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Titre : Journal officiel de la République française. Lois et décrets

Éditeur : Journaux officiels (Paris)

Date d'édition : 1916-09-19

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 19 septembre 1916

Description : 1916/09/19 (A48,N255).

Description : Note : GG14181.

Description : Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Ministères des Affaires étrangères

Description : Collection numérique : Traités, accords et conventions

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IVe République (1946-1958)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6355267q

Source : DILA, 2009-100524

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 31/07/2013

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SOMMAIRE

PARTIE OFFICIELLE

Ministère de l'intérieur.

Décret concernant l'importation, le commerce, la détention et l'usage des substances vénéneuses, notamment l'opium, la morphine et la cocaïne (page 8255).

Ministère de l'instruction publique, des beaux-arts et des inventions intéressant la défense nationale.

ArrCti ouvrant une session do l'examen spécialement institué pour les étudiants étrangers (page 8261).

Ministère des travaux publics.

Décret déclarant urgents des travaux à exécuter à la gire de Sainte-Cécile-d'Andorge (page 8261).

Ministère do la gusrra.

1 CUalions à l'ordre de l'année (page 8261).

Inscriptions aux tableaux spéciaux de la Légion d honneur et de la médaille militaire (page 8207).

Décrétai décision? portant mutations (service d'état-major: armée active) (page 8276).

- portant nominations (corps des interprètes militaires : réserve et armée territoriale) (page 8276).

- portant mutations (service des chemins de fer et des etapes : réserve et armée territoriale) (page 8276).

- portant admis-ion à l'honorariat (infanterie: réserve et armée territoriale) (page 8277).

- partant promotion, nomination et mutations (cavalerie : armée active et réserve) (page 8277).

— portant mutations (gendarmerie: armée territoriale) (page 8277).

- portant promotions (artillerie et train des équipages mili'aires : réserve et armée territoriale) (page 8277).

- portant admission à l'honorariat (cadre auxiliaire du service de l'intendance) (page 8278).

- portant nomination (officier 'administration du service do santé : armée territoriale) (page 8278).

- portant affectations (service des prisonniers de guerre) (page 8278).

— portant promotions et nominations (troupes coloniales) (page 8278).

Liste des officiers ayant satisfait à l'examen d'aptitude pour l'admission au grade d'adjoint à l'intendance (cadre actif) (page 8278).

Ministère da la marine.

Arrêté modifiant l'arrêté du 3 mai 1910 réglementant le fonctionnement du service dans les îlottilles da sous-marins (pagd 8279).

— organisant le service de l'aéronautique maritime (rectificatif) (page 8279).

Décrète portant nominations à des commandements à la mer (page 8279).

— portant admission à la retraite (officier des directions de travaux) (page 8279).

— portant promotions dans la réserve (corps de santé) (p3ge 8279).

Circulaire relative à la suppression de tout versement et de tout rappel d'inscrits maritimes dans l'armée de terre (page 8279j.

Pensions. — Concession de pensions civiles (page 827a).

— Concession de pensions (guerre) (page 8281).

PARTIE NON OFFICIELLE

Communiqués relatifs aux opérations militaires (page 8281).

Sénat. — Ordre du jour. — Convocation do commission (page 8285).

Chambre des députés. — Réponses des ministres aux questions écrites. — Ordre du jour. — Convocation de commissions(page 8285). --Avis, communications et informations.

MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE Avis d'institution de bourses, par la colonie de Madagascar, dans les écoles vétérinaires, en faveur d'orphelins de la guerre (page 8286).

Situation des cultures au 1er septembre des années 1916 et 1915 (page 8288).

MINISTÈRE DES COLOXIES Statistique des chemins de fer des colonies françaises [2e trimestre 1916) (page 8287).

Académie des inscriptions et bellès-lôUfCS (page S297).

- des sciences morales et po'itiques (page 8297).

- française (page 8297).

- des beaux-arts (page 82)7).

- de médecine (page 8297).

Bulletin agricole et commercial (page 82:18).

Annonces (page 8302).

DOCUMENTS ADMINISTRATIFS PUIiUâS BN A55Î3X2S Fouilles 30 et 31 (pour l'édition complète).

Rapportau * Président de la République sur les opérations des sociétés de secours mutuels pendant l'année 1914 (pages 351 à 363 ).

PARTIE OFFICIELLE

BWISTÈBE DE L'INTÉRIEUR

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Paris, le 14 septembre 1916.

Monsieur le Président, Nous avons l'honneur de soumettre à votre haute sanction un décret portant règlement d'administration publique pour l'applic ttion de la loi du 19 juillet 1815, modifiée et complétée par la loi du 12 juillet 1916 concernant l'importation, le commerce, la détention et l'usage des substances vénéneuses, notamment l'opium, la mo-rphine et la cocaïne.

Le commerce des substances vénéneuses est actuellement régi en France par l'ordonnance royale du 29 octobre 1816. Depuis cette époque, la science a évolué : de nouvelles substances toxiques ont été découvertes, les applications dont étaient susceptibles celles déjà connues se sont multipliées, l'éducation scientifique du public qui les emploie s'est développée. La réglementation faite en 1846 n'est plus au point.

D autre part, les circonstances actuelles * rendaient plus nécessaires et plus urgentel


que jamais, des mesures spéciales pour contrôler partout et par tous les moyens, le commerce des stupéfiants et en réprimer les abus avec la dernière énergie. Cvest à cette préoccupation qu'a obéi le Parlement en votant la loi du 12 juillet 1916. Il s'agit d'une question d'intérêt national au premier chef.

Pour répondre au double but à atteindre, une revision et une adaptation de l'ordonnance de 1846 s'imposaient. Cette revision a comme point de départ essentiel, la division des substances vénéneuses en trois catégories, suivant leur degré de toxicité et la rigueur plus ou moins grande des prescriptions à imposer à leur commerce.

Les deux premières catégories comprennent les substances les plus toxiques : ce sont les substances vénéneuses proprement dites. Le plus grand nombre d'entre-clles a été groupé dans le tableau A, pour constituer la première catégorie. Le tableau B ne contient qu'un petit nombre de substances que l'on peut appeler les toxiques stupéfiants et pour lequel un régime particulièrement sévère a été prévu.

La troisième catégorie comprend des substances moins toxiques que les précédentes, mais dont l'emploi peut cependant offrir assez de dangers pour qu'il apparaisse nécessaire d'imposerà leur commerce certaines mesures de précaution. Ce sont les substances dangereuses, qui ont été réunies dans le tableau C.

La réglementation proposée pour les substances du tableau A peut être considérée comme la réglementation de droit commun des substances vénéneuses. Elle comporte deux chapitres, relatifs l'un au commerce des substances vénéneuses destinées aux usages commerciaux, industriels ou agricoles, l'autre au commerce des mêmes substances vénéneuses, lorsqu'elles sont destinées à la médecine humaine et vétérinaire.

L'une des innovations les plus intéressantes du nouveau décret est la réglementation de l'emploi des arsenicaux en agriculture, emploi qu'interdisait l'article 10 de l'ordonnance de 1846, et qui, d'ailleurs, était, peu connu à cette époque. Le développement des applications scientifiques à l'agriculture a montré que les composés arsenicaux étaient des agents destructeurs, et les seuls véritablement actifs, des insectes parasites qui constituent de véritables fléaux. L'emploi des arsenicaux comme insectivores a été préconisé dans divers pays étrangers, notamment en Amérique. Sans doute, cet emploi n'est pas sans danger; mais, tant que l'on ne disposera pas de méthodes plus inoffensives de destruction des insectes parasites, il a paru d'un intérêt économique de premier ordre d'autoriser l'usage des arsenicaux en agriculture,sous la seule réserve de réglementer cet usage et de lui imposer toutes les garanties nécessaires à la sauvegarde de la santé publique.

Trois autres dispositions nouvelles méritent également d'être signalées.

La première vise les vétérinaires. Le présent décret autorise les vétérinaires diplômés à délivrer les médicaments vétérinaires toxiques à ceux de leurs clients qui résident dans des agglomérations dépourvues de pharmacie. L'intérêt de cette mesure de tolérance est considérable dans les campagnes, aujourd'hui surtout que la médecine vétérinaire a pris de si utiles développements, La seconde est relative au renouvellement d'exécution des ordonnances médicales prescrivant des substances vénéneuses. Les textes antérieurs sont muets à cet égard : il a paru qu'il y avait un intérêt général à édicter des règles ne laissant pas place à l'incertitude. Le principe dont s'inspirent les 1 dispositions du décret est, à cet égard, le

suivant : interdiction de renouvellement pour toutes les préparations d'une toxicité élevée, et, au contraire, autorisation de renouvellement pour les médicaments d'usage externe et pour ceux destinés à l'usage interne, lorsque la substance vénéneuse y est amenée par la dilution à une dose telle que sa toxicité devient à peu près nulle. D'une façon générale, l'auteur de la prescription conserve, d'ailleurs, les droits les plus complets.

La troisième enfin vise les médicaments préparés à l'avance et que l'on désigne couramment sous le nom de spécialités. La délivrance de celles de ces spécialités qui renferment des substances vénéneuses a nécessairement été soumise aux formalités prévues pour la délivrance des préparations officinales et magistrales de toxicité équivalente. L'article 26 du décret ne fait que consacrer cette assimilation. Sans détruire le commerce des spécialités, il importait de ne pas le laisser comme une fissure, par laquelle il eut été facile d'échapper aux prescriptions du présent décret.

Les substances du tableau B, ou toxiques stupéfiants, ne sont qu'une catégorie plus dangereuse de l'ensemble des substances visées au tableau A. Elles sont, en conséquence, soumises aux mêmes règles, aggravées par les dispositions spécialement rigoureuses du titre II. L'emploi abusif de l'opium, et surtout celui de la morphine et de la cocaïne, a pris de telles proportions dans ces dernières années que l'opinion publique s'est émue de l'inefficacité de notre législation pour enrayer ce fléau.

L'interdiction absolue de la vente de ces toxiques n'est pas possible; car ce sont, dans certains cas, de merveilleux médicaments rendant les plus grands services à l'art médical; mais il est indispensable, pour empêcher leur emploi illicite, que la circulation et la vente de ces toxiques soient soumises à un contrôle rigoureux, dès leur entrée en France, et assujetties à des formalités qui s'opposent à leur délivrance, autrement que sur le vu d'une prescription médicale visant personnellement, et seulement à une époque donnée, un malade déterminé. Il est à présumer que le texte quo nous avons l'honneur de vous soumettre donnera, sous ce rapport, une juste satisfaction à l'opinion publique et répondra à l'esprit de la législation pénale que vient de voter le Parlement.

Si les règles générales du titre 1er sont aggravées pour les substances du tableau B, elles sont, au contraire, très adoucies pour les substances du tableau C, dont la toxicité est moindre que celle des substances rangées dans les deux précédents tableaux.

Ces règles forment le titre III et ne nécessitent aucune explication spéciale.

Tels sont, monsieur le Président, les points essentiels par lesquels le nouveau décret diffère do la législation actuelle. Il constitue une mise au point devenue nécessaire et urgente. Il répond tant aux développements scientifiques actuels qu'au souci de protéger la santé publique et la race, sans porter atteinte aux nécessités légitimes du commerce, de l'agriculture et de 1 industrie. Nous vous demandons de vouloir bien le revêtir de votre approbation.

Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de notre respectueux dévouement.

Le ministre de Vintérieur, MALVY.

Le garde des sceaux, ministre de la justice, RENÉ VIVIANI.

Le ministre des finances, A. RIBOT.

Le ministre de l'agriculture, JULES MÉLINE.

i.. "-t

Le Président de la République française, j Sur le rapport du ministre de l'intérieur, i du garde des sceaux, ministre de la justice, f du ministre des finances et du ministre dei l'agriculture, i Vu la loi du 21 germinal de l'an XI contenant organisation des écoles de pharmacie ; J.

Vu la loi du 19 juillet 1845, modifiée et complétée par la loi du 12 juillet 1916, con- : cernant l'importation, le commerce, la -;," détention et l'usage des substances véné- neuses, notamment l'opium, la morphines *' et la cocaïne ; Vu l'ordonnance du 29 octobre 1856 ren- < due pour l'exécution de la loi susvisée d'i 19 juillet 1815 et le décret du 8 juillet 1850; 4 Vu la loi du 1er août 1005 sur la répres- ] sion des fraudes dans la vente des mar- J chandises et les falsifications des denrées 4 alimentaires et des produils agricoles, no- l' tamment les articles 2, 4 et 5 : Il

Vu la loi du 25 juin 1908, modifiant les articles 29, 30 et 31 de la loi du 21 germinal de l'an XI et le décret du 5 août 1908 rendu pour l'exécution de cette loi et désignant les autorités qualifiées pour assurer l'application des lois et règlements sur l'exercice de la pharmacie et la répression des fraudes en matière médicamenteuse ; Vu le décret du 1er octobre 1903 portant règlement d'administration publique pour la vente, l'achat et l'emploi de l'opium et de ses extraits ; Vu l'avis du conseil supérieur d'hygiène publique de France ; — _°,,-Vu l'avis de l'académie de médecine ; Vu l'avis du ministre du commerce et de l'industrie ; ensemble l'avis du comité consultatif des arts et manufactures ; Le conseil d'Etat entendu, Décrète : Art. lcr. — Les substances vénéneuses sont, en ce qui concerne l'importation, l'achat, la vente, la détention et l'emploi, soumises à des régimes distincts selon qu'elles sont classées dans les tableaux A, B ou C, annexés au présent décret.

TITRE lef' Substances classées dans le tableau A.

CHAPITRE Ier v , Régime des substances du tableau A lorsqù'elles sont destinées au commerce, à v l'industrie ou à l'agriculture.

Art. 2. — Quiconque veut faire le com-

merce d'une ou de plusieurs des substances classées au tableau A ou exercer une industrie qui en nécessite l'emploi, est tenu d'en faire préalablement la déclaration devant le maire de la commune dans laquelle est situé son établissement ; à Paris et dans le ; ressort de la préfecture de police, la déclaration doit être faite à ladite préfecture.

Elle est inscrite sur un régistre spécial ; récépissé en est donné au déclarant. Elle doit être renouvelée en cas de déplacement ou de cession de l'établissement.

En ce qui concerne les pharmaciens, le ; dépôt du diplôme pour visa tient lieu de déclaration.

Art. 3. — Quiconque détient une ou plu- , sieurs desdites substances, en vue de la ■ vente ou de l'emploi pour un usaee indu.. ;-


triel ou agricole, doit les placer dans des armoires fermées à clef ou dans des locaux où n'ont pas librement accès les personnes étrangères à l'établissement.

Les armoires ou locaux visés au précédent paragraphe peuvent contenir d'autres substances, à l'exclusion de celles destinées à l'alimentation de l'homme ou. des animaux.

Lorsque le détenteur exerce le commerce Ses produits destinés à l'alimentation de 1 homme ou des animaux, aucune communication intérieure directe ne doit exister entre l'établissement et ses dépendances où s'exerce ledit commerce et les locaux où sont détenues des substances vénéneuses.

Celt obligation ne s'applique pas aux pharmaciens ni aux personnes faisant le commerce des solutions titrées de nicotine détenues et délivrées en bidons scellés.

Art. 4. — Il est interdit de détenir en vue de la vente, de vendre, de livrer, d'expédier on de faire circuler ces substances autrement que renfermées dans des enveloppes ou récipients portant inscrit le nom desdites substances, tel qu'il figure dans le tableau annexé au présent décret.

Cette inscription doit être faite en caractères noirs très apparents sur une étiquette rouge orangé, fixée de telle sorte qu'elle ne puisse être involontairement détachée.

L'inscription ci-dessus visée doit être accompagnée de la mention lC Poison » sur une bande de même couleur faisant le tour de l'enveloppe ou du récipient.

Les fûts, vases"ou autres récipients, ainsi que les enveloppes ayant servi à contenir ces substances ne doivent en aucun cas être employés à recevoir des produits destinés à l'alimentation de l'homme ou des animaux.

Art. 5. - Sont interdites la mise en vente et la vente sous forme de tablettes, pastilles, pilules, comprimés et d'une manière générale sous toutes formes usitées pour l'administration des médicaments, desdites substances ou des préparations qui en contiennent. lorsque ces substances ou préparations sont destinées à d'autres usages que celui de la médecine.

Art. 6. — Toute vente desdites substances doitètre inscrite sur un registre spécial, coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police. Les inscriptions sur ce registre sont faites de suite, sans aucun blanc, rature, ni surcharge, au moment même de la livraison ou de l'expédition ; elles indiquent le nom et la quantité des substances vendues, la date de la vente, ainsi que les nom, profession et adresse de l'acheteur.

A chacune des ventes est attribué un numéro d'ordre qui peut s'appliquer à tous les produits compris dans une même livraison. Ce numéro est inscrit, ainsi que le nom et l'adresse du vendeur, sur l'étiquette apposée conformément aux dispositions des deux premiers paragraphes de l'article 4.

Le registre sur lequel sont faites ces inscriptions doit être conservé pendant dix ans, pour être représenté à toute réquisition de l'autorité compétente.

Art, 7. — Aucune vente desdites substances ne peut être consentie qu'au profit d'une personne âgée de dix-huit ans au moins, connue du vendeur ou justifiant de son identité.

Ces substances ne peuvent être délivrées

que contre un reçu daté et signé de l'ache- tour ou de son représentant et mentionnant sa profession et son adresse. Ce reçu peut être remplacé par une commande écrite, datée et signée de l'acheteur ou de son représentant et indiquant sa profession et son adresse.

Si la profession de l'acheteur n'implique pas l'emploi des substances demandées, le reçu ou la commande doit mentionner l'usage auquel ces substances sont destinées. Le reçu ou la commande doit être conservé pendant trois ans par le vendeur pour être représenté à toute réquisition de l'autorité compétente.

Art. 8. -- Lorsqu'elles sont destinées à la destruction des parasites nuisibles à l'agriculture, ces substances ne peuvent être délivrées en nature. Elles doivent être mélangées à des matières odorantes et colorantes, suivant des formules établies par arrêté du ministre de l'agriculture.

Les dispositions des articles 4, 6 et 7 sont applicables à la vente de ces mélanges, qui ne pourront être vendus ou livrés que dans des récipients métalliaues.

Par dérogation aux prescriptions du présent article, lesdites substances peuvent être délivrées en nature, en vue d'expériences scientifiques, sur autorisation spéciale du ministre de l'agriculture. Cette autorisation, valable pour un an, peut être renouvelée

Art. 9. — L'emploi desdites substances, pour la destruction des parasites nuisibles à l'agriculture, est interdit dans les cultures maraîchères et fourragères, ainsi que dans toutes autres cultures pour lesquelles leur emploi n'aura pas été autorisé par arrêté du ministre de l'agriculture. Cet arrêté fixera, pour chaque nature de culture et pour chaque région, les conditions auxquelles l'autorisation sera subordonnée, ainsi que les époques de l'année pendant lesquelles l'emploi desdites substances reste prohibé.

Un arrêté dudit ministre, pris après avis du conseil supérieur d'hygiène publique de France, déterminera les précautions que devront prendre les personnes qui emploieront, par application du présent article, des produits arsenicaux et notamment l'arséniate de plomb.

Art. 10. — Sont interditeslamise envente et la vente desdites substances en vue de leur emploi à la destruction des parasites nuisibles à l'agriculture, dans d'autres conditions que celles fixées à l'article précédent.

Art. 11. — La vente et l'emploi des composés arsenicaux solubles sont interdits pour la destruction des parasites nuisibles à l'agriculture, ainsi que pour la destruction des mouches.

La vente et l'emploi de produits contenant de l'arsenic, du plomb ou du mercure sont interdits pour le chaulage des grains, pour l'embaumement des cadavres, ainsi que pour la destruction des mauvaises herbes dans les allées des jardins, dans les cours et les terrains de sports.

Art. 12. — Les substances visées au présent titre ne peuvent être délivrées en nature lorsqu'elles sont destinées à la destruction des sauterelles, des rongeurs, des taupes et des bêtes fauves. Elles doivent être mélangées à dix fois au moine leur

poids de substances inertes et insolubles, puis additionnées d'une matière colorante intense, noire, verte ou bleue.

Par dérogation à l'article 2, la vente de ces mélanges est interdite à quiconque n'est pas pourvu du diplôme de pharmacien.

Art. 13. — La vente de la picrotoxine, de la coque du Levant et de ses préparations est interdite pour tout autre usage que celui de la médecine.

En conséquence, la vente de ces produits est interdite à quiconque n'est pas pourvu du diplôme do pharmacien.

Art. 14. — Les dispositions de l'article 4 sont applicables aux teintures et lotions pour cheveux, fards, cosmétiques, dépilatoires et produits.de toilette préparés avec des substances du tableau A.

La vente desdites compositions renfermant de l'arsenic, du mercure ou du plomb est interdite à quiconque n'est pas pourvu du diplôme de pharmacien.

Art. lô. — Il n'est point dérogé aux dispositions du décret du 19 juillet 1393 pris en exécution de la loi du 16 avril précédent sur la vente du phosphore.

CHAPITRE II

Régime des substances dit tableau A lorsquelles sont destinées à la médecine humaine ou vétérinaire.

Art. 16. — Les substances du tableau A ne peuvent être délivrées sous une forme quelconque : 1° Pour l'usage de la médecine humaine, que par les pharmaciens ou par les médecins légalement autorisés à fournir des médicaments à leurs clients ; 2° Pour l'usage de la médecine vétérinaire, que par les pharmaciens et, sous les réserves prévues à l'article suivant, par les vétérinaires diplômés.

Art. 17. — Les vétérinaires sont autorisés à détenir, pour l'usage de la médecine vétérinaire, lesdites substances.

Sans avoir le droit de tenir une officine ouverte, ils sont autorisés à' délivrer ces substances à leurs clients lorsque ceux-ci résident dans des communes ou agglomérations dépourvues de pharmacie. Dans les autres communes, ils ne jouissent de la même faculté que dans les cas où l'administration desdites substances est faite pat eux-mmcs aux animaux.

Art. 18. — Les pharmaciens, les médecins et vétérinaires sont soumis aux conditions prescrites par les articles 3 et 4 en ce qui concerne la détention desdites substances.

Toutefois, il leur est interdit de détenir dans les armoires visées à l'article 3 d'autres substances que celles mentionnées aux tableaux A et B.

Art. 19. — Les pharmaciens ne peuvent délivrer lesdites substances, pour l'usage de la médecine humaine ou vétérinaire, que sur la prescription d'un médecin ou d'un vétérinaire.

Toutefois, ils peuvent délivrer, sur 1?

prescription d'un chirurgien-dentiste ou d'une sage-femme diplômée, ('.elles desdites substances dont la liste sera fixée par arrêté du ministre de l'intérieur.

Art. 20. — L'auteur de la prescription es' tenu, sous les sanctions prévues par la lo du 19 juillet 1845, de la dater, de la signei et de mentionner lisiblement son nom e.


on adresse, d'énoncer en toutes lettres les doses des substances vénéneuses prescrites et d'indiquer le mode d'administration du médicament. Art. 21. — Les pharmaciens peuvent renouveler l'exécution des ordonnances prescrivant des substances du tableau A, sous les réserves indiquées ci-après : Ne peut être renouvelée, ni par le pharmacien qui y à procédé pour la première fois, ni par tout autre pharmacien, l'exécution des ordonnances sur lesquelles l'auteur de la prescription a mentionné l'interdiction du renouvellement.

Ne peuvent être exécutées à nouveau, à moins d'indication contraire de l'auteur de la prescription: 1° Les ordonnances prescrivant lesdites substances, soit en nature, soit sous forme de solutions destinées à des injections souscutanées ; 2° Les ordonnances prescrivant, sous forme de préparations destinées à être absorbées par la voie stomacale, et quelle qu'en soit la dose, les cyanures de mercure ou de potassium, l'aconitine ou ses sels, la digitaline, la strophantine, la vératrine ou ses sels; 3° Les ordonnances prescrivant, sous forme de préparations destinées à être absorbées par la voie stomacale, et à une dose supérieure à celle indiquée dans le codex comme, dose maximum pour vingt-quatre heures, des substances du tableau A autres que celles désignées au précédent paragraphe.

Toutefois, les pharmaciens peuvent renouveler les ordonnances ne portant pas de mention spéciale et prescrivant en nature, mais à dose n'excédant pas 5 grammes, le laudanum ou la teinture de noix vomique.

Art. 22. — Les pharmaciens doivent inscrire les ordonnances prescrivant lesdites substances sur un registre spécial de vente tenu dans les conditions fixées par l'article 6 du présent décret. Ils sont soumis aux mêmes obligations en ce qui concerne les livraisons de médicaments qu'ils sont autorisés à faire dans les conditions prévues aux articles 27 et 28.

Toutefois, pour les ventes sur ordonnances, ils ne sont pas obligés d'inscrire le nom de l'acheteur, mais ils doivent mentionner le nom et l'adresse de l'auteur de la prescprîption.

Les renouvellements d'une même ordonnance doivent être mentionnés sur le registre, le jour de chaque renouvellement, sous un nouveau numéro d'ordre. Cette inscription peut consister en la seule indication du numéro sous lequel l'ordonnance a été primitivement inscrite.

Les pharmaciens sont autorisés à transcrire dans les mêmes conditions sur leur registre spécial de vente les ordonnances médicales qui ne comportent pas la délivrance de substances vénéneuses.

Ils ne doivent rendre les ordonnances prescrivant des substances visées au présent titre, que revêtues du timbre de leur officine après y avoir indiqué le numéro sous lequel la prescription a été inscrite au registre de vente, ainsi que la date de cette inscription.

Ils sont tenus de conserver l'ordonnance lorsque, par application des dispositions de l'article 21, celle-ci ne peut être renouvelée.

Lorsqu'ils conservent l'ordonnance, ils doivent en remettre à l'intéressé une copie intégrale datée et signée par eux, portant le timbre de leur officine et mentionnant le numéro sous lequel la prescription est inscrite à leur registre.

Les ordonnances retenues par les pharmaciens doivent être conservées par eux pendant trois ans pour être représentées à toute réquisition de l'autorité compétente. 1 Art. 23. — Les pharmaciens doivent apposer sur tout récipient contenant un médicament délivré par eux une étiquette indiquant, avec leur nom et leur adresse, le numéro d'ordre sous lequel la prescription est inscrite sur leur registre.

Cette étiquette est de couleur rouge orangé, quand il s'agit des substances du tableau A délivrées en nature ou de préparations contenant lesdites substances et destinées soit à l'usage externe, soit à être employées en injections.

Cette étiquette porte la mention « Toxique : ne pas dépasser la dose prescrite», lorsque la substance vénéneuse, délivrée en nature, doit être absorbée par la voie stomacale, et la mention «Poison », lorsque la préparation est destinée à l'usage externe ou à des injections.

Les pharmaciens doivent, en outre, apposer sur les récipients une seconde étiquette de couleur rouge orangé portant, selon les cas, les mots « pour l'usage externe » ou « solution pour injections ».

Lorsqu'il s'agit de médicaments destinés à la médecine vétérinaire, l'étiquette rouge orangé doit porter la mention « Médicament vétérinaire. — Poison ».

Art. 24. — Les médecins autorisés à délivrer les médicaments sont soumis aux obligations imposées aux pharmaciens par les premier, deuxième et troisième paragraphes de l'article 22 et par l'article 23.

Lorsque les médicaments qu'ils délivrent sont prescrits par eux-mêmes, ils sont tenus de remettre au malade une ordonnance rédigée conformément aux dispositions de l'article 20.

Ils doivent indiquer, sur ladite ordonnance, le numéro sous lequel la prescription a été inscrite au registre de vente.

Art. 25. — Les vétérinaires autorisés à délivrer des médicaments dans les conditions prévues à l'article 17 sont assujettis aux obligations imposées aux pharmaciens par les premier et troisième paragraphes de l'article 22 et par les premier, deuxième et cinquième paragraphes de l'article 23. Ils doivent, en outre, mentionner sur leur registre le nom et l'adresse du client auquel la vente est faite.

Lorsque les médicaments qu'ils prescrivent sont délivrés par eux-mêmes à leurs clients, ils doivent, en outre, leur remettre une ordonnance rédigée conformément aux dispositions de l'article 20.

Art. 26. — Lorsque des médicaments destinés à la médecine humaine ou vétérinaire et renfermant une ou plusieurs des substances visées au présent titre, sont préparés et divisés à l'avance en vue de la vente au public, les enveloppes et récipients qui renferment ces médicaments doivent être revêtus d'une étiquette indiquant le nom desdites substances, tel qu'il figure au tableau A, ainsi que la dose, en toutes lettres,

de chàcune de ces substances contenue dans 100 grammes de la préparation.

A l'exception des prescriptions de l'article 18, toutes les dispositions qui précèdent sont applicables au commerce desdites préparations: Toutefois, lorsque le nom et l'adresse dti pharmacien par qui la préparation a été faite se trouvent indiqués sur l'enveloppe j ou récipient contenant ladite préparation, celui qui la délivre est dispensé d'y apposer l'étiquette prévue au premier paragraphe de l'article 23. 1 Art. 27. Les pharmaciens peuvent dé- \1 livrer aux médecins et aux vétérinaires, sur i leur demande écrite, datée et signée, lès 1 substances visées au présent titre et des- j tinées à être employées par eux, soit dans les cas d'urgence, soit pour des opérations, ; pansements ou injections.

Ces médicaments doivent être employés J par les praticiens eux-mêmes ; il leur est interdit de les céder à leurs clients, à titre ; onéreux ou gratuit.

Ces substances ne peuvent être délivrées que sous la forme pharmaceutique compatible avec leur emploi médical. 4 L'auteur de la demande doit indiquer 1 lisiblement son nom et son adresse et énoncer en toutes lettres les doses des substances vénéneuses entrant dans les t préparations.

Les prescriptions de l'article 23 sont applicables aux médicaments délivrés dans < les conditions visées au présent article.

Art. 28. — Un arrêté du ministre de l'intérieur énumérera les substances vénéneuses que les pharmaciens peuvent délivrer dans les conditions fixées par l'article précédent, aux chirurgiens-dentistes 1 et aux sages-femmes pour l'exercice de leur profession. v Art. 29. — Les dispositions du présent * chapitre ne sont pas applicables aux préparations médicameuteuses renfermant des substances du tableau A à des doses trop faibles pour que lesdites préparations puissent être soumises à la présente réglementation.

Ces doses seront fixées, pour chacune de ces substances, par arrêté du ministre de l'intérieur, pris sur l'avis du conseil supérieur d'hygiène publique de France. Cet arrêté sera inséré au Codex.

TITRE II Substances classées dans le tableau B Art. 30. — Les articles qui précèdent sont applicables à l'importation, à l'achat, à la vente, à la détention et à l'emploi des substances classées dans le tableau B, en tant que leurs dispositions ne sont pas contraires à celles du présent titre. 1 Art. 31. — Les importateurs et les producteurs indigènes des substances classées dans le tableau B, les chimistes, les industriels et les commissionnaires en marchandises qui veulent faire le commerce desdites substances, ou les transformer en vue * de la vente, doivent en faire une déclaration spéciale dans les conditione prévues à l'article 2.

Il est interdit à quiconque n'a pas fait cette déclaration spéciale d'importer, d'exporter, de détenir en vue de la vente, de délivrer, de vendre ou de transformer le* substances inscrites au tableau B.


Il est également interdit à quiconque n'a pas fait cette déclaration d'acheter ou de se faire délivrer ces substances autrement que sur la prescription d'un médecin, d'un vétérinaire, d'un chirurgien-dentiste ou d'une sage-femme dans les conditions fixées au présent décret.

Toutefois, cette dernière interdiction n'est Pas applicable aux laboratoires et établissements désignés, après avis du conseil supérieur d'hygiène publique de France, par des arrêtés du ministre de l'intérieur qui détermineront, en même temps que les conditions dans lesquelles lesdites substances pourront être remises à ces laboratoires et établissements, les quantités maxima qu'ils seront autorisés à se faire livrer.

Art. 32. - Tout achat ou toute cession, même à titre gratuit, desdites substances, doit être inscrit sur un registre spécial aux substances du tableau B, coté et paraphé Par le maire ou le commissaire de police.

L'autorité qui vise ce registre spécial doit se faire représenterle récépissé de la déclaration f iit,-, par l'intéressé. Elle mentionne, sur la première page dudit registre, la date à laquelle cette déclaration a été effectuée.

Les inscriptions sur le registre sont faites sans aucun blanc, rature ni surcharge, au moment même de l'achat ou de la réception, de la vente ou de la livraison. Elles indiquent le nom desditcs substances, tel qu'il figure au tableau Jï, leur quantité, les nom, profession et adresse soit de l'acheteur, soit du vendeur, ainsi que le numéro donné par ce dernier au produit livré.

• A chacune des opérations est attribué un numéro d'ordre qui peut s'appliquer à tous les produits compris dans une même réception ou livraison.

Les dispositions du présent article sont imposées à quiconque est autorisé à acheter ou à vendre les iites substances dans les conditions fixées à l'article précédent, notamment aux pharmaciens, médecins et vétérinaires, aux importateurs et aux exportateurs, aux producteurs indigènes pour leurs ventes, ainsi qu'aux commissionnaires en marchandises.

Toutefois, les pharmaciens sont autorisés, pour les ventes sur ordonnance, à n'inscrire ': ue chaque mois, sur le registre spécial, le i élevé totalisé des quantités dèsdites substances qui figurent, pour ledit mois, au registre de vente prévu par l'article 22 et sur lequel ils doivent alors inscrire le nom et l'adresse des personnes auxquelles ils ont délivré ces substances.

Art. 33. — Les importateurs sont tenus de prendre au bureau de douane par lequel doit avoir lieu l'introduction un acquit-àcaution indiquant les quantités importées de chacune desdites substances, ainsi que le nom et l'adresse du ou des destinaï* taires.

Cet acquit-a-caution, dont la délivrance est subordonnée à la production du récépissé délivré au ou aux destinataires en vertu des articles 2 et 31, doit être rapporté dans un délai d'un mois, revêtu d'un certificat de décharge de l'autorité municipale du lieu de résidence du ou des destinataires.

Les exportateurs sont tenus, pour toute expédition à l'étranger, de prendre au bureau de douane un certificat d'exportation.

Les certificats doivent mentionner la nature des préparations exportées et indiquer

la quantité de chacune des substances du tableau B qu'elles renferment. Ces certificats doivent être conservés pendant trois ans par le vendeur pour être représentés à toute réquisition de l'autorité compétente.

Art. 34. — Les industriels qui emploient ces substances pour en extraire les alcaloïdes, et les pharmaciens qui les traitent en vue du même usage ou pour les transformer en produits pharmaceutiques, sont tenus, après avoir indiqué ces opérations sur le registre spécial prévu à l'article 32, d'inscrire, à la suite des quantités employées.

celles que renferment les produits résultant de la transformation.

Décharge de la différence est donnée sur ce registre par l'inspecteur institué par l'article 2 du décret du 5 août 1908, si le déficit lui paraît résulter normalement des transformations ou manipulations déclarées.

Art. 35. — Le registre prévu à l'article 32 doit être conservé pendant dix années pour être représenté à toute réquisition de l'autorité compétente.

Le vendeur n'est exonéré des quantités reçues que dans la mesure soit des ventes par lui eflectuées et inscrites audit registre, soit de la décharge donnée dans les conditions de l'article précédent.

Art. '3G. — Ces substances no peuvent cirmorphine ou de cocaïne.

Art. 39. — Il est interdit aux médecins de rédiger et aux pharmaciens d'exécuter des ordonnances prescrivant, pour une période supérieure à sept jours, les substances du tableau B, lorsque la composition des préparations prescrites correspond aux conditions d'interdiction édictées par l'article précédent.

Art. 40. — Les pharmaciens peuvent délivrer aux médecins, aux vétérinaires, aux chirurgiens-dentistes et aux sages-femmes les substances du tableau B nécessaires à l'exercice de leur profession, dans les conditions et sous les réserves fixées aux articles 27 et 28.

Les pharmaciens ne peuvent délivrer ces substances qu'à des praticiens domiciliés dans la commune ou dans des communes contiguës, lorsque celles-ci sont dépourvues d'officine.

Il est interdit aux pharmaciens de délivrer à ces praticiens aucune de ces substances en nature.

Les pharmaciens doivent conserver pendant trois ans, pour être représentées à toute réquisition de l'autorité compétente, les demandes émanant des médecins, des vétérinaires, des chirurgiens-dentistes et des sages-femmes et en adresser un relevé, à la fin de chaque trimestre, au préfet de leur département. TITRE III

Substances classées dans le tableau C.

Art. 41. — Quiconque détient, en vue de la vente, des substances inscrites au ta bleau C, est tenu de les placer dans ses magasins de manière qu'elles soient séparées des substances non dangereuses et notamment des produits destinés à l'alimentation de l'homme ou des animaux.

Lesdites substances doivent être renferculer, être importées ou exportées que si les enveloppes ou récipients qui les renferment portent, en omre des inscriptions

prescrites à l'article 4, l'indication de Ii quantité desdites substances ainsi que les noms et adresses de l'expéditeur et du destinataire.

Le détenteur de ces substances doit leconserver dans des armoires fermées à clef Ces armoires ne peuvent contenir d'autres substances que celles qui figurent au tableaux A et B. Toute quantité trouvée en dehors desdites armoires sera saisie.

Art. 37. - Exception faite pour la déli.' vrance sur ofdonnance, il est interdit de vendre ou de délivrer lesdites substances; quiconque ne justifie pas qu'il a satisfai aux conditions de l'article 31.

Lesdites substances ne peuvent, être délivrées que contre une commande écrite, datée et signée de l'acheteur ou de son re présentant, indiquant son nom, sa profession et son adresse et énonçant, en toute!

lettres, la quantité de la substance demandée.

La commande doit être conservée pendant trois ans par le vendeur, pour être repré sentée à toute réquisition de l'autorité compétente.

Les dispositions du paragraphe premier du présent article sont applicables en cas do vente ou de cession desdites substances après saisie par l'autorité publique ou à la requête des créanciers.

Art. 38. — Il est interdit aux pharmaciens de renouveler aucune ordonnance prescrivant des substances du tableau B, soit er nature, soit sous forme de solutions destinées à des injections sous-cutanées.

La même interdiction s'applique aux ordonnances prescrivant des poudres composées à base de éocaïne ou de ses sels et de ses dérivés et renfermant ces substances dans une proportion égale ou supérieure au centième, ainsi qu'aux ordonnances prescrivant des préparations destinées à Ü! re absorbées par la voie stomacale et contenant, à une dose quelconque, des substances du tableau B.

Par dérogation à cette dernière disposition, peuvent être renouvelées les ordonnances prescrivant des préparations destinées à être absorbées par la voie stomacale et ne contenant pas plus de 12centigrammes d'extrait d'opium, ni plus de 3centigrammes de hlorhydrates de morphine, de diacetylmées dans des récipients ou enveloppes portant une inscription indiquant le nom de la substance, tel qu'il figure au tableau annexé, et entourés d'une bande de couleur verte avec le mot « Dangereux » inscrit en caractères très apparents.

Ces substances ne peuvent être délivrées aux acheteurs que contenues dans des récipients ou enveloppes portant, outre le nom de la substance, le nom et l'adresse du vendeur, et entourés de la bande verte mentionnée dans le précédent paragraphe.

Art. 42. — Lesuites substances ne peuvent être délivrées pour l'usage de la médecine humaine ou vétérinaire que dans les conditions prescrites aux articles lG et 17.

Elles ne seront délivrées que dans des récipients portant une étiquette mentionnant le nom et l'adresse du vendeur et indiquant le nom de la substance ou sa composition; cette dernière indication peut être remplacée par le numéro d'inscription au registre de vente.

Art. 43. — Lorsque les pharmaciens et


médecins délivrent, en nature, pour l'usage interne, des substances du tableauC, ils doivent apposer sur chaque enveloppe ou récipient renfermant lesdites substances une étiquette de couleur verte portant les mots « A employer avec précaution ».

Lorsqu'ils délivrent ces substances sous forme de préparations destinées soit à l'usage externe, soit à être employées en injections, ils doivent apposer sur les enveloppes ou récipients renfermant lesdites préparations une étiquette de couleur verte portant le mot « Dangereux » avec la mention « Pour usage e.rterne » ou « Solution pour injections » suivant le cas.

Lorsque les pharmaciens ou les vétérinaires délivrent lesdites substances pour la médecine vétérinaire soit en nature, soit sous forme de préparations, ils doivent apposer sur les enveloppes ou récipients une étiquette de couleur verte portant l'inscription « J.lédicamcnt vétérinaite, - Dangereux. »

Ces dispositions sont applicables au commerce des médicaments préparés et divisés à l'avance en vue de la vente au public et renfermant des substances du tableau C.

Art. 44. — Les teintures et lotions pour cheveux, les fards, cosmétiques et produits de toilette préparés avec des substances du tableau C ne peuvent être détenus en vue de li vente, mis en vente ou vendus que dans des récipients portant une étiquette indiquant le nom desdites substances entrant dans leur composition et revêtus, en outre, de la bande de couleur verte avec le mot « Dangereux » prévue à l'article précédent.

TITRE IV Dispositions générales.

Art. 45. — Concurremment avéc les inspecteurs chargés de procéder aux visites prescrites par les articles 29, 30 et 31 de la loi du 21 germinal an XI, modifiés par la loi du 25 juin 1908, les maires et les commissaires de police doivent veiller à l'exécution des dispositions qui précèdent.

Ils ont qualité pour visiter, avec l'assistance de l'inspecteur institué par l'article 2 du décret du 5 août 1908, ou, en cas d'empêchement de celui-ci, avec le concours d'un pharmacien désigné par le préfet, les officines des pharmaciens, les dépôts de médicaments tenus par les médecins et les vétérinaires, ainsi que les entrepôts et magasins des droguistes et des commissionnaires en marchandises trafiquant de ces substances, les laboratoires où elles sont traitées pour en extraire les alcaloïdes ou pour les transformer en préparations' pharmaceutiques, les magasins des herboristes et épiciers, des coiffeurs et parfumeurs et, d'une !açon générale, conformément à la loi du 25 juin 1908, tous les lieux où sont fabriqués, entreposés ou mis en vente des produits médicamenteux ou hygiéniques.

Art. 46. — L'autorité qui procède à l'inspection exige la production du récépissé de la déclaration qui a dû être faite en exécution de l'article 2 ou, s'il y a lieu, de l'article 31 du présent décret. Si cette justification n'est pas apportée, les produits trouvés en contravention sont saisis, et si, parmi eux, la présence d'une ou plusieurs substances du tableau B est constatée, la fermeture de l'établissement est ordonnée par le préfet.

Si la déclaration est produite, l'autorité qui procède à la visite s'assure que les registres prescrits' sont régulièrement tenus et que leurs énonciations concordent avec les quantités existantes.

Dans le cas d'infractions pouvant entraîner l'application des peines prévues à l'article 1er de la loi du 19 juillet 1845, modifiée et complétée par la loi du 12 juillet 1916, procès-verbal est dressé des constatations et opérations effectuées. Ce procès-verbal est transmis sans délai au procureur de la République, par l'autorité qui a procédé aux constatations; copie dudit acte est adressée par elle au préfet.

Art. 47. — A dater de la publication de chacun des arrêtés prévus à l'article 29 uzi délai de six mois, en ce qui concerne l'article 23 et le dernier paragraphe de l'article 43, est accordé aux intéressés pour se conformer aux prescriptions desdits articles.

Art. 48. — Sont abrogés l'ordonnance du 29 octobre 1846, le décret du 1er octobre 1908 et, généralement, toutes dispositions contraires au présent décret rendues en exécution de la loi du 19 juillet 1845.

Art. 49. — Le ministre de l'intérieur, le garde des sceaux, ministre de la justice, le ministre des finances et le ministre de l'agriculture sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret qui sera, publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 14 septembre 1916.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, MALVY.

Le garde des sceaux, ministre de la justice, RENÉ VIVIAKI.

Le ministre des finances, A. RIBOT.

Le ministre de l'agticulturc, JULES MÉLINE,

TABLEAU A Acide arsénieux et acide arsénique.

Acide cyanhydrique.

Aconit (ieuille, racine extrait et teinture).

Aconitine et ses sels.

Adrénaline.

Apomorphine et ses sels.

Arècoline et ses sels.

Arséniates et arsénites.

Atropine et ses sels.

Bains arsenicaux.

Belladone (feuille, racine, poudre et extrait).

Benzoate de mercure, Bichlorure de mercure.

Biiodure de mercure.

Bromoforme.

Brucinè et ses sels.

Cantharides entières, poudre et teinture.

Cantharidine et ses sels.

Chloroforme. *

Ciguô (fruit, poudre et extrait).

Codéine et ses sels.

Colchicine et ses sels.

Colchique (semence et extrait).

Conine et ses sels.

Coque du Levant.

Curare et curarine.

Cyanures métalliques.

Digitale (feuille, poudre et extrait).

Digitaline.

Duboisine et ses sels.

Emétique.

Ergotinine.

Ergot de seigle.

Esérine et ses sels.

Extrait d'ergot de seigle (ergotine).

Extrait tluide d'ergot de seigle.

Fèves de Saint-Ignace.

Gouttes amères de Baumé.

Gouttes noires anglaises.

Homatropine et ses sels.

Huile de croton.

Huile phosphorée.

, Hydrastine.

Hydrastinine et ses sels.

Ilyoscyamine et ses sels.

Juniperus phœnicea (feuille, poudre, essence), Jusquiame (feuille, poudre et extrait).

Laudanum de Sydenham.

Laudanum de Rousseau.

Liqueur de Fowler.

Nicotine et ses sels.

Nitrates de mercure.

Nitroglycérine.

Noix vomique 'poudre, extrait et teinture).

Oxydes de mercure.

Paquets de sublimé corrosif.

Pavot, papaver somniferum (capsules sèchesl.

Phosphore.

Phosphure de calcium.

Phosphure de zinc.

Picrotoxine.

Pilocarpine et ses sels.

Rue (feuille, poudre et essence).

Sabine (feuille, poudre et essence).

Santonine.

Scopolamine et ses sels. •••—•— •*' Stovaïne.

Stramoine (feuille, poudre et extrait).

Stroplianthme et ses sels.

Strophanthus (semence, extrait et teinture).

Strychnine et ses sels.

Sulfures d'arsenic.

Teinture d'opium.

Topiques à l'huile de croton.

Vératrine et ses sels.

TABLEAU B Opium brut et officinal.

Extraits d'opium.

Morphine et ses sels.

Diacetylmorpbine et ses sels.

Alcaloïdes de l'opium (à l'exception de la eo-" déine), leurs sels et leurs dérivés.

Cocaïne, ses sels et ses dérivés, Haschih'et ses préparations.

TABLEAU C.

Acétates ùe plomb cristallisés et préparations qui les contiennent.

Acétate (Sous-) de'plomb liquide.

Acide acétique cristallisable.

Acide chlorhydrique.

Acide chromique.

Acide nitrique.

Acide oxalique.

Acide sulfurique.

Acide sulfurique alcoolisé cau do Rabel).

Alcoolature d'aconit.

Amidophénbl.

Ammoniaque: Amidorésorcine.

Brome.

Carbonate de plomb et préparations qui 14 contiennent.

Caustique au chlorure d'antimoine.

Caustique au chlorure de zinc (pâte de Canquoin ).

Caustique de potasse et de chaux (poudre de Vienne).

Chloral hydraté.

Chlorure d'antimoine.

Chlorure de zinc et la solution du Codex.

Composés organiques de l'arsenic.

Crésylol et crésylate de soude.

Diamidophénol.

Diamidorésorcine.

Eau distillée de laurier-cerise.

Eau de cuivre.

Essence de moutarde.

Formaldéhyde (formol).

Huile de foie de morue phosphorée.

Huile grise.

Hvdroquinone.

Iode et teinture d'iode.

loduredeplomb.

Lessives de potasse ou de soude.

Liqueur de Van Swieten.

Liqueur de Villatte.

Nitrate d'argent cristallisé et fonda et préparé tions qui le contiennent. - ■<» Nitrate de plomb et préparations qui le eo, tiennent.

! Nitrite d'amyle.


Nitroprussiates.

Oxaiates de potassium.

Papier au sublimé.

Pâtes phosphorées.

Pelletiérine et ses sels.

Phénol et phénates,

Phénylène-diamine (méta et para) et préparations qui les contiennent.

Pommade au sublimé corrosif.

Pommades à l'oxyde de mercure.

Potasse caustique.

l'rotochlorure de mercure (calomel ou précipité blanci Protoiodure de mercure.

Pyridine.

Pyrogallol.

Siccharino.

Veille (poudre, extrait et teinture).

lrOp d'aconit.

S rop de belladone.

rop de biiodure de mercure on de Gibert.

irop de digitale.

rop de morphine.

lr°P d'opium.

volute de peptonate de mercure (Codex).

houde caustique.

2Ulfate de mercure.

►u fate de spartéine.

Ulfate de zinc.

Sulfure de mercure et préparations qui le contiennent.

Sulfocyanure de mercure.

Teinture de belladone.

Teinture de colchique.

Teinîure de digitaie.

Teinture de jusquiame.

Tétrachlorure de carbone.

MINISTÈRE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE, DES BEAUX-ARTS ET DES INVENTIONS INTÉRESSANT LA DÉFENSE NATIONALE Le ministre de l'instruction publique, des beaux-arts et des inventions intéressant la défense nationale, Vu l'arrêté du 5 janvier 1912: Vu l'arrêté du 22 juin 1915, Arrête : Art. 1er. — Une session de l'examen institué spécialement pour les étudiants de nationalité étrangère originaires de pays où l'enseignement secondaire n'est pas organisé de faon équivalente à l'enseignement secondaire français, et qui demandent à s'inscrire dans les facultés ou écoles d'enseignement supérieur, s'ouvrira au Fiègo de chaque faculté le lundi 6 novembre 1916.

Art. 2. — Les recteurs sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Paris, le 18 septembre 1916.

PAUL PAINLEVÉ.

HIMISTÈRE DES TRAVAUX PU Bues Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des travaux publics,

Vu l'article 2 de la loi du 23 mai 1915, tendant à faciliter l'exécution des travaux publics pendant la durée des hostilités ; Vu la loi du 18 avril 1904, déclarant d'utilité publique, à titre d'intérêt général, l'établissement du chemin de fer de Florac à Sainte-Cécile-d'Andorge ; Vu la décision ministérielle du 26 janvier 1916, qui a approuvé le projet présenté par la compagnie P. -L. -M. , en vue de l'exécution, par la compagnie des chemins de fer départementaux de divers travaux complémentaires reconnus nécessaires pour l'assainissement de la tranchée de gauche

de la gare de Sainte-Cécile-d'Andorge com- mune aux deux compagnies, Décrète: Art. 1er. — Sont déclarés urgents les travaux à exécuter pour l'agrandissement et la consolidation de la tranchée de gauche de la gare de Sainte-Cécile-d'Andorge.

Art. 2. — Le ministre des travaux publics est chargé d'assurer l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 4 septembre 1916.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des travaux publics, M. SEMBAT.

MINISTÈRE DE LA GUERRE

Citations à l'ordre de l'armée.

Les militaires dont les noms suivent sont cités à l'ordre de l'armée : LA 3e SECTION DE LA 101, COMPAGNIE du 415e rég. d'infanterie (adjudant CULIOLI, chef de section) : le 16 mai 1916, occupant une partie de la tranchée prise peu de jours avant à l'ennemi, a supporté avec la plus grande abnégation le tir meurtrier de l'artillerie allemande.

Successivement les hommes qui la constituaient ont remplacé aux postes de surveillance les camarades qui tombaient et n'ont quitté le position qu'après relève et sur l'ordr#1 du commandant de la compagnie, à qui les quatre seuls restants ont répondu : « Nous tenons".

VILLETORTE (Gaston), lieutenant au 34e rég.

d'infanterie : officier particulièrement brave, d'un sang-froid imperturbable, ayant un grand ascendant sur ses hommes. Le 25 mai 1916, est tombé glorieusement au milieu de sa compagnie, frappé d'une balle à la tète, pendant qu'il faisait le coup de feu pour repousser une attaque ennemie.

BORDES (Joseph), aumônier au 34e rég. d'infanterie : aumônier volontaire au régiment.

N'a cessé pendant trois jours et trois nuits sous un bombardement continu et d'une extrême violence, de se prodiguer auprès des blessés de première ligne. A donné à tous un exemple admirable de dévouement et de mépris du danger.

A été grièvement blessé.

REY (Lucien-Jean-Léon), aspirant au 34e rég.

d'infanterie, mie 9907 : chef de section possédant au plus haut degré le sentiment du devoir. A été tué à la tête de sa section qu'il entraînait à l'assaut, donnant un bel exemple de courage et de valeur militaire.

BIARNÈS (Georges-Paul-Henry-Laurent), mie 616J,sergentau3icrég.d'infanterie : sous-officier très brave, d'une rare énergie. Très grièvement blessé au cours d'une contre-attaque ennemie, s'est traîné jusqu'au poste de son chef de bataillon, à qui il a rendu compte de la situation avec le plus grand sang-froid. Est mort des suites de ses blessures.

DUVIGNAC (Jean-Victor), mie 3977, caporal au 34e rég. d'infanterie: son tireur ayant été tué, a pris sa place sur sa pièce et a continué le tir. A été blessé grièvement. Déjà blessé deux fois, le 29 août 1914 et le 14 septembre 1914.

LEMBEYE(Jean), mie 6054, soldat au 34* rég.

d'infanterie : blessé grièvement au cours d'une attaque allemande a continué à servir sa pièce, n'a consenti à être évacué que sur l'ordre de son chef de section et après que l'attaque allemande avait été repoussée.

ROIRET (Jean-Baptiste), mie 02206, soldat au 34e rég. d'infanterie : blessé mortellement en servant sa pièce, s'est écrié : Cr Vengez la France et en avant ! ». Avait déjà été blessé le 7 décembre 1914 et le 25 janvier 1915.

MASSALY (Jean), lieutenant au 49e rég. d'ina fanterie : commandant de compagnie énergique et résolu, a fait preuve au cours d uno attaque allemande du plus grand courage et du plus grand sang-froid, en se p:-:rla.nt aux endroits les plus dangereux pour encourager ses hommes. A été mortellement frappe d'une balle au front.

PICHON (Georges), lieutenant au 49e rég.d'infanterie : excellent commandante compagnie, homme de cœur et de devoir qui s'est dépensa sans compter depuis le commencement de la campagne. Toujours là où était le danger pour encourageretexcitcrsos sous-ordres. l'rús brave, très courageux. Pendant les journées des 23, 24 et 25 mai 1916, a été l'àme de sa compagnie pendant la crise. S'est fait tuer bravement en faisant lui-même la reconnaissance de la ligae ennemie.

DUnQCET (Paun. sous-lieutenant au 49e rég.

d'infanterie : modèle de bravoure, d énergie.

do stoïcisme. N a pas hésité le 25 mai. à aller reconnaître lui-môme, sous des feux d'cnfilade et un violent bombardement l'emplacement d'une mitrailleuss ennemie et a organisé la défense qui a permis d'enrayer les contreattaques ennemies.

LECAMP (Albert), sous-lieutenant au 49e rég.

d'infanlerie : a entraîné superbement à l'attaque ce qui restait de sa compagnie. Resté aveugle à la suite d'une blessure très grave à la tête a.

refusé de se laisser emporter sur un brancard et est descendu à pied au poste de secours.

Modèle de courage, d'énergie et d'abnégation ; n'a pas survécu à sa blessure.

JACQUES (Pierre-Justin'" mie 0565, caporal mitrailleur au 49e rég. d'infanterie : craignant après un tir prolongé que sa section ne manquât de munitions, s'est olferl spontanément dour aller au ravitaillement Ayant à traverser 300 mètres de terrain découvert et battu, a trouvé dans ce parcours une mort héroïque.

RABA (Jean), mie 5597. soldat à la 9S compagnie du 49" rég. d'infanterie : a assuré sou service de coureur les 2i et 25 mai, sous UI: violent bombardement, faisant preuve de la plus grande bravoure. Atteint mortellement par éclats d'obus, a eu le courage d'appeler un de ses camarades et lui remettre le pli dont il était porteur en disant : « Va le porter au colonel ». Est mort aussitôt après.

LASSERRE (Maurice), mie 4480, soldat au 49e rég. d'infanterie : agent de liaison ayant beaucoup de mordant. Volontaire pour une reconnaissance des plus périlleuses, précédant un assaut. A fait preuve du plus grand sangfroid au cours de l'attaque qui a suivi, en stimulant ses camarades et en donnant lui-même l'exemple. Est tombé mortellement blessé en disant : « Je meurs, mais je suis content, on les tient".

LABAYRADE flIenn-Jean-Joseph), mie 8415.

soldat au 49e rég. d'infanterie : au moment d'une attaque ennemie précédée d'un violent bombardement, n'a pas hésité à mettre sa pièce en batterie en plein terrain découvert. A été tué au cours de l'action.

CHARDON (Raymond), mie 1698, adjudant au 17oc rég. d'infanterie : au cours de l'attaque du 1er mai, a entraîné sa section, à deux reprises, à l'assaut de la tranchée allemande. Lors de la contre-attaquo a réussi, grâce à son énergie et à son courage, à maintenir ses hommes, a contribué en grande partie au succès de la journée. Gradé ayant pris part à toutes les grandes attaques du régiment et ayant toujours montré le même entrain et le plus grand esprit de sacrifice. Sur le front depuis le début.

A déjà deux citations.

LEVALLARD (Octave-Gustave-Fernand), mie 5094, soldat à la 10e compagnie du 12Je rég.

d'infanterie : soldat courageux et énergique qui a bravement marché à l'attaque du 28 février 1915. Y a reçu une blessure grave occasionnant uns ankylose partielle du bras droit.

pÍmy (Raymond\, soldat au 18fi bataillon de chasseurs à pied : bon chasseur, énergique et courageux, grièvement blessé, le 21 juin 1915, en attaquant à la baïonnette une tranchée almande.

THlEBLEMONT (Gaston-Auguste), mie 0010612, sergent au 155e rég. d'infanterie bon sousofficier, grièvement blessé au combat du 2 septembre 1914, près de X., alors que, de sa


propre initiative, il avait pris le commandement de sections éparses et désorganisées qu'il est parvenu à maintenir à leur place.

GASNIÉ, sous-lieutenant commandant le peloton des grenadiers du rég. de tirailleurs marocains : le 6 mai 1916, s'est porté résolument à 1 attaque d'une tranchée ennemie à la tête de ses grenadiers. Est tombé à quelques mètres d9 ta tranchée allemande.

LAVAL (Bernard), mie Oi833, adjudant au ?18e rég. d'infanterie : excellent chef de section, d'un dévouemant à toute épreuve, quelque critiques que fussent les airconstances, à su par sou calme et son énergie maintenir ses hommes autour de lui sous un violent bombardement de l'artillerie lourde ennemie.

Se trouvant ensuite par les circonstances momentanément isolé de sa compagnie et brusquement en contact de l'ennemi qui s'infiltrait devant sa section, a été l'âme de la résistance de sa petite troupe et n'a pas hésité à faire personnellement le coup de feu, arrêtant le mouvement de l'ennemi, est tombé mortellement frappé d'une balle en plein visage.

HAURIE (Albert), mie 01593, sergent au 21SC rég. d'infanterie : s'est toujours montré calme et brave au feu, ne cessant de donner à ses hommes l'exemple du devoir. Blessé mortellement, a fait preuve des plus belles qualités de patriotisme en ne proférant aucune plainte et en disant : « Si çà y est pour la patrie, je suis content de mourir ici! »

PELLETANT (Eutrope-Charles). mie 0832, soldat de lrc classe au 2.j7e rég. d'infanterie : excellent soldat, sur le front depuis le début de la campagne, a été grièvement blessé le 26 avril 1916 en exécutant des travaux urgents sous un violent bombardement.

LAMBERT (Armand-Antoine), mie 03756, caporal au 147e rég. d'infanterie : très bon caporal, très énergique et brave. Grièvement blessé à son poste de combat au cours d'une attaque allemande le 5 janvier 1915. Mutilé, réforme 3e catégorie.

MORATTI (Antoine-Ange-François\ mie 2657, selgent-major au 35 rég. de tirailleurs : s'est o'I'ert pour commander une fraction chargée de tenir un point d'appui. Menacé d'être débdé, a su, par l'ascendant qu'il avait sur ses hommes, les maintenir en position jusqu'à l'arrivée des renforts. A été tué au cours du combat.

FOUR (Louis), mleC3l60. sergent au 292° rég.

d'infanterie : gradé particulièrement brave.

Parfait mitrailleur, toujours prêt à s'employer, donnant à ses subordonnés le plus bel exemple d'énergie et de courage. Grièvement blessé le 9 juillet 1915 à X. alors qu'il venait de procéder. sous un bombardement violent, à l'installation d'une mitrailleuse.

ALIX (René-César), ml] 8757, caporal au 64e rég. d infanterie : caporal courageux et très brave qui a pris part et s'est fait remarquer aux attaques de septembre et octobre 1915.

Très grièvement blessé, le 24 octobre 1915 en se portant à la tète de son escouade à l'assaut des ouvrages ennemis.

PORTEMONT (Gabriel-Gaston), mie 1601, soldat au 36e rég. d'infanterie : très belle conduite au combat du 22 juin 1915 où il fut blessé grièvement ; fracture de la mâchoire inférieure.

,DOUSSAU (Jacques), lieutenant au 3Ge rég.

d'infanterie : sous une rafale violente d'artillerie, a porté résolument sa section en avant rrêtant ainsi le repli des fractions voisines et leur permettant de se rallier à lui. Blessé grièvement au cours do cette action pendant laquelle il n'a cessé de faire preuve de la plu s grande énergie et du plus beau courage.

BOULAIS (Paul-Henri), mie 014133, soldat au 36e rég. d'infanterie : a été très grièvement Dlessé, le 4 juin 1915, à son poste de guetteur où, malgré un violent bombardement, il accomplissait son devoir avec le plus grand sangfroid.

LE CLEZIC (Léon), mie 76'i4, seivent au 36e rég.

d'infanterie : sous officier très énergique ayant fait preuve, depuis le début de la campagne, en maintes circonstances, de beaucoup de sangfroid et de courage. Blessé le 25 septembre 1915 en entraînant par deux fois sa section à l'assaut d'une position ennemie fortement organisée.

STAMMLER (Pierre), sous-lieutenant au 58e rég. d'artillerie : jeune officier très calme, plein d'entrain et de bravoure. S'est maintes fois distingué comme observateur aux tranchées avancées. Etant en première ligne pour un réglage de tir, n'a pas hésité à traverser une région violemment bombardée pour venir rendre compte de sa mission. A été tué.

(Ordre du 6 juillet 1916.) POISSON (Gustave-Henri), soldat de 2e classe au 5e escadron du 7e rég. de chasseurs : a réclamé l'honneur d'être estafette en première ligne, faisant valoir son ancienneté dans le peloton. Blessé une première fois, a refusé d'être évacué. Blessé grièvement une deuxième fois est mort des suites de ses blessures, en faisant montra des plus belles qualités militaires.

PICCIIINI (Paul-Joseph), mie 02737, sergent au lnc rég. d'infanterie : sous-officier grenadier d'élite, très courageux et plein d'entrain.

Le 29 mai 1916, apris un bombardement de 4 heures, s'est porté en renfort en première ligne et a contribué à arrêter l'attaque ennemie en lançant des grenades avec une précision remarquable. Sa compagnie étant relevée, est resté volontairement en ligne jusqu'à la relève complète du bataillon.

ANTONI (Léon), mie 1184, sergent-major au 173 rég. d'infanterie : sous-officier magnifique de courage et d'entrain. Dans la journée du 2) mai 1916, a dégagé son commandant de compagnie enseveli par le bombardement. A été tué en conduisant sa section renforcer la première ligne.

BOURRET (Léon), mie 3029, sergent au 173e rég. d'infanterie : très bon sous-officier plein de courage et de sang-froid. Sur le front depuis le début de la campagne. A participé à toutes les actions du régiment. Blessé au moment où il se portait en renfort de la première ligne, communiquant son entrain à ses hommes et les exaltant.

COLLOMB (Alfred-Maurice" capitaine adjudant-major 'au 173e rég. d'infanterie : blessé grièvement le 26 août 1914, revenu sur le front on décembre 1914, à peine guéri de ses blessures. a pris part aux combats des 26 décembre 1914, 23 avril 1915 et juin 1915. S'est partout fait remarquer par son calme sang-froid et sa bravoure, notamment le 29 mai où il a donné l'exemple des plus belles qualités militaires et du plus grand courage dans les contre-attaques.

lXCCIOÍ (Antoine), lieutenant au 173e rég.

d'infanterie : officier remarquable de calme, de sang-froid et de bravoure. Au moment de l'attaque du 29 mai, était debout dans la tranchée faisant exécuter des feux au sifilet et encourageant ses hommes par son attitude et ses paroles. Déjà cité à la division.

DE PERETTI (Henri), sous-lieutenant au 173e rég. d'infanterie : modèle d'énergie et de sangfroid. Blessé deux fois au cours de la campagne, est revenu au front volontairement. Pendant une attaque de l'ennemi a maintenu sa section durant plusieurs heures sous un très violent bombardement. S'est porté ensuite au péril de sa vie, sous une grêle de balles, audevant de trois soldats allemands, tapis dans un trou d'obus. Les a faits prisonniers.

COLLAS (André), sous-lieutenant au 1738 rég.

dinfanterie: officier grenadier, plein de courage et de sang-froid ; n'a cessé de donner l'exemple à ses hommes. Au cours de l'attaque ennemie est monté à plusieurs reprises sur le parapet de la tranchée pour jeter des grenades, montrant ainsi un grand mépris du danger.

SALîNI (François), soldat au 173e rég. d'infanterie : très brave, deux fois blessé, déjà titulaire de la Croix de guerre (deux palmes). Au cours d'une attaque a entraîné ses camarades en entonnant la Marseillaise et n'a pas hésité à se porter en avant pour occuper un petit poste qui constituait une position des plus avantageuses.

MAURIN (Eugène), sous-lieutenant au 173e rég.

d'infanterie: officier d'un courage éprouvé, ayant beaucoup d'allant. A porté sa section en avant avec calme et fermeté au moment de la contre-attaque du 29 mai 1916. S'est avancé à la tête d'un groupe d'hommes résolus jusqu'à un petit poste qui venait d'être occupé par l'ennemi. l'a repris tuant les occupants et faisant des prisonniers*-

LE FOLL (Yves), adjudant chef au 173e rég.

d'infanterie : sous-oflicier courageux et calme ; a conduit sa section avec fermeté, donnant l'exemple à tous de la plus grande bravoure et d'un mépris du danger absolu. S'est avancé au moment de la contre-attaque jusqu'à un petit poste avancé qu'il a repris à l'ennemi et main- tenu.

MARC1REAU (Alfred), capitaine adjudant-major du 173e rég. d'infanterie : adjoint à un commandant de sous-secteur, a trois jours durant, exposé sa vie en parcourant sous un bombardement excessivement violent et incessant, le sous-secteur pour assurer l'exécution des ordres de son chef.

DUMAS (Charles), lieutenant détaché à resea.

drille C It : pilote d'une bravoure et d'un dévouement à toute épreuve. Le 26 avril 1916, .a.

attaqué un fokker et l'a obligé à atterrir prce.

pitamment à quelques kilomètres dans se ?

lignes. Le 2 mai 1916 a abattu un aviatik qui s'est écrasé sur la tranchée allemande de première ligne.

PERDRIAT (Pierre), aspirant observateur à l'escadrille C. 11 : observateur de premier ordre, qui a déjà accompli de brillantes et périlleuses.

reconnaissances, Principalement depuis le début de la bataille de X. Légèrement blessé au côté le 29 avril 1916 n'a pas interrompu son service. Le 21 mai, blessé de nouveau d'un éclat d'obus à la main et les moteurs ayant été arrêtés pour éviter un incendie (réservoir d'essence crevé par un éclat) a fait preuve de calme et d'énergie en guid int le pilote pour rentrer l'appareil dans nos lignes.

GAUTHIER (Edmond), mie 04196, adjudant au 7Se rég. d'infanterie : chargé de la défense d'une tranchée de toute première ligne dans la plus dure des batailles, a maintenu sur place, pendant les 9, 10 et 11 avril 1916 sa section très éprouvée par un bombardement d'une violenco extrême, avait, dès le 9 avril, re.

poussé une attaque do l infanterie ennemie et secouru par son intelligente intervention les sections voisines. A été tué le 11 avril sur sa position conservée i itacte. Etait en campa- gne depuis le premier jour de la mobilisation.

GAVARRET (Jules-Eugène), mie 4736, caporal à la 10e compagnie du 83e rég. d'infanterie: bon et intrépide caporil, toujours volontaire pour les missions périlleuses, a été grièvement blessé à la tête de ses hommes. le 15 septembre 1914, tandis qu'il s'employait courageusement à maintenir chacun à sa place sous un bombardement particulièrement violent.

MORA1LLON (Jean), mie 016652, sergent à la 4e compagnie du liO5 rég. d'infanterte : sousofficier remarquable à tous les points de vue, s'est offert, dans un moment critique, pour conduire une corvée de ravitaillement à travers une zone fortement battue. A été tué en accomplissant cette mission. Déjà titulaire do trois citations.

PIZAY (Jean), mie 9190; sergent au 415e rég. d'infanterie: sous-officier d'un dévouement à toute épreuve, très calme et doué des plus belles qualités militaires. A été mortellement atteint, le 21 mai 1916, eu encourageant ses hommes à rester à leurs pièces, malgré un , violent bombardement. A donné le plus bel exemple d'abnégation et de sacrifice en prononçant ces paroles : « Je suis heureux de mourir1 puisque c'est pour la Franco ! »

GALISSOT (Alfred-Jules), sous-lieutenant au 415e rég. d infanterie : La 25 mai 1916, dans de* circonstances très dangereuses a réussi à prendre pied sur un point d'appui disputé par l'ennemi et sous un bombardement des plus violents y a maintenu son peloton pendant deux jours et trois nuits, brisant toutes les tentatives de l'infanterie ennemie. Officier intrépide et esclave du devoir.

GAIDET (Pierre-François), mie 12312, maître pointeur à la 7e batterie du 109e rég. d'artillerie lourde: maître pointeur d'un dévouement poussé jusqu'au sacrifice. Le lendemain do l'arrivée de sa batterie sur une nouvelle position alors que la plupart des abris étaient en-

core inachevés, est sorti de son abri sous une grêle de schrapnels pour céder sa place à un camarade. A été mortellement frappe à ce moment.

DESGARDINS (Maurice), mle 025580, maréchal des logis au 115e rég. d'artillerie, 3e groupe, S. j


M. A. : sous-officier énergique. Blessé une première fois, le 12 janvier 1915, a été l'objet des félicisations du colonel commandant le 246e rég. d'infanterie pour sa belle conduite au feu. Blessé une deuxième fois à son poste, le 3 juin 1916, au cours d'un ravitaillement, a refusé de se laisser évacuer. A toujours fait preuve de sang-froid, de bravoure et du dévouement le plus absolu.

BORNÈQUE, lieutenant-colonel commandant le 415e rég. d'infanterie : chef de premier ordre.

Arrivé dans la bataille avec un régiment déjà - éprouvé par trois mois de combats et de dut-s travaux, a su communiquer sa flamme et sa confiance à tous ses subordonnés, leur faire oublier la fatigue, élever leur moral au plus haut point et en obtenir pendant quatre jours un effort splendide sous un bombardement effroyable.

- SALAGAC (Alexis), m1* 9378, sergent au 3" rég. de marche de zouaves : véritable sousofficier do zouaveS. A donné en maintes circonstances la preuve de sa critnerie. Cité à l'ordre de l'armée, après les combats de février 19116, a été médaillé pour faits do guerre au mois de mai. Le 11 juin, s'est distingué encore dans un vif combat à la grenade. A été, au cours de ce combat, blessé mortellement.

RAMBOZ (Isaac-Ernest), sous-lieutenant au 415e rég. d'infanterie : officier d'un grand courage et d'une exemplaire ténacité. Blessé, le 12 mai 1916 au cours d'un vif, combat à la grenade, est resté à son poste pendant sept jours malgré de.. invitation ; réitérées à le quitter de la part de son chef. A été évacué seulement du cantonnement de repos. Blessé antérieurement deux fois au cours de la campagne. A été déjà cité à l'ordre de l'armée.

CLÉMENT (Maurice), mie 6940, soldat au 415e reg. dinfanterie: agent de liaison plein d'audace et de dévouement. S'est porté spontanément et courageusement au-devant de l'ennemi qui attaquait nos premières lignes et a avancé sans hésitation dans un terrain extrêmement battu jusqu au moment où il a été blessé grièvement par un O')US, A fait preuve, malgré ses Mut!ranccs, d ardent patriotisme et d'une rare force de caractère.

(Ordre du 6 juillet 1916.)

COUTURIER, maréchal des logis à la 2e batterie du 47e rég. d'artillerie : le y mai 1916, sous X. un violent tir d artillerie lourde énnemie venant de faire sauter un dépôt de munitions près de sa pièce, fit abriter son personnel et continua seul à assurer le tir sous les raîales eut les deux jambes coupées par un obus et mourut une heure après, fit l'admiration de tous par son calme devant la mort.

BRÉZEKGER, maître pointeur à la 7e batterie du 47e rég. d'artillerie : excellent pointeur, restant toujours calme à son poste sous les bombardements les plus violents donnait à tous l'exemple de la gaieté et de l'énergie. Très grièvement blessé, le 27 avril 1916, sous X. a, malgré ses souffrances, continué à encourager les autres servants. Modèle à donner à tous les pointeurs.

CHALEIX, maître pointeur à la lre batterie flu 47e rég. d'arliUerie : a donné un bel exemCHALEIX, d'artillerie : a donné un bel exemple de courrge et d'énergie. Légèrement blessé à deux reprises différentes, à 8 jours d'intervalie et resté seul de sa pièce, avec son chef de pièce, tous les autres servants ayant été tués, n'a pas voulu se laisser évacuer, ni quitter son canon, et a continué à pointer avec le même calme.

JAPY, sous-lieutenant de la 4e batterie du 47e rég. d'artillerie : le 28 avril 1916, chargé de l'établissement d'une liaison optique difficile, a traversé avec crànerie plusieurs kilomètres d'un terrain battu que personne n'abordait de jour, blessé, a refusé de se laisser évacuer avant d'avoir terminé sa mission et d'être revenu rendre compte à son commandant de groupe.

MATLIIES (Henri-René), sous-lieutenant au 42a rég. d'infanterie : chef de section de haute valeur. Tué dans une marche sous le feu de l'artillerie à la tête de sa fraction, en donnant à tous l'exemple du plus beau courage.

DtSIRÉ (Julien), sous-lieutenant à la 3e compagnie du 42e rég. d'infanterie : chef de section de haute valeur. Tué dans une marche sous le feu de l'artillerie à la tête de sa fraction, en

donnant à tous l'exemple du plus beau courage.

VILLENEUVE (Louis), mie 07325. premier servant à la 32e batterie du 114e rég. d'artillerie lourde : téléphoniste d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. A assuré, notamment du 22 au il mai 1916, malgré le surcroît de fatigues imposé par la disparition de cinq téHphoniscs tués ou blessés, le fonctionnement des liaisons téléphoniques lors d'un bombardement intense et continu.

BOURON (Onésimo), mie 3985, premier servant à la 32' b itteris du 114° rég. d'artillerie lourde téléphoniste d un courage et d'un dévouement à toute épreuve. A assuré, notamment du 22 au ::1 mai 1916. malgré le surcroît de f itigues imposé par la disparition de cinq téléphonistes tués ou blessés le fonctionnement des liaisons téléphoniques du groupe, lors d'un bombardement intense et continu.

BARDY, médecin auxiliaire au 216e'rig. d'injanterie : s'est fait remarquer depuis le début de la campagne, par sou dévouement et une bravoure exceptionnelle. Le 20 janvier 1915, a sauté le premier dans un entonnoir de mjne pour y soigner des blessés. Le 2 juin 1916, est resté plus d'une heure sous un bombardement très violent pour dégager deux hommes pris sous un écoulement. A été le 4 juin en procédant sous le bombardement au sauvetage des blessés renfermés dans un poste de secours incendié par l'artillerie ennemie.

CIIIEZE, sous-lieutenant au 219a rég. d'infanterie : officier d'un grand courage et d'un dévouement à toute épreuve, S'était déjà signalé le 7 septembre 191 i, en entraînant sa section au chaut de la « Marseillaise n, sous un feu très violent d'artillerie et d'infanterie. S'est trouvé le 3 juin au matin, seul officier du bataillon dont il a pris le commandement sous le feu, en a rallié les unités et a su par son Énergie s'opposer à une contre-attaque ennemie.

MINERATIï dit DURAND, sergent à la section des postes spéciaux: venu comme volontaire au iront, a été employé aux postes spéciaux.

Evacué pour maladie et versé dans un régiment territorial, a demandé à revenir à son poste où il a toujours fait preuve d'autant de dévouement que de courage et s'est exposé aux feux les plus violents pour assurer son service.

ALIX (Paul-Amédée), capitaine d'infanterie coloniale, état-inaiior d'une brigade coloniale : officier d'un sang-froid et d'un calme merveil Jeux sous le feu, est allé, le S juin 1916, porter des ordres urgents aux chefs de bataillons en première ligne et se rendre compte de la situation de la ligne de feu. Au cours de cette mission qui a duré huit heures, a traversé par quatre fois des barrages violents avec pièces de gros calibres et circulé sous le feu de mousqueterie et des mitrailleuses.

MINMEISTER (Jules-Marie), mie 1584, adjudant au 1661' rég. d'infanterie : sous-officier superbe de bravoure. S'est toujours brillamment com- porté dans les opérations auxquelles il a pris part. Le 22 mai, est allé vérifier jusqu'au réseau allemand, sous un bombardement violent, qu'aucun homme du détachement qui venait d'exécuter un coup de main n'était resté entre les lignes (Sx juin 1916).

VYAU DE LAGARDE (Laurent-Marie-Henri), capitaine de l'état-major d'une division : ancien officier de l'armée active. S'est toujours dépensé sans compter, donnant partout et toujours l'exemple d'un courage souriant et réfléchl. S'est exposé à maintes reprises en remplissant les missions les plus périlleuses. Est tombé au champ d'honneur devant X., au poste d'observation où il avait été envoyé.

GAUTHIER (Marie-André-Roger), sous-lieutenant au 21e chasseurs à cheval : officier très brave, au front depuis le début de la guerre.

Le 8 juin 1916, est parti en pleine nuit porter des ordres et reconnaître la situation de la ligne de feu. A, pour accomplir sa mission, traversé par deux fois une zone entièrement découverte, sans aucun abri et soumise à un bombardement d'une lintensité extraordinaire, a été renversé deux fois par des éclatements rapprochés et a fait preuve d'une énergie peu commune.

DE LAUZANNE (Louis-Hugues), sous-lieutenant au 140 rég. de dragons,, commandant l'es-

corte d'une division : officier très brave et d'un dévouement à toute épreuve, toujours prêt pour toutes les missions. Le 13 septembre 1Jli a ramené au feu une unité d'infanterie.

Le 8 juin 1916, au cours d'un violent combat, a effectué comme volontaire une reconnaissance périlleuse, assurant la liaison avec une unité de première ligne, malgré un tir do barrago d'une grande intensité. PONT, général de brigade commandant une division : officier général de la plus haute valeur intellectuelle et morale, garde dans les circonstances les plus difficiles, le calme, la méthode, la bonne humeur qui lui sont habituels. A cou-" tenu brillamment avec sa brigade, une violente attaque par les gaz. A, tant comme commandant de brigade, que comme commandant de division, tenu pendant plusieurs semaines etià trois reprises un secteur dans les parties et dans les plus difficiles de la bataille de X. occupant des postes de commandement soumis au feu continu de l'ennemi et montrant constamment les plus hautes qualités militaires.

LEDUC (Emile-Alphonse), colonel, commandant le 3ie rég. d'infanterie : a fait montre des plus belles qualités de bravoure, de calme, d'expérience et d'autorité dans la période du 22 au 23 mai 1916. A pris, le 25 mai au matin, en plein combat, le commandement d'un secteur au front où la situation était fort délicate et des plus confuses, où le dispositif de nos troupes n'était pas connu du commandement.

A remis de l'ordre dans le secteur, y a regroupé les unités, et. par l'énergie qu'il a "su communiquer à ses troupes, a tenu les positions occupées, malgré la violence continue du bombardement jusqu'à l'arrivée des troupes de relève.

A largement contribué à l'accomplissement de la mission donnée à la c brigade.

LEIRIS (Henri), chef de bataillon au 17Ce rég.

d'infanterie : le 1er mai 1916, avec une fraction de son bataillon et une compagnie de mitrailleuses qu'il commandait personnellement, a pris une part brillante à l'attaque exécutée par le régiment, en s'emparant de 150 mètres de tranchées ennemies. Blessé très grièvement le 2 mai, au cours d'un bombardement violent, a fait preuve d'un courage et d'une abnégation admirables, oubliant ses souffrances pour ne penser qu'à son bataillon. Est mort des suites de ses blessures le 4 mai.

MEY (Gabriel-Paul-Marie), chef de bataillon au 415° rég. d'infanterie : officier de haute valeur morale. A fait preuve des plus belles qualités professionnelles, en organisant une position, malgré un bombardement d'une violence inouïe et en maintenant intact, du 16 au20 mai 1916, le front qui lui était confié. Le 24 mai,

appelé dans le secteur de X. au moment où l'ennemi se montrait particulièrement menaçant, a conduit ssn bataillon avec une bella énergie sous une canonnade des plus violentes jusqu'Cl.,remière ligne, donnant à tous un bel exemple de courage et d'esprit de sacrifice. A été grièvement blessé aumoment où il arrivait sur la position.

GERARD DE POUVOURVILLE, lieutenant de cavalerie breveté détaché à l'état-major d'une division d'infanterie : affecté à 1 état-majoi d'une division, a fait preuve à X. puis à la bataille de Y. des plus belles qualités d'intelligente activité, de bravoure et de dévouement, a été tué glorieusement aux côtés de son général de division au poste de commandement, le 20 septembre 191 k.

ROUSSEAU (Louis-Henri), soldat au 29Se rég.

d'infanterie : chargé de l'entretien d'une ligue téléphonique située dans une zone très bombardée et fréquemment coupée par les obus, a accompli sa mission avec le plus grand dévouement et un courage remarquables. A été tué, le 15 juin 1916. au cours d'une des nombreuses réparations qu'il a exécutées sous le bombardement ennemi.

MARMISSE (Louis-Etienne-Marie), mie 6172, maréchal des logis à la 33e batterie du 24e rég.

d'artillerie : étant en observation, a découvert, au poste du chef d'escadron, a continué à remplir sa mission malgré un bombardement très violent. Grièvement blessé, le 5 juin 1916, a fait preuve de la plus grande énergie, et du plus beau courage. Est mort des suites de ses blessures.

TESTA (André), mIe 14389, soldat à la 6e com pagnie du 112 rég. d'infanterie. Jeune soldat de la classe 1916, mort en héros, phirgé par son commandant de compagnie, le 21 mai 1916,


de porter un ordre important à un chef de section, à reçu une première blessure en accomplissant sa mission. Atteint mortellement une deuxième fois, à son retour, est tombé auprès de son chef en disant simplement « Mon lieutenant, je poux mourir, j'ai fait mon devo'r ».

ANTONINI (Etienne', soldat au 113. rég. d'infanterie : blessé et fait prisonnier le 20 septembre 1914, a réussi à s'évader d'Allemagne dans des circonstances périlleuses au cours desquelles il a fait preuve de rares qualités d'endurance, de courage, de volonté et d'énergie.

AUDIBERT (Elie); mie 5069, sergent mi'railleur au 52e rég. d'infanterie : excellent sousoffiéier, magnifique de courage et de sang-froid S'est spécialement distingué, le 6 juin 191G, devant X. où il fut tué à son poste en pointant I.ui-même, à défaut de tireurs, une pièce sur une colonne ennemie montant à l'assaut de la tranchée qu'il occupait brisant ainsi net son élan.

COURTIAL (Henri, mie 1101, caporal au 52e rég. d'infanterie : caporal d'une audace à toute épreuve et d'une activité infatigable.

Employé devant X. comme agent de liaison au cours de quatre jours de combat et de bombardement intense, a parcouru jusqu'à 2i fois une zone exceptionnellement battue par l'artilierie, s'offrant sans relâche pour se rendre aux points les plus menaces du secteur (3-6 juin 1916).

(Ordre du 6 juillet 1916.) BIROT (Jean-Joseph-Victor), lieutenant-colonel, commandant le 124" rég. d'infanterie : avec une énergie et un courage remarquables, a dirigé à deux reprises dilrérentes, du 19 mai au 4 juin 191G, la défensive et la contre-offensive dans des conditions particulièrement difficiles et périlleuses, faisant ainsi preuve d'une endurance et d'une bravoure admirables.

GOFFJN (Marcel), mie 08187, sergent à l'escadrille C 51 : excellent pilote, très dévoué. S'est dépensé sans compter pendant les attaques de septembre, volant matin et soir, malgré le mauvais temps. Avec un mépris absolu du danher, a réglé de nombreux tirs au-dessus des zones les mieux défendues par l'artillerie ennemie.

BRUN, lieutenant au 298* rég. d'infanterie : officier d'une bravoure et d'une conscience reofficier marquables. A donné au cours de la campagne des preuves nombreuses dos plus belles vertus militaires. Le 8 juin 1910, blessé en première ligne, au cours d'nn violent bombardement, voyant des blessés en danger de mort devant le poste de secours, où on les soignait, s'est offert pour les transporter à l'abri des obus.

GARGAT, chef de bataillon au 238e rég. d'infanterie : officier d'une b: avoure froide et tranquille conservant'au milieu du danger toute sa lucidité d'esprit. Le 8 juin 191G, a fait preuve de belles qualités militaires. Arrivé dans un secteur dans des conditions pénibles, a pris immédiatement les dispositions les plus judicieuses pour remplir sa mission, s'est maintenu sur sa position, créant de toutes pièces une ligne de défense solide et bien Uanquée contre laquelle ont échoué tous les efforts tentes par l'ennemi.

FIliE (Jean-Léon), lieutenant-colonel commandant le 321e rcg. dinfanterio : a su. par son exemple personnel, maintenir dans son régiment l'esprit le plus élevé de discipline et d'abnégition au cours d'une période de six jours pendant laquelle il a non seulement résisté au bombardement, mais attaqué avec succès les tranchées ennemies.

IIAUW (Justin-Gabriel-Marie), lieutenant-colonel commandant le 298e rég. d'infanterie : a su, par son exemple personnel, maintenir dans son régiment l'esprit le plus élevé de discipline et d'abnégation au cours d'une période de six jours pendant laquelle il a non seulement résisté au bombardement, mais attaqué avec succès les tranchées ennemies.

SENLY8 (Jean-Alphonse), adjudant au 78e rég.

d'infanterie : au front depuis le début de la mobilisation, a toujours servi avec zèle et fait preuve de courage; le 9 avril 1916, a maintenu sa section dans les tranchées en avant de X.

sous un long et violent bombardement et a été tué glorieusement au moment de l'assaut en se joignant à la compagnie voisine pour continuer la lutte et arrêter l'avance momentanée de l'ennemi.

LA 8e COMPAGNIE DU 36e RÉGIMENT D'INFANTERIE : troupe d'élite, dont la conduite à l'attaque du 22 mai 191G, a été au-dessus de tout eloge. Malgré un violent bombardement, qui lui causa des pertes sensibles, s'est portée très rapidement sous le commandement de son chef, le capitaine DE PERCIN, au secours des premières unités décimées qui avaient pénétré dans le fort. A organisé immédiatement sous un feu terrible le terrain conquis. Sous l'énergique impulsion du sous-lieutenant PLAU, qui, quoique blessé avait succédé au capitaine DE PERCIN grièvement atteint, a réussi, pendant vingt-quatre heures, à repousser plusieurs contre-attaques allemandes et à se maintenir sur ses positions jusqu'à l'arrivée des renforts.

JACQUES (Maurice-Aymard-Paul). capitaine au 49e rég. d'infanterie : son chef de bataillon ayant (té blessé dès le début des opérations, la remplacé dans un moment critique et, grûce à son sang-froid, a su ramener le calme dans sa troupe, qui, pendant plusieurs jours, a résisté avec succès aux attaques de l'ennemi malgré l'intensité du bombardement.

JOBIT (Eugène-Charles-Marie) chef d'escadron au 28 rég. d'artillerie : officier d'une rare bravoure et d'une haute valeur technique. A été tué, le 4 février 1916, à son poste d'observation proche de l'ennemi et constamment bombardé.

LACAB ANNE (Jean-Marie-Louis) mIe 2282, capitaine à la 52e compagnie du 2e rég. du génie : Avait repris, sur sa dumandc, du service pour la guerre. A dirigé personnellement les travaux de sa compagnie pendant plusieurs nuits successives, dans une zone Violemment bombardée et bien que déjà contusionné. Est mort, ayant été enseveli, des suites de lésions contractées au cours de ces travaux.

SCHIBER (Conrad), capitaine au 173" rég. d'infanterie officier breveté, exerce depuis deux mois le commandement de la compagnie avec une vigueur, un entrain et une compétenca remarquables. Extrêmement énergique et d'une bravoure calme. A su maintenir sa compagnie SOUÔ un bombardement des plus intenses, notamment les 22 et 23 mai 1916, sur une position particulièrement repérée par l'ennemi. A été blessé à son poste de commandement.

GAYET (Clément), capitaine au 173e rég. d'infanterie : depuis peu do temps à la tête de sa compagnie, s'est révélé immédiatement comme modèle de bravoure et d'énergie remarquables.

A, par son exemple et en s'exposant maintes fols lui-même, maintenu sa compagnie, du 22 au 27 mai 1916, sous un bombardement extraordinairement intense. A donné à tous le plus bel exemple d'abnégation et de sacrifice.

DE FOUQUET (Louis), capitaine au 173e rég.

d'infanterie: officier d'une bravoure rare et d'un sang-froid remarquable. Commande admirablement sa compagnie do mitrailleuses à.

laquelle il donne le plus bel exemple de dévouement et d'abnégation. Toujours aux endroits les plus dangereux a, notamment dans les combats des 23 et 26 mai 1916, conduit ses sectious aux emplacements les plus périlleux et a soutenu très efficacement l'action des compagnies à côté de lui. Déjà blessé deux fois.

JEASELm, lieutenant au t73e rég. d'infanterie: commande sa compagnie depuis un an avec une énergie remarquable. Officier d'une bravoure et d'un calme incontestés. A, avec sa compagnie, les 23 et 26 mai 1916, attaqué et conservé une position convoitée par l'ennemi.

S'y est maintenu malgré tous les efforts de celui-ci et a permis à ses chefs d'assurer une défense rationnelle de la position.

SANTINI (Jean), sous-lieutenant au 173e rég.

d infanterie : a, le 28 mai 1916, conduit sa section à l'attaque dans des conditions particulièrement dangereuses. A pris possession du terrain et a su inspirer à ses hommes assez de calme et de sang-froid pour leur faire ouvrir une tranchée sous le feu de l'ennemi. A repoussé une attaque allemande exécutée avec des forces très supérieures.

DOMENC (Pierre), adjudant au 173e rég. d'infanterie : fait preuve des plus belles qualités militaires. Pendant le combat du 26 mai 1916, a demandé à prendre le commandement d'une section engagée dont le chef venait d'être blesse, l'a entraînée et s'est maintenu sur le

terrain conquis malgré toutes les contre-attaques ennemies.

BOUTTES (Marius), sersent au 173e rég. d'infanterie très bon sous-officier, sur le front de- "V puis le début de la campagne. A fait preuve, - dans la nuit du 26 mai 1916 du plus grand cou-$ rage en entraînant ses hommes à l'attaque d'une tranchée ennemie, et en maintenant sa demi-section sur la position conquise, parti- culièrenront bombardée, pendant vingt-quatre heures, jusqu'à ce qu'il soit relevé. *

RAYMOND (Jean;, caporal au 17.3e rég. d'infanterie : exemple vivant de courage et de dévouement. A su maintenir ses hommes sous le pius violent bombardement dans la nuit du 22 mai 1916 et leur faire exécuter les travaux qui lui étaient commandés. Blessé, n'a quitté son poste qu'une fois sa mission terminée.

ROBERT (Pierre), sergent a i 173e rég. d'infanterie : grenadier d'élite, excellent sous-officier, d'une énergie, d'un sang-froid et d'un dévouement remarquables. A fait preuve, au cours des attaques des 23 et 26 mai 1916, d'une audace extraordinaire, a établi des barrages à quelques mètres à peine des positions ennemies, les a vaillamment défendus et a ainsi permis la progression des éléments en arrière.

GAUTRAN (Henri), soldat au 173° rég. d'infanterie ;DUPE (Pierre), soldat au 173 rég. d'infanterie ; ICHER (Joseph, soldat au 173e rég. d'infanterie; HERVE (Ernest), soldat au 173e rég. d'infanterie : Se sont présentés comme volontaires, dans la nuit du .25 mai 1916,.pour aller établir un petit poste dans un ravin particulièrement soumis à un bombardement ennemi. Attaqués, ont résiste brillamment et fait un prisonnier.

TARQl'IN Y (Jean-Baptiste), sous-lieutenant au 173e rég. d'infanterie : oflicier d'une haute valeur morale et d'un sang-froid admirable. Le 24 mai 1916, grièvement-blessé à l'épaule en repoussant une attaque ennemie, est resté à son poste, encourageant ses hommes par ces mots : « Ce n'est rien. tirez toujours », permettant par Son attitude de conserver intacte une position récemment conquise et sans organisation. A été tué de deux balles à la tête en dirigeant le feu de sa section.

EYMARD (Jean), lieutenant au 173- rég. d'infanterie : officier d'une haute valeur morale, aussi moleste que brave. Jouit d'un véritable prestige dans sa compagnie. rendant les journées du2i au 29 mai 1916, a réussi à organiser solidement dans un secteur violemment bombardé le terrain confié à sa garde et a contribué dans une large mesure à repousser l'attaque du 29 mai.

PARAIRE (Jean), sous-lieutenant au 173e rég.

d'infanterie : officier d'une bravoure souriante.

Blessé avant de monter en ligne, a tenu à garder le commandement de sa section. Le 29 mai 1916, au moment de l'attaque, s'est dressé sur le parapet, suivi de toute sa section, lançant des grenades. A réalisé ainsi, en avant de la tranchée, un barrage infranchissable.

MARTIN (Henri), sous-lieutenant au 173e rég.

d'infanterie : officier d'une très grande bravoure, ne cessant de faire preuve de sang-froid et d'initiative dans les moments les plus critiques. Au cours de 1 attaque du 29 mai 1916.

commandant un petit poste avancé, a repoussé l'adversaire enchantant pendant toute la durée de l'action.

RESSÉGUIER (Léon), sous-lieutenant au 1738 rég. d'infanterie : déjà blessé ; a été tué le 29 mai 1916 au milieu de ses hommes qu'il maintenait dans la tranchée sous un bombardement intense. A donné à tous un bel exemple de bravoure et de sang-froid.

DE DlANOUS (Gabriel), sous-lieutenant au 173° rég. d'infanterie : officier très calme au feu. Le 29 mai 1916, tous les officiers de la compagnie étant hors de combat, a pris le commandement de cette unité décimée par le bombardement ; a réussi à exécuter l'ordre qu'il avait reçu de la porter à proximité de la première ligne sous un bombardement extrêmement violent.

CUOLLET (Maurice), sergent-major au 173*


rég. d'infanterie : la compagnie ayant à tenir 1 un secteur particulièrement dangereuse, a réclamé l'honneur d'accompagner les fractions de première ligne. A été tué le 29 mai 1916 pendant l'attaque au moment où il se portait spontanément en avant pour observer les mouvements de l'ennemi.

QUASTA;A (Jean\ adjudant au 173e rég. d'infanterie : blessé grièvement au début de la campagne, est revenu sur le front à peine guéri.

A participé à toutes les ittaques auxquelles a pris part le régiment. '"A été mortellement blessé, le 29 mai lW;, en tête de sa section qu'il encourageait de son exemple.

(Ordre du 8 juillet 1016.) BLTti, mie 457i, sergent-major au 117e rég.

d'infanterie : très brave sergent-major. Blessé deux fois (dont une grièvement), le ;}J octobre 1^14 à la prise de X. et le 6 octobre l iô à Y., dans un assaut.

„ AUBRON (Auguste). mie C6972, soldat do r classe au 77e rég. d'infanterie : soldat aussi bravo que dévoué. Grièvement blessé le le novembre 1914, en se portant avec sa compagnie en renfort de la première ligne fortement attaquée.

GAUDIN (Georges), mlc07r)i8. serg nt au 63e l'ego d'infanterie : a été blessé grièvement le 2) seDtem bre 1914. en entraînant sa section à l'assaut des tranchées allemandes. Avait déjà fait preuve au feu, de très belles qualités de bravoure, d'initiative et de sang-froid.

MOUTOU (Joseph), capitaine au HOc rég. territorial d'infanterie : officier animé des plus grands. sentiments du devoir. Sur io front depuis le 7 octobre 1914, a fait preuve en plu leurs circonstances de courage et de sang-froid.

Dans la nuit du i, au 7 juin 1916, sa comnaeoie d.mt au travail dans un secteur fortement battu, a su la maintenir sous un violent bombardement par obus de gros calibre qui lui occasionnait des pertes sensibles, donnant l'exemple du mépris du danger; a été enseveli lui-même par un obus et blessé gravement par les éclats (plaies multiples. Est mort des suites de ses blessures.

DENIS, sous-lieutenant observateur à l'escadrille M. F. 40 : pendant l attaque du ::'! juin 1916, a survolé les tranchées ennemies à 50 mètres de hauteur ; amUraiiL- l'ennemi et donné des renseignements à l'artillerie et à l'inianterie. A effectué de nombreuses reconnaissances à longue portée à 1 intérieur des lignes ennemies, en particulier les 8, 12, limars, 7 et 21 mai 1916, A livré de nombreux combats contre des avions de chasse ennemis, les forçant à faire demi-tour ('2, 8, 14 mars, 2i mai, 18 juin 1916), Le 11 mars a eu son avion atteint dans ses parties vitales par des halles ennemies (longeron de stabilisateur brisé, nervure brisée, longeron du plau supérieur atteint).

MAYET (Emile), mis 260, sergent pilote à l'escadrille M. F. 40 : pendant l'attaque du 22 juin, a survolé les tranchées ennemies à 50 mètres de hauteur, Permettant à l'observateur de mitrailler l'ennemi et a eu son avion atteint par les balles. A effectué plusieurs reconnaissaiices et de nombreux réglages, malgré des bombardements violents de 1 ennemi ,24 mai), A iivrj de nombreux combats avec les avions ennemis les forçant à faire demi-tour (9 avril, 1er et 24 mai 1916). A etîectuô de nombreuses reconnaissances de nuit. *

(Ordre du 4 juillet 191G.)

KIEFFER (Louis), lieutenant-colonel, commandant le 115e rég. d'infanterie : remarquable chef de corps. A fait preuve, au cours des attaques ennemies des 2 et 22 juin, do coup d'oeil et de réelles qualités de commandement en déclenchant avec à-propos des contre-attaques énergiques qui on arrêté l'ennemi et l'ont rejeté dans ses lignes avec des pertes sérieuses.

CHOPIN (Lucien), mie -'891.. caporal au 115e rég. d'infanterie : chef d'escouade parfait. D'un courage à toute épreuve. S'est signalé en octo- bre IH15 et le 2 juin 1916, Proposé deux fois pour la médaille militaire. Est tombé glorieusement le 22 juin 1916 aux côtés de son capitaine, en tête d'une contre-attaque.

.QUEYROI (Martial), sous-lieutenant au 115 reg. d'infanterie: officier mitrailleur énergique -et courageux. Le 22 juin 1913 a, au mépris du

danger, placé une pièce sur le sommet, d'un observatoire, est resté à coté, dirigeant le tir et brisant l'élan des assaillants.

CLECII (Jean), mie 4772, sergent-fourrier au 115e rég. d'infanterie: sous-officier comptable d'une grande bravoure au feu. Le 22 juin 1916, a pris part spontanément à une" vive contreattaque à la grenade et a lui-même capturé deux ennemis.

ROBO (Edmond), capitaine au 115e rég. d'infanterie : capitaine au long cours, volontaire dans l'infanterie. Commandant de compagnie d'une hautd valeur morale et militaire. Est glorieusement tombé le 22 juin 1916, grenades eu mains, à la tète d'une contre-attaque.

COLLETTA (François), mie 0320, sergent au 115e rég. d'infanterie : sous-officier modèle. Le 22 juin 1916 s'est opposé avec une grande énergie au progrès de 1 ennemi dans une sape et l'a bravement contre - attaqué, s'emparant luimême d'un fahnenjunkûr, qui se défendait à coups de revolver.

JÔUAULT (Alphonse), mie 4699, sergent au 124e rég. d'infanterie : resté seul gradé de sa section le 3 juin 1'316, après deux assauts, sous un violent feu d'artillerie,, en a pris le commandement et l'a maintenue sur les positions malgré toutes les tentatives faites par l'ennemi pour le tourner.

LEPAGE (Camille), mie 018127, maréchales logis à la 103e batterie de 58 du 44e rég. d'artillerie : sous-otficier modèle, ayant toujours donné 1.3 plus bel exemple de courage et de sang froid. A été tué à son poste de combat, au cours de l'attaque ennemie du 22 juin, en dirigeant le tir de sa section comme à la manœuvre, sous un violent bombardement. (Déjà cité à l'ordre de la division.)

TIELlLLE (Paul), mie 13723, aspirant aul09erég.

d'infanterie : le 27 juin 191'), a été, sur sa demaudû, avec un camarade, reconnaître un mande. d'écoute allemand. Ayant sauté dans la uanchée ennemie, a mis en fuite à coups de grenades quatre Allemands qui se présentaient a l'improviste, puis a reconnu 1 organisation de la première ligne sur une centaine de mètres; a bouleversé le poste d'écoute et est rentré dans nos lignes environ vingt minutes après, ayant fait preuve d'un beau sang-froid et d'un mâle courage.

LOAEC (Jean), mie 013934, caporal au 10ge rég.

d'infanterie : le 27 juin 1916, a été, sur sa demande, a\ec un camarade, reconnaître un poste d'écoute allemand. Ayant sauté dans la tranchée ennemie, a mis en fuite à coups de grenades quatre Allemands qui se présentaient à l'improviste, puis a reconnu l'organisation de la première ligne sur une centaine de mètres; a bouleversé le poste d'écoute et est entré dans nos lignes environ vingt minutes après, ayant fait preuve d'un beau sang-froid et 'd'un mâle courage.

(Ordre du 4 juillet 1016.) MOLAC (Octave) mIe 01318, maréchal des logis, pilote à l'escadrille C. 39 : pilote audacieux, a livré en inoins de trois semaines trois combats aériens : le 1er juin, a tenu tête à un foklicr, au-dessus d'un terrain d'atterrissage ennemi, et l'a forcé à rompre le combat. Le 21 juin, s'est battu avec un L. V. G. et a eu son appareil atteint dans ses œuvres vives. Le 23 juin, s'est porto-an secours d'un de ses camarades attaque par un avion ennemi qu'il a poursuivi jusqu'à moins de 1,300 mètres d'altitude à 2 kilomètres dans les lignes ennemies.

IAMBOTIN (Georges-Louis-François" souslieutenant à titre temporaire au 23 rég. du génie, compagnie 19/3 : o"ficier d'un courage et d'un dévouement remarquables ; a fait preuve, dans de nombreuses circonstances d'un grand sang-froid et d'une grande bravoure. A été glorieusement ensiJveli, le 21 juin 1916, par l'explosion d'un fourneau ennemi, alors qu'il activait par sa présence le travail dans une galerie de mine très exposée.

FAURY (Julien), sous-lieutenant au 342e rég.

d'infanterie, 24e compagnie : a tendu une embuscade sur la rive nord de X., après avoir traversé la rivière avec un parti de neuf hommes. Se trouvait menacé par deux fortes patrouilles allemandes ; s'est bravement lancé en avant, a blessé un officier allemand et l'a entraîné dans la rivière. Grièvement blessé à ce moment, a essayé de rejoindre la rive sud

à la nage, mais a disparu au milieu du coiv rant.

LASSERRE (Léo-Jean), mie 14991, soldat da lre classe à la 162e compagnie do mitrailleusel de position : soldat très brave, faisant parti« 'un groupe de volontaires qui, en embuscade sur la rive nord de X. se trouvèrent menaces par deux fortes patrouilles allemandes, a été atteint par un coup de feu tiré à bout portant. au moment où, s'étant élancé sur l'ennemi, il essayait de ramoner un prisonnier vers la banque avec laquelle son groupe avait traversé la rivière.

VAN W ïNEN DAF.LE (Hémi-Jean-Joseph), mie 2-30, maréchal des logis au 6e rég. de chasseurs : chef volontaire d'une patrouille chargée d'une mission dangereuse; n'a pas hésité, après être revenu dans nos lignes, à sortir à quatre reprises sous un feu violent, pour aller chercher quatre de ses hommes grièvement blessés qu'il a ramené à lui tout seul.

DUCAMIN (Jean), mie 2 1 s, adjudant au 122-rég. d infanterie, 12e compagnie : sous-officier brave et énergique A la tète d'un groupe, s'est jeté, dans ia nuit du 16 juin, sur un poste d'écoute fortement organisé, dont les occupants ont été tués. Contre-attaque à la grenade et son groupe subissant des pertes, n$ s'est retiré qu'après avoir fait dégager trois da ses hommes blessés et les avoir ramenés dans nos lignes.

ROUX (Pierre), mie 1760, adjudant au 122e rég.

d'infanterie, 10e compagnie : sous-officier brave et énergique. A latèie d'un groupe, s'est jeté, dans la nuit du 16 juin, sur un poste d'écoute fortement organisé, dont les occupants ont été tués, Contre-attaqué à la grenade et entouré, s'est dégagé En luttant, est rentré le dernier dans nos lignes.

FARRÉ Jean), mie 11S8, sergent à la 10e compagnie du 122e rég. d'infanterie : sous-officier brave et énergique. AJa tête d'un groupe, s'est jeté, dans la nuit du 16 juin, sur un poste d'écoute fortement organisé dans lequel il a pénétré. Serré de près par une contre-attaque, a réussi à ramener sous un feu violent un de ses hommes blessés. ,

LAURENT (Georges-Louis-Marie), capitaine commandant la 15e compagnie de mitrailleuses du 62e rég, d'infanterie : jeune officier d'un courage magnlliquJ. Blessé trois fois dans des circonstances glorieuses. Déjà cité à l'ordre de l'armée. L3 11 juin 1916, pendant un violent bombardement de nos tranchées, a choisi pour mieux régler les tir de notre artillerie. un poste d'observation découvert et très exposé, où il a été tué par une torpille.

QUENE.V.U (Jules-Léon), capitaine au 6e rég.

de chasseurs : s'est distingué en toutes circonstances car sa bravoure. A reçu des blessures graves et multiples en accompagnant un groupe de cavaliers détaché pour une opération dans un secteur d'infanterie.

PERRAULT (Charles), lieutenant observateur en avions au iUle rég; d'artillerie lourde: observateur en avion depuis le 5 mai 1915, a accompli plus de 16J heures de vol sur les lignes souvent" dans dos conditions extrêmement périlleuses. A rendu devant X. les plus signalés services pour le réglage du tir du groupe auquel il était attaché. Au cours, de ses vols, a reçu de nombreux éclats d'obus dans son appareil et a livré des combats aériens. Le lor juin, a attaque énergiquement up fokfcer qui avait surpris un de ses camarades et l'a forcé à atterrir dans ses lignes.

CIIAMBREUIL (llenoit), capitaine au 404e rég.

d'infanterie : à peine guéri d'une première blessure, a rejoint le front; blessé à nouveau au cours d'une reconnaissance, a réconforté sur son passage et fortement impressionné ses camarades par son énergique attitude, malgré ses souffrances.

BARBOTEAU (Alfred-René), lieutenant au 93* rég. territorial d'infanterie : a préparé avec habileté une embuscade et exécute avec sangfroid et énergie un coup de main où il a réussi à faire des prisonniers sans perdre un homme.

VEILLET-LAVALLÉE (Charles-Joseph), mla 1591, sergent au 93e rég. territorial d'infanterie: a participé comme volontaire à un coup da main qu'il a exécuté avec sang-froid et énergie et a contribué à ramener deux prisonniers sana, perdre un homme.


LENEUF (Paul), mie 13218, sergent au 53e rég.

d'infanterie : sous-officier très brave, qui blessé trois fois, est revenu deux fois sur le front sur sa demande et sans attendre d'être guéri. LAVILLEDIEU, capitaine au 2e rég. du génie, compagnie 19/3 : au cours d'une rencontre souterraine avec l'ennemi, a pris résolument Ht tête d'un détachement destiné à porter une charge d'explosifs au contact même de la galerie allemande, a trouvé une mort glorieuse en tentant cette périlleuse opération.

(Ordre du 3 juillet 1S1G.) BERNARD (Charles), lieutenant-colonel, commandant le 47e rég. d'artillerie : chef de corps de premier ordre. A parfaitement rempli les missions qui lui étaient confiées pendant les opérations devant X. et a puissamment aidé pir des concentrations de feu habilement dirigées, à arrêter plusieurs attaques ennemies.

DUMONT (Camille-Léon), capitaine aul33crég.

d'infanterie : officier d'une très grande bravoure; s'est signalé dans toutes les affaires auxquelles il a pris part. Au cours d'une reconnaissance dans un secteur très dangereux, n'a pas hésité à se porter, au secours de son lieutenant blessé, en un point repéré par.l'ennemi. Blessé lui-même en pansant son subordonné.

PONT (Honoré-Louis), capitaine il l'état-major d'une place : en octobre 1915, étant de service , dans une gare, est sorti spontanément de son abri, pendant un bombardement par avions, pour faire rentrer des employés circulant sur le quai. A été atteint par cinq éclats de bombe.

ARGENCE tYalentin-Paul-Iichel), capitaine au 215e rég. d'infanterie officier d'une énergie et d'une bravoure remarquables. Blessé mortellement en se portant en première ligne, dès le début d'un violent bombardement, a continué à donner des ordres et à encourager les soldats qui l'entouraient. Se sentant perdu, a prescrit, avant de.se laisser évacuer, toutes les mesures de défense indispensables. S'est évanoui en prononçant ces paroles : « Surtout faites bien atlention cette nuit. » Est mort quelques heures après.

- POUJOL (Jean), lieutenant au 213e rég. d'infanterie : officier pie n d'entrain, n'a cessé de donner depuis le début do la campagne les preuves les plus brillantes do dévouement et de courage. Au cours d'un violent bombardement à la suite d'une explosion de mine, a trouvé une mort g orieuse au milieu de ses grenadiers qu'il préparait, avec sa bonne humeur habituelle; à repousser toute tenta- tive d'attaque.

I1EUDE (Georges-Marie), lieutenant au 5e bataillon de chasseurs àjied : officier de grande valeur, glorieusement tonibi en exécutant, en tête de sa troupe, une reconnaissance dangereuse.

DURAND (Marius-Henri), lieutenant au 22e bataillon de chasseurs jeune officier qui a commandé remarquablement sa compagnie sous le feu presque journalier de l'artilierie ennemie.

A su maintenir très haut le- moral de ses chasseurs. Au cours d'un bombardement intense a mené avec vigueur et entrain une contre-attaque heureuse.

CORTEYN (Marcel), lieutenant à la lre compagnie de mitrailleuses du 22e bataillon de chasseurs: npr's avoir assuré lui-même la mise en bait rie à découvert d'une de ses pièces, s'e;,t précipité à la t te d'un petit groupe pour refouler un reconnaissance ennemie qui tentait d'aborder nos lignes. S'est imposé à l'admiration de tous par sa bravoure et son énergie.

PQURCIN {Robert" sous-lieutenant au 22e bataillon de chasseurs : momentanément isolé, et se trouvant brusquement en face de deux allemands qui le sommaient de.se rendre, leur a' répondu à coups de revolver, puis s'est élancé avec ses hommes à la contre-attaque.

Blessé -d'un coup de feu à bout portant, n'a - consenti à quitter le commandement de sa *■ section, qu'après avoir eu la certitude que l'ennemi était repoussé.

SERBRUN (Paul-Louis), sous-lieutenant au 51e bataillon de chasseurs : officier d'un beau courage' et d'une énergie à toute épreuve. En novembre 1914, s'est porté, avec sa compagnie, - à l'attaque de positions occupées par l'ennemi;

est tombé mortellement frappé en tête de ses hommes au moment où il obligeait les Allemands à battre en retraite.

DORMOY (Georges-Emile), sous-lieutenant au 7e bataillon dé chasseurs : jeune officier venu de l'artillerie sur sa demande, s'est constamment distingué depuis le début de la campagne, par sa bravoure et son énergie. Fait prisonnier en janvier 1916, est parvenu à s'évader aveé quatre hommes de troupe, grce à un plan hardiment conçu et froidement exécuté.

SAVEY-CASARD (Alfred-Marie), sous-lieutenant au 133e rég. d'infanterie : jeune officier ayant montré, depuis le début de la campagne, les plus brillantes qualités militaires. Tombé glorieusement dans un poste particulièrement dangereux où il s'était rendu pour assurer la protection dj sa troupe contre les effets d'une explosion de mine imminente.

VIGNON (Jules-Henri), sous-lieutenant a i 30e bataillon de chasseurs : libéré de toute obligation militaire, s'est engagé pour la durée de la guerre ; a été très grièvement blessé au cours d'un violent combat.: revenu au front, y montre les plus belles qualités militaires.

PELLETERAT DE RORDE-SOMMÉRÉ (MarieMaurice-IIenri), sous-lieutenant au 15e bataillon de chasseurs : en janvier 1915, a rassemblé plusieurs groupes d'un régiment dont le colonel et l'état-major venaient d'être ensevelis sous un bombardement violent et les a portés à l'assaut. A été très grièvement blessé.

SCHWARTZ dit LEN01R (Charles-François), mie 310, interprète stagiaire au 5e bataillon territorial de chasseurs : Alsacien dégagé par son âge de toute obligation militaire, est venu spontanément du Canada dès le premier jour de la mobilisation se mettre au service de la France. A toujours fait preuve d'un courage allant jusqu'à la témérité. Blessé mortellement, en accompagnant son chef de corps aux tranchées de première ligne.

CIIEVROT (Claude-Marie), mie 012, adjudant à la compagnie 27/4 du 11e rég. du génie: sousofficier très brave et d'un dévouement à toute épreuve. Est mort asphyxié en organisant le sauvetage de ses sapsurs, tombés dans les galeries, à la suite de l'explosion d'un camoailet ennemi.

FERRY (Paul-Constant), mie 9513, sergent à la compagnie 27/4 du 11e rOg. du génie : excellent sous-ofilcier, est revenu, comme volontaire pour partiper à une guerre de mines au cours de laquelle, il avait déjà été blesse. A été surpris et enseveli par l'explosion d'un camouflet ennemi au moment où il s'assurait de la bonne marche d'un de ses chantiers.

DECORNE (Fernand-Renc), mie 3591, sergent au 24e bataillon de chasseurs : sous-oificier remarquable, modèle de bravoure et de sangfroid, toujours volontaire pour les missions périlleuses, entra'nant s3s chasseurs par son exemple et sa gaieté. Blessé grièvement à son poste de combat.

GIRARD (Joseph), mle 013536, sergent au 213e rég/ d'infanterie : excellent sous-officier qui s'est toujours fait remarquenpar son énergie et son courage. A été grièvement blessé en entraînant sa demi-section à l'attaque d'une tranchée ennemie.

FAURE (Antoine-IIyppolyte), mie 3021, caporal mitrailleur au 30e bataillon de chasseurs : au front depuis le début do la campagne, chef de pièce énergique et d'une grande bravoure.

Blessé mortellement en soutenant avec le plus grand mépris du danger une violente lutte d'engins de tranchées.

COMDARET (Jean-Marie), mie 2682, chasseur de lre classe au 22e bataillon de chasseurs : mitrailleur d'élite. Enseveli à son poste de guet par la chute d'un projectile, n'a cessé, pendant les quatre heures qu'il a fallu pour le dégager, d'encourager ses camarades, De proférant pas une plainte malgré sa main broyée et sa jambe cassée.

MARCOUX (Pégis), mie 680, chasseur au 115e bataillon de chasseurs : chasseur d'élite. Ayant eu le bras traversé par une balle alors qu'il était guetteur en avant de la tranchée, n'a pas quitté son poste; une fois relevé, n"a pas voulu abandonner le bataillon. Blessé pour la cinquième fois depuis le début de la campagne.

SEJALOîî (François), m'e 05958, chaueur au

68e bataillon de chasseurs : excellent chasseur 'qui n'a cessé, depuis le début de la campagne, de donner des preuves de courage et de dévouement. Tombé glorieusement à son poste de combat.

BURNET (Paul-Camille), mie 01519, chasseur au 28e bataillon do ch isseurs : chasseur très brave et très énergique blessé grièvement en allant renforcer une tranchée qui était sérieusement menacée; blessé pour la troisième fois.

TEYSSEiRE (Iaxime-Paul), mie 3253 chasseur au 28e batailon de chasseurs : excellent chasseur qui a toujours fait preuve de beaucouq de courage, notamment en transmettant des ordres dans les circonstances les plus périlleuses. Grièvement blessé en s'élançant vaillamment à l'attaque.

CA VAlLLIEi1.(François-Henrï-Joseph),mle 6746, chasseur au 5e bataillon du chasseurs : chasseur plein de courage et d'entrain. Lors d'une opération dangereuse. est parti à l'attaque en donuant J"oxem¡J} de la bravoure et du mépris du danger, a été gravement atteint en soignant, sous un feu violent, un camarade blessé.

DUVIYJER (Clicrles), mie fOlR, chasseur au 105" bataillon de chasseurs : excellent chasseur, d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. Très grièvement blessé en septembre lJi5, au moment oj il se portait à l'assaut des retranchements ennemis sous un feu violent de mitrailleuses.

DELPH1N-POULAT (Pierre), mie 01584, chasseur au 1 Ie bataillon de chasseurs: excellent et vaillant cha seur. A participl, avec un sangfroid qui a fait l'admiration de tous, aux journées les pins dures de septembre 1915. A trouvé une mort glorieuse dans l'accomplissement de son devoir.

NICOLEAU (Maurice), mie 3952, chasseur au 6e bataillon de chasseurs : très bon chasseur, mortellement blessé en mars 1915, en faisant vaillamment son devoir.

(Ordre du 30 juin 1916.) DERAMOND (Pierre-Joseph), sous-lieutenant à l'escadrille M. F. 36 : observateur qui a fait preuve pendant un an des plus belles qualités dintellig nco et de caractère au cours de recohnaissances, de réglage-, de bombardements, et de combats. Le 26 avril 1916, pendant une reconnaissance de nuit, a poursuivi et attaqué un zeppelin, a soutenu le "combat jusqu'à épuisement de ses munitions et a dû atterrir en pays neutre, l'avion criblé de balles et gravement endommagé.

BRUNEAU (Louis-Alfred), mie 1010, soldat do lre classe auoc rég. d'infanterie : mortellement blessé par un obus à son poste de guetteur uu bras et une jambe brisés, l'autre jambe bro ée), a fait preuve d'une énergie et d'un stoïci-ma absolument hors de pair. Soldat modèle, plein de courage et d'entrain.

(Ordre du S juillet 1916.) LEAU (Ernest-Georges), mie 1126, soldat de lrc classe, mitrailleur à l'eseadrilie C. 65 : le 22 juin 1916, a exécuté un raid de plus de 300 kilomètres eu territoire ennemi. A été, pour son pilote, au milieu des difficultés et des dangers, un collaborateur précieux, plein do sang-froid, de résolution et d'audace.

BRUN, sous-lieutenant, pilote à l'escadrille C. 66 : le 22 juin, a exécuté un raid de plus de 300 kilomètres en territoire ennemi. Y a témoigné des qualités exceptionnelles d'endurance et d'énergie, et à contribué, pour une part importante, au succès de l'entreprise.

PARENT (Louis), mie 2007, sergent pilote & l'escadrille C. 66 : le 22 juin 1916, a exécuté un raid de plus de 300 kilomètres en territoire ennemi. Chargé, à bord de l'avion, du commandement de l'itinéraire de l'escadrille, s'est acquité de sa tâche difficile, au milieu des plus grands dangers, avec un sang-froid et une habileté incomparables.

RAPIN (Jacques-Marcel), sergent, pilote à l'escadrille C. CG : mie b95 : a fait preuve d'une ardeur exceptionnelle lors du raid du 22 juin 1916. Son avion d'arme étant indisponible, a pris part au raid sur un avion d'instruction; s est attaché à suivre l'avion de son chef d'escadrille, et lui a porté un secours précieux dans des circonstances difficiles. HAPPE (Félix-Louis-Maurice), capitaine commandant le 4e groupe de bombardement -


officier d'une énergie et d'une bravoure incomparables. A toujours réussi à exécuter les missions, malgré les efforts de l'aviation ennemie.

Le 22 juin 1916, au cours d'une expédition sur la rive droite, a engagé un combat avec un « fokker » que son mitrailleur a pu abattre.

AUZANNEAU (Marc-Robert), sergent à l'escadrille M. F. 29 : excellent sergent pilote, a pris part à neuf raids à longue distance, en territoire ennemi. A dû atterrir dans les lignes allemandes, lors de l'expédition du 22 juin 1916.

BRICE-BRETOCQ (Marcel), lieutenant à titre temporaire à l'escadrille M. F. 29: au retour du raid du 22 juin 1916, a été attaqué par trois avions allemands. Blessé au cours du combat, ii pu néanmoins ramener son avion dans nos lignes.

PAUTRAT (Frédéric-Louis), mie 935, caporal au gt'oupe de bombardement no 4 : a pris part à de nombreuses expéditions à grande distance.

Le 22 juin 1916, au cours d'un raid en territoire ennemi, a livré quatre combats, au cours desquels un « fokker » a piqué en vrille dans les lignes allemandes.

(Ordre du 3 juillet 1916).

DITTE (uffia-Alfred), adjudant au 19e escadron du train, interprète à l'armée britannique: mobilisé en Chine, a demandé à faire campagne en France. Attaché comme interprète à une brigade d'artillerie anglaise a pris part avec son unité à de nombreux combats au cours desquels il a fait preuve du plus grand sangfroid et du plus grand courage. A été tué à son poste avec le commandant do la batterie qu'il accompagnait le 23 janvier 1916.

BRUNET, lieutenant-colonel, commandant l'artillerie du corps expéditionnaire des Dardanelles : a commandé avec une particulière distinction une artillerie divisionnaire et l'artillerie du c. E. D. Pendant la période du 3 au 8 JanVier 191G, chargé du commandement da l'artillerie et des derniers détachements français, passés sous les ordres d'un général anglais au cours d'une opération particulièrement délicate et difficile, a, dans l'accomplissement de cette mission, montré des qualités de savoir, méthode, sang-froid et courage personnel remarquables qui lui ont valu las appréciations les pt us élogieuses de la part du général en chef commandant les troupes alliées.

JUGE (René-Clément), lieutenant de vaisseau, commandant la batterie de 14 de marine C. E. D. : a commandé la batterie de li do marine pendant six mois, tirant sans interruption nuit et jour, bien que très exposé au tir des batteries ennemies, donnant l'exemple du courage et du sang-froid à tout son personnel, au moment des plus violents bombardements, notamment le 20 décembre 1J15, au moment où un officier fut blessé et deux canonniers tués.

A revendiqué l'honneur de rester le dernier, le 8 janvier 1 .>16, alors7 que dans une situation particulièrement délicate, il y avait à remplir une mission des plus périlleuses.

GONNET-TIIOMAS (Louis), capitaine de l'escadrille N 65 : payant toujours d'exemple, obtient le maximum de rendement dans son escadrille.

Le 23 janvier, protégeant une opération, a continué à assurer son rôle à 20 kilomètres à l'intérieur des lignes allemandes, malgré que son avion eût une commande immobilisée. A mis en fuite un fokker attaquant un appareil de bombardement. Le 24 janvier, a engagé deux combats, dont l'un très rapproché, à des avions do nouveau* modèle et puissamment armés, a très sérieusement touché l'un d'eux qui a disparu, désemparé, dans les nuages.

SÉJOURNÉ (Maurice), lieutenant-observateur à l'escadrille V. B. 105 : observateur à la V. B. 105, montre un entrain, une bravoure et un sang-froid qui ne se sont jamais démentis. Le 23 janvier, attaqué à faible distance par trois avions annemis, a, par une manœuvre résolue, mis en fuite l'un des adversaires, fait abandonner la lutte aux deux autres et reçu 3 balles dans l'appareil et très près de lui. ÓA ensuite exécuté sa mission de bombardement..

AMANS (Charles), sergent-pilote à l'escadrille V, B. 105 : pilote très adroit, ne cesse de St.

signaler par son courage et son sang-froid. Le 23 janvier, au cours d'un bombardement, attaqué à faible distance par trois avions ennemis, à courageusement chargé l'un de ses adversaires, l'a mis en fuite par cette manœuvre résolue, fait abandonner la lutte aux deux autres. a reçu 3 balles, dans l'appareil auprès

du réservoir d'essence. A ensuite exécuté sa mission de bombardement.

JULLlEN DE COURCELLES (Smaradg), maréchal des logis à l'escadrille N° 65 : ne cesse de se signaler par son activité et son audace. Le 23 janvier, a mis en fuite un avion ennemi attaquant un appareil da bombardement. Le 24, n'a pas hésité à se placer dans des conditions plus périlleuses pour mieux rejoindre un avion trop rapide, a essuyé son feu, attendant d'être à bonne portée : a reçu onze balles dans son appareil, dont deux "dans les organes vitaux (moteur, réservoir), atteint lui-même, n'a voulu rompre le combat qu'à l'arrivée de ses camarades et a réussi à ramener son appareil.

LE ROY (Michel), sergent-pilote à l'escadrille N° 65 : déjà cité, a fait preuve des plus belles qualités de courage et de solidarité-, parti sans prendre le temps de revêtir ses effets de vol, a dégagé un de ses camarades, en état d'infériorité, dans un combat avec un avion ennemi, a réussi, d'ap.Is les rapports des postes de guet, à abattre son adversaire.

VIAL (Del), maréchal des logis, pilote à l'escadrille M. F. 29 : maréchal des logis pilote aviateur, a fait de nombreux bombardements à longue distance en territoire ennemi et a toujours obtenu d'excellents résultats. Très bon pilote, ne s'est jamais laissé arrêter dans sa mission par les attaques de l'ennemi.

PEAULT (René), mécanicien à l'escadrille M. F. 29 : a pris part comme bombardier à de nombreuses expéditions de bombardements au cours desquels il a fait preuve de beaucoup do sang-froid et de courage. Le 20 juillet UL>, a trouvé une mort glorieuse au cours d'un combat avec un avion ennemi.

PAUTRAT (Frédéric), bombardier mitrailleur à l'escadrille M. F. 29 : bombardier mitrailleur, a fait de nombreux bombardements à longue distance dans les conditions les plus dangereuses et, grâce à la précision de son tir, a obtenu des résultats très efficaces. A livré de nombreux combats contre des avions ennemis, au cours desquels il a fait preuve d'un courage exemplaire. A eu, à plusieurs reprises, son appareil sérieusement atteint par les éclats d'obus et les bades ennemies.

(Ordre du 22 février 1916.)

Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914, Arrête : AI'licle unique. - Sont inscrits au tableau spécial de la médaille militaire, les militaires dont les noms suivent : (Pour prendre rang du 23 décembre 1915.) MOUSSA SIDIBE. mie 2 TS 11811, sergent au rég. indigène du Gabon : excellent sousofiiéier, s'est particulièrement distingué au combat du 23 décembre 1915 où il a été grièvement blessé. Amputé dune cuisse. (Croix de guerre. )

(Pour prendre rang du 10 septembre 1916.) BROUTIER (Jean), maréchal des logis à la compagnie saharienne de la Saoura : s'est particulièrement signalé à l'attaque du 2 > mai, par le sang-froid et la hardiesse avec lesquels il a conduit sa section. (Croix de guerre.) Paris, le 16 septembre 1916.

ROQUES.

Le ministre de la guerre, Yn le décret du 13 août 1914, Arrête : Article unique. — Sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire les militaires dont les noms suivent : LÉGION D'HONNEUR Pour commandeur.

(Ponr prendre rang du 13 août 1916.} LECHÈRES (Antoine), colonel commandant le iOe rég. d infanterie : a brillamment conduit à

l'assaut les réserves de son régiment sur un glacis entièrement découvert, électrisant ses officiers et ses hommes par son exemple. A été grièvement blessé en se maintenant énergiquement sur la position conquise. Déjà cité à l'ordre. Pour offidcr.

(Pour prendre rang du 4 août 1916.) BOUCHEZ (Auguste-Edmond), chef de bataillon de réserve au 41, rég. d'infanterie coloniale : a fait preuve de réelles qualités militaires à la tête de son bataillon, notamment dans un secteur difficile soumis à un furieux bombardement. Violemment attaqué par l'en, nemi, qui avait pris pied dans quelques tranchées, l'a repoussé par de rapides et brillantes contre-attaques, affirmant une fois de plus sec éminentes qualités d'énergie, de décision et de mépris du danger. A été blessé très grièvement au cours de l'action.

(Pour prendre rang du 14 août 1916.) FERAUD (Léandre-Charles-Henri), médecinmajor de lrc classe au 3Ge rég. d'infanterie coloniale : n'a cessé de donner l'exemple du dévouement et de l'abnégation. A assisté à tous les engagements auxquels a pris part le régiment et, au cours de chaque combat, s'est dépensé sans compter et prodiguant ses soins aux blessés jusque sur la ligne de feu. Déjà deux fois cité à l'ordre. Le 13 août 1916, a été blessé au poste de secours où, sous un violent bombardement, il assurait avec son courage et son dévouement habttuels l'évacuation des blessés.

(Pour prendre rang du 19 août 1916.) LAMAIN (René Paul-Gaétan), chef de bataillon à titre temporaire au 3e rég. de marche de tirailleurs: officier supérieur remarquable d'allant et d'énergie. Les premières vagues d'assaut ayant été arrêtées par un tir violent de mitrailleuses ennemies, a repris sa troupe en main et a réussi à la reporter en avant sur la position d'où elle avait été rejetée. Le lendemain, profitant adroitement de l'eïîet d'un tir très efficace de notre artillerie, a continué la progression en avant et s'est maintenu énergiquoment sur la position.

(Pour prendre rang du 21 août 1916.) LEQUIME (Alexandre-Charles-Emile), colonel au 1er rég. d'artillerie de campagne : a su parfaitement assurer du 15 au 30 juillet 1916 l'emploi de l'artillerie dans un secteur violemment attaqué, protégeant avec habileté la progression de sa division sur un front de 1.200 mètres et déjouant par la précision et l'à-propos de ses tirs toutes les attaques de l'ennemi. A obtenu le maximum de rendement de sa troupe dont il a maintenu le moral par sa présence dans les moments les plus difficiles.

Déjà cité à l'ordre.

Pour chevalier.

(Pour prendre rang du 25 mai 1916.) MÉDYNSKI (Constantin-Jean), sous-lieutenant de réserve au rég. de tirailleurs marocains : officier énergique et brave. S'est particulièrement distingué, au combat du 22 mai 1916, par l'entrain avec lequel il a mené sa section à l'assaut d'une position allemande. A été trt.

grièvement blessé au cours de l'action.

(Pour prendre rang du 7 août 1916.) DAVID (Célestin-Louis-Marie), sous-lieutenant au 25e rég. d'infanterie : officier d'une bravoure et d'un sang-froid à toute épreuve, montrant en toutes circonstances le plus grand méprit du danger. A été très grièvement blessé, la 6 août 1916, au cours d'un violent bombardement.

(Pour prendre rang du 9 août 1916.) GERBAULET (Marie-François-Edmond), capitaine au 1er rég. du génie, compagnie 5/7: excellent officier d'une bravoure et d'un dévouement remarquables. Déjà deux fois cité à l'ordre pour sa belle conduite au feu. A été très grièvement blessé, le 3 août 1916, au cours d'uli violent combat.

GAILLARD (André-Alexis), lieutenant au4erég.

de marche de zouaves, compagnie do mitrailleuses : excellent officier. Très grièvement blessé en repoussant une attaque ennemie, Il 7 août 1916, n'a pas voulu quitter son postt


avant d'avoir passé les consignes afférentes à la compagnie de mitrailleuses, qu'il commandait et recommandé à son personnel de tenir coûte que coûte sur la position. Déjà deux fois site à 1 ordre.

(Pour prendre rang du 10 août 1016.) PASSOLS (Georges-Antoine-Emilo), sous-liou.enant à titre temporaire à la 10* compagnie du 207e rég. d'infanterie : oflicier courageux.

k été blessé très grièvement au cours des iliaques du 3 août 1J16..Amputé du bras droit.

(Pour prendre rang du U août 1913.) DEVITERNE (Emile-Gustave; sous-lieutenant observateur à l'escadrille N. 38 : observateur qui s'est toujours distingué par un entrain et un dévouement remarquables. Le 8 août 1916 au cours d'une reconnaissance a engagé la .utte contre deux avions de chasse ennemis.

A été très grièvement blessé après avoir forcé :'un d'eux à piquer désemparé dans ses lignes.

GÉRARD (Ernest-Louise, sous-lieutenant à titre temporaire au 411e rég. d'infanterie : très inn officier, énergique et brave, déjà cité à l'ordre. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 10 août 1916.

(Pour prendre rang du 12 août 1916.) YALLOT (Edouard-IIippolyte-René), capitaine adjudant-major au 5ebataillon du 205 rég..d'infanterie, mie 131: officier énergique et très brave. Au combat du 1er août 1916, à un moment critique, s'est élancé en avant, do sa propre initiative. à la tête d'une poignée d'hommes, a rejeté l'ennemi, ramené des prisonniers et permis l'organisation rapide du point conquis. A pris ensuite la direction des travaux commencés sur ce point et, malgré un furieux bombardement, les a menés à bien, donnant un bel exemple de sang-froid et de ténacité. RACT (Alexandre), mie 76, lieutenant de territoriale à titre temporaire à la 20e compagnie du 205e rég. d'infanterie : officier d'une bravoure calme et d'une rare énergie, véritable entra:neur d'hommes; s'est brillamment distingué dans tous les combats auxquels il a pris part. Déjà cité à l'ordre. Le 20 juillet 1916 s'est élancé à la tête de ses grenadiers au devant d'une troupe allemande qui avait envahi un boyau; l'a repoussée et contenue toute la journée, malgré des contre-attaques réitérées.

LENABLE (Alphonse-Léon), sous-lieutenant de réserve au 319tt rég. d'infanterie : très bon officier s'est toujours fait remarquer par sa bravoure et son allant. Quatre fois blessé, et revenu chaque fois au front sur sa demande.

Déjà cité à l'ordre. A été atteint très grièvement, une cinquième fois, le 31 juillet 1916, en dirIgeant la construction d'une tranchée à proximité de l'ennemi. 40 BORNE (Charles-Maxime'. sous-lieutenant de réserve à la 2e compagnie du 2;® rég. d'infancrie : officier brave et plein de sang-froid, déjà cité à l'ordre. A été blessé très grièvement le ':JO juillet 1916, en entraînant sa section a l'assaut ma'gré un violent feu do barrage et le tir ininterro,,npu des mitrailleuses ennemies.

(Pour prendre rang du 13 août 1915.) PECII (Haymond-Louis-Jean), capitaine au 170e rég. d'infanterie : officier superbe de bravoure et de sang-froid. Déjà cité à l'ordre. A été blessé très grièvement le 12 août 1916, en conduisant à l'assaut un bataillon dont il venait de prendre le commandement. N'a consenti à êt. e évacué qu'après avoir vu le succès 4o l'attaque qu'il avait contribué à assurer.

CLERMONT (Paul), lieutenant, à titre temporaire, de réserve au 9e rég. de marche de zouaves (compagnie de mitrailleuses) : très bon officier, d'un dévouement et d'une attitude au feu remarquables. Déjà deux fois cité à l'ordre.

A pris part, de la façon la plus brillante, à l'assaut du 12 août 1916. A été blessé très grièvement ce même jour en faisant une reconnaissance extrêmement périlleuse en avant du terrain conquis.

(Pour prendre ranjg du 14 août 1915 ) DE CHAUVERON (Edmond-Marie - Robert), sous-lieutenant au 82e rég. d'infanterie : excellent officier, d'un courage calme et résolu. A été très grièvement blessé, le 12 août 1916, alors qu'il dirigeait en première ligne la pose

de défense» accessoires devant le point le plus dangereux du secteur.

(Pour prendre rang du 15 août 1916.) DE LA CROIX (Henri-Marie-Joseph), capitaine au 4e rég. de marche de zouaves, 4e zouaves: officier énergique et brave, remarquable par son sang-froid et son mépris du danger. Déjà deux fois blessé et deux fois cité à l'ordre. A été de nouveau blessé très grièvement le 8 août 1916 au cours d'une reconnaissance périlleuse.

(Pour prendre rang du 19 août 1916.) VALLET (Antoine), mie nt 933, lieutenant à titre temporaire à la 10e compagnie du 134e rég.

d'infanterie : officier brave et plein d'allant, déjà deux fois cité à l'ordre pour sa brillante attitude au feu. Le 4 août 1916, a pénétré le premier dans un village fortement organisé au cours de la contre-attaque qui nous en a rendus maitres. A été atteint d'une blessure grave, le 6 août, en organisant la position conquise.

GRAPINET (Marcel-Victor), capitaine à la 10* compagnie du 2e rég. da tirailleurs da marche : le 15 juillet 1916, a énergiquement entraîné sa compagnie à l'attaque sous un feu particulièrement violent de mitrailleuses et d'artillerie. S'est accroché au terrain conquis pendant plus de trente heures, profitant de la nuit pour rétablir la liaison et permettant à des fractions plus en arrière de reporter notre ligne à sa hauteur.

M ARTIGNY (Emile-Iarcel), capitaine au 2e rég.

de marche de tirailleurs, compagnie de mitrailleuses : officier d'une énergie et d'une bravoure rares. Le 15 juillet 1916 a brillamment enlevé sa compagnie de mitrailleuses à l'attaque, sous un feu extrêmement violent. A commandé lui-môme ses pièces jusqu'au moment où il a été très grièvement blessé. Déjà cité à l'ord:e.

ROCHAT Albert-Georges), capitaine au 3e rég.

de marche de tirailleurs : excellent commandant de compagnie, modèle de courage et de sang-froid, déjà trois fois blessé. A été blessé très grièvement, le 17 juillet 1916, au cours d'une reconnaissance particulièrement périlleuse.

EMPTAZ (Antlielme-Antoine), sous-lieutenant à titre temporaire au 3e rég. de marche de tirailleurs : modèle de bravoure et d'énergie, s'est maintes fois distingué au cours d'une reconnaissance périlleuse. Déjà deux fois cité à l'ordre. Le 19 juillet 1916 a contribué pour une large part au succès d'un coup de main sur un fortin solidement organisé.

LARRASSIETTE (Jean-Emile), sous-lieutenant à la 10e compagnie du 2e r g. do marche de tirailleurs : oflicier d'une bravoure et d'un entrain exceptionnels. Déjà une fois blessé et deux fois cité à l'ordre. Le 15 juillet 1916 a entraîné énergiquement si section à l'attaque, s'est accroché au sol conquis pendant deux jours et deux nuits, permettant aux fractions voisines d'accentuer leur avance.

BRICHET (François-Joseph), sous-lieutenant au 2e. rég. de marche de zouaves : brillant officier, d'un allant et d'un courage rares. Commandant la première vague au cours de l'attaque du 19 juillet 1916 s'est précipité sur l'ennemi avec sa section et a, de .sa main, abattu plusieurs Allemands qui cherchaient à résister.

Est arrivé le premier sur la position et l'a aussitôt organisée.

CANERI ;Augustc-Jean-Baptiste), lieutenant, au 3e rég. de marche de tirailleurs officier plein de bravoure et de sang-froid. Déjà deux fois cité à l'ordre. A été très grièvement blessé le 15 juillet 1916. en entraînant sa compagnie à l'attaque des lignes ennemies.

MARMOTTIN (Eugène-Augustin), capitaine à la compagnie 19/1 du 2e rég. du génie : excellent officier, énergique et brave, qui s'est maintes fois distingué au cours de la campagne.

Déjà cité à l'ordre. A été blessé très grièvement, le 20 juillet 1916, en effectuant une reconnaissance particulièrement dangereuse.

PROFFIT (Elie-Lucien). lieutenant de réserve à titre temporaire au 3e rég. do marche de zouaves : officier intrépide, coutumier d'actes de bravoure, déjà cite à l'ordre pour sa belle tenue au feu, s'est encore distingué à l'attaque du 18 juillet 1916 en enlevant avec un entrain et un mépris du danger remarquables sa compagnie à l'assaut. a

RIVIÈRE (Aimé-François-Charles), mie 13906, sous-lieutenant à titre temporaire au 2e rég.

de marche de zouaves : officier énergique et plein d'allant. Chargé, le 18 juillet 1916, avec sa section et deux équipes d3 grenadiers d'enlever une position ennemie, n'a pas- hésité à sortir le premier de la tranchée, donnant ainsi à ses hommes un bel exemple de bravoure et d'abnégation. A été très grièvement blessé au cours de l'action.

LEYDET (Pierre-Bernard), sous lieutenant à titre temporaire au 2e rég. de marche de zouaves: excellent officier, modèle de bravoure et d'entrain, déjà trois fois blessé et quatre fois cité à l'ordre. Vient encore de se signaler par sa belle conduite au cours des derniers combats. A été grièvement blessé, le 9 juin 1916.

(Pour prendre rang du 20 août 1916.)D'OTTON LOYEWSKI (Hyppolite-Charles-Roger), capitaine à l'état-major d'une division d'infanterie: officier qui a fait preuve d'un courage et d'un mépris du danger dignes d'éloges. A exécuté, pendant la période du 16 juillet au 3 août 1916, plusieurs reconnaissances périlleuses, qui ont permis d'assurer une excellente préparation des attaques.

COU fi (Léod-François), sous-lieutenant à la 12e batterie du 44e rég. d artillerie : très bon officier, énergique et plein d'allant. Déjà cité à l'ordre. Très grièvement blessé, le 25 septembre 1915, a donné à sa batterie le plus bel exemple d'endurance, de sang-froid et de dévouement, (Pour prendre rang du 21 août 1916.) JACQUOT (Léo-Paul), capitaine au 4e rég. de zouaves, 42e compagnie. lie de marche : le 5 août 1916, a brillamment conduit une contre-attaque à la tête de sa compagnie, sous un barrage d'artillerie très violent/Trièvement blessé, n'a pas voulu quitter son poste de combat et est resté toute la journée avec ses hommes, leur donnant ainsi un bel exemple de courage et d'abnégation. Déjà cité à l'ordre. -.

COMBEBIAS (Pierre-Eugène\ sous-lieutenant de réserve au 207e rég. d'infanterie : officier d'une grande bravoure et d'un beau sang-froid.

Déjà cité à l'ordre. Le 3 août 1916 a brillamment enlevé un ouvrage allemand, à la tête de

sa- compagnie, fatsant 123 prisonniers dont 3 officiers et s'emparant de 3 mitrailieuseu.

Blessé au cours de l'action, n'a pas consenti à se laisser évacuer.

GOURDON (Henri-Emile), sous-lieutenant de terri'oriale à titre temporaire au 90 bataillon du 82e rég. d'infsnterie : officier énergique et courageux. Modèle de dévouement et de sangfroid. A été très grièvement blessé dans l'accomplissement do ses devoirs, le 19 juillet 191G.

Amputé de l'avant-bras. Enucléation de l'œil droit.

MANDEREAU (Gustave-Georges), sous-lieutenant au 1er rég. de marche du 2e rég. étranger (précédemment aspirant à la 5e compagnie du y.j® rég. d'infanterie) : officier plein d'énergie, de dévouement et d'entrain. S'est distingué par sa belle attitude au ,feu dans les combats du début de la campagne. A été grièvement blessé, le 20 août 1914. -

BRACONNIER (André-Jean-Augustei, capitaino à titre temporaire, commandant la i7e compagnie du 317e rég. d'infanterie : dans les moments les plus difficiles notamment pendant les journées du 9 juillet au 1er août 1916 a maintenu chez ses hommes, par son calme et sa bravjoure, son autorité, un moral très élevé.

A repoussé toutes les attaques ennemies et fait de nombreux prisonniers. Blessé a refusé de quitter son commandement. Déjà deux fois cité à l'ordre.

JOLIET (Ilenri), capitaine à titre temporaire au 96e rég. d'infanterie : officier énergique et brave, d'un sang-froid remarquable. A brillamment entra né sa compagnie à l'attaque d'una position ennemie dont il s'est emparé, faisant de nombreux prisonniers.

LEMAIRE (Désiré-Alphonse), capitaine à titre temporaire au 96e rég. d'infanterie: officier remarquable de bravoure et d'entrain. S'est par.

ticulièrement distingué au cours des récents combats. A brillamment enlevé, à la tête de sa compagnie, un ouvrage ennemi important et s'y est maintenu malgré do violentes contreattaques. A é blessé, le 4 août 1916. Déjà deux fois cité à l oiuio.


LABORDE (Albin), lieutenant à titre temporaire au 96e rég. d'infanterie: officier courageux et plein de sang-froid, déjà deux fois cité à l'ordre. Cerné, le iei" août 1916 au cours d'une contre-attaque ennemie, a réussi à s'échapper après un séjour de quatorze heures dans les lignes allemandes. A rapporté des renseignement.-; précieux qui ont permis la réussite d'une attaque exécutée par nos troupes.

BOLZER (Jac-rue-\Iaric\ sous-lieutenant de réserve au 132e rég. d'infanterie : très bon officier énergique et brave. Blessé, le 29 août 4914, et revenu au front, a reçu, le 27 septembre 1915, une nouvelle blessure très grave, en entraînant vaillamment sa section à l'assaut des lignes ennemies. Impotence fonctionnelle de la main et de l'avant-bras droits. »

THIBERGE (Paul-Louis-Armand), sous-lieutenant d'infanterie de réserve à l'escadrille G. 47 : Rend des services très appréciés et donne journellement les preuves d'une bravoure, d un entrain, d'un dévouement au-dessus de toute éloge. Déjà deux fois blessé et deux fois cité à l'ordre Le G août 1916, a attaqué seul 2 avions puissament armés en a pris un en chasse et l'a obligé à atterrir intact dans nos lignes. A eu. au cours de-la lutte son appareil criblé de balles.

POIRÉE (Alphonse), sous lieutenant de réserve à la mission d'aviation française en Russie : excellent pilote qui a rendu dans l'aviation russe les plus brillants services depuis le début de la campagne.. S'est toujours signalé par sa bravoure, * son énergie et son entrain. A exécuté de très nombreuses reconnaissances au-dessus des lignes ennemies, rapportant chaque fois des renseignements très précieux pour l'armée alliée (déjà médaillé mifitaire pour faits de guerre).

(Pour prendre rang du 22 août 1916.) DELFOUR (Edouard), lieutenant à la 18e comglIe du 282e rég. dïn fanterie: officier qui a touloul's donne un bel exemple de bravoure, de sang-froid et d'entrain, possédant un réel ascendant sur ses hommes. A été très grièvement blessé le 29 mai 1915, au cours d'un violent bombardement.

BOÉ (Jean-Fabien), sous-lieutenant à titre temporaire au 7e rég. d'infanterie coloniale : oincier plein de bravoure et de sang-froid.

Déjà deux fois blessé et cité à l'ordre. A brillamment entraîné sa section à l'attaque du 1er juillet 1916. A été très grièvement blessé au cours de 1 action.

(Pour prendre rang du 23 août 1916.) PENNEC (Aimé), sous-lieutenant de territoriale au 14e bataillon de chasseurs alpins : a fait preuve depuis un an d'un courage et d'une activité qui ont fait l'admiration de tous. Le 20 juillet 1916, a contribué dans une large mesure à la prise d'une tranchée ennemie fortement organisée. A été très grièvement blessé au cours de l'action.

DIETZI (Léon-Eugène), sous-lieutenant à titre temporaire au 54e bataillon de chasseurs à pied : officier brave et plein d'entrain; déjà cité à l'ordre. Parti à l'assaut avec la deuxième vague, s'est porté en avant de la/tranché conquise pour faire la reconnaissance du terrain. Blessé.

a refusé de se laisser évacuer avant d'avoir donné les ordres nécessaires pour assurer l'acplissement de sa mission.

SIMON (Jean-Louis), mie 1670, maréchal des logis au 5e escadron du 4e rég. de spahis : excellent sous-offleier, d'une bravoure et d'un entrain exceptionnels. Déjà médaillé militaire et deux fois cité à l'ordre. Très grièvement blessé à l'attaque du 8 mai 1915, a refusé do se laisser panser et n'a été évacué qu'après épuisement complet de ses forces. Enucléation de l'œil droit.

MÉDAILLE MILITAIRB {Pour prendre rang du 19 décembre 1916.

ROBINET (Auguste-Eugène), mie 03860, soldat A la 10e compagnie du 170e rég. d'infanterie : on soldat, courageux et dévoué. A été blessé tirés grièvement le 11 novembre 1915 en établissant sous un violent bombardement une tranchée en avant de la première ligne. Amjputé de la cuisse droite.

(Pour prendre rang du 18 mai 1916.) v DOIGNEAU (Narcisse), mIe 6637 soldat àlaSi*

compagnie du 161e rég. d'infanterie : excellent soldat discipliné et courageux. A été très grièvemeet blessé dans la nuit du 22 au 23 février 1916 au cours d'un bombardement intense.

Amputé du bras droit.

(Pour prendra rang du 11 juillet 1916.) ROBERT (Ferdinand), mie 05123, sergent à'la 24e compagnie du 37e rég. d'infanterie coloniale : le 9 juillet 1916 à la tête d'un groupe de grenadiers. a attaqué avec énergie un élément de tranchée occupéa par une fraction ennemie qui, avec deux mitrailleuses arrêtait la progression d'un bataillon; s'est emparé de la position ennemie et a enlevé les deux mitrailleuses. A été très grièvement blessé au cours de l'action.

(Pour prendre rang du 16 juillet 1916.) ROUGS (Honoré), soldat à la 13e compagnie du 247e rég. d'infanterie : bon soldat. Modèle de courage et de dévouement. A été très grièvement blessé, le 30 juin 1916, au cours d'un violent bombardement.

BODIGUEL (Joseph), mie 011501, soldat à la 22e compagnie du 225e rég. d'infanterie : excellent soldat, brave et dévoué. A été blessé très grièvement dans la tranchée de première ligne, le 10 juillet 1916. Perte de l'œil droit.

LETOURNEUR (Louis-Rémy-Marie),mle 014088 soldat à la compagnie hors rang du 202e rég.

d'infanterie : bon soldat, brave et plein d'entrain. A été grièvement blessé en accomplissant courageusement son devoir, le 4 juillet 1916.

LEBOUTEILLER (Jules-Louis-Auguste), mie 8470, soldat à la 13e compagnie du 2J2e rég.

d'infanterie: très bon soldat, énergique et brave.

A été blessé très grièvement à son poste de combat le 4 juillet 1916.

DUCLOUD (Jean-Marie), mie 08126, soldat au 3e rég. de marche de zouaves, compagnie de mitrailleuses, 3e zouaves : zouave énergique et courageux. S'est bravement porté à l'assaut des lignes allemandes le 15 juillet 1916. A été très grièvement blessé au cours de l'action.

(Pour prendre rang du 18 juillet 1916.) BAYLE (Théodore-IIenri-Célestin). mie 4266, sergent fourrier à la 10e compagnie du 2e rég.

de marche de tirailleurs : sous-officier plein de courage et d'allant. Au cours de l'attaque du 15 juillet 1916 a rempli les fonctions périlleuses d'agont de liaison avec le plus complet mépris du danger. A été très grièvement blessé en plein combat. Amputé de la cuisse gauche.

(Pour prendra rang du 19 juillet 1916.) FRIEDT (Louis), mie 7955, sergent à la 18e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves (2e zouaves) : excellent sous-officier, énergique et vigoureux; le 19 juillet 1916, est parti b avec la première vague d'assaut, contribuant pour une bonne part à la réussite de l'opération. A été blessé très grièvement en arrivant à la seconde ligne ennemie. Déjà cité à l'ordre.

(Pour prendre rang du 20 juillet 1916.) PERRET (Claude), mie 5700, soldat à la 13" compagnie du 21Se rég. d'infanterie : bon et brave soldat. A été très grièvement blessé au cours de l'attaque du 30 juin 1916.

BOUSSARD (René), mie 6008, caporal à la 9e compagnie du 2e régiment de marche de tirailleurs : s'est particulièrement distingué à l'attaque, du 15 juillet 1916, par son attitude courageuse et résolue ; s'est multiplié pour maintenir l'élan de sa troupe malgré un feu très violent de mitrailleuses et d'artillerie. A été tri s grièvement blessé.

ISSOIRE (Félix), mie 11893, caporal à la 19e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves : gradé énergique et brave. A été très grièvement blessé en se portant courageusement à l'attaque, le 15 juillet 1916.

SALOMON (Louis-Florentin-Joseph), mle 00797, sergent à la 11e compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche : sous-officier qui n'a jamais cessé de donner un bel exemple de dévouement et d'abnégation. S'est distingué à l'attaque du 15 juillet 1916, au cours de laquelle il a été très grièvement blessé.

BELLANDOUZ (Abdel-Kader), mie 1998, tirailleur à la 15e compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche : s'est distingué par son courage et

son allant pendant les combats du 15 au 20 juillet 1916. A été très grièvement blessé.

(Pour prendre rang du 21 juillet 1916.) CAULLET (Albert-Auguste), mie 4017, soldat à la 14e compagnie du 225e rég. d'infanterie: courageux soldat, d'un zèle et d'un dévouement à toute épreuve. A été blessé très grièvement, le 7 juillet 1916. Amputé d'un bras..

BUISSON (Jean), mie 02542, sergent à la 2 compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche : brave sous-officier énergique et plein d'allant. S'est particulièrement distingué, à l'attaque du 15 juillet 1916, en entraînant résolument sa section sous un feu violent de mitrailleuses. A été très grièvement blessé. Enucléation de l'œil gauche.

GOUJON (Emile), mie 25202, zouave à la 41e compagnie du 3° rég. de marche de zouaves (3° zouaves) : soldat énergique et courageux.

A été très grièvement blessé en se portant courageusement à l'assaut des positions ennemies, le 15 juillet 1916..

DURANTON (Louis), médecin auxiliaire au 2e rég. de tirailleurs de marche : a suivi son bataillon jusqu'aux lignes ennemies à l'attaque du 15 juillet 1916, donnant à tous le plus bel exemple de courage et de dévouement. A été très grièvement blessé au cours de l'action.

îiksskijmku (Augustin), mie zuouj, zouave a la 11e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e zouaves) : mitrailleur courageux et plein d'entrain. A été très grièvement blessé le 18 juillet 1916, en se portant avec les vagues d'assaut à l'attaque des positions allemandes.

Amputé d'une jambe.

BOUKEFFA (Mohammed Ould Kaddour), mie 16259, tirailleur à la 11e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : très bon tirailleur, zélé et dévoué. S'est élancé un des premiers à l'attaque du 15 juillet 1916. A été très grièvement blessé.

CIIAMBON (Henri), mie 18003, zouave à la 3e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e zouaves) : excellent grenadier. A été très grièvement blessé le 15 juillet 1916, en se portant à l'assaut des tranchées allemandes. Amputé de la cuisse droite.

(Pour prendre rang du 22 juillet 1916.) BEN ABDALLAH (Mohamed\ mie 12150, tirailleur à la 15e compagnie du 3e rég. de marcha de tirailleurs : bon tirailleur qui a toujours fait preuve de courage et de dévouement. A été blessé très grièvement au cours du combat du 14 juillet 1910. Amputé de la cuisse droite.

BOUILLAUD (Henri-Maurice), mie 15608, zouave à la compagnie hors rang du 3e rég. de marche de zouaves : grenadier qui a montré en toutes circonstances, les plus belles qualités de courage et de sang-froid. A été très grièvement blessé le 15 juillet 1916. Amputé d'une cuisse.

A ISSAOUI (Larbi), tirailleur de lre classe à la 10e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : brave tirailleur, dévsué et courageux.

S'est résolument lancé à l'assaut, le 15 juillet 1916, malgré un feu violent de mitrailleuses. A été très grièvement blessé. Amputé du pieà gauche.

HAFID (Mohamed), mie 5763, tirailleur au 3" rég. de marche de tirailleurs: tirailleur courageux et dévoué. A été blessé très grièvement en se portant à l'assaut d'une position ennemie, le 16 juillet 1916. Perte de l'œil gauche.

DOCKERAY (Georges), mie.01518, sergent à la 13e compagnie du 3" rég. de marche de tirailleurs : très bon sous-officier, modèle d'énergie et d'entrain. A été blessé très grièvement le 15 juillet 1916, à l'attaque des tranchées allemandes.

(Pour prendre rang du 23 juillet 1916.) BLANC-IET (Ernest), soldat téléphoniste à la compagnie hors rang du 317e rég. d'infanterie, mie 019155 : très brave soldat téléphoniste. A été blessé très grièvement, le 15 juillet 1916, en allant courageusement réparer les lignes téléphoniques sous un violent bombardement.

HUBERT (Charles), mie 02062, soldat au 2474 rég. d'infanterie, compagnie de mitrailleuses : ( soldat mitrailleur énergique et brave qui a dans maintes circonstances perilleuses, toujours fait


preuve du plus grand calme et du plus beau sang-froid. Le 30 juin 1916, est resté à son poste de combat, malgré un bombardement intense, contribuant à repousser une attaque allemande. A été blessé très grièvement. Amputé de la cuisse droite.

ARNOUX (Emile), canonnier servant à la 44e batterie du 30e rég. d'artillerie : excellent pointeur, courageux et dévoué. A été blessé très grièvement, le 23 juillet 1915, à son poste de combat.OTT (Marcel), mie 13107, sergent à la 1" compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e zouaves) : sous-officier qui s'est signalé par sa bravoure et son sang-froid dans toutes les affaires auxquelles il a pris part. Déjà deux fois cité à l'ordre. S'est montré tout particulièrement courageux et plein d'entrain à l'attaque du 15 juillet 1916, au cours de laquelle il a été grièvement blessé.

(Pour prendre rang du 24 juillet 1916.) DELAUNAY (Onésime), soldat à la 13e compagnie du 225e rég. d'infanterie : très bon soldat, courageux et dévoué. A été blessé très grièvement, à son poste de combat, le 5 juillet 1916. Amputé de la jambe droite.

ABDERRAIIMAN Ould Abdelkader, mie 6542, tirailleur à la 14e compagnie du 2' rég. de tirailleurs de marche: tirailleur modèle de bravoure et de dévouement. A été très grièvement blessé au cours des combats de juillet 1916. Amputé de la cuisse gauche.

DOUMERGUE (Esprit), mie 7804, caporal à la 14e compagnie du 3e rég. do marche de tirailJeurs: gradé énergique et brave. S'est particulièrement distingué pendant les récents combats. A,été très grièvement blessé le 17 juillet 1916. Enucléation de l'œil gauche.

SEUILLARD (Emile), mie 06Î15, sergent à la 2° compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e zouaves) : s'est toujours distingué par son courage et son sang":Jroid. Le 15 juillet 1916, à brillamment entraîné si section à l'assaut des lignes allemandes. A été très grièverneIltblessé.

Enucléation de l'œil gauche.

PUJO (Alexandre-Marcel), m'e 23, IC 442, adjudant à la 24e compagnie du 34e rég. d'infanterie coloniale : sous-officier très courageux. A été très grièvement blessé le 20 juillet 1916, en entraînant sa section en avant tous de violentes rafales d'artillerie et de mitrailleuses.

(Pour prendre rang du 26 juillet 1916.) COUSIN (Marcen, aspirant à la 18e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves : sous-officier brave et plein d'entrain. A été très grièvement blessé, le 15 juillet 1916, au cours d'un violent bombardement.

CHOUNGARI Boudjema, mie 5729. tirailleur à la 14e compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : a fait preuve, au cours des combats de juillet 1916, des plus belles qualités de cou: rage et d'entrain. A été blessé très grièvement le 25 juillet.

(Pour pr&ndre rang du 27 juillet 1916.) DRABLIA Mebrouk Ahmed, mle 16522, tirailleur à la 14e compagnie du 3° rég. de marche de tirailleurs : excellent .tirailleur, courageux et dévoué. A été blessé très grièvement le 25 juillet 1916. Amputé de l'avant-bras gauche.

ZERGOUG Mohammed, mIe 968G, tirailleur à la 6e compagnie du 2d rég. de tirailleurs de marche : tirailleur dévoué et très brave au feu, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été blessé très grièvement en allant ravitailler en munitions une fraction avancée.

, Amputé de la jambe gauche.

URAN (Antoine), caporal à la 14e compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : caporal ayant toujours eu une très belle attitude au feu. A été blessé très grièvement au cours d'un violent combat. Amputé du bras droit.

OUTAHAR (Habin), mie 19036, tirailleur à la Te compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche : s'est patticulièrement distingué pendant les combats du 19 au 22 juillet 1916, par son attitude calme et résolue. A été très grièvement blessé, le 22 juillet 1916-.

(Pour prendre rang du 28 juillet 1916.) RIVET (Jacques), mie 031718, soldat au 156e fég. d'infanterie, compagnie de mitrailleuses s

très bon soldat, brave et dévoué. A été blessé très grièvement, à son poste de combat, le 23 juillet 1916. Amputé de la cuisse gauche.

(Pour prendre rang du 2 août 1916.) YÉRÉDO SOGODOGO, mie 20846, tirailleur de lre classe au 41e rg. d'infanterie coloniale (65e bataillon de tirailleurs sénégalais) : bon et brave tirailleur. A été blessé très grièvement, en se portant avec sa section à son poste de première ligne. Amputé de la cuisse droite.

BAZEMBEYRA, sergent au 36e rég. d'infanterie coloniale : bon gradé, courageux et plein d'allant. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 20 juillet 1916.

Amputé de la jambe gauche.COURBOT (Victor-Eugène), mie 014115, caporal' au 208e rég. d'infanterie : très bon gradé, qui a toujours e fait preuve de courage et d'entrain.

Déjà cité à l'ordre. A été très grièvement blessé, le 1er août 1916, au cours d'un violent bombardement.

(Pour prendre rang du 3 août 1916.) BENVENUTO (Nicolas), mie 7772, soldat de lre classe à la 5e compagnie du 413e rég. d'infanterie : très bon soldat, énergique et brave.

Déjà cité à l'ordre. A été blessé très grièvement, le 31 juillet 1915, dans la tranchée de première ligne. Plaies multiples.

CHARRON (Octave), mie 7457, soldat au 411e rég. d'infanterie : bon et brave soldat. A été blessé très grièvement dans l'accomplissement de son devoir, le 29 juin 1916. Amputé de la jambe droite.

PENAUD (André), mie 1411, soldat de lre classe à la 17e compagnie du 207e rég. d'infanterie : s'est maintenu vaillamment, à son poste de combat, malgré un violent bombardement.

A été très grievement blessé, le 25 juillet 1916.

(Pour prendre rang du 4 août 1916.) ROBICHE (Jean), mie 7138, adjudant au 147e rég. d'infanterie : sous-officier d'une bra-.

voure sans égale, merveilleux sous lo feu et commandant sa section avec une remarquable énergie. Déjà deux fois cité à l'ordre. Fait preuve d'un beau sang-froiddans les circonstances les plus critiques et possède un véritable ascendant sur ses hommes. 1 (Pour prendre rang du 5 août 1916.) MENUET (Pierre-Etienne), soldat au 224e rég.

d'infanterie: très bon soldat, d'une belle attitude au feu. A été blessé très grièvement, le 2 août 1916, en défendant, à la grenade, avec le plus grand courage et la plus grande énergie, un bovau violemment attaqué par l'ennemi.

Amputé do l'avant-bras droit.CARRIER (Marcel), soldat au 173e rég. d'infanterie : jeune soldat, brave et plein d'entrain.

A été blessé très, grièvement, le 29 juin 1916, en contribuant, courageusement à repousser une attaque ennemie. Plaies multiples.

FARGEOT (Charles), mie 3 IC/12723. soldat au 33e rég. d'infanterie coloniale ^très bon soldat, -brave et dévoué. A été très grièvement blessé à son poste dans la tranchée, le 6 aoât 1916.

(Pour prendre rang du 6 août 1916.) DESRAMEAUX (Léonard), mie 2176, soldat au 208e rég, d'infanterie : soldat dévoué et courageux. Blessé une première fois, le 23 février IVIG, vient d'être à nouveau grièvement blessé en portant un ordre, sous un violent bombardement, le 2 août 1916.

BONNET (Jean), mie 233, soldat au 153e rég.

d'infanterie: bon et brave soldat. A été très grièvement blessé en s'élançant à l'attaque des ligues ennemies. Amputation partielle d'un pied.

LUFLADE (Augustin), mie 14425, soldat à la 10e compagnie du 146e rég. d'infanterie : bou soldat, discipliné et dévoué. S'est toujours très bien conduit dans les combats auxquels il a pris part. A été blessé très grièvement, le 5 août 1916.

LAPORTE (Jean), soldat au 153e rég. d'infanterie : très bon soldat, courageux et dévoué. A été blessé très grièvement en se portant-à l'attaque d'une position ennemie.

(Pour prendre rang au 7 août 191G.) BLED (Claude-Stanislas), mie 05352, soldat au

290e rég. d'infanterie. Excellent soldat. Le 4 août J916, est bravement resté à son poste, malgré un violent bombardement. A été très grièvement bfessé.

CORNETTE (Ernest), mie 01441, sergent au 290e rég. d'infanterie : sous-officier courageux et dévoué. A été blessé très grièvement, le 3 août 1916, au cours d'une releve.

GORCE (JeanV mie 1612, caporal à la 17e com pagnie du O;e rég. d'infanterie: s'est vaillamment élancé à l'assaut des lignes ennemies, le 4 août 1916, malgré un bombardement intense.

A été très grièvement blessé. Amputé du bsas gauche.

DOUVRY (André-Aritide-estor), mie 8739, canonnier servant au 81e rég. d'artillerie lourde, 7- batterie : excellent canonnier dévoué, courageux et plein de mépris du danger. A été très grièvement blessé à son poste de combat, la 8 août 1916. Amputé d'un jambe.

TISSON (Paul), mie 11412,-can0nnier-conducTISSON (Paul), d'artillerie coloniale : bon cateur au 1er rég. bOI1 canonnier, qui a toujours fait preuve de courage et de dévouement. A été très grièvement blessé, le 27 juillet 1916, en ravitaillant sa batterie, sous un. violent bombardement. -

SUTRA (Honoré), mie 2752, caporal au22erég.

d'infanterie coloniale : caporal discipliné et dévoué. A été très grièvement blessé, le 4 août 1916, dans l'accomplissement de ses devoirs.

COLLIN (Lucien), mie 12566, soldat de lre classe bu 79e rég. d'infanterie, compagnie de mitrailleuses : soldat brave et dévoué, qui s'est toujours fait remarquer par ses qualit s de vigueur et d'entrain. A été blessé très grièvement, à son poste de combat, le 6 août 1916.

(Pour prendre rang du 8 août 1916.) RAMBAULT (Omer), mie 02221, caporal à la 8e compagnie du 6e rég. d'infanterie : très bon grade, énergique et brave. A été très grièvement blessé, le icr juillet 1916, au cours d'une violente attaque ennemie. Amputé du bras gauche.

PONS (Antonin), mle 03125. clairon au 42e rég.

d'infanterie coloniale : excellent soldat, très bravo et très courageux. A été bîessé, pour la seconde fois et très grièvement, le 2 août 1916, au cours d'une reconnaissance à proximité des lignes ennemies.

GIMBERT - (Antoine Casimir), mie 3 IC 10"83, sergent à la 2e compagnie du 53e rég. d'infanterie coloniale: excellent sous-officier, d'une énergie et d'un courage à toute épreuve. A été blessé très grièvement dans la tranchée de première ligne, le 5 août 1916.

BERNARDET (Alexis), mie 3 TC 11965, caporal à la 2e compagnie du 53e ré5. d'infanterie coloniale : gradé énergique et courageux qui s'est très bien conduit dans tous les combats auxquels il a pris part. A été très grièvement blessé, le 5 août 1916, dans la tranchée de pre mière ligne.

DAVID (Marcel), mie 05055, soldat à la 10e compagnie du 12-J rég, d'infahterie : soldat dévoué -et courageux, blessé une première fois au début de la campagne, est revenu au front aussitôt guéri. A été atteint d'une nouvelle blessure très grave, le 6 août 1916, au cours d'un bombardement intense.

(Pour prendre rang du 9 août 1916.) ROSSY (Fernand-Jules), mie 7788, chasseur au 8' bataillon de chasseurs, compagnie de mi- trailleuses : excellent chasseur zélé et courageux. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 9 août 1916.

MARTINET (Louis), mie R 580, soldat de , lre classe à la 11e batterie du 79e réq. d'infanterie : soldat brave et plein d'entrain, qui a toujours eu une-belle attitude-au feu. A été blessé très grièvement en faisant courageusement son devoir, le 8 août 1,916. Amputé de la cuisse gauche. > GIRARDET (Emile), mie 3974, soldat à la 11e compagnie du 79e rég. d'infanterie : excellent soldat, brave et plein d'entrain. S'est particulièrement distingué à, l'attaque du 8 août 1916, au cours de laquelle il a été très grièvement bless. Amputé de la cuisse gauche.

PIERSON (Louis), mie 2 AC 8148, artificier à la 23e batterie du Se rég. d'artillerie coloniale : canonnier d'un courage à toute épreuve -et CI- Suppléments


d'un absolu mépris du danger. A été très griè- vement blessé le 10 août 1916, au cours d'un violent bombardement.

(Pour prendre rang du 10 août 1916.) MATHILLON (Alexandre), caporal au 9Se rég.

d'infanterie, compagnie d) mitrailleuses : excellent caporal, qui a toujours fait preuve du plus grand courage et de la plus belle énergie.

A été blessé très grièvement, le 9 ao.1t Iyl6, dans la tranchée de premièro ligne.

REnOGET (Henri), mlo 018379, caporal à la 91 compagnie du 66e rég. d'infanterie : excellent caporal, d'un dévouement exemplaire, et très courageux. A été tfés grièvement blessé, le 9 août lG'lî», en continuant d'observer les mouvements dj l'ennemi, malgré un très violent bombardement.

GAILLARD (Marius-Antoine-Urbain),mie 11295, soldat à la 5e compagnie du 413e rég. d'infanteiris : bon et brave soldat, déjà cité à l'ordre. A été très grièvement blessé en faisant courageusement son devoir.

FIÇIIEUX (François-Lucien-Emile), mie 371, gendarme à pied à une prévôté d'une division d infanterie : excellent gendarme, qui a, en toutes circonstances, rempli son devoir avec conscience et dévouement. A été blessé très grièvement le 8 août 1916.

AXIOR BEN AMttVR BHN IIAMIDA, mle 6718, tiaailleur au 4e rég. mixte de zouaves tirailleurs, 24* compagnie du 8e rég. de tirailleurs : tirailleur plein de bravoure et d'entrain. A été [très grièvement blessé à son poste de combat, 'le 17 juin 1916. Amputé de la jambe gauche.

BANNERY (Raymond-Albert). soldat au 311e rég. d'infanterie, mie 29716: excellent soldat, d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve, A été blessé très grièvement, à son poste de combat, le 11 août 1916.

(Pour prendre rang du 11 août 1916.) R}:.I.UD (Jean-Marie), mie 03122 A. caporal au 27e rég. d'infanterie, compagnie de mitraileue: excellent gradé, énergique et dévoué.

A été très grièvement blessé au cours du combat du 39 juillet 1916. Enucléation de l'œil droit.

POLLO, mie 4 TS 2270, sergent au 33" rég.

d'infanterie coloniale (2 compagnie du aOe bataillon de tirailleurs sénégalais) : excellent sous-officier, qui a toujours fait preuve d'en-train et de courage. A été blessé très grièvement au cours d'un travail particulièrement dangereux.

DALOUHEfX (Antoine), mIe 0936, sergent au 300e rég. d infanterie : sous-officier d'un courage et d'un dévouement dignes d'éloges. A été très grièvement blessé le 8 août 1916, au cours d'une patrouille particulièrement périlleuse.

Déjà cité à l'ordre.

ROCFORT (Henri-François-Pierre), mie 01493, soldat au 126e rég. d'infanterie : bon et vigoureux soldat, ayant une très belle attitude au iu, A été très grièvement blessé le 3 août 1916, au cours d'un bombardement intense.

CLERC (Emile), mIe 13844, soldat au 252s rég.

d'infanterie très bon soldat qui a toujours fait preuve de courage et d'entrain. A été très grièvement blessé, le 10 août 1916, en assurant le ravitaillement en munitions de la première ligne. Amputé du pied gauche.

LERAY (Jean-Marie-Mathurin). soldat de irs classe à la lre compagnie du 71e rég. d infanterie, mie 011507 : s'est toujours fait remarquer, -par sa bravoure et son entrain. A été bloss, une première fois, en mai 191'5. Revenu au front, aussitôt guéri, a été très grièvement blessé le .9 août 1916 ii l'at'aque d'une position ennemie.

GAUTHIER (André), mIe 11834, soldat à la 11e compagnie du 79e rég. d'infanterie: jeune soldat brave et courageux. S'est montré énergique et plein d'entrain à l'attaque du 7 août 1916. A été très grièvement blessé à son poste de combat. Amputé de la cuisse gauche.

DUPONT 'Jean mie 10001, sergent à la 5e compagnie du 26e rég, d'infanterie : excellent sergent. énergique et d'une grande bravoure, qui toujours donné un bel exemple à ses homo mes. A été très grièvement blessé le 30 juillet .1916. Amputé du bras gauche.

(1er SupplémentJ

(Pour prendre rang du 12 août 1916.) BÉE (Eugène-François), mie 2340, adjudant au 236e rég. d'infanterie : sous-officier d'une bravoure exceptionnelle. A l'attaque du 20 juillet 1916. étant chargé de s'emparer d'un point particulièrement important des tranchées allemandes, a enlevé sa section avec un élan tel, qu'au bout de dix minutes la position était conquise. Violemment contre-attaqué, a résisté victorieusement, mettant hors de combat un grand nombre d'ennemis.

CRETAGNE (Louis), mie 150, caporal à la 17e compagnie du 205e rég. d'infanterie : caporal courageux et dévoué, toujours * volontaire pour les missions périlleuses. Au combat du 20 juillet 1916, s'est bravement élancé à la tête de ses hommes et a puissamment contribué, par son bel exemple, à la reprise d'un boyau attaqué plr l'ennemi. A été grièvement blessé au cours du combat.

LACIIAMBRE (Henri), mie 1444, caporal à la 23e compagnie du 205e rég. d infanterie : excellent caporal, ayant maintes fois donné des preuves de sa bravoure et de son sang-froid. A été blessé très grièvement, le 20 juillet 1916, au cours d un bombardement des plus violents.

Perte de l'œil droit.

LEROY Jogeph-Marie), mie 06774, soldat au 268e rég. d infanterie : très bon soldat, brave et dévoué-. A été blessé très grièvement, le 8 août 1916, en observant les positions ennemies.

Perte d'un œil.

BRANDY (Auguste), mie 7963, soldat à la lre compagnie du 114e rég. d'infanterie : très bon soldat. Blessé très grièvement, le 11 août 1916, à son poste de combat. A donné à ses camarades un bel exemple de courage et d'abnégation.

ROY (Georges), mie 5567, soldat au 107e rég.

d'infanterie : soldat remarquable par sa bravoure. Toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été blessé très grièvement au cours d'un coup de main audacieux.

DIET (André-Dominique), mie 05091, adjudant au 107e rég. d'infanterie : excellent sous-officier, brave et consciencieux. Blessé le 30 mai 1916 et revenu au front à peine guéri, a été da nouveau atteint très grièvement, le 25 juillet 1916, au coups d'un violent bombardement. Amputé d'une jambe.

ANCELIN (Raoul), mie 13193, caporal au 162e rég. d'infanterie : excellent gradé, très brave au feu. A été très grièvement blessé, le 11 août 1916, dans l'accomplissement de ses devoira. Amputé do l avant-bras droit et perte des deux yeux.

SCRIBOT (Paul-Florentin), soldat au 217e rég.

d infanterie : très bon soldat, plein de zèle et de dévouement. A été très grièvement blessé, dans la tranchée de première ligne, le 11 août 1916.

TROUDE (Georges-Louis), soldat à la 2e compagnie du 21e rég. d'infanterie territoriale : excellent soldat, brave et dévoué, qui s'est toujours très bien conduit au feu, a été très grièvement blessé le 10 août 1916. Amputé de la cuisse et du bras droits.

QUERRIÈRE3 (Georges), mie 041317, soldat au 21e rég. d'infanterie coloniale : excellent soldat brave et dévoué. A été blessé très grièvement, le 17 juillet 1916, en travaillant à 1 organisation des tranchées de première ligne. Amputé de la main droite.

PERIER (Emile), mie 1 IC 12841, soldat à la 21e compagnie du 38e rég. d'infanterie coloniale ; bon et brave soldat, courageux et plein d'en rain. A été blessé très grièvement le 9 août 1916 à son poste de combat.

DAUMAS (Léon). mie 01781, soldat à la 22e compagnie du 38e rég. d'infanterie coloniale : très bon soldat, a été très grièvement blessé le 4 août 1916, dans la tranchée de première ligne.

DUVAL (Fernand-Gaston), mie 013028, premier canonnier servant à la 101e batterie du 56e rég. d'artillerie: bombardier énergique et brave. A été blessé très grièvement. le 30 juillet 1916, à Ion poste de combat. Déjà cité à l'ordre.

BEAUBRUN (EmilG), soldat au 60; rég. d'infanterie: excellent soldat, brave et énergique. A été très grièvement blessé, le 9 août 1910, en accom-

plissant une mission sous un feu violent do tir de barrage. Amputé de la jambre droite.

(Pour prendre rang du 13 août 1916.) ALLEXANDRE (Joseph), chasseur de lre classe à la 10 compagnie du 49e bataillon do chasseurs, mIe 2419 : excellent chasseur, très courageux et d'un dévouement exemplaire. A été Blessé très grièvement au cours d'un violent bombardement. RONDOT (Charles-Delphin), soldat a la 7e compagnie dit 54' rég. territorial d'infa iterie : bon soldat, discipliné et dévoué.- A été blessé très grièvement le 9 août 1916, en 'aisant courageusement son devoir. Amputé de la cuisso gauche.

MERIDIER (Jean-Louis), soldat à la 6e compagnie du 5ie rég. territorial d'infantorie : bon soldat, d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve.. A été très grièvement blessé lè 8 août 1916.

MASSET (Henri-Sylvain), mie 010033, canonnier conducteur au 49e rég. d'artillerie : très bon conducteur, plein d'énergie et do sangfroid. Chargé, le 5 août 1916, de transporter des munitions dans un endroit violemment bJ)Ill'" bardé par l'ennemi, a assuré so:i service jusqu'au moment où il a été blessé très grièvement. Plaies multiples.

(Pour prendre rang du 14 août 1916) FRUTON (Hégis), mie 176. maréchal des logis à la 25e batterie du 13° rég d artillerie : très bon sous-olficier, qui a rendu les menteurs services depuis le début de la campagne. A été blessé très grièvement, le s août 19 6, au cours d'un violent bombardement. Déjà cite à l'ordre.

LE MAGUET (René), mie 15H) Rt, soldat à la 101 compagnie du 7le rég. d'infanterie : soldat brave et dévoué qui a toujours iait preuve du plus grand mép"is du danger. A été ulessé très grièvement à son poste de combat, le 9 août 1916.

MiLLIOU Etienne), mIe 8378, soldat à la 6e compagnie du 71e rég. d'infanterie : soldat brave et dévoué. S'est vaillamment élancé à l'assaut des tranchées allenia ides, le 8 ao it 1916. A été grièvement blessé au cours d3 1 action. Amputé du bras droit.

FRANÇOIS (Albert-Lucienl mie 58. '9, soldat à 11e compagnie du 40jc ré. d'infanterie : soldat dévoué et courageux A été bl ssé très grièvement dans la tranchée de première iigne, le 13 août 1916. Amputé de 1 avant-bras droit.

POIRIER (Joseph), mie 011549, soldat à la lre compagnie du 2'*e rég. d'infanterie ço!oniale : très bon soldat, discipliné et dévoué.

A été très grièvement blessé le l-r juillet 1916, en s élançant bravement à l'attaque des lignes ennemies. Amputé de la cuisse gauche.

(Pour prendre rang du 15 août iVJ.) L.VNCEREAU (Ferdinand Baptiste), mie J2119, caporal au 63e rég. d'in'anterie : très bon gradé énergique et brave. A etc blessé très grièvement en exécutant un travail de nuit à proximité de l'ennemi. Perte de l'usage des deux jambes.

RAVEL (Paul-Joseph-Guillaume), mie 5228, ca poralau 2iOe rég. d'infant rie. compagnie de mitrailleuses: excellent gradé, courageux et plein d entrain. A été très grièvement blessé le 13 aoat 1916, en assurant le ravitaillement d J sa compagnie en munitions. Amputé du bras droit.

CONNAITRE (Jean), mie 19731, soldat à la 6e compagnie du 61e rég. d'infanterie : très bon soldat, courageux et dévoué, toujours volonta;re pour les missions périlleuses. Déjà cité à l'ordre. A été blessé très grièvement, le 8 août 1916, dans la tran :hée de première ligne.

GOUil (Louis-Théophilo), mie 04959, maître pointeur à la 32e batterie du 3e rég. d'artillerie coloniale : excellent maître pointeur, modèle de courage et d'abnégation. A été blessé très grièvement, le 7 juillet 1916, en faisant courageusement SDH devoir.

GRÉE (Félix-Joseph-Marie), mlo- 1 AC 7960, maréchal des logis à la 23e batterie du 1er rég.

d'artillerie coloniale : excellent sous-officier, plein de courage et de sang-froid et possédant un grand ascendant sur ses hommes. Déjà blessé et cité à l'ordre de l'armée. A été trèl grièvement blessé et cité à l'ordre de l'armée.


A été très grièvement atteint, le 30 juillet 1216, à son poste de combat,

BONNIN (Armand-Joan-Emile), soldat à la 6e compagnie du 54e rég. territorial d'infanterie : bon et brave soldat. A été très grièvement blessé le 8 août 1916, en assurant le ravitaillement en munitions de la première ligne.

Amputé de la jambe droite.

MOINE (Eugène-Edouard), mie 3 AC 5919, maréchal des logis à la 3e batterie du 1er rég.

d'artillerie coloniale : très bon sous-officier qui a fait preuve en maintes circonstances de beaucoup de sang-froid et de courage. Déjà cité à l'ordre. A été très grièvement blessé, le 21 juillet 1916, à son poste de combat. Plaies multiples.

IIANIN (Ferdinand-Auguste-Aimé), mie 690, canonnier servant à la 8e batterie du 113e rég.

.'J'artillerie lourde : excellent soldat brave et ,déYoué. Déjà cité à l'ordre. A été très grièvement blessé au cours du combat du 7 août 1016.

(Pour prendre rang du 19 août 1916.) .; COMTE (Léon-Marie-Auguste), mie 05762, cavalier au 14e rég. de chasseurs, escadron à pied : excellent soldat, d'un courage et d'un dévouement remarquables. A été très griève,mont blessé, le 24 août 1915, au cours d'une mission particulièrement périlleuse pour laquelle il était volontaire.

CALAIS (Lucien-Robert), mie 1086?. soldat à la 5e compagnie du 151e rég. d'infanterie : bon , 2t brave soldat, qui s'est maintes fois distingué -par sa belle tenue au feu. A été très grièvement blessé, le 6 octobre 1915, en assurant le ravitaillement en munitions de sa compagnie.

; ferle de l'œil droit.

,; ANSART (Georges-Philippe-Joseph), mie 106i7, soldat à la 4e compagnie du 151e rég. d'infante;rie : soldat brave et plein d'entrain. A été très - grièvement blessé à l'attaque du 25 septembre 1915. Amputé du bras droit.

POUPON, (Lazare), mie 014743, chasseur au ,16e bataillon de chasseurs : excellent chasseur d'une énergie et d'un courage remarquables. A été très grièvement blessé, le 9 avril 1916, en repoussant, à la tête de ses camarades, une forte attaque ennemie. Diminution considérable de « la vision de l'œil droit.

(Pour prendre rang du 20 août 1916.) MAKAN DOUMBOUYA, mie 1417, tirailleur au 41, rég. d'infanterie coloniale (65e bataillon de • tirailleurs sénégalais) : très bon tirailleur. A été blessé grièvement au cours d'un violent bombardement. Amputé de la cuisse droite.

ZAMANÉ COUROUBALY, mie 13:0, tiraillenr au 41e rég. d'infanterie coloniale (65e bataillon de tirailleurs sènégala's) : excellent tirailleur, brave et dévoué. A été blessé très grièvement, au cours du combat du 2 août 1916. Amputé de :a jambe gauche.

SAMBA SISSOKO, mie 10174, caporal au 41e rég, -d'infanterie coloniale (65e bataillon de tirailleurs )éné.gala's) : très bon caporal, courageux et énergique. A été blessé très grièvement, le Ier août 1916, à son poste de combat. Amputé de la cuisse gauche.

MAKAN TOUNGAnA. mie 9893, tirailleur au t 41* rég. d'infanterie colonia'e (65e bataillon sénégalais) très bon tirailleur. A été très grièvement blessé, le 2 août 1916, au cours d'une attaque. Perte des deux yeux.

MASSON (Emile-Gustave), mie 1429, caporal au 414e rég. d'infanterie : gradé énergique et brave. Toujours volontaire pour les missions D;'rilleus2P. A été blessé très grièvement le 5 août 1916, dans la tranchée de première ligne.

Déjà cité deux fois à l'ordre. Amputé de la jambe gauche.

DESRAYAUD (Deni\ mie 2072, soldat à la Ge compagne du 414e rég. d'infanterie : bon et brave soldat, d'un dévouement à toute épreuve.

A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 31 octobre 1915.

Perte de l'usage du bras droit.

(Pour prendre rang du 21 août 1916.) LUCAS (Pierre-Louis-Aman), mie 8072, soldat de lre classe la lie compagnie du 7.ie rég. ter- ritonal d'infanterie : excellent soldat courageux et dévoué. A été blessé très grièvement, le 13 août 1916, au cours d'un violent bombarde- I Aient. j

BOlîAN Alfred-Jules), mie 6543, zouave à la 12e compagnie du 2rég. de zouaves (8e zouaves de marche): soldat énergique et brave. A été blessé très grièvement au cours de l'attaque du 25-septembre 1915. Amputé de la cuisse gaucho.

BARBIER (Joseph), mie 10335, zouave à la 12e compagnie du 8e rég. de marche de zouaves (2e rég. de zouaves) : bon soldat courageux et plein d'entrain. A été blessé très grièvement le 25 septembre 1915, en s'élaçant à l'attaque des lignes ennemies. Amputé du pied gauche.

NAVARRO iIIenri-Emile), mie O.a6, zouave à la 12e compagnie du 2e rég. de zouaves (8e rég.

démarché): bon soldat d'un courage et d'un sang-froid remarquables. A été très grièvement blessé, le 23 décembre 1914, au cours d'un violent bombardement. Amputé de la cuisse droite.

MILLON (Louis), mie 01540, sergent à la 6e compagnie du Sc rég. de marche de zouaves (3e rég. de zouaves) : brave et énergique sousofficier, donnant toujours le plus bel exemple à ses hommes. A été blessé très grièvement en repoussant une contre-attaque ennemie, le 17 juillet 1915. Enncléation de l œil droit.

SIRAND 'Mârius-Jean), mis 0779S, zouave à la 17e compagnie du Se rég. de marche de zouaves (2e rég. de ouaves) : zouave énergique et courageux. A été très grièvement blessé, le 9 mai 1915, en s'élançant bravement à l'attaque des tranchées allemandes. Perte de l'œil droit.

BAMARAKADDOUR, mie 8129, tirailleur de lre classe à la Sc compagnie du 7e rég. de marche de tirailleurs (2e tirailleurs) : tirailleur d'un courage et d'un allant remarquables. A été très grièvement blessé à l'attaque du 9 mai 1915.

Enucïéation de l'œil droit.

AZOUZ ALI DEN RAB VII, mie 23iC, tirailleur à la 4e compagnie du 5e rég. de tirailleurs (7* de marche): tirailleur brave et dévoué. A été blessé très grièvement le 6 septembre 1914, en s'élançant à l'assoit des lignes ennemies. Amputé du bras gauche.

FOUGÈRE (Charles), mie 03526, soldat à la 3e compagnie du 21e rég, d'infanterie coloniale: excellent soldat, brave et dévoué. A été très grièvement blessé à l'attaque du 25 septembre 1915. Enucléation de l'œil droit.

AUBIAN (Joseph-Léon-Antonln), soldat à la lre compagnie du 21e rég. d'infanterie coloniale, m!e 8/16736: bon soldat, qui s'est toujours bravement conduit au feu. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne. Amputé du pied droit.

FONTAINE (Alexandre), mlo 012139, soldat à la 11e compagnie du 218 rég. d'infanterie coloniale : excellent soldat qui s'est très bien conduit aux allaqu s de septembre 1915. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 30 septembre 1915. Amputé de la jambe gauche.

RINCENT (Georges Ililaire), mie 14503, soldat de lre classe à la 108 compagnie du 28° rég.

d'infanterie : excellent soldat, modèle de bravouro et de dévouement. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 8 février 1915.

Impotence fonctionnelle du bras droit.

JUDAS (Oscar-Eugène), mie 5309, soldat à la lre compagnie du 28e rég. d'infanterie : bon et brave soldat. A été très grièvement blessé, le 13 septembre 1914, en accomplissant courageusement son devoir. Amputé du bras droit.

CAROUGE (Maurice-Raoul), mie 15728, soldat à la liJ compagnie du 28e rég. d'infanterie : excellent soldat, courageux et dévoué. A été très grièvement blessé à l'attaque du 4 novembre 1914. Raccourcissement considérable do la jambe gauche.

MOKEREAU (Julien-Léopold), mie 1672, adjudant à la 3e compagnie du 80e rég. d infanterie : excellent sous-officier courageux et plein d'entrain. A été très grièvement blesse au cours d'un violent bombardement, le 18 mars 1915.

Impotence fonctionnelle du bras droit.

FORTIER (Vincent-Nicolas), mie Rt. 446, soldat au 28e réA, d'infanterie, section de mitrailleuses : bon mitrailleur, brave et plein de sangfroid. A été très grièvem nt blessé au cours du combat du 23 août 19H. Raccourcissement considérablement de la jambe gauche.

DALDAUE (Georges), soldat de lre classe à

la compagnie hors rang du 204e rég- d'infanterie : soldat téléphoniste ayant toujours inoniré le plus grand mépris du danger. A été très grièvement blessé, le 8 octobre 1915, au cours d'un bombardement intense.

THIERRY (Léon), mIe 013251, soldat à la 21e compagnie du 204e rég. d'infanterie : soldat discipliné et courageux. A été très grièvement blessé à l'attaque du 8 janvier 1915. Impotence fonctionnelle de la jambe droite.

MOREAIT (Marcel-Victor), mie 11064, soldat à.

1 a 103 compagnie du 74e rég. d'infanterie : très bon soldat, d'un courage et d'un dévouement dignes d eloges. A été très grièvement blessé, la 28 jata*ier 1916, en so maintenant dans une tranclke soumise à un bombardement des plus violents. Impotence fonctionnelle do la jambe droite.

PITIOT (Fleurv-Marius), mie 5288, soldat à la lOe compagnie du 30* rég. d'infanterie : soldat bravo et dtvoué. A été très grièvement blessé, le 27 août 1 Jl4, au cours d'un violent combat.

ARGELIES (Toussaint), mie 1675, sergent tambour-major à la compagnie hors rang du 416e rég:d'infanterio : sous-oftlcier courageux (t dévoué. Déj:\ blessé le 24 octobre 1914, a reçu une nouvelle blessure très grave le 29 mars 1916, au cours d'un violent bombardement.

BOUCARD (Joseph), mie 03070, soldat de lre classe à la 9e compagnie du 93e rég. d'infanterie: très b'jn soldat. A été très grièvement blessé, le 8 juin 1945, à san poste de combat.

Perte de l'usage des deux jambes.

PIERI (rierre-Toussainf. mie 20il, soldat de 1re classe à la 22e compagnie du 373e rég. d'infanterie : soldat ourageux et plein d'allant. A été blessé très grièvement, le 26 septembre 1916, au cours d'une patrouille particulièrement périlleuse. Amputé de la jambe gauche.

SANTIXI (Yincent), mie 4179. soldat à la pe compagnie du 173e rég. d'infanterie: soldat discipliné et courageux. A été blessé très grièvement, au cours d'une reconnaissance, le 29 octobre 1914. Amputé de la jambo gauche.

SAMPIÈRI (Jean-Jacques), mie nt 1771, soldat.

a la 11e compagnie du 173° r,>g. d'infanterie : bon soldat, donnant toujours un bel exemple d'énergie et de bravoure, A été blessé très, grièvement, le 30 septembre 1914. Amputé du bras gauche.

CARRIERE (Jean-IIenri), mie 3010. soldat à la.

14e compagnie du 173e rég. d'infanterie : bon et brave solcat. A été blessé très grièvement, le 29 octobre 1914, en s'élançant à l'assaut des lignes ennemies. Amputé de la cuisse gauche.

GASTAUD (Marius), mlo 1258, soldat à la 3e compagnie du 173e rég. d'infanterie : excellent soldat, courageux et plein de sang-froid.

A été très grièvement blessé, le 4 février 1915, au cours d'un violent bombardement. Amputé de la cuisse droite.

PASQUALINI (Pierre-Paul), mie 3975, soldat à la lrc compagnie du 173e rég. d'infanterie : bon soldat, courageux et dévoué. A été blessé trètf Srièvement, le 29 octobre 191..4, en s'élançant bravement à l'assaut des lignes ennemies. Amputé de la jambe gauche.

LEFEBVRE (Alfred-Jean-Baptiste), mie 0S5P8, canonnier à la 2e batterie du 81e rég. d'artillerie lourde : très bon soldat, dévoué st discipliné. A été très grièvement blessé, à son poste de combat, le 4 janvier 1916. Amputé du bras gauche.

TEYSSIER (Calixte), mlo 0980, soldat à la 24e compagnie du 255e rég. d'infanterie : bon et brave soldat. A été blessé très grièvemen.

dans la tranchée de lre ligne, le 8 février 1915.

perto de l'œil droit.

ni-il (Loui-.), mie 5507, artificier à la3e batterie da 5° rég. d'artillerie à pied : bon soldat, courageux et dévoué. A été blessé très grièvement, le 29 août 1914. Amputé du pied droit.

VARLET (Aimé), mie 0703. canonnier à la 32e batterie du 5e rég. d'artillerio à pied : très bon canonnier, remarquable par son dévouement et sa bravoure au feu. A été très grièvement blessé, le 23 juin 1915. Amputé do la jambe droite.

ANGELETTI (Simon" mie 018105, sergent à la 14e compagnie du 173e rég. d'infanterie : excellent gradé, brave et plein de sang-froid. A été blessé très grièvement au cours do l'attaque


du 20 septembre lH, Amputé de la jambe gauche.

RENOU (Alexandre-Marie), mie OilIOi, soldat à la 4e compagnie du 6ie rég. d'infanterie : très bon soldat, brave et dévoué. A été blessé très grièvement, le 24 octobre 1915, en sortant de la tranchée pour s'élancer à l'attaque. Amputé de la jambe gauche.

EHIER Y (Marc-Gaston), mie 3X0, caporal au 1" groupe d'aviation, escadrille F. 2. mitrailleur remarquable d'allant et d'audace : s'o:ïrant toujours pour assurer la protection des avions de l'escadrille. Déjà cité à l'ordre pour avoir abattu un avion ennemi, le 7 mars 11)16. Le '28 juillet, attaqué par un appareil allemand, a soutenu énergiquement le combat, en faisant tomber dans ses lignes son adversaire désemparé. Attaqué, le lendemain, par un foliker, l'a combattu pendant près d'un quart d'heure et forcé à descendre d'une façon anormale.

MEUNIER (Jean-Claude), mle 14556, soldat à la IIe compagnie du 99e rég. d'infanterie excellent soldat qui s'est toujours courageusement conduit. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 3 août 1916. Amputé du bras gaucho.

DELALA'iDE\Vietor-Marie-François). mie 1983, soldat à la 6e compagnie du 99e rég. d'infanterie: excellent soldat dévoué et discipliné. S'est vaillamment conduit lors de l'attaque allemande du 1er août août 1916, au cours de laquelle il a été été grièvement blessé. Amputé de la jambe droite.

MERCl'ROL (Gaston), mie 01218, soldat à la 7e compagnie du 61e rég. d'infanterie : très bon soldat, brave et plein d'entrain, toujours volontaire pour les missions périlleuses. S'est encore distingué au cours des récents combats, par un sang-froid et un dévouement exceptionnels. Le 2 août 1016, malgré un bombardement extrêmement violent, n'a pas hésité à aller secourir des camarades ensevelis par l'explosion d'un obus. A été très grièvement blessé.

C\pBAL(Joseph\ mie 214, adjudant au 207E reg. d infanterie : sous-officier courageux et énergique. S'est part culiérement distingué au cours de la journée du 3 août 1916, en entrainant brillamment sa section à l'attaque des positions ennemies. A maintenu ses hommes sur la position conquise malgré un bombardement intense, leur donnant un bel exemple de ténacité et de dévouement.

LEDOUX (Henri-Emile-Pascal'!, canonnier servant à la 3e batterie du 83" rég. d'artillerie lourde, mie 2182 : modèle de dévouement, de bravoure et de sang-froid. Blessé une première fois, le 21 juin llÓ, n'a pas voulu quitter son poste. A été très grièvement blessé le 19 juillet 1916.

PÍTEX (Gustave), mie il8?, sergent à la 5e compagnie du 30e rég. d'infanterie : sousofficier d'une bravoure et d'une audace exceptionnelles, plein d'énergie et do sang-froid. Déjà cité à l'ordre de l'armée. Vient encore de se distinguer dans la nuit du 22 au 23 juillet 1916, en exécutant dans les lignes ennemies une reconnaissance particulièrement périlleuse. A tué deux Allemands de sa main et a rapporté de précieux renseignements.

NODARtDE (Josué), mie 22il, soldat à la 3e compagnie du 40e rég. d'infanterie : bon soldat. A été très grièvement blessé, le 2 août 191G, en remplissant courageusement son devoir. Enuclôation do l'œil droit.

DREVON (Jean François), mie 06039. adjudant au 414e rég. d'infanterie : excellent chef de section. remarquable de bravoure et de sang-froid.

A été b'essé très grièvement, le 3 août 1916, en entraînant ses hommes à l'assaut des lignes ennemies.

GUGLIERI (Roch-Ferdinand), mie 03240, caporal au 414e rég. d'infanterie : grade énergique qui n'a jamais cessé de donner l'exemple du courage et du sang-froid. A été très grièvement blessé, le 3 août 1916, au cours d'un violent bombardement.

LAGRANGE (Adrien-Henri), mie 803, soldat au 414e rég. d'infanterie: soldat courageux et plein d'allant. A été très grièvement blessé, le 3 août 1916, à son poste de combat.

GERVAIS (Raphaël-Louis), mle 019174, soldat à la 22' compagnie du une rég. d'infanterie: grenadier intrépide, modèle d'énergie et de

sang-froid, toujours aui postes les plus dange-

reux Le 18 juillet 1916, sont lieutenant ayant été blessé grièvement a groupé autour de lui l'équipe de grenadiers, à laquelle il appartenait et a refoulé l'ennemL Le combat terminé a ramené en arrière son officier blesse.

DEGENNE tfrnest), mle 018213, adjudant au 11Tr rég, d'infanterie : le 18 juillet 1916, quoique grièvement blessé au cours d'une vio.cnte attaque allemande, est resté a a milieu de ses hommes, les exhortant à la résistance et leur donnant un bel exemple d'énergie et da dévouement. N'a consenti à se retirer du combat qu'après avoir reçu une seconde blessure et sur l'ordre formel de son commandant de compagnie.

.J.OUL(Joscph), mle03391, adjudant au %e rég.

d'infanterie : sous-officier d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve, S'est maintes fois distingué depuis le début de la campagne, notamment à 1 attaque du 1er août 1916, où il a entraîné sa section avec un élan remarquable, faisant de nombreux prisonniers. A été grièvement blessé.

BODIN (Lucien), mle 02883, soldat de 1" classe au 41C rég. d infanterie coloniale : excellent saldat, d'une belle conduite au feu. A été blessé très grièvement, le 1er août 1916, au cours d'une contre-attaque.

MISSA DIARASOBA, mle 3821, sergent au 41e r6g. d'infanterie coloniale (65e bataillon de tirailleurs sénégalais; : sous-officier énergique et plein d'allant. A été très grièvement blesse à la tête de ses hommes.

TOUGERON (Pierre-Auguste-Louis), mle 07011, soldat à la 11e compagnie du 66* rég. d'infanterie : bon soldat qui a toujours fait courageusement son devoir. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 16 juillet 1916.

MANTAL (Pierre), mle 06132, soldat au 103e rég. d'infanterie, compagnie do mitrailleuses : très bon soldat, courageux et discipliné. A été très grièvement blessé, le 11 janvier 1916, dans les tranchées de première ligne. Amputé du pied gauche.

DE CORDSS (Maurice), mle 09524, soldat à la 19e compagnie du 41e rcg. d'infanterie coloniale : bon et brave soldat, qui s'est toujours très bien conduit au feu. A été très grièvement blessé au cours de l'attaque des lignes ennemies, le 25 septembre 1914. Impotence fonctionnelle du bras gauche.

LÉPlEAU (Albert-Maurice-Jean), mle 23/6352 soldat au 41e rég. d'infanterie coloniale, compagnie do mitrailleusas : bon et courageux soldat, qui s'est très bien comporté dans tous les combats auxquels il a pris part. A été très grièvement blessé le 21 octobre 1915. Grave mutilation de la face.

PELLETIER (Louis-Lucien), mle 2713, caporal à la 22e compagnie du 41e rée. d'infanterie coloniale : excellent caporal, plein d'énergie et de sang-froid. A été très grièvement blessé, dans la tranchée de première ligne, le 26 mars 1916. Amputé de l'avant-bras gauche.

VALEGEAS (François), mIe 5131, soldat au 138e rég, d'infanterie : bon soldat courageux et zélé. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 6 Laoût 1916.

Amputé do l'avant-bras droit.

NARDOUT (Léonard-Eugène), mie 39^3, canonnier à la 3e batterie du 3 te rég. d'artillerie : canonnier brave et plein de sang-froid. A été très grièvement blessé le 31 août 1914 à son poste de combat. Impotence fonctionnelle du bras droit.

LAFONTAINE (André), mle 2499, soldat à la 8e compagnie du 17ie rég. d'infanterie : soldat discipliné et dévoué. A été très grièvement blessé à son poste do combat le 31 octobre 1914. Amputé de la jambe droite.

BOUJARD (Albert), mle 3165. soldat à la 2e compagnie du 62e rég. d'infanterie : bon et brave soldat. A été très grièvement blessé au cours d'un bombardement intense, le 6 avril 1916.

Amputé de la cuisse gauche.

COMBOT (André-Marie), mle 01036, soldat à la 3° compagnie du 19e rég. d'infanterie ; bon soldat, d'une très belle conduite au feu. A été blessé très grièvement dans la tranchée de première ligne, le 3 avril 1916. Enucléation de l'œil droit.

FRACHET (Georges), mle 2598, sergent-major

à la 53 compagnie du 25e bataillon do chasseurs : grade énergique et courageux. A été trèl grièvement b!essé au cours d une patrouille périlleuse, le 1G novembre 191 i. Impotence fonctionnelle du bras droit.

PONCIN (Jean-François', mle 0'.;8i5, soldat & la 6e compagnie du 19e rég. d infanterie : excellent soldat, énergi jue et brave. A été très grièvement blessé au cours de l'attaque du 27 août 1914. Perte de l'œil gauche. impotence fonctionnelle du bras droit.

GUiLLEMIN (Alfred-Pierre), matricule 03ï85, soldat à la 19e co ¡¡pagnie du 251e rég. d'infanterie : excellent soldat, courageux, et d'une belle attitude au feu. A été très grièvement blessé le 15 mars 1916, au cours d'un violent bombardement. Enucléation de l'œil gaucho.

PICART (Achille), mle 015731, so'dat à la 22e compagnie du 332e rég. d'infanterie : très bon soldat, courageux et plein d'allant. A été très grièvement blessé, au cours de l'attque du 13 septembre 1914. Haccourcissement considérable de la jambe droite.

KABBOUR BEN AHMED, mle 316, sergent à la 15e compagnie du régiment de tirailleurs marocains : excellent gradé, courageux et plein d'entrain. A été très grièvement blessé a l'at taque du 5 septembre 191 i. Amputé de la cuisse droite.

RICOLLEAU (Louis), mle 01631, soldat à la 24e compagnie du 23e rég. d'infanterie : bon soldat discipliné et plein de dévouement. A été très grièvement blessé, le 26 septembre 1915, en contre-attaquant l'ennemi. Raccourcisse ment considérable de la jambe droite.

ROUX (Paul-Honri), soldat à la 8e compagnie du 117e rég. territorial d'infanterie : bon soldat, plein de courage et de dévouement. A été très grièvement blessé au cours de la contreattaque du 17 décembre 1914. Amputé de la jambe gauche.

DELACOUX Eugène-Auguste), mle 2014, cavalier de f classe au 2e escadron du 8e rég. de dragons : bon soldat qui s'est toujours vaillamment conduit au feu. A été très grièvement blessé, le 15 mars 1916, au cours d'un bombardement intense. Enucléation do l'œil gauche.

MAERSCHALCK. (Victor), mle 0*214, sergent a la 19e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves (2e zouaves) : excellent sous-officier, d'une bravoure et d'une énergie exceptionnelles. Déjà deux fois cité à l'ordre. Le 19 juillet 1916, après avoir pris le commandement de sa section, l'a vaillamment entraînée à l'attaque.

Est arrivé le premier dans la tranchée ennemie, tuant de sa main plusieurs Allemands qui cherchaient à résister, et faisant de nombreux prisonniers.

SAULNIER (Jean-Joseph-Alphonse), mle07050, adjudant à la lie compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : excellent sous-officier, module de bravoure et d'énergie, possède un grand ascendant sur ses hommes. Déjà deux fois cité à l'ordre, vient encore de se signaler par son entrain et sa crânerie au cours de l'enlèvement d'un fortin vigoureusement défendu par l'ennemi.

BENIKLEF ben Mohammed, mle 395, sergent à la lre compagnie du 3e ré, de marche de tirailleurs : excellent sous-olficier qui a toujours eu au feu une brillante conduite. A été très grièvement blessé, le 15 juillet 1916, en entraînant sa section à l'assaut d'un ouvrage ennemi. Déjà cité à l'ordre.

BENIDJER (ArezkT, mle 7465, tirailleur de lrt classe à la lre compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : excellent tirailleur, qui s'est très bien conduit dans tous les combats auxquels il a pris part. Ai été très grièvement blessé, le 15 juillet 1916, en portant un ordre sur la ligne de feu.

AHMED MEFTAII (Mébareck), mIe 14371, sergent à la 9e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : excellent sous-officier, d'un zèle et d'un dévouement exemplaires. Déjà cité à l'ordre. A vigoureusement enlevé sa demisection à l'attaque, le 15 juillet 1916, sous un feu intense de mitrailleuses, l a ensuite maintenue sur le terrain conquis pendant deux jours et deux nuits, malgré de violents retours offensifs.

OUELBANI (Moktar ben Mohamcdl, mle 7592, tirailleur de 1" classe à la 3e compagnie éli


3* rég. de marche de tirailleurs : tiraiileur donnant toujours le plus bel exemple de courage et de dévouement. S'est récemment distingué en allant en avant de nos lignes relever des blessés, malgré un feu violent de mitrailleuses.

BENSAID (Mohamed), mie 999, caporal à la lre compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : très bon caporal, énergique et brave, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été très grièvement blessé le 15 juillet 1916, au cours d'une reconnaissance.

TOUIL (Bendehiba ould Kaddour), mie 14491, tirailleur de lre classe à la 11e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : tirailleur brave et dévoué, suc le front depuis le début.

Les 15 et 16 juillet 1916, s'est particulièrement fait remarquer par son ardeur, s'élançant en tête do la première vague d'assaut. A ensuite donné le plus bel exemple en encourageant ses camarades accrochés au sol conquis.

- BEDJI (Abdellah), mie 14190, tirailleur à la lre compagnieu 3° rég. de marche de tirailleurs : tirailleur d'un courage et d'un allant remarquables. A été blessé très grièvement en se portant à l'attaque d'un ouvrage allemand, le 15 juillet 1916.

AOUIGI (Ali ben Mohamed), mie 2C39, caporal à la 15° compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : caporal énergique et brave. S'est distingué au cours d'un patrouille périlleuse, ramenant un prisonnier valida. A été grièvement blessé au cours d'un violent combat à la grenade. Déjà cité à l'ordre.

BABOU (Mohamed Amziune), mie 5635, sergent à la 15e compagnie du 3c rég. de marche de tirailleurs : très bon sous-officier, énergique et piein d'entrain. DéJà deux fois cité à l'ordre, s'est encore distingué aux récentes attaques, en entraînant courageusement sa section à l'assaut.

GîfAPET (Genès), mie H174, caporal au 2e rég.

de tirailleurs de marche: modèle de sangfroid et de courage. S'est brillamment conduit à l'attaque du Ao juillet 1916. Blessé, a refusé de quitter son jwste et est demeuré en ligne jusqu'à la relève de la troupe. Déjà trois fois ""W.esre, TOURATIER (Louis-AIbert\ mie 9018, sergent à li 18e compagnie du 2e rég. do marche de zouaves (2e zouaves) : très bon sous-officier, énergique et d'un dévouement à toute épreuve.

Déjà. cité à l'ordre. Blessé au cours de l'attaque du 19 juillet 1916, a continué à. combattre. N'est allé se-faire panser qu'après avoir organisé la position conquise et est revenu prendre le commandement de sa section. A contribué pour une large part à repousser, le lendemain, de fortes contre-attaques ennemies.

CHAUVIN (François), mIe 10583, adjudant à la 4e compagnie du 2e rég. de zouaves (2e de mart-h) : sous-officier très énergique et d'une bravoure au-dessus de tout éloge. Déjà grièvement blessé, le 21 décembre 1914, en accomplissant une mission de liaison très périlleuse.

Le 16 juillet 1916, a vaillamment entraîné sa section à l'assaut des positions allemandes ; s'est ensuite dépensé sans compter pour organiser la position conquise, donnant a ses hommes un bel exemple de courage, d'abnégation, et de mépris du danger.

COULON (Louis), mle 8642, sergent à la 18e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves i2e zouaves) : sous-officier très brave, déjà quatre fois cité à l'ordre. Le 19 juillet 1910, a dirigé avec énergie la première vague d'assaut, stimulant par son exemple tous ses grenadiers.

A contribué ainsi pour une large part à la réussite de l'attaque. A fait de nombreuses patrouilles en avant des ligues et a ramené plusieurs prisonniers.

ROY (Frtfdéric\ m je 9216, adjudant au S. rég.

de marche de zouaves, compagnie de mitrailleuses (3e zouaves) : excellent sous-officier mitrailleur, qui a toujours fait preuve d'énergie et do courage. Déjà cité à l'ordre. A été blessé très-grièvement le 18 juillet 1916, en entraînant sa section à l'attaque des positions ennemies.

VAQUE (François), mie 8157, adjudant à la 42e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e WllaVe'8): s'est toujours brillamment conduit depuis le début de la campagne. Blessé le 18 juillet 1916, en entraînant sa section à l'attaque, a continué à encourager ses hommes et n'a consenti à se faire soigner qu'après l'assaut.

PINARD (Jules-Alf re d-Eu gène), mie 017527, caporal à la 19e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves (2czouaves) : excellent caporal, vigoureux et plein d'allant. Son sergent étant tombé grièvement blessé, a pris le commandement de la section et s'est porté par trois fois à l'assaut de la position ennemie, faisant un très grand nombre de prisonniers. A organisé solidement la position conquise. Bien que blessé, est resté à son poste et a contribué à repousser une forte contre-attaque allemande.

.DELAUZUN (Aimé), tirailleur à la compagnie hors rang du Se rég. de marche de tirailleurs : grenadier courageux et plein de sang-froid. Le 20 juillet i16 est parti, sur sa demande pressante avec cinq de ses camarades, à l'attaque d'une position ennemie; à la suite d'un vif combat à la grenade, a obligé l'ennemi à se rendre. Le lendemain a renouvelé le même exploit contre un petit poste allemand.

CAYROL (François), mie 31714, sergent à la 42e compagnie du 2c rég. de marche de zouaves (24 zouaves) : excellent sous-ofïîcier, courageux et dévoué. Grièvement blessé, le 18 juillet 1916 en se portant à l'attaque d'une tranchée ennemie, n'a consenti à se faire panser qu'après avoir épuisé toutes ses munitions.

PLANES (Victor-André), mie 1095, zouave à la lre compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e zouaves) : excellent soldat, brave et plein d'entrain, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été très grièvement blessé, le 15 juillet 1916, en se portant à l'assaut des tranchées ennemies.

ROUSSELOT (André-Alexandre-Félix), mle 34980, zouave à la 17e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves (3e zouaves) : soldat énergique et brave. A été très grièvement blessé le 15 juillet 1916 au cours d'un violent bombardement. Amputé du bras droit.

JUILLET (Camille), mis 03,106, adjudant à la 10e compagnie du 134e rég. d'infanterie : sousofficier qui s'est fait maintes fois remarquer par son allant, &»>n courage et son esprit de décision, Déjà blessé et deux fois cité à l'ordre. Vient encore de se distinguer, à la tète de sa section, au cours d'une contre-attaque.

A réussi à faire quinze prisonniers dont un officier.

THOMAS (Louis), mie 03S3, soldat à la 8e compagnie du 151e rég. d'infanterie : très bon soldat courageux et dévoué. A Piètres grièvement blessé à son poste de combat, le 16 mars 1916.

Enucléation de l'œil gauche.

BOULANGER (Jacques-Marie), mie 02414, soldat au 335e rég, d'infanterie, compagnie de mitrailleuses : excellent soldat, donnant toujours l'exemple du courage et du sang-froid. A été très grièvement blessé, à son posto de combat le 30 mars 1910. Enuclêatioa de l'œil droit.

RABAIN (Louis), mie 012998, soldat à la 23e compagnie du 335= rég. d'infanterie : bon et dévoué soldat, maintes fois volontaire pour des missions périlleuses. A été très grièvement blessé le 29 février 1916, dans l'accomplissement de ses dovoi-rs. Amputé de la cuisse gauche

HENRY (Paul), mie 13149, adjudant à la 41e compagnie du 3e régiment de zouaves (3e demarche) : sous-officier brave et dévoué. A été très grièvement blessé, le 17 avril 1916, au cours d'un violent combat à la grenade. Perte de la vision do l'œil gauche.

PAUTRAT (Frédéric-Louis), mie 985, caporal à un groupe de bombardement: a toujours montré un sang-froid et un courage de tout premier oxdre au cours des combats qu'il a livrés, et des nombreux bombardements qu'il a effectués en pavs ennemi; a obtenu chaque fois d'excellents. résultats. Déjà deux fois cité à l'ordre do l'armée. Le 22 juin 1916, a livré quatre combats au cours d'un bombardement très important à longue distance et a réussi à abattre un avion ennemi.

EMMANUELLI (Dominique), mie 348, adjudant à un groupe do bombardement : Il Mitrailleur, bombardier d'un courage et d'un sang-froid exceptionnels. Dans la nuit du 8 au 9 août 1916, a accompli un raid à grande distance au cours duquel il a pu, grêoe à ses qualités morales et à la précisios de son tir, réussir un bombardement très importan t.

HAPPE (Louis-Arthur), mie 3707, sergent à un groupe de bombardement : pilote adroit et

courageux. A pris part à plusieurs bombardements, allant chaque fois au but. Le 22 juillet 1916, après avoir bombardé l'objectif, a été attaqué par trois avions ennemis, leur ateautêteavec calme et sang-froid. Son mitrailleur ayant été très grièvement blessé dès le premier combat, et lui-même atteint par deux balles à la main droite, a réussi à se dégager. Attaqué à nouveau par deux autres avions à mi-chemin du retour, a pu, en leur faisant face à diverses reprises, ramener dans nos lignes son appareil criblé de balles.

RUELLE (Léon), mie 3882, sapeur au 1er groupe d'aviation : bon et brave soldat, déjà deux fois blessé. A reçu une troisième blessure très grave, le 6 septembre 1915, dans l'accomplissement de ses devoirs.

(Pour prendre rang du 22 août 1916.) FILLIARD (Claudius), mie 016405, soldat au 99e rég. d'infanterie: très bon soldat, consciencieux et plein de dévouement. A été blessé très grièvement, le 4 août 1916, dans la tranchée de première ligne. Amputé de la cuisse gauche.

CANU (Raoul-Théophile), mie 220, sergent à la 9e compagnie du 2')c rég. d'infanterie territoriale : sous-officier dévoué et courageux. A élé très grièvement blessé au cours du combat du 13 février 1916. Impotence fonctionnelle du bras gauche.

ROCHER (Joseph-Simon), mie B 16742, soldat au £ 6! rég. d'infanterie territoriale, compagnie de mitrailleuse : modèle de courage et de dévoucment. A été très grièvement blessé à son poste- de combat, le 24 avril 1916. Amputé de la jambe droite.

MOTU (Rléber-Jean), mie 03049, sergent-fourrier à la 216 compagnie du 28?e rég. d'infanterie : excellent sous-officier, remplissant en toutes circonstances, avec un sang-froid et un mépris du danger remarquables, les fonctions d'agent de liaison. A été très grièvement blessé, le 21 juin 1915, en transmettant un ordre sur un terrain découvert et constamment battu par le feu de l'ennemi. Raccourcissement considérable de la jambe gauche.

PEIRIN (Paul-André) mie 07124, soldat à la 8e compagnie du 28e rég. d'infanterie : bon et brave soldit. A été blessé très grièvement en faisant courageusement son devoirA le 24 septembre 191 i. Perte do l'usage du bras gauche.

VEILLEROT (Jean), mie 016788, sergent à la 19e compagnie du 275e rég. d'infanterie : gradé dévoué, courageux, énergique et plein d'entrain.

A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 12 mars 1915. Mutilation de la face.

AIRAULT (Désiré), mIe 3336, sergent-major & la 17e compagnie du 2';2°rég. d'infanterie : sousofficier énergique et brave. A brillamment enlevé sa section à l'attaque. du 6 septembre 1914.

Blessé une première fois ; a contribué à entraîner ses hommes. N'a abandonné la lutte qu'après avoir reçu une seconde blessure grave.

LACROIX (Elie), mie 018626, soldat à la 17e compagnie du 255e râg. d'infanterie : soldat énergique et courageux. A été très grièvement blessé en arrivant à la tranchée ennemie, lors de l'attaque du 7 avril 1915. Amputé du bras gauche.

GAL1GNÉ (Aristide), mie 7385, soldat à la lOn compagnie d i 173e rcg. d'infanterie : très bon soldat, courageux et plein d'allant. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 28 juin 1915. Amputé-de la jambe droite.

IIY (Félix), mie 5332, soldat à la 9° compagnie du 173° rég. d'infanterie : soldat brave et dévoué. A été blessé très grièvement, le 26 décembre 191i, en se portant crânement à l'assaut des positions allemandes. Raccourcissement considérable de la jambe gauche.

DONIFAY (Gustave-Léon-Mari'lls), mie 2155, soldat à la 16e compagnie du 173e rég. d'infanterie : soldat plein d'entrain, donnant toujours le "Plus bel exemple do courage et de dévouement.

A été blessé grièvement le 30 octobre 1914.

Impotence fonctionnelle de la jambe droite.

NICOLAS (Jean-François), mie 1726, cavalier au 1er escadron du 2e rég. de chasseurs : excellent soldat qui a toujours eu une belle attitude au feu. A été très grièvement blessé le 1e» jan-i vier 1915, à son jjoste de combat.


ALLAIN (Henri-Georges), mie 018152, caporal à la 7e compagnie du 5e rég. d'infanterie : caporal brave et dévoué, ayant toujours eu la plus belle attitude au feu. A été très grièvement blessé, le 24 avril 1916, au cours d'un bombardement violent. Amputé du bras droit.

MAMIER (André). mie 11055, soldat de lro classe au 5e rég. d'infanterie: bon soldat, d'une bravoure et d'une énergie à toute épreuve. A été très grièvement blessé, à son poste de combat, le 21 avril 1916. Perte de l'œil droit.

TOUC-ARD (Charles), mIe 05164, soldat de lre classe à la compagnie, hors rang du 119e rég.

d'infanterie: très bon soldat, brave et plein d'allant. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 21 juin 1915.

Amputé du bras ganche.

BLANCHOT (Auguste. mie Rt 3348, soldat à la 7c compagnie du 119" rég. d'infanterie: bon et brave soldat, dévoué et discipliné. A été blessé très grièvement en faisant courageusement son devoir, le 2 février 1916. Amputé du pied droit et perte de l'œil droit.

MARIE (Charles-Eugène), mIe 07308, soldat à la 5e compagnie du 119e rég. d'infanterie : bon soldat, modèle de courage et d'entriin. A été très grièvement blessé, le 28 janvier 1916, au cours d'un violent bombardement. Enucléation de l'a il droit.

QUENTIN (Angnste\ mie 6997, soldat à la 11e compagnie du 119e rég. d'infanterie: soldat plein de courage et de dévouement. A été très grièvement blessé, le 28 janvier 1916, dans un poste particulièrement périlleux. Enucléation de l'œil droit.

MICHAUD (Sylvain), mle 03387, soldat à la ire compagnie du 95e rég. d'infanterie : très bon soldat, énergique et plein d'entrain. A été très grièvement blessé au cours du combat du 2G février 1916. Amputé du bras gauche.

THIBAULT (Paul" mie 0211, tambour à la 3.; compagnie du 295e rég. d'infanterie : excellent soldat, courageux et dévoué. A été blessé très grièvement, le 25 février 1916, au cours d'un violent combat. Amputé do la jambe gauche.

TIIERON (Joseph-François), mie 018148, sergent à la 21® compagnie du 259e rég. d infanterie : très bon sous-officier, d'un dévouement à toute épreuve. S est particulièrement fait remarquer par jsa ténacité et sa bravoure au combat du 6 mars 1916. A été très grièvement blessé. Amputé de la jambe gauche.

BAGET (Jean-Baptiste,, mie 1579, soldat de Ve classe à la 19e compagnie du 283e rég. d'infanterie : soldat courageux et plein d'entrain.

A été très grièvement blessé, le 7 mars 1916, en se portant aux tranchées de première ligne, malgré un violen tir de barrage. Enucléatijn de lxril droit.

nUlS (Jean-Marie), mie 1316, soldat à la 20e compagnie du 2S3e rég. d'infanterie : bon et brave soldat. A été très grièvement blessé le 2 mai 1916, au cours d'un violent bombardement. Perte de l'œil droit.

DELSUC (Ferdinand), mie 0215, sergent à la 20* compagnie du 342e rég. d'infanterie : excellent sous-officier. Blessé très grièvement le 1er septembre 1914, au cours d'une reconnaissance. Perte de l'usage du bras gauche.

TIERCELfN (Théophile-Albert), mie 2381 bis, soldat à la 9e compagnie du 39e rég. d infanterie : très bon soldat, courageux et dévoué. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 4 juin 1915. Enucléation de l'œil gauche.

GARDEY (François), mie 05655, premier canonnier conducteur à la 27e batterie du58e rég.

d'artillerie : excellent conducteur, au front depuis le début de la campagne, a toujours donné toute satisfaction à ses chefs. A été très grièvement blessé, le 16 mars 1916, en accomplissant bravement son devoir. Amputé de la cuisse gauche.

FOSSE (Denis-Pierre-Jean), mie 05774, soldat à la 9e-compagnie du 122e rég. d'infanterie : bon soldat. A été blessé très grièvement, le 15 mars 1915, en se portant bravement à l'attaque d'une tranchée allemande. Amputé du bras gauche. -

GISSINGER (Charles). mie 013397, soldat à la i 7e compagnie du 39e rég. d'infanterie : très boa t

soldat. A été blessé grièvement, le 2 octobre 1915, en se portant courageusement à 1 assaut d'un village occupé par l'ennemi Enucléation de l'œil gauche.

SABY (Jean-Baptiste), mie 011886, soldat à la 2e compagnie du 52e rég. d'infanterie : très bon soldat qui a toujours fait preuve d'énergie et de sang-froid. A été blessé très grièvement, 10 3 avril 1915, au cours d'une reconnaissance offensive. Amputé du bras gauche.

JASSERON (Louis-Marie), mie 5684, soldat à la 4# compagnie du 59e rég d'infanterie : très bon soldat, d'un dévouement et d'un courage remarquables. A été blessé grièvement à son poste de combat le 5 septembre 1914. Perte de l'œil droit.

NOZIERES (Jean), mie 06588, soldat à la 11e compagnie du 52e r,>g, d'infanterie : soldat dévoué, courageux et plein d'entrain. Blessé très grièvement, au cours du combat du 23 août 1911. Amputé de la jambe gauche.

BRUNET (Antoine-Augustin), mie 7371. soldat à la 22e compagnie du 322e rég. d infanterie : soldat plein de bravoure et de dévouement.

A été grièvement blessé, par éclat d'obus, le 30 octobre 1915. Perte de l'œil droit.

FRlMDAUD (Jean), mIe 6357 bis, soldat à la 18e compagnie du 289e rég. d'infanterie: très bon soldat. A été grièvement blessé le 8 mars 1916, en accomplissant courageusement son devoir de guetteur, sous un violent bombardement. Perte de l'œil gauche.

CAS (Maurice), mie C9, sergent-major à la 2' compagnie du 36e rg, d'infanterie : très bon sous-officier plein d'allant. A été très grièvement blessé, le 22 août 1914, à son poste de combat. Amputé de la cuisse gauche.

LECLERE (Georges), mie 6128, soldat à la 20e compagnie, du 274e reg. d'infanterie : excellent soldat, très brave au feu, A été blessé très grièvement à son poste, le 10 avril 1916, au cours d'un violent bombardement. Amputé de la cuisse droite.

PELICAN (Raymond-Georges), mIe 2235 bis, soldat à la 24e compagnie du 214e rég. d'infanterie : au front depuis le début de la campagne, a toujours eu au feu une conduite exemplaire.

Très grièvement blessé le 11 avril 1916. Amputé du bras droit.

ANE (Pierre), mie 24 IC 5193, adjudant au 37e rég. d'infanterie coloniale (61e bataillon de tirailleurs sénégalais) : excellent sous-officier.

S'est distingué au combat du 9 juillet 1916, au cours duquel il a brillamment conduit sa section à 1 assaut sous de violents tirs de barrage.

A été très grièvement blessé au cours de l'action.

PERRIMOND (Marius-Marcelin). mie 22/3312, adjudant au 58e rég. d'infanterie coloniale : sous-officier très méritant. A lait preuve d'une véritable énergie, le 20 juillet 19i6, en maintenant ses tirailleurs, dans des circonstances difficiles, sur une position soumise à un feu très violent de mitrailleuses. Grièvement blessé, no s'est laissé panser que lorsqu'on se fut occupé des hommes tombés autour de lui.

Déjà cité à l'ordre..

NALAYE KONDE, mie 8167, adjudant au 58e rég.

d'infanterie coloniale : s'est distingué pendant les combats du début de la campagne et particulièrement le 20 novembre 1914. jour oS il a été grièvement blessé. Atteint d'une seconde blessure le 20 juillet 1916, en entrainant brillamment sa section à l'attaque, a continué le mouvement en avant et ne s'est laissé évacuer que sur l'ordre formel de son chef.

CHANTREAU (Emile), mIe 3 IC 5760, caporal au 37e rég. d'infanterie coloniale (61 bataillon de tirailleurs sénégalais) : excellent gradà. S'est signalé par son courage au cours des combats des 9 et 10 juillet 1916. Bien que blessé, est resté à son poste et a continué à assurer son service de chef de pièce avec un calme et un sang-froid remarquables. Avait été blessé une première fois le 2 octobre 1915.

JOUSSI BIKAOUA, mie 19426, tirailleur au 35e rég. d'infanterie coloniale (2e compagnie du 30e bataillon de tirailleurs sénégalais) : bon tirailleur, a été blessé très grièvement le tirailleur, 1916, en se portant & l'assaut des po11 juillet 191G, eD se p!)l'3.nt à l'assaut des positions ennemies.

PLANTIER (Pierre), mie 4/24757, sergent à la 40 compagnie du 58" rég. d'infanterie coloniale :

a brillamment entraîné les tirailleurs à l'assaut, lors dp l'attaque du 20 juillet 1916. Airôtô par un feu violent de mitrailleuses, a fait preuve de la plus grande énergie en maintenant fermement ses hommes en position, bien qu'il ait été très grièvement blessé.

LIVET (Marc), mIe 666, sergent fourrier au 18e rég. d'infanterie coloniale : très brave sousofficier. Déjà cité à l'ordre pour sa belle conduite pendant les combats du 1er au 3 juillet 1916, s'est distingué il nOtlveau, le 20juillet 1916, en allant, sous un feu d'une extrême violence.

porter un ordre à son capitaine qui commandait les premières vagies d'assaut ; blesse très gravement en cours de route, non a pas moins accompli sa mission et est tombé épuisé en rejoignant son commandant de compagnie à quelques mètres des lignes ennemies.

CUlHHI-HA, mie 72, tirailleur au 36e rég d'infanterie coloniale (2be bataillon do tirailleurs sénégalais) : le 20 juillet i9I -, est allé en terrain decouv-ert, sous un feu viol nt dj mitrailleuses, re.ever un camara le blessé, aperçu par des Allemands, au moment oli ii le ramenait et en Lu lté à leur tir s'est arrêt, a ouvert le feu avec beaucoup de sang-fr'Ji.i d a tué un de ses ennemi-;. A été lu.-même grièvement blessé.

SIGALVHTX (Clànent,, mie 13 IC 52, sergentmajor au 35e rég. d'infanterie coloniale: sous-officier énergique et d'un courage exemplaire. Ayant pris le commandement d'une section. est allé reconnaître la tranchée allemande dans laquclio des troupes avaient été massées. Amis personnellement quatre Allemands hors de combat. A été très grièvement blessé en organisant la position conquise.

LA BEAU (Pierre), mle 24 IC 2240, c.iporal au 44e rég. d'infanterie coloniale: le 10 juillet i tl6, fait prisonnier, avec son escouade, par des Allemands qui avaient feint du se rendre et avaient repris leurs armes, s'est battu avec acharnement, à réussi à se dégager et s'est ensuite porté vigoureusement à l'assaut des positions ennemies. A té blessé au cours de l'action. Déjà ctté à l'ordre.

AMEIL (Gilbert), mie 011030, soldat de lrc classe au 35» rég. d'infanterie coloniale: le 15 jui.let 1916, n'a pas hésité à monter sur le parapet de la tranchée p M r faire un meilleur u-àge de son fusil-mitrailleur. A ainsi réussi à mettre en fuite deux patrouilles ennemies qui tentaient de s'approcher de nos lignes à l:l faveur da brouillard. A été grièvement blessé au cours da l'action. Déjà cité à l'ordre.

TlECliE (Albert), mie 8 IC. 0726, sergent aa 23e rég. d'infanterio coloniale : sous-officier remarquable par son énergie et sa bravoure.

Le 18 juillet 1916, a été reconnaître, en plein jour, les défense- accessoires des positions ennemies que l'on devait attaquer le lendemain et a rapporté des renseignements précis et complets. A été grièvement blessé.

TOURREIX (Jean), mie 011077, soldat de lra classe au 35e rég. d'infanterie coloniale : brancardiar très courageux, s'est signalé en maintes circonstances et particulièrement pendant les journées des 10, 11 et 12 jullût 1916, en allant relever sur un terrain découvert et battu par le feu de l'ennemi, des blessés restés entre les lignes. A été très gravement blessé en accomplissant sa mission.

LACROIX (Daniel), mie 0/11605, caporal fourrier à la 5e compagnie du 7e rég. d'infanterie coloniale : resté dans les lignes allemandes après une violente contre-attaque ennemie, a quitté en plein jour et au bout de 24 heures le trou d'obus dans lequel il s'était réfugié. Est rentré dans nos lignes après avoir fait un prisonnier dans une tranchée allemande franchie au passade, donnant l'exemple d'un beau sangfroid et d'un véritable mépris du danger.

IIERLICQ (Eugène-Victor), mie 0919. sergent au 31° rég. d'infanterie coloniale (26e bataillon de tirailleurs snégalais: sous-officier calme et plein de sanq-froid. d'une énergie et d'une bravoure exceptionnelles. Déjà deux fois blessé et deux fois cité à l'ordre. Blessé une troisième fois grièvement, le 20 juillet 1916, a refusé do se laisser évacuer.

CLEMENT (Eugène-Séraphin), mie 6 IC 622-1, caporal au 34e rég. d'infanterie coloniale : très bon caporal plein de bravoure et d allant, toujours volontaire pour les missions périlleuses Déjà deux fois cité à l'ordre. Le 20 juillet 191&


a entraîné arec vigueur ses hommes à l'assaut des lignes ennemies. Obligé de-se-J'ûplier devant une violente contre-attaque et voyant un de ses hommes blessé à petite distance des Allemands, s'est élancé pour le ramasser et le rapporter dans nos lignes. A été blessé luimàine très grièvement.

LANDIVIER (Paul-Hyacinthe), mie 015910, sergent au 36e rég. d'infanterie coloniale: très bon BDUs-offlcier,énergique et plein d'allant. Déjà cité à l'ordre. A vaillamment entraîné sa section à l'attaqua du 20 juillet 1016. A été très grièvement blessé.

AHMED BEN MOHAMED HAFIANE EL MOK.ADDEM, mie 7803, tirailleur à la 4e compagnie du 4e rég.. de tirailleurs : bon tirailleur, très brave et d'un dévouement à toute épreuve. A été très grièvement blessé, le 9 juillet 1916, en portant un ordre urgent sous uu violent tir do barrage.

BONNARD (Fernand), mie 1301, sergent à la 17e compagnie du 310e rég. d'infanterie : sousofficier d'une bravoure éprouvée. Toujours volontaire dans les missions périlleuses. S'est distingué le 8 juillet 1916, pendant une reconnaissance oltensive, au cours do laquelle il a soutenu vaillamment trois combats à la grenade. S'est signalé à nouveau par son courage, le 18 juillet 116, en exécutant une reconnaissance hardie sur un point fortement occupé par l'ennemi. Pris sous un feu d'infanterie et atteint d'une grave blessure, est rentré au bout de .trois heures, rapportant des renseignements très intéressants et donnant ainsi un bel exemple dendurance et d'énergie. Avait été blessé une première fois, en juillet 1915. 'l de CLAVERIE (Louis), mie 019C51, soldat de f classe au 1er rég. mixte d'infanterie coloniale : brave soldat. A été grièvement blessé, 1e 28 août 1914, au cours d'une attaque.

Impotence fonctionnelle de la jambe droite.

(Pour prendre rang du 23 août.) PRADIER (Henri), mie 76i3, sergent à la 3e compagnie du 418e rég. d'infanterie : au cours de l'attaque du 20 juillet 1916, se trouvant brusquement en face d'une mitrailleuse allemande, a lancé sa :demi-section avec beaucoup d'audace sur cette pièce ennemie, s'en est emparé et l'a retournée immédiatement contre ses adversaires, empêchant tout retour offensif de leur part. Déjà cité à l'ordre.

CADET (Edmond), sergent au 11e bataillon de chasseurs alpins, mie 342: sergent grenadierd'une bravoure et d'une audace exceptionnelles. Le 30 juillet 1916, placé en poste avancé avec quelques hommes, sur un terrain nouvellement conquis, a repoussé à la grenade plusieurs contre-attaques ennemies , n'hésitant pas à monter sur le parapet et communiquant ainsi à ses hommes son entrain et son énergie.

Blessé grièvement à son poste de combat, déjà trois fois blessé, deux fois cité à 1 ordre.

- SANS-NAIIORT (Etienne), adjudant au 1er rég.

mixte de zouaves tirailleurs : sous-officier mo"dèle qui, depuis le début de la campagne, ne cesse de donner les preuves d'une valeur et d'un entrain remarquables. Blessé trois fois et trois fois cité à l'ordre, s'est à nouveau distingué pendant le combat du 20 juillet 1916, en entraînant magnifiquement sa sec!ion à l'cssaut des tranchées allemandes qu'il a immédiatement organisées et dans lesquelles il s'est maintenu malgré l'intensité du tir de l'artillerie et des mitrailleuses ennemies.

LEMAITRE (Edmond), mie 04111, zouave de lre classe au 9" rég. de marche de zouaves, lie compagnie : le 20 juillet 1916, bien qu'ayant vu à deux reprises ses deux camarades d équipe tomber à ses côtés, ne s'est pas une seule fois départi de son sang-froid : a continué la relève des blessés avec des aides de fortune au cours d'une attaque d'infanterie et sous plusieurs violents bombardements, ne cessant de parcourir les tranchées à peine ébauchées, : pour s'onquérir des pertes possibles, et faisant l'admiration do ses chefs et de ses camarades -par son courage et son abnégation. Trois fois blesse au cours do la campagne.

PO N S ( Louis - Arthémon - Léon - Albert ), mif e 7000. sergent au 14e bataillon de chasseurs alpins : excellent sous-officier, intelligent, courageux et énergique. Le 20 juillet 1916, s est résolument élaucé à la tête d'une compagnie qui venait de perdre ses officiers, et $'est emparé d'une tranchée fortement occu-

pée. A été blessé grièvement au cours de l'action. Déjà blessé et cité à l'ordre.

VIDA (Fernand), mie 0702. chasseur au Me bataillon do chasseurs alpins : brancardier d'un courage et d'un dévouement exemplaires.

Deux fois blessé au cours de la campagne, a été atteint à nouveau d'une grave blessure, le 23 juillet 1916, en faisant bravement son devoir. 'Déjà deux lois cité à l'ordre.

QUERET (Marcel), médecin auxiliaire du 11e bataillon de chasseurs alpins : jeune médecin auxiliaire, d'une compétence technique et d'un dévouement remarquables. Blessé le 19 juillet 1016, pendant les préparatifs d'une attaque, a continué à assurer son service lors de l'action, et n'a consenti à être évacué qu'au moment où le bataillon allait être relevé. Déjà trois fois blessé et trois fois cité à l'ordre.

SIMON (Louis\ mie 02301, caporal à la compagnie 22/1 du 1er rég. du génie : caporal très courageux, qui a toujours fait preuve d'un remarquable entrain et d'un mépris absolu du danger, a été très gravement blessé en dirigeant un travail de nuit, le 1er août 1916. Déjà cité à l'ordre d3 l'armée.

RASMAISON (André-Jean), mie OG244, chasseur de lre classe à la 9e compagnie, du 52e bataillon de chasseurs : brave chasseur. A été grièvement blessé, le 2 septembre 1914, en se portant à l'attaque des lignes allemandes. Impotence fonctionnelle de la jambe gauche.

SIMOL'TRE Louis), mie Rt S85. chasseur à la 9e compagnie du ; 9e bataillon de chasseurs: bon chasseur, courageux et dévoué. A été très grièvement blessé, le 12 mai 1915, au cours d'un bombardement intense. Impitenco fonctionnelle de la jambe gauche.

CROCII ON (Francisque), mie 012011, adjudant do bataillon au 97- rég. d'infanterie : très bon sous-ofucier. brave et plein d'allant. Déjà deux fois cité à l'ordre. A été blessé très grièvement lo 17 mars l'JlG, à son posio de combat.

Impotence fonctionnelle de la jambe gauche.

BELLOT (Albcrt-Joseph-Marius), mie 10994, caporal à la 9e compagnie du 97e rég. d'infanterie : caporal énergique et plein d'entrain. A été très grièvement blessé dans la tranchée de première ligne, le 15 juin 1915. Enucléatlon de l'ail gauche.

GUYOT (Léon-Alexandre), mIe 014281, soldat lre classe à la ISe compagnie du 237e rég. d'infanterie: soldat brave et plein de sang-froi.d A été très grièvement blessé, le 2 octobre 1914, au cours d'un violent combat. Amputé de la cuisse drcite.

GAREAU Louis-Fernand), mie 012364, soldat à la &e compagnie du 37e rég. dinfanterie: soldat énergique et brave, toujours volontaire dans les missions ies plus périlleuses. A été très grièvement blessé au cours de l'attaque du 2i décembre 1914. Perte do l'usage de la main droite et du pied gauche.

COURTEAU (Louis-Antoine), mfe 6339, soldat à la 8e compagnie du 37' rég. d'infanterie : très bon soldat, courageux et plein d'allant. A été blessé très grièvement, le 20 août 1914, au cours d'un violent combat. Impotence fonctionnelle de la jambe gauche.

BANTZE (Achille), mie Rt 1038, caporal à la 5e compagnie du 42° rég. d infanterie : gradé énergique et courageux. A été très grièvement blessé, le 25 septembre 1915, en franchissant, à la tête de ses hommes, la deuxième ligne allemande. Impotence fonctionnelle de la jambe gauche.

DEN13 (Charles" mie 01C951: soldat de lrJ classe à la 12e compagnie du 790 rég. d'infanterie : bon soldat, plein de courage et d'entrain. A été blf ssè très grièvement, le 28 avril 1915, au cours d'un violont bombardement.

Perte de la vision de rœil droit.

DIDIER (Julien-Albert), mlo 013752, caporal à la 2e compagnie du 170e rég. d'infanterie : bon et brave sold it, plein d'énergie et d'entrain. A été très grièvement blessé au cours de l'attaque du 16 mars 1915. Perte de l'usage du bras gauche.

Les promotions et nominations ci-dessus comportent l'attribution de la Croix de guerre avec palme.

Paris, le 16 septembre 1916.

ROoUES.

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SERVICE D ETAT-MAJOR MUTATIONS

Armée active.

Par décision ministérielle du 16 septembre 1916 : M. Gamet de Saint-Germain, lieutenant-colonel breveté du IG:e rég. d'infanterie, est mis en activité hors cadres (état-major) et nommé chef d'état-major du 7e corps d'armée (service), à dater du 11 septembre 19i6.

M. Meyer, chef d'escadrons de cavalerie bre- , vetê, est" mis en activité hors cadres (état-major) (service), à dater du 2 septembre 1916.

M. Mélot, chef d'escadron breveté au 31e rég.

d'artillerie, est mis en activité hors cadres (état-major) et nommé à l'état-major du 1er corps d'armée (service), à dater du 31 août 1916.

M. Vielliard, capitaine breveté du 71e bataillon de chasseurs, est mis en activité hors cadres (Ótat-rnajor) (service1, à dater du 2 septembre 1916.

-ow

CORPS DES INTERPRÈTES MILITAIRES NOMINATIONS Par décision ministérielle du 14 septembre 1916 et par application du décret du 12 novembre 191 i, sont nommés à titre temporaire et pour la durée de la guerre :

Réserve.

Au gra(le d'officier interprète de 5e classe

pour les langues anglaise et allemande.

M. Barety (Léon), caporal à la section des secrétaires d'état-major coloniaux, affecté à la direction générale des relations avec la presse.

— Maintenu.

Armée territoriale.

Au grade d'officier interprète de 5e classe pour la langue russe.

M. Demay (Lucien), caporal à la 20e section de secrétaires d'état-major et du recrutement, détaché à la direction génirale des relations avec la presse. — Maintenu.

Armée territoriale.

Par décision ministérielle du 14 septembre 1916 et par application du décret du 2 janvier 1915, les nominations à titre temporaire et pour la durée de la guerre, ci-après, sont ratifiées :

Au grade d'officier interprète de se classe.

Jalras (Jean-Louis-Alexis), interprète stagiaire, à titre temporaire pour la langue allemande, affecté à un état-major aux armées. — Maintenu.

M. Vachet (Léon-Joseph), interprète stagiaire, à titre temporaire, pour la langue allemande,!

affecté à un état-major aux armées. — Maintenu.

Réserve.

Par décision ministérielle du 16 septembre 1916 et par application du décret du 2 janvier 1915, la nomination à titre temporaire et pOUf la darée do la guerre, ci-après, est ratifiée : Au grade d'officier interprète de 5e classe.

(A dater du 11 septembre 1916.) M. Poincon de La Blanchardière (Yves), interprète stagiaire pour la langue allemande, affecté à un état-major aux armées. — Maintenu.

e

SERVICE DES CHEMINS DE FER ET DES ÉTAPES MUTATIONS

Réserve.

Par décision ministérielle du 18 septembre 1916, est passe dans le service des chemins de fer et des étapes :


M. Monteil, capitaine de réserve au se rég. de 1 chasseurs d'Afrique (dépôt). — Mis & la disposi- !

tion du directeur des chemins de fer aux ar- mées. Armée territorialefar décision ministérielle du 18 septembre 1916, est passé dans le service des chemins de fer et des étapes, pour la durée de la guerre : M. Pinsard, sous lieutenant à titre temporaire au 22* rég. territorial d'infanterie (détaché dans le service des chemins do fer de la 3e région).

- Maintenu.

INFANTERIE admission A L'HONORARIAT

Par application de la loi du 21 avril 1916, sont placés dans la position d officiers honoraires, les anciens officiers de complément dont les noms suivent ; Réserve.

Avec le grade de capitaine de réserve honoraire M. Roux (A.), en résidence à Paris, 9 bis, rue de la Véga.

Avec le grade de lieutenant de réserve honoraire.

M. llomant (C.-E.-E.), en résidence à Paris, 36, rue Bolivar.

Armée territoriale.

Avec le grade de lieutenant-colonel de territoriale honoraire.

M. Perrignon de Troyes (C.-F.-F,), en résidence à Dijon, 6, rue Josepti-Tissot.

M. Regnault de Bellescize (L.-F.), en résidence à la Chapelle-du-Chatelard, par Marlieux l.\lD¡.

Avec e chef de l a la illon de territoriale l:o xoraire.

M. IIonnorat (C.-J.l, en résidence à Vienne, 21, cours Brillier (Isère).

M. Riberette M.-A.., en résidence à Paris, 98, boulevard do Courcellus.

M. Famchon (R.-N.-A.), en résidence à Paris, W, rue Copernic.

M. Barnier (L.-N.-A.), en résidence à Vienne (Isère).

M. Ilenrion (V.-P.), en résidence à Paris, 199, rue Saint-Honoré.

M. Briauconrt (J.-C.-F .), en résidence à Paris, 89, rue Saint-Honoré.

M. Boulant (P.-Y.}, en résidence à Paris,26, rue Pierre-Curie.

M. Scordel (L.-L.', en résidence à Dreux. 10, rue d'Orisson.

M. Maurie (J.-F.), en résidence à Paris, 69,avenue de la Bourdonnais.

M. Iionnesœur (N.-A.. en résidence à Nantes, 11, rue Carcouët.

AI. Pétrequin (EL), en résidence & Lyon, il, rue du i'iat.

Avec le grade de capitaine de territoriale honoraire.

M. Elardin (S.), en résidence & Paris, 8, rue Cail.

M. Escarraguel (L.-F,), en résidence à Bordeaux, H, rue de Mulhouse.

M. Meyer (C.), en résidence à Orléans, 5, qua du Roi.

M. navot (J.-M.-II ), en résidence à Coulon, communo de Neuvy-en-SulLais (Loiret).

M. de Vigan (M.-i..-V.), en résidence à Bellame, rue Hourcicault (Orne).

M. Prat fD.-G.), en résidence à Buanos (Basles-Pyrénées)

M. Hurel (L.-L.), en résidence à Paris, 2, rue des l.ions.

M. Chaumont (H.), en résidence à Dijon, 3 bis, 1 avenue Victor-Hugo. 1 M. Beral (G.-E.), en résidence à Paris, 49, rue de Maubeuge. j M. de Puybusqué (G.-J.-A.), en résidence au château d'Auribail, par Beaumont (Haute-Garonne)

M. Clarat (E.), en résidence & Delle (arrondissement de Belfort.

M. Robert (F. II.-A.), en résidence à Paris, 16, rue Gler.

M. Ruzé (A.-F.-C.), en résidence à Paris, 15, rue de Steinkerque.

M. Sauvageon (J.-E.), on résidence à SaintEtienne, 2, rue Macellin-AUard.

M. Leray (P.-F.), en résidence à Nantes, boulevard de la Fraternité, 41.

■M. Gondinet (M.-J.-S.), en résidence & Marseille, 14, rue du Génie.

M. Dugueyt (P.-II.), en résidence à Voiron-IeMoulinet (Isère).

M. Bouvier (L.-E.-F.-G.), en résidence à Sées (Orne).M. Audebert (L.), en résidence à Paris, 14, rue Poulet.

M. Pasquier (R.-M.), en résidence à ChâteauBarnier, banlieue de Nîmes (Gard).

M. Peyre (L.), en résidence à Paris, 10, rue Mongo.

M. Boulanger (L.-J.-A.), en résidence à Antheuil, commune de Ressons-sur-Matz (Oise).

M. Duplex (H.-L.), en résidence à Paris, 29, rue Linné.

M. Leydier (C.~II.-E.), en résidence à Lyon, 2 rue Octavie-My.

Avec le grade de lieutenant de territoriale honoraire.

M. Besset (J.-M.-A.), en résidence à Chagny (Saône- et-Loirei, M. Huyot (G.-F.), en résidence à Paris, 8, boulevard Auguste-Blanqui.

M. Castex (P.), en résidence à Martel (Lot).

M. Parry (L.-J.-II.), en résidence à Narbonne, 5, rue Bonnel.

M. L<)vèque (O.-fi.), en résidence à Saint-Mar-

tin-de-Ré (Charente-Inférieure).

M. Homanetli, en résidence à Ajaccio, 8, rua Maréchal d'Ornano.

M. Clairin (Il.-E.), en résidence à Paris, 133, rue de Home, M. de Lauzon (E.-M.), en résidence & SaintJulien des-Landes (Vendée).

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CAVALERIE PROMOTIONS, NOMINATIONS ET MUTATIONS Armée active.

Par décision ministérielle du 15 septembre 1916 et par application des décrets des 2 janvier et 3 mai 1915 : M. Petitpierre, adjudant-chef au 138 rég. de chasseurs, est nommé sous lieutenant à titre temporaire. — Maintenu (Afrique occidentale).

Cette nomination datera du 26 août 1916.

Réserve.

Par décision ministérielle en date du Il septembre 1916 et par application du décret du 2 janvier 1915, la nomination à titre temporaire ci-après, est approuvée, savoir : Au grade de capitaine.

(A dater du 9 septembre 1916.) M. Vergé (Pierre-Charles-Marie). lieutenant de réserve au 1er rég. de dragons, détaché dans l'aviation (commandant une escadrille). —

Maintenu.

Par décision ministérielle en date du 16 septembre 1916 ;

M. Vigogne, colonel de réserve df cavalerie disponibl^^st a;iecté, à dater du 6 septembre l^Ui, services spéciaux du territoire de .la 15* région (command mt régional des dépôts de prisonniers de guerre de ladite région).

M. Jochaud dnPlessis, sous lieutenant deréserve à titre temporaire au 7e rég. de hussards, passe au 8e règ. -de chasseurs (groupe 3.4).

M. Crou, lieutenant de réserve au 12e rég. d, cuirassiers, passe au 10e rég de chasseurs aux armées.

M. Neirac, sous-lieutenant de réserve à titré temporaire au 6e rég. de hussards (dépôt), est affecté au 5= rég. -de chasseurs d'Afrique (dépôt de Sathonay).

M. Chavardés, sous-lieutenant de réserve au 12e rég. de chasseurs, passe au 27e rég. de dragons (centre d'instruction des auto canons).

M. Amadou, sous-lieutenant de réserve à titre temporaire au 2e rég. do chasseurs, passe au 20-5 ré:;. de dragons aux armées.

M. Costa de Beauregard, capitaine de réserve au 2e rég. de dragons, est affecté au 14e rég. de dragons (commandant le P. II. R. aux armées).

M. Laporte-Bisquit, capitaine de réserve au 20" rég. de chasseurs, passe au 22e rég. do dragons (commandant le P. II. R. aux armées).

M. Lainé, lieutenant de réserve au 2e rég.

léger (dépôt), passe au 22' rég. de dragons aux armées.

M. Fondeville, lieutenant de réserve au 7e rég. do chasseurs, détaché dans le service des prisonniers de guerre de la 3e région, est affecté au 8e rég. de dragons (dépôt commun des 86 et 31e dragons).

M. Fauconnier, lieutenant de réserve au 2e rég. do chasseurs, est affecté au 21e rég. dtt chasseurs aux armées.

GENDARMERIE MUTATIONS

Armée territoriale.

Par décision ministérielle du 17 septembre 1916 : M. Giraud, lieutenant-colonel, chef de la Ce légion, à Marseille, passe à Nice, pour commander la 15e légion bis.

M. David, sous-lieutenant à titre temporaire, à Troyes, passe à Aubusson (service

ARTILLERIE ET TRAIN DES ÉQUIPAGES PROMOTIONS ET MUTATIONS

Réserve et armée territoriale.

Par décret du Président de la République en date du 14 septembre 1916, rendu sur le rapport du ministre de la guerre sont promus dans le cadre des officiers d'artillerie territoriale et par décision ministérielle du même jour ont été maintenus dans leur position actuelle, savoir : Au grade de lieutenant-colonel.

(Rang du 1er juillet 1916.) M. l'ingénieur en chef de lre classe des mines, chef d'escadron de réserve de Ruffi de Pontevez Gévaudan (C.-A.-M.-R.), do l'inspection des forges do Paris.

Les ingénieurs en chef de lre classe des mines, chefs d'escadron de l'armée ter-itoriale : M. Taffanel (J.-L.-J.), du service des forges.

M. Coste (E.-G., du sous-secrétariat d'Etat da l'artillerie et des munitions.

Au grade de lieutenant.

Les sous-lieutenants : (Rang du 2 août 1016.) M. Weissenhach (L.), du 43e rég.

(Rang du ? septembre ltJ,) M. Guichard J.), du 55® rég.


(Rang du 4 septembre 1916.) M. Gérard (A.-J.) de l'état-major de rarmée, (nang du G septembre 1916.) M. Agard(J.\ du 55e rég.

M. Cornet (S.-E.-E.), du 23e rég.

(Rang du 7 septembre 1916.) M. Warnesson (P.-R.-A.) du 8e rég.

(Rang du 13 septembre 1916.) M. Pangon (L.-L.-A.-A.), de l'inspection des forges de Paris.

Armée territoriale.

OFFICIERS D'ADMINISTRATION D'ARTILLERIE (Pour prendre rang du 22 juin 1916.) Au grade d'officier d'administration de 2e classe Les officiers d'administration de 3e classe : M. Billard (H.-M.-A.), de l'atelier de fabrication de Vincennes (service automobile), détathé au 83e rég. d'artillerie.

M. Charron (A.-R.), du parc de Toul.

M. Rodet (A.), de l'entrepôt de réserve générale de Bourges.

Par décision ministérielle du 10 septembre 1916, les officiers do complément ci-après ont reçu les affectations suivantes, savoir ; ARTILLERIE

Réserve, M. le chef d'escadron Chaumont (J.-P.-A.-E.-H.), du 25e rég. — Parc d'artillerie de place de Versailles.

Les capitaines : M. Jammes (E.-L.-A.), du 84e rég. — 83e rég.

M. Macré (L.-J.), du 5" rég. d'artillerie à pied.

— 3e rég. d'artillerie à pied (A.-L.-V.-F.).

Les lieutenants : M. Daniel (A.-G.), du service d'état-maor. —

12e rég.

M. Denis (P.-A.-J .), du 120e rég. — Commission de réception du Havre.

M. Laurens (J .-R.-A.\ du 117e rég. — 1" rég.

(centre d'instruction de matériel de tranchée).

M. Tappie (M.- L.-D.- A.), du 7e rég. — Inspection des forges de Paris.

Les sous-lieutenants : M. Christian (J.-A.-M.), du 60e rég. — Inspection des forges de Paris.

M. Morgand (R.-E.-D.-J.\ (Je l'inspection des forges de Paris. — Direction des forges.

M. Bonnet (L.-B.), de la direction des forges.— Inspection des forges de Paris.

M. Bouygues (G.-R.-A.), du 1er rég. — 60e rég.

Armée territoriale.

Les chefs d'escadron : M. Darnet ;C.-G.), du 52e rég. — 21e rég.

M. Guérinot (F.-A), du 16" rég. — 25e rég.

Les capitaines : M. Gabaude (J.-P.), du 9e rég. - Parc d'artillerie de Castres.

M. Lamort (J.-E.-H.), du 102e rég. — 120e rég.

M. Penent (A.-M.-G.\ du 117e rég. - Atelier do construction de Toulouse.

M. Richard (J.-G.-A.), du 54e rég.— Atelier de construction de Lyon.

Les lieutenants: M. Pigeat (L.-O.), du 49e rég. -1er rég. d'artillerie de montagne.

M. Widmer (E.-F .-A.), du 62e rég. - Atelier de chargement de Moulina.

TRAIN DES ÉQUIPAGES Armée territoriale.

M. le chef d'escadron Molin do Teyssieu (G.R.-F.), du 18e escadrons — 9e escadron.

4 CADRE AUXILIAIRE DU SERVICE DE L'INTENDANCE ADMISSION A L'HONORARIAT Par décision ministérielle du 10 septembre 1916 et par application do la loi du 24 avril 1916 est placé dans la position d'officier honoraire : Avec le grade de sous-intendant militaire de 5e classe du cadre auxiliaire honorairc.

M. Lcgay (Gmtave-Ferdinand), ——————

SERVICE DE SANTÉ (Officiers d'administration.) NOMINATIONS

Armée territoriale.

Par décision ministérielle du 1G septembre 1916, le soldat Vi al Paul-Eugène), de la 23e section d'infirmiers militaires. a été nommé au grade d'officier d'administration de 3e classe de l'armée territoriale du servica do santé, à titre temporaire et a été affecté à la 20e région.

-■ —— 1

SERVICE DES PRISONNIERS DE GUERRE -

Par décision ministérielle en date du 17 septembre 1916, les officiers dont les noms suivent ont été affectés au service des prisonniers do guerre dans les régions ci-après désignées : M. Ferry (Jean-Lucien), chef d'escadron au 120; rcg. d'artillerie lourde, à la 11e région.

M. Yenat (François), capitaine au 54e rcg. territorial d'infanterie, à la 11° région.

M. Caufmant (Pierre), capitaine à titre temporaire au 306e rég. d'infanterie, à la 16e région M. Guyon des Dignèrcs, lieutenant de réserve au 14e rég. de hussards, à la 9° région.

M. Duportil (Marie-Daniel), sous-lieutenant au 68e rég. d'infanterie, à la 11e région.

M. Marques du Luc (Edouard), sous-lieutenant au 17e rég. de chasseurs, à la 12° région.

4&

INFANTERIE COLONIALE PROMOTIONS ET NOMINATlON3

Armée active.

Par décision ministérielle en date du 15 septembre 1016, les promotion et nominations à titre temporaire ci-après faites par application du décret du 2 janvier 1915 ont été ratifiées :

Au grade de lieutenant.

(A dater du 9 septembre 1916.) M. Seigneur (Kené-Marcel-Jules), sous-lieutenant au 2e rég. d'infanterie coloniale. — Maintenu.

Au grade de sous-lieutenant.

(A dater du 9 septembre 1916.) M. Chevillon (Gaston), adjudant au 2e rég.

d'infanterie coloniale. - Iaintcnu.

M. Perrin (\'incent-Jeanl, aspirant au 2e rég.

d'infanterie coloniale. — Maintenu.

Réserve.* Par décision minisférielle du date du 15 septembre 1916. la nomination à titre temporaire ci-aprés, faite par application du décret du 2 janvier 1115 a été ratifiée :

Au grade de sous-lieutenant.

(A dater du 9 septembre 1916.) M. Soyer (Victor), sergent au 2e rég. d'infaaterie coloniale. - Maintenu.

Armée active.

Par décision ministérielle en date du 1G septembre 1916, les promotions à titre temporaire ci-après faites par application du décret du 2 janvier 1915, ont été ratifiées ;

Au grade de lieutenant.

(A dater du 11 septembre 1916.) M. Aguttes (Marcel-Bernard), sous-lieutenant affecté temporairement au 57° rég. d'infanterie coloniale. — Maintenu.

(A dater du 12 septembre 1916.) M. Pestre (Albert-Baptiste), sous-lieutenant au 4o° rég. d infanterie coloniale, affecté à un bataillon de tirailleurs sénégalais.

Réserve.

Par décision ministérielle de date du 16 septembre 1916 la promotion à titre temporaire ci-après faite par application du décret du 2 janvier 1915, a été ratifiée : Au grade de lieutenant.

(A dater du 12 septembre 1916.) M. Honoré (Raymond-Paul), sous-lieutenant au 43e rég. d infanterie coloniale. — Affecté à un bataillon do tirailleurs sénégalais.

Liste de classement des officiers ayant satisfait à l'examen d'aptitude pour l'admission au grade d'adjoint à l'intendance (cadre actif).

lre CATÉGOnIB 1 Thile, officier d'administration de lre classe (état-major).

2 Flourens, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

3 Ilugot. capitaine d'infanterie.

4 Garnier-iirizot, officier d'administration de lie classe (santé).

5 Diedoriel), officier d'administration delre ck (subsistances).

6 Girardot. officier d'administration de lre cl.

(subsistances).

7 TronquaI, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

8 ncvrrchon, capitaine d'infanterie.

9 Charon, officier d'administration de ire cl.

(subsistances).

10 Briet. olfieier d'administration de lre cl.

(bureaux).

11 Fabaron, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

12 Leclerc. officier d'administration de ire cl.

(bureaux).

13 Maiion, officier d'administration de lre cl.

(subsistances).

3e CATÉGORIB ,h 1 Hautiére, officier d'administration de lre el.

(bureaux).

2 Mauretlc, officier d'administration de lre cl.

(habillemenl), 3 Manouvrier, officier d'administration de lre cl. (bureaux).

4 Renotton, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

5 Granit, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

6 Rousse iu, officier d'administration de ire cl.

(habillement).

7 Signoret, adjoint à l'intendance (cadre auxiliaire).

8 Fontbonnat, officier d'administration de lre cl. (bureaux).

9 Delattre, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

10 Thué, officier d'administration de lre ci.

(bureaux).

11 Daumy, adjoint à l'intendance (cadre auxiliaire).


12 Delvoye, officier d'administration de ire cl.

bureanx).

13 Ourliac, officier d'administration de ire cl.

(bureaux).

li Soyer, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

15 Astier, officier d'administration de lre cl.

(bureaux).

16 David, adjoint à l'intendance (cadre auxiliaire).

———————

Erratum au Journal officiel du 15 juin 1916 : page 5274, lrc colonne, au lieu de: Il M. Blondel, chef de bataillon de (avalerie au 10e rég. d'infanterie, passe au 279e rég. d'infanterie ». lire : « M. Blondel, chef d'escadrons de cavalerie, est affecté temporairement au 279e rég. d'infanterie ».

Erratum au Journal officiel du 29 août 1916: page 7P04, lre colonne, ne alinéa, au lieu do : « M. Chipau (A.\ du 58° rég. territorial d infanterie », lire : « M. Chipau (A.), du 59° rég. territorial d'infanterie ».

Errata au Journal officiel du G septembre 1916 : Page 7984, 2e colonne, au lieu de : « M. Moron, sergent au 144e rég. d'infanterie, est nommé sous-lieutenant à titre temporaire (armée active) et aiïecto au 11e rég. d'infanterie », lire : « M. Moron, sergent au 144° rég. d'infanterie, est nommé sous-lieutenant à titre temporaire dans la réserve et affecté au 11 e rég. d'infanterie ».

Page 79871 2e colonne, 23e ligne, au lieu de : « 2e rég. de hussards (dépôt commun des 2e et et 4e hussards), M.Charvet (Marius-Jules-Henrii, capitaine de cavalerie retraité ». lire : « 5° rég.

de hussards, M. Charvet (larius-Jules-Henri), capitaine de cavalerie retraité ».

IIIISTÈIE DE LA mARINE

Le ministre de la marine, Arrête : Les articles 60, 61, 61, 64 de l'arrêté du 3 mai J910 sont modifiés ainsi qu'il suit : Art. 60, A remplacer par le suivant : Art. 60. — Ecole d'application de navigation eous-marine et commission d'études pratiques des sous-marins. — Une commission d'études chargée également de la direction d'une école d'application de navigation sous-marine e*t constituée à Toulon. Sa composition et ses attributions sont définies par un anôté ministériel.

,'rt. 61. Supprimer les mots « analogue à -celle de la commission d'expériences >1.

Art. 63. A remplacer par le auivant : Art. 63. — Commission supérieure d'armement. Se reporter aux articles .>5 et 35 du règlement ministériel du 24 novembre 1913 concernant l'armement, les essais, l'entretien et la conservation des bâtiments de la marina nationale.

Art. 6-4. Supprimé.

Paris, re 18 septembre 1916* LACÀZH.

Rectifications à l'arrèté du 8 septembre 1916.

(Journal officiel du 10 septembre.) :

SECTION II

lettre : Commission d'études pratiquas. Ecole d'application et d'entraînement de J'aérenautique.

Art. 8. Mettre : « 11 est institua une commission d'études pratiques et une école d'applimission cation et d'entraînement de l'aéronautique. »

Art. 9. — Mettre : « La commission est présidée par l'officier de marine, directeur de l'école et commandant du centre auquel elle est rattachée. »

Art. 11. - Rayer : « Au point de vue militaire. » 1 LACAZB.

»

Par décret en date du 17 septembre 1916, M. le capitaine de frégate Le Do (Léon-AugusteIsidore), a été nommé au commandement du croiseur cuirassé Latouclie-Tréville.

Par décret en date du 17 septembre 191C.

M. le lieutenant de vaisseau Giraud (GabrielLéon), a été nemmé au commandement du torpilleur d'escadre Javeline.

—————— e

Par décret en data du 17 septembre 191G, M. le capitaine de frégate Copé (Joseph-Louis), a été nommé au commandement du torpilleur d'escadre Dunois et de la 2e escadrille de torpilleurs d'escadre de la Manche.

--

Par décret en date du 15 septembre 1916, M. Prin lAlfred-Jean-Marie), officiel principal des directions de travaux (section des études) du service des constructions navales à Indret, a été admis à faire valoir ses droits à la retaiiite à titre d'ancienneté de services et par application de la mesure sur la limite d'âge, pour compter du 5 octobre 1916.

-

Par décret en date du 15 septembre 1916, ont.

été promus dans la réserve du corps de santé de la marine :

Au grade de médecin en chef de 1re classe de réserve.

M. Quédoc (Guillaume-Jules-Marie), médecin en chef de te classe.

Au grade de médetin en chef de 28 classe de réserve.

M. Piton (Allain-Marie-Ferdinand), médecin principal.

—————— -

Le ministre de la marine à MM. les vice-amiraux, commandant en chef, préfets maritimes, commandant de la marine en Algérie et en Corse et directeurs de. l'inscription maritime.

Paris, le 17 septembre 1916.

* En raison des besoins sans cesse croissants de la marine, j'ai décidé, par modification aux prescriptions des circulaires des 29 octobre et 22 décembre 1914, de suspendre tout versement et tout rappel d'inscrits maritimes dans l'armée de terre.

En conséquence, les inscrits définitifs, à quelque catégorie qu'ils appartiennent, rappelés sous les drapeaux par suite de l'annulation ou de l'expiration de lenr sursis, devront être a!fectés à un dépôt des équipages do la Hotte.

Cette règle est applicable aussi bien au inscrits ayant déjà été effectivement incorporés dans l'armée de terre et titulaires d'un sursis délivré par l'autorité militaire qu'à ceux versés seulement en écriture dans les réserves de l'armée de terre (t).

Les inscrits reformés dans, la marine et èlassés utilisables à terre et reconnus ultérieurement aptes au service par les conseils de révision seront, dans les mêmes conditions que les inscrits définitifs visés ci-dessus, destinés à un dépôt des équipages de la Hotte.

La circulaire du 19 octobre 1914 (8. 0. p. 1029) est abrogée. Par suite les inscrits pères de six enfants passés en écriture dans l'armée de terre, conformément aux dispositions de celte circulaire, seront reversés dans l'armée de mer et soumis aux obligations militaires des inscrits de la catégorie Il. Les prescriptions relatives à l'affectation des pères de cinq enfants leur seront appliquées en cas de rappel sous les drapeaux.

(1) Les dispositions de la circulaire du 16 mai 1916 sont annulées en ce qu'elles ont de contraire aux présentes prescriptions.

Je vous prie de vouloir bien donner de* ordres aux administrateurs de I inscription maritime, qui auront à assurer l'exécution de la présente circulaire d'accord avec les commandants de recrutement intéressés.

LACAZE.

———————— ————————

Erratum au Journal officiel du 18 septembre 1916, page 823 i, 2e colonne (ministère de la marine, promotion dans le corps des officiers de marine), après : « 1er tour (ancienneté), M. le lieutenant de vaisseau Yeissier (JosephSauveur-Raphaël) », ajouter : « en remplacement de M. le capitaine de frégate Cassée, promu".

Pensions civiles.

Par décret du 31 août 1916, sur le rapport du ministre de la justice, la pension civile ci-après est approuvée: CORNUAU [Marie-Anne-BertheT, veuve CAROIV. Le mari ex-consdller à la cour d'appel d'Amiens, décédé titulaire d'une pension de

2,500 fr. — Jouiss. du 28 mars liil6. 833 fr.

Par décret du 11 septembre 1916, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ci-après est approuvée : Orphelin ANSEL (Aimable-François-Joseph).

Le père instituteur. Pension du 10 mars 1915 au 6 mai 1922 464 fr.

Tuteur : M. Lefort (Arthur-Désiré).

Par décret du 11 septembre 1916, sur le rapport au ministre des finances, les vingt-cinq pensions civiles ci-après,, sont approuvées : CROIZON (Françoise-Florence), veuve GU1LLARD. Le mari lllstituteur. - Jouissanco de 16 avril 1916. 397 fr.

LÉVÊQUE (Désirée-Prudentienne), veuve CUPERLY. Le mari instituteur. — Jouissance du 1er février 1916. 431 fr.

COMRES (Caroline-Marie), veuve JOULLAIN.

Le mari instituteur. — Jouissance du 17 juillet 1916. 444 fr.

REY (Camille-Victoire-Thél^so), veuve CHARTON. Le mari instituteur. — Jouissance du 14 juillet ~1916 472 fr.

CAZASSUS ( Marie-Rose- Léonie-Honorine" veuve IALBIE. Le mari instituteur. —Jouissance du 15 janvier 1916. 543 fr.

LAURENT (Marie-Claire), veuve L'HOTE. Le mari instituteur. — Jouissance du 15 juillet 191G. 409 fr PRÉVOST (Louise-Prudence), veuve COUTlEH.

Le mari instituteur. — Jouissance du 11 juillet 1916. 424 fr.

MASSOLLIER (Marier veuve CASTE-X. Le mari instituteur. — Jouissance du 6 janvier 1916 435 fr.

LAD lEU (Jeanne), veuve AnOT. Le mari instituteur. — Jouissance du 24 juin 1910. 437 fr.

AM03 (Marie-Léocadie), veuve MANEN. L3 mari directeur d'école. — Jouissance du. 13 juin 1916 1.000 fr.

DOISEAXf (Florence-Désiré,e), veuve VALO, Le mari directeur d'écoie. — Jouissance du 30 mai 1916 522 £ r.

nnEL ( Amélie-Marie-Louise y, veuve FOtiGERAY. Le mari facteur. — Jouissance du 23 juillet 1916. 270 fr.

MÉNARD (Maris-Louise), veuve DAVID, li mari. facteur rural. Jouissance du 19, janvier 1916 255 fr.

LE CADRE (Marie-Josephe), veuve SÉRAZl.

Le mari facteur. — Jouissance du 3 mai 1916 237 fr.

MEUNIER (Julie), veuve PORL1ER-PAGÎ*0N.

Le mari facteur. — Jouissance du 15 juin 1916. 201 fr.

t DELAUMAY (Juliel, veuve BlZE. Le. mari ré-


dacteur des postes. — Jouissance du 2 juillet 1916 .s. 779 fr.

BALMAYER (Marie-Adèic), veuve PAGES.

,Le msri receveur des postes. - Jouissance du 25 juillet 1910 429 fr.

MALJEAN (Mathilde-Marguerite), veuve BRIMONT. Le mari receveurs des postes. — Jouissance du 23 avril 1910 1,000 fr.

LESEUR (Alice-Ernestine-Agathe), veuve VOURIOT. Le mari sous directeur des contributions indirectes. — Jouiss. du 13 mai 1915.. 1,333 fr.

LAGACIIE (Rosalie-Aimé), veuve DOUBLAT.

Le mari commis principal des contributions indirectes. — Jouiss. du 6 juin 1916. 533 fr.

SALINIERI (Mario-Eugénie-Rachelle), veuve JULLIOT DE LA MUIUNDrÈIlE. Le mari conservateur des hypothèques. — Jouissance du 21 mars 1916. 1,000 fr.

REDON (Mathilde-Louise), veuve DROT. Le mari sous-ingénieur dos mines. — Jouissance du 26 avril 1916. 632 fr.

CRAPART {LoujseCarolino-Marthe}, veuve - MERLE. — Le mari juge de paix. — Jouissance du 24 mars 1916 .; 330 fr.

PERCET (Jeanne-Françoise-Mélanie), veuve LEBAULT. Le mari concierge, école nationale des beaux-arts. — Jouissance du 9 février 1916. 100 fr.

DURAND (Louise-Marcelle), veuve LEFEVRE.

Le mari professeur de lycée. — Jouissance du 17 juin 1910 1,693 fr.

Par décret du il septembre 1916, surle rapport du ministre des finances, la pension civile ciaprès, est approuvée : Contributions i-ndirectcs.

ELOIRE (Marie), veuve GUIDÉ. Le mari commis principal. Services militaires, 3 ans 9 mois 25 jours ; services civiis, 25 ans 1 mois 26 jours.

- Jouissance du 22 décembre 1914. 412 fr.

Par décret du 11 septembre 1916, sur le rapport du ministre des finances, la pension civile ci-après, est approuvée : Administration centrale.

DRUIIOT (Antoine), expéditionnaire principel.

Services militaires, 16 ans 1. mois, 16 jours ; services civils, lïans 10 mois.- Jouissance du 31 décembre 19J5. 999 fr.

Par décret du li septembre 1916, sur le rapport du ministre des finances, les soixantetreize pensions civiles ci-après, sont approuvées : Enseignement immaire.

BARRIAC (Jean-Baptista Josepti), instituteur ; 28 ans -2 mois 17 jours de services. - Jouissadeedu let février 1916. < 1,494fr.

DEMARQUE (Damase-Léopold), instituteur ; 35 ans de services. - Jouissance du lrr février 1916. 2.221 fr.

FRANCHET (Eugène-Henri), directeur d'école; 50 ans 9 mois 8 jours de services. — Jouissance du 1er février 1916..,. ; 3,155 fr.

GmLLOPÉ (René-Màrie), directeur d'école; 36 ans 4 mois de services. — Jouissance du 1" février 1916. 3,155 fr.

HENRIQUEL (Jean-François), instituteur; 35 ans3mois 20 jours de services. — Jouissance du i" février 1916 2,2?1 fr.

LALLEMENT (Alfred-Auguste), directeur d'école ; 33 ans 5 mois 29 jours de services. —

Jouissance du 23 mai1914. 2,545 fr.

MARCHAL (Gharles-Louis-Camille), instituteur, 39 ans 2 mois de services.— Jouissance du 1^ février 1916. 2,221 fr.

MON NIER (Émile), instituteur, 36 ans 6 jours dO services. — Jouissance du 1er février 1916 1,421 fr.

PONCHON (Omer-Eucher), instituteur, 35. ans 10 mois de services.— Jouissance du 1er février ir^6. 2,22ifr.

RENEVEY (SimonJoseph). instituteurr35 ans 10 mois de services. — Jouissance du 1er février 1916. 2,221 fr.

ROLAND (Jean-Auguste), instituteur; 35 ans 3 mois de services. — Jouissance du 1er février 1916 2.221 fr.

VERLY (Gustavc-Alircd), instituteur ; 33 ans 2 mois de services. — Jouissance du 1er février 1916.. 2,210 fr.

VIDAL (Marie-Rose), femme BARRIAC, institutrice ; 35 ans 25 jours de services. — Jouissance du 1er février 1916 1,797 fr.

BAILLY- (Marie-Aglaé), femma BÉNASSY, directrice d'école, 31 ans 9 mois 15 jours de services. — Jouiss. du 1er février 1916.. 3,005-fr.

BONNAVENTURE (Marguerite-Marceline).

femme DUFFAU, institutrice; 26 ans 1 mois de services. — Jouiss. du 1er février 1915 1,219 fr.

ERCOLE (Marie-Hose-Rachel), institutrice; 29 ans 4 mois de services. — Jouissance du 1er février 191G.,. 1,455 fr.

MERCIER (Marie-Marguerite" veuve ESCURE.

institutrice; 32 ans 8 mois 27 jours de services, — Jouissance du 'ier février 1116., 2;070 fr.

MILLE ( Clémentine-Elisa-EmiJie ), femme FOURNIER, institutrice; 35 ans 9 mois 15 jours de services. — Jouissance du 1er février 1916. 2,112 fr.

GÉRARD (Caroline Louise-Jeanne), veuve GIRAUD, institutrice; 31 ans 9 mois 15 jours de services. Jouissance du 1er novembre 1915 .- , , , 1,9^9 fr.

DUFETELLE (Theurlosie), femme IIANCIIÉ, institutrice; 29 ans 6 mois 28 jours de services' — Jouissance du 1er février 1910 1,869 fr.

HUIARD (Marie-Prudcnte), veuve LAPORTE, institutrice ; 35 ans 9 mois 15 jours de services.

— Jouissance du 1er lévrier 1910 2,112 fr.

MONNET directrice d'école: 38 ans 6 mois de services. —

Jouissance du 1er février 1910 3,046 fr.

MOUGEL ( Adrienne-Henriclte-Charlotle), veuve MOUCHET, institutrice ; L2 ans 11 mois 15'jours de services. — Jouissance du 11, février 1916- 2,086 fr.

AMDROSI (Madeleine), femme N AT ALI, institutrice; 39 ans de services. — Jouissance du 1er février 1910 1,446 fr.

CLAVEAU (Juliette-Rose) femme PANNETIER, directrice d'école : 37 ans 3 mois do services.

— Jouissance du 1er lévrier 19iG. 3,0i6 fr.

PIÉRINI (Marie-Lucie), von va NATALELLT, femme PIÉRINI. institutrice ; 30 ans 9 mois 6 jours do services. — Jouissance du pr février 1916. 1,443 fr.

BONNEAU-DESROCHES (A ugustine-ClémenceLouisa), femme RENAULT, directrice d'école 35 ans 3 mois 22 jours de services. — Jouis.

sance du 23 janvier 1016. 2,680 fr.

SERRAIN (Berthe-Julie-féHcia), veuve RICHARD, institutrice ; 32 ans G mois de services.

— Jouissance du lor avrit 1915 2,015 fr.

MINGUET (Marie Emilie), femme TIIOUVENOT, institutrice ; 33 ans 28 jours de services.

— Jouissance du 1er février 1916. 1,779 fr.

MARYtAmélie-Alexandrine-Germaine), femme VIAL, directrice d'école ; 33 ans G mois 22 jours de services. — Jouissance du 1er février 1916. 3,016 fr.

Postes.

BEC (Célestin-Jules-Maximin). facteur. Services militaires, 11 mois 25 jours; services civils, 33 ans 11 mois 25 jours. — Jouissance du 17 février 19¡6. , 1 885 fr.

BELLANGER (François-Yirgil-Lasard), facteur.

Services militaires, 10 mois 20 jours ; services civils, 32 ans 5 mois 4 jours. — Jouissance du 16 mai 1916-. 893 fr.

CAMATTE (Justine facteur. Services militaires, 4 ans 6 mois 10 jours ; services civils, 32 ans 5 mois 20 jours. — Jouissance du 16 mai 1916 892 fr.

CHANONY (Antoine), commis ; 41 ans 2 mois 15 jours de services. — Jouissance du 1er juin 1916. 2,662 fr.

CONDOM (Pierre\ facteur. Services militaires!

11 mois; services civils. 27 ans 8 mois 18 jours.

Jouissance du 19 mars 1nli. 986 fr.

COULLET (Justin-Bienaimé), facteur; 37 ans 15 jours de services, - Jouissance du 16 mat 1916. 893 fr, GIRON (Pierre-Marit), facteur. Services militaires, 9 mois 3 jours ; services civils, 32 ans 8 mois 27 jours.— Jou'ss, du 10 mai 1910. 1,282fr, MATHÉ (Jean), gardien de bureau. Services militaires, 4 ans 7 mois 23 jours ; services civils, 30 ans 10 mois 2 jours. — Jouissance du 16 mai 1916. 1,507 fr.

MÉNÉTRIER (Eugèno), facteur. Services militaires, 4 an3 7 mois 21 jours ; services civils, 29 ans 10 mois 9 jours. — Jouissance du 16 mai 1916. 883 fr. ,

MORTIER (Jean-Pierre), facteur; 29 ans 15 jours do services. - Jouissance du 16 mai 1916. 763 fr.

OLLIVIER (Jean-Fiacre-Joseph), facteur. Services militaires, 3 ans 7 mois 22 jours ; services civils 21 ans 9 mois 3 jours. — Jouissance du 4 mars 1916. 879 fr.

PERRET (Jules-Honoré), facteur; 30 ans 2 mois 15 jours de services. — Jouissance du 16 mai 1916 795 fr.

PETIT (François), facteur-chef. Services civile, 35 ans. — Jouiss. du 1er juillet 1316.. 1,7137 fr.

PROUST (Charles), facteur. Services militaires, 3 ans 1 mois 20 jours ; services civils, 31 ans 3 mois 10 jours. — Jouissance du.

23 avril 1916 1,156 fr.

PUTET (Henri-Joseph), facteur. Services militaires. 10 mois 13 jours ; services civils, 34 ans 5 mois 17 jours. - Jouissance du 16 mai 1916. 893 fr.

QUERRÉ (Eugéne-Fernand), facteur sous-chef.

Services militaires, 4 ans 6 mois 21 jours ; services civils, 25 ans 11 mois 9 jours. — Jouissance du 16 mai 1916. 1,099 fr.

RAYNARD (François-André), facteur. Services militaires, 3 ans 6 mois 26 jours, services civils, 25 ans 6 mois 4 jours. Jouissance du 16 mai 1916.. 742 fr.

-

RICHARD (Eugéne-Auguste), facteur. Services militaires, 4 ans-7 mois 21 jours; services civils, 22 ans 4 mois. — Jouissance du 16 mai 1916. 797 f r.

nORERT (Emile), rédacteur. Services militaires, 10 mois 4 jours; services civils, 33 ans 4 mois 26 jours. — Jouissance du 1er mai 1916. 2,846 fr, SULPICE (Antoino-Marin), facteur. Services militaires, 4 ans 7 mois 18 jours; services civils, 27 ans 6 mois 5 jours. — Jouissance du 16 mai 1910 839 fr.

B1RAUD (Alexandre), facteur loal. Services militaires, 4 ans 6 mois 17 jours ; services civils, 25 ans il mois 13 jours. — Jouissance du 16 avril 1916. 781 fr.

BLUZOT (Charles), facteur rural. Services militaires. 4-ans 8 mois 9 jours; services civils, 30 ans 8 mois 21 jours. — Jouissance du 24 avril 1916. 875 fr.

CASTON (Adolphe), facteur rural. Services militaires, 4 ans 7 mois 21 jours; services civils, 34 ans 3 mois 9 jours. — Jouissance du 10 mai 1916 893 fr.

CLEDES (Jean), facteur rural. Services militaires, 32 ans 4 mois; services civils, 31 ans 3 mois iy jours. — Jouissance du 27 avril 1916. 856 fr.

DELANOË (Vital-Désiré), facteur rural; 35 ans 10 mois de services. — Jouissance du 16 mai 1916 893 fr.

DONADIEU (Jean-Bapliste), facteur-chef. Services" militaires, 9 mois 3'jours; servicesciVils, 36 ans 1 mois 27 jours. — Jouissance du 6 avril 1916 1,405 fr.

DUSSAUD (Pierre), facteur-receveur. Services militaires, 4 ans 6 mois 19 jours : services civils, 33 ans 3 mois 11 jours. — Jouissance du 16 mai 1916. 1,103 fr.

GALLIMARDET ( Berthe - Eugénie ), femme GILLET, dame employée; 33 ans 9 mois de services. — Jouiss. du 2 avril 1916. 1,523 fr.

GOUTTEBEL (Christophe), facteur rural. Services militaires, Il moi-; 24 jours; services civils, 30 ans 6 mois 6 jours. — Jouissance du 16 mai 1916. 831 fr.

HW.PIPRE (Victor', courrier ambulant. Services militaires, 4 ans 6 mois 20 jours ; servicOI


civils, 31 ans 10 jours. — Jouissance du 16 mai 191G. 1,372 fr.

LAMBRAI (Paul), facteur rural; 30 ans 8 mois de services. Jouiss. du 16 mai 1916. 868 fr.

LEBEAULT (Philippe), facteur rural. Services militaires, 4 ans 7 mois 14 jours ; services civils, 26 ans 4 mois 16 jours. - Jouissance du 16 mai 1916. 790 fr.

MAESTRACCI (Antoine), facteur rural; 34 ans 8 mois de services. - Jouisance du 12 mai 1916 893 fr.

MAILLARD (Lours-Emile). facteur local. Services militaires, 3 ans 7 mois 21 jours ; services civils, 27 ans 10 mois 9 jours. — Jouissance du 16 mai 1916. 831 fr.

\- MOULIN (Joseph-Casimir), facteur local. Seri vices militaires, 4 ans 5 mois 24 jours ; services civils, 22 ans 9 mois. - Jouissance du 16 mai 1916. 692 fr.

ORAND (Jean-Adrien),; facteur rural. Services militaires, 4 ans 7 mois 20 jours ; services civils, 25 ans 9 mois. — Jouissance du 16 mai 1916 836 fr.

PALAUQUI (André), receveur principal ; 42 ans 9 mois, de services.— Jouissance du 1" février i916..rj. 3,063 fr.

PASQUIER (Claude), facteur rural. Services militaires, 2 ans 7 mois 17 jours ; services civils, 28 ans 10 mois 13 jours. — Jouissance du 16 mai" 1916 b21 fr.

PLANTECOSTE (Antoine), facteur rural; 27 ans 10 mois 25 jours de services. — Jouissance du 26 avril 1916— 76i fr.

POMMIER (Laurent), facteur rural. Services militaires 4 ans 7 mois 17 jours; services civils 26 ans, 1 mois 16 jours. — Jouissance du 17 avril 1916 ; 843 fr.

SEIGNEUR (Clément-Joseph), facteur rural; 29 ans, 3 mois de services. — Jouissance du 16 mai 1916 .: 812 fr.

SOUM (Jean), facteur rural. Services militaires 10 mois 24 jours; services civils 31 ans 4 mois 6 jours. — Jouissance du 22 février 1916. 852 fr.

TEULY (Eugène-Marie-Louis), commis principal. Services militaires 1 an ; services civils 40 ans 5 mois i jour. — Jouissance du 16 juin 1916 2,956 fr.

'.-, ———————————

- Pensions (gnarra).

Par décret du 10 septembre 1916, sur le rapport du ministre de !a guerre, il est accordé une pension aux veuves ou orphelins dénommés ci-après, dont les maris ou pères ont été tués j sur le champ de bataille : ; Veuves d'adjudants.

GUINOT (Marie), veuve BOURRET. —- Jouissance du 17 Septembre 1914. 975 fr.

MISSLAND (Catherine), veuve GUINOT. Jouissance du 12 septembre 1914 975 fr.

MIRAND (Claire-Isabelle), veuve LIIOSTE. —

Jouissance du GO septembre 1915. 975 fr.

BOUCHET (Marie-Madeleine), veuve LUMET. —

Jouissance du 10 mars 1916. , 975 fr.

reure de sergent-majot.

BRANCHEREAU (Marie - Louise - Joséphine), veuve RENOUX. — Jouissance du 16 février 1915 900 fr.

Veuves de sergents. ;

ALLEMAND (Alice), veuve ALTER. — Jouistance du 1 el" octobre 1915. 825 fr.

- RANVIOT (Suzanne-Henriette), veuve DIOT.

— Jouissance du9marsl916. 825 fr.

HEBBEN (Yvonne-Juliette), veuve FUCHS. —

Jouissance du 3 octobre 1914 825 fr.

LEGATE (Marie-Léonie), veuve GAGNARD. —

Jouissance du 11 févrieri916.. , ,.. 825 fr.

FR1RY (Marie-Léa), veuve &EMPF. — Jouissance du 24 mars lô. 825 fr.

PAPILLON (Alberiine^Cîémentine), veuve THInAULT. — Jouissance du 27 septembre ,191$8S5 fr.

Veuves de caporaux.

RIGAUD (Marie-Léontine), veuve BRASSIÈRE.

— Jouissance du 13 juillet 1915. 675 fr.

MESPLÈS PÉLY (Suzanne), veuve CROIIARÊCAMLONG. — Jouiss. du 5 octobre 1915. 675 fr.

WYNS (Flore), veuve DEMOMÈRE, — Jouissance du 9 février 1916. 675 fr.

CHEYSSIAL (Marcelle-Marie), veuve FOUCHER. - Jouissance du 13 novembre 1914 675 fr.

CROLET (Marie-Julienne), veuve CAILLOT. —

Jouissance du 28 août 1015. 675 fr.

SOULIER (Armandine), veuve HUGON. —

— Jouissance du 15 août 1914 675 fr.

LA VANDIER (Irma-Louise), veuve ROLLÈS.Jouiss. du 21 septembre 1114., 675 fr.

Veuves de soldats.

LAIGO (Marie-Rose), veuve ALLA NIC. —

Jouissance du 29 septembre 1V15. 563 fr.

DERVAL (Louise-Marie) , veuve AUDOUIS. —

Jouissance du 17 juin 1915. 563 Ir.

PAILLEUX (Adeline-Adèle), veuve BECCU. —

Jouissance du 11 mars 1916. 563 fr.

GROSJEAN (Marie-Félicie), veuve BERTRAND.

— Jouissance du 2G septembre 1915. 563 fr.

BULTEL (Julie-Florine), veuve BONNEVILLE.

Jouissance du .30 septembre 1915. 563 fr.

BOUCHER (Berthe), veuve BOUZARD. — Jouissance du 7 octobre 1915 563 fr.

COURANT (Anna-Marie) , veuve BRCIIET. —

Jouissance du 3 décembre 1914. 563 fr.

DELEPORTE (Sophie), veuve BRIDELANCE. —

Jouissance du 25 février 1916. 563 fr.

BEHGEZ (Marie-Angèle), veuve BRULEY. —

Jouissance du 7 septembre 1914.,.. 563 fr.

GOUVERNEL (Henriette), veuve CHAB1N. —

Jouissance du 8 mars 1916. 563 fr.

OSEAU (Maria), veuve CHAPOULY. — Jouissance du 14 août 1915. 563 fr.

LERiCHE (Marie-Louise), veuve CHEVREUL.

— Jouissance du 11 août 19'L..,..,. 563 fr.

CAILLGN (Marceline-Constance), veuve DALY.

— Jouissance du 31 mars 1916 563 fr.

BARRIER (Claudine), veuve DARAGON. —

Jouissance du 6 mars 1916. 563 fr.

HUGUET (Marguerite-Jeanne" veuve DAUBAN. — Jouissance du 30 mars 1915. 563 fr.

DELAVE AU (Juliette), veuve DELANOUE. —

Jouissance du 24 février 1916. 563 fr.

PÉRIER (Albertine Désirée), veuve DESMARES.

— Jouissance du 26 avril 1916. 563 fr.

GAYTE (Rosa-Marie) veuve DUFOUR. —

Jouissance du 1er janvier 1916. 553 fr.

GAILLARD (Marie-IIélène-Céline), veuve DUNAND. — Jouissance du 17 mars 1916.. 563 fr.

BERNAUD (Zulma-Marie-Joseph), veuve DUPONT. — Jouissance du 6 octobre 1915. 563 fr.

CARCEL (Jeanne-Marie), veuve DUBOIS. —

Jouissance du 18 décembrs 1914 563 fr.

MOINE (Lazarine), veuve DURAND. — Jouissance du -2i septembre 1914. 563 fr.

MOULIN (Marguerite), veuve FERRANT. —

Jouissance du 28 octobre 1915.,. 563 fr.

DUPUY (Marie), veuve FRIESS. — Jouissance du 5 mars 1!)16. 563 fr.

BE3SAT (Louise), veuve GROS. — Jouissance du 20 septembre 19H. 563 fr.

GUILLAUME (Germaine-IIenriette-Marcelle), veuve GUENIFFET, — Jouissance du 11 mars 1916 563 fr.

GUILLAUD (Méline-Eugénie), veuve GUICHER.

- Jouissance du 8 octobre 1914. 563 fr.

BERNÈDE (Anne), veuve HIROT. - Jouissance du 4 décembre 1915. 563 fr.

IIANOeEL (Marie-Louise), veuve ISAMBERT.

— Jouissance du 13 février 1915. 563 fr.

VOLLAND (Léontine), veuve JAY. — Jouissance du 9 septembre 1914 563 fr.

LE GOFF (Clémentine-Marie) , veuve KSUZAN.

- Jouissance du 23 septembre 1915. 563 fr.

LE PIVA1NG (Emilie\ veuve LE MÉVEL. —

Jouissance du 16 mars' 1916. 563 fr.

PERRIER (Juliette-Célestine), veuve LENOBLE.

— Jouissance du 22 juin 19i5. 563 fr.

RUCHETON (Marie-Amilie-Jeanno), veuve LIONNET. — Jouissance du 26 septembre 191:1. CG! fr.

PREVOT (Madeleine-Eugénie), veuve LUGAT.

- Jouissance du 26 août 191}. 563ft.

GAUTHÉ (Jeanne), veuve LUTIIROT. Jouis* sance du 27 septembre 1915. 503 fr.

CHAUVEAU (Honorine-Joséphine), veuve MARCAULT. — Jouissance du 21 février 1916. 563 fr.

REGNIER (Julie-Marie-Emilienne), veuve MÉOT. — Jouissance du 9 octobre 1914. 563 fr.

LE LAZ (Caroline), veuve MOREAU. — Jouissance du 30 septembre 1915 563 fr.

SANTINI (Jeanne), veuve MOREL. — Jouis sance du 15 septembre 19H. 563 fr.

LABERON (Jeanne), veuve MOUSSIÉ. — Jouissance du 13 mars 1916. 563 fr.

piPIN (Eéloïse), veuve PASQUET. — Jouissance du 9 janvier 1915..,. 563 fr.

HABRANT (Clara-Camille', veuve RICIIALET.

- Jouissance du 30 mars hH6. 563 fr.

BAJUS (Marie-Zélie-Joseph), veuve RINGAIID.

Jouissance du 17 mai 1915. 563 fr.

ROYER (Elioa), veuve SUTY. — Jouissance du 15 mars 1916 56J fr.

CRESSANT (Alix-Marie), veuve THÉAULT. Jouissance du 29 septembre 1915. 503 fr.

PARISOT (Marie-Louise-Estelle), veuve TUtVENET. — Jouiss. du 28 avril 1915. 563 fr.

DÉSORBAY (Louise), veuve THIIHAS. —

Jouissance du 22 avril 1916.,. 563 fr.

PERRIN (Marie-Louise), veuvo THIÉBAUT. —

— Jouissance du 21 octobre 1915. 553 fr.

CHiPAULT (Edwige-Gabrielle). veuve TOUTIN. - Jouiss. du 3 novembre 1914. 563 fr.

LÈRAILLÉ (Eugénie), veuve ViTR Y. — Jouis sance du 14 avrii 1915. 563 fr.

PUGES (Marthe-Lucie), veuve WOLLENSCHNEIDEH. — Jouis, du 22 mars 1916. 563 fr.

Veuve et orphelin de sergent.

S E LI N GUE (Louise-Aimée-Alice), veuve BLÉARD. — Jouiss. du 1er octobre 1915 413 fr.

Orphelin : BLÉARD (Raymond-ThéophileAuguste). — Jouissance du 1er octobre 1915 au 19 août 1929. 412 fr.

Tuteur : M. Baudel (Daniel).

Veuves et orphelins de caporaux.

MALÉGEANT (Jeanne-Marie), veuve GU!LLOU. — Jouissance du 15 février 1916.. 338 fr.

Orphelin : GUILLOU (Jean-François-Emmanuel). - Jouissance du 15 février 1916 au 15 juin 1030. 337 fr.

Tuteur : M. Guillou (Jean-Baptiste).

Orphelins LEBLANC : 1° Marcelle-Camille ; 2° lIené,(;ustave-Lucien. - Jouissance du 13 juillet 1915 au 4 janvier 1927 675 fr.

Tutrice : Mme veuve Leblanc (Marie-Héloïse).

Orpheline MAYNADIER (Odette-Paule-Joséphine). — Jouissance du 28 septembre 1915 au 5 novembre 130. 675 fr.

Gardienne provisoire : Mme Garbon (Catherine).

Orphelin RAVÉ (Clément-Joseph). — Jouissance du 27 septembre 1915 au 12 octobre 1930. 675 fr.

Tuteur : M. Le Roux (Joseph-Louis), Orphelins de soldats.

Orphelins FENlOUX: 1° Valentine ; 2° Raymond ; 3° Bernard. — Jouissance du 7 septembre 1914 au 20 juillet 1931. 563 fr.

Tuteur : M./jnusUn (Penot).

Orphelin MORIN : (Lucien-Alfred). — Jouissance du 12 mars 1915 au 6 octobre 1933. 563fr.

Tuteur : M. Petit (Léon).

Orphelin : SOClLHARD (Roger-Alcide-Du.

rand'. — Jouissance du 18 février 1915 au 24 septembre HI26. 563 fr.

Tutrice : Mme Maisondieu (Berthe-MadeleineElisabeth.

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Par décret 4a 10 septembre 1916, sur le rapport - du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves ou orphelins dénommés ci-après, dont les maris ou pères ont été Lués sur le champ de bataille :

Veuve de lieutenant-colonel.

B-VRRUOL (Emilie-Augustin-Josepha), veuve PAYERNE.-Jouiss. du 29 janvier 1916. 2,500fr.

Veuve de capitaine.

SALLE fJeanne-Marguerite-Charlotte), veuve LE BOURGEOIS. — 0 Jouissance du 4 avril 1916. 1,750 fr.

Veuves de lieutenants.

z BUCRET (Berthe-Marie-Victoire), veuve GALLOIS. — Jouiss. du 11 janvier 1916. 1,500 fr.

FERRON(Marthe-Georgette). veuve LEGRAND.

— Jouissance du 10 janvier 1916 1,425 fr.

O'CONNOR (Brigitte-Emilie- Ferri ande -Marie), veuve DE LA TOUR DU PIN CHAMBLY DE LA CHARGE. — Jouissance du 8 septembre 1914. 1,425 fr.

Veuves de sous-lieutenants.

DESPIAU (Rose-Berthe-Marie), veuve BETS. —

Jouissance du 10 mai IV15. 1,400 fr.

BUISSON (Amélie), veuve GERBIER. — Jouissance du 16 juin 1915,. 1,400 fr.

CANDAU (Marie-Maria), veuve HARDY. —

Jouissance du 23 décembre 115. 1,400 fr.

LE BONNIEC (Jean-Marie" veuve LE COCQ. —

Jouissance du 27 décembre 1915. 1,400 fr.

CARITEY (Irma-Henriette-Anna-Augustine), veuve PHILIPPE.— Jouissance du 12 novembre 191 5 1.400 fr.

CORNET (Marie-Victorine), veuve PRADY. —

Jouissance du 26 avril 1916 1,150 fr;

Veuves et orphelins de capitaines.

0. NEILL (Julie-Marie), veuve DEMEUNYNCK.

— Jouissance du 9 janvier 1915 au 18 mars 1915 : 1,650 fr.

Jour de son décès.

Orphelin DEMECNYNCK (Monique-Françoise-

Patricia-Mary). - Jouissance du 19 mars 915 au 6 mars 1936 1,650 fr.

Tuteur : M. Demeunynck (Léon-Ignace-César). DESMARQUEST (Isabelle-Maria-Joseph), veuve RVOUX. — Jouiss. du 24 février 1916.. 825 fr.

Orphelin RAOUX (Laure-Anne-Marie). - JoUissance du 2i février 1916 au 28 juillet 1924. , 825 fr.

Garde provisoire : Mme veuve Raoux.

Par décret du 10 septembre 1S16, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves ou orphelins dénommés ci-après, dont les maris ou pères ont été tués sur le champ do bataille:

Veuves d'adjudants.

FÉRMONT (Marcelle), veuve AUMONT. —

Jouissance du 29 février 19l6. 975 fr.

LORETON-DUMONTET (Marie-Flavie), veuve SENLY. — Jouiss. du 20 février 1916., 915 fr.

Veuves de sergents.

CAZALS (Marie-Jeanne-Françoise), veuve AUZIALE. — Jouiss. du 14 mai 1915. 825 fr.

:GEFFROY.{Gustavine-Marie-Augustine), veuve .NBVEU. — Jouiss. du 21 février 1916. 825 fr.

- -IÆPETIT (Louise-Pauline), veuve OLIVIER.

- Jouissance du 8 octobre 1915.,. 825fr.

CINQ (Louise-Victorine), veuve POUCET. —

,' Joutssance du 14 août 19Í5. , , 825 fr.

Veuves de caporaux. DENIÈLE (Hélène-Marie-Jeanne), veuve BAT- TEUR-— Jouissance du 4décembre 1915. 675 fr

LEGRIS (Catherine-Julie-Lêa), vouve CARON.

— Jouissance du 6 novembre 1915. 675 fr.

CORGNAC (Marie), veuve CARTEAU. - Jouis- sance du 31 octobre 1915. 675 fr.

PERSfN (Pauline-Yvonne), vouve CASSE. —

Jouissance du 22 décembre 1915. 675 fr.

ARROuf (Marie-Louise;, veuve CIIARTON. —

JouissanceJiu 1er novembre 1915 675 fr.

BURLOT (Camille-Louise-Alexandrins), veuve CORDIN. — Jouiss. du 7 octobre 1915.. 675 fr.

CHAUDEMANCHE (Georgine-Joséphine-Henriette), veuve MORGAN. - Jouissance du 12 octobre 1915. 675 fr.

PACCAUD (Marie-Victorine). veuve PEYROT.

- Jouissance du 24 septembre 1915. 675 fr.

Veuves de soldais.

MALZAC (Marie), veuve ALRIC. — Jouissance du 10 m,,¡ 1915 563 fr.

COUSIN (UrbanieErnestine-Marcelline), veuve BAUDOUIN. — Jouiss. du 7 octobre 1915. o63 fr.

TIOLLIÈRE (Eugénie), veuve BEGON. - Jouissance du 27 septembre 1915. 563 fr.

VIGNON (Marie-Claire-Joséphine), veuve BOSSAN. — Jouissance du 6 avril 1915. 563 fr.

RICARD (Adèle-Joséphine). veuve CATTANÉO.

- Jouissance du 23 septembre 1915. 563 fr.

PORCHET (Marie-Régina), veuve CHEVALIER.

- Jouissance du 20 juin 115. 563 fr.

MONIN (Angèle), veuve COUDRET. — Jouissance du 1er mars 1916 ,. 563 fr.

KOCH (Marie) veuve COUSIN. — Jouissance du 10 novembre 1914 563 fr.

DELA.CHAMRRE (Gabrielle - Marie - Emcline), veuve COZETTE. — Joaissance du 19 février 1916 , , , , , , 563 fr.

LE BRONNEG (Francine-Jcanne-Maric), veuve CRAMPE.— Jouiss. du29septembre 1915. 563 fr.

PIGASSE (Irma-Orancie), veuve DELRIEU. —

Jouissance du 15 mars 1915. 563 fr..

ALRIC (Marthe - Marie - Joséphine - CésarineRoga), veuve ESPRIT. — Jouissance du 3 mai 191;). ,. .,. 563 fr.

GATIN (Marie-Louise), veuve EYMARD. —

Jouissance du 2:¡octobre i915. 563 fr.

FRANÇOIS (Maric-Péroline), veuve FAITRE. Jouissance du 31 août 19H. 563 fr.

DUCLOUX (Louise), veuve FERRET. — Jouissance du 26 août 19H. 563 fr.

COMBOROURE (Marie), veuve FERRIER. —

Jouissance du 9 septembre 1(jlL , ,. 563 fr.

BRISSET (Juliette-Alphonsine), veuve FONTENAS. — Jouissance du 10 mai 1915.. 563 fr.

GADIOUX (Clémence), veuve FOUQUET. —

Jouissance du 15 janvier 191G. 563 fr.

DELENCLOS (Zulma-Emilie), veuve FRANÇOIS. — Jouissance du 11 octobre 1914. 563 fr.

FAURE (Maria), veuve GAGNE. Jouissance du 3 décembre 1915.. ,563 fr.

OLLIVIER (Rose-Marguerite), veuve GIBELIN.

- Jouissance du 29 août 1914 563 fr.

BRUYANT (Marie-Antonine-Aurélie), veuve HOUSSET. - Jouissance du 9 septembre 1914 563 fr.

DOUTÉ (Maria-Eugénie), vouve HUBERT. —

Jouissance du 15 octobre 1911.,. 563 fr.

GRAND (Emilie), veuve LECLERC. — Jouissance du .29 septembre 1914. 563 fr.

BENOIST (Berthe-Jeanne), veuve LEMESLE.-:, Jouissance du 11 ocLobrc.1915. 563 fr.

VERHAEGHE (Louise-Marie-Blanche), veuve LEN'OIR. — Jouiss. du 9 octobre 1915.. 563 fr.

- BELLANGER (Julieune-Berthe), veuve LHERMtGNY.—Jouissance du 3 octobre 1915. 563 fr.

FRÉCHOU (Julie) veuve LOSTE. — Jouissance du 7 août 1915. 563 fr. j LÉVÊQUE (Blanche-Angèle), veuve LOURGEL. - Jouissance du 23 septembre 191. 563 fr.

CM,n;S-(EugÕnie-Alphonsine), veuve MASSÉ.

— Jouissance du 13 juin 1915. 563 fr.

VIÉRON (Joséphine-Louise), veuve MAUGEAIS. — Jouissance du 12 mars 1916.. 563 fr.

DESBORDËS (Marie), veuve MELON. — Jouissance du 25 janvier 19!G. 563 (r.

ROUX (Maria-Eugénie), veuve MIALLON. —

Jouissance du 29 septembre 1914. 563 fr.

REGOURD (NathalieMarie), veuve MURATET.

Jouissance du 11 juillet 1915. 563 fr.

CHAMOIN (Clémence Alexandrine), veuve NICOLLE. - Jouis. du 12 octobre 1914.. 563 fr.

BODET (Anne-Joséphine), veuve NOYER. Jouissance du G décembre 1915 563 fr.

TROCHE (Eugênie-Augusline), veuve PARIS, Jouissance du 12 mai 115. 563 fr.

CHARBONNIER (Marie- Philomène- NOémie), veuve PASTRE. — Jouissance du 3 décembre 1915 563 fr.

BERNARD ( Henriette - Marguerite ), veuve PELLERIN. — Jouiss. du 5-août 1915. 563 fr.

GÉNIN (Marie), veuve. PERROZET. — Jouissance du 9 octobre 191& 563 fr..

DUPONT'(Françoise), veuve POCHAT. — Jouissance du 24 août 19i5.;.:. 563 fr.

GILLES {Marie-Julie), veuve POYOL. — Jouissance du 17 juin BI5. 563 fr.

LE BORGNE (Marie-Jeanne), veuve PRIGENT.

Jouissance du 2 avril 1916 :.. 563 fr.

LE GALL (Marie), veuve P-ROUTIÉRE. Jouissance du 11 novembre !Wi.- 563 fr.

1 CHANIN (Marie), veuve RABUEL. — Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.

CHAUVET ( Blanche - Eugénie - Marguerite ), veuve REBOUL. - Jouissance du 16 septembre 1911. 563 fr.

GrNESTE (NIarie-Julia,), veuve ROQUES. Jouissance du 6 octobre 1.,. 563 fr.

KENEUT (Jeanne-Lucie-Félicie), veuve ROSE.

- Jouissance du 7 octobre 19L5. 563 fr.

GARREAU (Maric-Louise-Augustine), veuve ROL'SSELIN. — Jouissance du 23 septembre 1914. 503 fr.

BOURÉGAULT (Joséphine-Françoise), veuve ROY. — Jouiss. du 17 juin 191~ 563 fr.

QUEY (Marie-Angélique), veuve TISSOT. Jouissance du 2 février 11l>.,. 5G3 fr.

DIJOUX (Marie), veuve VERGEE—Jouissance du 26 septembre 1915. - 563 CrRIPOLL (Edwige), veuve VIGOUROUX. —

Jouissance du 23 aoùt-l9H.-.-r~i.- "3 fr.

Orpheline d'adjudant.

DENIS (Marcelle-Antoinette). — Jouissance du 18 septembre 1914 au-il juin 1931.. 975 fr.

Tuteurs M. Ract. (Antoine-Charles).

Veuves et orphelins de soldats.

COSTE (Berthe-Baptistine), veuve GALY. — Jouissance du 15 septembre 1915. 282 fr.

Orpheline GALY" (Lucie). — Jouissance du 15 septembre 1915 au 2 octobre 1930. 281 fr.

Tuteur : M. Galy (Jean).

GRANDADAM (Jeanne), veuve GAUTHIER. Jouissance du 21 mars 1915. 282 fr.

Orphelin. GAUTHIER (Fernaud-Victor), Jouissance du 21 murs 1915 au 21. octobre 1920 281 fr.

Tuteur : M. Gauthier (Jacques-Alexis).

BLANCHARD (Hose-Marguerite), veuve GRANIER. — Jouissance du 13 janvier 1916. 282 fr.

Orpheline ÇRANIER (Raymonde-Agnès-Etiennette). — Jouissance du il janvier 1916 au 5 janvier 1923,. 281 fr.

Tutrice : Me Olivier (Marie-Louise-Eugénie).

Orphelin- RÉYNAUD (Hervé-Emile-Hugues).

Jouissance du 4 octobre 1915 au 10. octobre 1934. 563 fr.

Tuteur : M. Bruu (Jean).

Par décret du 10 septembre 191G, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux "euves dénommées ci-après, dont les maris ont été tués sur le champ do bataille : 1 .;..

Veuves d]adjv. danls.

MA'GNANI (blarie-Vicibi veuve ARRIGIII.

—Jouissance du 4 octôbre 1914 975 fr.

FAUX (Marie), vouve CHADEYRAS. Jouis sance du 27 août 1914. 975'ÏT,


Veuves de sergents-majors.

JANNIN (Noémi-Jeanne-Marie), veuve ELBY.

Jouissancedu6mai 1915. 900 fr.

COSTE (Jeanne-Paule), veuve LASSALLE. — Jouissance du 22 mai 115. 903 fr.

Veuves de sergents.

MERCTER (Lélitia-Berthe), veuve BOBILLTER.

- Jouissance du 8 octobre 1915. 825 fr.

CHOLLET (Marguerite-Antoinette), veuve BURNET. — Jouiss. du 8 mars t315. 825 fr.

DEBRAS (Blanche), veuve FOUCIIET. —

Jouissance du 28 septembre 1915. 825 fr.

DECHAUME (Marie), veuve GAUTIIEY. —

Jouissance du 8 mars 1916 825 fr.

LOUIS (Berthe-Euphrasie), veuve GÉRARD.

- Jouissaice du l~marsiJIG. 825 fr.

MICHAULT (Henriette), veuve GWT. - Jouissance du 29 septembre 1915. 825 fr.

LACROIX (Mathilde-Marb), veuve MASSON.

— Jouissance du 29 septembre 1915. 823 fr.

PÉRAT (Julie-Aurélie), veuve PÉTOUILLAT.

— Jouissance du 8 mars HH. 825 fr.

BONNET (Marie-BenjaTiine-Bsrthe), veuve PICOT. — Jouiss. du 18 juin 1015. 85 fr.

JATTIOT (Germaine-Lucienne), veuve HÉIY.

— Jouissance du 19 mai 1915. 825 fr.

RAULT (Marie-Louise), veuve STÉVANT. —

Jouissance du 19 juillet 1915 825 fr.

ROUET iMarie-liortense-Lueie), veuve BELLOEIL. — Jouiss. du 27 septembre 1915. 825 fr.

Veuves de caporaux.

ALBA (Irma-Marie-Louise), veuve CAllnOL. Jouissance du 30 septembre t15. 675 fr.

PARLOUER (Léa), veuve CLAËSSEN. — Jouissance du 26 septembre HI15. 675 fr.

DEGAGE (Alfreda), veuve DURY.— Jouissance du 25 avril 1915. 6:5 fr.

LEJEUNE ( Marguerite - Camille - Germaine ), "feuve OIIBAN. - Jouissance du 19 mars 1915 675 fr.

VOISIN (Alexandrine-Joséphine), veuve FOURN1ER. — Jouissanee du 4 mars 1916. 675 fr.

DARRAS (Séverine-Mathilde-Claire), veuve LAMOUR. - Jouissance du 1er novembre 1915 675 fr.

MARGUET (Louise-Emma), veuve SEGUIS. —

Jouissance du 12 décembre 1915. 675 fr.

Veuves de soldats ROLLIN (Célina-Jeanne), veuve ACKERMANN.

— Jouissance du 6 octobre 1914 563 fr.

TOUSSAINT (Alexandrine), veuve AGOGUÉ. —

Jouissance du 4 janvier 1916. 563 fr.

FIORENTINI ( Marie-Joséphine-Michcline ), 'veuve ANDRÉAZZA. - Jouissance du 3 octobre 1915 563. fr.

LACIIATER (Marie-Joséphine veuve AUFFHET. - Jouissance du 8 octobre 1915. 503 fr.

ALEXANDRE (Alice-Germaine-Marie) , veuve ALLER. — Jouissance du 8 septembre 1914 563 fr.

MARTIN (Gabrielle-Annette), veuve AUPETiT. — Jouiss. du 8 septembre 1915— 513 fr.

CIIESSON (Marie), veuve BARBOT. — Jouissance du 9 novembre 1915. 563 fr.

DELAUNAY \Iarie-Constance\ veuve R\Raf. — Jouissance du Il avril 1916. 563 fr.

GUILLIEN (Marie-Jeanne), veuve BILLON. —

— Jouissance du 31 décembre 1915. 563 fr.

PETRET (Georgette-Louise),- veuve BRÉVAL.

— Jouissance du 9 novembre 1914. 563 fr.

BOURDON (Marie-Jeanne), veuve CARIOU. —

Jouissance du 29 septembre 191 L. 503 fr.

MÉNAGE ([zabelle), veuve CASSOU. — Jouissance du 17 septembre 1914 £ 63 fr.

CARTON (Julia-Maria), veuve CAULIER. Jouissance du 14 octobre 11.J. 563 fr.

GRIGNON (Eléonore-Joséphine), veuve CHAFFARD.- Jouissance du 4 octobre 1914 563 Ir.

PIGEON (Iarje-Alphonsine), veuve CIIANDÈS.

— Jouissance du 27 septembre 1915. 563 fr.

LÍGEfl (Alice), veuve DAUDON. - Jouissance du 7 octobre HH5.,. 553 fr.

CIIAILLOU (Françoise Victorine), veuve DAVID. — Jouissance du 31 mars 1J16. 563 fr.

GAILLARD (Marguerite-Louise), veuve DELATTRE.— Jouissance du 24 mars 1916. £ 63 fr.

BAYEUL (Amandine-Joséphine), veuve DELAUNAY. — Jouissance du 2j septembre 1\115., 563 fr.

JOLLIVET (Marie-Anne-Augustine), veuve DELA VEAU. — Jouiss. du 12 mars l'JlO. 533 fr.

BAUDET (Marie), veuve DELBANEUT.— Jouissance du 11 octobre 1V15. 563 fr.

MARQUETTE (Anne), veuve DELMON—Jouissance du 21 août 1914 £ 63 l'r.

LEROY (Fernande-Appoline-Louise), veuve DENÈKRE. — Jouiss, du 17 juin 1915. 563 fr.

BOURLAUD (Aimée-Augustine-Olympe), veuve DESNOUX. — Jouiss. du 27 février 1916. 563 fr.

IIUCHON ;Este!le-Mario-Jeanne), veuve DEVY.

— Jouissance du 31 mars 191j. 563 fr.

BRAELLÉC (Marie), veuve DOIALlN. —

Jouissance du 18 janvier 1916. 563 fr.

FLEURIET (Marie-IIermine-Vivat), veuve DONDEAU. — Jouiss. du 21 juin 1915. 563 fr.

RAMAGE (Marie-Eugénie), veuve DOUAY. —

Jouissance du 11 mai 1915 £ 63 fr.

BACQUART (Sophie-Césarine-Marie-Joseph).

veuve DOUDHAIN. — Jouissance du 30 janvier 1916. 563 fr.

LE BRIS (Marie-Françoise), veuve DOYEN, — Jouissance du 18 août 1915. 563 fr.

BILLODY (Marie-Louise), veuve DREYET. —

Jouissance du 27 janvier 1916. 563 fr.

R1CHY (farie-Elise), veuve DROPSIT. —

Jouissance du 21 février 1916. 503 fr.

NAPIAS (Catherine), veuve DULAU. — Jouissance du 17 septembre 19H. 563 fr.

GRAVELAJNE (Mathilde). veuve DUPUIS. —

Jouissance du 15 juillet 1915. 563 fr.

CHUPIN (Lina-Fernandc-Octavie)) veuve FALOURD. — Jouissance du 3 octobre 1915 5631r.

HERBRETEAU (Vîttorine-Marie-Armandine), veuve FAGCIIET. — Jouissance du 17 juin 1915 503 fr.

JOURD'IIEUIL (Marie-Joséphine), veuve FAUcnON. — Jouiss. du -O septembre 1914. 563 fr.

BALLANDRAT (Francine), veuve FAUCONNET. — Jouiss. du 7 novembre 1914. 503fr.

MIQUEL (Marguerite), veuve FAURÉ. —

Jouissance du 2 octobre 1915. 563 fr.

LAPORTE (Marie-Eugènie-Sophie), veuve FAVIEn. — Jouiss. du 24 septembre 1914. 563 fr.

THIÉBAT (Marie-Philomène), veuve FAVRE.

- Jouissance du 7 octobre HI15. 563 fr.

LALOUM (Rebecca), veuve FITOUSSI. - Jouissance du 23 mai HH5. 563 fr.

GENDRON (AimÓc-\larie\ veuve FOURN1ER.

— Jouissance du 11 février 1<J16. 563 fr.

CïIAMBERET (Claire-Thérèse), veuve GAYRAUD. — Jouissance du 4 février 1915. 563 4r.

pfRlER (Eu;énie-Césarine-Aline), veuve GIMER. — Jouissance du 15 octobre 1915. 563fr.

ROCHER (Virginie-Pûilomène), veuve GIRAUD.

- Jouissance du 26 septembre llilb. ,,. 563 fr.

PERRIN (Marie-Célaoie-Ernestino), veuve GIRONNET. — Jouissance du 3 septembre 1914. 563 ir.

MORLET (Joséphine), veuve GIROUX. —

Jouissance du 25 octobre 1915. 563 fr.

BANDRY (B:anche-Augu!tina), veuve GORISSE. - - Jouissance du 20 septembre 114. 503 fr.

MORINIÈRE (Françoise-Marie), veuvo GOUAICHAULT. — Jouissauco du 26 novembre 1914. 563 fr.

SOUTiER (Marie), veuve GRADT. — Jouissance du 31 mars 1915. 563 fr.

BEAUJARD (Marie), veuve GROSBOT. —

Jouissance du 12 octobre 1915. 563 fr.

COUSSET (Eugénie-Marie), veuve GUIGNARD.

Jouissance du 3 avril 1915 563 fr.

CAPITAINE (Virginie-Marie), veuve GUILLAUME. — Jouiss. du 27 février 1916.. 563 fr.

KLAMMES (Marie-Joséphine), veuve GUILr LAUMÉE. — Jouiss. du 31 mars 1916.. 563 fr.

COLLET (Isabelle-Marie), veuve GUINARD. —

Jouissance du 31 octobre 1914 563 fr.

GRÉTER (Maria-Jeanne), veuve GUYOT. —

Jouissance du 21 septembre 1914. 563 fr.

LE COZ (Berthe), veuve IIA M EL. — Jouissance du 22 octobre HH-L. 563 fr.

IIAUCIIECORNE (RasaUe-Mdanie), veuve HÉDOUIN.— Jouiss. du 24 octobre 1914. 563 fr.

GELLET (Eugénie), veuve IlONEGGER. —

Jouissance du 21 juin 1915. 563 fr.

GRANGE (Marie-Adclo-Augusiine), veuve IIURANl).— Jouis, du 23 novembre 1914. 563 fr.

PELLETIER (Berthe), veuve JACQUET. —

Jouissance du 15 mars 1916. 563 fr.

GUY (Joséphine), veuve JEAN. — Jouissance du 9 juillet Li:). 563 fr.

FERRON (Yvonne-Eugénie), veuve JEANEAU.

- Jouissance du 14 juin 1915. 563 fr.

DENIZOT (Amélie), veuve JOLY. — Jouissance du 24 octobre 1914. 563 fr.

MEUNIER (Jcanno-Albcrtine-Pauline), veuve JONCHERAIS. — Jouissance du 10 mais 1916. 563 fr.

PROUST (Marie-Laurencia), veuve LANTIER.

— Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.

BUISSON (Ernestine-Marcelline), veuve LAVEHGNE. — Jouissance du 13 novembre 1914. 563 fr.

ARNAUD (Elisabeth), veuve LEBÈGUE. —

Jouissance du 25 octobre i915. 563 fr.

DELAUNAY (Lucie-Mathilde-Ernestine), veuve LEInmr. Jouissance du 27 septembre 1915. 563 fr.

GOUSSERIT (Eugénie-Clotilde), veuve LEIIAUT. — Jouissance du 2 janvier 1915. 563 fr.

HAPPEDAY (Cécile Angélique), veuve LEMAITRE.-Jouissance du 2) septembre 1915. 563 fr.

JULÉ (Marguerite), veuve LE MERLUS. —

Jouissance du 5 octobre 1915. 563 fr.

BESNIET (Iarguerite-Hosa), veuve LEROY. —

Jouissance du 8 février 1916. 503 fr.

GRIMAUD (Louise-Marie), veuve LEVÊQUE.

— Jouissance du 25 décembre 1914. 503 fr.

CHATRENET (Jeanne-Philomône-Etiennette\

veuve LHOMME. — Jouissance du 31 mars 1916. 5G3 fr.

SILVESTRE (Marthe-Marie-Marguerite), veuvo LHUiLLlER. — Jouissance du 27 septembre 1914. - fr.

FITTON (Jeanne), veuve LUBAT. - Jouissance du 30 mai 1915 563 fr.

LE PLANQUAIS (Clarisse-Clômentine-Alphonsine), veuve MADOUAS.—Jouissance du 17 mars 1916. , 5G3 fr.

LEREBOURS (LouiseAmbroisine'. veuve MARIE. — Jouiss. du 27 septembre 1915.. 563 fr.

LEROUX (Marie-Adrienne), veuve MARTEL. —

Jouissance du 27 février 191ô. 563 fr.

DUPrIS (Marthe-Gabrielle), veuve MARTHE.

— Jouissance du 29 février 1916. 563 fr.

INGRES (Marie-Antoinotte), veuve MARTY.— Jouissance du 31 octobre 1914. 563 fr.

ARRIVAT (Laurence-Françoise), veuve MAS.

— Jouissance du 2J novembre 1J14. 503 fr.

MORISON (Catherine-Antoinette) veuve MATIIEVET. — Jouiss. du 28 août 191 i. 503 fr.

PÉPI ( Marguerite-Eulalie-Adrienna ), veuve BAUDHY. — Jouiss. du 1er octobre 121 i. 563 fr.

Par décret du 10septembre 1910. sur le rapport du ministre de 11 guerre, il est accorJé une pension aux militaires dénommés ci-après : Capitaine.

OU Y (Joseph-Charles), perte de l'uap d'un membre. -Jouiss. du 3 août 1910. 3,700 fr.

Lieutenants.

TROUDE (Paul-Eugène-Alfred), amputation


d'un membre. — Jouissance du 15 mars -1916:. : 2,850 fr.

GRANGER (Emile), perte de l'usage d'un membre.- Jouissance du 3 août 1916 2,158 fr.

Sous-lieutenants.

DE BERNARD DE ÊËISSAL (Pierre-MauriceAlbert;, amputation d'un membre. — Jouissance du 5 avril 1916. 2,300 fr.

IIAMOUDA (ben Amar), perte de l'usage d'un membre.— Jouissance du 15 août 1910, 2,300 fr.

———————

Erratum au Jomnil officiel du 1t' juillet 1916: page 5805, Se colonne, 23e alinéa, décret du 24 juin 1916 portant concession d'une pension de 675 fr. à Mme Rémond (JeanneMarie-Louise), 'veuve Chaillou, au lieu de : CI Jouissance au 26 octobre 1915 », lire ? « Jouissance du 17 juin 1915 ».

PARTIE NON OFFICIELLE

Communiqués relatifs aux opérations militaires.

COMMUNIQUÉS FRANÇAIS Paris, le 18 septembre 1916, 15 heures.

Au nord de la Somme, nous avons enlevé une tranchée à l'est de Cléry et repoussé les contre-attaques de l'ennemi sur ce point.

Au sud de la Somme, l'ennemi a lancé plusieurs contre-attaques, au cours de la nuit, sur nos tranchées à l'est de Berny et au sud de Deniécourt. Dans cette dernière tégion, les Allemands n'ont pas fait moins de trois tentatives énergiques. Toutes les attaques ont été repoussées avec de fortes pertes pour l'ennemi. A l'est de Berny, nous avons réalisé de nouveaux progrès, ainsi qu'aux lisières Est de Deniécourt qui est complètement encerclé. Le chiffre des prisonniers, actuellement dénombrés, atteint douze cents; dix mitrailleuses sont restées entre nos mains.

D'après les renseignements fournis par les prisonniers, les pertes subies pendant les combats d'hier, autour de Berny, par la 10e division d'Ersatz et le 120e régiment de réserve allemand, ont été énormes. Deux bataillons du 38e (11e division) ont été presque entièrement détruits par notre artilr terie. N

'Aucun événement à signaler sur le reste 1u front.

Aviation. - L'adjudant Tarascon a abattu son cinquième avion ennemi. L'appareil est tombé près de Deniécourt.

Dans la même journée, le lieutenant Heurteaux a descendu son septième avion.

Nos escadrilles ont effectué divers bombardements : douze obus jetés- sur la gare de Nantillois et trente-trois obus lancés sur Villers-Carbonel et Horgny, à une altitude de 800 mètres, ont causé d'importants dégâts.

Paris, le 18 septembre 1916, 23 heures.

Au nord de la Somme, une attaque vivement menée, nous a rendus maîtres d'un nœud de tranchées ennemies à 200 mètres environ au sud de Combles. Cette opération nous a valu une cinquantaine de prisonniers dont deux officiers. La lutte

d'artillerie se maintient violente dans les secteurs de la route de Béthuné.

Au sud de la Somme, le combat s'est poursuivi avec - acharnement dans Deniécourt. Notre infanterie, après avoir enlevé le village et capturé les derniers défenseurs, a poussé ses éléments - avancés jusqu'à 1 kilomètre environ au Sud dans-la direction d'Ablaincourt. Des opérations simultanées nous ont permis d'enlever une tranchée à l'ouest d'Horgny, de chasser l'ennemi de trois petits bois au sud-est de Deniécourt et d'occuper plusieurs tranchées au SudOuest. Le chiffre des prisonniers valides faits dans les deux journées, des 17 et 18 dans ce secteur dépasse actuellement 1,600 dont 25 officiers.

En Champagne, assez grande activité des deux artilleries dans la région à l'ouest de la route Souain-Somme-Py.

Sur la rive gauche de la Meuse, nous nous sommes emparés d'une tranchée allemande sur les pentes Sud du Mort-Homme. Quelques prisonniers sont restés entre nos mains.

Journée calme sur le reste du front.

COMMUNIQUÉS BRITANNIQUES 18 septembre 1916, 11 h. 30.

La situation générale demeure sans changement. -

Au sud de l'Ancre, nous avons consolidé nos positions du nord de Martinpuich. A l'est de Courcelette, une attaque secondaire, dirigée la nuit dernière contre certains éléments de tranchées ennemies, a donné d'excellents résultats. Nous avons pu réaliser sur ce point une avance très appréciable.

A l'ouest de la ferme du Mouquet, les Allemands, à la suite #un bombardement intense, ont pénétré dans une de nos tranchées d'où notre contre-attaque les a immédiatement rejetés avec pertes.

Au sud de Thiepval, nous nous sommes emparés d'un nouvel élément du système de défense ennemie.

L'artillerie allemande a violemment bombardé avec intermittence différents points de notre ligne, au cours de la nuit.

Sur le reste du front, aucun événement notable à signaler.

18 septembre 1916, 15 h. 30.

Les derniers rapports parvenus perm et tent de - donner un compte rendu plus détaillé de la bataille des 15 et 16.septembre.

L'attaque s'est déclenchée le 15 à six heures vingt sur le front bois deLcuze-Pozières.

Les positions ennemies comprenaient trois lignes de tranchées reliées entre elles par de nombreux boyaux. En avant de ces lignes se trouvaient différents postes pourvus de mitrailleuses, ouvrages et entonnoirs orga nisés. Les Allemands :avaient en outre établi en arrière de ce système de tranchées qui est à environ 7,000 mètres de notre front, le long de la route Le Transloy-Bapaurnc, une quatrième li.gne garnie de solides .réseaux de fils de fer. Cet ensemble de défenses, complété par un millier de canons de tous calibres, nous opposait un obstacle formidable.

Notre infanterie, soutenue par les autos blindées nouveau modèle, s'est immédiatement portée à l'assaut sous la protection du tir de barrage de l'artillerie. La première

ligne allemande fut enlevée tout entière sauf en deux points ; sur la hauteur qui sépare Ginchy du bois de Leuze et au bpis des Foureaux. Contournant ces deux centres de résistance, nos troupes s'emparaient de Flsrs à dix heures et se portaient en avant au-delà du village. Vers le même moment, nous arrivions aux abords de Martinpuich et de Courcelette qui tombaient entre nos mains au cours de l'après-midi. L'honneur de ces succès revient aux territoriaux dii Northumberland et de Londres, aux divisions anglaises et écossaises de la nouvelle armée, aux Canadiens, aux Néo-Zélandais et à la garde.

A notre droite, l'ennemi se maintenait sur les hauteurs au nord-ouest du bois de Leuze et nos efforts pour l'en déloger demeurait infructueux. Au bois des Foureaux au contraire, les Allemands pris les deux flancs commençaient à mettre bas les armes et à il heures, nous étions maîtres de de tout le terrain. x' Non seulement les hauteurs qui séparent l'Ancre de la vallée de Combles se trouvaient ainsi entre nos mains, mais encore nous avions effectué une avance sensible sur la pénté qui descend vers l'ennemi.

Notre artillerie y trouva d'excellents observatoires lui permettant de prendre efficacement les Allemands sous son feu. Les-autoe.

blindées entaénant bravement l'action détruisirent les mitrailleuses de l'ennemi et prenant ses tranchées en enfilade lui infligèrent de lourdes pertes et jetterez la désordre et la démoralisation dans ses rangs.

Dans la nuit du 15 au 16, les Allemands, ayant, à la hâte, fait venir des renforts de tous les points de leur front ont prononcé une contre-attaque. Leurs efforts poursuivis pendant toute la journée du 16, n'ont abouti qu'à leur faire essuyer de nouvelles et lourdes pertes. Les Néo-Zélalldais qui avaient, dès le 15, atteint tous leurs objectifs ont été contre-attaqués avec une violence toute particulière. Non seulement, Ils ont conservé tous leurs gains, mais encore ils les ont augmentés en faisant subir l'assaillant des pertes sanglantes.

Le 16, notre progression s'est accentuée, particulièrement dans la direction de Lesbœufs. Parallèlement à ces opérations, les corps de la nouvelle armée développaient nos gains au sud de Thiepval avec autant d'habileté que de bravoure ; ils enlevaient un certain nombre de tranchées et faisaient plusieurs-centaines de prisonniers.

La bataille du 15 et du 16 a donné'des résultats de grande importance. C'est le coup le plus rude porté jusqu'ici à l'ennemi par les armées britanniques. La dépression morale qu'il produira chez l'adversaire a une importance encore plus grande peutêtre que la conquête des hautours dominant les positions de l'ennemi et la capture de quatre à cinq mille prisonniers.

Depuis le 1er juillet, les forces britanniques ont, à elles seules, mené la bataille sur le front de la Somme contre trente-cinq divisions allemandes dont vingt-ncllf ont dû être retirées épuisées après leur défaite.

Au cours de la semaine dernière, nos lignes n'ont pas été franchies dans la zone de la bataille par plus de quatorze aéroplanes ennemis, tandis que nos aviateurs exécutaient de 2 à 3,000 vols de l'autre côté des lignes allemandes.


ARMÉB D'ORIENT Salonique, le 18 septembre 1916.

A l'est de la Cerna, les troupes serbes, parvenues aux abords du mont Vetrenik, ont repoussé de violentes attaques bulgares.

Pris sous les tirs de barrage et les feux * de mitrailleuses, les contingents ennemis ont * subi de fortes pertes. Plus à l'Ouest, des détachements serbes poursuivant leur marche en avant, malgré les difficultés du terrain, ont enlevé d'un seul élan, sur la crête du Kajmakcalan, la première ligne bulgare puissamment organisée et défendue par de nombreux réseaux de fil de fer. Une contre-attaque ennemie déclenchée pendant la nuit, a été complètement repoussée.

Au nord-ouest du lac Ostrovo, l'infanterie serbe continue le passage de la rivière Brod, tandis que l'artillerie bombarde avec énergie les positions bulgares de la rive drOIte. A notre aile gauche, les troupes franco-russes ont livré bataille à des forces bulgares importantes, sur le front HosnaFlorina. Après une lutte acharnée qui a duré toute la journée du 17 et toute la nuit suivante, et malgré une résistance désespérée des Bulgares qui ont multiplié les contre-attaques et les charges de cavalerie, nos troupes bnt remporté une brillante -victoire. La ville de Florina, prise d'assaut ce matin à dix heures par les Français, est tout entière en notre pouvoir.

L'ennemi se replie en désordre dans la direction de Monastir.

COMMUNIQUÉ BELGB

Rien d'important à signaler sur le front de l'armée belge.

SÉNAT ANNÉE 1916 SESSION ORDINAIRE

Ordre du jour du jeudi 21 septembre.

A quatre heures. — séanvce PtlBiQtJB Discussion de la proposition de loi, adoptée par la Chambre des députés, adoptée avec modifications par le Sénat, modifiée par la Chambre des députés, ayant pour objet : l6 <de dispenser du timbre et de l'enregistrement les pièces produites à l'etret d'obtenir remise ou payement des objets, sommes et valeurs dépendant des successions des militaires ou marins tués à l'ennemi et des civils décédés par suite des faits de guerre; 2° de,simplifier les formalités imposées à leurs héritiers en Iine directe et au conjoint; 3a do dispenser du timbre et de l'enregistrement les testaments faits par des militaires pendant la durée des hostilités. (Nos 448, année 1915 ; 27-153 et 225, année 1916. — M. Guillaume Chastenet, rapporteur. — Urgence déclarée.) ire délibération sur : 1° la proposition de loi de M. T. Steeg, tendant à compléter l'article 901 du code civil touchant la capacité testamentaire des mineurs; 2° la proposition de loi, adoptée par la Chambre des députés, suspendant, pendant la duréè de la guerre, l'article 904 du code civil en fa vetrr des mineurs mobilisés et donnant à ceux-ci la liberté testamentaire accordée par la loi aux majeurs de vingt et un ans-. (Nos 89, 267, année 1915; 32 et 20G, année 1916. - M. Goirand, rapporteur.)

La séance du jeudi 21 septembre est la 53e de la session ordinaire de l'année 1916.

Les billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : 1er étage. — Depuis M. Antony Ratier, jusques et y compris M. Saint-Romme.

Tribunes. — Depuis M. Blanc, jusques et y compris M. Daude.

Les billets distribués ce jour seront valables pour la 54e séance et comprennent: 1er étage. — Depuis M. Sancet, jusques et y compris M. Yieu.

Tribunes. — Depuis M. Debierre, jusques et y compris M. Albert Gérard.

Convocation du mardi 19 septembre.

Commission des flnanees; — à trois heures.

CHAMBRE DES DÉPUTÉS 11" législature. — Session ordinaira de 1913.

RÉPONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS ÉCRITES

FINANCES 112 8 1. - M. Henri Labroue, député, demande à M. le ministre des finances quelle suite il entend donner au projet de décret qui lui a été soumis, le 4 juillet dernier, par le déparlement de L'agriculture, fixant, pour les commis de l'hydraulique agricole, des conditions de traitement et d'avancement identiques à celles qui régissent leurs anciens collègues des ponts et chaussées, réforme d'autant plus réalisable que les crédits actuels seraient suffisants et qu'elle vise un personnel en voie d'extinction. (Question du 28 juillet 1918.)

Réponse.

Le département de Vagriculture a effectivement saisi le ministère des finances d'un projet de décret tendant à modifier l'échelle des traitements des commis de l'hydraulique agricole, en vue d'accorder à ces agents les avantages dont bénéficient les adjoints techniques des ponts et chaussées.

L'examen de ce projet de décret a nécessité des compléments d'information, qui ont été demandés au ministère de l'ayrlculiure. Dès que ces renseignements indispensables seront parvenus, toute diligence sera faite pour aboutir dans le moindre délai possible. -

GUERRE

10067. -M. JeanLocquin, député, rappelle à M. le ministre de la guerre, sa question n° 9095, qui intéresse l'immense quantité des ouvriers mobilisés dans des usines travaillant pour la guerre loin de leur résidence et qui voient l'allocation militaire retirée à leurs familles suivant qu'ils reçoivent tel ou tel salaire et insiste pour que des instructions soient données en vue d'appeler les ouvriers à contresigner les déclarations individuelles patronales relatives au salaire. (Question du 23 mai 1916.) 2* réponse.

Une- nouvelle étude de la question a montré qu'il convenait de s'en tenir à la réponse

faite à la question no 9095 et insérée au Journal officiel du 21 avril 1916, page 1080.

En effet, les déclarations relatives aux salaires gagnés par les ouvriers mobilisés des usines porte le visa du contrôleur de la main-d'œuvre, qui doit s'assurer de l'exactitude des montions inscrites par les industriels. Si les contrôleurs de la main-d'œuHe ont des doutes sur l'exactitude de ces déclarations, ils ont le moyen de procéder à des vérifications..

D'autre part, si des ouvriers estiment que certaines déclarations ont pu leur causer un préjudice, il leur suffit de former une réclamation auprès des contrôleurs de la maind'œuvre, qui procéderont à une enquête et, s'il y a lieu, aux redressements nécessaires.

11126.— M. le lieutenant-colonel Girod, député, demande à M. le ministre de la guerre si un sous-lieutenant de réserve, nommé en 1907, révoqué en 1909 comme failli, réintégré en 1915 à la suite d'un jugement de réhabilitation constatant qu'il avait désintéressé intégralement ses créanciers, ne doit pas obtenir son deuxième galon après deux ans de grade, y compris la période écoulée avant sa révocation. (Queslion. du 20 juillet 1916,)

2e réponse.

Réponse affirmative, à condition, toutefois ; 1° qu'il ait été réintégré dans son grade antérieur de sous-lieutenant de réserve, en vertu du décret du 2 août 1914; 2° qu'il appartienne à l'une des catégories de sous-lieutenants de réserve qui sont susceptibles d'être promus lieutenants après deux ans de grade.

11364. - M. Borrol, député, demande à M. la ministre de la guerre si les officiers retraités qui ont été, à la mobilisation, rappelés à l'activité dans la réserve ou l'armée territoriale avec un grade supérieur à celui dont ils étaient pourvus en dernier lieu dans l'armée active et qui auront passé plus de deux ans dans le grade supérieur, seront retraités d'après leur dernier grade dans les réserves, ou si on majorera leur retraite du montant des an..

nuités et des campagnes acquises. (Question du 12 septembre 1916.) Réponse.

Un projet de loi relatif à cette question fait actuellement l'objet d'une étude de la part des ministères des finances et de la guerre.

11477. — M. Marius Montet, député, demande à M. le ministre de la guerre s'il ne serait pas possible d'assurer aux jeunes soldats de la classe 1917, déjà dans la zone, des armées, le bénéfice de la permission de quatre jours octroyée aux autres soldats.

(Question du 12 septembre 1916.) Réponse.

Des permissions de quatre jours sont actuellement accordées aux jeunes soldats de la classe 1917, ayant quitté les dépôts de l'intérieur pour être envoyés dans les unités d'instruction de la zone des armées.

INSTRUCTION PUBLIQUE ET BEAUX-ARTS 9918. — M. Henri Labroue, député, deo: mande à M. le ministre de la guerrem, 1° quel est le nombre d'écoles norm


d'instituteurs et d'institutriee3 dont le service de santé occupe les locaux; 2° quelle est, pour l'Etat, la dépense supplémentaire annuelle qui résulte de l'externement des élèves: 3° s'il n'envisage pas la possibilité de restituer à renseignement ceux des locaux qui ne sont pas indispensables au service de santé. (Question du 1S mai 1916.) Réponse.

La réponse de M. le ministre de la guerre, pour les paragraphes 1 et 3, figure au Journal officiel du 8 septembre, page 8024.

Paragraphe 2. — La dépense supplémen-

taire annuelle qui résulte, pour l'Etat, de l'externement des élèves des écoles normales, est de 938,000 fr., pour 4,953 élèves.

MARINE

11536. — M. Mahien, député, demande à M. le ministre do la marine quels sont exactement les salaires attribués aux femmes employées par son administration à l'arsenal de Cherbourg-, salaires par catégories et limites de salaires dans chaque catégorie. (Questiol1 du 12 septembre 1016.)

2* réponse.

ai Ouvrières payées à la journée.

SALAIRE j SALAIRE SALAIRE journalier journalier

le moins élevé le plus (levé miiyen cavé *" payé.. réellement payé T*n r»T? r £ ;c;TO\"Ç& - aux onvriercs aux ouvri. ères y compris de d c. les allocations chaque , profession , cna^ne i>rafc»sn>n, (journée de 8 heures), {journée de 8 heures).- supplémentaires.

Sténo-dactylographes et dactylographes 3 70 4 40 4 20 Ouvrières aux écritures non dactylographes. 3 » 4 6fr 3 86 Lithographie, photographie, autocopistes, calqucuses. : 3 » 3 9 3 69 Travaux do yoilcrie, pavillonnerie, matelasserie.,.,. 2 M 395 393 Couturières 2 30 3 20 2 52 Buandièrcs 2 30 2 90 2 45 Machines-oulils, obus, manœuvr s. divers..,.. 2 30 4 70 4 28 Artificières 2 30 3 50 3 57

b) Femmes employées comme commis auxiliaires el payées au mois.

Solde mensuelle la moins élevée, 50 » Solde mensuelle la plus élevée.. 110 » Solde moyenne réellement payée. 88 50

Ordre du jour du mardi 19 septembre.

A trois heures. — SÉANCE PUBLIQUB

1. — Discussion du projet de loi portant : 1° ouverture sur l'exercice 1916 des crédits provisoires applicables au quatrième trimestre de 1916; 2° autorisation do percevoir pendant la même période les impôts et revenus publics (N'a 2449-2160-21$*. — M. Raoul Péret, rapporteur.) 2. — Discussion de la proposition de loi de M. Pierre fiasse et plusieurs de ses collègues, relative alx secours réguliers à attribuer aux militaires réformés ni 2. (N03 1761-2248. —

M. Pierre Masse, rapporteur.)

La séance du mardi 19 septembre est la 76e de la session ordinaire de 1916 ; les billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : Galeries. — Depuis M. de Kcrguézec jusques et y compris M. Lamy.

Tribunes. — Depuis M. Augé, jusques et y compris M. de Baudry d'Asson.

Les billets distribués pour le jeudi 21 septembre comprennent : Galeries. - Depuis M. Lancien, jusques et y compris M. Le Bail.

Tribunes. — Depuis M. Paul Beauregard, jusques et y compris M. Botoulle. 0

Liste des projets, propositions ou rapports mis en distribution le 19 septembre.

No 2333. — Rapport par M. Georges Boussenot, sur la prop isition de résolution concernant les services du ministère des colonies.

Ne 2i53. — Projet de loi concernant les officiers d'administration de l'intendance.

No 2465. — Projet de loi concernant la prohibition de sortie dJS tabacs.

N° 2467. — Projet de loi frjncernant les réquisitions do navires de mer et d entreprises d'armement.

N° 2i68. — Proposition de loi de M. Georges Boussenot concernant l'emploi des bénéfices des compagnies d'armement.

N° 2470. — Proposition de loi de M. Raoul Briquet concernant l'avancoment dés souslieutenants.

No 2471. — Proposition de résolution de M.

Henry Paté concernant les officiers de la réserve et de l'armée territoriale.

N8 2472. — Proposition de loi de M. Durafour concernant l'adoption.

N°2477. — Projet de loi modifié par le Sénat concernant les baux à loyer.

No 2484. — Rapport, par M. Léon Perrier (Isère), sur le projet de loi concernant des travaux de restauration dans le périmètre de l'Allier (Haute-Loire).

No 2485. — Rapport, par M. Léon Perrier (Jsère), sur le projet de loi concernant des travaux de restauration dans le périmètre del'Agly inférieure (Pyrénées-Orientales).

N" 2138. — Avis de la commission des travaux public., par M. Margaine, sur l'article 13 du projet de loi concernant les crédits provisoires du 4* trimestre de 1916 (établissement d'usines hydrauliques;.

Convocations du mardi 19 septembre,

Commission d'assu-ance et de prévoyance scciales. à neuf heures et demie du triaiiri. Local du 6' bureau.

Commission des mines, à trois heures. —

Locai du t" bureau.

lr& commission d'intérêt local, à deux heures.

— Local du 2e bureau.

2e sous-commission de la commission da l'armée (armemci!b), à deux heures. - Local du 7e bureau.

AVIS ET COMMUNICATIONS

Ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes.

Avis relatif au libel!é des correspondance pour Paris.

L'attention du public est tout particulière, ment appelée sur l'intérêt que présente la mention du numéro de l'arrondissement dans le libellé des correspondances pour Paris. L'administration des postes utilisant des auxiliaires, pour remplacer les agents mobilisés, cette indication permettra d'éviter des erreurs de tri qui pourraient entrainer des retards dans la distribution.

————————— -

Ministère de l'agriculture.

Avis de Vinstilulion, par la col >ni/* de Madagascar, de deux bourses d'internat, de 1,500 fr.

chacune, dans les ëeol-:s vétérinaires, en fat'cur d orphelins de la guerre.

Deux bourses d'internat, de 1,500 fr. chacune, sont instituées dans les écoles vétérinaires par le gouverneur général de Madagascar, en faveur d'orphelins de la guerre. Les candidats à ces bourses seront désignés par le ministre de l'agriculture. Us devront subir un examen médical, qui aura pour objet de reconnaitre qu'ils ne sont atteints (l'aucunc infirmité pouvant les rendre inaptes au service colonial, et s'engager à servir à Madagascar pendant une -période minimum de dix ans après leur sortie d'une école vétérinaire.

A l'expiration de leurs études, ces jeunes gen-- seront engagés par contrat, en qualité de vétérinaire stagiaire, aux appointements de 6,000 fr. par an. Après avoir accompli un stage d'un an au moins et de deux ans au plus et justifié de connaissances et d'aptitudes suffisantes, ils seront nommés vétérinaires inspecteurs de GP. classe conformément aux dispositions de l'arraé du 18 janvier 1913, organisant le service de l'inspection vétérinaire à Madagascar. Le orps de 1 inspection n'étant pas encore constitué en fait, les jeunes inspecteurs auraient la certitude de recevoir régulièrement leurs avancements s'ils le mélitaicnt.

sans avoir besoin d'attendre que des vacances se produisent.

Les agents du service sanitaire vétérinaire colonial s'ont autorisés à donner l'isrs soins aux animaux des particuliers et à percevoir, de ces derniers, une rétribution suivant un tarif approuvé par le gouverneur généraI.

Les élèves des écoles vétérinaires qui seront candidats à c?s bourses sont invitas à se faire inscrire, avant le 5 octobre 1916, au ministère de l'agriculture, direction des services sanitaires et scientifiques et do la répression dos fraudes, 1er bureau, 42 OU, rue de Bourgogne, où ils pourront se proeurer tous renseignements complémentaires.

(2* Supplément.*


INISTÈRE DES COLONIES

INSPECTION GÉNÉRALE DES TRAVAUX PUBLICS

STATISTIQUE DES CHEMINS DE FER DES COLONIES FRANÇAISES

EXPLOITATION

1916. — 2" trimestre. (Chiffres provisoires.)

LONGUEUR LONGUEUR RECETTES RECETTES TOTAL KECETTES COMPAGNIES' moyenne de de des recettes par kilomètre ojpioité exploitée exploitée l'exploitation l'exploilatioa pendant '———————————'* DESIGNATION DES LIGNES ou au pendant peiulmt pendant le pcadsc*. Il pendant le le le ! iu 1" J' UI il'et 1er so* raest'c !~ !c administration exploitante. JUILet 2e trimestre 2' trimestre tnmesîre le, 5mC5lrc l*''K:tt)'"::f<' lu semcstft 1916. 1916. iQio. précédent. 19tG. 191-i. 1915.

-

fi kilomètres, kilomètres. francs. franci. francs. francs. francs.

1° Indo-Chine.

Chemin de fer de Ilaïphong à Laokay compagnie française des | 1 et Yunnansen. chemins de ferde l'lndo- j ,,,. Q C)! r. r.' ')' 1 Chine et du Yunuan (1)839 '1)853 2.20.>.001 2.21L2U IL'lb._:.>"J 5.tH 4.958 Chemin de fer de Hanol à Vinlî Administration de la co-!

Chemin de fer de Ilanoï à la frontière de ^n,L * 403 493 728-302 ",93.050 i.526.442 3.096 2.349 Chine Idem )

Chemin de fer de Tourane à Ilue et a ", Dong-lla IdeIn" 175 115 114.492 104.725 219.217 1 310 933 Chemin d~ fer de Saigon au Khan-Hoa

et de Saïgon-Mytho Idem. 536 536 509.302 497.612 1.006.044 1.378 1.806 2° Afrique occidentale française.

Chemin de fer de Dakar à Saint-Louis.. Compagnie du chemin de ferde Dakar à Saint-Louis. 2G4 264 7G7.717 1.2^ 89.2^o2 2.0O6.9O9 7702 7.926 Chemin de fer de Rayes au Niger Administration de la co- 1"\ )-". "',' lonie 555 555 332.<b6 523.002 855.7138 1.542 1.212 Chemin de fer du Dahomey (de Cotonou compagnie françaiso du il Parakou avec embranchement de chemin de fer du Daho- 1 l'aliou au lac Ahcmé). mçy 294 294 262.395 213.244 475.639 1.618 1.312 Est dahoméen.------"------ Administration de la coIonie. 80 80 59.256 48.490 107.7*6 1 349 1.035 Chemin de fer de la Guinee ljcm 060 060 747.441 991.087 -1.738.528 2.634 1.526 Chemin de fer de la Côte d'Ivoire 1(Jem 315 315 2S0.5o7 254.508 435.Obj 1.540 1.001 Chemin de fer de Thiès à Kayes et embranchement de Kaolak • •• Idem. 417 417 336.673 719.282 1.055.955 2.532 2.931 Chemin de fer de Thiès à Rayes (section

de Rayes à Ambidedi;. Idem. 44 44 9.141 23.653 37.799 g59 547 30 Madagascar.

Chemin de ferde BrickavilleàTananarive. Administration de la colonie. 336 336 903.865 758.661 1.662.526 4.307 3.734 .,.,. 4° Réunion. 1 1 1 Chemin de fer de la Réunion Etat. 126 1 126 517.779 8.33.509 851.238 6.757 4.067 50 Côte des Somalis.

Chemin de fer de Djibouti à Addis-Abeba. Compagnie du chemin de fer franco-éthiopien de 1 e. Nouvelle-Calédonie. Djibouti i Addis-Abeba.. 762 1 j6 t.013.000 957.000 S.OOO.OCO 2.625 3.110 Co Nouvel e- a omo..1 1 Chemin de fer de Nouméa vers Bourail.. Administration do la colonie. 29 1 29 27.862 36.720 64.532 2.227 1.762 70 Inde française.

Chemin de fer de Pondicheryà Villapuram (par lie comprise en territoire l'ranÇais) '• South îndian Railway G" 13 1 13

Chemin de fer de Péralain à Rarikal (partie comprise en territoire français). Idem 17 17

(1) Section de Haiphong à Laokar. en Inilo-Chine, 394 kilomètres; section de Laokay à Yunnansen, 465 kilouvïtres. L'ouverture à l'exploitatiou jusqu'à Yunnansen a eu lieu le 1er àvril llilo.

(2* Supplément.)


MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE

DIRECTION DE L A C RI C ULT U R K OFFICE DE RENSEIGNEMENTS AGRICOLES

RÉSULTATS COMPARATIFS DES EQUITES sen LA SITUATION DES CULTURES AU 1" SEPTEMBRE DES ANNÉES -J9I0 ET 1913

_bIAfs, POMMES DE TERRE, TOPINAMBOURS, BETTERAVES A SUCRE, BETTERAVES DE DISTILLERIE, BETTERAVES FOURRAGÈRES

P O M M E S TOPIN ^MBOL'RS BETTERAVES BETTERAVES BETTERAVES - de terre. - à sucre. A de distillerie. fourragères.

- - - -

DEPARTEMENTS Etat des cu'H-rcs (1). Etat des cultures (I). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (i). OBSERVATIONS 1er sept. 1" sept. j 1er sert. 1 l"sept. l"sept. l"-srpt. 1er sept. 1er sept. 1" sept. 1er sept. 1er sept. 1er sept.

1 1916. 1015. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915.

* 1 i i i l i tri,s bon.

Finistère • » 90 40 PO » Il » » » GO 70 (1) 100 i juift tn's bon.

u-N or d. : s;i lre RÉGION 65 5 65 1.) ~.o - 1)01].

Ooics-ùiî-Nord » 80 55 83 80 » » 65 75 65 75 fO - bon.

Morbihan » , £ P 75 50 80 90 » » » » 75 fa <50 -aflhon.

111 iA-'e t-Vilaine • w ** 70 50 80 80 » » Il » 70 GO 50 - l,¡lab¡c.

C) f) 80 80 » , n » » 70 80 .°0 — nv-iiiocro.

baivados:::::::::::. » » 60 CO » » 50 10 » » 70 60 20 :):'!1C o' » 1t 70 ! CO I » "I "I » * I * I 70 I 80 I Mayenne * * SO 20 <0 <0 » » » ». <"<0 50 Sartlic 50 GO i0 » » » * 50 <0 Movcnqcs •• 71 40 ^6 *2 50 80 G5 7o G2 69 1 ■— ---- ■«28 RÉGION (NORD) crd. 65 ! CO » 80 70 80 70 80 70 i'as-iîe-Caiais » » 70 80 » » 65 GO 6j GO 65 GO r~ n~ tomme » » 70 62 70 70 7) 50 ro 50 75 5'» n '6"icuro • * 50 70 » » 70 50 <0 50 70 70 -i5"{ 0 0 0 » „ 7J 75 80 75 80 50 80 50 80 50 a cXn „ o 70 » » 80 50 fo 50 so 50 F->r wû' » » Ú-) 50 Il „ eo 60 80 GO 70 60 -I oif : * » 00 70 » 70 70 70 70 70 70 k^rè-it-oiso: :::::: Il M 70 75 • 1) 70 <0 70 70 70 70 Seini 0 » » 70 60 » » » GO 50 » *4) 60 Soirie-Ct-Marne » > i 50 6J 80 Il fO 75 80 4 80 7) Movonnc? j ** 64 M-I G 72 75 M 72 6) ) <2 02

3e RÉGION (NORD-EST) kniï-nnr*, i* « » » If * * * * * * » 12; ru':parlement cnlar C. » m co 70 » » 80 70 80 70 80 80 vahi par 1 inuomi.

iur *A\l;u 'e ; >1 ;,() liO fO fO 80 50 so 50 80 5J H au f-iiârâe. !!'» » 50 go eo éo so 50 go 50 80 50 ! !. » <*" 50 00 :\t cu e. 0 Il » ;)0 liO » » G.) Gj » » 6) ^(M M eu Uie ctÏMoïclic. - ;O 4) do » * » 65 40 » » O 80 O CO If * - O 70 rt * * * 0 îrt iIàût-1 ;îi\n). » » 70 » » » » » 75 80 .r Moyennes. » .p 53 62 76 <3 62 ^0 60 «0 63

4e RÉ G ION (OUEST) Loirc-Inférirure » ! n 60 30 10 ¡ 80 >» » • • 70 80 Mai:;e-ul-Lttire » » 00 50 10 80 » • • » 70 80 Iiîdre-ot-Ecïic 60 Il 20 50 50 70 » » » » 30 50 ,- (' ., t:: - 'r: ") Vendre -,o FO 73 55 80 85 1) « » 05 80 f'harcnte-infcrioarc. 70 f-0 65 55 Oj 80 » 6) 75 65 75 lieu x è\'l'e" GO l 80 5) l 50 CO 80 » » 50 60 50 60 (Charente LO 80 io 2W 50 8J - » » » 50 60 \Ïenp.e. 1\. c.o 40 50 50 CO 1) » /.U r)O Vienne .» GO 40 50 50 GO » » » » 40 60 liauto-Yienno 50 80 60 CO 00 80 » •» » » 50 GO Moyennes (JO j 77 1 51 1 47 01 .17 » » 57 67 1 51 j 67


; POMMES TOriXAMDOURS DETTERA VllS DRTTETI A YES BRTTER A VES 1 - POMMES TOPINAMBOURS j BETTERAVES BETTERAVES BETTERAVESj f - - - - 1 OBSEUVATtONS 1 DÉPARTEMENTS —————————— _—————————— jEtat des cultures (1). Etat des cullnres (1; OBSERVATIONS ! ! 1"' sept. 1«' sept. 1" sept. I l"r sept. i 1" sept. l=r sept. 1er sept. lBr sept. 1er sept. 1" i-ept!

1. l'r sept. 1er sept. 1" :-;ept. J., sept. ter SCPt'l1 l'-'sept. l~sept. l~scp*. 1~'sept. l~scpt. l',"pt l'-~.cpt 1916. 1015. 1913. 1915. 1316. 1915. 1916. 1915 1915. 1915. DIG. I >15- - i t -[--¡-¡- - ---'I--i .--Se RÉGION (CENTRE) Loir-et-Cher. 40 60 80 70 » » » » 70 70 (l) 100 signifie très boo Loiret » » 69 60 70 70 8J 70 80 70 80 70 80 — bon.

i Yonne » • 60 00 Il » 75 60 75 GO 75 GO fJO - assez bon Indre. 60 30 60 70 » » » 70 60 (jO 50 - passable.

C.her » 60 70 80 80 » » 80 80 70 80 30 — médiocre Nièvre » 70 50 70 70 80 » » » » 60 70 20 - maunis.

creuse » 60 60 70 80 11 » » » 60 80 Allier • 65 73 80 90 » Il » Il 70 80 Puy-de-Dôme. 50 50 30 80 80 70 50 70 50 70 50 Moyennes • 60 56 57 7i 77 75 60 1 76 65 C8 09

G* RÉGION (EST) côte-d'Or.,.,.,. 50 70 50 70 80 75 60 60 60 60 60 60.

Haute-Saône. 60 55 40 65 » » » » » » 50 hO Doubs , , 80 70 40 80 80 » » » » » 80 80 .! u ra. 50 80 50 75 » Il 60 70 » Il G) 70 aône-et-Loirc 50 80 40 60 80 80 60 60 Il Il 69 GO Loire. 70 » 70 GO » 70 Il » Il n 80 70 : Rhône. 50 80 60 50 70 00 >» » Il Il GO 00 , Ain. 65 80 55 GO 60 70 70 70 » Il 70 70 ilaute-Savoie » » 60 60 » » Il » » » 80 80 Savoie 80 70 70 30 »■»»»»» 80 80 Isère 75 6 Ik 76 57 80 70 75 68 75 68 75 66 Moyennes. 63 72 56 61 75 76 65 65 67 G4* 09 71 ,

78 RÉGION (SUD-OUEST) Gironde. 60 60 60 i 50 60 60 » » » * 60 70 Dordogne. 75 80 55 45 70 80 40 Il » » 50 70 Lot-et-Garonne 60 65 50 60 60 50 60 » Il Il 50 60 Landes 70 60 50 50 • » » „ Il » 50 50 '.CI'S.,. 60 30 60 20 80 50 60 » 60 » 60 30 liasses-Pyrénées 80 80 60 (JO » » Il » » lot 80 70

JlauU s-^yrénées 8) 50 80 50 If Il » » » .» 80 5) Haute-Garonne 80 50 70 40 » 40 Il Il » Il 50 40 Ariége 70 70 80 70 » - » 75 70 Moyennes. 70 61 63 1 4 9 67 56 53 Il GO » 61 57

Se RÉGION (SUD) r.orréze. 70 (a) 80 (a) 80 (a) » (a) » (a) 1 70 (a) a) Rensaisncmeito Cantat. 70 60 50 50 70 60 » Il » » GO 69 non fournis par la l.ol. 55 72 55 55 60 70 • » » » 5, 65 directeur des serAveyron. 65 70 63 63 55 70 » • » » 65 75 vices agricoles.

Lozère • 80 80 50 80 M » 60 80 Tarn et-Garonne 70 60 60 60 70 70 • » » » 60 60 Tarn. 80 50 80 60 80 60 • » • » 80 50 Hérault » H 50 60 »•••»•» 5) Aude.,. 80 80 75 70 » fi » » 80 80 Pyrénées-Orientales. 75 75 70 70 70 80 • » » Il 70 75 - 71 68 66 60 70 œ--:-¡-:-I---:-,--:-GG!

moyennes. 71 68 66 60 70 C)6 66 6

9E RÉGION l SU D- EST) 70 50 80 70 W M Haute-Loire. 70 50 80 70 80 60 Ardèche 50 60 30 50 50 60 30 60 30 60 50 60 Yaucluso .!!!!! .••• 80 50 50 00 80 60 80 60 80 60 80 Drôme. 80 50 50 ro 80 60 80 60 80 60 80 «îard. • 50 55 • • 55 55 » » 50 50 * * 60 30 » » 60 60 CO œ Basses-Alpes 80 70 60 70 » 70 80 Hautes-Alpes. 50 70 * » » • » » 60 70 » 65 50 •» » 70 >• » 60 80 Ilatites-Alpes 60 » 20 20 30 60 • » » 30 :X)

Var 60 Il 20 20 30 60 » Il Il :10 : x.¡ Alpes-Maritimes. 20 60 Il » • lot » » 30 80 -1 Moyennes. 63 70 47 49 55 67 55 64 45 70 55 G5


----- ----- - ------ -------------. -

MAÏS POMMES TOPINAMBOURS BETTERAV.Ei.J BETTERAVES BETTERAVES - de terre. - à sucre. de distillerie. fourrag' rs.

- - - DÉPARTEMENTS Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Eta des cultures (1). Etat des cultures 'Etat des cultures (1) OBSERVATIONS L_ - : : !

sept. sept. ter sept. l"sept. sept. sept. ler sept. lu spt. 1er Ipt. l«<ept. ! 1" sept. I l" sept.

r-- 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 191G. 1915. 1916. 1915. 191G. 1915.

; ■ r : ; • "* 10e RÉGION - 4 Corse | 60 1 60 1 50 1 30 1 » 1 » 1 » 1 * 1 » 1 » 1 » 1 60 (i) 100 ngnlir très bon.

Moyenncs générale5. 66 68 58 53 70 71 67 65 68 66 64 65 80 - bM.

50 — passaMe.

= CO — assez bon.

Moyennes générales. 66 68 58 53 70 71 67 65 68 66 64 65 30 — uittHocre.

20 - mauvais.

Situation d'ensemble de l'état des cultures au 1" septembre 1916.

MAÏS POMMES DE TERRE TOPINAMBOURS BETTERAVES A seCHE BETTERAVES BETTERAVES 1\ 0 T EDO N X É E - - - - de distillerie. I(¡DrI"\tl'.

NOTE DONNEE ■ Nombre de départements Nombre de départements Nombre tic départements Nombre de déparlcments ^ombri, départements Nombre «le «Wi artcmenU forrespondant ayant obtenu ayant obtenu ayant obtenu ayant obtenu 1 aya!lt obtenu ayant c-liiei.a la note ci-contre. la note ci-contre. la note ci-contre. la noie ci-contre. i la note ci-contre. ta nule neotte.

à l'état de chacune des cultures. 1 1 En 1910. En 1915. En 1916. En 1915. En 1916. 1 En 1915. En 1916. En 1915- 1 En 1910. 1 En 1915. En 1916 En 1915.

100 » • » » » » » * * * ! 80 à !t9. 8 15 9 3 23 23 8 2 9 2 17 22 ; 60 à 7",. 21 17 44 41 23 22 1* 18 13 17 48 47 i 50 à M. 8 5 21 26 5 3 2 7 3 6 14 12 1 : 30 à 4). » 1 9 11 1 2 2 » 1 » 5 4 j 0 à 29 » » 3 3 » /»-«*» » » » * » » I Sans note,. 8 5 1 12 "C 13 2 » v » 1 2 If

Sans culture 41 2 JI » 22 22 54 58 60 59 » It

Sans résultats connus. 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2

Sans résultats connus. l 2 1 2 12 l 2 i 2 1 2 Totaux 87 87 87 87 87 87 87 87 87 87 87 87

PRAIRIES ARTIFICIELLES, PRAIRIESiiTEMPORAIRES, FOURRAGES VERTS ANNUELS, PRÉS NATURELS, VIGNES, POMMES ET POIRES A CIDRE

~-" ————_ ——————————.. '! ————————— ..- J i J L ——————————————————————' PRAIRIES PRAIRIES FOURRAGES fERTS IPfUS NATURELS VIGNES rOIDIS ET rOiRES artificielles. temporaires. annuels. - - à cidre.

1 DÉPARTEMENTS Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cuilnres el). Etat des cultures :1;. ,.EtIÙ(,5 cultures (1). OBSERVATIONS "'-- 1" sept. 1" sept. 1«» sept. l«r S3pt. 1er sept. 1" sept. 1« sept. I" sept. l*r sept. 1 sept. 1er sept, i irsept.

V ( j ¡ ¡ ¡' 1 1016. 1915. 1910. 1915. 1916. 1915. 1910. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915.

>- ire RÉGION (NORD-OUEST). n.oFinistère .î CO 60 60 70 50 70 60 80 » » 30 80 (1) loosiribife très bon.

Côtes-du-ord. 60 100 65 100 60 95 65 90 » » 55 75 80 - bOD.

Morbihan., 70 80 70 70 70 80 60 70 60 10 20 100 60 — assez boa llle-e t-Vllaine 60 » 60 80 70 80 70 (a) 80 » 30 100 50 - passable.

Manche. 70 60 70 » » (a) 70 80 » » 30 8) 30 - médiocre Calvados 70 80 70 80 70 80 70 80 » » 40 90 20 — mauvais Orne. - CO 80 » 80 » 80 » 80 50" » 17 17 () n. Il Mayenne. » 90 90 30 90 » 91 50 0 » 90 ( .sarthe. 50 (a) 30 (a) 40 40 30 (a) 40 10 5 80 ceu ou tttenrmSmeTe.

Moyennes. 62 78 61 81 56 77 61 j 82 56 7 27 86 2e RÉGION (NORD) îîord 75 70 » (a) » (a) 80 70 » » » » Pas-de-Calais. 70 60 » 60 » 60 60 60 » Il 50 80 Somme. 80 68 80 68 80 65 80 72 » 45 68 Seinc-lnféricute 75 80 70 80 » (a) 60 80 » ». 50 60 Oise. 80 85 80 85 80 85 80 85 » ro 45 65 Aisne. 80 70 60 70 80 70 80 70 60 80 30 70 Eure. » 70 » 70 » 50 » (a) Il 40 30 80 Eu.rc-etLor. (a) (a) (a) (a) (a) (a) (a) (a) 60 40 ro 80 i Seine-et-Oise 80 (a) 80 (a) 90 90 80 a) 50 50 40 85 i, Semc. 60 70 60 70 60 (a) 60 70 50 50 50 » » Seine-et-Marne. » (a) » (a) » 80 » (a) 60 60 50 80 Moyennes. * 75 72 71 72 78 71 72 72 56 53 4i 74


PRAIRIES PRAIRIES FOURRAGES VERTS PRÉS NATURELS VIGNES POMMES ET POIRES artificielles. temporaires. annuels. - - à cidre.

- - - DÉPARTEMENTS Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Eot des cultures (1). OBSERVATIONS 1" sept. I" sept. 1er sept. 1" sept. 1er sept. 1 cr sept. sept. lor sept. 1er sept. 1er sept. 1" sept. t cr sept.

1916. 1015. 1916. 1915. 1910. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 191G. 1915.

7 i 3* RÉGION /■ (NORD-EST) 3e m Ardennes (2). » » » » » \1 » » » » » » (1) 100 sigifio très bon Marne. 80 70 80 70 80 70 80 60 20 80 20 Il 80 - bon.

Auhe. 80 60 80 60 80 60 80 60 50 80 30 80 60 - assez bon Ifaute-Mllrne..,. 60 50 60 50 » (a) 80 50 20 60 » » 50 - passable Meuse. Il 70 Il 65 » (a) » 75 45 65 » Il 30 - médiocrl Meurthe-et-Moselle. 65 50 Il (a) 6) 35 65 45 60 75 30 » 20 — mauvais.

Yosgc.:;. 80 80 80 80 80 70 80 80 60 GO 50 80 1 pn UeilorL (Haut-ntlln). 75 75 75 75 80 75 80 75 » Il Il »» valu par enem ------------1 (a) Récolte commen Moyennes.:. 73 1 65 75 1 67 77 62 77 63 1 42 70 32 80 câ3 ou terminée.

4e RÉGION (OUEST)

toire-Inférieure. 70 80 70 80 60 80 70 80 50 .10 30 80 -Maine-et-Loire 50 80 50 80 60 80 40 80 GO 20 30 80 Indre.-etLoirc. 50 50 50 70 50 (a) 50 70 60 20 20 50 Vendée. 65 80 » » 65 80 65 8J 50 50 20 >» Charente-Inférieure. 65 80 60 75 60 80 60 75 70 HO

Deux-Sèvres. 30 80 30 80 30 60 30 80 80 20 20 60 Charente. 30 (a) 30 (a) Il (a) :30 (a) GO 30 Il Il Vienne,. 30 60 30 60 20 60 30 60 60 20 » 60 lIaute- \Ïenne., 50 1. 0 50 70 50 70 55 80 60 20 30 80 Moyennes. 49 72 4b 73 49 73 48 75 61 27 25 08

5e RÉGION (CENTRE) I.oit\-<:t-Cher.., 30 60 30 50 50 70 60 70 60 30 20 60 loiret. CO 60 60 60 60 70 60 60 fjQ 70 30 90 Y/)uac.,. : 70 60 70 60 70 80 70 70 50 70 2 Il Indre. 50 70 M 60 50 70 60 70 30 25 20 » Cher. 80 70 80 70 80 70 70 70 70 60 U Nièvre. 70 50 70 50 (a) (a) 70 50 GO 50 Il Il Creuse. 80 80 80 80 70 80 80 80 60 20 20 80 Allier. 80 90 80 90 Il (a) 80 85 86 10 l)uy-dc-Dôme. 60 60 1 60 60 60 60 60 80 40 20 20 20 Mo'cnnes. 64 67 64 64 G3 71 67 71 57 41 17 M

G e RÉGION (EST) Côtc-dOr. 70 65 70 60 70 60 70 60 6) 50 30 » llaule-Saonc. 63 60 60 60 60 (a) »■ 50 20 75 » » J>oubs. 80 80 80 75 80 75 80 80 40 GO Jura. 80 80 80 80 80 75 80 75 50 55 40 80 Sa jne-et-Loire 80 (a) 80 (a) » (a) 60 (a) 60 50 « » Loire » (a) » (a) » (a) » (a) 70 30 Il Il HhÕlle. 60 90 50 70 40 (a) 50 70 60 20 Il Ain. 80 80 80 80 80 80 80 80 55 40 40 » Haute-Savoie » 80 Il 80 Il 60 60 60 60 30 » » Savoie. 80 70 • 80 70 80 70 80 70 80 40 » » Savoie •' 80 80 78 - 80 75 80 70 80 75 40 1) 70 Moyennes. 74 76 73 73 71 71 70 60 57 45 37 75

Ve RÉGION (SUD-OUEST) Gironde 60 70 60 (a) n (a) 6) (,j) 60 40 >, 1) * Dordosne. 50 70 50 70 40 70 60 70 75 35 -30 60 ., Lot-et-Garonne 50 40 50 40 50 50 50 30 60 50 » Landes.,.,. 50 50 Il (a) 50 50 » (a) fi:) 2:) Cers 60 30 50 50 » (a) 5) 30 50 30 Il » Basses-Pyrénées 70 80 70 70 » • 70 70 60 30 5050 Hautes-p'yrl\nées., 80 80 60 60 60 CO 60 CO 50 50 80 30 Haute-Garonne «jO » (a) 75 » 75 80 50 20 » 30 Ariège. 70 70 » Il 70, 70 70 80 80 50 Moyennes 63 60 57 53 5S 60 62 60 00 36 53 42 I 4 ? 53 42


Uim.W I Mil .L I. —j-.—. t— .11 IIIIJJ^I "ll" m PRAIRIES PRAIRIES FOURRAGES "VERTS PRÉS NATURELS YIGES POMES ET FOIRES artificielles. temporaires. annuels. - - à cidre.

- - - DÉPARTEMENTS Etat des cultures (1). Etat des cuitures (i). Etat des cultures (1): Etat des cultures W- Etat des cultures (1). Etat des cultures )). OBSERVATIONS » 1" sept. 11 or sept. 1" sept. 1" sept. 1er sept. 1" sept. 1" sept. lor sept. 1 tr sept. le. sept. l*r sept. 1er sept.

..1 1916. 1015. 1916. 1015. 191G. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915.

,-----';""---,--- - - -- - -.- - - -1- I S' JR. É G-1 O 3NT (SUD)

Corrèze. 70 (b) 70 (b) » (b) 70 (b) 80 (b) sa (b) (1) 100 signiife très bon.

Í cantal. 80 » 80 » 80 » to 40 20 20 » 80 - bon, 'Lot ',' (a) (a) (a) (o) 60 60 (a) (a) 40 20 Il » Go - assez bon Avevrco. fj;) 75 00 75 60 75 60 75 55 25 50 50 50 — .passable.

Lozère 60 £ 0 60 70 60 60 60 80 80 40 » 50 : - médiocre Tarn-et-Garonne. 70 60 » (a) » (a) 70 (a) 50 30 » » 20 - mauvais.

T~n 80 50 » 50 » (a) » 50 60 30 » » ( )D' 11 llér,iult - 40 (a) (a) (a) (a) » 40 Il 20 1. (a) Bécolle commenAucic 50 m 40 50 W 00 5) 70 00 21 » » ou termmee.

Pyrénées-Orientales. 40 75 45 75 » » 60 75 70 20 » » (b) Renseignements - - , ■ ■ i non fournis par la directeur des serMoyennes. 62 65 55 67 57 67 61 67 59 25 , 50 50 vices agricoles.

9e RÉGION (SUD-EST)

Haute-Loire. 70 60 70 60 1 70 » 60 70 60 20 » » Arùèc he. 30 60 30 60 30 60 30 60 60 20 20 50 DrJme. 40 60 40 60 40 60 40 60 70 30 f 30 50 Gard. 40 (a) (a) (a) -v (a) (a) 40 (a) 60 25 Il » Vauclusc. 70 30 70 30 70 30 70 40 40 20 » Basses-Alpes 60 60 (a) (a) (a) (a) 60 75 90 30 » » Hautes-Alpes. 30 60 40 60 » (a) 30 50 70 30 » » Bouches-du-Rhône.. » 70 » Il » (a) * 70 70 60 20 » » Var. 50 60 30 60 (a) » 30 60 80 20 » » Alpes-Maritimes 50 80 20 80 (a) (a) 50 80 60 50 » D Moyennes. 49 6) 43 58 52 50 48 63 65 26 25 50

1 O* IR. É GS-XO N

Corse. 1 50 .1 60 1 50 j 50 ! (a) 1 (a) j 50 1 50 1 60 1 20 1 » 1 1 Moyennes générales. 63 1 6 7 60 1 66 1 62 1 67 1 62 1 67 1 53 1 35 1 33 1 65 1

Situation d'ensemble de l'état des cultures au 1er septembre 1916.

rnAirunS PRAIIMES FOUHRACESVERTS PRÉS NATURELS VILLES POMMES ET POIRES artificieltes. temporaires. annuels. à tidre.

NOTE BONNKE tClllpirCs. aOl15. - - ?I Nombre OedépaUcments Nombre de départements * Nombre de départements Nombre de départements Nombre de départements j^omj,rc dèpartemeiïls correspondant ayant obtenu avant obtenu ayant obtenu ayant obtenu ayant obtenu ayant obtenu la note ci-coniic. la note ci-<ontrc. la. note ir-contre. la note ci-contre. la note ci-contre: la note »:i-eon!re.

àl'clat de chacune des cultures. — — j —————— ; .— —— à. l'LI;:I ¡!c d:acuJJ des cu:tlirc'1 En 1ClG. 1 En 1915. En 1916. J En 1915. En 1916. 1 En 1915. En 1916. En 1915. En 1916. 1 En 1915. En 191C. En 1915.

*, S..

100. » 1 » 1 • * » » • • » 2 80 à 99 18 25 14 18 13 18 16 25 8 3 2 18 CO à'~9. 36 38 28 36 > 25 30 39 ? 35 39 10 » 11 50 à 59 12 7$7 8 3 8 6 15 12 9 6 j 30 à Q9..,. 9 4 11 2 7 3 10 5 8 21 20 2

0 à 29. » » 1 • 1 » » » 3 28 15 1 J fans nole. 11 10 18 17 30 29 , 13 14 1 26 31 Sans culture » » 5 4 2 f 2 12 11 14 14 Sans résultats connus.. l 2 1 1 2 4 1 2 1 2 1*2 1 t .- ,. — "1 jA Totaux 87 87 87 87 S7 87 87 87 87 87 81


LIN,' CHANVRE, HOUBLON, OSIER ET TABAC

LIN CHANVRE HOUBLON OSIER TABAC

- - - - -

DÉPARTEMENTS Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). Etit des cultures (1). Etat des cultures (l). OBSERVATION*.

1er sept. 1er sept. 1" sept. 1er sept. 1 cr sept. 1 cr sept.. 1er sept- l9r sept- l<-'r sept. lor sept.

1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1 ! -------j-I-I'" 1" RÉGION (NORD-OUEST) Finistère » t » » » » r » » » » » (1) 100 signiife tr-ïà bon, Côtes-du-Nord,. » 55 70 70 » » 85 80 » » 80 - bon.

Morbihan. GO » 70 Il » » » » » Il GO - assezboQ ] Ilc-et- Vilaine. Il Il Il Il » Il Il Il » » 50 — passable.

Manche, 50 70 50 80 » Il 80 80 Il » t^O — m ;rliocra Calvados. » Il » » * Il * » » » 20 — mauvais.

*. Il » M Il Il Orne » » 50 80 » » » » » » Mayenne » 70 »80»» Il » Sarthe » » 50 70 » » » » » » Moyennes 55 65 58 76 » » 82 80 » » 2e RÉGION (NORD) Nord » » » 75 70 » » » Il Pas-de-Calais,. Il » » » » 30 70 Somme. 68 » 65 60 » » 65 05 70 70 Seine-Inférieure. » » » M M Oise Il H » » Il » » Il » Aisne. M » » » •» » » » » » Eure » : » : » : 80 : » : Eure-et-Loir. Il Il » » » Seine-et-Oise » » » » » » » » » » Seine. » Il » >» Il » » » » » Seine-et-Marne » » » » » » » » » Il Moyennes. 68 » 65 60 75 70 72 65 50 70

3e RÉGION (NORD-EST) Ardennes (2) » » » • v Il » » Il » Il (2) Département enMarne * * » » » » n III » yatii par l'ennemi.

Aube » » 80 80 80 60 III Il ! Haute-Marne » » » « 60 60 60 60 60 Meuse » » » » » Il Il 65 75 , Meurthe-et-Moselle » • .» • 65 70 70 70 G5 * Vosges. 80 60 70 80 Belfort (Haut-Ilhin) • » » » • » III » » » Moyennes » » • 68 70 72 G:Î 70 70 Moà,ennes 68 70 72 63 70 '70

4e RÉGION (OUEST) Loire-Inférieure. Il » 60 80 • III 70 80 » Il Maine et-Loire 70 8 ) 70 80 » • » » » » Indre-et Loire.) 50 60 III » 60 60 Il Il Vendée » » >> » • » • » • » Charente-Inférieure » » » » » » » Il Deux-Sèvres » » » »'» » » » ,» » Charente. » » » j » » » » » » Vienne » 80 80 80 » » » » » » Ilaute-Vienne » 60 60 60 » » » » » „ Moyennes. 70 73 64 1 72 » 65 70 Il *

5e RÉGION (CENTRE) Loir-et-Cher *•»•••■•»» , Loiret * • • • « 70 80 » » Yonne * » • • • » Il » , m Indre • • » » • • 70 70 Il » Cher : • » • » • • • H Nièvre » » »•», Il » »» Creuse Il »

Allier ..,,«»••••••••• * * m m Il

A M i e r. C.O 6..0 GO 60 60 80 80 7 })uy-de-Dôme. 60 60 60 60 » » 60 80 80 70 Moyennes 60 60 60 60 » » 67 77 80 70


* LIN - CIIANYRE HOUBLON OSIER TABAC

- - - - -

DEPARTEMENTS ctat des cultures (1), Etat des cultures (1). Etat des culiurcs (1). Etat des cultures (1). Etat des cultures (1). OSER VA TIOXS l«r sept. 1er sept. 1er sept. 1er sept. 1" sept. 1er sept. I" «pt. 1 er Vt. 1er sept. 1er sept.

1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1915. 1916. 1S15. 1916.. 1915.

I -1-1. Be RÉGION (EST) Cûte-d'Or » » » » 50 50 50 60 55 GO ! (i) 100 liplfi#Iris bon.

U.1utc-Saône. » » » » 60 75 70 70 60 60 80 - bon.

Doubs ». » » » It » » « » » » 60 — sssezbon Jura. , 00 70 60 70 80 80 60 80 50 — passable.

Saôsc-ct-Lcire. » » » 80 » » » » » Il 30 - lnhJiocre Loire » » » » » » » » » » 20.- Inauvais.

Rhône.. » » » » » » » » » » Ain. ;. »' » , 60 80 » , » » 80 60 » Hllutc-'Sa"\Í"oie.:. » €0 » » » » » » 80 80 SaVoie." » » » » » » » » » » Isère.,. » » 77 65 » » » » 74 65 Moyennes. CO 75 C6 "74 55 G2 67 72 65 69 W" - 11 1

7* RÉGION (SUD-OUEST) ('P d - -- 1 60 .0 ( ) n' , Gironde. » » » » 60 70 (a) RéecHe eom:nçnDordogne » 75 » 80 » »■ M » ■ 60 70 côe ou terminée.

Lot-et-Garonne » » » » » » » » 60 CO Landes » 60 » » » » » » 60 50 Gers » » 60 » » » » » » » îîas'sos-Pyrénées -. » » » ) » » 70 80 » » Hautes-Pyrénées. 80 » » » » » » » 80 50 Haute-Garonne. » » » » » » » » » » Ariège. (a) (a) (a) (a) » » » » » » Moyennes' 8p 60 80 » » 70 80 64 60 1 j • !. y : r '—; : ■■ ■ : *

* - 8' H.EG-ION' (SITD) S* RÉGION (SUD) carrè7e. .-. CO (b) 60 (b) » (b) 60 (b) 70 (ú) (b) Renseignements antal.,. 50 70 50 70 » » 70 70 » » non fournis par le 'Lot. Il » » J) » » » » 50 70 directeur d s serA. v-eyron. 65 65 65 60 » » 65 » » » \iees agricoles.

Lozère » » » , » » » » » Il)) t Tarn-et-Garonne. » » » » » » » » » » Tarn. » » » » » » » » » Hérault » » » » » » » » » » >\.ude. » » » * » » Il » » Il 1 Pyrénées-Orientales. -. » » » » » » » a a » Moyennes. 58 67 58 III 65 70 60 70

9e R ÉGION (SUD-EST) Haute-Loire » i »- i » » *1 * * * 1 "1 * Ardèche » « ». » » » » a » Drôme — » » *" ) * * a » » » 1 Gard.,. » » » » » » » l' H Vaucluse » » » » » » 80 60 70 60 r - Basses-Alpes » » » » » » » » » » Hautes-Alpes * » » » » » » » » » » Souehes-du-Rhône » » » » » » » » » a Vsr > * * » # » » » » » Alpes-Maritimes. » » » » ,» » » r » 60 , 60.

Alpes-Maritimes. I Moyennes. GO a » » » » » 80 CO 65 60

10e RÉGION

.I 1 1 50 60 Cotpe | »j*| » |» » "] * I Moyennes générales. 63 67 6i 69 65 67 70 71 63 66


Situation d'ensemble de l'état des cultures au 1" septembre 1916.

L------- ------.-- --------_ -- ------ - - ---------------__----_- -------U 1 CHANVRE HOUBLON OSIER TAUAC ----OTE DOXXEE - - - - Nombre de départements l, Nombre de M-parlcmenls Nombre de départements Nombre de départements Nombre de départements correspondait ayant obtenu ayant obtenu ayant obtenu ayant obier.u ayant obtenu la note ci centre. la note ci-contre. la noie ci-conire. la note ci-contre. la coîc ei-centrc.

à l'état de chacune des cultures. 1 —————————————— —————————————— ————————————— ———————————'~—— •« ..,.--- ..- -- ----" En 1916. En 1915. En 1916. En 1915. En 1916. 1 En 1915. En 1916. En 1915. En ÎOÏC- - En 1915. 4 100 » » » » » » » * W à Q. 1 3 19 i i 7 8 3 3 60 à 79. 7 9 13 10 4 5 13 12 15 14 50 à 59 2 1 5 » 1 1 1 » 3 2 30 49 » » » » » * ° * * 30:\49. » 1) * ,. 1 * 0 à 20 » » » * » » » 18 Sans note.!.!.!.!.! 19 22 10 14 3 i 5 6 » » Sans culturc. 57 DO 57 52 77 77 60 59 64 66 S.insrcsultatsconnus. 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 Totaux. 87 87 87 87 87 87 87 1 87 87 87

Cultures diverses

présentant une certaine importance dans quelques départements.

ETAT I>K1 'ARTF.\ÎK\T3 NATURE DES CULTURES OBSERVATIONS des cultures (1).

Ain. , ,. , , Iris de Florence 70 (1) 100 signifi»trèsbeo.

80 - bon.

S Pommes 30 60 - flssezbon Aisne r„„.Frutb », de table Poires 50 50 passible.

, , 30 mèdiorre Alpes Fruits de table (pommes, poires). 50 20 - mauvais.

( Oliviers 5(1 Alpes-Maritimes > Cultures fl ara les. 50 f Cultures maraîchères 50 $Pommes, 'r poires 20 , r. Fruits de ♦ table «*V.7/*j Noix 50 Arrt-vhp Semences fourragères. 30 c , , , .., ')0 IllhVleTS, amandiers. Châtaigniers. , '.: ,. , 60 Arièg^ ! II aricots. , , , , , , , , , 70 1 j Semences fourragères., ,. 75 ( Bcuches-du-nhune. > Oliviers, amandiers () ( Cultures maraîchères 7a Calvados 1 Fruits de table. 50 J barrasin. aCl Fruits de table. 20 Cantal 1 Sarras i n

Lentilles 60 Pois 60 Charente-Inférieure Semences fourragères.,.,.,. 75 Fruits de table (noix) 80 rrvrLorru.c i^n Châtaigniers 80 Corse CuIt ures maraîchères.,.,.. 50 Côle-d'Or Fruits de tables (pêches).,.,.,.,.,.,..,. 20 ( Carottes fourragères. 65 Cites du-Nord ,," ) g Scmences fourragères. , ., 0 - ) p.rraSlI1. ,

t Choux fourragers.. ., ..,. 60 Creuse Fruits de table * 20 î Prunes 30 Dordorne - J ! Fruits 1 UUS de de laDIe table ? Noix 65 Semences fourragères. CO Drùme. , , , ., , , , l Fruits de table. , , , 40 I Fruits de table (pommes, poires},.,.,. 15


1m

ÉTAT DÉPARTEMENTS NATURE DES CUI.TURRS ÉTAT l OBSERVATIONS (les cultures (1).

1 Finistère. Fruits de table (poires) 30 (i) 100 signifie très bon.

80 - bon.

Gers Semences fourragères GO GO - assez bon.

l 50 - passable.

ille et-Vilaine Carottes fourragéres" , , , , , 70 30 - médiocre.

20 - mauvais.

f Carottes fourrageras. GO ndre | Semences fourragères 60 ,'" :> ',.

( Pommes 20 îndre-et Loire I Truits de table } roire3 10 f Semences fourragères.",.,.,.,. 50 Jura. Fruits de table, , ,. ,.,. , ,. , 40

i Loire (Haute-). Fruits de table (pommes, poires; 40 j Loifc-Tnrériclrc., Fruits de table(pom:n2s, poires). 50 j Loiret. Fruits de table.. , , 30 j ot Fruits de table. , , , .., ,., ,. 30 Lot-et-Garonne. Tomates, oignons, , ,.,.,. CO S ÎSiïSïfr.v.v:::::::::::::::::::::: 20 L07L'r" ) Fruits ( POires.,..,.,.,. 40 Lozère , ,., t Châtaigniers. , , , , , , , , , , ,. 40 ! Fruits de table )$ (~FFrrnmitts ~fdipe ttaihbila e. ( p~g Maine-et- Loire. ( Porte-graines go Plantes rncdlclnales.,.,.,.,. ;"" 60 l.Ianche , ., Sarrasin. , , , , , , , ,.. , , , , , , 50 t.larne ., ,. Fruits de table., ,.,.,. 20 Fruits de tablc. 10 wajenae w Semences fourragères , 30 aleurlhe-et-Mosalle, Fruits de table [ Prunes^' P°'reS 10 ) Fr 't5 de table ro:nrnes. 20 Fruitsds table j S™5-;;;:;;;;;:;::;:::;;;::::: g Semences fourragères ; go Morbihan. Choux go flaricots <;0 ,' Sarrasin 3 : I Chicorée à f. - i ( Chicorée à café — — v < ■ FO 1 Nord ) Haricots r,r, ¡ ) Fèves ri ,'; Orne Fruits de table 20 "vl Pois ; 6- -"J Féveroles

( Féveroles 90 Pas-de-Calais j Rutabagas tif) j Fruits de table (pommes, poires; ï>0 ( ïïirî/*Atç 75 Pyrénées (Da::scs-i..," i Fruits de table. ito 1 1 ànoau. /10 Pyrénées 1 HO Pyrénées-Orientales.,.. Cultures maraîchèros 70 itbin (llaut-) Llleltort}., Choux à choucroutc. 90 Sarthe. C h o u f o u r r a g e r s. (,o Sarthe. , Choux fourragers , , , , , , , , , , , (iO eine Cultures mara;chire', 80 j! Fruits de table (à. pé, in;> et à noyau) 50 ( Choux fourragers" , , , , , , , , , ., , ,. :'0 Sèvres (Deux-) J Semences fourragères 20 j Fruits de table,. , , , , , 20 1 0 (Œillette. 70 Somme ? ChI.oree,. 70 Pommes V) j Fruits de ta )le ( j>oirC;; : 15 1 ::' a Vaucluse flarirots 60

, ; Sorgho 60 1 - tVend!e -; llaricotg 60 Vendée Mi 11 et. , , , , , , 75


■*——™~~—■————■ ——-» III.Il M in ,| || , ÉTAT 1 DEPARTEMENTS NATURE DES CULTURES ÉT.IT OBSERVATIONS des cultures (1).

Fruits de table (à pépins et à noyau)., 20 (U100 signifie très bon.

Choux fourragers. 80 80 — bon.

Vienne < Colza, , 30 60 — assez bon, I Carottes. , .,. 30 50 — passable.

[ Cilro uilles. : 50 30 — médiocre. ~-' 1 20 — mauvais.

\ienne (Haute ) ( Fruits de table (pommes: poires) 30 \i. e n n e (,~ tl a u t e- ) j Fruits de table (pommes, 50 Vosges Sarrasin 70 Vosges Sarrasm. 70 -

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS m ET BELLES-LETTRES

Séance du 13 septembre.

PRÉSIDENCE DE M. CIIAVANNES ANCIEN PRÉSIDENT Lecture est donnée du décret autorisant l'Académie à accepter le don qui lui a cte fait par Mme la marquise Arconati-Visconti, d'une rente de 1,000 fr. dans le but de créer le prix triennal Raoul Duseigneur destiné à récompenser les meilleurs ouvrages sur l'art et l'archéologie de l'Espagne.

Le P. Sclieil fait une communication sur.

la prière des morts cliez les Elamites.

il s'agit d'un petit lot de tablettes trouvées dans les tombes susiennes et où chaque formule exprime, soit par la bouche du mort, soit par celle des survivants, des ^uhaits de bonheur pour la vie future.

M. Edmond Pottier lit une note d'un propriétaire de Vendres, M. Félix Mouret, qui a eu la bonne fortune de fouiller à Ensérune, près de Béziers. une nécropole contenant des vases grecs et des vases à décor géométrique dit ibériques.

Cette découverte prouve que le commerce grec pénétrait profondément dans le sud de la Gaule du sixième au troisième siècle avant notre ère.

MM. Salomon Reinach et Babelon insistent, après M. Pottier, sur l'intérêt de cette découverte pour l'histoire de nos antiquités.

nationales.

Le président, au nom de l'Académie, adresse des félicitations à M. Félix Mouret.

Une commission sera prochainement chargée de se rendre sur le terrain des fouilles et de rédiger un rapport détaillé.

M. Babelon présente un ouvrage que S. A. I. le grand duc Georges Michaïlovitch a consacré à l'étude monétaire de l'empire russe et dont Mme Nadine Tacké vient de faire une traduction abrégée. « L'Académie, dit-il, voudra, j'en ai l'assurance, offrir ses remerciements à S. A. I. le grand duc Georges, dont la publication est, en quelque sorte, par la traduction de Mme Tacké, le symbole numismatique de l'alliance politique et militaire de la France et de la Russie, glorieusement unies pour revendiquer la liberté des peuples et refouler le pangermanisme. »

Sur la proposition du président, .l'Académie décide que des remerciements seront ,adressés à l'auteur.

J.-B. MISPOULET.

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ACADÉMIE DES SCIENCES morales et politiques.

Séance du 16 septembre.

PRÉSIDENCE DE M. HENRI JOLY M. H. Welschinger présente de la part de l'auteur, Mlle Sturzenegger, un ouvrage intitulé La Serbie en guerre (/914-1916), épisodes vécus et illustrés de 120 photographies par une Suissesse au service de la Croix-Rouge.

M. E. Boutroux présente, de la part de la part de M. Xénopol, membre associé de l'Académie, l'Histoire des Roumains de Transylvanie et de Hongrie, en deux volumes, par M. N. Iorga, professeur à l'université de Bucarest. Il présente ensuite deux brochures de M, Giorgio Del YcccIlio, professeur à l'université de Bologne : 1° Les raisons morales de la guerre italienne; 2° Des caractères fondamentaux de la philosophie politique de Rousseau.

M. A. Chuquet lit la première partie d'une étude sur l'assassinat de Marat. Il montre comment Charlotte Corday partit de Caen, son arrivée à Paris, ses entretiens avec Deperret, l'achat du couteau qui devait tuer Marat. Il décrit ensuite la maison où l'ami du peuple demeurait avec son amie, Simonne Evrard.

J.-B. MISPOULET.

.— » »

ACADÉMIE FRANÇAISE

Séance du 14 septembre.

PRÉSIDENCE DE M. RENÉ DOCMIC, DIRECTEUR La séance est. consacrée aux travaux du dictionnaire.

J.-B. MISPOULET.

ACADÉMIE DES BEAUX-ARTS

Séance du 16 septembre.

PRÉSIDENCE DE M. WALTXEIl

La séance est consacrée à l'examen des affaires courantes.

J.-B. MrsPoliLET.

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ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 12 septembre 1916.

PRÉSIDENCE DE M. CH. MONOD Lecture est donnée par M. le secrétaire perpétuel du télégramme ci-après : « Athènes, 11 septembre 10*0. — L'association hellène *les anciens élèves de médecine de France, fidèle et reconnaissante à ce glorieux pays, suit, avec une attention émue et palpitante ses superbes efforts et à l'occasion de l'anniversaire de la magnifique bataille de la Marne, fait des vœux ardents pour sa victoire complète qui sera également celle de l'humanité. L'association vous prie d'être l'interprète de ses sentiments auprès du corps médical français et de vouloir bien transmettre à M. le Prési-

dent de la République, à M. lo président du conseil et au généralissime l'expression de son respectueux attachement et l'assurance de son inébranlable conviction du triompha final. »

L'Académie accueille ce télégramme par d'unanimes applaudissements et adresse ses remerciements à l'association hcHèno des anciens élèves de médecine de France.

Prévention du tétanos par le sérum antitétanique. — A propos de la communication faite sur ce sujet par M. Vaillard, à la dernière séance, M. Netter rapporte les excellents résultats que rendent aux Etats-Unis les injections de sérum antitétanique.

Au cours des réjouissances qui ont lieis chaque année à l'occasion de la fête nationale, plusieurs milliers de citoyens sont communément blessés par l'usage abusif de tirs de cartouches à blanc, de feux d'artifice, etc. En 1903, sur 4,449 citoyens blessés, il y eut 417 cas de tétanos ; six ans plus tard, en 1909, alors que la pratique des injections de sérum antitétanique eut été introduite, un nombre plus élevé de bles'sés donna seulement 150 cas de tétanos.

Depuis, du reste, les cas ont été sans cesse diminuant pour tomber à zéro cette année.

M. Capitan insiste, d'après son expérience personnelle depuis le début de la guerre sur les avantages des injections à très hautes doses. Il estime que la dose de 20 centimètres cubes à titre préservatif devrait dans les.

blessures graves et infectées ou lorsqu'i reste des projectiles dans les tissus, être portée à 3) où 40 centimètres cubes, dose pouvant être répétée au besoin.

M. Kirmisson rapporte un cas de tétanos tardif survenu trois mois et demi après la blessure, à propos.de l'intervention Décès-


sitée par l'ablation du projectile ; la guérïson a été obtenue par des injections de sérum à hautes doses.

Lutte contre les moustiques. — On assiste , en ce moment en France à des tentatives de réveil du paludisme, ce qui s'explique aisément, d'après les observations rapportées par M. R. Wurtz, parle grand nombre de porteurs de germes amenés en France depuis le début de la guerre ; que l'un de ces porteurs de germes séjourne dans une localité à anophèles et y soit piqué au moment d'un accès, voilà une épidémie de fièvres intermittentes rendue possible.

Ayant fait officieusement une enquête sur une invasion de moustiques sévissant dans l'un des arrondissements de Paris, il a pu constater que, depuis un quart de siècle environ, le nombre de ces insectes a augmenté à Paris, tout au moins dans certains quartiers. Le fait a été constaté par nombre d'autres observateurs. Il paraît dtî à l'inexécution des mesures prescrites pour la destruction des larves de moustiques dans les pièces d'eau; les bassins, chénaux, gouttières ou récipients quelconques contenant des eaux stagnantes ; il est*également plus que probable que les bassins de chasse des water-closets et les siphons dans les appartements inoccupés donnent la clé du problème ; dans ce cas, le remède sera facile ; il faudra faire jouer les chasses d'eau de temps à autre.

Passant ensuite à l'examen des règlements applicables à cette question, RI. Wurtz propose à i'Académie, qui l'approuve, d'émettre .un vœu que les pouvoirs donnés âux autorités sanitaires pour la prophylaxie des épidémies soient étendus à la recherche et à la destruction des moustiques; ces pouvoirs doivent comprendre le droit de visiter les immeubles et de prescrire les mesures nécessaires.

Surdités par obusite. — Sous le nom d'obusite; M. Je docteur Ranjard désigne un ensemble de troubles, les uns organiques, les autres fonctionnels, consécutifs à l'explosion d'un obus à proximité du sujet atteint.

Les différents phénomènes d'audition morbide caractérisant l'obusite peuvent exister chacun isolément,, mais le plus souventils sont combinés en partie ou en totalité, ou associés à d'autres accidents de même cause. La surdité par obusite est donc très complexe et son diagnostic exact, de l'avis de M. Ranjard, ne peut être fait qu'à l'aide d'un acoumètre précis comme la sirène à voyelles de M. Marage.

Ce diagnostic précis est du reste d'une Extrême importance à établir puisqu'il permet de distinguer les surdités névropathiques relevant de la psychothérapie des surdités organiques qui, dans la grande majorité des cas, sont justiciables de la rééducation, et aussi parce qu'il permet de connaître exactement la nature et le degré d'une surdité, et ainsi d'évaluer, quand elle persisté dans'partie ou totalité de ses facteurs, L'invalidité définitive du blessé et le taux de la pension à laquelle il a droit.

Utilité des interrupteurs lenls en radioscopie. — D'après M. le docteur A. ,limer-.

mann, il deyieat possible, par l'usage des interrupteurs lents, de réduire l'action norive du rayonnement ; par suite, il y a lieu ie demander aux constructeurs, des appa-v

reils permettant de régler les vitesses des interrupteurs jusqu'au minimum imposé par la persistance des images lumineuses sur la rétine.

1 Dr A.-J. MARTIN.

BULLETIN AGRICOLE & COMMERCIAL

Blés.

On cote, gare de départ. Aisne, Oise, Loiret, Eure-et-Loir, Touraine, Vienne, 33 fr. 50 à 34 fr. ; Marne, Yonne. Seine-et-Marne, 33 fr. 50 à 33 fr. 75 : Nièvre, Allier, Cher, 34 fr. ; DeuxSèvres, Vendée, 33 fr. 50; Sarthe et Mayenne, 33 fr. 50 (nominal) ; llle-et-Vilaine, -Loire-lnférieure, 33 fr. 15 à 33 fr. 50 ; Côtes-du-Nord et Morbihan, 33 fr.

Blés étrangers.— Le disponible à ÑewYofk a fléchi depuis huit jours de 0 fr. 60 au quintal.

On cote en caf dans nos ports: Australie flottant 46 fr. à 47 fr., Walla Bluestein tlattant 45 fr. à 46 fr., Manitoba no 1 août-septembre 46 fr, à 47 fr., no 2 45 fr. 50 à 46 ir. 50, Hardwinter n° 2 août-septembre 44 fr. à 43 fr.

Plata 78 kilogr., septembre 45 fr. à 4G fr.

Farines.

.Par application de la loi du 29 juillet dernier, le prix des farines dans tous les départements ne peut dépasser 4 i fr. UO les 100 kilogr. nets rendus en boulangerie.

Dans le camp retranché de Paris, la cote est maintenue à 6o fr. les 157 kilogr. ou 41 fr. 40 les 100 kilogr. nets. Ce prix s'entend de la farine rendue ou logée, en toiles facturées et reprises au même prix.

Seigles.

La distillerie et la minoterie, payent de 32 fr. 75 à 33 fr. Les seigles de l'Aube et de la Marne, départ, mêmes prix pour ceuxdetTonna, du Cher, du Loiret, en marchandise disponible et livrable, On a payé 33 fr. en provenances de l'Oise et de la Somme et de 32 fr. à 32 fr. 50 en provenances de Bretagne.

Avoines.

On cote 29 fr. le quintal rendu Paris en grises de Beauce et de laBrie. Au départ, il y a vendeurs en grises de Beauce, Eure et Brie, de 28.50 à 28.75: en noires du Centre à 28.75 ; en noires de l'Yonne. 28.25 à 28.50; én jaunes blanches de l'Oise, Somme et Eure, 28.50; en blanches de la llaute-Saône et de la HauteMarne, 28.75; en grises du Poitou et du Centre, 29.'75 et 30; en grises de Bretagne, t8. 25 à 2,50; en bigarrées de Bretagne, 28.25 à 28.35.

Orges.

On cote Champagne 36 à 36.25 : Sarthe et Mayenne, 36 à 36.25 ; Beauce, Gatinais, 36.50 à 36.75; Berry, 36 à 36.25; Poitou, Charente 36 à 36.25 ; Bretagne, 33.25 à 33;50.

Mai's.

On tient à Paris 31 et 35 fr.; en délivré on cote au Havre, jaune Plata octobre 33.50,5 d'octobro 38.25, Indo-Chine tararé 36.75 logé; à Bordeaux, les prix restent irréguliers. Ea caf on cote dans nos ports : Plata flottant 33.75 à 34.50, septembre-octobre 33.75à 35, octobre-novembre 34.25 à 35.25, bigarré d'Amérique- septembre 32.50 à 34 ; Indo Chine 33 à 34.

Pailles et fourrages.

Marchés de la Chapelle et de Montrouge. — On cotA:

- - - --- 1er choix. 2. choix.

- Paille da lé. 70 à 72 65 à 68 Paille d'avoine ;. 56 à 53 52 à 55 Paille de seigle. 42 à 45 * 1) Luzerne ; 77 à 85 72 à 75 Foin 80 à 85 75 à 78 Regain de luzerne. 76 à 85 » a

Ces prix s'entendent aux 104 bottes de 5 kilogr.

environ, livraison dans Paris, au domicile de

l'acheteur, frais de camionnage et droits d'entrée compris ; 6 fr. par foins et fourrages secs; 2 fr. 40 pour la paille. Pourboire: 1 fr. par 100 kilogr.

Sucres.

Sucres raffinés. Taxe des prix de vente en gros du sucre : 1° Cristallisé ou granulé, les 100 kilogr. 78 60 2° Sucre en pains. 118 » 30 Sucre cassé rangé, en carton, caisses ou paquets de 5 kilogr. ou plus.. 121 50 4° Sucre cassé, rangé, en boîtes, carton ou paquets, i kilogr. au moins i majoration de 1 fr. 75 par 100 Idlogr. sur les cartons, caisses ou paquets de 5 kilogr.

et plus, soit 123 25 5° Morceaux irréguliers, gros et petits déchets. 116 * Comptant, pour marchandise prise dans les fabriques, raffineries ou entrepôts : non com pris: 1° l'emballage, ni le droit de douane (6 fr. par 100 kilogr.) applicable aux sucres étrangers, ni la tqxe de raffinage (2 fr. par 400 kilogr.) applicable aux sucres.' granulé?, ni le droit de consommation (25 fr, par 100 kilogr.) le prix

de vente des sucres blancs de canne provenant des colonies françaises ne devra pas dépasser le prix ci-dessus fixé pour les granulés étrangers, y compris le droit de douane; 2°, 30,4° et 5, non compris le droit de raffinage (2 fr.

par 100 kilogr.) et le droit de surveillance (8 centimes par 100 kilogr.). Pour les sucres raffinés, cassés et rangés en carton, caisses ou en paquets fabriqués par les raffineries de Nantes, de Bordeaux, les prix peuvent être majorés d'une somme égale au transport de ces places à Paris, sans que cette majoration puisse dépasser 3 fr. par ll'O kilogr.

Prix de vente au détail du sucre, fixés par le comité consultatif, pour le département de la Seine:

Sucre cristallisé ou granulé., le kilogr. 1 20 Sucre en pain" , , , , ,. , , ., 1 25 Sucre irrégulier. * 125 Sucre raffiné à la mécanique.. , ,. ,. 1 30 Sucre raffiné enpoudre. 1 30 Sucre .raffiné de cannc.,. 1 35

Huilss.

Huile..d'olive comestible. — Marseille. - On cote : Bouches-du-Rhône surfine 200 fr.; Var extra 185 à 190 fr.; surfine 175 à 180 fr.; fine 170 fr.; Algérie surfine 170 à 172 fr.; mi-fine 160 à 165 fr.; Tunis surfine 167 à 172 fr.; Monastir surfine 169 à 172 fr.; Medhia 168 àl72fr.; Sousse surfine 169 à 172 fr.: Sfax surfine 173 à 176 Cr!; Andalousie surfine 170 à 175 fr.; fine 160 à 165 fr.; Borias extra 18) à 183 fr.; surfine 175 fr.; Aragon surfine 180 à 185 fr.; les 103 kilogrammes en entrepôt da douane fûts perdus pour les provenances d'Italie, d'Espagne et du Levant, fûts à rendre pour les autres provenances.

BUREAU CENTRAL MÉTÉOROLOGIQUE ÉTAT GÉNÉRAL DE L'ATMOSPHÈRE

Lundi 18 septembre.

Des pluies sont tombées sur le nord et l'ouest de l'Europe ; en France, on a recueilli 16m/m d'eau S Calais, 15 àDunkerque, 2 à Paris, le Havre, 1 à Cherbourg; ce matin, lo temps est couvert, pluvieux dans le Nord et l'Est, nuageux, brumeux dans les autres régions.

La température a monté sur nos régions du Nord ; le thermomètre marquait ce matin 4° aù ballon de Servance, 7° à Clermont-Ferrand, 80 à Bordeaux, 9° à Besançon, 12° à. Paris, 14° à Marseille, 150 à Brest, 16° à Cherbourg, 200 à Lisbonne, 21° à Alger. En France, le temps va rester nuageux avec température voisine de la normale. Des pluies sont probables, principalement dans le

le Nord et l'Est.

A Paris, hier, nuageux; ce matin, pluie ; au parc Saint-Maur, la température moyenne, ll°4, a été inférieure de3°l à la normale "(14°5) ; depuis hier, température : maximum 17°, minimum 7°. A la tour Eiffel : maximum 17°, mi- nimum 10°.

Imprimerie, 31, quai Voltaire, Paris 7*.

- Le direclettr des Journaux offlçiéltt G. GAJytfàs.


EXTRAIT DU COURS AUTHENTIQUE DE LA BOURSE

1 > TERME jflïlSS. Lundi 18 Septembre AU COMPTANT Oratm i e IjJtJol. - : rONDS D'ÉTAT FRANÇAIS Ort. 16 3 9/0 îi'* *' cet. il l rom esses d'inscriptions 3 .1 ,.

Juiii 16 3 0/0 araort. (r. 500' p. coup. de Juill.lb V\h lf>f dc de 1S78 a 1953)i 74» «1r 6 A4oaû,h t 3 1/8 * 0/0 an-orl. (r. a 200 fr.

p f0p de 7 fr. du i"îde 1915 a 1939) au coniptiiii oor 25 o.

M\oùt do 1. payé dep. Ici" te'r. 1915.

«*\oiH R% (au comptant) 90 «AAAIU Obligations4%19l2-l3-l4desGheAoût. Anrtt mins do fer de l'Elat, r. a 500r- ?..50.

Bons du Trésor.. , ,

Obligations du Trésor.

FONDS GARANTIS -.

par le iouïsrnement français.

Ob'ig. i«aiuennes3% l892(Uit. et 33s roftO jBiiiet. amort. s»r. par le franç.).

Empr.2 duProt. de l'AnnamAoui. Tonkin. Obi. reinb. a 100 fr.

'al Colon, de Madagascar. Obi. 2 -

M. a' 1897, r. an p. (inl. et am. gar.).

.I d- 3 1903-1905, obi. 500 fr., >~c:.«. epi. renib. au pair. (Gar. Etatfran;.).

Gonv. gén. de l'Afrique owid. f". 3'1 Antl *»r:i • Kmp.3%19ÛÏ-07-10.0b.500',r.p. 3i1.

Gouyern. Gen. du Congo b rançais.

Emp. 3% 1909 Obi. 500* remb.

an pair (int. et aaiort. garantis).

Avril Gouvern. général do l'Indo-Chine. -.

• • Emp.3%19090b.509rr. aupair.

d° d" 3 >4% 1913. Obi. 500 fr. 391

S„ ept, remb. au pair 391

GOUT. dn Maroc. Empr. 4 19U.

Juin obi. 500f. r. au p. (int. et aiu. g.) 'U.

EMPRUNTS DE COLONIES 1. Gouvernement Gén1 de l'Algérie.

juillet.. Kmp.3%1902.0b. r. ;-,(J()! , t. p.

, Gouv. sén. de l'Indo-Chine. Krap.

Mai •••. des Chemins de fer Obi. 3 1899 et 1905, remb. à 500 fr.. )Ali (5° 3 1902, rembours. fI'. ., Mai. Gouvernement Tunisien. Emprunts 3%100'-07.0bl.rcDlb.fr. Aout. EMPRUNTS DE TFILLES /Obi. 18654%, r.500f-, t. paré. O.

J :I. d® 18713%,r.400f.,t.payc. 368

Jmrct.. <;• quarts 3 %, r. 100 fr. 101 50

juillet.. d" 1875 4%, r. 5901., t. payé. 49150 Avril.. d° 1876 4%, r. 500 f, t. payé. *90 Avril • • d® 1892 2 'i %, r. 400 f., t. p. 257 M a. do do quarts, 1. 100 f., t. P.

Mai d» 1894-96 2'-4 %, r.400t, t. p. 255 Mai. d« ri® quarts, remb. 109 fr. 6Sr Mai. d» 1S9S 2 %, r. 500 fr., t. p. 318 Sept. I ().• d" quatr-1- remb. 125 fr.

Sept. cû I d° 1859 2 %• Métropolitain), «/ remb. 500 fr.. tout pay"é. - 305 Sept. a-, d" quarts, r. 125 fr , t. p. 7i' 1

Avril., |j 4. i9042Vt%(Mélr«çolitain\ >1 remb. 500 fr., \out payé. 31:1.

Avril.. do d° 5",e',remb. 100f.,t.». ti;'.,.

Sept.. do 1905 2 4001., t. p. 325 sept. d> d» qrarts, r. 100 f., t. p. 75r.

Mai. 19102 (Métropol.), <) r) obi. 400 f-. t. p., r. 430 f. 8:.

Mai. do do demtes2Wt.p.,).2i~

Août. à. 1910 3 %, r. 491) fr., t. p. 280

Août. a® d® quarts, r. ICO f., t. p. (S8f50 AOi!t. deHH23%,.300f,t.paye. .; Août.. vntMars.e:.[cl8773%,['.400',t.p.

VALEURS FRKHÇAISES ¡ni.n. Banque .le Frnre(nom.),:J(':t.f()()()t :.

Mt' banque dc l'Algérie, act. 500r, t.p. ■

Avril ! Banque de Paris et des Pays-Bas,

jNRt. JI act. 500 fr., t. p. (ex-coùp. 85) Juili- 14 Banqne Transatlantique, actions de 250 fr., 1. paTé (vx-e. 55) Juin. o Alger*, a. 500e, t. p. (ex-e. 73) !•••?

Aodl. Comptoir National d'Escompte de Paris, act. 500f, t. p. (ex-r. 41) Jnill. 16 Crédit foncier d'Algérie et de Tuni-

sie, act. 500 f., t. p. (ex-l', Hi). ,.

Jnill. 16 d a.2591 p. (Mm.) fonip

Juillet.. Aetions 500 fr., 1. p. (coniin.) "t bl "'(\ ,.,,"11\ 01 ::.NI, ",Sept. Obl.comm.79,2f60%, r.500f • 435 Mars. - 5"1", remb. 100 fr. 95', Mai. d* A»nc- 793%, r. 50fK, t. p. 4(30 Sept. d° coram.80 3%,r.500r,t. p. 458 Juillet.. ë do fonc. 833%,r.!)OOl,t.p.

Avril.2 do fonc.2'60%,r.5OO',t.p. i.

Octobre d' d* 5" r. 100 fr., t. p.

Avril.. S ! d* eomm.91 3%,r.400f ,t-.p. 300 Juillets d' eomm.922*60%,r.500',t.p Juin d- fonc- 952*80%, r. 500', t. p.

Jum. ë Id 3!;8

Aof t 'Z i d" fonc. 190ÎÎ3 %,r.500f, t.p. 378 Seul ;::: d" comm.l90ï>3%,r.5<X)f ,t.p Août. igf d» fone.l9H9 3%,r.250f,t.p. 201 Juin. £ d° com.l9123%,r.250r,t.p. 1!1i.

Mai. d» fonc.l9133>;%,r.5QGM.p. 395 iiù. d* d* 19134%, r.500', t.p. 4:>0 Bons 100*, lots. 87, au porteur..!

liejîb logr, lois, 88, au porteur. ,.,

'1 1 TKRME ¡ JCnss. Lundi 18 Septembre jlv COMPTAXT I G¡,ltra,I¡,n,J j il lirtiiJatb:?. :

Aoûl.. Obi. Hanque lî*foîbéî. iîe France, retub. l(XiO f., toat Sepl. d® 3% 1881, r.5»0f., toutpa.vc.

Ao&l Cr.Franeo-lÎKyp.a.lWt.p.cx-e.»1. •«»* Mai. Crédit Ind. et Csmmerr, (Sor. Gca. 63') de), act. 500 f., 125 f-P-(nom.\

Mai 1 t. Soc. Marseillaise dc Crédit ind. et rem. etc., act. 500 f , t. Fa.v"iMars. C.réd.I,vonnaisIa.500f,t.p.'ex-r..i9\

.lui!!. 14 Créd.Mob.Fr.a.500',t.p.(cï-c.i7). 3aa 355

Juiu. Société Foncière Lyonnaise, act.

500 fr., t. p. (ex coup. 42). Jui¡:et.. Soc. Gén. p'dérelop.dufomm. et de l'induit., a. r,oor 25O'p.( BON.).

Janr.H Banque française y le commerce etrii,.drislrie,a.250', .p. (cx-c.lG!.

Juillet.. Banque de l'Union Parisienne, ac- i\

lions 500 fr., t. payé (ci-c. 20). "w

Rente fcûcii*rc,3.5Ô0,,t.p.;ex c.35'.

Mail!., IMne-Gcelma et prolong", a. 5O(Jf

t. p.. r. à Ç«)' (Car. de l'E ta l)

Aoii. d" nb'.3%, r. 5col (gar. KtatK • » Arri!.. Départementaux ,'C;t de ch. dc fer), t.500 f., 300f. [).( ex c. 52).

Avril.. cb!. 3%, r.500' (gar. ) ,bleus.

Avril d* d» rouges.

Mai. Economiques 'Soc. Gén. des ch. dc fc)\ obi. 3 %, r. 500 fr.

Mai. Est-Algérien, act. 500 f., t. p. (?a- ,¡) rsr.tie de l'Etat) (ex-e.80).

Juiiltt.. d" cb!.3%,r.500f.(gar. Eut). 3i> Mai. Est,net.500f-,t.p.(ex-coup. 117). J0)'[. !.

Mai d® set. tiejouiss. (cx-coup. Ci). 'i') Juin. d® obi. 1852-54-56 5%, r. a fû»!/. • ; Avril.. fi' d" 4% r.IMOf. (gar. de PK'.sV:. L âO Juin. d" d'3%, remb. 500 fr. (d-). ;i:w r ou v - r. d-)

Sent ('" d1 3% r.ouv. r. 590 f- (d*)

Juillet.. d° d" 2*; %, r. 501) fr. id') 'Jli

Juillet.. d° d" Antennes 3%. r. 500 fr.. .„

Avril.. Obi. Gr.-Ce'niure 3%, r. 500fr. 1 (gar. Kst, Ljoni Nord,Or!.).

M a i. Lyon et à la Méditerranée (Paris i\

s» t. 500 f-, t- p. (ex-e. 117}. 1050 Mai. d' Ait-tic JOUiSS. (ex-c. 17).

Avril.. d' Oblig. Paris-Lyon 1855 ?,%, ¡ remb. 500fr. {Gar. Etat). t.

Juillet.. do do BoBrlionnais3%, r.500ff. t ,(,aranllc de t'Etal) j

Jui1!ct.. d, d, Daitpliiré 3 r. 500 fr. (Garantie de l'Etat) 1 :.

Avril d* d, Dowbcs et Sud-Est 1 rcmb.SOOfr. (Car. Ktaî).. !

Avril do do Dombcs et Sud-Est 3 %, nouv., r/jOS/iGar. Elit). %,| juillet.. d® d® Genève 1855 et 1857 3 %, !

remb. 50!) f. (Gar. Etal).

Avril d® d® Méditerranée 5%, remb. à 625 fr. (fîar. de î'Ktrst).

Juillet.. d" d® d® 1852-1855 3%, remb. a 500 fr. (.;a,. de i'Etat). j Juillet.. ! d® d® Paris--Lyon-Méditerranée, l' 3 %, fusion, r. 509' (G. Etat). 33 :

iiri.:: d" d" d-> 3%, f"ii^r.5J0r (d®!. 337 r Mai. d* i® d° y12%,r.50(irr. (d"). I

Avril.. d" d-* Vict'-Hni118623%.50Of j (iritor'gar. par France et Italie).

Juillet.. Midi.act."de500', t.p. (ex-c. 122). * oo.

Juillet.. d® act. de jouissance (ex-c. i5). 4'*<> ; Juillet.. d® obi. 3%, r. 51,0 f. (Gar. Klat). <>i;> i¡!J oo.

Avril.. d® d® 3%, 11. r. 50!) f. (d1) o'J'J Mai. d. d* 2)4 %, r. 500 f. (11").oo ., Juillet.. Kord,a.;Wlib.,r.400t(ex-c.l205. I 1 i 0 Juillet.. d* art. de jouiss. (ex-coup. 120). j ,;:»9 ç '1' o., -.N) , r ') 0 Sept d" obi. 5 %, sér. K, r. a 599 fr. 452 ;0 Juillet.. d" d° 4 %, sér. D, r. à 50J fr. 4'5 Juillet.. d° oblig. 3 %, remb. a 500 fr.. 3:0 dl rerrb. 350 dûbl 2 K %, série C, r. aoo t'r. .oo

Avril.. d® d" Nord-Est franca s3%, renib. 500 fr. (intérêt garanti). •

Avri' Orléans,act. 500*,t. p. ( ex-c. 128)..

Avril i d" act. rie jouiss. 'ex-coup. Ix'S!.

Juillet.. d® obi. 3 %, r. 500* (Gar. Etat). 3" >:>

Aui;.. do d' 188i:J%. l'. [iOOf(}. Etal). ZfJoo. .oo

Avril. do do T;4% 1895, r. 500f(G.Et.).

1 Juillet.. «i® d® Grand-Central 13.5 3 %, reiiib.

Avril.. j Ouest, art. 599 fr., t. p. (en lii|.j. 715 Avril 1 d® set. de jouiss. (CX-f(}U. 51. :,;)0. oo.

Juillet.. ! d® cbl. 3%. r.500f. (Gar. Etat). 351 Avril.. I d® d» 3% nouv.,r. 590!'. (,1.'). 3it.

Avril.. ; d® d® 2 S %,r.500fr. !.;").

Juillet.. igerien de act. f., r. 600 f. (Gar. Ktatj ('P;'" d o.b!.%, ;:ar. (d") .! 2;VJ 1.

Juillet.. | L,aBéuRioniGb.def.etPt),o'a.3%, i r.59û'l,inl.ctamort. gar. p. l'Etat!

I Juill. • i j .Sod de la France, a-SOd*, t.p. (Gar.

Etat ou départ") (ex-coup. 31).

Avril.. ! do ob!. 3%, r. 500 f. (Gar. Etat).

Avril.. i Chem. de fer de Fin do Chine et du l, t Ymu¡an,ob.pr.3%,r.Soor(/;3T.). 326

Avril.. Dotks et Entrepôts' de Marseille,

1 act. 500 fr., t. p. (ex-coup. 85). 469 • ,.

Août. Entrepôts et Magasins généraux de Paris, aet. SfXK, t. p. (ex-e. 62). S83 ••• •« JB:U. i Eaux (C" Générale des), actions 1 de 500 fr., t. p. (ei-coopon 83}


; 1 1 TERME 1 jouisi. Lundi 18 Septembre AU COMPTANT Çp&aïkw it liçiliiatioj'

- Hiai Ci- rén. du Ga* pow la France et 1 J'élran',a.5O(f,t.r.(e:x-c.65).

Juill. O Générale Transatlantique, ac-

tiens 159 fr., t. p. (ex-coup.91). 194 53 ».

Jail!,.. 6? act.pnorité,150',t:p.(ex-c.l0)

Juin Messageries Maritimes, act. 250% tout pavé (ex-coupon 3) 132 Juin. d" ac:.pr:ortte,%y,t.p.(ex-e.3).

Sept. Métropolitain de l'aris(Ch.de fer), aet. 250 fr., t. payé (ex-c. 15)

act. fr. i~aris (Chém. de fer ■Juill. Nord-Sud de Paris (Chern. de fer - , clcctr.sout.),a.25(K,t.p.(çx-c.8). 1^4 75 ..;

Juill. Omnibus de Paris (Cie Gen. des), actions 500 fr., tout payé.,. 433 •• Juill. do ac\.de;ou¡ssanc{ex-eo\tp.).

Déc. Omnium Lyonnais de chem. de fer cl tramways, act. 100 fr., t. p.

Juin. Sof. l'a risienac p. l'industriedesca.

de fer et tramw.élcct.,3.250*,t.p »

Juin. Tram.c!crEst-Parisien,a.iOOr,tip. ».—

Idai. Tramwavs (Cie Gén. française de), act.SÔOf., t. payé {ex-coup* TT'. 415

Ma i D Gén. Parisien e de Mai C" Gén. Parisienne deT*aMways,

act. 250 fr., t. payé (ex-c. 14). ••• Juill. Voitures à Paris (G,e Genér. des), act.S^, t.p., r.500t(ex-c.7i). 207 Juin. C1<,d'Aguilas.a.l25t, t.p.(ex-c.l7). 72* Céc— Electro-Métallurgie de Dives, act.

500 fr., t. paye (ex-coupon 19). 8JO

Juin Maltidano (Mines de), art. de jouissance (ci-coupon 13). oo.

Déc. Métaux (Cte française des), actions de 500 fr., t. p. (cx-r.oupon23).

Juill. Pe¡:arro).a (Soc. Minière et Métallurg.de), a. 250f, t. p. (cx-c. 33). 1890 .,

Dée. Sils gemmes et Houilles de Russie mérid.,act.250f.,t. p.(ex-c.l8). 335.

Cariai de Panama (Soc. etv. prfamt des obl.à lots du),obi.et bons à lois, 112 ?.

Juill. Canal Maritime de Suez, actions 500 fr., tout payé (ex-e. lia)

JniH. d» Actionsdejouiss.(ex-e.77). 3».

Juill. d, Parts de fondai. (cx-c. 77)

Juilt. Suez (Sec. riv. prrecouvr. des 15% attrib. au gouv.égyp.(ex-c. 57). 2850. : , liai. Dynamite (Soc. centrale de), act.

500 fr , tout payé (ex-conp.43). 790 * oo.

Déc— Etablissements Orosdi-Back, actions 100 fr., t. payé (ex-c. 35).

Déc. Au Printemps (Laguionie et Cie), Déc. act. ord., 150 fr., t. p. (cx-c. 10) d"aft.priv;t.,150',t.p.(ex-e.i0)

Juill. proc. Thomson-Houston (Cte f.. jlr rexp!.de:;),a.500f.,Lp.(ex-e.26'n

Déc. Raffinerie et Sucrerie Say, actions 200 fr., loutrayé(ex-roup.18).u .oo

Janv. -Société industrielle des Télépho-

nes, a. 300f, t. p. (ex-coup. 22). 355

rCNDS D'ÉTATS ÉTRANGERS Juill. Angletcrrc2%% C. 100 £ capital.

) G. 200 £ — C.MO;e - *

Argentine - .-.oo.

Jtiill. Argentine 5%, 1SM.

Juill. remboursable à 5OOfr.,., .oo

d* d* 5%, 1886,remb.500fr

Coup. de 5 oblig

Juill. a., 4 1893 G. 1000 £ capit (Rescision) C 5M - .u-.

A. vril.. (neg.ch. fixe25') G. 100 £ —

Al.. d* 4%1900,rmb.àSOOfr.u. Juin. d. 5% Uitér. orl9OT, r.500f. 475

Avril.. Autriche 1876-77-78 79-80-92 4% v

— oi (n.ch.ti.2t50).QbL8fl. rente.

.L. d" Oblig. de 40 If. rente ;.

e. ;

Juill. g do Rente .uD!f.: Ob. Sœnr. :

.- :: ~, U.% cour.,jouis. — 80 — *-i ) ianv.-juillet. —800 = ::::::::::::::::::::::: ::::: :.:: :: Mai. -g -s ■ il» d" jouiss. Ob.Stoar.f

gtm( f mai-uov. — 80 — ::: t mai-11°" -800 - :::::::::::::::::::::: ::::: ::: :: Mars-.. ON Chcm. Aulrich.-Hongr., r.- à 500e, 3 ane. réseau, n°» 1 à 803083 (1 re hyp.

%Tars. d» nn»803084à 9504^(2ehyp.); Mai».,.. d* n"950487àil38938(4«brp.).

Mars. d* 3 nouveau réseau (s1* A), n'" 1 à 425000 (l'e hyp.)

AoUt. d» Oblig. 4

Aobt. Juill. ncjque2 %: C'onp. 5fr. rente.

- 25 fr. — .; Juill. 4" 3% 1895 98 0.300* rente. !

et 4905, lre série. C.150* - C. 60f -

C. 3Qr - ,

d" 3%1873-78- C 300<ren<e.

95 98-190105091 C.150* - .:.

n::: 2* série. G. 60*

Q JQf fit. el" 3%189j-98. C.30Crente. !!!!." 3eîérie. G. 66' — ::1 C 30* — :.

JaUt. Bcrne{EUtdc),3% 1895. r.pair. .1' JotU. d» 3%1897. *

Afftt

Juin. Brésil4% 1883. ObLlOÔÛCcap»

ObL M — .J.

Arril. <• 4 1888.. OW.1ÛOO £ — - (n.c.f.25*30). OM. Sflte — J

ili.. fr 1% 1889. ON. 500 £ -

("Jlc.f.23'20). ObI. 109£ ,.

| T E It , JOCISS. Lundi 18 Septembre AU COMPTAS?" ç?INSRI h;urb,,! ATril.. : --.. -----..

Tri ",1 e$1¡ ?" .aI":,,: eap ',.. ,..

(FuBding.) C.îft) £ — 1 1 ■fn.<-f.25r20V C. 20t | Juitl. d, 5 1908-1909. Obi. 25 f. r»' i ! ! ! Août. d" 5%19^PernainbnioWf.500r. - j ::::: Juill. Bulgarie, 5 1836, remboursable ¡ à 503 fr ; 1..

Sept. d" 5 or 1902 (gagé snrJes |

droits des tabacs), remb. 50Of. ! I , M a l. d" '5% orI0ÎV4, ieaib.'â 5fX) î. ■■ ■ !

Août. d1 1% %or 1907, remb.500f. 500.. I ;;; Aoùt. * (I.=: ':. :: Juill. Chine 4 or 189j, remb. an pair. 91.75

Sept-. d" 5% or JS02, rerr.b.à50l)rr.

,

Juill. d' 5% cr 1903, rcaib.à500fr m\\

Avril.. d" 1900, 5 jusqu'en 1923, 4 ensuite, obi.$} £ , t. p.

.., Congo" (Ktat du). Lois 1888 1.

Fér. d" ci Obl.4%l&!>l,r.à5(X)f:. V Juin Dànemari 1 189i C. 15c. renie. fn.r. t;xc lr>Ë)V 'G. 30 c, — Juill. d» 3% 1897 <d->). G. 15c. rente. < 1.: ..C.30c,. - ., -. Juill. cIo 2%% 1901 (d-). C. 17c.59r" :: C.35c. rctYte. .j Õ; i 0 Mai. Egypte, Pelte unif. C. W cap. iiO 51 :: 7 C. 2500» - , J ; G j '250C — Avril d" Dette privilég. C. 500' cap. 7'i1 converties''!?!,. C.25CO'—

G.12500' - .,

Sept. d° 3 1883 garanti. G. 75' rle

C.1501 -

Juill. Espa^ne4%,Kxtêr. C.4et8pcs.r,l! .,

(Titres estampillés) C. 40pc3. —

(nég.ch. lixo 1 fr.) C. SOpes.—

C.160 peso - r..

G.240pes.^

C.480 pcs. -

C.960pas. —

Juin. Finlande3 Titres 617r cap.

1889 Titres 2468c - ,

:: «'« Mai.,.. a" 3%amort. 1898. Ob.J5rrenlo. o.

0^30» -

Déc. d» 3M%amort. Ob. 17r 59 — ",

.- 1901 Ob. 175 f. -

Jnill. HaYti 1875 5 %, remb. à 300 Cr.

Juin. d* 189t> 6 %, remb à ttOO fr.

Juiil. Gouv.Hetléniqiiel8815%.r.500'.- -311 -■ d" 1884 5 %, remb. à 500 fr. 30ij

d" 1887 4 %, remb. à 500 fr. 270 JuiU.. dn 4% 190'2. Ch. de fer, r. m1 Avril.. d" Kmprunt2K%orl898,obl.

de 62f50, remb. au pair.

Sept.-.; Hollande 3% 1896^98-99-1905 (n. c. Iixe2'10) Obi. lOOfl. :

.- Obi. 500:1..d.1

ObL 1000I1

, 1uiU. -; IIonerie<%nr Ob[.4n.rente

(n.c.fixe2r59) Obi.20 fl. —

Obt.40n.- .:;.

;.. d« 3 or 1895 G. 20Ccap

(n.ch. Iixe25r20). G. 100 £ — Jany. Italie 3 Coup. 700fr. rente. ••

Goup. 350 fr. — • :: ••

Coup.l40fr. —

Coup. 35fr. —

Coup. 70fr. —

Coupures au-dessous de 35 fr.

Avril d- 3 -

.., d* Obi. Victor-Emm. 63, r. 500t

Juitl. Japon 4 1905 ••• •: Marsr.. dJ 5 1907 (n. ch. axe 25'25)., ','' ,.

Juill. Maroc 5 1904, remb. à 500 fr. 4C0 <(il. Ch. fiie w,) or 1904. T.tOdoll.rtc

;. (n. ch. fixe 518) T.20doll.— ., .-.,

Mars;.. Minas Geraes (Etat de) 5% 1907, remboursable à 500 fr Mai. Norvège3% 18S6 C. 20 £ capital

;.. (n.cli.fixe25'20) C. 100 £ Août., <1"3%1!:!88(<1*)C.20E—

C. 100 £ -

Avril.. d"3'189i(J")C.'!0:—

C. 100 £ — , .,

Août. do 3% 1896. Coup. 15 fr.rente. ••• •• Coup. 30 fr. —

Juin. &' 3%% 1893, remb. au air.. .î.

Jnill. d» 3>4 1900, remb. au pair.

Avril.. d' 3% 1002Conp.17'5Prente.

** Coup.35fr. —

Juin. d"3X%I90'¡,reDlb.aupair.,

Jum. Portugal3%,1™série C. 2O£cal' ,.. po

(n.th.<iM25'25).C.100E—

d- 3 %, 2, série. Obi. 15 fr rente. 61r10 ••• « ..; ObL 75 fr- —

d- 3%,3, série. Obl~ 15 fr. rente. 6 i ,!O :

d° 3%,3«série. Obi, 15fr.rente. W'.O

« (remb. au pair) Obi. 75 f r. — ii4r10 •»'•> ••• •* Aïhi.. d~i8<M.ob).gar.p<rtaSo- ciété des Tabacs, r.500f.

d* do Coupures de 5 oblfgat

> 4* Coupures de 10 obligat.

Janv.ï. Québec 3 1891.

Juill. Roumanie 1890 4% aia. Obl.2D'r*«

ObL4(H—

f 18944% am. lObLSP- ,M.

- 0bl.40'-

Mai. f* 18964% àm. ObLKK- ',"

ObL40r—*

Mai.,:. ..-. f698i",ObL2O'-- eu,.!

0bt40r- 74'75


1 1 1 TERME 1

jetiSS. Lundi 18 Septembre AU COMPTANT Opiratim

6a liquidatif.

Juillet. RoumnnieRenteeonv. Obi. 20'r1* .1 4%amort. Ôbî.200'— i Juillet.. d''i9C~4%,st:!-IeE.Cb!.2y—

smort. Obi. 40' — ; Mai. Russie 1867-1S69 4%, r. au pair.

Mai. do -1880 4%, remb. »u pair.

Sept. d' 188!H%or. C. 20 f. rente. .,

c.ioor. -

Sept. do fgqo i (Yo or, C.20f. -

2e et 3' émiss. fi.100 f. — Sept. d* 18904%or, C. 20 r. - ,

4e émUs. fi.100 f. —

Août. d» l £ 9Ô4%or, fi. 20f. —

émiss. -

Juillet - do 1894 4 or, f'. 20 f. - 72'

Ce émiss. C.100 f. — • ; Juillet. d° Consolidé Obi. 20 f. — 7;»'

75,

4 Obl.lOOf..—

::: If'ct2'sér. 01)1.200 f. —

ObLMOr. - ., Juillet. ! d- Consolidé Obi. 20f. —

1 4% OM.iOOr.

3' série. Obl. r. -

Obi.MOf.—

Sept. d, Consolidé Ob).20f.—

1 4» 1901 Obl.lOOr. -

Obl.iiOOf. -

Juillet. d» 3 or 1891 et 2e émis. 1891 Août. d" 3 or 1896.

Juillet. d® 3%% or 1894. C. 47r50r"

fi. 87'50 .:::1 C.437'50 Jlai — d" 5% 1900 'Séries 1 à 273).. 89f jnillct.. <i" 4 4909fSéries37à280).

1 Juin ti» lnter.4% 1894. fi- 4r. rente .,.

(séries 1 a 112) C. 8r. —

yi.c.l't. 2'6667) C.20r. = ..:::.::::::::::::::::: ::::: ::: :.

('.40 r. -

Juin. dft Ot,!.':%,<-.cr<!uDone!z,93.

Jtiiil d" ubiic;at.du.fhem)nde ! Avril i d® Obiigst. 4 du rhercim de fer de llvinsk-Vitebsk

Avril.. d" Obi. 4 89, séri» lî. KourskI 1-Lharkof-Azof. ï.fil7f50cap '1'.1;';3;, r. - .,

JuiVlét.. d* 01)1. A %, 94, c- de fer K oarskI Kharkof-Arof i'imp!)t5%\ C9f

Anil.. d- Obi. 4 %-1889, - T. f.17'50 s. C». OreMînasi. T.t:ljfr..,.

.., d- 01-iig. 189i, ch. di) fer v 7i'50.

Juin. d" 3 %, cbl. ch. de fer Traasrsucasicii, remb. au pair Avril.. d" 4% d* C. 20 f. rente , rcmb.au pair.C. 100 f- -

Août. d" Lettres de gage 3 !2 de la Eanq- Imp. lonc. de la Noblesse , 1 Tr 1 *ct3,,éiii. C. 14 f. renie 63' c:.7or.- -.;

: : fi.140 f. Avril - d- Ob!. 4 GrandcSoe. des Ch.

de fer russes, remb. r ., Juillet SAO PauîofEiat delde 5% or 1903, îeœbonrsabic a 509 fr i Coup, de 5 obliu

Jei'iêt. d» r. cr 1907, remb. a 500 f. 393

iLiiiet. ! d» tous du Trésor 5 "À 1913, de C»0i fr. feertif. jrev. fr.).. 4f5 ., Juillet. Fertile 4% ain. 1895. fi. 20'rente-

::: <Mcno:>. 1" rang) fi.1001 —,

C. 2001 ;

Août». d° 5e.- orl902Monop., r. 50Gr. 430

Avril.. d» or !906Monop., r.500'

Aoi.t. Suède 18b8 3 Til.123if.capU.

Tit.2468 f. -

Ecpt. d- 18903^ Til. 017f. -

Tit 1234 f. -

AvrU.. d" ÎS94 3 Tit. 15f. rente

Tit.75f. -

A y'ril Tit. 150f. -

Avril.. 1S953 S Obi. 20 £ capit w :.:: ln.l'IJ.lie;:;J(}) g¡:& = ::::::::::::::::::::::: ::::: ::: : 0bl.500 £ -

Mai. d» 18993 A l%. Til. 17'50rente

Tit. 87'f.0 —

Tit.175 f. -

Ao:il.. d" 1900 Til. 100 £ cap 3 Tii. 500C —

m.c.li.25f20) Tit.l0()0 £ — Ao t. d* 1904 1906 Obi. J7f.50rente

3 Obi. 35 fr. -

Aodl. d" 1 007 3 dilf. Û bl.17150 rit .,..

Obl.35fr. —

Sept. Suisse, Feule 3% Obi. 30 f. rente .,.

I 1890 cb. de fer. Ob'. 150f. — •

Obi.300f. - .;.,

Juin. d* 3 1897. 1" série. Obi. de 30 f. de rente. -"

Juin '• -Si JÎ' d* 3 S 1899-1302, ch. de fer (SÛ. A.B.C.U.E.F.G.H.LK.) Si Oblit;- 35 fr. do rente 8C15

Juin. >-\ de.1900 eh. de fer. Obi. ÏW 1 rapp1 30 fr. de renie

Avril.. é" 3% 1903, remb. au pa,r

Mai. ■«= J à« 2% dili'erceh.dc fer feder.

34 %jnsq. 1017,r. 500 f. 387 ('.l'*ser.) des ch. de Mars.. âJ d" 31- *sJiét, obi. 17f 50 r-, 8i'60 ,

âe' j>t- ■. D«tte ottomane conv. unifie 4 6 4 0

i Obi. 20 f. rcitt 64,05 .0

Obi.100 f. -

tJL¡.!. - "1", t.

TERME 1 MPSS. Lundi 18 Septembre AU COMPTANT C{ér»ti9M' 4» l;qujj;tiM.

Sept. Ottomanes dites Cons. 4% 1S90, r. au pair. ObI. 500'cap.r 29S* Ob!. 2500' —■ ., JuiHet. Ottomanes privilégiées 4 1902 (Douanes], Ohl. de r,oo f. cap.

oo. Obi. de 2500 f- Avril.. Ottoinani f-iir Tribut d'EgyplC 4 1891 C. '20? cap.

(n. rh. Ihc2al2mC.100! -- ., Août. j Ottoman Priorité Obi. 5O0rcap

Tombac 4% 1893 Obi.2500' — "oo"

Juiilet. Ottoman 4% 4894, remb. 500 fr.

(Red. des chem. de fer oriect.). 289 ATril.. Ottoman 3 V 1894, C. 20£ cap.

oo. gar.p'Trib.'d't~vpteC.~COE— (n. c. fixe25<20). C.500 £ -

Juillet. Ottúmanes a% 1006. Obl.5(',or tap. "'oo.

ObI. 2500r - I Juillet. do 4% 1901-1905, remb.500fr

oo Obi. de 2500 fr 225 • Juillet. Ottoman 4 1904. remb. 5,,<"1{)ir.

Août. Uruguay 3 1891 C. :.!ú£cap.

{nég.cli. fixe25f25). fi.l00 £ — ,.

Juillet.. do 5% or 1905. Obi. 25 f. rente

Obi. 125 f. -

VALEURS ÉTRANGÈRES Avril - - Banque des Pays Autrichiens, aet.

1 400 t.. t. payé ex-coup. 29).

Juin Banque Xatïonâ !e du Mexique, ad.

100piastres, 1. p. (ex-('oup. ;}S). 410.

Juillet. Banque Ottomane,actions500fr..

250 fr. pavés «":'(-conron56).

Mars. Crédit Foncier d'Autriche, actions 300 cour., t. i aye -(ex-coup. 8). *

Mars. Crédit Foncier Kgrptie.i, actions 500 fr., 250 fr. payés(cx-«.42).

Juin. Crédit Foncier Franco-Canadien, act. 500 fr., 250 fr. p. (nomin.). 712

Juillet. Andalous .{Chemins de fer', act.

de 500 fr., t. p. (ex-coup. 37).

M ai. t" obi. 1" série, r. 500 fr..335

PO,,!. do d° Clie, r. 5\.M) rr. :JI;:; "H'' h Juillet. Chemins Aiilrit h.-lionpr. de l'Etat (Soc. privil.\ aci. 50C, t. p.

Juin. DasT>as-liamaheiprol.{Soc.OUoia. '!

du ch. de fer), cbl. 500', rer. nr.

Juin. Lombards (t-'ùd-Autrichien), aet.

500 fr.,-îmit pavé (cx-r.18\, ..,.

Juillet, d* Obiijj. 3%, rmb. à 500 fr. 17ii Avril.. d* : férié X, remb. 5lK) fc. 170 M a i. d* d' 4 remb. a 500 fr. •••••. ••• •• ••• •• Juillet. Méridionaux if!,: .talieime des chemins de ferl, act. 500 I., t. n.

Jn¡:et. Nord de l'Es.papne,sel.500r, t. p. 4lKi

Anll.. d" Obi. 3% \lrc série), 1" hyp. 'W

Avril.. dQ d" (2* sériel 2" hyp. 358 *—

Juillet, d" d" \3- série), 3' hyp/ ••• — Juiil.-t. d" d' (4e série),4e hyp. ••• — Juil'ei. d' d1 (5* série), 5' hyp. 350

3WL: : :t: ;¿¡::: ;: jÓ:: ::: ::::::::::: ::::: ::: :: Juillel. d* 011. Pampelune, spée. 3%. •• ,. :

Jniilet. ù. do Fa ICI: lonc, priorité 3 "j.

Avril.. d* do Asiuries, Galice, Léon, 3% l™ hyp. (i:;t. et a;n. gar.\ 400 ., Octobre Portugais-C" Royale), action:; de 000 fr., t. p. (c. 2 aIL).,.

Juillet. d* Obi. de 500 ff. 3 irivi.égices de 1«' rang, rev. tise. '2î?0 ••• »•

Juillet. (}{iI3;¡-Ollra:SJ¡.OhLi% 1003,

..s r. 500 fr 3^1 50 Juillet.. ï?i Moscou Kiev-Voronège, ob. 1 4 1903, r. 500 fr 357 -

Juillet.^ „ \Mosreii-\Yir.d»u-Hvbinsk.ob.

juillet 500 (l',. :156..

Jaiilet. •5 « o.3 i ,Nor'd-l)ciicU, obii;. 4 ){ %, |908, r. aj()()(r '0 Sept. ,;.. /Vol«a-Boii{,on!ma,c>W.4,:'.

Sept. <- Sf 1908, r. a 500 fr Avril.. soi Snd-Kst, obi. 4 S 1908.

O remb. a 500 fr. ,.,.

Octobre , :::'aloni¡¡uc-Contanli\l. U :b. de fer cttoffian-jor.ct.■, ob,.3%,r.500'. 250 Juillet. Saragosse (Madrid a), act. 500 fr., tout pn;é (ex cocpo;i 84>.. 400

juillet d* Obi. 3%, lr<! hyp. surMadrid a Sarag. et Aiicanie, r. MW. 330

Juillct. d* d" 2ehtp. sur Madrid a Sar * 1,,,, Juillet. d* d» 3« hyp. Mïdrid-Sar.-Aiic.

lrc hyp. Aranjuez-Coerrç.j.

Août. Smyrne-Cassaba et prol. (S.ott. du ch. de fer), obi. 4% 9n, r. 5OOr.

Août. do ObI. 4 1895, remb. 500rr.

Mai. Wasons-Lits (C'e internat, des), actions crdin. 250 fr., t. p. ,,0,).

Mai. d" act.pri'i1.250fr.,Iutpay.,.

Sept. Usines de Briansk (Aciéries, etc.). 4"~G act. 100 t., t. p. (ex-<Lv. 1914). 476 •• Mai. Ric-Tinto Coicpany 'limited, art.

l'di. ";. n 1 1 'J' -'1"

ordinaires de 5î, l. p. (ex c. 37'. I 173ij

Fév. Cl'.arb.. Mine: et Usines d? Ses::o*ice,a.l25r.,50Cf,l.p,!cx-c.23J. 900 .,. Jaillet. Lautaro Nitrate Company, act. de

5 £ , tout paya (ex-conpoa 45).. 2&7 Octobre Tabacs de l'Empire ottoman, actions 200r, t. p. (ex-coup. 29) •• ••• •• Juillet. Tabacs des PhiiippiM. (Cie Gén.), a.500piécôt, t. p., n*« 1 i 40000 (eï-c.42d'int. — es-e.l3dirid.l. 620 • •..«••• Août. Tabacs de Portugal, actions 5001., J 250 fr. palés (.1-tCIID 3Q.


VALEURS AU COMPTANT Plus haut. Plus bas VALEURS AU COMPTANT Hashait. Plus bas. VALEURS AU COMPTANT Pins haut. Pins bel.

Emprunts de-Départements, Roubaix-Tonrcoini} (Villes) r. 50 fr., Etablissements Durs!, *. 500 f., t. p.

Cclonies et Vi:les Françaises. Roubaix-Tourcoing (Y.) 3 40 1883 Petit Journal, a. 5wf, t. P. (el-c. Itu).

ifrcllonmnieas s pt et vVui'leas s Françaiser. Saint-Naiaire(V.)3 « 18M, I'. 50V Petit Parisien (part bén.) (ex-c. 97).

Colonie (lela Guadeloupe 3 Y, YO 1898. Iroyes (Ville) 3 60 Is^i, r. 500 fr.. Rieher (IIIJC. Cie), Morit et C", acremb. MOfr. Yieane(Is~e) (V.)3X% 1800,1'.:)00' lions300fr.,tontpaYc(ex-c.20j.

rcmb. 5C0fr Vienne (Isère) (V.) 3% 1893, r. ;>90r. lions 300 fr., tont payé (ex-c. 20)

'/, 1901,

3° fa %%05irv:500' il! I! il! !! Valeurs Françaises (A«tions). Obligation,..

d' la Réuniôn 4% 1907, r. à 500r- Banque (Indo-Chine), a. 50fK, 12jf p.. 1500 ,. Crédit Foncier Colonial, obi. S)0 fr.. 274

tJcuv. Tunisien 3%% 1903, r. 500f Dakar a SI-Louis (Clc du chemin de fer Soc. Fncre. Lrcnnaise 3% nouveau, Pép< de l'Aude 3.41 1898, r. 500r de), act. 509 fr., t. p. r. 650 fr ;. n°- 25001 à 881)00 <1° CQnSntlli Z% 1897, r- iCOO1 0 Tramways de Paris et Département de Santa-Fé (910/oe des Chemins de fer), d° Ce la Eordogne 3% 1887, r. 500r la Seine, act. de jouissance obi. 500 fr., intérêts 4 M %■ 390

u° H,e-Oaronnc 3.30% î'-8, r. 5w fr. Eam(C~Gén.des).act.dRjoH!SS. do 3 %, rcmb. à 500 fr d° de la ll'—Manie 4% 80, r. 500fr Eaux de Banlieue de Paris, actions d2 Eaux (CI' Générale', 3 r. 500 fr (1° du Jura 3.40% 1896, remb. 500 fr 100 fr., t. p. (ex-eonpon 95) Téléphones (Soc. des), 4 %, r. 500 fr d" da 3 40%"1S04, remb. 500 fr Etablissement thermal de Vichy (Cie Glc Centrale du Ga! 4 %, r. 500 fr.

d* Loire 3% 1S97, net des impîts. fcrnirï). a. 375 fr., t. p. (cx-c. 33: Union des Caz 4 %, 18$>, r. ôOOÇr actuels, remb. à 500 fr Edison (G,e continentale i, a. 500 f-, t.p Fives-Lille 4 %, remb. à 500 fr dn de !a Sartre 3% ISC-i, r. 500ro .,. Gaz (GIC 'eiU. d'écl.j, a. 500 fr., t. p. Messageries Marit. 3 %, r. 500 fr Amiens (Ville d ) {% 71, r. 100 fr Aciéries de France, a. 500 fr., t. p. S25 Omnibus 4 %,■ rembours. â-500 fr

Armenîières (V.) 334 80, r. 500 fr Aciéries de Longwy, a. 500 fr. t. p Voitures à Paris3 %, r. 500 fr

{'causais (V.) 3% 1.895, r. 500 fr Aciéries de Micheville, act. 500 fr., 3 r. WJ Wcranroa (V) 3% 1893, r. 500fr tout pavé (ex-coupon 38). - Panama (Sociéie civile d'amortisseBlois (Ville de) 3"40% 1896, r. 500fr Loire (Atél. et Chaut.), a. 500 f., t. p. 1530 méat), obligat. 3" série, r. 1000 fr Bordeaux (Viiie) 4 1881, r. 500 fr Gliitilloa, Commentry et Neuves-Mai- Suei 5 %, remboursable à 500 fr

tl -3 1801, remb. 500 f<r sons, act. 500 f-, tout payé (cx-c. 3i). d°" 3 %, lre sér:e, remb. à 500 fr

Castres (V.) 3 40 1897, r. 500 fr Fives-Lille, art. 500 fr., tout rayé— <JO:). d" d" 2® série, remb. à 500 fr Ghauniont (Ville) 3 1898, r. 500 fr Forces et Aciéries de la Marine et û° Bonsdecoa'ponsarriérés5%,r.85f. ,.

Cognac (Ville) 3*A 1896, r.500fr d'Koniécourt,a.500\ t.p. (ex-c. 25). 2230 : ---- -—

r.onstsnline (V.) 3 30 95, r. 1000 fr j Forges et Aciéries du Nord et de Crasse (Ville) 3 1895, r. 500 fr t'r:st. art. 500 fr., t. p. 'ex-c. 52) t::7ù. BANQUE DE FRANCE Niaies 3 1897, net d'impôt, r. 500fr , Méditerranée (Forges et Chantiers).

Non (Vii;e)3CO%J834.f.500fr. BatMnxPanstens,act.500fr.. !.?. r'comp'c. R% l'érignewx (ville) 3% 93, r. 500fr ! Chargeai** Réunis 'Glc\ a. 500', t. p. 90J Intérêt des avances tir.

Roubaix (Ville) 3 G0^o 93, r. 5C0 fr. •• •• Cle Uavraise pénins", a. 5Ô0f, t. p

CHANGES CHÈQUE-VERSEMENT CHANGES CHÈQUE-VERSEMENT PAPIER COURT TArXEn COURT -

Londres 8 7) à 27 9) ., New-York. L8Î à 583'

Danemark 'jtj i l'jO 1 Norvège -ni à loi

Kspajne 5S3 à 5 9 Portugal : 403 a 420 •• Hollande /23.. à 211 Petrograd Is4 -. i 1J0 -Italie 9) a J ; Suède 16î à 1>7 uaa-da 5i0 a 586 H Suisse 103 ..a 110

BOURSE DE COMMERCE DE 'PARIS

COURS DU 18 SEPTEMBRE.1916. - HUILE DE LIN. Les 100 kilogr. nets en entrepôt 134 à ., » COURS DU 18 SEPTEMBRE 1916. - HUILE DE COLZA. Le.l03kitoxr.Bcts en entrepôt. a.

COURS DU MERCREDI 13 SEPTEMBRE 1915. — SUIF INDlGËNE. no franco Paris, les 100 "ilog-r. 148 a

A _L~j J~~] O &a C S Les annonces sont reçaes à la SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES ANNONCES, 8, place de la Bosrse, Paris 2* L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsàbilité quant à la teneur des aimoBeos.

M. DANIEL (Pierre-Auguste-Alphonse-Edouard), aéàSaint-Servan (Ille-et-Vilaine), le 28 mai 1888, y demeurant, sollicite l'autorisation d'ajouter 1 son nom celui de : TRÈ-IIARDY.

SA VIAC-SOUVILLOUSB, Référendaire au sceau de France.

DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIOSS (Art. 1er du décret du 15 août 1901.)

31, août 1916. MONTPELLIER-SPORTIF, société de sports athlétiques et de football. Siège social : 12, bd de Strasbourg, à Montpellier Mérault).

} — ; — -.i

SEPTEMBRE 1915. CQMtd DÉPARTEHENTAI. D'ASSISTANCB AUX MILITAIRES TUBERCULEUX. Aide aux militaires réformés pour tuberculose depuis le début de la" guerre. Siège : Angers (M.-et-L.).

Hauts Fourneaux et Aciéries de Caen Les Coupons n03 1 et 2 des Actions aux échéances 15 Juillet 1913 et 25 Juin 1914 sont mis en payement, avec les intérêts moratoires y afférents, aux Caisses du COMPTOIR NATIONAL D'ESCOMPTE DE PARIS. 1

Etude de Me BENOIT-BARNET, avoué à Dôle.

Extrait prescrit par l'article 770 du code civil.

Le tribunal civil de première instance de Dôle, par jugement en date du 12 août 1915, enregistré, rendu sur la requête de Madame Annette-Eugénie LAVIER, veuve de M. PierreSéraphin-Jules SIMONIN; sans profession, demeurant actuellement à Baignes (Ilte-Saône) et précédemment à Dôle, rue des Templiers, a donné acte à ladite dame de sa demande d'envoi en possession de la succession de M. Pierre-

Séraphin-Jules Simonin, son mari, en son vivant mouleur, demeurant à Dôle, rue des Templiers, décédé en son domicile le 26 juin 1914, sans laisser aucun héritier connu au degré successible, et, avant de faire droit sur ladite demande, a prescrit l'exécution des formalités de publication voulues par la loi.

Pour .extrait certifié conforme par l'avoué soussigné.

A Dôle, le 12 septembre 1916.

• D. BENOIT-BARNET.

JOURNAL OFFICIEL DB LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE # • EDITION PARTIELLE Le tarif de l'abonnement au JOURNAL OFFICIEL avec les COMPTES RENDUS in extenso DBS SÉANCES DU SÉNAT ET DE LA CHAMBRE est fixé en France, en Algérie et Tunisie, à 18 fr. pour un an, à 10 fr. pour six mois, à 5 fr. pour trois mois.