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Titre : Bulletin colonial : supplément à la Revue du XIXe siècle

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1836-12-26

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327173415

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327173415/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 495

Description : 26 décembre 1836

Description : 1836/12/26 (N19).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6362818n

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3013

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 10/12/2012

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A NOS LECTEURS.

Il est évident que l'année qui va commencer ne se passera pas sans que la question coloniale soit, sinon résolue, du moins vivement posée par la société des abolitionnistes dans l'opinion publique, et par quelques députés ou pairs soi-disant philanthropes dans les chambres elles-mêmes. On ne peut nier que l'esprit public n'ait fait en France des progrès remarquables vers le juste et le vrai en ce qui touche les colonies ; mais ce ne serait pas une raison , d'un côté, pour ne pas tenir compte des dangers que leurs intérêts auront à courir, selon que l'esprit conservateur ou l'esprit révolutionnaire prévaudront dans le gouvernement ; de l'autre , pour ne pas continuer, et même avec le surcroît de zèle et d'attention que le succès justifie, la surveillance active que les amis de la cause coloniale n'ont pas cessée depuis deux ans.

La Revue du XIXe siècle, qui peut dire qu'elle a mis à la défense des intérêts coloniaux une persistance et un dévouement qui prennent leur source d'ailleurs dans ses doctrines conservatrices et sagement libérales, va acquérir un développement nouveau qui, en augmentant sa force, ne peut manquer d'augmenter

son action.

La grande augmentation que son capital d'exploitation va subir, conformément à la société nouvelle dont nous publierons l'acte dans notre prochain numéro, la meltia à même d'abord de conserver les collaborateurs distingués auxquels elle doit déjà son succès, et surtout de s'attacher les plus remarquables parmi ceux qui manquent encore à sa rédaction. Nos amis des colonies savent déjà que parmi ceux dont le concours sera plus particulièrement assuré à la Revue, se trouve M. Granier de Cassagnac, l'écrivain qui a élevé les questions coloniales au niveau des difficultés historiques et morales les plus hautes, et qui, placé à la tête de la rédaction politique du journal I.,\. PnEss", a acquis une inlluence toute nouvelle et tout à fait hors de ligne par rapport à ceux qui comprennent et défendent avec lui les vrais principes en matière coloniale. La nouvelle société de la Revue s'est assurée par traité l'élendue de trois articles par mois de M. Granier de Cassagnac, à partir de la constitution de la société qui doit avoir lieu dans le courant de janvier. De pareils traités seront faits avec trois autres .écrivains le plus haut placés dans l'opinion publique.

- La distribution nouvelle des matières de la Revue, conçue 1 sur un nouveau plan , permettra ainsi à quatre écrivains principaux, parmi lesquels se trouvera M. Granier de Cassagnac , de faire toutes les semaines, et chacun à leur tour une fois par mois, un grand article résumant tout ce qui s'est fait d'important depuis le mois dernier, dans l'ordre des faits philosophiques, sociaux et sicntifiqnes; dans l'ordre des faits historiques et politiques; dans l'ordre des faits statistiques, commerciaux et coloniaux, enfin, dans l'ordre des faits artistiques, littéraires et dramatiques.

Indépendamment de ces articles revue , viendront d'autres articles de mœurs , de variétés, dus à la plume de Méry, de Jules Janin, d'Alphonse Rover, etc., etc.

La Revue dit XIXe siècle espère qu'en raison des efforts qu'elle va faire pour justifier et agrandir encore l'intérêt dont elle est l'objet de la part de ses lecteurs, ses amis des colonies lui donneront dés preuves nouvelles d'une faveur et d'un appui qui lui seront d'autant plus précieux, qu'ils la mettront à même de tenir au delà 'de ses promesses. C'est pourquoi elle a dû compter sur leur empressement à se ranger parmi ses actionnaires, à s'associer à la seule publication qui n'ait pas hésite à prendre ostensiblement la défense de leurs intérêts, la seule qui ait donné la mesure de ce qu'elle pourra faire pour eux quand son influence sera plus étendue. -

C'est ici l'occasion pour les colons de se rappeler la fameuse

devise qui semble avoir été imaginée gour eux : Aide-toi, le ciel t'aidera. &..

NOUVEL ATTENTAT SUR LA VΠDU ROI.

Aujourd'hui à une heure, au moment où le roi se rendait à la chambre des députés pour la séance d'ouverture, un individu, posté à cent pas de la. grille des Tuileries, le long de la terrasse du bord de l'eau, a tré un coup de pistolet au moment où le roi saluait de son côté. Le duc d'Orléans, le duc de Nemours et le maréchal Gérard se trouvaient dans la voiture. Le bruit s'est répandu que ce dernier avait été blessé; mais aucun membre de la famille royale 'n'a été atteint.

L'assassin a été immédiatement arrêté. Il n'avait pris, du reste, aucune précaution pour s'échapper. Ou dit que c'est un jeune homme d'une mise décente. Nous n'avons que le temps de faire arrêter le tirage du Rullelin pour annoncer, sur nos premiers renseignements, ce nouvel attentat.

PARIS, 26 DECEMBRE.

Deux adresses au roi, votées par les conseils coloniaux de la Martinique et de la Guadeloupe, ont été mises sous les yeux de S. M. Reproduites par les journaux, elles ont appelé sur la situation de nos colonies l'attention de la presse et du gouvernement, au moment où les chambres vont aVoir à s'occuper de réformes dans les lois économiques qui régissent ces établissements.

Le conseil colonial de la Martinique s'est borné à réclamer le droit commun pour la production coloniale. Depuis la venue du sucre de betteraves, le sucre de cannes ne peut plus rester, en effet, dans la position tout à fait exceptionnelle où l'ont placé les privilèges de son rival.

- L'adresse de la Guadeloupe a fait le même appel à la justice et à la protection royale. Mais prévoyant le cas où peut-être les intérêts tout puissants des cultivateurs do betteraves et des fabricants de sucre indigène ne permettraient pas d'accueillir leur réclamation, les colons de la Guadeloupe ont demandé que la France affranchit les colonies de sa dictature commerciale, et qu'elle les plaçât sous le régime absolu de la liberté commerciale, c'est-à-dire qu'il mt accordé aux colonies françaises la faculté de recevoir de TOUTES provenances, par TOUT pavillon, soumis au même tarif d'entrée, les produits de TOUS les pays j et subsidiairement que ces mêmes colonies eussent aussi la faculté d'échanger librement les denrées qu'elles produisent avec TOUS les pays, sous TOUS les pavillons, en établissant uit tarif de sortie uniforme pour TOUTES les destinations.

Aussitôt que la pétition du conseil colonial de la Guadeloupe fut livrée à la publicité, on essaya d'en altérer le sens. Il fut dès lors facile d'en méconnaître le but et l'intention. Les uns ont prétendu voir dans cette demande de liberté commerciale une critique du système protecteur qui est la base du système général d'économie politique adopté en France : les autres ont signalé une quasi-révolte de vassaux, un désir de traiter de puissance à puissance avec la France, et la prétention, de la part des colonies, d'obtenir comme un droit ce que leur position de nÉpexDlCES, D iLOTS qui n'existent que par le patronage de la France, leur permet à peine de demander comme une grâce et une faveur ; le profit et l'avantage à en retirer ne pouvant et ne devant être que le profit et l'avantage de la navigation et du commerce maritime de la France.

Quelques journaux, emportés même par le prestige de ce mot liberté qu'ils ont trouvé dans la pétition des colons de la Guadeloupe , ont annoncé que, par une délibération subséquente, le conseil colonial de la même colonie avait demandé l'affranchis-

sement des esclaves. Ils ont ajouté qu'un projet rédigé à cet effet - dans le sein de cette assemblée devancerait, dans la prochaine

session des chambres , le bon vouloir «t la philantrophie hâtive des membres de la société française pour l'abolition de l'esclavage.

Il est probable qu'en cette occasion on aura mal compris encore l'intention et le but de la délibération des colons de là Guadeloupe , si toutefois une délibération de cette nature a eu lieu.

Car les propriétaires d'esclaves n'ont pas foi dans le vote d'une indemnité libérale, alors qu'il sera question dans les chambres de l'affranchissement des noirs. L'histoire de l'indemnité d'Haïti est aussi pour eux une douloureuse expérience du peu de souci que témoigne le gouvernement pour obtenir l'exécution d'engagements pris envers des colons dépossédés. Il est évident néanmoins, et nous-mêmes nous l'avons dit souvent, que les habitants des colonies auraient été disposés à seconder les efforts du gouvernement, à aider par leurs connaissances pratiques les amis de l'humanité, les réformistes vraiment dignes de cette mission, dans l'œuvre de transformation du travail esclave des colonies en travail libre et salarié. Mais, dans l'état actuel des choses, il faut l'avouer, les colons manifestent une grande répugnance à prendre l'initiative; à commettre ce qu'ils appellent un suicide, persuadés qu'ils sont de la destruction des richesses creées et de l'anéantissement de leurs fortunes par toute émancipation qui ne serait pas précédée d'une large indemnité préalable, et qui parle fait serait sans aucun profit moral ou matériel pour les nouveuux affranchis eux-mêmes.

Une erreur bien longue à déraciner dans la presse périodique, et qui contribue beaucoup cependant à entraver la solution des questions coloniales, c'est celle qui consiste à dire que les colonies sont une charge au passif du budget de la France. On a beau écrile, beau démontrer, à l'aide de chiffres et de statistiques omcielres, que chacun des citoyens français qui habite la Martinique ou la Guadeloupe paie un chiffre d'impôt trois fois plus considérable que le chiffre payé par chacun des régnicples y on a beau constater qu'à chacune de ses petites colonies formant toutes ensembles un miséraclc chiffre de population évalué à 300 mille hommes de tout. âge, de tout sexe et de toute condition , la France impose les frais d'une administration de la marine, d'une administration civile et militaire, d'une administration des douanes, d'une organisation judiciaire, et que chacune de ces administrations|, dans sa sphère, est aussi importante que celle d'aucun des quatrevingt-six départements, il se trouve encore des écrivains qui i S'obstinent à regarder les colonies comme parties prenantes au bUlljet, Sans doute les colonies sont parties prenantes au budget,

comme une citadelle de la France continentale, comme nos vaisseaux c tnos frégates, ces citadelles flottantes, sont parties prenantes au budget. Car. c'est aussi comme citadelle, comme points militaires fortifiés ou stations maritimes de la plus haute importance, que les colonies sont EXCLUSIVEMENT parties prenantes aubudget.

Il n'y a pas long-temps encore que des économistes qui ont écrit des volumes sur les vices du système colonial, et qui souvent ont parlé dans les chaires publiques des sacrifices imposés à la métropole par ses établissements coloniaux, ne savaient pas que les colonies payaient elles-mêmes les frais exorbitants de leur adininistrotion intérieure. (Deux millions et quelques cent mille francs constituent le passif du budjet de la Martinique, colonie

exploitée seulement par l'industrie de 10 à la mille hommes de race européenne ! ) Aujourd'hui que les colons sont arrivés dans la presse avec leurs documents officiels et que le libéralisme le plus infatué a reconnu enfin cette vieille erreur, celle qu'il a tant caressée dans ses longues guerres contre les colonies, c'est une nouvelle forme qu'il s'agit de donner à cette même erreur. Les six millions qui figurent au budget du ministère de la marine pour l'entretien des garnisons de nos cinq colonies,. pour la conservation de ces points militaires dont la prépondérance politique de la

LE PHILANTHROPE DAUJOURDHUI. ¡

On part de ce principe que les criminels étant les plus malheureux d'entre les hommes, ils ont plus que tous les autres besoin de consolation et de bien-être. Le pauvre a toujours sa vertu.

Il n'y a sorte de caresse que M. Appert, représentant de la philanthropie contemporaine, ne prodigue au crime. Ces pauvres criminels, ces bons criminels, n'ont-ils pas trop froid l'hiver ou trop chaud Tété ; je gage qu'on ne frappe pas leur vin de Champagne ! il est temps que l'humanité reprenne ses droits.

Il y a des gens qui demandent qu'on améliore le sort du peuple ; mais le peuple est heureux si on le compare aux infortunés que leurs passions ont entraînés à enfreindre les divers articles du code pénal. Le peuple pratique plus ou moins volontairement une foule de vertus sociales et chrétiennes, et la vertu, c'est le bonheur.

Comment se conduit-on à l'cçard des criminels ? On les met en prison ; très bien. Mais dans quelles prisons? Des prisons où ils ne trouvent aucunes des commodités et des agréments de la vie.

Et d'ailleurs, en travaillant pour l'amélioration de tous les prisonniers, on travaille en même temps pour le peuple ; moins on s'occupe des intérêts du peuple, plufc il a de chances pour devenir voleur; les prisons deviennent pour lui une retraite agréable sur ses vieux jours.

Quelques personnes prétendent que les prévenus et les accusés pourraient réclamer un peu de sollicitude relativement aux rigueurs dont ils sont préventivement victimes.

Un homme passe quelcluefms trois mois en prison sous la prévention d'un délit, lequel, prouvé, n'entraîne qu'une incarcération de quinze jours ; la justice lUi redoit deux mois et demi, à moins cependant qu'il ne soit jugé innocent.

Mais, dans ce cas, la joie de voir triompher son innocence doit suffire au prévenu ; il y a des. gens cependant qui ne reviennent jamais entièrement sur le compte d'un homme qui a été mis en prison, et croient fermement. que ce n'est pas pour rien.

Mais revenons à ces malheureux si dignes de compassion, aux filous, aux voleurs, aux incendiaires, aux assassins : ces pauvres gens, on les envoie

aux galères ; mais on les conduit ou à pied ou dans des voitures non suspendues ; on les expose à une foule d'avanies sur les grandes routes.

Je ne crois pas qu'on leur donne de parapluies. Il n'est sorte de désagréments auxquels ne les expose le voyage qu'on leur fait faire vers Brest ou vers Toulon. Vous représentez-vous un infortune qui, au malheur d'avoir tué son père, joint celui d'avoir des cors aux pieds ? comprenez-vous tout ce qu'une, chaussure incommode peut ajouter de cruel aux angoisses du remords ? eh bien ! il n'y a pas un seul pédicure attaché au service des chaînes !

Et par un temps de poussière, qui a jamais songé à faire arroser la grande route ?

Tous les Francais sont égaux, dit-on ; il n'est rien de plus faux au monde ; personne n'oserait traiter un citoyen honnête comme on traite un criminel.

Qu'un homme condamné à dix ans de travaux forcés, et doué d'un sentiâ ment instinctif du beau, s'éprenne en allant à Brest d'un beau point de vue, d'un magnifique paysage, on ne lui permettra pas de s'arrêter ni d'en faire le moindre croquis.

• En vain il traversera les pays les plus célèbres par les vins de leur' crû, ou par leurs diverses autres productions.

Il n'y a pas de danger que l'on songe à le mettre à même de juger de la vérité de ces différentes réputations.

Et la honte donc ? Un homme irrité con:re son cousin a cru devoir l'attendre un soir, le hacher en morceaux, et faire de ce collatéral une pâtée qil a donnée à manger aux chats, très bien ; les lois blâment ce procédé et sévissent contre cette manière de pratiquer les relations de famille, on le condamne aux travaux forcés; en admettant pour cause atténuante qu'il avait fait un mauvais rêve la nuit, et que ce rève l'avait disposé défa- vorablement ; que d'ailleurs le cousin avait une couleur de cheveux que le coupable a en horreur, - très bien : on le met à la chalnc, et en route.

Mais si ce malheureux scélérat, ce brigand infortuné est naturellement ti. mide ; s'il lui est désagréable d'être l'objet de la curiosité qui peut bien n'être pas sans malveillance ; si une pudeur, que l'on ne peut qu'approuver et qui est toujours la marque d'un bon sens naturel, lui inspire un profond chagrin de se donner en spectacle ?

On n'aura aucun égard "pour les désagréments qu'il essuiera tout le long de la route.

Mettez-vous cependant à la place des gens : vous êtes un gueux, un voleur, un assassin ; vous avez noyé votre père, chacun a ses petits défauts ;,::>' eh bien ! il n'en est pas pour cela plus amusant d'être exposé à s'entendre traiter légèrement par une foule de gens qui viennent vous voir passer.

C'est cet inconvénient et une fbule d'autres dont on a fini par coiuprendre la nécessité de débarrasser ceux de nos compatriotes qui ont eu c malheur d'enfreindre les lois et de se livrer à quelques monstrueux excès, à quelques horribles forfaits.' ̃ L'homme vertueux a des omnibus pour aller au théâtre où il va pour son agrément, et le criminel va au bagne à pied; on comprend bien que l'on brave la fatigue pour un plaisir, mais pour Ip.s'travaux forcés? Je suis sûr que la plupart des condamnés aimeraient autant n'y pas aller que d'y aller à pied.

Et à combien de rhumes de cerveau ne sont-ils pas ainsi exposés ?

On a le droit de les décapiter, de les conduire aux. galères, selon leur crime; la loi est là, il n'y a rien à dire; mais comme la loi ne les condamne pas à un rhume do cerveau, on n'a pas le droit de les y exposer ; on ne doit pas venir en aide aux rigueurs de la justice pour les exagérer.

Un homme il des difficultés avec son ami, il le jette par la fenélre en -ayant soin de garder sa montre que la chute dérangerait. Dix ans de galères, c'est juste ce que ça vaut ; mais elle ne souffle pas une syllabe du * rhume de cerveau, - donc c'est qu'elle ne pense pas que le coupable l'ait

mérité; donc vous le lui infligez arbitrairement, sans compter qu'en laissant voir - un homme enchaîné entre des gendarmes et se dirigeant vers

un bagne, on risque beaucoup de porter atteinte à sa réputatf considération dont il jouit dans son quartier. ~w ~~)~ Les voitures seront suspendues. Jr ~! ~"< Au moment où les honnêtes gens vont, par la mise en.haines, avoir des landaus à 2 fr. par heure, il serait bie aUuM ne pas songer un peu aux criminels dont on ne s'occu leur être désagréable sous une multitude de rapports. ~t* On trouve généralement les philanthropes tort prétoya incertain, et, à tout prendre, on fait bien d'assurer le s e~~ote t~

tout philanthrope que l'on soit on ignore ce qui peut amvmL^mfâ