : gradé d'un coturage exceptionnel. Le 18 juillet 1918, s'est élancé à l'attaque en tète de ses hommes avec sa bravoure habituelle.

Chargé de. conduire une patrouille de flanc, dans un bois touffu, s'est parfaitement acquitté de sa tâche, tuant deux ennemis de sa main.

Dans les journées suivantes, a pris le commandement de sa section et l'a brillamment entraînée à la contre-attaque, malgré un tir de barrage particulièrement violent.

FAUDEMER (André), mie 232, sergent à la 90 compagnie du i° rég. de marche de zouaves : sous-officier de la plus belle bravoure et de la plus haute valeur morale. Chargé, le 21 juillet 1918, d'installer une batterie de V. B. pour contrebattre, avant une attaque, des mitrailleuses à 100 mètres de la tranchée de départ et à contre-pente, s'est porté seul a mi-distance entre les deux lignes sur l'unique point d'observation. Pris aussitôt à partie par un tir de canon-revolver, a continué son service de, réglage sans la moindre émotion.

AUBRY (Roger-Henry), deuxième canon nier servant au 32®rég. d'artillerie : soldatradiotéld* graphiste modèle, se donne tout entier à soil service. Très grièvement blessé, le2l juil!ett9i8, en réparant son antenne coupée par le tir de l'ennemi.

MENDIANT (Paul), mie 04809, maréchal des logis au 1er groupe du 32e rég. d'artillerie : maréchal des logis téléphoniste d'une intrépidité et d'une endurance exceptionnelles. S'était distingué particulièrement pendant les opérations défensives de mars à juin 1918. A eu une attitude magnifique lors de l'offensive du 18 juillet 1918, assurant sans trêve ni repos l'entretien des lignes téléphoniques et donnant & son personnel l'exemple des plus belles voftus militaires.

PIKETTY (Antoine), capitaine à la 6e batterie du 32e rég. d'artillerie : commandant de batterie accompli, technicien et tireur émérite aussi bien que véritable entraîneur d'hommes d'une activité inlassable, d'un beau courage tranquille; s'est prodigué pendant les diverses opérations en cours depuis fin mars 1918, pout augmenter le rendement des tirs de sa batterie, en occupant les observatoires avancés et périlleux. Les 20 et 21 juillet 1918.. a fait taire et dispersé des pièces d'accompagnement ennemies qui faisaient beaucol; souffrir notre infanterie.

ROBERT (Joseph), mie 78G9, maréchal des logis à la lrc batterie du 32e rég. d'artillerie : sous-officier éclaireur d'une habileté et d'un cran au-dessus de tout éloge. Faisant l'admiration de l'infanterie par son calme et son courage, a montré en toutes circonstances le mépris le plus absolu du danger, s'est particulièrement distingué le 18 juillet 1918, où parti avec la vague d'assaut pour déterminer, remplacement des mitrailleuses ennemies il a été sô-

rieusement blessé.

CAMPION (Pierre), lieutenant à l'état-major A. C. du 32e rég. d'artillerie : officier de haute valeur, très brave et d'une énergie de fer, le 19 juillet 1918, au cours de l'accomplissement d'une mission, a été sérieusement blessé par des éclats d'obus en accompagnant au poste de secours un officier atteint par le tir de l'ennemi. A eu l'énergie de venir rendre compte de sa mission avant de se laisser évacuer.

PAPILLON (Claudius), sous-lieu tenant à l'E. M, du 2e groupe du 32e rég. d'artillerie : officier modèle de beau courage calme. S'est particulièrement distingué aux combats de Rallot, 30 mars 1918, de Carlepont en juin 1918, et pendant l'offensive du 18 juillet 1918. Blessé la 8 novembre 1915, a été de nouveau très grièvement blessé le 19 juillet 1918, en accompagnant un officier blessé au poste de secours.

PIFFOUX (Léon), vétérinaire aide-majoT de 2e classe au 3e C. R. du 32e rég. d'artillerie : au front depuis le début de la campagne, a toujours fait preuve d'un dévouement absolu et d'une rare conscience professionnelle. Trèg grièvement blessé le. 18 juillet 1918 à son posta de combat.

SICARDON (André-Bapliste-François), souslieutenant à la 21 et compagnie du 4e rég. mixta de zouaves et tirailleurs ; officier calme, actif, résolu. Le 18 juillet 1918, a brillamment entraîné sa section à l'attaque de positions ennemies. Arrêté au cours de la progression par un nid de mitrailleuses, a manœuvré habilement pour faire tomber par débordement ce centre de résistance. A été grièvement blessé par balle à la cuisse au cours de cetto manoeuvre.

GUERNER (André-Louis-Auguste), capitaine à la compagnie H. R. du 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : officier plein d'ardeur et d'entrain, qui a commandé une compagnie d'une façon brillante au cours d'engagements antérieurs. Comme adjoint au chef de corps pendant les opérations offensives du 1Q au 22 juillet 1918, a de nouveau affirmé ses belles qualités de sang-froid et d'initiative et a assuré des missions dangereuses sous de violents,feux de mitrailleuses. S'est dépensé sans compter au cours de ces durs combats et a été pour le commandant du régiment un auxiliaire précieux, intelligellt, actif et dévoué. Très beaux services fie guerre. Deux blessures. Quatre citations.

GRUNBERG (Charles-Frédéric), médecin aidemajor au 6* bataillon du 4e rég. mixte de zoua.,


ves et tirailleurs : a suivi méthodiquement la marche du bataillon, avec lequel il a réussi à se maintenir en étroit contact, tout en recueillant et évacuant les blessés. Son poste ayant été effondré par un obus, s'est installé de nouveau à proximité du bataillon; par son attitude courageuse, a su maintenir, au milieu du danger, le calme et la discipline parmi les blessés et le personnel, (Ordre du 6 octobre 1918.) LE 23* RËG, D'INFANTERIE: régiment d'attaque de premier ordre, très manœuvrier et où les actions d'éclat individuelles ne se comptent plus. A, sous l'énergique commandement de son chef, le lieutenant-colonel BIENAYMÉ pris une part brillante à 1 offensive de juillet 1918 : a emporté notamment les villages d'Ancienvillie, de Chouy, d'Oulchy-Ie-Chàteau, et talonné l'ennemi dans de durs combats d'avant-garde jusqu'à la Vesle. A combattu pendant 18 jours sans répit, progressant de 38 kilomètres, prenant plus de 400 prisonniers, 8 canons, un grand nombre de mitrailleuses et délivrant 70 Français.

LE 128e RÉG. d'infanterie : régiment d'une solidité à toute épreuve, a toujours rempli jusqu'au bout, et souvent au delà, les missions qui lui étaient confiées. A, sous l'énergique commandement de son chef, le lieutenantcolonel BERTHOIN, pris une part brillante à l'offensive de juillet 1918; s'est emparé notamment de la forêt de Pringy, de la butte Chalmont et, par sa ténacité et son esprit de sacrifice devant la Raperie, contraint l'ennemi à abandonner Saponav et à ouvrir le passage sur la Vesle. A combattu pendant 15 jours sans répit, progressant de plus de 25 kilomètres, s'emparant de nombreux prisonniers et d'un matériel considérable.

LE 4e RÉG. D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE : régiment de premier ordre qui, depuis le début de la campagne, a constamment donné des preuves de son allant et de sa belle tenue au feu. Partout où il a été engagé, a contribué pour une large part, par ses belles qualités morales et son esprit de devoir, au succès des opérations aussi bien dans la guerre de mouvement que dans la guerre de position. Vient de fournir, sous les ordres du commandant MAGNIEN, puis du lieutenant-colonel LE LIEPVRE, un effort physique et moral superbe pendant dix-neuf jours de combats incessants.

Après avoir aidé son infanterie à enfoncer l'ennemi par la précision do ses tirs, toujours prêt à l'appuyer pour l'enlèvement de nouvelles positions ou à briser les contre-attaques, il réussit, en étroite liaison avec elle, à refouler l'ennemi sur un parcours de 32 kilomètres.

LE 6e GROUPE DU 107e RÉG. D'ARTILLERIE LOURDE : groupe d'artillerie lourde de premier ordre. Sous les ordres du chef d'escadron BERTH1ER depuis le 1er novembre 1915, a prouvé ses qualités morales et techniques.

Dans les Flandres, malgré des bombardements fréquents de tous calibres qui lui ont causé des pertes sévères, a exécuté des tirs dont la , précision lui a mérité l'admiration des chefs sous les ordres desquels il s'est trouvé placé.

Pendant J'offensive sur l'Ourcq, par la rapidité et l'opportunité des déplacements des batteries, le souci des observateurs d'être toujours en mesure d'exécuter les tirs nécessaires, il a ouvert la route à l'infanterie en brisant les obstacles qu'elle rencontrait el a contribué ainsi, dans une large mesure, à favoriser, pendant dix-neuf jours de combats incessants, l'avance de la division sur 32 kilomètres.

BOEUF (Pierre-Louis-Marius), capitaine au 128e rég. d'infanterie: commandant de batterie brave et énergique, sachant obtenir de son unité le rendement maximum. Le 1er août 1918, s est maintenu sur une position qu'il avait conquise de haute lutte, malgré un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses ennemies. Le 2 août a talonné avec vigueur et ténacité l'ennemi, que son attitude agressive avait amené a se replier.

RABUEL (Benoît-Gcrmain-Alexandre) capitaine au 23e rég. d'infanterie : commandant de compagnie de mitrailleuses remarquable Le 18 juillet, après la prise d'un village et alors que l'ennemi se préparait à contre-attaquer sur la partie d'un village, a contribué puissamment à empêcher ce retour offensif par son action personnelle sur les défenseurs. A fait contrebattre par ses mitrailleuses, malgré des

pertes sévères, les mitrailleuses ennemies en position à quelques mètres et les a obligées à la retraite. Trois citations antérieures. CLOUARD (Adolphe-Auguste), mie 3449, sergent à la 3e compagnie du 42* rég. d'infanterie : chef de section, rempli d'ardeur, doué d'une énergie admirable. Le 21 juillet, empêchant tout rassemblement ennemi par la justesse de son tir. Le 28 juillet, blessé à l'épaule droite, refusant de se faire évacuer pour continuer à marcher de l'avant à la poursuite de l'ennemi obligé à la retraite. Deux blessures. Trois citations.

CAMPiON (Marie-Auguste), mie 920, soldat au 224e rég. d'infanterie : mitrailleur d'élite, modèle de courage et de sang-froid, s'est constamment fait remarquer au cours des affaires et plus particulièrement dans la journée du 21 juillet; gravement contusionné par un obus, a tenu à rester à son poste et a largement contribué à arrêter une contre-attaque ennemie.

FORAS (Victor), aspirant au 23e rég. d'infanterie : chef de section de mitrailleuses, d'un allant et d'un courage remarquables. Au cours des combats des 18,19 et 25 juillet 1918, détaché avec ses mitrailleuses avec une compagnie d'attaque, a attaqué et fait taire à maintes reprises les mitrailleuses ennemies. A grandement contribué au succès de ces journées qui ont amené la prise de deux villages, d'un grand nombre de prisonniers et de nombreuses mitrailleuses. A été grièvement blessé à l'attaque du 25 juillet.

CHALMEY (Pierre-Charles-Auguste), sergent fourrier au 42e rég. d'infanterie, mie 05508 : sous-officier dont l'attitude au feu a été superbe. N'ayant qu'une idée, d'aller de l'avant, n'a cessé au cours des combats des 18 et 19 juillet 1918, de faire preuve d'un dévouement et d'un entrain admirables. Le 18 juillet, au matin, a fait la capture de 5 prisonniers et d'une mitrailleuse. Blessé à la main à l'attaque du 19, en pansant son commandant de compagnie, a secouru celui-ci et rejoinL aussitôt son poste de combat. Une citation antérieure.

Une blessure.

LE 1er ESCADRON DU 10* RÉG. DE HUSSARDS : sous les ordres du capitaine de KÉRAUTEM, a pris une part glorieuse aux combats offensifs des 2, 3 et 4 août 1918. Talonnant l'ennemi, a précipité la retraite de ses arrièregardes notamment à Branges, où, par une manœuvre hardie, il a mis en fuite des mitrailleurs ennemis qui empêchaient la progression.

A ouvert la voie à l'infanterie jusqu'à la Vesle.

LE 3e ESCADRON DU IIe RÉG. DE CHASSEURS : le 2 août 1918, s'est audaeieusement emparé du village de Saponay, puis dépassant au galop le bois d'Arcy, les villages de Rugny, et de Foufry, a mis en fuite les arrière-gardes ennemies, facilitant ainsi la progression de l'infanterie. A continué à talonner l'ennemi les 3 et 4 août 1918, sous les ordres du capitainé BOUHDIN, a précipité sa retraite jusqu'au delà de la Vesle. précipité sa retraite jusqu'au delà

JAGER (Gaslon-Jules-Emile-Antoine), soldat à la lre compagnie du 128e rég. d'infanterie : signaleur, mortellement blessé le 20 mai 1918, en faisant fonction d'agent de liaison, sous un bombardement très violent.

DE CROZALS (Jacques-Gabriel-Maurice-Jean), chef d'escadrons de l'aéronautiqtte de la 10e armée : commandant de l'aéronautique de l'armée, jeune, ardent et vigoureux. A pris son commandement dans une période très active ; s'est particulièrement distingué dans les vols de reconnaissance et de chasse qu'il a exécutés du 18 août au 20 septembre, donnant le plus bel exemple aux pilotes de son escadrille, dont plusieurs ont été l'objet de citations collectives.

A plus de 150 heures de vol.

LE 1" BATAILLON DU 42" RÉG. D'INFANTERIE : le 1er bataillon du 42e rég. d'infanterie, électrisé par son chef, le commandant PRINCE, a réalisé, les 18 et 19 juillet, une avance de 6 kilomètres et atteint tous ses objectifs, malgré les difficultés présentées par un marais large et profond, par deux grands bois garnis de mitrailleuses où l'ennemi s'est cramponné avec acharnement. A fait près de 200 prisonniers, capturé 5 canons (4 de 105 et 1 de 77), une centaine de mitrailleuses et mitraillettes et un butin considérable.

LELIEVRE (Henri-Florentin), mie 8115, sol-

dat à la 38 compagnie du 128e rég. d'infanterie,, fusilier mitrailleur de grande valeur, qui a l'attaque du 20 mai 1918, au moment où il tirait sur une mitrailleuse ennemie, a été blessé mortellement à son poste de combat.

BARTHELEMY (Louis-René), lieutenant au 8e rég. de génie (détachement télégraphique do la 41e D. 1.): s est affirmé au cours de la bataille de la Vesle comme un remarquable chef de service télégraphique, marchant sans souci des bombardements et des difficultés immédiatement derrière les troupes de première ligne pour assurer au commandement la permanence de la liaison téléphonique, Officier aussi modeste que dévoué, payant constamment de sa personne et animé du plus bel esprit militaire.

HUMBERT (Joseph-Edouard), mie 2245, soldat à la 10e compagnie du 128e rég. d'infanterie : bon soldat, brave et dévo::é, A été blessé grièvement à son poste de combat le 25 mai 1918* Une blessure antérieure.

MAURIE (Gaston), chef de bataillon du génie de la 41e D. I. : a donné, au cours d'une marche offensive de 18 jours, les preuves journalières d'une activité, d'une méthode de travail et d'un exemple remarquablcs, poussant ses reconnaissances personnelles avec l'avant-garde même, a réparé les voies de communication, rétabli des ponts, jeté des passerelles et pris part à l'organisation rapide de plusieurs positions avec une initiative et une décision dignes des plus grands éloges. Commandant du génifi divisionnaire de tout premier ordre.

COTTIN (Joseph-Louis-Arlhur), 2e canonnier servant à la 60 batterie du 48 rég. d'artillerie de campagne : s'est particulièsement distingue, parmi une vingtaine de braves qui ont réussi le 25 juillet 1918, à amener une pièce sous un feu meurtrier jusqu'à 800 mètres d'une position défendue avec acharnement, forçant l'admiration de la troupe d'attaque et surprenant l'cIl" nemi par tant d'audace.

LAVEZ (Joseph-Augusfe-Henri), lieutenant la 2e compagnie du 23* rég. d'infanterie : (} 18 juillet 1918, s'est lancé sur une mitrailleuse qui faisait subir des pertes à sa compagnie dont il venait de prendre le commandement, a tué lui-même le servant et s'est emparé de la mitrailleuse.

DEBREUX (Antoine-Henri), mie 14125, soldat à la lre compagnie du 23e rég. d'infanterie : le 19 juillet 1918, s'est porté résolument sur une mitrailleuse boche qui empêchait la progrès sion de sa compagnie: à coups de grenade ® abattu le tireur et fait prisonniers les ser; vants, évitant ainsi des pertes certaines à son unité.

CAZIER (Adolphe), mie 695, brigadior aU 3e escadron du 11e rég. de chasseurs : lJriga; dier énergique et brave, type prêt pour des missions périlleuses ayant un grand preste sur ses hommes.. A 'fait presque jourileill" ment, du 28 juillet au 5 août, des patrouilles f: reconnaissance en avant de l'infanterie. »

29 juillet 1918, faisant partie d'un groupe a cavaliers à pied, s'est porté en avant avec SO il escouade, et par son intervention a permis * progression des éléments de tête arrêtés. 1 2 août, envoyé en reconnaissance à Branges, est entré malgré de violents tirs de filitrili" leuses et le village encore occupé. A rappQ 1 des renseignements importants.

VOSSOT (Edmond), sous-lieutenant à la L batterie du 4e rég. d'artillerie de campagne Ótlf 21 juillet 1918, envoyé en observation appuyer une attaque, a choisi son posts s premières lignes, est parti avec la vague 18 saut et a réussi, malgré le bombardement ar" feu des mitrailleuses, à faire parvenir à i r.

rière de nombreux renseignements de la pltl5 haute importance. Officier do grande va déjà titulaire de deux citations.

PETITJEAN (Pierre-François), lieutenant à

Se batterie du 4e rég. d'artillerie de campagn dtJ le 20 juillet 1918, commandant la colonnt il groupe, pendant la reconnaissance et aya ar traverser un plateau découvert bouleverse par l'artillerie et mitraillé par avion, a ameiOD !

batteries en ordre parfait sur une positio 2 kilométres de l'ennemi avec une l'a 0 dB qui a permis d'appuyer aussitôt l'attaqtl l'infanterie. Déjà deux fois cité. t GIGAGNON (Pierre-Alexis), mie 1841, serg®nj à la 7' compagnie du 128e rég. d'infanie


chargé d'une patrouille de liaison, rencontre 811 cours de sa mission une patrouille ennemie de trois hommes, l'attaque et la fait entièrement prisonnière. Continue ensuite sa mission aVec calme et intelligence.

ROURUD (Pierre-Marie), mie 2193, soldat à l'a lîid compagnie du 128e rég. d'infanterie : le o juillet, s'est porté par trois fois sur le flanc "e sa compagnie menacée par des contre-attaqt;¡es et a réussi toutes les fois à les arrêter pM son feu. Se portant ensuite à la lisière du hie 18 du Rocher, a assuré la conquête du bois et Procédé à son nettoyage.

COUSIN (Marius-Louil), mie 6053, maitreWR inteur à la 6e batterie du 48 rég. d'artillerie t!e campagne : s'est particulièrement distingué Parmi une vingtaine de braves qui ont réussi, t 25 juillet 1918, à amener une pièce sous un meurtrier jusqu'à 800 mètres d'une posi..

ton défendue avec acharnement, forçant droiratiOn de la troupe d'attaque et surpreliant l'ennemi par tant d'audace.

t MAISONNEUVE (Paul-Henri), lieutenant au t'bataillon du 23» rég. d infanterie : comman;®pt de compagnie d'une bravoure froide et résolue possédant un ascendant absolu sur ses omes, a conduit remarquablement son nlté aux attaques des 18 et 19 juillet 1918. A trandement coopéré à la prise de deux villages, b fait une centaine de prisonniers tous valides a capturé 7 mitrailleuses.

1 HOUX-AYMARD (Elie-Ulysse-Léon), sous-lieu4 JeDant à la 10e compagnie du 23e rég. d'inlanel'le: officier de grande valeur et d'un courage "emarquable. A fait l'admiration de tous par tn mépris absolu du danger, le 18 juillet, où, len que blessé, il a continué il entraîner sa action sous un feu violent d'artillerie et de 4litrailleuses et n'a consenti à se faire soigner ^'après avoir atteint son objectif. Médaille Militaire et une blessure. Quatre citations.

GAGET (Pierre), mie 04584, sergent à la tle compagnie du 23* rég. d'infanterie : sousOfnciei- admirable de courage et d'énergie. A Conduit ses hommes à l'attaque du 23 juillet yec un brio remarquable, s'approchant du pliage sous un violent tir d'artillerie et de mirailleuses. Arrêté à l'entrée du village, a organe la défense avec intelligence et courage.

DUCRUET (Alexandre-Antoine), lieutenant au * ze bataillon du 238 rég. d'infanterie : jeune crnmandant de compagnie de la plus audateuse et entraînante bravoure. A donné toute mesure en entrant le premier dans le 'illage d'Ancienville le 18 juillet, puis dans tle ui de Chouy, à l'attaque du i-X A fait près de deux cenls prisonniers tous valides, capturé eux canons de 88 millimètres et neuf mitrailleuses.

DIOT (Charles), sous-lieutenant à la 711 comgnie du 23e rég. d'infanterie : chef de section lcalme et d'un courage incomparables. A tête de sa section, a réussi à réduire trois w Qljrailleuses en action placées e)lein champ n arrêtaient la marche de sa compagnie ; les l'amenées avec vingt-trois prisonniers.

la OSNY (Pierre), sous-lieutenant au 2e batail8en du 23* rég. d'infanterie: a brillamment K.p?Pndé son commandant de compagnie à l;ttaque d'Ancienville, le 18 juillet 1918. Appeen plein combat à prendre le command'eient d'une compagnie, l'a réorganisée sous le l'il.. lui communiquant une nouvelle vigueur, conduite bravement à l'attaque le lende'I'n, sous des, feux violents de mitrailleuses.

p eqtpêché par son mouvement tournant un a-Pti ennemi de se masser pour contre-attaor son bataillon. S'est emparé de deux ea-Ils de 130 avec leurs munitions et fait dtx Ci{Sto.nniers tous valides. Trois blessures. Trois étions.

),S!T'CRICQ (Raoul),. aspirant à la 5e com5'unla du 238 rég. d'infanterie ; chef de section foj.9e tenue magnifique au 'feu. Les 18 et 19 tt et, a livré de nombreux combats à des OnDOS ennemis faisant des prisonniers et Itérant des mitrailleuses Le 25 juillet, sous W-S^ages ennemis et le feu violent des mideeuses, a. progressé sans arrêt, toujours deb Out et criant sans cesse : « En avant ! en , » '"tUIt (Georges-Adolphe), lieutenant au Vjjv^illon du 23* rég. d infanterie : jeune Mandant de compagnie plein d'entrain et

de grande bravoure. A fait preuve de belle qualités militaires depuis le début de l'attaque du 18 juillet. S'est particulièrement distingué le 25 dans l'attaque d'un village fortement défendu par l'ennemi. Grâce à son initiative et à l'allant merveilleux de ses hommes, s'en est emparé après avoir réduit plusieurs mitrail leuses et fait de nombreux prisonniers. Deux blessures. Une citation.

CRETIN (Jules-Iarius), lieutenant à la3e compagnie du 23P rég. d'infanterie : excellent officier, d'une grande bravoure et d'un ardent esprit offensif. A fait preuve aux attaques des 18 et 19 juillet 1918, de solides qualités de chef en conduisant sa compagnie au combat en première ligne, avec une grande habileté de manœuvre qui lui permit d'atteindre ses objectifs avec des pertes minimes et en capturant un grand nombre de prisonniers. Une blessure.

Deux citations.

BEAUBIER (Gilbert-Auguste), mie 017999, caporal au 23e rég. d'infanterie : le 25 juillet 1918, a réussi à établir, malgré l'extrême violence du bombardement, une liaison téléphonique avec la première vague d'assaut, et par son courage a maintenu constamment cette liaison en entraînant son équipe. Sur le front depuis le début de la campagne, a toujours été du plus bel exemple pour tous. Trois citations.

MAGIN. (Benoît-Joseph), mie 16275, soldat à la 3* compagnie du 23e rég. d'infanterie : soldat d'un courage à toute épreuve. Toujours volontaire pour les missions périlleuses. Le 18 juillet, formant la pointe d'une patrouille de couverture, s'approchait d'une section de mitrailleuses, tuait l'un des servants et permettait ainsi à la patrouille de s'emparer des deux pièces et de faire prisonniers trois autres mitrailleurs Le 19 juillet faisait encore personnellement deux prisonniers.

DUFOUR (Claudius-Joseph), sous-lieutenant à la iD" compagnie; du 23* rég. d'infanterie : le 18 juillet, s'est distingué au cours d'une progression dans un. bois fortement occupé par l'ennemi. A réduit au silence plusieurs mitrailleuses. Le 23 juillet, a été blessé en entraînant sa section à l'attaque. Trois blessures. Trois citations.

LOIZILLON (Adrien-Antoine), lieutenant au 1er bataillon du 23* rég. d'infanterie : au cours du combat du 18 juillet 1918, a conduit sa section avec autorité et énergie, a pris le commandement de sa compagnie dans un moment difficile et, la. conduisant brillamment à l'attaque du village, réalisait complètement son objectif par une habile manœuvre, faisant 60 prisonniers et prenant des mitrailleuses. Quatre citations.

JANIN (Jean-Marie), mie 0941, sergent à la lre compagnie de mitrailleuses du 23e rég. d'infanterie : chef de section plein d'ardeur, animé: du plus bel esprit de devoir. Le 18 juillet, malgré un violent tir de mitrailleuses ennemies, a installé ses pièces dans des positions très dangereuses pour tirer dans le flanc de l'ennemi.

A été blessé de deux balles. Malgré ses bléssures, a continué son tir jusqu'à épuisement de ses forces.

GUILLAUD (Joseph)., mie 14106, soldat à la 10e compagnie du 23e rég. d'infanterie : soldat d'une bravoure exemplaire. Le 25 juillet 1918, au cours d'une attaque contre un village,, s'est porté hardiment, avec son chef de section, vers, une mitrailleuse ennemie qui prenait ses camarades sous son feu. A été grièvement blessé après avoir fait une cinquantaine de mètres en avant, mais son sacrifice, en détournant le feu de l'ennemi, a permis à ses camarades de s'installer dans les premières maisons, d'où ils ont pu réduire, la mitrailleuse et progresser ensuite.

DELIIUILE (Gabriel-Pierre), mie 1257, sergent à la 2* compagnie de mitrailleuses du 23" rég.

d'infanterie : chef de pièce d'un courage calme et tranquille dont la bravoure est légendaire. Accompagnant une compagnie d'attaque à l'assaut d'un village, a marché avec les premiers éléments, s'est heurté à. des tirailleurs ennemis tirant à bout portant et essayant de capturer sa pièce,, s'est dégagé en. faisant le coup de feu avec son mousqueton, a mis en batterie sous des rafales violentes de mitrailleuses adverses et a largement contribué au succès de l'attaque. Blessé grièvement le lendemain en progressant sous

le feu de l'ennemi. Deux blessures; Trois ci-1 tations.

COLONNA (Jacques-André), sous-lieutenant à lalre compagnie du 23e rég. d'infanterie : officier ayant la plus haute conception de son devoir. Blessé grièvement, le 18 juillet 1918, en faisant face à une contre-attaque ennemie appuyée par un violent feu de mitrailleuses. A toujours été un modèle de sang-froid et d'élan pour ses hommes Deux blessures. Une citation.

L A L 0 G E (Gabriel-Victor), lieutenant au 23* rég. d'infanterie : a brillamment conduit sa compagnie à l'assaut d'Ancienville, le 18 juillet, est arrivé sur l'ennemi sans lui donner le temps de se reconnaître. A fait plus de cinquante prisonniers, tous valides. S'est emparé d'un lance-mines de 88 millimètres, de huit mitrailleuses et mitraillettes. A été blessé par un obus, en faisant, à découvert, organiser les positions conquises. Deux blessures. Une citation.

CHAMBARD (Charles), mie 010870, sergent à la 10° compagnie du 23e rég. d'infanterie : excellent sous-officier, engagé volontaire. Au front depuis le début de la guerre, s'est toujours distingué par son énergie et sa bravoure, Le 18 juillet 1918, au cours d'une progression sous bois, les éléments de tête de sa compagnie étant arrêtés par des feux de mitrailleuses s'est porté spontanément sur celle-ci, s'en est emparé en tuant un des servants et en obligeant l'autre à s'enfuir. A été tué, le 23 juillet 1J18, en entraînant sa section à l'attaque.

ROUSSEAUX (Aman-Théodore), sous-lieutenant au 23" rég. d'infanterie : officier ayant à un très haut degré la notion du devoir et possèdant en toute circonstance le plus grand calme. Le 18 juillet a fait preuve d'une grande conscience en surveillant lui-même sous le feu de l'ennemi, la mise en place de ses sections de mitrailleuses. Est tombé glorieusement auprès de ses pièces. Une blessure. Une citation.

JUVENETON (Paul-Joseph), sous-lieutenant au 23e rég. d'infanterie : jeune officier de la classe 1917 d'une conscience et d'un courage remarquables. A dirigé sa section le 23 juillet à l'attaque d'un village avec une fougue et une habileté admirables. Blessé deux fois fut contraint de s'arrêter pour se faire panser et fut enseveli dans un abri. Déjà cité trois fois.

Mort au champ d'honneur.

DERUART «(Pierre-ïîenri-Ernest), sous-lieutenant au 23* rég. d'infanterie : officier renommé pour son courage et son entrain. Blessé mortellement en conduisant sa section d'une façon admirable de courage et d'habileté à l'assaut d'un village- fortement défendu, le 23 juillet 1918. Déjà cité trois fois.

BOMPARD (Louis), sous-lieutenant au 23e rég.

d'infanterie : officier remarquable et d'une grande bravoure. Le 25 juillet 1918, au cours d'une attaque contre un village, s'est porté hardiment vers une mitrailleuse ennemie qui prenait sa section sous son feu. A été tué après avoir fait une cinquantaine de mètres en avant mais son sacrifices, en détournant le feu de l'ennemi, a permis à ses hommes de s'installer dans les premières maisons du pays, d'où ils ont pu réduire la mitrailleuse et progresser ensuite.

MOUREAU (Lucien-Jean), lieutenant au 23e rég. d'infanterie : lieutenant commandant une compagnie d'infanterie, officier brave et très énergique. Le 28 juillet 1918, défendant avec sa compagnie la lisière sud-est du village d'Ancienville qui venait d'être conquis, a trouvé une mort héroïque en entraînant un groupe d'hommes à l'attaque d'une mitrailleuse allemande placée sur un point dangereux. A contribué par son exemple à donner à sa troupe l'attitude résolue qui empêcha l'ennemi d'exécuter sa contre-attaque qu'il menaçait de déclancher. Deux citations.

PFISTER (Georges-Théophile-Justin), lieutenant au 230 rég. d'infanterie : officier très bràve. Le 23 juillet 1918, son peloton étant arrêté par de violents feux de mitrailleuses,, a cherché, avec le plus grand mépris du danger, à découvrir leur emplacement afin de les combattre. A été blessé mortellement au cours de cette opération. Deux blessures. Quatre citations.

FOURMER (Leopold-Etienne), capitaine mi


23e rég. d'infanterie: a brillamment commandé Son bataillon pendant les opérations du 18 juillet au 4 août 1918. S'est particulièrement distingué les 23 et 25 juillet et a largement contribué à la prise d'Oulchy-Je-Château. Une blessure. Cinq citations antérieures.

ANGER (Alfred-Raymond-Amédée), capitaine au 23e rég. d'infanterie : les 18 et 19 juillet a enlevé à la tête de son bataillon deux villages, faisant trois cents prisonniers, prenant quinze mitrailleuses lourdes et légères et deux canons. Le 3 août 1918, a atteint la Vesie l'un des premiers. Une blessure. Une citation.

LAURENCOT ( Lucien-Jean-Baptiste ). mie 10113, adjudant à la 5e compagnie du 42e rég.

d'infanterie : sous-officier d'un allant remarquable ; a, le 18 juillet 1918, enlevé un nid de mitrailleuses qui arrêtait la progression de son bataillon et en a tué les occupants de sa main. Coutumier des actions d'éclat. Titulaire de la médaille militaire. Trois citations antérieures. Deux blessures.

BOURGEOIS (Louis-Loetitius), médecin aidemajor de 2e classe au 3e bataillon du 42* rég.

d'infanterie : medecin militaire d'un courage et d'un dévouement légendaires. Dans les affaires de juillet 1918, a porté son poste de secours aux points les plus avancés de la ligne de feu. Les 21 et 22 juillet, se prodiguant sans compter, a réussi, malgré l'affluence des blessés, à les panser et à les évacuer dans les conditions les meilleures. Quatre citations antérieures.

BERTHE (Gaston-Edouard), sous-lieutenant à la 1re compagnie du 42e rég. d'infanterie : remarquable par son grand mépris du danger et son influence sur ses hommes. Le 18 juillet 1918, a traversé avec un entrain admirable, les marais de la Savière, forçant par son élan un point fortement défendu et a pris deux mitrailleuses avec leurs six servants. A largement contribué dans la suite de l'attaque à la capture de la ferme Cionval, de 47 prisonniers et 5 mitrailleuses, de 5 autres prisonniers et d'une sixième mitrailleuse. Quatre citations.

MORIN (Emile-Lucien-Arthur), sous-lieutenant à la 5e compagnie du 42e rég. d'infanterie : officier modeste et calme dont le courage exerce sur ses hommes un ascendant puissant. A l'attaque du 18 juillet a conduit brillamment sa section à l'assaut, Payant d'exemple, a traversé le premier un marais avec de l'eau jusqu'au cou pour attaquer ensuite la position ennemie. Pris de face et de flanc par des mitrailleuses a manœuvré habilement et en a capturé deux avec douze prisonniers.

Blessé grièvement au cours de cette affaire.

Une citation et une blessure antérieure.

MOREL (Emile-Alexandre), capitaine à la 1re compagnie du 42e rég. d'infanterie : a donné pendant les combats du 18 juillet au 4 août 1918, l'exemple du courage et de l'endurance.

A capturé, le 18 juillet, soixante-deux prisonniers dont deux officiers et huit mitrailleuses et obtenu de sa compagnie au cours d'une lutte longue et pénible, des efforts surhumains qui ont contribué pour leur part au recul de l'ennemi, Chevalier de la Légion d'honneur, Quatre citations. Deux blessures.

DEBIZE (Abel), capitaine à la 9* compagnie du 42e rég. d'infanterie : le 18 juillet 1918, commandant une compagnie de soutien, a, par son initiative, arrêté une contre-attaque ennemie, entraînant magnifiquement ses hommes à l'assaut et capturant quatre mitrailleuses à l'ennemi. Le 21. a contribué à la prise d'un bois très disputé, où il sut, après l'avoir enlevé maintenir sa troupe sous des barrages des plus violents. Trois citations.

TESSANXE (Emile-Félicien-Delphin), lieutenant a la 3e compagnie de mitrailleuses du 42e rég. d'infanterie: commandant de compagnie de mitrailleuses, hors de pair, d'un courage et dune activité remarquables. Au cours des combats de juillet 1918, s'est dépensé sans compter pour faire donner à son unité tout le rendement possible: a contribué puissamment à la progression des bataillons d'attaque; chargé le 21 juillet, d'une mission de reconnaissance délicate, s'en est acquitté d'une façon parfaite.

Une blessure. Cinq citations.

PELTIER (André), mIe 5584, sergent à la 7e compagnie du 42e rég. d'infanterie : le 18 juillet 1918. a entraîné ses hommes à l'assaut des lignes ennemies, capturant une mitrailleuse et

faisant dix prisonniers. Le 26 juillet s'est porté, malgré un feu violent de mitrailleuses, au secours de son capitaine blessé grièvement et l'a ramené dans nos lignes. Deux citations antérieures.

NOt (André-Pierre), lieutenant à la 2e compagnie du 42e rég. d'infanterie : à l'attaque du 18 juillet 1918, a brillamment entraîné sa section à la tête de laquelle il a franchi, sous le feu, des marais avec de l'eau jusqu'aux aisselles, a atteint tous ses objectifs capturant successivement douze prisonniers et trois mitrailleuses. Deux citations antérieures. Une blessure.

TIIEVENOT (Jean-Lucien), sous-lieutenant à la 2' compagnie du 42e rég. d'infanterie : à.

l'attaque du 18 juillet 1918, a brillamment entraîné sa section, à la tète de laquelle il a franchi, sous le feu, des marais avec de l'eau jusqu'aux aisselles. A atteint tous ses objectifs capturant successivement dix prisonniers, deux mitrailleuses et un canon de 77. Une citation.

Une blessure antérieure.

PURCEY (Gaston-Jules-Armand), lieutenant à la 9e compagnie du 421, rég. d'infanterie : officier d'élite, véritable entraîneur d'hommes.

S'est dépensé sans compter au cours des combats de juillet 1918, s'est emparé de quatre mitrailleuses. Les 22 et 23 juillet, a effectué des reconnaissances audacieuses en avant de nos lignes en vue de déterminer l'emplacement exact des positions ennemies et établir la liaison avec les unités voisines. Glorieusement tombé, le 28 juillet 1918, alors qu'il entraînait ses hommes à l'assaut.

PAQUES (Paul), mie 785, sergent à la 11e compagnie du 42e rég. d'infanterie : sous-officier d'élite, aimé de tous pour son courage et son sang-froid. A, le 18 juillet, par une pointe hardie, assuré la capture de deux mitrailleuses ennemies. Tombé glorieusement, le 21 juillet, en assurant le maintien du bon ordre dans compagnie pendant la traversée d'un village particulièrement bombardé. Déjà trois fois cité.

BARNOT (Albert-Emile), sous-lieutenant à la 5e compagnie du 42e rég. d'infanterie : jeune officier plein d'allant, s'est distingué particulièrement à l'attaque du 18 juillet, pendant laquelle il conduisait sa section avec bravoure ; après la traversée difficile d'un marais, contribua pour une très grande part à la prise d'une batterie de 77 ennemie, dont il tua luimême deux occupants à coups de pistolet.

Blessé en cours d'action. Deux blessures antérieures.

DOMBEY (Maurice-Edmond-Maric), lieutenant à la 5e compagnie du 42e rég. d'infanterie: officier d'un allant remarquable, a pris le commandement d'une compagnie dans des circonstances particulièrement difficiles et a atteint l'objectif assigné. A fait preuve d'un grand courage et d'une remarquable endurance au cours des combats du 18 juillet au 4 août 1918.

Trois citations. Deux blessures.

THUILLlER (Alfred-Félix-Paul), sous-lieutenant au 3e bataillon du 128e rég. d'infanterie : officier mitrailleur réputé pour son calme et son sang-froid. Le 25 juillet 1918, a commandé un détachement de liaison entre deux chars d'assaut, a complètement assuré sa mission jusqu'à la conquête du dernier objectif. Resté seul officier, a pris de sa propre initiative le commandement d'une compagnie d'infanterie et s'est dépensé sans compter, sous le feu de l'infanterie ennemie, pour organiser le terrain conquis.

ROCHEFORT (Charles-William), adjudant à la ge compagnie du 128e rég. d'infanterie : chef de section d'un allant admirable et d'une endurance à toute épreuve. S'est distingué au cours des combats des 20 et 25 juillet en effectuant une contre-attaque sous un feu violent de mitrailleuses, en atteignant l'objectif malgré les pertes et en assurant le commandement de sa compagnie qui venait de perdre tous ses officiers.

JARDIN (Eugène), mie 0616, sergent à la 2e compagnie de mitrailleuses du 128e"rég. d'infanterie : le 20 juillet 1M8, son bataillon étant arrêté par les feux de mitrailleuses, s'est porté en avant en électrisant ses hommes et fit mettre en batterie sous un feu intense. A réduit au silence les pièces ennemies qui furent trouvées abandonnées lors de la progression.

LAN'OY (Marcel-Félix-Louis), mie 45t3,

sergent à la 3* compagnie du 128e rég, d'infanterie : à l'attaque du 24 juillet, s'est montré d'une activité inlassable au cours de la progression et pendant l'organisation du terrain conquis. A pris le commandement d'une section que le 1er août il enlevait à l'attaque dans un élan magnifique. Grièvement blessé au cours de cette action.

CHEVALIN (Joseph-Eugène), mie 02794, sergent à la lre compagnie de mitrailleuses Jul23* rég, d'infanterie : le 2 août 1918, chargé d'établir la liaison avec l'unité voisine, s'est acquitte de sa mission avec plein succès. Pris sous un violent feu de mitrailleuses ennemies, n'a pas hésité à les contrebattre et à obtenir leur reddition, capturant ainsi trente-deux prison* niers.

GROB (Paul-Joseph-Ferdinand), mie 1119, sergent à la 7e comdagnie du 128e rég. d'infanterie : le 18 juillet 1918, sous un bombardement violent, a entraîné ses hommes. Grièvement blessé au cours de la progression. Sous-officier aussi estimé de ses chefs que des camarades.

VACHER (Pierre-Louis), mie 5457, sergent & la 28 compagnie du 128e rég. d'infanterie : a fait preuve d'une bravoure et d'un courage remarquables pendant la période d'attaques du 18 juillet au 2 août 1918. A participé à la caP' ture de trente-deux prisonniers ; s est particulièrement distingué le 2, en poussant une reconnaissance de.la plus grande importance, COULON (Arthur-Eugène), mie 017380, caporal à la compagnie H. R. A. du 128e rég. d'infante rie : caporal téléphoniste aussi brave q16 dévoué. Le 21 juillet 1918, a réussi à établIr une ligne malgré un violent bombardement. *

été grièvement blessé en accomplissant sa mission.

DE SAINT-RIQUIER (Marcel-Georges), TNIO 16408, aspirant à la 68 compagnie du 128e rég, d'infanterie : s'est prodigué sans compter r 18 au 26 juillet, et en particulier le 21 jUll 61 1918, où il s'est élancé en tête de sa section * l'attaque d'un point d'appui sous une grêle de balles de mitrailleuses. Enseveli, le 27 jlllllf sous un bloc de pierres et fortement con^i sionné. est resté à son poste de combat. b* tombé mortellement frappé le 2 août, au m0 ment où il criait ; « En avant. »

SEVIN (Guslave-Gaston-Carlos) , sous-lieu*0' nant à la lre compagnie de mitrailleuses ?

128e rég. d'infanterie : le 21 juillet 1918, a pu's.

samment aidé la progression victorieuse de son bataillon, en s'acharnant par les feux a ses mitrailleuses à contrebattre celles de 1 8 nemi. Le 25 juillet, a placé lui-même qua. t pièces sur une position conquise forterfl?1 bombardée et, grâce â cette interven 1.

hardie, a brisé une contre-attaque enriellil Officier d'une force d'âme remarquable et d1 grand courage, .il

DHERMAIN (Léon-Armand), lieutenant S 128e rég. d'infanterie : aux combats des 21 et 25 juillet. du 1er août, a été surressivefIl e fit le précieux auxiliaire de trois chefs de ba Ion, toujours au premier rang dans les asgaûs s'est prodigué sans souci des balles et des o" s pour assurer l'exécution des ordres et p. ut organiser les résistances. Officier d'un ttjLg moral, a contribué largement au succès dco attaques de son bataillon.

CLÉMENT (François-Marcel), capitaine a i 7e compagnie du 128e rég. d'infanterie C nt.

mandant de compagnie hardi et plein d'aàIlra" Le 21 juillet 1918, a poursuivi l'ennemi dfe.

vers bois, l'obligeant à se replier en désoàiy ,r0.

A dépassé l'objectif qui lui était fixé, fa~;~ preuve d'une heureuse initiative et s'est r:at' tenu sur ses positions malgré une contre taque. te' LAMBINET (Amédée-Théophile), sous-H. 0,0«ir nant au 128e rég. d'infanterie : le 24 juillet s'est porté à la tête de son peloton \ef lignes allemandes. A deux reprises s'est 06 à l'assaut d'une ferme fortement défendIéP,l, lpil sa ténacité a permis la conquête des }o JieUs fixés et fait sept prisonniers. Tombé g os qU' ment le 1er août, à la tête de ses hOrnule5 lil o entraînait de nouveau à l'avant. u ROSSIGNON (Jules-Georges) , capital c«,jjr 58 compagnie du 128e rég. d'infanteriemandant de compagnie d une valeur .éP{.estiO}' esclave de son devoir, ayant conqu seS ¡¡It de ses chefs, de ses camarades et Ses îtr


borllonnés. Tombé on soldat fier et sans reproche, le 20 juillet 1918, à la tète de sa compagnie qu'il entraînait à l'assaut sous une grêle e balles..

-LE CONVAISIER (André-Joseph), capitaine au de bataillon du 128e rég. d'infanterie : commanant de compagnie adoré de ses hommes. Au combat du 25 juillet 1918, est tombé mortellefllent frappé à la tête de sa compagnie après Vir enlevé d'assaut un bois hérissé de mielleuses.

BEUSSE (Jean-Emmanuel-Louis), lieutenant au 3* bataillon du 128e rég. d'infanterie : commandant de compagnie de mitrailleuses, s'est iPensé sans compter pendant l'attaque du f3 juillçt 1918. A été mortellement frappé en servant lui-mèmc une mitrailleuse allemande qu'il venait de prendre, enrayant ainsi une contre-attaque qui menaçait le flanc gauche ae son bataillon.

PAYEN (Fernand-Albert-Léon), capitaine au e rég. d'infanterie : ayant pris le commanpfOent de son bataillon en plein combat, a alt preuve des plus belles qualités militaires enlevant, le 1er août, la ferme de après n Combat des plus durs, maintenant ensuite ivec l'ennemi un étroit contact qui a déterminé Sa retraite.

t AGALlEn. (Emile), capitaine, chef de baI J^llon au 128. rég. d'infanterie : pendant la PérlOde de combats, du 18 juillet au 2 août 1918 a conduit tous les jours son bataillon à attaque, faisant preuve des plus solides quarjes miliiaires. GrAce à sa ténacité et au piléIne de son commandement, a obtenu de Précieux résultats.

GENTIS (Auguste-Edmond), capitaine au Jy* rég. d'infanterie : pendant la période des "Ombais du 18 juillet au 2 août 1918. a brillent conduit son bataillon à l'attaque, le 9 juillet notamment s'est emparé du bois "■s'y est maintenu malgré une contre-attaque se nemie permettant au régiment de maintenir ses gains de la journée.

Ï-AMBOUR (Jules-Louis), capitaine à l'étator du 4e rég. d'artiilene d'assaut : le illet 1918, chargé des reconnaissances des Editions de batteries, s'est porté jusqu'aux ernents d'infanterie les plus avancés, a pris eje connaissance exacte de la situation. Constant un arrêt dans notre progression, a parbouru par deux fois un terrain violemment errbardÓ pour renseigner aussitôt les groupes de leUr indiquer les objectifs à battre. Officier d a plus haute valeur ayant avec beaucoup .«décision et d'heureuse initiative la plus dib'o. attitude au feu. Déjà cité à l'A. D. de la '¡Sion.

t S!ltDEY (François-Xavier), chef d'escadron demandant le 2e groupe du 4e rég. d'artillerie (lU campagne : au cours de la contre-offensive juillet au 3 août, a fait preuve des plus b«e.u "es qualités militaires : sens exact de la éation et habileté manœuvrières dans le placement de ses batteries pour l'appui y.? tant de l'infanterie, entrain et heureuse c la.tive de la liaison avec l'infanterie qu'il êléerchait souvent personnellement jusqu'aux cj^ents avancés. Belle attitude au feu. Officier SuPérieur de grande valeur, déjà cité à ( re de l'armée et de la division.

Ordre du 6 octobre 1918.) ♦

e Président du conseil, ministre de la guerre, Vu le -décret du 13 août 1914,

Arrête: ticle unique. Sont inscrits aux tableaux qi¡'!a.ux de la Légion d'honneur et de la méS\ii.!e militaire, les militaires dont les noms lvent : LÉGION D'HONNEUR Pour chevalier.

iour prendre rang du 22 novembre 1918.) ^ctiv„^ous (Edouard-Pierre-Louis), lieutenant (a t've) au 502e rég. d'artillerie d'assaut : offl1 ussi énergique que brave, au front detin e début de la campagne, s'est souvent Cté dans les affaires auxquelles il a pris * «st revenu spontanément à peine guéri

d'une blessure récente pour prendre part au combat du 30 septembre 1918; s'y est surpassé, donnant aux gradés et aux hommes sous ses ordres le plus bel exemple. Trois blessures.

Quatre citations.

(Pour prendre rang du 10 février 1919.) LOMBARD (Pierre-François), mIe 07, lieutenant à titre temporaire (active) à la 26e batterie du 11e rég. d'artillerie à pied : le 16 février 1917, au cours d'une violente attaque ennemie, commandant une batterie soumise à un bombardement violent et bien qu'ayant été contusionné et intoxiqué, a continué à assurer son commandement et n'a consenti qu'à bout de forces à se laisser évacuer. Une blessure antérieure. Médaillé militaire pour faits de guerre.

Une citation.

VERDIER (Francois-Marie-Léonard), lieutenant (réserve) au 129e rég. d'infanterie : officier très calme et d'une bravoure à toute épreuve. S'est distingué maintes fois et particulièrement à Verdun, en juillet 1916 où, sous un violent bombardement, il s'est emparé d'un point d'appui ennemi et s'y est maintenu avec son unité malgré toutes les contre-attaques.

Deux citations.

PERRIN (Paul-IIenri), capitaine (réserve) à l'étal-major de l'artillerie d'un corps d'armée colonial : au front depuis le début de la campagne a, en toutes circonstances de guerre, fait preuve de grande intrépidité et d'intelligente initiative dans l'organisation de la contre-batterie ; s'est particulièrement distingué en octobre 1918, sur l'Aisne en assurant, sous la violente réaction ennemie, les liaisons les plus délicates du commandement avec les unitées engagées. Trois citations.

DESMAIRES (Marcel-Jean-Emile), lieutenant (active) au 9e bataillon du 74e rég. d'infanterie : officier d'une bravoure exemplaire.

S'est tout particulièrement distingué à la reprise du bois de la Caillette (2 avril 1916) et à l'attaque du fort de Douaumont (mai 1916) où il a pris le commandement d'une compagnie, qu'il a entraînée avec sa vaillance habituelle et qu'il a maintenue sur la position conquise.

Trois blessures. Médaillé militaire pour faits de guerre. Cinq citations.

(Pour prendre rang du 11 février 1919.)

BROCA (Paul-Jean), lieutenant (réserve) du 318e rég. d'infanterie, pilote aviateur : officier d'une énergie remarquable, animé du plus pur sentiment du devoir. A fait preuve dans l'infanterie puis dans l'aviation d'une force morale qui s'est affirmée toujours plus éclatante.

A dirigé plusieurs coups de main au cours desquels il s'est distingué par son habileté son courage et son sang-froid. Le 7 septembre, au cours d'une mission photographique qu'il n'avait pas hésité à entreprendre seul, est tombé dans les lignes ennemies soutenant jusqu'au sol un combat contre six monoplaces. Retrouvé blessé à Metz à l'hôpital Saint-Clément dont il avait volontairement assuré la direction pendant l'évacuation de la ville par les Allemands.

Deux blessures. Quatre citations.

ROUSSE AU-PORTALIS ( Maurice - Marie - Alfred), sous-lieutenant (active) au 504e rég.

d'artillerie d'assaut : Français d'origine, natu ralisé argentin, a abandonné tous ses intérêts pour venir, des le début de la guerre, servir en France. S'est brillamment conduit à toutes les affaires auxquelles il a pris part, en particulier, le 27 septembre 1918, et ensuite le 29, à l'attaque de la station de Somme-Py, au cours de laquelle, sortant de son char, immobilisé par un obus, il s'est livré à un combat corps à corps, abattant deux ennemis de sa main.

Tombé assommé aux mains de l'ennemi et interné en Allemagne, s'est évadé aussitôt guéri de ses blessures. Une blessure antérieure.Deux citations,

(Pour prendre rang du 16 février 1919.) JOUSSIN (Albert), lieutenant (active) au 50e rég. d'infanterie : à l'attaque du 8 mars 1917, a enlevé sa section avec un élan admirable et a rapidement atteint son objectif, faisant quarante prisonniers et prenant une mitrailleuse. Bien que blessé dès le début de l'action, a conservé le commandement de son unité jusqu'à la conquête définitive de la position.

TESSERON (Luc-Guston), lieutenant (réserve)

au 108* rSg: d'infanterie : officier d'une énergie remarquable ayant au feu une attitude magnifiqlle. Le 11 mars 1917, la barricade qu'il avait à défendre ayant été violemment attaquée, s'y est maintenu avec les. deux seuls grenadiers qui lui restaient et s'est porté à la contre-attaque dès qu'il eût reçu les renforts nécessaires. Son unité ayant été relevée, est resté volontairement avec la compagnie montante. Une blessure. Quatre citations.

DILLENSEGER (René-Joseph-Marie), méde- cin-major de 2e classe à titre temporaire (ac- , tive) au 3e bataillon du 162e rég. d'infanterie : médecin possédant les plus belles qualités professionnelles et militaires. A fait preuve une fois de plus du 2 au 5 septembre 1918 de la bravoure la plus éclatante ; le 4 septembre s'est porté, pendant l'attaque, en avant de la ligne de tirailleurs sous le barrage de l'artil-

lerie et des mitrailleuses ennemies pour secourir les blessés de son bataillon. N a quitté le terrain qu'après avoir, ramené tous nos blessés et tous nos morts. Cinq citations.

ROUBY (Emile-Marius-Louis), lieutenant (active) à titre temporaire au 10e bataillon de chasseurs : officier d'une bravoure exceptionnelle, merveilleux entraîneur d'hommes. Le 15 août 1918, à Villers-Ies-Hoye, les 16 et 17 août 1918, dans les tranchées du camp de César, les 18 et 20 dans les organisations ennemies devant Roye, a mené avec sa patrouille de tête de très durs combats de boyaux. Par son habileté, son audace et sa rapidité, a fait tomber toutes les résistances, capturant près de 150 prisonniers et jalonnant son chemin de cadavres ennemis. Une blessure. Six citations.

ROCHÈ (René-Alix-Victor), capitaine (réserve) au 11e rég. [de marche de tirailleurs : officier qui a affirmé ses belles qualités militaires et sa bravoure en toutes circonstances. Deux blessures. Deux citations.

(Pour prendre rang du 17 février 1919.} GASCARD (Eugène), lieutenant (active) au 2e bataillon de chasseurs à pied : officier 4 l'âme noble et au cœur ardent. Sur le front depuis le début de la campagne, s'est partout brillamment distingué. Restait au bataillon le dernier des glorieux défenseurs de Gerheviller.

Blessé très grièvement le 20 août 1918 au cours d'une mission de reconnaissance sur la ligne de feu, a fait preuve sur son brancard, d'une très haute tenue morale, exprimant seulement son regret de ne pouvoir finir la guerre. Trois blessures. Six citations.

ROBIN (Pierre-Joseph-Louis), sous-lieutenant à titre temporaire (réserve) à la compagnie 20/51 du 10e rég. du génie: officier d'une bravoure légendaire calme au feu, possédant de très bonnes connaissances techniques; toujours volontaire pour les missions périlleuses ; a toujours fait preuve d'énergie et d'un réel mépris du danger. A été blessé trois fois et ne s'est laissé évacuer qu'à la dernière extrémité.

Trois citations.

GRÉGOIHE ( François Marie- Alexandre - Eugène), mie 794, sous-lieutenant (active) à la 10e compagnie du 123e rêg. d'infanterie : officier d'une énergie et d'un courage rares. A été blessé grièvement en tête de sa section qu'il conduisait a la contre-attaque ; malgré sa souffrance, a eu le courage d'indiquer à son chef, sur une carte, les positions de l'ennemi.

Deux citations.

IIILARET (Jean-André), mie 5309, sous-lieutenant (réserve) à la ge compagnie du 57' rég.

d'infanterie : a été grièvement blessé, le , 14 septembre 1914, à Corbeny, au cours d'une mission de liaison sous un violént feu d'artillerie.

MÉDAILLE MILITAIRE (Pour prendre rang du 5 septembre 1914.) CARTON (Paul-Michel), mie 2894, chasseur (réserve) à la lre compagnie du ge bataillon de chasseurs à pied : a été blessé grièvement, le 22 août K)14, à Yirton, dans l'accomplissement de son devoir.

(Pour prendre rang du 4 février 1916.) GRAINDORGE (Gaston-Eugène), mie 81G8, soldat (réserve) à la 11* compagnie du 147e rég.

d'infanterie : bon soldat. A été grièvement blessé le 28 août 1914, à Joncq, en se portant à l'attaque d'une position ennemie.


{Pour prendre rang du 10 mars 1916.) DELÉTOILLE (André), mie 1995, soldat (réserve) à la 5e compagnie du 144e rég. d'infanterie : bon soldat dévoué et très courageux. A été grièvement blessé le 12 octobre 1914 à l'attaque du moulin de Vauclerc (Aisne).

(Pour prendre rang du 2 avril 1916.) GAYE (Roger), mIe 07883, soldat (réserver à la 3e compagnie du 57' rég. d'infanterie : brave soldat qui a fait preuve d'une belle énergie et a eu une superbe attitude au combat de Guise, le 28 août 1914. Bien que grièvement blessé, n'en a pas moins accompli une mission de liaison très délicate et périlleuse.

(Pour prendre rang du 16 juin 1916.) FREUNEAU (Auguste-Romain), mIe 0210, zouave préserve) à la 41e compagnie du 2e rég.

de marche de zouaves : s'est distingué, le 25 septembre 1915, par son entrain et son esprit de sacrifice en se portant énergiquement à l'assaut" des positions ennemies à Saint-IIilairele-Grand. A été blessé grièvement au cours de cette action.

(Pour prendre rang du lIr septembre 1917.) GAUSSENS (Joseph), mie 483i, soldat (active)à la 5e compagnie du 7e rég. d'infanterie : très bon soldat, a été grièvement blessé le 22 août 191-1 à BeTtrix en s'élançant à l'attaque des positions ennemies.

(Pour prendre rang du 8 octobre 1917.) FAUVEL (Henri), mie 6616, soldat (active) à la 19° compagnie du 274e rég. d'infanterie : a participé à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé depuis le 27 septembre 1914 y a montré les plus belles qualités de vaillance.

A été blessé le 9 avril 1916 à son poste de combat au fort de Souville, (Pour prendre rang du 22 décembre 1917.) GIROUX (Alfred), @ caporal (réserve) à la 2e compagnie du 79e rég. d'infanterie: excellent gradé, dévoué et très brave, A été blessé, le 28 octobre 1916, à Monchy-aux-Bois, en se portant à l'assaut des lignes ennemies.

(Pour prendre rang du li janvier 1918.) PERARD (Jean-Léon), mie 21659, canonnier (territorial) à la 23e batterie du 285e rég. d'artillerie lourde : très bon canonnier, d'une belle attitude au feu. S'est tout particulièrement distingué par son allant en Champagne et sur la Somme. A été grièvement blessé au combat du 31 juillet 1916, àFlaucourtjOù il a fait preuve d'un courage exemplaire.

(Pour prendre rang du 17 janvier 1918.) MONOT (Ifervé-Eugène-Marie), mie 11874, soldat (réserve) à la l''e compagnie du 52e rég.

d'infanterie : excellent soldat animé du meilleur esprit. A eu une conduite admirable devant Verdun, le 5 juin 1916, où il a été blessé alors qu'il faisait le coup de feu sur des Allemands aperçus dans Damloup.

MASSON (Isidore-Ferdinand), mie 5546, caporal (réserve) à la lre compagnie du 52e rég.

d infanterie : très bon gradé. A pris part à tons les combats du début, Vosges et Somme, et s'y est très bien conduit. A été blessé grièvement en Champagne, le 25 septembre 1915, en se portant à l'assaut de 1 a côte 19.3 près de rahure.

BONN'IFAY (RaphaH-Baptistin), mie 10828, sergent (réserve) au 75e rég. d'infanterie : sousofficier d'élite. S'est partout conduit d'une façon brillante; toujours volontaire pour les missions périlleuses. Quatre blessures. Cinq citations. "MONTMASSON. (CélesUn-Jean), mie 04116, caporal (réserve) au 75e rég. d'infanterie: caporal mitrailleur d'un sang-froid et d'un courage exceptionnels. S'est particulièrement distingué, le 23 octobre 1917, en exécutant des tirs, précis d'un emplacement fortement battu sur une mitrailleuse ennemie qui venait de mettre hors de combat le chef de section. Une blessure. Deux citations.

SAUNIER (Henri-Jules), sergent (réserve) an 52e règ. d'infanterie : sous-offteier d'une énergie remarquable, et d'un courage à toute épreuve. A été un exemple constant de hr.

voure et de sang-froide A. pris une part,active 1 à tous les combats du régiment ef eos parti- culièroment distingué comme chef de pièce de 37 pendant les attaques de Pinon et du Mont-sans-Nom, malgré un très violent bombardement de l'artillerie ennemie. Une blesMont-sans-Nom,, l'artillerie ei)neinie. Une blessure. Trois citations.

(Pour prendre rang du 18 février 1918.) BOURVA (Albert-FIorentin-Raymond), mIe 11743. soldat (réserve) à la 3e compagnie du 104e rég. d'infanterie : bon soldat, énergique, et actif, d'un dévouement et d'une bravoure dignes de tons éloges. A été grièvement blessé à son poste do combat devant Verdun le 13 décembre 191G.

(Pour prendre rang du 8 mars 1918.) GOUSSIN (René-Emile), mIe 680, sergent (réserve) à la 22e compagnie du 281e rég. d'infanterie : sous-officier d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. S'est distingué tout particulièrement à l'attaque de Vermelles, le 1er décembre 1914, et à l'attaque de Loos, le 9 mai 1915, où il est tombé grièvement blessé au moment oùil allait pénétrer dans la tranchée ennemie.

(Pour prendre rang du 29 mars 1918.) FERNANDEZ (Joseph - Antoine), mie 04272, zouave (réserve) à la 19e compagnie du 3e rég.

de marche de zouaves : bon soldat. S'est porté courageusement à l'attaque des tranchées allemandes le 15 juillet 1916 à Verdun et a été très grièvement blessé au cours de cette action.

Une blessure antérieure.

(Pour prendre rang du 24 avril 1918.) DJERAH ABÊLKADER, mie 482, caporal (active) à la 3e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : très bon gradé brave et énergique. S'est fait remarquer par son excellente conduite et sa belle attitude au feu. Le 16 avril 1918 à Reims, a brillamment entraîné son escouade à l'assaut des positions allemandes puissamment organisées et sous un feu violent de mitrailleuses. A été grièvement blessé en faisant vaillamment son devoir au cours de la progression de sa compagnie.

- ("Pour nrendre ranér du 29 avril 1918.Y

HEURTIER (Alexis-Joseph), mie 8700, soldat (réserve) à la 11e compagnie du 101e rég. d'infanterie : soldat très brave et très dévoué. A été blessé grièvement le 4 juin 1917 au Montsans-Nom en faisant vaillamment son devoir.

Une citation.

(Pour prendre rang du 10 mai 1918.) CHAPON (Gustave-Joseph-Gabriel), mie 5820, sergent (réserve) à la 7e compagnie du 2e rég.

d'infanterie : sous-officier de la plus grande bravoure. A été grièvement blessé le 3 mai 1917 à Nauroy dans une tranchée soumise à un violent bombardement en donnant à ses hommes un bel exemple de mépris du danger. Deux citations.

(Pour prendre rang du 27 juin 1918.) FRANÇOIS (Pierre-Gérard), mIe 3727, soldat (active) à la compagnie hors rang du 20* rég.

d'infanterie : excellent soldat. Agent de liaison d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. Toujours prêt à payer de sa personne dans les circonstances périlleuses. A été grièvement blessé le 29 décembre 1914, devant Mesnil-les-IIurlus. Une citation.

(Pour prendre rang du 16 septembre 1918.) BIRON ( Fernand-Georges-Louis-Ambroise ), mIe Rt 1058, aspirant (active) à la 30 compagnie mie Rt 1058, d'infanterie : le 16 septembre 1918, du 5e rég.

s'est offert pour nettoyer les crêtes organisées de Sancy, d'où partait un feu meurtrier. S'est jeté à l'attaque avec un merveilleux entrain et un parfait mépris de la mort. A fait de nombreux prisonniers et assuré la possession définitive de la partie nord du village. Une blessure. Une citation.

(Pour prendre rang du 2 octobre 1918.) GRENARD (Joseph-Clair-Marie), mie 8266, caporal (territorial) a la 3* compagnie du 403* rég.

d'infanterie : très bon gradé énergique, a conduit avec entrain ses hommes à l'assaut des tranchées ennemies. A été blessé grièvement, le 20 septembre 1918, au cours d'une contra-

attaque, alors, qu'à la tête de son escouade il défendait un élément de tranchée particuliè" rement important.

(Pour prendre rang du 8 octobre 1918.) LEPROUX (André-Camille), mIe 6587, caporal (réserve) à la 9e compagnie du 403e rég. d'infanterie : gradé d'une brillante conduite. Dans la journée du 27 septembre 1918, au cours d'une attaque pour la réduction d'un nid de mitrailleuses, a montré le plus grand exemple de courage. A été blessé grièvement pendant rac.

lion. Deux citations.

(Pour prendre rang du 9 octobre 1918.) VI\lE (Fernand-Jean), caporal (réserve) à la 2e compagnie de mitrailleuses du 104e rég* d'infanterie: excellent gradé, brave, dévoué. A été blessé très grièvement, le 8 octobre 1918, en s'élançant résolument à l'attaque de la position ennemie, malgré un violent tir de mitrailleuses. Une blessure antérieure.

LAMIAUX (Edmond), soldat (active) à la 28e compagnie du 264e rég. d'infanterie : bon soldat, très courageux. A été grièvement blessé en se portant à l'attaque des tranchées ennemies, le 9 octobre 1918.

(Pouf prendre rang du 10 octobre 1918.) CREPIN (Clément-Antoine), soldat (territorial) à la 6c compagnie du 104e rég. d'infanterie: soldat courageux et dévoué, ayant beaucoup de sang-froid. A été blessé grièvement, le 9 octobre 1918, à son poste de combat.

(Pour prendre rang du 11 octobre 1918.) FOUQUE (Alfred), mie RI 6(3. soldat (réserve) au 103e rég. d'infanterie, 3e compagnie : soldat d'une bravoure exemplaire. S'est porté résolument à l'attaque des positions ennemies le 8 octobre 1918. A été grièvement blessé aU cours de l'action.

(Pour prendre rang du 13 octobre 1918.) SCIIELLES (Marcel), mie 9785, soldat (réserve) à la lre compagnie de mitrailleuses du 410° régd'infanterie: excellent soldat qui a su mériter l'estime de ses chefs en toutes circonstances.

A été très grièvement blessé, le 6 octobre 1918, en se portant avec sa compagnie à l'attaqué des positions allemandes au nord de Souain.

(Pour prendre rang du 15 octobre 1918.} MONTMAYEUR (Pierre-Eugène), mie 11316' soldat (réserve) à la 6e compagnie du 103e i-ég- d'infanterie : excellent soldat, d'un dévouemeI1 absolu et d'un grand sang-froid. A affirmé ulne fois de plus sa belle bravoure en s'élançant à l'assaut, le 8 octobre 1918. sous un bombarde.

ment l'assaudt, 'une extrême violence. A été griêve.

ment blessé au cours de la progression. -V*10 blessure antérieure. Une citation.

(Pour prendre rang du 22 octobre 1918.) HALES EL AIb, mie 15656, sergent (acliv) au 6e rég. de marche de tirailleurs: [SOUS-Dm.

cier qui s'est toujours fait remarquer par sojj entrain, sa bravoure et son mépris absolu l danger, A été grièvement blessé, le 21 octobre 1918, à la tête de sa section, en se portant » l'attaque d'un petit bois très fortement ofga

nisé. Amputé de la jambe droite. Une citation PUJOS (Emile-Bernard), mie 465, soldat ('é: serve) au 265* rég. d'infanterie, 22e compag111^ bon soldat. A été blessé grièvement, à son P de combat, le 8 octobre 1918.

(Pour prendre rang du 2i octobre 1918.)

DEMAI (Michel), mie 9975, soldat (territorial.

à la 13e compagnie du 225e rég. d'infantefl * a été blessé grièvement, le 17 août 1917, a mont Cornillet, au cours d'une attaque.

(Pour prendre rang du 27 octobre 1918.) lJ CROMIÈRES (Marius), caporal (réserve) àblao 220 compagnie du 261* rég. d'infanterie : * -t bon gradé, ayant beaucoup d'allant et dODA ét6 à ses hommes l'exemple de la bravoure. À

blessé, à son poste do combat, le 25 oG 1918. Une blessure antérieure.

(Pour prendre rang du 28 octobre 191'8-) PEZEYRE (Henri), caporal (réserve), aviateur ; excellent pilote, modèle d an»K**t # d'esprit du devoir. Le 24 octobre i91®j n ,,


hésité,.à survoler à basse altitude tes lignes e!\nemics pour assurer sa mission malgré des {Constances atmosphériques défavorables.

grièvement blessé par une balle tirée de terre, aIt prouve d'une énergie hors de pair et a J*?.ussj à ramener son appareil au terrain. Une station.

(four prendre rang du 29 octobre 1918.)

I BOULARES AMAR BEN ALI, mIe 17500, tirailleur (active) à la 68 compagnie du 6e rég. de arChe de tirailleurs : excellent tirailleur, très levoué et très brave. A été blessé grièvement, 21 octobre 1918, en se portant à l'assaut des Positions allemandes.

(Pour prendre rang du 30 octobre 1918.) ,t[tUNIQUEL (Marie-Fernand-Adolphe), mie 4.. maréchal des logis (réserve) au 141e rég.

^rlillerie coloniale : sous-officier brave et ,,tollé; d'une belle attitude au feu. A été g:'lèvement blessé dans l'accomplissement lt ulle mission périlleuse, le 23 octobre 1918.

n^KAB KIIELIFA BEN ABDALLAH, mie 22911, J^'Heur (active) au 6° rég. de marche de tilIlelll's : tirailleur très discipliné et des plus rîvï 0Ut-'s- Chargé de ravitailler une section de 11'1 ai!leuses en première ligne aux attaques /^rie-la-Viéville, a été blessé grièveement au cours de - sa mission, le 30 octobr 1918.

(Pour prendre rang du 1er novembre 1918.) CHAUMARD (Pierre), mie 1659, caporal (ré erve) à la 2e compagnie du 20e rég. d'infaute?le - bon gradé, énergique et brave. A été grièVernent blessé, le 22 août 1914, en se portant a tlti\que du village dAuchamps (Belgique).

IUl'léation de l'œil droit.

(Pour prendre rang du 4 novembre 1918.) d DESSIN (Louis-Marie-Joseph), mie 13902. sol(active) à la 11e compagnie du 93* rég. d'infanterie : excellent soldat. Etant en position de soutien au * sud de Thugny, le 29 octobre 1918, a lètilgravement intoxiqué pendant un très vioCiI"j bombardement d'obus toxiques et de tous t )l'e8, Deux citations.

(Pour prendre rang du 5 novembre 1918.) J' VUDBERG (Edmond-Joseph), mie 4368, cal'jOnnler servant (active) au 141e rég. d'artilleetedlourde coloniale : canonnier consciencieux il dévoué, qui a toujours eu une belle attitude t "'<*u et a toujours donné entière satisfacit à ses chefs par sa manière de servir. A été on vement blessé, le 29 octobre 1918, à Aven, à son poste de combat.

(Pour prendre rang du 9 novembre 1918.) 1A.nDY (Léon), sergent (active) à la 6e co nita.dl!e du 6° rég. de marche de tirailleurs "dé dont le courage et la ténacité ont fait lpdilliration de ses chefs et de ses camarades.

L4 septembre 1918, chef d'un groupe de trois II!.nes, est tombé sur les flancs d'une comallemande d'arrière-garde, l'a coupée Partie de son gros et l'a obligée à se rendre c tous ses officiers. Une citation.

tnne:\EAU (Adolphe), sergent (territorial) à la d'i COmpagnie de mitrailleuses du 264e rég.

ql,,it itnterie : très bon sous-officier, brave au tw A été intoxiqué gravement, le 10 octobre 1918, en se portant à l'attaque 'd'une position mande.

([)our prendre rang du 11 novembre 1918.) ALLERMH (Pierre-Marie), mie 9928, soldat ViVe) à la 5e compagnie du 93e rég. d'infanlai\¡ < le 26 octobre 1918, au cours d'un ravient, a été grièvement blessé en accom0 t sa mission sous un violent bombarderois citations. ..(our prendre rang du 12 novembre 1918.) 'ivm ^OCH (Louis-Marie), mie 16198, soldat (ac('Ola.élL2651! rég. d'infanterie : très bon soldat, q son1 et courageux. A été blessé grièvement, Srm Q Poste de combat, le 9 octobre 1918.' ■^°ur prendre rang du 13 novembre 1918.) UnEcil (François), sergent (réserve) à la compagnie du 264* rég. d infanterie : exceles SWs-oHicier, véritable entraîneur d'hom,\ câm lant l'audace au sang-froid. A fait toute 1 pagne, prenant part à toutes les affaires

avec son régiment. A été- blessé - trois fois et est titulaire dé six citâtions. -'.

(Pour prendre rang du 16 novembre 1918.)

CAHEN (Edmond),- raie 015110, caporal fourrier (territorial) 4 la 4® compagnie de mitrailleuses du 225e rég. d'infanterie : a été très grièvement blessé, le 13 août 1917, au mont Cornillet, en assurant courageusement son service de liaison dans une zone violemment battu par l'artillerie ennemie.

(Pour prendre rang du 27 janvier 1919.) HARDY (Albert), mIe 8731, sergent (réserve) au 225e rég. d'infanterie : brillant sous-officier qui s'est souvent distingué au combat par son esprit d'abnégation, sa hardiesse et son rare courage. A été blessé deux fois au cours de la campagne et a obtenu cinq citations. - (Pour prendre rang du 10 février 1919.) FOLLIOT (André), mie Rt 4144, sergent (active) au 1291 rég. d'infanterie : excellent sousofficier. Dans les journées du 10 au 11 juin 1918, a fait preuve du plus grand dévouement et d'un courage remarquable en exécutant à plusieurs reprises, d'abord avec un petit groupe, puis seul, des reconnaissances très périlleuses.

Blessé grièvement et resté dans les lignes, a été fait prisonnier. S'est évadé aussitôt guéri. Une citation.

ANTOINE (Marie-Arnotd-Henri), adjudantchef (R. A. T.) à la 8e compagnie du 27° rég.

territorial d'infanterie : sous-officier du plus grand mérite. A donné, au cours de la campagne, des preuves de sang-froid et de bravoure et d'esprit de décision. Au front depuis le début des hostilités. En janvier 1915, a réussi, accompagné d'un seul homme, à capturer seize Allemands lors de l'attaque de Roclincourt. Dans la nuit du 8 au 9 janvier 1915, a réussi, au péril de sa vie, à sauver plusieurs hommes de l'enlisement dans le boyau du grand collecteur, au nord d'Arras. À rempli avec courage et dévouement les missions les plus périlleuses. Une citation.

(Pour prendre rang du 11 février 1919.) GUÉRANGER (Albert), mie 1005i, soldat (réserve) à la lro batterie du 3e rég. d'artillerie à pied: a été grièvement blessé, le 17 juin 1917, à Reims, au cours d'un bombardement ennemi.

SOULIER (Michel-Antoine), maréchal des logis (réserve) au 502e rég. d'artillerie d'assaut : sous-officier chef de char d'un courage et d'un sang-froid remarquables. A brillamment mené un combat jusqu'à l'objectif final sous un feu violent ; s'est porté spontanément au secours du char de son commandant de batterie en flammes, donnant ainsi comme toujours le plus exemple de dévouement et de mépris du danger. Deux citations.

VIDAL (Paulin), mie 2206, caporal (territorial) à la 11e compagnie du 74e rég. territorial d'infanterie : très brave gradé'. A été grièvement blessé, le 11 juin 1918, à Bailly, au cours d'un bombardement ennemi, sur la position de combat. Enucléation de l'oeil droit.

(Pour prendre rang du 15 février 1919.) CRESPIN (Léopold), mie 10356, soldat (réserve) à la 13e compagnie du 225e rég. d'infanterie : le 9 novembre 1917, a courageusement pris part à une contre-attaque au bois des Caurières, au cours de laquelle il a été grièvement blessé. Une citation.

(Pour prendre rang du 16 février 1919.) BERTRAND (Henri-Robert-Parfait), mie 5649, adjudant (active) au 50e rég. d'infanterie : sousofficier énergique et courageux. A fait preuve de calme et de sang-froid au cours du coup de main exécuté dans la nuit du 9 au 10 août 1918.

A parfaitement conduit. son groupe et a été grièvement blessé sur la position ennemie ; n'a voulu être relevé qu'en fin d'action pour être témoin des résultats. Deux blessures antérieures. Trois citations.

ROUPIOZ (François-Jean-Marie), maréchal des logis (active) à la" 48 batterie du 54e rég.

d'artillerie : sous-officier d'élite, d'un courage, d'un sang-froid et d'un allant à toute épreuve, s'offrant toujours pour accomplir les missions difficiles. A, depuis les débuts de la campagne, rempli les fonctions d'agent do liaison avec

l'infanterie, maintenant, malgré tout, la liaison avec le groupe et fournissant des renseignements précieux sur la situation de l'ennemi Une blessure. Trois citations.

: MONTANDRIN (Albert), maïéeUaî des logis 'c (réserve) à la 7e batterie du rég. d'artillerie : sous-ofiicier d'une bravoure absolue. Au cours des combats de la montagne de Reims, en juin

1918, a été l'àme d'une pièce détachée chargée d'une impartante mission. Trois blessures.

Trois citations.

BENOIT (Jean Panl-Eugéne), mie 15852, aspi.

rant (active) il la 10" compagnie du 09c rég.

d'infanterie : chef de section d'un courage remarquable, modèle do devoir et d'énergie. Le 1er juin 1913. a été blessé grièvement en contre-attaquant à la tête d'un groupe qu'il était parvenu à rassembler après un bombardement très violent.

ALARY (Léonard), mIe B. 013883. soldat (ter" ritorial) à la 10e compagnie du 20* rég. d'infan-

terie : très bon soldat, courageux ot très dévoué. Le 28 juillet 1916, placé en poste avancé devant Thiaumont, a contribué par sa belle attitude à repousser une forte contre-attaque ennemie. A été très grièvement blessé au cours de l'action. Une blessure.

FOUCUE (Georges), mIe 19133. soldat (active) à la 7e compagnie du 7e rég. d'infanterie : bon soldat, exemple de courage et de dévouement.

A été grièvement blessé, le tu juin 1918, à Vierzy, en se portant à l'attaque d'une position ennemie. Enucléation de l'œil droit.

PLANEIX (Michel), sergent (réserve) à la compagnie de mitrailleuses du 54e bataillon de chasseurs à pied: sous-officier mitrailleur qui par son sang-froid et son mépris du danger, a fait l'admiration de tous ses chefs, a pris une part glorieuse à la plupart des combats livrés par le bataillon, dans lesquels il a apporté tout son cœur de Français. Pendant les attaques des 3, 4, 5 octobre 1918, au nord-est do SaintQuentin, a montré les meilleures qualités de courage et d'énergie, par le tir précis de ses pièces, a assuré l'avance de plusieurs unités du bataillon. Deux blessures. Quatre citations.

METGE (Marcelin), mie 24985, sergent (réserve) à la 9. compagnie du 11e rég. de marche de tirailleurs : sous-officier d'un courage éprouvé, s'est spécialement distingué, le 25 octobre 1918, à la ferme Ferrières où il cloua sur place deux mitrailleuses ennemies, puis s'empara, avec quelques hommes, de onze prisonniers, per-

mettant ainsi la progression de tout le bataillon qui enleva un formidable régime de tranchées.

Deux blessures. Deux citations.

NETZER (Henri-Joseph), sergent (réserve) à la compagnie 26/6 du 10* rég. du génie : toujours volontaire pour les missions périlleuses, s'est distingué au bois le Prêtre, dans la Somme, au Chemin-des-Dames, à l'attaque de la Malmaison, au Kemmel, dans l'Oise et en Lorraine. D'une bravoure à toute épreuve et jamais démentie. Deux blessures. Six citations.

CUNIÈRE (Albert-Henri), sergent (réserve) à la compagnie 26/6 du IDe rég. du génie : au front depuis le début de la campagne, s'est distingué dans les nombreuses opérations offensives auxquelles il a pris part, par sa bravoure et sa décision. Deux blessures. Six citations.

LEGROS (Antoine-Théophile), mie 1078 M. R., sergent (réserve) au 14e rég. de tirailleurs : , sous-officier d'élite, exemple d'énergie et de courage : s'est distingué au Linge, en Champagne, à Verdun, au Kemmel et pendant l'offensive d'août 1918. Une blessure. Cinq citations.

COUTURAUD. (François-Baptiste), mie 7830.

caporal (réserve) à la. 3e compagnie du 121e ba taillon de chasseurs à pied : gradé d'un courage et d'une bravoure à toute épreuve, cité

comme exemple à tous ses camarades pour sa belle conduite et sa manière de servir. A pris part aux attaques du Chemin-des-Dames, du Kemmel; de Courcelles. Le 10 août, a brillamment entraîné son escouade à l'assaut d'un poste ennemi, a capturé une mitrailleuse et fait 8 prisonniers. Deux blessures. Trois cita- tions. ,

STEINER (Jean), mie 04424, soldat (réserve) à la lre compagnie du 121e bataillon de chasseurs, à pied : chasseur digne d'éloges. Le 30 août 1918, a été blessé grièvement en rap-


portant à son commandant de compagnie les renseignements obtenus par une patrouille dont il faisait partie. Une citation.

GRAVEY (Victor-Pierre-Albert), mie 1656, saldat (réserve) à la 5e compagnie du 403® rég.

d'infanterie : soldat d'une bravoure et d'un dévouement au-dessus de tout éloge ; toujours prêt à remplir les missions les plus périlleuses.

A étégrièvement blessé, le 30 mai 1918, à son poste de combat, près de Chavigny. Enucléation dé l'œil gsuche. Une citation.

FOURCADE (Joseph), mie 638, sergent (territorial) au 9° bataillon du 134e rég. d'infanterie : brave sous-officier zélé et dévoué. A été blessé, le 29 juin 1916 en se portant au secours d'un de ses mitrailleurs blessé.

FIORELLI (Horace-Albert), mie 01926 bis, sergent (réserve) à la 4e compagnie du 94e rég.

d'infanterie : excellent sous-officier très brave.

A été blessé grièvement, le 9 avril 1916, en entraînant ses hommes à l'assaut des tranchées allemandes. Deux blessures antérieures.

LEGRAND (Michel-Raymond), adjudant (active) au 3e rég. d'artillerie à pied, pilote aviateur : pilote de chasse montrant les plus belles qualités de courage, d'esprit du devoir et d'adresse. A rendu des services signalés tant dans les reconnaissances lointaines que dans la chasse. Le 10 juin 1918, suivant son chef de patrouille à l'attaque d'une grosse force de monoplaces ennemis loin dans leurs lignes, a été grièvement blessé dans le combat. Deux citations.

SCIIAFFER (Walter) sergent (active) au rég.

de marche de la légion étrangère, pilote aviateur : sous-officier pilote de tout premier ordre.

A donné des preuves -d'allant et d'énergie au cours de nombreux combats. A abattu un avion et incendié un drachen. Le 3 octobre 1918, s'acharnant à mitrailler un drachen au sol, a eu son appareil criblé de balles et a été contraint d'atterrir dans les lignes ennemies, légèrement blessé. Capturé, s'est évadé peu de temps après. A été repris avant d'avoir pu atteindre nos lignes et traité durement en représailles. Deux victoires. Deux citations.

(Pour prendre rang du 17 février 1919.) GEORJON (Marcellin), mie 18728, soldat (active) à la 11e compagnie du 120e rég. d'infanterie : bon soldat, ayant fait vaillamment son devoir. A été grièvement blessé en se portant à l'attaque, le 20 juillet 1918, à Dormans. Amputé du bras gauche.

GENDRIN (Charles), mie Rt 537, sergent (réserve) à la 9e compagnie du 36e rég. d'infanterie : sous-officier d'un courage exceptionnel, d'une grande autorité sur ses hommes. Le 29 août 1918, ayant reçu la mission de surveiller un point délicat, est resté très bravement à son poste, malgré un violent tir d'artillerie ennemie. A été grièvement blessé pendant ce tir.

Amputé du iras droit.

LECOMTE (Laurent-René), mie 06305, soldat (réserve) à la 10e compagnie du 136e rég. d'infanterie : soldat d'un entrain et d'une bravoure au-dessus de tout éloge. A été grièvement blessé, le 23 juillet 1918, en s'élançant à l'attaque de positions puissamment organisées de-

vant Villemontoire sous un bombardement et un feu de mitrailleuses des plus violents.

Amputé du pied droit. Une citation.

LECERF (on-Louis), mie 13511, adjudant territoriale) à la Ge compagnie du 25e rég. d'infanterie: chef de section énergique ef - plein a allant, toujours prêt à accomplir les missions les plus périlleuses. S'est particulièrement dis- tmgué, le 3 juin 1915, à Roclincourt, en entrai- nant, sous un feu violent, ses hommes à l'assaut d un ouvrage fortement organisé. A été blessé au cours de cette opération.

DULOU (Jean), mie 8616, soldat (réserve) à la Ire compagnie du 57e rég. d'infanterie: soldat énergique et plein d'allant. A été blessé griè-

vement, le 31 mai 1918, à l'attaque de la ferme du mont Lavé au cours de laquelle il a parti- cipé grandement à la capture de vingt prisonniers et d'une mitrailleuse. Amputé de l'avantjferas droit.

Les nominations ci-dessus comportent l'attribution de la Croix de guerre avec palme.

Paris, le 5 mai 1919.

GEORGES CLEMENCEAU.

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SERVICES SPÉCIAUX DE L'AFBIQUB DU NORD MUTATIONS

Par décision ministérielle en date du 3 mai 1919 : M. Bergez (Jean-André), capitaine d'infanterie (active), 37e rég. d'infanterie, est mis hors cadres, à la disposition du gouverneur général de l'Algérie pour être employé dans le service des affaires indigènes. W M. Schmitt, capitaine d'infanterie (active), hors cadres, à la disposition du commissaire résident général de France au Maroc pour le service des renseignements, est mis hors cadres, à la disposition du gouverneur général de l'Algérie pour être employé dans le service des affaires indigènes.

M. Pasquier de Franclieu, lieutenant d'infanterie (active), 88e rég. d'infanterie, est mis hors cadres, à la disposition du commissaire résident général au Maroc pour être employé au service des renseignements.

M. Legrand, capitaine d'infanterie (active), 5° rég. de tirailleurs indigènes, est mis hors cadres, et affecté à l'encadrement des troupes auxiliaires marocaines.

M. Varaigne (Paul), sous-lieutenant, d'artillerie (active), 27e rég. d'artillerie, détaché de son corps à la disposition du résident général de France à Tunis pour être employé dans le service des affaires indigènes de Tunisie, est réintégré b son poste.

M. Bonrepeaux (Alphonse), sous-lieutenant d'artillerie (active), 56e rég. d'artillerie, détaché de son corps à la disposition du résident général de France à Tunis pour être employé dans le service des affaires indigènes de Tunisie, est réintégré à son corps.

M. Le Quitot (Charles), capitaine d'infanterie (active), hors cadres à la disposition du gouverneur général de l'Algérie pour être employé dans le service des affaires indigènes d'Algérie, est remis à la disposition de son arme.

M. Taddei diTorella, sous-lieutenant d'infanterie, 1er rég. étranger, est mis hors cadres et affecté à l'encadrement des troupes auxiliaires marocaines.

M. Iïovart (Paul-Philippe), chef de bataillon d'infanterie (active), hors cadres à la disposition du gouverneur général de l'Algérie pour le service des affaires indigènes, est maintenu hors cadres et nommé commandant supérieur du cercle de Chardaïa.

•+.

INFANTERIE PROMOTIONS ET MUTATION.

Armée active.

Par décret en date du 1er mai 1919, les officiers dont les noms suivent sont nommés au grade dejieutenant à titre définitif, pour prendre rang aux dates indiquées ci-après auxquelles a pris fin leur deuxième année d'ancienneté dans le grade de sous-lieutenant décomptée conformément à l'article 1er de la loi du 10 août 1917 : (22 septembre 1916.) M. Deguil (J.-H.-II.-A.), lieutenant à titre temporaire au 58e bataillon de chasseurs.

(25 septembre 191G.) M. Bonnefont (J.-M.), lieutenant à titre temporaire au 123* rég. d'infanterie.

(28 septembre 1916.) M. Raibaldi (T.), capitaine à titre temporaire au 49e rég. d'infanterie.

(2.3 novembre 1916.) M. Roy (A.-A.), lieutenant à titre temporaire au 82' rég. d'infanterie.

(5 janvier 1917.) M. Giacobbi (F.), lieutenant à titre temporaire au 40 rég. de tirailleurs de marche.

(26 février 1917.) M. ilebrara (P-II.), lieutenant à titre tempo-

raire au 9e rég. d'infanterie (détaché a6ronau- tique).

(5 mars 1917.) M. Fouquet (G.-C.-C), lieutenant à titre telIl" poraire au 5* rég. d'infanterie.

(17 mars 1917.) M. Trepied (J.), lieutenant à titre temporaire au 58e rég. d'infanterie.

(21 mars 1917.) M. Bœlsch (F.-A.-B.), capitaine à titre teI11 poraire au 73e rég. d'infanterie.

(19 avril 1917.) M. Bouche (V.-J.), lieutenant à titre tempOraire au 371e rég. d'infanterie.

(28 avril 1917.) M. Herbelin (J.-A.), lieutenant à titre tempQ- raire au 27e rég. d'infanterie.

(4 mai 1917.) M. Saint-Jours (II.), lieutenant à titre temporaire au 273* rég. d'infanterie (détaché aér^ nautique).

(28 mai 1917.) M. Landry (A.-J.-A. lieutenant à titre temporaire au 225" rég. d'infanterie.

(31 mai 1917.) M. Fouquet (E.-X.-M.). lieutenant à titre temporaire au 59e rég. d'infanterie.

(5 juin 1917.) M. Very (J.), capitaine à titre temporaire al1 15ie rég. d'infanterie.

(3 juillet 1917.) M. Menneleau (F.), lieutenant à titre temp0raire au 14e rég. d'infanterie.

(16 juillet 1917.) M. Ricard (M.-J.-M.-G.), lieutenant à titre temporaire au ter rég. étranger.

(27 juillet 1917.) M. Rullier P.-M.-D.), lieutenant à titre teO*" poraire au 170e rég. d'infanterie.

(21 août 1917.) M. Le Moine (A.-L.-M ), lieutenant à titr3 temporaire au 129' rég. d'infanterie.

(9 septembre 1917.) M. Baillargeon (G.), lieutenant à titre tenip0 raire au 125e rég. d'infanterie.

(14 septembre 1917.) M. Goujon (L.-L.), lieutenant à .titre temP0 raire au 101e rég. d'infanterie.

(24 septembre 1917.) M. Allabert (A.), lieutenant à titre temporal au lie rég. d'infanterie.

(25 septembre 1917.) M. Laurent (R.-J.), lieutenant à titre temP^ raire au 51e rég. d'infanterie.

(30 septembre 1917.) M. Blossier (L.), lieutenant à titre temporaire au lîte rég. d'infanterie.

(1er octobre 1919.)

M. Derolwrt (F.-A.), lieutenant à titre tle poraire au 137e rég. d'infanterie.

(6 octobre 1917.) '11'6 M. Machicoane (C.-G.-H.), lieutenant à t!

tendporaire au 113e rég. d'infanterie.

(19 octobre 1917.) , 'r' M. Bellocq (J.), capitaine à titre te £ Dp°ial au 42e rég. d'infanterie.

(20 octobre 1917.) dJY M. Sacquard (E.-P.), lieutenant à titre t poraire au li* rég. de tirailleurs de marelle.

(24 octobre 1917.) 1P'" M. Manicacci (T.), lieutenant à titre tclî raire au 140* rég. d'infanterie.


(29 octobre 1917.) M. Diot (J.-J.), lieutenant à titre temporaire au tue l'ég. d'infanterie.

(Ier novembre 1917.) t M. Michineau (R.-P.-M,), lieutenant à titre emporail'c au 116e rég. d'infanterie.

(12 novembre 1917.) M. Noir (j,), lieutenant à titre temporaire au e l'('g. d'infanterie.

(24 novembre 1917.) 1\ M. Pinson (L.-R.-A.), lieutenant à titre temporaire au 43e rég. d'infanterie.

(26 novembre 1917.) r M. Pelisson (G.-E.), lieutenant à titre temporaire au 23e rég. d'infanterie.

(29 novembre 1917.) r M. Fontanel (A.), lieutenant à titre tempoait'e au 298e rég. d'infanterie.

(Ier décembre 1917.) M- Uautreux (G.-R.), lieutenant à titre temh Mraire au 53' rég. d'infanterie.

(3 décembre 1917.) Le Contour (A.-J.-C.), lieutenant à titre teméraire au 102e rég. d'infanterie.

(5 décembre 1917.) Verse (B.-J.-C.), lieutenant à titre temporaire qu 52. l'ég. d'infanterie.

(7 décembre 1917.) r t. Negroni (A.-F.), lieutenant à titre tempoaIre au 20e rég. d'infanterie.

(12 décembre 1917.) r M Roux (E.-F.-S.), capitaine à titre tempor *,l'e au C21 rég. d'infanterie.

(13 décembre 1917.) M- Ctianudet (E.-F.), capitaine à titre tempoj, ail'e au iiu rég. d'infanterie.

(15 décembre 1917.) a.' M. Selaries (R.\ lieutenant à titre temporaire cI le bataillon de chasseurs.

(16 décembre 1917.) raL Petit (L,-lI.-C.-X.), capitaine à titre tempo» H'c au 123e rég. d'infanterie.

l'at. Deniel (H.-M.), lieutenant à titre tempo"e au 94e rég. d'infanterie.

(19 décembre 1917.) M Mereklen (L.-N.). lieutenant à titre tempoj re au 120e bataillon de chasseurs.

(25 décembre 1917.) M. Hi\"elin (n.), lieutenant à titre temporaire er rég. de zouaves de marche.

(30 décembre 1917.) l'lM. foraine (A .-E.), lieutenant à titre tempo" raire au 167° reg. d'infanterie (détaché troupes cm01, °male.i).

(9 janvier 1918.) tonneau (G.-J. D.), lieutenant à titre temle au 26e rég. d'infanterie.

(31 janvier 1918.) ®ersiJder (M,), lieutenant à titre tempotiqUee)U H7tr rég. d'infanterie (détaché aéronau« (15 février 1918.) M Cayrol (J.-B.), lieutenant a titre tempod infan^er'e (détaché aéroaire au 100e ,-,. d'infanterie (détaché aéi~o(23 février 1918.)

Wi nÏ!°uveï°l (G.-E.-E.-A.). lieutenant à titre fai.re au 65e rég. d'infanterie.

(1er mars 1918.) nd (J.-F.), lieutenant à titre tempovoe rég. d'infanterie.

(6 mars 1918.) M. Lacombe (H ), lieutenant à titre temporaire au 50e rég. d'infanterie.

(10 mars 1918.) M. Larrieste (A.-J.), capitaine à titre temporaire au 7e rég. de tirailleurs de marche.

M. Micaelli (J.-T.), lieutenant à titre temporaire au 61e rég. d'infanterie.

(15 mars 1918.) -M. Zabol (G.-F.), lieutenant s titre temporaire au 122e rég. d'infanterie.

M. Jacguemin (P.-M.-E.), lieutenant à titre temporaire au 53* rég. d'infanterie.

(17 mars 1918.) M. Biar 1 (R.-H.), lieutenant à titre temporaire au 12e rég. d'infanterie.

(24 mars 1918.) M. Signard (J.), lieutenant à titre temporaire au 21e rég. d'infanterie.

(29 mars 1918.) M. Antion (G.), lieutenant à titre temporaire au 91e rég. d'infanterie.

(30 mars 1918.) M. Guyonnet (F.-E.\, capitaine à titre temporaire au 6, rég. d'infanterie.

(9 avril 1918.) M. Ferrie (tl.-J.), lieutenant à titre temporaire au 41e rég. d'infanterie.

M. Berthome (S.-E.-M.), lieutenant à titre temporaire au 21e rég. de tirailleurs.

(14 avril 1918.) M. Bouzigues (J.-E.), lieutenant à titre temporaire au 60c rég. d'infanterie.

(Ier mai 1918.)

M. Roudet (A-J.-V.), lieutenant à titre temporaire au 28 rég. de zouaves de marche.

(5 mai 1918.) M. Gagnoux (L.), lieutenant à titre temporaire au 73e rég. d'infanterie.

(8 mai 1918.) M. Portron (L.), lieutenant à titre temporaire au 125e rég. d'infanterie.

(22 mai 1918.) M. Thévenet (P.), lieutenant à titre temporaire au 248" rég. d'infanterie.

(2 juin 1918.) M. Cantagrill (J .-A.-J.), lieutenant à titre temporaire au 99e rég. d'infanterie.

(9 juin 1918.) M. Hutin (M.-C.), lieutenant à titre temporaire au 147e rég. d'infanterie, (10 juin 1918.) M. Olive (J.), lieutenant à litre temporaire au 89e rég. d'infanterie.

M. Froge (G.), lieutenant à titre temporaire au 54e rég. d'infanterie.

(15 juin 1918.) M. Westrich (G.-A.), lieutenant à titre temporaire au 10e bataillon de chasseurs.

(18 juin 1918.) M. Franciel (L.-J.), lieutenant à titre temporaire au 217e rég. d'infanterie.

(28 juin 1918.) M. Cherel (A.-J.), lieutenant à titre temporaire au 119; rég. d'infanterie.

(9 juillet 1018.) M. Ilocquet (J.-E.-V.), lieutenant à tilre.lemporaire au 150e rég. d'infanterie.

(19 juillet 1918.) M. Gordier (L.-E.), lieutenant à titre temporaire au 156e rég. d'infanterie.

(20 juillet 1918.) M. Martinie (J.-M.-H.-L.), lieutenant à titre tomporaire au 5e rég. de tirailleurs.

(21 juillet 1918,)

M. Gelade (A.-A.-E ), lieutenant à titre temporaire au 53e rég. d'infanterie.

(7 août 1918.)

M. Raulet (A.-A.-G.), lieutenant à titre temporaire au 332° rég. d'infanterie.

(8 août 1918.) M. Boff (G.), lieutenant à titre temporaire au 371e rég. d'infanterie.

(15 août 1913.) M. Alagiraude (E.), lieutenant à titre temporaire au 159e rég. d'infanterie.

(26 août 1918.) M. Lacarrau (P.-F.), lieutenant à titre tem.poraire au 418e rég. d'infanterie (détaché artilerie d'assaut).

(4 septembre 1918.) M. Lus tin (P.-A.), lieutenant à titre temporaire au 76e rég. d'infanterie.

(5 septembre 1918.) M. Lacroix (C.), lieutenant à titre temporaire au 46e rég. d'infanterie.

(8 septembre 1918.) M. Rosrnorduc (G.-Y.-M.), lieutenant à titre temporaire au 36e rég. d'infanterie.

(16 septembre 1918.) M. Contri (J.-J.-L.), lieutenant à titre temporaire au 3e rég. de tirailleurs.

(18 septembre 1918.) M. Bloy (L.-A.), lieutenant à titre temporaire au 320* rég. d'infanterie.

(28 septembre 1918.) M. Mercier (G.-E.), lieutenant à titre temporaire au 90e rég. d'infanlerie.

(12 octobre 1918.) M. Moracliini (H.), lieutenant à titre temporaire au 91e rég. d'infanterie.

(25 octobre 1918.) M. Langlois (L.-E.), lieutenant à titre temporaire au 109° rég. d'infanterie.

(7 novembre 1918.) M. Laville (J.-H.-E.-B.), lieutenant à titre temporaire au 55e rég. d'infanterie.

(9 novembre 1918.) M. Bruneau (H.-L.), lieutenant à titre temporaire au 5e rég. de tirailleurs.

(29 novembre 1918.) M. Quirouard-Frileuse (P.-M.-C.), lieutenant à titre temporaire au 117e rég. d'infanterie.

(30 novembre 1918.) M. Thouvenot (A.-J.), lieutenant à titre temporaire au 17e bataillon de chasseurs.

(5 décembre 1918.) M. Lafont (F.-R.-J.), lieutenant à litre temporaire au 3e bataillon de marche d'Afrique.

(15 décembre 1918.) M. Lasne (M.-T.), sous-lieutenant au Ine rég.

d'infanterie.

(27 décembre 1918.) M. Bilbaut (A.-Y.-A.). lieutenant à titre temporaire au 1er rég. mixte de zouaves et tirailleurs.

(13 janvier 1919.) M. Phiiippot (E.-J.), lieutenant à titre temporaire au 8c rég. de tirailleurs de marche.

(31 janvier 1919.) M. Marquav (J.), lieutenant à titre temporaire au 06° rég. d'infanterie.


(10 février 1919.) M. Giacone (L.), sous-lieutenant au &Je rég.

d'infanterie. J (23 février 1919.) M. Poul (J.), lieutenant a titre temporaire au rég. de marche de la légion étrangère.

(1er mars 1919.) M. Casabianca (P.-F.-M.), lieutenant à titre temporaire au 22e bataillon de chasseurs (détaché aéronautique).

(4 mars 1919,) M. Sergent (M.-J.), sous-lieutenant au i26o rég. d'infanterie.

(7 mars 1919.) M. -Bahoff (G.-G.), lieutenant à titre temporaire au ale bataillon de chasseurs.

(14 mars 1919.) M. Semblat (G.-M.-I.), lieutenant à titre temporaire au 412e rég. d'infanterie.

(15 mrs 1919.) M. Bartoli (A.-J.), lieutenant à titre temporaire au 39e rég. d'infanterie.

(29 mars 1919.) M. RoJet (L.-H.), lieutenant à titre temporaire au 2e bataillon de chasseurs.

, Álcr avril 1919.)M. Pénard sous-lieuten ant au 15e bataillon de chasseurs.

(15 avril 1919.) M.' Gouville (C.-J.-E.), sous-lieutenant au 124e rég. d'infanterie.

(21 avril 1919.) M. Dargent (B.-C.), lieutenant à titre temporaire au 119e rég. d'infanterie (détaché artillerie d'assaut).

(23 avril 1919.).

M. Coudrais (J.-M.-L.), lieutenant à tilre temporaire au 319e rég. d'infanterie. -,

Par décret en date du 1er mai 1919 : M. Holtz (Louis), chef de bataillon en non activité, a été rappelé à l'activité dans ledit grade, en remplacement de M. Bordag, promu.

Par décision ministérielle de même date, cet officier supérieur a été placé hors cadres ié tat-major).

Par décret en date du 3 mai 1919 : M. Nechache (Ferrât), lieutenant indigène au 2e reg. de tirailleurs indigènes est admis avec son grade dans le cadre français, pour prendre rang du 3 mai 1919.

Par décret en date du 3 mai. 1919, est nomme : du grade de chef de musique de 1re classe ae réserve.

(A dater du 15 mai 1919.) M. Fenouil (J.-J.), chef de musique de Ire classe du 16* rég. d'infanterie, retraité. — Affecté au 141* rég. d'infanterie (dépôt).

Par décision ministérielle en date du 5 mai 1919, les mutations suivantes sont prononcées ou ratifiées : X M. Letellier, colonel hors cadres état-major est réintégré au 117e- rég. d'infanterie. M. Renard, lieutgfiaftPcolonel au Oe rég.

d'infanterie, passe au 438e reg. d'infanterie.

M. Chenouard, lieutenant-colonel au 319erég.

d'infanterie, passe au 96e rég. d'infanterie.

M. Bourgau, lieute., nant-cqjonp-l au 410 rég.

4'infanterie, passe au 143e rég. d'infanterie.

M. Vannier, chef de bataillon au 8e rég.

d'infanterie, passe au 26f rég. d'infanterie.

■ Ms Mat ter, chef de- bataillon au 356® rég.

d'infanterie, passe au 116e rég. d'infanterie.

M. Vignoli, chef de bataillon au 410° régJ d'infanterie, passe au 128e rég. d'infanterie.

M. Lorioz, chef de bataillon au 2° bataillon d'Afrique, passe au 4e rég. mixte de zouaves et tirailleurs.

M. Foures, chef de bataillon au 365e rég. d'iiir fanterie, passe au 50e rég. d'infanterie.

M. Bied-Charreton, chef de bataillon au 70e ba- taillon de chasseurs, passe au 3e bataillon de chasseurs.

M. Drouot, chef de bataillon au 307° rég. d'infanterie, passe au 106" rég. d'infanterie.

M. Paoletti, chef de bataillon au225* rég. d'infanterie, passe au 2e rég. de tirailleurs de marche.M. Navel, chef de bataillon au 36e rég. d'infanterie, est nommé major du corps.

M. Lacroix de Vimeur de Rochambeau, chef de bataillon au 113e rég. d'infanterie, passe au 15 rég. d'infanterie (major).

M. Guilhaumon, chef de bataillon au 176erég.

d'infanterie, passe au 96e rég. d'infanterie (major).

M. Mathis, chef de bataillon au 23e rég.

d'infanterie, passe au 10* rég. d'infanterie/ (major).

M. Grillot, major au 10e rég. d'infanterie, est nommé commandant du dépôt.

M. Hamel, chef de bataillon au 2e rég. de zouaves, passe au 1er rég. de zouaves.

M. Jeanjean, chef de bataillon au 150e rég.

d'infanterie, passe au 107e régi d'infanterie (major).

M. Rcgnier, chef de bataillon au 1288 rég.

d'infanterie, passe au > 131e rég. d'infanterie (commandant du dépôt).

M. Dumont, chef de bataillon au 67e rég.

d'infanterie, passe au 54* rég. d'infanterie (major).

M. Vaugoyeau, chef de bataillon, au 6e rég.

de tirailleurs, passe au 4« rtg; de tirailleurs (major)..

-

M. Dupin, chef de bataillon au 77e rég. d'infanterie, passe au 37e rég. d'infanterie (détaché instruction pl'!sique}.

M. Lemaire, chef de bataillon' au 52e bataillon de chasseurs, passe au 124e rég. d'infanterie (détaché centre de perfectionnement).

M„Bayard, chef do bataillon au 4e bataillon d'Afrique, passe au 4e rég. de zouaves (bataillon R.).. .1 1. 1 M. Knall-Demars, chef de bataillon au 95e rég d'infanterie, passe au 7e rég. de tirailleurs.

M. Hurel, chef de bataillon au 106e bataillon de chasseurs, passe au 135e rég. d'infanterie.

M. Fonteny, 'capitaine au 46e rég. d'infanterie, passe au 139e rég. d'infanterie (Aurillac).

M. Lalane, capitaine au 154e rég. d'infanterie, passe au 54° rég. d'infanterie.

M. Balme, capitaine hors cadres (Maroc) est réintégré au 56e rég. d'infanterie.

M. Pelinard, capitaine au 4e rég. de zouaves, passe au Sie rég. d'infanterie.

M. VialJe, capitaine au 167e rég. d'infanterie.

passe au 131e rég. d'infanterie. -, M. Vogel, capitaine au 77e rég. d'infanterie, passe au 106e rég. d'infanterie M. Laval, capitaine au 52e rég. d'infanterie, passe au 8c rég. Se tirailleurs (Gagnes).

M. Collomb, capitaine au flr rég. d'infanterie, passe au 13e rég. de tirailleurs.

M. Picot, capitaine au 28e rég. d'infanterie, passe au 6° rég. de tirailleurs.. M. Fonsagrive, capitaine au 404e rég. d'infanterie, passe au 14e rég. d'infanterie.

M. Pascal, capitaine au 114° rég. d'infanterie, passe au 123e rég. d'infanterie.

M. Vogt, capitaine au 125* rég. d'infanterie, passe au 27e rég. d'infanterie. • M. MUg<tl'if'S;" capitaine att'-346';r'êg'. d'infan- terie, passe au 49* rég. d'mfanterié.

:M. Aubry, capitaine au 237* rég. d'infanterie territoriale, passe au 26e bataillon-de chasseurs. ;

Mi Vogel, capitaine au 96e rég. d'infanterie passe au 23e reg. d'infanterie.

M. Maestracci, capitaine au 22e rég. d'infanl terie, passe au 28e rég. d'infanterie. * ; M. Visbecq, capitaine au 130e rég. d'infanterie, passe au 117* rég. d'infanterie. - M. Depesseville, capitaine au 161e rég. d'in-= fanterie, passe au 7° rég. de tirailleurs de marche.

M. Roeaut, capitaine au 202* rég. d'inranc terie, passe au 47° rég. d'infanterie.

M. Schneider, capitaine au 166e rég. d'infanterie, passe au 15e rég. d'infanterie.

M. Lespagnol, capitaine au 4e rég. mixte zouaves et tirailleurs, passe au 4e bataillon da chasseurs.

M. Jabraud, capitaine au 54e bataillon de chasseurs, passe au 5° bataillon de chasseurs* M. Ilanrion, capitaine au 8e rég. de tirailleurs, passe àu IMe rég. d'infanterie.

M. Fumet, capitaine au 3e bataillon d'Afrique passe au 2e rég. de tirailleurs (chargé du ma* tériel).

M. Renaudin, lieutenant au 1er rég. de marche d'Afrique, passe au 4° rég. de zouaves (Tunis), - M. Siret, lieutenant au 35e rég. d'infanterie, passe au 86 rég. d'infanterie.

M. Gueppe, lieutenant au 73e rég. d'infanterie, passe au 117e rég. d'infanterie.

M. Santelli, lieutenant au H8e rég. d'infante rie, passç au 528 rég. d'infanterie. -.

M. Le Corre, lieutenant au 80e rég. d'infanterie, passe au 131e rég. d'infanterie.

M. Raymond, lieutenant au 448 rég. d'infant terie, est nommé faisant fonctions de chargé du matériel.

M. Riou, lieutenant au 118e rég, d'infanterie, est nommé faisant fonctions de chargé du ma: tériel.

M. Richeux, lieutenant au 27e rég. d'infanterie, passe au 4Ge rég. d'infanterie (dépôt) (détache instruction physique, Fontainebleau), M. Ilebreard, lieutenant au 44e rég. d'infanrie, détaché artillerie d'assaut, passe au 7e rég.

de tirailleurs de marche. 1 M. Rochet, lieutenant au 210e rég. d'infante rie, passe au 16e rég. d'infanterie (adjoint a l'officier chargé du matériel).

M. Billot, lieutenant au 72e rég. d'infanterie passe au 134e rég. d'infanterie (faisant fonctions de chargé |du matériel). ,

M. Jacques, lieutenant au 3e bataillon d'Afrii que, passe au 5° bataillon d'Afrique (trésorier).

M. Ravoux, lieutenant au 3e bataillon de chasseurs, est nommé trésorier du corps.

M. Ducasse, lieutenant au 73e rég. d'infante.

rie, passe au 9e rég. d'infanterie (adjoint à l'officier-chargé du matériel).

M. Venner, lieutenant - au ge bataillon dfl chasseurs, passe au 13e rég. d'infanterie.. i M. Bœuf, lieutenant au 8e rég. d'infanterie passe au 2e rég. de zouaves (dépôt) (détacha instruction physique). *

M. Vancoppenolle, lieutenant au 96e rélll d infanterie, passe au 6* rég. de tiraiiie (Valencienne.

M. Lorcnzi, lieutenant au 96e rég. d'infaglji rie, passe au 28e rég. d'infanterie (adjoiDIIII l'officier chargé du matériel).

M. Salami ben Salah, lieutenant indigène 49 3e rég. de tirailleurs, passe au 4e rég. de tiJIII leurs (Sousse).

M. Grange, sous-lieutenant au li5* bataiMl de chasseurs, passe au 32e bataillon de cbtl seurs.. s M. Dubourdieu, sous-lieutenant au oo-ré d'infanterie, passe au 6e rég. de tirailleurs wM lenciennes). H M. Caillol de Poney, sous-lieutenant 4 76e rég. d'infanterie, passe au 1418 rég. dl.

terie., -,

M. Frances, sous-lieutenant au 15e de chasseurs, passe au 17* rég. de titaiJ"Ufq.

M. SavIgnac, "sous-lieutënjant tu 1" tirailleurs, passe au 9e rég. de - -~


r M. Valtot, sous-lieutenant au 367* rég. d'infanterie, passe au 109« rég. d'infanterie.

M. Thomas, sous-lieutenant au 6' rég. de tirailleurs de marche, passe au 6e rég. de tirailleurs (Tlemcen).

M. Cancellier, sous-lieutenant au 153e réj.

JyntoNlerie, passe au 3* rég, de zouaves (dépôt) etaché instruction physique).

l M Jaffre, sous-lieutenant au 58e rég. d'infanl. efic, passe au 6ie rég. d'infanterie. d' M. Moretti, sous-lieutenant au 4e bataillon * .,Afrique, passe au 5e bataillon d'Afrique.

1-e Merre, sous-lieutenant au 2e rég. d'inanll'ri(\, passe au 3e rég. de tirailleurs.

Réserve.

d l'ar décret du Président de la République en "Ate du 5 mai 1919, rendu sur la proposition du Président du conseil, ministre de la guerre, jûnt promus au grade de lieutenant dans l'infIlQIet-ie (réserve), pour prendre rang du mars 1919, les officiers ci-après : t, Les lieutenants de réservé à titre temporaire dont les noms suivent : M. Rault (J.), du 2e rég. d'infanterie.

M. Manières (M.-C.), du 11° rég. d'infanterie.

NI. Rousquet (M.-H.-A.), du 87" rég. d'infanCHe,

M Gautier (R.-E.-J .). du 20 bataillon de Masseurs à pied.

M. Eoch-Duval (J.-L.), du 2' rég. de marche e zouaves.

Les sous-lieutenants de réserve dont les noms suivent : t M- Cossaunê (V.-A.-R.), du 11e r6ginfan, •lîrie. -

M. Froemer (L.-J.), du 14e rég. d'infanterie.

M. Giron (G.-M.), du 92e rég. d'infanterie.

t M. Heorot (M.-L.-C.-P.), du 102e rég. d'inalltel'ic (détaché aéronautique).

(dt. Sagnot (J.-F.), du 126e rég. d'infanterie we tac lié aéronautique).

r;M: Chenu (M.-C.-P.), du 134e rég. d'infante10 (détaché aéronautique).

tl. Martenot de Cordoux (A.-M.), du 149e rég.

* "Ganterie (détaché aéronautique).

hi » Ballet (G.), du 42e bataillon de chasseurs Pied.

ZoM. Convers (A.-M.), du 8e rég. de marche de Hlves

M. Ageorgcs (C.-L.), du service aéronautique.

Huisman (G.-M.), du service aéronautique.

orA. Affectations. Les officiers d'infanitipe promus par le décret ci-dessus seront s dans les conditions suivantes : ° Les officiers employés aux armées receOnt une affectation par les soins des comilndants d'armées; 2e Les officiers employés à l'armée d'Orient Vront une affectation par les soins du 9c, 1 commandant les armées en Orient ; j Les officiers employés au Maroc recevront Uno affectation par les soins du commissaire jnt général ; 4o es autres officiers sont maintenus dans lenr &mpioi actuel.

cornpte rendu de ces affectations devra être p envoyé à la direction de l'infanterie ($,, "Ureau),aussitôt que possible.

Armée territoriale.

<^r décret du Président de la République en ** mai 191, rendu sur lapropositloh du 1* du c'onseiI, ministre -de la guerre.

f{tot P,romns au grade de lieutenant dans l'infanteS1 e de l'armée territoriale, pour prendre les no u 26 mars 1919, les sous-lieutenants dont les noms suivent : - viel (J.-J.-V.), du 363e rég. d'infanterie.

ti' DésIr (A.-J.), du 40te rég. d'infanterie.

TA- — Affectations. — Les officiers d'infan-

terie promus par le décret ci-dessus seront affectés dans les conditions suivantes : Io Les officiers employés aux armées recevront une affectation par les soins descommàndants d'armées ; 20 Les officiers employés à l'armée d'Orient recevront une affectation par les soins du général commandant les armées eif Orient ;

3° Les officiers employés au Maroc recevront une affectation, par les soins du commissaire résident général ; 40 Les autres officiers sont maintenus dans leur emploi actuel.

Le compte rendu de ces affectations devra être envoyé à la direction de l'infanterie (3e bureau) aussitôt que possible.

TRAIN DES ÉQUIPAGES MILITAIRES NOMINATIONS ET MUTATIONS -- Armée active. - .Par décision ministérielle du 1er mai 1919 : M. le lieutenant à titre temporaire Lotte (Jean-Marie-Edouard), du 45e rég. d'artillerie, est affecté au 5e escadron du train des équipages militaires (service automobile).

Par décision ministérielle en date du 1er mai 1919 et par application de la loi du 10 août 1917 seront nommés à titre temporaire et maintenus dans leur affectation, savoir :

SERVICE HIPPOMOBILE

Armée active.

Au grade de lieutenant.

(Rang du 11 janvier 1919.) M. le sous-lieutenant à titre définitif Pont (Honoré-Gharles-Auguste), du 9e escadron.

Les sous-lieutenants à titre temporaire (Rang du 9. février 1919.) M. Mario (Jean-Marie), du 19e escadron.

(Rang du 26 février 1919.) M. Flosi (Paul-Mathieu), du 17e escadron.

(Rang du 4 mars 1919.) M. Lavaud (Etienne), du 13e escadron.

M. Feraud (Alexandre-Marius), du 16* escadron.

M. Roux (Elie-Paul), du 15e escadron.

(Rang du 6 mars 1919.} M. Bussonnet (Léon-Gilbert), du 15eescadron.

M. David-Nillet (Aimé), du 13e escadron.

M. Faivre (Paul), du 6e escadron.

(Rang du 10 mars 1919.) M. Lavigne (Gaston-Edmond), du 6e escadron.

M. Mariette (Léon-Louis-Alphonse), du 5e escadron. -

M. Poirot lHené), du 20e escadron.

M. Steinmetz (Lucien), du 20e escadron.

(Rang du 11 mars 1919.) M. Deschamps (Pierre), du 18e escadron.

M. Ilautier (Lucien-Ilonorin), du 8e escadron.

M. Xans (Jean-Raoul), du 15* escadron.

(Rang du 8 avril 1919.) M. Duvernois (Louis), du 17e escadron.

(Rang du 11 avril 1919.) M. Rufin (Clément-Jean-Baptiste), du 10e escadron..

(Rang du 30 avril 1919.) M. Guillemot (François), du 3e escadron.

M. de Roquefeuil (Raymond), du 5e escadron (S. A.).

(Rang du 8 mai 1919.) M. Bouvier (Joseph), du ISe escadron.

Réserve.

(Rang du 18 septembre 1917.) H. le lieutenant à titre définitif Chambe (André-Lucien-Maurice), du 19e escadron.

(Rang du 14 mars 1919.) Les sous-lieutenants à titre temporaire : M. Senelier (Georges-Marcel), du 12e èsca.

drbn. '• M. Tabusteau (Jean-Roger), du 7e escadron.

Armée territoriale.

, (Rang du 12 avril 1919.) M. le sous-lieutenant à titre définitif Grégoire (Julien), du 12e escadron (détaché au 251® rég.

d'artillerie).

Les sous-lieutenants à titre temporaire : (Rang du 6 mars 1919.) M. André (Ernest-Raoul), du 19e escadron.

(Rang du 14 mars 1919.) M. Letestu (Anthime-Louis), du 11e escadron.

SRRVIC. AUTOMOBtLB

Réserve.

(Rang du 27 février 1919.) M. le lieutenant à titre définitif Deport (Pierre-Auguste-Jean-Tiburce), du Se escadron.

Les sous-lieutenants à titre définitif: (Rang du 27 février 1919.) M. Chasseriaud (René-Lucien), du 20e escadron.

(Rang du 14 avril 1919.) M. Masse de Combles (Robert-Marie-Josepti',', du 19e escadron.

Les sous-lieutenants à titre temporaire: (Rang du 26 décembre 1918.) M. Noyelle (Henri), du 20e escadron.

(Rang du 27 février 1919.) M. Delorme (Charles-Pierre), du 20' escadron.

M. Dupuis (Edouard-Alfred), du 20e escadron.

M. Garnier (André-Auguste), du 15e escadron.

M. Mercier (Henri-Fernand), du 19e escadron.

M. Sicard (Robert-Marie-Maxime), du 19e es* cadron.

(Rang du 14 avril 1919.) M. Robaut (Joan-Paul-Stéphane), du 14e escadron.

(Rang du 4 mai 1919.) M. Tschupp (Jean-Marie-Edmond), du 2.)e escadron.

Armée territoriale.

Les sous-lieutenants à titre définitif : (Rang du 25 septembre 1918.) M. Rigal (Pierre-Charles-Maric-oseph), da 20e escadron.

(Rang du 27 février 1919.) M. Audurëau (Henri-Gustave), du 15e escadron.

(Rang du 14 avril 1919.) M. Gentil (René-Georges-Henri), du 15e-escadron.

Les sous-lieutenants à titre temporaire.:,

(Rang du 9 août 1918.) M. Lory (Georges-Adolphe-Louis), du 20e escadron.

(Rang du 27 février 1919.) M. Goîlon (Jean), du 20e escadron.

Par décision ministérielle en date du 1 er maq 1919 et par application de la loi du ai, i-,


Wi 1918, les sous-lieutenants dont les noms Suivent sont nommés au grade de lieutenant à titre temporaire aux dtites indiquées ciaprès SERVICE AUTOMOBILE

Réserve.

(Rang du lef août 1918.) M. le sous-lieutenant à titre temporaire Cantfau (Joseph-Anthoine), du 10e escadron.

Armée territoriale.

- (Rang du 26 décembre 1918.) M. le sous-lieutenant à titre définitif Thibault (Albert), du 811 escadron.

Par décision ministérielle du 30 avril 1919, son t Salifiées les mutations ci-après :

SERVICE HIPPOMOBILE

Armée active.

Les capitaines : M. Climens (Etienne-Joscpli), du 17e, au 16' escadron (Tunisie).

M. Gravier (René-Lucien-Claudius), hors ca dres (troupes marocaines), au 15e escadon,

M. Berthoux (Gaston-René-Joseph), du 19*, au 18e escadron (Cotomb-Bechar).

M. Verdan (Jules-Gaston), du 16e, au 14e escadron.

M. Boubée (Auguste-Gratien), du 18e, au 14e escadron.

M. Ignace (Louis-Gustave), du 2* (détaché 10e R. A.), au 2e escadron (major).

:' Les lieutenants à titre définitif : M. Tabart (Jean Marie-Gilbert), du 2e, au 19e escadron.

M. Ginestet (Augustin-Basile), du 20', au 16e escadron.

M. Portalier (René-Pierre-Paul), du 19e, au 17e escadron.

M. Perrault (Pierre-Marie-Louis-Charles), du 5e, au 15e escadron.

M. Bescond (François-Joseph-Marie), du 10e, au 19e escadron.

Les lieutenants à titre temporaire : M. Gadoux (Raymond), du 16e, au 3e eseadron.

M. Calatayud (Armand), du 13e, au 18e escadron.

M. Lafont (Paul-Gabriel), du lG", au 15e escadron.

Les sous-lieutenants à titre temporaire : M. Delaporte (Léon-Gustave), du 20e, au 21e es:adron.

M. Hautier (LucicnIIonorin), du S', aiOc escadron.

M. Fahy (Pierre -Auguste-Félicien), du 17e, au 21e escadron.

Réserve.

M. le capitaine à titre définitif : Ametle (Louis-Irenée), du 11 e, au 3e escadron.

M. le lieutenant à titre définitif : Distinguin (Alphonse-Alfred-Joseph), du 6e, au 2e escadron M. le sous-lieutenant à titre définitif: Savaroc (Maurice-Jules-Raoul), du 20°, au (je escadron.

M. le sous-lieutenant à titre temporaire: Vollhard (Pierre-Rodolphe), du 15e, au 5' escadron (Constantine).

Armée territoriale.

Les chefs d'escadron : M. Fontaine (Alexandre-Constant), du 10e, au Jer escadron.

M. Bousselet (Albert-Adrien), du W, an * 58 escadron. Les capitaines à titre définitif : M. Tarpet (Julien-Paul-Louis), hors cadra, réintégré au 20e escadron.

M. Poguet (François-Joseph), du 150, au 9e escadron.

SERVICE AXJTOMOQBILB

M. le lieutenant à titre temporaire Giron (Emile-Maurice), du 20e, au 191 escadron.

Réserve.

Par décision ministérielle du 2 mai 1919 : M. le lieutenant de réserveLherminier (PierreBenjamin-Auguste-Marie), du 26e bataillon de thasseurs à pied, est affecté au 190 escadron du train.

——————— + ———————

CADRE AUXILIAIRE DU SERVICE DE L'INTENDANCE

KOMINATIONS

Réserve et armée territoriale.

Par décret en date du 28 avril 1919, rendu sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, ont été nommés dans le cadre auxiliaire du service de l'intendance militaire :

Au grade d'adjoint à l'intendance.

M. Esmiol (Auguste-Graticn), officier d'administration de lrc classe du cadre auxiliaire des bureaux de l'intendance (armée territoriale).

M. Mimy (Jean-Baptistc-Alfred), officier d'administration de lre classe du cadre auxiliaire des bureaux ds l'intendance (armée territoriale).

Par décret en date du 30 avril 1919. rendu sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, a été nommé dans le cadre auxiliaire du service de l'intendance militaire :

Au grade de sous-intendant militaire de 1 re classe.

M. Fouque (Jean-Baptiste-Joseph), inspecteur de ire classe des colonies en retraite (armée territoriale).

Par décret en date du 30 avril 1019. rendu sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, a été nommé dans le cadre auxiliaire de l'intendance militaire :

Au grade d'adjoint à l'intendance.

M. Janicot (Charles), capitaine d'artillerie, adjoint à l'intendance à titre temporaire du cadre auxiliaire.

Par arrêté en date du 1er mai 1919, et par application du décret du 19 juin 19-18. a été nommé dans le cadre auxiliaire de 1 intendance à titre temporaire : Au grade d'officier d'administration de Se classe.

Subsistances militaires.

(A compter du 18 décembre 1918.) M. Maynard (Jules). lieutenant à titre temporaire au 94e rég. d'infanterie, officier d'administration de 3e classe à titre temporaire.

Par arrêté en date du leP mai 1919, et par application du décret du 19 juin 1918, a été nommé dans le cadre auxiliaire de l'intendance à titre temporaire :

Au grade gr«$Off Cadn"b«« do IM el", Bureau.

(A compter du 26 février 1919.) M. Brier (Maurice), lieutenant de réserve.

titre temporaire au 94e rég. d'infanterie, officier d'administration de 3e classe à titre tempo* raire.

■■■« i ——■ m

SERVICE DE LA JUSTICE MILITAIBS PROMOTIONS

Par décret en date du 5 mai 1919, rendu sur la proposition du président du conseil, ministre; de la guerre, M. l'officier d'administration de 2eclasse Clerc, greffier près le conseil deguerre.

permanent de la 7e région, a été promu (1er tout ancienneté) au grade d'officier d'administrar tion de l™ classe, pour remplacer dans 18 cadre M. Thierry, retraité.

4JJ

INFANTERIE COLONIALE

PROMOTIONS

Armée active.

Par déeret en date du 5 mai 1919, rendu sut, la proposition du président du conseil, nunistre de la guerre, ont été promus dans le corps de l'infanterie coloniale : (Pour prendre rang du 25 mars 1919.) Au grade de lieutenant.

M. Lagrange (Auguste-François), sous-lieutc" nant, détaché au service aéronautique.

M. Sollier (Marie-Jules-Louis), sous-Heute" nant, détaché au service aéronautique.

M. Lamotte (Paul-Albert), sous-lieutenant atf 21e rég.

M. Donnet (Auguste-Victor), sous-lieutenant au régiment d'infanterie coloniale du Maroc.

M. Leca (Frédéric), sous-lieutenant au 53e rég* M. Fleuret (François-Marcel-Isidore), sous* lieutenant au 6e rég. d'infanterie.

M. Morlière (Louis-Constant), sous-lieutenant au 2e rég.

M. Pfister (Fridolin\ sous-lieutenant aU 6e rég.

M. Salatin (Louis-Antoine), sous-lieutenant au 5e rég.

M. Bugeau (François), sous-lieutenant aU 2e rég.

MINISTÈRE DE LA IARINE M. Sibirill (C.), commis de lre classe des seTj vices d'intendance et de santé, en service = noehefort, est désigné, à sa demande, pou servir à Bizerte, en remplacement de M. Gale tier (J.-G.), commis de 2e classe à rapatrier..

La date de la mise en route de M. Sibin11' sera fixée ultérieurement. M. Gautier sera réaffecté au port de Roch&-.

fort.

Le ministre de la marine, à MM. les vice-amiraux commandant en cltf& préfets maritimes.

Paris, 6 mai 1919Je vous notifie ci-dessous, pour le deuxiè: trimestre 1919, les prix théoriques de la jO l'liée d'alimentation dans les hôpitaux niatiti es, conformément aux dispositions de l'article 2% de la notice 40 sur le service de santé de marine.


l MALADES dUO:- » ! RATIO NNAI&ES EST SANTÉ BÔFIXAUX ————————"———————— —————————————————— u4rIXAUX J Officiers. 1 Non officiers. omeicrs. Non officiers.

Cherbourg 5'15 3f53 3r89 3'40 Brest 4 95 3 23 3 61 3 18 ^Orient. 4 73 3 14 3 82 3 33 l'Ort-LouiS 4 46 3 06 3 85 3 35 Rochefort 5 02 3 34 3 73 3 28 Sainte-Anne b 89 4 02 3 84 3 34 Saiot-Mandrier 5 95 4 OS 3 §€> 3 41 Sidi-Abdallah 5 33 3 77 4 65 3 11 =- 1

Le ministre de la marine à MM. les vice-amiraux commandant en chef, préfets maritimes, officiers généraux, supérieurs et autres commandant à la mer.

Paris, le 6 mai 1919.

Comme suite à ma circulaire du 3 avril dernier (§ 4«), j'ai l'honneur de vous faire connaître que le ministre de la guerre a décidé la reprise, à partir du 3c trimestre 1919, des opérations de classement des candidats aux emplois civils réservés aux engagés et rengagés, des armées de terre et de mer par les lois du 21 mars 1905 et du 8 août 1913.

Pour l'application des instructions de mon collègue aux candidats appartenant à la marine, il y aura lieu de se conformer aux dispositions suivantes : 1° Peuvent seuls se mettre en instance d'emplois les officiers mariniers, quartiers-maîtres et marins (présents sous les drapeaux ou libérés) remplissant les conditions de service fixées Par l'article 8 de la loi du 8 août 1913 (1) et qui, à la date du 1er août 1914, n'avaient pas quitté armée de mer depuis plus de cinq ans, ou atteint, à cette date, la limite d'âge de quarante ans, fixée par l'article 14 du décret du 26 août 1905. Les candidats présents au service doivent en outre, se trouver dans les six derniers mois de leur engagement, rengagement, etc.; 2° Les candidats à des emplois réservés, au titre des lois précitées de 1905 et de 1913, ne Pourront, pendant un délai de cinq ans à dater •te la cessation des hostilités, obtenir ces emplois qu'à défaut de candidats se présentant au titre de la loi du 17 avril 1916 (mutilés), sauf Pour les emplois exigeant l'intégrité des forces Physiques, lesquels restent entièrement à leur disposition. Ils peuvent également solliciter eux des grandes compagnies de chemins de fer prévus par l'instruction (guerre) du 20 juillet 1910 (document liO 5030, page 330 et suiyantes).

3° Les marins possesseurs de certificats cI aptitude professionnelle obtenus avant la perre, et qui n'ont pas été inscrits sur la jjste de classement insérée au Journal officiel eu 26 juillet 1914, devront renouveler leurs demandes pour les emplois qu'ils avaient primitivement sollicités.

40 Marins en activité de service.

h a) Les dossiers de ces marins seront établis !l' les commandants d'unités (dépôts, serV lces, bâtiments) dans les conditions indiquées r l'instruction (marine) du 7 février 1914, odifiée le 15 juin suivant (B. 0. et document ? 5030). Les imprimés nécessaires seront fourjfu. s par les magasins des imprimés des ports X de l'instruction).

b) Pour le troisième trimestre 1919, les dost. ers seront adressés, par les autorités mariJInes qui les auront établis, aux présidents es commissions d'examen compétentes, sous COUvert du général commandant la subdivilonl de région dont fait partie le port militaire le ni rapproché du lieu où sert le candidat (2).

G est-à-dire, suivant le cas, dix, cinq ou ln a re ans, accomplis en vertu d'un engagerqent, d'un rengagement ou de toute autre lien Volftni re comportant une durée de service siw te• ewe à la durée légale..

de la A exception de Rochefort, qui fait partie de ia subdivision de région de la Rochelle, Port militaire est le siège d'une subdivi SIOn de région. En Tunisie, le général comttiamiJ* le corps d'occupation et, au Maroc, le ch IllmlSsaire résident général de France, sont chargés s des opérations confiées, France, sont iôna commandants des subdivisions de rés.

L'envoi de ces dossiers sera fait assez à temp pour que les présidents des commissions les

reçoivent aux dates ci-après : Emplois de la 3e catégorie, le 15 juin 1919.

Emplois de la 2e catégorie, le 10 juin 1919.

Pour les emplois de la ira catégorie, les dossiers seront adressés au président de la commission centrale, à Paris (sous le couvert de M. le gouverneur militaire de Paris) le 10 juin 1919. De plus, un état nominatif des candidats de cette catégorie, indiquant, pour chacun d'eux, le ou les emplois qu'ils sollicitent, devra parvenir an général commandant la subdivision de région du port militaire le plus rapproché,,, le 10 juin 1919.

c) Les marins dont les dossiers de candidature auront été adressés, comme il est dit cidessus, aux présidents des commissions d'examen seront dirigés, en temps utile, par les autorités maritimes dont ils relèvent, sur le port militaire le plus rapproché, afin d'y subir les examens requis. Les dates de ces examens vous seront notifiées prochainement. Pendant toute la durée de leurs examens, les candidats seront mis en subsistance au dépôt; ils seront, ensuite, renvoyés à leur service ou à leur bâtiment.

d) Les examens pourront être subis dans les colonies et pays de protectorat, après entente entre le commandant du bâtiment auquel le candidat appartient et l'autorité militaire locale.

e) Le général commandant en chef l'armée d'Orient devant, d'après les instructions du ministre de la guerre, constituer, dans certains centres, des commissions d'examen (lrV2e et 3e catégories), il n'y aura pas lieu d'envoyer en France, pour y subir leur examen, les candidats en service dans la Méditerranée orientale.

f) Pour les emplois de 4e catégorie, lesquels, en principe, ne comportent pas d'examen, le en principed, 'aptitude professionnelle sera décertificat livré aux candidats uar le commandant de

l'unité (dépôt, service ou bâtiment) dont ils font partie, conformément aux prescriptions du paragraphe VII de l'instruction (marine) du 7 février 19H (B. 0. et document no 5030) ; 5° Marins libérés.

Les autorités maritimes n'ont pas à intervenir dans l'instruction des demandes d'emploi formulées par des marins libérés. Ceux-ci doivent s'adresser, par l'entremise de la gendarmerie, au général commandant la subdivision de région dans laquelle ils résident et l'autorité militaire procède, à leur égard, comme elle le fait pour les candidats se présentant au titre de la loi du 17 avril 1916 (mutilés).

Je vous prie de donner, chacun en ce qui vous coneerne,.la plus large publicité possible à la présente circulaire.

GEORGES LEYGUES.

MINISTÈRE DE L'IISTRUCTIOI PUBLIQUE ET DES BEAUX-ARTS

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, Vu l'article 56 de la loi de finances du 25 février 1901 ; Vu les décrets des 9 avril 1905 et 2 mai 191 i, Décrète : 1 Art. icr. — Les ateliers laissés vacants

dans les bâtiments de l'Institut de Francs par suite des décès de MM. Bernier et Mercié sont attribués, à titre gratuit, celui de M. Bernier à M. Cordonnier; celui de M. Mercié à M. Coutan, membre de l'académie des beaux-arts.

Art. 2. — L'atelier qui avait été précédemment concédé à M. Coutan est attribué, à titre gratuit, à M. Laguillermie, membre de l'académie des beaux-arts.

Art. 3. — Ces concessions seront révocables de plein droit si les besoins du service l'exigent.

Art. 4. — Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel et au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 3 mai 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, L. LAFFERRE.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, Vu les décrets des 19 juillet et 11 août 1918 sur l'organisation des musées nationaux ; Sur le rapport du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts et du ministre de la marine,

Décrète : Art. 1er. — Le musée naval du Louvre est rattaché au ministère de la marine.

Art. 2. — Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts et le ministre de la marine sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 28 avril 1919.

R. POINCARK.

Par le Président de la République : Le ministre de l'instruction publique el des beaux-artst L. LAFFERRE.

Le ministre de la marine, GEORGES LEYGUES.

MINISTÈRE DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS ET DE LA MARINE MARCHANDE

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des travaux publics et des transports, Vu le décret du 8 octobre 1899, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement,dans le département de la Gironde, d'une ligne de tramway destinée au transport des voyageurs entre Bordeaux et Gradignan, et approuvé la convention passée, le 21 août 1899, entre ledit département et la compagnie des tramways électriques BordeauxPessac, pour la rétrocession de l'entreprise ; ensemble cette convention et le cahier des charges y annexé ;


Vu l'avant-projet présenté pour rétablissement, dans le département de la Gironde, d'une voie ferrée d'intérêt local destinée au transport des voyageurs, de leurs bagages et éventuellement des messageries entre Gradignan et le pont de Gayac, formant prolongement de la ligne susmentionnée de Bordeaux à Gradignan ; Vu, notamment, le plan d'ensemble de ladite ligne; Vu les pièces de l'enquête d'utilité publique ouverte sur cet avant-projet, et notamment la délibération de la commission d'enquête en date du 15 novembre 1915; Vu l'avis de la chambre de commerce de Bordeaux en date du 19 janvier 1916; Vu les délibérations du conseil général de la Gironde en date des 11 septembre 1913, 25 mai 1914, 3 mai 1910 et 11 septembre 1916, et la délibération de la commission départementale en date du 20 janvier 1919;

Vu la convention passée le 22 février 1919 entre le préfet de la Gironde, agissant au nom du département, et la compagnie des tramways électriques de Bordeaux-Pessac pour la concession de l'entreprise, ainsi que l'avenant au cahier des charges y annexé; Vu l'avis du conseil général des ponts et chaussées en date du 24 octobre 1917 ; Vu la lettre du ministre de l'intérieur en date du 21 novembre 1917; Vu la lettre du ministre de la guerre en date du 21 décembre 1917; Vu la lettre du ministre du travail et de la prévoyance sociale en date du 15 janvier 1918 ; Vu la loi du 15 juin 1906 sur les distributions d'énergie électrique ; Vu la loi du 31 juillet 1913 sur les voies ferrées d'intérêt local, modifiée par celle du 22 avril 1916 ; Vu le règlement d'administration publique en date du 11 novembre 1917, notamment l'article 103, ensemble le décret du 8 août 1881 ; Vu le tableau, dressé en exécution de l'article 42 de la loi du 31 juillet 1913, des droits perçus par les communes dont le territoire est emprunté par la ligne susmentionnée pour permis de stationnement et location d'emplacement sur la voie publique ; Le conseil d'Etat entendu, Décrète :

Art. 1er. — Est déclaré d'utilité publique, titre de prolongement de la voie ferrée l'intérêt local de Bordeaux à Gradignan, t'établissement, dans le département de la Gironde, suivant les dispositions générales du plan ci-dessus visé, d'une voie ferrée d'intérêt local à traction électrique, destinée au transport des voyageurs, de leurs bagages et éventuellement des messageries antre Gradignan et le pont de Gayac ; La présente déclaration d'utilité publique sera considérée comme nulle et non avenue si les expropriations nécessaires pour l'exécution dudit prolongement ne sont pas accomplies dans le délai de quatre ans à partir de la date du présent décret.

Art. 2. — Le département de la Gironde est autorisé à pourvoir à la construction et à l'exploitation de la voie ferrée dont il s'agit, suivant les dispositions de la loi du

31 juillet 1913, et conformément aux clauses et conditions de la convention passée le 22 février 1919, entre le préfet de la Gironde, au nom du département, et la compagnie des tramways électriques de Bordeaux-Pessac ainsi que du cahier des charges annexé au. décret du 8 octobre 1899 modifié par l'avenant annexé à ladite convention.

La dite convention ainsi que l'avenant au cahier des charges et le plan d'ensemble ci-dessus visé resteront annexés au présent décret.

Il en sera de même du tableau susvisé des droits de stationnement et de location d'emplacements prévu à l'article 42 de la loi du 31 juillet 1913.

Art. 3. — Il est interdit à la compagnie des tramways électriques de BordeauxPessac, sous peine de déchéance, d'engager son capital directement ou indirectement dans une opération autre que la construction ou l'exploitation des lignes qui lui sont concédées ou rétrocédées, sans y avoir été préalablement autorisée par décret-délibéré au conseil d'Etat.

Art. 4. — Le ministre des travaux publics et des transports est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 29 avril 1919.

R. POICA.RR.

Par le Président de la République : Le ministre des travaux publics et des transports, A. CLAVEtl.LE.

CONVENTION L'an 19L9, lo 22 février, Entre M. Olivier Bascou, préfet de la Gironde, officier de la Légion d'honneur, agissant au nom du département, en vertu des délibérations du conseil général en date du 11 septembre 1013, 25 mai 1914, 3 mai 1916 et 11 septembre 1910 et de la délibération de la commission départementale en date du 20 janvier 1919, D'une part; Et M. Adrien Bussy, président du conseil d'administration de la compagnie des tramways électriques de Bordeaux-Pessac, dont le siège est à Paris, 19, rue Louis-le-Gran 1, agissant au nom de cette compagnie en vertu d'une délibération du conseil d'administration en date du 17 décembre 1918, D'autre part, Il a été convenu ce qui suit : Art. 1er. — Le département de la Gironde concède à la compagnie des tramways électriques de Bordeaux-Pessac qui l'accepte, l'établissement et l'exploitation d'une voie ferrée d'intérêt local, à traction électrique, destinée au transport des voyageurs ; de leurs bagages et éventuellement des messageries entre Gradignan et le Pont de Gayac.

Cette ligne formera le prolongement de la ligne de Bordeaux à Gradignan : elle empruntera sur tout son parcours la route nationale no 132 et se terminera près du Pont de Gayac.

Art. 2. — Tous les travaux d'infrastructure et de superstructure, ainsi que les acquisitions de terrains seront faits par les soins et aux frais de la compagnie concessionnaire, qui aura à supporter aussi tous les frais accessoires, les indemnités de dommages et les frais de procédure.

Art. 3. — La compagnie concessionnaire s'engage"à exploiter la ligne dont il s'agit à ses frais, risques et périls pendant la durée de la concession, sans subvention ni garantie d'intérêt du département ou de l'Etat.

La traction sera assurée au moyen de l'éaer-

fie eiectnque qui aumenie ta ligne ae Bordeaux à Gradignan.

Les traités passés par la compagnie conces.

sionnaire pour la fourniture de l'énergie étoc.

trique seront soumis & l'agrément du préfet et devront obligatoirement contenir une clause garantissant au département, en cas de ra- chat, de déchéance ou d'expiration de la concession, le droit de continuer pendant une période de trois ans au moins à partir de l'éviction du concessionnaire, les traités en cours, étant entendu que l'usage de ce droit cours, facultatif pour le département.

reste Art. 4. — La présente concession est faite aux charges, clauses et conditions du cahier des charges de la concession de la ligne de Bordeaux à Gradignan, annexé au décret déclaratif d'utilité publique du 8 octobre 1899, charges, clauses et conditions à l'exécution desquelles la compagnie concessionnaire s'engage d'une façon formelle, avec les modifications ou additions apportées par l'avenant ciannexé en date de ce jour.

Il est spécifié que le présent prolongement soumis à l'ancien cahier des charges, modifié par l'avenant susindiqué formera aveG la ligne ancienne une concession unique, notamment pour l'application des clauses relatives à la durée, au rachat et.& la déchéance de la concession.

Les articles de l'ancien cahier des charges approuvé ou des modifications et additions sont introduites par l'avenant en date de ce jour, sont les articles 3, 4, 14,16,17, 19, 20, 21, 28, 33, 35, 35 bit et 38.

Art. 5. — Il sera constitué dans une caisse agréée par le département, une réserve spéciale destinée aux grosses réparations et au renouvellement de la voie et du matériel.

Ce fonds de réserve sera alimenté par des versements annuels effectués par la compagnie concessionnaire, a partir de la troisième année d'exploitation, en titres de rente sur l'Etat ou toute autre valeur agréée par le département.

Ces versements annuels seront de 150 fr. par kilomètre de ligne exploitée ; ils cesseront lorsque le fonds de réserve aura atteint le chiffre de 2,030 fr. par kilomètre; il reprendront, dans la mesure nécessaire pour ramener les fonds de réserve à2,OOJ fr., lorsqu'il aura été entamé.

Le concessionnaire ne pourra toucher à ce fonds qu'avec l'agrément du préfet, exclusivement pour les travaux auxquels il est destiné, les intérêts des valeurs constituant ce fonds seront touchés par le concessionnaire et portés en recettes dans les comptes d'exploitation.

Le concessionnaire sera autorisé à ajouter le montant des versements annuels aux dépenses réelles d'exploitation.

En fin de concession ou en cas de rachat, ce qui restera du fonds de réserve ainsi constitué après les prélèvements effectués pour les objets auxquels il est destiné reviendra au concessionnaire.

En cas de déchéance, ce qui restera du fonds de réserve restera acquis au département.

Le fonds de réserve pourra être saisi par le département comme les revenus de la voie ferrée, dans le cas où il y aurait lieu de faire application de l'article 17, paragraphe 3 du cahier des charges.

Art. 6. — La durée moyenne du travail journalier effectif sera de dix heures.

Il sera accordé annuellement aux agents et ouvriers einquantc-deux journées de repos. Ces journées seront payées au quart des salaires

aux agents titularisés du service du mouvement.

Les conditions du travail seront réglées sur ces bases et en tenant compte des besoins dit service par des arrêtés préfectoraux pris après avis du service de contrôle, le concessionnaire entendu.

Ces mesures seront également applicables, au personnel de la ligne de Bordeaux à Graudignan.

Art. 7. — Des versements à la caisse nationale des retraites pour la vieillesse seront effec..

tués au profit des agents et ouvriers en vue de

leur constituer une pension viagère. Ces versements proviendront d'une retenue de 2 fr. par mois effectuée-obligatoirement sur les émoluments des agents et ouvriers et d'une somme égale fournie par la compagnie concessionnaire: ils seront faits à capital aliéné, sauf Iii possibilité pour l'agent ou l'ouvrier de faire inscrire ses propres versements a capital réservé quand les sommes portées à son livre i, lui auront assuré une retraite de 360 fr. par an.)


Pour les agents et ouvriers auxiliaires, c'està-dire. pour ceux dont le service ne sera pas permanent, il sera fait simplement application de la loi du 5 avril 1910 sur les retraites ouvrières et paysannes.

Toutes ces' mesures seront également applicables au personnel de la ligne de Bordeaux a Gradignan.

Art. 8. — La validité de la présente convention est subordonnée à la déclaration d'utilité Publique dans un délai de deux ans.

Art. 9. — Les frais de timbre et d'enregistrement de la présente convention et des Pièces y annexées, calculés suivant l'article 40 de la loi du 31 juillet 1913, seront supportés Par le concessionnaire.

Fait à Bordeaux, les jour, mois et an que dessus.

Lu et approuvé : Lu et approuvé : président du conseil Le préfet, d'administration, OLIVIER BASCOU.

ADRIEN Bcssy.

AVENANT AU CAHIER DKS CHARGES ANNEXÉ AU DÉCRET DU 8 OCTOBRE 1899 La voie ferrée d'intérêt local de Gradignan au Pont de Gayac sera "soumise au cahier des charges de ligne de Bordeaux a Gradignan, Annexé au décret du 8 octobre 1899, avec les Modifications apportées par le présent avenant aux articles désignés ci-après : Art. 3. — Le deuxième alinéa sera remplacé Par le suivant : « Les travaux devront être commencés dans tln délai de six mois à partir de la même date.

Ils seront poursuivis et terminés de façon àPermettre l'ouverture à l'exploitation de la t!gne entière dans un délai de deux ans à parîlr de la.même dattl. »

)\ Art. 4. — Le premier alinéa sera remplacé Par le suivant : , La largeur normale de la voie, entre les btOrds intérieurs des rails, devra être de 1 mètre.

Va voie sera établie conformément aux règles e vigueur pour la réalisation de l'unité technique, à moins de dérogations spécialement Autorisées par le ministre des travaux publics et des transports. »

Art. 5, 6, 7, 8, 9,10. — Maintenus.

Art. 11. Modifié par l'avenant en date du 17 novembre 1917 annexé au décret du 27 mai 918 et qui sera applicable à la ligne de Gradigtlcln au pont de Gayac.

Art. 12 el 13. — Maintenus.

il Art. 14. — Cet article sera complété comme suit : Entre Gradignan et le pont de Gayac, le j. nombre minimum des voyages qui devront e faits tous les jours, dans chaque sens, est à trois départs par heure. «

Art. 15. - Maintenu.

4*. 16. — Cet article sera complété comme il D 1, La concession de la ligne de Gradignan au Il Ont de Gayac commencera à courir de la date tl décret qui approuvera la concession et prend'cl fin le 5 juillet 1945, comme pour la ligne de Bordeaux à Gradignan. n ~rt. 17. — Dans cet article, le mot « Etat » s cx« remplacé par le mot « département II.

Art. 18. - Maintenu.

art. 19. - Dans cet article, le mot « Etat » sera remplacé par le mot « département".

Dans le deuxième alinéa, les mots « au paraCfeiv?i]i? v. l'article 11 de la loi du 11 juin 1880 » + remplacés par les mots « à l'article 38 de IR loi du 31 juillet 1913».

« Art. 20. Dans le deuxième alinéa, le mot Etat Il sera remplacé par le mot w départe» Art. 21 - Dans le premier alinéa, les mots 6 aOtemnt d'administration publique du 6 eo et 1881. seront remplacés par les mots « règlement d'administration publique, du Il n t917 » ; les mots « et, dans le cas ront Ddr l'article 10 de la loi du H Juin 4880 » *°nt supprimés.

22. Maintenu.. -,

Art. 23. — Les tarifs des droits à percevoir seront complétés comme suit: , Classe unique. — Voyageurs : Entre Gradignan et le pont de Gayac, 5 centimes.

Entre le cimetière de Gradignan et le pont de Gayac, 10 centimes.

Minimum de perce ption 10 centimes.

Art. 24. — Suppression maintenue.

Art. 25. — Suppression maintenue.

Art. 26. — Suppression maintenue.

Art. 27. — Suppression maintenue.

Art. 28. — Le troisième alinéa sera remplace par le suivant : "La perception des tarifs modifiés ne pourra avoir lieu qu'avec l'homologation du préfet, conformément aux dispositions du décret du 11 novembre 1917. »

Art. 29. — Maintenu.

Art. 30. - Suppression maintenue.

Art. 31. — Suppression maintenue.

Art. 32. — Suppression maintenue.

Art. 33. — Dans le deuxième alinéa, les mots « l'article 34 du règlement d'administration publique du 6 août 1881 « seront remplacés par les mots Il l'article 69 du décret du 11 novembre 1917».

Art. 34. — Maintenu.

Art. 35. — Cet article sera remplacé par le suivant : Il Les fonctionnaires ou agents chargés du contrôle de la voie ferrée seront transportés gratuitement dans les voitures de voyageurs, sur le vu de cartes personnelles.

« La même faculté sera accordée aux fonctionnaires ou agents de l'administration des postes et des télégraphes, chargés de la surveillance du service postal exécuté sur les voies ferrées concédées et des lignes électriques servant à leur exploitation.

« Les cartes personnelles de libre circulation seront délivrées : « 1* Aux fonctionnaires du contrôle central par le ministre des travaux publics et des transports, qui notifiera les noms des titulaires au concessionnaire par l'intermédiaire du préfet.

« 2° Aux autres fonctionnaires et agents par le concessionnaire, sur la réquisition du préfet. »

Art. 35 bis. — 11 sera ajouté un article 35 bis.

ainsi conçu : « Le concessionnaire réservera aux anciens militaires remplissant les conditions prévues à l'articlé 69 de la loi du 21 mars 1905, modifié par l'article 34 de la loi du 7 août 1913, le quart des emplois du début vacants dans le personnel. »

Art. 36. — Le troisième alinéa sera remplacé par le suivant : « Les prix des transports ci-dessus seront payés par l'administration des postes, conformement aux tarifs homologués. »

En outre, le dernier alinéa sera supprimé.

Art. 37. — Maintenu.

Art. 38. — Cet article sera rétabli comme il suit : « Avant la déclaration d'utilité publique, le concessionnaire déposera à la caisse des dépôts et consignations une somme de £ ,000 fr.

en numéraire, en rentes sur l'Etat ou en valeurs garanties par l'Etat, calculées conformément au décret du 31 janvier 1872, ou en bons du Trésor, avec transfert, au profit de ladite caisse, de celles de ces valeurs qui seraient nominatives ou à ordre. Cette somme formera le cautionnement de l'entreprise. Les quatre cinquièmes en seront rendus par cinquième et proportionnellement à l'avancement des travaux.

« Le dernier cinquième ne sera remboursé qu'après l'expiration de la concession. »

Art. 39. — Suppression maintenue.

Art. 40 et 41. - Mafntenus.

Fait à Bordeaux, le 22 février 1919.

Lu et approuvé : Le préfel.

OLIVIER BASCOU.

Lu et approuvé : Le président du conseil d'administration ; -ADWHN BUS»Y. -

COMPAGNIES DES TRAMWAYS ÉLECTRIQUES DE BORDEAUX-PESSAC VOIE FERRÉE D'INTÉRÊT LOCAL DE GRADIGNAN

AU PONT DE GAYAC

Tableau des droits perçus par les communes dont le territoire est emprunté'pour permis de stationnement et location d'emplacements sur la voie publique. (Exécution de la loi du 31 juillet 1913.)

INDICATION DES OBJETS TAXES

COMMUNE DE GRÃDlGNA

Droits de stationnement et location d'emplacements sur la voie publique.

Néant. Néant.

Dressé à Bordeaux, le 15 juin 1917.

L'ingénieur en chef du département,.

directeur du contrôle, Signé : Illisible.

Vu et transmis : Bordeaux, le 20 juin 1917.

Le préfet de la Gironde, Pour le préfet : Le secrétaire général, Signé : Illisible. ,

*+

Le Président de la République françai, Sur le rapport du ministre des travaux publics et des transports,

Vu l'article 2 de la loi du 28 mai 1915, tendant à faciliter l'exécution des travaux publics pendant la durée des hostilités; Vu le décret du 5 novembre 190J, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement, dans les départements du Rhône et de l'Isère, d'une ligne de tramway destinée au transport des voyageurs et des marchandises entre Lyon et la route nationale n° 75, aux abords du Pont-du-Sault-Brenaz, vers la limite des départements de l'Isère et da ; l'Ain, avec embranchement de Passieu à Crémieu, et approuvé les conventions passées entre les départements du Rhône et de l'Isère et MM. Peyret et Laurent, pour la concession de l'entreprise; ensemble ces conventions et les cahiers des charges y annexés;

Vu le décret du 8 mai 1906 qui a notamment approuvé la substitution de la compagnie des omnibus et tramways de Lyon à , MM. Peyret et Laurent, comme concession- , naire du tramway susmentionné; ensemble les conventions annexées à ce décret; Vu le décret du 29 novembre 1911 qui a déclaré d'utilité publique les travaux à ,, exécuter pour la modification du tracé du j tramway susmentionné et de son embran- , chement; ensemble l'avenant annexé à ce f décret; .Vu la demande présentée, le 27 février.

1919 par la compagnie des omnibus et tram- 1 ways de Lyon à l'effet d'obtenir qu'il soit fait application des dispositions de l'article 2 susvisé de la loi du 28 mai 1915 aux; travaux à exécuter sur les parcelles de ter.

tains non bâties situées sur le territoire dé's communes de:la*Balme,Vestriëu et Porcieu*# Amblagnie«j pour l'établissement de lai: , V.V fc


partie du tramway comprise entre la Balme et le pont- du- Sault-Brenaz, Vu notamment les états et les plans par-cellaires en date du 27 février 1919, joints à ladite demande ; Vu le rapport des ingénieurs du département de l'Isère en date des 12-18 mars 1919 et celui des ingénieurs du département de l'Ain en date des 12-14 avril 1919; Vu la lettre du préfet de l'Isère, en date du 21 mars 1919 et celle du préfet de l'Ain en date du 16 avril 1919, Décrète : Art. llr. — Sont déclarés urgents les travaux à exécuter sur les parcelles de terrains non bâties situées sur le territoire des communes de la Balme, Vestrieu et PorcieuAmblagnieu (Isère) pour l'établissement de la partie du tramway de Lyon au Pont-duSault-Brenaz, comprise entre la station de La Balme et le Pont-du-Sault-Brenaz.

- Art. 2. — Le ministre des travaux publics et des transports est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 30 avril 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le minisire des travaux publics et des transports, A. CLAVEILLE.

+

Le ministre des travaux publics, des transports et de la marine marchande.

Vu l'arrêté du 1er avril 1918 chargeant M. Boullay, inspecteur des finances de lre classe, directeur du contrôle financier de Madagascar, en mission en France, de diriger, à titre provisoire, les services de la comptabilité générale au commissariat aux transports maritimes et à la marine marchande; Vu le décret du 5 mai 1919, rattachant au ministère des travaux publics et des transports tous les services dépendant du commissariat aux transports maritimes et à la marine marchande, Arrête : M. Boullay, inspecteur des finances de Are classe, est maintenu à l'administration centrale des transports maritime et de la marine marchande au ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande, pour y diriger, à titre provisoire, les services de la comptabilité générale.

* Fait à Paris, le 6 mai 1919.

A. CLAVEILLB.

—————————

Le ministre des travaux publics, des trans" ports et de la marine marchande, Vu le décret du 5 mai 1919 rattachant au ministère des travaux publics et des transports tous les services dépendant du commissariat aux transports maritimes et de la marine marchande ; '• Arrête : • i M. Grunebaum-Ballin, président du conseil .de préfecture de la Seine, maitre des requêtes honoraire au conseil d'Etat, est chargé, au mi.

nistère des travaux publics et des transports administration centrale des transports maritimes et de la marine marchande, d'une mission à l'etret de diriger l'ensemble des services du personnel et du travail maritime, des pêches maritimes et des invalides de la marine.

Fait à Paris, le 6 mai 1919.

A. CLAVEILLB ♦

Le commissaire aux transports maritimes et à la marine marchande, Vu le décret du 19 mars 1919 sur l'organisation générale de l'enseignement maritime ; Vu le décret du 20 mars 1919 sur les brevets d'officier de pont de la marine marchande ; Vu l'arrêté du 10 février 1919, fixant le programme -des enseignements techniques et pratiques, organisés dans les écoles de navigation maritime, pour la préparation à la carrière de capitaine au long cours et à l'obtention du brevet d'élève officier de la marine marchande.

Arrête: Art. 1er. — L'examen pour l'obtention du brevet d'élève officier de la marine marchande est passé devant une commission nommée, chaque année, par arrêté du. commissaire aux transports maritimes et à la marine marchande composée de cinq membres et comprenant au moins un membre du corps des professeurs d'hydrographie, un administrateur de l'inscription maritime et un capitaine au long cours.

Des examinateurs spéciaux peuvent en outre être adjoints à la commission pour les interrogations sur les langues vivantes, la morale professionnelle, l'hygiène navale.

Le commissaire aux transports maritimes et à la marine marchande, en nommant les membres de la commission, désigne celui de ses membres qui est appelé à la présider.

Art. 2. — L'examen comprend des épreuves écrites, au nombre de quatre, et des épreuves orales et pratiques. La note attribuée à chaque composition ou interrogation, est multipliée par l'un des coefficients ci-après : Epreuves écrites.

1. — Composition française sur un sujet d'ordre général, se rattachant aux matières non scientifiques, qui sont comprises dans les programmes de l'examen (durée : trois heujes). 8 Il. — Composition de calculs nautiques (durée : trois heures) 10 III. - Composition sur les matières scientifiques et pratiques comprises dans les programmes de l'examen (durée : quatre heures). 5 IV. — Composition d'anglais. — Version et thème sur des sujets maritimes (sans dictionnaires) (durée : deux heuresj. 5

Epreuves orales et pratiques.

I. — Arithmétique, algèbre, trigonométrie, géométrie, sciences mathématiques. 5 Il. — Mécanique, physique, électricité, chimie : sciences expérimentales. 5 HI. - Cosmographie, navigation, théorie du navire : sciences nàutiques. 10 IV. — Machines. 5 V. — Géographie,. 4 VI. — Législation. 4 VII. — Hygiène navale. 1 VIII. — Anglais. 5 IX. — Physique du globe. 3 X. — Manœuvre. 10 XI — Organisation générale du com- ') merce 3 XII. — Transports commerciaux et outillage maritime 3 XIII. — Morale professionnelle. 1 XIV. — Usage des cartes et instruments nautiques et exercices pratiques (observations nautiques, etc.). 10

Art. 3. — Sont déclarés admissibles, les candidats qui ont obtenu aux épreuves écrites, un total d'au moins 280 points. Soit une note moyenne égale ou supérieure à io.

Sont déclarés admis les candidats qui ont obtenu, dans l'ensemble des épreuves, un total d'au moins 1,261 points, soit une note moyenne égale ou supérieur à 13.

Toutefois, les candidats qui ont obtenu, dans les matières suivantes, une des notes éliminatoires fixées ci-après, sont ajournés, quel que soit le total des points obtenus par eux dans les autres épreuves.

Eprrúvcs écrites. — Français : une note inférieure à 5 ; calculs nautiques : une note inférieure à 10.

Epreuves orales. — Règles de barre et route, feux : une note inférieure à 11. En ce qui concerne les autres matières, trois notes inrérieures à 5.

4 épreuves pratiques. — Une note inférieure à 10.

Art. 4. -' La session ordinaire d'examen, pour l'obtention du brevet d'élève officier de la

marine marchande, a lieu, chaque année, à partir du 1er juillet.

Une session supplémentaire a lieu au mois de novembre de chaque année; elle est réservée aux candidats ajournés" lors de la session ordinaire de la même année. Le commissaire aux transports maritimes et à la marine marchande fixe, par arrêté, la date d'ouverture des sessions; il désigne les centres d'examen et arrête l'ordre dans lequel its seront visités p3r la commission. Cet arrêté est publié au Journal officiel.

Art. 5. — Le président de la commission en

dirige les opérations et répartit tes correction* des compositions écrites et des interrogations orales entre les divers membres de la commission.

Art. 6. - Tout candidat à l examen adresse, huit jours au plus tard, avant l'ouverture des épreuves écrites, une demande! à l'administré" teur de l'inscription maritime du centre où il veut subir les epreûves.

Cette demande est accompagnée : 1° De l'acte de naissance et, le cas échéant, de toute autre pièce authentique établissant qu'il est de nationalité française ; 2) D'un extrait de son casier judiciaire (bulletin no 3) n'ayant pas plus d'un mois de date ; 3° Le cas échéant, d'un certificat délivré pir l'autorité maritime et constatant la durée do ses embarquements, tant à l'Etat qu'au commerce; 4° D'un certificat médical, délivré par un médecin nommé ou agréé par le commissaire aux transports maritimes et à la marine marchande, et établissant que le candidat n'est chande, d'aucune infirmité incompatible avec atteint la pratique de la navigation maritime commerciale : 5° Du livret d'études maritimes du candidat; 6° Des diplômes universitaires, certificats d'études ou brevets, dont le candidat est titulaire.

Art. 7. — Les textes des compositions écrites sont envoyés, par le président de la commission, sous enveloppe cachetée, à l'administrateur de l'inscription maritime, qui ne devra ouvrir les plis qu'en séance, en présence des candidats, et aux heures indiquées.

Art. 8. — La surveillance des salles d'examen est confiée à un ou plusieurs fonctionnaires désignés par le directeur de l'inscription maritime et choisis parmi les officiers d'administration, commis principaux et commis de l'inscription maritime.

Art. 9.— Les copies sont rédigées sur feuilles à en-tètes gommées du modèle adopté par l'administration de la marine marchande. Elles sont adressées sous pli cacheté, à l'administration des transports maritimes et de la marine marchande. Leurs en-têtes ne sont décachetées et les noms des candidats connus qu'au moment où la commission, après correction de toutes les compositions, se réunit pour arrêter la liste d'admissibilité.

Art. 10. — La liste des candidats reconnus admissibles est immédiatement notifiée diHl; les centres d'examens et affichée dans les locaux de l'école où les examens ont lieu.

Les dossiers des candidats non admisslb e leur sont rendus, Art. 11. — Les examens oraux sont publics 6 Chaque candidat doit subir au moins une, interrogation sur chacune des 14 épreuve orales ou pratiques énumérées à l'article 2 cidessus. - t Art. 12. — Dès que les interrogations 500 terminées, la commission se réunit et arrête liste des candidats définitivement admis; '6 résultats sont affichés à l'école nationale e navigation maritime et dans les locaux do l'administration de l'inscription maritime. leS Art. 13. L'admissibilité aux épreuves ora s reste acquise pour les deux sessions suivante * Art. 14. Les procès-verbaux des exan i':' et les pièces annexes, les certificats d'admissi- bilitc et les certificats provisoires établisse l'admission définitive sont sig" nés par le pre dent de la commission. la Art. 15. Les brevets d'élève officierAa i* marine marchande sont signés par le COIlloe saire aux transports maritimes et à la mntre marchande et délivrés aux intéressés, coi récépissé ou émargement, par les som de l'administration. lei Art. 16. - Toute communication entre 1*1


eudidats, pendant les épreuves, toute fraude ou tentative de fraude, commise dans une fiualço.iwjue des «'ptwves, entraîne l'exclusion du candidat.

L'exclusion provisoire seva prononcée par le Président de la commission. Il en sera référé à )f}. , commission qui prononcera, s'il y a lieu, exclusion délinitive.

Les faits qui auront motivé l'exclusion d'un candidat feront l'objet d'un rapport adressé par Je président de la commission au commissaire aux transport maritimes et à la marine marchande, qui pourra ordonner l'exclusion tem- poraire ou définitive du candidat de toute école de navigation maritime, sans préjudice de l'application des sanctions prévues par la loi du -3 décembre 190t. réprimant les fraudes dans cs eXamens et concours publics.

Fait à Paris, le 3 mai 1919.

BOUISSOJï

Par arrêté du 7 mai 1919, M. Médard (Louis), huissier à l'administration centrale des travaux Publics et des transports, a été admis à faire ltoir ses droits à la retraite, par application (te l'article 5, paragraphe l*r, de la loi du y juin 1853. à dater du 1er juillet 1919.

Conformément aux dispositions du décret du V mai 1897, M. Médard sera maintenu en foncions jusqu'à la délivrance de son brevet de Pension.

Par arrêté du 7 mai 1919, a été fixée au r mars 1919, au lieu du 1er avril 1919, la date a exécution de l'arrêté du 23 mars 1919 par lequel M. Jacquet, ingénieur ordinaire des ponts et chaussées, a été chargé de l'arrondissement de Briey du service ordinaire des ponts et epaussees du département de Meurthe-etMoselle.

Par décision du commissaire aux transports Maritimes et à la marine marchande en date du 3 mai 1919, des récompenses, pour faits de sauvetage, ont été accordées aux personnes dont les noms suivent :

Direction de l'inscription maritime du Havre.

Laisney (Jacques-Louis), seize ans, domicilié à Paris, témoignage officiel de satisfaction : le 22 septembre 1918, sur la plage de ViervillesUr-Mer, s'est porté au secours de deux baigneuses qui avaient été surprises sur un îlot de sable par la marée montante, et a pu les ramener jusqu'à la plage.

Pichon (René-Michel), demeurant à Paris, i^uoignage officiel de satisfaction : le 20 juin b ,8, à Carteret, s'est porté au secours d'un ¡lgneur qui, subitement indisposé, était en augr de se noyer. Bien que celui-ci paralysât e mouvements, a pu le soutenir jusqu'à ce l .luune plate vienne les recueillir l'un et l'autre.

c Beanny (Louis-Ernest), contremaître aux gantiers de Normandie, domicilié à Croisset , -ïiiférieure), médaille d'argent de s. Clisse: le 4 septembre 1918, près de Rouen, est jeté à l'eau tout habillé et peu de temps s son repas, pour porter secours à une if, uUe fille tombée dans la Seine par cinq mètres rt f et bnd. Après avoir plongé à plusieurs reprises 11 bien que courant les risques d'une congestioridont il a d'ailleurs ressenti les premières e.lHles, a pu saisir la noyée et la sauver.

Direction de l'inscription maritime de Saint-Servant.

trli)JOU (Hippolyte), soixante-trois ans, pat ron (j il canot de sauvetage de Douarnenez, 1582 (nombreux sauvetages antérieurs), Inédaille d'argent de 2e classe ; les onze matee composant l'équipage du canot de sauVeta ° de Douarnenez : Le Du (Emmanuel), in^1.* 'l Douarnenez, nI) 1692, matelot; Il ot (Eugène), inscrit à Douarnenez, 11° 2202 à matelot ; Le Berre (Jean-Pierre), inscrit D ouarnenez, ne 805, matelot ; Tournier (Eu gène), inscrit à Douarnenez, n°771, matelot; le incour (Joseph), inscrit à Douarnenez, 2493 Il S, matelot ; Urvois (Jean-Marie), * w,1t à Douarnenez, ne 1183, matelot;

Derrien (Dominique), inscrit à Douarnener, 2210 II. S., 3879, matelot ; Guillerme (Pierre), inscrit à Douarnenez, no H 70, matelot; Quentric (Armand), inscrit à Douarnenez, no 1653, matelot; Trocmé (Paélor), inscrit à Douarnenez, n° 2983, matelot, 1636; Berlivet (Daniel), inscrit à Douarnenez, 1465, matelot, témoignages officiels de satisfaction : dans la nuit du n au 18 février 1919, ont assuré le sauvetage du dundee Aquilon, qui, poussé par une violente tempête de Nord-Ouest, sur les récifs de Plomarch, se trouvait en danger de perdition.

Pléven (Victor), capitaine au cabotage inscrit à Saint-Malo, nu 599, médaille d'argent de 2e classe : au cours du naufrage du quatre mâts Camp- Buuihaut, a pris le commandement d'une embarcation montée par sept hommes; cette embarcation ayant été chavirée par une lame, a ramené l'un de ses matelots, qui ne savait pas nager, jusqu'à la terre, éloignée d'une centaine de mètres; s'est ensuite remis à l'eau pour sauver un autre matelot, qu'il est également allé cherché à une certaine distance du rivage.

Direction d: Vinscripiion maritime de Bordeaux.

Pennec (Jean), marin, inscrit au Conquet, 4753, demeurant à Ouessant, médaille de bronze : le 1er janvier 1919, se trouvant de faction sur le Garonna, s'est porté au secours d'un homme tombé à l'eau entre bord et quai.

N'ayant pu remonter sur le quai, très élevé à cet endroit, a soutenu le sinistré hors de l'eau pendant plus d'un quart d'heure, en appelant à l'aide, jusqu'à ce qu'on soit venu tirer l'un et l'autre de cette position critique.

Puyo (Etienne), pilote de la barre de l'Adour, inscrit à Bayonne, no 16, médaille d'argent de 2e classe ; Loubière (André), pilote de la barre de l'Adour, inscrit à Bayonne, ni 19 ; Larribal (Bernard), aspirant pilote de la barre de l'Adour à Bayonne, no 1685; Duboy (Hippolyte), aspirant pilote de la barre de l'Adour, Bayonne, iio 1141 ; Hareaut (Jean), patron de chaloupe, Bayonne, no 895; Duboy (Georges), mousse, Bayonne, n° 2886; Bouras (Jean), canotier des ponts et chaussées, Bayonne, no 682, témoignages officiels de satisfaction : le 14 mars 1919 à l'entrée de l'Adour, se sont portés, sur le canot du pilotage, àu secours du voilier, Saint-Bernard, en perdition sur les enrochements de la jetée Nord, ont réussi, non sans courir de sérieux dangers, à sauver les dix hommes d'équipage, avant la perte complète du Saint-Bernard.

Direction de l'inscription maritime d'Alger.

Yermeuil (Auguste), journalier à Bône, médaille de bronze : le 7 mars 1919, bien qu'atteint de bronchite, s'est jeté à l'eau pour porter secours à un jeune homme, tombé dans le port de Bône, et qui, ne sachant pas nager, avait disparu. Après avoir dû se dégager une première fois de l'étreinte du malheureux, a réussi à le saisir de nouveau et à le ramener à terre (un sauvetage antérieur).

Tilli (Eloi-Alfred), ouvrier auxiliaire mécanicien à la direction de travaux hydrauliques de la marine à Bizerte, témoignage officiel de satisfaction : le 27 janvier 1919, dans la baie de Kacouba, a porté secours de nuit, au moyen d'une plate, à un marin en danger, tombé a la mer et entraîné par le courant. A réussi à le retrouver et à le ramener à terre, ayant déjà subi un commencement d'asphyxie.

Militaires présents sous les drapeaux.

Ali ben Ilassouna ben Ali Ahmed Souissi, soldat de 20 classe à la 25e section de C. 0. A.

à Tunis, médaille de bronze : le 18 août 1918, s'est jeté à l'eau, tout habillé, pour sauver une femme en danger de se noyer dans le canal du port de Tunis. Une fois ce sauvetage accompli, s'est remis à l'eau pour rechercher le corps d'un enfant qui avait disparu en prenant son bain et qu'il n'a pu retrouver, malgré toutes ses recherches.

Berthet (Louis-Henri), capitaine au 21e rég.

de dragons, médaille de bronze : le 6 septembre 1918, sur la plage de Plougasnou, bien que convalescent d'une blessure qui lui enlevait une partie de ses forces, a coopéré au sauvetage d'une baigneuse qui, prise de syncope, avait disparu sous l'eau.

-4> -

.,.

IIIIISTÈRE DU COMMERCE, DE UINOUSTRTE.

DES POSTES ET DES TttfCRAPHES «

Par décrets des 27 et 30 avril 1919 : M. Vaisse (François-Etienne-Germain- Alphonse), chef de bureau à l'administration centrale des postes et des télégraphes (direction du personnel et de la comptabilité), est nommé directeur de ire classe à Clermont.

Ferrand, en remplacement de M. Lebon, nommé directeur des chèques postaux et des articles d'argent à l'administrotion centralo des postes et des télégraphes.

M. Paillon {Michel-Achille), directeur de 1 r¡: classe à la direction de 28 classe du Pas-deCalais, est nommé, en la même qualité, à Marseille, en remplacement de M. Labadille, admis à faire valoir ses droits à une pension de re..

traite.

M. Labadille (Jules), directeur de 2e classe à Auxerre, est nommé, en la même qualité, à Versailles, en remplacement de M. Armagis, nommé à Draguignan.

Les directeurs de 3e classe, désignés ci-après; sont nommés directeurs de 2* classe : A Auxerre : M. Barbier (François-Gustave}, directeur de 3e classe à Chaumont, en remplacement de M. Labadille.

A Mézières : M. Pennec (Ilenri-Guiilaumo).

directeur à Troyes, en remplacement dit M. Burgué, nommé à Amiens.

A Saint-Lô : M. Asselin (Frédéric-'A] mire).

directeur à Châteauroux, en remplacement de M. Bouquet, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.

A la direction du Pas-de-Calais : M. Dubar (Charles-Henri), directeur à Aurillac, en remplacement de M. Paillon.

Les directeurs de 3e classe, désignés ci-après, sont nommés en la même qualité : ABlois : M. Maillard (François-Jules), directeur à Poitiers, en remplacement do M. Favier.

A Poitiers : M. Lannay (Delphin-Auguste), directeur à Angoulême, en remplacement do M. Maillard.

A Angoulème : M. Martinot-Dubary (GastonHippolyte), directeur à Ajaccio, en remplacement de M. Lannay; A Ajaccio: M. Caréna (Marie-Joseph-Anselme), directeur à Mendc, en remplacement de M. Martinot-Dubary.

Les fonctionnaires, désignés ci-après, sont nommés directeurs de 38 classe :

A Chaumont: M. Paul (Eugène-Louis-Napoléon), inspecteur à Melun, en remplacement da M. Barbier:

A Troyes: M. Poisson (Charles-François), inspecteur à Dijon, en remplacement de M. Peunec.

AMende:M. Coarraze (Laurent-Julien), inspecteur à la disposition du ministre des colonies pour le service de l'Indo-Chine, en remplacement de M. Caréna, nommé à Ajaccio.

A Châteauroux : M. Charpin (Louis-Félicien), sous-chef de bureau à l'administration centrale (direction de l'exploitation téléphonique), ca remplacement de M. Asselin.

A Montauban : M. Defaye (Léonce), inspecteur à Montauban, en remplacement de M. Trastour, retraité.

A Tarbes : M. G irai (Joseph-Jean-Louis, inspecteur à Perpignan, en remplacement do M. Bourdila, retraité.

A Gap : M. Brepson (Théodule-Séraphin), inspecteur à la disposition du gouverneur général de l'Algérie, en remplacement de M. de Guérin du Cayla, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.

A Aurillac : M. Deibouis (Alphonse-AntoinePierre-Louis-Marie-Joseph), inspecteur à la direction du service technique de la région de Paris extra muros, eD remplacement da, M. Dubar.

M. Favier (Joseph-Fructueux), directeur V.


3* classe à Blois, est nommé, sur sa demande, sous-directeur à Marseille (création d'emploi).

- - ♦ Par arrêté du 29 avril 1919, les inspecteurs des postes et des télégraphes désignés ci-apres sont nommés en la même qualité : À la direction de la Seine : M. Camou (François-Martin-Michel), inspecteur à Monlauban, service postal, en remplacement de M. Ragot, retraité.

M. Trivcs (Pierre-Joannin), inspecteur à Alençon, service postal, en remplacement de M. Dulieu, décédé.

M. Beurier (Etienne), inspecteur à Niort, service postal, en remplacement de M. Ducasse, nommé inspecteur principal.

M. Cardot (Jules-Auguste-François-Xavier), inspecteur à Rouen, en remplacement de M. Delluarde, nommé inspecteur adjoint à l'inspection générale.

i

A Dijon, service postal: M. Lecuyer (Emile-Alfred). inspecteur au Mans service électrique, en remplacement de M. Bazin, nommé receveur.

M. Toulon7 (Gustave), inspecteur à Chanmont. service postal, en remplacement de M. GnMrei", retraité.

11li avril 1919, M. (:I)ei,Par arrêté en date du 2 avril 1919, M. Obervier (Charles-François), sous-chef de section à Paris-Saxe, est nommé chef de poste central téléphonique de 2c classe, sur place, en remplacement de M. Mathieu, retraité.

IMNISTÈRE DE l'AGRICULTURE ET DU RAVITAILLEMENT

Par arrêté en date du 2 mai 1919, Sont mis à la disposition du commissariat général de la République à Strasbourg, pour être affectés au service forestier d'Alsace et de Lorraine, les préposés des eaux et forêts ciaprès dénommés : M. Warin (Louis-Alcide), brigadier sédentaire des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle), à Verdun (Meuse).

M. Vitrey (François-Camille-Félix). brigadier sédentaire des eaux et forêts de 2" classe (nouvelle échelle), à Sens (Yonne).

M. Galland (Jean), brigadier sédentaire des eaux et forets de 28 classe (nouvelle échelle), à Mâcon (Saône-et-Loire).

M. Rollin (Eugènc-Désiré), brigadier domanial des eaux et forêts de lre classe, aux Cinq-Tranchées (Meurthe-et-Moselle).

M. Vie (Marie-Charles-Léon-Paui-Henri), brigadier domanial des eaux et forêts hors classe, à Wisembach (Vosges).

t M. Bretagnolle (Jean), brigadier domanial des eaux et forêts de 21) classe à Tresehenu tDrôme).

M. Dilly (Eugène), garde domanial des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle) à Rosières-aux-Salines (Meurthe-et - Iosell e).

M. Droulot (Frédéric), garda domanial des eaux et forets de 2e classe (nouvelle échelle) à Champigneulles (Meurthe-et-Moselle).

M. Dudé (Louis-Joseph), garde domanial des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle) à Badonviller (Meurthe-et-Moselle).M. Gallier (Joseph-Edmond),- garde domanial des eaux et forets de 3e classe (nouvelle échelle) à l\{ollcel-lcs-Lunéyi[le (Meurthe-etMoselle,' :

M. Hensi (Joseph-Edouard), garde domanial des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle) à Brin-sur-Seille (Meurthe-et-Moselle).

M. Ilolveck (François), garde domanial des eaux et forêts de 2* elasse (nouvelle échelle) à aint-Sauveur (Meurthe-et-Moselle)..

f vfi. Sargis (Léon-Joseph), garde domanial des

eaux et forêts de l* classe (nouvelle échelle) à Emberménil (Meurthe-et-Moselle).

M. Alliet (Adrien-Eugène), garde domanial des eaux et forêts de 28 classe (nouvelle échelle) à Remilly-ïes-Vaudes (Aube).

M. François (André-Juste), garde domanial des eaux et forêts de 3S classe (nouvelle échelle) à Ramerupt (Aube).

M. Thierry (Eugtme-Arlhur), garde domanial des eaux et forêts de 2* classe nouvelle échelle) à Maupas (Aube).

M. Duchaine (Jules-Joseph-Augustin), garde domanial des eaux et forêts de 3eclasse (nouvelle échelle) àCoichot-Senories (Vosges).

M. Duval (Thomas-Joseph-Alfred), garde domanial des eaux et forêts de 4e classe (nouvelle échelle) à Rochesson (Vosges).

M. Grébert (Auguste-Alphonse), garde domanial des eaux et forêts de lrî classe (nouvelle échelle) à Belval (Vosges).

M. Schultz (Eugène), garde domanial des eaux et forêts de 38 classe (nouvelle échelle) à Monétier-Ies-Bains (Hautes-Alpes).

M. Barnaud (Louis-Marius), garde domanial des eaux et forêts de 3e classe (nouvelle échelle) à Bonneval (Drôme).

M. Bourgeois (Georges), garde domanial des eaux et forêts de 2e classe (nouvelle échelle) à Saint-Hippolyte (Doubs).

M. Narbonne (Charles), garde domanial des eaux et forêts de 28 classe (nouvelle échelle) à Petite-Chaux (Doubs).

—————— 4>

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

Paris, le 6 mai 1919.

Monsieur le Président, La nécessité d'établir, en temps utile, un programme de ravitaillement du pays, a amené, l'année dernière, le Gouvernement à prescrire, par le décret du 21 mai 1918, la déclaration des surfaces ensemencées en céréales.

L'application des dispositions prévues par ce décret a donné tous les résultats utiles en vue desquels elles avaient été édictées.

En tenant compte du fait que les opérations de guerre ont été suspendues par l'armistice, il semble prudent et opportun de recourir, pour la récolte 1919, aux mêmes mesures, pour apprécier les ressources du pays en céréales, à savoir : Il Recensement des surfaces ensemencées en blé ; 2° Rendement des blés récoltés.

Pour la première opération, il est néces- saire de rendre obligatoire la déclaration des surfaces ensemencées en céréales à la mairie de chaque commune, avec l'indication des quantités que le récoltant conservera comme réserve de consommation familiale et pour les ensemencements.

La deuxième opération exigera la vérification de ces déclarations, leur récapitulation, en vue de connaître les quantités vraiment disponibles pour l'alimentation du

pays.

ïant pour garantir à la récolte 1918 le prix qui lui a été consenti que pour distinguer cette récolte de celle de 1919, dont il s'agit de déterminer l'importance, une disposition a été prévue pour établir la sé- paration entre ces deux récoltes ; des dates limites ont été fixées pour la mise à la disposition des bureaux permanents des céréales de 191S, en tenant compte des variations de l'époque des moissons sur le territoire. Tel est l'objet du projet de décret que

j'ai l'honneur de vous prier de vouloir bien revêtir de votre signature si vous en approuvez les dispositions. Veuillez agréer, monsieur le Président,

l'hommage de mort respectueux dévouement. m Le ministre de l'agriculture et du ravitaillement, VICTOR BORST.

Le Président de la République française, Vu la loi du 10 février 1918, établissant des sanctions aux décrets et arrêtés rendus pour le ravitaillement national ; Vu le décret du 21 mai 1918, relatif à la déclaration des surfaces ensemencées ; Sur le rapport du ministre de l'agriculture et du ravitaillement,

Décrète : 1 - CHAPITRE Ier Déclaration des surfaces ensemencée en céréales.

Art. 1er. - Les cultivateurs devront déclarer, avant le 15 juin prochain, les surfaces ensemencées en céréales suivantes : blé, méteil, seigle, orge et avoine.

Art. 2. — Ces déclarations seront effectuées dans les mairies au moyen d'imprimés mis à la disposition des cultivateurs par les soins de l'administration préfectorale.

Art. 3. — Ces déclarations seront, dans chaque commune et par les soins de la mairie, récapitulées dans un état dressé en double exemplaire ; l'un de ces exemplaires sera affiché à la porte de la mairie et l'autre exemplaire sera envoyé avec les feuilles de déclaration des cultivateurs au contrôleur départemental des stocks de céréales résidant à la préfecture du département.

Art. 4. — Les contrôleurs départementaux des stocks ou leurs délégués auront le droit de vérifier sur place les déclarations des surfaces ensemencées.

CFIAPITRE II Dispositions transitoires et générale Art. 5. — Tout détenteur de quantités de blé ou de seigle provenant de la récolte 1918 et non encore prises en charge par le bureau permanent, devra les déclarer à ce bureau par écrit et les tenir à sa disposition avant les dates ci-dessous indiquées: 1° L2 30 juin, pour les départements situés dans les 6e, 7e et 8e régions agricoles, telles qu'elles ont été définies par l'arrêté du 25 février 1918, dont la liste est annexée au présent décret ; 20 Le 15 juillet, pour les départements compris dans les 28, 4e et 5e régions ; 3° Le 1er août, pour les départements composant les lre et 3e régions.

Ces délais expirés, toutes les quantités de blé ou de seigle non mises à la disposition du bureau permanent seront considérées comme faisant partie de la récolte 1919.

Art; 6. — Toute infraction aux dispositions du présent décret et notamment tous actes tendant à entraver les opérations de vérification ci-dessus prescrites seront passibles des peines édictées par la loi du 10 février 1918.

Art. 7. - Le ministre de l'agriculture et du ravitaillement est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 6 mai 1919.

11. POIMGA.RÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'agriculture et du ravitaillement, VICTOR BORKT.


MINISTÈRE DES COLONIES ,.", Le Président de la République française, Vu l'articlc 9. paragraphe 2, de la loi organique du ::0 novembre 1875 ; Vu le décret du 20 octobre 1911, portant fixation des pouvoirs du gouverneur général de 1 Indo-Chine: Vu le décret du 7 novembre 1916, déléguant M. Albert Sarraut, à titre de mission tempoj :Ilre, dans les fonctions de gouverneur' génént de l'Indo-Chine. et les décrets des 15 mai.

ùl octobre 1917, 30 avril 1918 et 15 octobre 1918 maintenant dans ces fonctions, au même titre ; Sur la proposition du ministre des colonies ; Le conseil des ministres entendu, Décrète : Art. 1er. — M. Sarraut (Alhert), député. est maintenu, à titre de mission temporaire, dans les fonctions de gouverneur général de l'Indochine.

1 Art. 2. — Le ministre des colonies est chargé 110 l'exécution du présent décret.

l'ait à Paris, le G mai 1919.

R. POINCARB.

Par le Président de la République : le ministre des colonies, HENRY SIMON.

niNISTÈRE DU TRAVAIL ET DE LA PRÉVOYANCE SOCIALE ) Par arrêté du ministre du travail et de la jirevoyance sociale en date du 7 mai 1919, a e aPProuvé le projet de statuts de la société u habitations à bon marché dite « Société anonyme des logements économiques de "Ueil » (envoie de formation), dont le siège est à Hueil, avenue de la Gare, no 117 bis.

BLNISTÈRE DE LA RECONSTITUTION INDUSTRIELLE

Aux termes d'un arrêté du 31 mars 1919, le concours pour l'admission de sous-ingénieurs h' contrôleurs des mines comme élèves ingéJjeurs à l'école nationale supérieure des ,lnes, dont la date d'ouverture a été fixée u 1er mai 1919 par l'arrêté du 13 janvier 1919, st reporté au 14 octobre 1919.

,,e s demandes d'adniission au concours dé-

niunt être remises avant le 1er août à l'ingéieur en chef du service auquel le candidat est attaché et devront parvenir à la direction des mines avant le 1er septembre 1919.

Les candidats qui ont déjà présente une demande d'admission en vue d un concours au 1er mai 1919 n'auront pas à renouveler cette j.nUnde pour prendre part au concours du octobre1919.

*

htar arrêté du 5 mai 1919, sont nommés memla commission permanente des recherchpe scientifiques sur le grisou et les explosifs *ûemvyés dans les mines, en remplacement de ItitInbres décédés ou devenus membres de Tauzin, inspecteur général des mines de c classe as* inspecteur général des mines de classe eprince-Ringuet, ingénieur en chef des U* Lavante, ingénieur en chef des mines.

trè:e Varine, ingénieur des poudres et salr es 'itesneau, inspecteur général des mines classe, est maintenu, pour l'année 1919, q 8 les fonctions de président de ladite com-

mission et M. Breynaert; ingénieur éiYchef des mines, est désigné pour remplir les fonctions de secrétaire de la commission pendant la même année.

Nominations à des emplois réservés.

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 1er mai 1919, ont été nommés dans le cadre de surveillance des établissements pénitentiaires, par application des lois des 21 mars 1905 et 17 août 1916 ; MM. Lalot (Jean).

Kaiser (Aristide).

Yitkowski (Joseph).

Daugas (Auguste).

Aupicon tEuouard).

Péloille (René).

Chemière (Henrj).

Baudout (Léon).

Renucci (Paul).

Le Sergent (Charles).

Féchant (Jules).

Sage (Emile).

Bonnin (Célestin).

Bonnin (François).

Cavanat (Eugène).

A défaut de candidats militaires, ♦

Par arrêté du ministre de l'instruction pu blique et des beaux-arts en date du 2 mai 1919 : MM. Hanau (René-Abraham) ; Amiard (Marceau) ; Guillot (Victor); Prame (George-Henri), hommes de peine à la Bibliothèque nationale ont été nommés, pour compter du 1er mai 1919 et à défaut de candidats militaires classés et inscrits, gardiens (9e classe) audit établissement.

♦ ,

Par arrêté du 23 avril 1919, MM. Rouy (Au-, guste), ex-sérgent au 2e régiment d'infanterie coloniale, et Laiguillon (Octave), ex-soldat au 97e régiment territorial d'infanterie, sont nommés, par application des dispositions de l'article 70 de la loi du 21 mars 1905, gardiens de bureau à l'école nationale supérieure des mines.

+

Par arrêté, du préfet de police en date du 24 avril '1919, sont nommés dans l'emploi de sergents de ville des communes de la Seine, après épuisement de la 36e liste des candidats classés au titre militaire pour cet emploi : MM. Thierry (Philibert).

Francart (Camille-Victor).

Josi (Alfred).

Chabas (Alfred-Marcel).

Brandon (Lucien).

Rolland (Léon-Martin-Eugène).

Saintamon (Joseph).

Grandidier (Charles).

+ —

Par arrêté du préfet de police en date du 1er mai 1919, sont nommés dans l'emploi de gardiens de la paix de la ville de Paris, après épuisement de la 37e liste des candidats classés au titre militaire pour cet emploi : MM. Adam (Marcel-Maurice).

Auclain (Auguste-Etienne-Alcide).

Barrot (Abel).

Bouzou (Louis).

Brion (René).

Drujon (Paul-Gustave).

Dufayard (Eugène).

Ilouchot (Achille).

Jacob (Paul Henri).

Jean (Eugèns-Arthémis).

Larue (Pierre).

Loyant (Auguste-Raymond).

Moindrot (Charles-Alphonse).

Nicot (Armand-Auguste).

Nonroy. (Emile).

Pellet-Michel (Hefiii-Ldùls,-Érançoli).

Rochet (Charles-Alfred).

'Veillot (Amédée-Jean). - ) .,' — — -

Par arrêté du préfet de police en date du 3 mai 1919 et par application de la loi du 17 avril 1916, M. Gerbal (Jean-Théophile) a été nommé inspecteur des halles et marchés do gros (3e tour).

:—

Gouvernement général de l'Algérie (servie des postes et des télégraphes). — Par arrêtés du 12 avril 1919, les candidats classés au titiv.

militaire, par application des lois des 21 mars 1905 et 17 avril 1916, désignés ci-après, ont été nommés :

A l'emploi de chef surveillant du cadre algérien des postes et des télégraphes.

A Constantine direction --M. Armand (R.-Il.).

candidat militaire classé au paragraphe D do la 10e liste spéciale (1er tour).

A l'emploi de surveillant du cadre algérien des postes et des télégraphes.

A Constantine direction. — M. Pompier (J.), candidat militaire classé au paragraphe D de la 10e liste spéciale (2e tour).

A l'emploi de facteur receveur du cadre algérien des postes et des télégraphes.

A Aïn-Kerma (Constantine). — M. Martelli (J.-V.), candidat militaire classé au paragraphe D de la 10e liste spéciale.

A l'emploi de facteur de ville du cadre algérien des postes et des télégraphes..

A Alger R. P. — MM. Collon (E.), Bonini(T.-J.) et Dehureaux (P.-A.).

A Oran R. P. — MM. Touati (M.), Vincensini (T.) et Caillaud (E.).

Candidats militaires classes au paragraphe D delaiû* liste spéciale.

A l'emploi de facteur local ou rural du cadre algérien des postes et des télégraphes.

A Laferrière (Oran). — M. Casanova (Matéo).

A Jemmapes (Constantine). M. Tomasi (Antoine).

A El-Affrüun (Alger). - M. Chiche (Eliaou).

A Laferrière (Oran). — M. Palma (Clément).

A Ampère (Constantine). — M. Salon (François). ,

Candidats militaires classés au paragraphe G de la 10e liste spéciale.

PARTIE NON OFFICIELLE

CHAMBRE DES DÉPUTÉS' 11* ligislatare. — Seistoa de 1919.

RÉPONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS ÉCRITES

AGRICULTURE ET RAVITAILLEMENT] 28103. — M. Barthe, député, expose à M. le ministre de l'agriculture et du ravitaille.;) ment que les fonctions de directeur du transit' maritime de Cette sont détenues par un civil et lui demande si le prétexte que précédem) ment ces fonctions étaient détenues par un., militaire peut être cause de longs retards dans le payement des factures que les services du ravitaillement doivent régler sans retard aux fournisseurs. (Question du 31 mars 1919.) * fi répost..- Le sous-intendant militaire, chargé, du 1er service à Montpellier, a ;été dé sigiie pour ordonnancer ces dépenses, et toutesL les factures eh suspens ont été réglées. Dautr..

part. les dispysiUonsnéGessaires ont été prises ,


pour que, dorénavant, le payement des factures du ravitaillement soit effectué sans re- tard.

28105. - M. Brenier, député. signale à M. le ministre de l'agriculture et du ravitaillement que les hospices de Vienne (Isère), qui comptent 000 lits civils et militaires. vont se trouver sans vin, rappelant ses quatre interventions restées sans réponses et sans résultats, et demandant s'il faut en déduire qu en pareil cas le ministre est impuissant a faire donner un wagon ou une plate-forme à l'expéditeur. (Question du 31 mars 1919.)

Réponse. — Quatre wagons plates-formes seront mis à la disposition des hospices de Vienne dans le courant de la semaine, du 11 au 17 mai, pour le transport des vins destinés à cet établissement.

GUERRE M. le ministre de la guejre fait connaître à M. le président de la Chambre qu'un délai lui est nécessaire pour rassembler les éléments des réponses à faire aux questions écrites nOi 28593 et 28654, posées les 19 et 24 avril <919 par MM. Rigal et Bourély, députés.

25885. — M. Lissac, député, signale à M. le ministre de la guerre que, par suite du refus qui lui est opposé par le commandant de la e batterie, du e d'artillerie, secteur .,de lui adresser un certificat constatant que sa dernière permission de détente date du 6 août 1918, le soldat actuellement au e d'artillerie, e batterie, secteur., ne peut obtenir la permission à laquelle il a droit, et demande que soient donnés les ordres nécessaires pour que les droits de ce militaire soient respectés. ( Question du 31 décembre 1918.) 2e réponse. — Le militaire visé a bénéficié de sa permission de détente, du 31 janvier au <1 mars 1919, pour la période comprise entre le 1er décembre et le 1er avril.

25958. — M. de Baudry d'Asson, député, signale à M. le ministre de la guerre que, lorsqu'un soldat ou sous-officier engagé pour la durée de la guerre demande à être démobilisé avec sa classe, on lui répond qu'il est impossible de rompre le contrat qui le lie à l'Etat ; et que, lorsqu'un officier, engagé dans les mêmes conditions, demande à demeurer à son poste jusqu'à la fin de la guerre, on lui objecte qu'il est atteint par la limite d'âge correspondante à son grade et que le contrat qui le lie à ,'Etat doit être rompu, et demande : 1° si, lorsqu'un officier a contracté un engagement pour la durée de la guerre, alors qu'il avait dépassé ta limite d'âge, on peut lui objecter, lorsqu'il demande à être maintenu, qu'il est atteint par cette même limite d'âge dont on n'a pas tenu compte lors de son engagement ; 2° s'il est admissible qu'on renvoie dans ses foyers un officier dans ce dernier cas en lui payant trois jours de solde, alors que ses camarades, seulement atteints maintenant par la limite d'âge, bénéficient de deux mois de congé avec solde.

[Question du 16 janvier 1919.) 3e réponse. — Les hommes de troupe engagés pour la durée de la guerre ne sont pas maintenus contre leur gré jusqu'à la fin des hostilités; les instructions sur la démobilisation spécifient, au contraire, qu'ils sont renvoyés avec leur classe, à moins qu'ils ne demandent a rester en service. De même, les officiers de complément engagés pour la durée de la guerre doivent être, en principe, démobilisés- avec leur classe. D'autre part, les prescriptions de là circulaire du 23 octobre 1918, attribuant un c'ongé de deux mois avec solde aux officiers de complément proposés pour la radiation des cadres en raison de leur âge, ne sont pas applicables aux officiers renvoyés dans leurs foyers à la suite des mesures de démobilisation. En conséquence, ces officiers doivent cesser de percevoir la solde à compter du jour de leur mise en congé illimité, ainsi que l'a rappelé une circulaire du 4 janvier 4919. Ils ont droit, par ailleurs, aux indemniUs de démobilisation dans les conditions fixées par

le décret et l'instruction du 27 mars 1919 fixant les règles d'application de la loi du 22 mars 1919. -- - -

26709. - M. Henri Labroua, député, signale à M. le ministre de la guerre qu'un grand nombre de chariots, charrettes, tombereaux, voitures à deux roues, réquisitionnés pour les soi-disant besoins de l'armée, demeurent inutilisés, en plein air et se détériorent dans le parc d'artillerie (magasins généraux) de Bordeaux-Bastide, et lui demande s'il compte encourager plus longtemps des pratiques aussi préjudiciables au 1 Trésor et. il la vie économique en empêchant agriculteurs et commerçants d'utiliser ces véhicules. (Qtlestion du 4 février 1919.) Réponse, — Des mesures ont été prises d'accord avec le ministre des finances (sous-secrétariat d'Etat de la liquidation des stocks) en vue de la cession des voitures de réquisition visées aux particuliers de la région. Ces voitures, qui ne peuvent être emmagasinées faute de place, proviennent soit des régions du Nord, soit de la 18e région. Celles qui proviennent des régions du Nord sont pour la plupart, en raison - de leur poids, inutilisables dans la 18e région, mais leur renvoi en pays d'origine ne peut s'effectuer actuellement faute de moyens de transport sur voies ferrées. Les voitures, presque toutes à deux roues, provenant de la Ise région, bien que fort usagées, servent aux échanges entre le parc et les corps ou services qui ont des voitures à réparer. Outre les voitures de réquisition, des voitures des équipages militaires de modèles réglementaires sont également en dépôt dans la cour du parc pour être réparées.

27777. — M. Cafford, député, demande à M. le ministre de la guerre, si un fils naturel, né de père inconnu, vivant avec sa mère cultivatrice, doit bénéficier de la majoration de quatre classes accordée au fils ainé de veuves cultivatrices (Question du 19 mars 1919.) Réponse. — Réponse affirmative, à condition que la mère soit dans une situation de fait identique à celle de la veuve.

27874. — M. Bouveri, député, demande à M. le ministre de la guerre : 1° si la situation difficile imposée à certains payeurs mobiles du Maroc va continuer encore longtemps, ajoutant que la pénurie du personnel des payeurs les astreint mensuellement à trente jours de tournées pénibles sans pouvoir bénéticier annuellement de leur permission; 2° si l'on compte envoyer bientôt le renfort de payeurs demandé par le chef de service et le commandement. (Question du 21 mars 1919.) Réponse. — La situation difficile signalée provient de la pénurie du personnel, incomplet à l'origine, et encore diminué par la création de nouveaux postes dans les zones nouvellement occupées. Il a été remédié à cette situation dans toufe la mesure compatible avec les nécessités du service. Actuellement 6 payeurs sur 35 sont en permissipn en Francf) et un envoi de 18 nouveaux payeurs est en cours.

28020. — M. Fourment, député, demande à M. le ministre de la guerre si des instructions n'ont pas été adressées pour que tous les emplois nouveaux (emplois d'Etat, des départements et des communes), créés à l'occasion de la guerre ou de l'exécution des lois nécessitées par laguerre, soient en totalité réservées aux mutilés et aux veuves des militaires tués à l'ennemi, qui devront subir un examen d'aptitude spécial. (Question du 27 mars 1919.) Réponse. — La loi du 17 avril 1916 et le règle' ment d'administration publique du 14 juillet 1916 qui contient le tableau détaillé des emplois réservés, avec droit de préférence, aux mutilés de la guerre, ont été réunis dans un volume de l'édition méthodique du Bulletin officiel du ministre de la guerre (volume 36 bis). Ce volume a été adressé à toutes les subdivisions de région, brigades de gendarmerie, mairies de France, aux offices départementaux de mutilés, où les intéressés peuvent le consulter. Un autre volume de la même édi-

tion (no 36 quater) est actuellement à l'impression et sera. reparti dans les mêmes conditions que le précédent. Ce deuxième volume contient la liste des emplois réservés, en vertu de l'article 3 de. la loi du 17 avril 1916, par deux cent treize entreprises industrielles ou commerciales. En ce qui concerne les

veuves des militaires tués à l'ennemi, aucune loi spéciale ne leur réserve des emplois, mais , pour favoriser leur entrée dans les établissements de l'Etat, les instruction actuellement en vigueur leur accordent un droit de priorité au point de vue des embauchages. Ces veuves sont également favorisées au point de vue du maintien, au cas où leur emploi actuel serait sujet à licenciement.

28025. — M. Jean Locquin, député, demande à M. le ministre de la guerre de donner des instructions en vue de hâter la présentation devant les commissions de réforme de tous les hommes dont les dossiers sont prêts. (Question du 27 mars 1919.) Réponse. — L'envoi devant la commission de réforme de tous les hommes dont le dossier est constitué ne peut être ajourné. De racentet instructions l'ont précisé à nouveau.

28027. - M. Jean Locquin, député, de-

mande à M. le ministre de ia guerre s'il ne croit pas équitable d'attribuer au fils unique d'une fille mère cultivatrice la majoration de ,• quatre classes prévue en faveur du fils aîné de veuve cultivatrice. (Question du 27 mars 1919.) Réponse. — Les fils naturels aînés ou uniques de filles mères cultivatrices bénéficient comme les fils aînés ou uniques de veuves cultivatrices d'une majoration de quatre classes, à condition que la mère soit dans une situation de fait identique à celle de la veuve.

28051. — M. de Chappedelaine, député, demande à M. le ministre de la guerre pourqui M. S., commissaire de police à D., ré-

formé pour amputation, le 12 juillet 1918, n'est pas encore en possession de son titre de pension, (Question du 2,9 mars 1919.) Réponse. — Le retard apporté à la liquidation de la proposition de pension est imputable au fait que des pièces du dossier ayant été inexactement établies, il a été nécessaire de les refaire. Le dossier a ensuite été envoyé à l'examen des conseils techniques centraux en vue de la liquidation de la pension. Des son retour il sera statué définitivement sur le cas de M. S.

28053. - M. Henry F o u~:~- è ,28053. — M. Henry Fougère, député, demande à M. le ministre d J la guerre si un sous-officier de la justice militaire de carrière, en Algérie, qui a été envoyé dans une unité combattante par application de la loi du 10 août 1917, qui a perçu au moment de son envoi aux armées : 1° l'indemnité fixe de déménagement ; 2° l'indemnité kilométrique pour rapatrier sa famille en France, et qui vient d'être affecté de nouveau en Algérie comme auxiliaire dans la justice militaire en attendant sa réintégration définitive, a droit, de suite, aux indemnités de rapatriement ou ne les recevra qu'au moment de sa réintégration définitive(Question du 2S mars 1919.) Réponsc. — L'intéressé aura droit, s'il y .11 lieu, aux indemnités de changement de résidence, lorsqu'il recevra une affectation dé-fini- tive dans les conditions fixées par la réglementation du temps de paix.

28057. — M. Lissac, député, demande * M. le ministre de la guerre si les (lotiante bénéficient de la prime de démobilisation e des majorations mensuelles pour le tom passé aux armées. (Question du 18 mars 1919.) 2* rdpons. — Le personnel du service ac* des douanes faisant partie des bataillons, Coin' pagnies ou sections de douaniers mobl 15 ie.

droit à l'indemnité de démobilisation dans 109


conditions prévues par la loi du 22 mars 1919 et les décret et instruction du 27 mars 1919.

28061. — M. Mauger, député, demande à IC le ministre de la guerre : 1° quelle est la situation au point de vue de la démobilisation, des militaires versés dans le service auxiliaire Pour blessures de guerre en 1914,1915 et au commencement de 1916 dont les livrets matrices ne portent pas à la suite du motif « passage dans l'auxiliaire » là mention « blessures de guerre n ; 20 quelle formalité ces auxiliaires auraient à remplir pour faire reconnaître eurs droits. (Question du 28 mars 1919.) a Réponse. - Tout hommeversé dans le service auxiliaire pour blessure de guerre rentre dans a catégorie des militaires démobilisés avec le .e et 6" échelon ; à défaut d'inscription sur le jivret matricule, ou de certificat de blessure, hntéressé doit présenter un bulletin d'hôpital 9^ un titre de convalescence constatant la blessure. Dans le cas où l'intéressé ne peut ornir aucune pièce justificative, son dépôt doit demander au centre spécial de réforme le "'us proche d'instruire l'affaire.

28064. — M. Camille Reboul, député, demande à M. le ministre de la guerre par quel IIlq yen les sursitaires agricoles, catégorie B, qui ont droit à la prime de vêtement de 52 fr., Peuvent se la faire payer, n'ayant pas en leur possession un reçu constatant qu'au moment e leur envoi en sursis ils ont rendu leurs effets militaires. (Question du 18 mars 1919.) Réponse. Les sursitaires agricoles, catégo91e B, visée par la circulaire ministérielle 9444/11, du G mai 1917, se trouvant dans le cas I,gn.alé, ont la faculté de s'adresser au corps ils ont effectué le renvoi de leurs effets rtlhtaires, afin de recevoir un certificat constant le fait et leur permettant de demander "Q échange l'indemnité de 52 fr.

28083. — M. Théo Bretin, député, demande à M. le ministre de la guerre si une ftrmière auxiliaire ayant contracté une maladie grave en service, maladie due à la contagion hospitalière, et qui a été décorée de ce [ait, peut faire valoir ses droits au port du ruban des blessés de guerre comme l'indique Pour certaines catégories d'infirmières la circulaire ministérielle du 15 juin 1917, no 15403 K 4vec additif de la circutaire du 25 novembre iy17, no 3942 M. (Question du 29 mars 1919.) 8iponse. — Pour faire établir ses droits au jOft de l'insigne des blessés, l'intéressée doit presser par la voie hiérarchique, au ministre 4" la guerre (sous-secrétariat d'Etat du service santé militaire) les certificats médicaux ^statant sa maladie et les suites qu'elle a pu J.^8084. - M. Durafour, député, signale à 1)..le ministre de la guerre qu'un certain bre de prisonniers n'ont pu obtenir, tant ç* autorité allemande que de l'autorité franclelSe, des certificats d'origine de blessure et 41e mande au ministre de hâter la constitution ^commissions médicales chargées de régler délai ces questions. (Question du 29 mars %- Onse — La mise en application de la loi du 31 mars 1919 sur les pensions des armées Stm î re et de mer, facilitera, mieux encore que -8 .Ie. mesure réclamée, la reconnaissance de trtasî u ,?ti°n médico-légale des militaires rapaé8, Il ne parait pas nécessaire de prévoir, CIi eux, la constitution de commissions mées spéciales.

-an 088. - M. André Faisant, député, de8i de à .11. le ministre de la guerre si une 15 lift? circulaire peut modifier le décret du t't Oleimbre. t918 qui a accordé à partir du une indemnité exceptionnelle ps de guerre de 2 fr. 40 par Jour, avec Ude 60 tr. par mois, et si notamment "pflêttre décidé qu'aucun rappel ne sera fait '.- du personnel aui aura auitté son em-

ploi avant le 14 novembrô 1918. (Question du 29 mars 1919.) Réponse. — Le décret du 15 novembre ne pouvait viser que les personnels qui étaient en fonctions au moment où il a été rendu et c'est bien. dans cet esprit qu'il a été rédigé. Ce n'est que par mesure bienveillante qu'il a été rendu applicable, en ce qui concerne le rappel, aux personnels ayant, avant la date du 14 novembre, quitté le service de l'Etat, pour une raison indépendante de leur volonté (licenciemeut pour manque de travail, suppression d'emploi, maladie, décès). Les personnels, non présents au 14 novembre et qui avaient rompu volontairement leur contrat de travail ou qui avaient été renvoyés comme ne donnant pas satisfaction, ont été exclus de ces mesures.

28090. — M. Paul-Meunier (Aube), député, expose à M. le ministre de la guerre que la circulaire du 3 mars 1917 stipule que les naturalisés des nations neutres et amies se trouvent rattachés à leur classe d'âge et doivent être libérés en même temps qu'elle, mais que cette circulaire ne précise pas la situation des naturalisés ayant été anciennement sujets des puissances ennemies. (Question du 29 mars 1919.) Réponse. - Les dispositions de la circulaire du 3 mars 1917 ont été complétées par celles d'une circulaire du 24 avril 1917 qui précise que les naturalisés, anciens sujets ae pays ennemis, restent régis par l'article 12 de la loi de recrutement, c'est-à-dire astreints jusqu'à cinquante ans révolus à suivre le sort de la classe avec laquelle ils ont été incorporés.

28091M. Paul Meunier (Aube), député, expose à M. le ministre de la guerre le cas d'un sergent-major du cadre actif des sous-officiers commissionnés présent sous les drapeaux au moment de la mobilisation, lié comme tel au service, mis à la retraite proportionnelle après évacuation du front et classement dans le service auxiliaire; provisoirement libéré parce qu'étant du service auxiliaire et de la classe 1896 (3 mai 1915) ; mis à la pension de retraite par décret du 22 septembre 1915. no 37264. sur

celle calculée pour le grade de sergent, attendu qu'il n'avait pas deux ans de grade dans celui de sergent-major, cette dernière promotion datant du 4 août 1914 ; rappelé avec les auxiliaires de sa classe, le 13 novembre 1915 ; ayant servi comme sergent-major jusqu'au 10 février 1919, date à laquelle il a été démobilisé en vertu de la circulaire ministérielle du 15 décembre 1918, no 27072 2/11, et demande : 1() si sa retraite doit être revisée, et dans quelles conditions ; 2° dans le cas de l'affirmative, quolles sont les pièces à établir et les formalités à. remplir. (Question du 29 mars 1919.) Réponse. — L'intéressé peut obtenir la revision de sa pension primitive, d'après le nombre d'années de service effectuées par lui depuis son dernier appel à l'activité (campagnes comprises) et d'après le dernier grade occupé par lui, ou d'après le grade immédiatement inférieur s'il n'occupe son dernier grade que depuis moins de deux années. Il peut adresser sa demande de révision de pension au ministre (service général des pensions, 3e bureau).

28119. — M. Louis Bernard (Gard), député, demande à M. le ministre de la guerre pour quelles raisons les sous-ortlciers du Maroc qui ne reçoivent pas les vivres de campagne gratuits, no reçoivent pas, comme leurs camarades de l'intérieur de la métropole, l'indemnité exceptionnelle de 2 fr. par jour. (Question du SI mars 1919.) Réponse. — La loi du 29 décembre 1918 a accordé les crédits nécessaires en vue de l'attribution de l'indemnité exceptionnelle de guerre de 2 fr. par jour aux seuls officiers et militaires à solde mensuelle de la métropole et de l'Algérie-Tunisie. En conformité de cette loi, l'indemnité exceptionnelle de guerre a été refusée aux personnels des armées et à ceux des corps d'occupatian du Maroc qui jouissent d'avantages sensiblement équivalents.

28120. - M. Louis Bernard (Gard), député, demande Si M. le ministre de la guerre

quelles sont les raisons qui motivent la suspension des permissions de détente au dépôt du .., e R. I., à ., les hommes qui en sont privés appartiennent aux classes 1907 et plus jeunes. (Question du Si mars 1919.) Réponse. — Pour assurer avec un effectif réduit par la démobilisation un service très chargé, les permissions avaient dû être suspendues momentanément au dépôt visé.

Après une interruption de deux semaines, elles ont été retablies et sont délivrées actuellement de façon normale.

28124. — M. Bosquette, député, demande à M. le ministre de la guerre dans quelles conditions l'indemnité de licenciement, prévue par la circulaire de février 1919, est accordée aux dames employées dans les bureaux de province. (Questiondu 31 mars 1919.) Réponse. — La circulaire du 26 février 1919 relative aux conditions de licenciement du personnel féminin employé dans les corps, services et établissements de la guerre, est applicable à toute la France, l'Algérie et la Tunisie,

28125. — M. Ferdinand Bougère, député, expose à M. le ministre de la guerre que les termes de la lettre du 3 mars qu'il a bien voulu lui adresser ont fait naître dans l'esprit de certains mobilisés que même les hommes détachés en sursis dans les usines pouvaient bénéficier de l'indemnité de vêtements et demande si la question doit être résolue par l'affirmative à rencontre de ce qui est dit page 14 dans le « résumé des principales dispositions relatives à la démobilisation Il. (Question du 3f mars 1919.) 2e réponse. — Les hommes détachés ou mis en sursis dans les usines bénéficient do l'indemnité de 52 fr. ou des vêtements civils, dans les mêmes conditions et sous les mêmes réserves que l'ensemble des autres démobilisés s'ils ont été placés dans cette position moins de trois mois avant leur démobilisation..

28127. — M. Brenier, député, appelle l'attention de M. le ministre de la guerre sur les chasseurs forestiers des classes démobili sables avec le 3e échelon et les échelons suivants, et qui ont été maintenus dans leurs affectations aux armées par décision du G. Q. G, du 9 février dernier, ajoutant que ces hommes paraissent retenus en nombre trop grand pouf assurer les services qui leur sont confiés et que notamment, en Alsace-Lorraine ils doublent les chasseurs forestiers de ces provinces, restés en fonctions, et demande au ministre d'envisager la démobilisation avec leurs classes de ces agents dont la présence à leur poste do l'intérieur serait d'une incontestable utilité.

(Question du 31 mars 1919.) Réponse. — Conformément au décret du 18 novembre 1890, le corps des chasseurs fo restiers reste à la disposition du ministre de la guerre pendant la durée légale des hostilités.

Les chasseurs forestiers, maintenus dans des unités forestières après la démobilisation dé leur classe, sont à la disposition du ministre de la reconstitution industrielle (inspection générale des bois), à l'exception de vingt-neuf chasseurs qui sont encore en service aux armées. L'inspection générale des bois rend les agents à l'administration des eaux et forêts au fur et à mesure des possibilités Cette réintégration sera terminée au plus tard le 31 mai prochain. 28131. — M. Paulin Dupuy (Tarn-et-Garonne), député, demande à M. le ministre de la guerre si un capitaine déjà retraité avant la mobilisation, pour ancienneté de services, avec dix-neuf annuités dé campagn'es et sept ans onze mois treize jours de grade, ayant repris du service le 2 août 1914, ce qui a fait augmenter de trois ans cinq mois vingt-huit jours la durée du grade et des services, et porté à onze ans finq mois onze jours la durée totale du grade et a vingt-deux annuités et six mois la somme des campagnes, n'a pas droit, en vertu de la loi du 24 juillet 1873, au maximum de la pension de retraite de capitaine, 3. échelon, après huit ans, et, par voie de consé-


quenco, à la revision immédiate de sa pension actuelle, sur le pied de huit ans et vingt campagnes, soit, au maximum, 3,700 fr. (Question u 31 mars 1919.) Réponse. — Aux termes de la loi du 24 juillet 1873 (art. 40), les officiers retraités et rappelés à l'activité ont droit à la revision de leur pension, mais seulement sur le grade occupe par eux au moment de leur mise à la retraite primitive, l'échelon de grade étant d ailleurs assimilé à ce point de vue à un grade.

28136 — M. Abel Lefèvre (Eure), député, demande à M. le ministre de la guerre quelle est l'utilisation qui a été prévue pour 1II. 0. E.

e Bueil actuellement désaffecte. (Question du 31 mars 1919.) Réponse. — L'H. 0. E. de Bueil, depuis sa fermeture comme formation sanitaire, est affecté au stockage du matériel sanitaire de la 3e région. Une partie de ses baraquements est, en outre, utilisée temporairement pour les besoins d'un centre annexe de réentraînement des prisonniers de guerre français rapatriés.

28139. — M. Raoul Méquillet, député, demande à M. le ministre de la guerre si un mobilisé, cultivateur, qui veut obtenir un détachement à la terre, est tenu de faire passer sa demande par la voie hiérarchique ou s'il peut l'adresser directement au préfet de son département, et s'il peut être puni de prison pour n'avoir pas fait passer sa demande par la voie hiérarchique. (Question du 31 mars 1919.) Réponse. —- La demande de détachement temporaire formulée par un mobilisé ne doit pas être adressée au préfet, qui ne serait nullement qualifié pour l'accorder ou la refuser, mais au commandant d'unité. La seule pièce qui doit passer par la préfecture est le certificat établi par le maire de la commune de l'intéressé visé par la gendarmerie, et sur lequel la commission départementale doit porter ses propositions, quant à la durée du détachement.

Le militaire visé ne doit d'ailleurs demander un détachement temporaire à ses chefs hiérarchiques que quand il est muni de ce certificat, qui doit accompagner sa demande. S'il n'adresse pas sa demande par la voie hiérarchique, il peut être puni de ce fait.

28140. — M. Raoul Méquillet, député, demande à M. le ministre de la guerre si un cultivateur appartenant à une unité du Maroc n'a pas droit a une permission agricole, alors surtout qu'il est depuis cinq ans au Maroc.

(Question du 31 mars 1919.) Réponse. — Depuis la démobilisation des R. A. T., la permission agricole, spéciale aux militaires en service aux armées, n'existe plus.

28144. — M. Maurice Viollette, député, demande à M. le ministre de la guerre pourquoi au e régiment d'artillerie B. H. R., à C., on refuse systématiquement toutes les permissions agricoles. (Question du 31 mars 4919.) réponse. — Les détachements temporaires agricoles ne sont pas systématiquement refusés à l'unité visée. Les demandes auxquelles le commandant d'unité estime, pour des raisons de service, ne pouvoir donner satisfaction sont conformément aux prescriptions de la décision ministérielle du 31 mars 1919 soumises pour décision au général commandant la subdivision. Sur les demandes présentées jusqu'à ce jour, deux seulement ont été refusées et deux ajournées à un mois.

INSTRUCTION PUBLIQUE ET BEAUX-ARTS

28649. — M. Théo Bretin, député, demande à M. le ministre de l'instruction publique si un instituteur de la classe 1917, non sorti de l'école normale, nommé auxiliaire départemental le 1er février 1915, délégué stagiaire le 1er juin 1915, appelé sous les drapeaux le

11 janvier 1916 avec sa classe, a droit au traitement d'instituteur stagiaire, à partir du 7 janvier 1919, date de son passage dans la réserve, par application de l'article 12 de la loi du 8 août 1917. (Question du 24 avril 1919.) Réponse. — Un instituteur non normalien ne peut toucher un traitement civil sous les drapeaux que s'il était en fonctions le 2 août 1914 ou si, titulaire d'un poste avant cette date, il l'avait quitté pour accomplir son service militaire.

28650. — M. Vidalin, député, demande à M. le ministre de l'instruction publique : 1° si un fonctionnaire ayant une nomination du recteur le chargeant à titre provisoire, et pour la durée de la guerre, d'un service de surveillance et ayant un service complet de répétiteur, a droit aux indemnités temporaires de 540 fr. et de 720 fr. ; 20 s'il doit être assujetti aux simples surveillants. (Question du 24 avril 1919.) Réponse. — Pour répondre à la question posée par l'honorable député, il est nécessaire de connaître, d'une façon plus précise, la situation du surveillant dont il s'agit, et, notamment, de savoir s'il reçoit en nature la nourriture et le logement.

RECONSTITUTION INDUSTRIELLE M. le ministre de la reconstitution industrielle fait connaître à monsieur le président de la Chambre qu'un délai lui est nécessaire pour rassembler les éléments de la réponse à faire à la question écrite no 28565, posée le 18 avril 1919, par M. Gruet, député.

28037. — M. Emmanuel Brousse, député, demande à M. le ministre de la reconstitution industrielle, quelle mesures il compte prendre pour faire obtenir immédiatement des wagons-réservoirs provenant du service des poudres aux négociants en vins et viticulteurs récemment démobilisés qui n'ont pu, par suite de leur présence sous les drapeaux, prendre eu rang utile les inscriptions nécessaires dans las gares ou au ministère. (Question du î7 mars 1919.) Réponse. — Le service des poudres possède un certain nombre de wagons-citernes ayant servi au transport de l'acide sulfurique. Ces wagons ont une capacité de 8 m. 3 et se divisent en deux catégories: irc catégorie: 1,666 wagons-citernes dont les citernes appartenant au service des poudres étaient montées sur plate-forme appartenant aux compagnies de chemins de fer. Conformément aux instructions données par le service central de l'exploitation des chemins de fer par lettre 950-M. R.

du 5 décembre 1918, la plupart de ces wagonsciternes après avoir été dirigés sur les différentes poudreries ont été démontés et les plates-formes remises à la disposition des compagnies de chemins de fer au fur et à mesure de leur démontage. Les citernes sont entreposées dans les poudreries: 20 catégorie : 536 wagonsciternes dont les citernes et les plates-formes appartiennent au service des poudres. Elles sont, pour la majeure partie, louées à raison de 7 fr. 50 par jour et par unité à des négociants en vins qui en ont fait la demande depuis l'armistice. Le sous-secrétaire d'Etat aux finances, liquidation des stocks, envisage actuellement soit la mise à la disposition du ministère du ravitaillement de toutes les citernes et de tous les wagons-citernes sus visés, soit leur vente par voie de publicité.

28223. — M. Géo-Gérald, député, signale à M. le ministre de la reconstitution industrielle l'impossibilité pour les industriels des Charentes d'obtenir des wagons pour Paris en vue do l'expédition des fabrications et marchandises transformées, tant pour Paris que pour les régions libérées, l'obligation devant l'encombrement des ateliers, d'arrêter la fabrication, de congédier des ouvriers, ce qui entraîne l'augmentation des commandes sur Paris surchargé, l'exode de la main-d'œuvre Sur Paris sous peine de chômage toujours dangereux et demande au ministre de prendre,

d'accord avec le ministre des transports, les mesures que la situation comporte. (Question du 3 avril 1919.) Réponse. — Le ministre de la reconstitution industrielle a signalé à son collègue des travaux publics la situation dont il s'agit et va suivre la question avec lui dans le but d'apporter les remèdes dans le plus bref délai possible,

Ordre du jour du jeudi 8 mai.

A quinze heures. — IÉANCB PUBLIQUE 1. — Discussion de la proposition de loi tendant à accorder aux femmes le droit de vote dans les élections aux conseils municipaux, aux conseils d'arrondissement et aux conseils généraux. (Nos 89-5095-5611. -M. Pierre-Etienne Flandin (Yonne), rapporteur.) 2. — Suite de la discussion : du projet de loi sur le régime de l'alcool; 2° du projet de loi portant création d'un fonds commun de, contributions indirectes au profit des communes et suppression des droits d'octroi sur l'alcool et sur les boissons hygiéniques; 3° du projet de loi portant réforme du contentieux des contributions indirectes ; 4° de la proposition de loi de M. Edouard Barthe attribuant à l'Etat le monopole de la fabrication de l'alcool; 5° de la proposition de loi de M. Emmanuel Brousse tendant à instituer le monopole de l'alcool d'industrie en faveur de l'Etat et à réglementer la consommation des boissons alcooliques ; 6° de la proposition de loi de M. Henri Connevot tendant à l'établissement des monopoles du sucre, de l'alcool et du pétrole ; 7° de la proposition de loi de MM. Edouard Barthe, Cabrol et Hubert Ronger, relative à la suppression des taxes d'octroi. (Nos 964-992-1241-1253-2034-21652210-2301-2943-3050-3387-3582-3736-3797-4033-4037* 4052-4387-4430. — M. Tournan, rapporteur.) 3. — Discussion du projet de loi autorisant des nominations et promotions dans l'ordre national de la Légion d'honneur pour récompenser les services exceptionnels rendus au titre civil au cours de la guerre. (Nos 5546-56365742-5850-6001. — M. Dufreche, rapporteur.) 4. — Discussion : 1° du projet de loi relatif au placement des marins et à l'institution de bureaux paritaires de placement maritime ; 2° de la proposition de loi do M. Lauche et plusieurs de ses collègues, tendant à organiser le placement des ouvriers, employés et domestiques et les statistiques concernant le travail et le chômage ; 3° de la proposition de loi de M. Gaston Treignier (Creuser ayant pour objet de modifier les articles 85 et 102 du livre 1er du code du travail et de la prévoyance sociale et concernant l'organisation du marché du travail. (Nos 1701-3518-3885-3917-5952. — M. Pierre Rameil, rapporteur.) 5. — Examen de la demande de discussion immédiate de la proposition de résolution de M. Maurice Damour et plusieurs de ses collègues, tendant à la création d'une commission de la paix. (N° 5570.) (Art. 24 du règlement.) 6. — Examen de la demande de discussion immédiate de la proposition de loi de M. PaulMeunier tendant à modifier l'article 31 de la loi du 30 octobre 1886 sur l'organisation de l'enseignement primaire. (N° 5129 et annexe-) (Art. 24 du règlement.) 7. — Discussion des propositions de résolution : 1° de M. Paul-Meunier ; 2° de MM. Jean Bon et Aristide Jobert, tendant à la revision des lois constitutionnelles. (Nos 5143-5150'568P* - M. Gaston Thomson, rapporteur.) 8. -r- Examen de la demande de discussion immédiate de la proposition de résolution de MM. Aristide Jobert et Jean Bon tendant à payer, dès leur retour en France, l'arriéré de leur solde aux soldats français prisonniers de guerre. (N° 5313.) (Art. 24 du règlement.) 9. — Discussion des propositions de loi et de résolution concernant la démobilisation des armées de terre et de mer. (NUS 5340-5353-***»5484-3903-4967-5019-5036-5047-5071-5134-5169-51S®" 5196-5204-5208-5233-5238-5242-5247-5259-528^53^ 5312-5343- 5381-5390-5395-5450-5481-5558-5659. M. Henry Paté, rapporteur.) 10. Examen de la demande de dlsussi" immédiate de la proposition de loi de MM. Ai tide Jobert, Cazassus et Jean Bon, tendant modifier l'article 5 de la loi du 7 juillet t81 a"-


Ja COnfection des listes électorales et à conter l'électorat aux jeunes gens figés de moins devlingt et un ans avant été mobilisés au cours de la guerre de 1914-1918. (N° 5397.; (Art. 24 du règlement.) M* Discussion de la proposition de résotlilon de M. Jacques Stern et plusieurs de ses collègues, tendant à instituer entre les puissances alliées une société financière des nations , qui répartirait entre elles, proportionnellement à leurs populations et a leurs forces de contributions respectives, les charges fisses qui couvriront les dépenses occasionnées Sr la guerre. (Nos 5344-5616. — M. Jacques otern, rapporteur.) 12. Examen de la demande de discussion médiate de la proposition de résolution de : L. Bonnevay, Landry et André Honnorat jouant le Gouvernement à prendre d'urgence toutes mesures utiles pour que les nouveaux emplOIS à la légion de la garde républicaine e soient plus réservés aux célibataires et aux (1 el Us sans enfants (N° 5418.) (Art. 24 du règlement.) 13. Examen de la demande de discussion rnmédIate de la proposition de résolution de h" DdegUiSe et plusieurs de ses collègues, visant démobilisation des hommes des régions if1D, erées. (No 5609.) (Art. 24 du règlement.) 4. - Diseussion des conclusions de la comSSion des affaires extérieures, des protectoS et des colonies sur la demande de discusimmédiate de la proposition de résalution M. Jean Bon tendant à la publication des rrS-Yerbaux des comités secrets tenus de 1914 à 1918. (Nos 5634-5662. M. Roulleaux Duëage, rapporteur.) (Art. 24 du règlement.)

J 15. Examen de la demande de discussion ATnGlédiate de la proposition de résolution de l' earges Bonnefous tendant à modifier l'arcle 51 du règlement de la Chambre en ce qui (Nllgerne le vote du budget et des crédits.

riw 5770.) (Art. 24 du règlement.) 16. -7 Examen de la demande de discussion j ^médiate de la proposition de loi de M. FranfIS Lefebvre (Nord) et plusieurs de ses colt gues sur l'incorporation des hommes apparenant aux classes t915 à 1920 restés en pays enVllhis. (N" 5782.) (Art. 24 du règlement.) 17. Examen de la demande de discussion 'rumédiate de la proposition de résolution de M. Deguise et plusieurs de ses collègues, tenant à la relève rapide et totale des troupes 5 Orient et des colonies. (N° 5786.) (Art. 24 du élément.) 18. Examen de la demande de discussion tTllrnédiate de la proposition de loi de M. Arthur passeur et plusieurs de ses collègues, tendant enfroroger les locations verbales contractées erlire- le 1er août 1914 et le 11 novembre 1918.

5938.) (Art. 24 du règlement.) 19. - Discussion de la proposition de loi de Maurice Viollette et plusieurs de ses collè» tendant à interpréter l'article 1er et l'ar1I N 2 de la loi du 10 avril 1917. (Nos 4649-4746. —

'w—, rapporteur.) Ob2J,Ot' - Discussion du projet de loi ayant pour Jlt de inoàifler la loi du 16 mars 1882 sur adrlinistration de l'armée. (Nos 3356-3600-3996.

~- RI- Lachaud, rapporteur.) 21. - Discussion de la proposition de loi de :DÕlul-leunier tendant à lever l'état de siège (o 17Que déclaré par la loi du 5 août 1914.

- - 720-135,9. M. Paul-Meunier, rapporteur.)

Il 2. - Discussion de la proposition de loi de \'iÎl:adUI-Meunier tendant à l'application à la ga.lli e. Paris de la loi du 5 avril 1884 sur l'orIdeu Shon municipale. (Nos 737-1488. - M. PaulnIer, rapporteur.) de2. Discussion : de la proposition de loi )èg ¡ Amédée Peyroux et plusieurs de ses colSUIes, tendant à modifier la loi du 5 août 1914 clontels allocations aux familles nécessiteuses les ft le soutien serait appelé ou rappelé sous peaux; 2° de la proposition de loi de Mltf j,Bu °uveri et Théo Bretin, tendant à augmen5 cealtlcation principale et les majorations de Proi^ïJ^es aux familles de mobilisés ; 3° de la sesPcOoSllltèlOn de loi de M. Navarre et plusieurs de tion gues, tendant à accorder une majora8.11t f^pplémentaire de 25 centimes par enfant )¡\r fer'l'Iles bénéfloiant des allocations prévues le loi ioi du 5 août 1914; 4111 de la proposition llti e MM. Maurice Bosquette et Léon Charer concernant l'allocation aux familles des

militaires originaires des pays envahis et l'allocation des réfugiés; 5° de la proposition de loi de M. Fernand Merlin et plusieurs de ses collègues, concernant le relèvement des allocations militaires. (Nos 1449-1697-1968-2127-2168-2200-26242717-2723-2904-2991. — M. André Faisant, rapporteur.) 24, - Discussion de la proposition de résolution de M. Duclaux-Monteil tendant à modifier la résolution du 17 janvier 1917 concernant la procédure exceptionnelle des projets de loi urgents qui intéressent la défense nationale.

(Nos 2959-3018-3100. — M. Lefas, rapporteur.) 25. — Discussion du projet de loi tendant à modifier la loi du 30 mai 1916, relative aux œuvres qui font appel à la générosité publique. (Nos 4189-4402. — M. Mauger, rapporteur.) 26. — Discussion de la proposition de loi présentée par la commission de la législation civile et criminelle chargée d'examiner l'amendement de MM. Bracke, Renaudel et Théo Bretin à la proposition de loi tendant à modifier divers articles du code de justice militaire pour l'armée de terre (composition des conseils de guerre). (No 46il. — M.Paul-Meunier, rapporteur.) 27. — Discussion de la proposition de loi de M. Jean Bon sur le commerce de la presse.

(Nos 3837-4978. — M. Paul-Meunier, rapporteur.) 28. — Discussion de la proposition de loi de M. Paul Constans (Allier) et plusieurs de ses collègues, tendant à la création d'un ministère de la santé publique. (N°* 853-5131. — M. Navarre, rapporteur.)

29. — Discussion de la proposition de loi de

M. Paul Constans (Allier) et plusieurs de ses collègues, ayant pour objet d'encourager la maternité et de favoriser les naissances. (No 2481.) (Art. 29 du règlement.) 30. — Discussion des propositions de loi : 1° de M. Barthe sur l'exercice de la pharmacie ; 2° de MM. Amédée Peyroux et Lefebvre du Prev tendant à réglementer la vente des spé- cialltés pharmaceutiques. (Nos 143-5664. M. Emile-Vincent (Côte-d'Or), rapporteur.)

La séance du jeudi 8 mai est la 105e de la session ordinaire de 1919 ; des billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : Galeries. — Depuis M. Philbois, jusques et y compris M. Pressemane.

Tribunes. — Depuis M, Cazassus, jusques et y compris M. Chaulin-Servinière.

Liste des projets, propositions ou rapports , mis en distribution le 8 mai.

N,3 5974. — Rapport, par M. Joseph Denais, sur l'amendement concernant la taxe de luxe.

N° 6018. — Rapport, par M. Drivet, sur le projet de loi concernant los sociétés de mines dont l'exploitation est située dans les régions envahies.

No 6070. — Rapport, par M. Jean Ossola, sur la - proposition de loi concernant les commissions de réforme.

N° 6083. — Proposition dp résolution de M. Joseph Denais, concernant la restitution du bétail volé par les Allemands.

6086. — Proposition de résolution de M. Aristide Jobert, concernant les mesures propres à assurer la prochaine consultation électorale.

N° 6088. — Proposition de résolution de M. Durafour, concernant le payement de la prime de démobilisation.

Commission des affaires extérieures.

Séance du mercredi 7 mai.

Présents. — MM. Franklin-Bouillon, Amiard, Candace, de Chappedelaine, Cornudet, Delahaye, de la Ferroniiays, Ellen Prévot, Escudier, Guernier, Margaine, de Moustier, Pichery, Roulleaux-Dugage, Thomson.

Commission de l'agriculture.

Séance du mercredi 7 mai.

Présents : MM. Barthe, Louis Bernard, CarréBonvalet, Fernand David, Delpierre, Galpln, Ga&ton Treignier, Guich'ard, Mando, de Montjou, Léon Perrier, Théveny.

Commission du budget.

Séance du mercredi 7 mai.

Présents: MM. Péret (Raoul), Marin (Louis), (J.-B.) Abel (du Var), Ajam, Albert Grodet, Aldy, Ancel (Georges), Aubriot (Paul), Bedouce, Bénazet, Bouffandeau, Brousse (Emmanuel), Denais (Joseph), Dumont (Charles) (Jura), Lefevre (André) {Bouches-du-Rhône), Merlin, Monestier, Serre (Louis), Simyan, Varenne.

Commission de la marine marchanda.

Séance du mercredi 7 mai.

Présents. MM. Guornier, Ancel (Georges), Ballande, Bienaimé, Candace, Défossé (Adolphe),Nibelle, William Bertrand.

Conyocations da jeudi 8 mai

Commission du budget, à quinze heures.

Commission d'assurance et do prévoyance sociales, à dix heures. — Local du 6e bureau.

Commission des douanes, à dix heures. Local du 4e bureau.

Commission de la marine de guerre, à quinze heures. — Locat du 3° bureau.

Commission de réorganisation économique, il seize heures. - Local du 5° bureau.

Rectifications de vote.

- *

(Scrutin (n° 897) du 6 mai.

Sur l'ordre du jour de M. Ernest Outrey et plusieurs de ses collègues, M. Demcllier déclare qu'il a été porté par erreur comme « n'ayant pas pris part au vote » et qu'en réalité il avait voté « pour ».

M. Gaborit déclare qu'il a été porté par erreur çomme « n'ayant pas pris part au vote » ef qu'en réalité il avait voté cr pour ».

AVIS ET COMMUNICATIONS

Ministère de la marine.

Examen d'es candidats au 0rade d'officier d'administration de 5e classe contrôleur d'armes de la marine.

Les examens des candidats au grade d'or- ficier d'administration de 3e classe contrôleur d'ltrmes, prévue par l'arrêté ministériel du 27 août 1916 (8. 0., 2e sémestre 1916, p. 195), auront lieu le 15 juillet 1919.

Les listes nominatives des premiers maîtres armuriers désireux de prendre part aux examens, devront parvenir au département le 15 juin 1919, au plus tard. Ces listes indique; ront les noms et prénoms, grade, date de nomination au grade de premier maitre, lé décompte des services Ii la mer et a terre accomplis dans le grade, les punitions en.

courues dans le grade, avec les motifs et l'appréciation générale sur la valeur des eaudidats.

La liste des candidats admis à subir l'épreuve écrite sera arrêtée .par le ministre et communiquée en temps opportun.

L'examen oral et les épreuves pratiques que devront subir les candidats admissibles à l'épreuve écrite, auront lieu à Toulon, à une date qui sera fixée ultérieurement.

1


Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts.

Béparîiiim d?s bourses d'enseignement primaire supérieur pendant l'année 4918.

A la suite des examens des 16 et 23 mai 1918, auxquels se sont présentés 4.365 aspirants (2,3«)0 garçons et 2,575 filles), 2,170 candidats ont été déclarés admissibles (1,034 garçons et 1,136 filles).

Les crédits disponibles ont permis aux pré lets d'accorder des bourses ou fractions de hourses de diverses catégories à 1,336 élèves (1).

Le tableau ci-dessous en donne la division par nature de bourses : Garçons.

Internat 256 Familiales 58 Entretien. 322 636

Filles,

Internat. 308 Familiales.-. 85 Entretien. 307 700

Sur les 636 garçons auxquels des bourses ont été concédées : 464 ont été placés dans les écoles primaires Supérieures publiques ; 156 ont été placés dans les cours complémenjnentaires ; 16 ont été placés dans des établissements libres.

Sur les 700 filles nommées : 545 ont été placées dans les écoles primaires supérieures ; 155 ont été placées dans les cours complémentaires.

DÉPARTEMENT DE L'AIN Bardin (Alexis), né le 4 août 1905 à Corbonod.

Le père gendarme à Virieu-le-Grand ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Belley.

Berné (Fernande), née le 14 janvier 1904 à Jassans-Riotfier. Le père employé aux tramways à Jassans Riottier; 2 enfants. — Demibourse familiale, école primaire supérieure de Villefranche (Rhône).

Blanc (Louis), né le 16 juillet 1906 à Méiériat.

Le père représentant de commerce à Mézériat; 6 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire Carriat, à Bourg.

Charbonnier (Madeleine), née le 24 septembre 1905 à Lyon (Rhlne). Le père gérant d'épicerie à Châtillon-la-Palud ; 3 enfants, — Demibourse d'internat, écola primaire supérieuré de Trévoux.

Darbon (Lucienne), née le 27 septembre 1904 à Dommartin. Le père instituteur à Saint-Bénigne; 2 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Trévoux.

Grill et (Maria), née le 4 août 1905 à Tenay. La mère ouvrière en soie à' Tenay; 2 enfants.

- Bourse d'entretien, cours complémentaire Annecy.

Guichard (Yvonne), née le 18 juillet 1905 à trontenay (Jura). La tutrice Mme Chrétiennot, institutrice à Sulignat ; 2 enfants. —

Demi-bourse d internat, école primaire supérieure de Chatillon-sur-Chalaronne.

Mignot {André), né le 2 août 1903 à Bourg. La mère couturière à Bourg ; 1 enfant. — Bourse d'entretien, cours complémentaire Carriat à Bourg.

Monneret (Henri), né le 23 novembre 1903 à Villedieu (Doubs). Le père capitaine des douanes, en congé à Flaxieu; 4 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Belley.

(1) Les élèves titulaires d'un quart de bourse d'internat sont obligatoirement pourvus d'une fraction au moins égale de bourse départementale ou communale.(Art. 49 du décret du 18 janvier 1887),

Pommier (Gabriel), né le 29 octobre 1904 à Colionges. Le père gendarme à Collonges; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Nantua.

Rivollet (Lucienne), née le 18 novembre 1904 à Mouthe (Doubs). Le père vérificateur des douanes à Bellegarde; 5 enfants. - Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Châtillon-sur-Chalaronne, Tabouret (Clament), né le 27 juin 1905 à la Roisse. Le père receveur buraliste àla Boisse ; 1 enfant. — Bourse d entretien, cours complémentaire de Miribel.

Tlête (Elisée), né le 23 février 1904 à Aix-lesBains (Savoie). Le père facteur au Paris-LyonMéditerranée, à Bourg; 3 enfants. - Bourse d'entretien, cours complémentaire de Carriat, à Bourg.

Vulin (Philippe), né le 18 juin 1905 à Domsure.

La mère institutrice à Saint Georges-surRenon; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Châtillon-surChalaronne.

DÉPARTEMENT DE L'AISNE Vanier (Yvonne), née le 31 mars 1904. Le père boulanger à Soissons ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure d'Hirson, avec transfert provisoire à l'école primaire supérieure de Fougères jusqu'à la reprise des cours à Hirson.

DÉPARTEMENT DE L'ALLIER Aucouturier (Madeleine-Alice), née le 11 mars 1905 à Domérat. Le père vigneron à Domérat; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Montluçon.

Baptiste (Jean-Paul), né le 26 janvier 1905 à Dompierre. Le père mécanicien à Lapalisse ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Lapalisse.

Barachon (Ernestine-Marcello), née le 12 octobre 1904 à Franchesse. Le père ouvrier agricole à la Chapelaude ; 1 enfant. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Montluçon.

Barathon (Pierre), né le 15 avril 1905 à la Chafelaude. Le père cultivateur à Franchesse ; 1 enfant. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins.

Bossard (Marcel-François), né le 13 janvier 1906 à Cosne (Nièvre). Le père mécanicien au chemin de fer Cosne-d'Allier ; 3 enfants. - Demibourse d'internat. écoi , bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins.

Chavagne (Marcel-IIenri), né lé 28 avril 1905 au Bouchaud. Le père aubergiste au Bouchaud ; 2 enfants. - Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Vichy.

Chevalier (Alfrède-Anne-Marie-Alice), née le 7 février 1904 à Cusset. La mère lingère à Cusset; 1 enfant. - Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Cusset.

Confesson (Marie-Valentine), née le 22 avril 1S04 à Malicorne. Le père boulanger à Malicorne ; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Montluçon.

Dacher (André-Marie-Michel), née le 14 mai 1905 à Nancy (Meurthe-et-Moselle). La mère institutrice à Saulcet ; 4 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Pourçain.

Desforges (Marie-Maria), née le 7 septembre 1905 à Domérat. Le père facteur rural à Montluçon; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montluçon.

Ducros (Jeanne-Marie), née le 31 décembre 1905 à Deneuille-les-Mines. Le père facteur rural à Chambet ; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Montluçon.

Fayt (Juliane), née le 7 janvier 1905 au Brethon. Le père instituteur au Brethon ; 1 enfant. Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Montluçon.

Ferrieux (Jules-Louis-Eugène), né le 21 juin 1905 à Buxières-Iei-Mines. Le père caissier à Buxières-les-Mines; 4 enfants. Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins.

Fouquet (Marie-Antoinette), née le 23 avttl 1903 A Chabreloche (Puy-de-Dôme). Le père gendarme à Saint-Germain-des-Fossés ; 2 en" fants. Trois quarts de bourse d'internat, coull complémentaire de Cusset.

Fournier (René-François), né le 24 février 1905 à Couzon. Le père cultivateur à Limoise; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins.

Qibart (Lydia-Maria-Jeanne), née le 23 février 11906 à Montluçon. La mère couturière a Ebreuil ; 1 enfant. — Quart de bourse d'inter* nat, école primaire supérieure de MontluÇon.

Gonteraut (Anna-Marguerite), née le 9 octobre 1905 à Bresnav, Le père maréchal ferrant à Bresnay ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire de Moulins.

Greuzat (Suzanne), née le 19 mai 1905 à Domérat. Le père ouvrier d'usine à MontluÇon; 3 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montluçon.

Lacroix (Hubert), né le 25 juillet 1904 à Voussac. Le père boucher à Voussae ; 1 enfant..-* Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins.

Laplanche (Renée-Augustine-Emilie), née l0 3 juillet 1905 à Montluçon. Le père modeleur à Montluçon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montluçon.

Martin (Henri), né le 22 juin 1905 à Buxiél'eS' les-Mines. Le père instituteur au Bouchaud ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins.

Martin (René), né le 24 avril 1904 à Néris-lef Bains. Le père mineur à Néris-les-Bains t 4 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure à Gannat.

Morand (Suzanne-Antoinette), née le 6 février 1904 à Moulins. Le père serrurier à MoulInS, 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entre' tien, cours complémentaire de Moulins.

Randolphe (Simone), née le 30 avril 1903 à De* neuille-les-Mines. La mère à Chatilloo.

5 enfants. — Quart de bourse d'interne école primaire supérieure de Montluçon.

Renon (Marie-Louise), née le 15 mars 1903 Argenty-Teillet. Le père maçon au ChI rt commune de Teillet ; 3 enfants. QuaF de bourse d'internat, école primaire supé rieure de Montluçoo.

Roche (Jeanne-Germaine), née le 25 septebf 1904 à Saint-Nicolas-des-Biefs. Le père InS.

tuteur à Nizerolles ; 2 enfants. — Deuli' bourse d'internat, école primaire supérieure de Montluçon.

Valignat (Pierre-Célestin), né le 25 juillet i9 à Louroux-de-Bouble, Le père instituteur 8 Paray-le-Frésil ; 5 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Moulins. 05 Vasseur (Odette-Ernestine), née le 19 mars 1905 à Dunkerque (Nord). Le père tailleur à montluçon ; 4 enfants. Quart de bourse d en1 tien, école primaire supérieure de t .- luçon. à

Vernis (Marie-Joséphine), née le 29 juin 1905 Aurillac (Cantal). Le père chauffeur aUQart min de fer à Montluçon ; 1 enfant. Qua rt de bourse d'entretien, école primaire sup é.

rieure de Montluçon.

DÉPARTEMENT DES BASSBS-ALPES Durand (Raoul), né le 8 septembre 1903, lrarn&' rame-Basse. Le père boulanger à T 0 iliale, Basse; 4 enfants. Demi-bourse fanw cours complémentaire de Digne. 'c» 1 Garcin (Paul-Marceau), né le 7 février Thoard Le père négociant en tissus a m" ur$ 6 enfants. Demi-bourse d'internat, Cours complémentaire de Seyne. üt Graillon (Anna-Joséphine-Zélie), née le 1err aoùt 1904 à Castellane. Le père menuisier et roly cierge du palais de justice de Cas t école 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Sisteron. Lagarde (Léa-Thérésine-Denise), née le éiÔr vier 1904 à la Motte-du-Caire. Le père é leie-r, à la Motte-du-Caire; 7 entants. - éri.ute bourse d'internat école primaire suy u~ de Sisteron, 1


Mahoudeaux (Yves-Paul-Louis), né le 7 novem- bro 1904 à Digne. Le père employé électricien à Digne ; 2 enfants. — Quart de bourse d'en- tretien, cours complémeniaire de Digne.

Simon (Joseph-Elie), né le 19 mars 1901 à Thofane-Basse. Le père maçon à Thorane-Basse; S enfants. — Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Digne.

DÉPARTEMENT DES HAUTES-ALPES Gabert (Marie-Rose-Joséphine), née le 24 janvier 1904 à Méreuil. Le père cultivateur à Méieuil; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Serres.

Jaussaud (Armande-Augusta-Andréa), née le 21 mars 1905 à Gap. Le père employé au génie à Gap; 6 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Gap.

Lagier (Rose-Germaine), née le 18 novembre 1905 à Grand-Lemps (Isère). Le père sous-chef de gare à Grenoble; 3 enfants. — Quart de bOt!rse d'entretien, école primaire supérieure de Grenoble.

Majoli (Robert-Adolphe), né le 8 août 1905 à la Salle. Le père cultivateur au Bez (la Salle); A enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Monêtier-les-Bains.

Mathieu (Fernande-Marie-Louise), née le 25 novembre 1905 à Gap. Le père voyageur de commerce à Gap; 2 enfants. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Gap.

Michel (Juliette-Marcelle-Adrienne), née le 9 novembre 1905 à Valence (Drôme). Le père cafetier à Gap; 2 entants. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Gap.

Mondet (Blanche-Mathilde), née le 27 juillet 1905 à Briançon. Le père facteur receveur à Saint-Clément: 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Briançon.

Roubaud (Alphonse-Arthur-Marie), né le 10 juin 1904 à la Roche-des-Arnauds. Le père fac- teur des postes à la Roche-des-Arnauds ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Veynes.

Rousset (Célestine-Marthe-Emilie), née le 2 avril 1904 à la Grave. Le père instituteur à Villard'Arène; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Briançon. Villar (Ivan-Edouard-Jean-Marie), né le il avril 1S05 àLaye. Le père instituteur à Pelleautier; 5 enfants. Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Veynes.

DÉPARTEMENT DES ALPES-MARITIMES

Auzias (Marius-Apollin-Fortuné-IIonoré), né le 31 mai 1903 à Biot. La mère veuve Bouni, institutrice à Biot ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Cannes.

Brulti (Joséphine-Annonciation-Charlotte, née le 28 août 1905 à Nice, La mère veuve, journalière à Nice ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nice.

Dupont (Albert-Pierre), né le 5 mars 1904 à Nice. — Le père employé à Nice ; 2 enfants.

—Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Cannes.

Gaillard (Jeanne-Sophie-Françoise), née le 30 mars 1904 à Nice. La mère veuve, à Nice; 2 enfants. - Quart de bourse d entretien, école primaire supérieure de Nice.

leca (Marie-Thérèse), née le 1er février 1904 à Auribeau. Le père facteur receveur à Auribeau ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entre- tien, école primaire supérieure de Cannes.

ttaiffret (Augustine-Claire), née le 20 août 1905

a Gap (Hautes-Alpes). Le père ouvrier télégraphiste à Nice ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nice.

f ftrlange (Renée-Catherine-Augustine), née le ttr mars 1904 & Domfront (Orne). La mère veuve à Nice; 2 enfants. - Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nice,

Raymond (Louis-Auguste), née le 25 novembre 1905 à Roquesteron. Le père boulanger à Antibes ; i enfant, — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Cannes.

DÉPARTEMENT DR L'ARDÈCHB Chalayc (Madeleine-Célestine-Julietle), née le 3 juillet 1905 à Lamastre. Le père journalier, la mère institutrice à Lamastre; 2 enfants.Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Lamastre.

Debos (Madeleine-Alphonsine), née le 5 novembre 1905 à Crest Drôme). Le père chef de poste des contributions indirectes; 5 enfants.

— Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Aubenas.

Dorne (Noël), né le 22 août 1903 à Brioude (HauteLoire). La mère veuve, institutrice à Desaignes; 2 enfants. — Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Lamastre.

Dorne (Yvonne-Alice), née le 3 janvier 1905 à Desaignes. La mère veuve, institutrice à Desaignes; 2 enfants. - Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Lamastre.

Feuiller (René-Camille-Léon), né le 20 juin 1906 à Viviers. Le père menuisier à Viviers; 2 anfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure et professionnelle d'Aubenas.

Marc (Fernande-Hélène-Andrée), née le 10 janvier 1906 à Chambonas. Le père instituteur en retraite à Malarce; 4 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Largentière.

Ville (Robert-Gabriel), né le 8 mai 1905 à Viviers. Le père peintre à Viviers; 1 enfant. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure et professionnelle d'Aubenas.

DÉPARTEMENT DES ARDENNES Arnould (Magdeleine), née le 12 juillet 1904 à Grandpré. Le père cultivateur à Grandpré ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Mézières (provisoirement à Wassy).

Auvray (Robert), né le 11 février 1906 à Nouzon. Le père instituteur à Novion-Porcien : 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mézières (provisoirement à Albi).

Belard (Henriette), née le 1er mai 1904 à Joigny-sur-Meuse. Le père garde-barrière à Joigny ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Charleville (provisoirement à Chaumont).

Fricotteau (Charlotte), née le 17 octobre 1905 à Wignicourt. Le père instituteur à Biermes ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Charleville (provisoirement à Joigny).

Lairé (Suzanne), née le 9 octobre 1905 à Charleville. Le père charron à Charleville ; 2 enfants. - Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Charleville (provisoirement à Rennes).

Malicet (Georges), né le 18 novembre 1905 à Nouzon. Le père instituteur à Pouru-auxBois ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Mézières (provisoirement à Gérardmer).

Sauvage (Raymonde), née le 14 avril 1906 à Savigny. Le père chef de gare à Vrigne-auxBois; 1 enfant. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Mézières (provisoirement à Wassy).

DÉPARTEMENT DB L'ARIÈGS Beaumale (Louis-André-Joseph), né le 15 octobre 1904 à Layelanet. Le père commis de fabrication de draps à Lavelanet; 1 enfant.— Demi-bourse d'internat, écolo primaire supérieure deMirepoix.

Beulayguo (Marius-Jean-Joseph), né le 16 mars 1905 à Caussou. Le père cantonnier-chef à Ax-les-Thermes; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mirepoix.

Martre (Suzanne-Marie-Louise), née le 22 août 1905 a Ax-les-Thermes. Le père meunier à Ax-les-Thermes ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Foix.

Pailhôs (Paule-Andrée), née le 3 avril 1904 à Daumazan. Le père cultivateur Daumazan; 2 enfants, - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Foix.

Pouiles (Fernand-Achille), né le 13 mars 1905 à Montpellier (Hérault). Le père marchand forain a Pamiérs ; 5 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mirepoix.

Rouan (Fridals-Elisabeth), née le 2 juin 1905 & Hanoï (Tonkin). La mère veuve d'un commis des postes à Hanoï ; 5 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Foix.

Vidal (Antoine), né le 12 août 1905 à Jllier-La ramade. Le père cultivateur à illier ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mirepoix.

DÉPARTEMENT DE L'AUBB

.0 Coste (Jeanne-Louise), née le 8 juillet 1905 à Lantages. La mère veuve, aubergiste à Lantages; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Joigny.

Félix (Simonne-Georgette-Yvonne), née le 20sep.

tambre 1905 à Voiteur (Jura). Le père notaire à Vanlay ; 4 enfants. — Demi-bourse dinternat, école primaire supérieure de Joigny.

Gousset (René-Gaston), né le 24 janvier 1905 à Bourmont (Haute-Marne). Le père brigadier de gendarmerie à Chavanges ; 1 enfant. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Bar-sur-Seine.

Hacquin (Roger-Louis-Fernand), né le 31 mar?

1905 à Bouilly, Le père clerc de notaire à Saint-Jean-de-Bonneval ; 2 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Bar-sur-Seine.

Moreau (Madeleine-Marie-Marthe), née le 18 mai 1905 à Brienne-le-Chateau. Le père facteur i Brienne-le-Ch&teau) ; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Wassy.

Paublant (Jacques-François), né le 8 mars 1905 à Bar-sur-Seine. Le père agent d'assurances à Bar-sur-Seine ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bar-sur-Seine.

Pinton (Marguerite-Anne-Elisabeth), née la 10 octobre 1904 à Vendeuvre. Le père maréchal des logis, à Mailly ; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Joigny.

Vouriot (Fernande-Louise-Andrée), née le 18 no- membre 1905 à Couvignon. Le père cultivateur à Couvignon ; 6 enfants. — Demi-boursa d'internat, école primaire supérieure de Chaumont.

DÉPARTEMENT DB L'AUDK Ayraud (Maurice-Jacques), né le 30 juin 1905 à Montbrun. Le père à Montbrun; 3 enfants.

— Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Limoux.

Barrau (Marie-Louise-Pauline), née le 7 juillet 1905 à Badens. Le père cultivateur à Badens; 1 enfant. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Limoux.

Cathala (Marguerite), née le 24 octobre 1905 à la Nouvelle. Le père instituteur à Montbrun ; 3 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Castelnaudary.

Douce (Rosa-Julie-Emilie), née le 10 mai 1905 à Lastours. Le père facteur à Trèbes ; 3 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Castelnaudary.

Escaffre (Camille-Paule), née le 16 février 1904 à Paris. Le père dentiste à Gentilly; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Castelnaudary.

Fil (René-Marius), né le 21 décembre 1904 à Bize. Le père cultivateur à Bize; 2 enfants.

— Quart de bourse d'iuternat, école primaire supérieure de Limoux.

Hygonnet (Marcelin-Baptiste), né le 11 mars 1905 à Chalabre. Le père cafetier à Chalabre; 3 enfants. — Quart de bourse d'internat.

école primaire supérieure le Limoux,


'Jfouy (Jeanne-Marie-Louise), née le. 16 mars 1905 à Cabrespine. Le père tailleur à Cabrespine ; 1 enfant. - Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Castelnaudary.

Miquel (Albert-Maurice-Danton), né le 10 août 1904 à Peyriac-de-Mer. Le père cultivateur à Mauvrignon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Limoux.

Pfundestein (Maximilien), né le 2 avril 1906 à Toulouse. Le père receveur des postes à Bize ; 1 enfant. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Limoux.

Rèfle (Madeleine-Raymonde-Antoinette), née le 27 août 1905 à Lezignan. La mère veuve à Lézignan ; 1 enfant. - Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Castelnaudary.

Roussel (Adrienne-Paule-Juliette), née le 19 juillet 1904 à Ginestas. Le père cultivateur à Ginestas ; 3 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Castelnaudary.

Ségui (Emile-Mare-Marius), né lo 10 août 1905 à Alzonne. Le père maréchal ferrant à AIzonne ; 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Limoux.

DÉPARTEMENT DE L'AVEYRON Auzole (Marie-Louise), née le 1er septembre 1904, à Coronel-Suarez (province de BuenosAyres). Le père maçon à Recoules-Prévinguières ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Rodez.

Bec (René-Henri), né le 17 décembre 1904, à Bozouls Le père instituteur à Saint-Maiiricesur-Sorgues ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, ecole primaire supérieure d'Aubin.

Bourdy (Marcel-Auguste), né le 5 janvier 1905 à Aubin. Le père chef de poste aux mines de Campagnac à Cransac ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Aubin.

Cazais (Roger-Ernest), né le 26 février 1905 à Decazeville. Le père instituteur à Saint-Rochl; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aubin.

Couronne (Paul-Pierre-Jean), né le 26 juin 1905 à Decazeville. Le père comptable à Decazeville; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aubin.

Dudon (Léon), né le 15 mai 1904 à CapdenacGare. Le père monteur au dépôt de la compagnie du P.-O. à Capdenac-Gare ; 3 enfants.

- Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aubin.

Çaltier (Jules), né le 5 janvier 1905 à Sénergues. Le père facteur receveur à Sénergues; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Rodez.

Laborie (Marcel-Jean-Paul), né le 12 juin 1C03 à Viviez. Le père charretier à Viviez ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Rodez.

Toulzanne (Rose-Françoise-Antoinette), née le 9 juin 1905 à Narbonne (Aude). Le père chef de station à Saint-Georges-de-Luzençon ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Rodez.

ÉPdARTEMEJÎT DES BOUCHES-DU-RHÔNE iillaud (Juliette), née le 17 mars 1905 à Villars (Vaucluse). Le père gardien de phare à Marseille ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

intras (Mar'ius -Germain), né le 17 mai 1905 à Marseille. Le père employé d'octroi à Marseille ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour, à Marseille.

Ayvasian (Mavinette), née le 3 juin 1904 à Jouques ; la mère veuve, à Marseille ; 2 enfants. —- Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieuro de la rue Sainte-Victoire à Marseille.

Bagué (Marie-Louise), née le 10 janvier 1903 à Marseille. Le père mobilisé à Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Sainte-Victoire à Marseille.

Bianco (Raymonde), née le 17 février 1905 à Marseille. Le père employé de commerce à Marseille ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Sainte-Victoire à Marseille.

Boyer (François-Marie), né le 16 février 1905 à Marseille. La mère veuve à Marseille; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Carvin (Marthe), née le 29 mars 1904 à Marseille. Le père mobilisé à Marseille; 2 enfan s. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Clariond (Auguste-Victor), née le 10 mars 1905 à Marseille. La mère veuve, coiffeuse à Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Coquillat (Julienne), née le 24 septembre 1904 à Jouques. Le père mobilisé à Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Corsé (Mathilde), née le 20 avril 1903 à Marseille. Le père mobilisé à Marseille ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Sainte-Victoire à Marseille.

Coulon (Marie-Thérèse), née le 17 février 1905 à Marseille. Le père quincailler à Marseille; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue SainteVictoire à Marseille.

Dijon (François), né le 3 novembre 1905 à Eyragues. Le père cultivateur à Eyragues; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Espallac (Félicien-Pierre), né le 30 juin 1905 à Marseille. Le père mobilisé à Marseille; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue VictorHugo à Marseille.

Eynaud (Hélène-Joséphine-Louise), née le 8 avril 1906 à Marseille. La mère veuve, repasseuse à Marseille ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Sainte-Victoire à Marseille.

Fabre (Roger), né le 30 août 1903 à Salon. Le père mobilisé à Salon ; 2 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Fabre (Marguerite), née le 6 juin 1904 à Marseille. Le père à Marseille ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Sainte-Victoire à Marseille.

Fier (André-Virgile), né le 24 novembre 1904 à Auriol. La mère veuve à Auriol ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Gas (Fernande), née le 16 novembre 1904 à Marseille. La mère veuve, à Marseille ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Gazel (Paul-René-Thomas), né le 27 février 1904 à Marignane. Le père instituteur à Marseille; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Giraud (Marguerite), née le 11 juin 1905 à Aix.

Le père employé à Aix ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Aix.

Goirand (Henri-Albert), né le 23 mai 1905 à Marseille. Le père mobilisé à Marseille; — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Gorce (Germaine), née le 28 janvier 1905 à Saint-Etienne (Loire). Le père mobilisé à Marseille ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de ila rue Sainte-Victoire à Marseille.

Grundler (Lucien-Pierre), né le 17 février 1905 à Marseille. Le père adjudant à Marseille ; 3 enfants. —• Quart de bourse d'entretien, école primaire supériéure de la rue Beaujour à Marseille.

lsoard (Marie-Rose), née le 14 avril 1906 à Aix.

La mere veuve aux Milles; 2 enfants.— Demibourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Kleing (Frank), né le 23 avril 1906 à Alais (Gard).

Le père adoptif, employé aux chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée à Eyragues; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Victor-Hugo à Marseille.

Lami (Marius-Thomas), né le 21 mai 1905 à Marseille. La mère veuve à Marseille ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire surérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Leca (IIippolyte-Mârie-Louise), née le 17 novembre 1903 à Marseille. Le père employé aux tramways à Marseille; 2 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Manceau (Louise-Marie), née le 2.3 juin 1905 à Marseille. Le père mobilisé à Marseille; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue SainteVictoire à Marseille.

Maurel (Yvonne), née le 14 avril 1905 à la Ciotat. Le père employé aux chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée à Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Moha (Aimé-Richard), né le 3 avril 1905 à Marseille. Le père représentant de commerce à Marseille. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Moisello (Jeanne), née le 16 novembre 1900 à Bastia (Corse). La mère veuve d'un commissaire de police à Marseille ; 4 enfants, - Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Sainte-Victoire à Marseille Nicolaï (Marie-Louise), née le 17 décembre 1905 à Miramas. Le père conducteur aux chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée à Miramas ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Panivello (Juliette-Paule), née le 20 juillet 1905 à Marseille. La mère veuve aux Pennes; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Petit (Geneviève), née le 3 avril 1905 à Marseille. La mère veuve 11 Marseille; 1 enfant.

— Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Poggi (Sauveur-Vincent), né le 28 avril 1904 à Marseille. Le père employé d'assurances à Marseille ; 3 enfants. —' Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Peyrot (Daniel-Max), né le 24 août 1904 à Aubagne. La tante à Marseille; 3 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Beaujour à Marseille.

Raoust (Marcelle), née le 27 mai 1904 à Jonques. Le père régisseur de propriété à Aix ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix.

Rivière (Marie), née le 21 avril 1906 à Sentenac-de-Sérou (Ariège). Le père mobilisé à Marseille ; 2 enfants. — Quart de bours" d'entretien, école primaire supérieure EdgarQuinet à Marseille.

Rolland (Julienne), née le 18 octobre 1903 à Marseille. La mère ménagère à Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretiep, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Rouzaud (Marthe), née le 10 juin i903 à Marseille. Le père vérificateur d'octroi à Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

Rouzaud (Irène), née le Ii mars 1905 à Marseille. Le père vérificateur d'octroi à Marseille; 2 enfants. - Quart de bourse d'en, tretien, école primaire supérieure EdgarQuinet à Marseille.

Salel (Marie-Louise), née la 29 juin 1905 à Marseille. Le père épicier à Marseille ; 5 enfant - Quart de bourse d entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.


otephanopoli (Rosaire), née le 1er janvier 1903 à Marseille. Le père employé aux chemins de fer Paris-Lyon-Meditérannée à Marseille ; 4 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure Edgar-Quinet à Marseille.

'Vessard (Jeanne), née le 30 mai 1905 à Saint¡lour (Cantal). Le père commissaire de police Marseille; 2 enfants. — Quart de bourse dQe!ltretien, école primaire supérieure EdgarQuinet à Marseille.

DÉPARTEMEN DU CALVADOS ^ftsjse (Marcel-IIenri-Louis), né le 26 juillet 1905 à Lisieux. Le père débitant à Lisieux ; 1 enfant. Quart de bourse d'entretien, école Primaire supérieure de Lisieux.

lIuerel (Germaine-Louise), née le 3 mars '906 à Caen. Le père employé au chemin de fer à Caen ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Caen.

Cliquet (Marcel-Gustave-André), né le 29 juin 5 à Saint-Martin-des-Besaces. Le père maÇon au Tourneur ; 1 enfant. — Demi-bourse Q internat, école primaire supérieure de Vire.

I)Uval (Marie-Amélie-Aline), née le 5 septembre 4 à Isigny-sur-Mer. Le père pêcheur à IsilnY-SUr-Mer; 3 enfants. — Demi-bourse d'inernat, école primaire supérieure de Falaise.

Gr'l'rOY (Madeleine-Juliette), née le 22 avril 1*04 à Littry. La mère débitante à Trévières; 2 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Caen.

gAneux (Renée-Eugénie), née le 4 mars 1904 Avranches. Le père receveur des contribuions indirectes à Isigny-sur-Mer; 2 enfants.

Trois quarts de bourse familiale, cours M)mpiémentaire de Caen.

Illy (Pierre-Francis), né le 18.août 1905 à bane. Le père professeur à l'école primaire supérieure de Caen ; 4 enfants. vuart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Caen.

tolièvire (Roger-Jean), né le 21 mars 1904 à ClAen. Le père tailleur à Caen ; 4 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Caen.

I.P,Pley (Roger-Gaston-Aimé), né le 2 juin 1904 il Dozule. Le père imprimeur à Dozulé ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école Primairé supérieure de Caen.

l9fin (Louise-Eugénie), née le 27 janvier 1905 4 Littry. Le père vannier à Littry ; 4 enfants.

Trois quarts de bourse d'internat, cours ¡. ouiplémentaire de Bayeux.

nt Charlcs-Léon), né le 3 juillet 1903 à JJean. Le père comptable à Falaise ; 1 enfant.

Demi-bourse d'internat, école primaire Sl "Périeure de Caen.

U (Renée-Marie), née le 2 novembre 1905 à Châteaiidu La mère veuve, à Vire; l enfants.

Quart de bourse d'entretien, école priIl «ire supérieure de Vire.

OUS881 (Louise-Augustine), née le 29 décembre Be 'i Bcrnières-lc-Patry. La mère veuve, à d..rUlères-le-patry ; 2 enfants. Demi-bourse d IUternat, école primaire supérieure de Vire.

l:d (Marcel-Léon Yves), né le 9 mai 1904 à, 8achon. La mère employée de préfecture, '* enfant. Quart de bourse d'entretienu> é? cole primaire supérieur de Caen.

DÉPARTEMENT DU CANTAL Sa.ï ornme (Angèle), née le 6 juillet 1904 à autd-PaUIde-alers. Le père fermier à Saintalers » 8 enfants. - Demi-bourse l'ilel'Ullt, école primaire supérieure d'AuriUa IgQg ouche (Fernand-René), né le 18 mars it Anà.lAnglardS-de-salers. Le père instituteur à Anglards-de-Salers ; 4 enfants. Demide Jfe d'internat, école primaire supérieure aux V fMri-e"L°uise), née lé 9 février 1904 à 2 enra. OUt dit Le père buraliste à Montboudif ; Prima- s* - Demi-bourse d'internat, école rn.b re supérieure d'Aurillac.

eui. l (Elie), né le 24 mai 1905, à MolomI Le père ouvrier jardinier à Massiac ; * onfa - Bourse d'entretien, cours comalra de Massiac.

Coulaud (René-Férnand), né lé 9 février 1905 à Angoulème (Charente), Le père tailleur d'habits à Aurillac ; 4 enfants; Bourse d'entretien, cours complémentaire d'Aurillac.

Delpuech (JulieÜncRosll), née le 2 février 1905 à Saint-llivpblyte (Aveyron). Le père facteur à Saint-llippolyte ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Montsalvy.

Dujols (Jeanne-Eulalie); née le 11 septembre 1905 à Saint-Cernin. Le père cultivateur à Saint-Cernin ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aurillac.

Dumas (Gabrielle-Yvonne-Marcelle), née le 27 avril 1905 à Trizac. Le père Lactfeur à Trizac ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Pleaux.

Fouteille (Germaine-Marie), née le 31 mai 1905 à Antignac. La mère veuve, couturière à Aurillac: 1 enfant, - Bourse d'entretien, école primaire supérieure d Aurillac.

Leymarie (Michol-Henri-Jôseph), né le 22 septembre 1904 à Aurillac. Le père tailleur de pierre à Aurillac ; 3 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire d'Aurillac.

Oléon (Marie-Alix-Anna), née le 29 janvier 1905 à Molompize. Le père menuisier à Molompize ; 4 enfants, — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aurillac.

Rieu (Firmin). né le 21 février 1905 à Paris. Le père cultivateur à Laroquebrou; 3 enfants.

— Demi-bourse d'intèrnat, cours complémentaire d'Aurillac.

Simon (Marie-Jeanne), née le 22 août 1905 au Monteil. La mère, veuve, couturière au Monteil; 1 enfant. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aurillac.

Sos (Georges-Jean-Marius), né le 25 janvier 1904 à Aurillac. Le père menuisier à Aurillac; 1 enfant. — Bourse d'entretien, cours complémentaire d'Aurillac.

Vialle-Soubranne (Joseph-Marius), né le 24 juillet 1904 à Aurillac. Le père ébéniste à Aurillac ; 1 enfant. — Bourse d'entretien, cours complémentaire d'Aurillac.

DÉPARTEMENT DE LA CHARENTE

Constantin (Marcel), né lo 28 août 1904 à Paris, Le père papetier à Angoulème ; 1 enfant. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angoulème.

Délivertoux (René), né le 28 octobre 1905 à Saint-Claud. Le père bourrelier à SaintClaud ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angulôme.

Desfarges (Marie-Geneviève), née le 26 février 1905 à Villebois-Lavalette. Le père maréchal ferrant à Villebois-Lavalette ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Barbezieux.

Fargeas (Marcel-Eugène), né le 1er octobre 1904 à Ruelle. Le père ouvrier à la fonderie de Ruelle ; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Ruelle.

Félicia (Marie), née le 7 octobre 1905, pupille de l'assistance publique de la Charente. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Barbezieux.

Filiol (Louis-Max), né le 17 novembre 1905 à Bergerac. Le père employé des postes à Angoulème ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angoulème.

Gamaury (Pierre-Marcel), né le 9 avril 1904 à Saulgond. Le père instituteur à Saulgond ; 4 enfants. - Domi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chasseneuil.

Gravelat (Emma-Renée), née le 29 décembre 1905 à Cellefrouin. Le père cultivateur àCellefrouin ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chasseneuil.

Journaud (Pierre-Charles-Robert), né le 15 janvier 1905 à Angoulême, Le pore agent de potice à Angoulème ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angoulême.

Merbœuf (Laure-Amélie), née le 13 novembre 1904 à Paris. Le père marchand de lapins à Beaulieu ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chasseneuil.

Mironnoau (Léandre-Antonin-Louis), né le 27 mars 1904 à Lormont (Gironde). Le père boulanger à Rouillac ; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouillac.

Nadaud (Henri), né le 27 avril 1904 à Théneraille (Creuse). Le père gendarme à Montbron; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angoulême. d Sainte-Croix (Marie), née le 6 août 1903 à Cher- • ves-Châtelars. Le père cultivateur à ChervesQhâtelars ; 5 enfants. — Demi-bourse, d'internat, école primaire supérieure de Chasseneuil.

DÉPARTEMENT DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE Antoine (Paul-Edmond-Germain), né le 13 janvier 1905 à la Rochelle-Laleu. Le père comp- » table à Laleu ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland àla Rochelle.

Ayraud (Aline-Camille-Jeanne), née le 12 janvier 1903 à Fouras. La mère veuve à Rochefort; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Champlain, à Rochefort.

Balland (Jean-Joseph-René-Jacques), né la 28 février 1905 à Saint-Jean-de-Liversay. Le père cultivateur à Saint-Jean-de-Liversay, 5 enfants. — Bourse d'internat, école primaire supérieure de Pons.

Baudry (Jean-Maurice-Eugène), né le 18 mai 1903 à Saint-Ouen. La mère épicière à SaintMédard ; 2 enfants. — Trois quarts de bonrse d'entretien, cours complémentaire Bonpland, à la Rochelle.

Bossuet (Alix-Joseph), né le 4 mars 1905 à Marsais. L'oncle M. Bertrand (Ulysse) à Boisse, commune de Marsais. —Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Marennes. ,1:; Bouyer (Georges), né le 9 avril 1904 à la Ro- 'E chelle. Le père douanier à la Rochelle-Pallice; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland à la Rochelle.

Caillaud (Madeleine), né le 28 juin 1905 à Soulignonnes. Le père menuisier à Soulignonnes ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Jean-d'Angély.

Chantelauze (Pierre), né le 12 avril 1905 à Saintes.

Le père épicier à Saintes ; 5 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Pons.

Chauveau (Marcelle-Henriette-Camille), née le 8 juin 1904 à Rochefort. Le père artificier à Rochefort ; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Champlain à Rochefort.

Frétel (André), né le 25 mai 1905 à Bussac. Le père tuilier à Bussac ; 2 enfants. Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Pona.

Gadais (Henri), né le 10 juin 1906 aux Sablesd'Olonnes. Le père employé de chemins de fer à la Rochelle: 2 enfanta. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland à la Rochelle, Gaillard (Robert-Jean-Gustave), né le 13 mars 1905 à la Rochelle. Le père boucher à Puilboreau; 1 enfant.- Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland, à la Rochelle.

Gorion (Henri-Edmond), né le 21 décembre 1905 à la Rochelle. Le père marchand de charbon à la Rochelle; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland, à la Rochelle.

Guennelon (Georges-François), né le 20 octobre 1905 à Sedan. Le père facteur à Saintes; 4 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Pons.

Guilbot (Marcel-Eugène-Léon-Jean), né le 23 septembre 1905 à Andrieu, Le père employé de chemins de fer àMarans ; 2 enfants.- Demibourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland, à la Rochelle.

Guillet (Louis-Pierre-Marcel), né le 29 janvier 1905 à Rochefort. Le père surveillant à l'arsenal à Rochefort: 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, côurs complémentaire Champlain à Rochefort.


Louis (Renée-Marie), née le 4 avril 1905 à Saint-Thomas-de-Cônac. Le père gendarme & Saint-Ciers-du-Taillon ; 2 enfants. — Demibouree d'entretien, école primaire supérieure de Pons.

Mangout (Madeleine-Adrienne-Julie), née le 23 mai 1904 à Rochefort. Le père chaudronnier à l'arsenal de Rochefort; 1 enfant. —

Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Champlain à Rochefort.

Molina (Marie-Germaine), née le 28 octobre 1904 à Rochefort. Le père mécanicien à Rochefort; 1 enfant .- Demi-bourse d entretien, cours complémentaire Champlain à Rochefort.

Renaud (Lucien-Maurice-Philippe). né le 6 février 1903 à Puilboreau. La mère veuve à Puilboreau; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland A la Rochelle.

Rougeau (Georges-Alfred-Valentin), né le 15 avril 1904 à Saintes. Le pore employé de chemins de fer à Saintes ; 3 enfants — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Pons.

Suire (Franck-Gaston), né le 22 février 1905 à Lalaigne. La mère veuve à Lalaigne; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Pons, Tabuteau (Paul-Albert-René), né le 3 juillet 1905 à la Rochelle. Le père chef de train à la Rochelle ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Bonpland à la Rochelle.

DÉPARTEMENT DU CHER Billon (Yvonne), née le 10 juillet 1904 à MollietVidron (Somme). Le père chef de train à la Guerche ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Sancoins.

Caniaux (Edmond), né le 17 mars 1903 à SaintMenge (Ardennes). Le père retraité militaire à Château-neuf : 3 enfants. — Dembourse d'entretien, cours complémentaire de SaintFlorent.

Cbabrié (Eglantine), née le 12 juin 1903 à Ville.

quiers. La mère infirmière à Bourges ; 3 enfants. — Demi-bourse familiale, cours comptémen-taire de Bourges.

Chabrier (Yvonne), née le 9 juin 1905 à Paris.

pupille de l'assistance publique de la Seine.

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saiut-Amand.

Condereau (Alberte), née le 3 mai 1904 à ChA.

teauneuf. Le père ferblantier à Châteauneuf 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Salllt-Amand'.

Ferrandon (Camille), né le 1er septembre 1904 à la Celette. La mère journàlière à la Celette; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaije de Samt-Amand.

Gachot (André), né le 14 mars 1903 à Coust. Le père instituteur à Coust. 3 enfants. — Demibourse dentretien, cours complémentaire de Saint-Amand.

Hérault (Paul), né le 20 février 1905 à Lignières.

Le père secrétaire de mairie à Lignières ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Florent.

Lainé (Albert), né le 14 juillet 1904 à la Guerehe. La mère hôtelière à la Guerche ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de la Guerche.

Meunier (Raymond), né le 8 juin 1904 à Paris.

Le père cafetier à Saint-Florent;2 enfants.— Demi bourse d'entretien, cours complémentaire de Sdint-Flornt.

Morin (André), né le 18 avril 1903 à Decize. Le père retraité militaire à Mareuil ; 1 enfant. —

Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Florent.

Nester (Jeanne), née le 13 avril 1201. Pupille de l'assistance publique de la Seine. — Demièeurse familiale, cours complémentaire de Châteaumeillant.

Pinglaut (Gaston), né le 23 mars 1903 à SaintFlorent. Le père jardinier à Saint-Florent ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Florent.

Poitou (Jean), né le 16 août 1905 à Saint-Florent.

La père modeleur à Saint-Florent ; 1 enfant.

Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Florent.

Renaud (André), né le 6 juin 1903 à Saint-Martin d'Auxigny. Le père facteur à Saint-Martin d'Auxigny ; 1 enfant. —Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Bourges.

DÉPARTEMENT DB LA CORRÈZE Breuil (Marie-Louise), née le 13 février 1905, à Lamazière-Basse. La mère veuve, à Lamazière-Basse; 2 enfants. — Demi-bourse d'in ternat, école primaire supérieure de Tulle.

Cros (Marguerite-Elisabelh), née le 19 septembre 1906 à Olargues (Hérault). Le père brigadier facteur à Tulle ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Tulle.

Croze (Germaine-Léonie), née le 29 avril 1905 à Beaulieu. La mère veuve à Beaulieu ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Objat.

Est orges (Marie-Antoinette), née le 24 février 1906 à Gimel. Le père mécanicien à Ussel ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Tulle.

Fréjaville (Lucien-Jean), né le 2 décembre 1905 a Aubin (Aveyron). Le père garde-frein à Ussel ; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Ussel.

Gaillot (Léon-Maurice), né le 16 juillet 1905 à Paris (Seine). La mère veuve à Peyrelevane ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Ussel.

Mézy (Louise), née le 28 septembre 1905 à Arnac-Pompadour. Le père palefrenier des haras à Pompadour ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Objat.

Porte (Léa-Gabrielle), née le 5 juin 1905 à Paris (Seine). Le père cultivateur à Chavanec; 2 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Tulle.

Saulière (Henri-André), né le 19 février 1905 à Paris (Seine). Le père cultivateur à Brive ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Uzerche.

DÉPARTEMENT DE LA CORSE

Agostini (Joseph-Antoine), né le 6 mars 1904 à Zouza. Le père cultivateur à Sainte-Lucie-diTallano ; 3 enfants.- Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de PortoVecchio.

Battini (Angéline), née le 30 août 1904 à Evisa.

Le père cultivateur à Ajaccio ; 3 enfants. —

Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Ajaccio.

Bouc (Marcel-Fortuné-Iréné), né le 29 novembre 1905 à Marseille. Le tuteur, Nicolai (Alexandre), retraité des douanes à Bastia ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Bastia.

Bucchini (Toussaint), né le 20 juin 1904 à Sartène. Le père cantonnier à Sartène ; 5 enfants; - Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Sartène.

Canioni (Quilicus-Mathieu), né le 23 janvier 1903 à Belgodère. Le père cordonnier à Belgodère ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Bastia.

Costantini (Jéromine), née le 2 janvier 1905 à Monacia-d'Aullène. Le père cultivateur à Monacia ; 4 enfants.—Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Sartène.

Dominichetti (Marie - Honorée - Geneviève- Lucienne), née le 9 juin 1903 à Muro. Le père huissier à Muro ; 6 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Ajaccio.

Frimigacci (Toussainte-Hélène), née le 21 mars 1903 à Urtaca. Le père instituteur à Piana ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Ajaccio.

Gaudiani (Marie-Rosine), née le 14 mai 1905 à Kherba(Algérie). La mère ménagère à Zicavo ; 2 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Ajaccio.

Lusinchi (Jacques-Antoine), né le i5 décembre 1903 à Zicavo. Le tuteur Leccia (Jean-Baptiste, à Zicavo ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Sartène.

Moroni (Madeleine-PauIlne-Mathilde-Francoise), née le 7 avril 1903 à Lumio. Le père instituteur à Muro ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Ajaccio.

Orabona (Barbe-Marie-Françoise), née le 24 Jan, vier 1903 à Novella. Le père cultivateur 4 Novella ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d:Ajaccio.

Orsini (Marie-Dévote), née le 27 octobre 1905 à Vescovato. Le père mobilisé, la mère ménagère à Vescovato : 5 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Bastia.

Orsini (Michel-Jean-Charles-Antoine), né 1 £ 29 juillet 1903 à Marseille. Le père employé d'octroi, en retraite à Ortiperio; 4 enfants.

Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Bastia.

DÉPARTEMENT DE LA CÔTE-D'OR Adam (Marie-Emélie-Renée), née le23juillet 1904 à Buzy (Meuse). Famille de réfugiés de la Meuse. Le père mobilisé, la mère journalière à Labergement-les-Seurres;* 2 enfants.

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saulieu.

Dujoux (Paul-Henri), né le 5 mars 1904 à Vélart, sur-Ouche. Le père contremaitre aux usines à chaux à Velars-sur-Ouche ; 5 enfants. -f" Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Dijon.

Dupraz (Edmond-Etienne), né le 24 mai 1905 à Dijon. La mère, veuve, ouvrière à Dijon; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Dijon.

Faivre (Claire-Marcelle), née le 13 septembre 1905 à Labergement-les-Seurres. La mère cultivatrico à Labergement-Ies-Seurres; 4 enfants. - Trois quarts de bourse d'internat, école primaire de Saulieu.

Philipot (Abel-Edmond-Honoré), né Io 19 jan: vier 1905 à Moutiers-Saint-Jean. La mère re.

ceveuse buraliste à Moutiers-Saint-Jean' 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Montbard.

DÉPARTEMENT DES CÔTBS-DU-NORD1

Allainmat (Jeanne), née le 30 août 1903 à PIou" bazlanec. Le père menuisier à Ploubazlanec î 13 enfants. — Bourse familiale, cours complumentaire de Paimpol.

Arzul (Madeleine), née le 25 juillet 1904 à PIeu" meur-Gautier. Le père retraité à Pontrietl' la mère institutrice ; 4 entants. — Detn1' bourse d'internat, cours complémentaire de Pontrieux.

Anfray (Aristide), né le 11 février 1905 à pordio.

Le père premier maître en retraite à Pordic » 2 enfants.- Trois quarts de bourse d'internat école primaire supérieure de Lamballe.

Bérard (Raymond), né le 3 août 1904 à Sainte Brieuc. Le père employé de commerce à Saint-Brieuc ; 3 enfants. — Trois quarts (le bourse familiale, cours complémentaire, rue Baratoux, à Saint-Brieuc.

Borgès (Armande), née le 30 octobre t90 Pordic. Le père facteur des postes à pordli 3 enfants. — Bourse d'internat, école Pn maire supérieure de Guingamp.

Bouin (Gaston), né le 14 avril 1905 à PlébouH0' Le père instituteur à Calorguen ; 1 enfantQuart de bourse d'internat, école primaIt supérieure de Dinan. 1 Delanoue (Alphonse), né le 25 juillet 190* lt Saint-Brieuc. Le père peintre en vOltur rse Saint-Brieuc ; 3 enfants. Demi-bour familiale, cours complémentaire, rue Bar toux, à Saint-Brieuc.

Delmas (Hélène), née le 30 octobre 1905 à PlU: Le père gardien de la paix à plouha; at, fants. Trois quarts de bourse d'interu école primaire supérieure de Guingainp» 'm' Denime (André), né le 19 octobre 1906 & à (Marne). Le père employé de comme! 'nt:' Reims (mobilisé), la mère réfugiée a b? 0ia Quay ; 3 enfants. Bourse d'internat, 'école primaire supérieure de Tréguier. a\1 Dubois (Francine), née le 10 janvier 196feur.

Conquet (Finistère). Le père chef a'îX*-' retraité à Plévenon ; 3 enfants. - BOursuiJl" ternat, école primaire supérieure de gamp.


Le Gouarder (Marie), née le 20 décembre 1905 à EUiant (Finistère). Le père poseur aux chemins de fer à la Motte ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Guingamp.

Cuéguen (Marcelle), née le 12 juillet 1906 à Ulien. Le père domestique a Rostrenen : 3 enfants. — Bourse familiale, cours complémentaire de Rostrenen.

Itémery (Marie), née le 26 septembre 1906 à Plouna. Le père premier maître électricien (mobilisé) à Plouha; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure do Lannion.

te Jan (Joseph), né le 25 janvier 1905 à Lanrodec. Le père cultivateur-aubergiste (sursitaire) à Lanrodec ; 3 enfants. — Bourse d'internat, école primaire supérieure de Guingamp.

LO Leybur (Augustine), née le 25 septembre p à Carnoëf. Le père facteur des postes à Il.lmpol; 7 enfants. — Bourse familiale, COurs complémentaire de Paimpol.

Mercier (Valérie), née le 23 juillet 1906 à j lurien. Le père cultivateur à Plurien ; 7 enlents. - Bourse d'internat, cours complémentaire de Lamballe.

Trocquer (Albert), né le 23 avril 1905 à Paris.

1 e père jardinier (mobilisé) à Etables ; 3 enfants. Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Guingamp.

^•"Hévéder (Anne-Marie), née le 26 février 1905 Minihy-Tréguier. Le père cultivateur à InihY-Tréguier ; 7 enfants. — Bourse d'internat, école primaire supérieure deTréguier.

tOUt (Henri), né le 23 octobre 1905 à Montant-Martin (Meurthe-et-Moselle). Le père Préposé des douanes à Pontrieux ; 2 enfants.

r".Demi-bourse familiale, cours complémene de Pontrieux.

u f. lot (Yvonne), née le 5 avril 1904 à Brest.

el fère premier mattre en retraite à Saintcle ; 4 enfants. — Bourse familiale, cours complémentaire de Pontrieux.

ataros (Marie), née le 12 août 1905 à Plougras.

Repère instituteur à Plougras; 4 enfants.

*? Bourse d'internat, école primaire supérieure de Lannion.

teLt10U (Charles), né le 20 août 1904 à Tréguier.

e père brigadier de douanes à Tréguier ; enfants. Trois quarts de bourse d internat, école primaire supérieure de Tréguier.

pMrignac (Yvonne), née le 12 janvier 1905 à dancoët. La mère (veuve) à Plancoët ; 1 enf"Ilt. Demi-bourse d'internat, cours com() lémentaire de Lamballe.

niat (Francine), née le 24 octobre 1903 à roygras. Le père forgeron à Plougras ; 5 enIa®n*s—■ Bourse d'internat, école primaire « Il rieure de Guingamp.

Quèléel (Marie), née le 3 juillet 1904 à Pontant * Le père mécanicien à Pontrieux ; 3 ensun/' Bourse d'internat, école primaire th Peri- eure de Tréguier.

nin (Albert), né le 8 septembre 1905 à YffiHiifa tt' Le père employé de chemin de fer à tG Inlac; 3 enfants. — Bourse familiale, C01 s complémentaire, rue Baratoux, à Saintîh* Ue.

illt (Robert), né le 5 octobre 1904 à Thierfirif ^euse). Le père comptable à Saintta..c i 2 enfants. — Trois quarts de bourse Wv la e, cours complémentaire, rue Baraa Saint-Brieuc.

n DÉPARTZMENT DE LA CREUSE ; re (Emma-Rose-Antoinette), née le 3 juin e Père mobilisé tapissier à Aubusson ; îi 4 eù^f nts. — Demi-bourse d'internat, école .L'J 1 1re supérieure de Felletin.

|'j| ve-Félix-Louis),néle 17 mars 1905à : lier à- S reix-Ies-Bois. Le père, mobilisé, sabots s lu^i ^Q int-Yrieix-les-Bois; 3 enfants.—Trois f enta: e bourse d'entretien, cours complé} 1re (le Guéret.

tin (Germinal), né le 26 novembre 1905 à tirn (Haute-Vienne). Le père publiciste à len co' 4 enfants. -Demi-bourse d'entreIs J cours complémentaire de Guéret.

Guyot (Jean-Préùérie-Elie), né le 21 septembre 1904 à Limoges (Haute-Vienne). Le père jardinier à Saint-Fiel ; 5 enfants. —Troisquarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Guéret.

Mourlon (Georges-Joseph-Marie), né le 12 mars 1904 à Boussac-Ville. Le père gérant d'une maison de confections à Boussac ; 4 enfants.

—Trois quarts bourse d'internat, école primaire supérieure de Bourganeuf.

Pailloux (Pierre-Félix), né le 9 mai 1905 à Tardes. Le père mobilisé, journalier à Tardes ; 2 enfants. - Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de la Souterraine.

Poirier (George tte-Garmaine), née le 31 mars 1905 à Paris. Le père mobilisé, charpentier à Fresselines ; 3 enfants. — Trois quarts de de bourse d'internat, école primaire supérieure de la Souterraine.

Puychevrier (René-André), né le 30 mars 1905 à Saint-Pierre-de-Fursac. Le père mobilisé, journalier à Saint-Pierre-de-Fursac; 3 enfants.

Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de la Souterraine.

DÉPARTEMENT DE LA DORDOGNE

Angoin (Prosper), né le 23 août 1903 à Thiviers.

Le père restaurateur à Thiviers; 3 enfants.Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Périgueux.

Cogné (Alice), née le 18 avril 1905 à Peyrilhac (Haute-Vienne). Le père employé à la compagnie P.-O. à Saint-Michel-de-Rivière ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mussidan.

Daschier (Louis), né le 22 janvier 1904 à Salignac. Le père facteur des postes à Bersac (Candat-Bersac); 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Périgueux. Escarmerrt (MarieT, née le 3 juin 1904 à Fraisse.

La mère institutrice à Saint-Géry, le père cultivateur ; 4 enfants. — Demi-bourse d'iinternat, école primaire supérieure de Mussidan.

Mignot (Jean), né le 23 septembre 1904 à SaintPierre-de-Chignac. Le père facteur des postes à Saint-Pierre-de-Chignac ; 4 enfants. Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Périgueux.

Monzie (Germaine), née le 29 décembre 1905 à Agonac. Le père livreur au « Caïffa » à SaintPardoux-la-Rivière ; 1 eiifant. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Nontron.

Pomeyrol (Jean), né le 4 février 1905 à SaintPardoux-la-Rlyjère. Le père instituteur à Saint-Pardoux-la-Rivière ; 1 enfant. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Périgueux.

Queyroi (Albert), né le 21 juillet 1905 à NotreDame-de-Sanilhac. Le pere tailleur d'hahits au Bugue ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Périgueux.

DÉPARTEMENT DU DOUBS

Berçot (Jeanne-Marie-Louise), née le 18 janvier 1905 à Besançon. Le père comptable à Besançon ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besancon.

Comtesse (Marcel-Albert), né le 10 mars 1904 à Roppé (Haut-Rhin). La mère veuve à Besançon ; 3 enfants. Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Douard (Lucienne-Elisabeth), née le 1er novembre 1904 à Corre (Haute-Saône). La mère veuve à Besançon ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Fostel (Georgette-Alice), née le 29 octobre 1905 à Besançon. Le père cantonnier à Besançon; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Gauthier (Andrée-Berthe-Emilie), née le 3 février 19C5 à Besançon. Le tuteur M. E. Gauthier, ouvrier Jt Besançon ; 1 enfant. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Gauthier (Pierre-Henri-Alexis). né le 18 septam..

bre 1904 à Jougue. Le père instituteur à la Ferrière-sur-Jougue ; 3 entants. Quart de bourse familiale, école primaire supérieure de Besançon.

Lacroix (Robert-Antonin-Charles), né le 10 sep, tembre 1906 à Pont-de Vaux (Ain). La mère ouvrière à Besançon ; 2 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Maillary (Charles-Auguste-René), né le 17 octobre 1905 à Avanne. Le père charron à Avanne ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Paulin (Julie-Marie-Marguerite), née le 20 février 1904 à Besançon. Le père huissier à Besançon; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Pernollet (Jean-Guillaume), né le 23 juillet 1905 à Besançon. Le p¡\re coutelier à Besançon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Pillette (Mathilde-Estelle), née le 18 juin 1905 à Fresne-Saint-Mamès (Haute-Saône). Le père gendarme à Besançon ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, éole primaire supérieure de Besançon.

Rollier (Philippe-Etienne), né le novembre 1905 à Marnay (Haute-Saône). L0 père cultivateur à Besançon ; 1 enfant. — Quart da bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

Triponney (llenriettc-Alphonsine-Depise), née le 16 septembre 1901 à Montbenoît Le pero facteur des postes à Deluz; 3 enfants. - quart de bourse familiale, école primaire supérieure de Besançon, Vetter (Louis-Adolphe).. né le 19 octobre 1905 à Besançon. Le père ouvrier horloger à Besançon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Besançon.

DÉPARTEMENT DB LA DRÔMK Barnaud (Jeanne Marie-Cécile), née lelfisepteiabre 1905 à Romans. Le père menuisier-cafetier à Die ; 2 snfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Die.

Benoit (Marie-Thérese-Romaine), née le 15 mars 1905 à Bourgoin (Isère). La mère veuve, ménagère à Valence ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, écolo primaire supérieure de Valence.

Berthuin (Marguerite-Marie), née le 30 mars 1904 à Romans. La mère veuve, couturière à Romans; 1 enfant.. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Romanc

Bochet (Augusta-Justine), née le 9 novembre 1905 à Romans. Le père gendarme à Romans; 1 enfant. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Romans.

Chosson (Blanche-Marie-Cyrilîe), née le 20 avril 1905 à Saint-Sorlin. Le père ouvrier agricole à Saint- Sorlin ; 3 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Valence.

Dupuy (Jeanne-Hélène), née le 11 mai 1905 à Grenoble (Isère). La mère brodeuse à Valence ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Valence.

Faure (Lucienne-Marie-Louise.), gze le 25 septembre 1904 à Valence. Le père comptable à Yalence; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Valence.

Jouvo (Henri-François), né le 2 février 1905 à Chabeuil. La mère veuve à Marches; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Bourg-de-Péage.

Mathon (Célie-Louise-Alice), née le 2 juin 1005 à Nîmes (Gard). Le père employé des postes à Valence i 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, ecole primaire supérieure de Valence.

Molière (Marie-Louise-Irène), née le 25 mars 1905 à Upie. Le père cultivateur à Upie ; 2 enfants. — Domi-bourse familiale, ecole primaire supérieure de Valence.

Neyret (Henri-Rémi-Aristide), né le 5 février 1905 à Valence. Le père ouvrier bijoutier a Lyon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Valence.


penot (Martne-Hennette), née le 12 juillet 1905 à Romans. Le père employé de banque à Romans ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Romans.

Planat (Jeanne-Angèle), née le 10 mars 1905 à Moras. Le père brigadier de gendarmerie a Saint-Nazaire-en-Royans ; 2 enfants. —- Demi bourse d'internat, école primaire supérieure de Romans.

Ponthieu (Pierre), né le 39 décembre 1004 à Fâches-Thumesnil (Nord). Le père février brasseur, réfugié à Saint-Nazaiie-le-Desert ; 2 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Valence.

Soubeyran (Rose-Séraphie-Reymonde), née le 1er avril 1905 à Vernoux (Ardèche). Le père brigadier de gendarmerie à Suze-Ia-Rousse; 2 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Valence.

fhivolle (Marthe-Lucienne), née le 29 février 1904 à Saint-Barthélemy-de-Vals. Le père cultivateur à Saint-Barthélemy-de-Vals ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Romans,

y DÉPARTEMENT DE L'EURE intiges (Bernard-Robert-André), né le 18 juin 1903 à Flipou. La mère institutrice à Landepereuse ; 1 enfant. — Bourse d'internat, cours complémentaire de Pont-Audemer.

Danglard (Agnès), née le 25 août 1904 à SaintLubin-des-Joncherets (Eure-et-Loir). Le père percepteur à Pont-de-l'Arche ; 4 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Rouen.

leulin (Denis-Georges-Flôrent), né le 8 novembre 1904 à Epégard. Le père instituteur à Saint - Etienne- du-Vauvra-y ; 6 enfants. —

Bourse d'internat, école primaire supérieure de Louviers.

Lepage (Albert-René-Marie-François), né le 15 janvier 1905 à Broglie. La mère buraliste à Vernon ; 2 enfants. — Bourse d'internat, école primaire supérieure de Louviers.

Martin (Suzanne - Maria - Honorine) née le 23 avril 1905 à Livarot (Calvados), Le père chef de gare à Douains ; i enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Vernon.

Ragault (André-Louis-René), né le 16 mars 1905 à Louviers. Le père contremaître foulonnier à Anthouillet ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Louviers.

Singeot (Andrée-Elisa), née le 18 janvier 1905 à Saint-Marcel. Le père cultivateur à Hardçncourt ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Louviers.

DÉPARTEMENT D'ECM-ET-LOtR Bouché-Pillon (Roger-Gilbert-Pierre), né le 24 mai 1905 à Meslay-le-Vldame. Le père tailleur et cafetier à Dammarie ; 5 enfants.

— Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Bonneval.

Martin (Jeanne-Louise), née le 24 septembre 1905 à Gallardon. La mère institutrice à SaintDenis-de-Moronval; 3 enfants. —Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure d'illiers.

DÉPARTEMENT DU FDflSTKRK Le Iris (Alexandre-Joseph-Yves), né le 5 septembre 1905 a Beuzec-Gonq. Le père marin mobilisé à Beuzec-Conq ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Concarneau.

Fustec (Francine-Marie), née le 17 mai 1905 à Scrignac. Le père cultivateur à Berrieu; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Carhaix.

Le Gac (François-Yves-Jérôme), né le 9 août 1905 à Rosporden. Le père facteur des postes à Rosporden ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Concarneau.

gal lou (Isabelle-Mai,gtLerite-blarle), née le 19 avril 1905 à Scrignac. Le père forgeron à Scrignac; 12 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Carhaix.

lierriquet (Jeanne-Marie), née le 24 juin 1905 à Pont-Croix. Le père facteur des postes à Gouesnou ; 7 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Carhaix.

Lasbléis (Guillaume), né le 24 juillet 1903 à Plogofî. Le père marin pêcheur à Plogoff; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Douarnenez.

Lozaclimeur (Clément-Joseph-François), né le 25 janvier 1904 à Clohars-Carnoët. Le père retraité de la marine à Clohars-Carnoël ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Quimperlé.

Mest (Jean-François-Marie), né le 22 septembre 19J5 à Logonna-Daoulas. Le père second maître chauffeur à Daoulas; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Douarnenez.

Muzellec (Jeanne), née le 16 avril 1906 à Guilers. La mère veuve à Gullliersi 3 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Quimperlé.

Salaun (Jeanne), née le 14 mai 1905 à LampaulPlouarzel. Le père sergent en retraite àLampaul-Plouarzet; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Carhaix.

Salaqn (Marie-Renée), née le 14 avril 1901 à QUllllper. Le père menuisier à Quimperlé; 5 enfants. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Quimperlé.

DÉPARTEMENT DU GARD Bancel (Yolande-Artémise-Emilie-Marie-Louise), née le 17 février 1905 à Pompignan. Le père tailleur de pierres à Pompignan ; 6 enfants.

Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Nîmes.

Beaumet (Léopold-François-Jean), né le 28 février 1905 à Villeneuve-les-Avig-non. Le père cultivateur à Villeneuve-les-Avignon; 6 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Bagnols.

Bernard (Yvonne-Juliette), née le 16 avril 1905 à Remoulins. La mère veuve à Remoulins ; 4 enfànts. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Nîmes.

Bonat (Roland-Clément-Louis), né le 7 avril 1904, à Gallargues. Le père cultivateur à Gallargues; 2 enfants. - Demi bourse familiale, cours complémentaire de Nîmes.

Combelle (Paul-Albert), né le 8 juin 1905 à Bpuvojsin. Le père maçon à Beauvoisin ; 2 enfanta. — Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Nîmes.

Coulomb (René-Gaston), né le 17 avril 1905 a Meynes. Le père employé au P.-L.-M. à

Nîmes ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Nîmes.

Davin (Lucie-Eugénie), née le 6 octobre 1903 à Aiguesyiyes. Le père employé de commerce à Aigues-Vives ; 2 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Nimes.

Dubois (Edouard-Marie-Jean), né le 2 janvier 1904 à Lunel. Le père conducteur au P.-L.-M.

à Nîmes: 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Nîmes.

Duçh (Marie-Lucie-Cécile), née le 2 janvier 1905 à Nimes. La mère veuve, couturière à Nîmes ; i enfant.— Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nîmes.

Falguière (Yyette), née le 25 septembre 1904 à Ntme. Le père rédacteur à la préfecture de Nîmés 11 enfant. — Quart de bourse d'entretien, écol primaire supérieure de Nîmes.

Gèminard (André-Marcel), né le 28 mars 1905 à Cabvisson. Le père boucher à Cabvisson; 6 enfants. —• Demi-bourse familiale, cours complémentaire'de Nîmes.

Gervais (Alci-de), né le 9 avril 1905 à Thuir. La mère employée à la caserne Pont-Saint-Esprit: 2 enfants. — Demi-bourse d'internat; école primaire supérieure de Bagnols.

Gibelin (Justinienne-Elisabeth-Renée), née le 16 octobre 1905 à Nîmes. Le père employé au P,-L.-M. à Nîmes; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nîmçs.

Guibal (Antoinette-Béatrix), née le 27 avril 1904 à Salnt-lulien-de-la-Ner. Le père cultivateur à Saint-Julien-de-la-Nef; 3 enfants. —

Demi-bourse familiater, école primaire supérieure de Nimes.

Guin (Jean-Eugène), né le 15 mars 19 o Il Nîmes. Le père ouvrier menuisier à Alais; 2 enfants.—Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Alais.

Krampner (Aaron-Georges), né le 19 octobre 1904 à Nîmes. Le père concierge à Nîmes; 8 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cour.

complémentaire de Nîmes.

Levacque (Louis), né le 3 décembre 1904 à Woinville (Meuse). Le père boulanger-buraliste à Woinville; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Bagnols.

Malarte (Roger-Marcel), né le 25 septembre 1905 à Saint-Chaptes. La mère à Saint-Chaptes.

3 enfants, — Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Nîmes Perrier (Odette-Jeanne-Ernestine), née le 5 février 1904 au Vigan. Le père instituteur public à la Vernarède ; 1 enfant. Demibourse familiale, école primaire supérieure de Nîmes.

Rapilliard (Pierre-Marcel), né le 16 avril 1903 à Cuise-la-Motte (Oise). Le père chef d'atelier à la poudrerie Meillassoux, à Beaucaire; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Beaucaire.

Roussel (Ilippolyte-Charles-Louis), né le 15 octobre 1904 à Saint-Paul-le-Jeune. Le tuteur M. Mercier, conducteur à la compagnie P.-L.-M. à Alais; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Alais.

Verdalle (Marie-Jeanne), née le 24 avril 1905 à Nîmes. Le père voyageur de commerce CI Nîmes; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure da Nimes.

DÉPARTEMENT DE LA HAUTÏ-GARONNB Abadie (Denise-Marielle-Jeanne), née le 10 sep* tembre 1904 à Toulouse. Le père employé à la compagnie des tramways à Toulouse ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école prl" maire supérieure de Saint-Gaudens.

Besson (Aimée-Denise-Marie), née le 27 avril 1904 à Toulouse. Le père garçon d'hôtel a Toulouse ; 3 enfants. — Bourse* d'entretien, école primaire supérieure de Toulouse.

Bordes (Reine-Claudine-Elise), née le 22 avrij 1905 à Puymaurin. Le père vétérinaire expefe à Puymaurin j' 4 enfants — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Gaudens.

Cazeneuve (Paul-Firmin-Victor), né le 2 février 1903 à Lanta. Le père maçon à Lanta ; 3 er; fants. Demi - bourse familiale, écots primaire supérieure de Toulouse.

Debuc (Philippe-Marius-Raoul), né le 22 Sèev; tembre 1905 à Bordeaux (Gironde). Le P te sculpteur à Toulouse ; 2 enfants. Bours.

d'entretien, école primaire supérieure a Toulouse.

Denjean (Georgette-cécile-Marcelle), née la 9 janvier 1905 à Ax-les-Thermes (Ariège)..- père dessinateur à Toulouse ; 3 enfants. 6 Bourse d'entretien, école primaire supérieure de Toulouse. à

FHm; (Antoine-Alexis)., né le 13 avril 1^5 Villenouvelle. Le père cultivateur à Villepo velle ; 3 enfants. Demi-bourse farnill. ale, cours complémentaire de Villefranche d" Lauragais. 0" Fournial (Genrges-Marius-Pierre), né le 19 vembre 1905 à Narbonne (Aude). Le tui M. Deler, gérant de Il l'Epargne » ; 2 enfanta Quart de bourse d'entretien, école prll11 supérieure de Toulouse. O.

Galan (Pierre-Louis-Barthélémy), né le 2LPat vembre 1905 à Villemur. Le père agricui à Villemur ; 3 enfants. — Demi-bourse d ja, ternat, école primaire supérieure de ba .,ItGaudens.

LafTorgue (René-Marie-Joseph), né le 3Q j!?oiïV" 1905 à Toulouse. Le père comptable à a co fi, pagnie des chemins de fer du Midi; pri fants.— Quart de bourse d'entretien, ecopji- maire supérieure de Toulouse. 1.5 Lamolinerie (Lucien-Gérard-René), né 119 : [110" vrier 1905 à Toulouse. Le père comp, a loUse; bilisé à la poudrerie nationale de- rorretieOl 2 enfants. Quart de bourse ou école primaire supérieure de Toulouse.


net (Joseph-Louis), né le 13 novembre 1905 lse- Le père gérant de la maison b Toulouse; 2 enfants. Quart de deï i Entretien, école primaire supérieure ou OUse ltIaUdl (André-François), né le 19 juillet 1905 2 e OUse. Le père charpentier à Toulouse ; éc ants. Quari de bourse d'entretien, écnuu ie primaire supérieure de Toulouse.

rtte (Jeanne-Maria-Madeleine), née le 5 sepArba re 1905 à Arbas. Le père cultivateur à éc s; 5 enfants. Demi-bourse d'internat, écouiin e Primaire supérieure de Saint-Gaudens.

7^.v .^anne-Marie-Françoise-Julie), née le 905 à Tucuman (république Argentinp( t père cultivateur à Montastruc-de4 enfants. - Demi-bourse d'internat, Salit) le. prlInaire supérieure de Saint-Caudens.

Sal » - (TMarie-LOUise-Jeanne), née le 11 mars 101.11 oulouse. Le père ouvrier boulanger à 1ret oUse; 2 enfants. Quart de bourse d'entretip » école primaire supérieure de Toulougg

'j(qéHna-Marguel'ite-Marie-Rosalie), née le 1 05 à Cazaunous. Le tuteur, marchand bou ant à Cazaunous; 2 enfants. - DemiOurse familiale, école primaire, supérieure de Toulouse.

yersellle jea-Ilubert-Théodore-Clément),cembre 1904 à Gensac-de-Boulogne.

le nip cultivateur journalier à Villefranchea "a ais; 2 enfants. Quart de bourse Itanchehen, cours complémentaire de Villefrauou e-de-Lauragais.

, département DU GBRS lf (Marcel-François-Delphin), né le > 8. ¿n 1905 à Bordeaux. Le père chef de gare tern s; 2 enfants. -- Quart de bourse d'intenj5. école primaire supérieure de Mi1'1 e. le primaire supérieure de Mi1905 Q (Paul-Warie-Armand), né le 7 mars "i\q\T - Mauvezin. Le père cultivateur à tern»?2 m ; 4 enfants. Demi-bourse d'in1 tan école primaire supérieure de MiIl. e.

"IIl1sSa (Marie-Jeanne-Eugénie), née le 12 mars a \J a. Lombez. Le père limonadier à Lombez; ()ftants. Quart de bourse d'internat, bou e Primaire supérieure de Mirande.

toc (Marie-Marcelle-Lucie), née le 17 oc\1lti905 à Belloc-Saint-Clamens. Le père e r à Belloc-Saint-Clamens ; 2 enrïrnài - Quart de bourse d'internat, école btltt re supérieure de Mirande.

0 ert-Paul-Joseph), né le 26 décembre lit Ili nte-Fauste-Cazaubou. Le père ins'le Publie à Sainte-Fauste; 2 enfants.

wNériû?6 bourse d'internat, école primaire 'lSt1it ure de Mirande.

janwarguerite-Joséphine-Paule), née le rne à el', 1904, à Mirande. Le père genYttreti \i.lrarHlc ; 5 enfants. — Demi-bourse ai, école primaire supérieure de t? «o Iat il(le-Valérie-Emillenrie) née le 011ga. 904 au Houga. Le père coiffeur au cOle prf erants. Demi-bourse d'internat.

p 6 e supérieure de Mirande.

i aîot & à(ïai>ie Jeanne-Adèle), née le 8 février uilhen. La mère, veuve, habite ei'Jïat Auzan : 2 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de o Ont

erié-blaurice), né ie 8 mars 1905 à ra.ntrroqUe.Le père gendarme à Valence; WîaiWs Demi-bourse d'internat, école toi^hrec,périeure de Mirande.

)'j JMe 'S à (Ch 'es~îj0tl^"JosePb)' né le 8 février t're ac (Haules-Pyrénées La mère %I.le 8. w Marseillan ; 6 enfants. Bourse ! K^ )%e l°urs secondaire de Fleurance.

hWM* b j^ïps-Onésime-Germain), né le Mr à Mh- à Mirande. La mère blanchis\Jl}, ; 3 enfants. - Bourse d'enS f école primaire supérieure de MiM^Cin^p'v- ,lorine ) , née le 12 décembre t8 lnou. Le père roulier à Saramou ; 1. ^t8. VUart de bourse d'internat, école fleure de Mirande.

Villeneuve (Marie-Jeanne-Lucienne), née le 18 janvier 1905 à Mirande. Le père gendarme à Auch ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mirande.

DÉPARTEMENT DB LA GIRONDE Anglade (Henri-Jean), né le 20 mars 1904 à Bordeaux. Le père mobilisé à Bordeaux ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Baudet (Jeanne-Irène), née le 19 septembre 1904 à Verdelais. Le père domestique à Verdelais; 1 enfant. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Bordeaux.

Bélivier (Jeanne-Simonne), née le 3 janvier 1904 à Casteljaloux (Lot-et-Garonne). Le père aide-comptable à Bordeaux ; 2 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Bellocq (Germaine), née le 16 septembre 1905 à Royan (Charente-Inférieure). Le père mécanicien à Bordeaux ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Bordenave (Marie), née le 20 octobre 1904 à Jasses (Basses-Pyrénées). Le père homme d'équipe aux chemins de fer du Midi à Bordeaux ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Brustaut (Jeanne-Yvonne), née le 4 novembre 1905 à Podensac. Le père employé de commerce à Podensac ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Bazas.

Burgain (Marie-Henriette), née le 1er décembre 1904 à Samadet (Landes). Le père chef garde au jardin public de Bordeaux ; 7 enfants.

— Quart bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Camouilly (Jeanne - Catherine - Marie - Andrée), née le 13 mars 1904 à Bordeaux. Le père officier en retraite à Bordeaux ; 3 enfants. —

Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Delbrel (Léonce-Jean), né le 29 mai 1906 à Bordeaux. Le père contre maître d'imprimerie à Bordeaux ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Dupiech (Marcelle-Marie-Edmée), née le 22 avril 1904 à Rennes (Ille-et-Vilaine). La mère veuve, mercière au Bouscat ; 2 enfants. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Faure (Maurice), né le 10 février 1905 à SainteFoy-la-Grande. Le père épicier à Sainte-Foyla-Grande ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de SainteFoy-la-Grande.

Ferrand (Fernande-Marie-Blanche), née le 5 mai 1904 à Fargues-de-Langon. La grand'mère Mme veuve Duron, à Bordeaux ; 4 enfants. —

Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Bazas.

Gardey (Marie-Germaine), née le 21 août 1904 à Saint-Androny. Le père ouvrier charron à Saint-Androny; 1 enfant. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Bordeaux.

Grenaud (Irène-Jeanne), née le 10 janvier 1905 à Bordeaux. Le père instituteur public à Bordeaux ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Lambert (Louis -Paul), né le 5 février 1904 à Lacanau. Le père employé à la compagnie des chemins de fer économiques à Lacanau ; 1 enfant. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Cadillac.

Lamothe (Marie), née le 29 avril 1904 à Préchac.

La mère veuve, repasseuse à Préchac : 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Bazas.

Laporte (Marc-Maurice-Joseph-Marie), né le 17 mars 1904 aux Artigues-de-Lussac. Le père boucher aux Artignes; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Cadillac.

Larrieu (Henri), né le 15 avril 1905 au Bouscat. Le père mécanicien à Bordeaux; 2 enfants. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Laurendeau (Jean-Eugène-Allred), né le 27 mai 1905 à Charmant (Charente). Le père chef de station à la compagnie des chemins de fer d'Orléans, à Bordeaux ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Lavaissière (Marie-Jeanne-Madeleine), née le 3 avril 1904 à Bordeaux. Le père cordonnier à Bordeaux ; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Marchat (Roger), né le 15 décembre 1903 à Bordeaux. Le père employé à la mairie du Bouscat ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Martin (Marie-Andrée), née le 13 mars 1905 à Guîtres. Le père cultivateur à Guîtres; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Sainte-Foy-Ia-Grande.

Meste (Robert-Justin), né le 24 avril 1904 à à Lescar (Basses-Pyrénées). Le père secrétaire de police à Bordeaux ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Orecchioni (Marcel-Auguste-Antoîne), né le 17 janvier 1905 à Bordeaux. Le père monteur aux télégraphes à Bordeaux ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Rainaud (Pierre-Louis), né le 14 juillet 1905 à Bordeaux. Le père instituteur public à Bordeaux; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Salier (Jean-Louis), né le 13 février 1905 à Bordeaux' Le père sommelier à Bordeaux ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Sempé (Jeanne-Françoise-Bertrande), née le 29 septembre 1901 à Saint-Affrique (Aveyron).

Le père charpentier à Bordeaux ; 2 enfants.

— Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Soubabère (Jeanne-Andréa), née le 14 octobre 1905 à Lerm-et-Musset. Le père instituteur public à Bordeaux; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

Wehrly (Léon-Marcel), né le 3 octobre 1905 à Bordeaux. Le père employé de commerce à Bordeaux : 2 enfants. — Quart de boursa d'entretien, école primaire supérieure de Bordeaux.

DÉPARTEMENT DE L'HÉRAULT

Barquet (Henri-Abel), né le 8 juin 1906 à Clermont-l'Hérault. Le père ferblantier-plombier à Paulhan ; 7 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Paulhan.

Bouget (Marthe-Valentine), née le 22 octobre 1905 à Uzès (Gard). Le père facteur (ParisLyon-Méditerranée) à Villeneuse-les-Maguelonne; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier. Carbasse (Marcelle-Valérie), née le 25 octobre 1903 à Neussargues-Moissac (Cantal). Le père cantonnier (compagnie du Midi) à Nissan; 8 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Pézenas.

Coulon (Joseph-Urbain), né le 12 seplembre 1905 à Cette. Le père employé (Paris-LyonMéditerranée) à Montpellier : 2 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Crassous (Gaston-François-Delpliin-losepti), né le 13 avril 190i à Pignan, Le père instituteui public à Marsillargues; 2 enfants. — Demibourse familiale, école primaire supérieurs de Montpellier.

Cros (Angèle-Justine-Yvonne), née le 21 février 1904 à Béziers. Le père agriculteur à Béziers; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Béziers.

Delpon (Marcel-Julien), né le 18 juillet 1905 à Montpellier. Le tuteur cantonnier à Montpellier ; 1 enfant. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Desplats (Julienne-Elise), née le 27 janvier 1906 à Môze. Le père entrepositaire de matériaux de construction b Mwe ; 5 enfants, — Demibourse familiale, école primaire supérieure 4e Pézenas.


Dutour (Emile-Louis), né le 8 novembre 1903 à Paris. Le père employé de commerce à Montpellier ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Fusié (Andréa-Marie-Louise), née le 30 juillet 1905 à Vienne (Isère), Le père expéditionnaire à la préfecture à Montpellier ; 3 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Granal (Lucie-Alphonsine). née le 8 août 1904 à Mèze. Le père buraliste à Mèze ; 2 enfants. —

Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Pézenas.

Guiraud (Jules-Alban), né le 27 juin 1905 à Fraisse-sur-Agout. Le père cultivateur à Fraisse-sur-Agout; 2 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de SaintPons.

Larroque (Louis-Jean), né le 22 mars 1904 à Montpellier. Le père employé à Montpellier ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de MontpeIliGr.

Lavabre (Andréa-Chrîstinc-Rose-Elisabeth), née le 13 mars 1906 à Pézenas. Le père employé à Pézenas; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Pézenas.

Legueux (Maric-Antoinelte), née le 21 avril 1904 à Troyes (Aube). Le père chef armurier au 56e régiment d'artillerie à Montpellier ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Mas (Amédée-Louis), né le 11 août 1903 à Argelliers (Aude). Le père maréchal ferrant à Cazedarncs; 3 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de SaintPons.

Milhau (Berthe-Germaine). née le 31 janvier 1905 à Montagnac. Le père, cultivateur à Lézignan-la-Cèbe ; 4 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Pézenas.

Montacel (Camille-Louise), née le 26 mars 1905 à A.vignon (Vaucluse). Le père ébéniste à Mauguio ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Paul (Jeanne), née le 31 mars 1905 à Bourg.<;aint-Maurice. La mère veuve à Castelnaule-Lez ; 2 enfants.- Quart de bourse d'entretien , école primaire supérieure de Montpellier.

Ponsy (Louis-Rosa-Emile), né le 25 mars 1905 à Gignac. Le père serrurier à Gignac; 3 enfants. — Quart do bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montpellier.

Redon (Pierre), né le 23 septembre 1905 à Paris. Le père retraité à Gignac; 3 enfants. — Demi-bourse Jamiliale, école primaire supérieure de Pauihan.

DÉPARTEMENT D'ILLE-ET-VILAINB

Beaulicu (Clarisse), née le 4 mars 1904 à Tremblay. Le père boucher à Tremblay ; 3 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fougères.

Bougant (Jeanne\ néo le 27 février 190 à Equerdreville (Manche). Le père inspecteur des pêches maritimes en retraite à Saintbervan ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fougères.

Bréant (Georges), né le 2 février 1904 à Epernon (Loire). Le père employé de chemin de fer à Fwougèv res ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Fougères.

Carrion (Andrée), née le 8 jtiHlet 1902 au Rheu.

Le père instituteur public au Rheu ; 1 enfant.

- Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Rennes.

Duval (Jean), né le 17 janvier 1905 à SaintBrièe-en-Coglès. Le père instituteur adjoint à Fougeres ; 3 enfants. — Demi-bourse d entretien, -école primaire supérieure de Fougères.

Foernier (Yvonne), née le 12 janvier 1904 à Saint-Méen-le-Grand. Le père instituteur à Saint-Méen-je-Grand ; 2 enfants. Quart de bourse familiale, écoie primaire supérieure 6e fougères.

Houitte (Georges), né le 9 mai 1901 à SaintCoulomb. Le père facteur receveur à SaintCoulomb ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Dol.

Le Picart (Louis), né le 4 novembre 1905 à Fougères. Le père ouvrier à Fougères ; 2 enfants.

— Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Fougères.

Letournoux (Hélène), née le 31 décembre 1905 à Juigné-Béné. Le père mécanicien à Dingé ; 1 enfant. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Rennes.

Louet (Louise), née le 20 mars 1904 à Rennes.

Le père comptable à Rennes ; 1 enfant. —

Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rennes.

Meigné (Elise), née le 2 juillet 1904 à PleineFougères. Le père cultivateur à Pleine-Fougères ; 6 enfants. — Quart de bourse familiale, école primaire supérieure de Rennes.

Poivet (Marcel), né le 28 juillet 1904 à Gahard.

Le père instituteur public à Bruz ; 7 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Redon.

DÉPARTEMENT DB L'INDRE Babijon (Gédéon-Léon-Marie-Lucien), né le 13 février 1904 à la Champenoise. La mère veuve d'instituteur àVatan; 2 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Ben oît-du-Sault.

Chevrier (Marcel-Alphonse), né le 15 décembre 1905 à Châteauroux. Le père tailleur de pierres à Châteauroux; 3 enfants. - Demibourse d'entretien, cours complémentaire de Châteauroux.

Garraud ( Yvonne - Renée - Micheline - Lucette ), née le 4 mars 1904 à Diou. Le père instituteur à Villentrois ; 9 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Gaultier.

Lazard (Camille), né le 14 août 1905 à NeuvySaint-Sépulcre. Le père cultivateur àNeuvySaint-Sépulcre ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Benoit-du-Sault.

Lesnes (Raymond-François-Félix), né le 13 septembre 1903 à Aulnay-lès-Douai (Nord). La mère institutrice, réfugiée àRoussines; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Benoit-du-Sault.

Ménard (Pierre-Yvos-Jean), né le 24 novembre 1903 à Vendœuvres, Le père instituteur à Neuillay-les-Bois ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Châteauroux ; Michon (France-Lucienne-Madeleine), née le 3 février 1905 à Niherne, Le père instituteur à Buxières-d'AilIac; 4 enfants. — Demibourse d'ternat, école primaire supérieure de Saint-Gaultier.

Moinon (Théophile-Auguste), né le 7 mai 1903 à Chassignofles. Le père aubergiste à Chassignolles ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Châteauroux.

Moreau (Marc-Eugène), né le fer juin 1905 à Villiers. Le père maréchal à Vilhjeuris n 1905 à fants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Benoit-du-Sault.

Naut (Marc-Eugène-François), né le 17 juin 1904 à Buzançais. Le père épicier à Châteauroux ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Châteauroux.

Perrot (Alice-Marcelle), née le 19 novembre 1904 à Montluçon (Allier). La mère veuve, lingère à Châteauroux ; 1 enfant. Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Gaultier.

Renard (Jean-Jack), né le 18 août 1905 à Mérigny. Le père tailleur d'habits à Mérigny ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, ecole primaire supérieure de Saint-Benoit-duSault.

Reymonde (Abel-René), née le 3 février 1904 à Saint-Etienne-la-Geneste. Le père cultivateur à Saint-Etienne-la-Geneste (Corrèze) ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Châteauroux.

Roux (Robert-Alphonse), né le 5 mars 1904 à Châteauroux. Le père garçon d'hôtel à Châteauroux; 1 enfant. —? Demi-bourse dntretien, cours complémentaire de Châteauroux,

Soulas (Marie-Louise), née le 10 décembre 17" à Neuvy-Saint-Sépulcre. La mère veuve Neuvy-Saint-Sépulcre : 2 enfants. ure bourse d'internat, école primaire supérlC de Saint-Gaultier.

DÉPARTEMENT D'JNDRE-BT-LOIRB Bordier (Paulette-Henriette), née le 7 jlavlokt 1904 à Cangey. La mère veuve, gouvernas Cangey; 1 enfant. Quart de bourse s.

tretien, école primaire supérieure de ToUr Dubois (Jeanne), née le 21 janvier 1 à Bourges (Cher). La mère veuve, gérantj Tours ; 2 enfants. Quart de bourse a tretien' école primaire supérieure de TOU s< Guillain (Mathilde), née le 18 novembre lîJL, Orsinval (Nord). Le père cultivateur à tieP, cueil; 3 enfants. Demi-bourse d'entre école primaire supérieure de Tours. ftt Houssard (André-Marcel Georges), le 20 Í 1905 à Tours. Le père débitant à la Cro 3 enfants. Quart de bourse d'entre école primaire supérieure d'Ambroise.

Joubert (François-Alfred-Jules), le 7 J vier 1904 à Châteaurenault. Le père Olit, chand de nouveautés à ChâteaUrenole 6 enfants. — Demi-bourse d'entretien, e primaire supérieure d'Amboise.

Larroumets (Albert-Marcel), né le 28 té1" 1904 à Saint-Paul-des-Landes. Le père M cepteur à Ligueil ; 4 enfants. Qu £ rL bourse d'entretien, école primaire supérlC ir0 d'Amboise. ¡¡J' Lécureuil (James-Marie-René), le 8 DO bre 1904 à Cigogné. Le père institut*• Francueil; 3 enfants. - Demi-bourse d biS6' tien, école primaire supérieure d'AD^

Legourd (Charles Georges), né le 31 mai Ge df Bourgueil. La mère veuve, commerce chapellerie à Bourgueil ; 1 enfant. - Qll af~t de bourse d'entretien, école primaire 9 rieure d'Amboise. la Pasquier (Marie-Louise-Alphonsine), IléebO 23 avril 1905 à Neuvéglise (Cantal). k.n\$S gendarme à Panissières (Loire) ; 4 Ollfa Demi-bourse d'entretien, école primai' périeure de Tours. 6 la Salesse. (Gustave-Cléophas-Eugène), pèr 12 mars 1904 à Monsireigne (Vendée). nm , chef de station à Gouzay; 2 enfants. sliP de bourse d'entretien, ccolo primaire rieure d'Amboise.

Sassier (Albertine-Suzanne), née le iioallf 1905 à Louans. Le père bourrelier à 110 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien école primaire supérieure de Tours. 3 jtlÍ Thimonier (Edmond-Jean-Louis), 10 1905 à Sain t-H ilaire-lès-Mortagne (J père cultivateur au Grand-Pressigny; ¡¡ool fants. - Quart de bourse d'entretien e~' primaire supérieure d'Amboise. i! ¡ j Vernet (Marcel-Alban), te 10 avr <a > Vernet (Marcel-Alban), né le 10 avril e pt : j!

Castillonnès (Lot-et-Garonne). Le Pfs fesseur de musique à Amboise ; 2 en1*i^ ptSv}; Demi-bourse d'internat, école pri e i

périeure d'Amboise. Vigour (Simone-Jeanne), née le 4 sePe cO 1905 au Mans (Sarthe). La mère Ivetlyo turière à Beaumont-cn-Véron ; 1 'p1aire Demi-bourse d'entretien, école prl périeure de Chinon.

DÉPARTEMENT DE L'ISKRS A

Ageron (Maria-IIippolyte), né le 31 Veyrins. Le père instituteur en d'iptotJtll' Veyrins ; 1 entant. - Demi-bourse XMg-S* école primaire supérieure de la Côte j André. goed Arvet-Touvet (Gustave-Joseph), néère JiPf' 1905 à Vaulnaveys-le-Haut. La In ère 0. ÎÍt' à Vaulnaveys-le-Haut ; 4 enfants- étie bourse d'entretien, école primalre -#10,) de Vizille. ln I, Aymar (Juliette-Lucia), née le 010 in Grenoble. Le père employé à Çr®D$40$ tant. Demi-bourse d'entretien, À maire supérieure de Grenoble. '1 f, 1 Battail (Henri-Aimé), né le 14 Gua. Le père tailleur, au Gua, ootPP Demi-bourse d'internat, cours '00 taire de Vif,


BOL laI (Paul-Régis), né le 13 avril 1904 à Vinay.

e père entrepreneur, à Vinay; 4 enfants.— DetDli-bourse d'entretien, cours complémentaire de Vinay.

IQUchayer (Charles), né le 1er mai 1904 à la Motte-d'Aveillans. Le père boucher à laMotteAveillans; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de la Mure.

Candy (Marguerite), née le 1er août 1903 à oleymieu. Le père cultivateur à Soleymieu ; * enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de la Côte-Saint-André.

ClVel (Julien-Joseph), né le 26 septembre 1906 * Châbons. Le père employé àChabons: 2 enfants, Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de la Tour-du-Pin.

Combe (Léon-Mathias), né le 24 février 1903 à a Motte-d'Aveillans. Le père mineur, à la Motte-d'Aveillans ; 2 enfants. Demi-bourse d entretien, cours complémentaire de laMotteGAveillans.

Courrier (Berthe-Marie), née le 2 mai 1905 à la pochette (Savoie). Le père gantier à Grenoe. 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Grenoble.

Crassard (Georges-Henri), né le 8 mars 1905 à vienne. Le père sous-officier de gendarmerie a Meyzieu ; 5 enfants. — Demi-bourse d'intdernat, école primaire supérieure de la TourCit (Madeleine-Lucie), née le 23 juillet 1905 à Pierre-Ch&tel * Le père instituteur à Pierreê Mel; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, - école primaire supérieure de Voiron.

Urand (Joseph), né lé 1er mai 1903 à Saintean-de-vaux. Le père fermier à Saint-Jeane-Vaux; 3 enfants. — Demi-bourse d'interndt, cours complémentaire de la Motte^Aveiiians.

tYrnery (Marcel-Eugène), né le 25 août 1904 à la Motte-d'Aveillans. Le père cafetier à la otte-d'Aveillans; 2 enfants. — Demi-bourse .entretien cours complémentaire de la Motte-d'Aveillans.

POU" (Adèle-Joséphine), née le 28 mars 1904 à ézeronce. Le père cordonnier à Vézeronce; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école Primaire supérieure de la Tour-du-Pin.

n.

,?et (Maria-Célestine), née le 16 avril 1904 à t r elin. Le père cultivateur à Corbelin; * enfant. Demi-bourse d'internat, cours 1 IIlplémentaire de la Tour-du-Pin.

I\;ier (Germaine-Augustine), née le 17 féfier 1004 à Saint-Hilaire-de-la-Côte. La mère lère à Saint-Hilaire-de-la-Côte ; 3 enfants.

e i-boiirse d'internat, école primaire J rieure de la Côte-Saint-André.

O:nais (Marguerite), née le 7 juillet 1905 à S. lit-Chef Le père instituteur a Charantonéc'" 2 enfants. Demi-bourse d'internat, 4e primaire supérieure de la Côte-Saintk ré.

(Yvonne-Louise), née le 23 mars 1905 à Marcellin. Le père potier à Saint-MarCeiiijj 11; 1 enfant. Quart de bourse d'entfg primaire supérieure de Saintri1 (Joseph-Paul), né le 4 novembre 1904 à 1 efL°ble. Le père comptable à Grenoble ; Pïimant- - Demi-bourse d'entretien, école » ti IUre supérieure de Grenoble ït (Marie-Louise), née le 3 juillet 1904 à s * La mère institutrice à Allevard; 3 enla lits * - Demi-bourse d'entretien, cours comDiérnelltaire d'Allevard.

à sl^an-Joseph-Georges), né le 15 mai 1905 , Sairt-màrcellin. Le père clerc de notaire à «SiWain^arcellin ; 4 enfants. Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de ^t-Marceïlin.

).{oin.et (Andréa), née le 13 février 1906 à Ilestier-de-Ci erm ont. La mère veuve d'insv lit uteur , à Voiron; 2 enfants. - Demi-bourse eletit re ign, école primaire supérieure de 8(\ u.. -, os (Marguerite-Ernestine), née le * Vieet 1905 à Valence. Le père cordonnier tien é nel; 5 enfants. Demi-bourse d'entre? 1 co e primaire supérieure de Vienne.

L

Tavernjer (Edouard-Hippolyte, né le 16 octobre 1904 à Grenoble. La mère couturière, à Grenoble ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Grenoble.

Terrier (Camille-Auguste), née le 27 février 1904 à Monestier-du-Percy. Le père cultivateur à Monestier-du-Percy ; 8 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Grenoble.

Varnet (Marie-Louise), née le 4 février 1905 à la Tour-du-Pin. Le père cordonnier à la Tour-du-Pin; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de la Tourdu-Pin.

DÉPARTEMENT DU JURA Blanc (Berthe-Léonide-Victoire), née le 3 juin 1905 aux Rousses. Le père sous-brigadier des douanes à Foncine-le-Bas ; 1 enfant. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Claude.

Bochard (Jeanne-Charlotte), née le 3 novembre 1904 à Lons-le-Saunier. La mère, veuve de guerre, tient un café à Lons-le-Saunier ; 4 enfants. - Demi-bourse d'internat, école supérieure de Saint-Claude.

Chaserant (Eugène-René-Lucien-Arthème), né le 19 mars 1905 à Mesnay. Le père cafetier à Mesnay - 6 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mouchard.

Germain (Paul-Edmond), né le 6 novembre 1904 à Mignovillard. Le père facteur des postes à Mignovillard ; 5 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Champagnole.

Jacques (Jules-Louis-Célestin), né le 4 mai 1905 à Mautry. Le père cultivateur à Mautry ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mouchard.

DÉPARTEMENT DBS LANDES

Bannicq (André), né le 28 septembre 1905 & la Teste-de-Busch (Gironde). Le père maréchal des logis en retraite à Tarnos-Forges ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Dax.

Ducournau (Jeanne-Marie), née le 15 avril 1905 à Rion. Le père entrepreneur à Rion ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-sur-l'Adour.

Forté (Marie-Marthe-Elisabeth-Angélina), née le 13 mai 1904 à Peyre. La mère boulangère à Peyre ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-surl'Adour.

Genèze (Jean-Léon-Maurice), né le 19 décembre 1903 à Hagetmau. Le père pâtissier à Hagetmau: 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Dax.

Gramont (Jeanne-Hélène), née le 25 septembre 1905 à Bassercles. Le père charpentier à' Bassercles; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-surl'Adour.

Lacampagne (Robert), né le 21 décembre 1905 à Hagetmau. Le père tisserand à Hagetmau ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Dax.

Lapeyre (Marie-Marguerite), née le 31 mars 1905 à Rion. Le père ouvrier charron à Rion : 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-sur-l'Adoure.

Puyo (Jean-Arthur), né le 27 mars i905 à Lesgor Le père cultivateur à Lesgor ; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Dax.

Roumégous (Pierre), né le 27 août 1905 à Mimbaste. Le père agent réceptionnaire à la compagnie du Midi à Labouheyre ; 1 enfant.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-sur-l'Adour.

-Sentaurens (Joséph-Omer), né le 13 juin 1905 à Sabres. Le père meunier à Sabres ; 2 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-sur-l'Adour.

Sillebat (Jeanne), née le 1er mai 1905 à Téthieu, Le père ouvrier à Saint-Vincent-de-Paul ; 1 enfant, — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aire-sur-l'Adour.

DÉPARTEMENT DB LOîR-BT-CHER Bardeau (Hélène-Régina), née le 25 juillet 1904 à Selles-sur-Cher. Le père instituteur à la Marolle ; 1 enfant. - Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Blois.

Hervet (Ilenri-René-Octave), né le 31 décembre 1904 à Orçay. La mère veuve d'instituteur à Orçay ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure d'Onzain.

Jouanneau (Renée-Marguerite), née le 31 mai 1906 à Blois. Le père ouvrier de fabrique à Blois ; 2 enfants. - Derni-b ourse d'entretien, école primaire supérieure de Blois.

Mandard (Roger-Gaston), né le 19 janvier 1903 à Chambon. Le père menuisier a Chambon ; 1 enfant. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure d'Onzain.

Moron (Nadège-Françoise), née le 20 janvier 1905 à Moisy. Le père cultivateur à MoisYI; 10 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Blois.

DÉPARTEMENT DB LA LOIRE

Bard (Delphine-Germaine), née le 25 décembre 1905 à Saint-Germain-Lembron (Puy-deDôme). Le père plâtrier à Firminy ; 2 enfants.

— Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Firminy.

Bertail (Jeanne-Antoinette), née le 2 août 1904 à Saint-Etienne. Le père chapelier à SaintEtienne ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de SaintEtienne.

Bourbon (Germaine-Simone-Marguerite), née le 17 juin 1905 à Saint-Jean-la-Vêtre. Le père et la mère instituteurs à Savigneux (Loire) ; 3 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Saint-Etienne, Chabance ( Renée-Eugénie), née le 4 septembre 1905 à Paris. La mère veuve employée à la manufacture française de SaintEtienne ; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de SaintEtienne.

Chevrot (Anna-Claudine), née le 5 juin 1905 à Saint-Galmier. Le père cultivateur à MeviieuMonhond; 3 enfants. — Bourse familiale, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

Colin (Claudius-Vital), né le 30 janvier 1905 à Unieux. Le père maçon à Unieux ; 2 enfants.

— Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Firminy.

Constanty (Ermence-Marie), née le 23 janvier 1903 à Vabre (Tarn). Le père ouvrier maçon à Firminy; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Firminy.

Dégeorges (Maria-Perrine), née le 17 février 1906 à Saint-Chamond. Le père camionneur à Saint-Chamond; 1 enfant. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Chamond.

Denis (Antoinette-Louise-Aimée), née le 9 janvier 1905 au Coteau. — Le père employé au Paris-Lyon-Méditerranée à Roanne ; 2 enfants) — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Roanne.

Dupuy (Albert-Aimée), né le 9 mars 1905 à Saint-Rambert-sur-Loire. Le père instituteur à Saint-Rain bert-sur-Loire ; 1 enfant. - Demibourse d'internat, école primaire supérieuro professionnelle de Montbrison.

Durantet (Eugène), né le 7 décembre 1904 à Saint-Etienne. Le père mécanicien au Paris Lyon-Méditerranée à Saint-Etienne ; 3 en fants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne. :

Faure ( Jeanne-Mélanie^nioinette ), née le 12 juin 1904 à Chevrières. Le père instituteur à Saint-Etienne ; 4 enfants. — Demi-bourso d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne. - N Fayard (Marie-Eudoxie), née le 1er mars 1903 à Palogneux. Le père facteur des postes a r Montbrison ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire du Montbrison.


Fayolle (Marthe-Léonie-Louise), née le 10 juillet 1904 à Firminy. Le père entrepreneur de vitrerie à Firminy; 3 enfants. - Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Firminy.

Gabion (Aimé-Marius), né le 26 octobre 1905 à Roanne. Le père employé au Paris-Lyon-Mediterranée à Pouilly-sur-Charlieu ; 3 enfants.

— Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure professionnelle de Charlieu.

Gagnol (Eugénie-Germaine), née le 6 décembre 1905 à Sainte-Fov-Saint-Sulpico (Loire). Le père instituteur à Sainte-Foy-Saint-Sulpice ; 3 enfants. — Bourse d'internat, cours complémentaire de Montbrison.

Bamby (Rose-Marie), née le 29 octobre 1905 à Roanne. Le père sculpteur à Roanne ; 6 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de Roanne.

Gérintes (Etienne), né le 23 mai 1904 à Veauclie.

Le père usinier manufacture nationale à Saint-Etienne ; 1 enfant. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

Ginoux (Pauline), née le 12 septembre 1906 à Izieux. Le père représentant de commerce à Saint-Chamond ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Chamond.

Grataloup (Jean-Marie), né le 21 septembre 1905 à Saint-Etienne. La mère veuve, ménagère à Saint-Etienne ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

Madebrieux (Anaïs-Louise-Catherine), née le 2 mars 1905 à Firminy. Le père mineur au Chambon-Feugerolles ; 3 enfants. — Demibourse d'entretien, cours complémentaire de Firminy.

Mainsel (Armand-Léon), né le 17 août 1905 à Rive-de-Gier, Le père ouvrier verrier à Rivede-Gier; 4 enfanis.- Bourse d'internat, écolo primaire supérieure professionnelle de Montbrison.

Mallet (Marcel), né le 19 février 1905, à la Mulatière (Rhône). Le père ouvrier métallurgiste à Firminy ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Firminy.

Marchai (Maurice-Eugène-André), né le 4 janvier 1904 à Allarmont (Vosges). Le père comptable à Montbrison; 3 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure professionnelle de Montbrison.

Mathey (Louise-Jeanne-Françoise), née le 19 juillet 1905 à Saint-Etienne. Le père coupeur en chaussures à Saint-Etienne ; t enfant. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

Mougin (Marius-Jean), né le 24 avril 1905 à Saint-Etienne. Le père ouvrier métallurgiste à Saint-Etienne; 1 enfant. - Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

Moulin (André-Marius), né le 18 mafs 1905 à Saint-Etienne. Le père électricien à SaintEtienne ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de SaintEtienne.

Perret (Paul), né le 20 octobre 1904 à Louhans (Saône-et-Loire). Le père camionneur àMontbrison; 4 enfants. Demi-bourse d'enlretien, école primaire supérieure professionnelle de Montbrison.

Poinsignon (Pierre-Maurice-IIenri), né le 13 novembre 1905 à Balan (Ardennes). Le père lieutenant au He dragons à Saint-Etienne ; 3 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

portailler (Claudia-Antoinette), née le 15 janvier 1906, à Saint-Chamond. Le père tourneur à Saint-Chamond; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Chamond.

Spada (Marle-Louise-Josephine), née le 24 août 1904 a Saint-Etienne. Le père maître d'hôtelà Saint-Etienne; 1 enfant. Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de SaintEtienne.

Valassière (Marie-Claudine),-née le 5 mars 1904 à Roanne. Le père mobilisé, la mère tisseuse à Roanne ; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Roanne.

Valette (Jeanne-Claudia), née le 19 octobre 1905 à Montbrison. Le père gendarme à SaintEtienne ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de SaintEtienne.

Verrier (Alfred), né le lsr mars 1904 à Rœulx (Nord). Le père usineur aux aciéries de Denain, réfugié à Saint-Etienne ; 2 enfants. —

Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Etienne.

i DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-LOIRE:

Anglade (Judith), née le 5 février 1905 à Saugues. Le père cantonnier à Saugues ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Brioude.

Eyraud (Marguerite), née le 6 septembre 1905 à Firminy (Loire). Le père voyageur de commerce à Pont-Salomon ; 4 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Brioude.

Gayraud (André-Jean), né le 8 juillet 1904 à Caumes (Aude). Le père bourrelier à Lempdes.

1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Craponne.

Giraud (Gabriel-Josepli-Pierre), né le 24 mai 1905 à Ours-Mons. Le père cultivateur à Qurs-Mons ; 7 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Craponne.

Gondoni (Marcelle), née le 16 août 1905 à Vergongheon. Le père contremaître à la tuilerie de Paulhaguet ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Brioude.

Valette (Emile-Louis), né le 3 octobre 1904 à Bellegarde (Gard). Le père marchand de primeurs à Pradelles ; 2 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Craponne.

Vistour (Marie-Jeanne), née le 7 mai 1304 à Comiac (Lot). Le père cultivateur à Comiac (Lot) ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure do Brioude.

DÉPARTEMENT DE LA LOIRE-INFÉRIEURE

Bienfait (Jean-Gaston), né lo 19 mars 1905 à Givet (Ardennes). Le père instituteur à Bièvres (Ardennes,} ; 3 enfants.- Trois quarts de bourse dinternat, école primaire supérieure do Savenay.

Blanchard ( G Priiial ne-Josél)hine-Alphon sine née le 26 février 1905 à Nantes. Le père boucher à Nantes; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Nantes: Bourdairc (Renée-Augustine), née le 19 août 1905 à Reims (Marne). Le père employé des postes à Reims, réfugié ; 2 enfants. — "Demibourse d'entretien, cours complémentaire de Nantes.

Bourdaleix (Marguerite-Marie), née le 7 juillet 1905 à Saint-Nazaire. Le père instituteur à la Baule ; 1 enfant. — Demi-bourse familiale, cours complémentaire de Nantes.

Brousmiche (Albert - Eugène - Victor), né te 17 octobre 1S03 à Chateaubriant. La mère veuve à Nantes ; 1 enfant. — Un quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nantes.

Canonnet (EÜgénic-Ernestinc-Germaine), née le 10 janvier 1905 à Nantes. Le père instituteur à Nantes; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Nantes.

Cantrel (Jeanne-Georgette), née le 5 mai 1905 à Amiens (Somme). Le père ajusteur tourneur réfugié à Nantes ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Nantes.

Choutcau (Marcel-Joseph), né le 3 décembre 1904 à Couëron. Le père marinier à Couëron; 2 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Nantes.

Corlais (Louis), né le 23 janvier 1905 à Touvois.

Le père tisserand à Touvois ; 4 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école supérieure de Savenay.

David (Vincent-Charles), né le 27 juin 1904 à Couëron. Le père ouvrier au Champ-Champagne-Coueron; 4 enfants. Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Nantes.

Défoly (Roger-Achille-Félix), le 21 mar i à Méharicourt (Somme). Le père comp a rse réfugié à Ancenis; 2 enfants. BO , d'internat, école primaire supérieure dAn cenis.

Dibon (Jean-Baptiste-Julien-Marie), néj: 24 mars 1904 à la Montagne. Le père a t' teur à l'établissement national d ,in"AJet; 2 enfants. Demi-bourse familiale, C primaire supérieure de Nantes. Douillard (Suzanne-Julie) , née le 11 août 190.

Châteaubriant. Le père gendarme à Couéro rs 2 enfants. — Demi-bourse familiale, cou complémentaire de Nantes.

Gilbert (Arthur-Jean-Alexandre), le 29 nt; vembre 1905 à Guingamp (Côtes-du-Nora/-^ père facteur enregistrant au chemin e trc" de l'Etat; 3 enfants. — Demi-bourse d tien, école primaire supérieure de Nanio Glotin (Hélône-Marie-Berthe), née le lk 1905 à Nantes-Chantenay. Le père &r réservoirs de la Contric, à Nantes; 2 eDfalé— Demi-bourse d'entretien, cours roinpid- mentaire de Nantes. t Gouerns (Céline-Augustine), née le 22. ;

1905 à Nantes. Le père charron à NaOours 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, c complémentaire de Nantes. j0 Gourmel (Marcelle-Marip-Augustine), né(en" 24 janvier 1905 aux Moutiers-sur-Lay L eB.

dée). Le père plâtrier à Saint-ilorblai" ; ozn- fants. Demi-bourse familiale, cours 1oie, plémentaire de Nantes. j0 Guillet (Georges - Jules - Joseph - Marie), n:oi5.

19 septembre 1905, à Saint-Gildas-de Le père voyageur de commerce à Sain/ des-Bois 1 enfant.— Demi-bourse d inierïlaL école primaire supérieure de Savenay.

Hosteau (Charles-Henri), né le 12 juin * e à Paris. Le père représentant do fab riq'J' Nantes; 1 entant. - Quart de bourse 1o tes.

tien, école primaire supérieure de NaD fit Jouhert (Pierre-Marie-Joseph), la a 19)5 à Vallet. Le père caissier c9r?;onaIe à la compagnie d'assurances la Nantes; 3 enfants. Demi-bourse eS tien, école primaire supérieure de Joubier (Antoine! te - Henriette-Angèle Í:f%h née le 7 juillet 190i à Saint-Nazaire- veuve, buraliste au Pouliguen ; 1 iLiéfl36 Demi-bourse familiale, cours coiuy 09, taire de Nantes.. ig$ Leray (Pierre-Marie-Joseph), 'e®i tsa à Casson. Le père couvreur aux ros es-dgNort; 1 enfant. Trois-quarts û0 d'~ d'internat, école primaire supérieure cenis. 04 4 Levescot (Jean-Marie) , né le 9 jan-¡rier Ji deS Lamnay (Sarthe). Le père contr contributions directes à Nantes ; 6 Oufa ots, Demi-bourse d'entretien, éco e supérieure de Nantes. arje}' Marché (Emilienne - Adrienne - Andrée rie), née le 4 avril 1905 à Nantes. Le pe e,flp)^J de commerce à Nantes ; 3 enfants. ntair8 bourse d'entretien, cours complérne do Nantes. f jtlP"ie Masselin (Louis e-Ainélie), DÔP- qcoffil 1903 à Couëron. Le père ajusteur cours vO 5 enfants. Demi-bourse familla e, plémentaire de Nantes. née J: Pierre (Emilienne-Marie:Marguerite ^e 18 janvier 1903 au Croisic. Le père gar diell de phare au Croisic ; 2 enfants. -:- jyaO*s.

familiale, cours complémentaIre née I Polidor (Marguerite-Marie-Germaine|- liée 9 août 1904 à Saint Jeanne-Bonnal (dDe e do 9 août 1904 à Saint J ean-de-Bo lllÍns de Sèvres). Le père employé deTci quartie dS à Nantes; 4 enfants. - Trois q )art$ bourse d'entretien, cours compl ) Nantes. AU~~)Pondevie (Georgette - Irrna - # (V£ld etJ' Pondevie (Georçette-Irma-Fla^_ AOgus%).

Le père secrétaire de police à N- a ntes ; fants, - Trois quarts de Fe vantes' Vretie Le père secrétaire de polic® _se d 6 fants, - Trois quarts de bour ra cours complémentaire de N& ée le 6 :g; Priou (Airaée-Joséphine-Eugéme^hn 1905 à Nantes. Le père hth';f.entretlen, 2 enfants. - Demi-bourse tre tien5,8cours complémentaire de Nantes.


atU (René-Georges), le 22 mai 1905 à fant ,es. Le père comptable à Nantes ; 5 enBUplrle- Bourse d'entretien, école primaire II Ure de Nantes.

lion U (Roger), Ie 6 décembre 1905 à ludrp T père contremaître aux forges à tern - n re; 1 enfant. Demi-bourse d'inte at école primaire supérieure de SaVew Stïunu L(vancis)' le 26 décembre 1904 à IPtluowîév,LMf ,Fi.nistère). Le père syndic à Basseécole; fants, Demi-bourse d'internat, écoie'lllaire supérieure de Savenay.

îes * 21 Lr dA, - Marie - Augustine), née le des dou 'a a Saint-Nazaire. Le père préposé ^es don an es, caserne des douanes, à SaintCo ; 3 enfants. Demi-bourse familiale, c°%p«0rriplémentaire de Nantes.

W uiSl^g M,ar(,el-Pierre-Julien-Marie),le nt'J 1904 à Trans. Le père ajusteur à jeae- oiseau; 1 enfant. Demij ^Wt ni^ale' école primaire supérieure se familiale école primaire supérieure v DEPARTEMENT DU LOIRET ueS'et Jell -Jacques-Pierre), né le 1er mars ans- La mère veuve, marchande de OUrSe 8 à Orléans ; 1 entfant. DemiA?Urse rv8 eil^re^en. école primaire supérieure Il. léaa ^tufe, Ji'eleine-Simone), née le 29 novemi-Ae i9(fe ^ithiviers. La mère veuve, journaPi thiviers ; i enfant. Demi-bourse t tbliets len, école primaire supérieure de Pil%ieïs êllrd fR

f eorgette), née le 22 mars 1905 a rQerret (Seine). Le père mobilisé, ^ûeijjj Confectionneuse à Orléans; 1 enfant.

rse d'entretien, école primaire "lt (11 e d Orléans.

S(M d'0rléans\hit;elle-Madeleine), née le 31 août 1904 à thiv- Le père employé de bureau à Pieillants. Demi-bourse d'entre! ji 0'êcni primaire supérieure dePithiviers.

h à ane-Paulette), née le 6 septembre & Il Grande-Paroisse (Seine-et-Marne).

tlI.!allt: Veuve» journalière à Pithiviers ; i ¡-- Dfimi-hnnrsp. il enfl'Ahp'fI tV.nla

enOtln UPérieurc de Pithiviers.

t ^Ieïi9mî.^isabeth-Blanche), née le 6 féî hlldre\'ilt Pannccières. Le père instituteur flehSed'in?' 3 enfants. Trois quarts de 0 itbivtternat, école primaire supérieure i rs.

-Lucien-Fleury), né le 30 mai oir-et-Cher). Le père employé de chemins de fer à Fleury-les-Aubrais ; L airè 7" Demi-bourse d'entretien, école «Prieure d'Orléans.

(C^ Miséré( Madeleine-Henriette), née le 15 juillet eauxtl\ Yt (Loir-et-Cher). Le père brigadier W ,elO.i'b e forêts à Ingrannes ; 2 enfants.

".fleIJn .oUrsA H Wn™»? nrimaipn c«_

ure d'Orléans ",.o;¡ f-— U1 Or}. en.é-Ma

Wsfrice-André), né le 21 juillet 1905 M ()l'ië..e Père chauffeur aux chemins de \éÍ\tretiel1 aU.8 ! 3 enfants. Demi-bourse W' ecole primaire supérieure d'Or1/ d (Mir '11 S}r^1 l9o^Ae'Goi'maine-Georgette), née le 17 août à Orléans. Le père mobilisé, la |We^e '1 enfa^?100^, veuve, employée de buÍ\ t1, écolnt. - Trois quarts de bourse d'enécoil Primaire supérieure d'Orléans.

1 école primaire supérieure d'Orléans.

^bevm^i^0I,'Pau1)' né le 12 octobre iSorQnie). Le père commisOtlé6 d'ent J. beville; 3 enfants. - DemiA\v J ^8- Uen> école primaire supérieure M. (1\,

b* tc* (Sfii^ai1^' née le 6 janvier 1905 à 4Qt à o' Glne-et-Oise). Le père commerse <l'i ISC?rnrnun 4 enfants. - Demiça»? '^tern'aat, école primaire supérieure nt'ARTEMBN't DU LOT td !le. 'rh

e gl'e), le 31 janvier 1904 à I.nt Itlltiè; ere chef d'équipe du P. 0. à

enfit nts. Demi-bourse tb. école primaire supérieure de

Lahille (Charles-Maurice), né le 27 mai - -4 à Mechmont. Le père métayer à Mechmont; 3 enfants. — Dem i-bourse d'internat, école primaire supérieure de Luzech.

Larribe (Marie-Lou ise-Paule-Denise), née le 3 août 1904 à Toulouse (Haute-Garonne). Le père cultivateur à Lamativie ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Céré.

Laval (Julien-Jean-Paul-Roger), né le 6 juillet 1904 a Saint-Sozy. Le père cultivateur à SaintSozy ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Martel.

Laymonerie (Marguerite-Jeanne), née le 22 juin 4903 à Puybrun. Le père expéditeur de denrées à Puybrun ; 8 enfants. — Bourse familiale, cours complémentaire de Souillac.

Marroncle (Marguerite-Gabrielle-Henriette), née le 28 septembre 1905 à Cardaillac. Le père métayer 11 Cardaillac; 4 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Céré.

DÉPARTEMENT DB LOT-ET-GARONNE Baloup (André-Fernand), né le 25 novembre 1904 à Cocumont. Le père tailleur à Cocumont ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aiguillon.

Bergat (Jean), né le 29 mars 1905 à Cocumont.

Le père facteur à Cocumont ; 1 enfant. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aiguillon.

Constantin (Henriette-Claudette), née le 8 février 1905 à Birac. Le père facteur à Birac ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Nérac.

Doumain (Roger-Jean), né le 21 mai 1904 à Poitiers (Vienne). Le père retraité à Villeréal ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Castillonnès.

Fourteau (Renée), née le 19 novembre 1905 à ViHeneuve-de-Mézin. Le père forgeron à Villeneuve-de-Mézin ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Nérac.

Gergerès (Jeanne), née le 20 mars 1905 à SainteBazeille. Le père métayer à Sainte-Bazeille ; 4 enfants. — Bourse d'entretien, cours com- plémentaire de Marmande.

Poitevin (Marie-Simone), née le 1er novembre 1905 à Jonzac (Charente-inférieure). Le père propriétaire à Caubon-Saint-Sauveur ; 1 enfant. — Trois-quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Marmande.

DÉPARTEMENT DE LA LOZÈRE Agulhon (Georges-Henri), né le 9 avril 1905 à Florac. Le père boulanger à Meyrueis ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Florac.

Chardenon (Paule-Marthe), née le 27 août 1904 à Florac. Le père instituteur au Fayet ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Florac.

Doulcier (Rosalie-Marthe), née le 26 juillet 1905 à Saint-Germain-du-Teil. Le père facteur à Saint-Germain-du-Teil ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mende.

Gleize (Jeanne-Lydie), née le 21 octobre 19-34 à Vialas. Le père instituteur à Soleyrols ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Vialas.

Malhautier (Elise-Julienne), née le 14 mars 1903 à Saint-Martin-de-Lansuscle. Le père chef cantonnier au Collet-do-Dèze ; 2 enfants.

— Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mende.

Maury (Denise-Augusta), née lo 30 janvier 1904 aux Laubies. Le père instituteur au CrouzetPlù; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mende.

Orliac (Aline-Emilio), née le 3 février 190i à Saint-Sauveur-du-Peyre. Le père instituteur à Couffhinet; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mende.

Pourcher (Auguste-Antonin), né le 27 mai 1905 à Marvejols. Le père cordonnier à Marvejols ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Marvejols.

Puel (Gabriel-René), né le 10 novembre 1904 à Mende. Le père brigadier-forestier à Marvejols; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien cours complémentaire de Marvejols.

Robert (Fernand-Joseph), né le 20 mars 1903 à Bleymard. Le père ferblantier au Blevmard ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Marvejols.

Soulatges (Denise-Marie), née le 21 janvier 1904 à Gabriac. Le père cultivateur à Sainte-CroixVallée-Fausse ; 7 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Mende.

DÉPARTEMENT DB MAINE-ET-LOIRE Alusus ( Blanche), née le 2 décembre 190* à Angers. Le père manœuvre à Angers ; 7 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure d'Angers.

Barré (Charles), né le 31 juillet 1905 à SaintDenis-d'Anjou (Mayenne). Lo père menuisier, 31, chemin de la Maître-Ecole à Angers ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angers.

Bessières (Olga), née le 22 février 1904 à Berne (Suisse). La mère ménagère, chemin du Grand-Vaugareau, à Angers ; 5 enfants. —

Demi-bourse d'internat, ecole primaire supérieure d'Angers.

Bienfait (Reine), née le 15 novembre 1903 à Givet (Ardennes). Le père instituteur des Ardennes, actuellement à Pontchâteau (Loire-Inférieure) ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure d'Angers.

Boivin (René), né le 1er mars 1906 à Angers. Le père comptable à Angers ; 2 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angers.

Boumier (Suzanne), née le 17 juin 190a à Lou» roux-Riconnais. Le père garde-champêtre à Ecouflaut ; 2 enfants. — Demi-bourse d'in* ternat, école primaire supérieure d'Angers.

Bouram (Edmond), né le 26 novembre 1905 à Bouillé-Ménard. Le père carrier à Trilazé ; 3 enfants. — Bourse d'internat, école primaire suDérieure d'Angers.

Brégeon (Marthe), née le 15 février 1905 à SaintLaurent-de-la-Plaine. Le père instituteur à Auverse ; 1 enfant. — Trois quarts, de bourse d'internat, école primaire supérieure d'Angers.

Briand (Jules), né le 24 février 1905 à Angers.

Le père commis trésorerie générale à Angers ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Angers.

Chamailliet (Arthur), né le 22 juillet 1905 à Sourloire (Maine-et-Loire). Le père instituteur a Brain-sur-Longuenie ; 2 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Château-Gautier (Mayenne).

Petiteau (Juliette), née le 11 janvier 1905 à Bouzillé (Maine-et-Loire). Le père gendarme, à Chôlet ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Angers.

Toublanc (Paul), né le 2i décembre 1905 à Champtoreaux (Maine-et-Loire). Le père gardien de la paix, à Angers ; i, enfant. —

Quart de bourse d'entretien, école primair supérieure d'Angers.

DÉPARTEMENT DB LA MANCHE

Bontemps (Augustine-Marie -Louise}, née le 13 juin 1905 à Cherbourg. Le père receveur buraliste mobilisé, réfugié de Dauzy, à Gourbesville ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Valognes.

Cobast (Georges-René-Albert), né le 30 juillet 1906 à Cambernon. Le père employé de chemins de fer à Agneaux ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Lô.

Ilosseins (Marie-Geneviève). née le 18 avril 1905 à Castelnau (Gironde). La mère, veuve, couturière à. Cherbourg ; 2 enfants. — Demibourse d'entretien, cours complémentaire da Cherbourg.

Le Dolley (Léontine-CIémence), née le- 12 dé, cembre 1904 à Quentin (Côtes-du-Nord). Le pere gendarme à Percy ; 1 enfant. Demif bourse d'internat, école primaire supérieur* de Sa'nt-LÔ..


Lefresne (Fernand-François-Emile), né le 3 Janvier 1904 à Querqueville. Le père commis de la guerre à Equeurdreville ; 5 enfants. Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire d'Equeurdreville.

Legraverand (Eugène-Emile), né le 15 août 1905 à Paris (6e). Le père clerc de notaire à Cerisyla-Salle; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Lô.

Lemains (Jean-Gaon). né le 19 octobre 1903 à Chartres (Eure-et-Loir). La mère, veuve, a Saint-Nicolas, près Granvllle ; 4 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Granville.

Mauger (Yvonne-Germaine-Juliette-Marie), née le 15 mai 1905 à Saint-Lô. Le père cabaretier à Tarogni ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Lô.

Mellion (Auguste-Louis-Georges), né le 24 janvier 1906 à Saint-Lô. La mère, veuve, couturière à Saint-Lô ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Lô.

Noël (Alberte-Rose), née le 6 mars 1904 à Portbail. Le père maréchal des logis de gendarmerie à Plessin-lel-Grèves; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Valognes.

Néel (Lucienne-Marie-Michelle), née le 10 mars 1905 à Vauville. Le père aubergiste à Vauville ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Valognes.

Painchaud (Jean-Louis), né le 23 novembre 1905 à Saint-Bucé de Landelles. La mère, veuve, institutrice à Bouillon ; 1 enfant. — Demibourse d'internat, cours complémentaire de Villedieu.

Pastey (Hélène-Armanda-Marie), née le 8 avril 1905 à Saint-Martin-de-Bonfossé. Le père institutenr à Saint-Amand ; 3 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Lô.

Pignot (Maurice-Louis-Adrien-Etienne), né le 21 janvier 1904 à Tourlaville. Le beau-père adjudant à Cherbourg; i enfant. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Valognes.

Ribert (Marie-Jeanne), né le 10 août 1904 & Agneaux. La mère, veuve, ménagère à Agneaux ; 7 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Saint-Lô.

Sacardiaux (Suzanne), née le 4 avril 1905 à Catillon (Nord). La mère réfugiée à Coutances ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Coutances.

DÉPARTEMENT DE LA MARNE Berger (Alice-Marguerite), née le 4 avril 1905 à Vitry-le-François (Marne). Le père contremaître aux usines de Soulanges, mobilisé; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Vertus.

Chalin (Germaine-Marguerite), née le 17 février 1905 à Vigneulles (Meuse). Le père brigadier de gendarmerie à Vertus; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Vertus.

Dardoise (Carmen-Yvonne), née le 13 juin 1905 à Champenoise. Le père mobilisé, la mère tient une pension de famille à Fère Champenoise; 5 enfants. - Demi-bourse d'internat école primaire supérieure de Vertus. née le 1" mai 1904 à Détouche (Marie-Thérèse) née le 1er mai 190; à Warmériville Le père cultivateur à Warmériville, réfugié Il Oiry; 4 enfants. - Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Vertus. primaire supérieure Dollet (Pierre-Adérald-Médard), né le 9 décembre 1904 à Bétheny. Le père instituteur de Bétheny, réfugié au Gault; 3 enfants Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire de Vertus.

Heurtaux (Marcel), né le 11 septembre 1904 à Mareim- c-Port. Le père cabaretier à Marcuil ie:Port ; 1 enfant. - Trois quarts de bourse 4 internat, cours complémentaire de Vertus.

Ledru Lliollin-René i. né le 2 novembre 1904 à Btampes (Seme-et-Oise). Le père sous-officier retraité, garde champêtre & BLueuil; 5 enfants. Trois quarts de bourse d'internat cours complémentaire de Vertus. f

Léquy (Louis-Gustave), né le 11 septembre 1905 à Autréville (Meuse). Le père cultivateur (mobilisé), la mère réfugiée à Vanault-IesDames ; 3 enfants. — Bourse entière d'internat, cours complémentaire de Vertus.

Maillet (Albert-Raymond), né le 29 mars 1903 à Epernay. Le père mécanicien à A y (mobilisé) ; 2 entants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure annexée au collège de Châlons.

Niverd (André-Alfred-Paul), né le 13 janvier 1906 à. Reims. — Le père employé de chemin de fer, évacué de Reims à Chàlons ; 1 enfant.

- Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure annexée au collège de Châlons.

Pelletier (Edmée-Louisa), née le 19 octobre 1905 à Blidah (Alger). Le père chef de fanfare au 1er régiment de tirailleurs algériens ; 1 enfant, — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Vertus.

Périchon (Raymonde-Amé'dée-Amanda), née le 23 juin 1904 à Reims. Le père représentant de commerce à Reims, réfugié à Troyes ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Felletin (Creuse).

Sarazin (Hélène-Marie), née le 28 mai 1907 à Tours-sur-Marne. Le père instituteur à Hermonville, réfugié à Essonnes (Seine-et-Oise) ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Vertus.

Spelshausen (Renée-Marie), née le 9 décembre i905 à Reims. Le père mobilisé, la mère réfugiée à Bois-Commun (Loiret); 3 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Vertus.

DiPARTEMENT DE LA MARNE (HAUTE-) Baeelard (André-Marguerite-Marie), née le 16 juin 1905 à Nogent-en-Bassigny. La mère veuve, à Nogent-en-Bassigny ; 7 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chaumont.

Blaisot (Gabrielle-Clémence-Odette), née le 6 février 1905 à Chamouilley. Le père comptable à Wassy ; 7 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de - Wassy.

Chaussemier (Andrée-Louise), née le 13 mai 1905 à Sarcicourt. Le père instituteur public à Villers-le-Sec ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chaumont.

Clément (Maurice-Emile), né le 1er août 1905 à Chaumont. Le père chef de train à Chaumont; 1 enfant. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de Chaumont.

Fuseliôr (Louis-Georges), né le 13 juin 1904 à Thonnance-Ies-Joinville. Le père mouleur à Thonnance-Ies-Joinville ; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Joinville.

Gillet (Marie-Marguerite-Gabrielle), née le 4 décembre 1903 à Montreuil-sur-Blaise. Le père cultivateur à Montreuil-sur-Biaise; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Wassy.

Issartel (René-Georges-André), né le 3 novembre 1906 à Choignes. Le père tailleur de pierres à Chaumont ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Chaumont, Loranchet (André-François-Joseph) né le 18 mars 1905 à Wassy-Pont-Varin. La mère veuve, servante à Wassy ; 2 enfants. - Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Joinville.

Mercier (RQbert), né le 19 juin 1906 à Chaumont. Le "père commis principal des contributions indirectes à Chaumont ; 1 enfant. Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire l de Chaumont. C°UrS Parisot (RaymOnd-Marie-Etienne), né le 9 juin S , Chaumont. Le père constructeur mécanicien à Chaumont ? 1 enfant. - Demibourse d entretien, cours complémentaire de Chaumont.

RoUin (Antoinette), née le 27 juillet 1904 à Maisey-le-Duc (Côte-d'Or). La mère veuve d'inspecteur Primaire Chaumont; 1 enfant.

- nui9- quarts de Bourse d mternat école primaire supérieure de Chaumont.

Toussenel (Léa-Juliette-Louise), née le 24 £ 1905 à Bettoncourt. Le père manou udr Vaudrémont, la mère institutrimce anovaudra mont ; 6 enfants. - Demi-bourse III école primaire supérieure de Chaumont.

DÉPARTEMENT DE LA MAYENNE Bailly (René-Jean-Edouard), le 21 tévrte'

à Colombiers. Le.père instituteur àd" ternat, rie; 6 enfants. Demi-bourse dis~j~~t., école primaire supérieure de Château- ell.

tier. & Betmalle (Rolland-Emile), né le 30 maIl teut La Ferté-Bernard (Sarthe). Le père per.cggurse à Fougerolles; 6 enfants. Derol- weSt familiale, cours complémentaire d Anw1 Bodard (Renée-Victorine), née le 20 avrgossé" à Cossé-le-Vivien. Le père maréchal a jiaj0, le-Vivien; 4 enfants. -Demi-bourse faruilia ! e, cours complémentaire de Laval.

Bouzeau (Emilienne-Eugénie), née le ier sep, tembre 1905 à Ambrières. Le père gen .aDfljà Ambrières; 2 enfants. Demi-bourse s liale, cours complémentaire d'Ambrlère "net Caron (Fernand-Jean-Pierre), Ie. 3* 1903 à Achiet-le-Grand (Pas-de-Calais). ère cultivateur, évacué du pas-de-caltie g pri" cultivateur, évacué du Pas-de-Calais » fants. Demi-bourse d'internat, école maire supérieure de Château-Gontier- Daguier (Paulette-Marie-Georgette),, née avril i905 à Mayenne. Le père rnera nirjoo à Mayenne ; 1 enfant. Quart de bours eIlIle, tretien, école primaire supérieure de m: De Brossard (André-Paul-René), le itoée de 1906 à Paris. La mère veuve, ernp|^^ uarts commerce à Laval ; 3 enfants. - TrOis supe" de bourse d'internat, école primaire gups" périeure de Ernée. jjjet Dumas (Juliette-Lucienne), née lo 3fbJr ail 1905 à Montmirat (Gard).Le père jur atl Genest; 3 enfants. Demi-bourse cours complémentaire de Vaiges.t Houssin (Augustine-Germaine), née Ie ^iW5' 1905 à Entrammes. La mère veuve familiale, serie ; 2 enfants. Demi-bourse 1»mjiial®' cours complémentaire de Laval. 19051 Huchedé (Edmond-Jean), né le 1er atsftrs Montsûrs. Le père percepteur a ours coJIl 1 enfant. - Demi-bourse familiale, cours coin plémentaire de Mayenne. , Coi Launay (Gustave-Ernest), né le 1er anfaJft: Vaiges. Le père épicier à Vaiges ; Demi-boure familiale, cours co taire de Mayenne. 9 f1JiJJ Salmon (Germaine-Françoise), née è wM Salmon (Germaine-Françoise), née g ntS.

et mère institutrice à Brée; 2 e' Demi-bourse familiale, cours comf Il taire de Laval. ri^ X ServeaAlexis-Louis), né le 29 janerceat Laval. La mère employée de co d'ioterll Laval; 1 enfant. Demi-bourse d'illternat, école primaire supérieure de Er,,, 'e.1 Sire (Marcel-René), né le 25 mars 1904. pi paume (Pas-de-Calais). Le père cgu paS- Sol contributions indirectes, évacue a paS.

Calais; 1 enfant. - Quart de 0 da ebA" tien, école primaire supérieure d CD Gontier.

DÉPARTIRENT DE MIURTHlH;T-1-I OSBLL a Bernard (Aline-Cécile), née le 27 ar Saint-Dié (Vosges). Le père emP Saint-Dié (Vosges). Le pèref e ts - QtJéaieur min de fer à Nancy ; 3 enfants bourse d'entretien, école primai gUpéri A de Nancy. 6 J11ai il' Carel (Suzanne-Yvonne), le Maxéville. La mère veuve, ouvrière b" d' à Maxéville; 1 enfant. T d'entretien, école primaire S fI' Nancy. S8il1el1 Carolus (Maurice), né '0l2Jan.1>r l906àSaqV Pôle. Le père douanier ternat, éco fants. Demi-bourse dinter 90' rieure de Caen. née 1 30 août tvo: Croiset (Marie-Reine), née .rLnuteU11 â taiJJI narisey-Ia-Gôte. Le père i"mj-i)ours0 y, germain ; 4 enfants, L' ) liale, école primaires érilu e de N liott


fîir. mF (Jeanne-Irma), née le 18 juillet 1905 à t'nville. Le père ouvrier de saline à EindW 5 enfanls. - Trois quarts de bourse 'l'lllnternllt, école primaire supérieure de aon Qog (Margiuirite-Victorine), née le 28 sep'i!Dre 190. à Sonones (Vosges). Le pèrevanb r Moycu; 3 enfants. Trois quarts de duTrlse d'internat, école primaire supérieure Tha OilIen!'idtc Iarie-Jeanne, née le 6 septemà Goviller. Le père instituteur à écoïrue: 3 enfantg. Demi-bourse familiale, e l'rim;:dre supérieure de Nancy.

,Qr (Iarie-Lucienne), née le 26 juin 1904 à NaJ-cy; La 1:11 re ouvrière en coafeetions à Na cy; 4 cnfunts. Demi-bourse d'entrer tin Il, école primaire supérieure de Nancy.

,{leà(Mal'¡e-LOUiSe-JUliette). née le 7 août à Ponl-à-Mousson. Le père sous-ingé8 e r des ponts et choussées à Frouard; s. Bourse familiale, école primaire perielire de Nancy.

Tynéi <'ne-Octavie), née le 7 décembre 1905 jgj'llville. Le père employé à la saline baille; 4 enfants. Trois quarts de da e d'internat, école primaire supérieure jj de, rhaon. Mourot ( obert-Charles ) , le 10 novembre i (Robert-Charles), né le 10 novembre ont-à-Mousson. La mère veuve, insbOt l'lce à Custines ; 4 enfants. Demiîeî ®ouv iSe familiale, école primaire supérieure eY.

lffe! (Rosette-Joséphine), née le 16 mars tante Il Lectoure (Gers). Orpheline chez sa Nan ll; 2 enfants. - Demi-bourse ,l'ehen, école primaire supérieure de k Y.

bte (te'Marie-JOséphine), née le 2 novemo,. "V\) à Moyen. Le père cultivateur à ^ovBn î.1 enfant. - Demi-bourse d'internat, École c Primaire supérieure de Thaon, DÉPARTEMENT DE LA MEUSE f Sx Marie-Marguerite-Fernande ), née le * sene-Inbre 1903 à Esnes. La mère veuve, !\es.ehonneuse, réfugiée d'Esnes à Velaiv école fants. - Demi-bourse d'internat, 'rite Priniaire supérieure de Bar-le-Duc.

ltt( Irie- imée-àntoinette), née le 30 octoet Hennemont. Le père cultivateur » "V-l à Hennemont. Le père cultivateur d'Hennemont, réfugié à Clergoux (Corrèze) ; 1 lil'Q' s. - Demi-bourse d'internat, école supérieure de Commercy, élève Iobabot r e il Tulle.

U0li?aul-Jean-Nicolas), né le 23 août 1905 rérUgié tas. Le père cultivateur de Dombras, ^emiV^rault (Haute-Marne); 3 enfants.

eriel-bourse d'internat, école primaire suG oin\'iUe de Montmédy, élève transférée à tl1sel1 e.

: ( &rie-liélène), née le 24 décembre ( te ncourt. La mère veuve, journaï i ?tifaM^? uSiée de Béthincourt à Tourailles ; trl'il'Qa.ir s. Demi-bourse d'internat, école b. Ilstér supérieure do Bar-le-Duc, élève iV > il Wassy.

ire l9P 0irre")ert-Nicolas), né le 5 décemerd.\11l Verdun. Le père mécanicien à V~tn V?1. 1"'6 urbaine), famille évacuée de s })en{.r sldant à Gondrecourt ; 2 enfants.

0?;rse d'internat, école primaire CftPffieiiV.„ d'Etain, élève transférée à VauM leUr« 1ked {Ma., - L .- - - AL 1 "11_- .-

(l'" ou~- ¡, UtJ ie ai août lW;) a riuon. Le bû^Auhfi,er agricole de Pillon, réfugié à V*ïSe d'p„?s (Ardèche). - Trois quarts de (: ),{ont;Anétrehen, école primaire supérieure dèche) dy, élève transférée à Aubenas ta riugustine), née le 12 janvier d'el:llll1 IIlercy. Le père employé d'octroi toetieC7é'; 4 enfants. - Demi-bourse ^erCy' cole primaire supérieure de er CY.

DÉPARTEMENT DU MORBIHAM

iMftL^°reiente ^Iar^e"^os^Phe), née le 17 avril tet\, nt; 3 enrâ ive père ouvrier à l'arsenal de (n, éeole ats. Quart de bourse d'en"C Prunaire supérieure de Lorient.

CO' Ime",.)

Celton (François-Joseph-Marie), né le 8 septembre 1905 à Saint-Jacut (Morbihan). Le père employé à la compagnie P.-O. à Kervignac ; 3 enfants. — Bourse familiale, cours complémentaire d'Auray.

Corvée (Aimé-Paulette-Jeanne), née le 21 mai 1905 à Riautec. La mère veuve, directrice d'écolo à Port-Louis; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Pontivy.

Cospérec (Marguerite-Lucie-Marie), née le 11 mai 1904 à Lorient. Le beau-père M. Roux, ouvrier à l'arsenal de Lorient; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient.

Coupanec (Mariette-Jeanne), née le 1er mai 1904 à Lorient. Le père ouvrier à l'arsenal de Lorient ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient.

Crabot (Marie-Louise), née le 6 octobre 1905 à Hennebont. Le père contremaître d'usine à Hennebout ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Pontivy.

Débrosse (Marcel-Eugène-Louis-Julien), né le 10 février 1904 à Beauvais (Oise). Le père ouvrier tourneur, mobilisé à l'arsenal de Lorient; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient.

Dorso (Jeanne), née le 3 avril 1904 à Lorient. Le père infirmier à Lorient; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient.

Garnier (Auguste-Toussaint-François), né le 16 janvier 1904 à Chantenay (Loire-Inférieure).

Le père cuisinier à Port-Louis ; 4 enfants. —

Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Lorient.

Lappartient (Alexis-Eugène), né le 10 février 1905 à Port-Louis. Le père peintre à PortLouis; 5 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Lorient.

Le Berre (Jean-Pascal), né le 15 août 1904 à Lorient. Le père brigadier de gendarmerie maritime à Lorient; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient. Le Bozec (Suzanne-Marie-Jeanne), née le 19 août 1905 à Moustoirac. Le père instituteur à Malausac ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Pontivy.

Le Drogo (Fernande-Marie-Joséphine), née le 14 octobre 1905 à Lignol. Le père retraité à Lignol ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Pontivy.

Le Hellec (Germaine-Louise), née le 23 octobre 1905 à Pontivy. Le père employé d'octroi à Pontivy; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Pontivy.

Le Hen (Adolphe-Vincent), né le 11 février 1904 à Lorient. Le père employé municipal à Lorient ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient.

Le Parc (Louise-Victorine-Isabelle) née le 16 mai 1905 à Vannes. La mère veuve, commerçante à Vannes; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Vannes (école Sévigné).

Le Pichon (Jeanne), née le il octobre 1905 à Saint-Pierre-Quiberon. Le père préposé des douanes à Saint-Pierre-Quiberon ; 4 enfants.

— Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Pontivy.

Maire (Marcel-Alfred), né le 23 octobre 1904 à Brest (Finistère). Le père premier maitre fusilier à Lorient ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Lorient.

Rival (Marguerite-Georgette-Jeanne-Marie), née le 14 novembre i903 à Chantenay (Loire-Inférieure). Le père sous-chef de brigade de la voie à Malansac ; 2 enfants. — Bourse familiale, cours complémentaire de Vannes (école Sevigne).

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DÉPARTEMENT DE LA MÈVRS

Bredeau (René-Pierre), la 2 décembre 1904 à Onlay. Le père facteur receveur à Gacogne ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Corbigny.

Colin (Louis-René), né le 30 Juin 1904 à VierzonVillage (Cher). La mère receveuse des postes à Montsauche ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Corbigny.

Favier (René-Clément), né le 10 juillet 1906 à Asnan. Le père marchand de volailles & Châtillon-en-Bazois; 6 enfants.-Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Cha.

teau-Chinon.

Gaulier (Lucienne), née le 20 janvier 1905 à Larochemillay. Le père chef cantonnier i Saint-Saulge ; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Guérigny.

Guillerault (Jeanne-Louise), née le 4 décembre 1904 à Pouilly-sur-Loire. Le père menuisier il Pouilly ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clamecy.

James (Robert-Etienne-Marie), né le 8 mai 1905 à Decize. Le père mobilisé, la mère à Nevers; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, écolo primaire supérieure de Nevers.

Jouot (Alphonse-Armand), né le 6 août 1904 à la Guerche (Cher). Le père cordonnier à Nevers ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nevers.

Juliette (Eugénie), née le 10 mars 1905 à Nevers, pupille de l'assistance publique. Demibourse d'internat, cours complémentaire de Guérigny.

Lavergne (Robert-André), né le 3 août 1905. à

Vendœuvres (Indre). Le père négociant à Entrains ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de la Charité.

Lemoine (Jeanne), née le 27 janvier 1905 à Decize. Le père ouvrier d'usine à Imphy ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Yarzy.

Leriche (Robert-Léonard), né le 1er août 1905 à Nevers. Le père commissionnaire en bestiaux à Nevers ; i enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nevers.

Marlin (Maria), née le 23 février 1904 à Gron (Cher). La mère veuve à Tanna y ; 2 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clamecy.

Menot (Louis), né le 7 novembre 1905 à Guérigny. Le père ouvrier d'usine à Guérigny ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Fourchambault.Porte (Armand-Etienne), né le 27 mai 1904 à Chagny (Saône-et-Loire). Le père conducteur au P.-L.-M. ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Decize.

Poulin (Germaine-Yvonne), née le 22 juillet 1905 à Corbeilles-en-Gâtinais (Loiret). La mère veuve, revendeuse à Dornecy; 3 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clamecy.

Poupon (Désiré-Maxime), né le 17 décembre 1905 à Rémilly. Le père poseur au P.-L.-M.; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nevers.

Rameau (Raymond-Gaston), né le 17 juin 1904 à Guérigny. Le père ouvrier aux forges de Guérigny; 1 enfant. — Demi-bourse dinternat, école primaire supérieure de la Charité.

Ricrocq (Blanche-Augustine), née le 26 juin 1904 à Imphy. Le père ouvrier d'usine à Imphy ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Guérigny.

Robey (Jeanne), née le 16 août 1903 à Planchez.

Le père mobilisé, la mère à Planchez; l enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clamecy.

Rolland (Gaston), né le 6 février 1905, à Entrains. Le grand-père à Entrains; 2 enfants.

- Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de la Charité.

Romain (Adrienne-Jeanne), née le 16 juin 1901 à Imphy. La mère veuve, employée de bureau à imphy ; 1 enfant. — Demi-bourse d'in-

ternat, cours complémentaire de Varzy.

Thienne (Louise), née le 20 mars 1904 à Moulins-Engilbert. Le père instituteur à Vauclaix; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clamecy.

Verrier (Germaine), née le il décembre 1904 à Guérigny Le père maréchal des logis de gendarmerie à Imphy ; 1 enfants. — Demi-bourse d'inlernat, cours compleNMataire de Gu6rigny.


DÉPARTEMENT DU NORD p Goëvoot (Robert), Dé le 28 décembre 1904 à Salomé. Le père instituteur à Ledrighem ; 6 enfants. — Demi-bourse d'internai école primaire supérieure d'Hondschoote.

Deleau (Paul), né le 5 août f905 à Villereau, La mère veuve, employée auxiliaire à la préfecture du Nord; 1 enfant. — Bourse uentretien, cours complémentaire de Dunke-Bque.

Belsart (Charles), né le 5 octobre 1905 à SaintPol-sur-Mer. Le père instituteur à Eringhem ; , 5 enfants. — Bourse d'internat, école primaire supérieure d'ilondschoote.

Haelewyek (BeTtbe), née le 3 juillet 1.905 à Steene. Le père cultivateur a Steene ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de Bourbourg.

DÉPARTEMENT DE L'OISE t Carpentier (André-Charles), né le 31 aoû 1904 à GrandviJliers. Le père employé au chemin de fer du Nord à Méru (Oise) ; 3 enfants.

— Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Caullier (Charles-Eugène-Maurice-Modeste), né le 21 juillet 1905 à Saint-Brice-sous-Forêt (Seine-et-Oise). Le père jardiniar à. Bornel 3 enfants. - Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Coppin (Marguerite-Léone-Lucie), née le 3 juin 1904 à Vaumoise. Le père commis des contributions indirectes à Notre-Dame-du-Thil ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mouy.

Devillers (Lucile), née le 11 novembre 1903 à> Mûrquéglisè. Le père instituteur à Salency, détaché à Poitiers; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de CrépyV en-Valois.

Dufour (Andrée-Marthe), née le 23 novembre 1904 à Saint-Denis (Seine). Le père conducteur au chemin de fer du Nord à Chantilly ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mouy.Dùjardin (Maurice-Gaston), né le 21 décembre i9J4 à Bézu-Saint-Eloi (Eure). La mère veuve, couturière à Méru ; 1 enfant. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Flet (Irène), née le 30 juillet 1905 à Saint-Crépin d'Houvillers. Le père boutonnier à Méru 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

rf'êminet(Fernande-Lucienne-Margucrite), née le 20 juillet 1904 à Cuise-la-Motte. Le père maçon à Cuise-la Motte; 2 enfants. — Demi; bourse d'entretien, cours complémentaire de Crépy-en-Valois.

Ladoubart (Joseph-Fernand-Marceau), né le août 1903 à Hétomesnil. La mère veuve, journalière à. Hétomesnil; 2 enfants. — Demibourse d'entretien, cours complémentaire de Gralldvilliers.

Laville (André-Henri), né le 6 octobre 1903 à ,Nogent-sur-Oise. Le père sous-chef de dépôt '-:,,la compagnie du Nord, à Marissel; 1 enfant.

— Demi-bourse d'entretien, école primaire J supérieure ae Beauvais.

Lebel (Roger-Charles-Léon), né le 24 juin 1904 a Hètomesnil. Le père instituteur à Hétomesnil; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Crèvecœur-le-Grand.

MagJoire (Simonne-Marthe), née le 30 novembre "1904 a Saint-Just-en-Chaussée. Le père mé, fani^ienk Saint-Just-en-Chaussée ; 2 enfants.

;::. Demi-bourse d'internat, étole primaire supérieure de Mouy.

Mssieux (Jean-Baptiste) né le 26 novembre '1904 à Saintines. Le pere allumettier à Sain'$tines; ¡ enfants, — Bemi-bourse familiale' école primaire supérieure de Beauvais.

née le 25 janvier 1905 à Marissel. Le père camionneur à Méru; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Jparmentier (Maurice-René-Honoré), né le 80 juin 1904 à Beauvais. Le père peintre à Beauvais ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Beauvais.

Petit (Jeanne-Georgette), née le 12 janvier 1905 à Mouy. La mère veuve d'instituteur à JHaudivilJers : 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mouy.

Seillier (Claire-Henriette), née le 1<6 juin 1905 à Méru.Le père voyageur de commerce à Méru ; i tiifant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Sellier £ Nelly-Louise), née le 19 décembre 1905 à Corbie (Somme). Le père hôtelier à Corbie (Somme), mobilisé, la mère réfugiée à SainteGeneviève-2 enfants. - Demi-bourse d'infernat. école primaire supérieure de Mouy.

Sélig (Gorges-Joseph), né le 26 mars 1905 à Villers-Saint-Sépulcre. La mère veuve, concierge à. l'usine de Villers-Saint-Sépulcre; î enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Trébuquet (Maria-Aimée), née le 2 avril 1905 à Ognon, La mère veuve d'instituteur à IIanvoile ; 7 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de M au y.

Trihioulet (Odette-Lucienne) , née le 9 novembre 1905 à Breuil-Ie-Vert. Le père tourneur à Mogneville ; 3 enfants. — Demi-bourse d'intarnat, école primaire supérieure de Mouy.

Varia (Georges Hildevert), né le 29 mai 1905 à Andevilie. Le père tabletier à Méru ; 2 enfants. —Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Méru.

Volatron (Georges-Lucien), né le 25 février 1905 à Crèvecœur-le-Grand. Le père brigadier de gendarmerie à Ressons-sùr-Matz ; 1 enfant.

- Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Beauvais.

DÉPARTEMENT DE L'ORNE

Béquignon (Isabelle-Juliette-Louise), née le t8 avril 1905 à Saint-Germain-de-la-Condre.

Le père facteur des postes à Igé ; 3 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure dAlençon.

Birée (Henri-René), né le 15 novembre 1903 à Lyon. Le père retraité des chemins de fer au Ménil-Broût ; 6 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de la Ferté-Maeé.

Boutrouille (Achille-Louis-René), né le 2 février 1905 à Berrnerain (Nord). Le père receveur des postes au Pin-au-Haras ; 2 enfants. - Dernibourse d'internat, école primaire supérieure de la Perté-Macé.

Boisgontier (Joseph-Louis-Ernest), né le 28 septembre 1904 à Beaulandais. Le père gérant de culture à Fiers; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Fiers.

GuiHeanont {Robert-Prieul), né le 7 mars 1904 à Argentan. Le père conducteur des pontet chaussées à Erchen (Somme); 3 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Fiers.

Lafontaine (Denise-Marie-Louise), née le 4 mai 1905 à la Ferrière-au-Doyen. Le père instituteur à la Ferrière-au-Doyen ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieur d'Alençon.

Laurent (Marthe-Andrée), née le 26 octobre 1904 à Briouze. Le père horloger à Briouze; 3 enfants — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Alençon.

Mercelot (Odette), née le 28 juin 1905 à Alençon. Le père sellier à Alençon; 2 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Alençon, Mouchon (Marguerite-Marie-Louise), née le 25 avril 1905 à Rochefort. Le père receveur buraliste à Mortrée; 5 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure d'Alençon.

Poulain (Marcel-Remy) né le 25 décembre 1904 à Dorceau. Le père jardinier à Flers j 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Fiers.

Pithois (Géneviève-Marie-Ernestinel, née le 2 mai 1904 à Bruz (Ille-et-Vilaine). La mère veuve à La Ferrière-aux-Etangs ; 3 enfants.* Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d Alençon.

Reb (Germaine-Juliette^Eloïse), née a 1904 à Ch&teaN-d'AImenesches. Le Père rW canicien I Macé; 2 enfants. ( 2uart de bourse d'entretien, école primaire super!

d'Alençon. JfJ Sagot (Louise-Aldoncine-Albertine), Lnéêr6 23 décembre 1904 à Tournai-sur-Dive. La veuve, à Tournai-sur-Dive ; 2 entiiiits.

Demi-bourse d'internat, école primaire sUW" rieure d'Alençon.

DÉPARTEMENT DU PAS-DE-CALAIS Basin (Jean-Emile), né le 22 juillet 1905 à : val. La mère veuve écpicière à BO a 1 enfant. — Bourse d'internat, école prIm supérieure de Montreuil.

Butez (Jean-Albert), né le 24 avril 1903 à Giyû chy-te-Noble. Le père instituteur, évaï, ttf Saint-Tricat ; 3 enfants. Trois qu [arts bourse d'entretien, écol& primaire sup<-'neliye de Calais. A Caron (Alice-Marie), née le 21 févriet: id6 Marquise. Le père magasinier aux usines de Marquise;4enfants. — Bourse familial®»1, complémentaire de Boulogne.

Catouillart (Gabrielle-Aurélie), née le 20-, vièr 1904 à Béthune. La mère veuve,^ vante, pharmacie centrale au Portel, fants: — Bourse familiale, cours coinpRgïr taire de Boulogne. Le Cattez (Robert), né le 5 avril 1905 à C, ai aie père mobilisé à Calais; 5 enfants. 7-^ t Ise d'entretien, école primaire supérieur de Calais. , g()G Chauchoy (Fanny-Nelly), née le 26 janvier^ à à Montreuil-sur-Mer. Le père clerc d'av'Ud à Montreuil-sur-Mer; 4 enfants.— Derni" d'entretien, cours complémentaire ae lioe treuil. - - uio

Clalsse (Jean-Elie), né le 12 août 1904 a (Aisne). Le père employé à la cornpagI}rdl; chemin de fer du Nord à Saint-Souple1 y pfj2 enfants. Bourse familiale, école maire supérieure d'Angers. , ,^5 Condette (Marcel-François), né le l £ * à Boulogne-sur-Mer. Le père doua flliarts Boulogne-sur-Mer; 3 enfants. —- Trois e1t8.it8 de bourse d'entretien, cours compi6"%1ntaiî0 de Boulogne, Cordier (Yvonne-Edith), née le 2 avril laiB; Calais. La mère veuve, institutrice à Casliig; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien.

primaire supérieure de Calais.

Daniel (Bernardine-Alphonsiïie), née t.îlî0à.

bre 1904 à Calais. Le père garde jp Calais; 1 enfant. Demi-bourse d eu école primaire supérieure de Calais. bt8 Dubrulle (Marie-Louise), née le 6 éeerlible 1904 à Calais. Le père mécanicien, » ts# au chemin de fer à Calais; 3 ellfants. 511" Demi-bourse d'entretien, école Prilnaisee périeure de Calais.

Estienne (Léa-Eugêniey, née le 17 Xrl à Outreau. La mère veuve, coutun«r àP» treau; 3 enfants. - Bourse fami"al » complémentaire à Boulogne. t nlbt Gobert (Marie-Elisabeth), née le 8

1903 su Portel. Le père marin au, poites; 3 enfants. Bourse tamiliale, cours, mentaire de Boulogne.. ^90* » Gouvelard (Henri-Emile), le 4 Calais. Le père perceur de carton».

2 enfants. - Demi-bourse d entr» à Cote primaire supérieure de Calais. r fé" !t Jambart (GustaveAdolphe), né te rI- 1JlÍJlB1 1905 à Verquin. Le père ouvrier d'i1ltt Verquin ; 5 enfants. - Bourse dU école primaire supérieure de * t.

Legrand (Irma-Berthe), née le 5 à~ Condette. La mère veuve, cabra!!,tUiale. (JV dette : 8 enfants. - Bourse faa majalCi complémentaire de Boulogne. 0çt°7> Lethellier (Marte-Joseph)., né ê<eniJY 1904 ii Pernes-en-Artois. Le PètO"nen Pernes-en-Artois ; 5 enfants.

ternat, cours complémentaire a ,^ J..

féré à Berck). w40 i;Mouchon (Emile-Victor). .,& )e 17 lqn t9e 0-'0Calais. Le père tulliste à

Bourse d'entrquen, école de Calais.


Platel (!ntohle-cho.rl,s), né le 24 octobre 1905 à Villers-Brûlin. père bourrelier à Villers'fUn']} ; t enfants. Bourse d'internat, école primaire supérieure de Saint-Pol.

(Louisa-Adèle), née le 24 février 1906 à d ogue-SUr-Mer. Le père instituteur évacué IMinges à Hucqueliers ; 6 enfants. — Bourse Iliterriat cours complémentaire d'Arras (tlIUSféré'à Berck).

Rattel (Suzanne-Eléonore), née le 24 janvier Aubin-Saint-Vaast. La mère veuve à ubIrl- aint-Vaast ; 8 enfants. Bourse tranat, cours complémentaire de Moni* (^ucie-Elisée), née le 13 mars 1905 à oulOgne-sur-Mer. Le père livreur de café bo oUlone; 6 enfants. - Trois quarts de °Çne > 6 enfants. complémentaire de ^bonjji. ^d entretien, cours complémentaire de ( rallicis), le 8 avril 1904 à Evinaison. Le père instituteur, évacué à Et res; 3 enfants. Bourse d'internat, le primaire supérieure de Gisors (Eure).

Boni (Jean-Eugène), né le 21 juillet 1905 à l>anlgne-SUl'-Mer. Le père employé à la compagnie des eaux à Boulogne-sur-Mer: 4 enants Trois quarts de Dourse d'entretien, Couur rs complémentaire de Boulogne.

Cot"jf's complémentaire de Boulogne.

t peanne-Juliette), née le 15 novembre Saï à Seninghem. Le père instituteur à Sai^nt |:Ef. tienne-au-Mont ; 6 enfants. Bourse familiale, cours complémentaire de Boue. cours complémentaire de Bou-

Calai (Henri-Germain), né le 2 avril 1904 à Le père ancien négociant, réfugié à : W^;sur-Mer ; 9 enfants. Bourse d'int.relt, écolo primaire supérieure de Mon~r etili.

ï*ÈPAîlTEMENT DU PUY-DE-DÔME ghead (Octave), le 10 janvier 1904 à BonT'~n" Le père charpentier-menuisier à *hioF 4 enfants. Demi-bourse d'internat, 4. coyr6 ,c: omplémentaire de Courpières.

\d (Fernande-Paule), née le 26 janvier au •> £ x Clermont-Ferrand. Le père lieutenant raIld régiment d'artillerie à Clermont-Fer'^Ud- enfants. Quart de bourse d'entrehM primaire supérieure de ClermontPera 4d.

y (Jean-Louis), né le 19 avril 1904 à Issoir , te père ébéniste à Issoire ; 3 enfants.

cornpIuarts de bourse d'entretien, cours y dentaire d lssoire.

jBath^y (Marie-Louise), née le 6 juillet 1901 ¡¡rom Ignac (Cantal). Le père cultivateur à » 3 enfants. Demi-bourse d'ineffiat école primaire supérieurs de Cler^Ont i, e. errand.

9 $ian, .(Hélène- Alexandrine-Louise), née le ion 1er 1905 à Pionsat. Le père ferblantier ^ioni*« at ; 3 enfants. Demi-bourse d'inter-ellot Primaire supérieure de Clermont19\t à. (n.ené-Euène-Jacques), né le 27 mai passà ai4rmon^Ferran(f. Le père jardinier à JjHoml 1 es"Minès : 4 enfants. Trois quarts "SIB d'entrefien, cours complémentaire rh e.

tt4 htl ^Ïll^®an-Mir.hfil\ n<5 1a R <f<fop.mhrn 1QA3

-- - , , l!l\inlngues-¡:ëpère"ga¡'de chef de la come boue Maringues ; 2 enfants. Trois quarts gobOe U 's d'entretien, cours complémentaire S„ MSa8uesé1 (Jeanne-Marie-Germaine), née le }.'I:lce r 190.; à Clermont-Ferrand. Le père Pr e la compagnie P.-L.-M. à Clermontt eti i enfant. Quart de bourse d'enCh erfandprimaire supérieure de Clerbal'Iet l'rad.

{Svr[sse-Jane-Odette-Marie), née le b;;e1.l1' Saint-Anthème. Le père instii'boiiWn A Saint-Anthème ; 2 enfants.

tleè T-Kid'internat, école primaire supée Thiers fi !te,u "Marie~l<ouise). née le 5 mai 1903 l>ni ^ont Ins. Le père directeur d'école à <U r?e lp-rrand ; 6 'enfants. - Quart de eriUontF école primaire supérieure 1 n -Ferrand.' -'

Cressol (IIarle-Jeanneeorgina), née le ,5 Juil-, Jet 1906 à Servilly (Allier). La mère veuve à Clermont-Ferrand ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Dépailler (Denise-Louise), née le 18 octobre 1904 à Laps. Le père cultivateur à Laps ; 3 enfants. - Dorai-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Dumas (Marie-Renée-Pierre-Solange), née le 23 janvier 1904 à Clermont-Ferrand. La mère veuve, dactylographe à Clermont-Ferrand ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Foléa (Jeanne-Gabrielle-Suzanne), née le 5 août 1904 a Saint-Pierre-Colamine. Le père instituteur à Usson ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Foury (Charles), né le 4 août 1906 à Bertignat.

La mère veuve, institutrice à Vollore-Ville ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure et professionnelle de Clermont-Ferrand.

Foussat (Gabrielle-Julie), née le il octobre 1904 à Saint-Gervais-d'Auvergne. La mère confectionneuse à Clermont-Ferrand ; 8 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Gouttebel (Pierre-Jean), né le 3 août 1905 à Ariane. Le père courrier-convoyeur à Ariane ; i enfant. — Domi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Ambert.

Jallat (Anais-Antonine), née le 22 juin 1905 à Aubière. Le père mobilisé aux usines Bergougnan à Clermont-Ferrand ; 1 enfant. — Quart de boutse d'entretien, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Jullion (Alice-Constance-Véronigue-Marie), née le 29 décembre 1935 à Charleville (Ardennes).

Le père proesseur, réfugié des Ardennes, à l'école primaire supérieure de Thiers ; 1 enfant.

— Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Thiers. *

Lambrun (Léontine-Antoinette), née le 17 janvier 1935 à Archignat (Allier). La mère veuve, garde-barrière à Gouttières ; 1 enfant. —

< Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire de Saint-Gervais-d'Auvergne.

Lescuyer (Jeanne-Maria-Edmée), née le 23 novembre 1904 à Giat. Le père instituteur à Saint-Georges-de-Mons ; 3 enfants. — Demibourse familiale, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Merle (Raymond-Marcel), né le 24 janvier 1904 à Riom. Le père commissionnaire à Riom ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Riom.

Methéry (Jeanne-Marie-Georgette), née le 4 mai 1905 à Saint-Eloy-les-Mines. Le père lieutenant de gendarmerie à Thiers ; 6 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Thiers. -

Morel (Marie-Jeanne), née le 1.r mai 1906 à Saint-Pierre Roche. La mère veuve, épicière à Clermont-Ferrand ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Murat (Auguste-Gilbert-Désiré). né le 14 octobre 1904 à Montaigut. Le père maréchal ferrant à Montaigut ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Montaigut.

Pélissier (Marcel-Joseph), né le 5 février 1905 à Maringues. Le père cultivateur à Maringues ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Maringues.

Picard (Suzanne-Antoinette-Charlotte), née le 12 août 190) à Pontaumur. Le pèra maître d'hôtel à Pontaumur; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Pinty (Jean-Jacques), né le 21 janvier 1901 à Riom. La mère veuve, ménagère à Riom ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Riom.

Piq (Jeanne-Bastienne-Renée), née le 20 août 1904 à Thiers. Le père cordonnier à Thiers ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Thiers.

Raux (Alfred-Victor-Félix), né le 30 rJfombro 1903 b: LIUe (Nord). Le pire emnlov" à l'a Ilïl\- facture des tabacs à Riom ; 3 cnralits. - Trois quarts de bourse d entretien, cours complémentaire de Riom.

Rolland (Marcelle-Julie), née le 6 janvier 1904 à Egliseneuve-d'Eulraigues. Le père instituteur à Crevant ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Serre (Augustine-Thérdse-Agalhe), née le 20 septembre 1905 à Clermont-Ferrand. Le père employé à l'habillement militaire à Clermont-Ferrand; 3 enfants. - Denii-bourse d'internat école primaire supérieure de Clermont-Ferrand.

Terme (Yvonne-Marie-Jeanne), née le 8 avril 1905 à Larodde. Le père instituteur à Cliauriat ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de ClermontFerrand.

DEPARTEMENT DES DASSES-PYRÉNÉES Camet-Samt-Laudy (Gabriel-Pierre-Roger), nb le 18 mars 1904 à Cescau. La mère veuve d'instituteur, ménagère à Cescau; 3 enfants.

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Orthez.

Campa (Jean), né le 16 juin 1904 à Pau. Le père instituteur public à Villefranque; 2 enfants.

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Orthez.

Castaings-Lah&ille (Renôe-Marie-Félicienne ), née le 31 mars 1905 à Arette. Le père instituteur public à Arette; 2 enfants. — Domibourse d'internat, école primaire supérieure d'Oloron.

Crabos (Marie-Georgette), née le 25 février 1905 à Sault-de-Navailles. Le père cultivateur à Sault-de-Navailles; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Oloron.

Haurou (Anne-Thérèse), née le 6 juillet 1905 à Gouze. Le père maçon à Gouze; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Oléron.

Ilirartborde (Lucie), née le 19 août 1904 à Or> sanco. Le père instituteur à Arbouet; 2 enfants. — Demi-hourse d'internat, école primaire supérieure de Nay.

Labadie (Marie), née le 6 mars 1903 à Biarritz.

Le père comptable à Biarritz; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure do Nay.

Lauroua (Ilélène-Marie-Anns-Alice), née lo 10 avril 19G5 à Bardos. Le père instituteur à Urrugne ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieurs d'Oloron.

Maufinet (Jean-Lucien), né le 12 décembre 1904 à Arbus. La mère institutrice et veuve d'instituteur à Arbus; 3 enfants. — Demi-bourso familiale, école primaire supérieure et pro- x fessionnelle de Pau.

Navarre (Henriette-Emilie), née le 16 mai 1903 à Simacourbe. Le père instituteur en retraite àCoarraze; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Nay.

Olivier (Gisclle-Arnaulde), née te 3 mars 1904 à Pau, pupille de l'assistance publique. - Domibourse d'internat, école primaire supérieure de Nay.

Peyrègne (Joseph-Charles-Léonce), né le 18 novembre 1904 à Montaut. Le père papetier à Montaut; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Nay.

Sagaspe (Pierre-André), né le 25 mai 1903 à Iholdy. Le père instituteur à lholdy; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Orthez.

Sansuc (Mathieu-Albert), né le 25 février 1935 à Banca. Le père douanier à Louhossoa; i enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Orthez.

Tafaré (Madeleine), née le 12 mai 1905 à la Bastide-d'Armagnac (Landes). Le père gardehalte à Bidache; 5 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Bayonne.


DÉPARTEMENT DES HAUTES-PTRÉNRES AstugncvicI1 e (A ugusfine-ll cDriet1 e-Madelein e), née Je 3 avril 1905 à Monfcgaillard. Le père cantonnier à MontgaiNanf; 6 enfants.

Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure ds Lannemezan.

Bovrie (Léon-Romain-Emilel, né le 24 juin 1906 a Gèdre. Le père douanier à Cauterets ; 2 enfants. - Demi-bourse familiale, cours complémentaire d'Argelès.

Courtage (Marcelle -Marie - Augusta), née le 13 juin 1905 à Lourdes. Le père menuisier b Lourdes ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Lourdes.

Dclhom (Jean), né le 13 février 1905 à Bazorden. Le père instituteur à Thormos : 10 enIants. - Trois quarts de bourse d'internat école primaire supérieure de Bagnères.

Delliom (René), né le 9 février 1904 à Arbéost.

Le père instituteur à Thermes; 10 enfants.Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Bagnères.

Dupuis (Jean), né le 23 mai 1903 à Jœuf (Meurtlie-fft-Moselle;. Le père instituteur à Homécourt (Meurthe-et-Moselle ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire d'Argelès.

Lagnous (Jean-Joseph), né le 26 avril 1905 à Ibos. Le père cultivateur à Ibos; 2 enfants.

— Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire de Tarbes.

Mengelatte (Victorine), née le 6 juin 1-904 à Beaucens. Le père cultivateur à Beaucens ; 7 enfants. - Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire d'Argelès.

DÉPARTEMENT DES PïRÉXÉES-ORIBNTALEg André (René-Antoine), né le 23 décembre 1903 à Renain an ville (Meurthe-et-Moselle). La mère réfugiée à Toulouges ; 2 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Perpignan.

Baixas (Joseph-Jacques), né le 19 mars 1905 Villeneuve-la-Rmère. Le père bourrelier II Villeneuve ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Perpignn.

Bergès (Jules-Félicien), né le 10 juin 1904 & Perpignan. Le père employé à l'usine à gaz de Perpignan ; 7 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Perpignan.

Dabosi (Raphaël), né le 8 novembre 1904 à Céret. Le père instituteur à Las-Illes ; 4 enIants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de Céret.

Delbreil (René), né le 27 août 1904 à Perpignan.

Le père épicier à Perpignan ; 3 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primais» supérieure de Perpignan.

Lagneau (Paulette-Marie), née le 13 mars 1905 à Bauvais (Oise). Le père conservateur des hypothèques à Prades ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supéreuré de Prades, Laporte {Marie-Louise), née le il mai 1905 à villefranche-âu-Connettt. Le père perruquier A Villefranche ; i enfant. - Demi-booeot d'entretien, école primaire supérieure de Pxades.

Marot (Marguerite-Jeanne), née le il janvier 1006 à Espira-dfrtl'Agly. La mère veuve, repasseuse à Espira-de-l'Afiiy ; i enfant. Quart de bourse d'entretien, école Tvrimakfle supérieure de Prades.

Rascagnères (Augustine), née le 25 mai i904 à Saint-Cyprien. Le père viticulteur à Saint-Cyprien ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Prades.

Respaut (Louis), né le 7 mai 1905 à Prades. Le père agriculteur à Prades ; 3 enfants. — Quart ae bourse d entretien, école primaire supérieure de Prades.

ltibo le 18 janvier lgwa-R Havre (Seine-Inferieure). Le pere préposé des douanes à Qsséja; 3 enfants. — Demi-bourse fI'entretien, école primaire supérieure de Perpignan.

Ros (Fifmin-Jacqttes), iné >le 3 février 4904 A; follestres, La mère veuvç, à Pollesir.es ;t enfante. - Quart de bouTse d'entretien,, écoïe primaire supérieure de Perpignan.

DipAUTKHEWT NJ WWJT-RfflH

Beiger (Angèle-fleHy), née 'le 22 septembre 1905 à Montreux-Château. Le père préposé des douanes à Moirtreux-Ghât.eau, détaché à Vintimille,; 5 enfants. Qitiart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Belfort.

Chrétien (Stanislas-FrançeisJC.ésar\ né le 21 octobre 1904 à Roug-envo nt-1 <i-Ch â t e a u. Le tuteur à Rougemont-le-Cluiteau ; 2 enfants.

.- Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Rougemont le-Château.

Cuenat (Lucien-Marie-Emile), né le 12 septembre 1905 à Reppe. La mère veuve à Rougemoirt-le-Qhâteau ; 2 enfants. — Demi-bourse {}'IltretiCll, cours complémentaire de Rougemont-le-CMt e au.

Hasquenoph (Iarguerite-Maric), née le 24 avril 1905, à Auxelle-Ras. Le père mobilisé, la mère à Auxelles-Bas ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Giromagny.

fclein (Georges), né le 23 avril 1903 à Belfort.

Le père mobilisé, la mère à Bavilliers ; 5 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Belfort.

Lhomme (Maurice), né le 10 avril 1903, à Belfort. Le père forgeron à Essert ; 4 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de belfort.

Lamielle (Joseph-Jules), né le 25 février 1905 à Auxelles-Bas. Le père employé à la compagnie de l'Est à Belfort ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Betfort.

Marie (Anne-Marceline-Edmée), née le 24 mars 1995 à Rougegoutte. Le père comptable à lougegoutte : 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Giromagny.

PasToi (Suzanne-Marguerite-Aline), née le 13 novembre 1904 à Belfort. Le père employé d'usine à Belfort ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure 4e Belfort.

iProthe (Germaine - Marie-Matliilde), née le 12 décembre 190ï à SuaTce. Le père instituteur à Suarce; 3 enfants. — Quart de bourse d entretien, école primaire supérieure de Belfort.

Serre {Laure-Josépbine-Augustin e), née le 12 février 1905 à Grosmagny. Le père instituteur à Grosmagny; 2 enfants. — Quart de bourse ffenlretiBn, école primaire supérieure de Belfart. -

DÉPARTEMENT DT7 nuÕm:

Aippareel (Marie), née le 3 mai 1904 à Thizy. Le père mobilisé à Tbiry ; 1 enfant. Demifeourse d'internat, école primaire supérieure Ide ViHelranche.

Avril (Elise-Fernande), née le 28 octobre 1904 Il Lyon. Le père employé aux écritures à Lyon ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la place Morel, à Lyon.

Bès (Marie-Ernestine), née le 14 mai 1903 à Argents (Tarn). Le père -seais-brigadier aux gardiens de .la paix à Lyon ; 2 enfants. — Quart de bourse d entretien, école primaire sut térieure de la rue Maaenod, 4 Lyon.

Bouchage (Maroei-Emile-Louis,), né le 22 mai 1905 à Lyon. Le père employé de commerce à Lyon; i enfant. — Quart de bourse d'entretien" école primaire .supérieure de la rue eyret, à Lyon.

Gangue (Lucie), née le 28 mars 1906 à Lyon. Le père maçon à Lven ; 3 enfants. Quart de bourse d entretien, école primaire supérieure de la-rue Mazenod, à Lyon.

Chabaucc .(Fraucisca), lWC le 1er février 1905 à Lyon- La mère veuve à Lyon ; 1 enfant. Quart -de bourse d'antreiien, école primaire supérieure Jte la rue -tfÀuveigne, à Lyon.

Chambret (Séroy-Penaarrâl œ dîw'll 1-1 Lyon. le père coaneur taiWeur « a' tant. - Qaart de bourse ® t.: primaire supérieure de la rue Lyon. Il CMtannay la is févrie" Lyon. La mère ouvrière à Lyon ; e — Quart .Ae bourse d'entretien, é? orr maire supérieure de la place Morel, a jw Chétail (PierreAte-AntoinCftle), née le t 1904 à Cimti'llon d'Arerncs. Le pere à Châtiilon-d'Azergues ; 2 enfants. - \'lrJJ bourse d'internat, école primaire su^« ,■»j-*,ear<> du Dorat (Haute-Vienne). a Chosscîlat (Lenise), née le 22 noveml)^ ,1:.13' Tenay (Ain). Le père à (Ain) ; 2 enfants. - Bem^bourso d école primaire supérieure de ViileiraiH Depale (Jeanne-Adèle), née le 18 marS1 !

Lyon. Le père employé à Lyon : 2 elif, Quart de bourse d'entretten, école Pru supérieure de la place Morel, à Lyon.

Depaulis (Jeanne-Gabrielle^ , née 7 f.I'l8t Dcpûu IS (:Jcnnne-GahrleUej, née e' 1 cniin 1905 à Grigny. Le père employé 311 C£otrrSfl de fer à Grigny ; 1 enfant. - P-crm. -i'VnTrrs® d'internat, école primaire sHpefH?llr'e Vienne (Isère).

Détour (Marie-Antoinette), née 10 janyj!1 a Cosnc (Allier). Le père menlli.;ilr 1"ti13l!, 4 enfants.— Quart de bourse d école primaire supérieure de la rue MaZt; à Lyon. lA Duffy (Marcelle), née le 27 mai 190 » à COUten" père imprimeur sur étoiles à C.°urs ; pfjrants. - Demi-bourse d'intemat, CcÜ¡ p~ maire sapérieure de Villelranclu. !

Duplan (Pierre-Marius), né le 1er avril igoi Oullins. Le père ajusteur au Pan::;-L) J'd'en" diterranée à Lyon. Quart de bourse rue tretien, école primaire supérieure de rll3 Condé, à Lyon. 190 Durant (Fernande-Jeanne), née G l^'rvooî a Moulins (Allier). Le père mobilisa » 1 enfant. — Quart de bourse Ii eu I./cpod, école primaire supérieure de la rue w à Lyon. déFaure (Geimaine-Marie-npnrictte), née le r6 IP pèP0 cembre 1904 à Montbrison (Loire) boulanger à l'asile de Bron ; 2 ("Itali Quart de bourse d'entretien, ';Cl. eA supérieure de la rue Mazenod, à Lyon. j* Fouret (Germaine), née le 1S juin 19n6 à lins. Le père instituteur à Saint-Vi^ farVl" Reins: H enfants.— Quart de }IOUfla Haie, école primaire supérieure de ja plaoa Morel, à Lyon, 1)1'1 GeofTray (Andrée-Anne) , née le 29 dêcclnbtd 19^5 à Grandris. La mère employéecoi^ merce à Lyon ; 4 enfants. Quart de ôe V d'entretiell, école primaire supériou de, rue Mazenod., à Lyon. 1 Gille (Suzanne-Sophie), née le 18 rnar:ntS' Lyon. Le père mobilisé à Lyon ; :3 ellf,9 Quart de bourse d'entretien, eco^ f supérieure de la place Morel, a LJ« * 8111" Giroux (Alexandrine-Joséphine), e 8 oqti 1935 à Lyon. Le père coupeur tallL%ntre^S' 3 enfants. Quart de bourse d Jf&zCI1D'" école primaire supérieure de la rue xcD' à Lyon. 1- Grégoire (Marcelle-Rose), née le 9 3®* Gregoire (Drùme). Le pere percepje , 190 1 Nyon (DrÔme). Le père pcrcep eQuart Maurice-snr-Dargoire ; 2 enfants, bourse d internat, école primaire s .nip~e!' de Vienne (Isère).

Guillarme (Jeanne-Julie), née le , e «ère 1900 fi Samte-Foy-l'Argentiere. L l ellf8 blantier à Sainte-Foy-1 Argentier * vTiW Demi-bourse (fmternat, école

supérieure de Villeframche.

Hartzer (Marie-Antoiuette), née le Cï&i Chazelles-Bur-Lyon (Loire). Le P de commerce à Lyon ; 3 nlarit bourse d'entretien, école primactrp ^'*^ de la Tue Woaenod, à Lyon. tÁe'.

Jalloux (Léontine-Isabelle), née - le 7 }J: Jalloux .(LéontillfrIs,abelle), oji, 1904 à Ronceux. L'oncle, 'Mf' t8 -=-J chai des logis à Lyon ; S enfants.

bourse d'enlretien. école priIIlair de lu place Morel, « LyuIL


Tgjfifcerie (Pierre), né le 7 mai 1905 à Villee- Le père mobilisé à Villefranche; t'nrants, Quart de bourse d'entretien, t cole primaire supérieure de Villefranche.

eisur (Armande-Marguerite), née le 4 mai il L à Lyon. Le père employé de commerce t flon i 4 enfants. Quart de bourse d'one !en, école primaire supérieure de la rue azenod, à. Lyon.

(Nicolas-Antoine), né le 16 février 1903 à °ntrouge (Seine). Le père sculpteur à Lyon ; 2erlfants. - Demi-bourse d'internat, école v imaire supérieure de Tarare.

rnaUd (François-Gabriel), né le 19 mai 1904 Montagny. Le père maître-maçon à Monta! Y,î 8 enfants. Demi-bourse d'internat, 0 e primaire supérieure de Tarare.

(Germaine-Joséphine), née le 14 janvier -la 1 à Lyon. Le père mobilisé à Lyon ; 2 enS. Quart de bourse d'entretien, école ftfiiai-re supérieure de la rue Mazenod, à Von "S (Martin-Charles), né le 26 janvier 1906 1 arnure. Le père instituteur à Lamure ; enfant. - Demi-bourse familiale, école priaife supérieure de la rue Condé, à Lyon.

nnet (Lucelte), née le 29 juin 1905 à NeuJultsur-saône. Le père instituteur à Saintéc en; 3 enfants. Demi-bourse familiale, à yle primaire supérieure de la place Morel, On.

re{eiel (Angèle-Marguerite), née le 25 juillet Sainf-Béron (Savoie). Le père mécanicien a Lyon: 3 enfants. Quart de bourse senJt j'eUcn, école primaire supérieure de la 'err LTlllzenod, à Lyon. -

à Í Jeanne-Adèle), née le 17 novembre 1905 à LN, 11, La mère veuve institutrice; 2 enlIrirns, - Quart de bourse d'entretien, école tYonalre supérieure de la rue Mazenod, à Perri h' Grec On (Henri-Jean), né le 17 juin 1904 à < (Isère). Le père employé de com8 a Lvon ; 1 enfant. - Quart de bourse *ue rt;tien> école primaire supérieure de la lllet aponnay, à Lyon.

ly0 (Marcelle), née le II septembre 1905 à Ly. il. Le père conducteur de la voirie à W Wn i5 enfants.— Quart de bourse d'entre1enOdécOle primaire supérieure de la rue Male,4o1 d, à Lyon..

VinJ^uise Renée), née le 18 mars 1903 à anne. Le père instituteur à SaintGeorp es-de-Kcncins ; 2 enfants. - Demid'internat, école primaire supérieure se Vi| ej 1 (Iaximine-Julie), née le 30 septembre à Lyon. Le père employé à la mairie 0111' c de Lyon; 1 enfant. - Quart de °*Wd'ecnlc tretien, école primaire supérieure *^1» » Mazenod, à Lyon.

èouzol Marguerite), née le 26 juin 1904 à 11 C aône-et-Loire. Le père chef de dépôt VUjjj *■ B. à Villeurbanne; 5 enfants.

SIlPérie bourse d'entretien, école primaire "W Ure de Villefranche.

fÿ% (ML aria-Emilie), née le ier juillet 1905 à enr a mère, veuve, couturière à Lyon ; éCOle an.ts. Quart de bourse d'entretien, i ï^leîw aire supérieure de la rue Mazenod, Wn (Marius), le 23 avril lOOi à Villeur'uel11i La mère veuve à Lyon ; 1 enfant.

Ourse d entretien, école primaire sutltieu/ e la rue Chaponnay, à Lyon.

arje- uline), née le 16 septembre allt Yon. Le père carrossier à Lyon ; i entirtia Quart de bourse d'entretien, école YOll. supérieure de la place Morel, à l^von llYon 1mée-Clémence), née le 24 juin 1904 Yo a mère, veuve, femme de service à l/on \> eii tSi Quart de bourse d'enliS (i, primaire supérieure de la place .Il/ Lyon t lJl)}rnclne-Benolte), née le 23 fétrierl904 as" i père jardinier à Villefranche ; enfant. T Quart de bourse d'entretien, 4k ePrii»a,aire supérieure de Villefranche.

&^ e /-.(,le-larie), née le 3 août 1903 à Lyon.

•oSUe hî'cn de la paix à Lyon ; 1 enfant.- la Ij)u se d'entretien, école primaire (le la rue Mazenod, à Lyon.

Sandri (Marcel-Jean-Jacques), né le 17 juin 1904 à Lyon. Le père bourrelier à Saint-Pierre-laPalud ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Tarare.

Schall (Marie-Joséphine-Antoinette), née le 25 juin 1904 à Villeurbanne. La grand'mère.

Mme veuve Schall, à Lyon ; 1 enfant. — Quart de bqurse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Mazenod, à Lyon.

Tripier (Adrienne-Louise), née le 7 janvier 1905 à Creil (Oise). Le père ajusteur mécanicien à Lyon ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Mazenod, à Lyon.

Vendret (Joséphine), née le 8 janvier 1905 à Porcieu-Amblagnieu (Isère). Le père manœuvre à Lyon-Montchat ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Mazenod, à Lyon.

Vidon (Marcelle-Joséphine), née le 20 juillet 1905 à Lyon. Le père à Lyon; 2 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Mazenod, à Lyon.

Villemonté (Marguerite), née le 14 mai 1904 à Lyon. Le père mobilisé à Villeurbanne; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Mazenod, à Lyon.

Vuillermoz (Marie-Louise), née le 27 mars 1905 à Givors. La mère, veuve, institutrice à Lyon (Combe-Blanche); 4 enfants. Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue d'Auvergne, à Lyon.

Wild (André-Louis), né le 28 novembre 1905 à Lyon. Le père mobilisé à Lyon; i enfant. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de la rue Neyret, à Lyon.

DKPARTKMKNT, DR LA HAUTE-SAÔNE Buisson (Eugène-André), né le 7 juillet 1903 à Ronchamp. Le père instituteur public à Equevilley ; 5 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Luxeuil.

Fournier (Claire-Blanche-Louise), née le 8 octobre 1904 à la Grande-Résie. Le père cantonnier à la Grande-Résie ; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Gray.

Jubreaux (André-Maximilien), né le 23 avril 1905 à Reims (Marne). Le père employé des chemins de fer à Arc-les-Gray: 2 enfants. —

Bourse d'internat, cours complémentaire de Gray. x Paulin (Maurice-Louis-Paul), né le 4 avril 1904 à Gray. Le père chaudronnier à Gray ; i enfant. — Bourse d'internat, cours complémentaire de Gray.

Renaud (Germaine-Ànne-Juliette), née le 11 février 1904 à Vaux-le-Moncelot. Le père instituteur public à Fretigney ; 3 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Gray.

Rolle (Marguerite-Catherine), née le 23 janvier 1905 à Paris. La mère veuve épicière à Soinoz ; i enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Gray.

Sonet (Henri-Emile-Auguste), né le 22 mai 1905 à Belgahy. Le père menuisier Ai Belgahy; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'inter- nat, école primaire supérieure de Luxeuil.

Vuclin (Madoleine-Alexandrine-Marie), née le 15 septembre 1903 à Arc-les-Gray. La mère veuve, couturière à Nantilly; 1 enfant. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Gray.

DÉPARTEMENT DE SAÔNE-BT-LOIRE Aulas (Jean-Baptiste), né le 27 mars 1905 à Vareilles. Le père instituteur public à Vareilles; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Charlieu (Loire).

Blondeau (Pierre-Michel-Alexandre), né le 14 novembre 1905 à Chalon. Le père aidechaudronnier à Chalon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Chalon.

Boisson (Suzanne-Augustine), née le 25 octobre .1904 à Pierre. Le père négociant en volailles à Pierre (mobilise); 4 enfants. - Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Charolles.

Bolusset (Roger-Denis), né le 17 mai 1904 à Chalon. Le père mouleur à Chalon ; 1 enfant.

- Quart de bourse d'entretien, école pri-

maire supérieure de Chalon.

Bourgeot (Gustave-François), né le 21 janvier 1905 à Paris. Le père retraité des chantiers Schneider à Chalon ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Chalon.

Briet (Jacques-François-Henri), né le 18 février 1904 à Gueugnon. Le père ouvrier d'usine à Gueugnon ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chalon.

Brusson (Emile), né le 30 août 1904 à SaintGermain-du-Plain. La mère veuve, journalière à Varennes-le-Grand; 2 enfants. —

Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Chalon.

Carré (Maxime-Marcel-Joseph), né le 21 mars 1904 à Bellevesvre. Le père jardinier à Bellevesvre; 4 enfants. - Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Chalon.

François (Jean-Eugène-Alexandre), né lo 25 novembre 1904 à la Charité (Nièvre). Lo père maréchal des logis chef de gendamerie à Verdun-sur-le-Doubs; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Gillot (Marie), née le 5 août 1905 à SaintRomain-sous-Gourdon. Le père mineur à Saint-Vallier; 5 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Charolles.

Hermand (Robert), né le 12 mars 1903 à Lcns.

La mère veuve, ménagère à Montceau ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Jovenet (Marcel-Gustave-Henri), né le 7 mars 1905 à Paris. Le père estampeur-mouleur à Ecuiises ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Jouvenceau (Henri), né le 26 novembre 1904 à Branges. Le père gendarme à Montceau; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Laforest (Henri-Alphonse), né le 15 août 1905 à Saint-Vallier. Le père mineur à Saint-Vallier; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Ledey (Pierre), né le 5 février 1905 à Ciry-loNoble. Le père facteur des postes à Cit'y-le. Noble; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Monteeau.

Lory (Emilie-Marthe), née le 27 février 1903 à Charette. Le père forgeron, mobilisé; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Charolles.

Maillet (Claudius-Georges), né le 10 mai 1905 à Montceau-les-Mines. Le père mineur à Montceau; 5 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau. ,

Mérard (Paul), né le 31 août t905 à Gueugnon Le père gendarme à Toulon-sur-Arroux f 1 enfant.-Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Chalon.

Mercier (André-Pierre), né le 20 janvier 1905 à Montceau. Le père retraité mineur à Montceau; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure do Montceau.

Michelet (Jean-Baptiste-René), né le 20 mai 1905 à Montceau. Le père manœuvre à Montceau; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Moret (Désiré), né le 15 décembre 1905 à Montceau. Le père mineur à Montceau; 2 enfants.

— Quart de bourse d'entretien, école pri-' maire supérieure de Montceau.

Mazille (Jean-Marcel), né le 5 avril 1905 à Montceau. Le père mineur à Montceau ; 1 enfant.

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

Parisot (Marcelle), née le 29 avril 1905 à Chalon-sur-Saône. Le père employé de banque à Pierre ; 6 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Charolles.

Poinsot (André), né le 13 janvier 1905 à Chao Ion. Le père employé au P.-L.-M. à Chalon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieuri de Ciialop.


Pônsot (René), né le 19 février 1905 a Pariât. La mère veuve agent d'assurances à Gheilly-lflsMaranges; ! enfants. — Demi-bourse â internat, école primaire supérieure de Chaton.

Rougeboux (Jean-Michel), né te 5 septembre 1904 à Lyon. La mère employée de préfecture à Mâcon; i enfant. — Trois quarts.de bourse d'internat, école primaire supérieure de Chalon.

Thibaut (Louis), né le il août 19.54 h Beaune.

Le père brigadier de police à Montceau; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montceau.

DÉPARTEMENT DE LA sarthe Brun eau (Georges-Julien), né le 16 décembre 1905 à Paris. La tante Mme veuve Derré, à Ecommoy ; 1 entant. - Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire d'Ecommoy.

Fronteau (André-Panl), né le 17 juin 1904 à Neuville-sur-Sarthe. Le père instituteur mobilisé, la mère institutrice à Dehault ; 3 enfan ts. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mamers.

Garnier (Odette-Jeanne), née le 29 mars 1005 au Mans. La mère veuve, employée auxiliaire à la préfecture de la Sarthe;2 enfants. Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Chàteau-du-Loir.

Germain (Gaston), né le 24 mai 1905 à Paris.

Le père mobilise ; la mère modiste au Mans ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de la Ferté-Bernard, Grandin (Georges-Julien-Léon), né le 26 juillet 1905 à Ballon. Le père instituteur à SaintOuen-en-Belîn ; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire d'Ecommoy.

Jo.usselin (Alexandre-Paul-Victor), né le 21 juillet 1905 a Vibraye. La mère veuve, domiciliée & Bouer ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse.

d'internat, école primaire supérieure de Saint-Cal ais.

Lallouet (Maurice-Eugène), né le 16 janvier 1905 à Moncé-en-Saosnois. Le père facteur des postes à Connerré ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, cours complémentaire de ta FertéBernard.

Machaux (Amélie-Elise-Eugénie), née le 25 janvier 1904 à Monthermé (Ardennes). Le père mobilisé ; l'oncle, M. Doudoux, professeur à l'école pratique du Mans ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Château-du-Loir.

Maillard (Yvonne-Juliette-Clémence), née le 12 janvier llJ05 à Noyen-sur-Sarthe. La mère auxiliaire des postes au Mans ; 2 enfants. —

Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Château-du-Loir.

Monnet (Suzanne-Louise), née le 30 octobre 1903 à Clefs (Maine-et-Loire). Le père commis principal des contributions indirectes au Grand-Lucé ; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de SaintCalais.

Pichard (Paul-Constant), né le 24 janvier 1904

à la Ferté-Bernard. Le père, journalier, mobilisé ; la mère épicière a la Fernard-Bernard : 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de la Ferté-Bèrnard.

Racois (Armand-Léon-Gustave) , né le 22 ianvier 1903 à Vibraye. Le père menuisier a la Ferté-Beard ; 2 enfants. — Trois quarts de 'bourse d entretien, cours complémentaire de la Ferté-Bernard.

o Ragot (Olga-Marie-LoUise), née le 2 septembre 1904 au Mans. Le père facteur-receveur des postes à Rouessé-Vassé ; 2 enfants. Demibourse d'internat, école primaire supérieure *de Château-du-Loir.

ftattier (Renée-Eugénie-Maria), née le 28 août 1904 à Saint-calais. Le père receveur des .postes à Mamers ; 1 enfant. — Demi bourse d'internat, école primaire supérieure 'de Mamers.

Robin (Jeanne-Marcelle-Rachel), née le 13 août 1903 à Montreuil-le-Henri. Le père instituteur à la Chapeile-Saint-Rémy ; 8 enfants.- DemiJboursè d'internat, écple primaire supérieure de Saint-Calail.

DEPARTEMENT DE LA SAVOIB - (Marie-Louise), née le 19 décembre 1904 à Chambéry. La mère cuisinière à fihambéry; 1 enfant. — Demi-bourse d'en»frettë8, école primaire supérieure d'Aix-les,Baine.

Cuva iHon- Pinod (Angusta-Joséphine-Françoise).

née le 29 avril 1906 à Novalaise. Le père facteur'des postes à Ayn; 2 enfants. — Quart de .bourse d entretien, cours complémentaire de novalaise.

Falqnet (Louis-Emile), née le 25 décembre 1903 à Moutiers. Le père électricien à Moutiers ; 10 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Moutiers.

Francoz (Marie-Françoise), néole 15 novembre 11 0~> à la Motte-en-Beauges. Le père facteurreceveur à Saint-Ambaud-de-Couz, 1 enfant.

- Demi-bourse d'entretien, école primaire d'Aix-les-Bains.

Gabioud (Georgette-Andrée), née le 6 juin 1906 à Paris. La mère à Barberaz ; 2 enfants. —

Demi - bourse d'entretien, école primaire supérieure de Chambéry.

Gardette (Georges-Jean-Etienne), né le 2 janvier 1905 à Chambéry. Le père journalier à Chambéry ; 3 enfants. — Quart de bourse 'tientretien, école primaire supérieure de Chambéry.

JJayet-Bumont (Pierre), né le 20 février 1906 a Pont-de-Beauvoisin. Le père employé de tramways à Sàint-Genix; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Genix.

Maître (Louis-Frands-Ilippolytej, ne le 17 septembre 1903 à Moutiers. Le père négociant à Moutiers ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Moutiers.

Palatin (Ambroise-Marius), né le 10 mars 1905 à Lachapelie-du-Mont-du-Chat Le père agent de police à Chambéry ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Chambéry.

Péguet (Rose-Claudia-Joséphine), née le 22 avril 1905 à Aix-les-Bains. Le père -employé municipal à Aix-les-Bains ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure et' Aix-les-Bains.

Perrier (Charles-Louis), né le 31 mars 1905 à Voglana. Le père brigadier poseur au chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée à Montgirod ; 5 enfants. — Demi-bourse familiale, école primaire supérieure de Chambéry.

Pervoux/(Yvonne-Henriette), née le 1er février 1905 à Saint-Thibaud-de-Couz. Le père cultivateur à Saint-Thibaud-de-Couz; 6 enfants.Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Aix-les-Bains.

Reveyron (Jeanne-Francine), née le 23 septembre 1903 à Ambérieu. La tante à Barberaz. Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Chambéry.

Simonnet (Laurent-Auguste-Jean), né le 12 mars 1904 à Chamousset. Le père charpentier à Chamousset; 4 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire d'Aiguebelle.

Tardy (Léonie-Marie), née le 5 janvier 1905 à Arbin Lo père receveur buraliste à Arbin ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Montmélian.

Vallet-Simond (Elise), née le 12 juillet 1905 à Saint-Thibaud-de-Couz. Le père cultivateur à Saint-Thibaud-de-Couz; 4 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure d'Aix-les-Bains.

DÉPARTEMENT DR LA HAUTB-SAVOIE Bernier (Eugénie-Joséphine), née le 6 mars 1905 à Annecy. Le père manœuvre à Annecy ; 5 enfants. - Demi-bourse familiale, cours complémentaire d'Annecy.

Borel Elise-Justine), née le il mars 1904 à Chôteau-Ville-Vieille (Hautes-Alpes). Le père préposé des douanes-a Menton; 2 enfants. Quart de bourse familiale, cours compiémen.

taire -d'Annecy.

feurnier (René), né le 4 novembre 1905 à Passy.

La fnère journalière à Passy ; 2 enfants. —

Demi-bourse familiale, cours complémen- taire de Sallanches.

Canaud (MarieFrançoise-Germaine), nee * 28 avril 1903 à Flumet (Savoie), La MM veuve, à Annecy ; 3 enfants. — Demi-bo\.VSO familiale, cours complémentaire d Annecy» Casays (Lucie-Joséphine), née le 4 juillet lm à Marnaz. Le père et la mère instituteurs, Annecy ; 3 enfants. — Quart de bourse f®31.

liale, cours complémentaire d'Annecy.

Couttet (Eugénie-Laurette), née le 17 iEyril à Evian. Le père plâtrier à Evian ; 7 enfant* — Denii-bourse familiale, cours compte"1"

taire d'Evian.

Cudet (Edmond-René), né le 13 mai 1905 Ii ve:!: Le père cultivateur à Vers ; 6 enfants.

Demi-bourse d'entretien, école primaire » périeure de Saint-Julien.

Dagand (Jeanne-Françoise-Yvonne), nëo 17 juin 1905 à Cran-Gevrier. Le père c a teur à Allèves, la mère institutrice, Annecy ; 1 enfant. Quart de bourse la liale, cours eomplémentaire d'Annecy.

Dufournet (Maria-Antonie), née le 17 J~~ 1905 à Annecy. Le tuteur M. Dufournet.

seph, ouvrier charpentier à Annecy. Drre de bourse familiale, cours complémell d'Annecy.

Gerdil (Marie-Joséphine); née le 26 janviei: à Thonon. La mère veuve à Thonon fants. Bourse d'entretien, écolo prIm supérieure de Thonon. ars Grand (Marcel-François-Pierre), née le 1904 à Thônes. Le père cantonier à Thon• 2 enfants. — Trois-quarts de bourse fanw« école primaire supérieure d'Annecy.

Jourdan (Andrée), née le 5 février 1905 à Po~ La mère veuve à Annecy. Bourse u tretien, cours complémentaire d'Annecy- A Jouty (Alice-Hélène), née le 1er juin ln.

Mures. Le père cultivateur à Mûres ; ° fants. —Demi-bourse d'entretien, école vorj- maire supérieure d'Alby. 0 Liard (Yvonne-Marie-Louise), née le 8 octobre 19(6 a Annecy Le père employé de coin1P:îercfl à Annecy ; 3enfullts. - Quart de bo'arse familiale, cours complémentaire dAIÎIy, 05 8 Savier (René-Léon), né le 5 octobre 19 de II Fourneaux (Savoie). Le père inspecteur voie à la compagnie de chemins de fer Par'sLyon-Méditerranée, à la Roche ; 3 ~~oi~ Demi-bourse familiale, cours coroP143 taire .de Reignier.

Simond (Jean-Auguste-Louis), né le 17 oc, todra 1905 à Allèves. La mère veuve empw .^5bureau à la Roche; 1 enfant. - Bou-rso d 1* tretien, école primaire supérieure d la Roche.

département DE LA SEINS Bourguigne (Ceorges-Roger, né le 31 1 10 à Paris. La mère veuve, journahè ternat, sur-Seine; 2 enfants. - Bourse d,in Dat, sur-Seine; 2 enfants. - Bourse d louj!let école primaire supérieure de RaID Ilet (Seine-et-Oise). 10 Breyne (Pierre), né le 9 août 1905 à :r.' , père tourneur, à Vincennes; i n ire s^ Ddmi-buurse d'internat, école prlII?-&, périeure de Rambouillet (Seine-et-Oise i Cugnon (Louis-Roger), né le 23 mai 1 6J1" Paris. Le père forgeron, à Boulogne>,^ effleajtri fants. Trois quarts de bourse tnbowllB école primaire supérieure de Ra, uiUd ï (8eine-et-Oise). ,tt Danguel (André-Lucien-Edouard), 1161,3 19 jé^* vrier 1903, à Paris. Le père coi»P ..jDte^ Saint-Maurice; 3 enfants. Bourse nat, école primaire supérieure de lot (Seine-ekoise). 16 3 Dufossé (Théodule-Albert Joseph), èm t0rxi»

tembre 1904 à Lens (Pas-de-Calais)- LâP^t!

houilleur ; 1 entant. Bourse école primaire supérieure de RainDou v (Seine-et-Oise). ,9OÍ if Reflet (Lucien-Cyrille), né le 2 orto ooloi Paris. Le père planeur, & .îi înwA»tm. raj t, (gJe^a* 4 enfant. - Demi-bourse d -primaire supérieure de RaœDouu et-Oise). t5 jPffi Lacas (Marie-Louise-Sophie), née le24 1905 à Paris. La mère veuve, erof postes à. Ûhâtïll«Q*sur-Bagneux, jye »*** DenlliWurse d'internat, école Pr rieure 4e Vemon (Eure).


"SOuadet (Marie-Camille), née le 17 juin 1905 t u¡ontfl',ge. Le père fort aux halles à Chadft i?~sous~Ba<»neux;1 enfant. Trois quarts rie bourse d'internat, école primaire supé«•ure de Vernon (Eure).

,dot (René-Léon-Charles), né le 25 mars 190G Bo foulogne-sur-Selne. Le père serrurier à - ; 3 enfants et un neveu orphelin.

n»i llrols quarts de bourse d'internat, école Petrlorr'llre supérieure de Rambouillet (Seine- l e).

IIfUn (Emile-Lucien). né le 4 décembre 1934, leSF-les-MoulineatÍX. Le père retraité à Issyd" - loulineaux; 2 enfants. Demi-bourse Unlernat, école primaire supérieure d'Iles (Eure-et-Loir).

lret (Jean-Théodore), né le 8 octobre 1933, eint-sur-sambre (Nord). Le père métallurb e à Saint-Denis ; 2 enfants. Demidse d'internat, école primaire supérieure » Rambouillet (Seine-et-Oise).

in (Léonarde-Jeanne), née le 26 juillet 1904 tienaIaiseau (Seine-et-Oise). Le père charpenChâtillon-sous-Bagneux; 2 enfants.

Tl to !s quarts de bourse d'internat, école priire supérieure de Vernon (Eure).

département DE LA seine-inférieure !..

Elh (Roland-Désiré), né le 28 février 1905 à t elr. Le père garçon de recette à Elbeuf ; t- Demi-bourse d'entretien, école j Drimti ai. re supérieure d'Elbeuf.

ter ar (Emile-Pierre-Edgard), né le 24 noà be 1904 à Pavilly. La mère, institutrice avilly : 3 enfants. Bourse d'internat, coii^cly omplémentaire d'Yvetot.

tti$SO n (Alitoinette-Victoria-Auausta) née le reCe 1 et 1906 à Choisy-le-Roi (Seine). Le père te buraliste à Monville ; 2 enfants. Bo,, Castill o. d'internat, cours complémentaire Auiî6 (Andrée), née le 6 mai 1905 à SaintXte-Boullang. Le père employé à écon i 2 enfants.—Demi-bourse d'entretien, écoi®n Primaire supérieure de Rouen.

Gi'ilX (Léon), le 27 septembre 1903 à Vin (Ardennes). Le père à Déville-lèstien 2 enfants. - Demi-bourse d'entreti6n ccole primaire supérieure de Rouen.

Chénet arie-Louise-Eugénip, ) , née le 9 févriertgogl (oMarie-LouiSe-EUgénie), née le 9 févrierDéville-lès-Rouen. Le père plombier à me ; 2 enfants. - Trois quarts de ourse d'entretien, école primaire supérieure de 4.5uen.

28 sel(ndrée Antoinette - Aurélie), née le tutsee,}r il» ernbre 1904 à Malaunay. Le père instia Criquetot-le-Mauconduit ; 1 enfant.

4e l\e familiale, école primaire supérieure ""!Ill - n.

(Etienne-Emile-Ernest), né le 30 avril Milieu Havre. Le père instituteur à Beuzet. eOtrlpl ; 7 enfants. - Bourse d'internat, cours p ernentaire de Bolbec.

celilbr tCharles-Victor Alexis), né le 28 déère e 1905 à Château-Gontier (Mayenne). La ?isgu\e¡uve, employée de chemin de fer à SeC.laumo ; 2 eufants. Demi-bourse btOtleetlen, école primaire supérieure de 4 4 4.

(DO, le -Robei-t), né le 7 décembre 1905 * 'Ule-lès-Rouen. Le père monteur 11 l®~^s-u°uen ; 2 enfants. Demib de n d'entretien, école primaire supérieure » 4 né le 27 avril 1904 Io (Pas-de-Calais). La mère ho' IIonfleur ; 4 enfants. — Trois quarts ! bou/|, se d'internat, école primaire supée lQ e Montivilliers.

nil.t(Ferna!lù-:'iOrbert), né le 15 juin 1905 e,Uin ; Le père employé de commerce à <hn ltUern-,j enfant. —Trois quarts de bourse d'internat, école primqire supérieure de en ( supérieure de 1 ilbcrte-Georgette-Jeanne), née le 28 Ur o OOi a Bacqueville. Le père instiOjUr à ^Ri'Iuier-ès-Plains ; 3 enfants.

'Vetot In ernat, cours complémentaire bHj'vet°t ¡\ tl &nise Marguerite), née le 16 janvier 1904 à Rouen. Le père électricien à Sainternat r-Darnétal ; 3 enfants. - Bourse t 14 1 ertiat l> cours complémentaire-d'Yvetot.

Hardi (Louis-Paul-Jean), né le 25 février 1903 à Bolbec. Le père horloger à Bolbec ; 1 enfant.

— Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Henry (Léon-Louis-Emile-IIenri), né le 10 avril 1905 à Fultot. Lo pèra marchand forain à Fultot; 4 enfants. — Boursed'iilternat, cours complémentaire de Doudeville.

Heulin (Marcelle-Jeanne), née le 6 août 1905 à Saint-Valéry-en-Caux. Le père employé des - postes à Caen (Calvados) ; 4 enfants.- Bourse d'entretien, cours complémentaire de Caen.

Jamet (Marcelle-Louise), né le 8 janvier 1901 au Havre. Le père ébéniste à Rouen: 4 enfants.— Bourse d'entretien, école primaire supérieure du Havre.

Jean (Bernard-René-Marie), né le 18 juin 1936 à Rouen. Le père limonadier à Rouen: 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Le Corre (Darius-Joseph-Germain), né le 3 septembre 1903 à Rouen. Le père préposé des douanes à Rouen; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Lemaître (Henri-Auguste), né le 23 février 1305 au lIavr". Le père forgeron à Graville-SainteHonorine; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure du Havre.

Manoury (Gilb.ert-Antoine-Roland), né le 23 mars 1905 à Déville-lès-Rouen. Le père comptable à Rouen ; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Margory (Roger-Henri-Edouard), ne le 18 mars I" à Cassel (Nord). Le père employé de chemin de fer à Rouen ; 3 enfants. — Demibourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Marty (Barthélemy-Gabriel), né le 6 avril 1906 à Guéret (Creuse). Le père employé à l'école normale d'instituteurs à Rouen ; 3 enfants.

— Trois quarts de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Ménard (Georges-Adrien), né le 20 janvier 1904 & Assainvillers (Somme). Le père journalier à Grumesnil : 4 enfants. — Bourse d'internat, cours complémentaire d'Aumale.

Roche (Francis-Alexandre-Jean), né le 24 juin 1905 au Havre. Le père chef mécanicien de la marine à Neuville-lès-Dieppe; 1 enfant. —

Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Dieppe.

Samson ( Denise-Germaine-Léocadie ), né le 33 octobre 1904 à Bacqueville. Le père agent voyer à Yvetot ; 5 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire d'Yvetot.

Saint-Requier (André-Louis), né le 27 mai 1905 à Sotteville-lès-Rouen. Le père élève en pharmacie à Rouen ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Rouen.

Sery (Louise-Elisa-Armandine-Noémie), née le 15 mai 1903 à Mélamare. Le père instituteur retraité à Bolbec; 9 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de Bolbec.

Tellier (René-Albert-Paul), né le 29 juin 1903 à Saint-Martin-au-Bosc. La mère veuve, cultivatrice a Richemont ; 2 enfants. — Bourse d'internat, cours complémentaire d'Aumale.

Thillais (Adrien-Justin-Charles), né le 14 dédécembre 1905 à Mesnil-Esnard. Le père épicier à Mesnil-Esnard j enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Rouen.

DÉPARTEMENT DB StIXB-EI-MARNB Bonnerot (Marie), née le 18 août 1904 à Limanton (Nièvre). Le père domestique à Chaumesen-Brie ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Gien (Loiret) (transférée à Melun).

Bouvet (Aline-Mélanie), née le 30 jutn 1905 à Tigeaux. Le père instituteur à Chalmaison; 4 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Gien (Loiret) (transférée à Melun).

Chopin (Fernand-Eugène), né le 9 mars 190i à Saint-Germain-Laval. Le père ouvrier carrier à Montereau ; 4 enfants. - Bourse d'entretien, cours complémentaire de- Moutereau.

Cuvellard (Charles-Léon-Ernest), né le 27 juillet 1904 à Wassigny (Aisne). Le père cultivateur herbager à Leschelles (Aisne), mobilisé.

La mère réfugiée à Fontenailles; 2 enfants.

— Bourse d'entretien, cours complémentaire de Nangis.

Mauceau (Ilenri-Fcrnawl-Alberl), né le 4 avril 1905 à Lagny. Le père instituteur, détaché au collùge de Meaux ; 3 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Nemours.

Morier (HenrieLte-Léontine), née le 12 juillet 1906 à Ribeauville (Aisne). Le père et la mère instituteurs de l'Aisne. Le père mobilisé, la mère intérimaire à Courtry ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Gien (Loiret) (transférée à Melun).

Vaillant (Margueritc-Rose-Adrienne), née le 8 novembre 1904 à Voulangis. Le père instituteur à Samois-sur-Seine ; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Gien (Loiret) (transférée à Melun).

DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE

Badiou (Renée), née le 25 janvier 1903 à Paris.

Le père contremaître a Port-Marly ; 2 enfants. — Quait de bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Germain-en-Laye.

Berthault (André-Jean-Marie), né le 30 janvier 1905 à Paris. Le père scieur à Carrières-surSeine; 1 enfant. — Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Rambouillet.

Bosquillon (Robert-Armand-Joachim), né le 20 décembre 1904 à Roinville. Le père instituteur retraité à Saint-Sulpice-de-Favières; 2 enfants. — Bourse d'internat, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Boudiére (Robert-Marcel), né le 26 janvier 1908 à la Celle-Saint-Cloud. Le père manœuvra d'usine à Rueil ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Rueil.

Brunet (Hélène-Geneviève-Léontine), née le 31 janvier 1906 à Clermont (Oise). La mère veuve, journalière à Versailles; 1 enfant. —

Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire Montbauron à Versailles.

Bureau (Henri), né le 31 juillet 1901 à Grosrouvre. Le père instituteur à Grosrouvre ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Cheneau (Suzanne-Emilienne-Berthe), née la 4 janvier 1905 à la Celle-Saint-Cloud. Le père manœuvre à la Celle-Saint-Cloud ; 3 enfants.

— Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Germain-en-Laye.

Chenevière (Jean), né le 29 mars 1905 à Poissy.

Le père employé de chemin de fer à Poissy ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien.

cours complémentaire de Poissy.

Cheron (Eug-énie-Désirée), née le 17 novembre 1904 à Samt-Germain-en-Laye. Le père porteur de journaux à Saint-Germain-en-Laye; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Germain-enLaye.

Chollet (René-Léon), ne le 16 novembre 1904 à Versailles. Le père employé de bureau à Versailles ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Cintrat (Germaine-Jeanne), née le 18 janvier 1905 à Senlisse. Le père cultivateur à Milonla-Chapelle ; i enfant. — Demi-bourse familiale, cours complémentaire Montbauron à Versailles.

Conjeaud (Léonie), née le 11r juin 1905 à Lubersac (Corrèze). Le père cocher à SaintGermain-en-Laye; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Germain-en-Laye.

Curings (Marceau), né le 6 juin 1905 à la CelleSaint-Cloud. Le père ouvrier agricole à la Celle-Saint-Cloud ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse d'internat, école privée JulesFerry à Versailles.

Davignon (Marie-Alice), née le 23septainbre 19% à Cosne (Nièvre). Le père horloger à Cormeilles-en-Parisis ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire d'Argeateuil.


Decure (Jeanne-Marie-Olympe), née le 4 avril 1905 à Houdan. Le père directeur de l'usine à gaz de Houdan ; 5 enfants. — Demi-bourse familiale cours complémentaire Montbauron à Versailles.

Delarue (André-Gabriel), né le 25 novembre 1905 à Versailles. Le père comptable à Versailles ; i enfants. — Demi-bourse d'entretien, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Delmer ( Denise-Alfreda-Joséphine), née le 30 juin 1904 à Versailles. Le père employé au palais de Versailles ; 1 enfant. Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire Montbauron à Versailles.

Dumas (André-François-Antoine), né le 15 novembre 1905 à Versailles. Le père employé au palais de Versailles ; 2 enfants. — Demibourse d entretien, école privée Jules-Ferry à Versailes.

Oumont (Jean-Marie-Camille), né le 21 mai 1904 à Claux (Cantal). Le pèregérant d'une maison de commerce à Chaville ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'entretien, école privée JulesFerry à Versailles.

?aure (Gaston), né le 19 juillet 1903 à Paris. Le père typographe à Meudon : 1 enfant. Demi-bourse d'entretien, école privée JulesFerry à Versailles.

Fichet (René-Alexandre), né le27novembre 1904 à Saint-Chéron. Le père quincaillier à SaintChéron; 3 enfants.—Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Dourdan.

Fischer (Manrice-Paul-François), né le 22 novembre 1905 à Paris. La mère veuve, couturière à Chaville; 3 enfants. -- Demi-bourse d'entretien, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Franck (Rohert-nenri), né le 5 décembre 1905 à Rueil. Le père mécanicien à Rueil ; 5 enfants.

— Demi-bourse d'entretien, cours comptémentairc de Rueil.

Gauder (Jean-René-Louis), né le 17 février 1904 à Argenteuil. Le père représentant de commerce à Argenteuil ; 4 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire d'Argenleuil.

Gautcron (Clarisse-Cécilo), née le 28 juin i904 à Villeneuve-Saint-Georges. Le père employé des postes à Vilieneuve-Saint-Georges ; 2enfanls. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Villeneuve-Saint-Georges.

lIouguenaut (Marie-Louise), née le 11 janvier 1904 à Sèvres. Le père employé de chemins de fer à Sèvres ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Sèvres.

Labiée {Georgette-Elis-e-Mûrie), né le 14 juillet 1905 à Courbevoie (Seine). Le père ouvrier briquetier à Montigny-lès-Cormmes; 6 enfants. -Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire d'Argenteuil.

Lachaud (Lucienne-Therèse-Léa), née Je 20 lévrier 1905 à Saint-Cyr-l'Ecole. Le père agent de police à Versailles ; 6 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire Carnot à Versailles.

Lacoffrette (Raymond-Rene), né le 2 novembre 19^5 à Port-Marly. Le père employé de tramways au Pecq ; 7 enfants. — Quart do bourse d'entretien, cours complémentaire de Saintoertnain-en-Laye.

Lambert (Raymond), né le 17 août 19tr> à Montesson. Le père maçon à Montesson : 3 eniauts. — Quart de bourse d'entretien cours complémentaire de Chatou.

lartisant (Mè-rie-Madeleine), née le 29 Béoombre 1905 à Blamont (Meurthe-et-Moselle). Le père maréchal ferrant à Argenteuil ; 2 enfants, - Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire d'Argenteuil.

Lauer (Maurice-Jacques-Jean) , né k il juin 1905 à Versailles. Le père imprimeur à Versailles ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école privée Jules-Ferry h Vcrsaïfles.

Leduc (PaûIette-Marie-JuUett€\ nëe le il mai 1905 à Rueil. Le père employé de commerce à Rueil ; 2 enfants. — Qoart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Rueil.

Leroy (Germaine-Louise), née le 14 septembre 1904 à Noisy Je-Hoi. Le père domestique à Norsy-le-Roi ; 2 enfants. — Trois quarts de bourse familiale, cours complémentaire rae Ounot, à Versailles.

Lesobre (Denise-Marguerite), née le 27 mars mars 1903 à Froissy (Oise). Le père clerc de notaire à Rueil ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Rueil.

Lexereelle (Renée-Marcelle), née le 7 novembre 1905 à Rueil. Le père cordonnier à Rueil ; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Rueil.

Maleuvre (Alfred-Henri), né le 19 octobre 1905 à Paris. Le père aiguilleur à Saint-Germainen-Laye ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de SaintGermain-en-Laye.

Mallier (Robert-Clément-Léon), né le 27 avril 1905 à Grosrouvrc. Le père courrier des postes à Grosrouvre ; 7 enfants.— Bourse d'internat, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Masson (Louis), né le 25 octobre 1905 à SaintGermain-en-Laye. Lo père cordonnier à Saint-Germain-en-Laye ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de SaintGermain-cll-Laye.

Mathias (André-Charles-François), né le 1er juillet 1905 à Montreuil (Seine). Le grand-père à Saint-Chéron ; 1 enfant. — Bourse d'internat, école primaire supérieure de Dourdan.

Mercier (Georgctte-Léontine-Estelle), née le 12 janvier 1905 à Versailles. Le père employé de commerce à Versailles; 2 enfants.— Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire Monthauron à Versailles.

Monnier (Iïenri-Léon-Marie), né le 20 décembre 1S03 à Maisons-Laffltte. Le père employé de chemins de fer à Maisons-Laffitte: 1 enfant.

- Trois quarts de bourse d'internat, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Pieardat (Denise-Léone-Georgette), née le '23 juillet 190i à Essonnes. La mère veuve, ouvrière à la papeterie d'Essonnes ; 1 enfant.

— Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire d Essonnes.

Plot (Maurice-Modeste), né le 9 octobre 190G à Juziers. Le père comptable fi Versailles ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école privée Bertrand à Versailles.

Poirlier (Roland-Georges), né le 14 avril 1905 à Arpajon. Le e ouvrier en chaussures à Arpajon ; 1 elltlfnt. — Trois quarts de bourse d'internat, école privée Jules-Ferry à Versailles.

Poulain (Germaine-Marie), née le 20 juin 1904 à Beaune (Côte-d'Or). Le père ouvrier jardinier h Argenteuil ; 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire d'Argcnteuil.

Provost (Andrée-Louise), née le 7 juin 1905 à Dourdan. Le père ouvrier menuisier à Rochefort-en-Yvelines ; 2 cnfants. — Demibourse familiale, cours complémentaire Montbauron à Versailles.

Quin (Yvonne-Berthe), née le 4 juin 1905 à Laon (Aisne). La mère veuve, gérante d'une recette auxiliaire à Pontoise ; 2 enfants. —

Quart do bourse d'entretien, cours complémentaire de Pontoise.

Spach (Madeleine-Marguerite), née le 12 novembre 1905 à Malakoff (Seine). Le père contmnaîtrô d'usine à Argenteuil;2 enfants.

— Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire 4'Argeateuil. ,

Tabardel (Georges-François-Auguste), née le 1er janvier 1905 à Chaville. Le père mécanicien à Chaville : 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, école privée Jules-Ferrv à Versailles.

Tarjus (Marie-Louise), née le 2 juillet 1904 à Lizy (Aisne). Le père employé à Sèvres ; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, cours complémentaire de Sèvres.

Trivin (Lucie-Amélie-Marie), née le 6 octobre 1905 à Versailles Le père cocher à Versailles ; 4 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire Montbauron à Versailles.

Vanet (Jeanne-Marie-Louise), née le 6 avril 1903 à Vieux-Condé (Nord). La tante à Argenteuil ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entreaeai, cours complémentaire d'Argenleuil.

Versigny (Léon-Marie), né le 14 juillet 1904 à Londres. Le père '.garCQn coiffeur à MaisonsLaffîtte : 3 enfants. - TIDis quarts jde bourse d'entretien, cours complémentaire de Maisom-Laffitte.

Villette (Suzanne Marie - Thérèse-Bern ad attfi née le 4 août 1905 à Neauphle-le-Vtee*-.., père jardinier à Vicq : 3 enfants.

quarts de bourse familiale, cours cowr mentairc Montbauron à Versailles.

Villems (Henri-Louis-Jules), né le 14 1 1905 à Meudon.Le père employé de COlIlnrflJ,.

à Meudon : 1 enfant. — Demi-bourse « m tretien, école privée Jules-Ferry a * sailles.

DÉPARTEMENT DES DEUX-SKVRES Ayraut (Odette-Marie-Rose-Noémie), fn¡¡ 25 octobre 1905 à Saint-Aubin-de-BauDig Le père instituteur public à Rigné ; 2 e1?it6 Demi bourse dinternat, école pr~.,if a supérieure de Bressuire. A Borit (Camille-Marcelle), née le 21 mars:?di Saivres. Le père instituteur public à a* '011' 3 enfants. Demi bourse d'internat, eprimaire supérieure de Secondigny.

Cornu (Joseph-IIenri-Ernest), né le 2 JffL'ur 1905 à Moncoutant. Le père facteur rece à Saint-Aubin-de-Baubigné ; 2 eDfartS' Quart de bourse d'internat, école prllIl supérieure de Bressuire.

Guignard (Abel), né le 16 février 1904 à vaS!fn; Le père garde particulier à Saint-Clemt;écoll 3 enfants. Demi-bourse d'internat, e primaire supérieure de Bressuire. j Ligné (Alhert-Célestin), né le 8 avril int Missé. Le père cultivateur à Missé ; 1 el rnlcJl"' Demi-bourse d'internat, cours comp e taire de Thouars.

- 01 Il 0' Marquet (Robert-Antoine-Constant), le, "'freiJJ vembre 1905 à Bressuire. Le père garaeanx chemins de fer de l'Etat à Bres» 0jg 2 enfants. Demi-bourse d'entretien, 1,.

primaire supérieure de Bressuire. »

Pellegry (Marie-Blanche), née le 10 a,rril,l.::t; Verruyes. La mère, veuve à Saint-Ma*j-,^ 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, primaire supérieure de Saint-Maixent. re Perrier (René-Louis-Henri), né le 10 Oct 1904 ù Bressuire. Le père marchand dOnir chines à coudre à Bressuire ; i en sÚf6' Demi-bourse d'entretien, école pril-fla" rieure de Bressuire.

Pieeault (René^G as ton-Eugène), le HJrtW 1901 à la Boissière-en-Gâtine. Le père ~t receveur à Chantemerle ; 4 enfants. 9UPé" de bouTse d'internat, école primaire ~p~ rieure de Bressuire. j Proux (J osiane-Andrc- Eugénie - AlexaTJ;tdÍf.

née le 2^5 février 1904 à la Chapel Le père facteur receveur à la Chape" fjir reuil; 1 enfant. Demi-bourse dm' école primaire supérieure de BressUIre.

DÏTARTEJIENT DE LA SOMME 14 Bouff et il Made] eine-Ilenriett o-Ch ari Otto), Il 10 21 jauvier 1905 à Amiens. Le père e1 aux hospices d'Amions à Amiens ; 2 efifO P — Demi-bourse d'entretien, école pnmdc gv périeure d'Amiens.

Burlet (Jeanne-Mario-Félicie), née 1Jèr<îJI 1905 à Paris. La mère veuve, jour na u11540 Pont-Audemer ; 1 enfant. Trois q" bourse familiale, école primaire SUyv d'Amiens. & Cagny (Germaine-Alice-Suzannel, née oi ;.¡.

tembre 1904 à Marohélepot. Le père opi à Sailly-Flibeaucourt ; 2 enfants. - érw bourse familiale, école primaire suf d'Amiens.

Chiffre (Rolande-Marie-Jeanne), née la jteo 1905 à Pozières. Le père employé lapiS'A' butions indirectes à Amiens ; 2 sDemi-bourse d'entretien, école Pr,!jre périeuro d'Amiens. J Daussy (Raymonde), née le 22 janvi Rue. La mère veuve à BJangy- e fJY 2 enfants. Trois quarts de bc "arse liale, école primaire supérieure d AID éS Foulon ( Micheline - Aline - Palmyre li 9 avril 1905 à Amiens. Le père en - Vffrt de peinture à Serqueux; 3 enfants- - p bourse d'entretitn, école prunaire 1 cf.A.DúMa.


¥»mppix fMarcslle-Simone-Laurencel née le b Mutila Deâucamps-le-Vieux. Le père bourrelier à Beaucamps-le-Vieux : 3 enfants.

Trois quarts de bourse familiale, école frimaire supérieure d'Amiens.

ternoille (Lucie-Eiigénie-Théodorine),. née le 19 décembre 1903 a Raucourt. La mère veuve lostituteur à Royon, par Quand' i enfant.

J" Trois quarts de bourse familiale, école pri. maire supérieure d'Amiens.

ontigfty (Maurice-Casimir), né le il novemJ81905 à Dargnies. Le père mobilisé à Dardes: 2 enfants. Demi-bourse familiale, Il coie primaire supérieure d'Amiens.

it-CouSin (Yvonne-Aimée-Jeanne), née le 13 août 1905 à Amiens. Le père employé ,1.',u. sine à Amiens - 1 enfant. Demi-bourse entretien, école primaire supérieure S lCns.

.(Marcel Eugène), né le 1er septembre à laCroix-Saint-Ouen (Oise). Le père surant aux ateliers du chemin de fer du JjPW à Amiens; 2 enfants. Demi-bourse entretien, école primaire supérieure d' .Alniens.

lnb(Made]eine-Albertine-NelIY), née le 2 décore 1905 à Amiens. Le père peintre à ^iens; i enfant. - Demi-bourse d'entrer len, école primaire supérieure d'Amiens.

on (Ilenri-Albert-Emile-Georges), né le mai 1904 à Amiens. Les parents institud; rg à Amiens; à enfints. - Demi-bourse 'l'lntctien, école primaire supérieure Araies.

eiu.. (pésiré François-Clément), né le 11 juillet a Dargnies. Le père mouleur à Dargnies; enfant. Demi-bourse familiale, école pri110 0 supérieure d'Amiens, lrguignon (Robert-Joseph-Gastnn), né le touaotlt l9(t5 à Fraville-Escarbotin. Le père ^uPneur en cuivre à Escarbotin; 1 enfant.

Demi-bourse d'entretien, cours compléI otaire d'Escarbotin.

!d (Lœtitia-Clémence), née le 3 mai 1905 à Ficheux (Pas-de-Calais). Le père cultivateur, ftjwet u®llement ouvrier d'usine à Milly-Ieseils ; 10 enfants. Trois quarts de lIQÍlse d'entretien, cours complémentaire de b ens.

eolltaine (Roland-Jules-Guillaume), né le 5 janblin 1903 à Paris, pupille de l'assistance puIlle Hte: Demi-bourse familiale, cours complén alre de Domart.

19qI Uulien-Gustave-Marcel), né le 17 février Freville-Escarbotin. Le père cordonà Freville-Escarbotin ; 3 enfants,- Trois tneIs de bourse d'entretien, cours complék ntalre d'Escarbotin.

t (Marceau-Henri), né le i7 mars 1904 à lle;llenneVillC. Le père serrurier à Fresseni 1 enfant. Demi-bourse familiale, ile s complémentaire d'Escarbotin.

»èe .(Pierre), né le 18 mai 1903 à Corbie. Le Instituteur à Fressenneville; 3 enfants.

eornOlélS quarts de bourse familiale, cours v Plérrientniva fT'Rsrarhntin

1(0\18 ---._u - ---_

sel (René-Cyrille), né le 29 août 1905 à JlueVlllers. La mère veuve, ménagère à Che, liers; 2 enfants. —«Trois quarts de se dl inter nat, cours complémentaire de art, DKPARTBMEKT DU TARN iffi (Lonis-Pierre-Laurent), né le 7 février forêts Lacaune. Le père garde des eaux et îoratL ç , Pennei 3 enfants. Demi-bourse fesSirnat, écoie primaire supérieure et prote.] IlneHe d'Albi..

fe1}0 (Paule-Charlotte - Marie), née le re tl 1904 à Tébessa (Constantine). Le père employé des postes à Oran: 4 enfants.

- Demi-bourse dmternat, école primaire lieure d'Albi.

Gaches (Juliette-Marie), née le H lévrier 1906 i en!' e père gardien d'usine à Viane ; enfant Demi-bourse d'internat, école pri^airp suPérieure de Lavaur.

Gw.

terà ( lea-Marie-Antoinette). née le 8 avril y^lenc« £ Qce Le père tailleur d'habits î a c * 4 enfants. Demi-bourse d'in, & école primaire supérieure d'Albi.

Puel (Maria-Madeleine), née le iep novembre 1904 à Andouque. Le père cultivateur à Crespin ; 7 enfants. — Domirbourse d'internat, école primaire supérieure d'Albi.

Rigal (Antoine-Aimé-Ange]y-Lonis, né le i3 février 19J4 à Valdéries. Le père agriculteur à Mascle ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école supérieure d'Albi.

Rivière (André-Marius), né le 15 avril 1905 à Blaye. La mère veuve, journalière à Tanus; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure d'Albi.

Rouquier (René-Marie-J-oseph-célestin). nd le 8 mai 1906 à Eseoussens. Le père cultivateur à Escoussens; 5 enfants. - Demi-bourse d'internat,. école primaire supérieure de Castres.

Rouzaud (Urbain-Léon), né le 8 mars 1906 à Roquecourbe. Le père serrurier à Castres ; 5 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Castres.

Salvan (Germaine-Henriette-Rosalie), née le 4 septembre 1905 à Lavaur. La mère veuve, receveuse buraliste à Saint-Sulpice; 2 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Lavaur.

Ser (Marie-Louise-Irma-Ludia), née le 26 septembre 1903 à Salvagnae. Le père brigadier de gendarmerie à Villefranche; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure dAlbi.

Vivarès (Henri-Germain), né le 6 août 1903 à Cette. La mère employée de magasin à Castres ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Castres.

DEPARTEMENT DE TARN-ET-GARONNB Alaux (Gaston), né te 14 avril 1005 à Montauban. La mère veuve, ménagère il Montauban ; 2 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Montauban.

Audard (René), né ïo 19 février 1905 à Beauvais (Tarn). Le père maçon à Verlhac-Tescou; 4 enfants. — Demi-bourse familiale, cours complémentaire, de Montauban.

Carbonnié (Antonin), né le 24 juin 1905 à Montbartier. Le père cultivateur à Montbartier ; 3 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure annexée au collège de Castelsarrasin.

Desseaux (Henri), né le 5 juillet 1903 à Cazes- Mondenard. Le père instituteur en retraite à

Castelsagrat ; 4 enfants. — Demi-bourbe dln-

ternat, école primaire supérieure de Beaumont-de-Lomagne.

Hiounet (Elie-Pierre), né le 27 mars 1905 à Serignac. Le père cantonnier à la compagnie du Midi à Montbartier ; 3 enfants, — Demibourse familiale, cours complémentaire de Montauban.

Lacaze (Alice), née le 18 octobre 4905 à Négrepelisse. Le père marchand forain à Négrepelisse; 2 enfants. — Denli-oourse d'internat, école primaire supérieure de Castelsarrasin.

Lacoste (Elisa-Marcefle-Odette}, née le 21 février 1905 à Montricoux. Le père tailleur à Molières ; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Moissac.

Robin (Jenny), née le 21 octobre 1905 à Hulluch (Pas-de-Calais). Le père constructeur à Hulluch, réfugié a Molières ; 3 enfants. — Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Moissac.

Sanitot (Antonin-Louis-Léon), né le 27 mai 1904 à Moatauban. Le père peintre en bâtiment à Montauban ; 1 enfant. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Montauban.

Ségalas-Talons (Pierre-Jean-Baptistc-Roger). né le 15 avril 1905 à Villeneuve-sur-Lot (LOt-etGaronne). Le père gardien de prison a Montauban ; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Montauban.

Teyssières (Jeanne), née le 4 juin 1905 à Albias.

Le père scieur à Négrepelisse ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaira supérieure de Castelsarrasin.

DEPARTEMENT DU VAR Allègre (Marie-Thérèse-Augustlney, nte lo 24 février 1205 à Hyères. Le père employé de commerce à Toul;. i enlant. — Bourse d'entretien, cours complémentaire grryères.

Audibert (Maria-Henriette), née le t" septem bre 100) à Régusse. La mère veuve, jour:) Ur6 à Régusse : 2«nfanis. — Quart, 4e bour d'internat, école primaire supérieure de Drs guignan.

Augier (J«aiuae-Ge(xrgette), rlée le 48 août it 'i à Hyères. Le père commerça ut en vins

Hyères; 3 enfants. — Bourse d'entretie:.

cours complémentaire d'Hyèros.

Barrière (Antoime-Marius-Jos^phy, né le 19 ma 1905, à Tauton. Le père ouvrier du Pu : à Toulon; 1 enfant. — Quart de bour d'entretien, école primaire supérienre <!►• Toulon.

Bartoloméis (Ilélène-Louise-Raymonde), née 1,.

9 juillet 1905 à Cogolin. Le père secrétaire de U mairie de Cogolin ; 1 enfa-nt. —Quart de bour* d internat, école primaire supérieure de Dr.,.

guignan.

Bruzzone (Sébastien-Eugène-Marius), né I., 6 septembre 1995 à la Seyna. Le père en ployé de la mairie de la Seyne ; 4 enfants.

Quart de bourse d'entretien, école primair.

supérieure de la Seyne.

Cabasse (Léonie-Léontine), née le 25 février 190' à Roquebrune. Le père emiiloyé au Paris Lyon-Méditerranée à Roquebrune; 1 enfant — Quart de bourse d'internat, école primais suorieure de Draguignan.

Cauvin (Andéol-Marius), né le 10 octobre i90 à Draguignan. Le, père conciergo aux cour secondaires à Draguignan ; 3 enfants. Bourse d'entretien, cours complémentaire d Dra guigna».

Clément (Marie-Louise), née le 2 février 1905 ?

Salernes. Le père journalier à Draguignan 2 enfants. — Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Draguignan.

Cotard (Germaine - Marie- Françoise), née le.

20 octobre 19(B à Toulon. Le père officier d 2e classe des équipages de la flotte à Toulon, 3 enfants. — Quart de bourse d'entretieii école primaire supérieure de Toulon.

Coullet (Laurent-Pauï-Mathms), né le 25 févric 1906 à Sanary. Le père commerçant à Sanary 4 enfants. - Quart de bourse d'interna,

école primaire supérieure de Bandol.

Dation (Marie-Louise-Andrée), née Ie2juinl9~*; à Toulon. Le père commis de marine à Fej ryville (Tunisie) ; 3 enCan ls. - ()uart de boui*1 d entretien, école primaire supérieure ù Toulon.

Devine (Mareet-Armand-Jules), né fe25mai 190 à Nyons (Drôme). Le père débitant de taba à Toulon ; 5 enfants. — Quart de bour.d'entretien, école primaire supérieure d Toulon.

Gende, tMaroolle-Léoftie), née le8>octobre!9(ï à Riana. Le père gendarme à Draguignan 3 enfants. — Quart de bourse d'entretien école primaire supérieure de Draguignan.

Guichard (Jrène-Yarie-Marcelle), née le25avr f 1906 à Drauignaa. La mère veuve à Dragut gnan ; 5 enfants. — Quart de bourse d entr tien, école primaire supérieure de Dragu -

gnan.

Guigonnet (Denise-Marie-Honorine), née 1.

26 avril 1905 à Marseille. Le père sergent ID( bllisé, à Sainte-Maxime ; 1 enfant. — Quart f!

bourse d'internat, école primaire supérieur, de Draguignan. h.,..q , JassaudfAugustin-Louis-Fathymo), né le 18 avr 1905 à OUlOules. Le père receveur des poste ; à Brignoles; 5 enfants. — Quart de bour d'entretien, école primaire supérieure (i.

Lorgues.

JubeUn (André-Marius-Joseph), né le 28 juilb" 1906 à Toulon. Le père premier maître méca nicien en retraite a SoHiès-Pont ; 2 enfanta — Quart de bourse Érentretien, école primaiv supérieure de Lorguea.

Laty (Jttîien-Henry), né le 28 iuin 1905 à Dr» guignan. Le père marchand de papier à Orc.

gulgnaD; 1 enfant. - Bourse d entretien, cours complémentaire de Draguignan.

Macari (Georges-Barthélémy), né le 2 Juillet 1905 à Nîoe Alpes-Maritimes). Le père ouvrit du port à Toulon ; 1 enfant. Quart do: bourse d'entretien, école primaire aujxi rieure de ToalOD.


Marchi (Pierre-Louis-Vincent), né le 13 septembre 1905 à Paris. Le père contremaître d'usine à gaz à Saint-Raphaël; 3 enfants. —

Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Bandol.

Meiffren (Pierrette-Jeanne), née le 1er mai 1905 à Carcès. Le père cultivateur à Carcès ; 3 enfants. Quart de bourse d'internat, école primaire supérieure de Draguignan.

Mevniel (Marie-Claudine-Charlotte), née le 21 décembre 1903 à la Seyne. Le père agent technique à la pyrotechnie de Toulon; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Toulon.

Montpellier (Georgette-Jeanne-Simone), née le 24 septembre 1S01 à la Seyne. Le père entrepreneur maçon à la Seyne ; 10 enfants. —

Bourse d'entretien, cours complémentaire de la Seyne.

Moracchini (Gilberte-Maria-Jeanne), née le 8 juin 1905 à Toulon. Le père ouvrier du port à Toulon; 1 enfant. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Toulon.

Nand (Paul-Jean-Antoine-Eugène), né le 13 juin 1904 à Toulon. Le père à Toulon; 3 enfants. — Qrart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Toulon.

Portal (Marcel-Louis), né le 9 janvier 1905 à Fréjus. Le père employé à la compagnie des chemins de fer du Sud à Draguignan; 1 enfant. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de Draguignan.

Roubaud (Emile-Gustave-Antoine), né le 6 octobre 1905 à Toulon. Le père adjudant à Toulon; 2 enfants. — Qquart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Draguignan.

Siméon (Marguerite-Eugénie), née le 14 février 1905 à Draguignan. Le père serrurier à Draguignan ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Draguignan.

Taupia (Madeleine-Hyacinthe), née le 9 février 1905 à Toulon. Le père dessinateur à la mairie de Toulon : 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Toulon.

Venel (Jeanne-Louise-Macleleine), née le 28 janvier 1904 à la Seyne. Le père tapissier décorateur, col d'Artaud, à la Seyne; 3 enfants. —

Bourse d'entretien, cours complémentaire de la Seyne.

Ygnard (Blaise-Jean-Elis), né le 19 septembre 1904 à Toulon. La mère veuve à Toulon; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure de Toulon.

DÉPARTENT DE VAUCLUSB 3ourgiie (Georges-Maurice-Jules), né le 28 octobre 1904 à Avignon. Le père agent de la sûreté à Avignon ; 2 enfants. — Quart de bourse d'entretien, école primaire supérieure d'Avignon.

qugues (Yvonne-Alice-Gabrielle), né le 18 février 1905 à Valréas. Le père cultivateur à Valréas: 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Carpentras.

Laulagnet (llenri-Ferdinand-Léopold), née le i 1 aoûl 1905 à Valréas. Le père tapissier à Varéas; 2 enfants. — Bourse d'entretien, école primaire supérieure de Valréas.

Lombard (Paul-Alexandre), né lé 4 mai 1905 à Oraison (Basses-Alpes). Le père mécanicien au I .-L.-M. à Cavaillon; 2 enfants. — Demibourse d internat, école primaire supéiieure de l Isle.

Ricard (Félicien-Louis-Henri), né le 9 septembre 1905 à Cadenet. La mère veuve, boulangère à Cadcnet; 2 enfants. — Bourse d'internat, école primaire supérieure de l'Isle.

iTialis (Berthe-Elisa), née le 20 février 198i & Caromb. Le père voyageur à Carpentras. —

Bourse d'internat, école primaire supéireure Bourse de Carpentras.

DÉPARTEMENT DE LA VENDKS Imjlicn (Marthe-Marie-Jcanne-ïsabeIle-Andrée).

née le 4 mai 1905, à Saint-Pierre-le-Vicux.

La mère veuve, institutrice publique à SaintMichel-le-Cloucq ; 1 enfant. — Demi-bourse 4'internat, école primaire supérieure de Fontenay-le Comte. -

Auger (Aristide Paul-Ernest), né le 3 août 1904 à Bournezeau. Le père préposé des douanes à Saint-Hilaire-de-RiSï ; 2 enfants. - Demibourse d'internat, école primaire supérieure de Chantonnay.

Boisseau (Marcelle-Eugénie-Louise), née le 20 décembre 1904 à Bazoges-en-Paillers. Le père marchand de grains à Bazoches-enPaillers ; 4 enfants. - Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fontenayle-Comte.

Brossard (Claude), né le 7 janvier 1905 à Ouïmes.

Le père cordonnier à Ouïmes ; 1 enfant. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fontenay-le-Comte.

Chaigneau (Marie-Séraphine Amanda-Ernestine), née le 5 juillet 1905 à Nantes (LoireInférieure). Le père charpentier aux Lucs-surBoulogne; t enfant. — Bourse familiale, cours complémentaire de la Roche-sur-Yon.

Cochard (Gabriel-François-Auguste), né le 26 septembre 1905 à Sainte-Christine. Le père cultivateur-Jaitier à Sainte-Cristine ; 5 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fontenay-le-Comte.

Coutant (Jeanne-Emilienne-Marie), née le 12 février 1905 à La Roche-sur-Yon. Le père garçon de magasin à la Roche-sur-Yon ; 2 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de la Roche-sur-Yon.

Daffos (Roger-Frédéric-François), né le 20 janvier 1905 à Cazaunous (Haute-Garonne). Le père marchand de chaussures à Luçon; 4 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mortagne-sur-Sèvre.

Delagrange (Bernard-Jules-Onésimo), né le 8 mars 1905 à Toury .(Eure-et-Loir). Le père conducteur de tramways au Perroux (Seine): 3 enfants. — Demi-bourse d internar, école primaire supérieure de Mortagne-sur-Sèvre.

Gaucher ( Auguste - Octave Jean - Baptiste Edouard), né le 23 avril 1904 à Chavagnes-enPaillers. Le père chef de station aux QuatreChemins-de-l'Oie; 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Chantonnay.

Giraudeau (Marie - Louise - Fernande - YvonneZénobie), née le 8 juillet 1903 à Saint-Fulgent.

Le père chef cantonnier à la Roche-sur-Yon ; 4 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de la Roche-sur-Yon.

Grivel (Renée-Eugénie-Eglantine), née le 1er septembre 1903 à la Tranche. Le père receveur buraliste à Apremont: 2 enfants. — Bourse familiale, cours complémentaire de la Rochesur-Yon.

Hervouet (Fernande-Marie-Victorine), né le 8 août 1905 à Breuil-Barret.. Le père facteur receveur retraité, à Montaigu; 2 enfants. Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fontenay-le-Comte.

Jard (Adèle-Marie), née le 26 août 1904 à SaintPierre (îles Saint-Pierre et Miquelon), La mère veuve à l'Aiguillon-sur-Mer; 3 enfants.

— Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Fontenay-le-Comte.

Olagnier (Odette - Clotilde - Hermance - Louise), née le 23 octobre 1903 aux Sables-d'Olonnes.

Le père sous-chef de gare aux Sables-d'Olonne; 3 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire des Sables-d'Olonne.

Roussière (Eugène-Louis-Clément-Jean), né le 17 mars 1935 à Mortagne-sur-Sévre. Le père couvreur à Mortagne-sur-Sèvre; 3 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Mortagne-sur-Sèvre.

Thibaudeau (Madeleine-Clarisse-Victorine), née le 27 juillet 1903 à la Roche-sur-Yon. La mère veuve, couturière à la Roche-sur-Yon; 5 enfants. — Bourse d'entretien, cours complémentaire de la Roche-sur-Yon.

DÉPARTEMENT DE LA VIENNE Alléaume (Camille-Eugène-Louis), né le 3 septembre 1905 à Quinçay. Le père cultivateur à Quincay; 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Poitiers.

Barré (Georgette-Régina), née le 16 novembre 1905 à Vivonne. Le père facteur des postes et télégraphes à Vivonne ; 5 enfants. —

Bourse familiale, école primaire supérieure de Poitiers.

Baud'art (Léon-Edouard), 06 le 19 mars 1W* Séchault (Ardennes). Le père mobilise, mille évacuée du Nord, à Wissay ; 2 enw — Demi-bourse d'entretien, école IJrunl supérieure de Poitiers..

Bernard (Robert-Marcel), né le 16 juillet 190 Maillé. Le père commerçant à Maille. 1 Pri- fant. — Demi-bourse familiale, école y maire supérieure de Poitiers.

Broussard (Madeleine), née la 31 mai 19W à Aurillac (Cantal). Le père maréchal des Inde gendarmerie en retraite à Poitiers ; 3 ole fants. Quart de bourse d'entretien, til: primaire supérieure de Poitiers.

Couturier (Pierre-Charles), né le 5 scPI dl 1904 à Céi-illy (Allier). Le père hriga,a® gendarmerie en retraite, à Chauvigny j 2ori.

farits. - Demi-bourse d'internat, éëùle, maire supérieure de Monlmorillon. \8 Guillon (Yvonr.e-Marguerite-Désirée), née la 19 août 1904 à Poitiers. Le père mobiU- u mère à Poitiers ; 3 enfants. — 0^1111-001.0 d'internat, école primaire supérieure de tiers..

Joyeux (Louis-Siméon), né le 28 juillet 19 Queaux. Le père garde champêtre à QuCj 2 enfants. — Demi-bourse d'internat, écold primaire supérieure de Poitiers. !

Lucas (ndré-jllrcclle), née le 11 juillet '\;Sj Poitiers. Le père receveur d'octroi à POl ho 2 enfants. — Quart de bourse d'entrei école primaire supérieure de Poitiers. 1. à

Payrauit (Georgette), née le 27 août 190j à Latillé, Le père maçon à Latillé ; 3 enfapé;' - Bourse d'internat, école primaire sullpé- rieure de Poitiers. r Pin (Suzanne-Eugénie-Marthe), née le 2 ja 1904 à Poitiers. La mère veuve à POl écol/J 3 enfants. Demi-bourse d'entretien, école primaire supérieure de Poitiers.

DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Bidaud (Louis-Auguste ) , né le 21 mat - 90d Saint-Léonard. Le père ouvrier j Saint-Léonard ; 1 enfant. Dmm- ? iat- d'internat, école primaire supérieure de sa Léonard. v Catheraud (Berthe-Marie-Noéniie), née le^J^ ^j let 1904 aux Billanges. Le père cultivât6 la Betoulle (les Billanges); 4 enfants. ¿.

Demi-bourse d'internat, école primaire sup rieurc de Saint-Léonard. 0 Charpentier (Jean-Baptiste), né le 21 décent, 1905, à Saint-Junien. Le père ouvrier jou'j.

lier à Saint-Junien ; 2 enfants. - I)Clnt..

bourse d'internat, école primaire sup6,n:jCur0 de Saint-Junien. , 9JJ Dautriat (Auguste-Raymond), né le 9 mal c ; à Bersac. Le père tailleur d'habits à BercolfJ 1 enfant. — Demi-bourse d'internat, e Col$ primaire supérieure de Saint-Léonard. 1'8 Deschamps (Henri-Antoine), né le 2 décernlI 1904 à Champnétery. Le père cultivateur Ctauds (Champnétery) ; 4 enfants. ielIfIJ bourse d'internat, école primaire super de Saint-Léonard. 9()Í Garnaud (André-Antoine), né le 30 juiligli à Pageas. Le père ouvrier mégissier àlasairltJunien; 3 enfants. Demi-bourse d i. njy?rnat» école primaire supérieure de SairitrJu»1 Moreau (Marcelle-Marie-Gabrielle), néele fHief vier 1905 à Rochechouart. Le père 0 2 en.

menuisier à Rochechouart (mobilisé) je peifants. Demi-bourse d'internat, école pr- maire supérieure du Dorat. mai' Rougier (Edmond-René-Alfred), né 119 24 1904 à Videix. Le père et la mère instu à Saint-Yrieix-sous-Aixe ; 1 enfant. bourse d'internat, école primaire sup de Saint-Junien. t1t.

Teillet (Marie), née le 20 septembre I905à Cl La mère veuve, à Cieux ; 3 enfants,

bourse d'internat, école primaire super du Dorât.

DÉPARTEMENT DES VOGES Brocherez (Marie-Marthe-Madeleine), ~0 IQ W Brocherez (Marie-Marthe-Madeleine), culti' 20 juin 19)5 à Bains-les-Bains. Le P~bo~!

vateur à Bains; 3 enfants. - Delui - d'internat; école primaire stipérieure do Thaon.,


19ûfi f^ (Colette-Simone), née le 5 janvier ran à àBains-Ies-Bains. Le père agent d'assut ce Bains; 1 enfant. - Demi-bourse d'inn ernat, école primaire supérieure de Thaon.

uàde (Lucie-Madeleine), née le 9 février '9% à Tollaincourt. Le père boulanger à ToliaillcOurt; 2 enfants. Demi-bourse d'intttriat, école primaire supérieure de Thaon.

t (Simone-ûdile), née le 17 février 1905 à exy. La mère veuve, ouvrière d'usine à NécoXm e*y.î 1 enfant Demi-bourse d'internat, Uie primaire supérieure de Thaon.

dinà (Pierre-Abel-Louis), né le 7 janvier riè a Gérardmer. La mère veuve, coutud' re à Charmes' 2 enfants. Demi-bourse tretien, école primaire supérieure de * el (Suzanne-Maria-Clémence) , née le hit Vler tOOi à la Petite-Raon. Le père modepû, , la mère ouvrière d'usine, évacués 's 1914; * enfants. Demi-bourse d'entïetui en, école primaire supérieure de Thaon.

j^i^ier (Marguerite), née le 3 août 1903 WW. Le père facteur des poste au 2 enfants. - Trois quarts de bourse î'int Qat, école primaire supérieure de 1 aon trna (Paul-Marie-Clément), né le 8 août a enrà Dompaire. Le père cafetier à Lamercy ; i5, Demi-bourse d'internat, école aire supérieure de de Thaon.

tenot (Raymond-Henry), né le 2 janvier gen »« vézelize (Meurthe-et-Moselle). Le père ho arme en retraite ; 3 enfants. Demibourse d'internat, école primaire supérieure 011e d'internat, école primaire supérieure Y aon.

"'thier (IRené-Louis-Auguste), né le il août 1904 4 Troyes (Aube). La mère couturière à cons; 1 enfant. Demi-bourse d'entretien, I rs complémentaire de Bains.

DÉPARTEMENT DB L'YONNE Barbut (René-Pierre), né le 27 novembre 1904 à Cussy-Ies-Forges. Le père plâtrier à Cussy-lesForges ; 3 enfants. Tîtrîs quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure d'AvalIon.

Boulmier (Seorgeftte-Fenaande), née le 9 août 1904 à Saint-Sauveur. Le père facteur à SaintSauveur ; 5 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Sauveur.

Cantin (Juliette - Valentine- Gabrielle - Prospérine), née le 16 juin luO5 à Irancy. Le père épicier à Irancy; 4 enfants. — Demi-bourse d internat, école primaire supérieure de Bléneau.

Chambon (Roger-André), né le 22 juin 1905 à Dixmont. Le père employé de chemins de fer à Dollot; 4 enfants. — Demi-bours familiale, école primaire supérieure de Sens.

Chapuia (Germaine-Louise),. née le 4 octobre 1904 à Chéroy. Le père gendarme à Charny ; 3 enfants. — Trois quarts de bourse d'entretien, cours complémentaire de Tonnerre.

Corneau (André-René), né le 15 novembre 1904 à Saint-Sauveur. Le père mobilisé, la mère ménagère à Saint-Sauveur; 2 enfants. —

Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de Saint-Sauveur.

Ferré (Madeleine-Mathilde), née le 31 mars 1904 à Saint-Florentin. Le père jardinier à Saint-Florentin; 3 enfants. — Demi-bourse d'entretien, cours complémentaire de SaintFlorentin.

Jolly (Jules-Anatole), né le 29 septembre 1905 à Lainsecq. Le père instituteur retraité à Accolay ; 3 enfants. — Trois-quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Toucy.

Martin (Marie-Yvonne-Madeleine), née le 4 août 1903 à Paris. Le père employé à la préfecture de la Seine, mobilisé; la mère à Nitry; 1 enfant.— Demi-bourse dinternat, école pri* maire supérieure de Joigny.

Mathieu (Fernand-Georges), né le 9 décembre 1904 à Besançon (Doubs). Le père voyageur de commerce à Besançon, mobilisé; 2 enfants.

— Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire de Salnt-Sauveur.

Parigot (Germaine-Albertine-Françoise), née le 10 juin 1905 à Paris. Le père agent mécanicien des postes et télégraphes à Aux erra ; 3 enfants.

- Trois quarts de bourse d'internat, cours complémentaire de Toucy.

Peltier (Réjeanne), née le 29 juin 1905 à Quenne.

Le père cultivateur à Quenne; 2 enfants. —

Bourse d:internat, cours complémentaire de Brienon.

Quérat (leaaite), née le 16 février 1905 à Saints. Le père fermier au Deffand (Saints); 2 enfants. — Bourse d'internat, cours complémentaire de Samt-Sanvem.

Trottier (Gisèle-Alphonsine), née le 1er avril 1904 à Toucy. La mère veuve à Auxerre ; 1 enfant.

— Trois quarts de bourse d'internat, école primaire supérieure de Joigny.

Ythier (Rémy), né le 13 décembre 1905 à SaintGermain-en-Laye (Seine-et-Oise). Le père mobilisé, la mère à Brienon ; 2 enfants. —

Demi-bourse d'internat, école primaire supérieure de Joigny.

Zeude (Genéviève-Elisabeth), née le 22 novembre 1905 à Auxerre. Le père ouvrier métallurgiste à Auxerre ; 2 enfants. — Demibourse d internat, école primaire supérieure de Bléneau.

Imprimerie, 31, quai Voltaire, Paris 7*.

Le Directeur des Journaux officiels : G. PBYCBLOK,

EXTRAIT DU COURS AUTHENTIQUE DE LN BOURSE

-Utaa TKRMU TERMlt Mercredi 7 Mai AU COMPTANT Offaetta» JOUISS. Mercredi 7 Mai au comptant OpfcrfMf - i. dl Jiq¡ûè&l/ll.

-- 4 FOWOS D'ttAT FRUÇAIS Fér. 19 Empr.2%% dn Prot. del'AoaM#- > la a., Tonkin Obi. remb. tiOOfr. 58'65 t 63*25 63f35 62'45 Mai 19. Colon, de Madagascar. Obi. 2 * 1897, r. an p. (int. et 59' ,, "fil in L. 5 9

10 amort. (T. d» 3 190S-Î005, nbl. 500 ir., **.% ïœort. (r. 500', p. eoiû>. d« remb.auparr. (ftar. Etatfrâïrç.). 72f50-.

V. la de r*«, de 1878a 1963). 73'50 .- 71150 Avril 19 GOÛT, gwvàr. de l'Affiaae oeaid. f" « 4 19 mort. (r. à 309 fr. Erap.3%1903-7-K).Ob.500'.r.p. 360 •• t.. COUP. de 7 fr. de r", de iM5 à Mai 19. Goovern. géit. du Congo Français.

19. an comptant 89'i0 Emp. 2% 1900. OW. 500* rensb.

'19 '• P°Té dap. le lu Mtt. I au pair nt. et amort. jparsnti^). I .«..•..•..••«..•.•j •• I )r"'ll9 Q 2* s « 1917 («a wuupatat) 72'95 90 95 97K 73' Avril 19 Gonvern. gécéralde l'Indo-Ghine.

Emp.3%1909.0b.500,r.aupair. 355.

19 x*i5» 5 1918 (au «omptatt) 72'52X 55 57H 60 57X Mars 19 d» d* m 1913. O.SOOT.anp 72,62% 57 Déc. 18 Gf)uy. h kiroc. Empr. i im

u ïfijq ^'n "— 88'50 55 52X bl% 45 Obi. 5Û0fr. r.aup. irrt. et aatr.g; 43_ 5 4f3M3 « JahonS¿%t91t.13-tUfiChe- Mars 19 d'&np.5%19i8.rt'mb.a500fr. 495.

~d.&rd.rM~.r..MO'. 3M EMPRUNTS DE COLONIES

Bon» dn Trésor JaiiT.19 Gouvernement Géi. de l'Azérie.

Obtigatioris do Trésor ••• •• ••• Emp.3% 1902.Ob. r.500f, t. p. 380

Mai 19. Gouv, n. de l'Inde-Chine, Rmp.

FOI OS IUANTIS des Chemins de fer. Obi. 3% i U -Tii 1899et 1935, remJ». à600fr. 3*0

vfilcminDc 5 CM1DKA1fM[TefIC tRfM j]ai 19. d, 3 19U rmtimrs. à 5W fr. 30!i •• v Qbte Tn.idMM.i9! et ré". 19 GouvemenrentTunisien,Eœpnmts x!'—. aMt/rt.«nr.p»r lerVoBY. fraae. 324 ••• »• •• 3% 19i £ î-07. Obi. remb. 300fr. 340 ». •< .t. pr. per 04 : CHANGES CUÈQUB-TJ&RSBKKNT CHANGES CHè°Yp^T^»^Hîr*

FILPM COURT !ot.. .- 28 75 k 5B 85 Nonrèse «i H J 158 54 Ii:',. 95 a 97 J4 Portugal « » .ÕÍ',,::" i Pétrocrad -.. '1 R BK.. 122 à t24 X Surtde * il Si. 243 à 247 Suisse. m » i {1j» î "* .t. I 247 lui_ 1'22 a tU •• t. 81 à 83 Arpntinet ••• a -" I_.:: * * ••• •• 611 à 616 s .» »

BOURSE DE COMMERCE DE PARIS

COUla DU 24 AVRIL NM - BUlLE DE LIN. Us 100 r. neu en « *

tOURtDUMAVNLMta BOII^ DE COLZA. LM 100 kiJoir. natt m ..t",pt "," 0" ,. ,..-. - ••• •» DO M1BGRKD1 23 AVRIL t.t. — SUIF irfOISCX 43* fraao Paris, las iM lIi\otf.:.,. 1W à Wi


ANNONCES Les annonces sont reçues à la SOÇIÉTÉ GÉNÉRALE DES ANNONCES, 8, place de la Bourse, Paris 1..;

L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur de3 annonces.

LA MUTUELLE-VIE COMPAGNIE MUTUELLE D'ASSURANCES SUR LA VIS ENTREPRISE PRIVÉE ASSUJETTIE AU CONTROLE DE L'ÉTAT

PUMITIYElIEtlT AUTORISÉE PAR DÉCRIT DU 9 JUIN 1881

Enregistrée par arrêté ministériel du 13 mars 1907

SIÈGE SOCIAL ET DIRECTION GÉNÉRALE : DANS L'IDEUBLE DE LA COMPAGNIE, 6, PLACE DE LA CATHÉDRALE, A ROUEN

MODÈLE 1 B. Compte général financier (Profits et pertes) de l'exercice 1918.

CRÉDIT DÉBIT 2 994 18 Apport du solde créditeur des exercices 1914,1915, 1916 Perte. sur les rentes différées o %-Ql9ig 4» et 1917 1.769.195 58 Pertes sur les nuel"'!oprlétés., 10. 2is v il ., 01" ff t. à 1. d 49 Prélèvement sur les ucaissements affecté à la réserve de 9.99i 49 BÉNÉFICES SUR LES ASSURANCES garantie

1 Prélèvement sur les benefices sur réalisation de valeurs Assurances pour la vie entière 18.907 30 mobilières affecté à la réserve pour fluctuations du 59.912 21 Assurances mixtes. 267.993 03 cours des valeurs mobilières ® Assurances a terme fixe. 15.005 05 Portion des intérêts attribuée aux différentes catégories 0.3 46103 Assurances combinées. 5.393 79f d'assurances l.(X»--/*i°fi*t 03 Assurances t e m p o r a i r e s. 61981 'M<~997 Assurances temporires. 619 81 Portion des intérêts attribuée au compte des surprimes 6 193 49 Assurances de survie (capitaux). » » de guerre ; Assurances différées (capitaux). 13.845 20 Portion des intérêts réservée pour règlement de mémoires 2" 000 Assurances dotales. 9.288 03 d'entrepreneurs # —-—-rri Frais généraux de l'exercice I28 Total. 331.142 27 Commissions de l'exercice 9id & .— Commissions provenant des exercices précédents.

BÉNÉFICES SUR LES RENTES :Total du débit 1.465.138$ Rentes viagères immédiates 87.567 46 du el.

Rentes de survie 1.190 ©8.757 TTo0tUal l 88 757 46 So'dô créditeur des exçrcices 1914,1915,1916, 1917 5 3* et 1918 h reporter sur l'exercice 1919.. 475 3.

à reporter sur l'exercice HW). 2.239. REVENU DES FONDS PLACÉS : Loyers d'immeubles 176.065 20 Intérêts des valeurs mobilières. 606.424 84 Intérêts produits par les prêts de toute nature 332.864 16 Intérêts produits par les fonds déposés dans Iesbanques 4.256 24 A1, -a Intérêts et bénéfices sur les usufruits 250 »/ 38 Interêts et bénéfices sur les nues-propriétés. 13.211.

Bénéfices sur réalisation de valeurs mobiMr05 79.882 94 Dénefices sur réalisation de valeurs immobilières. T°tal 1.213.014 38

portion des frais généraux supportée par les différentes

catégories d assurances 190 658 35

Portion des commissions supportée par les différentes cad assurances 407 no « îtecettes diverses 4^175 65 --------- Total du crédit. 3.704.614 02 Total C. 1 au cre"dl. 3.704.614 , , D t. = -"


! ONCES - i;Admiflistratioa et les Fermlcrs déclinent toute responsabilité qsantà la teneur des anaonces. — ANNONCES

1 ModE* 'KN° 4 A. Balance générale des écritures (Bilan) au 31 décembre 1918. - :

C JLCTIF PASSIF PASSIF im m B~. porteurs de prts au fonds temporaire ponds temporaire de ~ie. i 0~25 < IJet1d.J ]r.s e" 6!::>, o:?9 1 Reserve specIale rcPl'ésentallt ]a pa.rtie amortie dll fonds, !\¡ndsA'';' 4,8;,8.0., fl) tempornire de Jrantie.. L75 f\r.A i 747'392 03 1 Ilere.,. 50 000

VaieJ^ îranÇaises jouissant d'une garantiê'dêï'Ê'tât. ! ! ! ! '*rve pour lfuctuatioils dl1 C0UTS valeurs mobilières.: 475^827 3i tods d?fWfsdiverscs 4.283.634 G4- , : 5~étra~ngers. 3.4~8.2~8 01 R.h:sER\T:s MAm~MATiQURS :.

~rs~ ~ranG'eTesdiverses.

Ponds-plnç<lJ,ses diverse,,s

0u cslPèces déposées pour cautionnements à Pour risques en cours (réassurances non J'étran,» '** * • déduites) 25 ggg Kc^Uts hîT>othécaires 785.433 03 réassurances cédées avant lauubliles sur Polices d'assurances de rcntreprise. l.i30 2aG 25 nation de l'arrêté ministériel du 29 JiuilWcuJ ra ges usufruits. 1 » let 1907 : ^fves Tri:îhA—; : j'-' v • ; "• 393.003 « a) à des entreprises enregistrées 2.824 251 » ~^r(î^r^t^di es réassurances ccdees à des b) à des entreprises non enregistrées..

mi ,prJse enregistrées après la publication de 1 arrêté ^jk^vre. nev l du 29 juillet 1907. 2.335.303 Il Pour risques en cours sous déductioa des sinistres à régler. 159.934 35 reassurances cédées avant la publicaSqj. ( assurances et arrérages tion de l'arrêté ministériel du 29 iuil- , ^s (j-jfx, par les reas- { échus-et r*on r6S^s G7.337 50 let 1907. 32.830.031 » 32.830.031 0 Ur°«Ts pour rachats effectués et non, 7 32.830.031 32 .~3~30 '.w03*i

non, ..ttets. es C0':nPles ouverts chez divers banquiers 301.12 46 Réserve de garantie prescrite par l'article 5 de la loi du ~---"-"---"--"- J) 17 mars HŒ. 123.959 4CJ ^eV01P"; ,> 17 mars 1905 , 129 959 40 >Csports „ Surprimes de guerre nettes de réassurances et de sinistres w^es es et non recouvrees. 5.042.085 » fin 1918 114 000 # Pèce et loyers échus et non recouvrés.. 392.955 45 Cautionnements pour opérations à l'étranger.

W^ces Ca!PSe 371.284 27 Sinistres à régler 359.266 75 url" ces échues et non -Mobii. M' de m.o277-713 27 Réserves m-ithématimips c 67î.956 15 K e de« nn-^eS'-",' Vîi- -sse"en : -n°n-amortis:::::::::::3:3 : î : ment exigiDK5&. i fïï.s 67, 05615 ssiuns non amorties de l'exercice 1915.. 15.679 glés.

— — 1916.. 20.956 58\ Rachats à régler r. 14 854 45' h. — — 1917.. 2R 186 33L lku» u-ugos«~ > &4 65 692 55 20.951) lm ,l! Primes ducs aux ré« assureurs 0* 43 g27 34 DI\'rs - - 1918.. 44.800 68 Loyers reçus d'avance 4 400 u %S 98.258 34 Créances hypothécaires sur immeubles appartenant à l'entreprise 4 Bénéfices revenant aux assurés participants pour l'exercice courant ,

Bénéfices revenant aux assurés participants pour les exerc.ices précédents (reliquat). 22 680 50 Dividende dà aux porteurs de parts pour l'exercice courant x - Allocations dues à la Direction • irectio

Divers 152.480 11 Solde créditeurl des exercices 1914,1915, 1916, 1917 et 1918

à reporter sur l'exercice 1919 2.239.475 34 T o t a T o t 3997935302 Total 39.979.358 02 Total. 39.979.358 02

Mouvement des polices, capitaux et rentes assurés pendant l'exercice 1S18.

n. 14. (RÉASSURA~XCES NON DÉDUITES ) 4èle n, y (RÉASSURANCES NON DÉDUITES)

ASSURANCES BN COURS ASSURANCES ENTRÉES ASSURANCES SORTIES ASSURANCES EN COURS au début de l'exercice. pendant l'exercice. pendant l'exerc. a la fin de l'exercice.

CATEGORIES "--- Polices. Capitaux ou rentes Polices. Capitaux ou "nI". Poliee». , Capitaux on rentes Polices. Capitaux ou rentes \1ran (r. ** • fr. c. Ir. e. fr. c.

Pour la vie entière 533 1 6.734.997 06 3 30.000 » 14 ti 212.9"4 » 522 6.552.063 06 mutes. 4.582 47.0Q0.fi78 23 43 633.594 » 116 i 4.069.010 » 4.509 46.565 462.83 , terme fixe.73 3.494..«71 95 5 77.000 » 16. 261.123. 864 3.310 743 95 , COMbinées 173; 2.025.731 » 3 45.0G0 » 2 35.000 » 174 2 035 731 » temporaires Si 56.522 » ,, 1 26.200 » 4 3o0 u322 î , J? survie (capitaux) », » 0 » » » » v gérées (capitaux) 1.309 7.569.126 71 6 32.000 » 69 355.717 19 1.246 7.245 409'58 Ûotales 294 , 1.977.320 50 4 21.000 » 8 61.37. JI 290 1. 93C. 94ri, 50 Totallles<capitaux. 7.171 68.€5t).44î 45 64 838.594 » 226 2.021.36319 1.009, 67.676 678 26 S^- - = 1 5 ï ïîjw6®- «.l^t , -843.431 11 J93 46.146 80 196 65.48,7 20 2.068 ; 824.130 71 i» "9.156 10 » » „ , » 10 9.156.10 m«ÏÏ«2«s *- 121 45.059 45 1 2.874 90 7 2.^33 45 121 45.000 90 Joftal des rentes. 2.302 «97.686 66 1QDI 49.025 70 103 68.480 65 l.m BIS.m n -


'annonces L'Âdaunlsinitiôirs: les àCiiïwti aale responsabilité qsaai à i& teriear des annonces. AJ~NON~

i jiÉHTjBLiiQXJ'E FRAirgAïaa Llterté — Egalité — Fraternité

Ministère des colonies.

!\ Adjudication à Paris, au ministère des colonie., le 17 mai 1919, à quinze heures, de la tourniture de o, o o o mètres de Toile de coton croisé T de couleur kaki NÉCESSAIRES AUX SERVICES MILITAIRES DB L'INDO-CHINE

Cautionnements j provisoire.. 5.000 Cr.

Cauhonnements. 1 définitif 10. 000 f r.

Voir le cahier des charges : 1° à Paris, au ministère des colonies, boulevard des Invalides, no 57, salle no 18,1er étage; à la direction de l'office national du commerce extérieur, rue Feydeau, ne 3 ; à l'office colonial, PalaisRoyal; 2° aux chambres de commerce de Paris, Rouen, une, Dunkerque, la Rochelle, Lyon, Saint-Etienne, Roubaix et Armentières, ainsi que dans les ports de Marseille. Bordeaux, Nantes et le Havre, au bureau du chef du service colonial et à la chambre de commerce.

EMPRUNT FINLANDAIS 3 1881

> Au 60 tirage du susdit emprunt, qui a eu lieu le 1er Mars iMO, à Helsingfors, les obligations portant les numéros smyants et formant un total de 228,500 Reichsmarks, sont sorties remboursables au pair à partir du 1er Juin 1919, date à laguelle les susdits titres cesseront de porter intérêts : Litt. A. à 5000 Reichsmarks : NM 3, 107, 440, 527, 666, 722.

Litt. B. à 2000 Reichsmarks : Nol

5 883 1678 2853 3542 6709 7961 124 1053 1841 2955 3597 6814 8161 208 1054 1928 2983 3977 6844 8 455 312 1077 2092 3034 5258 7022 8467 327 1279 2290 3069 5437 72il 444 1298 2355 3273 5487 7382 551 1413 2ill 3368 6297 7577 654 1427 2542 3376 6454 7794 677 1499 2678 3421 6633 7906

Litt. C. à 500 Reichsmarks : NM

215 2602 5301 8562 13712 17184 20946 330 2607 54*2 8574 13842 17364 20994 362 2626 5431 8690 13905 17457 20999 573 2766 5493 8810 14077 17745 21399 675 2867 5550 8831 14316 17923 21448 944 3133 5569 9i08 14421 18032 21478 1077 3180 S 9454 14482 18054 21991 1079 3 lOi 5925 9545 14504 18091 22043 1284 3507 609J 9919 14693 18616 22131 1434 3655 S 9961 14820 18839 22259 la65 4192 6720 10215 14919 19303 22488 î™ U17 6860 S4 14958 19378 22522 1818 4264 6947 10637 15345 19456 22613 1901 4267 7334 10949 15435 19778 22643 2107 4263 7501 11458 15509 19991 22757 2123 4362 7823 11626 15835 20050 22868 2156 4483 7902 11812 15906 20295 23207 2215 4547 7926 11971 15982 20298 23218 2227 4613 7936 12331 16026 20377 2327* 2228 4676 8131 12353 16077 20506 23299 2335 4843 8229 12483 16314 20513 23362 2358 4849 8300 12502 16787 20650 2378 5024 8328 13369 16857 20825 2392 1 5062 1 8449 13519 17019 20881

Le payement des Obligations ci-dessus aura lieu à Paris, chez MM. ps ROTHSCHILD PRBRSB, m Lafitte, 23.

COMPAGNIE DES CHEMINS DE FER DE PiRIS A LYON ET A LA IÉDITERRANÉE

TIRAGE DU 2 MAI 1919

Obligations remboursables à partir du 1er juillet 1919. Lyon-Méditerranée 1852.

1,994 obligations s °/o remboursables à 500 fr.

Impôt : 6 fr. 44. — Net à payer : 493 fr. 56.

11901 à 939 61601 à 700 104801 à 900 139898 à 900 11981 999 64701 800 111201 300 140901 999 12000 » 78801 903 117101 200 141000 » 29401 500 80301 100 120301 400 158001 100 29901 999 82501 600 130701 800 158701 800 30000 » 85001 100 139801 832 160801 900 36301 400 91601 700

Lyon-Méditerranée 1855.

904 obligations 3 remboursables à 500 fr.

Impôt : 11 fr. 38. - Net à payer : 488 fr. 62.

17601 à 700 37303 à 379 50401 à 500 56998 à 999 26601 7CO 48201 300 56701 800 57000 » 1760là77OCOO l 48201 13000 0 1 56~01 950 l 74601 7»00 29601 » 49601 700 56901 950 74601 700 29628 700

Dauphiné.

1,751 obligations 9010 remboursables à 500 fr.

Impôt : 11 fr. 5S. — Net à payer : 438 fr. 48.

1261 à 280 54521 à540 93720 » 145421 à 440 2921 940 59081 100 1050il à 060 145481 500 4621 640 60141 160 105901 920 146101 120 4631 700 60801 820 106261 280 147761 780 10021 040 61101 120 111081 100 148621 640 10041 060 61841 860 112781 800 154521 540 11221 240 62341 360 112961 980 156105 120 11641 660 66941 963 115201 220 156781 800 14361 380 71161 180 116621 640 1 60581 600 14701 720 72401 420 119721 740 161041 060 17441 460 72421 440 120021 040 161981 999 17781 800 73181 200 121281 300 162000 Il 21641 6CO 74521 540 122881 900 162141 160 24261 280 75321 340 131961 980 164941 950 30521 540 77001 020 132481 500 166001 020 32381 400 80021 040 133121 140 166371 380 32581 600 82021 040 133561 Il 166521 540 45301 320 82101 120 134021 040 170281 300 47741 760 82781 800 134461 480 171181 191 48741 760 82941 960 135261 280 173241 260 48781 800 83221 240 137341 360 176341 360 51401 420 84921 940 140341 360 52041 060 1 86281 300 144121 140 52421 440 87081 082 144941 960

TIRAGES ANTÉRIEURS Séries comprenant des obligations qui ne sont pas encore remboursées.

Lyon-Méditerranée 1852.

101 >200 43201 à 300 80501 à 600 128011 &087 2101 200 44081 100 81501 600 129701 800 5001 100 44901 999 81901 999 134201 300 7701 800 45701 800 83901 999 134601 700 17501 600 46301 400 86001 100 137601 700 17901 999 51901 999 86101 200 140601 700 18401 500 52000 » 88801 900 141001 100 21434 500 52601 700 89701 800 141301 400 22001 100 52901 999 92101 200 143601 700 23401 500 53000 » 95301 400 148801 900 23501 600 53101 200 96001 100 153601 700 23801 900 54301 400 93901 999 154001 100 24801 866 60401 500 105201 300 155101 200 25101 200 62201 300 105401 500 167301 400 25601 700 64807 865 107401 500 169501 600 39501 600 68001 100 112901 999 169901 999 39601 700 68301, 400 113901 999 172101 200 40101 200 70201 300 114801 900 175501 600 40901 999 70801 900 120901 999 178501 600 42101 200 71901. 999 121901. 999 180301 400 42Mi 355 75301 400 122000 » 181601 700 42401 500 76801 900l 127401 500

Lyon-Méditerranée 1855.

3401 à 500 29201 à 300 46201 à 300 67 11 9601 700 33301 400 47401 500 73WJ 9701 800 34201 300 47501 600 73M p 14801 900 34701 800 50001 100 752OJ 500 17701 800 36501 600 52101 200 76WJ 00 19201 232 366ai 700 55101 200 778307011 20501 600 40480 500 57301 400 7 60Q 22701 800 40901 999 59801 900 78 501 24101 200 41101 200 62401 500 78801 27037 081 41401 500 64915 994 80 28030 084 43701 800 67101 200 61101 28201 300 1 43801 900 67201 300

Dauphiné.. "I.n

301 à 320 47901 à 920 86401 à 420 132®» * le 941 960 50201 220 8681 600 1 980 2261 280 50496 500 87561 580 133961 840 2661 680 50721 740 88201 220 134821 08Q 2841 860 52601 620 90081 100 1350M 240 3401 420 52641 660 94801 820 135m 260 3661 680 52821 840 95241 260 122;1 4381 400 52841 860 95441 460 1362»} 840 4641 660 53401 420 99381 400 13982 340 6241 260 54721 740 99801 820 1403^} 0 11381 400 55141 160 100501 520 iàffi 0, 880 11441 460 55941 960 101721 740 140358681 880 11701 720 56661 680 103261 280 1435si 600 12821 840 57721 740 104101 120 14400} 180 14101 120 58021 040 105141 160 1441»} 0 14501 512 58161 180 105381 400 145321 340 17181 200 58681 700 107841 860 1460si 100 18401 420 59941 960 108241 260 148461 700 21401 420 60381 400 109641 660 H8681 700 22081 100 60501 506 109901 920 1497211 4 22481 500 60941 960 110221 240 15010 914 24901 920 62481 500 110501 520 151961 0 24961 980 63341 360 112041 060 1536" gôo 25121 140 64261 280 112301 320 15371861 180 27081 100 65081 100 112521 540 156 220 27607 620 66361 380 113061 080 1561 380 28941 960 66441 460 113181 200 200 29821 840 66581 600 113881 900 1601»} 030 30601 620 66921 940 114061 080 1621 1 092 30821 840 69201 220 114681 700 1620»} 560 32501 520 69941 960 115401 420 163»" 930 33821 840 70621 640 115921 940 163941 019 33961 980 70901 920 116601 620 164ffil 980 35241 260 71221 240 117201 220 164961 016 35481 500 71761 780 118101 110 166061 220 36634 640 72341 360 120921 910 166201 2co 368Gl 880 74321 340 121181 200 16314J 0 37461 480 74461 480 123301 320 1681. 930 38241 260 74821 840 12G91 940 t6811 0 40541 560 74961 980 127861 880 1727" 40741 760 77801 820 128 >21 540 1728W 880 41921 940 77961 980 130281 300 47041 060 79861 880 131421 440 173461 120 47841 857 83281 300 132031 100 176 120

DÉCLARATIONS D'ASSOCIATI^ (Art. flr du décret du f6 aoút 1901.)

_0 '1.

A

OlQ Sl«> MICALE DE L'IMPRIMERIE. 23 mars iyl t''associal : Bougie. But : Solidarité, c dC'

26 mars 1918. ASSOCIATION DES ŒUVRES OO JJG 5, rue du Mail, Paris. Gestion de sa.11 repos et tous services pour professi : -.. J'À

D

éclaration du il avril 1919. CERCLE :C:CÍ[l.l : CONCORDE. Objet : Agrément. Siège $001l :

Brissac (Le Violet) (Maine-et-Loire).

18

1

1 a été déclaré à la préfecture d'Al|® 15 avril 1919, la formation d'une jjfir

ayant pour titre : L UNION GENÉRALB V JJ DIANTS DE L'UNIVBRSITÉ D'ALGER.. 1'11I1iO Cette société a pour but de réaliserd t, tlllioo de tous les étudiants, sans distinction u vaCe, de nationalité ou de religion. d'Alger, Son siège social est à l'Université, d, 'Algerf aux Facultés, rue Michelet.

15 avril 1919. Département de LOlCr.g' COMITÉ DU DISPENSAIRE D'HYGIÊNE SOCIALE ET DE PRÉSERVATION ANTITUBERCULEUSE V ervatiOI1 Assistance aux tuberculeux et pr .r de l'enfance contre la tuberculose..

Siège ; 5, rue du Puits-Châtel, BloIS.


FONCES — L'Administration et les Fermiers décident tonte rfflnulifité quant à la teneur des annonces. — ANNONCES

SOUS-SECRÉTARIAT D'ÉTAT A LA LIQUIDATION DES STOCKS 6, Avenue Daniel-Lesueur, à Paris (7*). — Téléphone : Saxe 65-37.

VENTE DE COULEURS A L'EAU FV PATTnPW à la caséine marque chromatine, des teintes ci-après : blanc, bleu I UIIMD charron, jaune, noir, terre d'ombre, terre de Sienne, ocre jaune, ocre rouge, vert anglais ; 20 tonnes à PARIS, 8, passage de l'Atlas ; 443 t. A LA PLAINESAINT-DENIS, -31, rue Proudhon ; aux ateliers de camouflage de CHARTRES, 181 t. ;

68 t., et d'AUXERRE, 80 t.

(Pour ces 3 places, s'adresser pour visiter au service du génie de la place.) EN SOLUTION 15 tonnes à la Plaine- Saint-Denis ; 7 à Chartres; 3 à Epinai; P~ 1~ SOLUTION 12 à Auxerre.

Ou La répartition des couleurs dans chaque dépôt peut être donnée au sous-secrétariat 1 à l'Etablisaement central de cantonnement et de matériel de camouflage (E. C. M. C. C.), J> rue Huysmans, à Paris (Tél. Fleurus 04-16).

1 Adresser les soumissions à M. le directeur de l'E. C. M. C. C. avant le 26 MAI, par tr,es cachetées portant la mention : « Soumission pour la vente des couleurs 1). Le lot InlUlum est de trois fûts, de couleurs quelconques.

SOUS-SECRÉTARIAT D'ETAT A LA LIQUIDATION DRS STOCKS 5, avenue Daniel-Lesueur, à Paris (7*). — Téléphone: Saxe 65-37 RAPPEL DE L'ANNONCE DU 19 AVRIL VENTE DE MACHINES, OUTILS ET MOTEURS el'x établissements de l'artillerie de Bourges, Lyon, Alger, Valence, Besançon, Montluçon, anne, Saint-Etienne, Niu, Toulon, Grenoble, Bastia, Casablanca.

Sa Saint-Etienne, Nice, 15 MAI, aux inspections des foires de Pari., 2, avenue de c S'adresser, AVANT LE de ; Lyon, 51, cours de la Liberté ; de Toulouse, de Nantes.

SOUS-SECRf:TARIAT D'ÉTAT A LA LIQUIDATION DES STOCKS 5, avenue Daniel-Lesueur, à Paris (7e). — Téléphone : Saxe 65-37 VENTE DE NAVIRES Lf MAHDI 20 MAI 1919, à quatorze heures, il sera procédé, dans les bureaux de la prél' LE MARDI 20 MAI 1919, ROCHEFORT, à la vente par adjudication publique sur ksoufecture maritime de ROCHEFORT, à la vente par adjudication publique sur: souInlssions cachetées de CINQ NAVIRES du type « baleinier », nommés : 20 JAGUAR, RAIE, DAUPHIN-III, CONGRE ET SOLE Lf SAMEDI 24 MAI 191.9, à quatorze heures, il sera procédé, dans les bureaux de la pré,. LP- SAMEDI 24 MAI 1919, CHERBOURG, à la vente par adjudication publique sur soulecture maritime de CHERBOURG, à la vente par adjudication publique sur BOUmissions cachetées de seize navires du type « baleinier » nommés : ROUGET, TAUREAU, BOULEDOGUE, AMBITIEUX, CAPRICORNE, B CRIQUET, INDISCRET, PERRUCHE, TIGRE, COULEUVRE, ICHE, DRAGOM, CHIMÈRE ROITELET, PÉLICAN, CYGNE-II Le cahier des charges et la notice relatifs à ces adjudications peuvent être consultés gne * PARIS : au sous-secrétariat d'Etat, au ministère de la marine, bureau des renseirUe lhdents, et aux commissariats aux transports maritimes et à la marine marchande, e de Castiglione.

ans lcs ports et villes du littoral, aux bureaux des autorités maritimes locales (préItlaritimes, commandants de la marine), ou au bureau de l'inscription maritime.

)<"== —>

SOUS-SECRETARIAT D'ÉTAT A LA LIQUIDATION DES STOCKS \1INTES AUTOMOBILES, 70, avenue de la Bourdonnais, Paris. - Téléph. SAXE 76-57 VENTE DE 81 MOTOCYCLETTES NEUVES & PLOMBEES MARQUES TRIUMPH ET PEUGEOT ET DE 1 MOTErRS M M HP SCHNEIDER •u pétrole lampant (Système BELLEM) ou à Vessence.

EXPOSITION AU CHAMP DE MARS du 5 au 14 mai.

ADJUDICATION par soumission cachetée LE 14 MAI, à TREIZE HEURES.

II

épôt du i7 avril 1919. ASSOCIATION BPORTJV.

Du GENEST..Siège : Le Genest (Mayenne).

24 avril 1919. ASSOCIATION AMICALE DES ANCIUK COMBATTANTS DU 81e RÉGIMENT D'INFANTERIH Objet : SoJIdarIté, caisse de secours.

Siège social : Mairie de Montpellier.

26 avril 1919. ASSOCIATION DES ANCIENS COMBA- < TANTS ET MOBILISÉS DE LA GRANDE GLÏKRRE 1914-f < But : Solidarité et sauvegarde d'intérêts.

Siège : Mairie de Mende.

1er mai 119.

LA SOLIDARITÉ UNIVERSITAIRE ALGÉRIENNE.

Défense morale et matérielle de ses sociétaires Siège : Ecole, rue Mantpensier, Alger.

2 mai 1919.

Déelaration du CERCLE DE L'UNION. Sirge social Ancien local du Cercle de la Fraternité, à Mar.

gnane (B.-du-Rhône). But: Union et camaraderii

MON NOËL PETERS f RESTAURANT SAVOIA L LA VIEILLE CUISINE FRANÇAISE t LA VÉRITABLE CUISINE ITALIENNE !

LA RENOMMÉE DES CAVES !

24, PASSAGE DES PRINCES. Tél. Gut. 18-15. j

ANNONCES Publicité concernant l'Alsace et la Lorraine

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce vol. II, no 8C7 : « Firma Pasquay et Lindner in Saarbrilekei.

Zweigniederlassung in Saargemülld, Puttlingen, Saint-Avold », a été inscrit le 19 mars 1919 : Par ordonnance de M. le président du tl: bunal régional de Sarreguemines, en date di 21 février 1919, M. Charles Foltz, liquidateur ; Sarreguemines a été nommé administrateu.

séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemines.

Registre .de commerce.

Sur le registre de commerce vol. III, no 176.

le Firma Rauh et Mayer in Saargemünd a élr inscrit le 19 mars 1919 : Par ordonnance de M. le président du tri bunal régional de Sarreguernines, en date d; 21 février 1919, M. Charles Foltz, liquidateur z..

Sarreguemines, a été nommé administrateur séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemines.

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce vol. II, no 142

« Firma J. Lyon Sôhne, Zweigniederlassung il Saargemiind und Forbach". a été inscrit k 19 mars 1919 : Par ordonnance de M. le président du tri bunal régional de Sarreguemines, en date di 21 février 1919, M. Charles Foltz, liquidateur sarreguemines. a été nommé administrateur séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemineê.

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce Vol: II, no 1104 : a Firma Moèewamihaus Bertha Ruben, Inhabe' , Bernhard Grofoler ie Sawg.« nünd- », a éto inscrit le 19 mars 1919 f ", ':,


ANNONCES ,L'AdministratioD et les Fenniers déelment toute responsabilité quant à la teaear des annonces. ANNONCES

Par ordonnance de M. la président du tribunal régional de Sarreguemines, en date du 21 février 1919, M. Charles Foltz, liquidateur à Sarreguemines, a été nommé administrateur séquestre.

TI ibtmal de bailliage de Sarreguemines.

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce vol. III, ne 346.

« Firma Gebriider Adt, Aktlengesellschaft, mit dein Sitz. in Forbacft, mit Zweigniederlassungen in Ensheim (Pfalz) ijnd Woerschweiler (Pfalz) a été inscrit le 26 mars 1919 : Par ordonnance de M. le président du tribunal régional de Sarreguemines, en date du 28 février 1919, M. Mertz, greffier à Forbach, a été nommé administrateur séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemines.

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce vol. II, n° 162: « Saline Salzbronn, vormals de Thon und Compagnie, Aktiengesellschaft zu Salzbronn », a été inscrit le 19 mars 1919: Par ordonnance de M. le président du tribunal régional de Sarreguemines, en date du 8 février 1919, M. l'instituteur Michel Schiltz à Sarrealbe, a été nommé administrateur séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemines.

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce vol. III, nO 69: « Firma Chr. Gundelwein Erben, mit dcm Sitz in Saargemiind Il, a été inscrit le 19 mars 1919 : Par ordonnance de M. le président du tribunal régional de Sarreguemines, en date du 25 janvier 1919, M. l'huissier Ilochstrasser à Sarreguemines, a été nommé administrateur séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemines.

Registre de commerce.

Sur le registre de commerce vol. Il, n° 818 : « Firma M. Morgenroth zu Saargemiind ». a été inscrit le 19 mars 1919 : Par ordonnance de M. le président du tribunal régional de Sarreguemines, en date du 21 février 1919, M. Charles Foltz, liquidateur à Sarreguemines, a été nommé administrateur séquestre.

Tribunal de bailliage de Sarreguemines.

Registre de commerce de Metz.

s Aujourd'hui a été inscrit': 1° Vol. VII, n° 112 du registre des sociétés, la raison sociale Eberhart et Ce, à Montignylès-Motz, société au nom collectif, qui a été constituée le 1er janvier 1919. Les sociétaires personnellement responsables sont : 1. Arthur Lelonge, propriétaire à Pagny-sur-Moselle; 2. Jacques Eberhart, maître-menuisier à Montigny-lès-Metz ; 3. Adrien Naudin, maître-tonnelier à Onville. Branche d'affaire : menuiserie en bâtiments et meubles ; 2° Vol. VII, n° 113 du même registre, la raison sociale Olympe et Bédaton frères, à Toul, et succursale à Metz, société en nom collectif, qui a été constituée le 1er mars 1919. Les sociétaires personnellement responsables sont : 1. Jean Olympe, négociant à Toul; 2. NumaHonoré Bédaton ; 3. Paul-Jean Bédaton, tous deux représentants de commerce à Nancy. Branche d'affaire : commerce de l'alimentation, denrées et produits alimentaires.

Metz, le 24 mars 1919.

Tribunal de bailliage.

T = Signification publique.

Martin Muesslin, ouvrier de chemin de fer à Mulhouse,, demandeur, représenté par Me Dr.

Nordmann, avocat à Mulhouse, a intenté un

procès contre son épouse Martin Muesslin, née Ernestine Bir, anciennement à Mulhouse.

maintenant sans domicile connu, défenderesse, et demande à ce qu'il plaise au tribunal: 1° Prononcer le divorce entre les époux Muesslin; 2° Déclarer que tous les torts sont à la charge de la défenderesse; 30 Condamner la défenderesse aux dépens.

Le demandeur convoque la défenderesse à l'audience du tribunal régional, chambre civile, à Mulhouse, du 13 mai 1919, à neuf heures du matin, fixé pour les débats avec la sommation de se faire représenter par un avocat inscrit au tableau des avocats dudit tribunal. 1 R 130/18.

Mulhouse, le 17 mars 1919.

Le greffier du tribunal régional.

Signification publique.

Mille Aloyse Schilling, née Balbine Peter, veuve Paul Fischer, aubergiste à Huningue, demanderesse, représentée par Me Léon Nordmann, docteur en droit, avocat-avoué à Mulhouse, a intenté un procès contre son époux M. Aloyse Schilling, manœuvre, autrefois à Huningue, actuellement sans domicile ou résidence connu, et demande à ce qu'il plaise au tribunal : 1° Prononcer le divorce entre les époux Schilling; 2° Déclarer que tous les torts sont à la charge du défendeur; 3° Condamner le défendeur aux dépens sous toutes réserves.

La demanderesse convoque le défendeur à l'audience du tribunal régional, chambre civile, à Mulhouse, du 27 mai 1919, à neuf heures du matin, fixée pour les débats, avec la sommation de se faire représenter par un avocat inscrit au tableau des avocats dudit tribunal. 1 R 7/19.

Mulhouse, le 17 mars 1919.

Le greffier du tribunal règional.

Signification publique.

La dame Marie Schiller, repasseuse à Mulhouse, demanderesse, représentée par M. Simon, docteur en droit à Mulhouse, a intenté un procès contre Mme Marguerite Heckle, née Rochette, anciennement à Mulhouse, actuellement sans domicile connu, défenderesse, et demande à ce qu'il plaise au tribunal : 1° Condamner la défenderesse de payer à la demanderesse la somme de deux mille trois cent francs; 2° Condamner la défenderesse aux dépens.

La demanderesse convoque la défenderesse à l'audience du tribunal régional, chambre civile à Mulhouse du 15 mai 1919, à neuf heures du matin, fixée pour les débats avec la sommation de se faire représenter par un avocat inscrit au bureau des avocats dudit tribunal.

Mulhouse, le 25 mars 1919.

Le greffier du tribunal régional.

Signification publique.

M. Charles Schiebel, ouvrier de fabrique à Mulhouse, demandeur, représenté par M. Léon Nordmann, avocat-avoué à Mulhouse, a intenté un procès contre son épouse, née Eugénie Voegtler, sans domicile ou résidence connus, défenderesse, et demande à ce qé'il plaise au tribunal : 1° Prononcer le divorce aux torts de la défenderesse ; ; 2* La condamner aux dépens.

Le demandeur convoque la défenderesse à l'audience du tribunal régional, chambre civile à Mulhouse, du 27 mai 1919, à neuf heures du matin, fixée pour les débats, avec la sommation de se fatre représenter par un avocat inscrit au tableau des avocats dudit tribunal.

Mulhouse, le 26 mars 1919.

Le greffier du tribunal régional.

Signification publique. 1 La maison X. Dussère, atelier de taill^j» patrons : Georges et Henri Dussère, à MUAlhtU Ii demanderesse, représentée par M* , e Mulhouse, a intenté un procès contre lada Dr. Freund Diatler, autrefois à Mulhouse, u tuellement en Allemagne, sans domiciles cou nnu, défenderesse, et demande à ce qu'il plaise, tribunal : la 1° Condamner la défenderesse à Pa}rerJ. Ja demanderesse la somme de quatorze c et: quatre-vingt-cinq francs vingt centimes, a, 5 p. 100 d'intérêts de 964 fr. 40 depuis le l, décembre 1918 et de 520 fr. 80 depuis le 3J J 1918; 2° Condamner la défenderesse au* dépens 3° Déclarer le jugement exécutoire pard la vision, sans cautionnement de la part ae la demanderesse. SB La demanderesse convoque la défenderessa à l'audience du tribunal régional, enaru j civile, à Mulhouse, du 15 mai 1919, a J* g0 heures du matin, fixée pour les débats, a la sommatipn de se faire représenter Pudit avocat inscrit au barreau des avocats dit tribunal. I 0 35/19.

Mulhouse, le 26 mars 1919.

Le greffier du tribunal régional, ., _—- = = = = = = = =~

Ouverture de faillite.

Sur la succession des défunts époux Dca), tantin Hiss, hôtelier à Wissembourg (Algacell' et Julie Hiss, née Mayer, la faillite, est OU 5 dtJ aujourd'hui, 8 mars 1919, à dix heures du matin. est L'avocat-avoué Cuntz, de Wissembourg. e-Sgt nommé syndic. Les créances dues par la de la faillite sont à produire jusqu au £ aVril 1919 au tribunal de bailliage de Wissefn. bOlIrgL'assemblée, pour délibérer sur le choix d'UI1 autre syndic ainsi que sur la constitutlondredi, comité de créanciers, est fixée à yen 4 avril 1919, dix heures du matin. dredi, Jour de la vérification générale : v^hun*1 18 avril 1919, dix heures du matin, au ri de bailliage de Wissembourg (salle n, 10)- La saisie générale est ordonnée cO n or fflà- ment au paragraphe 108 de la loi al e concernant les faillites. eIlt Les personnes qui réclament un P~.c'rn~s' par distraction aviseront le syndic Jusq 3 avril 1919.

Le tribunal de bailliage de Wissembourg (A^^ GROS, ROMAN Société en commandite par actions Siège social à WESSERLING (Alsace) Bilan au 1er juillet 1918.

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Comptes de dépôts et comptes 3 301 t6 créanciers divers. '60* Effets à payer.

Réserve à la disposition des ac- 1. 280. offl tionnaires 73 10 Profits et pertes : report à nou- 39.7 veau., 9 tO Fr. 2S.399.559