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Titre : Journal officiel de la République française. Lois et décrets
Éditeur : Journaux officiels (Paris)
Date d'édition : 1916-12-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 640344
Description : 05 décembre 1916
Description : 1916/12/05 (A48,N331).
Description : Note : GG14181.
Description : Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Ministères des Affaires étrangères
Description : Collection numérique : Traités, accords et conventions
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IVe République (1946-1958)
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62953156
Source : DILA, 2009-100524
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 31/12/2012
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SOMMAIRE
PARTIE OFFICIELLE Lois.
Loi autorisant la prorogation d'une surtaxe sur l'alcool à l'octroi d'Annecy (Haute-Savoie) (page 10507..
— autorisant la prorogation d'une surtaxe sur l'alcool à l'octroi de Bannalec \,Finistorc) (page 1050S).
- autorisant la prorogation d'une surtaxe sur l'alcool à l'octroi de Berrien (Finistère) (page 10508).
Ministère dé l'intérieur.
Arrêté constituant la commission chargée d'étudier les moyens d'assurer les secours médicaux et pharmacealiques ou l'hospitalisation aux. militaires-réformis à la suit-e de blessures ou de maladies contractées ou aggravées durant leur présence sous les drapeaux pendant les hostilités (pago 10508;.
- portant nominations dans le personnel de l'administration centrale (page 10508),.
Ministère des finances. Décret nommant un conseiller technique à la commission exècutive des achats et transports par iner (page lOjOS).
- nommant-un membre de la commission executive des achats et transports car - mer (page 10503).
Ministère de la guerre.
CiUïlons à l'ordre de l'armée (page 10503).
Bâdiatiom du tableau spécial de la médaille militaire (page 10517).
Suspension du droit de porter la médaille militaire (page 1U517).
Décrets et décisions portant mutation (étatmajor général d3 l'armée : armée active) (page 1051-7).
s - portant mutations (infanterie : réserve et ! armée territoriale) (page 10517).
j - portant admissions à l'honorariat (cavalerie : réserve et armée territoriale; (page 10517).
- portant mutation (gendarmerie : armée territoriale) (page 10518).
— portant mutations (vétérinaires militaires : armée active) (page 105t8).
— portant nominations, promotions et admissions à honorariat (artillerie : réserve et armée territoriale) (page 10518).
- portant nominations et promotions (service de santé : réserve et armée territoriale) (page 10518) - portant mise hors cadres (aéronautique) (page 18510).
- portant nominations et mutations (service de la justice militaire) ,(pag3 10519).
Ministèra de la marine.
Inscription au tableau spécial de la médaille militaire (page 10519).
Décrets et décisions portant nomination à un commandement à la mer (page 10519).
- portant admissions à la retraite (officiers de marine) (page 10510).
- portant admission à la retraite (service de santé) (page 10519).
- portant promotions (comptable des matières) (page 10520).
Circulaire relative au boni de l'ordinaire de l'infirmerie (modification à l'arrêté du 16 novembre 1909 et à l'instruction du 17 juin 1910) (page 10520).
— relative aux recommandations au sujet de la surveillance du service de l'alimentation (page 1052J).
Pensions. — Concession de pensions (guerre) (page 10520).
Nominations à des emplois réservés (page 10529). PARTIE NON OFFICIELLE
Communiqués relatifs aux opérations milL taire s (page 10529).
Sénat. — Ordre du jour. — Convocation de commissions Wlge I0j20). Chambre des députés. — Réponses des ministres aux questions écrites. — Ordre du jour. - Convocation de commissions (page lJ530) , Avis, communications et informations.
suNrsTÈas DES FINANCES Arrérages des rentes 3 p. 100 (page 10531).
MINISTÈRE DE L'AGRÎCULTURB Renseignements du ministère de l'agriculture (erratum) (page 10531). "Académie des inscriptions et belles-lettres (page 10531). -
— des sciences morales et politiques (page" 10531).
- d'agriculture (page 10532).
Bulletin agricole et commercial (page 10533)* Annonces (page 10537).
CHAMBRES .Sénat. - Annexes : feuille 35 (pour Z'êlh,liotC complète). (Voir le sommaire des annexes, au journal officiel de chaque lundi.)
PARTIE OFFICIELLE
LOI autorisant la prorogation d'une surtaxe sur l'alcool à l'octroi d'Annecy (HauteSavoie).
Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté,
Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : Art. 1er. — Est autorisée la prorogation.-" jusqu'au 31 décembre 1921 inclusivement, à l'octroi d'Àrmeey (Haute-Savoie) , d'une sur.
taxe de trente francs (30 fr.) par hectolitre d'alcool pur contenu dans les eaux-de-vie, esprits, liqueurs, fruits à l'eau-de-vie et autres liquides alcooliques non dénommés.
Cette surtaxe est indépendante du droit de 21 fr. établi à titre de taxe principale.
Art. 2. — Le produit de la surtaxe autorisée par l'article précédent est spécialement affecté au remboursement des emprunts communaux.
l'administration locale sera tenue do justifier, chaque année, au préfet, de remploi de ce produit, dont un compte général#
tant en recette qu'en dépense, devra être fourni à l'expiration du délai fixé par la présente loi.
La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et par la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.
Fait à Paris, le 1er décembre 1915.
R. POIXCARÉ.
Par le Président de la Républiquo : Le ministre des finances, A. RIBOT.
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LOI autorisant la prorogation d'une surtaxe sur Valcool à l'octroi de Dannalec (Finistère ).
Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : Art. ier. — Est autorisée la prorogation, jusqu'au 31 décembre 1921 inclusivement, à l'octroi de Bannalec (Finistère), d'une surtaxe de dix francs (10 fr.) par hectolitre d'alcool pur contenu dans les eaux-de-vie, esprits, liqueurs, fruits à l'eau-de-vie et autres liquides alcooliques non dénommés.
Cette surtaxe est indépendante du droit do 13 fr. établi à titre de taxe principale.
Art. 2. — Le produit de la surtaxe autorisée par l'article précédent est spécialement affecté au remboursement de l'emprunt de 43,427 fr. 50 autorisé en 1911 pour travaux d'agrandissement des écoles.
L'administration locale sera tenue de justifier, chaque année, au préfet, de l'emploi de ce produit, dont un compte général, tant en recette qu'en dépense, devra être fourni à l'expiration du délai fixé par la présente loi.
La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et par la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.
Fait à Paris, le IlJr décembre 191G.
n. POIXCAUÉ.
Parle Président de la République: Le ministre des finances, A. RIBOT.
LOT autorisant la prorogation d'une surlare sur l'alcool à l'octroi de Berrien (F¡'Ûslèrr».
Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dint la teneur suit : Art. 1er. — Est autorisée la prorogation, jusqu'au 31 décembre 1921 inclusivement, à l'octroi de Berrien (Finistère), d'une surtaxe de dix francs (10 fr.), par hectolitre d'alcool pur contenu dans les eaux-de-vie, esprits, liqueurs, fruits à l'eau-de-vie et autres liquides alcooliques non dénommés.
Cette surtaxe est indépendante du droit de 15 fr. établi à titre de taxe principale.
Art. 2. — Le produit de la surtaxe autorisée par l'article précédent est spécialement affecté, jusqu'à due concurrence, aux dépenses résultant de l'application des lois des 17 juin, 14 et 30 juillet 1913 (assistance aux femmes en couches et aux familles .,nombreuses).
L'administration locale sera tenue de justifier, chaque année, au préfet, de l'emploi de ce produit, dont un compte général, tant en recette qu'en dépense, devra être fourni à l'expiration du délai fixé par la présente loi.
La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et par la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.
Fait à Paris, le 1" décembre 1916.
R. POINCARÉ.
Par le Président de la République : Le ministre des finances, A. RIJOT.
t -
KiKESTÊRE CE L'INTÉRIEUR
Par arrêté du 20 novembre 191G, le ministre de l'intérieur a constitué ainsi qu'il suit la commission chargéo d'étudier les moyens d'assurer les secours médicaux et pharmaceutiques ou l'hospitalisation auv militaires r- formés àla
suite de blessures ou de maladies contractées ou aggravées durant leur présence sous les drapeaux pendant les hostilités.
Président.
M. Stecg, sénateur de la Seine.
Membres.
MM. Baudet, sénateur d'Eure-et-Loir.
Goy, sénateur de la Haute-Savoie.
Cahrol. député de l'Avevron.
Deyris, député des Landes.
André Honnorat, député des Basses-Alpes.
Pierre Masse, député de l'Hérault.
Pressemane, député de la Haute-Vienne.
Queuii'o. député de la Corrèze.
Houdaille, inspecteur général des finances.
Pierre Marraud, directeur général chargé de la direction du service général des pensions au ministère de ia guerre ou son délégué.
Duco. médecin principal de lre classe, président de la commission consultative médicale.
Scheffler, médecin major de lre classe.
Girard, médecin en clief de lre classe.
Kermorgant, médecin inspecteur général.
Hubert Brice, conseiller d'Etat en service extraordinaire, directeur des retraites ouvrières et paysannes.
Durand, directeur de la mutualité.
l)risac. directeur de l'assistance et de l'hygiène publiques.
Par arrêté du ministre de l'intérieur en date du 28 novembre 1916, Vu l'arrête du 22 mai 1913, fixant la liste des candidats aptes à l'emploi de rédacteur à l'administration centrale du ministère de l'intérieur, à la suite du concours du 5 mai 12J8: Sur la proposition du directeur du personnel et du cabinet : MM. Godard (Edgard-Cliarles), Varin (AugusteGustave-Fernand) de Langenhagon (HobertLion et Loth (René-Philippe-Alphonse) sent nommés rédacteurs stagiaires à l'administration centrale.
L'effet de l'arrêté est fixé au 16 décembre 1910.
KiHlSTÈRE DES FINANCES Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des finances, Vu le décret du 11 août 1914; Vu le décret du 12 septembre 1914; Vu Li loi du 10 avril 1915, Décrète : Art. ler. — M. Albert Séris, directeur de la
_ri
compagnie d'assurances la Foncière-Transi ports, est adjoint, en qualité de conseiller technique, à la commission executive des achats et transports par mer, effectués en vue d'assurer l'alimentation nationale.
Art. 2. --Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret.
Fait à Paris, le 25 novembre 1916.
R. POINCARR.
Par le Président de la République : Le ministre des finances, A. RIBOT.
— — - ■ —
Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des finances, Vu le décret du il août 1914; Vu le décret du 12 septembre 1914; Vu la loi du 10 avril 1915, Décrète : Art. 1er. — M. le capitaine de vaisseau Bô est nommé, en remplacement de M. le contre-amiral Amrt, membre de la commis sion executive des achats et transports par mer effectués en vue d'assurer l'alimentation nationale.
Art. 2. — Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret.
Fait à Paris, le 30 novembre 1916.
n. FOINCARÉ.
Paf. le Président de la République : Le ministre des finances, A. RIBOT.
FINISTÈRE DE LA CU ERRE
Citations à l'ordre de l'armée.
Les militaires dont les noms suivent sont cités à l'ordre de l'armée : LA 3e SECTION DE LA COMPAGNIE 19/52 ET LA 2e SECTION DE LA COMPAGNIE 19/2.
DU GÉNIE : sous les ordres du sous-lieutenant ZARORSKI et de concert avec le rég. colonial du Maroc, ont pris part à l'enlèvement, le 17 août 1916, dans un assaut magnifique, du village de X. ; ont contribué à l'organisation de la défense de ce village où nos troupes se sont maintenues malgré de nombreuses et puissantes contre-attaques de l'ennemi.
ROYER (Antonin), lieutenant au 340e rég.
d'infanterie : a conduit sa compagnie à l'assaut.
le 27 juin 1916, avec un entrain et une énergie remarquables. La position allemande ayant été enlevée, et tous les oftlciers de son bataillon tués ou blessés, en a pris le commandement et a assuré la possession définitive du terrain conquis, grâce aux dispositions heureusés qu'il a su prendre. Blessé grièvement, est reste on ligne, continuant à donner des ordres et a résisté victorieusement aux contre-attaques de l'ennemi, sous un bombardement incessant d'une violence extrême.
ROURE (Marie-Charles-IIenri), capitaine adjudant-major au 340e rég. d'infanterie : officier de valeur, provenant des officiers retraités à 25 ans de services, plein de bravoure et d'entrain ; a conduit son bataillon d'une manière remarquable, lors de l'cjw^MÎie ât^luin 1916.
A été grièvement blessé à l'épaule.
CLAIR (Eugène-René), lieutenant au 340e rég.
d'infanterie : officier de valeur. S'est trouvé, à l'attaque du 25 juin 1916, isolé au milieu des lignes ennemies; a réussi à se dégager et à rejoint son bataillon en ramenant deux prisonniers. A exercé pendant la période du 30 juin au 2 juillet 1910, d'une façon remarquable, le
commandement d'un groupement en première ligne, sous un bombardement continuel d'une extrême violence. A su conserver le terrain
conquis malgré trois contre-attaques de l'en.
kleml.
HOUY (Prudent-Armand), médecin aide-major de 2e classe au 204" rég. d'infanterie: au front depuis le début de la campagne, s'est toujours prodigué sans compter. Dans maintes circonstances, a exposé sa vie pour soigner des blessés. A été blessé pour la deuxième fois, a son sés. A poste de secours, lj 3J juillet 1916.
MOLINIER (Jules), mie 933, soldat au 11e rég.
d'infanterie : briilant soldat toujours calme et résolu. Malgré une douloureuse blessure au poignet droit, a rempli ses fonctions d'agent de liaison jusqu'au bout de l'attaque et ne s'est laissé évacuer que par ordre.
PIEZZOLI (Pierre-Laurent-Joseph), mie 710, adjudant au 116e rég. d'artillerie lourde : sousofficier très dévoue, consciencieux et brave.
Envoyé dans des postes d'observation difficiles et violemment bombardés, a toujours rempli complètement les missions dont il était chargé.
-A toujours donné la plus grande satisfaction.
Le 12 août 1916, au moment du ravitaillement en munitions de la batterie, a été grièvement blessé en donnant des ordres pour faire abriter les hommes. A conservé un sang-froid admirable jusqu'au bout.
ROUX (Vital), soldat à la 17e compagnie du 339e rég. d'infanterie : se maintenant à son poste de fusilier mitrailleur devant X., le 15 août 1916, a été grièvement blessé et enterré par un gros obus. A refusé le transport au P. S.
en * disant : « Ne risquez pas la vie des camarades, laissez-moi mourir là." Décédé des suites de sa blessure.
CAVAT (Louis-Elie-Jean), sous-lieutenant au 235e rég. d'infanterie : jeune officier plein de vigueur, d'énergie et d'entrain. A été grièvement blessé, le 18 août, au moment où, sous un violent bombardement, il parcourait la tranchée, s'assurant que les hommes étaient à leur poste et les encourageant par ses paroles et sa belle altitude.
MIRABEL (Gaston), mie 028580, maréchal des logis à la 5e batterie du 115e rég. d'artillerie lourde : sous-officier d'une bravoure froide, d'une admirable éuergie, d'un dévouement inlassable. Tombé glorieusement à son poste, le 15 mai 1916.
AUDRAS (Jean), sous-lieutenant à la 19e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves : officier énergique et résolu. Le 19 juillet 1916,
chargé par son capitaine de conduire la première section d'attaque, s'est élancé en tête de la première vague avec un entrain reinarquable. Bon- capitaine ayant été blessé, a pris le commandement de la compagnie et s'est organisé aussitôt sur la position conquise en repoussant une contre-attaque ennemie.
TEXEIRE (Jean-Elisée), capitaine au 2e rég. de tirailleurs de marche : excellent officier de complément servant avec un haut sentiment du devoir. Blessé de multiples éclats d'obus, le 18 juillet 1916, a assuré le commandement de sa compagnie, est allé ensuite se faire panser et n'a pas quitté son bataillon donnant ainsi un bel exemple à un moment où les cadres étaient très éprouvés. Avait été déjà blessé une J'ois.
NIVIÈRE (Laurent-Victor), sous-lieutenant à la lie compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche : au cours de l'attaque du 15 juillet 1916, son capitaine étant tombé, a pris en plein combat le commandement de son unité qu'il a énergiquement conduite jusqu'au moment où il fut blessé lui-même. S'était déjà distingué en février 1916, FABRE (Charles), médecin aide-major de 2e classe au 2e rég. de tirailleurs de marche : médecin d'un courage et d'un dévouement admirables,' devenus légendaires au régiment.
Pendant la journée du 15 juillet 1916 et la nuit du 15 au 16 juillet, a soigné les blessés de son bataillon, en plein champ de bataille, sans le moindre abri et littéralement sous le feu.
GÉfiAnD (François-Jules), mie 8, adjudantchef à la 11e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs indigènes : vieux soldat, sousofficier de grande valeur, ayant servi partout avec dévouement et abnégation pendant dixsept années de services aux tirailleurs. Le 15 juillet 1916, malgré un sol bouleversé par le canon, a énergiquement entraîné sa section à l'attaque sous le feu intense des mitrailleuses
et l'a maintenue accrochée au sol pendant 1 deux jours. Blessé au cours de l'action, -ne s'est laissé évacuer que sur l'ordre d'un officier de 1 sa compagnie.
JACQUARY (Marcel-Jean), mle 13974, sergent à la lre compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche sous-officier d'une grande valeur et d'une b^lle énergie au combat. S'est distingué à l'attaque du 15 juillet 1916, en entraînant sa section sous un feu meurtrier et en parvenant à s'accrocher au terrain conquis, malgré les pertes subies par son unité et une violente réaction de l'ennemi.
HOSATTE (Denis-Léon), mie 2133, sergent à la compagnie hors rang, 2e rég. de tirailleurs de marche : a fait preuve le 15 juillet 1916, d'une bravoure et d'un stoïcisme dignes d'être cités en exemple. Ayant pris part brillamment à l'attaque, à la tete d'une équipe de grenadiers et ayant été grièvement blessé, est demeuré énergiquement à la tête de ses hommes ; ne s'est laissé enlever que sur l'ordre d'un officier.
Déjà blessé et cité à l'ordre de la division.
COASNE (René-Léon), mie 5123, sergent au 2e rég. de tirailleurs de marche: brave sousofficier, ayant donné mainies preuves de ses belles qualités militaires. Pendant les journées des 16 et 17 juillet 1916, a fait preuve de grande énergie en ralliant des fractions éprouvées par le feu et privées de cadres, pour les tenir ferme, face à une contre-attaque ennemi qu'il contint vigoureusement.
HADDI (Attia-Ahtia Ould Abdelkader ben Mohamed), mIe H829, sergent à la 11e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs indigènes : type du -vieux tirailleur, brave et fidèle, - ayant servi partout en guerre. Sur le front depuis le début des hostilités, blessé deux fois.
Le 15 juillet 1916, a entraîné sa troupe à l'attaque avec élan ; blessé gravement, a continué à exalter le moral de ses hommes jusqu'au moment où la compagnie fut relevée et où. il fut emporté lui-même.
DREZET (Maurlee-Emile-Marie), mie 3178.
sergent à la C. II. R. du 2e rég. de tirailleurs de marche : sous-officier d'élite, brave et brillant au, combat. Le 21 juillet 1916, est allé chercher en plen jour, un blessé tombé à quelques pas de l'ennemi. Le 22 juillet, alors que toutes communications étaient coupées et que le bombardement ennemi rendait toute circulation périlleuse, a accompli une reconnaissance de la plus haute importance qui précisa nettement la situation de nos troupes engagées dans un terrain bouleversé par l'artillerie à grande puissance.
GR1VET (Louis), mie 13527, sergent à la C. II. R. du 2e rég. de tirailleurs de marche: modèle du devoir et d'abnégation. Le 23 juillet 1916, tandis qu'on était sans nouvelles d'une unité de combat, que plusieurs agents de liaison avaient été tués ou .blessés, s'est offert spontanément pour accomplir la mission, malgré un feu violent de mitrailleuses qui la rendait extrêmement périlleuse- A réussi à rétablir la liaison et à rendre au péril de sa vie un service de la plus haute importance.
SEMPERRÉ (Vincent), mie 11144, sergent au
2e rég. de tirailleurs de marche : sous-officier de "Yaleur, d'une bravoure éprouvée, sur le front depuis le début, deux fois cité à l'ordre du corps d'armée. ;Le 14 juillet 1916, ayant appris à l'arrière que son régiment allait an combat, a rejoint sa compagnie do mitrailleuses au moment où elle allait s'engager. Le 15 juillet, seul gradé de la compagnie, a.rallié deux pièces, a constitué des armements, de fortune et tandis que son bataillon était relevé, est demeuré en première ligne pendant huit jours et huit nuits, donnant un magnifique exemple de ténacité et d'acharnement dans la lutte. -
VAGINAY (Henri), mie 11090, caporal à la 10* compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : caporal énergique, connu par son allant et sa bravoure. Le 15 juin 1916, a entraîné son escouade à l'attaque avec vigueur puis a rallié sa section entière privée de tous ses chefs et l'a maintenue sur le terrain conquis pendant deux jours et deux nuits, sans eau, sous une violente réaction d'artillerie lourde de la part de l'ennemi.
BELGIIALI (Abdelkader), mie 2059, soldat de lre classe à la 7e compagnie du 20 rég. de tirailleurs de marche : vieux tirailleur, trois fois blessé au combat. Le 20 juillet 1916, alors que l sa compagnie ayait eu à souffrir du feu et qu'un
trou s'était produit dans la ligne, s'est élancé résolument dans l'intervalle en entraînant trois tirailleurs qu'il maintaint. malgré la violence du feu de l'ennemi.
THOUVENEL (Emile-Pierre-Marie), colonel commandant le 3e rég. de marche de tirailleurs algériens : chef de corps distingué. Le 15 juillet 1916, chargé d'attaquer une position fortement tenue par l'ennemi, a entraîné brillamment son régiment en imposant par son courage calme et communiquant sa belle énergie et sa ténacité à ses tirailleurs qui, malgré des feux violents d3 mitrailleuses et d'artillerie ont réalisé daa gains sérieux, faisant des prisonniers et enlevant trois mitrailleuses ai ennemi.
(Ordre du 2 septembre 1916.)
ZELTNER, chef de bataillon au 407e rég. d'infanlerie : ancien combattant da 1870,. au front depuis le début de la guerre, y a été blessé deux fois. Pendant la période du 12 au 27 juin, devant X., ayant été laissé au cantonnement pour l'organisation de tous les services, a appris la mort d'un chef de bataillon de son régiment ; est parti aussitôt, en plein jour, sous un effroyable bombardement, pour rejoindre le colonel à son poste de commandement et lui demander de remplacer son camarade tué, donnant ainsi à tous un bel exemple d'héroïsme et d'abnégation.
FOURNIER (Pierre-Victor), colonel commandant l'AD : mis, en pleine action, à la tête d'une nombreuse artillerie dans un secteur de combat important, en a organisé le commandement avec une méthode et une rapidité remarquables. A su obtenir des groupements sous S3S ordres une liaison intime avec l'infanterie, qui a pu, grâce à cette collaboration, obtenir des résultats importants.
RODRIGUEZ (Manuel), mie 354, caporal â la compagnie 19/51 du 2e rég. du génie : blessé une première fois au cours de l'attaque du 15 juillet, n'en a pas moins continué son travail. A été atteint à nouveau ; a continué sa tâche sans se plaindre et n'a signalé ses blessures qu'après avoir mené son travail à bonne* fin.
FONTAINE (Louis-Claude-Eugène), lieutenant au 2ge bataillon de chasseurs : a, le 5 juillet 1916, conduit sa section à l'attaque, au cours d'une opération de nuit, avec un courage et.
une ardeur au-dessus de tout éloge. Est arrivé le premier sur le, parapet de la tranchée alle- -.
mande où il a été blessé d'un coup de baïon-; nette et d'un éclat de grenade. Officier -d'un.
courage exemplaire.
CHABANNE (CamilIe-Jules-Marius), mie 257, capitaine au 11e rôg. d'infanterie : brillant officier qui, le 24 Juillet 1916, a enlevé avec vigueur sa compagnie et s'est omparé de la position ennemie malgré une blessure accidentelle du genou qui lui rendait la marche très difficile.
GlACOMONl ( Jean-Joseph), mie 947, souslieutenant au IIe rég. d'infanterie : splendide officier, modèle de bravoure, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A enrayé le 21 juillet 1916, par une attitude nettement agressive, une attaque ennemie en voie d'exécution et a assuré ainsi la conservation d'une position particulièrement importante.
SAINTOUREXS (Albert), sous-lieutenant au 20e rég. d'infanterie : officier d'un courage et d'une énergie exceptionnels. A conduit, les 25, t 26 et 27 juillet 1916, le combat à la grenade avec un élan admirable, refoulant constant ment l'ennemi et lui faisant subir de lourdes pertes. A été grièvement blessé.
DUPUY (Alexis-Théophile), mie 2216, maréchal des logis à la 3e battorie du 50«^ôg. d'artillerie : agent de liaison avec nnfanterie" s'est toujours acquitté avec courage et sang-froid des missions qui lui étaient confiées. S'est particulièrement distingué, -lors de l'attaque du 12 juillet 1916, toute liaison étant supprimée entre artillerie et infanterie, s'est proposé pour porter, dans des conditions très périlleuses, dans une zone battue par les tirs de barrage allemands et les mitrailleuses, des indications très importantes. S'est parfaitement acquitté de la mission qu'il avait sollicitée.
BLANC (Joseph-Marius-Joarhim), sous-lieutenant à la 4e compagnie de mitrailleuses du.
3e rég. de marche de tirailleurs : excellent officier mitrailleur, blessé en allant faire la re'- connaissance de sa position da tir, a installa Sësj)ièces, est venu rendre eoragte 4 son «api-f
taine, et ce n'est qu'une fois sa mission remplie qu'il parla do sa blessure ; a donné là un très bel exemple de sang-froid et de courage.
SALAMI ben Salah ben Falem ben Aïcha ben Mohamed ben Ali, lieutenant à la 14e compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs : officier indigène, remarquable entraîneur d'hommes; chargé de la protection d'une aile de la ligne, s'est admirablement acquitté de sa tâche ; toujours en éveil, combattant à la grenade pendant toute la nuit du 13 au 16 iuillet 1916.
BEYLIER (Antoine\ sous-lieutenant à la 41e compagnie du 3° rég. de marche de zouaves : a, dans un élan superbe, entraîné sa section le 1'3 juillet 1916 à i'as?aut des lignes allemandes en criant « Vive la France ! » A maintenu ses hommes sur le terrain conquis, malgré la violence du bombardement et le tir d'enfilade des mitrailleuses ennemies.
FALETTl (André-Vic-or-Eugène-Marie), souslieutenant à la 42e compagnie du 3e règ. de marche de zouaves : officier distingué et d'une haute conscience; grièvement blessé le 15 juil- let 1916, en accomplissant une mission périlleuse sous un feu violent de mitrailleuses.
LIASSE (Bernard-Maurice-André), lieutenant à la 3e compagnie du 3* rég. de marche de tirailleurs : venu sur sa demande de la cavalerie; officier extrêmement dévoué, brave et plein d'entrain; a été blessé ea conduisant sa compagnie à l'assaut d'une tranchée ennemie défendue par les mitrailleuses.
DAY (AdoTphe-Albert), sous-lieutenant à la 19e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves : blessé grièvement le 15 juillet 1916, en se portant, dans un élan magnifique, en tête de sa section, à l'attaque des lignes allemandes.
LABAS (Marcel-Charles-Ilenri), capitaine à la lre compagnie de mitrailleuses du 3e rég. de marche de zouaves : commandant de compagnie de mitrailleuses, froid et expérimenté.
S'était déjà fait remarquer au cours de la cammgne. Le 15 juillet 1916 a été blessé grièvement en se portant à l'assaut des lignes allemandes.
LOISELEUX DE LANDOUZY (Edouard), lieutenant à la 18e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves : officier énergique et d'une haute valeur. A brillamment conduit sa compagnie, .le 15 juillet, à l'attaque des lignes allemandes.
A été grièvement blessé au cours do l'action.
GAUTIIEfWN (Victor), sous-lieutenant au 3e rég. de marche de zouaves : chargé des sapeurs pionniers, a dirigé avec un mépris absolu du danger l'exécution do différents travaux, sous un bombardement intense et sous le feu des mitrailleuses et a assuré ainsi la possession du terrain conquis. Officier d'un rare courage, déjà cité quatre fois à l'ordre.
NASRI Lahoulés Len Tahar, mie 78i, sergent à la 13e compagnie du 3e rég. de marche de tirailleurs algériens: sujet d'élite, se distingua à chaque alfaire; le 15 juillet 191G, un officier en reconnaissance étant tombé sous 'une balle ennemie, s'est porté de sa propre initiative à son secours en rampant sur plus de 100 mètres sous un feu meurtrier de mitrailleuses; a pansé l'officier et est revenu reprendre sa place.
GONNEL (Emile-Adolphe), chef de bataillon au 3e rég. de marche de tirailleurs, commandant le 4e bataillon : a amené très bravement son bataillon en ligne pour rétablir une situation flottante. A relevé la bataillon de première ligne, est resté pendant cinq jours et cinq nuits au contact immédiat de l'ennemi, affirmant par uue activité incessante son ascendant sur l'ennemi démoralisé et auquel il n'a pas permis de se reprendre.
MONDIELLI (Nicolas-Clément), chef de bataillon au 3e rég. de marche de zouaves : a brillamment commandé son bataillon - dans les affaires du 15 au 23 juillet 1916. L'a fait progresser sous un feu de mitrailleuses des plus Intenses et malgré un violent bombardement.
À consolidé de la façon la plus judicieuse le terrain conquis.
CARNÉ DE CARNAVALET (Olivier-Marie-Aupstin), sous-lieutenant à la pe compagnie du 3e rég. de marche de zouaves : jeune officier de cavalerie qui, ayant demandé à servir dans tlnfanterie, » est imposé dès les premiers jours «à ses hommes par son calme au feu et sa fjeoûlç bravoure ; a été grièvement blessé, le
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15 juillet 1916. en se portant à l'assaut des lignes allemandes.
LE 1" GROUPE DE 105 DU 103e A. L., sous le commandement du chef d'escadron CURVAT : Sous l'énergique commandement du commandant Curvat, malgré les pertes très sérieuses causées par un bombardement continuel et souvent des plus violents, a constamment fait preuve, pendant cinq mois, des plus bettes quaïtés d'endurance, de ténacité ét de discipline au feu, répondant avec avantage marqué aux batteries adverses, dont plusieurs ont dû cesser le tir, notamment les z3 juin et 11 juillet 101G. A ainsi contribué au succès de la défense de son secteur.
DÎIERS DE MIQUEL (Paul-Achille-Pierre), chef do bataillon commandant le Ge bataillon du 3e rég. de marche de zouaves : officier supérieur de tout premier ordre. Le 15 juillet 1916, a porté brillamment son bataillon à l'assaut des lignes allemandes, l'a fait progresser sous un feu violent de mitrailleuses et un bombardement intense. A organisé très judicieusement le terrain conquis.
BOUQUET (Lucien-Emile-IIippolyte), capitaine à la lre compagnie du 3e reg. de marche de zouaves : type du vrai soldat, successivement zouave de 2e classe et capitaine à la même compagnie; était adoré de ses hommes qui rappelaient le « l'apa Il, Le 15 juillet 1916, a réuni sa compagnie avant l'attaque et lui a dit : « Vous allez voir aujourd'hui comment le « Papa » sait se battre, suivez son exemple Il, b'est élancé à l'assaut des lignes ennemies et a été tué glorieusement à la tête de ses hommes.
LOUIS (Daniel), capitaine à la 2e compagnie du 3e rég. de marche de zouaves : officier d'élite. S'est porté, le 15 juillet 1916, en tête de sa compagnie à l'assaut des lignes allemandes ; l'a fait progresser posément comme à l'exercice, malgré le feu nourri des mitrailleuses ennemies jusqu'au moment où il est tombé, frappé d'une balle en plein cœur.
BARBIER (Moïse-Octave), lieutenant au 3e rég.
de marche de tirailleurs : officier d'une bravoure et d'un calme admirables, au front depuis le début de la campagne; commandant de compagnio d'une énergie à toute épreuve, blessé grièvement en entraînant sa compagnie à l'assaut d'une position ennemie. Mort des suites de ses blessures.
TORLOTTING (Henri-Adolphe), chef de bataillon commandant le 1er bataillon de 3e rég.
de marche de zouaves: le 15 juillet 1916, a conduit à l'attaque des lignes allemandes un bataillon dressé par lui, qui, sous les feux croisés des mitrailleuses ennemies, manœuvrait comme à l'exercice. Tombé glorieusement au cours de l'aclion.
FLANDIN (Joseph-Charles-Pierre), capitaine à l'état-major d'une division d'infanterie : officier d'état-major exceptionnel. Déjà cité deux fois à l'ordre du Maroc et du corps d'armée pour sa belle conduite sous la feu. Tombé glorieusement le 20 juillet 1916, au posta de combat du général de division, après avoir contribué pour une large part au succès des opérations de la division.
(Ordre du 3 septembre 1916.) GRESLÉ (Amaury), capitaine à la 19e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves : chargé de coopérer avec sa compagnie, le 19 juillet 1916, à l'enlèvement d'une position ennemie, s'est acquitté de sa mission avec un esprit d'ordre et de méthode, un mépris du danger dignes d'éloges et pour sa troupe du meilleur exemple. Bien qu'avant la main droite traversée par uns balle, n'a consenti à allef se faire panser qu'après avoir assuré la transmission du commandement et être venu en rendre compte lui-même à son chef de bataillon.
CHENORIOT (Francis), capitaine à la 2e compagnie du 2e rég. de zouaves : sur le front depuis le début de la guerre. Officier doué des plus remarquables qualités militaires ; courage, sang-froid, froide résolution, donnant à tous le plus bel exemple d'esprit de sacrifice et de haute conception du devoir. A brillamment entraîné sa compagnie, le 16 juillet, à l'assaut d'une position allemande et l'a maintenue sur le terrain acquis, malgré un feu violent de mitrailleuses ennemies. A été mortellement frappé an cours du bombardement qui a suivi l'attaque.
IIEYSCII (Pierre-Louis-Marie), capitaine à la
m
compagnie do mitrailleuses DI) 5, du 2e rég. de' marche de zouaves : officier mitrailleur d'une grande bnvoure. doublée d'un grand sang-froid.
A fait ;y: d'initiative et d'une activité inlassable au co.rs de t'attaque de nuit du 19 juillet i'J:■-!. A largement contribué à son sjice^s pap l'habileté des dépositions prises tant pour i'a.u-iuî que pour l'organisation immédiate du la position conquise.
TOURNOL'ER (René\ sous-lieutenant au 2e rtg, de marche de zouaves : a conduit sa section à l'assaut des retranchements ennemis avec ua brio extraordinaire. Chargé do poursuivre l'ennemi, s'est porté vaillamment en avant avec sa section, dépassant les positions ennemies conquises et refoulant les adversaires à 200 mètres au delà de la nouvelle position. A été tué d'une balle en pleine tète.
PÉPIN D'ESCUIIAC (Joseph), sous-lieutenant au 2e rég. de marche de zouaves: nouvellement promu, a toujours montré le plus bel exemple dc bonne humeur et de courage; s'est précipité à l'attaque du 1:1 juillet lylS avec un élan remarquable; est arrivé un des premiers au but assigné- A été tué le lendemain d'une balle à la tête au moment où il donnait à sa section des instructions concernant les travaux à exécuter.
CÀDIOU (Ilervé), lieutenant au 2e rég. de marche de zouaves : chargé de coopérer à l'enlèvement d'une position ennemie, s'est acquitté dj sa mission avec beaucoup de vigueur et d'entrain A organisé aussitôt le terrain conquis sue lequel il s'est maintenu malgré deux contre-attaques d'un ennemi supérieur en nombre. Est passé lui-même de nouvead à l'offensive ramenant une quinzaine de prisonniers.
AGNELLET (René), lieutenant à la 17e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves: officier énergique et résolu, chargé de coopérer avec sa compagnie à l'enlèvement d'une position ennemie, s'est acquitté de sa mission avec un entrain et une bonne humeur qu'il communiquait à sa troupe, faisant reculer l'ennemi et capturant une vingtaine de prisonniers. S'est dépensé sans compter dans l'organisation du terrain conquis. Grièvement blessé d'une balle au cou, alors qu'il essayait de repérer les organisations ennemies.
LE GOUEC (Albert), sous-lieutenant à la compagnie de mitrailleuses no 2 dus 2e rég. de marche de zouaves : officier mitrailleur d'un calme et d'une bravoure exceptionnels. Le 16 juillet, a entraîné sa section sous un feu violent de mousqueterie jusqu'aux tranchées allemandes, ne perdant à aucun moment la contact avec la première vague d'assaut. A!déjà obtenu trois citations.
RICHE (Henri), sous-lieutenant à la 42e compagnie du 2e rég. de marche de zouaves : de la territoriale, venu comme volontaire dans un régiment de zouaves, à quarante-quatre ans, a montré en toutes circonstances un esprit militaire admirable, soutenu par l'idéal le plus élevé, acceptant presque joyeusement les privations et les fatigues, d'une bravoure entraînante ; a enlevé magnifiquement sa troupe à l'attaque le 16 juillet 1916; a trouvé une mort glorieuse à la tète de ses zouaves.
MENAGE (Claudius\ mie 01511, adjudant à la 33e compagnie du 82e rég. d'infanterie : au cours d'un violent bombardement du bivouac, s'est employé de la façon la plus active et la plus judicieuse, pendant plus d'une heure, à rassurer ses jeunes soldats, à les faire abriter dans la mesure du possible et à assurer l'exécution rigoureuse des mesures prescrites. A été tué on venant rejoindre son abri. ',POULAIN (Bernard-Eugène-Jean), sous-lieutanant observateur, détaché au 85e rég. d'artillerie lourde : très bon observateur, montrant dans l'accomplissement de ses missions les plus belles qualités militaires. Attaqué, la 24 août, au cours de sa mission par trois fokers, a soutenu la lutte avec un courage superbe. Atteint de plusieurs balles, est mort quelques heures après des suites de ses blessures.
HERBERT (Georges), mie 5192, sergent au 9' rég. d'infanterie : observateur remarquable, d'une bravoure exceptionnelle, A assure seul, du 21 juillet au 1er août 1916, de jour et de nuit, le service d'observation du régiment, I sans abri et sous de violents bombardement, i [ Au moment où toutes les communications
étaient rompues, méprisant le danger, a réussi maintes fois à donner des renseignement précis sur la situation.
FESTOC (Henri), soldat au 9e rég. d'infanterie : faisant partie d'une patrouille de volontaires chargés de nettoyer à la grenade des trous d'obus occupés par les Allemands, le Ti juillet 1916, a pris spontanément le commandement de cette patrouille après la mort hé* roïquo de son chef, le sergont Mahtieu, et a ramené dans nos lignes quarante prisonniers.
FOURASTFÈ (Rapha*ll), mlo 276, caporal au 9" rég. d'infanterie : a fait preuve de beaucoup de sang-froid et de courage dans la nuit du 23 au 29 juillet 1916. en empèchant les hommes sous ses ordres do tirer sur une reconnaissance ennemie qui s'approchait, puis, par une brusque attaque, a dispersé cette reconnaissance et s'est emparé de son chef.
POMIÈS (No'jl), mie 4629, soldat au 9e rég.
d'infanterie: le 28 juillet 1916, a contribué à enlever un petit poste allemand placé dans un boyau. Puis, se portant en avant, a fait tout seul, sous un violent feu de grenades, un barrages de sacs de terre, mettant ainsi le terrain conquis à l'abri d'une contre-attaque.
CHARLAT ( Louis-Eugène-Nestor ), capitaine au 207e rég. d'infanterie : a commandé son bataillon avec beaucoup d'activité et d'entrain dans la période du 22 juillet au 6 août 1916. A très bien conduit les opérations dont il a été chargé et a donné un bel exemple de bravoure personnelle dans le combat du 3 août à
ENTREMONT (Georges), mIe 57, adjudant au 2 )Ie rég. d'infanterie : sous-officier très courageux, a, dans la nuit du 30 au 31 juillet lvl5, cnlraîné sa troupe pour l'enlèvement d'un poste allemand dotit les occupants ont été rapidement tués, blessés ou faits prisonniers.
RArL T (Marcel), mie 891,adjudant à la 7c compagnie du 71e rég. d'infanterie : s'est port~ vaillamment à l'assaut, à la tête do sa section.
Ne s'est arrêté qu à bout de souffle. A tué luimême plusieurs Allemands sur son parcours.
Mortellement blessé d une balle à la t"te, a encouragé à la résist ince, avant de les quitter, les quelques camarades qui restaient avec lui et ne voulant pas rester aux mains des Allemands, après avoir reçu une deuxième balle dans l'épaule, est rentré dans nos lignes au prix d'un elfort inouï. Mort en rentrant dans la tranchée.
FERRANT (Gustave-Louis), chef de bataillon commandant le 26 balaillo:Í du 71e rég. d'infanterie : son bataillon avant été chargé de contro-attaquer des fractions ennemies qui s'étaient infiltrées dans nos lignes, le 8 août 1910. a rejeté l'ennemi, nettoyé le terrain et rétabli la liaison. malgré un très violent bombardement, A été t uè au cours de l'opération.
HUMBERT (Pierre), mlo 201 4, sapeur-télégraphiste au service télégraphique de première ligne d'une armée : au moment da l'attaque du 21 février, desservait un poste téléphonique dans une zone particulièrement bombardée, S'est exposé constamment sans souci du danger pour maintenir les communications de son poste. A été grièvement blessé le 20 mars, en réparant une des lignes.
LE GAL (Albert), mie 2201, sapeur télégraphiste au service télégraphique de première ligue d'une armée : détache dans un poste bombardé et non protégé, a exécuté son service avec le plus grand calme et le plus grand sangfroid, malgré la s-tuation périlleuse dans laquelle il se trouvait. A été blessé, le 27 mai en reparant une ligue sous les obus. „
DESCILUIPS (Edmond), sous-lieutenant au 20e rég. d infanterie: le 24 juillet 1916. s'est élancé avec le plus grand courage et le plus grand mépris du danger, à la tête des grenadiers d'élite do son bataillon à l'assaut d'une redoute occupée par l'ennemi; a largement contribué par son action personnelle à la conquête de l'ouvrage.
TISNÉ (Jean), sous-lieutenant au 20e rég. d'infanterie : le 24 juillet 1916, a fait preuve d'un sang-froid, d'un calme, d'un allant admirables en se portant à la tète de sa section à l'assaut d'une redoute fortifiée. A été blessé en pénétrant, à la tête de ses hommes, dans l'ouvrage.
NIEL (Roger), sous-lieutenant au 20e rég.
d'infanterie : brillant officier. Magnifique solfiSâ-!t? Au cours des journées des 25 et 26 juillet,
a mené sa section de mitrailleuses à l'assaut, a repoussé à la grenade une attaque ennemie et a détruit par le tir de ses pièces une section de mitrailleuses ennemies qui se déplaçait. A été blessé gravement, le 27 juillet 1916.
PIGRENIER (Maurice), adjudant à la 2e compagnie du 20e rég. d'infanterie, mie 1957 : sousofficier d'une énergie et d'une bravoure exceptionnelles. Le 24 juillet 1916, ayant pénétré, l'un des premiers, dans une redoute ennemie, est tombé glorieusement en essayant de s'emparer d'une mitrailleuse ennemie encore en action.
BOUCIIAUD (Alfred). mie 1296, sergent à la lro compagnie du 20e rég. d'infanterie : sergent grenadier d'élite remarquable, volontaire à chaque coup de main. A été blessé, le 24 juillet 1916, en combattant furieusement contre les mitrailleurs ennemis; n'ayaut plus de munitions. renvoyait à l'ennemi les grenades allumées que ce dernier lui lançtit. A aidé son équipe à s'emparer de la mitrailleuse.
IDELOT (Raymond), mie 1637, caporal à la 2e compagnie du 20e rég. d'infanterie: très bon soldat, très énergique, déjà cité pour sa belle conduite au feu ; est tombé glorieusement, le 24 juillet 1916. à la Ute de son escouade qu'il conduisait à l'attaque.
(Ordre du 4 septembre 1916.) CASTAING (Charles), lieutenant au 20e rég.
d'infanterie : le 24 juillet 1916, au cours d'un combat, ayant reçu l'ordre de porter sa compagnie en renfort de la première ligne, a, grâce à son énergie et à sa superbe attitude, réussi à lui faire franchir un barrage d'artillerie des plus violents ; appelé ensuite à participer à l'occupation d'une redoute conquise, a largement contribué à repousser les contre-attaques que l'ennemi dirigeait sur cet ouvrage. Le 27 juillet, est tombé glorieusement en entraînant sa compagnie à l'assaut d'une nouvelle position.
VIGNEAU (Alphonse), lieutenant au 23e rég.
d'infanterie: officier d'une rare énergie, admirable de sang-froid et de calme sous le feu.
Est tombé glorieusement le 27 juillet 1916, au cours d'une lutte à la grenade.
LIBER MANN (Henri), lieutenant au 20e rég.
d'infanterie : au cours des combats des 2i), 27 et 28 juillet 1916, a remarquablement commandé sa compagnie de mitrailleuses, se dépensant sans compter, donnant des objectifs à ses sections, procédant au remplacement des tireurs et chefs de pièces mis hors de combat, assurant le ravitaillement en munitions, allant de l'un à l'autre sous les balles et les obus avec un mépris absolu du danger.
COURRÉGES (René), sous-lieutenant au 20e rég.
d'infanterie : officier plein d'entrain et de courage. commandant le peloton des grenadiers d'élite du bataillon; est tombé le 26 juillet 1916 au cours d'une lutte à la grenade engagée avec l'ennemi.
COURREGES (Joseph), sous-lieutenant au 20e rég. d'infanterie : officier d'une rare énergie qui a été grièvement blessé le 25 juillet 1916, en repoussant une contre-attaque dirigée par l'ennemi sur une position récemment conquise par nos troupes.
EYNARD (Simon), sous-lieutenant au 2e* rég.
d'infanterie : ofticier plein d'énergie, de calme et de sang-froid : le 28 juillet, tous les autres officiers de sa compagnie ayant été mis hors de combat, a pris bien que fortement contusionné par l'éclatement d'un obus, le commandement de son unité et a maintenu ses hommes sur le terrain conquis qu'il a organisé et conservé malgré une contre-attaque ennemie.
FROMENT (Emile:, sous lieutenant au 20e rég d'infanterie : jeune officier plein d'entrain et de courage qui a été grièvement blessé le 27 juillet en défendant une position récemment conquise contre les entreprises ennemies. A succombé à ses blessures.
LOU8IÊRE (Georges), sous-lieutenant au 20" rég. d'infanterie : otticier plein de bravoure et d'énergie, s'est élancé sous un violent bombardement, le 28 juillet 1916, à la tête de sa section pour se porter à l'assaut d'une position ennemie. Ayant atteint l'objectif indiqué et s'étant aperçu qu'une partie de ses hommes arrêtés par un tir de barrage ne l'avaient pas suivie, est revenu à eux tranquillement, au pas
les a ralliés, et leur a fait rejoindre les éléments les plus avancés. A été blessé au cours de l'engagement.
B ART fi ARÉS (Joseph;, mie 938, sergent à la 9e compagnie du 20e rég. d'infanterie : sousofficier d'une bravoure sans égale, chef de demi-section remarquable, animé des plus grands sentiments du devoir, est resté à son poste de combat, debout sous un violent bombardement, donnant à ses hommes le plus bel exemple de courage et de sang-froid ; est glorieusement tombé le 27 juillet 1916.
llRUEL (Louis), sous lieutenant à la compagnie 8/1 du ie rég. du génie : déjà cité à l'ordre de la D. 1. et du C. A., vient une fois de plus de se faire remarquer par son courage et son sang-froid au cours des attaques du mois d'août.
A été grièvement blessé en piquetant un ouvrage sous un violent tir de barrage.
DESCHAMPS (Jean-Louis), médecin aidemajor de 22 classe à la compagnie 8/1 du 4e rég.
du génie : s'est porté spontanément en première ligne au secours d'un colonel d'infanterie grièvement blessé et lui a prodigué ses soins toute la journée dans un trou d'obus et a pu le ramener à la nuit tombants. Modèle de bravoure et de dévouement.
llÉRAUD (Gustave), mIe 03043, de la compagnie 8/51, adjudant au 4e rég du génie : le 2 août 1916, après avoir-fait partie d'une attaque au cours do, laquelle il a pris le commandement d'éléments d'infanterie privés de chefs, a organisé d'une façon très judicieuse la position conquise. A fait preuve au cours do ces opérations de dévouement et de bravoure et a été tué en visitant les travaux de première ligne dont il était chargé.
PLAGNAT (Louis), mie 6001, adjudant à là compagnie 8/1 du 4e rég. du génie : sous-officier remarquable par son courage et son sangfroid, s'était fait remarquer particulièrement au cours des attaques des 1er et 2 août 1916, a été tué en faisant une mise en chantier des travailleurs de sa section.
SINAIS (Léon-Alfred-Constanti, capitaine au 71e rég. d'infanterie : officier d'une indomptable énergie. Ayant reçu le commandement des deux premières vagues d un bataillon de contreattaque, a enlevé energiquement ses troupes malgré un violent bombardement et rejeté les fractions ennemies qui s'étaient infiltrées dans nos lignes. Son chef de bataillon ayant été tué, au cours d'une nouvelle contre-attaque exé cutée dans la même journée, a pris le commandement du bataillon, balayé le terrain d'attaque et rétabli la liaison.
PERCHERON (Henri - Ernest - Edouard-MarioCharles), lieutenant au 212= rég. d'infanterie : au front depuis le d jbut de la campagne, n'a cessé de donner en toutes circonstances l'exemple de la plus remarquable bravoure, s'imposant à l'admiration de tous pir son audace et son mépris du danger. Mortellement blessé aux avant-postes le 29 juillet 1916.
nOUCHERY (Marcel). lieutenant au 74e rég.
d'infanterie : officier d'un courage et d'un sangfroid à toute épreuve, commandant de compagnie modèle.. S'était déjà fait remarquer en septembre 1915 et en avril 1916. Blessé mortellement lo22 mai 1916, à la tête de sa compagnie, en la conduisant à l'assaut des tranchées ennemies.
BOURGEOIS (Achille-IIippolyte), commandant la compagnie 4/5 du 1er rég. du génie : officier de grande valeur, passionnément épris de son métier, a dirigé des opérations de guerre souterraine avec une compétence particulièrement remarquable. A été tué, au moment où, dans la tranchée de première ligne, il constatait le-. elTets d'un fourneau de mine qu'il venait de f lire jouer contre les ouvrages ennemis.
COLLET (Gustave), sous-lieutenant à la compagnie 4/5 du Ier rég. du génie : officier doué des plus belles qualités militaires, technicien lubile, s'est particulièrement distingué au cours de la guerre souterraine. A été tué au moment où il venait de faire une écoute dans une galerie de mine.
POULIGCEN (Yves-Marie), mie 1851, du 20e escadron du train : très bon conducteur, a toujours fait preuve du plus grand dévouement.
Commandé le 28 août pour porter du matériel dans un endroit bombardé, a été blessé très grièvement.
SOLTiZAC (Augustin), lieutenant commandant la 3e compagnie du 11e rég. d'infanterie : sur le Éroot depuis le début do la campagne. Modèle de bravoure, d'énergie et d'audace, qui s'est faitremarquer souvent en conduisant des opérations perilleuses. Blessé deux fois, tué le 28 juillet 1916 à la tête de la 3e compagnie dont il avait su faire une magnifique unité.
DURAND (Alfred-Henri), sous-lieutenant à la S* compagnie du 11e rég. d'infanterie : officier des plus valeureux, ayant une conception très élevée du devoir militaire, d'un calme et d'un courage à toute épreuve. A été blessé grièvement à son poste de combat, le 23 juillet 1916.
S'était déjà distingué en plusieurs circonstances très périlleuses.
SERGENT (Henri), sous-lieutenant à la 5e compagnie du 11e rég. d'infanterie : officier trèsbrave et très courageux ; est parti à la tête des grenadiers, précédant eux-mêmes la compagnie d'attaque, et est entré le second dans un ouvrage fortifié. S'est multiplié au cours de la nuit, du 24 au 23 juillet 1916, pour maintenir notre ascendant sur l'ennemi.
1 POITROT (Charles), lieutenant à la 7e compagnie du 11e rég. d'infanterie : blessé légèrement une première fois, a conservé pendant plus do vingt-quatre heures le commandement de sa section, vigoureusement attaquée par l'ennemi. Blessé une deuxième fois, le 24 juillet 1916, et, dans l'impossibilité de continuer la lutte, n'a quitté son poste que sur l'ordre de son commandant de compagnie.
(Ordre du 5 septembre 1916.) CHANCERELLE DE ROQUANCOURT DE RERAVEL (Elie" capitaine au 115e rég, d'infanterie : commandant de compagnie de premier ordre.
Le 22 août 1914, sous uno grêle de balles et d'obus, a déployé sa compagnie face aux assaillants, restant seul debout alors qu'il exigeatt que tous se couchassent. A ceux qu'inquiétait sa témérité il répondit : On s'habitue à celte musique, cela fait plus de bruit que de mal, j'aurais payé cette place dix louis n. Tomba peu après frappé très gravement.
VERGNAULT (Goorges-), aspirant au 68e rég.
d'infanterie : le 25 mai 1915, avant reçu la mission de tenir coûte que coûte une position conquise, a montré la plus grande bravoure et la plus grande énergie, en résistant plusieurs heures aux attaques de l'ennemi. Blessé une première fois, n'a pas voulu abandonner son poste. A défendu jusqu'à la mort le poste confié à sa garde.
LACOSTE (Pierre), mie 3663, soldat au 4ge rég.
d'infanterie : grenadier veuf et père de deux enfants, d'un courage exceptionnel, rechcr-chant toutes les occasions de se battre. Touleurs volontaire pour les patrouilles. Dans la nuit du 21 au 22 août 1916. s'est précipité à la surte de son chef dans la tranchée allemande, a nettoyé un abri avec des grenades ; la patrouille termin.ée n'a pas craint de rebr ousser chemin pour retrouver son pistolet qu'il avait perdu près de la tranchée ennemie; déjà deux fois au cours de la campagne, le 8 juin 1915 et le 24 mai 1910, devant X.
(Ordre du 3 septembre 1916.) LE 37e RÉGnmNT D'INFANTERIE COLONIALE ET LE Mc BATAILLON SÉNÉGALAIS : énergiquement commandé pnr le lieutenant-colonel DURAND, le 37e rég. d'infanterie coloniale, comprenant le 61e bataillon sénégalais, s'est particulièrement distingué, les 9 et 10 juillet 19f5, par la ténacité et la vigueur de ses attaques. A enlevé de hante lutte cinq lignes successives de tranchées ennemies et une position très forte qu'il a conservée malgré les contre-attaques furieuses do l'ennemi. A fait mille prisonniers.
LE 22' RÉGIMENT D'INFANTERIE COLONIALE : sous l'énergique impulsion du lieutenant colonel RUCARRE vient, à nouveau, d'affirmer sa haute valeur au cours des combats du 1er au 5 juillet 49i6. A enlevé d'un seul élan une série de lignes de tranchées et, par une manœuvre habile, a tourné les positions ennemies qui menaçaient notre gauche. A capturé plusieurs centaines de prisonniers, quatre canons de 105, quatre canons de 77 et six mitrailleuses.
(Ordre du 5 septembre 1910.) MARTIN (Lconcrd), sous-lieutenant pilote à l'escadrille M. F. 24 : a rendu de grands service "omme pilote d avion d'infanterie aux attaques
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de juillet et d'août, faisant preuve d'une grande énergie et survolant au besoin, les lignes à très faible altitude, pour remplir entièrement ses missions. Est rentré fréquemment avec son avion troué d'éclats et de balles, et, le 21 juillet, a eu celui-ci traversé par un obus.
HOURDRY (Henri-Théodore), capitaine, officier de renseignements du secteur du e corps d'armée : observateur en avion, calme, réfléchi et très courageux. Au cours des dernières opérations, a dirigé avec compétence et autorité les services des renseignements de l'aéronautique du secteur, effectuant lui-même de nombreuses reconnaissances pour préciser ou contrôler des renseignements recueillis, et ne se laissant arrêter dans l'accomplissement de ses missions ni par le tir des mitrailleuses, ni par l'artillerie ennemie.
GUILLET DE LA BROSSE (René), souslieutenant observateur à l'escadrille C. 43 .: observateur énergique et courageux, toujours prêt à se signaler. Au cours d'une mission aérienne, le 22 août 1916, a eu son- appareil atteint par un obus et a été glorieusement tué.
POISOT (Marcel), sergent pilote à l'escadrille C. 43: pilote remarquable d'allant et de sangfroid, toujours volontaire pour les missions les plus périlleuses. Au cours de l'une d'elles, le 22 août 1916, a eu son appareil atteint par un obus et a été tué glorieusement.
MONDEME (René), mitrailleur à l'escadrille C.46: a exécuté de nombreux vols de protection et de chasse, au cours desquels il a livré souvent combat et a eu son avion atteint par les obus et les balles. Le 21 août 1916, ayant attaqué dans leurs lignes un groupe de trois avions ennemis, en a abattu un et mis les deux autres en fuite.
ACQUART (Michel), sergent pilote à la section d'A. L., F. tOS: bon pilote audacieux et entreprenant. A, pendant les opérations sur X. , volé journellement sans se soucier du tir ennemi, soit pour des réglages de tir, soit pour la liaison avec l'infanterie. A, notamment au début d'août 1916, ramené son appareil gravement atteint par des balles de mitrailleuses.
MARTINOT (Eugène), sous-lieutenant à la section d'A.L. 211 : observateur remarquable, tant par son intelligence que par son allant.
En a donné de constantes preuves par son mépris du feu de l'artillerie et dos avions ennemis: notamment le 23 août 191G, a. continué sa mission quoique l'avion qu'il montait eût été atteint déplus de quarante éclats. Le 24 août, attaqué au cours d'un réglage d'artillerie par deux avions, leur a livré un vif combat au cours duquel son pilote a été atteint de deux balles ; a continué à se servir de sa mitrailleuse, permettant à son pilote de se dégager et de ramener son avion au terrain. Est reparti aussitôt avec un autre pilote pour achever sa mission.
PAULON, lieutenant observateur à la section d'A. L. 2;>3 : officier d'une haute valeur morale.
Déjà grièvement blessé dans l'infanterie et susceptible de Tester à l'arrière ; a tenu à servir dans l'aviation. Spécialement chargé de la photographie aérienne, a toujours exécuté les missions qui lui étaient confiées par n'importe quel temps et à n'importe quelle altitude. Le 24 août 1916, a disparu au cours d'une reconnaissance photographique très importante.
GAUBERT (Joseph), brigadier pilote à la section d'A. L. 203 : pilote plein de zèle et de courage. N'est pas revenu d'une mission dangereuse qui lui avait été confiée sur sa demande.
ZUCÎIMEYER (Jules), lieutenant observateur , à l'escadrille C.53 : officier de valeur, ayant de beaux états de service. Faisant l'admiration de tous par son dévouement et son mépris du danger. A trouvé une mort glorieuse au cours d'une reconnaissance, envolant à faible altitude sur les lignes, pendant une attaque dmfantcrie.
1 LECOHNU. sergent pilote à l'escadrille C.53 : nature d'élite, p lote de premier ordre, exemple d'allant et de bravoure joyeuse. A trouvé une mort glorieuse, au cours d'une reconnaissauce en volant à faible altitude sur les lignes, pendant une attaque d'infanterie.
MEUNIER, capitaine au 223e rég. d'infanterie: d'un élan magnifique a sauté sur les premiers objectifs qui lui avaient été assignés. Y a réticte toute la nuit aux nombreuses contreattaques ennemies et les Allemands s'étant j infiltres dans la tranchée, qui le reliait au
corps voisin, les en a chassés par un dur combat à la grenade permettant ainsi la conquête ultérieure de la totalité de cette tranchée.
VAVON, capitaine, chef de service du canevas de tir : chef du service du canevas de tir, a dirigé ce service en vue des attaques de juillet 1916, avec beaucoup de science et d'intelligence pratique. A procédé sous le feu, dans les premiers jours de juillet à des levées do terrain avec le plus complet mépris du danger, sacrifiant toute autre considération à l'exactitude de ses opérations. I" DEULLIN (Albert), lieutenant pilote à l'escacrille N. 3 : pilote de chasse de premier ordre.
Le 24 août 1916 a abattu son cinquième avion, tombé en feu dans ses lignes.
DORME (René), adjudant pilote à l'escadrille N. 3 : pilote de chasse de premier ordre. Le 25 août 1916, a abattu son septième avion ennemi, tombé en flammes dans ses lignes.
DE LA TOUR (Mathieu), sous-lieutenant pilote à l'escadrille N. 3 : pilote de chasse de premier ordre. Le 25 août 1916, a abattu son cinquième avion ennemi; qui s'est écrasé dans les lignes allemandes.
SOULIER (Constant), maréchal des logis pilote à l'escadrille N. 26: très jeune pilote. A livré de nombreux combats aériens et s'est distingué plusieurs fois en attaquant audacieusevnent les ballons-drachen allemands. Le 24 août 1916, a incendié l'un d'eux à très faible altitude.
DE BONNEFOY (Robert), adjudant pilote à l'escadrille N. 65: ne cesse de faire preuve du plus bel allant comme pilote de chasse. Vient d'abattre le 23 août 1916 un avion allemand, portant à quatre le nombre de ceux qu'il a détruits.
BARBEY (Pierre), lieutenant pilote à l'escadrille N. 108 : pilote habile et courageux, a pris part à plusieurs bombardements. Comme pilote do chasse, a engagé plusieurs combats à l'intérieur des lignes ennemies. En particulier le 2i août 1916, au moment de l'attaque d'un drachen par son escadrille, a soutenu un combat contre deux avions ennemis, au cours duquel il a été atteint de deux balles : a eu cependant l'énergie d'eil'ectuer, en vol, les 40 kilomètres qui le séparaient de son terrain.
NUNGESSER (Charles), sous-lieutenant pilota à l'escadrille N-65 : d'un allant inlassable, fait preuve du plus extrême mordant en poursuivant jusque sur leurs propres terrains d'aviation les appareils ennemis, s il n'a pas réussi à les abattre. Le 25 août 1916, a abattu son onzième avion.
TSU (Etienne), sergent pilote à l'escadrille N-37 : engagé volontaire pour la durée de la guerre; le 10 juillet 1916, a vaincu un avion ennemi qui est tombé dans les lignes allemandes. Le 24 août 1916, a attaqué trois avions ennemis pour dégager un de ses camarades menace par eux, et les a mis en fuite, forçant l'un d'eux à atterrir.
DE LINIERE (Pierre), maréchal des logis pilote à l'escadrille N-103 : pilote de chasse courageux et plein d'allant. Le 3 août a contraint un avion ennemi, à atterrir désemparé dans ses lignes. Le 24 août 1916, a descendu un avion ennemi, qui est venu s'écraser au sel dans les lignes allemandes.
BARBIER (Eugène-Alfred), sous-lieutenant à l'escadrille C-46 : excellent pilote d'une adresse et d'un courage remarquables, réunissant plus de deux cents heures de vol au-dessus de l'ennemi. S'est distingué à maintes reprises au cours de reconnaissances et de combats aériens.
Le 21 août 1916, a attaqué un groupe de trois avions ennemis dans leurs lignes, en a abattu un et mis les deux autres en fuite.
OLLERIS (Léon àC. eorg-, s -Marie), général de brigade commandant la e brigade : chargé d'une attaque particulièremeut délicate, le général OLLERIS a conduit, sur la rive droite do X. une série d'opérations très dures qui ont valu la possession de points importants de la ligne ennemie. Il a donné au cours de ces opérations des preuves de son calme, de son courage et de son sang-froid au feu, ainsi que de ses sérieuses qualités de méthode et d'organisation.
WALCH (Camille), colonel commandant la Se rég. d'artillerie : artilleur passionné et d'une compétence consommée. A fait preuve,
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au cours des offensives de X,,,, à la tête d un groupement important d'artillerie de tous calibres, de remarquables qualités do méthode et d'organisation et a contribué ainsi largement au succès des opérations.
LE BLEU (Jean-Paulin-André), chef de , bataillon au 153" rég. d'infanterie : a donne la mesure de sa valeur en conduisant remarquablement son bataillon aux attaques du 10 juillet 1916, au cours desquelles il obtint, avec le minimum de portes, les plus boaux résultats.
Grièvement blessé, le bO juillet, au moment où, le premier de son bataillon, il abordait les -- -tranchées ennemies, défendues par de nombreuses mitrailleuses.
ïjEVY (Aron-Armand), sergent fourrier au 156e rég. d'infanterie : sous-ofticier d'une bravoure -superbe et d'un allant admirable. Toujours volontaire pour les missions périlleuses. Lors des attaques du 30 juillet 1916, B'ofl'rit spontanément pour rétablir la liaison entre plusieurs unités d'un autre régiment égarées dans le brouillard et, après une reconnaissance très périlleuse sous un feu des plus violents, réussit à accomplir sa mission.
MARTIN (Lucien), aumônier volontaire du 23e rég. d'infanterie : s'est signalé depuis le début de la campagne par une ardeur, un dévouement inlassables. Toujours prêt à secourir et à encourager. A pris part à toutes les attaques et s'est dépensé sans compter dans les tirconstances les plus périlleuses.
TIAHN (Joseph-Léonce), médecin-major de 2e classe au 2e batàillon do chasseurs à pied : a, pendant les journées du 25 février au 4 mars iPHi, donné le plus bel exemple de devoir professionnel et de courage en maintenant son poste de secours, dans les conditions les plus périlleuses, sous un bombardement intense, dans un abri de fortune, à 150 mètres environ du bataillon. A fait preuve à nouveau do brillantes qua'ités pendant toute la période du 11 au 2G juillet 1916, où son poste a été soumis à des bombardements systématiques d'obus de gros calibres et d'obus asphyxiants. N'a quitté ce poste que sur l'ordre du médecin chef de la division.
BERLOT (André), lieutenant au 69e rcg. d'infanterie : officier remarquable, revenu au front sur sa demande, malgré une impotence presque complète du bras droit. Le 30 juillet 1916, a assuré la progression de son unité dans des conditions très difficiles, s'est accroché au terrain. s'y est maintenu dans des circonstances , particulièrement critiques.
PERREY (Camille-Louis), capitaine au 69e rég.
d'infanterie: blessé deux fois, revenu chaque fois au front à peine guéri. Au cours du combat du 30 juillet 1916, s'est dépensé sans compter pour aider à la réorganisation de la position. A été pour tous un bel exemple d'énergie, de calma et de dévouement.
* REVEL (Joseph), médecin-major de 2e classe au 160e rég. d'infanterie ; dirige le service médical du régiment avec autant de compétence que de dévouement. N'a cessé de se prodiguer pendant les dernières opérations visitant et organisant ses positions avancées sous de violents bombardements.
CASSE-BARTHE (Gustave-Marie), chef de bataillon au 1er rég. mixte de zouaves tirailleurs : a conduit son bataillon au combat du '20 juillet 1916, avec un calme et un sang-froid remarquables'. A atteint les objectifs qui lui avaient été fixés avec le minimum de pertes, ayant enlevé successivement deux lignes de tranchées et s'étant emparé, après un combat à la grenade et un corps à corps, de deux mitrailleuses ennemies.
t nOtJVIEIt (Eugène-Emile), capitaine au 153, rég. d'infanterie : excellent officier mitrailleur, venu de la cavalerie sur sa demande. Le 30 juillet 1916, a fait preuve du plus beau courage et du plus grand sang-froid dans la conduite de sa compagnie. Très grièvement blessé.
COURBEIL (Victor-Alfred), sous-lieutenant au - 69e rég. d'infanterie : officier remarquable par son, courage, sa grande énergie et son inlassable dévouement. Le 30 juillet 1916, a enlevé sa compagnie avec un entrain admirable et l'a dirigée avec un ordre parfait, avec beaucoup d'habileté, malgré le brouillard et le terrain bouleversé. A réussi à la maintenir sur des positions malgré un violent bombardement.
PANTALACCI (Antoine-Dominique), adjadant-
chef au 8e rég. d'infanterie coloniale : dans la nuit du 2'1 au 2,) juillet 1916, commandant une section altaquée par l'ennemi avec des liquides enflammes, a maintenu ses hommes dans le plus grand ordre et arrêté net l'attaque ennemie: A ramené dans nos lignes les deux appareils lance flammes dont les porteurs avaient été tués. A ensuite tenu tête énergiquement à une contre-attaque.
BARRASSAT (Albert-Alexandre), chef de bataillon au 37e rég. d'infanterie coloniale : officier supérieur, qui ne cesse de faire preuve des plus solides qualités militaires. S'est particu-
lièr'ement distingué, les 9 et 10 juillet 1916. en dirigeant sur les positions de l'ennemi une attaque si vigoureuse, qu'elle a pinétré de l-,500 mètres à l'intérieur de ses lignes, enlevant quatre tranchées successives et faisant plusieurs centaines do prisonniers. Malgré des pertes ennemies, a su maintenir dans une situation critique l'occupation 'de la position en dépit de contre-attaques acharnées.
MONT1LLOT (François), capitaine an 35e rég." d'infanterie coloniale : officier d'un grand mérite, aussi modeste que brave. Blessé antérieurement, est revenu sur le front, en février 1916 : a continué à se distinguer par sa bravoure, son entrain et de réelles qualités de commandement. Grièvement blessé le 31 juillet 1916.
TEILHAC (Charles-François-Paul), chef de bataillon an 16i® rég. d'infanterie : excellent chef de bataillon; a dirigé avec autant de coup d'œil que d'énergie son bataillon dans l'attaque d'une position fortifiée dont il a fait tomber la résistance après une lutte de vingt-quatre heures.
LUSSIEZ (Adolphe), chef de bataillon au 208e rég. d'infanterie : officier supérieur de premier ordre. Le 20 juillet 1916, après avoir maintenu son bataillon pendant deux heures sous un violent bombardement, a brillamment enlevé et conservé l'objectif qui lui avait été assigné, malgré les incessantes et vigoureuses contre-attaques de l'ennemi.
POMPEY (Camille), chef de bataillon, commandant le 4e bataillon de chasseurs : chef de corps énergique, calme et réfléchi. Chargé d'enlever une position ennemie très fortement défendue, a rempli entièrement sa mission, faisant 340 prisonniers dont 5 officiers et enlevant 4 mitrailleuses.
GARGAT (Charles-Henri), cepitaine au 164e rég. d'infanterie : officier plein de sang-froid et de bravoure. Le 9 juillet 1916, à l'attaque d'un village fortifié, a pris la tête de sa compa- gnie et l'a portée à l'assaut avec un entrain su- perbe. A été blesse autours de l'action.
CESSOT (Louis), capitaine au 164e rég. d'infanterie : le 9 juillet 1916, à l'attaque d'uiv village fortifié, a porté sa compagnie en avant malgré un violent tir de barrage d'artillerie et de mitrailleuses. donnant un bel exemple de courage et de mépris du danger. Blessé au cours de l'action.
NIOX-CIIATEAU (Jean-Odoa), lieutenant, corn mandant la 168e batterie de 75/150 du 33e rég.
d'artillerie : officier d'une bravoure et d'un calme admirables, sous les bombardements les plus violents. S'est dépensé sans compter depuis son arrivée dans le secteur, aussi bien pour préparer l'attaque que pour consolider les positions conquises. Blessé très grièvement dans un observatoire aérien, repéré et battu par l'artillerie ennemie d'une façon continue.
GUYOT (Jean-Marie), sous-lieutenant au 51e rég. d'artillerie, 110* batterie de 58 : officier d'une rare intrépidité ; a remarquablement dirigé sa batterie dans l'exécution des destructions des ouvrages ennemis, se portant aux points les plus exposés pour régler le tir de ses pièces, est tombé glorieusement blessé à sonposte d'observation.
ROLAND (Raoul-Fidèle), capitaine au 3e rég.
du génie, compagnie 1/63 : chargé de l'aménagement du terrain des attaques devant un secteur de brigade; a.été blessé, le 20 juillet 1916, en tête de sa compagnie, au moment de faire la liaison de nos lignes avec la position conquise; ne s'est laissé panser qu'après- avoir fait évacuer ses hommes blessés en même temps que lui.
FRAISON- (Bernard-Gabriel), sous-lieutenant au 35e rég. d'infanterie coloniale : a montré un courage remarquable en entraînant ses bammesà l'assaut_d'ua bois, le 11 juillet 1916 ;
a été grièvement blessé au cours de. cette attaque. S'est déjà signalé à plusieurs reprises par son courage et son esprit de décision. -
MEYER (Alphonse), sous-lieutenant au Gle bataillon de tirailleurs sénégalais (37s rég. d'infanterie coloniale) : blessé lo 6 juillet 1916; 1 le 9 juillet, a brillamment entraîné sa troupe sous un feu de mitrailleuses, à l'assaut d'une tranchée ennemie, sur un parcours de plus de 6)0 mètres. Malgré des pertes élevées; l'a maintenue pendant cinq heures à quelques mètres de la tranchée ennemia et a réussi à l'y entraîner en profitant d'un moment favorable. Après y avoir pris pied, a contribué à la conquête définitive de la tranchée, dans laquelle furent faits de nombreux prisonniers.
VUARNESSON (Edmond), sous-lieutenant au 61e rég. d'artillerie (109e batterie de 58) : la 16 juillet 1916, la batterie étant soumise à un 1 bombardement, n'a pas craint do se porter en avant pour s'assurer de la régularité du tir de sa section ; a été pris sous le feu d'une mitrail- J leuse allemande qui l'a blessé grièvement.
MALAFOSSE (Joseph-Louis-Alphonse), chef de bataillon au 61e bataillon de tirailleurs sénégalais (37e rég. d'infanterie coloniale) : le 9 juillet 1916, a dirigé sur une tranchée enne- mie, dans des conditions particulièrement difficiles, une attaque au cours de laquelle les unités sous ses ordres ont fait preuve d'une opiniâtreté indomptable et qui s'est terminée par la prise de la tranchée ennemie et d'un grand nombre de prisonniers.
BARDIN (Paul), lieutenant au 53e règ. d'infanterie : officier d'une,énergie et d'une bravoure remarquables. Le 11 juillet 1916* comme commandant de la compagnie, a coopéré dans une large mesure a la réussite d'une opération difficile sur les lignes allemandes. Blessé grièvement, n'a pas voulu se laisser évacuer avant d'avoir rendu compte personnellement à son chef de bataillon de l'accomplissement de sa mission et lui signaler les actes de courage accomplis autour de lui.
PORTAT (Joseph), capitaine au 37e rég. d'infanterie coloniale: officier d'élite, au front depuis le début des opérations, d'une activité et d'un entrain infatigables. S'est déjà signalé par sa brillante bravoure au feu, notamment le 15 avril 1915. Au cours des attaques des 9 et 10 juillet 1916, a parfaitement secondé son chef de corps en assurant, sous un violent bombardement la transmission des ordres et le ravitaillement en munitions.
LABADIE (Jean-Henri), capitaine au 3Se rég. -
d'infanterie coloniale : pendant les combats des 9 et 18 juillet 1916, n'a cessé de faire preuve -d'initiative, d'activité et de bravoùre. A obtenu de son personnel le plus grand rendement et sous un feu des plus meurtriers a dirigé d'une façon très efficace l'action de ses sections, de mitrailleuses.
AZUM (Jean-Marie), capitaine au 36e rég..
d'infanterie coloniale : officier brave et énergique. A été blessé le 20 juillet 1916, en entrai- nant sa compagnie à l'attaque avec une vigueur remarquable et un complet mépris du danger.
ANDREt (Charles-Jean), sous-lieutenant au 35e rég. d'infanterie coloniale: officier brave et énergique. Par son exemple a su maintenir sa section sous un violent bombardement qui a duré six heures, malgré des pertes sérieuses, grâce à son attitude a pu mettre en. face des Allemands une section réduite de moitié mais résolue et disciplinée. A été blessé lorsqu'il sa portait en avant des tranchées en terrain découvert pour faire face à l'attaque ennemie.
.GACHELIN (Roger-Paul-Alexis), lieutenant au 1er rég. d'artillerie coloniale : officier d'une bravoure exceptionnelle. En liaison auprès d'un bataillon d'attaque, s'est dépensé sans compter pour maintenir la liaison entre le bataillon et le groupe. Le 3 juillet 1916, à, un moment critique de l'assaut, a fait preuve du courage le plus brillant et le plus entraînant en prenant, auprès du commandant de bataillon, la tête d'une vague d'assaut et contribuant à la prise d'une tranchée ennemie fortement défendue.
MESTRIAUX (Jules-Auguste), sous-lieutenantau 36e rég. d'infanterie coloniale : le 20 juillet 1916, a vaillamment entraîné sa compagnie & l'attaque des tranchées-allemandes et ramena en ligne des unités voisines dispersées et privées de Qhet, et grâce à son courage et eava
énergie, a conservé le terrain conquis. Blessé au cours do l'action, a conservé pendant vingtquatre heures son commandement et ne s'est rendu au poste de secours que sur l'ordre de son chef do bataillon.
MINAULT (Georges), capitaine au 3c rég. d'artillerie coloniale : a fait preuve pendant l'offensive de juillet 191G, d'un coup d'œil et d'un
sang-froid remarquables. Pour les attaques des 9 et 20 juillet, a dirigé le tir de sa batterie du naut d'un arbre situé à 100 mètres de nos premiers éléments d'infanterie, bien que cet ob- servatoire soit très bombardé, y est resté jusqu'à la fin de l'action.
AUBERT (Alfred-Marceau), sous-lieutenant au 58e rég. sénégalais : bien que dans un état de santé précaire, qui aurait nécessité son évacuation, a voulu rester en ligne afin de particuation, à l'attaque du 20 juillet 1016, où il a enciper traîné avec une bravoure véritablement héroïque la première vague d'assaut jusqu'aux lignes allemandes. Est resté vingt et une heure dans les fils de fer ennemi sous un bombardement très violent et a réussi, malgré trois blessures, dont une très grave, à rejoindre nos lignes. A fait preuve de. la plus brillante énergie et d'un courage au-dessus do tout éloge.
SCHMIDLIN (Landry), sous-lieutenant au 44e rég. d'infanterie coloniale : officier d'uno bravoure remarquable, plein d'allant et d'entrain. Le 15 juillet 1916. étant ebargi de faire une reconnaissance sur les lignes ennemies pour vérifier les résultats de nos tirs su" les tranchées allemandes, a été très grièvement blessé par un éclat d'obus.
REGEMBAL (Albert-Alexandre), capitaine à la compagnie 3/1 T du 3a rég. du génie : officier de très grande valeur. A subi un bombardement d'une extrême violence au cours duquel plusieurs sous-officiers et sapeurs ont été tués ou blessés, et, par son calme et son énergie, a maintenu la confiance de ses hommes et fait reprendre les travaux momentanément interrompus.
ZEDDE (Germain), capitaine au 273e rég. d'infanterie : d'un courage à toute épreuve, ayant sur ses hommes un ascendant considérable.
5 Appelé, après l'attaque du 20 juillet, à garder un point délicat de première ligne conquise, constamment attaqué par l'ennemi, a maintenu L'inviolabilité de la ligne en restant nuit et jour au milieu de ses hommes épuisés, leur donant l'exemple du plus grand mépris du danger.
DUCHON (Alexis-Georges-Eugène-Aurélien ), sous-lieutenant au 1er rrg. du génie, compagnie 22/53: le 20 juillet i916, a fait preuve d'initiative et de belles qualités militaires en faisant battre une zone particulièrement dangereuse par une section de mitrailleuses privée de son chef, et, peu après, en ramenant au feu des fractions d'infanterie désemparées par la perte de leurs officiers. Le soir même, a été gravement blessé eu mettant son peloton en chantier à quelques mètres des lignes ennemies.
FLORENCE (Jean-Jacques), médecin-major de 2e classe A. D. : praticien habile et très courageux. Toujours sur les lignes de feu pendant les périodes de combat. A prodigué ses soins éclairés et dévoués à tous les blessés sous les bombardements les plus intenses, les a évacués avec méthode après les avoir pansés avec art.
DE GOYON ( François-Xlarie-Benoît-Joseph ), médecin-major de 2e classe au 35e rég. d'infanterie coloniale : excellent médecin en chef, d'un dévouement et d'uno activité admirables.
S'est prodigué inlassablement pendant la période c.-itique du 10 au 17 juillet, et a réussi, en dépit de difficultés sans nombre, à assurer dans les meilleures conditions l'enlèvement, le pansement et l'évacuation des blessés.
GALLIOT (Jules-Albert), médecin-major de 2e classe G. B. D., e D. I. C: : officier plein de zèle, de dévouement et d'entrain, vigoureux, allie aux qualités professionnelles les plus sérieuses. les aptitudes militaires qui en font un médecin chef de groupes de brancardiers divisionnaires de grande valeur.
DABESGAT (Olivier-Louis), aumônier catholique à la e brigade : évacué et titulaire d'un congé de convalescence, a renoncé à ce congé pour reprendre sa place au 51e rég., dès qu'il a su que ce régiment rentrait en première
ligne. A été grièvement blessé, le 29 juillet 1910, pendant qu'au cours d'un bombardement il aidait à dégager des hommes ensevelis par l'explosion d'un obus.
DURROUX (Louis-Ildebert-Jean), sous-lieutenant A. D. : bon officier de troupe, calme, dévoué sous le feu, a teuu en main sa batterie de tir au cours d'un violent bombardement où il a été blessé.
PIERRAT (Robert-Jules-Joseph), médecin auxiliaire, au 35e rég. d'infanterie coloniale : le 11 juillet 1916, pendant une opération difficile qui nous a coûté des pertes sensibles, a donne à tous l'exemple du mépris du danger en se portant aux points les plus délicats pour panser les blessés et assurer leur evacuation rapide. Ayant reçu deux blessures graves, s'est rendu seul au poste du chef de bataillon pour lui rendre compte de le situation et assurer la continuité du service sanitaire sur le champ de bataille.
DUFOUR (Alphonse), lieutenant au 273e rég.
d'infanterie ; au front depuis le début de la campagne; a monifesté, comme mitrailleur, dans les nombreuses affaires où le régiment a été engage, de parfaites qualités de bravoure, de calme courage et d'initiative hardie. A été atteint grièvement de multiples blessures en se portant à l'assaut de positions ennemies puissamment organisées.
BRUNET DE LAGRANGE (Aimé-Jacques-Léon), lieutenant au 34e rég. d'infanterie coloniale : au combat du 20 juillet 1916, commandant une compagnie sénégalaise, a enlevé brillamment un ouvrage puissamment organisé et l'a conservé jusqu'au soir, malgré les contre-attaques ennemies et un violent bombardement, disant quelques instants avant qu'il ait eu le bras emporté par un obus : « J'ai promis de tenir, je tiendrai jusqu'au bout », et faisant passer son courage héroïque dans le coeur de ses subordonnés européens et sénégalais.
HUIN (Pierre), capitaine au 26e rég. d'infanterie : excellent officier, qui a montré, à la tête d'une compagnie de mitrailleuses, de remarquables qualités de bravoure, d'allant et de dévouement. A été blessé grièvement, le 30 juillet 1916, en dirigeant une mise en batterie sous un feu de mitrailleuses ennemies violent et ajusté.
ASCOLA (François), lieutenant au 26e rég.
d'infanterie : officier d'une bravoure et d'une énergie à toute épreuve. Le 30 juillet 1916, a vigoureusement entraîné sa section à l'assaut, s'est brillamment emparé d'un élément de tranchée où il s'est maintenu sous un feu très violent de l'ennemi.
DIDIER (Pierre), médecin aide-major de 2e classe au 26e rég. d'infanterie : s'est dépensé sans compter pendant le combat du 30 juillet 1916. Dès la tombée da la nuit, s'est glissé jusqu'aux défenses ennemies, malgré les rafales de mitrailleuses, pour panser des blessés et diriger les équipes de brancardiers chargés do leur relève.
DORWLIXG-CARTER (René), lieutenant au 26' rég. d'infanterie : a fait preuve ensore une fois, le 30 juillet 1916, de ses qualités de chef en entraînant sa compagnie jusque sur les réseaux de fil de fer de la tranchée à atteindre, et en l'y maintenant malgré les combats à la grenade, les tirs de barrage et de mitrailleuses. »
DUSZ (Pierre), sous-lieutenant au 26e rég.
d'infanterio : le 30 juillet, commandant une section d'attaque, s'est élancé dans les fils de fer ennemis, y a soutenu un terrible combat contre les grenadiers et mitrailleuses ennemis, demeuré avec une quinzaine d'hommes, s'est maintenu en position pendant dix-huit heures sous le feu combiné des mitrailleuses et de l'artillerie.
BARTHÉLÉMY (Jules), adjudant, au 26e rég.
d'infanterie : adjudant venu sur sa demande de la (andarmcrie de Paris, réunissant toutes les qualités du chef, a entraîné sa section sur les lignes ennemies, lui faisant traverser un feu de barrage de grenades et a atteint la seconde ligne où il a exercé son commandement dans des conditions particulièrement périlleuses.
FERRAND (Maximin), sergent au 26" rég.
d'infanterie : sous officier d'un courage et d'une bravoure au-dessus de tout éloge; blessé une première fois d'une balle à l'œil a continué
à entraîner sa section aux cris de : « En avant "'- les gars, on les aura. » Est tombé glorieusement frappé.
BOUCHER (Alfred-Arnould), lieutenant à titre temporaire au 160e R. I. : arrivé à la lisière opposée du village, objectif fixé à sa compagnie, avec un groupe de quelques hommes, a commencé l'organisation de cette lisière; sur le point d'être entouré par un groupe ennemi très supérieur en nombre, a rallié sa compagnie en contenant l'adversaire, donnant ainsi un superbe exemple de décision, de courage et de sang-froid.
LAMBERT (André-Joseph-Bernardin ), capitaine au 120e rég. d'artillerie lourde : commandant de batterie hors de pair, n'hésitant jamais à se porter aux postes d'observation les plus exposés pour obtenir le meilleur rendement de ses pièces. A largement contribué au succès en détruisant de nombreuses batteries ennemies, grâce à la précision de son tir.
BRUN (André-Charles-William), sous-lieutenant au 23e rég. d'infanterie coloniale : officier mitrailleur d'une bravoure et d'un sang-froid hors de pair. Le 20 juillet, blessé une première fois, est resté à son poste de combat jusqu'au moment où une nouvelle balle lui a brisé la btas. A refusé de se laisser panser sur place pour ne distraire aucun homme de son service, donnant à tous le plus bel exemple d'énergie et d'esprit de sacrifice.
JAUFFRET (Paul-Léon-Joseph), chef de bataillon, 2P rég. mixte de zouaves et tirailleurs : officier supérieur qui, par sa très grande bravoure personnelle a acquis sur ses cadres et sur ses hommes un ascendant remarquable.
Vient d'affirmer à nouveau ses belles qualités militaires pendant les opérations sur. Au cours de doux attaques, a brillamment entraîné son bataillon, enlevé des tranchées, anéantissant leurs défenseurs et s'emparant de deux mitrailleuses. Sous un feu d'artillerie, particulièrement violent et malgré les contreattaques ennemies, a maintenu ses unités sur le terrain conquis.
HOPPE (Eugène-Emile), observateur, 2ge rég.
d'artillerie de campagne, détaché à la 24e compagnie d'aérostiers : observateur en ballon depuis la fin de 1915. A toujours assuré son service avec le plus grand dévouement et une énergie qui ne s'est jamais démentie. Rend journellement des services signalés par les renseignements qu'il fournit. Le 20 mars 1916, a subi sans cesser l'observation des tirs de notre artillerie, un tir fusant qui a endommagé sérieusement le ballon. Le 29 août 1916, a été surpris par un orjge violent et blessé par les décharges électriques.
DOMANGET (Charles), soldat téléphoniste à la 46e compagnie d'aérostiers : s'est toujours Signalé par son dévouement et son zèle dans des circonstances souvent périlleuses. Le 29 août 1916, lors d'un violent orage, a continué à assurer le service du téléphone au pied du ballon, malgré les décharges électriques. A été tué à son poste.
CARO (Pierre), sous-lieutenant observatear * la 46e compagnie d'aérostiers : observateur de premier ordre, rend quotidiennement des services signalés par la précision et le nombre des renseignements qu'il fournit, reste à son poste par les temps les plus Dénibles et les plus dangereux, Le 29 août 19*16, son ballon étant frappé pa" la foudre et tombant en flammes, a commencé par sauver les documents du bord avant de sauter en parachute.
GUSTIN (René-Eugène), caporal à la 46e compagnie d'aérostiers : a déjà donné maintes preuves de dévouement et do courage. Le 29 août 1916, pendant un violent orage, a été grièvement blessé à son poste, près du treuil, par une décharge électrique.
BREU1L ( Arthur-Elic-René), sergent à la 24= compagnie d'aérostiers : observateur de premier ordre ; a rendu depuis six mois des services signalés par la précision des nombreux renseignements fournis. A été grièvement biessê dans un atterrissage en parachute, après avoir sauté hors de la nacelle de son ballon enflammS par un orage; revenant à lui après un évanouissement provoqué par sa chute, a commencé par donner des renseignements sur des batteries ennemies qu'il avait repérées quelques instants avant l'accident et qu'il n'avait pas eu le temps de signaler à rutillerio.
BONIN (Ilenri), sous-lieutenant, observateur à l'escadrille M. F. 1 : le 21 août 191G, ayant reçu l'ordre de procéder à l'étude de détail des organisations ennemies dans un saillant très pro-
noncé d'un secteur nouveau, a, malgré le tir de plusieurs mitrailleuses, survolé les tranchées à faible altitude en raison des nuages et a été atteint d'une balle qui lui a fracturé l'humérus.
LABUSSIERE (Gaston-Antoine), sous-lieutenant, observateur à l'escadrille C-46: observateur remarquable par son habileté et son sangfroid. À rendu les plus grands services par ses reconnaissances photographiques dans les opérations de. : le 21 août 1916, ayant attaqué dans leurs lignes un groupe de trois avions ennemis, en a abattu un et mis les deux autres en fuite.
(Ordre du 5 septembre 1916).
LEFAUCHEUX (Marie-Joseph), sous-lieutenan au 163® rég. d'infanterie : jeune officier plein d'allant et de bravoure. Le 1er septembre 19H a entraîné sa section à l'assaut de bois de.
avec un élan admirable en criant: a C'est pour la France, courage mes amis II. Est tombé frappé de deux balles.
(Ordre da 1er septembre 1916.)
DUJON (Louis-Eugène), sous-lieutenant au 165e rég. d'infanterie : officier de territoriale d'une grande bravoure, ayant un sentiment très élevé du devoir. S'est distingué, pendant les iournées des 21 au 23 février 1916, en conduisant avec vigueur sa section au combat et en donnant à tous le plus bel exemple du mépris du danger. Est tombé glorieusement au cours du combat.
(Ordre du 1er septembre 1916.) SAGOT (Georges-Raymond), lieutenant au 23e rég. d'infanterie coloniale : a maintenu sa compagnie pendant plus de trois heures dans une tranchée violemment contre-attaquée par l'ennemi. Par sa ténacité et ses habiles dispositions, par l'exemple d'énergie qu'il a donné à ses hommes, a permis aux troupes de réserve de prendre les dispositions nécessaires pour enrayer la contre-attaque ennemie.
ESPAGNOL (Antoine), maréchal des logis a® 53e rég. d'artillerie : excellent sous-officier quI a déjà donné de nombreuses preuves de courage et de sang-froid. Le 12 août 1916 grièvement blessé et perdant son sang, a continué à diriger le tir d'une section de canons de tranchées, donnant ainsi le plus bel exemple de courage et d'abnégation.
BOURON (Camille-Marius-Marcel), sergent au 133® rég, d'infanterie : sous-officier d'un rare coupage ; après avoir dirigé volontairement une équipe chargée d'aller relever des blessés a proximité d'une tranchée ennemie, a brillamment entraîné sa demi section à l'assaut d'un fortin puissamment organisé et s'est maintenu toute la journée au contact de l'adversaire malgré un feu violent d'infanterie.
CIIIOSELLI (Paul), médecin auxiliaire au 36'3e rég. d'infanterie : a assuré le service médical du champ de bataille avec un dévouement au-dessus de tout éloge. A été gravement blessé au bras gauche au moment où il descendait dans la parallèle de départ pour accompagner les vagues d'assaut.
BENEY (Jean-Marie), soldat au 229e rég. d'infanterie : modèle de bravoure et de dévouement. Au cours des combats des premiers jours d'août 1916 a fait l'admiration de tous par l'audace avec laquelle il assurait son service de liaison à travers les tirs de barrage les plus violents. Blessé le 1er août n'eu a pas moins continué sa mission.
FINIDOrôt (Jean-Bernardin), soldat au 229e rég. d'infanterie : est allé courageusement à l'assaut d'une position ennemie ; s'y est maintenu vingt-huit heures, malgré le tir des mitrailleuses et ne s'est replié qu'après en avoir reçu l'ordre formel.
MARTELANCHE (Louis), soldat au 22ge rëg.
d'infanterie : est allé courageusement à l'assaut d'une position ennemie, s'y est maintenu vingt-huit heures, malgré un tir de mitrailleuses et ne s'est replié qu'après en avoir reçu 1 ordre formel.
DUBOE (Jean-Marie), soldat de 1re classe au 133e rég. d'infanterie : soldat d'un courage allant jusqu'à la témérité. A été blessé au moOtieni où, debout sur un retranchement ennemi
fortement défendu, il tirait à bout portant sur une mitrailleuse en action.
SORAUX (Charles), soldat au 87e rég. d'infanterie : soldat d'une bravoure exemplaire. Blessé deux fois; le 3 août 1916, s'est offert pour partir en reconnaissance vers les tranchées adverses, s'est avancé jusqu'au parapet et, reçu à conps de grenades, a riposté énergiquement, contraignant les grenadiers ennemis à se terrer. Revenu près de nos lignes, est retourné chercher son chef grièvement blessé.
CALLAREC (Jean-Yves), soldat au 87e rég.
d'infanterie : soldat d'ur.e bravoure exemplaire.
Blessé deux fois. Le 3 août 1916, s'est offert pour partir en reconnaissance vers les tranchées adverses ; s'est avancé jusqu'au parapet et, reçu à coups de grenades, a riposté énergiquement contraignant les grenadiers ennemis à se terrer. Revenu près de nos lignes, est retourné chercher son chef grièvement blessé.
BOUET (Etienne), maréchal des logis, chef de pièce au 10e groupe d'auto-mitrailleuses et d'auto-canons : volontaire pour la durée de la guerre ; sotis un feu violent de mitrailleuses et d'artillerie, s'est maintenu avec sa pièce sur une position difficile en élevant le moral de ses hommes et en donnant l'exemple du mépris du danger.
PARE (Albert), soldat au 153e rég. d'infanterie : soldat d'une bravoure exceptionnelle.
Le 30 juillet 1916, a ramené d'entre les lignes son chef de bataillon grièvement blessé, puis a repris toute la journée ses fonctions d'agent de liaison sur un terrain violemment battu par les mitrailleuses ennemies. En fin de journée, est retourné à deux reprises entre les lignes pour en ramener deux blessés.
RIOCHET (Pierre-François-Marie), capitàine au 262e rég. d'infanterie : en tête d'une compagnie d'attaque, sous uit violent tir de barrage, a enlevé sa compagnie dans un ordre parfait et, d'un bond, a conquis les trois lignes de tranchées qui constituaient son objectif.
GARION (Joseph), sous-lieutenant au 219e rég.
d'infanterie : a conduit une reconnaissance jusqu'à un barrage ennemi. A sauté le premier derrière le barrage, qui était solidement occupé, a déchargé son revolver sur les grenadiers allemands et, à la faveur du désarroi de l'ennemi, a pu ramener ses hommes sans pertes ; a rapporté au commandement de précieux renseignements.
BAFFET (Arsène), caporal au 153e rég. d'infanterie : excellent caporal. Le 30 juillet 1916, s'est proposé à trois reprises différentes pour remplacer les agents de liaison de sa section qui venaient d'être atteints mortellement par le feu d'une mitrailleuse ennemie. S'est acquitté de sa mission d'une façon remarquable en donnant à tous le plus bel exemple de courage et de mépris du danger.
MARTIN (Henri-Joseph-Adolphe), chef d'escadron commandant le 8e groupe du 108e rég.
d'A. L.: arrivé au commencement de juin avec un groupe qui venait do se dépenser en subissant de lourdes pertes, n'ayant pas connu de repos, s'est installé et a ouvert le feu en moins de vingt-quatre heures ; grâce à une précision incomparable à détruire de nombreuses batteries ennemies, HERDLY (Maurice), médecin aide-major de 2e classe, au 37e rég. d'infanterie : a été blessé le 30 juillet 1916, au cours d'une reconnaissance de poste de secours avancé. Après un pansement sommaire est retourné accomplir sa mission sous un bombardement violent et continu.
GAILLARD (Joseph-Jacques-Eugène), sergent au 133e rég. d'infanterie : au moment des contreattaques ennemies, a maintenu ses hommes en place. N'a pas cessé de les encourager et de les réconforter par son exemple, contribuant à conserver une partie du terrain' conquis.
BONNEL (André-Joseph-Cécile), aspirant au 353e rég. d'infanterie : a sollicité le commandement dune section dont le chef avait été tué.
A brillamment conduit cette section à l'assaut et a été tué en arrivant sur les posiLions conquises.
ADOLPHE (Eugène), soldat au 10e groupe d'autos-canons : a trouvé une mort glorieuse en exécutant avec le plus beau sang-froid et une remarquable précision, sous un bombar-
dement des plus violents, un tir d'efficacité sur l'ennemi.
DANTEC (Joseph), sergent au 23e rég. d'infanterie coloniale : déjà blessé et cité au cours de la campagne, a montré au cours de l'attaque du 20 juillet 1116 un sang-froid et un courage remarquables. Ayant perdu presque tous les hommes de sa section et ses piécés étant hors de service, s'est employé avec beaucoup d'énergie à obtenir des hommes qui restaient autour de lui des feux de mousqueterie sur les fractions ennemies qui contre-attaquaient. A été blessé au cours de l'action.
MARGET (Henri), soldat au 4* rég. d'infanterie coloniale : est allé relever son lieutenant, tombé grièvement blessé, dans une zone battue, alors qu'un de ses camarades venait d'être tué en essayant d'en approcher.
COPPEY (Pierre-Amédée-Émile), capitaine au 23e rég. d'infanterie coloniale : officier d'une bravoure et d'une énergie exceptionnelles cité pour sa belle conduite au combat du 3 juillet 191G a, le 20 juillet 1916 entraîné brillamment sa compagnie à l'assaut. Après s'être emparé de la première tranchée allemande, a été très grièvement blessé en conduisant son unité à l'attaque de la deuxièmo ligne ennemie.
FREMONT (Louis), sous-lieutenant au 4e rég.
d'infanterie coloniale : déjà blessé au cours de la campagne et revenu au front aussitôt guéri, s'est distingué à nouveau le 12 août 1916 en se portant à la tête de sa section, à l'assaut d'une tranchée ennemie avec le plus grand calme et le plus beau courage. Est parvenu, sous un feu violent de mitrailleuses et dans un terrain très difficile, à quelques mètres de l'ennemi, où il a été blessé grièvement.
DE LA TOUR (Mathieu), sous-lieutenant pilote à l'escadrille N.3 : brillant pilote. Le 21 août 191G, a abattu son quatrième avion ennemi.
HEURTAUX (Alfred), lieutenant pilote à l'escadrille N. 3: brillant pilote. Le 19 août 1916, a abattu son cinquième avion ennemi, qui s'est écrasé près des lignes anglaises.
GUYNEMER (Georges), sous-lieutenant pilote à l'escadrille N. 3 : les ) 17 et 18 août, a abattu deux avions ennemis devant les tranchées françaises.
DU PLAN (Louis), lieutenant pilote à l'escadrille N. 65 : pilote hardi et adroit, qui a livré de nombreux combats aériens sur les fronts les plus .actifs. Le 21 août, a abattu un avion ennemi, qui s'est écrasé en flammes en arriére des lignes ennemies.
BOUCIIOXNET (François), lieutenant observa.
teur à l'escadrille C. 43 : s'est particulièrement signalé pendant la période des attaques d'août 1916, volant constamment à très faible- altitude, sous un feu nourri d'infanterie, et rapportant toujours des renseignements précis et utiles pour la conduite des opérations. Le 12 août 1916, a eu son appareil sérieusement atteint et son pilote blessé; est rentré ayant accompli sa mission ; D'AVITAYA, lieutenant observateur à l'escadrille C. 10: très bon observateur, d'une énergie, d'uu sang-froid à toute épreuve. Toujours prêt à remplir les missions les plus périlleuses, volant par très mauvais temps à très faible altitude à l'intérieur des lignes ennemies pour exécuter des réglages d'artillerie lourde, sous un feu violent et rrécis. A eu son appareil sésieusement atteint par des balles,les 23 juin, 2, 4, 6, 13, 20 et 24 juillet 1916.
GUY (Francois-Marie-Joseph), adjudant-chef au 23e rég. d'infanterie: chef de section d una bravoure Z, exceptionnelle. Tous les officiers étant hors de combat, a pris le commandement de la compagnie et l'a maintenue sur le terrain conquis mafgré de fortes pertes.
LELUAUX (Louis\ adjudant au Sie rég. d'infanterie : sous-officier de tout premier ordre.
Modèle accompli de sang-froid et de bravoure audacieuse. Le 3 août 1916 en faisant une reconnaissance pour s'assurer de l'état des défenses accessoires de l'adversaire, après le tir de notre artillerie, s'est avancé jusqu'au parapet ennemi. Reçu à coups de grenades, a vigoureusement riposté, et avec ses trois grenadiers, a contraint les grenadiers ennemis à se terrer. A été blessé.pour la troisième fois.
GRAMÉ (Charles), lieutenant au 2" rég.
mixte de zouaves et tirailleurs (3e bataillon du 3e tirailleurs); officier choisi pour diriger la
colonne d'attaque du 2 août 1916, en raison de sa compétence et de son courage. Grâce à ses dispositions et à son énergie, a enlevé deux tranchées avec son unité en moins de quinze minutes; a tué plusieurs Allemands do sa main.
A été blessé.
LAMANDE (Alfred), sergent au 2e rég. mixte de zouaves et tirailleurs : brillante conduite au feu lors de l'attaque du 30 juillet 1916. N'a pas hésité, dans la nuit du 30 au 31 juillet, à se porter à proximité des tranchées allemandes pour ramener un de ses camarades grièvement blessé. Le 2 août 1916, pendant l'assaut eiTectué contre les tranchées ennemies, est allé s'emoarer d'une mitrailleuse allemande, qui, par un feu d'enfilade, causait des pertes sensibles à la compagnie; l'a ramenée dans nos lignes.
MAMADOIT-DIARRA, sergent au 37* rég. d'infanterie coloniale : sous-oifiéior d une bravoure ..-comparable et dune énergie farouche. Le '.) juillet 191G, a magnifiquement entraîné ses tirailleurs à l'assaut, sous un feu meurtrier de mitrailleuses et d'artillerie ; s'est cramponné avec une poignée d'hommes à quelques mètres de la tranchée ennemie, dans laquelle il s'est enfin élancé en saisissant le moment favoraqle ; y a fail 130 prisonniers dont 7 officiers, et enlevé 5 mitrailleuses. Bien qu'atteint d'une plaie pénétrante à la poitrine, par balle, a con-
tinué la lutte pied à pied dans la tranchéeeet l'a défendue le lendemain contre une violente contre-attaque. Ne s'est laissé évacuer que deux jours après et par ordre.
GAMEL, adjudant-chef au 21e rég. d'infanterie coloniale : chef de section de mitrailleuses, a été blessé grièvement en première ligne par éclat d'obus, qui a entraîne la perte de l'œil gauche. A refusé de quitter son poste avant d avoir passé son service, donnant ainsi l'exemple du plus grand courage et du plus beau sentiment du devoir.
DESPRES (Ilenri-Joseph-Pierre) adjudant pilote à l'escadrille C-43 : sous-officier pilote courageux et dévoué. S'est particulièrement distingué pendant les opérations de juillet et août 1916, dans les liaisons avec l'infanterie, volant toujours à très faible altitude, malgré le feu de l'ennemi. Le 12 août 1916, bien que sérieusement blessé, n'est rentré qu'après avoir accompli sa mission, ramenant son appareil très endommagé.
LE VERGER (Olivier-Eusèbe-Marie), chef de bataillon au 3G'JC rég. d'infanterie : officier supérieur de grande valeur. S'est dépensé sans compter avant le combat et pour la mise en place du dispositif d'attaque. Par l'ardeur qu'il a su communiquer à sa troupe, a atteint d'un seul bond et enlevé une ligne de blockhaus très fortement tenue par l'ennemi. A fait cent cinquante prisonniers, pris quatre mitrailleuses et organisé solidement le terrain conquis sous un feu violent d'artillerie.
BRUDER (Albert-Henri), capitaine au 363e rcg.
d'infanterie: a organisé en quatre jours un secteur d'attaque qui lui a permis d'enlever sans pertes la position ennemie, prenant quatre mitrailleuses et faisant prisonniers trois officiers et cent cinquante hommes environ.
Blessé par une grenade à l'attaque d'un blockhaus qui résistait à ses nettoyeurs île tranchées.
LIEUTIER (Fabrien-Joseph-Marie), capitaine au 363e rég. d'infanterie : officier do valeur, d'un courage éprouvé, d'un sang-froid remarquable.
A brillamment conduit l'assaut de sa compagnie. A été tué au moment où il arrivait sur la position qui lui était assignée.
VERDEILAIIN (Alphonse-Joseph), sous-lieutenant au 363e rég. d'infanterie : a montré un esprit de décision et une énergie remarquable en se jetant avec 5 hommes sur un blockhaus qui, situé dans le secteur voisin du sien, prenait d'écharpe sa compagnie qui attaquait.
Après quarante-cinq minutes de lutte, a fait prisonnier deux officiers et une centaine d'hommes.
DOZOL (Emilc-Marius), sous-lieutenant au 363e rég. d'infanterie : officier d'une grande énergie et d'un beau courage. S'est mis à la tête d'un groupe de grenadiers pour résister à une contre-attaque de l'ennemi. A été tué au cours de la lutte acharnée qu'il a soutenue au premier rang de ses grenadiers.
JONQUET, capitaine à l'artillerie lourde do e C. A. : officier brave, très calme, d'un très .bel exemple pour sa troupe. A été blessé très
grièvement au cours d'un bombardemsnt, en surveillant sous le feu. les travaux d organisation de l'emplacement de sa batterie établie dans une région dangereuse. A fait preuve d3 sang-froid en donnant des encouragements à ses officiers et à ses hommes, bien que se jugeant très grièvement attoint, Mort des suites de ses blessures, PUJO (Lucien), adjudant au 5e bataillon du 3e tirailleurs (2e rég. mixte de zouaves-tirailleurs) : recevant l'ordre d'aller reconnaître, après une attaque indécise, des organisations défensives ennemies, s'est élancé aussitôt sans hésiter'avec quelques hommes. Ceux ci ayant été blessés, est venu en chercher d'autres, est reparti et n'a abandonné sa mission qu'après avoir été gravement blessé par plusieurs balles de mitrailleuses.
DE MORAND (Louis), caporal au 26e rég. d'infanterie ; chargé, au cours d'un violent tir de barrage, d'aller rechercher une fraction avancée pour retrouver la liaison, a traversé le terrain battu avec le plus grand calme et la plus belle abnégation et a accompli sa mission avec succès.
POUMIER, lieutenant, commandant la compagnie du génie M/4T: officier courageux et énergique. Pendant les nuits des 13 au 17 août 1916, a dirigé personnellement un chantier soumis à un tir l d'artillerie violent et continu. Par sa belle attitude au feu, a su maintenir l'ordre et une discipline parfaite parmi les travailleurs.
TOURNIOL (Pierre-Félix-Fernand), capitaine au ge rég. d'artillerie ; excellent officier ayant donné maintes fois des preuves dft bravoure, déjà blessé deux fois; est resté vingt jours à un observatoire, constamment battu, pour mieux y assurer sa mission et y a été tué glorieusement.
WURM (François-loseph), capitaine au 56° rég.
d'artillerie : a su, pendant vingt jours do combat incessant, grâce à son sang-froid, son activité et son esprit d'organisation, triompher de toutes les difficultés pour assurer l'établissement, le tir et le ravitaillement de trois batteries do tranchées sous ses ordres et soumises à des bombardements continus et des plus violents; grièvement blessé au milieu d'une de ses batteries dont toutes les pièces ont été démontées.
LECLERC (Paul-Marie-Léon), lieutenant au 9e rég. d'artillerie : oflicier do premier ordre, tirant brillamment parti de sa batterie; est resté pendant vingt jours à un observatoire très battu pour mieux assurer sa mission, jusqu'au jour où il a été blessé.
TABOUROT (Charles), sous-lieutenant observateur à la section A. L. 215 : a rapidement acquis une maîtrise dans l'observation et rendu de grands services depuis le mois de mars 1916 et en particulier au cours des opérations du mois de juillet. S'offre toujours pour les missions les plus périlleuses; a fait preuve de grande bravoure en plusieurs circonstances, particulièrement le 21 juillet 1916, en attaquant un avion ennemi et l'obligeant à rentrer dans ses lignes.
A plus de cent heures de vol au-dessus des lignes.
BOUSQUET (Lionard-Gabriel-Sorgel, caporal au 8e rég. d'infanterie coloniale : très brave.
Toujours volontaire pour les missions périlleuses. Cité à l'ordre de la brigade pour sa brillante conduite aux combats des 1er et 2 juillet 1916. Le 2r> juillet, a fait preuve d'une grande bravoure au cours de deux attaques ennemies où il a tué deux Allemands à bout portant.
LORETTI (Louis), adjudant au 23e rég. d'infanterie : très remarquable sous-officier, a donné l'exemple du calme et du plus grand courage pendant le combat du 30 juillet 1916.
A été tué par une balle au moment où il se portait en avant à la tête de sa section. A toujours été du plus bel exemple pour ses subordonnés, se signalant dans tous les combats auxquels il a pris part.
11ERGES (Louis), lieutenant au 23e rég. d'infanterie : est tombé mortellement blessé en se portant en avant sur un terrain littéralement balayé par les mitrailleuses ennemies, donnant ainsi à ses hommes le plus bel exemple d'une bravoure froide et résolue.
DELAITRE (Henri-Gaston-Georges), sous-lieutenant au 23e rég. d'infanterie : officier qui a toujours fait l'admiration de ses camarades et de ses hommes par sa bravoure et son mépris
du danzar, S'est otfort spontanément pour una reconnaissance des plus dangereuses; est tombe mortellement frappé entre les lignes.
GERBA1X (.\lbert\, sous-lieutenant au 23e rég.
d'infanterie : oTiicier remarquable, modèle de conscienca et de .'évIJucment, s'cst toujours fait remarquer par sa bravjuro et son sang; froid. Le 30 juillet 1916 a brilla nment entraîna sa section à l'assaut: a été tm eu moment ou il abornait la tranchée ennemie. V1 PEL (Adolphe-Emilien), sous-lieutenant al 23e rég. d'infanterie : officier de tout premier ; ordre; s'est toujours signalé par son courage. sa crànerio au danger. A été tué en essayant de franchir une zon3 qu'il savait fortement battue par les mitrailleuses ennemies.
CHEVRIER DE CORCELL^S (Marie-Antoine).
aspirant au 23e rég. d'infanferie : jeune chef de section plein d'entrain et de bravoure. A été tué à la tèto d'un groupe d'éclaireurs ai !
moment où il s'élançait à l'assaut d'une tran- chée ennemie fortement occupée.
PUPUNAT (Joseph-Ernest), adjudant au 23' rég. d'infanterie : quoique blessé au bras, a < pris le commandement du premier peloton de la compagnie et l'a assuré au cours do l'ac; tion avec le plus grand sang-froid, montrant > en cette occasion son habituel mépris du danger et sa bravoure. A été tué d'une balle à la tète.
CATHERIN (Philibert-Marie), soldat mitrailleur au 23e rég. d infanterie : au cours d'un rude combat a fait l'admiration de ses camarades ; en remplaçant, quoique blessé, le tireur de sa ; pièce qui venait d'être tué. A été tué lui-même à son poste, à bout portant.
IIEDDE (André), sous-lieutenant au 5* bâtait Ion du 3e tirailleurs (2e rég. mixte de zouaves tirailleurs) : officier du plus grand mérite, aussi brave que modeste, arrivé sur le front incomplètement guéri d'une blessure très grave.
A entraîné sa section avec le plus grand mépris du danger, contre des organisations défen-
sives puissantes. Est tombé glorieusement à quelques mètres des lignes ennemies.
MONDOLONI (Jacques), lieutenant aUj 3e bataillon du 3e tirailleurs (2e régiment mixte de zouaves et tirailleurs) : officier très brave, d'une énergie peu commune. Com- j mandant une section do mitrailleuses; blessé j légèrement au cours de l'attaque du 30 juillet i 1916, a conservé son commandement et, par ses dispositions habiles, a arrêté une contre- i attaque allemande. Deux jours après, désigne j pour étayer une nouvelle attaque avec sa sec- J tion, a rempli sa mission avec succès. A été A"M blessé mortellement au cours de l'action. "1 DEMESMAY (Emile), capitaine au 23e rég. d'in- -, fanterie : officier d'une haute valeur morale et d'une grande distinction d'esprit ; a été frappé i mortellement par une balle de mitrailleuse au t moment où sa compagnie, entraînée par son -ïj exemple et ayant parcouru 500 mètres sous la J feu, allait atteindre son premier objectif. i SEON (Antoine), capitaine au 23e rég. d'in fan- j terie -. officier doué -des plus rares vertus rnili-.
taires, d'un courage souriant, d'une bonne i humeur inébranlable ; a enlevé dans un magni- 1 fique élan sa compagnie, le 30 juillet 1916, et !
l'a conduite jusqu'aux tranchées ennemies. ;
Est tombé frappe au front d'une balle de mi- i trailleuse.
PRIMEVERT (Charles), lieutenant au 23e rég.
d'infanterie : officier d'une grande conscience, 1 modeste et absolument dévoué, a toujours j donné l'exemple" de la plus réelle bravoure. !
Atteint mortellement par un obus, à la tête de sa section, pendant l'assaut.
BONXIER (Marie-Auguste), capitaine au 23e rég. 1 d'infanterie: officier de cavalerie ayant une j haute conception de son devoir ; a été tué au i moment où, sous le feu des mitrailleuses ; ennemies, il se portait auprès d'une de ses : sections dont le chef venait de disparaître. i MARTIN (Arsène\ lieutenant au 23e rég. d'in- , fanterie : officier actif et courageux. A vigou- 3' reusement entraîné si compagnie pour renforcer la première ligne déciméo par les mitrail- i leuses. A été tué en arrivant sur cette ligne.
COTE (Etienne), lieutenant au 23e rég. d'infanterie : s'est toujours montré aussi dévoué que courageux et énergique. Tombé glorieusement, mortellement frappé, le 30 juillet 1916, à la tête de sa section, au moment où il l'antrah
nait à l'assaut des tranchées ennemies. Officier remarquable, qui exerçait son commandement avec une autorité et une énergie dignes des plus grands éloges; avait sur tous ses hommes, par son a!lant, son courage, sa crânerie au feu, un ascendant inoral considérable.
FASSIN (Lazare), sous-lieutenant au 229erég.
d'infanterie : officier courageux et rempli d'énergie. Chargé, le 1er août 1916, de s'emparer d'un boyau ennemi, s'est élancé et a combattu à la tête de ses grenadiers, donnant à tous un bel exemple de dévouement. Atteint d'une balle à la tête, est tombé en accomplissant sa mission. CIIOTARD (Alphonse-Joseph-Xavier), souslieutenant au 229e rég. d'infanterie : officier d'une bravoure et d'une énergie magnifique.
A lancé sa section à l'attaque du 8 août avec une ardeur exceptionne'le. a enlevé la position ennemie, sur laquelle il est tombé frappé d'une balle à la poitrine. A dû être évacué de force.
A déjà été cité pour sa belle ardeur au combat.
BILLIER (Georges),, capitaine au 13.3e rég.
d'infanterie : tué en entraînant, do la façon la plus brillante sa compagnie à l'attaque.
DEMENTIION (Joseph), lieutenant au 133e rég.
d'infanterie : tué en pénétrant à la tête de sa section, dans un ouvrage allemand puissamment organisé et défendu.
LACIIAUD (Jean-Mathicu\ lieutenant au 133e rég. d'infanterie : tué en entraînant avec le plus grand entrain sa section à l'attaque.
OUDOT (Henri-nager). lieutenant au 133e rég.
d'infanterie : officier remarquable do courage et d'allant. Blessé d une balle à l'épaule, dès le début de l'attaque du 30 juillet 1916, a continué le combat pendant toute la journée, a fait dix prisonniers, n'a consenti à se laisser évacuer que lorsque sa section a été relevée.
DUV1LLARD (Charles), sons-lieutenant au 133e reg. d'infanterie; officier d'une très haute valeur morale, plein dallant, de bravoure et d'énergie. A été tué en entraînant sa section en avant, donnant à tous l'exemple du sacrifice le plus grand.
TACHE (Joseph-Alhcrt-Robert), sous-lieutenant au 133e rég. d'infanterie: officier d'une très haute va'eur morale et d'une bravoure remarquable. Bien que blessé au début de l'action a entraîné sa sectiou sous une violente rafale d'artillerie et d Infanterie. A atteint l'objectif qui lui était assigné, et, par son feu, a empêché une contre-attaque de déboucher.
(Ordre du 3 septembre 1916.)
■ Il II
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914; Vu les décrets des 2:3 avril 1013 et 23 octobre 1916; Vu l'arrêté du 11 novembre 1915, Arrête : Article unique. — Est rayé du tableau spécial de la médaille militaire avec retrait de la Croix de guerre, à compter du 1er décembre 1916, le militaire dont le nom suit : Lussert (Louis).. caporal au 3e rég. de marche de zouaves, médaille militaire avec Croix de
guerre par arrêté du 11 novembre 1915 (Journal officiel du 14 du même mois).
Paris, le 4 décembre 191G.
ROQUES.
-
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 191 i ; Vu les décrets des 23 avril 1915 et 23 octobre 1916; Vu l'arrêté du 28 juillet 1013, Arrête : l- Article unique. — Est rayé du tableau spécia1 de la médaille militaire avec retrait de laXroix cie. guerre, à compter du 12 octobre 1916kle IlIlllititire dont le nom suit : Tk Campistrous (François-Camil'e), soldat de 1re classe au 125® rég. d'infanterie, médaillé militaire avec Croix de gu?rre par arrêté du 'Q'Julllet 1915 (Journal officiel du 29 du même
mois), alors qu'il appartenait au 295e rég. d'in- fanterie.
Paris, le 4 décembre 1916.
ROQUES.
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914; Vu les décrets des 23 avril 1915 et 23 octobre 1916; Vu l'arrêté du 20 janvier 1915, Arrête : Article unique. — Est suspendu, à compter du 1er décembre 1916 et jusqu'à nouvel ordre, du droit de porter la médaille militaire et la Croix de guerre, ainsi que des prérogatives attachées à ces décorations qui lui ont conférées par arrêté du 2j janvier 1915 (Journal officiel du 22 du même mois), alors qu'il appartenait au 51c rég. d'infanterie, le militaire dont le nom suit : Arthaud (Henri-Emile), sergent au 17e rég.
d'infanterie.
Paris, le 4 décembre 1916.
ROQUES.
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Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914 ; Vu les décrets des 23 avril 1915 et 23 octobre 1916; Vu l'arrêté du 8 décembre 1915, Arrête : Article unique. — Est rayé du tableau spécial de la médaille militaire avec retrait de la Croix de guerre, à compter du 10 novembre 1915, le militaire dont le nom suit : Villaume (Paul-Ferdinand),ex-soldat au 2e rég.
de zouaves, médaillé militaire avec Croix de guerre, par arrêté du 8 décembre 1915 (Journal officiel du 11 du même mois).
Paris, le 4 décembre 1916.
ROQUES.
ÉTAT-MAJOR GÉNÉRAL DE L'ARMÉE MUTATIONS
Armée activa.
Par application des dispositions de l'article 37 de la loi du 13 mars 1875: M. le général de brigade Bro (Joseph-JustinPierre-Marie) est placé, à dater du 5 décembre 1916, dans la 2* section (réserve) du cadre de l'état-major général de l'armée.
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INFANTERIE MUTATIONS
Par décision ministérielle en date du 2 décembre 1916, les mutations ci-après sont prononcées : Réserve.
M. Molinier (F.), chef de bataillon au 88* rég. d'infanterie, est nommé commandant de dépot. M. Nussas (P.), capitaine de réserve ou 412* rÓg. dïnfanterie, passe au bataillon de re- serve de Rabat.
M. Iloerler (G.\ capitaine, de réserve au 2;5e rég. d'infanterie, passe au 260e reg. d'infanterie.
M. Birgé (S.), capitaine de réserve au 235e rég.
d'infanterie, passe au 260erég. d'infanterie.
M. Bouveresse (C.), capitaine de territoriale au 235e rég. d'infanterie, passe au 260e rég. d'infanterie.
M. Loret (II.), capitaine de réserve au 116e rég. d'infanterie, est nommé major du corps.
M. Bonnet (R.), lieutenant de réserve au 77e rég. d'infanterie, passe au 10e rég. d'infanterie.
M. Versavault (G.), lieutenant de réserve au 127e rég. d'infanterie, passe au 66e rég. dïnIilnterie.
M. de Tinseau (C.), lieutenant de réserve au 360e rég. d'infanterie, passe au 2e bataillon d infanterie légère d'Afrique.
M. Rouzé (J.), sous-lieutenant de réserve au 272° rég. d'infanterie, passe au 39e rég. d'infanterie.
M. Pourcelot (P.), sous-lieutenant de réserva au 16e rég. d'infanterie, passe au 332e rég. d'infanterie.
M. Lapart, lieutenant de réserve à la disposition du résident général de France au Maroc, passe au 1er bataillon d infanterie légère d'Afrique.
M. Baril IV, sous-lieutenant de réserve au 58e bataillon de chasseurs, passe au 1er rég. do marche d'Afrique.
M. Deunf (A.), sous-lieutenant de réserve au 25e bataillon de chasseurs, passe au 25e bataillon de chasseurs (faisant fonctions d'officier chargé du matériel).
M. Lanisson (A.), lieutenant de ré-serve au 20 rég. de tirailleurs, passe au 2e rég. de zouaves.
Armée territoriale M. Piguet, lieutenant-colonel commandant Le centre d'instruction de Pontorson, passe aux services spéciaux du territoire de la 10e région.
M. Boulanger (P.), chef de bataillon au 8 V' r'-g.
d'infanterie, passe au 61° rég. territorial d'indu terie
M. Guénin (E.), chef de bataillon, service des prisonniers de guerre, passe aux services spéciaux du gouvernement militaire de Paris.
M. Schmitter (t.), capitaine d9 territoriale au 2e rég. mixte de zouaves et tirailleurs, passe au 291e rég. territorial d'infanterie.
M. Beynet (J.), capitaine de teorritori-ile. lie-rr.
cadres, est réintégré au 81e rég. territorial d'infanterie.
M. Cazalus (B.), capitaine de territoriale au 72e jég. territorial d'infanterie, passe au ru a'éf.
territorial d'infanterie.
M. Guimbal, capitaine de territoriale au 283e rég. territorial d'infanterie, passe au 86e rég. territorial d'infanterie.
M. Arnaud (P.), capitaine de territorial au 112e rég. territorial d'infanterie, passe au liue rég. territorial, à dater du 28 juin 1915.
M. Bertrand, lieutenant de territoriale au 39° rég. territorial .d'infanterie, passe au 34e rég.
territorial d'infanterie.
M. Rousset (F.), sous-lieutenant de réserva au ,51e r.ég. d'infanterie, passe au .86e r."g territorial d'infanterie.
M. Béziade (J.), lieutenant de ré-erve au
34e rég. d'infanterie, passe au 139e rég. territorial d'infanterie.
M. Enjalran, lieutenant de territoriale au 125e rég. territorial d'infanterie, passe au 4" ba* taillon territorial de chasseurs.
« -
CAVALERIE
ADMISSIONS A L'HONORATUAT Par décision ministérielle du ier décembre 1916 et par application do la loi du 24 avril 1916, sont placés dans la position d'officiers honoraires les anciens officiers de complément dont les noms suivent: Réserve.
Avec le grade de capitaine de réserve honoraire.
M. Lnmbret (Adolphe-Léon), en résidence à Paris, 18, rue Pierre-Levée.
Avec le grade de lieutenant de réserve honoraire.
M. Cottu (Henri-Louis-Felix), en résidence à Paris, 2J, rue Cambon.
Armée territoriale.
Avec le grade de capitaine de territoriale honoraire.
M. Chenesseau (René-Frédéric), en résidence à Orléans, 33, faubourg de Bourgogne.
❖
GENDARMERIE MUTATIONS Armée territoriale. Par décision ministérielle du 3 décembre 1916 : M, Gataing, capitaine territorial, major de la .garnison à constantine (Algérie), est désigné 1 pour commander l'arrondissement de gendarmerie d'Orléansville (service).
VÉTÉRINAIRES MILITAIRES MUTATIONS
Armée active.
Par décision ministérielle du 3 décembre 1916, sont mis à la disposition du ministre des colonies : M. de Croizant, vétérinaire-major de 2e classe du 50e rég. d'artillerie, en congé à Saumur.
M. Ledoux, vétérinaire-major de 2e classe du 57e rég. d'artillerie.
M. Malfroy, vétérinaire aide-major de lreclasse du 4e rég. de chasseurs.
M. Hussenet,vétérinaire aide-major de lreclasse du 28e rég. d'artillerie.
Ces vétérinaires seront placés hors cadres à dater du jour de leur embarquement.
o ——————
ARTILLERIE et TRAIN DES ÉQUIPAGES MILITAIRES
ADMISSIONS A L'HONORARIAT, PROMOTIONS ET NOMINATIONS e Par décision ministérielle du 21 novembre 1916 et par application de la loi du 24 avril 1916, sont placés dans la position d officiers de complément honoraires, les anciens officiers de complément dont les noms suivent : Armée territoriale.
ARTILLERIE
Avec le grade de chef d'escadron territorial d'artillerie honoraire.
M. Mariotti (A.-K.-L.-L.), résidant à la Rabière, par Joné-les-Tours.
Avec le grade de capitaine territorial d'artillerie honoraire.
M. Bouiller (Il.-J.), résidant à Poilly-sur-Serein (Yonne).
TRAIN DES ÉQUIPAGES MILITAIRES Avec le grade de capitaine territorial du train des équipages militaires honoraire.
M. Crappier (E.-P.), résidant à Corbeil (Seineet-Oise), 1, rue d'Alsace-Lorraine.
Ji l'cc le grade de lieutenant territorial du train des équipages militaires honoraire.
M. Batailley (A.-L.), résidant à Podensac (Gironde).
ilar décret du Président de la République en date du 30 novembre 1916, rendu sur le rapport <iu ministre de la guerre, sont promus dans le cadre des officiers d'artillerie territoriale aux grades ci après et, par décision ministérielle du même jour, sont maintenus dans leur affectation actuelle, savoir:
, Au grade de sous-lieutenant.
Les lieutenants à titre temporaira : M. Houbé (A.-P.), du 22e rég.
M. Taphoureau (P.-G.), du 9e rég. à pied.
Les sous-lieutenants do réserve à titre temporaire : M. Begnard (H.-G.-E.-M.), du 34e rég.
j*. Brufè (E.-M.-A')J du a r
_a.--.
M. Godiet (A.-A.), du 7e rég. à pied.
M. Lefébure (A.-A.), du 7e rég.
M. Lcvesqus (A.-M.-F.), du 10e rég.
M. Verney (F.-E.). du fOie rég.
Les sous-lieutenants de tsrritoriale à titre temporaire : M. Armeilla (C.-A.- M.), du 20e rég.
M. Audrix (E.), du 3e rég. à.pied.
M. Authescrre (J.-E.), du 59= rég.
M. Ballot (A.-J.-C.), du 5e rég.
M. Baudon (II.-A.-C.-M.), du 57e rég.
M. Berger (P.-E.-L.), du 110c rég.
M. Bohuon (A.-A.), du 9e rég. à piod.
M. Boisseau (A.-A.-C.), d'un parc aéronautique.
M. Boudin (M.), du 12e rég.
M. Bourbon (P.-F.), du 2ie rég.
M. Bourcelot (C.-L.-M.), du 5" rég. à pied.
M. Bouthors (E.-M.-A.), du 118* rég.
M. Colcombot (J.-J.-F.-G.-M.), du 101e rég.
M. Courvoisier (J.-D.), du 10ie rég. M. Déliot (P.-L.-L.), du 16e rég. v M. Denis (A.-M.-J.), du 10e rég.
M. Dufour (C.-F.-H.), du 35e rég.
M. Dumas (Il.-R.-P.), du 3e rcg. à pied.
M. Ecal (M.-P.-J.), du 3e rég. à pied.
M. Fayolle (L.-A.), du 8e rég. à pied.
M. Fridez (L.-E.), du 85e rég.
M. Gadrat (J.-R.), du 57e rég.
M. Gaymy (A.-M.-J.), du 10e rég. à pied.
M. Gervaise (C.-L.), du 9e rég. à pied.
M. Gret (J.), du 3° rég. à pied.
M. Hippolyte (J.-II.), du Ge. group3 à pied d'Afrique.
M. llirscli (E.), du 22e rég.
M. Hugonin (A.-M.), du 19e rég.
M. Jacq (E.-M.-M.), du 9e rég. à pied.
M. Jarlier (E.-L.-A.), du 81e rég.
M. Joachim (L.), du 9e rég. à pied.
M. Jurion (M.-A.), du 11e rég. à pied.
M. Labbe (F.), du 15e rég.
M. Lagorce (P.-M.-II.), du 43e rég.
M. Lebourdais (A.-A .-H.), du ge rég. à pied.
M. Le G ail (J.-P.-M.), du 3e rég. à pied.
M. Leroux (P.-J.-D.). du 11e rég.
M. Lestrade (M.-A.-F,), du 3e rég. à pied.
M. Louis (M.-L.-E.-R.), du 20= rég.
M. Marche (A.-II.), du 103e rég.
M. Mascard (L.-P.-J.), du 61 groupe à pied d'Afriquo.
M. Ménager (R.-J.), du 5e rég. à pied.
M. Monceau (M.-F.-C.-P.), du 45e rég.
M. Muret (L.--C.), du 3e réJTà pied.
M. Nazal (F.-L.), du 11e rég. à pied.
M. Pannetier (J.), du 11e rég. à pied.
M. Pineau (E.-'L.:J.)', du 117e rég.
M. Ponthus (P.-D.), du 12e rég.
M. Protte (J. -B.-A.-J.), du 39e rég.
M. Puzin (L.-R.), du 10e rég. à pied.
M. Quentin-Roux (F.-A.), du 54e rég.
M. Quété (P.-A.-F.), du 33e rég.
M. Quoniam de Schompré (E.-P.-M.), du 35® rég.
M. Renonciat (E.-A.), du 3e rég. à pied.
M. Ruellan (X.-V.-M.-A.), du 23e rég.
M. Santouil (E.), du 23e rég, 1 M. SChuJller (E.-P.-L.), du 14e rég.
M. Suborvielle (J.-G.-G.), du 12e rég.
M. de Tessières (M.-A.), du IIIe rôg.
M. Toinon (L.), du ge rég.
M. Tournaux (G.-IL), du 3e rég. à pied.
M. Vignes (E.-J.-G.), du 11e rég. à pied.
M. de Vincens de Causans (M.-J.-A.-V.), du 114a rég.
M. Wingcrter (C.-J.), du 107e rég.
Les sous-officiers de complément : M. Barradin (C.-P.), du 48e rég.
M. Bérard (N.-M.), du 48e rég. M. Bernard (J.), du 11Se rég.
M. Billiaert (G.-L.), du 83e rég.
M. Bories (E.-J.), du 10e rég. à pied. I M. Chartraire (P.-J.-B.), du 10ie rég. [
M. Couyreur (P.-E.), du 117e rég.
M. Delagoutte (E.). du 8e rég. à pied.
M. Demarcq (J.), du 5e rég. à pied.
M. Doyen (C.-Il.), du 5e rcg. à pied.
M. Droguet (A.-M.), du llSe rég. j M. Gandelin (G.-B.-L.), du 48e rég. 1 M. Fouillarat (G.). du 10e rég. à pied.
M. Gaubin (E.-V.-L.). du 14e rég.
M. Jourdin (I.-IL), du 55e rég.
M. Junck (C.), du 23e rég.
M. Lamouret (L.), du 118e rég.
M. MaûIle (T.-P.-J.-B.), du 113e rég.
M. Méhu (E.-L.), du 32e rég.
M. Pandard (A.), du Ge rég, M. Perreau (J.-P.), du 53e rég. !
M. Ravon (E.-M.-L.), du 55e rég.
M. Rousseau (A.-C.-IL), du 35" rég.
M. Thonier (C.-H.), de l'aviation militaire.
M. Thovex (G.-F.), du 5e rég.
M. Trendlé (F.), du 7e lég. à pied. 4 M. Verdier (C.-E.), du 2e rrg. 1 Par décision ministérielle du 30 novembre 1916 et par application des décrets des 2 janvier et 3 mai 1915, les nominations et affecta- t.
tions cj-aprds, à titre temporaire et pour la durée do la guerre sont ratifiées et compteront aux dates suivantes, savoir : , AnTILLERIE •
Réserve. ;
Au grade de capilaine..
Les lieutcnan's : j (Rang du G novembre 1916.) i M. Vcrdurand (A.-P.-L.-J.), du 6e rég., détaché, au service aéronaulique. — Maintenu. :
* (Bang du 21 novembre 191G).
M. Lacroix (J.-G.), du 83e rég. — Maintenu. .1 Au grade de lieutenant. '11 (Rang du 18 novembre 1916.)
M. le sous-lieutenant Veillon (E.-J.-A,), du j 51e rég. d'infanterie. — Maintenu. ; Au grade de sous-lieutenant. f (Rang du 18 novembre 1916.) '< M. l'adjudant Allary (R.-A.-A.), du 3e rég. a pied. — Maintenu.
pied. - blaititenu.
SERVICE DE SANTÉ jj PROMOTIONS ET NOMINATIONS !H 1 Réserve et armée territoriale.
Par décision ministérielle du 2 décembre 1916, ont été nommés dans le cadre auxiliaire du service de santé militaire et mis à la dispo- "j sition des régions ci-après :
Au grade de médecin aide-major de 2e classe de réserve (à titre temporaire). Les médecins auxiliaires : 13e région. - M. Aubert (Mariui-Michel), 13e section d'infirmiers militaires.
17e région.— M. Baud-u (Laurent-Jules), 17e section d'infirmiers militaires. ; 13e région. — M. Chaize (Jean-Antoine)» f 92e rég. d'infanterie (dépôt). j 3e région. — M. Despraieries (Paul-Léon-Ali.
lointy, 36e rég. d infanterie (dépôt).
Gouvernement militaire de Paris. — M. Descaves" (Jean-Eugène-Louis), actuellement ea traitement à Paris, hôpital auxiliaire, 7, rue d8 la Chaise.
14e région. — M. Gondal (Lucien-André-Louis), 9e rég. d'artillerie. 7 < Afrique du Nord. — M. Guillot (Robert), di*l* sion occupation: Tunisie.
10e région. — M. Saleur (Gaston-Emile-Henri), 1060 rég. d'artillerie lourde (dépôt).
Au grade de médecin aide major de S" classe de l'armée territoriale (à titre temporaire).
3e région. — M. le médecin auxiliaire Duchesne (Robert-Edmond), centre d'instruction d'Ecouis.
Par décision ministérielle du 30 novembre t 1916 et par application du décret du 2 janvier 1915, les promotions et nominations ci-après ont été ratifiées : Réserve.
Au grade de médecin aide-major de le classe de réserve (à titre temporaire).
Les médecins auxiliaires : (A dater du 10 novembre 1916.) ,. M. Caillé (René), parcs et convois du G. 0.
M. Jacotof (Paul), 57e rég. d'artillerie.
(A dater du 13 novembre 1916.) M. Chausse (Maurice), compagnie 13/52 du génie.
M. Couinaud (Joseph-Pierre),30e rég. territorial d'infanterie.
M. Genillon (Fernand), 6e rég. d'infanterie.
(A dater du 16 novembre 1916.) M. Chandebois (Georges-Henri-Charles), 145e rég. territorial d'infanterie.
M. Doumer (Armand), 201e rég. d'infanterie.
M. Gadrat (Maurice-William-Marie), 136e rég.
d'infanterie.
M. Mourlon (Olivier), compagnie 20/3 T. du génie.
M. Tisné (Marie-Joseph-Jean), 37e rég. d'artillerie.
(A dater du 19 novembre 1916.) M. Dariau (Eugène-Charles-André), compagnie 8/52 du génie.
M. Creuzot (Jean-Joseph), compagnie 8/2 du génie.
M. Pataud- Devalencienne (Henry-Jean-RenéYalêry-Marie-Joseph), compagnie 10/4 du génie.
(A dater du 20 novembre 1916.) M. Oberlin (Serge-Léopold-Alfred), compagnie 20/61 du génie.
M. Perol (Marcel-Félix-Ferdinand), 850 rég.
o artillerie lourde.
M. Sicre (Emile-François), 57" rég. d'artillerie.
(A dater du 22 novembre 1016.) M. Bisson (André-Hippolyte-Eugène). 68e bataillon de chasseurs alpins.
M. Delpliin (Marie-Philibert-Denys), compagnie des cantonniers C. C. 101. Il
M. Guillon (Jacques-Marie-Josepb), compagnie 26/4 M. du génie.
M. Long-Depaquit (Louis), compagnie 5/1 du
gCIlle.
Armée territoriale.
Au grade de médecin-major de 2e classe de l'armée territoriale [à. titre temporaire).
Les médecins aides-majors de lre classe : (A dater du il novembre 1916.) M. Lemoyne de Yernon (Marie-Louis-Augustin), chef de service au 24e rég. d'infanterie.
M. Pradel (Armand-Marie-Eugône), chef de Service au 340e rég. territorial d'infanterie.
(A dater du 13 novembre 1916.) M. David (Gustave-Marie-Léon), chef de service au 81e rég. territorial d'infanterie.
Au grade de médecin aide-major de 2" classe de l'armée territoriale (à titre temporaire).
Les médecins auxiliaires : (A dater du 19 novembre 1916.) t M. Madelaine (Charles-Michel-Joseph), laboratoire d'armée du D. A. L, A
(A dater du 20 novembre 1916.) M. Lauler (Joseph), 33° règ. territorial d'infanterie.
Armée active.
Par décision ministérielle du 30 novembre 1916 et par application du décret du 2 janvier 1915, les promotions et nominations ci-après ont été ratifiées :
Au grade de médecin principal de 2e classe de l'armée active (à titre temporaire).
Les médecins-majors de lre classe : (A dater du 23 novembre 1916.) M. Dettling (Georges-Edouard), médecin divisionnaire, 151e division d'infanterie.
M. Eybert (Paul), chef du service de santé, 89e division territoriale.
M. Legrand (César), médecin divisionnaire, 778 division d'infanterie.
M. Lafeuillo (Paul-Louise chef de service de santé, 124° division d'infanterie.
Au grade de médecin-major de Se classe de l'armée active (à titre temporaire).
(A dater du 10 novembre 1916.) M. le médecin aide-major de lre classe Vuillaume (Jean-Pierre-Eugène), chef de service au 44? bataillon de chasseurs à pied.
Au grade de médecin aide-major de 2e classe de l'armée active (à titre temporaire).
Les médecins auxiliaires: (A dater du 13 novembre 1916.) M. Wurmser (Raymond-André-Gaston), élève de l'école du service de santé militaire, 219e rég. d'infanterie.
(A dater du 20 novembre 1916.) M. Ray (Paul-Louis), élève de l'école du ser- vice de santé militaire, 103e rég. d'artillerie lourde.
- ? V* Réservent armés territoriale.
Par décision ministérielle du 30 novembre 1916 et par application du décret du 2 janvier 1915 les nominations ci-après ont été ratifiées: Au grade d'officier d'administration de 3e classe de réserve (à titre temporaire).
Les élèves-officiers de réserve : (A dater du 13 novembre 1916.) M. Petit (Pierre-Marie), R. P. S. d'une armée.
(A dater du 14 novembre 1916.) M. Duliot (Henri-Alfred-François), R. P. S.
l'une armée.
Au grade d'officier d'administration de 5e classe de Varmée territoriale (à titre temporaire).
Les sergents : (A dater du 11 novembre 1916.) M. Renateau (Elie-Jean-Louis), ambulance 12/3 étapes.
M. Hubert (Ernest-Eugène), G. R. D. 69e D. I.
M. Despujols (François-Lucien), ambulance 16/1 étapes.
M. Insloger (Joseph-Prosper), ambulance 15117 37e C. A.
(A dater du 11 novembre 1916.) M. l'adjudant Creach (Maurice-Jules-LouisFélix), G. IL D., 97e D. I. territoriale.
<s>—
AÉRONAUTIQUE MILITAIRE MISE HORS CADRES Armée active.
Par décision ministérielle du 3 décembre 1916 :
M. Josset (M.-D.), officier d'administration de) lre classe du génie, chef d'une escadrille aux armées, est mis hors cadres au titre de l'aéro-1 nautique militaire.— Maintenu dans sa situas -tion actuelle.
.0-
SERVICE DE LA JUSTICE MILITAIRB NOMINATIONS ET MUTATIONS Par décision ministérielle du 1er décembre, 1916, et par application du décret du 12 no-' vembre 1914, les militaires ci-après ont été s nommés au grade de sous-lieutenant d'infanterie territoriale à titre temporaire et pour la' durée de la guerre, pour être affectés à des parquets de conseils de guerre aux armées, savoir : M. Patron (Henri-Auguste" sergent territorial au 159e rég. d'infanterie, commis greffier chef de service près le conseil de guerre d'une division.
M. Chonez (Maurice), sergent au 33e rég.
territorial d'infanterie, commis greffier adjoint près le conseil de guerre d'une division.
M. Oustrières (Fernand-Paul-Clément), sergent territorial au C. V. A. D. d'un corps d'armée, commis greffier adjoint près le conseil de guerre d'une division.
M. Diolot (Claude-Joseph-Maurice), soldat au 37* rég. territorial d'infanterie, commis greffier adjoint près le conseil de guerre d'une division.
Par décision ministérielle du 3 décembre 1916 : M. l'officier d'administration de 2e classe Falconetti, aide comptable à l'atelier de travaux' publics d'Orléansville, a été désigné pour exercer les fonctions de comptable à l'établissement pénitenciaire militaire de Collioure (service).
0-
Erratum au Journal officiel du 11 avril 1916 : page 3033, lre colonne, 18e alinéa, le passage au 25° rég. territorial d'infanterie du lieutenant de territoriale-Bourlicr (G.), du 22Ge rég. d'infanterie, est annulé.
Erratum au Journal officiel du 2 décembre 1916 : page 10431, 3e colonne, 27e ligne, au lieu de : « Guillemain (René-Edouard), sergentmajor au 58e rég. », lire : « au 56e rég. ».
MINISTÈRE DE LA MARINE
Le ministre de la marine, Vu le décret du 13 août 1914,
Arrêta: Le premier maître mécanicien Barrada (OrnerJean Jules), Toulon 5711, est inscrit au tableau spécial de la médaille militaire pour prendre rang du 29 novembre 1916 : services exceptionnels rendus lors des travaux de sauvetage du vapeur anglais Petroleine.
Paris, le 4 décembre 1016.
LACÀZE.
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Par décret en date du 2 décembre 1916, M. le capitaine de frégate Audemard (Louis-Théophile) a été nommé au commandement du croiseur cuirassé Kléber.
.i-ii i I. —
Par décret en date du 2 décembre 1916, M. le capitaine de vaisseau Ricquer (Arnould-CharlesFerdinand), du port de Toulon, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite., à titre d'ancienneté de services, par application de la mesare sur la limite d'âge, et-a été nommé, avec son grade, dans la réserve de l'armée de mer.
Cet officier supérieur sera rayé des contrôles de l'activité à la date du 7 janvier 1917; il restera affecté au port de Toulon.
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Par décret en date du 2 décembre 1916, M. le capitaine do vaisseau Badin (Charles-Louis), du port de Brest, a étu admis à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services et par application de la mesure sur la limite d'âge, et a été nommé, avec son grade, dans la réserve de l'armée de mer.
Cet officier supérieur sera rayé des contrôles de l'activité à la d tte du 9 janvier 1917 ; il restera affecté au port de Brest.
Par décret en date du 2 décembre 1916, M. le capitaine de vaisseau Rey (Eugène-Louis), du port de Lorient, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services et par application de la mesure sur la limite d'âge, et a été nommé, avec son grade, dans la réserve de l'armée de mer.
Cet officier supérieur sera rayé des contrôles de l'activité à la date du 17 janvier 1917 ; il restera affecté au port de Lorient.
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Par décret en date du 2 décembre 1916, M. le capitaine de frégate (résidence fixe) Lefrançois (Charles-Victor), du port de Cherbourg, en service à Brest, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services et par application de la mesure sur la limite d'âge, et a e' é nommé, avec son grade, dans la réserve de l'armée de mer.
Cet officier supérieur sera rayé des contrôles do l'activité à la date du 18 janvier 1917 ; il restera affecté au port de Cherbourg.
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Par décret en date du 2 décembre 1916, M. le (mécanicien inspecteur de 2e classe Ileimsch Jules-Frédéric), du port de Toulon, en service à Lorient, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite à titre d'ancienneté de services et par application do la mesure sur la limite d'âge et a été nommé, avec son grade, dans la réserve de l'armée de mer.
Cet officier supérieur mécanicien sera rayé des contrôles do l'activité à la date du 17 janvier 1917 ; il restera affecté au port de Toulon.
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Par décision ministérielle du 1er décembre : 1916, ont été promus dans le personnel administratif de gestion et d'exécution (comptables des matières) : A l'emploi de commis principal de fre classe.
(Tour ancienneté). M. Feniou (Léon), commis principal de 2e classe à Rochefort, en remplacement de M. Pochart(Yves), commis principal de 1" classe, retraité.
A l'emploi de commis principal de !e classe.
(Tour ancienneté). M. Girousse (Alphonse-RoiLouis), commis principal de 3e classe à Toulon, en remplacement de M. Feniou, promu.
- A l'emploi de commis principal de 3e classe.
(Tour choix). M. Le Doaré (Joseph), commis de lre classe à Lorient, en remplacement de M. Girousse, promu.
A l'emploi de commis de 1re classe.
(2e tour ancienneté). M. Istria (Paul), commis de 2e classe à Lorient (nommé stagiaire du commissariat, le 14 juillet 1916), en remplacement de M. Le Doaré, promu.
(Tour choix). M. Pastureau (André-PierreAlexandre), commis de 2e classe à Ruelle, en remplacement de M. Istria (nommé stagiaire du commissariat).
A l'emploi de commis de 2e classe.
(2e tour ancienneté). M. Millet (Camille-JeanGabriel), commis de 3e classe à Bizerte, en remplacement de M. Pastureau, promu.
Le ministre de la marine, à MM. les vice-amiraux commandant en chef, préfets maritimes, officiers généraux, supérieurs et autres commandant à la mer.
Paris, le 2 décembre 1916.
Au cours de l'inspection administrative d'un cuirassé d'escadre, le contrôle a lodaté que,
malgré le renchérissement des vivres et bien que l'indemnité de nourriture des malades ait été maintenue au taux de 93 centimes, fixé par l'arrêté du 16 novembre 1909, lo boni de l'ordinaire de l'infirmerie s'élevait à 1,110 fr., somme représentant environ la dépense de l'infirmerie pendant une année. D'après les renseignements fournis par le commandant du bâtiment, l'importance de ce boni provient de ce que les affections soignées à bord n'ont, en général, nécessité, comme traitement; que la diète où le régime lacté.
Actuellement, aucune disposition n'est prévue pour ramener, en cours d'armement, le boni de l'infirmerie à des proportions raisonnables, et l'article 87 de l'instruction du 17 juin 1910 vise seulement la destination à lui donner en cas de désarmement ou do passage en réserve.
Ce boni, que l'on estimait devoir être de peu d'importance sur les bâtimonts de guerre, doit alors être versé à l'ordinaire de l'équipage.
Par contre, sur les navires hôpitaux, le boni de l'infirmerie existant au désarmement profite au Trésor (instruction du 6 octobre 19J5-, sur le service médical à bord des navires hôpitaux).
Or, sur les bâiiments de guerre, comme sur les navires hôpitaux, le boni de linfirmerie ne peut provenir que d'une perception d'indemminités dépassant les besoins réels, et il est logique qu'il fasse retour au budget, quelle que soit la catégorie des navires.
D'autre part, comme en cas d'insuffisance de l'indemnité ordinaire qui est allouée pour la nourriture des malades, le taux de cette indemnité peut être augmenté par le commandement. sur proposition du médecin-major, il n'y a pas intérêt à conserver, jusqu'au désarmement ou au passage en réserve, un boni trop élevé, pas plus qu'il n'y a lieu de continuer à percevoir des indemnités supérieures aux besoins.
En conséquence, les modifications ci-aprés sont opportées à l'arrêté du 16 novembre 1909 et à l'instruction du 17 juin 1910.
io Arrête du 16 novembre 1909.
(r Art. 8 (nouvelle rédaction). — La ration fixée aux tableaux des- articles 2 et 4 est remplacée, pour les marins à l'infirmerie des dépôts, bâtiments ou services, par une allocation spéciale dont le taux est, en principe, de 95 centimes.
« Cette allocation est destinée à assurer l'alimentation prescrite par le médecin. Le boni peut être utilisé pour délivrer des suppléments de nourriture à des hommes qui en ont besoin, mais ne figure pas dans l'effectif nourri par l'hôpital.
« Si, à un moment donne, les ressources de l'ordinaire de l'infirmerie sont trop élevées par rapport aux dépenses réelles, le commandant fixe, par un ordre, la réduction à apporter au taux journalier qui sert de base au décompte des droits acquis.
« Par contre, lorsque les circonstances l'exigent, l'allocation journalière peut être augmentée par l'attribution d'une prime éventuelle, dans les conditions indiquées aux articles 3 (§ 4 B du tableau) et 6 (tableau IV, § B).
CI Le personnel en traitement, à l'infirmerie ne peut participer aux prestations supplémentaires. »
20 Instruction du 17 juin 1910.
Art. 87, § 6 (nouvelle rédaction). - Il Le boni ne doit pas dépasser la moyenne mensuelle des dépenses et, à cet effet, lorsqu'il y a lieu, le commandant réduit temporairement l'allocation journalière et la ramène au taux jugé nécessaire. »
§ 8 (nouvelle rédaction).- Il En cas de passage en réserve ou de désarmement du bâtiment, le boni est reversé au Trésor au profit du chapitre « Vivres ». Il en est de même, en cours d'arme-
ment, lorsque, par suite de circonstances exceptionnelles, le boni de l'ordinaire de- l'in- firmerie atteint un chiffre trop considérable. »
J'ai, en outre, décidé que, sur les bâtiments où le boni de l'ordinaire de l'infirmerie dépasse la moyenne mensuelle des dépenses, l'excédent sera immédiatement reversé au Trésor. Les dispositions qui précédent sont applicables aux navires-hôpitaux sur lesquels le service des vivres fonctionne, d'ailleurs, suivant les règles posées par l'instruction du 17 juin 1910, et il en sera pris note en marge de la circulaire manuscrite du 6 octobre 1915. rela-
tive au service médical des navires-hôpitau I personnel militaire.
LA.CA.ZKi — <, »
Le ministre de la marine à MM. les vice-amiraux commandant en chef, préfets maritimes, officiers généraux, supérieurs et autres commandant à la mer.
Paris, le 2 décembre 1916.
En raison des fatigues que subissent nos équipages dans les circonstances actuelles, il Importe que leur alimentation soit saine et abondante et que la préparation culinaire soit aussi soignée que possible.
Me référant à ma circulaire du 4 septembre, je désire que les diverses autorités maritimes, dont l'intervention à cet égard est prévue dans le décret sur le service à bord et dans l'instruction sur le service des vivres, portent leur attention sur la qualité et la quantité des aliments ainsi que sur les soins à apporter à leur préparation.
LACAZI.
Pensions (guerre).
Par décret du 29 novembre 1916, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris ou pères ont été tués sur le champ de bataille :
Veuves de soldats.
LANGLOIS (Cécile-Victorine-Anne-Françoise), veuve CASSAGNE. — Jouissance du 25 mai 1916 563 fr.
LABEYRIE (Jeanne), veuve CASTAGNET. — Jouissance du 11 juin 1916 563 fr., ROCIIETEAU (Elise), veuve CAUSSAN. —
Jouissance du 26 octobre 1914 563 fr.
BOUZATS (Marie), veuve CAUSSETTE. —Jouissance du 17 mars 1916. 563 fr.
VIALLA (Euphrasine-Jeanne-Justine), veuve CAZALET. — Jouissance du 7 décembre 1914 563 fr.
POMMART (Antoinette - Jeanne), veuve CAZES. - Jouissance du 19 mai 1916.. 563 fr.
ROBERT (Marceline), veuve CERBELAUD. —
Jouissance du 25 février 1916. 563 fr.
BEILLEV AIRE (Alexandl'ine-A,ngélique), veuve ClIAGNEAU. — Jouissance du 23 octobre 191 4 563 fr.
DOITRAND (Marie-Claudine), veuve CHAIZE.
— Jouissance du 8 avril 1915 563 fr.
DOMAS (Marguerite), veuve CIIALARON. —
Jouissance du 23 juillet 1915. 563 fr.
FAURE (Eugénie), vouve CHAMBRAS. —
Jouissance du 17 mars 1916,. 563 fr.
RICHARD (Lucie), veuve CHAMPION. - Jouissance du 12 juin 1916 563 fr.
DOME (Marie), veuve CIIANTELOUBE. —
Jouissance du 13 février 191,-) 563 fr.
GILLOTOT (Marie-Justine), veuve CHAPELLE.
— Jouissance du 5 novembre 19H. 563 fr. FONTAINE (Marie), veuve CHAPELLE. —
Jouissance du 7 octobre 1914. 563 fr.
BAGARD (Marie-Joséphine), veuve CHARBONNIER. — Jouissance du 12 décembre 1915. : , ,.. 563 fr.
BLAISE (Berthe-Joséphine), veuve CIIARIÉ.
- Jouissance "du 22 mars 1916 563 fr.
LEBEAU (Marie-Agathe), veuve CHARPENTIER. — Jouiss. du 12 février 1916 563 fr.
BINON (Maria-Alice), veuve CHARTIER. —
Jouissance du 8 juin 1915 563 fr.
BRIVE (Annette), veuve CITASSAGNADE. —
Jouissance du 8 mars 1916 563 fr.
HUIN (Marie), veuve CIIASSAGNE. — Jouissance du 17 mars 1916 563 fr.
CHAPON (Victorine-Désirée-Jeanne), veuve CHATAIGNEAU.-Jouiss. du 8-mai 1916. 563 fr.
MOULIN (Léontine-Séraphie), veuve CHAUSSINAND. — Jouissance du 8 mai 1916. 563 fr#i'
MONTMASSON (Marie-Françoise), veuve CHAVANEL.— Jouissance du lor avril 1915. 563 fr.
LATHURAZ (Judith), veuve CHAVRONDiER.
*— Jouissance du 21 septembre 1914. 563 fr.
PRADAL (Elisabeth), veuve CHAZAL. — Jouissance du 30 octobre 1914. 563 fr.
• TROUILLARD (Marie-Angélique-Elisabeth), veuve CHÉDOTAt. — Jouissan&e du 10 mars 1916 563 fr.
PERROUD (Joséphine-Françoise), veuve CIIEVALLET. — Jouiss. du 1er juillet 1915.. 563 fr.
BOUARD (Juanna-Clotilde-Marie), veuve CIIÉZIÈRE. — Jouissance du 28 mai 1916. 563 fr.
BLANCIIET (Marie-Ange), veuve CIIONEAU.
- Jouissance du 16 avril 1916. 563 fr.
SAUNIER (Catherine), veuve CIRON. —
Jouissance du 15 février 1916. 563 fr.
GUICHARD (Marie-IIortense-Angèle), veuve CLAD1DIER.— Jouiss. du 2 octobre 1915. 563 fr.
THERNIER (Marie-Lucie), veuve CLAUDON - Jouissance du.26 août 1914 563 fr DESCIIAMPS (Alexandrine), veuve COENDOZ.
- Jouissance du 21 septembre 1914. 503 fr.
GUÉNIN (Adrienne-Jeanne-Albertine), veuve COIFFARD. — Jouissance du 10 novembre 1914., ., 563 fr.
FRAYER (Marie-Thérèse-Elisabeth), veuve COINTEPAS. — Jouissance du 14 septembre 1914. 563 fr.
JACQUIAUX (Louise-Rogatienne), veuve COLLARD.. — Jouissance du 24 mai 1916. 563 fr.
L1NA (Jeanne-Georgette), veuve COLLARD, — Jouissance du 26 avril 1916.,. 563 fr.
LELEU (Gabrielle-Eugénie-Emilienne), veuve COLLIN. — Jouissance du 5 juin 1916.. 563 fr.
BERSEGET (Irma-Juliette-Florida), veuve COLLIN. — Jouissance du 6 avril 1916.. 563 fr.
KIÈS (Anna), veuve COLOMBAIN. — Jouissance du 28 septembre 1914. 563 fr.
MARCHAND (Camille-BeFthe), veuve COLSON.
Jouissance du 31 mars 1916 563 fr.
BOYER (Maria-Lucie), veuve COMPTE. —
Jouissance du 27 septembre 1915. 563 fr.
SALVATGE (Maria-Joséphine), veuve CONSTANS. — Jouissance du 30 avril 1916. 563 fr.
BRINDEJONC(Maric-Rose), veuve COQUILLET.
- Jouissance du 22 septembre 1915. 563 fr.
LUGUÉ (Marie-Françoise), veuve CORBEL. —
Jouissance du 27 janvier U)15. 563 fr.
ROUX (Marie-Thérèse-Célcstiufi), veuve COR- NILLE. — Jouiss. du 18 novembre 1914. 563 fr.
DUMAS (Marie-Julie), veuve CORTEY. — Jouissance du 8 juillet 1915. 563 fr.
SAUVEY (Marie-Rosc;-olive), veuvo COSNEFROY. — Jouissance du 17 juin 1915. 563 fr.
FOUREL (Charlotte-llenriette), veuve COSTE.
- Jouissance du 28 septembre 1915. 563 fr.
GAUBERT (Anna), veuve COUDERC. — Jouissance du 17 juin 1915. 563 fr.
LAFONTAINE (Marguerite), veuve COUÉ. —
Jouissance du 4 novembre 1914. 563 fr.
VILLELONGUE (Marguerite -Anna-Catherine), veuve COUPET. — jouissance du 8 octobre 1915: 563 fr.
ROUTIER (Mariai, veuve COURANT. — Jouissance du 9 février 1916 - 563 îr.
sance du 9 févrie~ 1916 563 fr.
SICARD (Marie-Henriette-Françoise), veuve COURBET. —Jouissance du 13 juin 1915. 563fr, JOLIBERT (Elise-Françoise), veuve COUSTURES. — Jouissance du 1er mai 1916. 563 fr.
BESNARD (Marie-Anasthasie), veuve COUTAULT. - Jouiss. du 2,6 septembre 1915. 563fr, CARRÉ (Angèle-Irma), veuve CRENLEUX. —
.Jouissance du 17 juinr l'Ji5. 563 fr.
ADAM ( Marie-Aline-Alexise ), veuve CRUS- SlERE. — Jouissance du 22 avril 1916.. 563 fr.
DARFEUIL (Adriennc), veuve CURATEAU. -0..
Jouissance du 31 mai 1~16. 563fr.
MÊME (Clémence-Maric-Louise), veuve CUREAU. — Jouissance du 27 avril 1916 563 fr.
CAUCHOIS (Jeanne-Victoir^ veuve GUVILL1ER. - J oujssance du 5 juin wl6 503 fr.
DUCASSE(PéirnniUelveuve DARET. — Jouk.ance du 26 septembre 1915. 563" fr,
FOURNIER (Marie-Amélie-Augustine), veuve DARGENDEIX. — Jouiss. du 4 juin 1916. 563 fr.
NUSSAS (Marie), veuve DAUDE. — JouisJouissance du 25 septembre 1915. 563 fr.
LERÉTRE ( Madeleine-Marie-Léopoldine ), veuve DAUNEY. — Jouissance du 22 février 1916 563 fr.
NOAILLY (Claudine), veuve DAVID. — Jouissance du 21 septembre 1914 563 fr.
GADAT (Gabrielle), veuve DAVID. — Jouissance du 18 mai 19i6. 563 fr.
FOURNIER (Lucie-Marie-Philomène), veuve DAVID. —Jouissance du 6 juin 1916. 563 fr.
ALEXANDRE (Augustine-Doralie\ veuve DECAEN. — Jouissance du 4 mars '1916. 563 fr.
POIRIER (Marie-Victorine-Louise), veuve DECHÉRENCEY. — Jouiss. du 10 mai 1915. 563 Ir.
BRICOT (Jeanne), veuve DECKER. — Jouis- sance du 26 août 1914 563 fr.
LAMBLIN (Marie-Rosalie), veuve DECKER. —
Jouissance du 14 avril 1915 563 fr.
CASTELAIN (Louise-Maris), veuve DEFRANCE.
— Jouissance du 2i février 1915. 563 fr.
OLGARD (Antoinette-Marie-Ernestine), veuve EÉGOLBERï. — Jouissance du 4 décembre 1914. 563 fr.
GUILBAUD (Marie-Delphine), veuye DEGOUT.
— Jouissance du 13 mai 1915 563 fr.
ETIENNE (Joséphine-Mélanie), veuve DEKINDER. — Jouissance du 13 mars 1916. 563 fr.
DAMOISEAU (Claire-Zélie-Euphémie), veuve DE LA COUR. — Jouissance du 26 février 1916. : 563 fr.
BOIDIN (Silvanie-Berthe-Emélie), veuve DELACROIX. — Jouiss. du 6 octobre 1915. 5G3 fr.
FUMEY (Maria), veuve DELALANDE. —
Jouissance du 12 avril 191G. 563 fr.
ROUAS (Augustine-Maria-Delphine), veuve DELARUE. — Jouiss. du 24 avril 1916.. 563 fr.
LESPÈS (Jeanne), veuve DELAS. — Jouissance du 15 juin 1915. 563 fr.
MARTY (Marie-Augustine), veuve DELCAUSSE.
— Jouissance du 10 juillet 1915..,. 563 fr.
DELARUELLE (Marie-Gabrielle), veuve DELETTRE. — Jouissance du 17 septembre 1914. , ,., , , ,. , 563 fr. ALBERT (Germaine-Augustine), veuve DEL- HOMMEAU. — Jouiss. du 10 mai 1916.. 563 fr,
DUPUY (Maria), veuve DELMAS. — Jouissance du 29 décembre .19t4, , , , , ,. 563 fr.
PÈRONNlN (Césarine), veuve DELon. —
Jouissance du 29 aVl'ilHJ16. 563 fr.
GUIS AU (Marie Clotil&e), veuve DELPON.
Jouissance du 8 mars 1915. , 563 fr.
RUMMELHARDT (Louise), veuve DEM ARCS.
— Jouissance du 5 avril 1916 563 fr.
RIVIERE (Emilienne-Ernestinel, veuve DÉNARNAUD. - Joutss, du 7 avril 1910. 563 fr, PERRAUDIN (Jeanne-Augustine-Margueritc), veuve DESCHAMPS. — Jouissance du 21 mai 191 5 563 11-.
QUATRESOLS (Louise-Lucie-Marie), veuve DESCIIAMPS DE* SAINTE-SUZANîsE. — Jouissance du 27 mai 1916 563 fr.
FOULQUIER (Evelina-Augustine), veuve DESHONS. — Jouiss. du 10 avril 1916.. 563 fr.
SAGE (Jeanne), veuve DESSUS. — Jouissance du 24 décembre 1914 563 Ir.
AULY (Marguerite), veuve DE3TANG. — Jouissance du 8 octobre 19i5 5G3 fr.
VIGNIER (Heine-Mélanie), veuve FARFAL. rJouissance du 23 aoùt 1914 563 fr.
LELIÈVRE (Ro £ e-?vIarie-BertIiû-Irjïia), veuve FAROUX. — Jouissance du 7 mai 1916. 563 fr.
PONTU3 (Amélie-Victorine), veuve FATOME.
— Jouissance du 1er jum 1916. 563 fr.
MAROUBY (Marie-Antoinette), veuve FAUGÈRE. — Jcuiss. du 28 octobre 1914. 563 Ir.
ALBART (Marie-Alexandrine), veuve FArRE.
- Jf)uissancedu 13 décembre 1914. 563 fr.
PARRY (Marguerite), veuve FAURE. — Joyissance du 27 septembre 1914.',. 563 fr.
CHEVALLIER ( Victoria - Mario - Albertine ), veuve FAVRIT, — Jouiss. du 12 mai 1916. 563 fr.
BONNET (Marie-Léonie-Françoïse), veuva FEIGNON. — Jouissance du 6]mai 1916, 5.63 fr.VIDAL (Ilenriette-Maria), veuve FERRAND, — Jouissance du 9 septembre 1914. 563 fr,VÉRITÉ (Ernestine-Blanche), veuve FLA MANT. — Jouiss. du 28 décembre 1914. 563 fr: 1 BLANCHARD (Hélène-Marie-Henriette), veuve FLANDROIS. — Jouiss. du 20 juin 1916. 563 fr.
PETITJEAN (Marie-Louise), veuve FLON. —
Jouissance du 24 juin 1916. 563 fr.
TREMMEL (Anne-Marie), veuve FLUCK. —
Jouissance du 26 juin 1915. , M3 fr.LE ROI (Augustine-Jeanne), veuve FOLLOPPE.
— Jouissance du 10 mai Hf15. 563 fr.
GUIIIARD (Joséphine-Marie-Pauline), veuve FONTAINE. — Jouiss. du 17 mars 1916. 563 fr.
COLOMB (Marie-Virginie-Valentine), veuve FORAY. — Jouiss. du 28 janvier 1915.. 563 fr.
BERNARD (Marie-Louise), veuve FORESTIER.
- Jouissance du 3 mars 1916,. 563 fr.
PÉRIER (Louise-Emma), veuve FORÊT. —
Jouissance du 15 avril 1916. 563 fr.
DÉSBORDES (Marie), veuve FORGEAS. — Jouissance du 29 août 1914 563 fr.
SAVOYE (Maria-Jeahne-Gabrielle), V,'li\Te DÉ, TAIN. — Jouissance du 10 juin 1916. 563 fr.
FOSSÉ (Léonte-Maria), veuve DÉTlOUX. - Jouissance du 25 avril 1916.. /■. i,63 fr.
ANDRÉ (Marie-Louise-Antonia.), veuve DÉTRUS. — Jouissance du 10 juin 1^16. 563 fr.CHEVALIER (Marie), veuve DE VAUX. — Jouissance du 25 septembre 1914. >.. 563 fr.
PETIT (Marie-Eugénie-Joséphine), veuvo DOLBEAU. — Jouissance du 7 octobre 19)5. 563 fr.
ROGER (Louise-Antoinette), vetive DOMPS.
— Jouissance du 15 octobre 1914. 563 fr.
ERISEY (Jcanne-Marie-Elene), veuve DOISZKLOT- — Jouissance du 30 août 1914. 563 fr.
FOULET (Marie-Louise), veuve DOT. — Jouissance du 10 novembre .1914. O," "-Ài;i Ir.
LOIZEAU (Léonic-Clothilde), veuve DRAPEAU..
Jouissanec du 9 juin 191-6 563 fr.
BIGOT (Marie-Renée-Albertine), veuve DRCJON. — Jouissance du8 septembre 1914. 563 fr.
MONCHAUX (Bertho-Bianche -Juli-e), veuve DU BEAU. — Jouissance du 12 M£;;.('mbie 1915 : fr.
EMO (Ernestine-Sidonie-Virgiaie), rem-c' DUBOS, — Jouissance du 5 octobre,1915.. 563 îr, LACOSTE (Marie), veuve DUBOURG. - JOîiissance du 18 novembre 1914 563 fr, DOUCET (Antoinette), veuve DUFOUR; Jouissanee du 14 septembre 1914. ,. 563 fr.
GRAVELINE (Suzanne), veuve DUFOUR. -> Jouissance du 20 févrïer 19-10 503 fr.
DUBOSCQ (Marguerite), veuve -i)ULA.U. Jouissance du 30 avril 1016.,.,. 563 fr.
LEFORT (Alexandi'ine), veuve DU M AIN. Jouissance du 29 mai 1916, 5Ç3 fr.
TILLIER (Antoinette-Julia), veuve DUMONT.
— Jouissance du 15 juillet 1915. 563 fr.
COUROSSÉ (Marie-Anne-Françoise), Y-ClW-a DUP1N. - du 2 juillet 1916. 563 fr.
LAGAUDÈRE (Jeanne), veuve DUPOUY.
Jouissance du 25 mai 1-916. yü3 fr.
TACHON (Marguerite) veuve DUPUY. —
Jouissance Ju 13 novemb, re 1914 563 fr.
ROFFAT (Marie-Pierrette), veuve BURANTET,.
— Jouissance du 13 février 1916. 563 fr.
GAUCHER (Marie-Louise), veuve DUROS. — Jouissance du 21 septembre 1914..,. 563 fr.
NIEPg (Marguerite-Agnès), veuve DUTERTRE.
— jouissance du 19 décembre 1914 563 fr.
DYVAL (Marie-Joséphine), veuve DUVAL.- Jouissance'du 8 juin LVi;).,. 563 fr.
DUHOU (Eugénie-Marie), veuve ERAUQ. —
Jouissance du il jUi,pl\HÕ. &63 fr.
SOISSONS ( Camillelte-Joséphine-Charlotte )» veuve FABRE. —. Jouissance du 11 mai 1915 ! 563 fr.
CORNILLE (Der L'h e-Aiigustilie), veuve FABRE.
— Jouissance du 22 mai 1916. 563 fr.
ALIBERT (Marie- Léon fine), veuve FABRE.
— Jouissance du 31 octobre 1915. 563 fr.
LEJEUNE (Henriette-Eugénie), veuve FAÇON.
- Jouissance du 26 avril 1916. 563 fr.
TRÉMEUR (Marie-Aline), veuve FAMEL. —
Jouissance du 12 janvier 1916 563 fr.
LITOT (Adèle-Louisa), veuve FOUCHÉCOURT.
- Jouissance du 1er février 1916. 563 fr.
BOUVET (Julia-Germaine), veuve FOUR. —
Jouissance du 1er mai 1915. 563 fr.
RICHARD (Marie-Louise), veuve FOURCADE.
•— Jouissance du 25 mars 1915. 563 fr.
DUCTION (Marie-IIenriette-Antoinelte), veuve FOURMONT. — Jouissance du 5 novembre i9~ 563 fr.
BOURESCIIE ( Louise-Augustine-Albertine), veuve FOURNIER. — Jouissance du 26 août 1914 563 fr. -FOUTREIN (Madeleinc-Sidonie), veuve FOUR- NIER. — Jouissance du 8 mars 1915. 563 fr.
MÉZLÊRES (Mélanie-Rosalie), veuve FRANÇOIS. — Jouissance du 15 avril 1916. 563 fr.
BOURRET (Louise-Marie-Victorine), veuve FRAYSSE. — Jouissance du 9 juin 1916. 563 fr.
FORNAND (Catherine), veuve FRÉRY. —
Jouissance du 11 mars 1916. , 563 fr.
MONNIER (Alphonsine-Marie-Angèle), veuve FREUCHET. - Jouiss. du 22 février 1916. 563 fr.
GUIMARD (Marie-Julienne-Mathurine), veuve FROMENT. — Jouissance du 29 septembre 19J5 563 fr.
lïILLEAU (Georgettc-Augustine), veuve FUSELLIER. — Jouissance du 30 mai 1916. 563 fr.
BARBARIN (Marie), veuve GAGNE. — Jouissance du 5 juin 191G. 563 fr.
RICHARD (Léontine-Marcelline), veuve GAGNERAULT. — Jouissance du 16 septembre
191 4 563 fr.
GENTILE (Elvira), veuve GALLO. — Jouissance diz 30 avril 1915 563 fr.
BAUDIOT (Jeanne), veuve GANIER. — Jouissance du 27 octobre 1914. 563 fr.
MARCEROU (Marie), veuve GARAUD. — Jouissance du 27 septembre 1915 563 fr: ANTON (Yicenta-Maria), veuve GARCIA. —
Jouissance du 17 mai 1915. 563 fr.
BOUDÉ (Marie), veuve GARNUNG. - Jouissance du 21 mars 1916. 563 fr.
GOÛRGUES (Marie), veuve GARRABOS. —
Jouissance du 5 mai 1916. 563 fr.
GONTIER (Elisa-Marie), veuve GASNIER. —
Jouissance du 1er octobre 1914. 563 fr.
ODILLE (Jeanne-Marie-Madeleine), veuve GAUDIN. --' Jouissance du 13 mai 1916, 563 fr.
LAPOTRE (Marie), veuve GAUME. — Jouissance du 15 juin 1915. 563 fr.
GATlNEAUX (Augustine), veuve GAUTHIER.
— Jouissance du 22 mai 1916. 563 fr.
BARBOT (Marie-Louise-Virginie), veuve GAUTIER. — Jouissance du 27 septembre 1914. 563 fr.
VÉRON (Eugénie), veuve GAY. — Jouissance du 28 décembre 1915. 563 fr.
PITON (Marie-Louise), veuve GEFFRIAUD. —
,Jouissance du 4 octobre 1914 563 fr.
AUDOIRE (Mari e-Armin e o-CI é menti ne), veuve GENAUDEAU. — Jouissance du 7 octobre 191 5 563 fr.
CADET (Marie-Françoise), veuve GEORGELIN.
— Jouissance du 9 septembre 1915. 563 fr.
LHOMME (Constancc-Clotilde), veuve GESL1N. — Jouissance du 13 février 1916. 563 fr.
LASCAUT (Louise), veuve GILLET. — Jouissance du 27 septembre 1915 563 fr.
BERTIN (Marie-Marguerite), veuve GILLIER.
- Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
CORRIGER (Marguerite-Marie), veuve GILLY.
-Jouissance d-u 21 juillet 1915. 563 fr.
FEIBEL (Camille-Anna), veuve GINESTE. —
Jouissance du 2 décembre 1914 563 fr.
PEUBLE (Jeanne), veuve GIRAUD. — Jouissance du 27 septembre 1915. 563 fr.
AUDEBERT (Alphonsine-Eugénie), veuve GI,PAUI)EAU. — Jouiss. du 1er avril 1916,. 563 fr.
CHARRON (Louise-Augustine-Marie), veuve GIRET. — Jouissance du 8 mai 1916. 563 fr.
SABAT (Louise-Marie-Jeanne), veuve GODEFROY. — Jouissance du 2 mars 1916. 563 fr.
LAURIE (Marie-Emilie), veuve GOUGNE. Jouissance du 24 avril 1916.:. 563 fr.
POTIER (Cécia-Marie-Joseph), veuve GOUILLARD. — Jouiss. du 19 novembre 1915. 563 fr.
MARTIN (Claudine), veuve GOULOT.- - Jouissance du 8 mai 1916 .- 563 fr.
YOUENOU (Anne-Marie).veuve GOURLAOUEN.
- Jouissance du 10 juin 1916. 563 fr.
WABLE (Marie-G abri elle), veuve GOURLIN. —
Jouissance du 1er mai 1916. 563 fr.
VERGNES (Andréline-Emilie-Germaine), veuve GOUSSET. — Jouiss. du 1er mai 1915. 563 fr.
AUFFRET (Marie-Augustine), veuve GOVET.
- Jouissance du 6 novembre 1914. f63 fr.
BOUVIER (Marie), veuve GOY. — Jouissance du 22- juin 1916. 563 fr.
MAURY (Maria); veuve GRANSEIGNE. — Jouissance du 21 septembre 1914. 563 fr. LEUILLIER (Aimée-Julienne), veuve GRATTENOIX. — Jouissance du 22 juillet 1916.. 563 fr.
IIERVOUET (Jeanne-Marie-Augnstine), veuve GRAVELEAU. — Jouissance du 14 février 1916. 563 fr.
PYOT (Jeanne-Thérèse), veuve GRAVELLE. —
Jouissance du 15 janvier 1915. 563 fr.
BONNIN (Alexandrine-Augustine-Henriette), veuve GRELE T. — Jouissance du 15 mai 1915. 563 fr.
SIBERT (Aline), veuve GRISARD. — Jouissance du 17 juin 1916. 563 fr.
PIÉ (Amélie), veuve GRISEAU. — Jouissance du 25 mai 1916 563 fr.
GRANDSIRE (Marie-Joséphine), veuve GROGNET. — Jouissance du 6 octobre 1915. 563 fr.
SERINET (Marie-Josèphe-Françoise), veuve GROMY. — Jouissance du 27 juin 1915. 563 fr.
VÉZINARD (Angèle-Françoise), veuve GUÉR1N. — Jouiss. du 26 septembre 1915. 563 fr.
M OR IN ( Victorine - Alphonsine ), veuve GUERRY. — Jouissance du 6 mai 1916. 563 fr.
IIÉDOUIN (Marguerite-Alice), veuve GUILBAULT. — Jouissance du 4 avril 1916.. 563 fr.
GODARD (Céline-Stéphanie-Ernestine), veuve GUILBERT. - Jouiss. du 4 janvier 1916. 563 fr BARRAILLÉ (Olivine-Louise-Célestine), veuve GUJLIIAUME. — Jouissance du 5 décembre 1915. 563 fr.
GUÉNARD (Angélique-Rosalie-Blanche), veuve GUILLART. — Jouissance du 20 septembre 191 5 563 fr.
GUILLAUME (Jeanne), veuve GUILLAUME. —
Jouissance du 5 novembre 19U. 563 fr.
LAMARQUE (Marie), veuve GUILLEMAIN. —
Jouissance du 20 mars 1916. 563 fr.
BRUN (Pauline), veuve GUINAUDIÈRE. —
Jouissance du 27 septembre 1914 563 fr.
LATOUCHE (Bernardine - Aurélie - Julienne), veuve GUINEBERT. — Jouissance du 2 mai 191 6 : 563 fr.
VADEAU (Hortense), veuve GUINET. ■— Jouiss. du 20 juin 1915. 563 fr.
RIBET (Marte-Albertine), veuve GUITONNEAU.
— Jouissance du 6 mai 1916 563 fr.
JEANSON (Rosalie-Justine), veuve GUYOT. —
Jouissance du 1er juin 1916 -, 563 fr.
HARDOUINEAU (Eùgénie-Philoméne-Jcanne), veuve IIAMON. — Jouissance du 31 mars 1916 563 fr.
TOURATIER (Lucie-Désirée), veuve HAUTECŒUR. — Jouissance du 30 septembre 1915., .- 563 fr.
MAZAUDIER (Marie-Thérèse-Virginie-Alexandrine), veuve HÉBHARD. — Jouissance du 10 octobre 1915.,. 563 fr: YOU fAngéline-Clémence-Célestine), veuve HEHBRETEAu. — Jouissance du 13 juin 1916. 563 fr.
BEAUDOIN (Marie-Henriette), veuve IIERREAU. — Jouiss. du 25 mai 1916 563 fr.
BLONDEAU (Louise-Jeanne-Victoire), veuve HERVE. - Jouissance- du 16 mars 1916. 563 fr.
BERTHOU (Marie-Louise), veuve nERVÉ, - ,-^B Jouissance du 30 octobre 1914 563 fr. BOUTIIEAU (Marie-Eugénie), veuve HUCHET., ~^B Jouissance du 8 mai 1916. 563 fr. - LYOE(Lilure-Agnès-Juliette), veuve HUYGIIE. ^B — Jouissance <lu 17 septembre 1914. 563 fr. ^B BORDAGE (Armandine-Célestine-Marie), vetIve HYBERT. — Jouiss. du 13 juin 1916. 563 fr. BOUCHET (Maric-Angéli-Lbuisé), 'veuve IBAL.
— Jouissance du 18 avril 1916. î 563 fr. M ROBERT (Julia), veuve JACOB. — Jouissance du 3 mars 1916 563 fr. -~ COLIN (Marie-Lucie), veuve JACOPIN. — Jouis- .sance du 11 juin 1916. 563 fr. - B GALICHET (Maria), veuve JACQUEMIN. -*~^B Jouissance du 21 novembre 1915. 563 fr.
MA'RCOUX (Germaine), veuve JALLAMIONGRIVE. — Jouissance du 10 mars 1916. 563 fr. B AJAC (Rose-Jeanne), veuve JAMMES. — Jouis- ^B sance du 17 décembre lgili 563 fr BOURGUIGNON (Adèle-Célestine), veuve JANIN. — Jouiss. du 1er septembre 1915.. 563 fr. ^B DOUMENC (Marie-Fanélie), veuve JANY. — ^B Jounsmce du 31 décembre 1915 563 fr. ^B TIIÉVENOT (Marguerite), veuve JARDY. —
Jouissance du 3 mai 1915. 563 fr. -S DELAUNE (Joséphine), veuve JARRAUD. — ~9B Jouissance du 6 mai 1915. 563 fr.
PAIN (Clémence-Eugénie-Albertine-Augus- tine), veuve JARRY. — Jouissance du 1er no- "^B vembre 1915. 563 fr. -~ BERRUYER (Marie-Louise), veuve JARS. - .BB Jouissance'du 7 avril 1916. 563 fr.
TURPIN (Beniamine-Rose-Valentine) , veuve ~^B JAUMIER. — Jouiss. du 7 octobre 1915. 563 fr. EKG LER (Mathilde-Jeanne-Christine) veuve ~t JÉlIENNE. — Jouiss. du 12 mars 1916.. 563 fr. ^B JARNOUX (Marie-Madeleine), veuve JOCHAUD.
- Jouissance du 27 janvier 1915. 563 fr. ^B BRUGEILLE (Valentine-Eugénie-Marcelle), ^B veuve JOFFROY. — Jouissance du 12 avril ^B 1916. 563 fr. V ROUSSEAU (Marie-Ernestine), veuve JOLI- VEAU. - Jouissance du 20 juin 1916 563 fr.
BOUQUET (Marie-Fleurèntine), veuve JOLLIT. 9 - Jouissance du 23 juin 1916 ., 563 fr. ^B LEMOINE (Joséphine-Marie), veuve JOU- BARD. -;--.Jouissance du 11 juin 1916.. 563 fr. ^B COSTE (Marie-Noël), veuve JOUGOUNOUX. S — Jouissance du 25 décembre 1915. 563 fr. S TIIÉLIN (Marie-Valentine-Constance), veuve j JOURDAIN. - Jouissance du 17 mars S 191 5 .r 563 fr. S RANCHON (Marie), veuve JOURNAUD. - » Jouissance du 4 juin 1916 563 fr. ^B MOREL (Louise), veuve JOUSSELIN. - S Jouissance du 8 juin 1915r -, 563 fr. ^B MARTIN (Maria), veuve JOUVENEL. - -S Jouissance du 10 mars 1916.. 563 fr. ^B DIARD (Solange), veuve JOUVET. Jouliss.- S sance du 1er décembre 1915 563 fr.
LA JEUNE (Louise), veuve JOYARD. — Jouis- 9 sance du 3 juin 1916. 563 fr. -S POU LENA S (Marie-Joséphine), veuve JUL- s LIEN. — Jouissance du 1er mars 1916.. 563 fr. S MEYER (Eugénie), veuve KAPPLER. — Jouis- S sance du 30 novembre 1914. 563 ir.
CADOU (Jeanne), veuve LABRIT. — Jouis- ~B sance du 2 juin 1916.,. 563 fr. ^B GENGLER (Marie), veuve LACIIAUD. — - 9 Jouissance du 10 avril 1916. 563 fr. ^B RIVIÈRE (Eugénie-Joséphine), veuve LA- CHAUX. - Jouiss. du 28 août 1914,. 663 fr. S MESTRE (Marie), veuve LACOMBE. — Jouis- S sance du 24 janvier 1916. 563 fr. *
LEFRANC (Gabrielle-Marie-Lôuise), veuve 9 LADROUE. — Jouiss. du 28 mai 1915 563 fr. 9 BOULEAU (Émilienne-Marie-Augustine) , S veuve LAFONTAINE. — Jouissance du 11 juin *3 1916 # - 563 fr.
ROCHETTE (Delphine-Amélie), veuve LAFO- * REST."- Jouiss. du 6 novembre 1914.. 563 fr. B DÉMAREST (Marie-Charlotte-Angèle), veuve 9
(Supplément i 1
LAGACHE. - Jouissance du 24 décembre 1914 563 fr.
ROUSSEAU (llélène), vouyi3 LAGORGE. —
Jouissance du 26 septembre 1915.;. 563 fr.
REGAUDIE (Jeanne), veuve LAGRAFFEUILLE.
— Jouissance du 1er novembre 1915. '563 fr.
BOURBON (Georgina-Léonie-Florenc»), -veuve.
LAINÉ. — Jouiss. du 29 avril 1916 563 Ir.
LASCAUX (Louise), veuve LAJEUNESSE. —
Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
VïAUD (Anne-Marie), veuve LALANDE. —
- Jouissance du 22 mai 1916. 563 fr.
DUMAN (Marie), veuve LALANNE. — Jouissance du 28 juin 191G : 563 fr.
MICHEL (Hélène-Jeanne), veuve LAMARCHE.
- Jouissance du 19 mars 1916. 563 fr.
DEVAUD (Rosalie), veuve LAMBERT. — Jouissancedul0octobrel915. 563 fr.
CHAPPEL (Maric-Emeline), veuve LAMBRE.
Jouissance da9juin 1916. 563 fr.
CHAMPION (Lucie), veuve LAMICIIE. — Jouissance du 24 mai 1915. 583 Ir
CANTEGRIT (Jeanne-Marie-Louise, veuve LAMOTHE.— Jouiss. du 26 janvier 1915. 563 fr.
WALZER (Marie-Louise), veuve LANDEMAINE.
Jouissance du 18 avril 1916. 563 fr.
DEPHOT (Rose-Augustine), veuve LANGLOIS.
- Jouissance du 9 novembre 1914. 563 fr.
BIDON (Léa-Julie), veuve LANGLOIS — Jouissance du 1er novembre 1915. 563 fr.
SERLOIT (Bcrthe-Augustine-Eugénie), veuve LANNIER. — Jouissance du 6 juin 1915. 563 fr.
RIVIÈRE (Marie), veuve LAPLANCHE. — Jouissance du 9 juin H<16. 563 fr.
GINIEIS (Marie-Julie), veuve LAPORTE. —
Jouissance du 24 juin 1916 563 fr.
GRANDJEAN (Catherine), veuve LAPRAY. —
Jouissance du 12 juillet 1916. 563 fr.
GALLET (Constance-Hélène), veuve LARVOR.
— Jouissance du 14 septembre 1914. 563 fr.
BRUN (Joséphine), veuve LASSÉCHÈRE. —
Jouissance du 1er octobre 1915. 563 fr.
CLÉMENT (Julia-Augustine), veuve LATHUILLIÈRE. — Jouissance du 30 mars 1916. 563 fr.
MAILLARD (Joséphine-Désirée), veuve LATOUR. — Jouissance du 8 avril 1915 563 fr.
- BOISSONNET (Julia-Louise), veuve LAURÉ. —
Jouissance du 10 avril 1916. 563 fr.
GOUPIL (Blanche.-Joséphijie),veuve LAVARDE.
— Jouissance du 10 octobre 1915. 563 fr.
GRENOUILLET (Marie), veuve LAVAUD. —
rouissaace du ^septembre 19U. 563 Ir.
CORREA (DÓlorès-Mathilde), veuve LAVAUX - Jouissance du 6 mai 1916. 563 fr, ARTEIL (Albertine), veuve LAVERGNE. —
Jouissance du 2 février 1915. 563 fr.
LAFENÊTRE (Marie-Madeleine), veuve LAVIE.
— Jouissance du 6 janvier 1915.: 563 fr.
BELLANGER (Jnlielte-Marie-Emilienne), veuve LAVIGNE. — Jouissance du 4 juin 1916. 563 fr MARTEL (Louise-Maria), veuve LEBASCLE. —
Jouissance du 8 septembre 1914.563 fr.
NASLET (Maric-Léontine), veuve LEBEAU. —
Jouissance du 19 mai 1916 563 fr.
DUBOIS. (Ernestine-Marie), veuve LEBIGRE.
— Jouissance du 5 novembre 19U. 563 fr.
VILLALARD (Marie-Joseph), veuve LEBON. —
Jouissance du 13 février 1916. 563 fr.
DUCELLIER (Louise-Augustine-Clémence), veuve LEBOUTEILLER.—Jouissance du 11 juin 191 5 1 563 fr.
CARIOU (Marie-Yvonne), veuve LE BRETON.
— Jouissance du 28 décembre 19U. '563 fr.
GUENVEÛR (A nne-Marie),veuve LEBRICQUER.
— Jouissance du 22 octobre 1915 563 fr.
DANIEL (Marie-Louise), veuve LE BRIS. —
Jouissance au 10 juin. 1916. 563 fr.
CAUFOÙRRIER (Adrienne Arsène-Marie), ▼eùve LECARDQNNEL. — Jouissance du 23 mai i9M. 1563 Ir.
DUBOIS (Julie-Ernestine), veuve LÉCHQPIER.
Jouissance du 29 mail9l6.563 fr.
_SEIGNARD (Marie-Anne), veuve LE CLAIRE.
— Jouissance du 18 février 1915. 563 Ir..
JAUME (Marie-Louise), veuve LE CORRE. —
Jouissance du 7 octobre 1915. 563 fr.
GEORGELIN (Marie-Joséphine), veuve LE COUSTER. — Jouiss. du 27 février 1916. 563 fr.
GAULUPEAtT (Alice-Eugénie), veuve LE DUC.
— Jouissance du 28 septembre 1915. 563 fr.
LE FLOCTH (Marie-Catherine), veuve LE FAILLER. —Jouiss. du 26 septembre 1915.. 563 fr.
JOUY (Marie-Marthe-Victoria), veuve LEFEBYRE. — Jouissance du 20 avril 1916. 563 fr.
DREUX (Alix-Maria), veuve LEFÈVRE. Jouissance du 3 juin 1n6. 563 fr.
KERVELLA (Marie-Josèphe-Catherine), veuve LE GALL. — Jouiss. du 14 février 1916. 563 fr.
BÉnURET (Lucie-Blanche), veuve LEJARS. —
Jouissance du 6 mai 1916. 563 fr.
DESIIOGUES (Maria-Vitalie-Célestine), veuve LEMIÈRE.- Jouissance du6 juin 1916. 563 fr.
DELESTRE (Élisa-Marthe), veuve LENOR1 MAND. — Jouissance du 12 avril 1916.. 563 fr.
BAILLEUL (Rosalie), veuve LÉONARD. —
Jouissance du 23 février 1915 563 îr.
CARCREFF (Marie-Joseph), veuve LE PAPE, — Jouissance du 14 mai 1915. 563 fr.
CHICOT (Marie-Désirée), veuve LEPRÉVOST.
- Jouissance du 9 septembre 1914. 563 fr.
LECOMTE (Gabrielle-Marie), veuve LERAT. —
Jouissance du 25 mai 1916. 563 fr.
QUENNEVILLE (Suzanne - Adélaïde), veuve LESCARBOTTE. — Jouissance du 12 avril 191G. "-' 563 fr. PESQUEUX (Marie-Juliette-Angélina), veuve LESEUR. — Jouissance du 27 septembre 1915 , , 563 fr.
SAVARY (Clbtilde-Rosalie), veuve LESIMPLE.
— Jouissance du 30 décembre 1915. 5G3 fr.
RENDÉ (Catherine), veuve LESPÈS. — Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
KERTRESS (Solange-EUsa-Clotilde), veuve LE VAYER. — "Jotfièsince -du 22 octobre 1914 J 563 fr.
GUYOT (Marie-Alice), veuve LINDBERG. —
Jouissance du 7 mai 1916. 563 fr.
DECAYEUX (Raymonde-Alice), veuve LION.
— Jouissance du 25 avril 1916. 563 fr.
GARCIA (Paola), veuve LIOTARD. — Jouissance du 13 août 1915,. 563 fr.
FARJON (Marie-Adeline), veuve LISON. —
Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
LE CARROU (Jeanne-Marie), veuve LOÉDEC.
- Jouissance du 1er mars 1915 563 fr.
MOINARD ( Marie - Clémentine - Eugénie - Véronique), veuve LOGEAIS. — Jouissance du 9 mai 1916 563 fr.
REYNAUD ( Marie - Hortense - Alexandrine ), veuve LONG. — Jouissance du 23 avril 1916 563 fr.
ARRESTEILLES (Marie), veuve LOUBÈRE. —
Jouissance du 29 m~i 19i5. 563 fr.
ARLÈS (Marie-Virginie), veuve LOUBIÈRE. —
Jouissance du 21 août 1915. 563 fr.
CONTRASTY (Antoinette), veuvé LOUBIÈS.— - Jouissance du 11 mars 1916. 563 fr.
RIVALS (Marguerite), veuve LOyRMAN. —
Jouissance du. 22 mai 1916. 563 Ir.
JALBERT (Justine-Marie-Mélanie ), veuve LOURSEYRE.Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
GUIVARC'H (Marie-Anne), veuve LOUSSAUT. ;
- 10UIssance du 9 juin 1916 563 fr.
MICHELET (Louise), veuve LOUVRIER. —
Jouissance du 10 avril 1915 563 fr.
GAMBIER (Gabrielle-Maria), veuve LUC. N>— Jouissance du 23 août 1914. 563 fr.
TANGUY (Marie-Louise), veuve LUCAS. —/ Jouissance du ? juin 1915. 563 fr.
LUMINET (Jeanne), veuve LUMlNET. — Jouissance du 5 juin 1916 563 fr.
• DEPYPER (Julie-Marie-Lucie), veuve MAEREL. — Jouissance du 10 mars 1916-. 563 fr.
I BERTRAND (Annette), veuve MAGNIN..[ Jouissance du 15 mars i9i6 563 Ir.
PEINOT (Estellé-Elise), veuve MAGNON.
Jouissance du 28 août 1914 563,Tr.
NUGUES (Françoise), veuve MAGNY. — Jouissance du 28 août 1914. 563 fr.
FOURNEL (Berthe), veuve MAHUET. -—Jouis-' sance du 24 avril 1916. 563 fr.
BEAUVAIS (Maria-Pauline), veuve MAILLARD.
.-,"ouissance du 22 février 1916. 563 fr.
BLANCHET (Marie-Thérèse-Françoise), veuve MAILLET.-Jouissance du 16 mai 1915. 563 fr.
DENIMAL (Erneslinc-Julienne), veuve MAJNCENT. — Jouissance du 27 février 1916. 563 fr.
NAVÉ (Jeanne-Mathilde"), veuve MAIRE. —
Jouissance du 11 mai 1915. 563 fr.
SABATIER (Marie-Rose), veuve MALEYSSON.
— Jouissance du 29 décembre 1915. 563 fis. GAULME (Marie-Louise-Eugénie), veuve MALFRAY. - Jouissance du 9 mars 1915.. 563 fr.
FAUQUE (Jeanne-Marie). veuve MALLET. —
Jouissance du 2 avril 1916. 563 fr.
MOREL (Augustine-Marie-Rosalie), veuve MANCEAU. — Jouiss. du. 29 avril 1916.. 563 fr.
LEMUET (JuUa-Mana-Alphonsine-Louise).
veuve MANSON. — Jouissance du 10 octobre 1915 563 fï.
PELTIER (Antoinette-Léonie), veuve MARÀCHE. — Jouiss. du 26 septembre 1914. 563. t..
MARY (Angèle-Louise), veuve MARCHAND — Jouissance du 9 juillet 1915. 500 fr.
Par décret du 29 novembre 1916, sur le rapport du ministre de 'la guerre, il est accordé une pension aux veuves ou orphelins dénommés ci-après,dont les maris ou pères ont été tués sur le champ de bataille : 1 Veuves de soldats.
JOERGER ( Constance - Julia ), veuve MARCHAND. — Jouissance du 24 mai 1916. 563 fr.
CHEVALIER (Anne), veuve MARCHIVE. —Jouissance du 27 août 1915.,. 563 îr.
GIMALAC (Euphrasie), veuve MÀRCILLAC. — •
Jouissance du 11 mars 1916 -. 563 fr.
BARNÉRIAS (Clé menre-Marie-M aria), veuve MARCILLAT. — Jouiss. du 19 juin 1916. 563 fr.
LUBIN (Gabrielle-Clémentine), veuve MARCILLE. — Jouissance du 27 juin 1916 563 fr.
ARNOUX (Louise-Lucie), veuve MARCOL. 'Jouissance du 22 octobre 19U. 563 fr.
BOBOT (Paula-Gabrtelle), veuve MARIOTTE.
Jouissance du 14 mai 1916,. - 563 fr.
COTTEREAU (Aline-Juliette-Joséphifie), veuve MARIS. — Jouiss. du 4 octobre 1915 563 fr.
BATOUT (Marie-Madeleine), veuve MARQUETÉ — Jouissance du 30 septembre 1914. 563 fr.
DUPUIS (Marie-Armande), veuve MARSMTDON. — Jouiss. du 9 décembre 1915. 563 fr, BRINDEAU (Eugénie-Marie), veuve MARTEAU.
— Jouissance du 25 octobre 1944.,. 563 fr
CORNU (Juliette-Marie-Marguerite), veuve MARTEL. — Jouiss. du 19 mars 1916. 563 fr, CHEVALIER (Annette), veuve MARTIN. Jouissance du 30 mai i916. v' 563 tr.
- DUBOUT -(Arthémise-,Mar.ie), veuve MARTIr NAGE. — Jouissance du15 octobre 1915. 563 fr.
PAVIN (Honorine-Germaine), veuve MARTY. - Jouissance du 9 août !915. 563 Jr, LAGARDE (Mane), veuve MARZELLE. —
Jouissance du 19 novembre 1914 563 Ir.
DANYACH .(Thérèse-Anna-Françoise), veuve MAS. — Jouiss. du 14-novembre 1915.. 563 fr.
CHANCY {Louise), veuve MAUGEIN. — Jouis- sance du 26 septembre 1915. 563 Ir.
: -BARBARIT (Berthe-Maritf-Henrieite), veuve MAUPILLIER.— Jouiss. du 22 avril ©15. 563 Ir.
MENAULT ( Marie-Ernestine ), v.euve- MAU-
'RIGE. — Jouissance du 7 mai 1916. 563 fr.
VÀRENNES (Marie-Louise), veuve MAURIN.
— Jouissance du 15 mai 1915 563 fr.
AUBIN (Emélie-Marguerite), veuve MAYANT.
'J ouissance du.24 juin 1916 563 fr.
MÉCHIN (Rose-Eugénie), veuve MAZERY. .- < Jouissance au 2 octobre 1915. &68 ir* l
hSupplémentJ
JAEGER (Marie-Louise), veuve M£GE.- Jouissance du 8 avril 1916 563 Cr.
BOULOT (Eugénie-Marie), veuve MENANT. —
Jouissance du 22 août 1914 563 fr.
FÉRAL (Marie-Candie), veuve MÉRA VILLES.
— Jouissance du 28 avril 1915 563 fr.
JUST (Anne), veuve MERCHE. — Jouissance du 26 mai1916. 563 fr.
DUCHEMIN (Louise-Julia), veuve METTE. Jouissance du 21 août 1915.* 563 fr.
PERS (Agnès-Marie), veuve MINEAU. — Jouissance du 17 mai 1915. 563 fr.
V ANBALING HEM (IIélène-Emma-Maria), veuve MINNE. — Jouissance du 19 mars 1916. 563 fr.
PEUVERGNE (Anne), veuve MIRAL. — Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
GUILBAUD (Sidonie-Honorine-Adélina), veuve MOINET. — Jouissance du 12 juin 1916. 563 fr.
RICIIAUD (Marie-Clémentine), veuve MONCHAMP. — Jouissance du 22 août 1915. 563 fr.
POUMEYROL (Marie), veuve MONÉGER. —
Jouissance du 16 octobre 1915. 563 fr.
JULIEN (Anna-Louise), veuve MONPEYSSEN.
— Jouiss. du 10 mars 1915. 563 fr.
DELION (Jutiette-Marguerite-Marie), veuve MOREAU. — Jouiss. du 13 juillet 1915. 563 fr.
FOURNY (Aline-Marthe), veuve MOREAU. —
Jouiss. du 29 mai 1916. 563 fr.
PASSEMARD (Louise-Julia), veuve MOREAUX.
— Jouissance du 10 mai 1916. 563 fr.
ESCANDE (Sara-Germaine-Rose), veuve MOREL. — Jouissance du 21 juin 1916. 563 fr.
COURTIAU (Jeanne), veuve MORESMAU. —
Jouissance du 3 juin 1916 563 fr.
MOIZANT (Marie-Alphonsine), veuve MORILLON. — Jouissance du 7 avril 1916. 563 fr.
©EAUVALLET (Augustine-Abélise), veuve MORIN. — Jouissance du 27 juin 1915. 563 tr.
BORNET (Marguerite), veuve MORIZOT. -' Jouissance au 29 mars 1916. 563 fr.
CHAPEY (Marie), veuve MORLEVAT. —
Jouissance du 11 janvier 1915. 563 fr.
ETIENNE (Marie-Louise), veuve MOUGEL. —
Jouissance du 15 novembre 1914. 563 fr.
ROBY (Célina-Eugénie), veuve MOULIN. —
Jouissance du 15 mars 1916. 563 fr.
BRUINEAU (Héloïse-Juliette), veuve MOUSNIER. — Jouiss. du 27 janvier 1916. 563 fr.
PLATEVOUT (Adelina-Césarine), veuve NÉZELOF. — Jouissance du 22 mai 1916.. 563 fr.
TRIBOULIN (Marie), veuve NICOLET. —
Jouissance du 16 octobre 1914. 563 fr.
MULLENER (Marie-Marguerite), veuve NIEF.— Jouissance du 11 juillet 1916. 563 fr. ROUCHÉ (Louise-Léonie), veuve NORMAND.
Jouissance du 8 mai 1916. 563 fr. BERTRAND (Alberte-Angèle), veuve NORTIER. — Jouissance du 9 avril 1915. 563 Ir.
LUCAS (Marie-ffcsine), veuve NOURY. —
Jouissance du 8 septembre t914. 563 fr.
CORMIER (Marie-Ange), veuve NOYALET.
— Jouissance du 11 juin 1916.. 563 fr.
MOURIER (Elisa), veuve NOYER.—Jouissance du 6 mars 1916 563 fr.
MARTEL (Marie), veuve ORIOL.— Jouissance du 23 novembre 1914. 563 fr.
CHALUREAU (Françoise-Maria), veuve PAILUES. - Jouiss. du 18 février 1916. 563 fr.
MARTIN (Joséphine-Mélanie), veuve PAIR.
— Jouissance du i4 janvier 1915. 563 fr.
PEROT (Marie-Clara), veuve PALLIER. —
Jouissance du 18 mai 1916. 563 fr.
CLEMENT (Antoinette), veuve PAPIN. —
Jouissance du 14 mars 1916. 563 fr.
LANDAIS (Georgette-Anastasie-Hortense-Joséphfne), veuve PAPIN. — Jouissance du 25 mai i915. 563 fr.
PAROIS (Josépliine-Marie-Augustine), veuve PAPIN. - Jouissance du 2 mai 1916. 563 fr.
CAMUZAT (Marthe-Marie), veuve PAPOU, GNOT. — Jouissance du 11 mars 1916. 563 fr.
LEGRAND (Marie-Juliette-Camille), veuve PARENT. - Jouiss. du 5 octobre 1914, 5C3 fr.
COUVIDAT (Catherine), veuve PASCAUD. —
Jouissance du 28 août i9H. 563 fr.
LANCE (Anna-Félicie). veuve PASCIIOUD. —
Jouissance du 21 juin 1916,. 563 fr.
ROUSSON (panie), veuve PAULET. — Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
CIIALOT (Berthe), veuve PAUMIER. — Jouissance du 1er mars 1916 ;. 563 fr.
LADOUCE (Roea-Amélieï, veuve PÊARON.
— Jouissance du 28 avril 1916. 563 fr.
MORINEAU (Eulalie-Victorine). veuve PÉAULT.
— Jouissance du 29 septembre 1915. 563 fr.
SAUVANNET (Anne), veuve PEINET. - Jouissance du 11 mars 1916. 563 fr.
GUÊRIN (nosine-Marie', veuve PELLE. —
Jouissance du 19 mars 1916,. 563 fr.
PONT (Eugénic-Armanoe-Marie). veuve PELLOUX PRAYER. — Jouissance du 15 juillet 1915. ,. 563 fr.
MICHELET (Louise-Iiugénic), veuve PÉRARD.
— Jouissance du 5 juin 1916 563 fr.
IMBERT (Catherine), veuve Pt, RARD. - Jouissance du 7 mai 1915. C63 fr.
JACQUEMIN (Marie-Joséphine), veuve PERNOT. — Jouiss. du 20 décembre 191L. 563 fr.
CARPENTIER (Armandine-Emilie), veuve PERNOT. — Jouissance du 24 mars 1916. 563 fr.
MOUQUET (Augustine-Félicilë), veuve PERRIER. — Jouissance du 6 avril 1916. 563 fr.
FLEURY (Marie-Louise), veuve PERRIN. —
Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
LASTERRAS (Antoinette), veuve PETIT. —
Jouissance du 17 mai EH5.,.,. 563 fr.
JEAN (Marie-Joséphine), veuve PETITDEMANGE.— Jouissance du 10 mars 1916. 563 fr.
LANDON (Marguerite), veuve PETÛTON. Jouissance du Ie' octobre 1915. 563 fr.
GALLTC (Marie-Jeanne), veuve PHILIPPE. —
Jouissance du 21 septembre 1914 56:3 fr.
DURAND (Aline-Marie), veuve PICflARD. —
Jouissance du 2 mars 1916., 563 fr.
BEZOL (Pélagie-Berthe-Aimée), veuve PICOURT. — Jouiss. du 4 décembre 1914. 563 fr.
LECULLIER ('Ial'ic-r.élinie), veuve PICQ. —
Jouissance du 23 mai 1916. 563 fr.
SUBERCHICOT (Mathilde), veuve PIERRE. —
Jouissance du 25 mai 191G. 563 îr.
OFFRET (Marie-Françoise), veuve PIERRE. —
Jouissance du 21 avril 1916. 563 fr.
WILLAY (Germaine ),veuve PIESSET. — Jouissance du 28 mars 1915. 563 fr.
PIRODON (Augustine), veuve PJLLOIX. Jouissance du 9 mai 1916. 563 fr.
C II APÉ (Léonie-Jeanne-Marie), veuve PINAULT.— Jouissance du 4 juillet 1915. 563 fr.
LIÈGE (Emélle-Augusline), veuve PINGAUD.Jouissance du 5 mai 191'6. 563 fr.
GRESSART (Hélène-Claire), veuve PIOT, — Jouissance du 17 avril 1916 563 fr.
ROUX (Marie-Joséphine), veuve PITIOT. —
Jouissance du 4 avril 1916. 563 fr.
ROUCOULET (Célina-Rosine-Austroberthe), veuve PLANCIION. — Jouissance du 1er mai 1916 , 563 fr.
PILLARDOU (Armande), veuve PLANDÉ. —
Jouissance du 30 décembre 1914. 563 fr.
ALBERT (Marie-Louise), veuve PLANÉS. —
Jouissance du 1er août 1915. 563 fr.
GUILLOT (Jeanne-Eugénie), veuve PONCEAU.
- Jouissance du 1er mars 1915. 563 fr.
COUANON (Eugénie-Marie), veuve PONDEMER. — Jouiss. du 8 septembre 1914. 563 fr.
ROCIIETEA U (Bernadette-Juliettè-HenrietteMarie) veuve PONDEVY. — Jouissance du 13 juin 1916. ,. 563 fr.
LEPELTIER (Marie-Julia), veuve PORET. —
Jouissance du 4 mars 1916. 563 fr.
SOUTIF (Marie-Louise), veuve POTTIER. —
Jouissance du 27 février 1916. 563 fr.
DAURIS (Catherine), veuve POUJARDIEU. —
Jouissance du 22 avril 1916 563 fr.
BOUSSUGE (Marie-Albanïe-Joséphine), veuve POULALiON, — Jouiss diK3 mai 1916. 563 fr.
SALLEMBIEN (Julienne-Estelle-Maria), veuve POUPARD.- Jouiss. du 7 octobre 1915. 563 fr.
MARSAC (Marguerite), veuve POUYADOUX.Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
PLISSONXEAU (Marie), veuve POUZET. —
Jouissance du 9 juin 1910. 563 fr.
METZ (Jeanne-Madeleine), veuve PRIEUR. Jouissance du 22 juin 19l6. 563 fr.
ARDIN (Sophie-Marié), veuve PROST-PETITJEAN. — Jouissance du 2 juillet 1916.. 563 îr.
OGER (Marie-Constance), veuve PROU. —
Jouisssance du 20 mars 1916. 563 fr.
ROGER (Angèle-Emilia). veuve PROVOST. —
Jouissance du 5 juillet 1915 563 fr.
11- r 3 !r.
MOINE (Eugénie), veuve PUGET. — Jouissance du 1er juillet 1916 563 fr.
MINARD (Anna), veuve PUGNET. — Jouissance du 8 octobre 1915. 563 fr.
CAZENEUVE (Jeanne-téocadie), veuve PUJOS.
— Jouissance du 27 septembre 1914. 563 fr.
MEYNIER (Marie-Magdelaine),veuve PUTOUD.
— Jouissance du 20 septembre 1915. 563 fr.
PRÉAUX (Marie-Augustinc), veuve PY. —
Jouissance du 25 juillet 191;J. 5G: fr.
LEMAITRE (Marie-Joseph), veuve QUÉHEN.
- Jouissance du 12 janvier 1915. ;'63 fr.
BÏGNARD (Angèle-Adéline). veuve QUEVAL.
— Jouissance du fer novembre 1915. 56J fr.
PERRIN (Marie-Lucie), veuve QUIRIN. —
Jouissance du 17 août 1915 563 fr.
DELALANDE (Ida), veuve RABOT. -.- Jouissance du 9 mars 1916. 5^3 fr.
FLAMANT (Christine - Valentine), veuve, RACIXE. — Jouissance du 9 juin 1916.. 563 fr.
AUGRAS (Marie), veuve RAFFIN. - Jouissance du 14 mars 1915 563 fr.
CAREL (Jeanne-Marie), veuve RANDdN Jouissance du 23 février 1913. 563 fr.
VEILLAT (Mélina), veuve RAYNAUD. —
Jouissance du 9 mai 19!G. 563 fr.
LATJBUGE (Louise-Françoise), veuve RAY.
NAUD. — Jouissance du 29 mai 1915.. 563 fr.
POULAIN (Adriennc-Angustinc-OctRvi e), venro.
RKBOULLEAU. — Jouissance du 5 juillet 1915.,. 563 fr.
MONGOUR (Marthe-Léa). veuve RÉGENT.
— Jouissance du 10 mai 1915. 563 fr.
STAUB (Jeanne), veuve RÉMY. - Joufsgauce i\i 11 octobre 1914 563 fr.
BLAISON (Joséphine), veuve RENARD. —
— Jouissance du 22 mai 1D15. ,. 563 fr.
CIÏOMIOL (Denise-Joséphine), veuve RENARD. — Jouissance du 1er mars 1916. 563 fr* GOUSSON (Henrictte-Léontlne), veuve RENARD. — Jouissance du 12 avril 1916. 563 fr.
DALIGAND (Jeanne), veuve RENAUD. —
Jouissance du 26 mars 1916. 563 fr.
LIVEXAIS (Adèle-Angèet-Marthe), veuve RENAUDIEH. - Jouiss. du 23 août 1914. 563 fr.
LEBŒUP ( Henriette - Ananie - Philomène ), veuve RENAUDIN. — Jouissance du 22 mai 1916. , ,. 563 fr.
CHERRÉ ÍLéontine-Alexandrine), veuve RENAUDIN. — Jouissance du 14 novembre *914 563 fr.
ARNAUD (Rosalie-Adèle), veuve REQUIN. —
— Jouissance du 24 septembre 1914. 563 fr.LASSERRE (Marguerite-Louise), veuve RESSAYRÉ. — Jouiss. du 24 juillet 1915. 563 fr.
BILLON-TIRARD ( Marie-Virginie), veuve RÉVOL-BOURGEOIS. — Jouissance du 18 mars.
1916. 563 fr.
VACHER (Marie-Louise), veuve RT-VON. - - Jouissance du 9 janvrier 1916 563 fr.
BONIDAN (Berthe-Jeanne), veuve llEY..-
Jouissance du 25 avril 1915. 563 fr.
CAUSSET (Marie-Louise), veuve REY. —
- Jouissance du 14 juin 1915 563 fr.
CIIA P 0 U L A R D (Marle-Louiso-Antoînette), veuve REYGADE. — Jouissance du'21 décembre 1911 , 563 fr.
DUMONTEIL (Marie), veuve REYMONDIE. - ',- — Jouissance du 27 septembre 1915. 563 fr.
HI VON ET (Léontine-Clémence-Eugénie), veuve RICHARD. — Jouissance du 5 mai 1916 563 Ir.
BARBIER (Maria-Augustine), veuve RIEU. —
Jouissance du 27 mai 1916. 563 fr.
MAZUI (Fanny-Maria), veuve RILLET. —
Jouissance dul6 juin 1915 563 fr.
GIGANON (Marie-Alice), veuve RIPON. Jouissance du 8 octobre 1915. 563 Ir.
- CÃUSSIDÉRY (Marie-Antoinette), veuve RIYIÈRE. — Jouissance du 16 juin 1916.. 563 fr.
RIVORt (Marie-Baptistine), veuve RIYORY.Jouissance du 13 mars 1916. 563 fr.
LIVERNOIS (Rosalie), veuve ROBERT. — JouissancedulOmars 1916. 563 fr.
CARRICÁRT (Julia-Clara-Armandine), veuve ROBIN. — Jouiss. du 5 décembre 1914 563 Ir.
THÉBAULT (Philomène-Marie-Joseph), veuve ROBIN.—Jouiss. du IL septembre 1915. 563 fr.
ROCHE (Amélie-Justine), veuve ROBIN. —
Jouissance du 17 mai 1916. 563 fr.
CADOUX (Maria-Eugénie-Léa),veuve ROCHER.
- Jouissance du 22 jum 1915. 563 fr.
LENFROY (Marie-Angélina-Thépdorine), veuve ROCHERL — Jouiss. du 17 avril 1916.. 563 fr.
MONJEAN (Jeanne-Louise), veuve ROGEON.
- Jouissance du 1er avril 1916. 563 fr.
LE BOURSICOT (Joséphine-Antoinette), veuve ROGUEDAS. — Jouiss. du 13 avril 1916. 563 fr.
MOREÁU (Marie-Eugénie), veuve ROLLAND.
-.JouisaIice du 8 mai 1916. 563 fr.
LE JBOULIGAUT (Marie-Magdeleine), veuve ROTHFRITSCII. — Jouissance du 21 mars 1916 563 fr.
LEHÉBEL ( Marcellin-e-Marie - Joseph), veuve ROUSSEL. — Jouissance du 4 novembre 1915. 563 fr.
ROUXEL (Marie-Reine), veuve ROUSSEL. —
Jouissance du 10 septembre 1915. 563 fr, VUILLEMOT (Berthe-Eugénie-Julia), veuve ROUSSELET. — Jouiss. du 9 juin 191G. 563 fr- GARREAU (Ernestine-Marie-Jeanne), veuve RODSSELOT. — Jouiss. du 9 juin 1916.. 563 fr.
LAFFONT (Julie-Marie), veuve RUAZ. — Jouissance du 1er novembre 191i. 563 fr.
FAYET .(Rosalie-VirginieX veuve SABATIER.
- Jouissance du 11 juin 19L6. 563 fr.
FUENTÊS (Maria de la Ascension Venancia), - veuve SAFRA. — Jouissance du 24 avril 1915. 563 fr.
BEN SAÏD (Esther}. veuve SALAG. — JouissanGedu6octobiel914. 563 fr.
LARRIVlÈRE (Ann-a, veuve SAINT JOURS, — Jouissance du 1er juin 1916. H." 563 fr.
ROY (Marie-Hosalie., veuve SALARDEiïNE. —
Jouissance du 4 octobre 1914 563 fr.
TOUZÉ (Marie-Eugénie), veuve SALMON. —
Jouissance du 6 septembre 1914 563 fr.
LHOUMEAU (Marie-Madeleine), veuve SALOMON. — Jouissance du 26 mai 1916. 563 fr.
LUÇON (Louise-Pauline), veuve SANSIQU1ER.
-; Jouissance du 19 janvier 1916. 563 fr.
LECŒUR (Hortense-Victoria), veuve SANTAIS.
— Jouissance du 13 juin 1916. 563 fr.
JOUSSET (Marthe), veuve SARDON. — Jouissancedu2 juin 191&. 563 fr.
-NEYEN (Hélène), veuve SCIIENCK. - Jouis- J sance du.23 septembre 1914. 563 fr.
RENAUD (Marie), veuve SCHMIT. — Jouissance du 29 avril 1915. 553-fr.
LE MAIRE (Emma), veuve SÉGUIN. — Jouissance du .1er mars 1916. 563. fr.
COURT-FORTUNAZ (Marie-Henriette), veuve SEIGLE. — Jouiss. du 23 octobre 1913. 563 fr.
DUSSERRE (Fernande), veuve SÉNAC. —
Jouissance du 16 -juin 1916 ,. 563 fr.
SAIGNAC (Phillipine), veuve SERRES. —
Jouissance du 11 mars 1916 563 fr.
V DUFOURNEL (Jeanne-Joséphine), veuve SERYOZ. — Jouissance du 20 juin 1916 563 fr.
- DOS. SANTOS (Léa-Françoise), veuve SIMON - Jouissance du jer juillet 1916. 563 fr.
MEILLIEZ (Gabrielle-Mariè), veuve SIMPEJjLAERE, - Jouissance du 18 avril 1916. 563 fr.
GOUDERT (Marguerite-Victorine), veuve SINSOUS. — Jouiss. du 22 octobre 1915. 563 fr.
HULEUX (Angêle-Aldagonde), veuve SION.
— Jouissance du 7 mai 1916., 563 fr.
SOMMER (Claire-Lucie), veuve SOLVICHE. —
Jouissance du 23 mai 1916 563 fr.
PIEL (Louise-Marie-Victorine), veuve SON- NET. — Jouissance du 1er juin 1916. 563 fr.
BOURRÉE (Marie-Françoise), veuve SOREL. —
Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
BARRETEAU (Yictoire-J oséphine-Henriette), veuve SORET. — Jouissance du 14 juin 1916 563 fr.
BORDOULEIX (Marie-Louise), veuve SOUCHET. — Jouiss. -du 16 novembre 1914. 563 fr.
COSTE (Marguerite), veuve SOUM. — Jouissance du 15 juillet 1915. 563 fr.
MAURICE (Marie-Adeline), veuve SOUVAY.
— Jouissance du 6 mai 1916 563 fr.
BARJOU (Marguerite), veuve TACHE. —
Jouissance du 10 mars 1916. 563 fr.
TUJA (Marie-Laurentine), veuve TAPIE. —
Jouissance du 10 mai i9i6. 563 fr.
MÈGE (Blanche-Audonna), veuve TAPON. —
Jouissance du 12 mai 1916. 563 fr.
1 ROULOT (Marguerite-Marie), veuve TAVERNIER. — Jouissance du 30 mars 1916. 563 fr.
COUCHOUD (Jenny), veuve TENDILLE. —
Jouissance du 8 juin 1916"; 563 fr.
Jouissance du 8 juin 563 fr.
RABOTOT" (Jeanne), veuve TERRET. — Jouissance du 18 juin 1916. 563 fr.
LORENT (Marie-Marthe-Juliette), veuve TESSIER. — Jouiss. du 18 septembre 1915. 563 fr.
RIDARD (Jeanne-Marie-Sainte), veuve TESSIER. — Jouissance du 10 avril 1916. 563 fr.
PONSOLLÈ (Anne), veuve TEYCHENÉ. — Jouissance du 12 décembre 1914 563 fr.
PIQUEMAL (Jeanne), veuve TEYCHENNÉ. Jouissance du 7 avril 1916.:. 563 fr.
BRIAN (Marie), veuve TEYSSEYRÉ. — Jouissance du 2 mars 1916. 563 fr.
TOURNIER (Marie), veuve THEILLAUMAS. —
Jouissance du 11 septembre 1914. 563 fr.
MICHEL (Octavie-Émélie), veuve THËVENOT. - Jouissance du 10 novembre 1914. 563 fr.
RANJARD (Fernande), veuve THILLET. Jouissance du 25 janvier 1915 563 fr.
FESSY (Marie-Claudine), veuve TnIMONIER.
- Jouissance du 23 mai 1916.-. 563 fr.
VAUD1N (Louise), veuve THIRION. — Jouissance du 5 octobre 1914 563 fr.
BAZIRE (Aséline-Émilie), veuve THOMAS. —
Jouissance du 9 mars 1916. 563 fr.
GARDÉ (Louise-Alphonsine), veuve THORIN.
Jouissance du 31 mai 1916 563 fr.
GENTY (Adèline-Alina), veuve THUDOR. —
Jouissance du 4 octobre 1915. 563 fr.
MARTIN (Marie), veuve TISSOT. — Jouissance du 7 avril 1916 563 fr.
REBOUILLAT (Flavie-Émélie), veuve TISSOT.
— Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
FOLCO (Françoise), veuve TOCHE. — Jouissance du 9 septembre 1914 "563 fr.
BOITREAU (Jeanne), veuve TOUCHARD. —
Jouissance du 31 mars 1916. 563 fr.
VINCENDON (Marie-Léonie), veuve TOURAND.
— Jouissance du 24 octobre 1914 563 fr.
PILLON (Adrienne), veuve TRAÇOL. — Jouissance du 17 avril 1915. 563 fr.
EVENO (Marie-Anne), veuve TRIONNAIRE. -- Jouissance du 12 décembre 1915. 563 fr.
HOUSSELIN (Léonie-Vietorine), veuve TRONlCHOT. ---Joaiss. du 28 septembre 1915. 563 fr. > TISSiER (Annette), veuve TURPIN. — Jouissance du 25- octobre 1914. • • 563 fr. RIVAT {Emmélie), veuve ÙRPAIN. — Jouissance du 16 juin 1916 .:.. 5q3 Ir.
GENTILHOMME (Marguerite-Jeanne), veuve.
VACHÉ. — Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
19i:5 Õ. 563 fr.
LALLËMAND (Elisabeth-Lucienne ), veuve VAILLY. — Jouiss. du 16 octobre 19.15 't .'593 tr.
COULOUVRAT (Julie-Hinriptte). veuve VALENTIN.'— Jouissance du 23 ju.uil915. 1563 fr.
THOURET (Blanche-Louhe-\ng'ïe), veuve VALLÉE. — Jouiss. du 20 janvier 1916 563 fc.
CIIATAIGNÈRE (Victorine - Marie). veuve VALLÉE. - Jouiss. du 4 juin 1916 563 fr, MANCEAU (Sophie-Pauline), veuve VANDECASTEELE. — Jouiss. du 5 avril 1915.. 563 fr.: BARROT (Marie), veuve VÀNDEWALLE. —
Jouissance du 21 septembre 1915. 563 fr.
VASSEUR (Jeanne-Gabrielle). veuve VANHOECKE. — Jouiss. du 23 août 1914. 563 fr.
LAGARDÉRE ( Marie-Eva-Jeanne), veuve VERDIER. — Jouissance du 5 novembre 1914.. 503 fr.
RODEAU (Louise), veuve VERGNAUD: Jouissance du 30 mai i9l6 563 fr.
CRÉPIN (Marie-Hélène), veuve VERMEERSCH.
— Jouissance du 16 janvier 1915. 563 fr., BOULANGER (Germaine-Emélia-Aimée), veuve VERNALDE. — Jouissance du 8 octobre 1915. 563 fr.
GRAND GIRARD (Maria-Appoline-Eugérïie), veuve VERNIER. — Jouissance du 28 février 1916. y. 563 fr. -
LAFFORÊT (Anne), veuve VEVAUD. - Jouis-'
sance du 28 août 1914. 563 fr BASTIÉ (Marie-Célestine), veuve 'VIDAL. —
Jouissance du 7 juin 19l5y, 563 fr..
CHASTAGNER (Marie-Eulalie), veuve VIGIER," - Jouissance du 11 mars 1916. 563 fr.DUDING (Louise-Rosalie), veuve VIGNE. Jouissance du 15 juin 1916. 563 fr.
DUBOIS (Constance-Alexandrine), veuve VIGNEUX. - Jouissance du 6 juin 1916.. 563 fr.
GINESTET (Marie-Angéle), veuve YIGUIÉ. -1 Jouissance, du 4 octobre 19H.. - 563 fr.
CHIRAC (Marie-Jeanne), veuve VIEILLEMARINGE. — Jouiss. du 12 octobre 1915.:. 563 Cr", DUTEL (Philippine), veuve VILLÀRD. -Jouis-.
sance du 21 décembre 1914. 563 fr, GABORIT (Yvonne-Agnès-Séraphie), veuve VIMPÈRE. — Jouiss. du 28 août 1914. 563 îr. BERTHELOT (:Aminthe-Marie-Armandine-Ju- K liette), veuve VINCENDEAU. — Jouissance du -26 septembre 1915., 563 fr.
RICIIARD (Marguerite-Léa), veuve VINCENT. —
Jouissance du 16 février 1916. >. 563 fr., FERRER (Joséfa), veuve 'VINCENT. — Jouissance du 2 octobre 1915. 563 fr,. 'BARBET (Marie-NathaHe), veuve VINCENT.
Jouissance du 25 septembre 1914. 563 fr.
MACLIN (Henriette-Loui«e-Albertine), veuve VINCENT. — Jouiss. du 31 mai 1916T 563 fr.
MARQUIS (Marie-Louise), veuve VINCENT. —
Jouissance du 21 mars 1916. 563 fr.
ARRIGAULT (Marie-Augustine),veuve VIVIER.
— Jouissance du 6 mai 1916.563 fr.
NONORGUE (Marthe-Marie-Elisa), veuve VOI-
PIERRE. — Jouissance du 9 juillet 1915. 563 f r. * BARAULT (Marguerite-Gabrielle-Camille),veuve VOISIN. — Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
REY (Jeanne), veuve VOISSET. - JoUissance du.21 avril 1916.( ^63 fr.
TISSOT (Maria-^urélie), veuve WÉBER. - Jouissance du 30 octobre 1914. 563 fI'.
FLOQUET (Marie-Adélaïde), veuve WEISS. 563 fr.
Jouissance du 11 mai 1916. 563 fr, CAUGANT (Marie-Jeanne), veuve YOUINOU.
i ouiss-ance du 9 juin 1916. 563 fr, Veuve et orphelin de caporal. -LANG LAIS. ( Anne-Mari e-Ftançoi se), veuve J ARNOT. — Jouissance du 3 février 1916. 338 fr.
: Orpheline JARNOT (Marguerite-Marie). -' Jouissance du 3 février 1916 au 9 janvier 1923 337 fr. M. Regnard (Eugène), tuteur.
Veuves et orphelins de soldats.
Orphelin BERTAUD (Marcel-Henri-Lédn). Jouissance du 30 septembre 1915 au 7 octobre 1928.,. 063fr* M, Bertaùd (Firmin), tuteur.
VIGIER (Marie), veuve BETOULLE. — Jouis- 1 sance du -29 août 1914 au 14 mai 1915. 563 fr.
Orphelin BETOULLE (Jean-André). — Jouissance du 18 mai 1915 au 6 février 1936. 563 fr.
M. Betoulle (Léonard), tuteur.
Orphelins BOURÉE : 1° François-Maurice ; 2° Maurice-Pemand ; 3° Marguerite-FortunéeGermaine. — Jouissance du 29 janvier 1916 au 31 ma: 1932. 563 fr.
M. Salliot (Justin-Maurice), tuteur.
BRIFFAULT (Aimée), veuve BOUVIER, Jouissance du 6 juin 1915. 282 fr.
Orpheline BOUVIER (Fernande-Juliette). —
Jouiss. du 6 juin 1915 au 19 mars 1931. 281 fr.
M. Bouvier (Louis-Edmond), tuteur.
BÉDRI:\'ES (Margueri te-Brigitte:- Marie-J eann e), veuve CAZALS. — Jouissance, du 27 septembre 1915 282 fr.
Orpheline CAZALS (Marcelle-Yvonne-MarieRose). — Jouissance du 27 septembre 1915 au 29 janvier 1932. 281 fr.
M. Cazals (Jean), tuteur.
PASCAL (Juliette-Augustine), veuve CHALOIN. — Jouissance du 22 juillet 1915.. 282 îr.
Orphelin CIIALOIN (Gaspard-Joseph). — Jouissance du 22 juillet 1915 au 30 avril 1923. 281 fr.
M. Chaloin (Joseph), tuteur.
BOURGIN (Julie), veuve COGNASSE. - Jouissance du 29 novembre 1914:. 282 fr.
Orphelin COGNASSE (Gabriel-Henri). - Jouissance du 29 novembre 1914 au 25 mai 1925. 281 fr.
Mme Exbrayat ( Marie-Marguerite-Adélaïde ), tutrice.
Orphelines DUPONCEL : 1° Mathilde-Constance-Henriette ; 20 Suzanne-Henriette-Eugénie.
- Jouiss. du 12 juin 1915 au 12 juin 1928. 563 fr.
M. Duponcel (Jean), tuteur.
Orphelins FOURNIER : 1° Pierre-Aimé-Armand; 2° Jean-Julien-Armand. - Jouissance du 10 septembre 1914 ru 29 novembre 1930. 563 fr.
M. Fournier (Eugène), tuteur.
VIVIER (Marie-Joséphine), veuve LANEURIE.
- Jouissance du 31 août 1915. 282 fr.
Orphelin LANEURIE (Jean-Auguste-Désiré). —
Jouissance du 31 août 1915 au 19 décembre 1925 I. 281 fr.
M. Teiton (Clovis), tuteur, Orphelins LE NAOUR : 1° Marcel-Jean-Marie ; 2° Raymond-Yves-Marie; 3° Robert-FrançoisMarie; 4° Fernand-Pierre-Marie ; 50 EmileMarie; 6° Simonne-Anne-Marie. — Jouissance du 10 novembre 1914 au 23 juillet 1934. 563 fr.
M. Le Merrer (François-Marie), tuteur.
Orphelins LOUIS : 1° Jules-Eugène-Lambert; 2° Justine-Marie-Juliette. — Jouissance du 31 mars 1916 au 21 juin 1930. 563 fr.
M»# veuve Lablanche (Marie-Augustine), tutrice.
Orphelins MAILLARD : 1* Marcelle-FélixineLouise; 2° Roger-Albert-Désiré; 3° Simone-Madeleine-Constance; 4° Suzanne-Marcelle-Simone.
— Jouissance du 26 septembre 1915 au 22 avril 1934. 563 fr.
M. Villette (Désiré), tuteur.
BESLOT (Yvonne), veuve PUAULT. — Jouissance du 17 juin 1915. 282 fr.
Orphelines PUAULT: 1° Georgette-Marie ; 2° Simone-Eugénie-Jeanne. — Jouissance du 17 juin 1915 au 29 septembre 1930. 281 fr.
M. Puault (Marie-Eugène), tuteur.
Par décret du 29 novembre 1916, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension à la veuve dénommée ci-après, dont le mari a été tué sur le champ de bataille : Veuve de capitaine.
OUDAR (Eugénie-Marie-Louise), veuve DUCATEL. — Jouiss. du 27 septembre 1915. 1,650 fr.
Par décret du 29 novembre 1916, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves ou orphelins dénommés ci-après, dont les maris ou pères ont été tués sur le champ de bataille :
Veuve. de ,ergent,..
BLANCAL (Adèle), veuve DUPUY. — Jouissance du 17 avril 1916. 825 fr.
AUDIGNON (Marie), veuve MALABAT. —
Jouissance du 1" juillet 1915.» 825 fr.
SERRE ( Gabrielle-Marie-Joséplilne), veuve QUIBEL. — Jouiss. du 15 mai 1916. 825 fr.
BOULAY (Hélène-Augustine), veuve GUÉRIN.
— Jouissance du 29 juin 1916. 825 fr.
Veuves de caporaux.
QUOD (Marie-Louise), veuve BIGNON. —
Jouissance du 26 septembre 1915. 675 fr.
LEFÈBVRE ( Henriette - Marie - Madeleine ), veuve CARRÈRE. — Jouissance du 2 octobre 1915 675 fr.
BANYULS (Cécile-Albine-Thérèse), veuve DELHOM.- Jouiss. du 7 octobre 1915. 675 fr.
DUPUIS (Juliette-Victorine), veuve DUPUIS.
— Jouissance du 24 mai 1916. 675 fr.
HYE (Marie), veuve FAGES. — Jouissance du 17 septembre 1914. 675 fr.
OLIVER (Mathilde-Thérèse-Anna), veuve IZERN. — Jouiss. du 22 février 191G. 675 fr.
ROUFFIAC (Maria-Rosa-Antoinette), veuve MAIGNA. — Jouiss. du 11 juillet 1916.. 675 fr.
LONGUEVILLE (Julia-Denise), veuve SALLAT.
— Jouissance du 3 mai 1915. 675 fr.
Veuves de soldats.
PASQUET (Augustine), veuve ADAM. —
Jouiss. du 26 septembre 1915. 563 fr.
SAURY (Jeanne-Rose-Marguerite), veuve AURIOL. — Jouissance du 4 mai 1916. 563 fr.
GALZY (Marie-Salomée-Lydie), veuve AZÉMA.
- Jouissance du 6 novembre 1915. 563 fr.
MEOULE (Jeanne), veuve BARRIÈRE. —
Jouissance du 10 juillet 1915. 563 fr.
CAMART (Marie-Françoise), veuve BARTIIOLOME. — Jouiss. du 27 septembre 1914.. 563 fr.
PUJOL (Marie-Lucie), veuve BONNES. —
Jouissance du 2 février 1916. 563 fr.
PICHON (Marthe-Eugénie), veuve BOUILLET.
— Jouissance du 3 juillet 1916. 563 fr.
PRIVAT (Léa-Eugénie), veuve BOURDIGAL.
— Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
JULIEN (Germaine-Cécile), veuve BOURDON.
— Jouissance du 15 mai 1916. 563 fr.
HUMBLOT (Marie-Augustine-Gilberthe), veuve BOURGUIGNON. — Jouissance du 26 avril 1915 563 fr.
LE BRETTON (Marie-Françoise), veuve CARN.
— Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
BLATGÉ (Doria-Isabelle), veuve CARRIÈRE.
- Jouissance du 30 janvier 1916. 563 fr.
LOUÉNAN (Marie-Renée), veuve CASTEL. —
Jouissance du 15 juillet 1915. 563 fr.
SUSPÈNE ( Joséphine-Bertrande), veuve CAZAUX. — Jouiss. du 6 octobre 1915.. 563 fr.
DÉJEAN (Marie), veuve CAZENAVE. — Jouissance du 22 février 1916. 563 fr.
GUÉRIN {Marie-Barbe), veuve CHÉREL. —
— Jouissance du 17 avril 1916. 563 Ír.
PRIEUR-BARDIN (Florentine-Léonie), veuve CLAVEL. — Jouiss. du 26 juillet 1915.. 563 fr.
BEC Il (Justine-Madeleine-Rose), veuve CONILL. — Jouiss. du 18 février 1915.. 563 fr.
FAVRIN (Claudine), veuve DAHLEN. — Jouissance du 23 mai 1915 563 fr.
LESGARDS (Marie), veuve DARROUZET. —
Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
RUSS1ER (Marie-lsabeau), veuve DURAND.- — Jouissance du 3 octobre 191-1. 563 fr.
MARSAULT (Alexide-Marthe-Marie), veuve FAZILLEAU. — Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
SOCCOJA (Carmela), veuve GARGUILO. —
Jouissance du 9 décembre 1915. 563 fr.
POUZET (Louise-Alexandrine), veuve GARNIER. — Jouiss. du 22 mars 191G. 563 fr.
BïZET (Marie-Louise-Marthe), veuve GENTREAU. — Jouissance du 10 novembre 1915. 563 fr.
CESTRE (Yvonne-Marie-Frédérique), veuve GRANDJEAN. — Jouiss. du 2 juillet 1916. 563 fr.
DUFiEUX (Henriette), veuve GROS. — Jouis- : sance du 24 juin 1915. 563 r.
BILLARD (MarLe-Jullen7ie-Au?u,ïtine), veuve GUÉIIO. - Jouiss. du 17 octobre^ rr.
FONTAINE (Suzanne-Emmélie), veuve wi.EU-
DIN.- Jouissance du 8 décembre 1915. 563 fr.
GACHES (Emma-Amélie), veuve GUIZARD. —
Jouissance du 2 juillet 1916 £ ,63 fr.
LABADIE (Marie-Marthe), veuve IILRIGOYEN- .] — Jouissance du 30 septembre 19?15 563 fr.
DEPRAS (Marie), veuve JACQUET. - Jouis- i sancedu4octobroi914. 563 fr- j BASSET (Rosalie), veuve JACQUET. — Jouis- J sance du 24 juillet 19-15 563 frTERRAL (Maria'-Syivie\ veuve JEANJEAN. f Jouissance du 3 juillet 1915.. 563 fr- ?
LE MOTQN (Joséphine-Eugénie), veuve JES- l TIN. — Jouissance du 4 octobre 1915. 563 fr.
DRAOULEC (Anne-Marie), veuve JONCOURT.
Jouissance du 29 juin 1915. 563 fr. -l GLOAGUEN (Marie-Françoise\ veuve LE COZ- P Jouissance du 13 septembre 1915..,. 563 ir. JEANMOUGIN (Pauline-Marie), veuve LOM- BARD. — Jouissance du 30 septembre 1915 563 fr. f MATAL (Léonie), veuve MARTIN. - Jouis- ?
sance du 26 septembre 1915 563 fr- !
BERTRANDIAS : Marie-Louise), veuve MATIP.Y.
— Jouissance du 24 arril1916.,. 563 fr.
MERCIER (Marie-Olympe), veuve MÉNAGER. v — Jouissance du 26 septembre 1915. 563 fr.
LAGRANGE (Catlierine-Cermaine),veuve, MOS- f NIER. — Jouissance du 12 juillet 1916. 563 fr. jMADEC (Marie-Radegonde), veuve PERRON.
— Jouissance du 27 septembre 1914. 563 fr. I ROUX (Virginie-Andrésia). veuve PEYRELON- v — Jouissance du 29 août 1914. « .,.. 563 fr. <■ ROCII (Augustine-Victoire-Charlotte), veuve PHJLIPPOT. — Jouissance du 26 septembre m 1915. 563 fr. *
CIIAFFANGEON (Anne-Marie), veuve POYET.
— Jouissance du 4 avril 1016.,. 563 fr. j DELORD (Alexine), veuve PUJOL. — Jouis- sauce du 6 novembre 1915. 563 fr. j PY (Maxime-Françoise-Marie), veuve PY. — < Jouissance du 22 février 1916. 563 fr.
MERCIER (Marie-Victoire), veuve RÉQUET. — 1 Jouissance du 28 juillet 1915 563 fr. "!
TÉRON (Marie-Antoinette-Stéphanie), veuve "J OUl.S::O. ance u -°. JUle .~;J", 563. r.
ROSSIGNOL. — Jouiss. du 7 mai 1916.. 563 fr. il GAUBERT (Léonie-Augustine), veuve SARDA. I!
- Jouissince du 11 février 1916. 563 fr. ]
MORIN (Adélinû-Léontine), veuve SÈVRES. - À Jouissance du 14 février 1916., 563 fr. ]
OLANO (Marie-Anne), veuve SOUQUE. — 1 Jouissance du 6 octobre 1915. 563 fr.
CAUGNIES (Andrea-Anataiie), veuve TIRET. j — Jouissance du 12 décembre 191'4 563 fr. 1 MOURET (Marie), veuve VAIROLATTO. Jouissance du 25 février 1915. 563 fr.
LAINÉ (Eugénie-Alphonsine), veuve VICAIRE. J — Jouissance du 26 septembre 1915 563 fr.
M OULIN 1ER (Rose), veuve VRILLAUD. — Jouis- j sance du 13 juilleM915. 563 fr.
1 j Orphelins de soldats. 1
Orphelin OGEARD (Auguste-Pierre), — Jouissance du 14 mai 1915 au 4 juillet 1925.. 563 fr. j M. Ogeard (Pierre), tuteur,
Orpheline ROM AT ET (Marguerite-Gabrielle).- Jouissance du 26 septembre 1915 au 20 août 1933 563 fr. !
M. Romatet (Antoine), tuteur.
Par décret du 29 novembre 1916, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris ont été tués sur le champ de bataille : Veuve de sergent.
MAZZA HAOUA (bent Allaoua bon Hammam Essahraoui), veuve TOUATI AMAR (ben Amar ben Lakhdar), — Jouissance du 26 septemMW 1915 .1. 560 Ir.
- 1 Veuve de caporal.
BELHAOUCHE (Aicha bent Senouci ben Bachir) veuve BELHADJ (Mohammed ould Mobammed ould Mohammed Belhadj). — Jouissance du 16 juin 1915. 490 fr.
Veuves de solda"-
HEDDA (bent Ferhat ben Lakhdar Dridi), veuve ABDALLAH (ben Brahim el Hadjri). Jouissance du 1er mai 1915. 413 fr.
BENLAZREG (Allou bent Ahmed ould Miloud ould Lazreg), veuve BOUTEFFAH (Abdelkader ould Mosteîa ould Miloud BELHADJ). — Jouissance du 29 août 1914. 413 fr.
MABROUKA (bent Saad ben el Hadj Mohamed) veuve LARBI (ben Belgacem ben Chellouf).
— Jouissance du 17 janvier 1916. 413 fr.
MABROUKA (bent Ilasnaoui Layadi), veuve OUANÈS (ben Mohamed ben Amor ben Henda).
Jouissance du 15 septembre 1914 ;. 413 fr.
OUM el KHIR (bent Amor ben M'Hammed Gacem) veuve TAHAR (ben el Hadj Ahmed ben Amor). — Jouissance du 4 janvier 1916. 413 fr.
HENIA (bent bou Ilamma el Arbi) veuve TAHAR (ben Hassin ben el Hamri). — Jouissance du 28 avril un5. 413 fr.
Par décret du 29 novembre 1916. sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux militaires dénommés ci,. après : Soldats.
ESME (Albert-Joseph),amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916.. 750 fr.
FAYOLLE (Alfred), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
FÉRET (Pierre-Albert-Antoine), perte de l'usage d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916. 630 fr.
FIÉVET (Théodore-Maurice) amputation d'un membre. -Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
FOLL (Jean-Louis), perte de l'usage, d'un membre. -■-Jouiss. du 7 décembre 1916. 630 fr.
FONTENAY (Eugène-Georges-Auguste), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. i 672 fr.
FORESTIER (Jean), amputation d'un membre.
- Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
FORESTIER (Jean), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916. '750 fr.
GABILLON (Léonce-Henri), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 643 fr.
GAGNON (Marcel-Louis-Auguste), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
GAL (Fernand-François), amputation d'un membre. - Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
GASCOIN (Jean-Marie-Hvppolite-Victor), blessures ou infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916 600 fr.
GAUTIER (Alexandre-Marc-Pierre), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916 600 fr.
GAVELLE (Georges-Auguste-Paul), blessures ou infirmités, — Jouissance du 7 décembre 1916 , 600 fr.
GAY (Paul-Marcelin-Célestin), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 ; 750 fr.
GERBAUX (Raoul-Gabriel), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 651 fr." GILBERT (Robert-Maurice), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 630 fr.
GILLODES (Pierre-Jules), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
GIRARDOT (Emile), perte de l'usage d'un membre.-— Jouissance du 7 décembre 1916. 651 fr.
GONNIN (Jean), perte de l'usage d'un memJK-e. - JoÙÍSS. du f décembre 1916. 650Ir.
t
GOUBET (Georges), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916.- 750 fr.
GOURNET (Arthur-Gustave). amputation d'un membre. — Jouissance du 7. décembre 1916 ..L.. 750 fr.
GRANDMAIRE (Viôtor-Lucien), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 ., .: 651 fr.
GRENGA (Jean-Angeli), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 651 fr.
GRENIER (Jean), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 630 fr. v GROLIER (Alfred-Joseph-Marie-Gabriel), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916 600 fr.
GROSSIER (Henri-Irénée), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
GUEIT (Marius-Philémon-Rosange), amputation d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
GUERRIN (François), blessures ou infirmités. - Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
GUILLORY (Alfred-Joseph-Eugène), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
GUIRAUD (Charles-Joseph), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
GUYON (Auguste-Joseph), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 658 fr.
HACQUARD (Georges-Lucien), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 630 fr.
HANROTEL (Laurent-Emile), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
HANS (Joseph-Léon), perte de l'usage d'un membre. - Jouiss. du 7 décembre 1916. 631 fr.
HARDY (Louis-Marie-Joseph), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 75ft fr.
ICARD (Victorm-Léoncet, blessures ou infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916.. 600 fr.
JABIN (Eugène-Sylvain), amputation d'un memre.- Jouiss. du *7 décembre 1916. 750 fr.
JEAN (Emile-Léon-François), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
JEANTET (Adolphe-Eugène), blessures ou infirmités. -Jouiss.-du 7 décembre 1916. 600 fr.
JOFFRE (Jean-François-Louis), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 639 fr.
JOLY (Henri-Pierre-Gustave), blessures ou infirmités.- Jouiss. du 7 décembre 1916. 600 fr. JONCOUR (Olivier-Marie), amputation d'un membre. - Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
JORIAUX (Robert-Constant), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre i9i6. 750 fr.
JOUZEAU (Georges), blessures ou infirmités.
— Jouissance du 7 décembre -1916 600 fr.
JUCHET (Marius-Alexandre-Georges), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916.,. 631 fr.
JUPO (Ambroise), amputation d'un membre.
— Jouissance du'7 décembre 1916 750 fr.
KERN (Pierre), amputation d'un membre. Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr..
KRÉMER (Georges), amputation d'un membre.
- Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
LABRUYÈRE (Emilien-Anatolé), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du.7 décembre 1916.:. 630 fr.
LAMBERT (Léonce-Auguste-Julien), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 i 750 fr.
LAMBERT (Paiil-Joseph-Jean), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 : , , , , , , 750 fr.
LAMBOLEZ .(Paul-Louis), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre bre i -7~0 tr.
bre 1916.. , , , , ,', ,. , , , ,', -"1;)0 fr.
LANGLOIS (Joseph-Paul-Gustave), perte dî l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 déceffif 1916 658 Tir.
LANGLOIS (Paul-Augustin), blessures ou m» firmités. — Jouiss. du 7 décembre 11)16 600 fr.
LARGUIER (Célestin-Henri), perte de l'usage d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916. , -L' 650 ftf.
.LASSAU (Jean), perte de l'usage d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916 641 fr.
LATIEULE (Joseph-Auguste), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr, LAUBUGE (Léon), amputation d'un membre — Jouissance du 7 décembre 1916 750,fï\ j LAURENT (Joseph-Félix-Yves-Marie), amputa-^ tion d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916 ■ 750 fr.
LEBAT (Jean-Joseph-Marie), blessures où infir- mités. — Jouiss. du 7 décembre 1916. GOOir LECARDONNEL (Marcel-Tranquillé-Bernarçl),, blessures ou .infirmités. — Jouissance du 7 décembre 191 6 600 fr.
LE CHARPENTIER (Yves-Marie), blessures bu infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 600 it.
LE COAT (Eugène-Jean-Marie), blessures pu infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 603 ».
LEGOMPTE(Léon-Louis-Henri),perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 G28 fr.
LEFEBVRE (Henri-Joseph), perte de l'usage (ftn membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 051 fr.
LEGAST (Henri-François-Félix), perte del'usage d'un membre. — Jouissance du 7 dé- cembre 1916 ; v 613 ir.
- LE MESLE (Albert-Auguste-Jean-Baptiste), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 630 fr, LIÉNARD (Maurice-Charles), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
LEFEUVRE (Emilien-Angelmire-Jean-Baptiste), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
LE LUEL (Joachim-Marie), perte de l'usage d'un membre. --Jouissance, du "7 décembre I9i6.-. - 658 fr.
LESBILLE (Claude), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 ft.
LESCALIER (Emile-Femand), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 dccembre 1916 750 Ir.
LIGONNET (Charles), perte de l'usage d'un membre.—Jouiss. du 7 décembre 1916. '(j30 fr.
LORIC (François-Marie), plerte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916.,',.,.:,. 652 fjv LUCAS (Julien-Marie), perte de l'usage d'un membre.—Jouiss. du 7 décembre 1910. 642 frr MAISON (René-Jules), cécité complète. —
Jouissance du 7 décembre 1916. 975 fr, MALASSENET (Louis-Elie-Raymond), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
MARCHADOUR (Jean-François-Marie), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr, MARIETTE ( Auguste-Médéric), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du _7 dAtobre 1916. 650 Tr.
MARTIN (Edouard-Joseph), yerte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre '1916.; , 651 fr.
MÉRIAUX (Oscar-Joseph), perte de l'usage d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916 651 fr.
MESSE (Fernand-François), perte'de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembro 1916. 634 fr.
MEÇSION (Nestor-Joseph), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 ; ., .- ; 652 fr.
MEURISSE (Nicolas), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
MEYER (Louis-Jacques ), perte de- l'usage d'un meïnbre. — Jouissance du 7 décemirr» 191Ô .i. 643
MONGEREAU (Charles), perte de l'usage d'un membre, — Jouissance du 7 décembre 1916 635 fr.
MONTAGNE (Georges), perte de l'usage d'un membre. — Jouis, du 7 décembre 1916, 630 fr.
NABOS (Auguste-Pierre), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 novembre 1916 630 Ir.
NADERMANN (Georges-Jean-Edouard), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
NAU (Jean), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 191G. 600 fr.
» * NICOLAS (Guillaume-Jean-Marie), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 649 fr.
NOIZET (Gaston-Emile), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 643 fr.
NOUVIAN (Gaston), perte de l'usage d'un membre. —Jouis, du 7 décembre 1916. 651 fr.
OCMAN (Camille), amputation d'un. membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
PAGLIANO (Henri-Marius), blessures ou infirmités. — Jouis, du 7 décembre 1916. 600 fr.
PALLUEL (Paul-Joseph-François), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 643 fr.
PAPIN (Jean-Baptiste-René-Louis), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 -652 fr«p PARIS (Yves-Marie), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
PAUVERT (Maurice-Louis-Joseph-Marie), blessures ou infirmités. — Jouissance du 25 décembre 1915. 600 fr.
Sauf déduction des sommes perçues depuis le 25 décembre 1915 à tifre de gratification renouvelable.
PELLOUX (Fernand), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
1 pÉnEL (Jean), amputation d'un membre. —
Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
PEU - DE - CŒUR (Marie - Eugène - A ugustin), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 191ti. 651 fr.
PEURON (Pierre-Marie), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 7;)0 fI'.
PICIIAUD (Lucien-Jean-Baptiste-Marie), perte de l'usage d'un iiienibre. - Jouissaiif-,e du 7 décembre 1910 6i3 fr.
PIERRE (Henri), perlo de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 651 fr.
PINSON (Yves-Marie), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 658 fr.
PiSON (Joseph), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 631 fr.
PETIT (Léon-Robert), amputation d'un membre.- Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
PLANTEC (JeanrMarie), amputation d'un membre.-Jouissance du 29 juill191G. 750 fr.
POINSON (Clément-Alfred), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 630 fr.
POIRIÉ (Louis-IIippolytc), blessures ou infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 600 fr.
POITOUT (Adrien), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 643 fr.
PONCET (Edouard-Joseph) blessures ou infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 600 fr.
PORTIER (Théodore), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 191G. 750 fr.
PRADÊS (Joseph-Élie), blessures ou ulfirmités.
— Jouiss. du 7 décembre 1916 600 fr.
PRÉAULT (Vincent-Ferdinand), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 , 750 fr.
PRÉVOST (Gaston-Ernest), perte de l'usage d'un membre. --% Jouissance du 7 décembre 1916. 652 fr.
PUGET (Marie-Louis-Frédéric), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 651 fr.
RABOISSON (Gabriel), perte de l'usage d'un membre.— Jouiss, du 7 décembre 1916? 680 fr.
RAFFENAUD (Alfred-Gaston), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916 600 fr.
RAUFAST (Simon), blessures ou infirmités.
— Jouiss. du 7 décembre 1916. 600 fr.
REGAIRAZ (Pierre-Joseph): perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 , 658 fr.
RÉMY (Gustave-Henri), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 651 fr.
REVEILLOUX (Maxime), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 630 fr.
REYBOZ (Joseph), blessures ou infirmités. —
Jouissance du 7 décembre lli!G 600 fr.
RICHARD (Victor), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre IGlb. 750 fr.
RIGAUDIAS (Maurice-Antoine), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 650 fr.
RIVEREAU (Alcide-Désiré), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916 C00 fr.
ROBERT (IIyppoly te-Alexandre-J ean-}larre), perte de l'usage d'un, membre. — Jouissance du 30 novembre 1916. 090 fr.
ROBIN (Marien-Antoine), perte de l'usage d'un membre — Jouissance du 7 décembre 1916 631 fr.
RODELLE (Joseph-Antoine-Urbain), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 642 fr.
RONOT (Ernest-Auguste), amputation d'un membre. - Jouissance du 22 décembre 191 5 750 fr.
Sauf déduction des sommes perçues depuis la date du présent décret à titre de gratification renouvelable.
ROUSSEL (Guillaume-Albert), perte de l'usage d'un meiii.')i-e. - Jouissance du 7 décembre 1916. , , ," ,. 629 fr.
SABOT (Jean), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
SAGE (Jean), blessures ou infirmités. - Jotiissance du 7 décembre 19:6. 600 fr.
SAGNES (André-Pierre), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
SAINSOT (Eupène-Jules-François), perte de l'usage d'un membre. — Puissance du 7 dé- cembre 1910 043 fr.
SANIEZ (Désiré-Jcan-Bapfj$tc\ amputation d'un membre. — Joui.^ance du 7 décembre 1916 750 fr.
GARNEAU (Gaston-Armand-Charles), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du i) octobre 1916 048 fr.
ROUSSEAU (Lucien-Henri), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 30 novembre 1916 : 641fr.
SAUVAGE (Pierre), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre lUlfj. 750 fr.
SECRET (Victor-Désiré), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 643 fr.
SÉGOT (Louis-François), blessures ou infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916.. 000 fr.
SEGUIS (Jean-Baptiste-Marie), blessures ou infirmités. — Jouissance du '• 7 décembre 1916 600 fr.
SEINE (Daniel-lIenri-Léon), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
SEMPÈ (Pierre-Théodore), amputation d'un membre.—Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
SÉNÉLLART (Désiré-Augustin), blessures on infirmités. — Jouiss. du 7 décembre 1916. GOûfr.
SÉRAUDON (Pierre), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss.eu 7décembre 1916.. 030fr.
SIMON (Alherl-Paull,amputation d'un membre.
- Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
SOTTEAU ( Célestin - Eugène ), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
SOUTADE ( Aimé-Justin- Marius-François ), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7,décembre 1SlC. 600 fr.
TACHON (Jean), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 652 fr.
THÉBAULT (Louis-Eugène-Auguste), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 191G..,. 651 fr.
THEURIER (Camille), blessures ou infirmités.
— Jouissance du 11 janvier 1916. 600 fr.
Sauf déduction des sommes perçues depuis le 11 janvier 1916 à titre de gratification renouvelable.
THIRION (Emile-Gérard), perte de l'usage d'un membre. - Jouissance du 30 novembre 1916. , 693 fr.
THOMAS (Arsène), cécité complète. — Jouissance du 7 décembre 1916. 975 fr.
THOMAS (Camille), blessures ou infirmités.
— Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
TOUPIOL (Jules-César-Joseph), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
TOURNARDRE (Arthur), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 646 fr.
TOURRIER (Olivier), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
TRILLAUD (Baptiste-Pierre-Lucien), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. , 630 fr.
TYMEN (Yves), blessures ou infirmités. —
Jouissance du 29 juin 1910 600 fr.
URGEL (di mon), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916.. 750 fr.
VACARESSE (Henri-Joseph), amputation d'un membre. - Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr, VALENTlN (Louis-Auguste), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 , , , ,. , , , ., , 658 fr.
VALLAUD (René-Ernest\, amputation d'un membre.— Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
VERRIER (Georges-Anatole), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916..- 658 fr.
YErRES l Jean -Pierre), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
VIANET (Picrre-Claude-Maric-Stéphane). perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 646 fr.
VIAUD (Alphonse-Pierre-Julien), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 dé cembre 1910 .» 043 fr.
VIOLAY (Jean-Antoine), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1910 634 fr.
VITTEAU (François), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 041 fr.
VOISIN (Clément-Marie), amputation d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
VOISIN (Pierre-ï^'nest-Louis), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. , , , , 650 fr.
VOLÉON (Louis), amputation d'un membre.
— Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
VRIGNAUD ,(Ferdinand-Ulysse-Joseph), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 18 novembre 1916. 633 fr.
WINTER (Georges-Louis), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
ACQUAIRE (Albert), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 tr GÉLAVAL (Ernest-Léon), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 630 fr.
CAVAIGNAC (Germain-Marius), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
CHKNIET (Etienne-Nestor-Charles), amputation d'un i-iieinbre. -Jouissance du 7 décembre 1916 , , , 750 fr.
C HERON (Louis-Charles-Arsône), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916, , , 658 fr.
CHEVARD (Edmond), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 643 fr.
CllOT (Pierre-François), amputation d'un membre.— Jouiss.du7décembre 1916.- 750 fr.
CŒUR (Jacques-Charles-Olympe), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 dé<;embret9i6. 613 fr.
CREUSOT (Louis-Auguste), amputation d'un membre. - Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
DEBR\.Y (Emile-Edouard), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 191.6.. , , , , , , , , , 630 fr.
DELGUTTE (Jules-Charles-Louis), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916. , , , , , 600 fr.
DESVIGNES (Hugues-Marius). amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. , , , , ,. , , , , , , , .., 750 fr.
DOLOY (Léon), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916.,.. 600 fr.
FERRTOT(Chartes-Jean-Joseph\ blessure? ou infirmités. — Jouiss. du 7 décembrel916. 600 fr.
FONTAINE (Arthur), perte de l'usage d'un membre, - Jouiss. du 7 décembre 1916.. 650 fr.
GASTALDI (Victor-Joseph), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
GAUTIER (Norbert-Ernest), perte de l'usage l'usage d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916,.,.,.,.. , , , ., 653 fr.
GRENET (Georges-Alfred;, perte de l'usage d'un membre. - Jouissance du 7 décembre 1916. 630 fr.
GRESSIER ( Ernest-Clovis) perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 7 décembre .1916..,..,. , .,. 652 fr.
IIONORIN (Emile-Ferdinandl, amputation 1 d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
JOUBERT (Jean-Pierre-Marius), blessures ou infirmités. — Jouissance du 7 décembre 1916. 600 fr.
KERGROHENX (Ernest), perte de l'usage d'un membre. - Jouiss. du 7 décembre 1916. 6">1 fr.
LE BASTARD ( Joseph-Marie ), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
MARQUIS (Fernand-Louis), amputation d'un membre, - Jouiss. du 7 décembre 1910. 750 fr.
MATHIEU (Charles-Adolphe), blessures ou infirmités. — Jouiss, du 7 déoembrc-1916. 6J0 fr.
METGE (Justin-Louis), perte de l'usage d'un 1 membre. —Jouiss. du 7 décembre 1916. 035 fr.
MONTACLAIR (Emile-Louis), amputation d'un membre. — Jouis, du 7 décembre 1916.. 750 fr.
MORTIER (Paul-Olivier), amputation d'un membre. —Jouiss. du 7décembre 1916. 750 fr.
NOËL (Georges-Albert). amputation d'un membre. —Jouiss.du7 décembre 1916. 750 fr.
ORFEUVRE (Clément), amputation d'un membre.— Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
PELLETIER (Emile), blessures ou infirmi'lés. - Jouiss. du i'~uiitet 1916. 600 fr.
POIRSON (Georges), amputation d'un membre. — Jouiss. du 7 décembre 1916. 750 fr.
RAMBERT (Georges-Jean-Joseph), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916 750 fr.
RASCLE (Alphonse), amputation d'un membre. — Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
RICIIIER (Louis), amputation d'un membre.
- Jouissance du 7 décembre 1916. 750 fr.
+
Nominations à des emplois réservés.
DIRECTION DES CHEMINS DE FER DE L'KT.YT Par décision du 10 novembre 1916, M. Launay
(Jean) a été admis en qualité d'homme d'équipe, à l'essai, à défaut de candidat milit lire.
Par décision du 30 novembre 1916; M. Terroy (Henri) a été nommé en qualité d'ouvrier des ateliers et dépôts (manœuvre), à défaut de 1 candidat militaire. 1.
? Errata au Journal officiel, DI) 317, du 21 novembre 1916, page 10090, 2e colonne : Lire : « Sénécal a, au lieu de : « Sénégal ».
Lire : « Tréguer Il. au lieu de : « Tréguier ».
Lire : « Faucheux n, au lieu de : « Eaucheux Lire : « Bussard », au lieu de : « Bussart - Lire : « Garrivet », au lieu de : a Carrivet ».
Lire : « Paineau (Morice) », au lieu de : « Paineau (Maurice).
Lire : « Fetter o, au lieu de : « Petter ».
PARTIE NON OFFICIELLE
Communiqués relatifs aux opérations militaires.
COMMUNIQUÉS FRANÇVI3 Paris, le 4 décembre 1916, 14 heures.
Au sud de la Somme, deux coups de main tentés par l'ennemi sur nos petits postes de la région de Barleux ont été aisément repoussés.
En Alsace, un autre coup de main dirigé après un vif bombardement sur une de nos tranchées de l'Hilsenfirst (sud-est de Metzeral) a également échoué.
Nuit calme sur le reste du front.
Paris, le 4 décembre 1916, 23 heures.
Activité marquée des deux artilleries sur le front au nord de la Somme it dans les régions de Vaux et de Douaumont.
Partout ailleurs, journée calme.
COMMUNIQUÉS BRITANNIQUES 4 décembre 1916,10 h. 15.
Activité de l'artillerie allemande au cours de la nuit dans le secteur de Gueudecourt et à Fouquevillers.
Nous avons violemment bombardé les lignes ennemies de la région de Monchy.
Sur le reste du front, rien à signaler.
4 décembre 1916, 23 h. 05.
Rien à signaler en dehors de l'activité ordinaire de l'artillerie et des mortiers de tranchées sur toute l'étendue du front.
ARMÉE D'ORIENT 3 décembre. — A l'est de la Cerna, les Serbes ont enlevé les hauteurs au nord de Crunisti; l'ennemi s'est replié en désordre sur Staravina.
Aucun événement à signaler sur le reste du front.
COMMUNIQUÉ BELGE Quelque activité d'artillerie dans la région de Dixmude et vers Betsas. Calme sur le reste du front.
SÉNAT mti 1915 SESSION ORDTNALRS
Erratum au compte rendu in extenso de la séance du jeudi 30 novembre (Journal officiel du 1er décembre 1916).
Page 1002, 1re colonne, ISe ligne : Au lieu de : » Boudenoot et Gaston Menler, sur la situation des armements.», »
Lire : « .Boudenoot, Gaston Menier, Gouzy, Denoix et Poirson, sur la situation des armements » * Ordre du jour du mardi 5 décembre.
A trois heures. — SÉANCE PUBLIQUE lre délibération sur la proposition de loi, adoptée par la Chambre des députés, relative aux allocations tempo raires mensuelles à attribuer à certains militaires réformés n° 2. (Nos374 et 419, année 1916. — M. Charles Deloncle, rapporteur ; et n9 424, année 1916, avis de la commission des finances. - M. Milliès-Lacroix, rapporteur.) ire. délibération sur le projet de loi, adopté par la- Chambre des députés, concernant les débits de boissons. (:X°s 259 et 389, année 1916.
— M. Henry Chéron, rapporteur.) ire délibération sur le projet de loi, adopté par la Chambre des députes, concernant la désertion et l'insoumission dans l'armée de mer. (Nos 9 et 75, année 191G. — M. Hichard, rapporteur; et n, 412, année 1916, avis de la commission de la mariac. - M. Eugène Guérin, rapporteur.)
ire délibération sur le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, concernant la désertion et l'insoumission dans l'armée da terre. (No., 487, année 1915, et 74. année 1916. —
M. Hichard, rapporteur: et no 409. année 1916, avis de la commission de l'armée. - M. Henry Chéron, rapporteur.) 1re délibération sur : t) le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, étendant aux agents de change la loi du 30 décembre 1911 concernant les chèques barrés; 20 le projet de lo;, adopté par la Chambre des députés, concernant l'inscription par le tiré, sur un chèque barré présenté à l'encaissement, de la mention que l'effet sera payable au débit de son compte, soit à la Banque de France, soit dans une banque ayant un compte à la Banque de France. (Nos 236, 334 et 416, année 1916. —
M. Guillaume Chastenet, rapporteur.) 1" délibération sur le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, relatif au règlement des successions ouvertes pendant la guerre et spécialement des successions des militaires et marins. (N-i 409, année 1915, et 129, année 1916. — M. Gustave Lhopiteau, rapporteur.) Discussion des conclusions du rapport fait au nom de la commission chargée d examiner les marchés qui auront été passés par le Gouvernement pendant la guerre (marches de l'intendance). (N° 292, année 1916. — M. Jénouvrier, rapporteur.) lre délibération sur : 1" la proposition de loi de M. Jean Codet, relative à l'application du crédit mutuel aux ouvriers, fabricants et commerçants, ainsi qu'aux sociétés coopératives; 2° le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, ayant pour objet l'organisation du crédit au petit et au moyen commarce, à la petite et à. la moyenne industrie. (N° 359, année 1910; 23 et 191,"année 1911 ; 193, année 191 i ; 17.
et 307 année 1915, et63, année 1916. — M. Jean Codet. rapporteur ; et nos 195 et 384, année 1915, avis de la commission des finances. - M. Per-, ebot, rapporteur.;
Suite de la discussion du projet de loi, adopté par la Chambre des députés, portant suppression des contributions directes et établissement d'un impôt général sur les revenus et d'un impôt complémentaire sur l'ensemble du revenu. JNO, 66, année 1909; 433 et annexe, année 1913; 89 et 93, année 1914 ; 319, année 1916, et A nouvelle rédaction. — M. Perchot, rapporteur.
— Urgence déclarée.)
4 La séance du mardi 5 d'-cembre est La 6Se de la session ordinaire de l'année 1916.
Les billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : fer étage. — Depuis M. Aubry, jusques et y compris M. Bollet.
Tribunes. — Depuis M. Jonnart, jusques et y Compris M. Milan.
Les billets distribués ce jour seront VtUblei ikour la 69' uéanoo et comprennent: ter étage. — Depuis M. Boûâêroj-SJboor, Jusques et y eoiçpris IL Charles Dupuy.
Tribunes. — Depuis H. Milliard, Jvsqnei et y compris M. Renaudat.
6* bureau.
(Formation du 25 octobre 1910).
Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative à la dépopulation et aux mesures propres à relever la natalité, en remplacement de M. Pauliat.
MM. NU" Nièvre. - Belhomme, Lot-et-Gafonne. - N * * * — Brindeau, Seine-Inférieure. Bourgeois ;Léon), Marne. — N"', Puy-de-Dôme.
— Crépia (félix), la Réunion. — Debierre, Nord.
- De noix, Dordogne. — Develle (Jules), Meuse.
- Dupont, Oise. — d'Estournelles de Constant, — Dupont, Fleury (Paul), Orne. — N. , Indre.
Sarthe. - Fleury (Paul), Orne. - N., Indre.
—
— Gaudin de Viiaine, Manche. — Genet, Charente-Inférieure. — Grosdidier. Meuse. — Guilloteaux, Morbihan. — Humbert (Charles), Meuse.
— Jonnart, Pas-de-Calais. — de La Batut, Dordogne. — Lemarié, Ille-et-Vilaine. — Loubet (J.), Lot. — Martell, Charente. — Maunce-Faure, Drôme. — Noël, Oise, — N*", Cher. — Ranson, Seine. — Réal, Loire. — Régismanset, Seine-etMarne. — Saint-Romme, Isère. — Trystram, .Nord. — Vermorel, Rhône.
18 bureau.
(Formation du 25 octobre 1910.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative à la dépopulation et aux mesures propres à relever la natalité, en remplacement de M. Sarrien.
MM. Baudet (Louis), Eure-et-Loir. — N***, Vendée. — NU", Indre-et-Loire. — Bepmale, Haute-Garonne. — Cauvin, Somme. — Catalogne, Basses-Pyrénées. - Chapuis, Meurtheet-Moselle. — Chéron (Henry), Calvados. —
N"., Loir-et-Cher. — Farny, Seine-et-Marne. —
Gouzy, Tarn. — Guillier, Dordogne. — Iluguet, Pas de-Calais. — Jénouvrier, Ille-et-Vilaine. Lhopiteau, Eure-et-Loir. — Leygue (Raymond), Haute-Garonne. — Lourties, Landes. — Mascle, Bouches-du-Rhône. — Maureau, Vaucluse. —
Méline (Jules), Vosges. — N', Côte-d'Or. —
Miliiôs-Lacroix, Landes.- Peyrot (J.-J.), Dordogne. — N*", Loire. — Ribot, Pas-de- Calais. Richard, Saône-et-Loire. — Sarraut, Aude. —
NU', Saône-et-Loire. — Sauvan, Alpes-Maritimes. - Tbounens. Gironde. — Touron, Aisne. - Vacherie, Haute-Vienne. - Vilar (Edouard), Pyrénees-Orientales.
ge bureau.
(Formation du 25 octobre 1910.) Convoqué à l'effet de nommer un membre de la commission relative à la dépopulation et aux mesures propres à relever la natalité, en remplacement de M. Léon Labbé.
MM. Baudin (Pierre). Ain. — llodinier, Maineet-Loire. — Bonnelat, Cher. — Cabart-Danne▼ille, Manche. - CazencuTe, Rhône. - Chaumié.
Lot-et-Garonne. - Cordelet, Sarthe. - Crémieux (Fernand), Gard. — Delahaye (Dominique), Maine-et-Loire. — Fabien-Cesbron, Maine-etLoire. — NU*, Allier. — Gomot. puy-de-Dôme.
— Grosjean, Doubs. — Henry Bérenger, Guadeloupe. — Hubert (Lucien), Ardennes. — Viceamiral de La Jaille, Loire-Inférieure. — N*", Orne. — De Langenhagen, Meurthe-et-Moselle.
— Larère, Côtes-du Nord. — Leg!os, Indre. —
Le Roux (Paul), Vendée. — N°", Drôme. — Lucien Cornet, Yonne. — Maillard, Loire-Inférieure. — Mir (Eugène), Aude. — Mougeot, Haute-Marne. — Murât, Ardèche. — Perchot, Basses-Alpes. — Poirrier, Seine. — Comte do Saint-Quentin, Calvados. — W", Hautes-Alpes.
81"! Vallé, Marne. — Villiers, Finistère.
Liste des projets, propositions ou rapports mis en distribution le 5 décembre.
Ne 284 (annexe). — Rapport de M. Perchot sur les marchés de projectiles (annexes).
NO 399. — Proposition de M. de La Batut ten- dant à créer un service de comptes courants et de chèques postaux.
N" 426. — Rapport de M. Aimond sur (le projet de loi relatif à l'établissement de la contribution foncière des propriétés non bâties.
N* 440. — Rapport de M. Henry Chéron sur la proposition du M. Perchot et plusieurs de ses collégues tendant à l'organisation du crédit aux sociétés coopératives de consommation.
N° 445. — Rapport de M. Aimond sur le projet de loi portant conversion en crédits définitifs des crédits provisoires de l'exercice 1916.
N° 446. — Proposition de loi concernant les chemins de fer d'intérêt local et les tramways.
Convocations du mardi 5 décembre.
Commission des finances ; — à deux heures et demie.
Commission relative à l'article 310 du code civil ; — à deux heures et demie. — Local du 4e bureau.
8* commission des congés (novembre 1916); — à deux heures trois quarts. — Local de la commission n° 2.
8* commission des pétitions (novembre 1916) ; — à deux heures trois quarts.- Local du5e bureau.
8e commission d'intérêt local (novembre 1916); — à deux heures trois quarts. — Local du Se bureau.
Se commission d'initiative perlementaira (novembre 1916), — à deux heures trois quarts. —
Local du 2e bureau. Ge bureau (octobre 1910), nomination d'un membre de la commission relative à la dépopulation et aux mesures propres à relever la natalité, en remplacement de M. Pauliat; -à deux heures trois quarts. — Local du 6e bureau.
7e bureau (octobre 1910), nomination d'un membre de la commission relative à la dépopulation et aux mesures propres à relever la natalité, en remplacement de M. Sarrien; -à deux heures trois quarts. — Local du 7e bureau.
9e bureau (octobre 1910), nomination d'un membre de la commission relative à la dépopulation et aux mesures propres à relever la natailte, en remplacement de M. Léon Labbé, — à deux heures trois quarts. — Local du 9e bureau.
Commission des accidents du travail ; - à deux heures. — Local du 3e bureau.
7e commission des pétitions (de 1916) ; à deux heures trois quarts. — Cabinet des ministres.
Commission relative à la codification des lois ouvrières ; — à deux heures. — Local du 1" bureau.
CHAMBRE DES DÉPUTÉS 11* législature. — Session ordinaire de 1916.
RÉPONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS ÉCRITES
MARINE 12993. — M. Georges Le Bail, député, demande à M. le ministre de la marine si l'on ne pourrait nommer quartiers-maltres, 'SUl' la proposition des chefs de service, les matelots brevetés réservistes dès qu'ils réunissent les conditions d'avancement (temps d'embarquement, nombre de
points égal à celui des hommes de l'active, etc.), sans attendre que les conseils d'avancement leur aient préalablement délivré la mention d'aptitude. (Question du 27 novembre 1916.)
Réponse.
Les matelots réservistes sont assujettis, au point de vue de l'avancement, exactement aux mêmes conditions que ceux d& l'active ; il n'existe aucune disposition spéciale à leur égard, de nature à les retarder dans leur avancement par rapport à ces derniers. 11 n'est pas possible, par contre, de les faire avancer plus vite qu'eux.
Ordre du jour du mardi 5 décembre.
A deux heures.
Suite du comité secret du 28 novembre.
Commission du budget.
Séance du lundi 4 décembre.
Présents. - MM. Klotz, Péret (Raoul), Albert Grodet, Aldy, André Hesse, Bénazet, Bouffanaeau, Brousse (Emmanuel), Daniel-Vincent, Dariac (Adrien), Denais (Joseph), Dubois (Louis> (Seine), Groussier, Henry Simon (Tarn), Lebrun, Mann (Louis), Monestier, llaiberti, Siegfriedp Simyan, Varenne.
Excusés. — MM. J.-B. Abel (du Yar) , Ajam, Georges Ancel, Aubriot (Paul), de Baudry d'Asson, Bedouce, Ceccaldi, Compère-Morel, Damour (Maurice), Dumesnil (Jacques-Louis), Dumont (Charles) (Jura), Franklin-Bouillon, de Kerguézec, Lagrosillière, Lefèvro (André), Long (Maurice), Morel JPaul), Noël, Noulens, Piou (Jacques), Renard, Roche (Jules), Veber (Adrien)
Commission des affaires extérieures, des protectorats et des colonies.
Séance du lundi 4 décembre.
Présents. — MM. Albert Grodet, Cachin, Caillaux, Jacques Chaurnié, Cornudet, Cruppi, Delahaya (Jules) (Maine-et-Loire), Emile Broussais, Ernest Outre y, Jacquier, Franklin - Bouillon, Garat, d'triart Outrey, d'Etchepare, le marquis de La Ferronnays, de La Porte, Lebrun, Georges Leygues, Maurice Long, Malavialle, Margaine, de Moustier, Moutet, Pichery, Piou, Roulleaux Dugage.
Excuses. - MM. Amiard, Arago, Bignon, Paul Bluysen, Boussenot, Candace, de Chambrun, do Chappedelaine, Cuttoli, Ellen Prévot, Paul Escudicr, Guernier, Henry Simon, Honnorat, Jean Longuet, Lagrosillière, André Lebey.
Maurice Damour, Reboul,
Commission de l'armée.
Séance du lundi 4 décembre.
Présents. — MM. Accambray, Armez, René Besnard, Bouilloux-Lafont. Couesnon, GirardMadoux, Godet, Lorimy, Mignot-Bozérian, de Montaigu, Mourier, Ossola, le général Pédoya, Renaudel, René Renoult, Rognon, Seydoux.
Excusés. — MM. Abel Ferry, Albert Favre, d'Aubigny, Augagneur, Barabant, Paul Beauregard, Bénazet, l'amiral Bienaimé, Laurent Bougère, Bourély, Bracke, Briquet, Charles Péronnet, Colliard, Dalbiez, Dutreil, de l'Estourbeillon, Etienne, de Gailhard-Bancel, Galli, le lieutenant-colonel Girod, Gourd,le lieutenant-colonel du Halgouet, Lachaud, Lasies, Lauraine, Laval, Maginot, Maurice Binder, Méquillet, Millerand, Noulens, Pasqual, Henry Paté, Camille Picard, Paul Poncet, RaffinDugens, André Tardieu, Thierry-Cazes, Eugène Treignier, Vandame, .Viollette, Lucien Voilin.
Commission tlè la législation itso&ie.
Séance du lundi 4 décembre.
Présents. — MM. Aubriot, Auriol, BergeoD, Bretin, Chassaing, Coyrard, Denais (Joseph), Dumesnil (J.-L.), Dutreil, Eymond, Girard (Auguste), Hubert Rouger; Lafont (Ernest), Loriot, Lugol, Magniaudé, Mons, Paul Laffont, Poirier de Narçay, Queuille. Rabouin, Renard, Tournan, Varenne, Weiller (Lazare).
Excusés. — MM. Andrieu (Edouard), Baduel, Balitrand, de Chappedolaine, Combrouze. Dal- biez, Dubois, Eyuac, Favre (Albert), Flandin (Pierre-Etienne), Fourmcnt, le lieutenant-colonel du Halgouet, Hennessy (Jean), Landry, Lefebvre du Prey, de Monplanet, Morel (Paul), Rontin, Vandame.
Convocations du mardi 5 décembre.
Commission d'assurance et de prévoyance sociales à neuf heures et demie du matin. —
Local du 6e bureau.
- Commission des marchés, à neuf heures trois quarts du matin. — Local du 9e bureau.
Convocation du jeudi 7 décembre
Conférence des présidents des grandes commission et des présidents de groupes (application de l'art. 94 du règlement), à deux heures un quart.- Cabinet de M. le président.
AVIS ET COMMUNICATIONS
Ministère des finances.
ARRÉRAGES Das RENTES 3 P. 100
Dépôts avant féchéance du fer janvier 1917.
Les porteurs d'inscriptions, de quittances visées délivrées par la direction de la dette inscrite et de coupons, qui veulent avoir l'assurance d'être payés à jour fixe, sont admis à déposer ces valeurs dans les conditions ci-après : Du 11 au 14 décembre 1916.
i 0 Dépôts ne comprenant que des inscrip- tions nominatives; 2° Dépôts comprenant à la fois des inscriptions nominatives et 50 coupons au plus de rentes mixtes ou au porteur; 3° Dépôts de 50 coupons au plus de rentes mixtes ou au porteur.
Le 27 décembre 1916.
Dépôts de quittances visées (arrérages payables à Paris).
Du 27 au 30 décembre 1916.
Dépôts de pins de 50 coupons de rentes mixtes ou au porteur.
Observations.
Les arrérages des rentes nominatives se payant au porteur, plusieurs inscriptions à des noms différents peuvent être présentées au dépôt par pne même personne.
Les déposants ont, en outre, la faotilté de demander, au moment du dépôt, que le montant de leurs arrérages soit versé d'office, à l'échéance, au crédit de leur compte courant, à la Banque de France, ou même au crédit du compte courant d'un tiers.
NOTA. — Le payement peut également être effectué en chèque barre sur la Banque de France.
Ne seront pas admis au dépôt : 1° les coupons afférents à des trimestres antérieurs; 20 les inscriptions sur lesquelles un ou plusieurs trimestres échus ne. sont pas encaissés; \30 les inscriptions émises postérieurement au
5 juin; 4° les inscriptions dont le dernier trimestre était payable dans un département; 5° les inscriptions assignées payables chez les receveurs-percepteurs de Paris ou chez les percepteurs de la banlieue.
Payement à féchéance.
Les arrérages d'inscriptions nominatives, les quittances visées et les coupons de rentes mixtes et au porteur sont payés au Trésor, de dix heures à quinze heures. La distribution des cartes d'entrée (ministère des finances, pavillon central, porte C), commence à neuf heures et demie.
Les coupons sont payables, à présentation, chez tous les receveurs-percepteurs de Paris et chez tous les percepteurs de la Seine, à la seule condition que la même personne ne présente pas, dans la même journée, plus de 30 coupons et que le montant total de ces coupons ne dépasse pas @ 1,000 fr.
Les arrérages des rentes nominatives, sans limitation de somme, sont également payables, chez les mêmes percepteurs, aux rentiers qui en ont préalablement fait la demande au ministère des finances (caisse centrale, galerie vitrée, guichet 65).
* «
Ministère de l'agriculture.
RENSEIGNEMENTS COMMERCIAUX
Erratum au Journal officiel du lundi 4 décembre 1916: page 10505 : note additionnelle au tableau indiquant le prix du blé et de l'avoine, au lieu de : « avoine, décrets des 2 mai, etc. », lire : « décret du 18 mai 1916, taxation à la consommation : à 31 fr. le quintal d'avoine noire pesant 47 @ kilogr. à l'hectolitre et à 30 fr. le quintal d'avoine blanche pesant 47 kilogr. à
l'hectolitre et ne contenant pas plus de 2 p. 100 d'impuretés.
« Toutefois le prix de ces mêmes avoines chez le producteur ne pourra pas dépasser 29 fr. pour l'avoine noire ou grise et 28 fr. pour l'avoine blanche. »
ACADÉMIE DIS INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES
Séance du fer décembre.
PRÉSIDENCE DE M. MAURICE CROISET Après la lecture du procès-verbal, l'Académie se forme en comité secret.
La séance étant redevenue publique, M. de Mély donne lecture d'une étude intitulée : les Cartons des tapisseries de Reims.
M. de Mély ayant remarqué que les bordures des vêtements des tapisseries portaient des inscriptions qui, comme les galons des vêtements des tableaux des primitifs, pouvaient fournir des renseignements sur les auteurs des cartons de ces tapisseries, s'est attaché à étudier, à ce point de vue, les inscriptions des tapisseries de la cathédrale de Reims exposées au PetitPalais.
Dans Y Arbre de Jessé, on lit très facile-
ment : Le Maire Jean : c'est le maître des œuvres de Marguerite d'Autriche, le collaborateur de Perreal pour l'église de Brou.
Un manuscrit de Carpentras nous donne de belles miniatures, presque des cartons de tapisseries, exécutées de sa main et qu'il déclare avoir faites.
Sur le sabre d'un des gardes de Y Adoration des Mages, on lit : NIV. C'est le monogramme du peintre Nivar qui, en 1530, a donné lelcadre d'un autre épisode de la Vie de la Vierge, pour une verrière de SaintPaul de Liège.
Sur une autre on lit: TEBALDO. Mais la plus intéressante est celle qu'on relève dans Anne et Joachini renvoyés par le grand pré Ire : loritzel van Baios. Ce nom se re-
trouve dans le Rheinholds Altar de Dantzig, écrit van Banos. Ce tableau était attri-i bué au maître de la Mort de la Vierge dei Cologne, parce que ce nom semble déroutant. La tapisserie de Reims viendrait donc authentiquer le nom du maître anonyme du tableau de Cologne le Maître de la mort de Marie.
M. Salomon Reinach exprime quelques réserves sur l'interprétation de cette dernière inscription.
MM. Babelon et Chatelain sont élus membres de la commission des inscriptions et médailles.
M. Jullian présente la Vie de Vabbé Pédegert, en deux volumes, que vient de publier M. l'abbé J.-B. Garra.
M. Héron de Villefosse fait hommage, au nom de M. Eugène Lefèvre-Pontalis, des comptes rendus du 20e congrès archéologique, réuni à Moulins et à Nevers en 1913.
J.-B. MISPOULBT.
* ACADÉMIE DES SCIENCES morales et politiques.
,
Séance du 2 décembre*
PRÉSIDENCE DE M. HENRI JOLY M. Raphaël-Georges Lévy présente ua, ouvrage de M. le comte Maurice de Périgny ; ta Ville de Fez, son commerce et son indus-: trie, où l'auteur, savant écrivain et vaillant" soldat, nous donne un tableau très vivant j de la ville marocaine au point de vue com-; mercial, industriel et agricole.
M, Raphaël-Georges Lévy présente ensuite une étude de M. Paul Meuriot : les Statistiques de la guerre, où il traite de la population et des ressources des territoires qui nous furent enlevés en 1871.
M. II. Welschinger présente la traduction en français par M. Tavernier de Trois Entretiens du grand penseur russe Soloviev, sur la guerre, la morale et la religion.
M. Lacour-Gayet présente un volume de M. Fernand Laudet, les Semeurs, contenant cinq études sur Joubert, Mme de Chateaubriand, MIue Schvetcnine, la sœur Rosalie et Augustin Cochin.
M. Colson présente un ouvrage de M. Girault, professeur à la faculté de droit de Poitiers, la Politique fiscale de la France.
M. Rebelliau présente un volume de M. R. Thamin, recteur de l'université de Bordeaux, i Université et la guerre.
M. J. Flach communique la seconde partie de son étude intitulée : Comment la domination germanique avait été usurpée sur le sudest de la France.
Il prouve que les prétendues conventions par lesquelles le royaume de Bourgogne aurait été « cédé au Saint-Empire étaient nulles au point de vue du droit public et qu'elles ont été soit révoquées, soit annihk lées. Elles se heurtèrent à une telle opposition des seigneurs et du peuple que l'empereur germanique n'a jamais pu obtenir qu'une souveraineté nominale.
Un document très curieux, exactement contemporain, qui vient d'être découvert par M. G. de Mantayer et que cite M. Flach, révèle non seulement chez les Français du Sud-Est, mais chez les Italiens, une répulsion profonde et violente contre la Germanie, répulsion provoquée par les mèwcs vices dont l'Europe est, aujourd'hui, témoin et victime.
Samedi prochain, 9 décembre, à une heure, séance publique annuelle.
J.-il. M-SMULET.
1 —————-�—————
ACADÉMIE D'AGRICULTURE Séance du 29 novembre .,.}-.
RILÉSIDENCE DE M. MAURICE DE VILMORIN Le secrétaire perpétuel signale, parmi la correspondance: l'deux notes de MM.Zacharewicz et Marre sur les résultats d'essais de culture du blé du Manitoba dans les départements de Vaucluse et de l'Aveyron ; 2° une série de documents, envoyés par M. Schweitzer, sur l'organisation du labourage mécanique en France ; 3" le compte rendu d'une conférence faite par M. Viala à l'association française pour l'avancement des sciences, sous le titre : l'avenir viticole de la France après la guerre, le vin et l hygiène, le vin au front.
Les stations de recherches agricoles aux colonies. — M. G. Wery, sous-directeur de l'institut agronomique, entretientl'Académie d'agriculture des stations coloniales de re- cherches agricoles.
Ces établissements ont pour but les applications pratiques de la science à l'exploitation du sol des pays d'outre-mer. Les nations étrangères, nos rivales ou nos émules, en possèdent dans la plupart de leurs colonies. Dans le seul Empire britannique, l'Egypte, l'ile Maurice, les possessions du sud de l'Afrique, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, les petites dépendances des Indes occidentales sont pourvues de
jardins d'essais, sinon de fermes expérimentales ou de laboratoires agronomiques.
Au Canada, chaque province a sa ferme expérimentale, soit dix-sept pour le dominion.
Les pouvoirs locaux les entretiennent, mais le gouvernement fédéral les subventionne largement, puisqu'il leur a distribué en 4914-1915 plus de 10 millions de francs. Aux Indes orientales, on compte sept instituts de recherches agricoles répartis dans les diverses provinces. Parmi eux l'institut de Pusa tient le premier rang. Son budget total a atteint, pour l'exercice 1914-1915, la somme de 1,140,000 fr. Si la presqu'île de Malacca est aujourd'hui couverte de plantations prospères, elle le doit au jardin botanique de Singapour. L'Allemagne n'avait pas installé moins de vingt-trois établissements de recherches dans ses colonies du Cameroun, du Togo, du Sud-Ouest et de l'Est africain. La Hollande a son fameux jardin botanique de Brintenzorg, dont le budget atteint plusieurs millions, ses stations spéciales pour l'amélioration du riz, du thé, du cacaoyer, du tabac, de l'arbre à quinquina. L'Amérique, qui a organisé chez elle des établissements remarquables d'expérimentation scientifique et agricole, n'a pas oublié ses colonies des Philippines, de Cuba et de l'île llawaï.
Toutes ces stations ont à peu près les mêmes caractères. Elles comprennent, à côté d'une ferme expérimentale, des sections spéciales consacrées aux diverses branches de l'exploitation agricole du pays et aux applications diverses de la science ; quelquefois une école d'agriculture complète leur organisation. Leurs caractéristiques se trouvent dans leurs budgets élevés et surtout dans la réunion de savants spécialistes.
Elles diffusent largement parmi les colons et les indigènes, grâce à des publications spéciales et à des conférences, les résultats de leurs travaux, les bonnes méthodes et aussi les meilleures semences qu'elles fournissent libéralement aux cultivateurs.
Les stations coloniales, qui visent à porter au maximum la production agricole d'un pays, sont des armes puissantes au point de vue économique. Derrière la façade pacifique de ces laboratoires travaille sans relâche un outillage qui prépare l'élaboration des richesses du sol colonial, munitions
indispensable à la guerre économique de demain. De grands efforts ont été également réalisés dans notre magnifique empire' colonial, mais il faut faire davantage, ne pas rester en arrière de l'étranger.
Ce sont des observations analogues, ajoute M. Wery, que formulaient MM. Philippe de Vilmorin et Dybowski, au 'cours d'une .précédente séance de l'Académie. Avec l'autorité qui s'attache à leurs travaux et à propos des stations instituées à Java et aux Philippines pour la sélection du riz, ils se plaignaient que nous ne possédions rien de comparable, spécialement en ce qui concerne le café, le thé, le cacao, le caoutchouc, la canne à sucre. Après la guerre, la lutte économique sera plus acharnée que jamais.
Nous pourrons trouver des débouchés directs dans nos colonies, mais à la condition qu'elles aient des moyens d'échange suffisants. Il faudra donc porter à la plus haute puissance leurs richesses, qui sont surtout d'origine agricole. Et nous ne pourrons y arriver qu'en perfectionnant, qu'en dotant largement d'argent, de matériel et de techniciens spécialisés nos établissements d'expérimentation agricole des colonies.
M. Dybowski donne des renseignements sur l'organisation des services d'agriculture dans les colonies françaises. Si la France n'a paf: suivi, dit-il, le mouvement de l'organisafion agricole des domaines d'outre-mer, elle en a, néanmoins, été en quelque sorte l'initiatrice. C'èst, en effet, en 1893, que fut créée la première chaire d'agriculture coloniale, sur l'initiative de M. Tisserand, alors directeur de l'agriculture. D'une notice, les Jardins coloniaux, publiée en 1897, montrant la nécessité d'une organisation agronomique coloniale, naquit l'idée de créer à Paris un organisme central qui devait être le jardin colonial. Ce jardin grandit grâce au concours empressé, à l'aide que lui accordèrent les .gouverneurs des colonies, parmi lesquels M. Dybowski cite le général Gallieni, MM. Rousse et Beau, actuellement ambassadeur à Berne. Dans les laboratoires du jardin colonial, on étudie les innombrables produits coloniaux, encore si peu et si mal connus. Des stagiaires vinrent de partout suivre ces travaux de recherches. Et bientôt les laboratoires devinrent trop exigus pour les contenir. De là naquit l'idée de la création de l'école supérieure d'agriculture coloniale, véritable école d'application de l'institut national agronomique, et de nos écoles nationales d'agriculture où ceux qui se destinaient aux colonies venaient puiser, dans un enseignement très élevé et aussi très pratique, la notion nécessaire pour leur permettre de réussiraux colonies.
Ce fut une grande étape franchie que celle qui aboutit à la création do cet enseignement, car c'était le lien créé entre l'enseignement de l'agriculture générale dans nos écoles et son application à la mise en valeur de notre domaine colonial.
En même temps s'organisaient aux colonies les services d'agriculture, stations agricoles, jardins d'essai, laboratoires, le tout dirigé par des inspecteurs d'agriculture et un directeur dans chaque groupe de colonies.
Après la guerre, conclut M. Dybowski, le jardin colonial, qui est en ce moment transformé en un hôpital colonial, sera rendu à sa destination première, il aura à nouveau une grande tâche à remplir, car jamais son action ne s'exercera avec plus d'utilité pour faire naître dans nos colonies une définitive prospérité, qui ne peut lui venir que de l'exploitation méthodique du sol par l'agriculture coloniale.
Emploi de Veau chaude contre les parasites de la vigne. - M. Viala communique les résultats des expériences faites par MM. Couanon, inspecteur général de la viti-
culture, Etienne et René Salomon, sur l'emploi de l^u-ebaude pour la destruction des ceuts et larves de cochylis et d'eudémisnon abrités. Ces essais ont eu lieu sur une treille à Thomery, le 21 juillet, alors que la.
deuxième ponte des papillons devait être terminée.
L'eau était puisée à une chaudière Vermorel avec un simple arrosoir de jardinier, à pomme plate : 1° Au remplissage de l'arrosoir, eau à 75 degrés centigrades; à l'arrivée sur la grappe, eau à 70 degrés centigrades. Les grappes changèrent immédiatement d'aspect; elles étaient échaudées, flétries, brûlées, détruites ; 20 Au remplissage de l'arrosoir, eau à 65 degrés centigrades ; à l'arrivée sur la f grappe, eau à 63 degrés centigrades. Les grappes n'étaient pas endommagées, elles restaient vertes.
Pas de dommages sur les sarments ni sur les feuilles. : ; L'opération terminée, pour empêcher toute autre ponte possible, les grappes traitées vivantes furent mises en sacs de papier, -, de même que les grappes voisines laissées' sans traitement, comme témoins. A la ré- coite, il fut constaté que les premières étaient complètement indemnes, tandis que les grappes témoins étaient véreuses.
Les faits observés confirment les expé- t riences faites antérieurement par M. Lucien , Sémichon, directeur de la station œnolo- ; gique de l'Aude. j Sur un espalier de doyenné d'hiver, dont les feuilles étaient gluantes par atteinte de miellée de fumagine. l'eau chaude versée à l'arrosoir (au remplissage, 70 degrés centi- grades; à la sortie, 66 degrés centigrades) a eu également plein succès, mais les poires, avaient été ensachées au préalable pour - éviter les cas de brÙlure. Conférences militaires. — M. Pierre Viala i entretient l'Académie d'une tentative inté- ressante par son e.fet moral faite aux armées par le général commandant la e division, sur l'initiative du médecin divisionnaire.
La formation, où vient d'avoir lieu ce S premier essai de conférence, est composée * d'agriculteurs et surtout de soldats origi- t naires des régions viticoles du Sud-Ouest.
Sur la demande du commandement, M. Viala : a inauguré la première réunion, en parlant aux soldats de la vigne et du vin. Il avait pris comme sujet : le vin, première richesse * du sol de France ; sa défense contre les ,
Doches, son avonir après la guerre, son rôle "-
contre l'alcoolisme >>. i Celteconférencs, à laquelle assistaient les
officiers, environ deux mille soldats, choi- * sis parmi les viticulteurs, a eu lieu dans des baraquements qui servirent de lieu de î réunion aux soldats pendant les soirées d'iuver. Des spécialistes traiteront succès- i sivement divers sujets agricoles, dans les ¡J corps qui comprennent surtout des agricul- 5 teurs. La venue dans les cantonnements de "i conférenciers'de l'arrière produit un effet i réconfortant sur les hommes du front et leur fait comprendre la grandeur de leur rôle de défenseurs du pays.
RAYMOND DUGUAY.
t
INFORMATIONS
Evaluation officieuse du prix de revient du pain de 2 kilogr. vendu au poids pendant la lre quinzaine de décembre 1916, calculée d'après la valeur des farines dans la quinzaine précédente, à laquelle on ajoute.
De somme fixe représentant les frais de 1 taniflcation:
Prix du quintal 41 fr. 400 Frais de panification. 13 fr. 179 Total. 54 fr. 579
Le rendement étant de 128 kîlogr. de pain par 100 kilogr. de farine, le kilogramme de d qualité revient à 0 fr. 42 c. 63 et le pain de 2 kilogr. à 0 fr. 85 c. 26, soit à 0 fr. 85.
BULLETIN AGRICOLE & COMMERCIAL
Vins.
La direction générale des contributions indirectes a publié le relevé des sorties de vins des caves d( s récoltants pendant le mois d'octobre, premier mois de la nouvelle campagne.
Ces sorties se sont élevées, tant pendant ce mois qu'en septembre pour les vins nouveaux, à 3,452,492 hectolitres vinifiés sur place et 122,132 représentés par des expéditions de vendanges. Les quantités soumises au droit de circulation en octobre ont été de 2,905,086 hectolitres.
En Algérie, les sorties ont atteint 1 million 27 427 hectolitres vinifiés sur place et 762,925 représentés par des expéditions de vendanges.
Au 31 octobre, le stock commercial chez les marchands en gros était de 6,4SLJ,6:i8 hectolitres en France et de 1,050,417 en Algérie.
Cours des vins. — MidL — Vins de 1916: Aramon supérieur, 58 à 60 fr. l'hectolitre; Montagne, 60 à 62 fr. ; Costières, 63 à 65 fr.;- trois-six bon goût, 860, de 375 è 380 fr.; trois-six de marc. 86°, de 315 à 320; eau-de-vie de marc à 52°, de 195 à 200 fr.
Montpellier. — Vins de 1916, rouges 80 à 9°, 53 à 54 fr. l'hectolitre 4, Montagne, 90 à 10°, 55 à 58 fr. l'hectolitre; supérieurs, 10 à 110. de 58 à 60 fr. l'hectolitre. — Trois-six bon goût, à 860,370 fr.: marc à 86°, 320 fr. ; eau-de-vie de Montpellier à 520, 2C0 fr.; eau-de-vie de marc à l>2°, 215 fr.
Sud-Ouest. — Gironde: les vins ordinaires de 625 à6",0fr. le tonneau; divers blancs, le tonneau nu, à 700 fr.; les vins ordinaires de Sauternes, de 1,100 fr. à 1,200 fr. le tonneau ; divers 2es crus à 1,300 fr. le tonneau, des 31, crus à 1,050 et 1,2.0 Ir. et bourgeois supérieurs de 750 à 900 fr. — Dordogne : vins blancs de côtes ordinaires, GOO à 700 Ir. le tonneau. — Charente de 120 à 130 fr. la barrique et U)'J à 6JO fr. le tonneau dans les Iles. — Lot-et-Garonne : vins de 150 à 170 fr. la barrique. — Lot : 70 à 80 fr.
l'hectolitre.
Est. — Bourgogne : 130 à 135 fr. la pièce pour les vins communs; Pinots.et passe-tout-grain, -- pas de cours; vins blancs ordinaires, de Slclon f a 140 fr. la pièce, d'Aligoié de KO à lEu fr. ;
marchandise rare. — Yonne : ordinaires, de 70 à 100 fr. la feuillette de 136 litres. — Beaujolais : 135 à 180 fr. la pièce pour les ordinaires et 200 à 2L0 pour les supérieurs. — Mlconnais: 140 à 160 fr. la pièce pour les vins communs, et 190 à 200 fr. pour les rouges des côtes chalonnaises. — Jura : 60 à 70 fr. l'hectolitre. - Drôme : 50 à 52 fr. l'hectolitre. — Loire : 70 à 80 fr. l'hectolitre. — Ain: de 130 à 150 fr.
la pièce de 2lo litres. — Puy-de-Dôme : de 12 à 13 fr. le pot de 15 litres. — Aube : 70 à 80 fr.
l'hectolitre. — Savoie : 65 à 75 fr. l'hectolitre.
Centre et Ouest. — Anjou : Vins rouges, ICO à 175 fr.; vins blancs, de 180 à 300 fr. — Cher : vins de 1916, 75 à 90 fr. l'hectolitre. — Loir-et-Cher : de 150 à 170 fr. la barrique de 223 litres. —
Touraine : vin du Cher, à 65 et 72 fr. l'hectolitre; de Joué et Saint-Avertin, à 75 fr. l'hectolilro.
Pommes à cidre, On tient aux 1,000 kilogr. départ Eure et vallée a Auge, 142 à 145 fr. ; Seine-Inférieure, l-iu à 142 fr.
En Bretagne, le transport des pommes est facilité parles trains spéciaux desservant Hoaon, Pootivy, Plol-rmelet Rennes.
Sucres.
* Tue du sucre au détail dans le département de la Seine : ■ 1° Sucre raffiné, cassé à la mécanique et
rangé en bottes, en caisses ou paquets contenant 5 kilogr. on plus, 1 fr. 40 le kilogr. ;
20 Sucre raffiné de canne. 1 fr. 45 le kilogr. ;
3° Sucre raffiné, cassé à la mécanique et range en boîtes ou en paquets contenant I kilogr. au moins, 1 fr. 40; 4e Sucre raffiné en poudre, glace ou semoules diverses, 1 fr. 40 le kilogr. ; 5° Sucre en pains, quelle quo soit la forme sous laquelle il est débité au détail, 1 fr. i;5 le kilogramme ; 6° Sucre dit « irrégulier », 1 fr. 35 le kHogr. ;
74 Sucre cristallisé ou granulé de toute origine, 1 fr. 30 le kilogr. ;
8° Sucre, cristallisé ou granulé en poudre, glace, semoules diverses ou pilé, 1 fr. 30 le kilogramme; 9° Sucre cristallisé en gros ou petits grains dits" extra.. et autres sortes de sucres (à l'exception du sucre candî\ 1 fr. 35 le kilogr.
Ces prix s'entendent enveloppage compris.
Il est défendu d'exiger aucun prix supplémentaire pour les caisses, bo tes, papiers, sacs ou cartonnages dans lesquels est effectuée la livraison.
Prix de vente au détail pour le département de Seine-et-Oise : Sucre raffiné, cassé à la mécanique, 1 fr. 45 le kllogr.; sucre de canne, 1 fr. 50; sucre cristallisé ou granulé, 1 fr. 35; sucre en pains, quelle que soit la forme sous laquelle il est debité au détail. 1 fr. 40; sucre irrégulier, 1 fr. 40 : sucre raffiné poudre, 1 fr. 45.
Pétrole. — Essence.
D'après les dernières statistiques américaines, la production mondiale du pétrole en U15 s élevait à 426,872.663 barils contre 400,483,48'J^>arils en 1914.
la production des Etats-Unis est presqne le double de celle de tous les autres pays réunis avec 265,762,535 barils en 1914 et 281.101,104 ba- rils en 1915, soit respectivement 66.35 p. IOJ et 65.85 p. 100 de la production mondiale.
Paris. - On tient à l'hectolitre nu par wagon complet franco gara Paris, transport à la charge de l'acheteur:
Pétrole raffini disponible. 35 75 à 36 50 Pélrale blanc 45 75 a 46 50 Essence minérale rectifiée. 64 25 à 65 »
Saxoléine 14 fr. la caisse de lo bidons de 5 litres, hors Paris, emballage compris et repris pour 20 fr. Benzo-moteur, 53 fr. la caisse de 10 bidons de 5 litres, hors Paris, emballage compris et repris pour 20 fr.
Les fûts de bois sont facturés 10 fr. l'un, , les bidons de 50 litres 20 fr. et repris au m - iii t3 prix.
1 - Cafés.
1 Au 31 octobre dernier. les stocks connus d'Europe s'élevaient a 3,937,030 sacs contra 3,857,000 sacs au 30 septembre 1910. Ils sont o 1 augmentation de 287,(XX) sacs sur octobre i'ij, mais inférieurs de 1,50J,000 sacs à ceux d'octobre 1914. Le3 chiffres manquent f.,Oilr (,(jp,iihague, Brème, Hambourg, Anvers et Trieste.
Le Havre, 30 novembre. — Il a été vendu pendant la semaine 4.S.500 sacs de cafés: t ,5-,0 sacs sur décembre à fr. 72,75, 73, 73,25. 73.50, 73,75; 10,5'JO sacs suranars à fr. 71.50, 71,75. 72.
72,25, 72,50; 7,500 sacs sur mai à fr. 71, 71,25, 71,50, 71.75, 72; 7,00.) sacs sur juillet à fr. 70.25, 70,50,70,75. 71,71.25; ll.OCO sacs sur septembre à fr. 70, 70,25. 70,50,70,75, 71; 1/J00 sacs sur décembre 1917 à fr. 70,25.
Vieux métaux..
Marseille. — Vieux cuivre rougo 315 à 3?0 fr.; , étainé 300 à 305 fr.; jaune massif Ho à 1 rr> rr.; jaune léger 115 à 150 fK; vieux iJron:éc de Hlachines 3o5 à 310 fr.: vieux plo nb fi-uiil s et tuyaux 80 à 85 fr.; vieux zinc ordinaires i.'J.i fi 14j fr.; riblons massifs 16 à 17 fr.; légers 7 à 8 fr.; tournures 3 à 4 fr., rails en acii-f 2 ) a 21 fr.; fonte grise mécanique 18 à 20 fr.; du canalisation 15 à 16 fr.; blanche et bril.'e t; à 8 fr.; tôles fortes d acier doux 72 fr.; fers français en barres- 72 Ji'.; poiutes de Pan-: n° :!l) 95 fr., les 100 kilogr. à. la consomma ioa, sans escompte quai Marseille.
Métaux bruts.
Les prix des métaux c'.-nprés sont la rciréduction du prix courant légal <eoto officieilî hebdomadaire) des marchandises en i:;os sir la place de Paris, rédigé par les cO:..lrti..!. assermentés du tribunal de la Seine:
1916 COURS A LACQUlTTB : .—2deccmtrc. 25 novembre jgij. 131i.
Les 100 kilogr. mes. francs. frac». ir-in.s.
Cuivre en barres, Chili, américain ou autres provenance* équivalentes, marques ordinaires, liv. m Havre : M 11 M M Cuivre en barres, Chili, américain ou autres provenances équivalentes, premières marques, liv." Havre. M m m M Cuivre en lingots et plaques de laminage, liv.
Havre ou Hoacn. 500 50O 285 iG9 Cuivre en lingots propre au laiton, liv. Ilavre ou
Rouen. , 500.. 500 2i5 1C9
Cuivre en cathodes, liv. Havre ou Rouen 500 100 285 lu) ., Cuivre minerai de Cr.,rocoro,1iv. Havre. M M M M Etain Dallka, li v. Havre ou Paris. M M M M Etaiu Billiton, Uv. Havre. M M M M Etain Détroits, liv. Havre. 595 595 501 425
Etain anglais de Cornouailles, liv. Paris 568 568 •• 488 410
Plomb de provenances diverses, marques ordi- - im -- r. 58 naires, liv. Havre ou Rouen 103 <5 1 Jo _,_ 0 «3 jo 5c» o..
Plomb de provenances diverses, marques ordi- -. ri"l naires, hv. Paris. £ 2? 75 s0 "$r0 Zinc bonnes marqu", Uv. Havre ou 27o 365 92 ..0 Zinc extra-pur, liv. Ilavre ou Paris
1
BUREAU CENTRAL MÉTÉOROLOGIQUE IlTAT GÉNÉRAI. DB L'ATAlOSPKSaB Dimanche 4 décembre.
Des pluies sont tombées sur l'ouest de l'Europe; en France, on a recueilli 9 ">/* d'eau à Belle-Isle, 8 à Toulon, G à Cette, 3 à Nancy, 1 à Besançoa. Ce matin, le temps est généralement couvert; on signale du brouillard dans le Sud-Ouest et le Nord, un peu de neige dans l'Est.
La température a monté dans nos régions, eauf dans luuest.'A septheures le thcrmo-
mètre marquait : 0° à Nancy, 1° à Paris, 23 à Nantes, Lvon, 3° a Calais, 5° à Brest, le Ilavre, Toulouse.'8° à Biarritz. iiJO & Marseille.
En France, le temps va rester généralement nuageux, brumeux et un peu froid ; quelques pluies ou neiges sont probables.
A Paris, hier, brouillard ; ce matin, bruine ; au Parc Saint-Maur, la température moyenne (0ai) a été inférieure de 400 à la normale (3°6) ; depuis hier, température: maximum. 1°; minimum, —1°. A la tour Eurel : maximum, 4®8; minimum,—1°1.
Imprimerie, 31, quai Voltaire, Paris 7*.
Le directeur des Journaux offlçu'ls : G. CAïAàfc
EXTRAIT DU COURS AUTHENTIQUE DE LA BOURSE
TERME JmSl. Lundi 4 Décembre AV COMPTANT opéamu U bpiMn.
rrJlDS D'ÉTAT FRABÇAIS Oct lfi 3 5 !10 .,
Oel il Promews d'iascriptioas 3 j' ,.
Oct 16 3010amort (r- W< »■ «"P*u , -
15<der«, le l«BàlW). 702;,
3 1/» O'O amort. (r. i We fr.
p. C6*p. de 7 fr. 4e r'.delW&a 1930) ,w coeaptaat f 90
d t. peré dcp. le 1" fé-r. 1W5- "ô-î/or"' u'Ñov: 9" 0 romptaat)
15 fr. paves iS'f comptant). w AOtH Obligation»4%i9i2-iM4de»CJ»e-
*A0oÛ ût miBg do fw«5« l'Etat, r-tSWn'ter, de Tré'Mf.
;:: ObÜ¡;ations du. Trésor FOUDS SARAMTIS par te teBvcrueanMt f,.
JVtnhre Oblig. 1882<Wt. êt>**»•• • ••
amort. gw. par la fravr. fraaç.).
Empr.2X %d*Prot. del'AnaamAAonûM t" Tonkiu. Obi. renait. à 109 fr.
Vav Colon. de Madagascar. Obi. 2XX 1897, r. au p. fint. et am. pr.).
j d' 3 1803 1S3&, ou. 500 fr., * 'c„nt cP"*i remb. aa pair. (G2r. Etat
Octohre Gouv. pén. de rÀfriWfi orrid. f". ,,,Jli Kmp.3%190307-10 Ob.âW.r.p.
~')V Gouvcm.Gén. du Congo Français.
vlN0 ,v •••* Knip. 3 1909. Obi. 500< remb. '*'******,**"*
ÎU pair (iat. et aaiort. psraatis).
Cctobre Gouycm. général de llndo-Chiae.^ r. an pw.
i d. d* 3 54 1913- Obi. 500 fr. 37i .* rewb. au pair Juin Gouv. da Maroc. Eiapr. 4 1914-
IUU. Obi. 500f. r. aa p. (wt. et am. 5.) EMPRUNTS DE COLONIES Gouvernement Gén1 de l'Algérie. i
J« ui-lnle«t» Emp. 3% 1902 0b. r.500'.t.p. t'OY Goav. séa. de l'indo Chine. Kwp, ko\ — c'cs Chcminli de fer. Obi. 3
18S9 et 19w, rembt à 5OO'(r.,., fi" 3 1902, rembours. 500 fr.
Nov. Gouvernement Tnwaien.KmuniaU o™ 3 1902-07. Obi. remb. 500 fr. u.
EMPRUNTS S/E T'ILLES r: Obi. 1865 4 r. 5W f., t. payé. ,.
/Obi.18654%, r.500f., t. payé. ;\% j: A.oA.t, ..< d'i87i3%?.r.<OOf..t.Myé.
Jn. e d" d. mrtt 3 %, r. idO fr.
Juillet.. 4. im 4%i r. a» f.. t. pare. 4W Octobre d» 18764%, r.500 f-, t. paye.
<iHtDJre d» 18922 M %, r. 400 f., t. p. .A, ho». d. d. quarts, 1. 100 r., t. p. 9V, Ao-. J» 18M-«6 2K%-r.400',t.p.
Iso\ d- do quarts, remb. 100 fr.
^ov-• •• %, r. àM Ir., fr. 313
î-ept. ui I d» 1893 2 %, r. 300 fr.. t. p. ^^f; ; ; :-ept. j- r. jS3 50
Sept. o, I d' 1899 2 (Métropolitain), fi: «/ remb. S00 fr., toat paie. 296(:.:.
Eept. "°\ j, qoarts, r. 1S fr., t. p. 7725.
Octobre 2 d. ^042X%(Métr voLtaia). •
> rewb. 509 fr., ioot paye.
Octobre 4' ¿. iQJ."remb. 100f., t. p.
Sept.. c.* 2 Y4 e) f., t. p. 77125 Sept. d" do qlllrts. r. 100 C., t. p. 77r25
Ivov. 4. iMOî (UétrepoU, - d- ebl. 400 f-. t. p., r. 430 27» Nov. 4. dia»ies200,tp.,r.215'f, 140.
d- 19in 3 M fr., t. 2.
•Août. d. içio 3 r. fr., t. p> Août. 4. d* (jwlv r. 100 t., t. p. ?!; - § Sept. d* 1M2 3 îi.r.SOO'.Upaye. 230 2j
Aollt.. VI\eMar¡ei.le1.8773'J¡i,r.401Y ,t.p. "o. IALEURS FRANÇAISES Jnia. Ban<jaed« Frar.ee(BOa».),aeU000' 3D09 Nov. Hanaae de l'Alférie, act.500',t. p.
Avril. 1janque de Pans et des Pays-Das, 1061
JmU. 1, 4 J art. MO fr., t. p. (ex-conp. 85). 1061
Jlliil. U EanqBe Traasatlaatjq»e, arlions de 210 fr., t. payé (ex-c. ii).
Tnrn f^i. Afcer-, a.5W, t. p. (ex-e. 7b)AOIlt. Comptoir Nabaiai dxsfOMpte d« "97 J'sris act. 54W, t. p. (cx-e. 43).
Jaill. 16 crédit foneterd'Algérie et de TnaiJ,tt.t„t.t,S ,. sic, aet. ffl f- l' p. (es-e.18' .,.
Jaill.18 io p. (noa.)(aaeompts'
Jaillet.. Aetiow S(I0 fr., t. p. (noais.). ••• •• ept. QU.«Ma.n,V*Q%,t.iW. 422 50
Mars. - fJ-, reaab. 100 Ir. 9-r25
),°V. fMC. TV 3%. r. SOQf, t. p. M4 b0 Sept. d« «om*.803 %,r.S<fi',t.p. 4^2 hf!ltt.. g <.f<tnc.8.!%.r.fJ))'.t.p. 3)9. oelobie C\d» fo«e.»SWd%.rJ90',t.p. 'itG;:().
Octobre M d* «• 5—*, r. Ïa0 fr., t. p.
Octobre U* 94 3%,r.40y,tp. 21)8 50
Juillet. | I d« MouB.lK^n%,r4@er,t.pL 328 75 Jam ii i, fciK. 952^9%, r.5â9',t.p.
Jain j £ g d- •omm.99f*M%,r.Se0r,tp. 3:la.
,.0; t id« foi* l«raS%.r »ay.t> Sept. -fi' «estai. 190-3%,r.KW,tp. 3'>5 ••• •• Août. g 4. fQM.imS%.r.*0r,t.p. 200 , Juia. A é* «*».l»123X.r.a»,,Lp. ,
|<ov. «• fMa.l913S^r^0r.t^ : WorM.. 4» f l•l*4X,r.ïl0®',t^ tt7
D«na ÎOCC, toto, 87, a« pwUar. Kf IJkMilOSkrtsWiKftiiew.«• •••
———————————————————" TERME MISS. Lundi 4 Décembre Air COMPTANT e~~m lifliùlilL Nov. OM. Btueme hypofbéi. ee France, , remb. 1WX) f., Vo«t r«*é.-• * , Sept. d* 3% ISSi, r. 500 f., tout payé. ":.
Aoilt.. Cr.FraMo-ggYp a.l801.p (ex-c-51. ô l' Nov. Crédit Ind. etCowmerc. (Soc. G«a. 0fi1|f-> , de), act. 500 f., 125 f. p. (non:).
liai U.. Sot- Marseillaise de Crédit ind. et |f Sept- tott. etc.. Id. 500 f., t. payé. li8ù'" ,. .1 Sept. Créd.Lvoaaw^.500f,t.p.(ex-c.41'. 1180 „ Jaill. 14 Créd.tf«J).Fr.a.50{iir,t.p.(ex-c.l7).
Jain.., Btei&é Foncière Lyoaaaise, Mt.
500 fr., t. p. (ex-eoBp- 42). — *" jamet. Soc. Gé\. prdîv«kyp. ducc«a«i et de riadKt.,a.500,.256rp.( DClln.). ff JaaT.14 Dampc fraaçaiM pr le eeowacrte ,.., etriiîÂistrie,a550* ,tp.(ex-c.i#. *" juillet. Batqw da ('Up.!m Puisiesme., atbm 5W fr., t. payé (ex-e. 23). •" Mai 14.. Reate fœfswc.s.SW' ,tp.(ex-c,36'- ", ., Juillet. DJns-Geelaaa et porloag», a. &9(y K..
t. p., r. a GOO* (gar. de l'Etat). 2.1? —
Août. d4 oW.3%. r.SCO'(gar. lîUt). sli 50 Avril.. DéperUmientaaxfC^decfc. de fer), art.500 f.,300f.p.( ex-c. 52). ••• Octobre d* olM.3r.,r.iOQl(aar.\,bleu. Octobre d* 4* rong®#. Nov. Eeoaomlqaes (Soc. Géa. des ch. de ?er\ obi. 3 r. 560 fr. (gar.). ••• Nov. Bst-Aipérien, act. 500 f., t. p. (garantie de lttat) (cx-c. 81 §"? fI 500 3')1
Juillet. d* cbl.3%, r.500f.(s»r. Etat). .••• *' Mai. Eat, act. 5001-, t- p. (cx-cosp. HT). -M .» mai do aet. tfejoniss. (ex-coap. 61*. 7' Jum. d- obi. 1S32-W-5® 5%, r. a fiôrjf. p5W 2, f' Octobre d* d- 4%r.500f. (par. de l'Eut). — f' Juia. d'd- 3%, rcaik. 500 fr. (d-) #9-" - 'a fent d» d» 3% noav. r. 500f- (d>I 1 i ta ", Juillet.. d, Ê* 2 r. 50 fr. (d-) 1 ^11 — *' Juillet.. d* d- Ardeaaes 3%, r. 500 fr.. >^0 ,Octobre OBI. Gr.-Ceinture 3 %, r. àffl, fr. * (gar. Ç,c* Est, Lyoa, Nord.Orl.). ••• '* Mai. Lvonet à ta>iéditcrranéc(Par»»à>, nrin act. 500 f., t. p. (cx-c. 117). ••• *' MM. d* Act. de joœss. (ex-c. 17).
Octobre d* Oblig. Tar^-Lyon 18&5 3%, remb. OO"fr.(Gar. Fiât). .1 JuilleL. d« d» Bosrfconnais3%, r.-jODfr. (Ganntie de
Juillet.. d* d* Daaphiné 3 %, r. 500 fr.
(Garantie de l'Etat) •** Octobre d* d' Doaibes et Sad-Est 3 %, ••• rClllb. 5OOf'l'. (Gar. Etal). ',
Octobre da d* Toaibus et Swl-Iist 3 %,
noaT.,r.500f(Gar.Etat%,)320 50 •» laium.. d.
Juillet.. de d* Genève ls&5 et 1857 3 %, remb. 500 f. (Gar. Etat). ••• Octobre d* 4* Méditerranée 5%, renib. i fô5 fr. (Gar. de l'Ktal). ••• ** luillet.. d* d* àn iSï-Mâàs 3%, remb. à
500 fr. (tiar. 5e 1'litat).
Juillet. d* d» Pariï Lyon-Méditerranéi, 3%. fusioii, r.500'(G.EUt). 3?8 50 Octobre d* do d' 3%,f»»ni«,r.500f (d* «0 •• — ** Nov. i- fr d« 2X%.r 500fr. y d- 29.) 50 1 ;¿!.J.) 50 ., Octobre <:''<'V:ct'-Ëm'18823%.rM (iufer«ga.-. par France et Italie). .,.
Juillet.. Mài,act.de500', t.p. (ex-t. 122
JtnUet.. *" Juillet.. d* art. de M. juillet., d? obt. 3%, r. 5.0 f.(Gar.Etat). Octobre d* d* 3%, n. r. 509 C. j*») ••• Nov. d* d- 2% %, r. 5» f. jd-j Jj» —
Juillet.. Nord, a-SSO1 hl»., r.dOy (cx-c-lM. 1^30 *^ JaiUct.. d- act dg jouiss. (cx-«onp.lj0). ••• Sept. d» oM. 5 %, aér. K, r. à 5*) fr.
Juillet.. d» f 4 %, aér. D, r. à 500 fr.
Jailtot. d* cWiç. 3 %, ratai, à 500 fr.. Octobre d* oM 356,aoav.«érieB,r-SOy. 33l) Octobre d* d' 2 %, série C. r. 590 tr.
Octobre d* d* Nord-K« frantei»3%, rmb. 500 fr. (intérêt garaate).
Ant.. Oriéata.ecî. âîO' ,t. p.(ex-c.l2s. 1040 ••• *" A"« d* od. ee jouur, (ex-aw^. t. ATfil d» eUu 3 %, r. 50^ (Gar. Btal). 349 25 .,
Jaill «t Octobre * d- 18S4ÏVJr 509' (G. Ktat). 339 50 ••• '* Octobre d- <!• 2« ?4 L88». r. SOO'fG.iit).
Jaillât.. é* do Ora^d-Ceatral lii 3 %, retnb. 580 f- (Garantie Stot). 318 *" t. P. (en 6m
Octobre ! Oaert, act. M tr. t. p. (en &].). 688 ••• **.# Avril d" am. de >»«- (cx-ao«^ 51). *•* Ja Uet. d* obi. 3%, r. 503 f. (Gar. lîtat). 344 "*..
Octobre de d» 3%iiobt.,r.SWf. m J395O. ..,
Octobre <f d» 2^ %, r. 560 rf.
Juiltet.. Oaûet-AJjènen (C'daseh. da ir), ** Vct-SOOf-r. C00f. (G«r. Etat).
Sept,.. ctt.3%, r. 500f. (d») 334 *** * JIliUI&.. La Réunion (O.de f.a»P')foiL3%, „ riOO^ait. eta»ort. ysr. p.CKtati.» •• JoM. Sud 6e la t ranjc, ai<)5-', t. p. (Gef
tëfcit cîi iépa-t4», ;ex <inp. 31). - Octobre d* eii. 3%, r. 5€0f. (fiar. Etat). 272 •••••»••••••••• »• Octobre Clsam- à» ter ia l'I-tio-Chnie et di "* ** Yonnan, ob.pr4%, r * -
Nov. Docks et Bntoapâe tde Marseille, Mt. - fr., t. po («x-*oa^. 95). 432 *• ••••»•••••« ••• •• ••• Aott. Batwpdtt«tJJa«a»«aefèaéfa«d« pMt&.-t.My.t. JtaL* lau (O Otoérak "s». aatiaas il MO <> )• (n-enivCVi »••• ■•••••••••••»•••«• »
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Jniïï. Cu GéBi'rn'e'i rsa«i'.:aBti^«e, *c- 'tioostâ'Wr, 1. r. ic\-cow>.9n. 2lt)
¡am. '1 4* art.F nri'à, 12> .t.p/ex-e.W) Juin. Mestnjcr.es Mantimas. ar' 2W. ') test pi'.l: (rx-POSOOK =r. 1«5 hia. artrrionté.îWA p.(ex-e.J). 166
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juin.
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CJ,e pz;. - 1C0 3:) ** C.tOOpes.- 10J 30
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Déc. Mt~<!<xi:4%<M-i834.'r.4:~:.!-"
(n. cb. fixe 5'18) T.îfâdoli.— 1"
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jembcurstblc a 5tt) fr
Nov. Norvège3% 1^8 C. !CtCGpib\
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G. f(jO.r. - ..,.
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G. idfte -
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Gocp. 30 fr. —
Jrin. d* 3K% lggti. leRlb. an jwir.. ••• •* *** ** .'mit. d'' 3'A% ISWi, reuib. 16 pair.
Octobre d® 1902GeBïi.i7{:'>G*'eiitî.
Co«p.^f>". -
Jnin. d» S'A 1934hL«, mtibunpair. ••• •• Jnill. Port>*a"l»%,l"«érie€. 90*«p..
(IL ch. fixe S<25). C.i(Me- ::: d" 3%.2" série. Obi.45fr rente. ••• •• Obi. 75 fr. d* 3%,3«sér»& Obl.lifv. reiiU.
(remb. a« pair) Obl.75fr. — t.
Octobre i» 4 3-1 i»#, obi. S»r. par ta Si«ù«té des Tal«*os, r. 500 f. - 435 d. Ctupares de 5 ob~t. - *' ::: d* d* CoBjJwes de 10 obligat.
Jailiêt.. Qhobcî 3 1894 • .■•• Jiiiii. BcasKiie 18904% aau Ob!.a)'rl« 1
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::: f 18M4%aa. Obi.»)'— Obl.4»'—
Kov. 4» 1868494»». 0b!.30'— t ••• •• OIti.W- i ; — *• Nov. *• 1W84X a».01*1.3#'— ; - - ÛW.40« | I ••• •*
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Oatebre Roum.inïcReate eonv. Obi. 21Y r,,
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1 amort. ObL W—
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MM.. d' 1880 4%, rmb. au pair Sept. *• 1889 4 %®r. C. 20 ( rente Sept. C.100f. —
Sept. * 18901 %«. C. 30f. 2. et le émim C.1 00 C. -
Sept. d» 18904%or, C. 20f. - ..:"
4* émifis. CiOOC -
Nov. 4* 1893 4% or, C. 20 f. 1 V émm. C.100 f. —
Octobre d* 1894 4 or, C. JOf. 6e émiss. C.100 f. - .::
Octobre d* Consolidé ObI. 2Or. - 70r..
4% Obi.100 r. -
f tO et 2° sér. Obi 200 r - ,. ,.
::: obi.5<wf. - .; Octobre d* Consolidé Obi. 20 f. —
4% ObLlOOf. —
3e sens. 0bl.200f. —
Obt.500f. — .,
Sept. d* Consolidé Obi. 30 f. —
1 4 1901 Obl.iCOf. - ..:':
Obl.âOOf. — .,.
Octobre «• 3 or 1891 et 2» émis. 1894. 57'55 57 35 1 N o v.., d* 3 or i8SS. 53fD0 53 05 Octobre d- S%%ort894. C. 17<50r« C. 87 y) «.• » »
C-437150 - Nov. d- 519M (Séries 1 a 273) 831.
Juillet.. i' 4^ 1909(Séries37a 289). 74r90 : Sept. d* Intfir.4%1894. C. 4r. rente ■ (séries 1 à 112) C. 8r. -
<p. t. 6.2*6667) C.20r. C40r. -
Juin. d. OM.4%,c.ferdnDonetï,93 Ottobre t. Obligat. 4 du chemin de ,.
fer de Dvwsk-Vitcbsk
Oetobre d* Obi. 4% 89. série B, Konrsk-
KharkÓt-AzoL T.617c50eap. 480
T.1235f. Juillet.. d* Obi 4%,94,c.deferKourskKhllrkof-Azof(impi'Jl:,%). t.i8r4.0 Octobre d* Obi. 4 1880, T. 617'50 s. 6. Orcl-Gmsi. 1.1233fr.
:
Octobre d- Ofclig- 4 1894, dl. de fer
Riga-Dwinsk Juin. d- 3 %, obt. ch. de fer Tramcaucasien, remb. au pair. octobre ci. 4% d* C. 20 t. rente rcmb.a® pair.C. 100 f. — *
':r\nv. '- d* Lettres de gage 3 de la Banq. Imp. Fonc. de la Noblesse .- ; "! 1 «,2eet 3« éa». C. 14 t. rente - 6')'
C. 70 f. — ti0r ; : ::: :: C.l»f. - 60r
Octobre d* Obi. 4 Grande Soc. des Ch. 60 ,. ,.
de fer russes, remb. 2000c
Juillet. San Taulo (Etat de)rte 5% orl90», remboursable à 500 fr 421 =* .Coup. de 5 oblis * ••• • • Juillet. d» 5 or 191)7, remb. à 500 f. 384 juillet. d* Bons du Trésor 5 1913, de 504 fr. (cc.tif. crov. fr.).. 500 •
Juillet. Serbie 4% am. 1895. C. 2C rente : Qioiop. 1er rang) C.10C - .,
C.200' -
Août. ct. 5% orlfOîMonop., r. 500e. 430 Octobre d* 4%% orl906Monop., r.500(. 370 Août. Saèdc 1888 3 TU. 1234f capit. I Tit.2468f. -- ; Sept. d* 1890 3% Tit. 617f. - .,
TttiZUf. -
Oetobre d" 1894 3%. Tit. 15 f. rente
::: Tit. 75 f. Tit. 150 f. - ,
Oetfrbre d* 18953%% Obi. 20 £ eapit. ,. ,,
(u.ch.fixe3â'20) Obl.lOOt Obl.MOt - « Mai. d» 18913 X- Tit. 17«S0re»te ::. :.
Tit. 87"50 — ..:.: ::::::::::::::: ::::: ::: :: Tit.175 t. Ao.U.. {MO Tit. lOOCeap 3 X Tit. 500C -
(■?.«. a™ Tit.l000 £ -
Août. d° 19844901 ôbl. 17f.WreM« 80f50
i%% Obi. 35 fr. - 80f50
Août. d* 19C73Xy.d»*- 0bl.l7<50f* .., Obl.Xfr. —
Sept. Swue,P«<iteS% Obi. 30f. r«U 1 1890 ch. dt fer. OM.15ûf. — ; Obl.lOOf. JtiB- - - Or S 1197, i" série. Obi. de
T 39 fr. cie reste », 'Jiia. 3XXi8»-l*a,«h.detor « (S— A.1.C.9.B.J.G.I.LK.)
S Oblig. 16 fr. de toute
; Juin - d- IOW ch. de fer. Obi. 7W ; npp, S fr. de reaU fJ)dnbre .; a* 3% iQÛS, reab. n M*.. ,.
bibi -3 M a i. -/ I d* 3%diftréGh <fc{«rfôd £ r ..5.. t **1Uw|.»17.r.S»f. 389 50 le*t 4» 8% S (t- se.) duà. de , u fer umr., «M. 17*SOr«* Wt. Dette .c #m. MF FC 4 { .99f.iwt •• ii •• •• J £ • £ [• -
KPPVt^l | :;:::'::.:::::::::::; .:::: , ;:: ::
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r. au pair. ObI. sec~e*? .t~ Obi. Î5ÙÙ1 -
Juillet. OttvataaM prirH«gîées 4 19!Xl nin 210 , i vDoaaaesj. Obl.da 500 f. cap. 2!Q. 'u 0bl.de2500f. - 205 1 Octobre Ottomans cor Tribut d'BgyUe 4 1 1891 C. 30 £ cap (a. A. fixeSWtt C.iœc-
Àoât. Ottomaa Priorité Ohl. 5()()C t!If.
Tombas 4 «SS Obl.î&OQ' - Juillet. Ottoman 4 1891, rcDtb. 500 fr.
(W. desrtiem. de fer orieat.). ,, Octobre Oitunan 3 %4% 18S4, G. 2DS cap.
pr. p, Trib. 4ypte C-IOU -
(n. e. fixe»*»). C.5Û&C - ., Juillet. Ottomanes5% 189S-Ofel SOyea;
OM. fsW -
Juillet. #• 4% 1901-1965, rftCîb.&OOïr.
Obi. de M.
Juillet Ottoman 4 1904, rensb. :.00 fr.
Nov. Uruguay 3 1891 C. 20 £ e&p. 1.
.., (.eh.&ie'$I25. C.iOO£ -
Octobre d* I or 190». 25f. rente
Obi. 125 f- -
fAlEURS ÉTRfiHBÈREJ Avre Baejpe des Pays Autriebiens. aet.
400 c., t. payé (ex coup. 29). ••• ;;.
Juin Itejique Naiicaale du liexique, act.
100piastres, t. p. (cx-coas. 58).# Juillet. Banque Ottomane, actioas 500 ff.. *
250 fr. payéi (ex-eoapoi) 56).
Mars. Crédit Foncier d Autriche, actioas 300 cour., t. payé (ex-coup. 8). „
Ilan. Crédit Foncier Egyptien, aciioas 500 fr., 250 fr. payés (ex-c. 42). 662 juà Crédit Foncier Franco-Canadim, act. 560 fr., 25efr. p. (»min.).
Jaillet. Andalou (Chesainc de fer), act.
de 500 fr., t. p. (es cône. 37). 3*1 411.
).3. ~; 1.
Nov. é obi. 3%, l"sêrie, r. 500 fr.
/lo.d\ d* (h 2* série, r. 500 fr.
Juillet. Chemins Aolrida.-Ho.u'gl'. de l'Etat ( S ( x p h v U. ) , s c t M < t p (Soc. privil.), œt. 500f, t. p.
Juin. Demaj^Uaniahetprc!.(Soc.Otto».
ft dl. de fer), ool. 5w rev. var.
Jaia. Loaibards (Sad-Autrichien), act.
500 fr., tout payé (ex-c. 18).,157 157
Juillet, d* OUig. 1%, remb. a 500 fr.
Avril.. d* d* série X, reœb. 500 tr. 155 Mat. d* do 4J £ , remb. à 500 fr. 193 Juillet.. Méridionaux.(C« italienne des chsnans de fer), act. 500 L., t. p.
Juillet. Nord de l'Espagne, act. 500', t. p. 420 Octobre d" Obi. Z% (1" série), l«hyp. 3«J6
Octobre d* d* (2e série), 2« hw. 36S
Juillet el." ra» série), 3« liyp. 3'iO
Juillet, d* d* (4* série),4« hjç..355
Juillet. dd* - d- sMe , 5- liyp.
Juillet, d- cIo (5* série, 5* hyp. 0 Juillet. d* Obi. Pampeiune, spéc.. 3%. 38v 7.
Juillet. d* d* Berrekffle,j>riorilé3%
Octobre cr d- Astsries, Galiee, Léo*, 3% 1"® hyp. (iat. et a;s. gar.). 338.
Octobre Portugais (C18 Royale), aetiooa de 500 fr., t. p. (c. 2 ait.).
lIiIlet. d* Obi. de 500 fr. 3 privilégiées ie 1« rang, rev. lixe. 289 .a* JsiJIet. * /KK.^a.-)-OaraiïkIobl.4%1903, ^.«1 r 500 fr 355
Juillet.. Ss M«ecoa Kier-Yoronèss, ob.
SM 4 192. r. 500 fr
Juitttt., Juillet. „ lMoscou-WiBda»-Rvi>insk,ol». 3 4 3.
a-3 '; 4 1903, r. 500" fr 318 „ o.SKcri-Donetx, cfelig. 4 %, Juillet. S âi iM&.'-.a&OOfr. 439.
Sept. J- fVo!ça-BougouliM,<)bl.4>{X g ( 1808, r. à 500 fr 409 Octobre 2 S Ssd Kat- obi. 4 lA 1908.
o V remb. a 500 Ir. 430.. 0.
Octobre SaJoniqae-Conatautin. (Ch. de for ottoinan-jona.), obl.3%,r.s06r
Juillet. Saragosse (Madrid a), aet. 500 fr., tout payé (ex-eowpo,.: 84',.. 424 50
Juillet. d* W. 3%, 1M hyp. sur Madrid à Saraj. et Alioante, r. 50^. 355 Juillet. d* d* 2* hyp. sar Madrid a Sar. 3J9.
Juillet. 4* d* 3® hyp. Uatird-Sar.-Alic.
in hyp. Araijuat-Cuasfj. 333
Aott. Smvrne-Gasitaha et prol. (S. ott. dit th. de fer), oW. i% 94, r.5O()C.
Août. d* Obi. 4 1895, wanb. MOfr.
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L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annoneos.
Ministère du commerce, de l'industrie.
dea postes et des télégraphes.
AVIS Un concours pour la fourniture de 26.500.000 fiches en papier gris, et de 120.000 fiches blanches el' ouvert à l'administration des postes et des .télégraphes.
■ Ce coneours sera clos le 14 décembre 19J6.
Les industriels qui désireraient y prendre Îart devront adresser sans retard leur demande * M. l'ingénieur en chef des services du dépôt central du matériel, 75, boulevard Brune, à tParis.
i Les modèles types, ainsi que les conditions U concours sont déposés au service de la vérification du matériel postal, 75. boulevard Brunc, *" JParis, où ils pourront être consultés, les jours
ouvrables, de neuf heures à onze heures et de quatorze heures à dix-sept heures.
MARINE NATIONALE
Avis de Vente de Prises Maritimes Le 11 décembre 1916, à quatorze heures trente, il sera procédé à Toulon — hôtel de l'intendance maritime — par le chef du service des prises, à la vente, sur soumissions cachetées, en 14 lots, d'articles divers, tels que : gilet; de laine, tricots de coton, saiviettes, selles, harnachements, équipements militaires, 1 motocyclette, cuir, résidus de cuivre, etc., etc.
L'affiche portant indication des conditions de la vente peut être consultée à l'établissement des invalides de la marine (1, avenue OctaveGréard, au coin de l'avenue de Suffren), dans les directions et quartiers de l'inseription maritime, ainsi qu'aux chambres de commerce de Paris et des principales villes du littoral.
MARINE NATIONALE
PORT DE LORIE T
APPEL A LA CONCURRENCE pour la fourniture de : 300 quintaux de RIZ entreposé, non logét Date du dépôt des offres : 14 décembre 1916 (15 heures).
Durée du marché à intervenir : 30 jours.
Le cahier des charges e*t déposé au bureaa du chef du service des subsistances et de l'habillement du port de Lorient et, à Paris, au ministère de la marine (bureau des subsistances), Lorient, le 30 novembre 1916.
Le chef du service des subsistances et de r habillement*
k ANNONCES — L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces. — ANNONCES A. -
alTUATION DE Là BANQUE DE L'ALGÉRIE M 30 Novembre 1913.
ACTIF
Numéraire en caisse. 71.221.515 56 Rentes sur l'Etat 21.260.160 • Portefeuille 401.403.931 09 Avances sûr titres 8.0S3.840 53 Correspondants d'Algérie. 15.053.513 13 Correspondants de France et de l'étranger 13.136.922 37 Acquéreurs d'immeubles (solde de prix de ventes) 41.022 11 Dépenses d'administration. 207.173 67 Charges extraordinaires. 203.196 50 Succursales (leurs comptes avec la Banque). 901.496.076 » Effets remis par la Banque. 4.774.882 18 Effets remis aux caissiers. , 423.613 45 Bureaux auxiliaires. 34.263.561 19 Titres appartenant à la caisse des retraites 5.313.143 86 Avance à l'Etat (lois des 5 juillet 1900 et 29 décembre 1911). 5.000.000 * Avance à l'Etat (lois des 5 août 1914 et 30 novembre 1915)..55.137.500 e Avance à l'Etat tunisien (décret du 7 mai 1904). 1.000.000.
Divers.
Créances en souffrance.,.,. 158 * Hôtels de la Banque. 8.223.603 47 1.5i6.246.813 11
PASSIF 1
Capital. , , , 25.000.000.
Billets au porteur en circulation. 433.063.565 » Comptes courants sur place. 33.961.750 99 Trésor public 43.396.379 98 Dividendes à payer (solde des précédents semestres) 2.S02.984 51 Agios et commissions. 1.817.573 25 Profits et pertes (report du der- * nier semestre) 1.573.691 62 Réescompte dq dernier semestre. 1.098. 266 19 Bordereaux à payer. 41.233 20 Effets envoyés en recouvrement. 43.700.774 65 Banque de l'Algérie (son compte avec les succursales). 837.813.25455 Caisse des retraites., 5.308.161 34 Trésor Tunisien — 17.162.792 21 Divers 8.418.083 38 ( statutaire 8.333.333 33 Réserves ? immobilière. 8.223.603 47 ( extraordinaire 13.428.3i0 44 1.546.246.813 11
Certifié conforme aux écritures : te directeur général de la Banque de l'Algerie, E. MOREAU.
MM. GOLDSCHMIDT (Henri-Paul), né à Bruxelles le 3 mai 1871, et GOLDSCHMIDT (Gustave-Frédéric), né le 30 janvier 1873 à Paris, y demeurant ,. tous deux, sollicitent l'autorisation dé substituer à leur nom celui de « GOLDET ».
Signé: G. DR BERLY, Référendaire au sceau de France.
DÉCLARATIONS DIAS-SOCIITIONS -t'] (Art. lv Au décret du ÎS août 1991.)
1er novembre 1916. FOYER LAXDÀIS. OEuvre da guerre. Siège : 43, rue des Carmes, Dax.
AVIS J L'administration des chemins de fer do l'Etat a l'intention de procédera l'acquisition et à 1 l'installation d'un poste H. T. et de trois groupes convertisseurs de 400 kw à l'usine 19 génératrice de Saintes. '^Ê Les industriels désireux de concourir à cette -'&M fourniture peuvent se renseigner immédiate- ment, à cet égard, dans les bureaux du service électrique (lre division), 43, rue de Rome, à Paris (8e), le mardi et le vendredi, de quinze à dix-sept heures, jusqu'au 22 décembre 1916.
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